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M.F.SAAOUDI
SOMMAIR :
Introduction général…………………………………………………..
1/type de contact…………………………………………………………………………………….
2/ la convection
3/ le rayonnement
INTRODUCTION général :
L’échangeur de chaleur est un appareil thermique de grade importance dans un installation
thermique et énergétique en rencontre au moins un échangeur de chaleur dans un
installation thermique
L’échangeur de chaleur entre le fluide plus chaud et la paroi séparatrice par convection de
chaleur l’échange de chaleur par conduction thermique dans le paroi et l’échange de chaleur
entre la paroi séparatrice et le fluide secondaire par convection de chaleur à la déférence
des autres appareilles thermique l’échangeur de chaleur ne contient aucune pièce
mécanique mobile
Dans un échangeur la chaleur est transmise d’un fluide à un autre le même fluide peut
conserver son état physique ou se présenter successivement sous les deux phases
Le domaine des échangeurs de chaleur peut être considéré comme une synthèse des
domaines suivants : transfert thermique, mécanique de fluides …..
Canalisation dans lequel les deux fluides sont directement mélangés et atteignent la
Même température finale.
Échangeurs à contact indirect : les deux fluides s'écoulent dans des espaces
Séparés par une paroi
Classement suivant les types d’échange
. Échangeur sans changement de phase :
Les échangeurs de chaleur sans changement de phase correspondent aux échangeurs Dans
lesquels l'un des fluides se refroidit pour réchauffer le deuxième fluide sans qu'il
Y ait changement de phase. Les températures des fluides sont donc variables, tout le
Long de l'échangeur.
Échangeur avec changement de phase :
Les échanges avec changement de phase sont caractérisés par trois cas différents :
l'un des fluides se condense alors que l'autre se vaporise : ces échangeurs sont
Rencontrés dans les machines frigorifiques.
le fluide secondaire se vaporise en recevant de la chaleur du fluide primaire,
Lequel ne subit pas de changement d'état. Ils sont appelés évaporateurs.
le fluide primaire se condense en cédant sa chaleur latente au fluide secondaire
Plus froid, lequel ne subit pas de transformation d’état
Classement suivant la disposition des écoulements :
Dans les échangeurs à fluide séparés, les modes de circulation des fluides peuvent se
Ranger en deux catégories :
Même sens « co-courants ».
Sens contraire « contre-courant ».
Ou bien les vecteurs vitesses sont perpendiculaire l’un à l’autre ; il
S’agit cette fois de « courant croisés
Plaques tubulaires
Ce sont des plaques percées supportant les tubes à leurs extrémités, leurs épaisseurs
Varient entre 5 et10 cm. Les tubes généralement sont fixés par : mandrinage, dudgeon
Nage, et par soudage dans les applications à haute pression [5].
Le Faisceau
C’est l’ensemble des tubes constituant le faisceau. Les épaisseurs de tubes sont
Normalisées selon le calibre BWG (Birmingham wire Gage). La perforation des trous
Dans les plaques tubulaires est normalisée ; elle s’effectue selon une disposition soit au
Pas carré, soit au pas triangulaire. Le pas est la distance centre à centre de deux tubes
Voisins
Le pas triangulaire permet de placer environ 10% de tubes de plus que le pas carré sur
Une plaque tubulaire de diamètre donné, mais en contrepartie, la disposition des tubes
Rend impossible leur nettoyage extérieur par insertion de grattoirs ou de racloirs à
Travers le faisceau. Pour ces appareils, il faut avoir recours au nettoyage chimique et
Réserver leu remploi pour des fluides propres [5].
