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Page 119, cas 5, équation pour la pente lorsque a = c = L/2, terme entre parenthèses : L2
– 4x2 (au lieu de L2 – 4Lx2)
Page 14, légende figure 1.15. Enlever le texte pour les déformations normales
Page 51, dernière ligne, - 0,3 R′ au lieu de - 3 R′
Page 56, solution de l’exemple 3.4, équation (ΣF)y, …−3 – 10 …(au lieu de −3+10)
Page 84, figure 4.15 (f), 20 kN⋅m (au lieu de 25)
Page 97, note de bas de page : l’expression au dénominateur entre les crochets est
1 + (dv/dx)2
Page 100, sous l’équation (l), pour les constantes C2 et C2′ l’unité est kN⋅m3
Page 119, Tableau 5.2 : la flèche (dernière colonne) pour le cas 6b commence par v = −
Page 124, équation (j) : le dernier terme à l'intérieur des parenthèses est + b3 (au lieu de
−b3)
Page 127, l’équation (h) correspond à « À x = 4 m, vC = −δFC » (début de la 3ème ligne)
Page 128, légende pour le tableau 5.3 : …exemple 5.13… (au lieu de 5.11)
Page 142, figure 6.15 (e), inverser le sens des 4 flèches pour la contrainte de 17,3 MPa
Page 154, ajouter l’équation pour (τmax)Mg
Page 172, éq. (b) : σ x′ = σ xp ... (au lieu de σ x′ σ xp )
Page 172, éq. (c) : σ x′′ = σ xF ... (au lieu de σ x′′ σ xF )
Page 188, figure 7.27 (f), l’angle 123,2° correspond à l’angle entre le prolongement du
vecteur Sn et le vecteur n
Page 190, deuxième alinéa, ligne 2 : …en Y; (au lieu de y)
Page 210, équation 8.31b, le premier terme à l’intérieur des parenthèses est 2εb
Page 238, fig. 9.16 (a), deux corrections : σx au lieu de Fx, et ajout de δx
Page 278, Facteur de sécurité…, deuxième alinéa, ligne 4 : …Sa /α et Su /α. Si…
Page 286, éq. (10.50b) : 1,0 − 0,015 [(T – 20) /100]1,83
Page 287, éq. (10.53), inscrire au bas du signe de sommation : i = 1
Page 290, page nouvelle. Changements aux figures 10.47 (b) et (c)
Page 291, ligne 13 : …(EFX et HIY)…(au lieu de EFX et IJY)
Page 291, ligne 16 : …cycle GJZ. Enfin…(au lieu de GHZ)
Page 305, article 10.9.2, ligne 6 : …écart type 3sσ …
Page 305, figure 10.55(a), ajouter une flèche pour pointer sur la zone hachurée
Page 351, tableau 11.1, 4ème colonne : 0,484 au lieu de 0,480; 0,596 au lieu de 0,590;
1,112 au lieu de 1,11; 1,958 au lieu de 1,96
Page 351, tableau 11.1, 6ème colonne : 0,775 au lieu de 0,748; 1,949 au lieu de 1, 999
Page 351, tableau 11.1, 8ème colonne : 0,772 au lieu de 0,777
Page 385, équation (d) : l'expression sous le radical est (a2 – x2)3
Page 396, remplacer l’équation (b) vers le bas de la page
Page 451, article 15.2.5, dernière ligne : …(2 2/3)d et l’espacement s soit de l’ordre
de 5d (référence 1).
Page 453, remplacer figure 15.10 au complet
Page 499, équation (16.42) U = cΦ
Page 526, figure 17.6 (g), pour la partie droite du diagramme, la droite s’arrête à
x = 3L/4 avec My = 0
Page 533, éq. 17.41, le dernier terme est My z /Iy (au lieu de My y /Iy )
Page 533, Fig. 17.12 (a), l’abscisse est z (au lieu de x)
Page 565, figure du problème 2.4 : la distance horizontale 5 m se termine au centre de la
poulie C
Page 581, problème 5.4, réponse, ligne 1 : le dernier terme à l'intérieur des crochets
s’écrit : −3L < x−a >2 (au lieu de −3L − < x−a >2 )
Page 581, problème 5.5, réponse, ligne 1, deux corrections : EIv = − w/24 x4 +…[au lieu
de v = -(w/2a) x4]
Page 588, problème 6.7, ligne 5 : … GAB = 42 GPa…(au lieu de 42 MPa)
Page 589, problème 6.8, réponse, le deuxième terme entre parenthèses est + rBrA [au lieu
de – rBrA]
Page 593, problème 6.16, figure, l’engrenage du bas est K
Page 601, problème 7.17, dernier terme de l’équation (b) : ½ (M + T*)
Page 601, problème 7.17, dernière phrase : …τp = 125 MPa pour…σp = 180 MPa
pour (au lieu de τp pour…σp pour)
Page 625, problème 10.16, réponse a), Soit a = 14,4/360 × 2,5 × 10−3 m
Page 625, problème 10.16, réponse b), −19,08 < ΔT < 58,85 °C
Page 636, problème 12.5, ligne 2 : …supportée en C.
