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Introduction

- Histoire
- Inconvénients et polémiques
- Fonctionnement et utilisation
- Législation

Climatisation - Définition

Introduction

Module externe d'un climatiseur à air

Module de climatiseur sur un toit

La climatisation est la technique qui consiste à modifier, contrôler et réguler


les conditions climatiques (température, humidité, niveau de poussières, etc.)
d’un local pour des raisons de confort (bureaux, maisons individuelles) ou
pour des raisons techniques (laboratoires médicaux, locaux de fabrication de
composants électroniques, blocs opératoires, salles informatiques).
Les principales caractéristiques modifiées, contrôlées ou régulées sont :

● le degré de pollution de l'air ambiant (local à traiter) : renouvellement,


soit par extraction forcée de l’air hors du local, soit par introduction
forcée d'air neuf (air extérieur) dans le local, soit par renouvellement
partiel de l'air ambiant pollué (adjonction d'un caisson de mélange).
● la température de l'air : modification en fonction des saisons (chauffer
ou réfrigération),
● le degré d'hygrométrie de l’air traité : humidification ou
déshumidification,
● la teneur en poussières de l’air : traitement par filtration de l'air soufflé
ou repris,
● le maintien permanent des conditions intérieures (la régulation).

Alors que le chauffage et l'élévation du degré d'humidité relèvent de


techniques élémentaires, réfrigérer et déshumidifier l'air nécessitent des
techniques élaborées. En pratique, on parle surtout de climatisation pour ces
deux derniers objectifs.

La climatisation relève essentiellement de la technique des pompes à chaleur


et se trouve de plus en plus associé dans un même appareil, un "climatiseur
réversible" (réfrigération l'été, chauffage l'hiver).

Histoire

La climatisation moderne a été inventée par Willis H. Carrier en 1902, encore


que l'on ait pu rencontrer bien avant cette date dès le 16 e siècle des systèmes
naturels de rafraîchissement, obtenus par ruissellement d'eau, provoquant
ainsi par évaporation une diminution de la température d'air. Ensuite dès la fin
du 18e siècle, nous retrouvons des réseaux de climatisation avec des blocs de
glace intégrés à même les réseaux avec ventilation forcée.

La notion de confort d'été est encore bien ancienne avec des conceptions
architecturales privilégiant des courants d'air et protégeant de la chaleur les
zones en ensoleillement directe.

Inconvénients et polémiques

La climatisation assistée présente des avantages et des inconvénients


sanitaires, mais aussi des risques pour la santé et l'environnement.

Pour la santé
Les systèmes de climatisation sont accusés de provoquer les risques de
santé suivants :

● Certains climatiseurs ou systèmes extérieurs de réfrigération produisent


des eaux où peuvent proliférer des organismes pathogènes s'ils sont
mal entretenus. L'exemple le plus cité est celui de la Légionellose.
L'injection de désinfectants dans ces systèmes (produits chlorés en
général) peut aussi poser des problèmes de santé, et d'apparition de
pathogènes chlororésistants.
● Presque tous les systèmes de climatisation comportent des filtres, qui
doivent être soit nettoyés, soit changés périodiquement, ce qui n'est pas
toujours le cas.
● Une climatisation n'a de sens que dans un espace relativement « fermé
», où divers polluants et contaminants biologiques (microbes) peuvent
se concentrer, même s'ils se développent moins grâce à une moindre
chaleur (dans le cas où la climatisation réfrigère l'air).
● Une climatisation excessive expose à un choc thermique lorsqu'on
retourne dans l'espace non climatisé. D'après l'agence de
l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) il est
recommandé de ne pas descendre en dessous de 26 °C et de garder
une différence de température compris entre 5 °C à 7 °C. De plus la
consommation d'énergie augmente aussi avec ce différentiel.
● La transmission des virus entre différents locaux par les systèmes de
climatisation a fait l'objet d'études qui ne permettaient pas, en 2009,
d'apporter de conclusion définitive alors que se développait l'épidémie
de grippe A (H1N1) de 2009. L'Agence française de sécurité sanitaire
de l'environnement et du travail (Afsset) conseillait en 2009 : « Dans le
cas des bâtiments collectifs équipés d’une centrale de traitement de l’air
(climatisation centralisée), maintenir l’apport d’air extérieur et arrêter, si
possible sans autre inconvénient, le recyclage. ». L'agence française
estime en effet que « Dans les bâtiments équipés d’une ventilation avec
recyclage de l’air (climatisations dans les immeubles de bureaux ou les
bâtiments accueillant du public comme les supermarchés) le risque ne
peut être exclu mais il reste difficile à évaluer car il dépend de
nombreux facteurs non connus (virulence de la souche de virus,
cheminement de l’air dans les pièces et les systèmes de ventilation,
etc.) ».

