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1 Chroniques 29:11

Concept des Versets

A toi, Éternel, la grandeur, la force et la magnificence, l'éternité et la gloire, car tout ce qui est au ciel et
sur la terre t'appartient; à toi, Éternel, le règne, car tu t'élèves souverainement au-dessus de tout!

Ésaïe 45:23

Concept des Versets

Je le jure par moi-même, La vérité sort de ma bouche et ma parole ne sera point révoquée: Tout genou
fléchira devant moi, Toute langue jurera par moi.

Daniel 4:34-35

Après le temps marqué, moi, Nebucadnetsar, je levai les yeux vers le ciel, et la raison me revint. J'ai béni
le Très Haut, j'ai loué et glorifié celui qui vit éternellement, celui dont la domination est une domination
éternelle, et dont le règne subsiste de génération en génération. Tous les habitants de la terre ne sont à
ses yeux que néant: il agit comme il lui plaît avec l'armée des cieux et avec les habitants de la terre, et il
n'y a personne qui résiste à sa main et qui lui dise: Que fais-tu?

Romains 9:14-21

Que dirons-nous donc? Y a-t-il en Dieu de l'injustice? Loin de là! Car il dit à Moïse: Je ferai miséricorde à
qui je fais miséricorde, et j'aurai compassion de qui j'ai compassion. Ainsi donc, cela ne dépend ni de
celui qui veut, ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde.lire plus.

1 Corinthiens 15:24-28

Ensuite viendra la fin, quand il remettra le royaume à celui qui est Dieu et Père, après avoir détruit toute
domination, toute autorité et toute puissance. Car il faut qu'il règne jusqu'à ce qu'il ait mis tous les
ennemis sous ses pieds. Le dernier ennemi qui sera détruit, c'est la mort.lire plus.

1 Corinthiens 11:3

Concept des Versets

Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l'homme est le chef de la
femme, et que Dieu est le chef de Christ.
Philippiens 2:6

Concept des Versets

lequel, existant en forme de Dieu, n'a point regardé comme une proie à arracher d'être égal avec Dieu,

Jean 6:38

Concept des Versets

car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé.

Matthieu 26:39

Concept des Versets

Puis, ayant fait quelques pas en avant, il se jeta sur sa face, et pria ainsi: Mon Père, s'il est possible, que
cette coupe s'éloigne de moi! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux.

Marc 14:36

Concept des Versets

Il disait: Abba, Père, toutes choses te sont possibles, éloigne de moi cette coupe! Toutefois, non pas ce
que je veux, mais ce que tu veux.

Luc 22:42

Concept des Versets

disant: Père, si tu voulais éloigner de moi cette coupe! Toutefois, que ma volonté ne se fasse pas, mais la
tienne.

Philippiens 2:6-8
lequel, existant en forme de Dieu, n'a point regardé comme une proie à arracher d'être égal avec Dieu,
mais s'est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes;
et ayant paru comme un simple homme, il s'est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort,
même jusqu'à la mort de la croix.

Hébreux 5:7-8

C'est lui qui, dans les jours de sa chair, ayant présenté avec de grands cris et avec larmes des prières et
des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant été exaucé à cause de sa piété, a
appris, bien qu'il fût Fils, l'obéissance par les choses qu'il a souffertes,

Colossiens 1:15-17

Il est l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création. Car en lui ont été créées toutes les
choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations,
autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui.

Hébreux 1:2-4

Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu'il a établi héritier de toutes choses, par lequel
il a aussi créé le monde, et qui, étant le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne, et soutenant
toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s'est assis à la droite de la
majesté divine dans les lieux très hauts, devenu d'autant supérieur aux anges qu'il a hérité d'un nom
plus excellent que le leur.

Éphésiens 1:20-22

Il l'a déployée en Christ, en le ressuscitant des morts, et en le faisant asseoir à sa droite dans les lieux
célestes, au-dessus de toute domination, de toute autorité, de toute puissance, de toute dignité, et de
tout nom qui se peut nommer, non seulement dans le siècle présent, mais encore dans le siècle à venir.
Il a tout mis sous ses pieds, et il l'a donné pour chef suprême à l'Église,

Colossiens 1:15-18

Il est l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création. Car en lui ont été créées toutes les
choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations,
autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en
lui.lire plus.

Colossiens 2:10

Concept des Versets

Vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute domination et de toute autorité.

Hébreux 2:8

Concept des Versets

Tu as mis toutes choses sous ses pieds. En effet, en lui soumettant toutes choses, Dieu n'a rien laissé qui
ne lui fût soumis. Cependant, nous ne voyons pas encore maintenant que toutes choses lui soient
soumises.

Éphésiens 4:15-16

mais que, professant la vérité dans la charité, nous croissions à tous égards en celui qui est le chef,
Christ. C'est de lui, et grâce à tous les liens de son assistance, que tout le corps, bien coordonné et
formant un solide assemblage, tire son accroissement selon la force qui convient à chacune de ses
parties, et s'édifie lui-même dans la charité.

Éphésiens 5:23

Concept des Versets

car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le
Sauveur.

Colossiens 1:18

Concept des Versets

Il est la tête du corps de l'Église; il est le commencement, le premier-né d'entre les morts, afin d'être en
tout le premier.

Colossiens 2:19
Concept des Versets

sans s'attacher au chef, dont tout le corps, assisté et solidement assemblé par des jointures et des liens,
tire l'accroissement que Dieu donne.

Éphésiens 1:9-10

nous faisant connaître le mystère de sa volonté, selon le bienveillant dessein qu'il avait formé en lui-
même, pour le mettre à exécution lorsque les temps seraient accomplis, de réunir toutes choses en
Christ, celles qui sont dans les cieux et celles qui sont sur la terre.

1 Corinthiens 15:25-27

Car il faut qu'il règne jusqu'à ce qu'il ait mis tous les ennemis sous ses pieds. Le dernier ennemi qui sera
détruit, c'est la mort. Dieu, en effet, a tout mis sous ses pieds. Mais lorsqu'il dit que tout lui a été soumis,
il est évident que celui qui lui a soumis toutes choses est excepté.

Apocalypse 19:11-16

Puis je vis le ciel ouvert, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait s'appelle Fidèle et Véritable,
et il juge et combat avec justice. Ses yeux étaient comme une flamme de feu; sur sa tête étaient
plusieurs diadèmes; il avait un nom écrit, que personne ne connaît, si ce n'est lui-même; et il était
revêtu d'un vêtement teint de sang. Son nom est la Parole de Dieu.lire plus.

Genèse 1:28

Concept des Versets

Dieu les bénit, et Dieu leur dit: Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l'assujettissez; et
dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre.

Psaumes 8:1-9

Éternel, notre Seigneur! Que ton nom est magnifique sur toute la terre! Ta majesté s'élève au-dessus
des cieux. Par la bouche des enfants et de ceux qui sont à la mamelle Tu as fondé ta gloire, pour
confondre tes adversaires, Pour imposer silence à l'ennemi et au vindicatif. Quand je contemple les
cieux, ouvrage de tes mains, La lune et les étoiles que tu as créées:lire plus.
Hébreux 2:5-8

En effet, ce n'est pas à des anges que Dieu a soumis le monde à venir dont nous parlons. Or quelqu'un a
rendu quelque part ce témoignage: Qu'est-ce que l'homme, pour que tu te souviennes de lui, Ou le fils
de l'homme, pour que tu prennes soin de lui? Tu l'as abaissé pour un peu de temps au-dessous des
anges, Tu l'as couronné de gloire et d'honneur,lire plus.

Psaumes 18:43

Concept des Versets

Tu me délivres des dissensions du peuple; Tu me mets à la tête des nations; Un peuple que je ne
connaissais pas m'est asservi.

1 Samuel 15:17

Concept des Versets

Samuel dit: Lorsque tu étais petit à tes yeux, n'es-tu pas devenu le chef des tribus d'Israël, et l'Éternel ne
t'a-t-il pas oint pour que tu sois roi sur Israël?

Ésaïe 7:8-9

Car Damas est la tête de la Syrie, Et Retsin est la tête de Damas. (Encore soixante-cinq ans, Éphraïm ne
sera plus un peuple.) La Samarie est la tête d'Éphraïm, Et le fils de Remalia est la tête de la Samarie. Si
vous ne croyez pas, Vous ne subsisterez pas.

Daniel 2:31-38

O roi, tu regardais, et tu voyais une grande statue; cette statue était immense, et d'une splendeur
extraordinaire; elle était debout devant toi, et son aspect était terrible. La tête de cette statue était d'or
pur; sa poitrine et ses bras étaient d'argent; son ventre et ses cuisses étaient d'airain; ses jambes, de fer;
ses pieds, en partie de fer et en partie d'argile.lire plus.

Romains 13:1-6

Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures; car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de
Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu. C'est pourquoi celui qui s'oppose à
l'autorité résiste à l'ordre que Dieu a établi, et ceux qui résistent attireront une condamnation sur eux-
mêmes. Ce n'est pas pour une bonne action, c'est pour une mauvaise, que les magistrats sont à
redouter. Veux-tu ne pas craindre l'autorité? Fais-le bien, et tu auras son approbation.lire plus.
1 Pierre 2:13-14

Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute autorité établie parmi les hommes, soit au roi comme
souverain, soit aux gouverneurs comme envoyés par lui pour punir les malfaiteurs et pour approuver les
gens de bien.

Josué 22:13-14

Les enfants d'Israël envoyèrent auprès des fils de Ruben, des fils de Gad et de la demi-tribu de Manassé,
au pays de Galaad, Phinées, fils du sacrificateur Éléazar, et dix princes avec lui, un prince par maison
paternelle pour chacune des tribus d'Israël; tous étaient chefs de maison paternelle parmi les milliers
d'Israël.

Nombres 1:1-16

L'Éternel parla à Moïse dans le désert de Sinaï, dans la tente d'assignation, le premier jour du second
mois, la seconde année après leur sortie du pays d'Égypte. Il dit: Faites le dénombrement de toute
l'assemblée des enfants d'Israël, selon leurs familles, selon les maisons de leurs pères, en comptant par
tête les noms de tous les mâles, depuis l'âge de vingt ans et au-dessus, tous ceux d'Israël en état de
porter les armes; vous en ferez le dénombrement selon leurs divisions, toi et Aaron.lire plus.

