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« TECHNIQUES DE RAFRAÎCHISSEMENT BASSE CONSOMMATION »

Contexte et enjeux

Dans certains bâtiments et sous certains climats, il est possible de mettre en œuvre des techniques de
« rafraîchissement » qui permettent, pour une dépense réduite d’énergie, d’obtenir des conditions
ambiantes confortables en saison chaude.

Il ne s’agit pas de climatisation, c’est-à-dire que ces techniques ne permettront pas de maintenir une
température de consigne en toutes circonstances (objectif presque atteint avec les plus performantes
d’entre elles) ; elles permettront généralement de limiter les montées en température dans la journée,
en maintenant un écart sensible (plusieurs degrés) avec la température extérieure.

Il s’agit en quelque sorte d’un compromis entre climatisation et absence de climatisation.


Remarque : Pour l’instant, ni les systèmes de climatisation ni les systèmes de rafraîchissement ne sont
pris en compte dans la réglementation thermique [1] ; cela se fera progressivement ; le confort d’été
dans les bâtiments non climatisés est d’ores et déjà pris en compte [2], ce qui n’était pas le cas dans la
réglementation précédente.

Ces techniques de rafraîchissement sont sensibles au climat et à la qualité de l’enveloppe du bâtiment,


notamment son inertie et sa protection solaire. Dans tous les cas, les apports internes doivent être
limités au maximum, pour pouvoir valoriser ces systèmes.
Afin d’aider au développement de ces techniques, des travaux récents [3][4] ont cherché à définir les
conditions dans lesquelles telle ou telle technique de rafraîchissement était applicable, c’est-à-dire
efficace.

Les principales techniques identifiées dans le cadre de ces travaux sont :


- surventilation ;
- système évaporatif indirect ;
- plafond froid associé à une tour de refroidissement ;
- système à dessiccation.

Un outil de présélection et de pré-dimensionnement de ces techniques a été développé [3][4].

L’ADEME, qui a participé à ces travaux de recherche (principalement basés sur des simulations
numériques) souhaite aider des opérations de démonstration mettant en œuvre ces techniques, afin
d’évaluer, sur des bâtiments réels, ce que représentent les investissements et quels sont les résultats
obtenus en termes de confort et de consommations d’énergie.
Objectifs et Bâtiments concernés

Les bâtiments pressentis pour mener ces opérations de démonstrations sont typiquement les bâtiments
de bureaux. Des applications peuvent aussi être envisagées dans les bâtiments scolaires par exemple.

L’objectif est de démontrer l’efficacité des techniques de rafraîchissement, en prenant en


considération les résultats obtenus en confort thermique et en consommations d’énergie des composants
mis en œuvre : ventilateurs, pompes, etc.
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L’investissement et la facilité d’emploi et de maintenance de telle ou telle technique font aussi partie
des évaluations.

Ces opérations doivent permettre de mieux connaître le fonctionnement réel et les limites de ces
systèmes.

Solutions techniques

Dans un premier temps, les quatre techniques évoquées plus haut sont retenues, mais il peut être
envisagé d’autres solutions.

Pour les solutions proposées, on dispose d’un outil de présélection et de pré-dimensionnement [3][4], qui
permet de dire, pour un bâtiment et un climat donné, si telle ou telle technique est a priori applicable et
avec quelles caractéristiques principales (ex. débit de surventilation à mettre en œuvre).

NB : Quelle que soit la solution envisagée, une optimisation préalable de l’enveloppe doit être effectuée
(isolation, inertie, étanchéité à l’air, protection solaire – indispensable). Les consommations des
auxiliaires mis en œuvre doivent être réduites (cf. § 3.1 à 3.4). Enfin, les apports internes de chaleur
doivent être limités (cf. § 3.5).

1. Surventilation des locaux


L’idée est de ventiler fortement les locaux, la nuit, pour les refroidir et ainsi limiter le jour suivant la
montée en température intérieure, par la restitution de cette fraîcheur accumulée la nuit.
Le système peut se schématiser comme ci-dessous ; le double flux avec échangeur n’est pas
indispensable mais il peut permettre une récupération supplémentaire de fraîcheur en été (et un gain en
hiver).

Comme le montre l’outil de présélection (cf. Annexe Technique 1), ce système ne sera efficace que :
- pour des bâtiments à forte inertie, bien protégés du soleil le jour (et avec des apports internes
réduits) ;
- pour les climats tempérés : zone Ea et Ed [1] préférentiellement (et éventuellement Ec et Ed en
altitude).

Pour rendre ce système performant, il faut essayer de favoriser les échanges par convection entre l’air
de surventilation et les parois intérieures (et le mobilier) (soigner la diffusion d’air).

