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LA TOPOGRAPHIE
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1. Introduction ........................................................................................................................................................ 5
g. Nivellement ..................................................................................................................................................13
3. La topomatique .................................................................................................................................................14
6. La lasergrammetrie ...........................................................................................................................................23
1. Définitions ....................................................................................................................................................23
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2. Terminologie ................................................................................................................................................ 23
d. Triangulation ................................................................................................................................................ 28
a. Angles ...........................................................................................................................................................29
11. La carte .........................................................................................................................................................30
c. Exactitude .....................................................................................................................................................31
d. Orographie ....................................................................................................................................................32
b. Project ...........................................................................................................................................................37
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Bibliographie ............................................................................................................................................................38
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Cours de topographie
1. Introduction
a. Travaux topographiques
La géodésie c’est la science qui étudie la forme de la terre, elle regroupe
l’ensemble des techniques ayant pour but de déterminer les positions
planimétriques et altimétriques d’un certain nombre de points géodésique et
repères de nivellement.
La topographie est l’art de la mesure puis de la représentation sur un plan ou une
carte des formes et détails visibles sur le terrain, qu’ils soient naturels (notamment
le relief) ou artificiels (comme les bâtiments, les routes, etc.). Son objectif est de
déterminer la position et l’altitude de n’importe quel point situé dans une zone
donnée, qu’elle soit de la taille d’un continent, d’un pays, d’un champ ou d’un
corps de rue.
La topographie s’appuie sur la géodésie qui s’occupe de la détermination
mathématique de la forme de la Terre (forme et dimensions de la Terre,
coordonnées géographiques des points, altitudes, déviations de la verticale…)
La topographie et la technique qui a pour objet l’exécution, l’exploitation et le
contrôle des observations concernant la position planimétrique et altimétrique, la
forme, les dimensions et l’identification des objets géographiques.
La planimétrie est la représentation en projection plane de l’ensemble des détails à
deux dimensions du plan topographique.
L’altimétrie est la représentation du relief sur un plan ou une carte.
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b. Le levé topographique
C’est l’ensemble des opérations destinées à recueillir sur le terrain les éléments du
sol nécessaires à l’établissement d’un plan ou d’une carte. La phase d’un levé
topographique utilise les valeurs numériques de tous les éléments planimétriques et
altimétriques est appelée topométrie, la topométrie est la technique de levé ou
d’implantation.
c. Les calculs tonométriques
Ils traitent numériquement les observations d’angles, de distances et de dénivelées,
pour fournir les coordonnées rectangulaires planes: abscisse X, ordonnée Y et les
altitudes des points du terrain ainsi que les superficies.
d. Les dessins topographiques ou la cartographie
La cartographie c’est l’ensemble des études et opérations scientifiques, artistiques
et techniques intervenant à partir d’observations directes ou l’exploitation d’un
document en vue d’élaborer des cartes, plans et autres moyens d’expression et
donnée une classification des cartes en fonction de leur échelle et de leur finalité:
1/1 000 000 a 1/500 000 Cartes géographiques
1/250 000 a 1/100 000 Cartes topographiques à petite échelle
1/50 000, 1/25 000, 1/20 000 Cartes topographiques à moyenne échelle
1/10 000 Cartes topographiques à grande échelle
1/5000 Plans topographiques d’étude, plans d’urbanisme
1/1000,1/500 Plans parcellaires, cadastraux urbanisme
1/200 Plans de voirie, d’implantation, de lotissement
1/100 Plan de propr iété, plans de masse
1/50 Plans d’architecture, de coffrage, etc.
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Rayonnement
Un point rayonne depuis une station d’instrument est celui dont on a mesuré les
coordonnées polaires: angle horizontale et distance horizontale.
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Les récepteur des usagers utilisent donc les signaux des satellites pour calculer leur
propre position (Smilles, J.Lagofun, 1999).
Les récepteurs de navigation et de topométrie sont très différents:
Les récepteurs de navigation fonctionnent seuls. Ils mesurent des distances à
partir de la mesure du temps de trajet de l’onde de l’émetteur au récepteur ;
cette mesure est malheureusement peu precise, ils se présentent sous forme
de petits appareils portables, ils donnent en temps réel la position du
récepteur a 100 m près.