1 Chroniques 5:15

Achi, fils d'Abdiel, fils de Guni, était chef des maisons de leurs pères.

Éphésiens 5:22-24

Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur; car le mari est le chef de la femme, comme
Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. Or, de même que l'Église est
soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses.

1 Corinthiens 11:3-16

Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l'homme est le chef de la
femme, et que Dieu est le chef de Christ. Tout homme qui prie ou qui prophétise, la tête couverte,
déshonore son chef. Toute femme, au contraire, qui prie ou qui prophétise, la tête non voilée,
déshonore son chef: c'est comme si elle était rasée.lire plus.
Colossiens 3:18

Concept des Versets

Femmes, soyez soumises à vos maris, comme il convient dans le Seigneur.

1 Pierre 3:1-6

Femmes, soyez de mêmes soumises à vos maris, afin que, si quelques-uns n'obéissent point à la parole,
ils soient gagnés sans parole par la conduite de leurs femmes, en voyant votre manière de vivre chaste
et réservée. Ayez, non cette parure extérieure qui consiste dans les cheveux tressés, les ornements d'or,
ou les habits qu'on revêt,lire plus.

1 Thessaloniciens 5:12

Concept des Versets

Nous vous prions, frères, d'avoir de la considération pour ceux qui travaillent parmi vous, qui vous
dirigent dans le Seigneur, et qui vous exhortent.

1 Samuel 24:1-7

Lorsque Saül fut revenu de la poursuite des Philistins, on vint lui dire: Voici, David est dans le désert d'En
Guédi. Saül prit trois mille hommes d'élite sur tout Israël, et il alla chercher David et ses gens jusque sur
les rochers des boucs sauvages. Il arriva à des parcs de brebis, qui étaient près du chemin; et là se
trouvait une caverne, où il entra pour se couvrir les pieds. David et ses gens étaient au fond de la
caverne.lire plus.

Ésaïe 3:1-7

Le Seigneur, l'Éternel des armées, Va ôter de Jérusalem et de Juda Tout appui et toute ressource, Toute
ressource de pain Et toute ressource d'eau, Le héros et l'homme de guerre, Le juge et le prophète, le
devin et l'ancien, Le chef de cinquante et le magistrat, Le conseiller, l'artisan distingué et l'habile
enchanteur.lire plus.

Hébreux 13:17

Concept des Versets

Obéissez à vos conducteurs et ayez pour eux de la déférence, car ils veillent sur vos âmes comme devant
en rendre compte; qu'il en soit ainsi, afin qu'ils le fassent avec joie, et non en gémissant, ce qui vous ne
serait d'aucun avantage.
1 Pierre 5:1-3

Voici les exhortations que j'adresse aux anciens qui sont parmi vous, moi ancien comme eux, témoin des
souffrances de Christ, et participant de la gloire qui doit être manifestée: Paissez le troupeau de Dieu qui
est sous votre garde, non par contrainte, mais volontairement, selon Dieu; non pour un gain sordide,
mais avec dévouement; non comme dominant sur ceux qui vous sont échus en partage, mais en étant
les modèles du troupeau.

Éphésiens 5:21

Concept des Versets

vous soumettant les uns aux autres dans la crainte de Christ.

Topics on Autorités

Autorités Civiles

Jean 19:11

Concept des Versets

Jésus répondit: Tu n'aurais sur moi aucun pouvoir, s'il ne t'avait été donné d'en haut. C'est pourquoi
celui qui me livre à toi commet un plus grand péché.

Obéissance, aux Autorités Humains

Romains 13:1-7

Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures; car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de
Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu.

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Psaumes 68:20

Concept des Versets

Dieu est pour nous le Dieu des délivrances, Et l'Éternel, le Seigneur, peut nous garantir de la mort.

Psaumes 32:7

Concept des Versets

Tu es un asile pour moi, tu me garantis de la détresse, Tu m'entoures de chants de délivrance. -Pause.

Abdias 1:17

Concept des Versets

Mais le salut sera sur la montagne de Sion, elle sera sainte, Et la maison de Jacob reprendra ses
possessions.

Luc 21:28

Concept des Versets

Quand ces choses commenceront à arriver, redressez-vous et levez vos têtes, parce que votre délivrance
approche.

Psaumes 78:22

Concept des Versets

Parce qu'ils ne crurent pas en Dieu, Parce qu'ils n'eurent pas confiance dans son secours.

2 Chroniques 20:17

Concept des Versets


Vous n'aurez point à combattre en cette affaire: présentez-vous, tenez-vous là, et vous verrez la
délivrance que l'Éternel vous accordera. Juda et Jérusalem, ne craignez point et ne vous effrayez point,
demain, sortez à leur rencontre, et l'Éternel sera avec vous!

Philippiens 1:19

Concept des Versets

Car je sais que cela tournera à mon salut, grâce à vos prières et à l'assistance de l'Esprit de Jésus Christ,

Psaumes 44:4

Concept des Versets

O Dieu! tu es mon roi: Ordonne la délivrance de Jacob!

Psaumes 74:12

Concept des Versets

Dieu est mon roi dès les temps anciens, Lui qui opère des délivrances au milieu de la terre.

Ésaïe 26:18

Concept des Versets

Nous avons conçu, nous avons éprouvé des douleurs, Et, quand nous enfantons, ce n'est que du vent: Le
pays n'est pas sauvé, Et ses habitants ne sont pas nés.

Psaumes 35:3

Concept des Versets

Brandis la lance et le javelot contre mes persécuteurs! Dis à mon âme: Je suis ton salut!

Psaumes 3:8

Concept des Versets


Le salut est auprès de l'Éternel: Que ta bénédiction soit sur ton peuple! -Pause.

2 Samuel 22:1

Concept des Versets

David adressa à l'Éternel les paroles de ce cantique, lorsque l'Éternel l'eut délivré de la main de tous ses
ennemis et de la main de Saül.

Actes 7:25

Concept des Versets

Il pensait que ses frères comprendraient que Dieu leur accordait la délivrance par sa main; mais ils ne
comprirent pas.

2 Rois 13:17

Concept des Versets

et il dit: Ouvre la fenêtre à l'orient. Et il l'ouvrit. Élisée dit: Tire. Et il tira. Élisée dit: C'est une flèche de
délivrance de la part de l'Éternel, une flèche de délivrance contre les Syriens; tu battras les Syriens à
Aphek jusqu'à leur extermination.

Psaumes 108:12

Concept des Versets

Donne-nous du secours contre la détresse! Le secours de l'homme n'est que vanité.

Psaumes 72:4

Concept des Versets

Il fera droit aux malheureux du peuple, Il sauvera les enfants du pauvre, Et il écrasera l'oppresseur.

1 Samuel 2:1
Concept des Versets

Anne pria, et dit: Mon coeur se réjouit en l'Éternel, Ma force a été relevée par l'Éternel; Ma bouche s'est
ouverte contre mes ennemis, Car je me réjouis de ton secours.

Psaumes 33:17

Concept des Versets

Le cheval est impuissant pour assurer le salut, Et toute sa vigueur ne donne pas la délivrance.

Psaumes 77:11

Concept des Versets

Je rappellerai les oeuvres de l'Éternel, Car je me souviens de tes merveilles d'autrefois;

Genèse 45:7

Concept des Versets

Dieu m'a envoyé devant vous pour vous faire subsister dans le pays, et pour vous faire vivre par une
grande délivrance.

Job 13:16

Concept des Versets

Cela même peut servir à mon salut, Car un impie n'ose paraître en sa présence.

Proverbes 21:31

Concept des Versets

Le cheval est équipé pour le jour de la bataille, Mais la délivrance appartient à l'Éternel.

Psaumes 3:2
Concept des Versets

Combien qui disent à mon sujet: Plus de salut pour lui auprès de Dieu! -Pause.

Psaumes 66:8

Concept des Versets

Peuples, bénissez notre Dieu, Faites retentir sa louange!

Jonas 2:9

Concept des Versets

Pour moi, je t'offrirai des sacrifices avec un cri d'actions de grâces, J'accomplirai les voeux que j'ai faits:
Le salut vient de l'Éternel.

2 Thessaloniciens 3:2

Concept des Versets

et afin que nous soyons délivrés des hommes méchants et pervers; car tous n'ont pas la foi.

Psaumes 60:11

Concept des Versets

Donne-nous du secours contre la détresse! Le secours de l'homme n'est que vanité.

Psaumes 14:7

Concept des Versets

Oh! qui fera partir de Sion la délivrance d'Israël? Quand l'Éternel ramènera les captifs de son peuple,
Jacob sera dans l'allégresse, Israël se réjouira.

1 Samuel 11:9
Concept des Versets

Ils dirent aux messagers qui étaient venus: Vous parlerez ainsi aux habitants de Jabès en Galaad: Demain
vous aurez du secours, quand le soleil sera dans sa chaleur. Les messagers portèrent cette nouvelle à
ceux de Jabès, qui furent remplis de joie;

Esther 4:14

Concept des Versets

car, si tu te tais maintenant, le secours et la délivrance surgiront d'autre part pour les Juifs, et toi et la
maison de ton père vous périrez. Et qui sait si ce n'est pas pour un temps comme celui-ci que tu es
parvenue à la royauté?

Hébreux 11:35

Concept des Versets

Des femmes recouvrèrent leurs morts par la résurrection; d'autres furent livrés aux tourments, et
n'acceptèrent point de délivrance, afin d'obtenir une meilleure résurrection;

Exode 15:1

Concept des Versets

Alors Moïse et les enfants d'Israël chantèrent ce cantique à l'Éternel. Ils dirent: Je chanterai à l'Éternel,
car il a fait éclater sa gloire; Il a précipité dans la mer le cheval et son cavalier.

Psaumes 42:8

Concept des Versets

Le jour, l'Éternel m'accordait sa grâce; La nuit, je chantais ses louanges, J'adressais une prière au Dieu de
ma vie.