Les chicane
Les chicanes peuvent avoir deux rôles :
• Augmenter la rigidité du faisceau, pour éviter les phénomènes de vibration
• Augmenter la vitesse du fluide
Il existe deux types de chicanes
. Les Chicanes transversales
Sont généralement constituées par un disque ayant un diamètre légèrement inférieur à
Celui de la calandre et comportant un segment libre dont la surface représente 20à45%
De la section totale. Ces chicanes ont pour but d’allonger le chemin du fluide circulant
Dans la calandre, et d’améliorer ainsi le transfert à l’extérieur du tube. Dans le cas des
Échangeurs horizontaux, une échchicanes pour faciliter la vidange et le nettoyage et vite
l’encrassement par stagnation
à la partie inférieure.
Les chicanes transversales assurent la rigidité du faisceau tubulaire, elles sont
Solidaires à la plaque tubulaire fixe au moyen de tirant et entretoise qui occupent la
place de tube les standards (TEMA) imposent un nombre de tirants entre 4à10.
2. Les Chicanes longitudinales
Sont généralement constituées par une simple tôle insérée au milieu du faisceau cette
Disposition oblige le fluide à effectuer un aller et un retour dans la calandre ancrure est
aménagée à la partie inférieure des chicanes pour faciliter la vidange et le nettoyage et vite
l’encrassement par stagnation
À la partie inférieure.
Les chicanes transversales assurent la rigidité du faisceau tubulaire, elles sont
Solidaires à la plaque tubulaire fixe au moyen de tirant et entretoise qui occupent la
Place de tube les standards (TEMA) imposent un nombre de tirants entre 4à10.
2. Les Chicanes longitudinales
Sont généralement constituées par une simple tôle insérée au milieu du faisceau cette
Disposition oblige le fluide à effectuer un aller et un retour dans la calandre
Longitudinales
Les passe :
Dans la disposition la plus simple, les fluides côté tubes et côté calandre entrent à une
extrémité et sortent à l'autre. On dit alors qu'il n'y a qu'une seule passe (un seul
passage) côté tubes et côté calandre. Les fluides peuvent entrer du même côté, (co courant)
ou aux côtés opposés (contre-courant) [7].
Les types des échangeurs à tubes et calandre :
Echangeur de chaleur à tête flottante :
L'une des plaques tubulaires est fixe, bloquée entre les brides de la calandre et de la
boîte de distribution. La seconde plaque, d'un diamètre inférieur, porte la boîte de
retour et peut coulisser librement à l'intérieur du capot qui ferme la calandre
Echangeur à tubes en U :
Le faisceau est constitué de tubes coudés en forme d'épingle, il n'est donc porté que
par une seule plaque tubulaire. Ce système permet la libre dilatation du faisceau. En
revanche, le nettoyage des tubes est difficilement réalisable autrement que par voie
chimique.
Flux de chaleur
Coté chaud
Phase gaz
𝑄𝑃𝐺 = 𝑚̇ ℎ𝐶𝑃ℎ𝑃𝐺 (𝑇ℎ𝑖 − 𝑇ℎ 𝑠𝑎𝑡 )
Coté froid
Phase gaz
𝑄𝑃𝐺 = 𝑚̇ 𝐶𝐶𝑃𝐶 (𝑇𝑐𝑜 − 𝑇𝐶2)
Phase liquide
𝑄𝑃𝐿 = 𝑚̇ 𝐶𝐶𝑃𝐶 (𝑇𝐶1 − 𝑇𝐶𝑖 )
. Phase liquide
La vitesse découlement
𝑉𝑡 = 𝑚𝑐 𝐴𝑜𝑡∗𝜌𝐶
1- CHOIX TECHNOLOGIQUE
La sélection de la meilleure technologie est liée :
2 - DIMENSIONNEMENT THERMIQUE
2.a. Validation du programme thermique
. La méthode Donohue : qui définit deux débits massiques moyens, l’un longitudinal et
l’autre transversal, et utilise le diamètre extérieur des tubes dans les expressions des nombres
sans dimensions.
La méthode Kern : cette méthode définit un seul débit moyen pour l’ensemble de l’appareil et
on a recours au diamètre équivalant.
Dans notre cas on a effectué les calculs suivant cette dernière (La méthode de Kern).