Pour l'environnement

La climatisation est critiquée pour les raisons suivantes :

● Elle dépense de l'énergie, augmente la consommation énergétique des


bâtiments ou véhicules qui en sont équipés. L'Ademe estime à 5 % le
surcoût annuel de la climatisation des automobiles (1 litre/100 km
lorsqu'elle est en fonctionnement).
● La consommation énergétique est telle que par exemple la
consommation électrique en été atteint et dépasse en France la
consommation électrique faite en hiver, notamment depuis la canicule
de 2003 qui a entraîné l'équipement d'un nombre élevé de foyers en
climatiseurs. Alors que, dans un même temps, le parc énergétique
Français (Notamment Nucléaire) ne peut fournir toute l'énergie car
devant fonctionner à régime réduit à cause des difficultés de
réfrigération rencontrées.
● Elle fait souvent appel à des dispositifs frigorigènes utilisant des gaz à
effet de serre (HFC dont le pouvoir en termes d'effet de serre est 2 000
fois plus fort que celui du CO), et dont une partie s'échappe
inévitablement dans l'atmosphère (accidents, fuites, mauvaise gestion
de la fin de vie du matériel). Toujours selon l'Ademe, cet effet équivaut
à une augmentation de 10 % de l'impact d'un véhicule sur l'effet de
serre.
● Trop de climatiseurs fuient. Les ruptures de circuit de climatisation de
maisons, hôtels et lieux publics sont fréquentes dans les pays très
chauds en raison des chocs thermiques.
50 % des fluides frigorigènes vendus le sont pour compenser des fuites.
Les fuites sont fréquentes sur les véhicules (deux bouchons sont
destinés à compenser les pertes du circuit), et on trouve dans les
garages des publicités pour des recharges de gaz fréon ou mélange
gaz-lubrifiant).
● Le circuit de la récupération/recyclage des gaz dans les appareils et
véhicules en fin de vie reste opaque.
● Enfin, la climatisation par un gaz pourrait souvent être remplacée par
une climatisation mécanique, des bâtiments ou véhicules mieux conçus
(isolation, pare-soleil), et des dispositifs plus "naturels" utilisés par
exemple par l'architecture bioclimatique (murs épais à inertie thermique
élevée, puits provençal, etc.).

Pour la santé et pour l'environnement

Certains produits tels que le bromure de lithium (LiBr) sont à la fois dangereux
pour la santé et pour l'environnement. Utilisé dans les machines à absorption
(climatisation utilisant de l'eau, de l'ammoniac et le gaz naturel comme source
d'énergie, dans une machine à absorption produisant de l'eau chaude et
glacée utilisable simultanément) à raison de centaines de litres (plus de 1000
litres souvent dans les climatiseurs industriels), il peut fuir et doit être vidangé
par des professionnels qualifiés en fin de vie de la machine. Après les faillites
ou cessations d'activité, il est parfois difficile de savoir ce que sont devenus
ces produits.

