Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
TOME IV
THEORIE DE STABILITE
LY Hav
Octobre 2007©
2 Résistance des barres
2.4 Élancement pour le flambement par torsion ou par flexion- torsion .................................................. 15
BIBLIOGRAPHIE ............................................................................................................................. 48
Les courbes européennes de flambement sont à la base de la vérification des instabilités des barres au
sens de la norme EN 1993-1-1. Issues d’un vaste programme d’essais au niveau européen, elles ont
ensuite été mises sous la forme analytique qui est celle qui a été retenue dans la norme européenne.
Les imperfections qui ont été prises en compte, sont, d'une part, une imperfection géométrique de la
forme d'une demi-onde sinusoïdale d'amplitude égale à 1/1000 de la longueur du poteau et, d'autre
part, les effets des contraintes résiduelles relatives à chaque forme de section transversale.
Si l est la longueur critique de flambement d’une barre idéale comprimée, l’expression de sa force
critique d’Euler est
2 EI
Ncr
l2
La contrainte critique d’Euler s’écrit alors :
Ncr 2 EI
cr
A Al 2
I
En utilisant le rayon de giration i et l’élancement λ= l /i , σcr , elle devient :
A
2E
cr
2
On peut ainsi tracer la courbe correspondante dans un diagramme σ , λ (figure 1).
E
1
fy
Cet élancement correspond ainsi à l’élancement maximum pour lequel la barre idéale peut être
sollicitée à sa limite d’élasticité.
C’est dans ce repère que seront représentées les courbes européennes de flambement. On note que
dans ce systèmes d’axes, le point d’intersection entre la courbe de flambement d’Euler et la limite en
compression simple a pour coordonnées (1, 1).
fy
L’élancement réduit est égal à
1 E
f y 2 Af y
E
2
N cr
La mise en équation des courbes européennes de flambement est due à R. Maquoi et J. Rondal. Elle
correspond à une formulation d'Ayrton-Perry.
Si l'on considère un défaut de rectitude initial de forme sinusoïdale et d'amplitude maximale e0 (figure
3), la déformation initiale peut être écrite sous la forme :
x
y0 eo sin
L
d 2 y N ( y y0 )
0
dx 2 EI
En remplaçant y0 par son expression et après introduction des conditions aux limites, la solution de
e0 x
y sin
1 L
N cr
N
La flèche maximale totale e au milieu du poteau (x =L/ 2) s'écrit alors sous la forme :
e0 e0
e e0
N cr N
1 1
N N cr
module de flexion élastique de la section (Wel = I/v), l'atteinte de la première plastification dans un
N max N max e0
fy
A Wel
Si Nmax est l'effort normal maximum limité par le flambement et σb la contrainte normale
maximale (σb = Nmax / A), nous avons :
N max N max e0 A e
b b fy
A Wel Wel
2E
cr
2
e0 A
b b fy
b Wel
1
cr
cr b f y b b cr e0
A
Wel
A
e0
Wel
Le terme η représente l'imperfection de rectitude initiale du poteau mais il peut aussi représenter
d'autres défauts comme les contraintes résiduelles ou l'excentricité des charges appliquées par
exemple. Il est alors appelé facteur d'imperfection généralisée.
En posant
e0
l
lA
Wel
2
En utilisant les termes λ= l/i , Wel =I/v et i = I/A , η peut être exprimé de la manière suivante :
i
v
Où le terme i/v correspond au diamètre relatif de l'ellipse d'inertie suivant la direction où apparaît le
flambement.