Q : quantité de chaleur
Sens d’écoulement relatif des deux fluides qui peuvent circuler soit à contrecourant pur ou
à courants parallèles
L’étude de DTLM dans un appareil s’effectuera en supposant que le coefficient global de
transfert U est constant en tour point, ainsi que les chaleurs spécifiques des fluides et qu’il
n’y a ni pertes thermiques, ni changement de phase au cours du transfert.
a. Contre-courant pur :
L’écoulement à contre-courant pur n’est réalisé que dans les échangeurs doubles tube.
Pour l’ensemble de l’appareil la quantité échangée s’écrit, en supposant un coefficient
moyen de transfert U constant tout le long du tube :
Q=U*A*(DLTM)
T1 = T1 – t2
T2 = T2 – t1
b. Courants parallèles :
Si dans un appareil à double tube, on inverse le sens de circulation de l’un des fluides en
permutant l’entrée et la sortie, l’échange s’effectue alors parallèles. Les différences de
températures :
t1 = T1 – t1
T2 = T2 – t2
3Nombre de passes
R= T2-t2/T1-t1
F=T1-t1/T2-t2
Q= UAF (DLMT)
Avec
Le terme E caractérise le rendement de l’échangeur. En effet, la limite supérieure de la
température de sortie de fluide froid est égale à température d’entrée de fluide chaud.
On peut donc écrire :
Résistance d’encrassement
AP=Q/U*F*(DLMT)
Cette surface AP est convenable pour un échangeur neuf qui doit transférer la quantité
de chaleur. Mais on a vue que, après un certain temps d’utilisation, il se produit des
dépôts constituant des résistances RSI et RSO au transfert de chaleur, de sort que le
coefficient de transfert global diminue. Dans ces conditions, la surface devient très
rapidement insuffisante pour assurer l’échange. Il est donc indispensable de calculer la
surface de l’appareil pour la valeur minimale admissible de coefficient de transfert quand
l’échangeur est sale. Dans le calcul des échangeurs, on évaluera à l’aide des tables, la
résistance totale à l’encrassement :
RS=Up-Us/Up*Us
La température calorique :Le problème consiste à définir pour les fluides des
températures moyennes Tc et tc appelés généralement températures caloriques, telles
que le coefficient de transfert local propre Up calculé pour ces températures puisse être
considéré comme un coefficient moyen asocial à la DTLM. On pose :
Tc = Tcs+F*(Tce-Tcs)
tc= Tfe+F*(Tfe-Tfs)
Pour les échangeurs classiques de chaleur, la différence des températures caloriques (Tc-
tc ), calculée en admettant une variation linéaire de U en fonction de la température, et
toujours sensiblement très voisine de la DTLM calculée permet donc le calcul direct de ,
puis des températures caloriques :
F= (DLTM)- Tf/Tc-Tf
Rt : résistance due à la paroi métallique du tube ( peut être négligée dans les calculs.)
Us est le coefficient de transfert sale relatif à l’élément du tube dl. Lorsque cette élément
est neuf, les résistances Rso et Rsio sont nulles et on définit alors un coefficient de
transfert propre Up , tel que :
a- Pour un faisceau
. Vitesse massique
Gt = mc/at
Cp 𝜆 ρ ɳ
Nombre de Reynald
Ret = dint*Gt/ɳ
Hio/qt=(hi/qt) *(dext/dint)
’où :
Jh = 1.86(𝑅𝑒. 𝑑𝑖 𝐿 )^ 0.14
: Re≤ 10000
Jh = 0.027(𝑅𝑒) ^0.8
B Section par calandre :
Gct=mf/act
Cp’ p’ ɳ’ 𝜆’
Nombre de Reynald
Jh’ : Facteur de transfert thermique coté calandre. Ce facteur est déterminé par l’abaque
. Détermination de Qt a Tt :
D’où :
Détermination de Qc à tt :
D’où :
RS= (Ub-Us/Us*Ub)
Us= Us’*(NT’/NT)