Climatisation - Définition
Fonctionnement et utilisation

La climatisation est un mode de confort thermique adapté lorsque la


température extérieure est élevée. En été et en intersaisons, le besoin de
climatisation est dû aux apports externes (solaire notamment) mais également
aux apports internes (nombre important d'occupants, exemple salle de
réunion, appareils électriques tels que l'éclairage, la micro-informatique, ...).
La climatisation apporte le confort thermique d'été, d'intersaisons, mais
également en hiver par utilisation du même système pour chauffer les locaux.
Le confort en hygrométrie est également pris en compte pour apporter une
humidité ambiante contrôlée par les actions d'humidification et de
déshumidification. Une climatisation est essentiellement une pompe à chaleur
d'une taille adaptée à l'usage (comparable à un réfrigérateur pour climatiser
une voiture, mais beaucoup plus gros pour un bâtiment)

Systèmes

Le principe de fonctionnement d'un climatiseur est expliqué sur le schéma


suivant:

Exemple d'une
Principe de
centrale de
fonctionnement
traitement d'air
d'un climatiseur

Un système de climatisation doit non seulement contrer les charges


thermiques et hydriques d'un local, mais il doit aussi assurer la qualité de l'air
par le renouvellement d'air neuf hygiénique (maintien de la teneur en CO 2 et
des odeurs à un niveau acceptable défini par les normes en vigueur), et bien
sûr la filtration de l'air soufflé.

● Les charges thermiques sont les apports ou les déperditions de chaleur


externes et internes qui sont exprimés en kilowatts [kW],
● Les charges hydriques sont généralement des apports d'humidité
internes exprimés quant à eux en kilowatts [kW] ou en kilogrammes par
heures (débit massique).
Les différents systèmes de climatisation

Il existe dans le domaine du génie climatique plusieurs types de systèmes que


l'on peut classer en trois catégories:

● les systèmes tout air :


○ les centrales unizones (voir exemple ci-dessus),
○ les centrales multizones,
○ les systèmes autonomes.

Le renouvellement d'air

Il existe plusieurs solutions technologiques concernant le renouvellement de


l'air au sein d'un local :

1. L'air neuf est mélangé aux conditions extérieures, avec une partie de
l'air repris du local par le biais d'un caisson de mélange (voir schéma ci-
dessus),
2. L'air neuf est préparé aux conditions spécifiques du local (température,
hygrométrie) par une autre centrale, appelé généralement centrale de
traitement d'air neuf.

Les systèmes tout air

Dans ce type de système, afin d'éviter que l'air extérieur ne vienne polluer
celui du local, on augmente légèrement la pression intérieure par rapport à la
pression atmosphérique. L'intérêt du caisson de mélange est de réaliser des
économies importantes d'énergies (respect de l'environnement).

On a donc dans ce cas un débit massique d'air soufflé supérieur au débit


massique d'air repris.

Ce type de procédé est généralement utilisé dans les bureaux, les salles de
cinéma, ...

Systèmes utilisés en recyclage total

Dans ce type de procédé, le renouvellement d'air neuf sera obtenu soit par un
système de ventilation mécanique contrôlée ou le mélange d'air s'effectuera
directement dans le local, soit l'air neuf sera préparé dans une centrale dite
"centrale d'air neuf". Cet air est directement soufflé aux conditions intérieures
du local. Un circuit d'air neuf particulier assure le renouvellement d'air neuf, et
on aura un débit d'air rejeté égal au débit d'air neuf apporté.

Système fonctionnant en tout air neuf


Dans ce type de procédé, il n'y a pas de recyclage de l'air du local. En
fonction du type de local il sera soit en surpression afin d'éviter toute pollution
de l'air intérieur (blocs opératoires, laboratoires de produits
pharmaceutiques, ...), soit à la pression atmosphérique.

L'inconvénient de ce type d'installation est qu'il est générateur de puissances


thermiques très élevées, donc peu économiques. Toutefois, afin de diminuer
les coûts énergétiques, on peut installer un récupérateur de chaleur (à
plaques par exemples) sur ces centrales.

