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EPIGRAPHE
« Voir ses collègues et être vu soi-même est essentiel pour un travail d’équipe
constructif et efficace »
Michel ASSINK
II
DEDICACE
REMERCIEMENTS
Ce travail scientifique est un gain d’un long moment (temps) et de l’écoulement de
trois années d’études supérieure et universitaire que nous avons passées à l’Université Méthodiste
de Kamina (U.M.K), dans la faculté de sciences informatiques.
Sur ce, nous ne sommes pas ingrat de rendre grâce à notre créateur, pour le souffle
de vie qu’il continue à mettre dans nous, louange et adoration à lui pour son amour immesurable,
celui qui a mis l’accent à notre existence, nous voici aujourd’hui arrivé à la fin de notre premier
cycle, qu’il soit loué à jamais.
A mes parents MBUYI NGOY Gérard et KAPINGA MUKADI Justine pour tous
les sacrifices, soutiens, encouragements et conseils qu’ils ont fait durant tout mon parcourt de trois
ans.
SIGLES ET ABREVIATIONS
UMC :
UP : Unified Proccess
INTRODUCTION GENERALE
PRESENTATION DU SUJET
Sous tous les cieux l’information est considérée comme le support des
connaissances humaines et des communications dans tous les domaines de la vie. De ce fait,
l’informatique intervient comme une science du traitement automatique de l’information grâce à
son outil qu’on appelle ordinateur qui facilitera le traitement automatique et le partage rapide de
l’information.
Vu l’essor de l’informatique de nos jours, il est préférable de dire qu’à l’aide de son
outil (ordinateur), cette science permet à rendre élémentaire des tâches complexes que l’homme
ne peut pas résoudre dans peu de temps tels que ; les calculs complexes, le partage de l’information
et voir le stockage d’une masse d’informations pour une utilisation future. A cet effet, grâce à la
réduction du temps d’exécution et le partage de l’information d’une manière rapide, il est
indispensable dans le cadre de notre travail de fin cycle, d’aborder le sujet qui traite sur « La Mise
en place d’une application informatique de vidéo-conférence au sein d’une région épiscopale,
cas de la région épiscopale du Nord-Katanga, Tanganyika et Tanzanie »
Plus les bureaux dans la région épiscopale sont nombreux, plus la transmission de
l’information est trop lente pour être diffuser dans chaque bureau, ce pourquoi la mise en place
d’une application informatique de vidéo-conférence sera une solution favorable pour la
transmission de l’information, le partage et surtout la tenue d’une réunion au sein de ladite région
épiscopale en temps réel.
1. OBJECTIF DE LA RECHERCHE
L’objectif poursuivi dans notre recherche est d’apporter une solution meilleure à la
Région Episcopale du Nord-Katanga qui permettra de réduire le coût et maximiser le temps de
partage dans un premier temps et dans le second temps de valoriser cette grande Région Episcopale
d’une nouvelle technologie en termes d’équipements informatiques.
2
Le choix d’un sujet de la recherche scientifique n’est pas un hasard. Nous avons
choisi ce sujet dans le but de contribuer au gain du temps concernant le partage d’informations et
la tenue de réunions en temps réel au sein de la région épiscopale en apportant une solution
informatique.
b. Intérêt du sujet
Du point de vue scientifique
Ce grand travail servira à ceux qui viendront après nous comme référence ou
point de repère afin d’en apporter une augmentation ou une modification.
3. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE
3.1.PROBLEMATIQUE
Les obligations d’une recherche scientifique imposent qu’il soit signifié les
problèmes pour lesquels l’étude est menée.
1
Dictionnaire français, Larousse illustré, éd. Maury-Manche court, 2010, P.822
3
Elle est encore définie pour ainsi dire, ensemble des questions fondamentales aux
quelles la recherche doit trouver la réponse ou la satisfaction.2
Il est indispensable de savoir que la tenue des réunions au sein de la région
épiscopale pose des sérieux problèmes tel que :
La perte du temps dans transmission des informations : il faut attendre que celui
qui a reçu l’information auprès de l’Evêque puisse aller à la bureautique faire la saisie, l’impression
et multiplier les copies pour transmettre les informations, tout cela a comme conséquence la perte
de temps.
Manque de la confidentialité de l’information : étant donné que la région épiscopale
manque les agents dans le département de l’informatique, ses informations sont à la portée de tout
le monde, par conséquent les informations considérées secrètes seront diffusé par n’importe qui et
cela peut nuire à la région épiscopale.