Le système est de conception relativement simple, dans le principe et dans les composants mis en
œuvre ; il faut toutefois véhiculer et diffuser un débit d’air important (généralement supérieur à 5
vol/h, plutôt proche de 10 vol/h), d’où un dimensionnement adéquat de l’installation. L’outil de pré-
dimensionnement donne une estimation des débits à atteindre suivant la situation.

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La surventilation présente des coûts d’investissement, de fonctionnement et de maintenance faibles par
rapport à ceux d’un système de climatisation classique.
Evidemment, la consommation du ventilateur doit être la plus faible possible [10] si l’on ne veut pas
perdre le bénéfice du système.

Remarque : la surventilation peut être intéressante également en mi-saison, de jour notamment (à des
débit plus modérés) dans des bâtiments à forts apports internes [9].

2. Système évaporatif indirect


Cette technique consiste à refroidir l’air insufflé (air « neuf » de ventilation) à partir d’un échange avec
un air secondaire (air repris) qui est lui-même refroidi par un humidificateur avant de passer dans
l’échangeur (cf. Schéma ci-dessous).

Dans un tel procédé, la masse d’eau contenue dans l’ai insufflé n’est pas changé (pas d’apport ni de perte
d’eau).

Comme le montre l’outil de présélection (cf. Annexe Technique 1), ce système présente des possibilités
d’utilisations plus larges que le précédent, au niveau du climat et des caractéristiques de bâtiments ; il
reste peu adapté dans le sud de la France et inefficace dans l’extrême sud-est, même avec des
enveloppes de bâtiment performantes.

Si les coûts d’investissement et de fonctionnement sont relativement faibles par rapport à une
climatisation classique, il faut toutefois faire attention à la consommation de la pompe d’eau et au coût
de l’eau elle-même : ces systèmes consomment beaucoup d’eau ; l’incidence sur le coût de fonctionnement
peut être importante.

La maintenance d’un tel système demande des soins particuliers : humidificateur, échangeur, même s’il
n’y a pas de contact direct entre l’air insufflé et l’air humidifié.

Deux ventilateurs interviennent également dans ce dispositif ; leur consommation doit être réduite au
maximum, même si les débits transportés sont relativement faibles (proches des débits hygiéniques).

3. Plafond froid plus tour aéroréfrigérante humide


Dans le principe, il s’agit de rafraîchir les locaux par l’intermédiaire d’un plafond refroidi à circulation
d’eau (il s’agit d’un émetteur « réparti ») ; l’eau froide étant produite par une tour de refroidissement,
ouverte ou fermée (cf. schéma ci-dessous) (une tour ouverte aura un meilleur rendement, mais les
contraintes environnementales peuvent imposer une tour fermée).

Le plafond froid permet de tolérer des températures d’air ambiant légèrement plus élevées qu’avec un
émetteur localisé, car la part de rayonnement est importante et intervient dans le confort ressenti.

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Le dispositif comprend généralement deux pompes de circulation et un ventilateur (tour de


refroidissement). Sur le schéma ci-dessus, on a représenté également un système de traitement d’air
qui est en fait un rafraîchissement complémentaire obtenu en refroidissant l’air de ventilation au moyen
d’une batterie froide sur le même circuit de la tour de refroidissement.

Comme le montre l’outil de présélection (cf. Annexe Technique 1), ce système présente des possibilités
d’utilisations encore plus larges que le précédent ; on peut l’utiliser à peu près partout en France, avec
cependant des bâtiments de conception « favorable » dans la moitié sud (à « très favorable » dans
l’extrême sud-est).

L’investissement est relativement élevé (plafond froid, tour), assez proche de celui d’un système de
climatisation classique avec groupe froid et ventiloconvecteurs. Le coût de fonctionnement est en
revanche plus faible ; la maintenance pratiquement équivalente. La consommation d’eau de la tour doit
être prise en compte.

Quelques précautions doivent être prises avec le plafond froid afin d’éviter les problèmes de
condensations (a priori les risques sont faibles compte tenu des températures de rosée relativement
élevées, mais cela dépend de l’humidité ambiante donc des activités dans les locaux).

4. Système à dessiccation
Par rapport au système évaporatif indirect, on rajoute un certain nombre de composants qui vont
permettre d’obtenir une efficacité de refroidissement plus importante.

L’air insufflé est d’abord déshumidifié, pour augmenter sa capacité de refroidissement par évaporation.
Cette déshumidification de l’air insufflé s’effectue par l’intermédiaire d’un matériau dessiccant, qui est
ensuite régénéré au moyen d’un réchauffage (par une source extérieure, si possible « gratuite » - cf. ci-
après).

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Après avoir été déshumidifié, l’air neuf a vu sa température sèche augmenter ; celle-ci est alors
abaissée d’abord en passant dans un échangeur sur l’air repris, ce dernier étant refroidi par
humidification (comme dans le système évaporatif indirect) ; ensuite, l’air neuf est encore refroidi dans
un humidificateur.
Le ventilateur d’insufflation est préférentiellement positionné entre la roue dessiccante et l’échangeur
sur l’air repris.

