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Questions méthodologiques
1
Ce qui entraine la vraisemblance de la pièce tragique
- Va et vient incessant :
- Le sentiment de culpabilité :
- Le sentiment de malédiction :
- La vraisemblance de la pièce tragique :
4. Reformulez le sujet
5. Problématisez le sujet
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tragédie de la pièce. Une œuvre qui suscite beaucoup de
controverses sur le plan thématique et littéraire.
6. Annoncez le plan
- Le sentiment de culpabilité :
- Le sentiment de malédiction :
- Le sentiment de culpabilité :
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Pour le fils du roi, l’amour de Phèdre est un crime sur un plan
politique, et, quand il lui rappelle leurs situations respectives
par rapport à Thésée et lui demande, au vers 664 :
« Madame, oubliez-vous / Que Thésée est mon père, et
qu’il est votre époux ? », ce n’est pas une situation
incestueuse qu’il stigmatise mais une atteinte à l’ordre
patriarcal. H voue un respect à son père dont il a l’obligation
de préserver.
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suicide, symbole d’une orientation certaine vers le tragique
« Au défaut de ton bras prête-moi ton épée ». (v. 710)
- Le sentiment de malédiction :
6
Elle est plongée dans un état de trouble, de souffrance : ce
qui le confirme par les adjectifs qualificatifs « trouble » (V
671), « tremblante » (v 695) « éperdue », « noire ».
Cette malédiction rappelle la haine dont la déesse Vénus
poursuit sa famille. Phèdre ne peut s’empêcher d’aimer, son
amour est sans distinction et sans retenue.
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d’amour et d’aveu. Elle victime de la fatalité et de la
tragédie. Une position déjà défendue par Racine dans sa
Préface à Phèdre.
Contextualisation
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Reformulation
Problématique
Plan
Conclusion
Bilan argumentaire
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En définitive, la scène met en lumière une dimension
tragique, cruelle et coupable de l’amour mise en valeur
par la faute, le crime passionnel et un facteur de
fatalité, de malédiction symbolisant l’innocence de
Phèdre. L’intensité de cette scène assure
profondément la théâtralité et la vraisemblance.
Opinion
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Rédaction complète de la Dissertation
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La mère d’H est une chaste héroïne et Pasiphaé, mère de
Phèdre est coupable d’adultère qui suit sa fille. Le
vers 1101 « élevé dans le sein d’une chaste héroïne »
montre un H élevé par une mère amazone qui mutile leurs
enfants mâles et considère les hommes non pas comme des
maris mais des serviteurs. Les femmes amazones sont pures.
Il en va de même pour le vers 1624, construit en antithèse
avec le précédent « C’est moi qui sur ce fils chaste et
respectueux / Osait jeter un œil profane, incestueux ».
L’aveu de culpabilité à Thésée. À la chasteté de l’Amazone
d’où est issu Hippolyte) ; or, si Pasiphaé est bien coupable
d’adultère, il n’est nulle part question d’inceste dans sa
famille. Phèdre : « Respectez votre sang, j’ose vous en
prier » / « Sauvez de l’horreur de l’entendre crier »
Phèdre 1171-1172. Phèdre s’érige en avocate auprès de
Thésée, qui a maudit H.
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situation incestueuse qu’il stigmatise mais une atteinte à
l’ordre patriarcal. H voue un respect à son père dont il a
l’obligation de préserver.
La morale chrétienne et le jansénisme de l’époque rendent
coupable Phèdre. Cette idée d’inceste se trouvât-elle
dans Phèdre, elle serait sans doute davantage due à la
morale chrétienne de son époque et peut-être plus
particulièrement au jansénisme.
Finalement, le sentiment de culpabilité aboutit à la cruauté,
à la volonté de punition et de la mort. Phèdre s’empoisonne
et parvient à dire la vérité au moment de mourir. H qualifie
son amour de « cruel » (v. 671) pour celle qu’il fait
souffrir. Ainsi, P considère son amour comme une dimension
tragique « fol, poison » (v676-v675). Phèdre s’est tuée par
« un poison que Médée apporta dans Athènes ».
(v.1638).
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amour » (v. 699). Phèdre porte la faute sur « Vénus et
ses feux redoutables » qui la poursuit. Une divinité vampire
« C’est Venus toute entière à sa proie attachée » qui
traduit les « vengeances célestes » (v. 677) sur elle.
Phèdre est complétement détournée de la raison, elle est
plongée dans la passion de l’amour dont elle ne pourrait
sortir. La tirade de Phèdre à l’acte II, scène 5 le
confirme « Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle/
De séduire le cœur d’une faible mortelle » (vv. 681-
682). « Quand je le vis, je rougis, je palis à sa vue »
Phèdre est à la canicule de sa vie, Phèdre, c’est le mois
d’août de l’année : chaleur étouffante et une mélancolie
érotique.
La malédiction de Phèdre symbole d’une maladie
psychologique et fatale
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La fatalité est un signe de malédiction incontournable. Le
champ lexical de la fatalité, de la condamnation inévitable.
Le champ lexical de la fatalité, présente dans la tirade de
Phèdre à l’acte 2, scène 5, est une dimension fondamentale
de la malédiction de Phèdre. Elle est atteinte par la
« fureur » des Dieux (v. 673), condamnée par le « feu
fatal » de Vénus (v 680) et hérite du « sang » parental
(v. 680) dont l’allusion est orientée à la punition de Pasiphaé
et de Minos qui poursuit Phèdre pour une descente vers
l’amour incontrôlé qu’elle voue à son beau-fils H. Vénus a
décidé de punir Hélios, le Soleil qui a éclairé ses amours
illégitimes avec Mars, le Dieu de la guerre. Ce qui veut dire
que Phèdre n’est pas totalement coupable de ses actes
d’amour et d’aveu. Elle victime de la fatalité et de la
tragédie. Une position déjà défendue par Racine dans sa
Préface à Phèdre.
La présence d’une Phèdre plus complète pour attirer les
lecteurs. Phèdre joue le rôle d’une femme véridique malgré
le poids de la passion amoureuse et incestueuse qui pèse sur
elle. C’est une Phèdre lumineuse, du latin « Phaedra ».
Racine fonde son théâtre sur le pathétique, la tristesse, le
plaisir des larmes, sur la cruauté et la violence. Le tragique
esthétique de Racine devient éthique et plus crédible
Conclusion
Bilan argumentaire
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cette scène assure profondément la théâtralité et la
vraisemblance.
Opinion
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