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DEDICACES
A ma future femme ainsi qu’à mes futurs enfants que je chérirai tous les jours de
ma vie.
REMERCIEMENTS
De prime d’abord, notre pensée se tourne vers Dieu, Créateur de l’Univers source
de sagesse et d’intelligence, car c’est par sa volonté que nous sommes parvenus à atteindre
nos objectifs couronnés par la réalisation du présent travail.
Il ne sera pas juste de nous passer de ceux qui n’ont pas ménagé leur force pour
nous apporter leurs aides tant financières que morales et leur assistance, nous citons Papa
YODI TUKUTSHU JEAN-PIERRE et Maman KONA SHOKO MARIE-CLAIRE , dont
la confiance à tout instant, les encouragements et le soutien inconditionnel nous ont toujours
accompagné.
Par ailleurs, nous témoignons notre reconnaissance aux oncles et tantes qui ne se
sont lassés à nous prodiguer des conseils et aussi à nous motiver tout au long de notre cursus
académique, nous pensons plus particulièrement à OMBA TUKUTSHU, BENOIT
LONGONDJO TUKUTSHU, PAUL OHENGE, ALPHONSINE AMBOHEKI, SHAKO
TUKUTSHU, GUELORD SHOKO, JEMIMA NGANDJI, BIMARIE YEWO, FIDEL
OTENGA, BIBOTSHA, … à vous tous nous disons merci.
Nous pensons ensuite à nos frères et sœurs, neveux et nièces, JPP YODI, LENNY
OKITO, LESLIE OTAMBOYO, LEON YODI, CHRISTIVIE BUKASA, RAYAN DJELA,
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PN : Pression nominale
Pr : Pression résiduelle
Qr : Débit du robinet
Vc : Vitesse de conception
Qp : Débit probable
DEDICACES.............................................................................................................................................I
REMERCIEMENTS................................................................................................................................II
LISTES DES TABLEAUX....................................................................................................................IV
LISTE DES FIGURES............................................................................................................................V
LISTES DES ABREVIATIONS............................................................................................................VI
Table des Matières................................................................................................................................VII
INTRODUCTION....................................................................................................................................1
1. Problématique...............................................................................................................................1
2. Objectif du travail.........................................................................................................................2
3. Méthodologie utilisée...................................................................................................................2
4. Subdivision sommaire du travail..................................................................................................3
PREMIERE PARTIE :.............................................................................................................................4
CHAPITRE 1 : RESEAU DE DISTRIBUTION......................................................................................5
1.1. Introduction..............................................................................................................................5
1.2. Définition []................................................................................................................................5
1.3. L’ossature des réseaux []............................................................................................................6
1.3.1. La classification des réseaux............................................................................................6
1.3.2. Le réseau ramifié ou étoile...............................................................................................6
1.3.3. Le réseau maille................................................................................................................7
1.3.4. Le réseau mixte.................................................................................................................7
1.4. Le trace du réseau de distribution []..........................................................................................7
1.5. Méthode d’alimentation du réseau [].........................................................................................8
1.5.1. Distribution Gravitaire......................................................................................................8
1.5.2. Le refoulement distributif.................................................................................................8
1.5.3. Le pompage à la demande................................................................................................8
CHAPITRE 2 : LES RESEAUX INTERIEURS DE DISTRIBUTION D’EAU []................................10
2.1. Rappel Théorique et Terminologie.........................................................................................10
2.2. Matériaux utilisables...............................................................................................................11
2.3. Dimensionnement des canalisations.......................................................................................11
2.3.1. Calcul de conduite................................................................................................................11
2.3.2. Principe de dimensionnement..............................................................................................13
2.3.3. Débit de Conception []..........................................................................................................14
2.3.4. Choix initial des diamètres des conduites............................................................................15
2.3.5. Calcul des pertes de charges []..............................................................................................15
2.4. Les Pompes [].............................................................................................................................18
2.4.1. Caractéristiques importantes des pompes...........................................................................19
P a g e | VIII
INTRODUCTION
1. Problématique
De ce fait, les conditions de vie ayant évoluées, les modes de constructions et les
impératifs du logement ont conduit aux conceptions de grands ensembles avec toutes les
conséquences qu’elles impliquent.
Par ailleurs, les installations sanitaires, donc en premier lieu, les réseaux de
distribution d’eau doivent être bien calculés et dans le respect des normes et des règlements en
vigueur mais le problème de la distribution d’eau ne se résout pas de façon mathématique
rigoureuse. Les paramètres sont très variables.
Aussi il convient de signaler que les débits des appareils et notamment des
robinetteries sont différents les uns des autres suivant les fabrications et leurs pertes de
charges encore que les pressions de distribution ne sont pas constantes et montrent des écarts
très grands aux différentes heures de la journée, et sont tributaires de la nature des tuyaux
utilisés.
1
François Anctil ; Jean Rousselle et Nicolas Lauzon : Hydrologie_Cheminement de l’eau, Presses
internationales Polytechniques, 2005, 2 p
0
Bernard de Gouvello : Le bâtiment, coproducteur de la gestion durable de l’eau en ville, Article,1 p.
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D’où, les réseaux de plomberie bien conçus sont indispensables pour que les
installations soient efficaces, sures et adaptées aux différents usages prévus. C’est ainsi que
les ingénieurs d’études, les plombiers sont responsables de la transposition des plans
architecturaux en dessin de construction, en tenant compte de l’intégrité des structures et du
respect des normes des constructions de plomberie [0].
Le présent travail s’intègre dans l’optique d’apporter une bonne gestion optimal
de l’eau aux usagers du bâtiment, tout en assurant l’hygiène et le confort sanitaire.
2. Objectif du travail
3. Méthodologie utilisée
Ainsi dans le cadre de ce travail de fin d’études, nous procéderons dans les lignes
qui suivent de la manière suivante par :
0
Organisation Mondiale de la Santé : Sécurité sanitaire de l’eau dans les bâtiments, juillet 2011, 22 p.
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PREMIERE PARTIE :
1.1. Introduction
Dans ce chapitre, nous présenterons les moyens dont l’ingénieur dispose pour
réaliser ce travail d’analyse et de conception, ainsi les besoins auxquels un réseau de
distribution doit satisfaire.
0
Prof Docteur. MAKOKO : Cours de Genie sanitaire p11. 2006
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Le réseau primaire est constitué des conduites qui desservent principalement les
zones de distribution.
Les conduites primaires sont celles qui ont les plus grands diamètres. Le choix des
conduites dites primaires est consécutif à l’étude de sensibilité des conséquences de leur
défaillance sur la qualité et la continuité de service. Il faut alors minimiser les points de
faiblesse sur ces conduites. C’est pourquoi le réseau primaire ne comporte pas de points de
livraison.
L’ensemble des conduites secondaires forme le réseau secondaire dont le rôle est
d’assurer la répartition des débits à l’intérieur d’une zone de distribution. Les dispositifs de
défense contre l’incendie y sont connectés et les raccordements des points de livraison y sont
tolérés.
Les différents sous réseaux d’un système de distribution sont agencés sous la
forme d’un réseau ramifié, un réseau maillé ou la combinaison des deux.
Un réseau ramifié est un réseau construit sous la forme d’arbre allant des
conduites primaires aux conduites tertiaires. L’écoulement s’y effectue de l’amont vers l’aval
dans les conduites normales de fonctionnement. Il est adapté aux réseaux de faible densité des
points de livraison et une continuité de service peu exigée. D’un coût relativement bas à
l’investissement , cet avantage par rapport au réseau maillé s’estompe avec les désavantages
liés aux pertes de charge élevées du système, l’apparition des zones mortes en cas d’arrêt ou
de baisse de consommation, la création de grandes zones d’interruption de la fourniture d’eau
en cas de défaillance . La sécurité du service est mal assurée et les frais de pompage sont
relativement peu élevés par rapport à un réseau maillé rendant un service équivalent.
Cette structure est caractérisée par une alimentation à sens unique. Tout tronçon
qui doit être mis hors service entraine la mise hors service de toutes les conduites en aval. Ce
0
PROF Docteur. FUAMBA : Cours d’Hydraulique Urbaine. 2014
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réseau présente moins de facilité dans l’exploitation et l’entretien. Il est inusité pour les
grandes agglomérations.
Un réseau maillé est un réseau de conduites dont la plupart des extrémités des
tronçons sont connectées pour former les mailles. Les points de rencontre des conduites sont
des nœuds.
On peut ainsi isoler une conduite tout en maintenant l’alimentation dans les
canalisations situées en aval de celle-ci réduisant ainsi au minimum la surface privée d’eau.
C’est un réseau intermédiaire comportant à la fois les deux types cités ci-haut, Il
offre globalement les mêmes avantages hydrauliques que le réseau maillé.
0
Makengo Grace : Etude du reséau d’alimentation en eau potable et d’évacuation des eaux usées dans
l’immeuble du gouvernement de la RDC, p.5 , 2014
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Il est possible de créer une station de pompage à la demande à partir d’une source
secondaire pour couvrir les pointes de la demande. Elle permet dans le même temps de
maintenir la pression de service.
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07
Pierre Dessers Ingénierie Thermique- Coordination sécurité
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Cuivre PE PP
Pour que l’eau sorte du robinet (Qr) elle doit se trouver à une pression (Pr)
supérieure à la pression atmosphérique (Pa).