Job 6:13

Concept des Versets


Ne suis-je pas sans ressource, Et le salut n'est-il pas loin de moi?

Jérémie 15:21

Concept des Versets

Je te délivrerai de la main des méchants, Je te sauverai de la main des violents.

Ésaïe 48:22

Concept des Versets

Il n'y a point de paix pour les méchants, dit l'Éternel.

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La Cécité

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Les Interjections Des Psaumes

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Prière de délivrance : Psaume 143

Béni soit le Seigneur, mon rocher ! + Il exerce mes mains pour le combat, * il

m'entraîne à la bataille.

Il est mon allié, ma forteresse, ma citadelle, celui qui me libère ; il est le

bouclier qui m'abrite, il me donne pouvoir sur mon peuple.

Qu'est-ce que l'homme, pour que tu le connaisses, Seigneur, le fils d'un

homme, pour que tu comptes avec lui ?

L'homme est semblable à un souffle, ses jours sont une ombre qui passe.

Seigneur, incline les cieux et descends ; touche les montagnes : qu'elles

brûlent!

Décoche des éclairs de tous côtés, tire des flèches et répands la terreur.

Des hauteurs, tends-moi la main, délivre-moi, * sauve-moi du gouffre des eaux,

de l'emprise d'un peuple étranger :


il dit des paroles mensongères, sa main est une main parjure.

Pour toi, je chanterai un chant nouveau, pour toi, je jouerai sur la harpe à dix

cordes,

pour toi qui donnes aux rois la victoire et sauves de l'épée meurtrière David,

ton serviteur.

Délivre-moi, sauve-moi de l'emprise d'un peuple étranger : il dit des paroles

mensongères, sa main est une main parjure.

Que nos fils soient pareils à des plants bien venus dès leur jeune âge ; * nos

filles, pareilles à des colonnes sculptées pour un palais !

Nos greniers, remplis, débordants, regorgeront de biens ; * les troupeaux, par

milliers, par myriades, empliront nos campagnes !

Nos vassaux nous resteront soumis, plus de défaites ; * plus de brèches dans

nos murs, plus d'alertes sur nos places !

Heureux le peuple ainsi comblé ! Heureux le peuple qui a pour Dieu « Le

Seigneur !
accompagneront ceux qui auront cru: en Mon nom, ils chasseront des démons, ils parleront des langues
nouvelles, ils saisiront des serpents venimeux, ou s’il leur arrive de boire un poison mortel, cela ne leur
causera aucun mal. Ils imposeront les mains à des malades et ceux-ci seront guéris.»

Je voudrais m’attarder sur un des points qui n’est pas optionnel: nous avons cette autorité, celle de
prendre position et par choix et par la foi, sous le sang de Jesus, en Son nom, de prendre autorité et de
se débarrasser et débarrasser les autres de ces esprits méchants, tourmenteurs et démoniaques.

Cet esprit est aussi un esprit qui se manifeste dans la peur… L’angoisse, l’amertume. Vous devenez
dépendants: alcool, cigarette, pornographie, drogues, médicaments. Il y a l’aveuglement spirituel… À
moins que la puissance de cet esprit ne soit brisé dans leur vie, les personnes qui sont influencées par lui
sont incapables de recevoir la vérité spirituelle.

10. L’esprit d’orgueil (Proverbes 16 : 18-19).

L’esprit d’orgueil causera la moquerie, le mépris des autres, l’entêtement, le commérage, des querelles
et des guerres, la colère.

L’orgueil n’est pas la fierté. L’orgueil déprécie les autres et nous place au-dessus des autre. La fierté ne
se compare à personne et ne dénigre personne. Par exemple, nous sommes fiers de notre Père Céleste,
nous sommes fiers d’être appelés Ses enfants.

11. Esprit D’antichrist (1 Jean 4 :3).

L’esprit qui nie la naissance vierge. Nie la déité de Christ… Cet esprit nie que Jésus est mort sur une
croix, cet esprit nie la résurrection. »

12. L’esprit de lourdeur (Isaïe 61 :3).

Cet esprit de lourdeur porte avec lui le chagrin, le désespoir, le rejet, l’apitoiement sur soi-même… Mais
parfois même la gloutonnerie. Une vie de chagrin continuel… Une vie de désespoir continuelle.
13. L’esprit de jalousie (Nombres 5 :14).

Si vous trouvez l’esprit de jalousie, vous trouverez l’esprit de meurtre, l’esprit de colère, l’esprit de rage.

14. L’esprit d’assoupissement/sommeil (Romains 11 :8).

Celui qui est animé de cet esprit s’endort constamment dans l’église, pendant la lecture de la Bible, dans
les moments de prière. Cet esprit empêche de voir et entendre la Parole de Dieu, d’être en communion
avec Lui ou de prier.

Il y a une CONDITION pour prendre AUTORITÉ sur ces esprits.

Bon, mais il y a un bémol dans l’affaire qui s’appelle TA CONDITION pour agir dans cette dimension. Le
Seigneur précise que cela accompagne ceux qui auront cru, et Dieu est fidèle.

Nous devons toujours être conscients de: «Certes, bien des êtres célestes ou terrestres sont considérés
comme des divinités, de sorte qu’il y a de nombreux dieux ou seigneurs. Mais pour ce qui nous
concerne, il n’y a qu’un seul Dieu: le Père, de qui toute chose vient, et pour qui nous vivons, et il n’y a
qu’un seul Seigneur: Jésus-Christ, par qui tout existe et par qui nous sommes.»

«Tu crois qu’il y a un seul Dieu ? C’est bien. Mais les démons aussi le croient, et ils tremblent.»

«On allait jusqu’à prendre des mouchoirs ou du linge qu’il avait touchés pour les appliquer aux malades.
Ceux-ci guérissaient et les mauvais esprits s’enfuyaient. Quelques Juifs, qui allaient de lieu en lieu pour
chasser les démons, voulurent alors invoquer, eux aussi, le nom du Seigneur Jésus sur ceux qui étaient
sous l’emprise d’esprits mauvais. – Par le nom de ce Jésus que Paul annonce, disaient-ils, je vous
ordonne de sortir. Ceux qui agissaient ainsi étaient les sept fils d’un certain Scéva, un chef des prêtres
juifs. Mais l’esprit mauvais leur répondit : Jésus ? Je le connais. Paul, je sais qui c’est. Mais vous, qui êtes-
vous ? Là-dessus, l’homme qui avait en lui le mauvais esprit se jeta sur eux, les maîtrisa et les malmena
avec une telle violence qu’ils s’enfuirent de la maison, les vêtements en lambeaux, et couverts de
blessures. Cet incident fut connu de tous les habitants d’Ephèse. Juifs et Grecs furent tous saisis de
crainte, et le nom du Seigneur Jésus fut l’objet d’un grand respect.»
Ce passage nous indique très clairement que nous devons avoir une réelle vie de prière et de
communion avec le Seigneur.

Un conseil ( si je peux), pour être ferme dans les ares de l’esprit tel que le combat spirituel ou la
délivrance, nombres sont ceux qui oublient ces points vitaux:

– La sanctification.

– Une vie de consécration et de jeûne.

– Connaître la Parole.

– Avoir une relation profonde et intime avec la Trinité.

– Cultiver la confiance en soi et la foi en Dieu.

Autorité » est un terme provenant du nom latin auctoritas.

L’auctoritas romaine était l’apanage du Sénat, qui n’avait pas de pouvoir décisionnaire ni de pouvoir
exécutif, contrairement à la potestas (pouvoir), qui imposait la force au peuple.« Potestas in populo,
auctoritas in senatu », dit d’ailleurs l’adage populaire depuis Cicéron. L’auctoritas était donc la qualité et
la légitimité des Anciens, qui l’avaient eux-mêmes obtenue, par héritage et transmission, de la part de
ceux qui avaient posé les fondations pour toutes les choses à venir. Les détenteurs de l’auctoritas
étaient ainsi les garants de la fondation sacrée.

Il est déjà intéressant de constater que l’autorité n’est pas synonyme de pouvoir. Elle peut même exister
sans la force du pouvoir et, bien plus, incarner un contre-pouvoir d’ordre symbolique (cf. infra, 1.3).

Le verbe augeo, dont provient l’auctoritas, signifie faire naître, augmenter, produire à l’existence.
D’après Benveniste (1969, p. 148 sq.), augere consiste avant tout à poser un acte créateur, fondateur,
voire mythique, qui fait apparaître une chose pour la première fois. Bien évidemment, dans la même
racine étymologique, l’auteur (auctor) est celui qui fonde une parole et s’en porte le garant. Ce terme
était particulièrement employé pour les historiens, l’auteur étant celui qui crédibilise une parole
concernant l’héritage et le passé.
Ainsi, la personne faisant autorité serait non seulement détentrice d’une puissance d’ordre symbolique,
constituée notamment par l’héritage et la filiation, mais pourrait être aussi une personne elle-même
fondatrice de quelque chose d’inouï et d’inédit…

Le rôle d’une société à l’égard de ses enfants est de les élever à la civilisation, et à l’humanité. Pour ce
faire, l’enfant, dans son développement, rencontre tout d’abord l’institution familiale, puis l’institution
scolaire. La vocation de la première est d’éduquer l’enfant dans le but de lui donner des règles
nécessaires à la vie en collectivité ; celle de la seconde est d’élever l’enfant vers la vie politique (au sens
étymologique : s’inscrire dans une cité, un État, et dans une action du vivre-ensemble) et philosophique
(développer un esprit critique et éthique, mesurer la portée de ses réflexions et de ses actes), c’est-à-
dire vers une autonomie agissante et pensante (équilibre dynamique des droits et devoirs).

Educare signifie « conduire hors de » l’état d’infans (celui qui ne parle pas, donc n’est pas encore en
maturité de comprendre les inter-dits), et cela requiert de celui qui éduque une autorité.« Un des plus
grands problèmes de l’éducation est le suivant : comment unir la soumission sous une contrainte légale
avec la faculté de se servir de sa liberté ? » (Kant, 1776-1787, p. 87). Nous dirons ici que c’est le
problème essentiel de l’autorité parentale.