Pour toutes les difficultés énumérées ci-haut, notre problématique s’articule autour
de la question suivante « Avec quelle technologie informatique peut-on utiliser pour faciliter la
tenue des réunions au sein de la région épiscopale en temps réel afin que le partage d’informations
soit immédiat ? »
3.2.HYPOTHESE
Une hypothèse est une proposition ou une explication que l'on se contente d'énoncer
sans prendre position sur son caractère véridique, c'est-à-dire sans l'affirmer ou la nier. Il s'agit
donc d'une simple supposition, appartenant au domaine du possible ou du probable. Une fois
2
KITAMBA Odon, méthodes de recherche en science économique, G2 ECO, Cours inédit, UNIKAM,
2007, p.10.
3
GRAWITZ, Méthodes de sciences sociales, 5e édition, 1975, p. 403
4
énoncée, une hypothèse peut être étudiée, confrontée, utilisée, discutée ou traitée de toute autre
façon jugée nécessaire, par exemple dans le cadre d'une démarche expérimentale.4
4. METHODE ET TECHNIQUE
Tout travail scientifique doit avoir une méthode et une technique afin de mener
une bonne recherche.
4.1.METHODES
Pour ce qui est de notre travail de fin cycle nous allons utiliser deux types de
méthodes : la méthode de recherche scientifique et la méthode d’analyse et conception de système
d’informations.
4
http://www.wikipedia.com/hypothèses, le 04/02/2019 à 13h35.
5
A. MULUMBATI NGASHA, introduction à la science politique, 3e éd. AFRICA, 2010, p. 16
5
a. Méthode scientifique
La gestion d’un tel processus est organisée d’après les 4 phases suivantes: Insertion,
élaboration, construction et transition.
6
http://www.wikipedia.net/methode_scientifique, 04/02/2019 à 14h20.
7
http://www.wikipedia.net/méthodes_conception_systemeinformation, 04/02/2019 à 14h22.
6
4.2.TECHNIQUE
Dans le but de réaliser une analyse et une conception concrète par rapport à la
problématique, nous avons utilisé les techniques suivantes :
La technique documentaire : elle est basée sur la consultation des ouvrages, des travaux
de fin de cycle, des notes de cours, etc. Pour recueillir certaines informations concernant un objet
précis. Cette technique nous a permis de récupérer les données qui se trouver dans les documents
au sein de la région épiscopale.
La technique d’observation : par définition, c’est une technique qui, grâce à elle le
chercheur entre personnellement en contact avec la réalité qu’il étudie. Cette technique nous a
aidés par une simple observation, à récolter les informations en rapport avec notre sujet.
la technique d’interview : cette technique nous a permis d’entrer en contact direct avec les
différentes personnes travaillant au sein de la région épiscopale pour la récolte de certaines
informations.
8
http://www.wikipedia.net/technique, 04/02/2019 à 15h00.
9
http://fr.m.wikipedia.org/wiki/Source(information), 04/02/2019 à 15h05.
7
Dans l’élaboration de ce travail de fin de cycle, nous avons utilisé deux sources
d’informations :
1. Documentation
Cette source consiste à fouiller, analyser différents documents en extraire ce dont
nous avons besoin pour la réalisation du travail. Elle nous a permis de faire un bon regroupement
des informations en consultant divers documents relatif au sujet d’étude et ce document qui restent
la source même par excellence des données nécessaire pour la rédaction d’un travail scientifique
en informatique.
2. L’Internet
Cette source nous a permis de faire de consultation sur certaines informations non
trouvé dans les documents et cela a permis d’avoir une bonne compréhension sur les informations
recherchées.
5. DELIMITATION DU SUJET
6. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Chapitre premier est intitulé : « GENERALITES », dans ce chapitre nous allons donner
un aperçu des concepts de base du domaine d’application ainsi que la définition de
l’informatique, enfin présenter la méthode utilisée.
Pour mieux comprendre notre travail qui s’intitule : « Mise en place d’une
application informatique de vidéo-conférence au sein d’une région épiscopale, cas de la région
épiscopale du Nord-Katanga, Tanganyika et Tanzanie »
a. Mise en place : C’est l’organisation et l’installation de ce qui est nécessaire (pour quelque
chose).10
b. Application
10
Dictionnaire français, Larousse Illustré, éd. Manche-Court, 2010, p
11
Copyright (©) Larousse 2009
10
c. Informatique
d. Vidéoconférence
Elle est encore définie comme une réunion des personnes par l’intermédiaire d’un
réseau, lors de laquelle on s’échange du texte mais surtout des images animées des participants et
les doux murmures de leurs voix.14
Donnée, une représentation conventionnelle d’une information sous une forme convenant
à son traitement par ordinateur.
