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Economie : la science qui étudie comment des ressources rares sont employées pour la
satisfaction des besoins de l’Homme vivant en société. Elle s’intéresse d’une part aux
opérations essentielles que sont la production, la distribution, et la consommation des biens,
d’autre part aux institutions et aux activités ayant pour objet de faciliter ces opérations.
Ressource rare : Elles sont rares ou inégalement distribuée sur la terre ( pétrole, gaz, or,
…).
Production : Production à bas coût, délocalisation, relocalisation.
Distribution : Transport et flux
Marché : toute situation où se produisent des échanges (ex : foires, marchés de village,
bourse, grandes surfaces). C'est le lieu (l'environnement) dans lequel va évoluer l'entreprise et
où se rencontrent l'offre et la demande d'un bien ou d'un service, c'est à dire principalement
les clients potentiels et la concurrence. Un marché peut-être national, régional, saisonnier,
concentré, diffus, captif, fermé, ambulant...
Economie de marché : économie où la plupart des échanges sont marchands (qui se font sur
un marché).
Firme multinationale (FMN)/ firme transnationale (FTN) : entreprise implantée dans
plusieurs pays. Elles jouent un rôle croissant dans les échanges internationaux de produits
primaires, de produits manufacturés et les produits captifs (= échanges entre filiales et société-
mère).
Produit intérieur brut ou PIB : somme des valeurs ajoutées réalisées à l'intérieur d'un pays
par l'ensemble des branches d'activité (auxquelles on ajoute la TVA et les droits de douane)
pour une période donnée et indépendamment de la nationalité des entreprises qui s'y trouvent.
Il mesure la production totale de biens et services réalisée à l'intérieur d'un pays pendant une
période donnée. Sa croissance est considérée comme une mesure de la santé économique d'un
pays. Que ce soit par son évolution ou par son ratio par habitant, le Produit intérieur brut n'est
qu'une mesure globale, une moyenne. Il ne permet d'appréhender ni les inégalités sociales ni
leur évolution. On peut très bien avoir un PIB moyen qui augmente alors que les revenus
(qu'il est censé mesurer) diminuent pour une majorité de la population et augmentent
fortement pour une minorité, ce qui renforce les inégalités. il n’est pas tout à fait
représentatif car on ne prend pas en compte le travail non rémunéré ( nettoyage de ma
maison), le travail au noir, le bénévolat, etc.
Le calcul du PIB s'appuie sur la comptabilité nationale, donc sur ce qui est déclaré à l'Etat. De
ce fait, il ne prend pas en compte : le travail non rémunéré, celui que l'on fait pour soi-même
(le travail domestique par exemple), le bénévolat, ce que l'on produit pour soi-même (son
verger, son potager,...) encore appelée l'autoconsommation, la production encaissée en liquide
et non déclarée, le travail "au noir", les activités illégales...
Le PIB n'intègre pas du fait qu'il ne mesure que des flux annuels de production et non un
patrimoine : les dégâts causés à l'environnement, les richesses naturelles ou leur épuisement,
l'impact d'une catastrophe naturelle, d'une guerre, les créances douteuses (crédit dont on sait
que l'emprunteur ne pourra pas le rembourser). En outre, le PIB comptabilise de la même
manière ce qui est bénéfique à la société (ex : les médicaments) et ce qui lui porte préjudice
(ex: industries polluantes, armement...) ou ce qui est inutile.
La délocalisation a été favorisée par la baisse des coûts de transport et la mondialisation des
capitaux et des marchés qui imposent une baisse des tarifs douaniers. Cette migration a lieu
essentiellement du pays d'origine vers l'étranger, mais elle peut être aussi d'une zone urbaine
vers une zone rurale, pour les mêmes motifs. Au sens strict, la délocalisation concerne toute
l'activité et revient à séparer les lieux de production de ceux de consommation. Mais compte
tenu de la division verticale du travail au niveau mondial, la délocalisation a souvent lieu par
segment du processus d'activité. La menace de délocalisation d'une activité est parfois utilisée
comme moyen de pression sur les syndicats et pour augmenter la durée du travail sans
contreparties.
Balance commerciale : différence entre la valeur des exportations et des importations de biens et/ou
de services dans un pays donné. Pour calculer la balance commerciale, il est procédé à l'évaluation de
la valeur des exportations et des importations de biens et de services dans un pays donné à partir des
valeurs douanières. Lorsque la valeur des exportations est excédentaire par rapport à celle des
importations, on parle d'excédent commercial. A contrario, lorsque la valeur des exportations est
inférieure à celle des importations, on parle de déficit commercial.