Figu
[7]
re 2 : Robinet fermé même niveau que le compteur
Robinet ouvert
Robinet fermé
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Robinet ouvert
Lors d’un écoulement, la pression juste avant le robinet n’est plus égale à celle du
compteur, elle est diminué suite aux différentes pertes de pression dont :
a. Les pertes de charges, dues au frottement de l’eau contre les parois. Ces pertes étant :
Proportionnelles
au carré de la vitesse v et donc fonction du débit ;
la longueur de la conduite (L) entre le compteur et le robinet ;
la rugosité de la paroi de la conduite (f)
Inversement proportionnelles au diamètre D
Etant donné qu’il faut une pression minimale juste en amont du robinet, il est
donc absolument nécessaire de limiter les pertes de pression qui sont le résultat des
différences de niveau et de la perte de charge suite à l’écoulement de l’eau dans les conduites.
Dans les caves : 2 m/s pour toutes les conduites sauf pour le cuivre où la
vitesse max est de 1,5 m/s (risque d’érosion)
Dans les colonnes montantes : 1,5 m/ s
Dans les parties habitées : 1,2 m/s
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Calcul estimatif : qui se base sur les critères de besoins journaliers des usagers
de l’immeuble.
Calcul précis : qui se base sur la sommation des débits des bases des appareils
et multiplié par un coefficient de simultanéité, sachant qu’une installation
sanitaire se caractérise par son diamètre, son débit, sa pression, la vitesse de
circulation de l’eau et les pertes de charge du réseau.
1
Y= (2.1)
√(X −1¿)¿
08
Jetly, Formation technique (pompes – réservoir – accessoires), p.3
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Les conduites dont le diamètre est inférieur à 150 mm ne sont autorisées que si
on ne doit pas assurer la protection contre les incendies ;
La tuyauterie doit être conçue de façon à minimiser les pertes de charges, à
éviter toute contamination de l’eau pompée, à être protégée contre les coups de
bélier et avoir des joints étanches ;
La vitesse d’écoulement de l’eau en période normale d’utilisation doit osciller
entre 0,8 et 2 m/s ;
La vitesse minimale au période de faible de consommation, par exemple la nuit,
ne devrait pas être inférieure à 0,3 m/s ;
La pression minimale dans un réseau servant à la protection contre les incendies
est de 150kPa ;
La pression maximale à l’entrée d’un bâtiment ne doit pas excéder 500kPa.
09
RIADH BEN HAMOUDA, Notions de Mécaniques des Fluides, Centre de Publication Universitaire, p.90,
octobre 2008.
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Les pertes de charges linéaires représentent les pertes d’énergies dues aux
frottements visqueux du fluide le long d’une conduite de section constante. Ils se rencontrent
aussi bien dans les tuyaux lisses que dans les tuyaux rugueux.
Le calcul des pertes de charge dans le réseau fait usage des formules de White-
Colebrook et de Darcy-Weissbach avec une rugosité de la conduite Ks= 0,07 mm (conduite
neuve) ou Ks = 2 mm (conduite incrustée en service).
1 ks 2 ,51
=¿- 2,03 log ( + ) (2.2)
√λ 3 ,7 D Re √ λ
2
LV
J= λ (2.3)
2g D
Avec :
λ : Coefficient de perte de charge linéique (sans unité)
V : Vitesse du fluide en m/s
D : Diamètre intérieur en m
Re : Nombre de Reynold (sans unité)
Les valeurs de K s sont données par les constructeurs dans leurs catalogues.
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Q probable 0,5
∅ ic =35 ,7 ×( ) (2.6) en mm ;
V
Pour que l’installation soit satisfaisante, il faut que le point le plus éloigné du
compteur (qui est égal au robinet le plus défavorisé) ait, lors de la consommation de pointe,
encore une pression suffisante Pr ≥ Pmin(cfr tableau ci-dessous)
Pression
Point de puisage Débit EF (l/s) Débit EC(l/s) Température °c
minimale (bar)
Lavabo, lave-main, bidet 0,04 0,06 40 0,5
Robinet de chasse 0,1 / EF 0,5
Evier 0,02 0,18 55
Douche 0,08 0,12 40 1
Lave-linge, lave-vaisselle 0,2 / EF 1
Baignoire 0,16 0,24 40 1
Robinet de chasse d'urinoir 0,3 / EF 1
Robinet de jardin / garage 0,8 / EF 0,5
Les pompes sont des appareils permettant un transfert d’énergie entre le fluide et
un dispositif mécanique. Suivant les conditions d’utilisant, ces machines communiquent au
fluide soit principalement de l’énergie potentielle par accroissement de la pression en aval,
soit principalement de l’énergie cinétique par la mise en mouvement du fluide.
Une pompe permet ainsi de vaincre entre les deux extrémités d’un circuit :
0
LUKUTE TSCHONGA Lazare : Problèmes d’adduction d’eaux et évacuation d’eaux usées aux Cliniques
Universitaires de KINSHASA, p.15, 2014.
0
Prof Docteur. LUBUNGA PENE SHAKO : Pompes et Stations de Pompage, Kinshasa, p.16, 2016
P a g e | 19
a. Le Débit
Le débit q v fourni par une pompe centrifuge est le volume refoulé pendant l’unité
de temps. Il s’exprime en mètres cubes par seconde (m 3/s) ou plus pratiquement en mètres
cubes par heure (m3/h).
b. La Hauteur manométrique
La hauteur manométrique varie avec le débit, elle est représenté par la courbe
caractéristique H=f(Q) de la pompe considérée (fournie par constructeur)
c. Rendement
Un même réseau peut être alimenté par plusieurs pompes. Si celle –ci sont en
série, la caractéristique de l’ensemble des pompes s’obtient en additionnant les hauteurs pour
un même débit.
Cette disposition est utilisée, soit en vue de l’exploitation d’un forage profond,
soit en cas de baisse excessive du niveau de pompage dans un puits.
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Dans le cas des courbes ascendantes sans maxima, il y a aucune difficulté. Si les
pompes sont différentes, il faut au besoin tenir compte des fonctionnements pour éviter que le
débit ne puisse s’inverser dans une des pompes (Clapet de retenue). SI les courbes de
fonctionnement présentent un maximum, le fonctionnement en parallèle présente une
instabilité fondamentale.
Dans les installations sanitaires, les phénomènes coup de bélier se produit lors de
la fermeture rapide, sur une canalisation de l’installation, d’un mitigeur, d’une électrovanne,
d’une vanne à sphère, etc. La rapidité de la manœuvre provoque une brusque variation de la
pression de l’eau (surpression), dont l’onde se propage dans les canalisations. La perturbation
part du dispositif de coupure, à l’amont, se répercutant contre les autres dispositifs ou courbes
de l’installation et s’étendant vers l’aval en s’amortissant progressivement. La surpression va
s’ajouter à la pression déjà existante dans la canalisation pouvant provoquer à la longue :
0
www.wikipédia.fr/ coup de bélier
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Le coup de bélier est une onde de choc capable de développer des surpressions et
dépressions pouvant atteindre des valeurs très élevées ( pressions atteignant plusieurs fois les
pressions de service) qui engendrent les fatigues de tuyauteries , brides , soit même la
détérioration de divers appareils ( tels que les manomètres , etc.) ou provoquer leur
éclatement.
Les coups de bélier peuvent être à l'origine d'accidents, mais le plus souvent, cela
se limite à une rupture de tuyauteries ou du matériel qui y est raccordé. Les lignes transportant
des fluides dangereux bénéficient d'une attention toute particulière lors de la conception, de la
construction et de l'exploitation.
Les éléments suivants permettent de diminuer ou supprimer les coups de bélier:
3.1. Introduction0
Il est ainsi à sa disposition plusieurs appareils qui se différencient par leur forme,
mais surtout par la sensation de confort qu’on éprouvera quand on a envie de faire une activité
précise.
Cependant une détermination adéquate des besoins en eau doit tenir compte des
besoins actuels et futurs. Une telle précision dès le stade de la conception préliminaire permet
quelques fois des économies considérables au niveau de la réalisation des travaux.
0
Mémoire PAPA OMOR DIOP et OMAR THIAM : Conception d’un logiciel de dimensionnement d’un réseau
d’alimentation en eau potable d’un bâtiment, juin 2000, 14 p.
0
Mémoire PAPA OMOR DIOP et OMAR THIAM : Conception d’un logiciel de dimensionnement d’un réseau
d’alimentation en eau potable d’un bâtiment, juin 2000, 14 p.
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3.2. Equipements0
Une installation sanitaire se compose d’éléments très divers dont il faut connaitre
les caractéristiques avant de les mettre en œuvre. Parmi ces éléments nous avons :
La conduite constitue l’ouvrage principal d’un réseau. Elle peut être cylindrique
ou ovoïde, préfabriquée le plus souvent. Les parties de la canalisation exposées aux chocs
doivent être protégées ou exécutées en matériaux résistants.
Ces deux mots désignent un canal ou conduit tubulaire destiné à laisser passer
intérieurement un liquide, de la vapeur, de l’air, des gaz, des fumées, un conducteur électrique
etc.
La forme la plus courante est celle d’un cylindre creux mais d’autres profilés
creux peuvent être utilisés.