Le dressage s’oriente davantage du côté de la domination que de l’autorité. C’est ainsi que le dressage
animalier illustre la domination de l’humain sur l’animal. En cela, le dressage s’oppose à la discipline
(Kant, op. cit.), dont nous avons déjà donné une définition (cf. supra).

La discipline vient mettre un terme à la brutalité, un obstacle à la violence…

L'autorité correspond au droit de pouvoir commander, d'être obéi. Elle implique les notions de
légitimité, de pouvoir, de commandement et d'obéissance.

Mais le mot de commandement est trop lié à l’armée, et l’obéissance rappelle trop notre enfance.
Pourtant, dans toute organisation, il faut bien décider, et il faut bien que cette décision soit appliquée,
et bien appliquée.

Le manager tire sa légitimité de son statut, de ses compétences et de son charisme.

De
L’autorité liée au statut lui est conférée par l’organisation. C’est le titre (DG, DRH, DAF…) qui symbolise
le pouvoir : pouvoir de fixer des objectifs, de donner des directives, d’engager des dépenses, de
contrôler, de féliciter ou de réprimander, d’accorder des augmentations, etc.

Ce pouvoir statutaire et hiérarchique, entériné par l’organigramme et l’ensemble des fiches de postes,
est obligatoirement accepté, mais peut être contesté.

L’autorité liée à la compétence professionnelle est liée au savoir-faire technique, à l’expérience, à


l’expertise.

Elle est attribuée aux meilleurs : meilleur vendeur, meilleure secrétaire… Elle est à la base de la
promotion qui devient ainsi incontestable.

Mais le meilleur vendeur ne fait pas forcément le bon chef des ventes. Le véritable manager n’est pas
obligatoirement le meilleur des salariés, mais surtout celui qui sait rendre ses collaborateurs meilleurs.

L’autorité charismatique ou leadership est liée à la communication et à l’assertivité. Le manager est, vis-
à-vis de ses collaborateurs, un communicant à double sens (transmettre des messages et surtout
écouter) qui mobilise, entraîne vers un projet commun, une vision à moyen et long terme. Il est
également assertif : il possède la capacité à s’affirmer et à affirmer sa position, ses décisions, ses
objectifs, dans le respect d’autrui, et sans conflit. Posture appelée aussi « courage managérial », qui
pousse à dire au lieu de se taire, à intervenir au lieu de laisser faire, à décider et agir au lieu d’attendre.

Comme manager, appuyez-vous sur ces trois piliers de légitimité pour obtenir l’adhésion de vos
collaborateurs ; votre mission en sera largement facilitée.

Article

Dissymétrie des places

Plus que jamais en périodes électorales, nous entendons proférer avec enthousiasme des appels à un
vieil idéal, l’égalité, dont la réalisation serait pour demain. Tout se passe comme si nous ne savions pas
que l’égalité est ce qui nie le plus les effets du symbolique, dont le premier est de créer de la dissymétrie
et de la différence. Il existe des dissymétries de place, ce que le débat politique, peu regardant sur la
logique, tente fort timidement de faire valoir par ailleurs. C’est ce que nous constatons avec le retour de
deux termes qui ont été bannis du social et plus particulièrement du débat politique pendant de
nombreuses années. Le premier est manié avec facilité aujourd’hui, c’est l’autorité dont il est prôné le
retour et le respect. Mais nous ne parlons qu’avec la plus grande difficulté de son acolyte, avec lequel
nous ne le confondons pourtant pas, puisqu’il est évité comme un gros mot, y compris dans la campagne
présidentielle dont il est pourtant l’enjeu principal, le pouvoir. Et chose curieuse, nous employons
volontiers le mot autorité là où manifestement nous devrions parler du pouvoir.

C’est dire que cette distinction, fort ancienne, est toujours opérante, bien qu’elle soit en voie de
refoulement. L’autorité, qui vient de « auteur », est la faculté qu’a l’auteur d’être écouté, obéi, ce qui
nous mène tout droit vers l’autorité morale, l’autorité du symbolique. Alors que le pouvoir nous mène
de son côté vers la puissance, être capable de, soit ce qui précède l’acte. Nous sommes là dans deux
registres différents, l’autorité morale, spirituelle et symbolique d’une part, et le pouvoi de l’acte, de
l’exécution, du temporel et de la finitude d’autre part. Ce qui nous oriente vers l’un des piliers de notre
tradition culturelle et politique, à savoir la séparation de ce qui est désigné comme le pouvoir spirituel
d’un côté et le pouvoir séculier de l’autre. Cette séparation ne s’est jamais faite dans la joie et la bonne
humeur, encore moins dans l’harmonie sociale, mais nous la devons tout particulièrement à des siècles
de lutte, sur le territoire de l’Europe chrétienne, luttes auxquelles nous devons pour une grande part
l’invention de nos démocraties modernes qui ne tiendraient pas sans cette séparation et cette
dialectisation des pouvoirs spirituels et temporels. L’un ne va pas sans l’autre, même si le refoulement
de ce terme de pouvoir doit nous rappeler que nous avons une fâcheuse tendance à vouloir faire du Un,
au détriment de l’Autre qui, selon divers mécanismes, est régulièrement ignoré. Ce qui nuit à la
reconnaissance et l’assomption de places hétérogènes les unes aux autres.

Cette hétérogénéité de place ne concerne pas seulement le positionnement politique, mais aussi la
sexuation. Dans un article où il fait tenir l’attrait des femmes à leur part divine, puisqu’elles incarnent
dans l’espèce humaine l’instance gardienne de la reproduction, Charles Melman associe cette distinction
autorité/pouvoir à la différence des sexes, pouvoir mâle et autorité féminine. À quoi il ajoute : « Chacun
sait d’expérience que le papa n’a de représentativité dans son propre foyer que si l’autorité maternelle
la lui accorde, et que, si elle fait défaut, son occasionnelle rébellion passera pour une intolérable
brutalité. Il aura alors le choix entre rester, châtré, ou bien filer, laissant la trace d’un obscène salaud [1].
»

Cette distinction nous est précieuse pour constater que si le pouvoir est mâle et l’autorité féminine, rien
n’empêche qu’une personne de sexe féminin n’exerce le pouvoir, ni une personne de sexe masculin
l’autorité. Alors sur quoi allons-nous nous fonder, du côté de la psychanalyse, pour faire cette distinction
pouvoir/autorité ? Nous pouvons certes dire que le pouvoir est du côté du signifiant maître et l’autorité
du côté du savoir, mais cela ne répond que partiellement à nos interrogations sur les instances qui
imposent leur commandement sur notre vie psychique, au premier rang desquelles nous trouvons
pulsions et fantasmes.

L’autorité de la pulsion

Pour cela repartons de notre papa qui ne doit sa représentativité dans son propre foyer qu’à l’autorité
maternelle. Il est bien connu que les femmes règnent en maîtresses sur leur maison, comme les
matrones romaines qui ne laissaient au pouvoir des hommes que la cave, où ils conservaient leur vin.
Cette hégémonie féminine sur la maison, nous pouvons le plus souvent en apprécier les effets par la
qualité de l’accueil et de la vie qui en résulte. Mais il arrive aussi que cette autorité, au-delà des
agréments qu’elle peut procurer, dérape dans des excès qui vont rendre cette même maison invivable à
ses occupants. Ainsi cette femme qui était venue consulter suite aux difficultés qu’elle rencontrait avec
sa maisonnée : ses enfants, et son mari avec, ne supportaient plus les règles qu’elle leur imposait depuis
vingt ans : de passer à la douche et de changer de vêtements dès qu’ils rentraient à la maison. Vous
reconnaissez là la rigueur d’un symptôme obsessionnel qui, sous la contrainte de la pulsion anale,
impose son unicité, son Un par le passage obligatoire dans un sas de décontamination de l’Autre, un net
toyage de toute particule d’altérité. Dans cet exemple, comme dans d’autres, ce qui impose son
caractère totalitaire à la vie familiale ou conjugale, c’est la contrainte pulsionnelle de l’un des deux
partenaires, dont le sexe est indifférent ; ce peut être aussi bien un homme qu’une femme qui va
imposer la tyrannie de sa pulsion à toute sa maisonnée. La pulsion elle-même est indifférente, elle peut
être orale, anale, scopique ou invocante sans que cela ne change rien à l’affaire. Ce qui compte, c’est
que ce soit la pulsion, $<>D, qui commande.

Ces quelques éléments peuvent nous offrir une simplification de la lecture de situations conjugales
particulièrement complexes quand sont intriquées les contraintes pulsionnelles de l’un et de l’autre.
Cela est d’autant plus vrai que la tendance est depuis l’époque romantique à une conjugalité par
inclination mutuelle, au « qui se ressemble s’assemble ». Or, cette ressemblance, nous allons la
rechercher certes dans l’image narcissique, mais surtout dans ce que l’on appelle avoir les mêmes
goûts : aimer faire le même sport, les sorties au restaurant, etc. ! Il existe comme cela des stratégies, des
calculs qui se réalisent tout aussi bien au quotidien que dans une anticipation, et qui prennent en
compte un ensemble de paramètres intégrant la vie et la carrière professionnelle, les temps de loisir, et
tôt ou tard la survenue des enfants. Dans certains cas l’harmonie est là, comme ces couples où l’un est
un champion et l’autre son coach, mais le plus souvent il existe d’emblée un déséquilibre, une
dysharmonie qui fait que personne ne s’y retrouve dans les comptes ; laquelle dysharmonie va aller en
s’aggravant avec le temps, surtout lorsque la revendication égalitaire vient radicaliser la compulsion au
comptage des satisfactions pulsionnelles.
Ce comptage, qui pourrait sembler capable de constituer un barrage, une butée à cette contrainte
pulsionnelle qui se répète, s’avère inefficace pour dévier le cours d’une existence vouée au
fonctionnement pulsionnel, qui peut être de conduire vers un isolement toujours plus grand, que ce soit
au sein du couple où chacun s’enferme dans sa jouissance, ou encore dans la solitude qui fait suite à des
séparations répétées, tant sur le plan amoureux que sur le plan amical. Il est parfois impressionnant de
voir comment des personnes qui ont des talents à faire reconnaître, de l’intérêt pour les autres aussi,
peuvent faire le vide autour d’elles, rapport à cette maudite pulsion qui les rend tôt ou tard invivables.
C’est donc une question de première importance pour l’analyse que de repérer cette répétition qui
s’organise autour de la pulsion, et si possible de permettre à l’analysant de dévier le cours de ce destin
dramatique.