12
Copyright (©) jargon informatique
13
http://www.wikepedia.com/vidéo-conférence, consulter le 05/02/2019 à 05h27’
14
Copyright (©) jargon informatique
15
Copyright (©) jargon informatique
11
Le Système d’information est le centre nerveux des entreprises. Tous les acteurs de
l’entreprise véhiculent des informations. L’objectif principal d’un système d’information (SI) consiste
à restituer l’information à la personne concernée sous une forme appropriée et au moment opportun.
16
http://www.wikepedia.com/système information, à 04h05’ 06/02/2019
12
Le SI a donc un rôle opérationnel et stratégique. Il est opérationnel quand il se concentre sur des
tâches et des procédures de gestion automatisables (comptabilité, gestion, paie, commerciale,…).
Par contre, il est stratégique quand il intervient pour les prises de décisions.
L’analyse de l’entreprise en tant que système consiste à déterminer l’ensemble des flux et à
connaître la nature de l’information. Il faut distinguer 3 fonctions :
o Le contrôle : contrôlé la qualité de ce qui a été fait par le système opérant
o La coordination : il assure le suivi des actions qui sont menés dans l’entreprise.
o La décision : élaboration de prévisions, décisions d’arrêter la production d’un
produit qui n’est plus rentable.
Il est à noter que le SI à une autre finalité qui concerne la vie dans l'entreprise, il
doit permettre l'intégration des salariés dans l'entreprise, ceci quel que soit leur niveau dans la
hiérarchie.
Il doit favoriser la connaissance de l'entreprise et la compréhension des choix
stratégiques par l'ensemble du personnel. De plus, il permet de développer un "esprit d'entreprise"
chez les salariés en facilitant, par la diffusion de l'information, une vie sociale et une culture
d’entreprise.
Le système est défini comme un ensemble d’éléments interagissant entre eux selon
certains principes ou règles.17
Un système est déterminé par :
Une frontière qui le délimite par rapport à l’environnement dans lequel il est plongé ;
17
http://www.wikepedia.com/systeme, 06/02/20019 à 04h20’
13
Son organisation c’est-à-dire sa structure (les éléments qui le composent et les relations qui les
relient) ainsi que ses processus.
Il est itératif et incrémental. Le projet est découpé en itérations de courte durée (environ
1 mois) qui permettent de mieux suivre l'avancement global. A la fin de chaque itération, une partie
exécutable du système final est produite, de façon incrémentale. Un incrément est une quantité
prédéfinie ajoutée à une variable à chaque exécution d’un programme itératif.
Processus orienté par la réduction des risques: Dans ce cadre, les causes majeures
d’échec d’un projet logiciel doivent être écartées en priorité. Nous identifions une première cause
provenant de l’incapacité de l’architecture technique à répondre aux contraintes opérationnelles,
et une seconde cause liée à l’inadéquation du développement aux besoins des utilisateurs.
Piloté par les cas d'utilisation. Le projet est mené en tenant compte des besoins et des
exigences des utilisateurs. Les cas d'utilisation du futur système sont identifiés, décrits avec
précision et priorisés.
Pascal Roques, Franck Vallée, UML 2 en action de l’analyse des besoins à la conception, éd.
18
La gestion d’un tel processus est organisée d’après les 4 phases suivantes: Insertion,
élaboration, construction et transition.
Les activités menées à l’intérieur des quatre phases sont plus classiques, car déjà
bien documentées dans les méthodes existantes par ailleurs. Nous nous limiterons donc à ne donner
qu’une brève explication de chaque activité. 20
20
Joseph Gabay, David Gabay, UML 2 Analyse et Conception, DUNOD, Paris, 2008, p.116
15
Expression des besoins : UP propose d’appréhender l’expression des besoins en se fondant sur
une bonne compréhension du domaine concerné pour le système à développer et une modélisation
des procédures du système existant.
Conception : La conception prend en compte les choix d’architecture technique retenus pour le
développement et l’exploitation du système. La conception permet d’étendre la représentation des
diagrammes effectuée au niveau de l’analyse en y intégrant les aspects techniques plus proches
des préoccupations physiques.
Test : Les tests permettent de vérifier : La bonne implémentation de toutes les exigences
(fonctionnelles et techniques), Le fonctionnement correct des interactions entre les objets et la
bonne intégration de tous les composants dans le logiciel.
concevoir des solutions et communiquer des points de vue. UML unifie à la fois les notations et
les concepts orientés objet.21
Les méthodes utilisées dans les années 1980 pour organiser la programmation
impérative (notamment Merise) étaient fondées sur la modélisation séparée des données et des
traitements. Lorsque la programmation par objets prend de l’importance au début des années 1990,
la nécessité d’une méthode qui lui soit adaptée devient évidente. Plus de cinquante méthodes
apparaissent entre 1990 et 1995 (Booch, Classe-Relation, Fusion, HOOD, OMT, OOA, OOD,
OOM, OOSE, etc.) mais aucune ne parvient à s’imposer. En 1994, le consensus se fait autour de
trois méthodes :
- OMT (Object Modeling Technique) de James Rumbaugh fournit une représentation graphique
des aspects statiques, dynamiques et fonctionnels d’un système.