Les récepteurs géodésiques figure 9.5 sont destinés à un fonctionnement en
mode différentiel nécessitant deux récepteurs. Dans ce mode, les calculs de
position sont généralement effectues après les mesures.
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Les distances sont calculées par des mesures sur la phase des ondes, ces
mesures sont précises. Chaque récepteur est donc constitue d’une antenne,
associée à un trépied de manière à pouvoir stationner a la vertical d’un point
et d’un calculateur distinct, relie par câble à l’antenne. Ce dernier enregistre
des mesures à des intervalles de temps réguliers. La mise en station doit
placer l’antenne au-dessus de l’operateur pour éviter que ce dernier ne
constitue un obstacle ou masque entre le satellite et le récepteur lors de ses
déplacements autour de l’antenne (Smilles, J.Lagofun, 1999).
Méthodes d’observation
Statique : en mode statique les récepteurs, positionnes à chaque extrémité de la
ligne de base, restent stationnaires pendant les observations de façon à enregistrer
suffisamment de signaux pour permettre la résolution. Les méthodes statiques
sont longues mais sont les seules qui fournissent la précision nécessaire en
canevas d’ensemble.
La statique: la statique est la méthode GPS classique pour les mesures de
lignes de base supérieures à 15 km, la statique est utilisée pour
l’établissement de réseaux géodésiques couvrant de grandes étendues. Des
sessions d’au moins deux heures, répétées si nécessaire, permettent
d’obtenir la précision optimale pour ces travaux géodésiques.
La statique rapide: la statique rapide est la méthode la plus opérationnelle
pour la réalisation d’un canevas de densification, avec des lignes de base
limitées à 15 km, pour une précision centimetrique.cette methode est
actuellement la solution GPS utilisable en milieu urbain ou en zone de
couvert végétal.
Le mode cinématique
Un récepteur fixe étant en A, point connu ou inconnu, un récepteur mobile,
généralement une antenne montée sur une canne télescopique, est positionne en
B.
Après une première phase d’initialisation statique sur un point connu ou inconnu,
le récepteur mobile possède suffisamment de données pour résoudre les
ambigüités et donc calculer sa position en relative par rapport au récepteur fixe;
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3. La tonométrique
La tonométrique Topographie + informatique, est le terme que je propose pour
désigner les spécificités de la topographie de l’an 2000, au vu de l’importance et de
rapidité des développements de l’informatique.
a. Automatisation des observations
Les tachéomètres et niveaux électroniques effectuent la vise et le mesurage sans
intervention du topographe, il peut se consacrer à la saisie et au traitement de
données thématiques, les opérations de mesurage complexes, répétitives, précises,
étant entièrement automatisées.
b. Travail au point levé ou implante
Depuis le point levé ou implante le topographe, travaillant seul, pilote a distance le
système de mesurage, déclenche les mesures, code et enregistre les résultants et
donnes complémentaires, contrôle numériquement et graphiquement en temps réel.
c. Gestion des données
La détermination géométrique d’un point étant désormais rapide et facile, les
données complémentaires prennent de plus en plus d’importance.
Le topographe saisit sur le terrain toutes les donnes géométriques descriptives, les
donnes thématiques et topologiques, tout en exploitant celles existantes qu’il a
chargées préalablement dans l’instrument.
d. Visualisation graphique
L’automatisation des mesures et leurs traitements numériques et graphiques en
temps réel fournissent, sur écran graphique tactile d’ordinateur de terrain, les
résultants du levé et de la saisie des informations complémentaires.
Les avantages des anciens levés à la planchette sont ainsi retrouvés avec ces
tablettes électroniques graphiques: contrôle de l’avancement et de la qualité des
travaux, confrontation visuelle des résultants avec le terrain sous les yeux,
correction des oublis et des manques, représentation simple adaptée à l’utilisateur
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5. Photogrammétrie
La photogrammétrie est la technique qui a pour but de déterminer la dimension, les
positions et les formes d’objets à partir de clichés photogrammetriques.la
photogrammétrie aérienne, apparue au cours de la première Guerre mondiale, a
précède la photogrammétrie terrestre, les deux sont développées depuis 1925
environ, pour atteindre à la fin de ce siècle des performances qui la rendent
irremplaçable dans de nombreux domaines, en particulier la topographie.