b N max
Posons . Comme E f y , en introduisant 1 quand 0 , la relation
fy Np
précédente s'écrit, pour fy = 235MPa :
93,91
0
i
v
car, en effet, les courbes européennes de flambement ont été établies pour une valeur fixée de la limite
élastique, la valeur réelle de fy n'ayant qu'une influence très faible sur le résultat comparativement aux
autres paramètres
En posant 93,91
i
v
nous obtenons :
0
En revenant à l'écriture de l'équation d'Ayrton-Perry et en divisant par le produit σ cr fy , il vient :
b b b
1 1
cr fy fy
b f y b b
1 1
f f y f y
y cr
1 1
2
Ou, en développant :
2
2
2 1 1 0
En remplaçant η par son expression en fonction de α et en résolvant cette équation du second
1 0
2
1 0 4
2 2 2
2
2
En posant : 0,5 1 0, 2
2
et en choisissant 0 0, 2 , il vient :
2
2
2
En multipliant numérateur et dénominateur par le terme conjugué,
2
2
Nous obtenons,
2
2 2
2
2 2
1
2
2
Cinq valeurs différentes de α ont été choisies pour représenter les différents rencontrés dans la
pratique. Elles sont associées à l'intensité des imperfections et croissent avec elles. Elles ont ainsi
conduit à cinq courbes distinctes nommées respectivement a0, a, b, c et d.
Pour s’assurer de la résistance d'une barre comprimée vis-à-vis du flambement (EN 1993-1-1, §
6.3.1.1), il convient de vérifier l’expression suivante :
N Ed
1
N b , Rd
Af y
Nb, Rd pour les sections transversales de Classes 1, 2 et 3,
M1
Aeff f y
Nb, Rd pour les sections transversales de Classe 4.
M1
Pour les éléments à section transversale constante, le coefficient de réduction χ établit dans le
paragraphe précédent s’exprime par la relation suivante (EN 1993-1-1, § 6.3.1.2) :
1
2
2
0,5 1 0, 2
2
où :
mais: χ ≤ 1
Af y
pour les sections de Classes 1, 2 et 3
N cr
Aeff f y
pour les sections transversales de Classe 4.
N cr
et si : Ncr est l’effort normal critique de flambement élastique pour le mode de flambement approprié,
Courbe de flambement a0 a b c d
L’annexe A contient les valeurs tabulées donnant les valeurs de χ pour les différentes valeurs du
facteur d’imperfection. Ce dernier est lié aux types de sections transversales, aux modes de fabrication,
*
aux axes de flambement et à la limite d’élasticité de l’acier. Pour le flambement par flexion, il est
donné dans le tableau 2.
N Ed
La vérification de la stabilité au flambement doit être effectuée si 0, 2 , ou si 0, 04 .
N cr
N Ed
Dans le cas contraire, si 0, 2 , ou si 0, 04 , elle n’est pas nécessaire.
N cr
En d’autres termes, pour les faibles élancements, le flambement n’est pas à craindre et seules les
vérifications de sections transversales s’appliquent. C’est pourquoi les courbes de flambement
présentent un pallier pour les faibles élancements réduits.
Nous avons déterminé, dans le paragraphe précédent, les expressions de l’élancement réduit dans le
cas du flambement par flexion (figure 5) :
Af y
pour les sections de Classes 1, 2 et 3
N cr
Aeff f y
pour les sections transversales de Classe 4.
N cr
E
Nous avons également montré que λ1 s’exprime sous la forme : 1
fy
235
En posant , comme E = 210 GPa, si fy est exprimé en MPa, il s’écrit :
fy
λ1 =93,9 ε.
Pour les barres constituées de sections transversales ouvertes non bi-symétriques, il peut être
nécessaire de mener une vérification de la résistance au flambement par torsion et par flexion-torsion.
• pour les sections ouvertes à centre de symétrie sensibles au flambement par torsion (figure 6
par exemple),
• pour les sections ouvertes non symétriques sensibles au flambement par flexion-torsion (figure
7 par exemple).
Il convient alors de déterminer l’élancement réduit LT pour le flambement par torsion ou par flexion-
torsion par :
Af y
• LT pour les sections de Classes 1, 2 et 3
N cr
Aeff f y
• LT pour les sections transversales de Classe 4.