- OOSE (Object Oriented Software Engineering) d’Ivar Jacobson fonde l’analyse sur la
description des besoins des utilisateurs (cas d’utilisation ou use case).
21
P. roques, UML 2.0 modéliser une application web, éd. Eyrolles, paris 2004, p.50
17
En fait, et comme son nom l’indique, UML n’a pas l’ambition d’être exactement
une méthode : c’est un langage.
La version d’UML en cours à la fin 2006 est UML 2.0 et les travaux d’amélioration
se poursuivent.
UML 2.0 comporte ainsi treize types de diagrammes représentant autant de vues
distinctes pour représenter des concepts particuliers du système d’information. Ils se répartissent
en deux grands groupes :
diagramme de cas d’utilisation (Use case diagram) : Il représente la structure des grandes
fonctionnalités nécessaires aux utilisateurs du système.
18
Diagrammes d’interaction (Interaction diagram) : Ils permettent d’établir un lien entre les
diagrammes de cas d’utilisation et les diagrammes de classes : ils montrent comment des
objets communiquent pour réaliser une certaine fonctionnalité
Chacun d’eux est dédié à la présentation des concepts particuliers d’un système
logiciel. Mais tous ne seront pas adapté dans notre modélisation quelque uns, notamment :
diagramme d’activité, diagramme de cas d’utilisation, diagramme de classes, diagramme de
séquence et diagramme de déploiement.
Le système de gestion de base de données SGBD en sigle est un logiciel qui prend
en charge la structuration, le stockage, la mise à jour et la maintenance d'une base de données. Il
est l'unique interface entre les informaticiens et les données (définition des schémas,
programmation des applications), ainsi qu'entre les utilisateurs et les données (consultation et mise
à jour).23
Un tel système permet de lire, écrire, modifier, trier, transformer ou même imprimer
les données qui sont contenus dans la base de données.
Parmi les logiciels les plus connus il est possible de citer : MySQL, PostgreSQL,
SQLite, Oracle Database, Microsoft SQL Server, Firebird ou Ingres.
Ces systèmes peuvent être catégorisés selon leur fonctionnement :
22
GILLE ROY, Conception de base de données avec UML, presses de l’université de Québec,
2003, p.50
23
http://scenari-plateforme.org/mobile-source/opale-demo/sgbd, 10/05/2019 à 12h01
20
Système propriétaire : Oracle Database, Microsoft SQL Server, DB2, MaxDB, 4D, dBase,
Informix, Sybase
Système libre MySQL, PostgreSQL, MariaDB, Firebird, Ingres, HSQLDB, Derby
Orienté objet : ZODB, db4o
Embarqué : SQLite, Berkeley DB
NoSQL : Cassandra, Redis, MongoDB, SimpleDB, BigTable, CouchDB, HBase,
LevelDB, RethinkDB, Memcached
Autre système : Access, OpenOffice.org Base, FileMaker, HyperFileSQL, Paradox, Neo4j
21
II.2.1.1. HISTORIQUE
L’Eglise Méthodiste-Unie au Katanga a commencée avec Mr Kaluwashi et John
Springer. Ce dernier est un fait connu comme le fondateur de l’Eglise Méthodiste-Unie au
Katanga.
En 1917, Mr Springer pensa à la fondation d’un poste de mission chez les Baluba.
Avec Springer et Mme Helen Emily, Mr Smyres prirent le train d’Elisabeth ville (Lubumbashi)
jusqu’à Bukama. A Bukama, les Springer prirent le bateau jusqu’à Kinkonja et près de la mission
Mwanza ou ils trouvèrent Mr Kaluwashi aidant M. Burton fondateur de la mission Congo
Evangélistique.
En 1924 Mr Smyres fut désigné pour Kanene, en même temps Mr et Mme Ray
Swanlley arrivèrent à Elisabeth ville et s’installent à Kanene.
22
L’élection du Révérend Snow Booth comme évêque en 1944 donna une nouvelle
et forte impulsion à la croissance rapide du travail du Séjour au Congo.
EVEQUE
Représentation légal suppléant chargé Représentation légal chargé du Représentation légal chargé de la vie
de leadership développement de l’église
Trésorerie Générale
II.2.1.4. Fonctionnement
1. Evêque : ses attributions statutaires et stipulées dans le R.O.I, pour ce faire avec l’appui
du Bureau Episcopal :
il convoque et préside la conférence annuelle
il gère les finances de la conférence annuelle
il autorise l’achat et la vente des biens meubles et immeubles en cas d’urgence.