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c. Photogrammétrie terrestre
La photogrammétrie terrestre est largement utilisé dans divers domaines: la
géologie, la foresterie, l'agriculture, la médicine, l'architecture et l'étude des
monuments architecturaux (N.Oucova, 2006).
Avec la photogrammétrie terrestre convergente, il est aisé et extrêmement rapide de
mesurer façades, fouilles archéologiques ou infrastructures techniques.
Les architectes ont, depuis fort longtemps, approfondit les lois de la perspective :
la Renaissance italienne connaissait déjà l’art d’établir des plans et des élévations
d’un édifice d’après des vues perspectives.
La photographie entra dans une phase pratique qu’après la guerre de 1870 sous
l’impulsion d’Albrecht Meydenbauer. C’est à cet architecte qu’est du le nom de
« photogrammétrie ».il pensait que la photographie lui permettait d’obtenir, en tous
points du monument et sans discontinuité, une « image perspective
géométriquement exacte ».
Relèves photogrammétries d’édifices ou d’éléments architecturaux de grandes
dimensions
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6. La lasergrammetrie
1. Définitions
La lasergrammétrie est une science ou une technique en plein essor qui exploite la
technologie des scanners laser 3D (mesure laser haute densité, sans contact et
longue portée). Un scanner 3D lève plusieurs millions de points en trois
dimensions en quelques minutes, la mesure laser pouvant être couplée à une prise
de vue photogrammétrie numérique.
Les technologies les plus répandues sont la triangulation (émission d’un point laser
et enregistrement de son image dans un capteur), la mesure du temps de vol
(émission d’une impulsion laser et enregistrement du temps aller-retour) et le
mesure par différence de phase (émission d’un rayon modulé en fréquence par une
onde harmonique).
Selon les méthodes, les appareils offrent des portées variant de quelques mètres à
plus d’un kilomètre, des précisions allant du dixième de millimètre à quelques
centimètres, et des vitesses d’acquisition allant de 500 à plus de 1000 000 points à
la seconde.
2. Terminologie
("laser" + " gamma " ,écrit ou dessiné, + " métro n ", mesure) mais d’autres termes
sont aussi d’usage dans cette nouvelle activité professionnelle : scannage 3D, 3D
laser scanning, Lidar terrestre (light détection and ranging), laserométrie, laser 3D,
etc.
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6. Le lidar
Le LIDAR ou "Lights Détection And Ranging" est construit sur le principe de
l'émission d'un signal lumineux discret ou c ontinu vert, ultraviolet ou infrarouge et
de la réception de sa portion réfléchie par tout objet intercepté, dans le chemin
inverse. Le LIDAR est donc à la fois un instrument et une méthode de détection
fondée sur les propriétés géométriques des objets à étudier. Il appert que,
généralement, la source émettrice d'un LIDAR est un laser, un LIDAR monté sur
plate-forme aéroportée -incluant un hélicoptère- est souvent appelé un ALS
("Airborne Laser System").
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d. Triangulation
Un réseau de points connus en planimétrie est nécessaire pour effectuer la majorité
des travaux de topographie. Ce n’est pas indispensable dans le cas où le travail sera
effectué en repère local (petits chantiers ou chantiers isoles).la direction d’affaires
géographique au Liban a implantée un réseau de points dits “géodésiques” sur
laquelle on distingue la triangulation du 1 er , 2nd ,3eme et 4eme ordre.
La détermination des points géodésiques s’est faite par la méthode de triangulation,
qui consiste à mesurer les angles et quelques cotes des triangles accoles dont les
sommets sont les points géodésiques.
