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C) Les faits justificatifs de la révélation d’ un élément de la vie privée.

Dans certaines circonstances la révélation d’un élément de la vie privée n’est


pas une atteinte à la privée.
- Si la personne a donné son consentement. Chacun à le droit de renoncer à
la protection de de sa vie privée. Il faut pour cela avoir la certitude du
consentement. Il ne faut pas appliquer un tiers dans ce qu’on révèle sinon
on peut porter atteinte à la vie privée de ce tiers.

- 2ème justification = Information légitime du publique : la jurisprudence de


la cour de cass d’oriente sur un équilibre à rechercher entre la liberté
d’information et le droit de chacun au respect de sa vie privée. Il faut
analyser de manière détaillée si la publication est justifiée par l’intérêt
légitime du public. Le droit à l’information l’emporte sur le droit à la vie
privée. Un élément de la vie privée sera licitement publiée si il est en
rapport avec l’intérêt général, s’il est d’actualité ou d’ordre culturel. En
revanche si l’information est voyeuriste ce sera sanctionné par la
jurisprudence.
-
3ème justification = redivulgation de faits déjà publiés = pendant longtemps
la jurisprudence consdirait qu’on ne pouvait pas reprendre une information au
nom de la spécifié du consentement donné. Depuis 2002 on considère que
des faits devenus publics peuvent être repris sans considérer une atteinte à
la vie privée.
La jurisprudence va plus loin si on a divulgué des informations illimités, une
fois qu’elle est connue de tous on peut reprendre les éléments divigulgués
sans porter atteinte à la vie privée.

4ème justification = caractère anodin de l’éléments révélés. Dès lors que


certaines révélations sont anodines on exclut l’atteinte à la vie privée. La
cour de cass considère que divulguer des informations anodines ne contribue
pas à dire qu’il y a eu violation de la vie privée.
C’est au juge de qualifier « l’élément anodin » -> pas de critères.

Paragraphe 2 : Les sanctions de la violation du droit à la vie privée.


Depuis 1970 réparé avec l’atteinte de la vie privée. Cette seule constatation
suffit pour ouvrir droit à réparation.
La réparation d’une atteinte à la vie privée prend la forme de dommages et
intérêts. Ils peuvent être purement symboliques.
Article 9 alinéa 2 prévoit d’autres natures pour faire cesser l’atteinte : saisie
de journaux, suppression de passages dans un livre/film, insertion d’un encart
dans les journaux
autres sanctions = faire constater un licenciement abusif.
Certaines de ces mesures peuvent en cas d’urgence être ordonné en référé.
Gros risque d’atteintes à la liberté d’expression. La loi encadre ces mesures.
Ces mesures en référé peuvent être prononcées en cas d’atteinte à l’intimité
de la vie privée.
La jurisprudence se montre très strictes. La saisie des magazines relèvent
d’un caractère exceptionnel. La saisie peut être limitée géographiquement.
Les atteintes à la vie privée sont également sanctionné de manière pénale.

Section 3 : la protection de l’image


Le droit à l’image est très ancien mais ses contours ne sont pas nettes. Il
peut se regrouper avec le droit au respect de la vie privée et avec le droit à
l’honneur et réputation mais le droit à l’image peut aussi être protégé en tant
que tel. Parfois l’atteinte à la vie privée et à l’image coïncident.