Il engage, gère et sanctionne le personnel du secteur privé et public conformément à la
législation, où à la convocation du travail.
Il représente l’Eglise à l’égard des tiers et en justice, en personne ou par substitution.
2. Secrétariat Episcopal : en d’autres termes le secrétaire particulier ou permanent du Mgr
Evêque, il assume sous la dépendance directe de l’Evêque les responsabilités ci-après :
Assister l’Evêque en tout lieu de rendez-vous des services ou réunions convoquées par
l’Evêque.
Planifier, ordonner, assurer et rapporter la gestion quotidienne du Bureau Episcopal.
Confectionner le PV des réunions ténues par l’Evêque.
Assister l’Evêque dans l’élaboration de l’ordre du jour des réunions.
3. Secrétariat Administratif : sous la direction de l’Evêque, le Secrétariat Administrait a les
responsabilités suivantes :
s’assurer la coordination des programmes du Bureau Episcopal
la porte d’entrée, du traitement et du suivi et classement du courrier.
Gérer le personnel engagé et temporaire de l’UMK
Assurer la transmission des rapports à l’Evêque
Assurer la collaboration parfaite entre les responsables régionaux.
4. Secrétariat chargé de suivi et exploitation : sous la supervision de l’Evêque, ce dernier
assume les responsabilités suivantes :
Suivi des applications des mesures et règlements produits sur PV des assemblées ou
conférences.
Produire le rapport d’exploitation des décisions des assemblées les districts, les paroisses
et les départements.
5. Secrétariat chargé de bien de l’église : sous la supervision de l’Evêque, ce dernier assume
les responsabilités suivantes :
25
Assurer l’archivage de tous les documents légaux et cadastraux des biens de l’église.
Tenir documents d’inventaire et fiches de tous les biens meubles et immeubles.
Veiller à leur existence physique.
6. Trésorerie Général : sous la supervision directe de l’Evêque gère les responsabilités
suivantes :
Ensemble avec tous les gestionnaires, prépare et établi le budget de l’UMC
Assurer la tenue de la comptabilité
Assurer l’exécution rationnelle du budget
Rendre compte la gestion journalière à l’Eglise.
Préparer les rapportages financiers à soumettre aux différents comités et conférence
intéressées.
7. Trésorerie à la conférence annuelle :
Gérer les comptes bancaires et la caisse de la conférence annuelle
Assurer la tenue des comptes à la conférence annuelle
Consigner avec la trésorerie générale ou l’Evêque les documents autorisant les retraits en
compte.
A. ETUDE PRELIMINAIRE
1. PROCESSUS METIER
- L’Evêque planifie la réunion.
- Le secrétariat Episcopal reçoit la planification de la réunion et transmet la planification au
secrétariat Administratif
- Ce dernier rédige la lettre de convocation.
- Cette lettre une fois parvenue aux participants à la réunion
- Tenue de la réunion.
- Le secrétariat Episcopal rédige un compte rendu de la réunion
- Ce compte rendu sera approuvé par l’Evêque
- Après avoir approuvé le compte rendu, le secrétariat Episcopal doit transmettre les copies du
compte rendu au secrétariat Administratif.
- Le secrétariat Administratif transmet les copies aux concernés.
EA 9.0 Unregistered Trial Version EA 9.0 Unregistered Trial Version EA 9.0 Unregistered Trial Version EA 9.0 U
EA 9.0 Unregistered Trial Version EA 9.0 Unregistered Trial Version EA 9.0 Unregistered Trial Version EA 9.0 U
26
EA 9.0 Unregistered Trial Version EA 9.0 Unregistered Trial Version EA 9.0 Unregistered Trial Version EA 9.0 U
EA 9.0
2. Unregistered
MODELE DE Trial Version EA STATIQUE
CONTEXTE 9.0 Unregistered Trial Version
(Diagramme EA METIER)
de CU 9.0 Unregistered Trial Version EA 9.0 U
EA 9.0 Unregistered Trial Version EA 9.0 Unregistered Trial Version EA 9.0 Unregistered Trial Version EA 9.0 U
Le diagramme de contexte statique délimite le domaine d’étude en précisant
ce qui est à la charge du système et
en identifiant l’environnement extérieur au système étudié avec lequel ce dernier
communique.
SYSTEME DE
VIDEO-CONFERENCE
Participant
Compte rendu
3. DIAGRAMME D’ACTIVITES
Les diagrammes d’activités permettent de mettre l’accent sur les traitements. Ils
sont donc particulièrement adaptés à la modélisation du cheminement de flots de contrôle et de
flots de données. Ils permettent ainsi de représenter graphiquement le comportement d’une
méthode ou le déroulement d’un cas d’utilisation.