Les tubes ou tuyaux peuvent être réalisés en différents matériaux : acier, cuivre,
plomb, aluminium, fonte, verre, terre-cuite, grès fibrociment, matières plastiques etc.
Un tube peut avoir des nombreuses applications, aussi la première chose à faire
est-elle de définir son utilisation.
Le concepteur pour fixer son choix doit tenir compte de nombreux facteurs tels que : la nature
du fluide à véhiculer et du milieu ambiant ; la corrosion chimique et la corrosion
atmosphérique.
0
Mémoire Grace Makengo : Etude du réseau d’alimentation en eau potable et évacuation des eaux usées dans
l’immeuble du gouvernement de la RDC, 2014, 10 p.
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Les tuyaux en acier peuvent être livrés en grandes longueurs (jusqu’à 12ml)
permettant de réduire le nombre de joints.
Les canalisations en acier sont protégées par un ruban de fonte trempé dans du
bitume chaud et enroulé autour du tuyau. La protection des conduites non enterrées peut se
faire par une peinture spéciale.
Ces tubes sont les plus utilisées pour les canalisations intérieures. La jonction de
ces tubes se fait par raccords filetés.
Ils s’assemblent par brides ou soudure ou bien par raccords spéciaux à souder par
brasure.
La protection de ces tubes en acier pour les installations intérieures sera réalisée
par galvanisation chaud ou à froid pour les locaux humides.
Les joints mécaniques : Ils résistent à des pressions allant jusqu’à 25 bars et
permettent dans n’importe quel angle une déviation de 4 à 5’ des tubes assemblés.
P a g e | 25
L’assemblage par brides : Cet assemblage est nécessaire pour relier aux tubes
d’acier des tuyaux ou des pièces de raccords à brides, ou des appareils de
robinetterie ou de fonderie.
Les joints perplexes : permettent d’assembler deux pièces terminées l’une par une
bride et l’autre par un bout sans bride.
a.2. Avantages
Les aciers ont l’avantage de pouvoir supporter une pression de 60 bars pour des
diamètres inferieures à 150mm et leur flexibilité leur permet de suivre la sinuosité des tracés.
Son inconvénient reste identique malgré les années : sa mise en œuvre reste une
affaire de professionnels.
Le tuyau en fonte est un type de tuyau qui permet de faire circuler des fluides
entre deux destinations plus ou moins éloignées. Le tuyau en fonte fait partie des nombreux
types de tuyaux existants aux côtés des tuyaux en tôle, en cuivre, en plomb, en béton, en
matière plastique ou encore en verre.
recherches de fuites très limitée car le matériau propage mal le son, seule solution,
mettre en place des hydrophones
risque d'ovalisation si le remblai sur les flancs du tube est mal compacté ;
indétectable avec les outils de géo détection classique (inconvénient pouvant être
palier par l'ajout de boules ou câbles marqueurs).
Source : geberit.com
La fibre de verre est, historiquement, plus ancienne que la fibre optique de 30 ans.
Elle fut en effet brevetée en 1930, contre les années 1960 pour la fibre optique. Ce
n’est toutefois que récemment qu’elle a révolutionné l’industrie verrière, utilisée pour ses
qualités mécaniques et optiques.
Elle est présentée sous plusieurs formes, en fonction de diverses utilisations entre
autres :
Installations de piscines ;
Transport de liquide agressif (acide, etc) ;
Air comprimé.
Source : www.axe-industries.com
C’est de leur matériau que provient le nom de la plomberie, puisqu’il était utilisé
en alimentation, évacuation et gaz.
Le plombier est, à l’origine, celui qui travaille le plomb pour réaliser des
installations de plomberie. Depuis les années 1970, l’usage des tuyaux en plomb est interdit,
car ils peuvent causer des risques pour la santé. Ils doivent être remplacés par des tuyaux de
cuivre.
P a g e | 30
Ce sont les organes libres ou recommandés, prenant appui sur une surface,
destinés à interrompre l’écoulement d’un fluide.
- Etanchéité ;
- Résistance à l’attaque du fluide ;
- Forme favorable à l’écoulement ;
- Indéformabilité sous la pression ;
- Surface de contact assez faible pour faciliter le rodage, mais suffisante pour ne pas être
matée ;
- Poids minimum pour réduire l’effort d’ouverture automatique ;
- Rapidité et facilité de manœuvre.
0
Mémoire Razaki : Dimensionnement d’un réseau d’alimentation en eau potable et d’évacuation des eaux usées
dans un logement, juillet 1992.
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A. Les robinets
– Les robinets vannes : manœuvrés en général à l’aide d’un volant, ils sont réservés aux
conduites d’un diamètre supérieur à 0,04 m.
– Les robinets à clapet : ils portent un disque obturateur plastique. Ils sont réservés pour
les canalisations dont le diamètre est inférieur à 1,5 cm.
– Les clapets de retenue : ils sont utilisés en général lorsque le réseau comprend un
système de surpression, tendant à refouler l’eau. Ils sont placés en aval du robinet
d’arrêt et sont destinés à retenir de l’eau contenue dans une canalisation après
ouverture de ce dernier.
– Les robinets de puisage : plusieurs types sont utilisés dans un logement suivant leurs
qualités et leurs formes. Cependant les plus utilisés sont les robinets à soupape.
– Les robinets intermittents à débits limité : pour ces robinets, quel que soit le moyen
employé pour maintenir ouvert (action constante sur le levier) ce robinet se ferme seul
après un débit déterminé obtenu par réglage préalable de la vis.
– Le robinet de commande à distance a le même principe de fonctionnement que celui
du robinet à fermeture automatique ou à débit limité. La manœuvre peut se faire à une
distance allant jusqu’à 100 m par un robinet secondaire.
1) Robinet à soupape
Caractères techniques
2) Robinet à vanne
Caractères techniques
Source : cdiscount.com
3) Robinet à tournant
Caractères techniques
Source : gflow.fr
4) Robinets à papillon
Caractères techniques
Source : plomberie-online.fr
Le déplacement de ces bulles d’air provoque des brusques appels d’air formant
des coups de bélier. Lors d’une surpression ou dépression provoquée par une brusque
fermeture ou ouverture d’un robinet, on assiste également à ces inconvénients. Afin de
remédier à ces inconvénients, il est recommandé d’utiliser des ventouses à chaque point haut
des canalisations. Ces ventouses automatiques sont montées sur des canalisations dont le
diamètre excède 40mm.
Il est indiqué d’utiliser les limiteurs de pression qui ont pour rôle de palier à cet
inconvénient. Ces sont des appareils délicats dont le fonctionnement dépend beaucoup de la
constance de pression à réduire.
Choisi pour les pompes dans le cas des réservoirs galvanisés, il est prévu par
alimentation d’automatique ou un compresseur
Les suppresseurs ont en général un débit de 0,5 à 0,6 m 3/h et une pression de
refoulement de 20 à 60 mce.
P a g e | 35
Ainsi des suppresseurs sont nécessaires pour ramener cette pression au niveau
adéquat, et un réservoir pour stocker l’eau refoulé par ces suppresseurs qui pourra servir aux
heures de pointe. Les systèmes de surpression ou alimentation en eau comporte une ou
plusieurs pompes alimentées.
Le choix d’un système est avant tout le choix d’une pompe en fonction des
performances à réaliser :
0
Règles DTU 60.11 (DTU P40-202) (octobre 1988) : Règles de calcul des installations de plomberie
sanitaire et des installations d’évacuation des eaux pluviales.
P a g e | 36
Les descentes des eaux usées : canalisations verticales recevant les décharges
d’éviers, baignoires, bidets, urinoirs, lavabos et douches ;
Les chutes desservant uniquement des water-closets.
Les chutes uniques assurant à la foi les fonctions de descentes et de chutes (dans ce
cas la ventilation secondaire est obligatoire) voir ci-dessous ;
Les collecteurs principaux : canalisations d’allure horizontale recueillant, en cave
les descentes et les chutes ;
La ventilation secondaire : tuyau amenant l’air nécessaire pendant les évacuations
et empêchant l’aspiration de la garde d’eau des siphons.
Siphons : Ce sont des dispositifs obturateurs hydrauliques qui doivent former la
solution de continuité indispensable entre l’air vicié des canalisations et l’air locaux.
Ils doivent avoir la plus faible perte de charge possible, ne posséder ni arrêtes, ni
rugosités susceptibles de retenir les corps étrangers et résidus évacués avec les eaux
usées. La garde d’eau à observer dans tous les siphons sera d’au moins 5 cm.
L’écoulement de tout appareil sanitaire doit être muni d’un siphon de dimension
appropriée placé immédiatement à la sortie de l’appareil. Les dimensions minimales
des siphons et orifices d’écoulement des appareils sanitaires ainsi que leur débit et le
diamètre des amorces de ventilation secondaire correspondantes sont fixés.
En aucun cas, l’écoulement d’un appareil sanitaire quelconque ne pourra se faire
dans la tubulure d’un siphon de w.c. ou dans le branchement des w.c.
Tous les siphons qui ne sont pas démontables doivent avoir un bouchon de
dégorgement ou tampon hermétique suffisant pour le nettoyage.
Les ouvertures recueillant les écoulements du sol doivent être munies d’une grille
démontable et d’un siphon nettoyable. Ce siphon doit être capable d’un large débit, l’entrée de
la grille doit être toujours visible ; ces ouvertures doivent également être munies d’un panier
amovible ne pouvant pas être entrainé par les eaux.
