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 Selon Boolbey , les étapes de détachement  Syndrome de Gélineau = Narcolepsie : Maladie profond ou paradoxal).

Les parasomnies sont


- détresse , désespoir , détachement neurologique rare caractérisée par une subdivisés à deux groupements :
 Etapes d’attachement : somnolence diurne excessive associée à des - Les parasomnies qui surviennent pendant le
- pré attachement => formation => attachement envies incontrôlables de sommeil et une sommeil lent profond ne laissent que peu de
=> relation réciproque cataplexie (perte soudaine du tonus musculaire souvenirs au dormeur. Il s’agit du somnambulisme,
 Selon Piaget : pendant l'éveil, souvent déclenchée par des du bruxisme, de la somniloquie, des terreurs
- développement cognitif : émotions agréables). nocturnes, de l’énurésie, des éveils confusionnels
Sensorimoteur(assimilation et accomodation) ,  Narcolepsie : parasomnie du sommeil lents et du syndrome de Kleine-Levin.
préopératoire, opératoire concret, opératoire  Cauchemars :au cours du sommeil paradoxale - Les parasomnies qui surviennent pendant le
formelles et conserve le souvenir de la scène révée sommeil paradoxal peuvent s’accompagner de
 Selon Pitz : hospitalisme : sorte de dépression  Chez l’adulte, les terreurs nocturnes sont rares, réactions psychologiques (peur) et de stress. Elles
de bébé alors qu’elles sont habituelles chez l’enfant de 3 comprennent les rêves ou les cauchemars, les
 Mise en observation d’office : max 6mois , par à 6 ans. On retrouve presque toujours des paralysies du sommeil, les hallucinations, les
le WALI antécédents familiaux de parasomnies. troubles du comportement en sommeil paradoxal
 Vaginisme : spasme involontaire , répétés , du  Les terreurs nocturnes sont souvent (désordres dissociatifs, troubles de l’alimentation).
1/3 inf du vagin déclenchées par une interruption du sommeil  Insomnie primaire chronique :
 Paraphilie : sexualité déviante (par des apnées par exemple), mais aussi par N’est pas due à une affection toxique ou médico-
Sorte d’exhibitionnisme, des fantaisies l’abus d’alcool, le manque de sommeil ou la psychiatrique
sexuelles excitante fièvre. Difficulté de maintien de sommeil avec fatigabilité
 Devant un dysfonctionnement erctil , ne  parasomnies survenant pendant le sommeil diurne, souffrance , altération social
commence pas d’emblée le TRT paradoxal  Over dose :Coma , myosis serré, collapsus
Une nuit de sommeil comporte 4 à 6 cycles, chacun  Le sommeil pathologique peut être défini cardioVx, trbl respiratoire (pas d’agitation)
d'une durée d'environ 90 minutes. comme toute perturbation de la durée ou de la  BNZ et hypnotique(débuté et arrêté en 4s) :
◼ Dans un cycle, les critères électro- qualité du sommeil. Les troubles du sommeil - insomnie occasionnelle=> 3-5 j
encéphalographiques , électro-myographiques et sont de deux sortes: - inso transitoire =>2-3semaines
électro-oculographiques objectivent 5 stades : - Les dysomnies : troubles perturbants la qualité ou - anxiété=> 8-12semaines max
- stade I et II : sommeil léger (50 % de la nuit). la durée de sommeil. Ce sont des insomnies,  Cannabis est un psychodysleptique
- stade III et IV : sommeil lent profond (25 % de la l’hypersomnie, narcolepsie ...  Sg d’alerte de l’autisme :
nuit). - stade V : sommeil paradoxal SP ou REM - Les parasomnies : caractérisées par des - absence de Mots à 18mois
(Rapid Eye Movements 25 % de la nuit) . comportements anormaux ou des phénomènes - pas de gestes sociaux à 12mois
◼ Au cours de la nuit ; le sommeil lent profond physiologiques observés au cours du sommeil . Il y - perte de compétence social qlq soit l’age
prédomine en début de nuit, le sommeil paradoxal a alors activation de certains systèmes
en fin de nuit. Cette configuration évolue physiologiques à des moments inappropriés du
également avec l'âge. cycle veille-sommeil (pendant le sommeil lent
 TRT d’attaque de panique : Le traitement  Perplexie anxieuse chez le confus : c un
pharmacologique principal repose sur moment de lucidité, gd angoisse, peur de ce
l’utilisation des antidépresseurs avec en qu’il va lui arrivé , effort pour s’en sortir
première intention les inhibiteurs sélectifs de  Somatisation : absence d’explication par un trbl
la recapture de la sérotonine (ISRS) somatique , c des plaintes exprimer de facon
 Les thérapies cognitivo-comportementales exagérée
(TCC) doivent être privilégiées chez l’adulte  Délirium = confusion ≠ BDA
comme chez l’enfant et l’adolescent, ayant  Frequent et grave chez le sujet âgé
largement montré leur intérêt dans ce trouble.  Les troubles mentaux organiques sont le 1er
Les techniques les plus utiles sont centrées sur diagnostic à évoquer
l’exposition et la désensibilisation aux  Troubles délirant : c pas une schizophrénie, >
sensations physiques des AP et aux situations 1mois , fct globale est +/- conservé, ce n’est ni
 La répétition des crises de panique entraîne redoutées en cas d’agoraphobie associée. La somatique ni additif
l’apparition d’une anxiété anticipatoire. place des méthodes de relaxation est  Délire d'érotomanie : Femme ++
 Cette anxiété se manifeste par une anticipation également importante Illusion délirante d’être aimée, généralement
permanente de la survenue d’une AP : le  PEC et surveillance à long terme par un personnage jouissant d’un prestige.
patient vit dans la crainte de voir se reproduire  Troubles bipolaire I : Évolution en 3 phases : espoir, dépit puis
les AP de manière inopinée (puisqu’elles - maniaque et dépressifs rancune (possible passage à l’acte
peuvent survenir effectivement de manière - parfois que maniaque hétéroagressif)
imprévisible). On parle de la « peur d’avoir peur TRT : olanzépine , carbamazépine , sels de  Délire de jalousie : Homme 40 ans alcoolique ++
». Se développent alors des préoccupations lithium +
concernant les conséquences possibles de l’AP,  Smptm > 15j => trbl dépressifs Conviction inébranlable d'être trompé
comme la peur de mourir ou de devenir fou, qui  Episode dépressif :
peuvent modifier le comportement du patient, - anhédonie, aboulle, clinophille
et aboutir à des complications (isolement social, - pas de bradykinésie
changement des habitudes de vie, etc.). Y a trbl cognitifs, trbl de concentration
 Finalement, un mécanisme de conditionnement  Aprosexie : ↓ de la capacité d’attention
interne se met en place : tous les symptômes  Sd confusionnel : etat aigue, transitoire,
d’une potentielle AP débutante, comme des réversible
palpitations ou des sensations vertigineuses,  L’etat confusionnel n’a pas de relation avce la
deviennent angoissants et peuvent déclencher lumière
réellement une AP complète.

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