N cr
1 2 EI w
N cr ,T GI
i02 lcr2 ,T
t
1
Ncr , y Ncr ,T N N cr ,T 4 N cr , y Ncr ,T
2
N cr ,TF
2
cr , y
2
y
avec : 1 0
i0
D’autres informations sont disponibles dans la partie 1-3 de l’Eurocode 3 qui concerne les éléments à
parois minces formés à froid pour lesquels ce type d’instabilité est à étudier presque systématiquement.
3.1 INTRODUCTION
3
3
3
3
3
3
3
3 3
3 3
3
3
tableau 3.2
3
3
La résistance de calcul d'un élément fléchi non maintenu latéralement, et donc susceptible de déverser
(EN 1993-1-1, § 6.3.2.1), doit être prise égale à :
Wy . f y
M b, Rd LT .
M1
1
LT
LT LT LT 2
2
0,5
où : LT 0,5 1 LT ( LT 0,2) LT
2
Wy f y
avec : LT
M cr
Tableau 3 – Valeurs recommandées pour les facteurs d’imperfection des courbes de déversement
La vérification au déversement n'est nécessaire que lorsque LT > 0,2. Dans le cas contraire ou si la
poutre est maintenue latéralement sur toute sa longueur, le déversement (ou flambement latéral) n'est
pas à craindre.
Il est à noter que la détermination du moment critique de déversement élastique n’est pas indiqué dans
la version finale de l’EN 1993-1-1 alors qu’elle correspondait à l’Annexe F de la version ENV.
Pour les poutres à section transversale constante, le moment critique de déversement est
donné par la formule générale :
1/ 2
2 EI Z k I w kL2 .GI t
2
2
M cr C1 C 2 z g C3 z j C 2 z g C3 z j
kL2 k w I z 2 EI Z
Où
zg = za – zs
z y z dA
2 2
z z A
j s 2I
y
E
G
21 v
htf
2
Iw facteur de gauchissement = I
Z 2
Iw f 1 f I zh
2
s Où f
I fc
I fc I ft
1/ 2
2 EI Z k I w kL2 .GI t
2
2
M cr C1 C z C2 z g
kL2 k w I z 2 EI Z 2 g
1/ 2
2 EI Z k I w kL2 .GI t
2
M cr C1 2
kL k w I z EI Z
2
Construction Métallique LY Hav
Théorie de stabilité-Dimensionnement des éléments 31
kL2 .GI t
1/ 2
2 EI Z I w
M C
cr 1 2
L Iz 2 EI Z
D’après l’Annexe Nationale, une section soudée équivalente est une section reconstituée soudée en
I telle que :
t f max
3
tw
Dans ce cas, les valeurs de χLT peuvent être déterminées par les expressions suivantes :
LT 1
1
LT mais 1
0,5
LT LT 2 LT
2
LT 2
LT
b b 2
LT ,0 0, 2 0,1 et LT 0, 4 0, 2 LT 0
h h
b b 2
LT ,0 0,3 et LT 0,5 0, 25 LT 0
h h
LT ,0 0, 2 et LT 0, 76
Dans ce cas, le choix des courbes de déversement est précisé dans le tableau 5
Tableau 5 – Choix des courbes de déversement associées aux profils laminés ou sections soudées
équivalentes
Les sollicitations de flexion sont amplifiées par l'effet de flambement (figure 8).
Au sens de l’EN 1993-1-1, la vérification des barres uniformes fléchies et comprimées s’applique aux
barres à sections transversales bi-symétriques non sensibles à la distorsion.
- les barres sensibles aux déformations par torsion (sections transversales ouvertes et non
maintenues en torsion).
- les barres qui ne sont pas sensibles aux déformations par torsion (sections creuses ou sections
maintenues en torsion),
La stabilité en flexion composée avec risque de flambement sans déversement, s'appuie sur les
relations générales suivantes :
N Ed M M y , Ed M M z , Ed
k yy y , Ed k yz z , Ed 1
y N Rk M y , Rk M z , Rk
LT
M1 M1 M1
N Ed M y , Ed M y , Ed M M z , Ed
k zy k zz z , Ed 1
z N Rk M y , Rk M z , Rk
LT
M1 M1 M1
Où
k yy , k yz , kzy , kzz sont les facteurs d’intéraction. Ils ont été derivés à partir de deux
approches alternatives. La méthode 1, dite « méthode franco-
belge » et la méthode 2 encore appelée « méthode germano-
autrichienne ».