Lorsqu’un branchement doit évacuer des eaux chargées d’une quantité anormale
de graisses pouvant obstruer les canalisations, les siphons doivent être pourvu d’une boite à
graisse.
Ces appareils doivent être placés dans un endroit facilement accessible et aussi
près que possible des appareils qu’ils vidangent.
Garde d’eau : hauteur d’eau tenue en réserve dans le siphons et formant obturateur
hydraulique.
P a g e | 37
Au niveau de la collecte dans une fosse des produits des W.C., la différence
absolue entre chutes et descentes d’eaux ménagères se justifie.
Les règlements sanitaires n’admettent pas l’évacuation des eaux ménagères dans
les descentes d’eaux pluviales situées sur la façade de la voie publique.
Eviter de façon absolue l’encastrement d’un joint dans l’épaisseur d’un mur ou
d’un plancher.
4.1.2. Chutes et descentes d’eaux ménagères des immeubles de grande hauteur [17]
La garde d’eau des siphons au rez-de-chaussée des étages inférieurs des grands
immeubles n’est pas toujours assurée.
Dans les immeubles très élevés, il peut se produire des dépressions importantes
dans la chute, même si elle est ventilée en partie basse. Pour réduire l’effet de dépressions qui
risquent de prendre naissance dans cette chute, on double alors cette dernière ventilation
verticale parallèle.
Cependant, l’efficacité d’un siphon réside dans son grade d’eau. Il convient donc
de combattre les causses susceptibles de provoquer la disposition de cette dernière :
Evaporation de l’eau, souvent constatée après une longue période de non occupation
des locaux.
P a g e | 39
L’introduction dans chaque siphon avant l’abandon des locaux, d’un peu d’huile
recouvrant l’eau éviterait l’évaporation de cette dernière.
4.3. Nature des canalisations pour l’évacuation des eaux usées et leur mise en œuvre
4.3.1. Canalisation en fonte
Elles sont actuellement exclusivement réalisées par centrifugation qui donne une
fonte plus fine et plus résistante que la fonte moulée. Les tuyaux en fonte se distinguent par la
façon dont le joint et exécuté, et dont il existe deux catégories principales :
Les joints à emboitement dont la gamme des diamètres utiles va de 60 à 125 mm.
Les joints souples dont il existe deux types :
Le joint express : les tuyaux sont à emboitement. Le joint comprend, en sus de la
rondelle d’étanchéité, une contre-bride en forme de U et des boulons en fonte
spéciale pour éviter la corrosion.
Le joint Gilbault : les tuyaux sont à bouts unis. Le joint est constitué par une bague
en fonte recouvrant les deux extrémités des tuyaux à assembler.
La fonte constitue depuis près d’un siècle le matériau le plus employé. Elle
présente de nombreux avantages :
Les tuyaux et raccords sont livrés protégés par une couche de peinture d’apprêt.
Les tuyaux et raccords ont des dimensions d’emboitage permettant de les utiliser
avec les tuyaux de l’ancienne série.
Pour le repiquage de l’évacuation d’un nouvel appareil sur une chute en fonte, on
utilise parfois des raccords spéciaux.
P a g e | 40
Les tuyaux pour les chutes et descentes d’eaux ménagères sont choisis dans la
série assainissement, qui correspond à une fabrication plus robuste, et avec un revêtement
intérieur en vernis bitumeux antiacide.
La chute ou descente se presse une fois posée, après avoir déterminé, alors sans
risque d’erreur, l’emplacement de la manchette : l’étanchéité est assurée par une rondelle en
caoutchouc.
Le raccord vide trouve son emploi aussi bien pendant la construction d’un
bâtiment que lorsqu’il s’agit, dans un immeuble ancien, de raccorder un nouvel appareil sur
une chute ou sur une descente existante.
A côté des tuyaux de plomb classiques, on utilise parfois des tuyaux en plomb
antimoniés durcis qui peuvent être employés en plus faibles épaisseurs mais doivent être
travaillés avec certaines précautions. De plus, les joints réalisés par soudure présente une
étanchéité excellente et durable ; les jonctions sont d’ailleurs largement espacées.
Cependant, en raison des couts élevés du plomb, son emploi dans l’établissement
des chutes et des descentes reste exceptionnel et généralement limité à des installations
particulièrement soignées ou l’on cherche à réduire les bruits au maximum. Le plomb, métal
lourd et très absorbant, convient particulièrement bien dans ce cas.
Les tubes en acier conviennent aussi bien que les matériaux précédents pour
établir les chutes et descentes d’eaux ménagères.
Les joints s’effectuent, soit au moyen de manchons en fonte soit au moyen des
raccords filetés utilisés couramment dans les installations de chauffage central.
Ces tuyaux s’obtiennent par étirage à la filière et cuisson d’une pate bien corroyée
d’argiles sélectionnées. Il en résulte un produit imperméable à l’eau et qui résiste parfaitement
aux acides.
Les produits grès doivent leur aspect brillant à la mince couche de verre qui les
recouvre ; cette couche se forme à la fin de la cuisson, après introduction dans le four de sel
de cuisine. Du point de vue utilitaire, ce vernis supprime la rugosité et facilite l’écoulement de
l’eau.
P a g e | 42
Des recherches ont permis des simplifier le travail de raccordement des tuyaux en
grès.
Leur faible résistance aux variations thermiques freinait l’utilisation des tuyaux en
PVC. Actuellement leur faible prix et l’amélioration de leurs qualités ont développé
considérablement leur emploi.
Son utilisation pour le transport de fluides chauds n’est donc pas indiquée. La
densité est de 1,35 <d<1,40 et le coefficient de dilatation linéaire 60* 106<C> 80* 106.
Ce coefficient est élevé si on le compare à celui des métaux, soit 3 à 4 fois plus
grand. Cette caractéristique impose quelques précautions dans la pose pour les canalisations
très longue.
Les résistances mécaniques sont élevées que celles des métaux, mais en calculant
plus largement les dimensions, on peut satisfaire aux servitudes demandées dans des
conditions encore intéressantes, le poids et le prix étant moindres que ceux des métaux.
Dans l’emploi des tubes rigides, il faut tenir compte de la fragilité relative du
produit
D’une façon générale les tubes en PVC s’assemblent par emboitements collés.
Antérieurement les emboîtements étaient confectionnés sur le chantier, on ramollissait par
chauffage l’extrémité d’un autre tube. Aujourd’hui, les tubes comportent, de fabrication, un
emboîtement et leur assemblage se réduit aux opérations suivantes :
3. Enfoncer le bout male dans l’emboîtement. Ne pas opérer auprès d’un feu nu, les
colles utilisées étant très inflammables.
Les tubes en polyéthylène sont plus spécialement raccordés suivant les procédés
ci-après d’ailleurs également utilisables pour les autres tuyaux rigides en matière plastique.
Les filetages des tuyaux et des raccords sont garnis d’un produit hermétique et, si
besoin est, de filasse.
Les embouts, enduits de pâte à joint, sont adaptés sur les tés, coudes, manchons
d’union, etc.
Le tuyau préalablement ramolli à l’eau bouillante reçoit l’embout qui est serré au
moyen d’un collier en métal inoxydable.
Très souvent, les tubes en matière plastique utilisés à l’intérieur des bâtiments,
sont appelés à être peints. Pour obtenir une bonne adhérence, il est recommandé d’utiliser des
peintures dérivées du produit plastique.
Les diamètres des chutes et descentes, ainsi que ceux des conduits de ventilation
secondaire sont déterminés, conformément aux indications fournies par le tableau ci-après, en
fonction du nombre réel des appareils desservis (norme N.F.P. 41-202) :
Descente+/
Ventilation (mm) (mm)
Ventilation (mm)
w.c à chasse directe :
– jusqu’à 3 appareils 90 90 40
– plus de 3 appareils 100 100 50
Baignoire :
jusqu’à 3 appareils 80 60 40
de 4 à 7 appareils 80 80 40
de 8 à 15 appareils 90 80 40
plus de 15 appareils 100 90 50
Lavabos ou Bidets
– jusqu’à 3 appareils 50 50 20
– de 4 à 7 appareils 60 50 20
– de 8 à 15 appareils 80 60 30
– plus de 15 appareils 90 80 40
Eviers ou Timbres
– jusqu’à 3 appareils 80 80 30
– de 3 à 12 appareils 90 80 30
– plus de 15 appareils 100 90 40
Le code fournit à cet égard les précisions suivantes (Norme N.F.P. 41-201) :
Le débit des eaux usées à évacuer sera déterminé en faisant la somme des débits
individuels des appareils et en leur affectant un coefficient de simultanéité calculé, sauf
indications spéciales, conformément aux directives fournis à la norme N.F.P. 41-204.
Les diamètres seront choisis conformément aux indications fournies par le tableau
ci-après.