Revenu net : rémunération réellement touchée par le salarié. Le salaire net sert ensuite de
base pour l'imposition sur le revenu. Le salaire net correspond au salaire brut auquel on
soustrait les cotisations et charges pour les assurances chômage, maladie ou retraite.
Salaire brut : est une expression comptable désignant la rémunération à laquelle a droit un
salarié pour le travail accompli. Cette rémunération est calculée avant toute retenue fiscale ou
sociale. A ce titre, il s'agit d'une rémunération globale avant prélèvements.
Flux : représente la circulation d’un bien, d’un service, de monnaie ou d’un actif financier.
Flux monétaires : échange d'argent et non d'un flux physique ou réel constitué d'un échange
de biens et/ou de services. Ainsi l'achat d'une baguette de pain chez votre boulanger se
compose d'un flux monétaire (les pièces de monnaie) et d'un flux réel (la baguette). C'est cet
échange qui constitue le circuit économique. La mise en place de la monnaie a permis de
faciliter les échanges entre les individus. Aujourd'hui, les flux monétaires sont sensiblement
supérieurs aux flux physiques
Secteur primaire : ensemble des activités dont la finalité consiste en une exploitation des
ressources naturelles : agriculture, pêche, forêts, mines, gisements…
Secteur secondaire : ensemble des activités consistant en une transformation plus ou moins
élaborée des matières premières (industries manufacturières, construction).
Secteur tertiaire : ensemble des activités touchant aux services aux personnes. Il est
composé du : tertiaire marchand (commerce, transports, activités financières, services rendus
aux entreprises, services rendus aux particuliers, hébergement-restauration, immobilier,
information-communication) et du tertiaire non-marchand (administration publique,
enseignement, santé humaine, action sociale).
Externalisation : contrat de service qui consiste à confier la totalité d’une fonction ou d’un
service de l’entreprise à un prestataire spécialisé, pour une durée pluriannuelle. Celui-ci
assume alors totalement le management de l’activité et s’engage sur la performance. Ce
contrat de service s’inscrit dans une perspective stratégique et implique un engagement
contractuel clair et équilibré, un partenariat : les deux entités travaillent ensemble dans le
cadre d’un accord gagnant/gagnant. En outre, elle sous-entend une culture partagée entre les
acteurs.
Service : se distingue du bien physique ou produit (un pain par ex.) par son caractère
immatériel et par l’impossibilité de stockage. Un service est généralement consommé au
moment de sa production. La coiffure, l’hôtellerie, la restauration, la banque sont par exemple
des activités de services. Les services peuvent être marchands ou non (services publics). Les
économies modernes sont essentiellement des économies de services.
Géoéconomique : Grandes entreprises mondiales qui veulent acquérir la suprématie
technologique et commerciale pour asseoir la puissance.
Géopolitique : états, entreprises, groupes humains qui veulent acquérir/contrôler des
territoires.
La géopolitique est la plus ancienne, la géoéconomie dater de l’après guerre froide.
Microéconomie : c’est la branche de la science économique qui analyse les phénomènes et
les comportements économiques au niveau des agents individuels : consommateurs, ménages,
propriétaires de ressource ou entreprise. Elle s’intéresse aux processus de décision de ces
agents, aux interactions entre vendeurs et acheteurs, entre l’offre et la demande. Elle étudie
également la détermination des prix et les niveaux de production de secteurs particuliers.
Macroéconomie :
Dumping social : Pratique visant à abaisser les coûts de production en abaissant le coût de
main d’œuvre employer des travailleurs de Roumanie par exemple .
Consommation des biens : monopole et oligopole
Oligopole : Structure d’un marché dans lequel l’offre est réalisée par un petit nombre de
grandes entreprises face à un grand nombre de demandeur.
Monopole : Situation d’un marché comportant un seul offreur (vendeur) face à un grand
nombre de demandeur
Logistique : Activité ayant pour objet de faciliter ces opérations.
Puissance : "La puissance est la capacité d’obliger l’autre à faire ce dont il se serait abstenu.”
Robert
Hard power : imposer ses idées par la force ou la menace Russie avec Ukraine,
Corée du nord qui envoie des missiles au-dessus de ses voisins de temps à autres.
Soft power : Faire adopter par les autres son point de vue/sa vision par l’influence
politique Qatar organise la coupe du monde pour laver son image regardant les
droits des hommes, etc…
Microéconomie Macroéconomie Mixte
-Relocalisation : plusieurs
éléments à prendre en
compte.
-Balance commerciale
-