Paragraphe 1 : Les manifestations du droit à l’image

A) Le principe
Chacun a le droit à ce que son image ne soit ni capté, ni publié, ni reproduite
sans son autorisation.
Atteinte à l’image que si elle identifie la personne. Pas nécessaire que le nom
de la personne soit en légende il suffit qu’elle soit reconnaissable.
Le droit à l’image est un droit autonome = distinct du droit au respect de la
vie privée.
Une atteinte du droit à l’image peut ainsi être constituée indépendamment
d’une atteinte à la vie privée. Mais elle peut aussi se cumuler avec l’atteinte
à la vie privée.
La fixation ou la diffusion de l’image d’une personne nécessité son
consentement. Cela obéit à un régime fixé par la jurisprudence.
L’autorisation de se laisser photographier n’implique pas l’autorisation de la
diffuser.
L’autorisation de capter l’image ne se présume pas. Même une personne
tolérante dans le passé, peut dans le futur défendre son image.
L’autorisation est spéciale. Elle vaut pour une exploitation précise à laquelle
l’individu a consenti.
14 juin 2007 arrêt de la cour civil : une photo de 2 enfants prise sans leur
autorisation au téléthon. Cette photo s’est retrouvé dans un manuel scolaire.
Réponse de la cour de cass : la publication de l’image a été faite dans une
autre situation que prévue initialement.
- l’image des enfants mineur ne peut pas être capté ou diffusé sans
l’autorisation des titulaires de l’autorité parentale.
- la bonne foi est indifférente : une atteinte à l’image est constituée à la
suite d’une erreur de l’agence qui a fournit les photos.
- La voix est l’image sonore d’une personne.
-> l’imitation de la voix d’autrui dans une situation susceptible de causer une
confusion ou un préjudice est sanctionné.
SI on considère que les droits de la personnalités sont des droits extra-
patrimoniaux. Il faut admettre que le droit à l’image a un caractère
patrimoniale. (vendre ses photos)
Cette protection a pour but d’éviter une utilisation de l’image à titre gratuit
ou la dévalorisation de sa valeur marchande.

B) Les faits justificatifs des atteintes à l’images


- Ils peuvent être assortis de limites.
1er fait : le cas de l’image capté dans un lieu public : les personnes se
trouvant dans un lieu public acceptent de se livrer à tous les regards ->
possible de capter leur image sans autorisation aupréale.
lieu public : tout lieux ouvert au public or habitation, locaux professionnels,
voie privée, jardin.
Cependant, même dans un lieu public l’autorisation redevient nécessaire
lorsque la photographie cadre uniquement une personne déterminée ou un
petit groupe de personnes.

2ème fait : la participation à la vie publique ou à l’actualité.


Possibilité de capter l’image d’une personne qui a une vie publique à
l’occasion ou l’image est pris à l’occasion de sa vie publique : meeting
politique, compétition sportive…
Il est nécessaire de recueillir une autorisation dès lors que l’image ne les
représente plus pendant leur vie publique.
On ne peut pas capter son image à de fins autres qu’informationnels. Pas de
le droit de prendre une photo à des fins publicitaires.
Lorsque la personne participe à l’actualité l’autorisation n’est pas nécessaire
si l’image en cause a pour objet central l’évènement d’actualité pas la
personne elle-même.
- Lorsque la publication d’image est justifiée par de l’actualité, la proximité
dans le temps joue un rôle essentiel. L’ancienneté de la photo fait
disparaitre la justification né de l’actualité. SI la photo est ancienne il faut
le consentement de la personne sauf s’il y a un caractère historique.
Le droit à l’image cède lorsque l’image
48:03

L’information légitime du publique peut être neutralisé par l’atteinte de la


dignité de la personne.
affaire erignac : arrêt cour d’appelle 2000 photographie illicite.
AU nom du respect de la présomption d’innocence une loi de 2000 érige en
infraction pénale le fait de diffuser l’image d’une personne mise en cause au
pénal mais pas encore jugé si la personne est menottée.

- La captation de l’image pour des raisons de sécurité publique : lorsqu’elle


est en jeu il n’y a pas d’atteinte au droit à l’image. (automobiliste qui se fait
flasher).

Comme pour la voix on peut imiter l’image de qqn même si on est tolérant
pour les caricatures. La blague doit prêter à rire mais ne doit pas nuire.

Paragraphe : La sanction en cas de violation du droit à l’image.

1240-41 du CC : il faut prouver la faute, le préjudice et le lien de causalité.


Des sanctions pénales sont possibles.
Ce droit à l’image est un droit intransmissible mais le respect du droit à la
dignité de l’être humain ne cesse pas avec le décès .
L’intégrité morale est très contrôlée en France.