Débit (litre/seconde)
Diamètre (mm) 0,01% 0,02% 0,03% 0,04% 0,05%
81 1,59 2,26 3,01 3,2 3,58
95 2,3 3,36 3,99 4,61 5,16
100 2,68 3,8 4,65 5,36 5,99
108 3,27 4,72 5,75 6,63 7,41
120 4,42 6,27 7,67 8,87 9,89
135 6,08 8,67 10,56 12,23 13,66
150 8,17 11,54 14,16 16,3 18,2
162 10,04 14,23 17,47 20,12 22,36
180 13,37 18,92 23,22 26,74 29
200 17,86 25,27 26,49 30,58 34,14
216 21,88 31,04 30,85 35,64 39,87
220 23,2 32,76 38,02 43,86 49,05
243 30,08 42,81 40,06 46,27 51,71
250 32,55 45,97 52,22 60,27 67,38
300 53,04 75,1 91,74 106,1 118,45
Ces débits sont ceux des tuyaux coulant à demi-pleins. Ils sont calculés d’après la
formule de Bazin et pour un coefficient de frottement égal à 0,16.
Le débit d’un tuyau rempli jusqu’au 7/10 de son diamètre est approximativement
égal au débit ci-dessus multiplié par 1,5.
En vue de recueillir et de canaliser les eaux pluviales vers les tuyaux de descente,
on établit au bas de chaque versant d’une toiture des ouvrages spéciaux, généralement
métalliques, parfois encore en amiante-ciment, présentant une légère inclinaison ou pente. Ce
sont les gouttières et les chéneaux.
Les gouttières sont des ouvrages en zinc, cuivre ou tôle galvanisée, dont le profil
diffère selon le mode de pose. Ces deux types de gouttières présentent chacun un profil
transversal identique d’une extrémité à l’autre de l’ouvrage. Il existe également un type de
gouttière dit ''à l’anglaise'' dont le profil transversal développe davantage à la haute pente.
Toutes les gouttières reposent sur des supports métalliques : crochets ou support spéciaux.
Les chéneaux sont des ouvrages analogues aux gouttières, reposant non sur des
supports métalliques mais sur une forme en bois, présentant une légère pente, établie sur
P a g e | 46
l’entablement du mur de goutte. Ils sont généralement encastrés entre deux parois en
maçonneries ou en charpente.
Selon NFP 41-201, seules les descentes recevant exclusivement des eaux pluviales
peuvent déboucher à proximité des fenêtres, ou portes locaux habités ou de terrasses ou on
séjourne normalement. Elles seront, dans ce cas, obligatoirement siphonnées au pied. Il est
recommandé d’établir un réseau de descentes pluviales séparé des tuyaux de chute et de
descentes d’eaux ménagères.
4.5.1. Généralités
La fosse septique est un réservoir souterrain étanche qui reçoit les eaux vannes
(eaux provenant des toilettes ou eaux usées domestiques résultant de la vaisselle, des bains et
lavage). Elle constitue la solution sur site optimal pour les toilettes fonctionnant avec de l’eau.
Elle comprend deux chambres qui sont remplies par les eaux vannes transportées
par une canalisation ou un canal, ou pouvant directement du siphon des latrines. A l’intérieur
de la fosse septique, les eaux vannes se séparant sous forme de boues, de liquides et d’écume.
Ces effluents subissent différentes transformations chimiques et physiques avant d’être
partiellement rejetés à l’extérieur du réservoir.
La fosse septique est divisée en deux chambres isolées par une cloison de
séparation déflectrice.
La première chambre est la plus ample. Elle reçoit les eaux vannes, c’est le siège des
processus de sédimentation et de compaction des solides. Une épaisse couche d’écume
se forme souvent à la surface du liquide, en raison de la présence de graisses, huiles,
savons, détergents et autres produits chimiques.
0
Hermann : Eau- Assainissement – hygiène pour les populations à risque (Action contre le faim)
P a g e | 47
La seconde chambre est connectée à la première de telle manière que seuls les liquides
puissent passer d’une chambre à l’autre. Les processus de décomposition et de
production de gaz continuent.
Cette chambre possède un orifice permettant la sortie des liquides hors de la fosse.
Un coude ou un T est habituellement installé sur l’orifice de sortie afin de s’assurer que les
effluents seront collectés sous le niveau des graisses et en serons exempts.
Les effluents liquides quittent la fosse après un temps de rétention qui est
habituellement de 1 à 3 jours et qui permet de supprimer jusqu’à 80% des matières en
suspension.
5.1. LOCALALISATION
Le bâtiment est d’une hauteur de 23,8 m composé d’un Rez- de- chaussée et de 7
étages ayant les affectations ci-après :
Au RDC
Au 2ième niveau
Au 3ième niveau
Au 4ieme niveau
Au 5ième niveau
Au 6ieme niveau
Au 7ième niveau
Les installations et les conduites sont vétustes. Ces dernières connaissent plusieurs
fuites d’eaux relevées dans certains locaux sanitaires ;
La mauvaise gestion de la part de l’équipe technique ;
Mauvaise politique d’entretien et manque d’un plan de surveillance ou de pilotage du
réseau ;
La faible pression de l’eau observée au niveau du robinet le plus éloigné voir notes de
calculs ce qui entraine une crainte de non fonctionnement optimal ;
Les manques d’eau dans certains locaux relevés au niveau des étages supérieurs pour
différents appareils sanitaires desservis bien que les pompes fonctionnent de façon
intermittente.
6.1. Introduction
Il nous serait judicieux de pouvoir faire une estimation des usagers du bâtiment et
de la demande en eau car cela s’avère très indispensable.
Ainsi, nous allons passer en revue les différents appareils sanitaires de l’immeuble
tout en les comptabilisant pour chaque niveau.
De ce fait, nous allons dresser un tableau donnant le nombre des usagers et les
différents appareils sanitaires par niveau. Tout en sachant que l’immeuble SANKURU est
destiné à abriter des bureaux, des salles de réunion, etc.
Pour la détermination des usagers du bâtiment on s’est basé sur les données reçues
auprès de la direction des ressources humaines de la DGDA nous fixons le nombre exact des
usagers par niveau.
La dotation est définie comme étant la quantité d’eau à prévoir pour faire face aux
différents besoins (domestiques, publics, commerciaux, et industriels) de l’utilisateur compte
tenu des pertes à la production , dans le réseau, dans l’immeuble et chez l’utilisateur.
Pour notre étude nous allons nous baser sur les données de l’OMS afin de
déterminer le volume journalier consommé par les usagers.
Sachant que la dotation journalière dans les grandes villes est de 200 l/ habitant /
jour, et dans l’hypothèse où environ 1/3 des utilisateurs vont dans les toilettes, le volume
journalier consommé est de V= 400× 0,2 ×1/3= 26,6 m 3 ce qui peut correspondre en réalité
pour une autonomie de 3 jours car nous avons considéré le temps de service de 8h..
0
Makengo Grace : Etude du réseau d’alimentation en eau potable et d’évacuation des eaux usées dans
l’immeuble du gouvernement de la RDC, p.51 , 2014
P a g e | 54
Cependant cette demande se fait pendant une période de temps courte à un taux ou
débit très élevé. Il est à signaler que cette demande est fonction du milieu et du degré
d’exposition aux incendies.
Cette interdiction sera bien étendu, levée par une manœuvre manuelle effectuée
sur place ou à distance en cas d’incendie. Autrement dit, un évent d’un siphon interdit
l’utilisation de l’eau au-dessus d’un niveau défini au préalable.
0
Jean Loup Robert : Hydraulique Urbaine, 2004
P a g e | 55
- Le réservoir (bouche incendie) est dimensionné pour faire face à un incendie qui se
déclare simultanément dans trois niveaux différents du bâtiment pendant trente
minutes
Diamètre 116,189 mm
Pour la vérification du coup de bélier, nous avons utilisé la formule d’ALLIEVI présenté de la
manière suivante :
La célérité de l’onde
1
a=
√¿ ¿ ¿
Avec :
K : Nature du matériau
e : épaisseur de la conduite
D :Diamètre de la conduite
Calcul de l’oscillation
P a g e | 56
Suppression
a xU0
p+ = HMT + > PN (il y a nécessité de placer un dispositif anti bélier)
g
Dépression
a xU0
p- = HMT - > PN en valeur absolue (il y a nécessité de placer un dispositif anti
g
bélier)
Avec :
Les réservoirs ou bassins sont des ouvrages destinés à retenir ou à stocker des
liquides afin de les utiliser ou les distribuer méthodiquement. Un réservoir est un ouvrage
permettant de stocker le fluide (eau) en quantité suffisante pour fournir aux usagers des débits
instantanés qui leur sont nécessaires.
La capacité d’un réservoir varie suivant le cas où il est alimenté par refoulement à
partir d’une station de pompage, ou par gravité à partir d’un réservoir de distribution
publique, ou d’une façon générale, d’une source d’eau.
Signalons que le volume d’eau réservée pour l’incendie sera pris en compte dans
l’estimation de la capacité du réservoir.
La bâche de sol
La bâche est un réservoir au sol situé à l’aval de la conduite d’adduction, elle sera
de la forme rectangulaire en B.A, pour notre cas elle est enterrée.
Hauteur totale = 4 m
Hauteur utile = 3,8 m
Hauteur minimal = 0,1 m
La revanche = 0,1 m
La longueur = 6,32 m
La largeur =6,32 m
Pour notre réseau proposé, nous avons suggéré de placer des réservoirs surélevés
dans nos différents blocs sanitaires, cette conception permettra :
Conduite de vidange
Elle est munie d’un robinet vanne qui doit être nettoyé après chaque vidange pour
éviter le dépôt de sable qui entraîne une difficulté de manœuvre. On a intérêt à n’effectuer
cette vidange que sur un réservoir préalablement presque vidé en exploitation
Le calcul de cette conduite est mené comme le calcul d’une conduite courte; de
plus on suppose que le débit d’apport est nul (arrêt de pompage).