Alors vous savez que nous présentons volontiers comme un remède ce qui fait partie du problème, à
savoir que nous disons : il y a la fonction phallique, il y a le discours, il y a l’érotisation de la chute de
l’objet a. Bien sûr, quand c’est en place, cela permet à ceux qui s’y conforment un fonctionnement un
peu plus aéré, un peu plus vivant, et donc moins inféodé à la jouissance pulsionnelle et aux angoisses
qui l’accompagnent. En somme nous présentons la fonction phallique comme la potion magique dans
laquelle nous serions tombés quand nous étions petits, et dont nous aurions à louer les bienfaits par la
suite ; mais cela se passe rarement aussi bien. Lacan a pu dire : « L’objet a, il n’y en a pas pour tout le
monde », ce qui revient à dire que tout le monde n’est pas situé pareillement par rapport à la fonction
phallique. Ce qui se vérifie autant dans les relations homme/femme que dans les relations familiales où
cette fonction est très diversement distribuée, et bien sûr dans le social où les disparités sont encore
plus flagrantes. Prenez ce qui se passe dans les grandes familles, dans les grandes fratries : il est rare
qu’il n’y en ait pas un, qui n’est pas forcement l’aîné ni un garçon, qui ne se retrouve adoubé de l’index
phallique par celui qui le représente, et qui n’est pas forcément le père. Il y en a un qui est adoubé, et
les autres, ils sont autres justement, et ils ont à trimer durement pour se faire reconnaître comme
relevant de cette instance. Prenez les grands dépressifs névrotiques : nous retrouvons souvent chez eux
une dépendance très particulière à la mère, d’autant plus forte que la mère a porté très peu d’attention
à cet enfant-là. Et nous constatons malheureusement que faute de la reconnaissance par l’autorité
maternelle, ils vont rester à l’écart de la fonction phallique, jouissant masochistement du réel dans
lequel ils sont cantonnés.

Ce destin, loin d’être exceptionnel, est hélas fréquent, d’autant plus depuis que nous accordons un
statut privilégié à la satisfaction pulsionnelle dans nos vies et notre organisation sociale. Ce qui nous
rend d’autant plus assujettis à l’autorité d’un Autre dans le réel, Autre infini qui oppose son immensité
au pouvoir du Un de la représentation et de la réalité finie.

 Article
 Dissymétrie des places
 Plus que jamais en périodes électorales, nous entendons proférer avec enthousiasme des appels
à un vieil idéal, l’égalité, dont la réalisation serait pour demain. Tout se passe comme si nous ne
savions pas que l’égalité est ce qui nie le plus les effets du symbolique, dont le premier est de
créer de la dissymétrie et de la différence. Il existe des dissymétries de place, ce que le débat
politique, peu regardant sur la logique, tente fort timidement de faire valoir par ailleurs. C’est ce
que nous constatons avec le retour de deux termes qui ont été bannis du social et plus
particulièrement du débat politique pendant de nombreuses années. Le premier est manié avec
facilité aujourd’hui, c’est l’autorité dont il est prôné le retour et le respect. Mais nous ne parlons
qu’avec la plus grande difficulté de son acolyte, avec lequel nous ne le confondons pourtant pas,
puisqu’il est évité comme un gros mot, y compris dans la campagne présidentielle dont il est
pourtant l’enjeu principal, le pouvoir. Et chose curieuse, nous employons volontiers le mot
autorité là où manifestement nous devrions parler du pouvoir.

C’est dire que cette distinction, fort ancienne, est toujours opérante, bien qu’elle soit en voie de
refoulement. L’autorité, qui vient de « auteur », est la faculté qu’a l’auteur d’être écouté, obéi, ce qui
nous mène tout droit vers l’autorité morale, l’autorité du symbolique. Alors que le pouvoir nous mène
de son côté vers la puissance, être capable de, soit ce qui précède l’acte. Nous sommes là dans deux
registres différents, l’autorité morale, spirituelle et symbolique d’une part, et le pouvoi de l’acte, de
l’exécution, du temporel et de la finitude d’autre part. Ce qui nous oriente vers l’un des piliers de notre
tradition culturelle et politique, à savoir la séparation de ce qui est désigné comme le pouvoir spirituel
d’un côté et le pouvoir séculier de l’autre. Cette séparation ne s’est jamais faite dans la joie et la bonne
humeur, encore moins dans l’harmonie sociale, mais nous la devons tout particulièrement à des siècles
de lutte, sur le territoire de l’Europe chrétienne, luttes auxquelles nous devons pour une grande part
l’invention de nos démocraties modernes qui ne tiendraient pas sans cette séparation et cette
dialectisation des pouvoirs spirituels et temporels. L’un ne va pas sans l’autre, même si le refoulement
de ce terme de pouvoir doit nous rappeler que nous avons une fâcheuse tendance à vouloir faire du Un,
au détriment de l’Autre qui, selon divers mécanismes, est régulièrement ignoré. Ce qui nuit à la
reconnaissance et l’assomption de places hétérogènes les unes aux autres.

Cette hétérogénéité de place ne concerne pas seulement le positionnement politique, mais aussi la
sexuation. Dans un article où il fait tenir l’attrait des femmes à leur part divine, puisqu’elles incarnent
dans l’espèce humaine l’instance gardienne de la reproduction, Charles Melman associe cette distinction
autorité/pouvoir à la différence des sexes, pouvoir mâle et autorité féminine. À quoi il ajoute : « Chacun
sait d’expérience que le papa n’a de représentativité dans son propre foyer que si l’autorité maternelle
la lui accorde, et que, si elle fait défaut, son occasionnelle rébellion passera pour une intolérable
brutalité. Il aura alors le choix entre rester, châtré, ou bien filer, laissant la trace d’un obscène salaud [1].
»
Cette distinction nous est précieuse pour constater que si le pouvoir est mâle et l’autorité féminine, rien
n’empêche qu’une personne de sexe féminin n’exerce le pouvoir, ni une personne de sexe masculin
l’autorité. Alors sur quoi allons-nous nous fonder, du côté de la psychanalyse, pour faire cette distinction
pouvoir/autorité ? Nous pouvons certes dire que le pouvoir est du côté du signifiant maître et l’autorité
du côté du savoir, mais cela ne répond que partiellement à nos interrogations sur les instances qui
imposent leur commandement sur notre vie psychique, au premier rang desquelles nous trouvons
pulsions et fantasmes.

L’autorité de la pulsion

Pour cela repartons de notre papa qui ne doit sa représentativité dans son propre foyer qu’à l’autorité
maternelle. Il est bien connu que les femmes règnent en maîtresses sur leur maison, comme les
matrones romaines qui ne laissaient au pouvoir des hommes que la cave, où ils conservaient leur vin.
Cette hégémonie féminine sur la maison, nous pouvons le plus souvent en apprécier les effets par la
qualité de l’accueil et de la vie qui en résulte. Mais il arrive aussi que cette autorité, au-delà des
agréments qu’elle peut procurer, dérape dans des excès qui vont rendre cette même maison invivable à
ses occupants. Ainsi cette femme qui était venue consulter suite aux difficultés qu’elle rencontrait avec
sa maisonnée : ses enfants, et son mari avec, ne supportaient plus les règles qu’elle leur imposait depuis
vingt ans : de passer à la douche et de changer de vêtements dès qu’ils rentraient à la maison. Vous
reconnaissez là la rigueur d’un symptôme obsessionnel qui, sous la contrainte de la pulsion anale,
impose son unicité, son Un par le passage obligatoire dans un sas de décontamination de l’Autre, un net
toyage de toute particule d’altérité. Dans cet exemple, comme dans d’autres, ce qui impose son
caractère totalitaire à la vie familiale ou conjugale, c’est la contrainte pulsionnelle de l’un des deux
partenaires, dont le sexe est indifférent ; ce peut être aussi bien un homme qu’une femme qui va
imposer la tyrannie de sa pulsion à toute sa maisonnée. La pulsion elle-même est indifférente, elle peut
être orale, anale, scopique ou invocante sans que cela ne change rien à l’affaire. Ce qui compte, c’est
que ce soit la pulsion, $<>D, qui commande.

Ces quelques éléments peuvent nous offrir une simplification de la lecture de situations conjugales
particulièrement complexes quand sont intriquées les contraintes pulsionnelles de l’un et de l’autre.
Cela est d’autant plus vrai que la tendance est depuis l’époque romantique à une conjugalité par
inclination mutuelle, au « qui se ressemble s’assemble ». Or, cette ressemblance, nous allons la
rechercher certes dans l’image narcissique, mais surtout dans ce que l’on appelle avoir les mêmes
goûts : aimer faire le même sport, les sorties au restaurant, etc. ! Il existe comme cela des stratégies, des
calculs qui se réalisent tout aussi bien au quotidien que dans une anticipation, et qui prennent en
compte un ensemble de paramètres intégrant la vie et la carrière professionnelle, les temps de loisir, et
tôt ou tard la survenue des enfants. Dans certains cas l’harmonie est là, comme ces couples où l’un est
un champion et l’autre son coach, mais le plus souvent il existe d’emblée un déséquilibre, une
dysharmonie qui fait que personne ne s’y retrouve dans les comptes ; laquelle dysharmonie va aller en
s’aggravant avec le temps, surtout lorsque la revendication égalitaire vient radicaliser la compulsion au
comptage des satisfactions pulsionnelles.