Méthodologie de la fiche d’arrêt = 1: 10:00

Cas pratique : raisonnement juridiquement fondé sur un syllogisme. Fondé sur


2 prémices avec lesquels on tire une conclusion :
Majeure = règle de droit pertinente.
mineure : faits : circonstances concrètes du cas soumis.
ccl : résultat de la confrontation entre la majeur et la mineure

Titre 2 : La capacité juridique


La règle c’est la capacité juridique.
l’article 8 du CC précise que tout français jouira des droits civils.
Signifie que sauf exception une personne au sens juridique du terme est
aussi doté de la capacité juridique. Il existe des situations dans lesquelles la
capacité juridique représente un danger pour les personnes parce qu’elles
sont plus faibles, plus vulnérables que les autres. Les laisser mettre en
oeuvre leur capacité juridique est dangereux pour elles car certains
pourraient profiter de leurs faiblesse. Il y a une philosophie de protection des
personnes.
Droit des personnes vulnérables. Quand il y a une personne plus faibles, ou
vulnérable le droit peut lui ôter toute ou une partie de sa capacité juridique. Il
n’y a pas de définition de la notion d’incapacité. On distingue l’incapacité de
jouissance de l’incapacité d’exercice.
article 414 CC prévoit que la majorité est prévue à 18 ans accomplie ->
capacité d’exercice
La capacité de jouissance est l’aptitude à jouir de droits c’est à dire à en être
titulaire quel que soit la source de ces droits. La capacité d’exercice est la
capacité d’exercer ses droits.
Les mineurs et les majeurs sous tutelle relèvent en principe de la catégorie
de personnes en incapacité d’exercice. Si une personne est incapable c’est
que soit la loi lui a retiré la titularisé d’un droit (capacité de jouissance) ou
qu’on lui a interdit de la mettre en oeuvre seul (capacité d’exercice).

Les incapacités de jouissance son très rares dans notre droit. Lorsqu’elle
existe elle est toujours spéciale. Car l’incapacité de jouissance c’est
l’impossibilité pour un individu d’être titulaire de droit. Si on avait des
incapacités de jouissance générale, la personne serait privée de tout droits
subjectifs. Il existe seulement des incapacités de jouissance spéciale.
Un mineur de moins de 16 ans ne peut pas consentir de donation même en
étant représentant par ses parents -> incapacité de jouissance.
article 909 du CC : prévoit certaines incapacités de jouissances pour les
médecins, pharmaciens qui ont prodigués des soins ne peuvent pas recevoir
de donation ni de lègue par testament.

L’incapacité de jouissance peut aussi être une sanction : interdiction des


droits civiques, d’exercer une fonction publique, une certaine activité
professionnelle, interdiction de détenir un animal.
-> présomption de méfiance ou volonté de sanction.
Quand l’incapacité est simplement d’exercice dans ce cas là, la personne
protégée est en revanche bien titulaire de droits mais elle ne peut pas les
exercer car elle se trouve dans un état de faiblesse liée à son âge ou à ses
facultés.
L’objectif d’une incapacité d’exercice est toujours la protection. Elles ont
toutes vocation à protéger des personnes faibles. Mineurs + majeurs
vulnérables. Ces 2 catégories obéissent à des régimes différents malgré
l’existence de règles communes.
Les femmes qui se mariait étaient incapables d’accomplir des actes
juridiques sans son conjoint -> puissance maritale.
22 septembre 1942 : capacité de principe reconnue à la femme.
Aujourd’hui la capacité de principe est une question d’âge : on oppose à
l’incapacité d’exercice de principe des mineurs à la capacité d’exercice de
principe des majeurs.
Avec l’émancipation les mineurs peuvent avoir la capacité d’exercice de
principe des majeurs.

A l’inverse des majeurs peuvent avoir besoin d’une protection.