Q= µ × A0 × √ 2× g × H (6.1)
Avec :
1
µ= (6.2)
√1+∑ ξ
Avec :
λ×L
∑ ξ linéaires = (6.4)
D
Avec :
8×g
λ= 2 (6.5)
C
2× V r
T= (6.7)
Q0
Avec :
V r : Volume de la bâche en m3
Q0 :Le débit de vidange en m3/s
Où :
1
Recr = 21,6 × C × D × (6.8)
Δ
Avec :
Re : Nombre de REYNOLDS ;
Recr: Nombre de REYNOLDS critique ;
1 1/ 6
C : Coefficient de Chézy, C = × R
n
n : rugosité du matériau, n= 0,012 ;
R : rayon hydraulique, R = D/4 pour section circulaire ;
D : Diamètre de la conduite (mm)
Δ : Rugosité absolue (= 0,001 m)
Vr
Vm = (6.9)
T × A0
Avec :
P a g e | 60
Vr : Volume du réservoir
T : Temps de vidange
A0 : Section de la conduite
P a g e | 61
Diamètre Rugosité
Rayon Coefficient Temps de Temps
( mm) du ξ ξ Qo Vitesse Re
Hydrauliqu de Chézy Λ μ vidange de vidange Re
PEHD PN matériaux lineaire singulière ( m3/s) ( m/s) critique
e (m) C ( s) ( h)
10 n
50 0,012 0,011575 39,6343969 0,0499591 7,9934538 1,1990181 0,3132278 0,0045562 70234,67166 19,50963102 1,1608036 57465,527 42805,149
63 0,012 0,014575 41,1863698 0,0462649 5,8749125 0,8812369 0,3590682 0,0082919 38591,68914 10,71991365 1,3306855 83003,158 56046,412
75 0,012 0,01735 42,4002744 0,0436538 4,6564011 0,6984602 0,3966861 0,0129828 24648,03572 6,846676589 1,4700953 109165,49 68688,445
90 0,012 0,020825 43,7102129 0,0410765 3,6512421 0,5476863 0,4385742 0,0206693 15481,88022 4,300522283 1,6253302 144831,4 84972,654
110 0,012 0,025475 45,2034018 0,0384076 2,7932773 0,4189916 0,4872389 0,0343025 9328,772018 2,591325561 1,8056787 196658,08 107403,28
125 0,012 0,02895 46,1771206 0,0368049 2,3555117 0,3533268 0,5192554 0,0472062 6778,767505 1,882990974 1,92433 238159,66 124678,23
P a g e | 62
Principe de dimensionnement
Dans cette partie de calcul nous avons suggéré d’utiliser la norme de conception
DTU 60 -11 (Documents techniques unifiés) qui est le plus utilisé de nos jours dans la plupart
des entreprises ou bureaux d’études, nous donnant les règles de calculs des installations de
plomberie sanitaire et des installations d’évacuations des eaux pluviales.
Par la suite nous allons utiliser la norme française NF P 41- 204 nous donnant les
débits de base des appareils, ainsi que la section des tuyauteries d’alimentation.
P a g e | 63
Sachant que le bâtiment est divisé en 2 blocs sanitaires voir les plans en annexe,
nous allons présenter un tronçon du bloc 1 que l’on va calculer en suivant les étapes de calculs
expliquées au chap.2, les restes de calculs ainsi que du bloc 2 seront présentées aux
différentes annexes.
Le sanitaire pour hommes avec 4 appareils dont 1 W.C avec robinet de chasse, 2
lavabos et 1 urinoir avec robinet individuel ;
Le sanitaire pour femmes avec 3 appareils dont 1 W.C avec robinet de chasse et 2
lavabos ;
Le sanitaire du directeur général avec 3 appareils dont 1 W. C avec robinet de chasse,
1 lavabo et 1 douche.
1
Le coefficient de simultanéité est calculé par la formule y= où X le nombre
√ X−1
1
total des appareils du tronçon, d’où on a y = = 0,577350269
√(4 ¿−1)¿
Le débit probable q p= y × q = 0,577350269 ×0,67 l/s =0,38682468 l/s
La vitesse de conception étant maintenue à 1,5 m/s
√
0,38682468
1 ,5
= 18,12924317 mm
1
Le coefficient de simultanéité est calculé par la formule y= où X le nombre
√ X−1
1
total des appareils du tronçon, d’où on a y = = 0,707106781
√(3¿−1)¿
Le débit probable q p= y × q = 0,707106781 ×0,52 l/s = 0,367695526 l/s
La vitesse de conception étant maintenue à 1,5 m/s
√
0,367695526
1 ,5
= 17,67529861 mm
1
Le coefficient de simultanéité est calculé par la formule y= où X le nombre
√ X−1
1
total des appareils du tronçon, d’où on a y = 0,707106781
√(3¿−1)=¿ ¿
Le débit probable q p= y × q = 0,707106781 ×0,52 l/s = 0,367695526 l/s
La vitesse de conception étant maintenue à 1,5 m/s
√
0,367695526
1 ,5
= 17,67529861 mm
Le choix du matériau est porté sur le tuyau PEHD de pression nominale 10 bars
pour des raisons suivantes :
Ainsi, nous allons évaluer les pertes de charge pour un tronçon du bloc choisi à
titre d’illustration et le reste de calculs seront présentés sous forme d’un tableau pour
différents blocs.
Vue l’ampleur du bâtiment les pertes de charges locales sont prises égales à
environ 15 % des pertes de charges linéaires.
Le diamètre nominal DN 32
La longueur du tronçon 3 m
La rugosité étant de 2 mm pour une conduite incrustée en service
Le débit 0,57 l/s
La vitesse calculée 0,70 m/s
L’accélération de la pesanteur g = 9,81 m/s2
La viscosité cinématique ν de l’eau pris à 20°c est de 1,07 × 10-6 m2/s
V×D
Le nombre de REYNOLD est calculé par la formule Re =¿ , d’où on a
ν
0 , 70× 28 , 8 ×0,001
Re = =22445,99 < 105 écoulement turbulent lisse
1 , 07× 0,000001
Connaissant la nature de l’écoulement on peut calculer le coefficient de pertes de
charges en utilisant la formule de blasius recommandée pour ce type d’écoulement
−0 ,25
λ=0,316 × R e , d’où on a λ=0,316 ×22445 ,99−0 ,25 =0,025
Calcul des pertes de charges : bloc sanitaire 1 Batiment : Immeuble SANKURU ( DGDA)
Diamètres Longueur Rugosité Débit Vitesse Nombre de Coefficient de perte Perte de charges
Tronçon
(m) (m) (mm) (l/s) (m/s) Reynold de charges linéaires linéaires (m)
T-7 0,032 3 2 0,57 0,708451705 22445,9946 0,025816798 0,061914895
T-D7 0,025 7,5 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,232170007
T 7-H 0,025 2,9 2 0,38682468 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,098104302
T 7-F 0,025 6 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,185736005
T 6-H 0,025 2,9 2 0,38682468 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,098104302
T 6-F 0,025 6 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,185736005
T -6 0,032 3 2 0,725 0,901100852 28549,72997 0,024310091 0,094320405
T 5-H 0,025 2,9 2 0,38682468 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,098104302
T 5-F 0,025 6 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,185736005
T- 5 0,032 3 2 0,852823953 1,059972954 33583,3015 0,023342977 0,125319334
T 4-H 0,025 2,9 2 0,38682468 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,098104302
T 4-F 0,025 6 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,185736005
T-4 0,037 3 2 0,963991701 0,896200532 32831,10861 0,023475546 0,077919583
T 3-H 0,025 2,9 2 0,38682468 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,098104302
T 3-F 0,025 6 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,185736005
T- 3 0,037 3 2 1,063661448 0,988861164 36225,607 0,022905151 0,092560211
T 2-H 0,025 2,9 2 0,38682468 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,098104302
T 2-F 0,025 6 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,185736005
T-2 0,037 3 2 1,15478845 0,918581721 33651,01356 0,023331225 0,081356765
T 1-H 0,025 2,9 2 0,38682468 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,098104302
T 1-F 0,025 6 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,185736005
T-1 0,037 3 2 1,239247874 1,152099757 42205,63466 0,022046745 0,120933096
T - RDC' 0,025 2,9 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,089772403
T -RDC 0,037 34 2 1,318316586 1,152099757 42205,63466 0,022046745 1,370575088
Tpompe 0,0857 13 2 3,435815466 0,595934502 50565,92752 0,021072817 0,057860632
Perte de charge totale (mce) 4,391584565
P a g e | 68
Les pertes de charges locales sont prises égales à environ 15% de pertes de
charges linéaires ce qui nous donne : 0,65 m.