Comme le montre l’outil de présélection (cf. Annexe Technique 1), ce système présente des possibilités
d’utilisations encore plus larges que le précédent ; on peut l’utiliser à peu près partout en France, avec
des bâtiments de conception « courante » à « favorable » (dans l’extrême sud).

NB : pour être énergétiquement intéressant, ce système doit bénéficier d’une source de chaleur
« gratuite » pour régénérer la roue dessiccante (ex. rejets thermiques, énergie solaire,…).

L’investissement et la maintenance sont assez proches de ceux d’un système de climatisation classique.
Les consommations d’eau sont importantes et doivent être prise en compte dans le coût global du
système.

Comme le montrent les tableaux et cartes de l’Annexe Technique 1, les quatre systèmes précédents sont
à peu près classés dans l’ordre croissant de « faisabilité » : aux extrêmes, la surventilation n’est pas
applicable partout sur n’importe quel bâtiment, tandis que le système à dessiccation est utilisable à peu
près partout sur des bâtiments de conception courante (moyennement protégés du soleil dans la
journée).

5. Limitation des apports internes


Comme rappelé plus haut, ces techniques de rafraîchissement sont « sensibles » au climat, à l’enveloppe
du bâtiment (inertie, protection solaire) et également aux apports internes. Ces derniers doivent être
limités si l’on veut pouvoir profiter efficacement de ces techniques.
Il faut donc choisir des équipements électriques performants, en ce qui concerne principalement :
l’éclairage et la bureautique.
L’ADEME a lancé également des opérations exemplaires sur ces thèmes [11] [12], elles pourront être
menées conjointement avec les présentes opérations de démonstration. Des travaux relatifs à la
protection solaire font également l’objet de financements possibles par l’ADEME, dans le cadre des
OPATB [14].

6. Utilisation du guide de pré-dimensionnement


Le guide de pré-dimensionnement mentionné précédemment peut être obtenu auprès de l’ADEME.
Il comprend notamment :
- la description des techniques de rafraîchissement et de leurs principaux composants,
- les tables et cartes générales de présélection (cf. Annexe Technique 1),
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- enfin, pour chaque technique, des tableaux et graphes permettant de définir les
caractéristiques principales des systèmes permettant d’atteindre des objectifs de
rafraîchissement souhaités (température opérative de confort).
Pour les différentes techniques envisagées, les caractéristiques principales, objet du pré-
dimensionnement, sont :
- surventilation : débit d’air requis (pour obtenir un « rafraîchissement notable ») ;
- système évaporatif indirect : débit d’air requis (pour obtenir une « température de consigne »)
(avec : humidificateur d’efficacité 0,9 ; deux types d’échangeurs envisagés : à plaque (efficacité
0,55), rotatif (efficacité 0,75) ;
- plafond froid + tour de refroidissement : performance requise du plafond froid (en W/m²) (pour
obtenir une « température de consigne ») (deux types de tours envisagées : petite débit ou
grand débit d’air) ;
- système à dessiccation : débit d’air et température de régénération requis (pour obtenir une
« température de consigne ») (avec : efficacité de l’humidificateur direct 0,85 ; efficacité de
l’humidificateur indirect 0,95 ; efficacité de l’échangeur rotatif 0,8).

Les paramètres que l’on peut faire varier pour effectuer le pré-dimensionnement sont :
- les différents climats français (cf. Annexe Technique 1) ;
- l’inertie du local (moyenne, très lourde) ;
- les apports internes (10 W/m² , 30 W/m²) ;
- les apports solaires (indice de gains solaires – cf. Annexe Technique 2) ;
- l’orientation du local (est, ouest).

Un exemple d’utilisation du guide de pré-dimensionnement est donné en Annexe Technique 2).

Sélection des opérations et aides de l’ADEME

Le choix de la technique de rafraîchissement mise en œuvre devra s’appuyer sur le guide ci-dessus. Des
objectifs de résultats devront être définis, compatibles avec ce choix.

Un descriptif détaillé des composants et de leurs performances devra être établi.

Le maître d’ouvrage devra montrer les efforts accomplis pour :


- la qualité ou l’amélioration (si nécessaire) de la protection solaire du bâtiment ;
- la qualité ou la limitation (si nécessaire) des consommations électriques de l’éclairage et de la
bureautique.

Enfin, le maître d’ouvrage devra permettre et faciliter les actions de suivi et de communication de
l’ADEME sur l’opération.