Système fonctionnant avec récupérateur d'énergie

a revoir

Conditions de base

Dans une cour ou un environnement fermé ou peu aéré, par temps chaud, les
climatiseurs peuvent créer une bulle de chaleur auto-entretenue, contribuant au
phénomène d'ilot de chaleur urbain

Avant d'installer un système de climatisation, il est important de définir les


conditions de température et d'hygrométrie intérieures et extérieures.

Définition des conditions extérieures

Ces valeurs dépendent de la saison et de la situation géographique où seront


situés les locaux à climatiser. Les données météorologiques déjà classifiées
permettront de fixer les températures sèches et les hygrométries. Ces
données vont nous permettre de calculer les charges maximales à combattre
dans nos locaux.

Définition des conditions intérieures

Les températures et hygrométries intérieures dépendent du type de local :

● pour les locaux comme les habitations individuelles, les bureaux, les
grands magasins, .... (climatisation dite de « confort »), la température
et l'hygrométrie dépendront des saisons.
● pour les locaux de types industriels, la température et l'hygrométrie
dépendront de l'usage que l'on fait des locaux. Elles peuvent rester
constantes toute l'année (local informatique par exemple).

Charges d'un local

Lors de l'étude d'un projet de climatisation, il est important afin de pouvoir


dimensionner correctement la centrale de traitement d'air, d'étudier au
préalable les charges que devra supporter la centrale. Il faudra tenir compte
des charges dites sensibles et des charges dites latentes.

Charges sensibles

Les charges sensibles venant de l'extérieur sont positives en été (à cause de


l’ensoleillement, par exemple) et négatives en hiver (à causes des
déperditions).

Les charges sensibles venant de l'intérieur du local proviennent


essentiellement :

● des occupants,
● des machines à l'intérieur du local,
● de l'éclairage.

Charges latentes

Les apports de chaleur latente (dégagement d'humidité sous forme de vapeur


d'eau) viennent essentiellement :

● des locaux (comme les piscines par exemple),


● du matériel à l'intérieur des locaux,
● des occupants (odeurs et de humidité).

Charges hydriques

La relation mathématique suivante donne les charges hydriques nommé [øL] :


● øL = M x Lv [kW]
○ M = masse d'eau dégagée par heure
○ Lv = chaleur latente de vaporisation de l'eau.

Charges totales

Les charges totales sont la somme algébrique des charges sensibles et


latentes nommé '[øT].' Elle peut être positive ou négative et est donnée par la
relation mathématique suivante :

● øT = øS + øL [kW]

Bilan énergétique d'un local

Si la température et l'hygrométrie du local sont constantes, le bilan


énergétique de celui-ci peut être expliqué de la façon suivante :

1. La puissance apportée au local (air soufflé et apports internes) est


égale à la puissance perdue par celui-ci (air repris ou perdu),
2. L'humidité apportée au local par l'air soufflé et les apports d'humidités
intérieur est égale à l'humidité perdue sous forme de condensation ou
d'extraction d'air.

Bilan enthalpique

Pour cela on supposera que le débit massique d'air sec soufflé est égal au
débit massique d'air repris :

● øair soufflé = øair repris

La puissance apportée au local est la somme de la puissance apportée par


l'air dans le local, c'est-à-dire à øT (voir au chapitre précédent).

● øT= qmas x has-harp

Sachant cela, on peut déterminer les conditions de soufflage.

Conditions de soufflage

Pour déterminer les conditions de soufflage de l'air dans un local, il faut


connaître :

● le débit massique d'air sec au soufflage (qmas [kgas/s],


● le taux de brassage τ ,
● l'écart de température Δθ entre le soufflage et le local,
● le point de soufflage, dont les coordonnées sont déterminées en
reportant sur un diagramme psychométrique deux valeurs comme
l'enthalpie et la teneur en eau, par exemple.