Ce comptage, qui pourrait sembler capable de constituer un barrage, une butée à cette contrainte
pulsionnelle qui se répète, s’avère inefficace pour dévier le cours d’une existence vouée au
fonctionnement pulsionnel, qui peut être de conduire vers un isolement toujours plus grand, que ce soit
au sein du couple où chacun s’enferme dans sa jouissance, ou encore dans la solitude qui fait suite à des
séparations répétées, tant sur le plan amoureux que sur le plan amical. Il est parfois impressionnant de
voir comment des personnes qui ont des talents à faire reconnaître, de l’intérêt pour les autres aussi,
peuvent faire le vide autour d’elles, rapport à cette maudite pulsion qui les rend tôt ou tard invivables.
C’est donc une question de première importance pour l’analyse que de repérer cette répétition qui
s’organise autour de la pulsion, et si possible de permettre à l’analysant de dévier le cours de ce destin
dramatique.

Alors vous savez que nous présentons volontiers comme un remède ce qui fait partie du problème, à
savoir que nous disons : il y a la fonction phallique, il y a le discours, il y a l’érotisation de la chute de
l’objet a. Bien sûr, quand c’est en place, cela permet à ceux qui s’y conforment un fonctionnement un
peu plus aéré, un peu plus vivant, et donc moins inféodé à la jouissance pulsionnelle et aux angoisses
qui l’accompagnent. En somme nous présentons la fonction phallique comme la potion magique dans
laquelle nous serions tombés quand nous étions petits, et dont nous aurions à louer les bienfaits par la
suite ; mais cela se passe rarement aussi bien. Lacan a pu dire : « L’objet a, il n’y en a pas pour tout le
monde », ce qui revient à dire que tout le monde n’est pas situé pareillement par rapport à la fonction
phallique. Ce qui se vérifie autant dans les relations homme/femme que dans les relations familiales où
cette fonction est très diversement distribuée, et bien sûr dans le social où les disparités sont encore
plus flagrantes. Prenez ce qui se passe dans les grandes familles, dans les grandes fratries : il est rare
qu’il n’y en ait pas un, qui n’est pas forcement l’aîné ni un garçon, qui ne se retrouve adoubé de l’index
phallique par celui qui le représente, et qui n’est pas forcément le père. Il y en a un qui est adoubé, et
les autres, ils sont autres justement, et ils ont à trimer durement pour se faire reconnaître comme
relevant de cette instance. Prenez les grands dépressifs névrotiques : nous retrouvons souvent chez eux
une dépendance très particulière à la mère, d’autant plus forte que la mère a porté très peu d’attention
à cet enfant-là. Et nous constatons malheureusement que faute de la reconnaissance par l’autorité
maternelle, ils vont rester à l’écart de la fonction phallique, jouissant masochistement du réel dans
lequel ils sont cantonnés.

Ce destin, loin d’être exceptionnel, est hélas fréquent, d’autant plus depuis que nous accordons un
statut privilégié à la satisfaction pulsionnelle dans nos vies et notre organisation sociale. Ce qui nous
rend d’autant plus assujettis à l’autorité d’un Autre dans le réel, Autre infini qui oppose son immensité
au pouvoir du Un de la représentation et de la réalité finie.
Enfant roi et enfant dieu

Nous trouvons un exemple de cette prééminence que prend l’autorité infinie sur le pouvoir fini dans un
article très pertinent de Laurent et Christian Demoulin, intitulé « L’enfant dieu selon Savitzkaya [2] », qui
s’intéresse aux rapports parents/enfants dans la littérature contemporaine, et plus particulièrement
chez l’écrivain qu’ils trouvent le plus représentatif de ce qu’ils souhaitent mettre en exergue, « les
nouveaux rapports à l’enfant » : Eugène Savitzkaya. Ce poète et romancier a commencé par bousculer
les règles de la syntaxe et de la sémantique avant de bousculer les lignes de partage qui existent dans les
rapports parents/enfants. C’est ce qui se dégage plus particulièrement dans les romans
autobiographiques consacrés aux propres rapports de l’auteur à ses enfants. Avec son fils plus
particulièrement l’auteur se place dans un rapport d’égalité de statut, égalité qui n’est rompue que par
des différences physiques, comme la taille. C’est dans cette relation spéculaire que se déploie une
relation qui est faite d’échanges : le « géant » laisse le « nain » lui faire toutes les demandes qu’il veut,
et y répond aussi souvent que possible, au doigt et à l’œil, sans ne jamais rien refuser. Comme il le dit, le
pouvoir du « nain » est illimité, pouvoir du caprice pulsionnel que nous situons ici comme étant du
registre de l’autorité.

Le pouvoir à proprement parler, nous le trouvons un peu plus loin, lorsque Savitzkaya situe sa fille dans
l’inféodation à une suzeraineté et une filiation, qui est une filiation à la mère et à la grand-mère. C’est
avec elles que se posent les questions de la nomination et du pouvoir. Alors que du côté de la relation
du père et du fils, c’est la pulsion qui se déploie, libre de toute contrainte symbolique et temporelle.
Seule la relation avec la mère permet au garçon de rencontrer la mesure, il trouve même le nombre d’or
de la pulsion orale, « le Nesquik parfaitement dosé : sept cuillerées à soupe dans un bol de lait. Moins ce
serait fade, plus ce serait trop [3] ». N’est-ce pas là la découverte du parfait équilibre entre autorité et
pouvoir. Si l’autorité de la demande est du côté de l’enfant, autorité illimitée, infinie, le pouvoir, détenu
ici par la mère, réussit à imposer un comptage, et à trouver un bord : sept cuillerées de Nesquik. En deçà
c’est fade, sans saveur, donc sans savoir – c’est le même mot – et au-delà c’est trop de jouissance, c’est
un abus dans la tentative de récupération de la jouissance perdue, le plus-de-jouir.

Cette séparation entre pouvoir et autorité, si elle est implicite dans l’article de L. et C. Demoulin, se
retrouve dans la distinction qu’ils font entre l’enfant roi, his majesty the baby telle que Freud l’a définie,
et l’enfant dieu tel qu’ils en trouvent le paradigme chez Savitzkaya. De l’enfant roi Freud disait qu’il est
l’héritier du narcissisme auquel les parents ont dû renoncer : « Il accomplira les rêves de désir que les
parents n’ont pas mis à exécution, il sera un grand homme, un héros, à la place du père ; elle épousera
un prince, dédommagement tardif pour la mère. » Là nous sommes dans le champ de la puissance, de
l’anticipation symbolique. L’enfant s’attribue un trait avec lequel il va se projeter dans
l’accomplissement d’un acte futur. L’enfant roi s’inscrit dans une dialectique placée sous la tutelle du
pouvoir séculier qui est le discours du maître.
C’est hors du discours du maître que s’inscrit l’enfant dieu, hors filiation, comme le disent très bien ces
auteurs : « En dehors même de toute idée de temporalité et de succession des générations. Rien à voir
avec le “Alors, tu seras un homme mon fils”. Aucun projet éducatif qui assigne à l’enfant une place dans
quelque ordre que ce soit. Rien ne s’aperçoit d’un désir parental… C’est bien Marin mon cœur mais dans
un éternel présent. Il ne s’agit plus de His majesty the baby… plutôt l’enfant dieu, avec un d minuscule…
l’enfant roi est du côté de l’imaginaire narcissique. Par contre, les dieux sont du réel… totalement
énigmatique. On ne peut que décrire leur action, sans rien comprendre. Ils sont au-delà de l’imaginaire,
dans le registre de la pure présence. »

C’est donc à une autorité divine que le « nain » soumet le « géant », tout en étant l’un et l’autre
immergés dans le réel. Il y a entre eux à la fois une dépendance, vitale, et en même temps une absolue
liberté, du fait que cette relation est sans limite, inconditionnelle, libre de toute allégeance à une loi.
Cette relation dans une éternelle présence à l’autre peut être génératrice chez l’enfant d’une
dépression, d’une apathie, et de son corollaire défensif : l’hyperkinésie qui est la prise dans cette
demande illimitée, dans ce prosaïsme de la relation médiée par des objets tout aussi présents et réels,
sans que rien ne s’offre à la symbolisation, à l’idéalisation, à l’anticipation.

Comme nous pouvons le constater fréquemment, cette allégeance à l’autorité d’un enfant, d’une
femme, n’est pas le fait du seul Eugène Savitzkaya. Combien de pères prennent-ils aujourd’hui cette
place d’obéissance à l’autorité de l’enfant, et s’impliquent dès les premiers jours de la naissance de leur
enfant dans les soins, le nourrissage, les jeux ? Malgré les allégations d’égalitarisme qui servent à
justifier cette configuration de partage entre autorité et pouvoir, il n’y a jamais d’égalitarisme, et nous
aurions tout intérêt lorsque nous abordons l’une de ces situations complexes de nous demander où est
le pouvoir. À quelle place le pouvoir est-il mis aujourd’hui, autant en ce qui concerne les relations
sexuées que dans le champ social, pour que, faute de symbolisation, il nous revienne si souvent dans le
réel ?

Le Nom-du-père dans le politique

Dans le champ du social et du politique, nous rencontrons cette même confusion chez ceux qui prônent,
à l’instar de Jean-Jacques Rousseau, que tout ce qui est politique est social, et que tout ce qui est social
est politique, soit une démocratie directe dans laquelle la volonté générale exercerait une autorité
illimitée. À cela s’oppose une conception de la démocratie comme étant représentative, où les élus
détiennent un pouvoir limité par la loi autant dans ses attributions que dans le temps de son exercice.
Cette vieille distinction entre démocratie participative et démocratie représentative, qui refait surface
dans l’actuelle campagne présidentielle, nous permet une lecture de ce qui revient au niveau politique
et social aujourd’hui. En effet, si au nom de cette autorité illimitée que serait la volonté générale on en
vient à légiférer sur tout ce qui peut se passer dans le plus intime de la relation entre un homme et une
femme, selon les canons de la nouvelle gouvernance qui est prônée par nombre de partis politiques,
nous risquons fort de rendre un peu plus obscur et illisible le dispositif sur lequel se soutient notre désir.