Dans le droit romain lorsque elles facultés d’une personne étaient


insuffisantes dès le départ ou lorsqu’elles avaient diminué avec l’âge, les
maladies : le droit les rendaient incapable.
Malaurie , personne vulnérable peut être toutes sortes choses.
Une personne physique majeure est capable jusqu’à la fin de sa vie. Pas d’âge
limite par principe.
Mais certaines personnes sont plus vulnérables que d’autres pour cette
raison la loi prévoit différentes mesures destinées à protéger les personnes
vulnérable contre elles mêmes ou les autres.
Elles reposent sur 3 principes essentiels qui guident tout le droit des
personnes vulnérables :
- principe de nécessité : que si l’altération des facultés mentales ou
corporels le justifie.
- de subsidiarité : mettre en place un mesure de protection judiciaire que si il
n’y a pas d’autres institutions suffisantes qui pourraient suffire.
ex : marriage.
- proportionnalité. : l’importance de la protection dépend de l’étendu de
l’altération des facultés mentales. La protection est individualisée et
circonstanciée.

article 428: une mesure de protection d’un majeur doit être necessaire.
Comment savoir quand elle est necessaire? Cette nécessité ressors selon
l’article 925 de l’altération des facultés d’une personne.
article 425 :

Les mesures ne sont pas toutes des régimes de protections organisées.


Certaines mesures sont là pour aider une personne victime d’un altération
passagère. Notamment lorsqu’une personne a passé un acte alors qu’elle est
victime d’un trouble mentale. On parle de nullité pour trouble mentale ou
insanité de l’esprit.
2 choses :
-volonté d’une personne d’être maitre et de le devenir
- vieillissement de la population
De + en + de maladies naissent chez les personnes d’un certain âge. Il y a de
plus en plus la volonté d’ete maitre de sa vie. La loi a organisé un type de
protection nouveau qui ne rend pas la personne incapable mais qui lui permet
de prévoir son futur état de dégénérécence.
Le mandat de protection futur s’anticipe car le mandataire doit le faire alors
qu’il est en pleine possession de ses moyens. Permet de se préparer à toute
éventualité.
En octobre 2015 on a adopté une ordonnance : abolition familiale. Il s’agit
d’une technique de protection qui va permettre de demander un juge une
habilitation qui permet de prendre des mesures pour aider une personne
vulnérable à gérer son patrimoine et sa personne.

(Les mesures d’accompagnement sociaux : mesures qui ne rendent pas les


personnes incapables mais qui les oblige à se faire aider pour la gestion de
leur budget.)

Les régimes de protections au sens large ont été réformé avec la loi du 5
mars 2007. Cette loi n’a pas modifié le nombre mais les règles applicables
aux régimes.
3 types de mesures :
-la sauvegarde de justice : ce n’est pas tout à fait un régime d’incapacité. Car
n’empêche pas de faire des actes. Elle est par essence provisoire et surtout
essentiellement destinée à produire des effets sur les actes passé juste
avant qu’on se rende compte de l’état du majeur.

- la curatelle : Le but est de protéger les personnes qui sont pas totalement
dans l’impossibilité de s’occuper d’elle même ou de leurs biens mais dont
les capacités sont atteintes dans une certaine mesure. Met en place une
assistance obligatoire de la personne par une autre personne appelé le
currateur pour tous les actes importants.
Elle peut tout de même accomplir les actes simples seules.

- la tutelle : régime de protection le plus fort qui rend la personne incapable :


destiné aux personnes les plus faibles. Ce n’est pas une assistance prévue
mais une représentation. Le tuteur agit à sa place.
Ces règles répondent au principe de nécessité et de proportionnalité. Signifie
que la mesure est mise en place si elle est nécessaire et proportionnée à
l’état de santé.
On a certaines dispositions communes.

Chapitre 1 : Les majeurs sans régime de protection


l’altération des facultés mentales est prise en compte même si elle n’est pas
sous tutelle.
La mise en place d’un régime ne se justifie pas si la situation est passagère.
Parfois un régime de protection est nécessaire même si elle a pas été mise
en place.
Quelque soit cette raison, il est logique que le droit ne traite pas ces
personnes de la même manière que des personnes en pleine possession de
leurs moyens.
Il existe des dispositions spéciales d’une part en ce qui concerne la validité
des actes juridiques et d’autres part il y a des dispositions sur la
responsabilité civile.