Page 644, problème 13.10, avant-dernière ligne, Pour a ≤ r ≤ b
Page 647, problème 14.7, ligne au-dessus des réponses : (en newtons/mètre)
Page 656, problème 15.14, figure (c), (des deux côtés de l’âme)
Page 664, problème 16.11, dernière réponse : 55,70 kN/m (au lieu de kN/mm)
Page 670, remplacer figure pour le problème 17.9 au complet
Page 674, colonne 1, Quart de cercle : le dernier terme à l’intérieur des parenthèses
est 4/(9π 2), [au lieu de 8/(9π 2)]
Page 674, colonne 2, Demi-cercle : la deuxième équation est Iz = 0,11 r4* (z minuscule),
(au lieu de Iy)
Page 688, Tableau C.2, pour l’axe des z, ajouter une quatrième colonne intitulée Zz
avec dimensions 103 mm3 et avec les nombres suivants (de haut en bas) :
736/690/584/465/316/272/173/139/92,8/57,9/38,7/31,9. Pour l’axe des y, la
quatrième colonne doit avoir pour titre Zy, et les dimensions sont 103 mm3
Page 689, remplacer tableau au complet
Page 691, Tableau C.4, pour L25×25×6,4, Sy = 0,915
Page 693, Tableau C.6, pour 203×102×7,95, ry = 41,3
154 Chapitre 6
Rivet de Al (d = 10 mm)
3 mm
Al
Mg
50 mm 60 mm
5 mm 50 mm
(a)
50 mm
50 mm
47 mm 60 mm
d = 10 mm
T
(τ max )Al = 125 × 106 ≥
(
2 × 2,45 × 10−3 × 0,003 )
d’où
Tmax ≤ 1,84 kN⋅ m
et, pour le magnésium :
T
(τ max )Mg = 100 × 106 ≥
(
2 × 2,45 × 10−3 × 0,005 )
d’où
Tmax ≤ 2,45 kN⋅ m
sx
∆U =
∫0
P dδ =
∫0
(σ ∆ y ∆ z ) × ( ∆ x dε ) = ∆V
∫
0
σ dε (9.35)
Dx Dz
Le rapport DU/DV donne l’énergie moyenne à l’intérieur du volume élémentaire.
Quand DV Æ 0, ce rapport tend vers une limite définie comme la densité de l’éner-
s (a) dx
gie de déformation associée à la contrainte normale considérée, U0s.
sx ∆U εx
∫
B
A U 0σ = lim = σ dε (9.36)
∆V → 0 ∆V 0
s
C Cette densité de l’énergie (U0s) est représentée par la surface sous la courbe du
ex e
0 diagramme contrainte-déformation uniaxiale, entre e = 0 et e = ex. Deux situa-
e
de tions peuvent se présenter, selon la corrélation entre la déformation et la contrainte
(b) appliquée.
- Si la contrainte finale sx reste à l’intérieur du domaine élastique linéaire, la
s
densité de l’énergie sous l’action de cette contrainte est donnée, à l’aide de
B
rupture l’équation 9.36 avec s = E e, par l’équation :
sx
εx E ε x2 1 σ x2 1
∫
R
A U 0σ = E ε dε = = = σ x εx (9.37)
0 2 2 E 2
s
Ainsi, la densité de l’énergie de déformation élastique est égale à la moitié du
produit de la contrainte normale finale et de la déformation normale finale
(suivant la même orientation de la contrainte), ce qui correspond à la surface
K C H
ep ex e OBC à la figure 9.16b.
0
e de - Si la contrainte finale se situe dans le domaine plastique, la densité de l’énergie
(c) de déformation est représentée par la surface OABC de la figure 9.16c. Au
retrait de la charge, il y a une déformation permanente ep ; par conséquent, une
Figure 9.16 Élément de volume sou- portion de cette énergie est restituée (surface KBC de la figure 9.16c) et une
mis à une contrainte normale. grande partie de la portion restante se dissipe sous forme de chaleur.
Il est à noter que la surface entière sous la courbe s - e (surface OABRH de la
figure 9.16c) représente la densité de l’énergie de déformation requise pour provo-
quer la rupture du matériau sous une charge en tension. Cette énergie, reconnue
comme le module de ténacité, est étroitement reliée à la ductilité et à la résistance
maximale du matériau.