En conjoignant politique et social, c’est-à-dire pouvoir et autorité, nous poussons la loi et le comptage à
franchir les limites et la finitude qui est la leur pour s’épandre sur l’infinitude de la demande d’amour, et
nous risquons bien de nous retrouver tous, à l’instar de J.-J. Rousseau et de sa paranoïa, exclus du
monde de la représentation, de la légitimité, et par retour à nous autoproclamer Un, individu autonome
et souverain. Cela tient, dans la théorie lacanienne, au décapitonnage opéré au niveau du signifiant du
manque dans l’Autre, signifiant qui se rencontre quand l’Autre ne répond pas. C’est ce qui advient sur le
graphe de Lacan à l’étage de la demande, où contrairement à ce qui se passe avec la demande de Marin
mon cœur, à qui le géant répond toujours favorablement, l’Autre ne répond pas toujours ainsi, il lui
arrive de refuser ou de répondre à côté. Et quand il refuse, la fête pulsionnelle est terminée, on passe à
autre chose que vise la fonction phallique. Par cette opération, la fonction phallique nous sort de la
contrainte du besoin corporel et de la hantise de la mort.

Le pouvoir se fonde sur ce refus, qui est refus de retourner chercher avec la pulsion ce plus-de-jouir qui
a dû être cédé lors de la première rencontre avec le signifiant du manque dans l’Autre. Il en résulte,
comme conséquence de ce refus, une déconnexion entre l’idéal du moi, à l’origine de l’anticipation
symbolique de l’enfant roi, et l’objet a, le déchet de cet enfant dieu confiné dans le réel.

C’est seulement par cette distinction, à quoi nous conduit la cure analytique, que l’on peut dissocier
pouvoir et autorité dont l’holophrase, la symphyse qui revient à demander le phallus, entretient la
répétition qui tend à vouloir récupérer l’objet perdu lors de la première rencontre avec le refus de
l’Autre, la non-réponse de l’Autre Fig. 1. Cette distinction peut permettre à chacun, homme ou femme,
de trouver une place qui est amputée de la jouissance de l’autre bord, mais peut permettre du coup une
rencontre plus respectueuse de son altérité. Cette rencontre, sans faire rapport bi-univoque, puisqu’il ne
peut y avoir rapport bi-univoque entre un ensemble fini et un ensemble infini, peut permettre
l’apparition d’une certaine harmonie, telle l’harmonie inventée par les peintres avec le fond perdu qui
représente, dans le cadre du tableau, l’infini duquel vient à se détacher l’objet dans sa finitude
éphémère, contingente.

Nous avons intérêt à repérer la passion du continu qui s’est emparée de notre société sociale-libérale,
puisqu’elle fournit à la fois la législation et les moyens matériels d’être sous le contrôle continu d’un
Autre de plus en plus matérialisé. Ce qui a les conséquences les plus directes sur notre vie de tous les
jours, et plus particulièrement sur notre vie sexuelle. Il suffit pour s’en rendre compte de suivre la vie
sexuelle de nombre de névrosés : le contrôle qualité est de rigueur dans leur vie conjugale depuis
longtemps. Et s’ils ne sont pas accrédités au contrôle qualité, pas de sexe. Alors avec l’instauration du
contrôle continu, vous pouvez aisément concevoir que pour la bagatelle, ils attendent. C’est pourquoi, si
nous voulons bien nous intéresser à ce que dénotent le signifiant du manque dans l’Autre et le Nom-du-
père, qui n’est pas un signifiant puisqu’il ne renvoie pas à un autre signifiant mais qu’à lui-même comme
tout nom propre, nous ne pouvons que constater que le Nom-du-père échappe au contrôle qualité, au
jugement d’attribution. C’est donc en dehors de toute qualité qu’il vient borner l’Autre infini. Le pouvoir,
c’est justement ce qui s’impose hors de toute qualité.

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10 versets bibliques sur la famille

10 versets bibliques sur la famille

Dans la Bible, nous trouvons des conseils pour les parents, les enfants, les maris et le femmes pour nous
aider dans nos relations au sein de la famille.

La personne qui respecte le Seigneur est en sécurité, car il protège ses enfants. (Proverbes 14.26)

Et quand les gens d’une famille se battent entre eux, cette famille ne pourra pas continuer à exister.
(Marc 3.25)

Si quelqu’un ne s’occupe pas de sa famille, surtout de ses parents les plus proches, il a rejeté la foi, il est
plus mauvais qu’un incroyant. (Première lettre à Timothée 5.8)

Obéissez les uns aux autres par respect pour le Christ (Lettre aux Éphésiens 5.21)

C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère pour vivre avec sa femme. Et les deux deviendront
comme une seule personne. (Genèse 2.24)

L’homme doit faire son devoir de mari envers sa femme, et la femme doit faire son devoir de femme
envers son mari. La femme ne peut pas faire ce qu’elle veut de son corps : son corps est à son mari. Le
mari ne peut pas faire ce qu’il veut de son corps : son corps est à sa femme. (Première lettre aux
Corinthiens 7.3-4)

Mais oui, les enfants sont un trésor, la récompense donnée par le Seigneur.

(Psaumes 127.3)

Donne à un enfant de bonnes habitudes dès ses premières années. Il les gardera même dans sa
vieillesse. (Proverbes 22.6)
« Respecte ton père et ta mère. Ainsi tu vivras longtemps dans le pays que moi, le Seigneur, je te donne.
(Exode 20.12)

Le Seigneur tout-puissant dit encore : « Je serai pour vous un père, et vous serez pour moi des fils et des
filles. »

(Deuxième lettre aux Corinthiens 6.18)

Proverbes 14.26-26 - NBS

26. Dans la crainte du SEIGNEUR il y a une forte confiance ; pour ses fils il y a un abri.

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Anonyme

a écrit le 23.05.2017 à 12 h 08

La famille est au centre de nos préoccupations cela fait plaisir de voir qu'on se préoccupe de ce sujet qui
est la base de toute réussite sociale et spirituelle soyez benis

 La délivrance d’une famille se fait avec les membres qui la constitue, regroupé dans un lieu pour
suivre la prière. Dans le cas où toute la famille ne peut être ensemble pour des questions liées à
la distance, quelques membres disponibles peuvent se réunir pour la prière. La Bible nous dis à
cet effet que là où deux (2) ou trois (3) sont assemblés, le Seigneur est là parmi eux. Il y a des
familles qui ne font que pleurer, se lamenter pour divers troubles et divers malheurs. Il y a ceux
dont le cri est silencieux ; ils poussent des cris, mais personne n’attend et personne ne peut leur
venir en aide. Les familles sont beaucoup attaquées, mais Dieu les protège, parce que c’est lui
qui a ordonné qu’elles soient (les familles). Ce livret nous aidera à comprendre et à déceler les
problèmes qu’elles rencontrent, afin de procéder leur délivrance.
 Les familles viennent de Dieu

Psaumes 68:6 : Dieu donne une famille à ceux qui étaient abandonnés, Il délivre les captifs et les rend
heureux ; Les rebelles seuls habitent des lieux arides.
Éphésiens 3:14-15 : A cause de cela, je fléchis les genoux devant le Père, duquel tire son nom toute
famille dans les cieux et sur la terre.

Matthieu 19:4-6 : Il répondit : N'avez-vous pas lu que le créateur, au commencement, fit l'homme et la
femme et qu'il dit : C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et
les deux deviendront une seule chair ? Ainsi ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que
l'homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint.

La famille est régie par l’honneur, la soumission, et l’amour

Exode 20:12 : Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l'Éternel,
ton Dieu, te donne.

Matthieu 15:4 : Car Dieu a dit : Honore ton père et ta mère ; et : Celui qui maudira son père ou sa mère
sera puni de mort.

Éphésiens 5:22-30 : Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur ; car le mari est le chef de
la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. Or, de même
que l'Église est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses. Maris,
aimez vos femmes, comme Christ a aimé l'Église, et s'est livré lui-même pour elle […] C'est ainsi que les
maris doivent aimer leurs femmes comme leurs propres corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-
même. Car jamais personne n'a haï sa propre chair ; mais il la nourrit et en prend soin, comme Christ le
fait pour l'Église, parce que nous sommes membres de son corps.

Éphésiens 6 :1-4 : Enfants, obéissez à vos parents, selon le Seigneur, car cela est juste. Honore ton père
et ta mère (c'est le premier commandement avec une promesse), afin que tu sois heureux et que tu
vives longtemps sur la terre. Et vous, pères, n'irritez pas vos enfants, mais élevez-les en les corrigeant et
en les instruisant selon le Seigneur.

Psaumes 103:13 : Comme un père a compassion de ses enfants, L'Éternel a compassion de ceux qui le
craignent.

Les familles sont menées par les pères

Genèse 46:31 : Joseph dit à ses frères et à la famille de son père : Je vais avertir Pharaon, et je lui dirai :
Mes frères et la famille de mon père, qui étaient au pays de Canaan, sont arrivés auprès de moi.
Nombres 36:12 : elles se marièrent dans les familles des fils de Manassé, fils de Joseph, et leur héritage
resta dans la tribu de la famille de leur père.

1 Corinthiens 11:3 : Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que
l'homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ.

1. Les familles nombreuses sont une bénédiction

Psaume 127:3-5 : Voici, des fils sont un héritage de l'Éternel, Le fruit des entrailles est une récompense.
Comme les flèches dans la main d'un guerrier, Ainsi sont les fils de la jeunesse. Heureux l'homme qui en
a rempli son carquois ! Ils ne seront pas confus, Quand ils parleront avec des ennemis à la porte.

Proverbes 17:6 : Les enfants des enfants sont la couronne des vieillards, Et les pères sont la gloire de
leurs enfants.

Proverbes 14:26 : Celui qui craint l'Éternel possède un appui ferme, Et ses enfants ont un refuge auprès
de lui.

Les familles sont sauvées par la foi


Actes 16:31 : Paul et Silas répondirent : Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille.

Actes 16:34 : Les ayant conduits dans son logement, il leur servit à manger, et il se réjouit avec toute sa
famille de ce qu'il avait cru en Dieu.

Hébreux 11:7 : C'est par la foi que Noé, divinement averti des choses qu'on ne voyait pas encore, et saisi
d'une crainte respectueuse, construisit une arche pour sauver sa famille ; c'est par elle qu'il condamna le
monde, et devint héritier de la justice qui s'obtient par la foi.