Les deux méthodes sont proposées dans l’EN 1993-1-1 en laissant le soin à l’Annexe Nationale de
fixer ou non le choix entre ces méthodes. C’est la méthode 1 qui a été retenue par l’Annexe Nationale.
C’est donc la seule que sera présentée ici.
Pour les barres dont les sections transversales sont de Classes 1 et 2, les expressions précédentes se
réduisent à :
N Ed M y , Ed M z , Ed
k yy k yz 1
y N pl , Rd LT M pl , y , Rd M pl , z , Rd
N Ed M y , Ed M z , Ed
k zy k zz 1
z N pl , Rd LT M pl , y , Rd M pl , z , Rd
y 1
k yy Cmy CmLT
N Ed C yy
1
N cr , y
y 1 w
k yz Cmz 0, 6 z
N Ed C yz wy
1
N cr , z
z 1 wy
k zy Cmy CmLT 0, 6
N Ed Czy wz
1
N cr , y
z 1
k zz Cmz
N Ed Czz
1
Ncr , z
dans lesquels:
N Ed
1
N cr , y
y
N
1 y Ed
N cr , y
N Ed
1
N cr , z
z
N
1 z Ed
N cr , z
W pl , y
wy 1.5
Wel , y
si W pl , z
wz 1.5
Wel , z
N Ed
n pl
N pl , Rd
avec
1.6 2 1.6 2 2 W
C yy 1 wy 1 2 Cmy max Cmy max n pl bLT el , y
wy wy
W pl , y
2 M y , Ed M z , Ed
bLT 0.5aLT 0
où
LT M pl , y , Rd M pl , z , Rd
2
Cmz
2
max w W
C yz 1 wz 1 2 14 n pl cLT 0.6 z el , z
w5z
wy Wpl , z
2
0 M y , Ed
cLT 10aLT
5 z Cmy LT M pl , y , Rd
4
2 2
max
Czy 1 wy 1 2 14
Cmy w W
n pl d LT 0.6 y el , y
w5y wz Wpl , y
2
0 M y , Ed M z , Ed
d LT 2aLT
0.1 z Cmy LT M pl , y , Rd Cmz M pl , z , Rd
4
1.6 2 1.6 2 2 W
Czz 1 wz 1 2 Cmz max Cmz max n pl eLT el , z
wz wz W pl , z
0 M y , Ed
eLT 1.7 aLT
0.1 z Cmy LT M pl , y , Rd
4
y
si max max
z
IT
Et : aLT 1 0 qui doit être pris égal à 0 si le déversement est empêché (a LT est destiné à
Iy
assurer la transition entre les sections ouvertes et les sections fermées)
N Ed
Cmi ,0 0.79 0.21 i 0.36 i 0.33
N cr ,i
2 EI i x N
Cmi ,0 1 2 1 Ed
L M i , Ed ( x) N cr ,i
Mi,Ed (x) : moment maximal My,Ed ou Mz,Ed
N Ed
Cmi ,0 1 0.18
N cr ,i
N Ed
Cmi ,0 1 0.03
N cr ,i
Pour les barres dont les sections transversales sont de Classes 3, les expressions précédentes se
réduisent à :
N Ed M y , Ed M z , Ed
k yy k yz 1
y N pl , Rd LT M el , y , Rd M el , z , Rd
N Ed M y , Ed M z , Ed
k zy k zz 1
z N pl , Rd LT M el , y , Rd M el , z , Rd
y
k yy Cmy CmLT
N Ed
1
N cr , y
y
k yz Cmz
N Ed
1
N cr , z
z
k zy Cmy CmLT
N Ed
1
N cr , y
z
k zz Cmz
N Ed
1
N cr , z
Pour les barres dont les sections transversales sont de Classe 4, les expressions de vérification
s’écrivent :
N Ed M e N M e N
k yy y , Ed N , y Ed k yz z , Ed N , z Ed 1
y Aeff f y Weff , y f y Weff , z f y
LT
M1 M1 M1
N Ed M y , Ed eN , y N Ed M e N
k zy k zz z , Ed N , z Ed 1
z Aeff f y Weff , y f y Weff , z f y
LT
M1 M1 M1
Elle dépend de la valeur de 0 , l’élancement réduit dans le cas du moment fléchissant uniforme, c’est-
à-dire y 1 dans le tableau 6.