Énergie associée à une contrainte de cisaillement. Lorsqu’une contrainte
de cisaillement txy agit sur un volume élémentaire DV, la déformation de cisaille-
ment induite gxy produit un déplacement de la face de l’élément suivant la direction
de la contrainte, c’est-à-dire dy = Dx gxy à la figure 9.17a. De façon similaire au cas
de contrainte normale, on utilise, pour déterminer l’énergie DU générée dans le
1 séquence
s(MPa) C(70)
G(60)
60 E(50)
A(30) I
0
temps
F(-10)
H(-40)
-60 B(-50)
D(-60)
(a)
séquence arrangée
s C(70) K(70)
G(60)
60 E(50) Cycle Max. Min.
X 1 (EFX) 50 -10
I(30)
1 (HIY) 30 -40
0
temps
F(-10)
Y
H(-40)
-60 J(-50)
D(-60)
Figure 10.47 Illustration de la méthode (b)
de comptage de cycles rainflow. La mé-
thode dite «de la goutte de pluie» fait
allusion aux gouttes d’eau de pluie tom-
s C(70) K(70)
bant sur une série de toitures, illustrées G(60) Cycle Max. Min.
par la rotation de la figure 10.47a ou b 60 Z
1 (GJZ) 60 -50
pour orienter l’axe «temps» vers le bas.
1 (CDK) 70 -60
Le comptage d’un cycle est basé sur la
condition selon laquelle une goutte après
avoir atteint la fin d’une pente (par exem- 0
temps
ple E), touche la pente qui la suit immé-
diatement (FG) : a) séquence typique ;
b) séquence arrangée pour le premier
comptage ; c) séquence réduite après le -60
D(-60)
J(-50)
premier comptage. (c)
Lorsque la paroi est très mince et que, par exemple, seule la pression interne
agit, la contrainte radiale, qui est alors négligeable par rapport à la contrainte
circonférentielle, est souvent supposée nulle.
Nous allons maintenant considérer quelques cas particuliers concernant les
cylindres à paroi épaisse.
a 2b 2
τ max = pi
(b 2 − a 2 ) r 2 (13.32c)
a = 0,1 m
a 2 pi r b2
b = 0,2 m u = (1 − ν ) + (1 + ν ) 2
(a)
(
E b2 − a 2 ) r (13.32d)
L’exemple 13.3 illustre l’utilisation des équations 13.32. Nous y verrons notam-
ment que les contraintes atteignent leur valeur maximale sur la paroi intérieure
s (MPa)
90 EXEMPLE 13.3
80 La figure 13.13a illustre un cylindre d’acier à paroi épaisse (de 200 mm de
70 diamètre intérieur et de 400 mm de diamètre extérieur) soumis à une pression
interne de 60 MPa. On demande d’étudier la répartition des contraintes dans
60 60 sq
la paroi de ce cylindre, ainsi que le déplacement radial (u) qui l’affecte, sachant
50 50 u que les constantes élastiques du matériau sont : E = 200 GPa et n = 0,3.
40 40
Solution
30
tmax
20 Avec b = 0,2 m, a = 0,1 m, pi = 60 MPa, E = 200 000 MPa et n = 0,3, les
10
équations 13.32 donnent :
0,1 0,14 0,18 0,2
0 0,04
a 0,12 0,16 b r (m) σ r = 20 1 − 2 ( MPa ) (a)
-10 r
-20 0,04
sr
σθ = 20 1 + 2 ( MPa ) (b)
-30 r
-40 0,8
-50
τ max = 2 ( MPa ) (c)
r
-60 (b)
0,052
u = 10-4 r 0,7 + (m) (d)
Figure 13.13 Exemple 13.3. r2
P
Px
P
T = Pe
C C C
Py
y
(a) (b) (c)
x
Fi
i xi i
ri ri Fy F
yi
Fx
C
C
(e)
1 2 F2
ti = contrainte nominale (cisaillement)
Figure 15.10 Joint soumis à un cisail-
Ai = section d’un boulon
(d) F1 lement dû à une charge excentrée agis-
Fi = ti Ai sant obliquement.
∑ Ar
i =1
2
i i (15.9)
Cette expression est de la même forme que celle de la torsion (chap. 6, équat. 6.9),
si on admet que :
Problème 17.9 y
5,98 mm
Problème 17.10
On fabrique une poutre avec deux plaques de section
rectangulaire L × t qu’on joint entre elles à l’aide de deux
cordons de soudure S. La plaque verticale est située à une
distance aL du bord de la plaque horizontale (on considère y 2
a comme un paramètre). La poutre est soumise unique- _
ment à un effort tranchant Vy. z
L
y
z0 t
z h
`z
w
t
Tableau C.3 Profilés en C b