Les familles sont baptisées après avoir cru en Christ

Actes 18:8 : Cependant Crispus, le chef de la synagogue, crut au Seigneur avec toute sa famille. Et
plusieurs Corinthiens, qui avaient entendu Paul, crurent aussi, et furent baptisés.
1 Corinthiens 1:16 : J'ai encore baptisé la famille de Stéphanas ; du reste, je ne sache pas que j'aie
baptisé quelque autre personne.

La piété commence dans la famille

1 Timothée 5:4 : Si une veuve a des enfants ou des petits-enfants, qu'ils apprennent avant tout à exercer
la piété envers leur propre famille, et à rendre à leurs parents ce qu'ils ont reçu d'eux ; car cela est
agréable à Dieu.

Proverbes 20:7 : Le juste marche dans son intégrité ; Heureux ses enfants après lui !

La bonté financière commence dans la famille

1 Timothée 5:8 : Si quelqu'un n'a pas soin des siens, et principalement de ceux de sa famille, il a renié la
foi, et il est pire qu'un infidèle.
Marc 7:10-13 : Car Moïse a dit : Honore ton père et ta mère ; et : Celui qui maudira son père ou sa mère
sera puni de mort. Mais vous, vous dites : Si un homme dit à son père ou à sa mère : Ce dont j'aurais pu
t'assister est corban, c'est-à-dire, une offrande à Dieu, vous ne le laissez plus rien faire pour son père ou
pour sa mère, annulant ainsi la parole de Dieu par votre tradition, que vous avez établie. Et vous faites
beaucoup d'autres choses semblables.

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Livre de prières pour protection et réussite de la famille

Par Père Simon Pierre Effa

Thème : Religion

Date de publication : 26/02/2018

Le livre, Prière pour protection et réussite de la famille ouvre l’Homme à la réception du don de Dieu,
Jésus Christ notre Seigneur. C’est par Lui, avec Lui et en Lui que se révèle en chaque Homme la
connaissance de Dieu comme Père, de l’aimer et de s’adresser à Lui avec la confiance et la profondeur
d’un enfant. Delà résulte une connaissance véritable sur l’Homme et sur le monde.

L’efficacité de ce livre de prière ne dépend guère de la force des mots, mais uniquement de la
communion avec Dieu par son Fils Jésus Christ, qui effacer les peurs et soutenir l’espérance.

C’est avec Lui que la famille peut trouver le soutien nécessaire pour affronter les défis, et proposer au
monde actuel, la beauté et la valeur d’une famille protégée et réussie.

«Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ. Dans les cieux, il nous a comblés de sa
bénédiction spirituelle en Jésus Christ. En lui, il nous a choisis avant la création du monde, pour que nous
soyons, dans l’amour, saint et irréprochable sous son regard. Il nous a d’avance destinés à devenir pour
lui des fils par Jésus Christ: voilà ce qu’il a voulu dans sa bienveillance à la louange de sa gloire, de cette
grâce dont il nous a comblés en son Fils bien-aimé, qui nous obtient par son sang la rédemption, le
pardon de nos fautes.

Elle est inépuisable, la grâce par laquelle Dieu nous a remplis de sagesse et d’intelligence en nous
dévoilant le mystère de sa volonté, de ce qu’il prévoyait dans le Christ pour le moment où les temps
seraient accomplis; dans sa bienveillance, il projetait de saisir l’univers entier, ce qui est au ciel et ce qui
est sur la terre, en réunissant tout sous un seul chef, le Christ.
En lui, Dieu nous a d’avance destinés à devenir son peuple; car lui, qui réalise tout ce qu’il a décidé, il a
voulu que nous soyons ceux qui d’avance avaient espéré dans le Christ à la louange de sa gloire. Dans le
Christ, vous aussi, vous avez écouté la parole de vérité, la bonne nouvelle de votre salut; en lui, devenus
des croyants, vous avez reçu la marque de l’Esprit Saint. Et l’Esprit que Dieu avait promis, c’est la
première avance qu’il nous a faite sur l’héritage dont nous prendrons possession, au jour de la
délivrance finale, à la louange de sa gloire. » Éph1, 3-14

des asiles tranquilles.

Proverbes 14:26

Concept des Versets

Celui qui craint l'Éternel possède un appui ferme, Et ses enfants ont un refuge auprès de lui.

Romains 12:5

Concept des Versets

ainsi, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres
les uns des autres.

Zacharie 2:5

Concept des Versets

je serai pour elle, dit l'Éternel, une muraille de feu tout autour, et je serai sa gloire au milieu d'elle.

Deutéronome 23:14

Concept des Versets

Car l'Éternel, ton Dieu, marche au milieu de ton camp pour te protéger et pour livrer tes ennemis devant
toi; ton camp devra donc être saint, afin que l'Éternel ne voie chez toi rien d'impur, et qu'il ne se
détourne point de toi.

Exode 12:3

Concept des Versets


Parlez à toute l'assemblée d'Israël, et dites: Le dixième jour de ce mois, on prendra un agneau pour
chaque famille, un agneau pour chaque maison.

Psaumes 122:6

Concept des Versets

Demandez la paix de Jérusalem. Que ceux qui t'aiment jouissent du repos!

2 Thessaloniciens 3:3

Concept des Versets

Le Seigneur est fidèle, il vous affermira et vous préservera du malin.

Psaumes 20:1

Concept des Versets

Au chef des chantres. Psaume de David. Que l'Éternel t'exauce au jour de la détresse, Que le nom du
Dieu de Jacob te protège!

Nombres 6:24

Concept des Versets

Que l'Éternel te bénisse, et qu'il te garde!

Psaumes 121:5

Concept des Versets

L'Éternel est celui qui te garde, L'Éternel est ton ombre à ta main droite.

Psaumes 91:14
Concept des Versets

Puisqu'il m'aime, je le délivrerai; Je le protégerai, puisqu'il connaît mon nom.

Job 5:24

Concept des Versets

Tu jouiras du bonheur sous ta tente, Tu retrouveras tes troupeaux au complet,

Ésaïe 58:8

Concept des Versets

Alors ta lumière poindra comme l'aurore, Et ta guérison germera promptement; Ta justice marchera
devant toi, Et la gloire de l'Éternel t'accompagnera.

Josué 2:13

Concept des Versets

Donnez-moi l'assurance que vous laisserez vivre mon père, ma mère, mes frères, mes soeurs, et tous
ceux qui leur appartiennent, et que vous nous sauverez de la mort.

Psaumes 27:10

Concept des Versets

Car mon père et ma mère m'abandonnent, Mais l'Éternel me recueillera.

Psaumes 91:10

Concept des Versets

Aucun malheur ne t'arrivera, Aucun fléau n'approchera de ta tente.

Proverbes 18:19
Concept des Versets

Des frères sont plus intraitables qu'une ville forte, Et leurs querelles sont comme les verrous d'un palais.

Lévitique 26:9

Concept des Versets

Je me tournerai vers vous, je vous rendrai féconds et je vous multiplierai, et je maintiendrai mon alliance
avec vous.

Proverbes 11:15

Concept des Versets

Celui qui cautionne autrui s'en trouve mal, Mais celui qui craint de s'engager est en sécurité.

Michée 7:5

Concept des Versets

Ne crois pas à un ami, Ne te fie pas à un intime; Devant celle qui repose sur ton sein Garde les portes de
ta bouche.

Jérémie 16:5

Concept des Versets

Car ainsi parle l'Éternel: N'entre pas dans une maison de deuil, N'y va pas pleurer, te lamenter avec eux;
Car j'ai retiré à ce peuple ma paix, dit l'Éternel, Ma bonté et ma miséricorde.

Jérémie 22:21

Concept des Versets

Je t'ai parlé dans le temps de ta prospérité; Tu disais: Je n'écouterai pas. C'est ainsi que tu as agi dès ta
jeunesse; Tu n'as pas écouté ma voix.
Exode 21:15

Concept des Versets

Celui qui frappera son père ou sa mère sera puni de mort.

Malachie 2:16

Concept des Versets

Car je hais la répudiation, Dit l'Éternel, le Dieu d'Israël, Et celui qui couvre de violence son vêtement, Dit
l'Éternel des armées. Prenez donc garde en votre esprit, Et ne soyez pas infidèles!

Ésaïe 22:23

Concept des Versets

Je l'enfoncerai comme un clou dans un lieu sûr, Et il sera un siège de gloire pour la maison de son père.

Luc 11:21

Concept des Versets

Lorsqu'un homme fort et bien armé garde sa maison, ce qu'il possède est en sûreté.

Néhémie 4:13

Concept des Versets

C'est pourquoi je plaçai, dans les enfoncements derrière la muraille et sur des terrains secs, le peuple
par familles, tous avec leurs épées, leurs lances et leurs arcs.

Psaumes 115:10

Concept des Versets

Maison d'Aaron, confie-toi en l'Éternel! Il est leur secours et leur bouclier.


Psaumes 68:5

Concept des Versets

Le père des orphelins, le défenseur des veuves, C'est Dieu dans sa demeure sainte.

Luc 18:29

Concept des Versets

Et Jésus leur dit: Je vous le dis en vérité, il n'est personne qui, ayant quitté, à cause du royaume de Dieu,
sa maison, ou sa femme, ou ses frères, ou ses parents, ou ses enfants,

Genèse 28:20

Concept des Versets

Jacob fit un voeu, en disant: Si Dieu est avec moi et me garde pendant ce voyage que je fais, s'il me
donne du pain à manger et des habits pour me vêtir,

Proverbes 12:21

Concept des Versets

Aucun malheur n'arrive au juste, Mais les méchants sont accablés de maux.

Actes 16:31

Concept des Versets

Paul et Silas répondirent: Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille.

Psaumes 17:8

Concept des Versets

Garde-moi comme la prunelle de l'oeil; Protège-moi, à l'ombre de tes ailes,


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Source: https://bible.knowing-jesus.com/Fran%C3%A7ais/topics/Prot%C3%A9ger-Sa-Famille

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