L’ADEME pourra apporter un financement :


- jusqu’à 40 % du montant des travaux (matériel, main-d’œuvre) pour la réalisation de l’installation de
rafraîchissement (et pour les autres travaux pouvant rentrer dans le cadre des opérations
exemplaires : protection solaire, limitation des consommations des équipements (ventilateurs,
éclairage, bureautique, …) ;
- dans les actions de sensibilisation des occupants des bâtiments et les actions de communication sur
les opérations.

Suivi et évaluation des opérations

Un suivi du confort hygrothermique sera effectué, avec enregistrements en continu des températures
et humidités dans plusieurs locaux représentatifs, pendant deux ou trois mois d’été au moins (et pour
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deux années successives au moins). Suivant les bâtiments, des mesures en mi-saison seront également
effectuées.
Les consommations d’énergie seront mesurées, pour les différents composants des installations :
ventilateurs, pompes, moteurs des échangeurs rotatifs,…
Les consommations d’eau seront également mesurées, excepté dans le cas de la surventilation.
Le coût global sera déterminé : investissement (matériel, main-d’œuvre), fonctionnement
(consommations d’électricité et d’eau).
Une enquête de satisfaction des occupants des locaux sera effectuée.

Références – Sites Internet

[1] « Arrêté du 29 novembre 2000 relatif aux caractéristiques thermiques des bâtiments nouveaux et
des parties nouvelles de bâtiments », JO du 30/11/2000
[2] « Règles de calcul Th-E », CSTB, juin 2001
[3] « Systèmes de climatisation à faible consommation d’énergie - Guide de faisabilité et de pré-
dimensionnement », Cahier Technique du CSTB n°3454 (livraison 438), avril 2003
[4] « Guide de faisabilité et de pré-dimensionnement de systèmes de climatisation à faible
consommation d’énergie », ARMINES-CSTB-ADEME, septembre 2002
[5] « Le Recknagel. Manuel pratique du génie climatique. 3. Ventilation, climatisation et conditionnement
d'air », 2001, Editions JMG. PYC LIVRES
[6] « Conception des installations de Climatisation et de Conditionnement d'air », Guide AICVF n°10,
1999. Editions PYC LIVRES
[7] « Evaluation de l’impact de différentes stratégies de ventilation sur les besoins de chauffage et de
climatisation d’un immeuble de bureaux – utilisation du programme TRNSYS/IISIBAT »,
P. BARLES, Conférence IBPSA France’98, Sophia Antipolis, décembre 1998
[8] « Pre-cooling in mechanically cooled buildings », J. FLETCHER, BSRIA, UK, Technical Note TN
16/95, 1995
[9] « Surventilation des locaux tertiaires » P.Barles, Conférence ‘ Confort d’été, rafraîchissement ou
climatisation des bâtiments’, ADEME, Sophia Antipolis, 14-15 septembre 1995
[10] Fiche OX « Consommation des ventilateurs au niveau de la référence de la RT2000 dans les
bâtiments existants : 0,25 Wh/m3 », Catalogue des fiches d’opérations exemplaires, ADEME, 2002-
2003
[11] Fiche OX « Eclairage performant des locaux tertiaires », Catalogue des fiches d’opérations
exemplaires, ADEME, 2002-2003
[12] Fiche OX « Optimisation énergétique du patrimoine bureautique », Catalogue des fiches
d’opérations exemplaires, ADEME, 2002-2003
[13] « Calcul des charges de climatisation et de conditionnement d’air », Guide n°2, Collection des Guides
AICVF, Pyc Editions, 1998
[14] Fiche OPATB « Mise en place de protections solaires, fixes ou mobiles, sur les façades exposées »,
Catalogue des fiches de travaux d’OPATB, ADEME, 2002-2003

Sites Internet : Associations, Organismes, Centres Techniques,…

ADEME : Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie - www.ademe.fr


AICVF : Association des Ingénieurs en Climatique, Ventilation et Froid -www.aicvf.com
ARMINES : Centre d’Energétique de l’Ecole des Mines de Paris - www.cenerg.ensmp.fr
CETIAT : Centre Technique des Industries Aérauliques et Thermiques - www.cetiat.fr
COSTIC : Comité Scientifique et Technique des Industries Climatiques - www.costic.com
CSTB : Centre Scientifique et Technique du Bâtiment - www.cstb.fr
UNICLIMA : Union Syndicale des Constructeurs de Matériel Aéraulique, Thermique,
Thermodynamique et Frigorifique - www.uniclima.org

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ANNEXE TECHNIQUE 1 : Présélection des techniques de rafraîchissement, suivant la zone
climatique et la conception du bâtiment (sources [3] [4])

Critères pris en compte

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Table de présélection des Techniques

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10
Faisabilité géographique des différentes techniques
(bâtiment de type bureaux ou assimilable)

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11
ANNEXE TECHNIQUE 2 : Guide de pré-dimensionnement ; exemple d’utilisation (sources [3] [4])

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