Calcul des pertes de charges : bloc sanitaire 2 Batiment : Immeuble SANKURU (DGDA)
Diamètres Longueur Rugosité Débit Vitesse Nombre de Coefficient de perte Perte de charges
Tronçon
(m) (m) (mm) (l/s) (m/s) Reynold de charge lineaire lineaires (m)
T-7 0,025 3 2 0,57 0,708451705 17535,93328 0,027460274 0,084296124
T 7-H 0,025 2,9 2 0,38682468 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,098104302
T 7-F 0,025 6 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,185736005
T 6-H 0,025 2,9 2 0,38682468 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,098104302
T 6-F 0,025 6 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,185736005
T-6 0,032 3 2 0,725 0,901100852 28549,72997 0,024310091 0,094320405
T 5-H 0,025 2,9 2 0,38682468 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,098104302
T 5-F 0,025 6 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,185736005
T- 5 0,032 3 2 0,852823953 1,059972954 33583,3015 0,023342977 0,125319334
T 4-H 0,025 2,9 2 0,38682468 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,098104302
T 4-F 0,025 6 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,185736005
T- 4 0,025 3 2 0,963991701 0,896200532 22183,18149 0,025892926 0,12719609
T 3-H 0,025 2,9 2 0,38682468 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,098104302
T 3-F 0,025 6 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,185736005
T- 3 0,037 3 2 1,063661448 0,988861164 36225,607 0,022905151 0,092560211
T 2-H 0,025 2,9 2 0,38682468 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,098104302
T 2-F 0,025 6 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,185736005
T- 2 0,037 3 2 1,15478845 0,918581721 33651,01356 0,023331225 0,081356765
T 1-H 0,025 2,9 2 0,38682468 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,098104302
T 1-F 0,025 6 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,185736005
T -1 0,037 3 2 1,239247874 1,152099757 42205,63466 0,022046745 0,120933096
T- RDC'' 0,025 2,9 2 0,367695526 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,089772403
T- RDC 2 0,037 20 2 1,318316586 1,152099757 42205,63466 0,022046745 0,80622064
Tpompe 0,0857 38,4 2 3,28313906 0,569453121 48318,94303 0,021313645 0,157842911
Perte de charge totale (mce) 3,766700125
P a g e | 70
Les pertes de charges locales sont prises égales à environ 15% de pertes de
charges linéaires ce qui nous donne : 0,56 m.
Contrôle de dimensionnement
Pour que l’installation soit satisfaisante, il faut que le point le plus éloigné du
compteur (qui est égal au robinet le plus défavorisé) ait, lors de la consommation de pointe,
encore une pression suffisante Pr ≥ Pmin
Dans ce cas il est évident que le robinet le plus défavorable est le point F 7−D7 du
bloc 1 étage 7 voir schéma du réseau existant.
Nous allons calculer les différents paramètres nous permettant de faire le contrôle.
Détermination de P z
Dans ce cas il n’y a que le compteur Woltzman horizontal P z = 0,3 bar voir tableau en
annexe.
Avec :
Contrôle de dimensionnement avec Pco = 3bar du robinet le plus éloigné du bâtiment se trouvant au tronçon D7-F7 du bloc 1
Tronço Longueur Vc en Diamètr Vitesse calculée en Nombre de Coefficient de pertes 1,15 RiLi en
Qp (l/s)
n (m) m/s e en m m/s Reynold de charges R en mbar/m mbar
D7-F7 7,5 0,367695526 1,5 25 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,761708909 6,569739342
F7-H7 6 0,367695526 1,5 25 0,748761799 18533,70789 0,027082983 0,761708909 5,255791473
H7-7 2,9 0,38682468 1,5 25 0,787715713 19497,91368 0,026741764 0,752112104 2,508293866
E7-E6 3 0,754520207 1,5 32 0,708451705 22445,9946 0,025816798 0,929404712 3,206446256
E6-E5 3 0,754520207 1,5 32 0,901100852 28549,72997 0,024310091 0,87516327 3,01931328
E5-E4 3 0,754520207 1,5 32 1,059972954 33583,3015 0,023342977 0,840347159 2,899197699
E4-E3 3 0,754520207 1,5 32 0,896200532 32831,10861 0,023475546 0,845119644 2,915662771
E3-E2 3 0,754520207 1,5 32 0,988861164 36225,607 0,022905151 0,824585447 2,844819791
E2-E1 3 0,754520207 1,5 32 0,918581721 33651,01356 0,023331225 0,839924106 2,897738167
E1-ER 3 0,754520207 1,5 32 1,152099757 42205,63466 0,022046745 0,793682811 2,738205697
ER-EO 2,8 6,967653558 1,5 32 1,152099757 42205,63466 0,022046745 0,793682811 2,55565865
37,41086699
P a g e | 72
Avec :
R= ρ ×V 2 × λ / 2 × D (6.11)
D’où ΔP = 1,15 ∑ R i l i =37,41 mbar soit 0,037 bar. Avec Pr = Pco −∑ 1 ,15 Ri l i−PZ −Ph
Dans le cas où le point D est un lavabo, qui nécessite une pression minimale de
0,5 bar, il faut craindre un fonctionnement non optimal du lavabo ( Pr < P min ).
Ainsi donc, nous allons aborder la partie consacrée aux solutions à donner pour
qu’il y ait un fonctionnement optimal de l’installation plus précisément le choix de la pompe.
Pour notre travail, nous allons nous baser sur le calcul précis pour évaluer le débit
de conception de chaque zone qu’alimentent les pompes et ensuite calculer la puissance en
gardant la même hauteur manométrique ( pompe disposée en parallèle ).
D’où HMT = H a + H r + Pr + Δh
Nous allons calculer la hauteur manométrique pour différents blocs, nous avons :
Chaque bloc est desservi par une pompe qui fonctionne de façon intermittente.
Puisque nous utilisons 2 pompes pour les deux blocs sanitaires, nous allons considérer le débit
total que donne chaque bloc et calculer la puissance. Avec un rendement de 70% pour les
pompes centrifuges.
ρ× g ×Q × HMT
La formule de la puissance est donnée par P = en KW (6.12)
η ×1000
Avec :
Bloc sanitaire 1
- Marque : EV 30/3-1A
- Type : pompe centrifuge de surface multicellulaire verticale
- Débit nominal : 20 m3/ h
- Hauteur manométrique : 80 m
- Puissance : 11 KW
- Ampérage : Triphasé 400V
0
Conception et Dimensionnement du sytème d’alimentation en eau potable simplifiée (AEPS) de la localité de
BOUSLIN au BURKINA FASO. Mémoire SOUBEIGA DESIRE, 2015, p.42
P a g e | 76
Ces diamètres engendrent des pertes de charges élevées d’où une HMT
importante. Ce qui occasionne alors des dépenses énergétiques élevées à l’exploitation. Quant
aux formules de Bresse et celle de Bresse modifiée, elles offrent des diamètres présentant une
meilleure qualité avec une réduction des charges d’exploitation.
Avec :
D : Diamètre en m
Q : Débit de la pompe en m3/s
On a D = 1,5 × (0,001 × 3,43)0,5
= 0,0878 m
La célérité de l’onde
1
a=
√ρx ¿¿¿
Avec :
Suppression
a xU0
p+ = HMT + > PN (il y a nécessité de placer un dispositif anti bélier)
g
Dépression
P a g e | 77
a xU0
p- = HMT - > PN en valeur absolue (il y a nécessité de placer un dispositif anti
g
bélier)
Avec :
Pour notre cas la vérification se fera par une comparaison avec la pression
nominale du tuyau choisi (PEHD PN 10 bars), pris en valeur absolue dans le cas d’une
dépression.
Pour notre travail nous allons présenter la simulation pour chaque bloc sanitaire
du système d’adduction proposé au bâtiment.
Données de départ :
- Les tuyaux (longueur, diamètre, rugosité)
- Les nœuds ou points de connexion des tuyaux (altitude du point)
- Les ouvrages (réservoir, bâche, pompes, vannes)
- Courbe caractéristique de la pompe (15 m3/ h ; 100 m)
Il dispose d'un système de protection anti-bélier pris Petites pompes, encombrement réduit et prix réduit.
Avantages comme réservoir d'air. En cas de panne d'une pompe, nous prévoyons une
Petites pompes, encombrement réduit et prix réduit. autre pompe pouvant desservir le bloc en déficit.
6.5.1.1. Introduction
La réalisation d’un système d’évacuation des eaux usées constitue donc un projet
important dans une agglomération. En effet, les canalisations d’évacuation des eaux doivent
assurer l’évacuation rapide et sans stagnation des eaux usées provenant des appareils
sanitaires et ménagères.
Pour évacuer les eaux usées pour notre immeuble nous allons procéder tout
d’abord par l’évaluation de la quantité des eaux usées et eaux à évacuer.
Les branchements ;
Les collecteurs d’appareils ;
Les canalisations verticales ;
Les descentes ;
Le collecteur général
Nous allons nous référer à la norme NF P41-202 qui donne le diamètre minima
des siphons d’appareils. Pour déterminer le diamètre des branchements nous allons nous baser
du principe qui stipule que « le diamètre du branchement de vidange doit être au moins égal à
celui du siphon qu’il reçoit »
Tableau 22 : Diamètres des siphons et des branchements
6.5.1.3. Détermination des diamètres des collecteurs des appareils et des colonnes
de chute et de descente
Pour ce cas d’espèce nous allons faire usage de la norme NF P41-201 qui stipule
que le débit des eaux usées à évacuer est déterminé en effectuant la somme des débits
individuels des appareils et en leur affectant un coefficient de simultanéité , sauf pour
indication spéciale , conformément aux directives fournies par la même norme.