24
Laurent AUDIBERT, Op.cit., p.23
28
act Deployment Model
Planifier réunion
Transmettre
planification
Transmettre copie
compte rendu Archiver copie et
transmettre copie aux
concernés
25
DI GALLO Frédéric, Méthodologie des systèmes d’informations – UML, CNAM ANGOULEME 2000-
2001, p.34
29
1. Acteur : entité externe qui agit sur le système ; Le terme acteur ne désigne pas seulement les
utilisateurs humains mais également les autres systèmes. Les acteurs sont des classificateurs qui
représentent des rôles au travers d'une certaine utilisation (cas) et non pas des personnes physiques.
Ce sont des acteurs types.26
Il se représente par un petit bonhomme avec son nom (i.e. son rôle) inscrit dessous.
Il est également possible de représenter un acteur sous la forme d’un classeur stéréotypé « actor ».
2. Cas d’utilisation : Un cas d’utilisation spécifie une fonction offerte par l’application à son
environnement. Un cas d’utilisation est spécifié uniquement par un intitulé.27
1. Relation d’inclusion : Une relation d’inclusion d’un cas d’utilisation A par rapport à un cas
d’utilisation B signifie qu’une instance de A contient le comportement décrit dans B : le cas A
dépend de B. Lorsque A est sollicité, B l’est obligatoirement, comme une partie de A. Cette
dépendance est symbolisée par le stéréotype «include »
2. Relation d’extension : On dit qu’un cas d’utilisation A étend un cas d’utilisation B lorsque le
cas d’utilisation A peut être appelé au cours de l’exécution du cas d’utilisation B. Exécuter B peut
éventuellement entraîner l’exécution de A : contrairement à l’inclusion, l’extension est optionnelle.
26
Ibidem, p.34
27
Xavier Blanc, Isabelle Mounier, UML 2 pour les développeurs, éd. Eyrolles, p.98
30
Le cas de base peut fonctionner tout seul, mais il peut également être complété par un autre, sous
certaines conditions, et uniquement à certains points particuliers de son flot d’événements appelés
points d’extension. Cette dépendance est symbolisée par le stéréotype « extend ».
3. Relation de généralisation : Un cas A est une généralisation d’un cas B si B est un cas particulier
de A. Cette relation de généralisation/spécialisation est présente dans la plupart des diagrammes
UML et se traduit par le concept d’héritage dans les langages orientés objet.
La seule relation possible entre deux acteurs est la généralisation: un acteur A est
une généralisation d’un acteur B si l’acteur A peut-être substitué par l’acteur B. Dans ce cas, tous
les cas d’utilisation accessibles à A le sont aussi à B, mais l’inverse n’est pas vrai.
31
uc Deployment Model
Planifier
réunion
Gérer réunion
Se Connecter
Administrateur «i ncl ude»
Lister Status «i ncl ude»
Participants
«i ncl ude»
«i ncl ude»
Ajouter
«i ncl ude»
Participant
Authentification
«i ncl ude»
Supprimer
Participant
«i ncl ude»
Gérer
«i ncl ude»
Compte
Créer Compte
«i ncl ude»
Refuser
Chatter Invitation
28
Joseph Gabay, David Gabay, Op.cit, p.90
33
Système
: Administrateur
1 : Saisir programme
2 : Afficher aperçu
3 : Envoyer programme
4 : Envoyer()
Système
: Administrateur
1 : Demarrer réunion
2 : Lister participant
3 : Attribuer rôles
Système
: Administrateur
1 : Demander page participant
4 : Confirmer
Système
: Administrateur
1 : Afficher page compte
6 : Message Conformation
Système
: Participant
3 : Saisir coordonnées
4 : Valider
alt
Système
: Utilisateur
1 : Saisir Email
3 : Valider()
alt
4 [MP Incorrect] : : Message d'erreur
Système
: Participant
1 : Demander page chatte
4 : Saisir Message
5 : Envoyer
Système
: Administrateur
1 : Demander formulaire réunion
2 : Affichage formulaire
5 : Supprimer participant
- Registre de lettres : permet d’enregistrer les différentes informations sur les lettres
expédiées et envoyées. Il contient les informations suivantes :
1. Numéro de référence
2. Objet de la lettre
3. Expéditeur
4. Date Edition
41
29
Joseph Gabay, David Gabay, Op.cit, p.14
30
DI GALLO Frédéric, Méthodologies des systèmes d’information UML, CNAM ANGOULEME
2000-2001, p.42
31
Pascal Roques, Op.cit., p.76
42
COMPTE
-Idcompte
-Email
-MotPasse
-Categorie
-Status
1..*
Posseder
1..*
CONFERENCE
PARTICIPANT
-Numero
-Id -Objet
-Nom Participer
-Organisateur
-PostNom 1..* 1..* -NombreParticipant
-Localisation -Durée
1 -Date
1
DATE
Envoyer Avoir 1
-DateEnvoi
-DateLecture Concerner
1..* 0..1
MESSAGE 1..* INVITATION
-Code -Id
-Objet -Status
-Contenu
La critique est une phase très essentielle dans tout travail scientifique. Après un
diagnostic fait dans le système actuel, nous avons trouvé comme grande faiblesse:
- La perte du temps dans transmission des informations : il faut attendre que celui qui a reçu
l’information auprès de l’Evêque puisse aller à la bureautique faire la saisie, l’impression et
multiplier les copies pour transmettre les informations, tout cela a comme conséquence la perte de
temps.