Les conditions du point de soufflage (plus précisément les conditions de


confort) permettront de dimensionner les éléments de l'installation :

● le débit massique permettra de calculer les puissances des batteries et


le débit d'eau piégé par celle-ci (batterie froide humide), le débit d'eau à
injecter (humidificateur vapeur),
● l'enthalpie, la température sèche et l'humidité absolue permettront de
placer le point sur le diagramme.

Positionnement du point de soufflage

Le positionnement du point de soufflage par rapport à celui du local dépend


des charges sensibles et latentes (apports ou déperditions).

Les conditions à maintenir dans le local sont : θL, rL

Les conditions du point de soufflage sont : θs, rs

Les charges sensibles peuvent être: =0; <0 ou >0

Les charges latentes peuvent être: =0; <0 ou >0

Suivant les valeurs des charges, on peut considérer 9 positions significatives


du point de soufflage par rapport à celui du local.

En fonction du bilan thermique (apports ou déperditions), on peut donc prévoir


à l’avance la position du point de soufflage par rapport à celui du local.

Écart au soufflage et du taux de brassage

L'écart de température au soufflage représente la différence algébrique entre


la température de soufflage et la température du local :

● Δθ = θs - θL ou Δθ = θL - θs

Cet écart est toujours positif quelle que soit la position du point de soufflage
par rapport à celui du local. Il dépend du type de bouches utilisées.

On peut prendre en première approximation les valeurs suivantes :

● Soufflage été : Δθ = de 5 à 15 K
● Soufflage hiver : Δθ = de 5 à 20 K
Le taux de brassage représente le volume d'air traité renouvelé dans le local
pendant une heure :

● τ =qv/V
○ τ = taux de brassage en h-1
○ V = volume du local en m³
○ qv = débit volumique de soufflage en m³/h.

Le taux de brassage dépend du type de bouches de soufflage installées. Il ne


dépasse pas 15 en climatisation de confort et peut aller jusqu'à 30 en
climatisation industrielle.

Climatisation - Définition

Législation

Outre les normes concernant les appareils, leur consommation électrique, la


légionellose ou le recyclage des matériaux qui les composent, la législation
évolue pour mieux appliquer les protocoles de Montréal (protection de la
couche d'ozone, qui a justifié l'interdiction de certains gaz) et de Kyoto, mais
souvent en permettant l'utilisation des stocks d'anciens produits et avec une
certaine lenteur.

Réglementation française

En France, le décret no 2007-363 du 19 mars 2007, Art. R. 131-29, interdit le


fonctionnement des climatiseurs lorsque la température des locaux est
inférieure ou égale à 26 °C. Le décret n'est encore qu'une recommandation
dont la non application n'est pas poursuivie par la loi. Le but est simplement
de pousser les utilisateurs à modérer leur utilisation de ce type d'équipement.

À partir du 4 juillet 2009, les spécialistes de la climatisation et/ou réfrigération


devront :

● présenter une « attestation de capacité » fournie par un organisme


agréé, certifiant que son personnel est compétent et qu'il dispose de
l'outillage adéquat.
● déclarer à l'Ademe, annuellement, la quantité de fluides utilisée et
récupérés (Cf. statistiques et « traçabilité » de ces produits soumis à
réglementation).
Qualiclimafroid, association de professionnels s'est porté candidat pour être
organisme agréé et délivrer des attestations de capacité.

1. http://www.ademe.fr/particuliers/fiches/confort_ete/rub4.htm
2. Recommandation de l'Afsset pour les entreprises, 11 juin 2009
3. Les centrales nucléaires doivent s'adapter aux canicules sur notre-planete.info
4. Source : Serge BRESIN, président de Qualiclimafroid, organisme de qualification
professionnel spécialisé dans le circuit frigorifique
5. Décret n°2007-363 du 19 mars 2007, Journal Officiel n°68 du 21 mars 2007, page
5146
6. Communiqué Aout 2007 AFP

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