La hauteur maximum d’eau usée doit être au plus égale à la moitié du diamètre de
cette canalisation.
Diamètre intérieur
Appareils Observation
minimal (mm)
Lavabo, lave-main, bidet 30
La pente recommandée est de 1 cm/ m, mais suivant les diamètres indiquées dans
le tableau les pentes prévues pour de canalisation sont comprises entre 1 et 3 cm/ m.
La pente recommandée est de 1 cm/ m, mais suivant les diamètres indiquées dans le
tableau les pentes prévues pour de canalisation sont comprises entre 1 et 3 cm/ m.
a. Collecteurs d’appareils
Faire la somme des débits individuelles des appareils desservis (voir tableau) ;
Multiplier le chiffre obtenu par un coefficient de simultanéité pour obtenir le débit
probable ;
Calculer le diamètre du collecteur.
Le tableau ci-dessous nous donne les débits de base des appareils pour
l’évacuation des eaux usées et eaux vannes.
Les diamètres des tuyaux pour les chutes et descentes des eaux usées seront pris
dans le tableau ci-dessous de la norme DTU 60.11
WC 1 ou plusieurs 90
1 à 3 appareils autres que
Baignoire, évier, lavabo, baignoire ou 1 baignoire au plus 50
douche, urinoir, bidet, lave- 4 à 10 appareils incluant 2
65
mains, machine à laver baignoires au plus
11 appareils au-delà 90
P a g e | 85
Les différents choix opérés pour les 2 cas seront présentés dans les tableaux ci-
dessous :
Chutes (WC)
Nombre Diamètres
Désignation N
d'appareils (mm)
RDC 2 N>3 90
Etage 1 2 N>3 90
Etage 2 2 N>3 90
Etage 3 2 N>3 90
Etage 4 2 N>3 90
Etage 5 2 N>3 90
Etage 6 2 N>3 90
Etage 7 3 N>3 100
Nous utilisons toujours les normes DTU 60.11 dont les présentes règles de calcul
s’appliquent aux installations d’évacuation des eaux pluviales comprenant :
Les gouttières ;
Les chéneaux ;
P a g e | 86
Les diamètres des tuyaux de descente sont déterminés d’après les indications des
tableaux suivants en fonction de la surface en plan de la toiture ou partie de toiture desservie.
Pour les couvertures ne comportant pas de revêtements d’étanchéité (telles que définies par le
DTU série 40).
Pour faciliter l’évacuation de l’eau de pluie nous allons subdiviser cette surface en
4 parties et avoir ainsi 4 tuyaux de descentes d’eau pluviale.
On a : S= 600 m2/4
= 150 m2
En admettant un débit maximal de 4,5 litres à la minute et par mètre carré selon la
norme DTU, soit Q = 0,075 l/s/ m2.
P a g e | 87
C : le coefficient de ruissellement
QT = 45 l/s
H= 6 m
Il y a trois principes qui guident la conception des fosses septiques, lesquels sont
expliquées ici-bas :
De fournir une durée de rétention suffisante pour que les eaux us »es arrivent dans la
fosse puissent déposer leurs matières solides et se stabiliser ;
D’assurer la stabilité du liquide, ce qui favorise le dépôt ou la flottaison des matières
des matières solides ;
De faire en sorte qu’il n’y ait pas d’obstruction et d’assurer une ventilation suffisante
pour le gaz.
L’efficacité de la fosse dépend du temps de, rétention des eaux usées dans la
fosse, des systèmes d’entrée et des sorties des eaux, du système d’évacuation des eaux et de la
fréquence d’élimination des boues. Le volume de la fosse doit être donc dimensionné avec
précaution. Il peut être calculé selon la formule suivante (en considérant que le temps de
rétention des eaux usées est de 1 jour) :
V= A+ B (litres) (6.16)
Pour Q inférieur à 6 T= 24
Pour Q compris entre 6 et 24 T= 33 – 1,5 Q
Pour Q supérieur à 14 T = 12
Pour notre cas nous allons prendre un débit réel journalier de 40 litres par
personne qui est le volume des eaux vannes estimer d’après le nombre supposé d’utilisation
de la chasse par usagers par jour, soit 4 chasses de 10 l/ pers/ jour.
Calcul du volume nécessaire à la rétention de la phase liquide pour une durée de 21h :
A= P×q (6.17)
Avec :
P : nombre des usagers ;
q : débit réel journalier
D’où A = 200 ×40 l/ pers / jour
= 8 000 litres.
Calcul du volume nécessaire à l’accumulation de la boue et de l’écume :
B = P×N×F×S (6.18)
Avec :
P : nombre de personne utilisant la fosse septique ;
N : nombre d’années écoulées entre 2 opérations d’évacuations des boues
(souvent 3 ans, mais en pratique les fosses doivent être plus fréquemment
vidangées c’est à dire 2 fois par an) ;
P a g e | 89
Données de calculs :
P = 200 personnes
N = 3 ans
F =1 pour T > 200 C
S = 25 litres / pers / an
Longueur = 4 m
Largeur= 4 m
Hauteur = 1,5 m
Ht= Hu + 0,3
Ht : profondeur totale
P a g e | 90
V= P× q
Q = 0,7 × 200l/habitant/jour
= 140 l/personne
= 28000 litres
Soit V = 28 m3
Connaissant le débit Q et le volume on prend un puits perdu de diamètre circulaire avec les
dimensions suivantes :
H= 4 m
F+P des tubes en PEHD DN 40 y compris les accessoires de pose, les raccordements et
V.2 ml 29,60 10,8648 321,60
vannes à chaque étage.
S/Total 5 827,04
VI. Connexion aux appareils sanitaires
VI. F+P des tubes en PEHD DN 25 y compris les accessoires de pose, les raccordements et
ml 120,70 12,96 1564,27
1 vannes à chaque étage.
S/Total 6 1564,27
B. Système d'évacuation des eaux vannes et usées
I. Tuyaux de chute
I.1 F+P des tubes en PVC de diamètre DN 90 y compris les accessoires de pose ml 70,00 11 770,00
II.2 F+P des tubes en PVC de diamètre DN 65 y compris les accessoires de pose ml 70,00 6,25 437,50
S/Total 7 1207,50
II. Tuyaux collecteurs des appareils
II.1
ml 40,00 36,168 1446,72
. F+P des tubes en PVC DN 16 y compris les accessoires de pose
II.2 F+P des tubes en PVC DN 32 y compris les accessoires de pose ml 40,00 18,986 759,44
S/Total 8 2206,16
III. Tuyaux collecteurs principaux
III. F+P des tubes PVC φ110 y compris les accessoires de pose jusqu'au puits perdu en passant
ml 85,00 16,225 1379,13
1 par la fosse septique et les chambres de visite
III. F+P des tubes PVC φ125 y compris les accessoires de pose jusqu'au puits perdu en passant
ml 65,00 12,265 797,23
2 par la fosse septique et les chambres de visite
S/Total 9 2176,35
C. Système d'évacuation des eaux pluviales
I. Tuyaux de chute
F+P des tubes en PVC DN 110 avec moignon cylindrique d'entrée y compris les
I.1 ml 144 36,168 5208,19
accessoires de pose
S/Total 10 5208,19
D. Système de protection incendie
P a g e | 93
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
Apres avoir présenté une panoplie des théories relatives au réseau d’alimentation
en eau potable et évacuation des eaux usées, nous avons passé en revue une vérification du
réseau existant dans l’immeuble SANKURU tout en relevant certaines informations nous
semblant utiles pour bien mener notre étude.
A cet effet, la conception des installations doit tenir compte d’un certain nombre
d’exigence donnés par différents documents à caractère normatif, pour garantir une sécurité
sanitaire dans le bâtiment, et qui procure le confort attendu, d’où l’utilisation de la norme
DTU 60.11 de plomberie dans ce travail s’avère indispensable.
Par contre le système actuel dispose d’une bâche en béton armé au sous-sol de
3
100 m pour alimenter l’immeuble. Cependant, ce volume s’avère insuffisant à certaines
prérogatives pouvant survenir au réseau telles qu’un éventuel incendie demandant un volume
minimum de 120 m3.
Pour l’évacuation des eaux usées et vannes, chacune de ses eaux ont été évacué
par son propre collecteur dimensionné selon la norme la norme DTU 60.11 de plomberie.
Pour ce qui est de l’évacuation des eaux pluviales, les eaux de pluies recueillies au
niveau de la toiture cachée sont canalisées vers nos 4 tuyaux de descente qui les acheminent
vers une fosse commune.
En fin de compte, Ce travail de fin d’études nous a été d’un intérêt certain car il
nous a permis d’approfondir certaines notions du génie sanitaire, et des connaissances sur
l’adduction en eau et l’évacuation des eaux usées. Au-delà de ça ce travail nous a permis la
maitrise de certains logiciels qui se portera utile pour notre vie professionnelle.
Références Bibliographiques
I. Ouvrages
IV. Webographie
1. www.wikipédia.fr/coup de bélier
2. http://edito.seliger.com
3. www.Futura-sciences.com
4. www.anjou-connectique.com
5. www.geberit.com
6. www.axe-industries.com
7. http://French.alibaba.com
8. http://gmi-robinetterie.com
9. http://cdiscount.com
10. www.plomberie-online.fr
11. www.Google-Earth
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ANNEXES