- Manque de la confidentialité de l’information : étant donné que la région épiscopale
manque les agents dans le département de l’informatique, ses informations sont à la portée de tout
le monde, par conséquent les informations considérées secrètes seront diffusé par n’importe qui et
cela peut nuire à la région épiscopale.
3 : Afficher aperçu
4 : Afficher aperçu
5 : Envoyer programme
6 : Envoyer
7 : Envoyer()
8 : Insert
9 : Resultat
10 : Resultat
11 : Affichage page Menus
4 : Résultat
5 : Résultat
6 : Lister Participant
7 : Attribuer rôles
8 : Attribuer rôles
9 : Grant
10 : Résultat
11 : Résultat
12 : Affichage page Menus
3 : Show()
4 : Saisir informations
5 : Confirmer
6 : Confirmer
7 : Insert
8 : Résultat
9 : Résultat
10 : Affichage Page Menus
3 : show()
4 : Rechercher compte user
5 : Rechercher
6 : Select
8 : Résultat 7 : Résultat
9 : Affichage du résultat
10 : Octroyer Droit
11 : Octroyer
12 : Grant
13 : Résultat
14 : Résultat
15 : Message de confirmation
3 : Show()
4 : Saisir coordonnées
5 : Valider
6 : Valider 7 : Insert
11 : Résultat
12 : page de menus
13 : Affichage
14 : Affichage page de menus
9 : Résultat
10 : Affichage page de menus
11 : Affichage page de menus
5 : Saisir Message
6 : Envoyer Message
7 : Envoyer Message
8 : Envoyer
9 : Résultat
10 : Affichage Page Menus
11 : Affichage Page de menus
12 : Affichage page de menus
4 : Résultat
5 : Affichage formulaire réunion
6 : Affichage formulaire réunion
7 : Affichage formulaire réunion
8 : Lister status participant
9 : Lister status participant
10 : Select
11 : Resultat
12 : Affichage liste
13 : Affichage Liste
14 : Affichage Liste
15 : Supprimer participant
16 : Supprimer participant
17 : Delete
18 : Résultat
19 : Affichage Page Menus
20 : Affichage Page Menus
21 : Affichage page Menus
32
Laurent AUDIBERT, Op.cit., p.115
50
- Les entités ne peuvent être connectées (association) qu’avec d’autres entités ou avec des
contrôles mais, dans ce dernier cas, avec une contrainte de navigabilité interdisant de traverser une
association d’une entité vers un contrôle.
- Les contrôles ne comportent que des opérations. Ils implémentent la logique applicative,
et peuvent correspondre à des règles transverses à plusieurs entités. Chaque contrôle est
généralement associé à un cas d’utilisation, et vice versa. Mais rien n’empêche de décomposer un
cas d’utilisation complexe en plusieurs contrôles.
- Les contrôles peuvent être associés à tous les types de classes, y compris d’autres contrôles.
Dans le cas d’une association entre un dialogue et un contrôle, une contrainte de navigabilité doit
interdire de traverser l’association du contrôle vers le dialogue.
- Les dialogues comportent des attributs et des opérations. Les attributs représentent des
informations ou des paramètres saisis par l’utilisateur ou des résultats d’actions. Les opérations
réalisent (généralement par délégation aux contrôles) les actions que l’utilisateur demande par le
biais de l’IHM.
- Les dialogues peuvent être en association avec des contrôles ou d’autres dialogues, mais
pas directement avec des entités.
Il est également possible d’ajouter les acteurs sur le diagramme de classes participantes en
respectant la règle suivante : un acteur ne peut être lié qu’à un dialogue.