Section 1 : les actes juridiques accompli par les majeurs sous un trouble
mentale.
Par définition le majeur est capable donc pas protégé. Cependant la loi a
précisé
article 414-1 : pour faire un acte valable il faut être sain d’esprit. Le
législateur permet d’annuler un acte passer par un majeur sous l’empire d’un
trouble mentale. Il peut le faire annuler.
414-2 : préciser qu’elles sont les modalités de cette annulation.
« à copier »
Paraphe 1 : Les conditions de la nullité.
Pour qu’un acte soit annulable il y'a 2 conditions :
- condition qui tient à l’état mental ou physiologique de l’auteur de l’acte
- acte à laquelle la nullité de l’acte va etre demandé

A) L’Etat mental de l’auteur de l’acte.


L’acte doit avoir été contracter alors que la personne était sous l’empire d’un
trouble mental.
Pour n’importe quel type d’acte : patrimonial ou extra.
On ne peut pas agir en nullité pour une omission ou absention.

Quel trouble mental ?


qu’il soit tel qu’il altère notre capacité de réflexion.
Lorsque le trouble affecte le caractère lire, conscient, éclairé. C’est au juge
d’estimer si le trouble a exclu notre capacité.
La cause et la durée du trouble ne comptent pas.
Ce qui compte c’est de prouver que le trouble existait au moment ou il a été
passé. C’est cette précision qui pose le plus de difficulté. Le trouble mental
est un fait juridique qui se prouve par tout moyen -> librement. C’est à la
personne qui demande la nullité qu’incombera la charge de la preuve :
prouver l’existence d’un trouble au moment de l’acte.
- bizarrerie de l’acte lui même -> prouve.

Pour contourner cette difficulté de la preuve au moment précis ou l’acte s’est


passé. La jurisprudence considère que si on souffre d’un trouble mental
durable il y a aura une présomption de trouble mentale au moment de l’acte.

B) La date à laquelle la demande de nullité est formée.


Cette date est la question de savoir si la personne est vivante ou morte au
moment où on demande la nullité. Une fois qu’il est mort plus difficile à
obtenir.

1) Actes annulables du vivant de l’auteur.


De son vivant il n’y a que l’auteur de l’acte qui peut demander la nullité. Soit il
a retrouvé ses esprits. Tous les actes qu’il a fait sont concernés :
patrimoniaux et extra, contrats…

2) Actes annulables après la mort de l’auteur


414-2:
pour éviter que les héritiers de l’auteur de l’acte qui trouverait qu’il est trop
défavorable le remette en question. L’action en nullité est possible mais la
preuve du trouble mentale ne peut être. On ne peut demander la nullité que si
il existe une preuve intrasèque à l’acte.
Il faut que les causes soient incohérente.
Il y a un tempérament à la preuve intrinsèque lorsque l’auteur avait été placé
sous sauvegarde de justice ou lorsqu’une demande d’ouverture de tutelle
avait été faite avant le décès.

Pour tous les actes gratuits ils peuvent être attaqués après le décès de
l’auteur .

Paragraphe 2 : les modalités d’annulation.


L’action en nullité relative a 3 conséquences majeures. Du vivant de l’auteur
seul celui ci peut l’exercer, cela suppose qu’il recouvre ses esprits, s’il ne les
recouvre pas il faut qu’un régime de protection soit mis en place pour que
cette action soit exécuté par son tuteur, curateur.
2ème caractère : comme elle est relative elle se prescrit par 5ans. Le point
de départ est le jour de la rédaction de l’acte.
Mais l’auteur peut a
Lorsque l’auteur de l’acte est placé sous une régime de protection : à
compter du jour où le majeur r
3eme conséquence : la nullité peut s’éteindre par confirmation (aider du
curateur ou tuteur)
-> A REPRENDRE.

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