La triangulation géodésique consiste à déterminer les coordonnées X et Y des
sommets de triangles accoles dont on mesure les angles et un certain nombre de
côtes. L’orientation d’une base est faite par détermination astronomique.
quadrilatères
Figure 8.2: chaine de
Les calculs sont effectués dans le système de projection choisit. Le progrès de
l’informatique ont permis d’obtenir des résultants beaucoup plus homogènes.
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Une lunette stadimetrique est une lunette de théodolite dont le réticule porte deux
traits stadimetriques, symetriques par rapport au grand trait horizontal de l’axe
optique, qui déterminant deux lignes de vise formant dans le plan vertical l’angle
stadimetrique A.
L’axe optique et les deux rayons stadimetriques du théodolite T en station au pont
S rencontrent un règle graduée, appelée mire, maintenue vertical au point M.
La lecture estimée au trait niveleur vaut donc H=0,654m.
l 1=0,590m, l 2=0,717m
Si l’axe optique du théodolite est horizontal donc perpendiculaire à la mire
la distance horizontale Dh= 100( l 2-l 1) soit 12,7m avec les valeurs précédents.
Avec un axe optique d’inclinaison i, ou un angle zénithal V
La distance horizontale est donc Dh= 100( l 2-l 1) cos2i ou Dh= 100( l 2-l 1) sin2V.
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Pour mesurer une distance Di entre deux points au moyen d’un IMEL, l’operateur
stationne l’appareil sur le point A et on place un miroir a la vertical du point B.
Un train d’ondes est envoyé de A' vers B': c’est son retour au point A ' après
réflexion sur le miroir B/ qui permet de calculer la distance Di parcourue.
La mesure de la distance sera faite par la mesure du déphasage de l’onde retour par
rapport à l’onde aller. Le signal émis par l’IMEL est une série d’ondes sinusoïdales
dont la longueur d’onde λ correspond à la distance rectiligne parcourue par l’onde
pendant un temps T appelé période.
Le réflecteur ou prisme
C’est une diapositive inerte dont la nature dépend de la puissance énergétique à
renvoyer.
Un rayon lumineux subit trois réflexions successive avant d’émerger parallèle a
lui-même dans la position symétrique.
Le réflecteur est maintenu manuellement au vertical de point à l’aide d’une canne
télescopique munie d’une nivelle sphérique pour assurer la verticalité.
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a. Reconnaissance
La première étape pour commencer un Project c’est la reconnaissance ou la
situation du Project se fait sur les cartes 20 millièmes faites par la direction des
affaires géographique de l’armée Libanaise.
Si la ville ou le village ou se situe le Project est à l’entourage de la capitale de
Beyrouth on peut trouver des plans cadastral finale dans le bureau fonciers de l’état
dans ce cas les travaux topographique sont très faciles à appliquées à cause de
coordonnes trouvées sur les plans cadastraux.
Tandis que dans les villages loin de la capitale les travaux topographique pour
l’établissement des plan cadastral ne sont pas encore accomplis à cause de la guerre
et les problèmes politiques, dans ce cas on a recourt à des croquis trouves dans le
bureau de l’état qui nous aides a trouvé les marques limites sur terrain faites par les
ancienne brigades topographiques, ce cas rend les travaux topographiques
difficiles.
b. Project
Les Project topographies sont:
Le relevé, l’implantation
Le relève c’est l’opération de collection des donnes, ces données sont en forme de
coordonnes (x,y,z) ou angles et distances. Parfois le relève doit être munie d’un
croquis qui rend le travail ou le dessin de la carte plus facile, par exemple relève
des façades des bâtiments et des ouvrages. La relève ayant pour but la cartographie.
L’implantation c’est l’opération de distribution des donnes, par exemple
l’implantation des bâtiments ou de limites parcellaires. Cette opération est faites à
partir des coordonnes ou de distances et angles. L’implantation a pour but la
matriculassions sur terrain.
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Bibliographie
S.Milles, J.Lagofun. Topographie et topométrie modernes. Tome 1- Technique de
mesure et de représentation.№ 2287, 1999, 540 p.
http://www.lasergrammetrie.net
http://www.cms.fr
http://aftopo.club.fr/
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