51
Invitation
-IdInvitation
Planifier réunion -Status
Ctrl Planification
-Numero
-Objet +Envoyer()
-Email +Accepter()
+Durée +Refuser()
-Message +Recevoir() Participant
+Envoyer() -Id
+Annuler() -Nom
-PostNom
-Localisation
Page de menus
-Menus
+AfficherPage()
Participant
Ctrl Participant
-Id
+AfficherPage() -Nom
Participant +Ajouter() -PostNom
+Supprimer() -Localisation
-Id
-Nom +Ajouter()
-PostNom +Supprimer()
-Localisation
+Ajouter()
+Supprimer()
Page Menus
-Menus
+AfficherPage() Ctrl compte Compte
-IdCompte
+AfficherPage() -Email
+Créer() -MotPasse
+Supprimer() -Categorie
Page compte +Modifier() -Status
-Nom
-PostNom
-Localisation
+Créer()
+Supprimer()
+Modifier()
Page Menus
-Menus
Ctrl compte
+AfficherPage() Compte
+AfficherPage()
+Créer() -IdCompte
+Supprimer() -Email
Page compte +Modifier() -MotPasse
-Nom -Categorie
-PostNom -Status
-Localisation
+Créer()
+Supprimer()
+Modifier()
Compte
Page Authentification -IdCompte
-Email Ctrl Authentification
-Email
-MotPasse +Connexion() -MotPasse
+Connexion() +Annuler() -Categorie
+Annuler() -Status
COMPTE
-Idcompte
-Email
-MotPasse
-Categorie
-Status
+Créer()
+Supprimer()
+modifier()
1..*
Posseder CONFERENCE
1..* -Numero
PARTICIPANT -Objet
-Organisateur
-Id -NombreParticipant
-Nom Participer -Durée
-PostNom 1..* -Date
-Localisation 1..*
+Demarrer()
DATE +Ajouter() +Quitter()
+Supprimer() 1 +Rejoindre()
-DateEnvoi
-DateLecture
1 Avoir
Envoyer 1
Concerner
0..1
INVITATION
1..*
-Id
MESSAGE 1..* -Status
-Code +Envoyer()
-Objet +Recevoir()
-Contenu +Accepter()
+Envoyer() +Refuser()
+Recevoir()
+Supprimer()
L’architecture technique est vue tournée vers les différents éléments matériels et
l’infrastructure dans laquelle le système informatique s’inscrit, les liaisons physiques et logiques
entre ces éléments et les informations qui y circulent.
I. CHOIX DE TECHNOLOGIES
A. Plateforme de développement
33
http://www.wikipedia.com/architecture_informatique, 01/07/2019 à 09h30’
57
notamment avec des clients pc, Mac, Iphone et Ipad ainsi que des vidéos HD, des fonctions de
partage, d’annotations, d’enregistrement de conversation et de lecture.
En effet Cisco WebexMeeting une société américaine offrant des services logiciels
de vidéoconférence et de web conférence à la demande. En 2015, elle est détenue par Cisco. Elle
commercialise notamment Meeting center, training center, Event Center, WebexOffice et
WebexConnect. Webex a été fondé en 1996 par Subrah Iyar et Min Zhu. En 2005, cisco a déclaré
son intention de l’acquérir pour 3.2millards USD. Le rachat est effectif début 2007.
Dans ce travail, nous avons choisi d’utiliser le système de gestion de base de données
PostgreSQL.
34
http://uml@free.fr/index-me.html, le 09/07/2019 à 15h10
59
III. IMPLEMENTATION
III.1. Présentation des classes de dialogues
Page d’authentification
Cette page permet à l’utilisateur de rentrer son compte Email afin de se connecter
au système (application) webex.
Page de menus
60
Page de réunion
61
CONCLUSION GENERALE
Tout est bien qui finit bien, pareil à ce travail de fin d’études, qui se focalise sur la
mise place d’une application informatique de vidéo-conférence au sein de la Région Episcopale
du Nord-Katanga, Tanganyika et Tanzanie.
En effet, notre but est de mettre en place une application informatique qui va gérer
toutes réunions (conférences) au sein de ladite région en temps réel et peu importe l’emplacement
(endroit) des participants.
Etant donné que nul ne peut se prétendre aborder un domaine dans son ensemble,
notre étude se veut-elle une référence et comme toute œuvre humaine est de nature imparfaite et
ne manque pas des imperfections, nous demandons aux chercheurs et lecteurs de ce modeste travail
que les remarques et critiques seront les bienvenues pour nous améliorer dans le prochain jour.
63
BIBLIOGRAPHIE
Ouvrages
3. GILLE ROY, Conception de base de données avec UML, presses de l’université de Québec,
2003.
9. P. roques, UML 2.0 modéliser une application web, éd. Eyrolles, paris 2004.
10. Xavier Blanc, Isabelle Mounier, UML 2 pour les développeurs, éd. Eyrolles.
Dictionnaires
SITE WEB
1. http://uml@free.fr/index-me.html
2. http://www.wikepedia.com