N N Ed
0,lim 0.2 C1 4 1 Ed 1
N N
cr , z cr ,TF
Les valeurs de 0 inférieures à 0,lim correspondent à des barres qui ne sont pas sensibles aux
déformations par torsion à l’inverse des valeurs supérieures. Le tableau 7 synthétise les termes Cmy ,
Cmz et CmLT à prendre en compte selon les cas.
Si 0 0,lim Si 0 0,lim
y aLT
Cmy Cmy ,0 1 Cmy ,0
Cmy Cmy ,0 1 y aLT
aLT
CmLT Cmy
2
N Ed N Ed
CmLT 1 1 1
N
N cr , z cr ,T
M y , Ed A
y
N Ed Wel , y
M y , Ed Aeff
y
N Ed Weff , y
Ncr,y effort normal critique de flambement élastique par flexion par rapport à l’axe y-y
Ncr,z effort normal critique de flambement élastique par flexion par rapport à l’axe z-z
C1 facteur dépendant du chargement et des conditions aux extrémités à prendre dans la littérature
Cette méthode est destinée aux barres qui ne relèvent pas des méthodes précédentes. Il s’agit par
exemple :
- des barres isolées à section composée ou non, uniformes ou non, avec conditions de supports
complexes ou non,
- des ossatures planes soumises à compression et/ou à flexion mono-axiale dans leur plan, mais
qui ne contiennent pas de rotules plastique ayant tourné.
opult ,k
1
M1
Avec
ult ,k facteur minimal d’amplification pour atteindre la résistance caractéristique de la section la plus
critique sans considérer le comportement hors du plan de chargement,
χop coefficient de réduction calculé pour l’élancement réduit op afin de prendre en compte le
déversement et le flambement latéral
ult ,k
op
cr ,op
cr ,op facteur minimal d’amplification des charges de calcul dans le plan pour atteindre la résistance
critique élastique au flambement latéral ou au déversement sans tenir compte du flambement par
flexion dans le plan.
Le coefficient de réduction χop peu être déterminé de la manière suivante :soit comme étant la valeur
minimale entre le coefficient de réduction χ pour le flambement latéral et le coefficient de réduction
χLT pour le déversement, chacun étant calculé pour l’élancement réduit global op .
- soit une valeur interpolée entre les valeurs χ et χLT en utilisant l’expression de αult,k dans la
section transversale critique.
1 N Ed M y , Ed
ult ,k N Rk M y , Rk
N Ed M y , Ed
op
N Rk M y , Rk
M1 M1
N Ed M y , Ed
1
N Rk LT M y , Rk
M1 M1
6. BARRES ETRESILLONNEES
à l’annexe E
6.3 MEMBRURES
6.4 ETRÉSIILONS
BIBLIOGRAPHIE
[1] EN 1993-1-1 :2005 et Annexe Nationale pour la norme NF EN 1993-1-1 -Calcul des structures
en acier. Partie 1-1: Règles générales et Règles pour les Bâtiments. CEN/TC 250, 2005.
[7] APK – Construction Métallique et Mixte Acier-Béton. Tome 2 : Conception et mise en œuvre,
Eyrolles 1996.