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1st / Translate :
La construction du navire
Après cela, la structure était construite en joignant les tôles une à une et aux supports
latéraux, jusqu’à ce que le tout soit ponté. Le cargo conventionnel ou le navire à passagers
avec une construction transversale grandissent selon quelque chose qui ressemble au squelette
d’une grosse baleine qui est ensuite enveloppée.
2nd / Vocabulary :
1st / Translate :
L’acier pour la construction des coques est généralement de l’acier standard contenant
0,15 pour cent à 0,23 pour cent de carbone et une teneur raisonnable en manganèse.
Ensemble, le souffre et le phosphore de l’acier standard sont maintenus au minimum (moins
de 0,05 pour cent). Une grande quantité de ceux-ci seraient au détriment des propriétés de
soudure et des craquelures peuvent se développer pendant le laminage si la teneur en souffre
est trop élevée.
L’acier pour un navire classé par le Lloyd’s register est produit par un fabriquant
agréé, des inspections et des tests prescrits sont réalisés à l’aciérie avant la livraison. Tous les
échantillons sont sélectionnés et tamponnés par un inspecteur ou par son adjoint autorisé.
Tout élément fini est clairement marqué de la marque de la société ce qui confirme qu’ils
satisfont aux exigences de la société de classification. Les sociétés de classification des
navires ont à l’origine des spécifications variables pour l’acier mais en 1959, la plupart des
sociétés se sont accordées pour standardiser leurs exigences dans le but de réduire le nombre
de grades d’aciers au minimum. Il y a maintenant cinq qualités différentes d’acier employées
dans la construction de navires marchands.
Pour s’assurer que les navires soient correctement construits, équipés et entretenus un
certain nombre de société de classification ont formé et élaboré les règles qui gouvernent la
construction des navires. Les sociétés ont des inspecteurs qui contrôlent que le navire est
construit suivant les règles et qui inspectent le navire périodiquement pour s’assurer qu’il soit
gardé dans de bonnes conditions. Chaque société tient aussi à jour et publie un « registre »
dans lequel toutes les caractéristiques importantes de chaque navire sont fidèlement et
précisément enregistrées.
2nd / Vocabulary :
1st / Translate :
Le navire
Basiquement, un navire est une boîte d’acier allongée. Le bateau-boîte est construit
avec de nombreux membres individuels liés entre eux pour agir de concert contre les efforts
imposés à l’ensemble. Ces efforts sont nombreux et variés.
Par exemple, il y a les efforts transversaux causés par le mouvement de roulis qui
tendent à tordre les coins de la boîte d’acier en frottant et en abîmant jusqu’à briser les
goussets de barrot connectés des barrots de pont aux constructions de couples. Puis il y a les
efforts d’affaissement causés par la pression de la mer à l’intérieur des zones submergées du
navire augmenté d’un taux régulier d’écrasement de 64 pounds par pied carré pour chaque
pied de profondeur d’eau, et aussi par le poids mort vertical de la marchandise à l’intérieur
des cales, tout cela tend à attirer les deux côtés du navire vers l’intérieur et ensemble. Un
facteur mis en évidence les jours de navigation du navire quand, après le chargement, tous
les gréements se choquent fréquemment au point qu’il faille reprendre le mou sur les ridoirs
de hauban et de pataras.
Il y a les efforts localisés imposés au navire – boîte, tels que sur les sections les plus
faibles de ses couples formés par les ouvertures du pont pour les panneaux de cale et la
superstructure, ou les fatigues induites par la mature, les mâts de charge, les treuils, la
marchandise en pontée ou le guindeau et tout cela sans oublier des complications des efforts
verticaux où les compartiments flottent le mieux comme à l’espace machine qui tend à créer
une pression verticale vers le haut alors que les cargaisons chargées en cales exercent une
force vers le bas. Mais il y a encore une autre forme d’effort qui peut causer la rupture du
navire et finalement le naufrage, une forme d’effort auxquels il est particulièrement
vulnérable : l’effort longitudinal, l’arc et le contre – arc, le talon d’achille de nombreux
navires en danger.
2nd / Vocabulary :
1st / Translate :
Pour permettre aux capacités d’être complètement vidées puis nettoyées, les bouchons
de nable vont sur la partie inférieure du fond, lesquels sont vissés au bordé dans de bonnes
conditions d’étanchéité. Ils ne doivent pas y être installés mais aussi près que possible de la
tôle de quille. Les bouchons de nable sont aussi présents au niveau des coquerons avant et
arrière et aussi dans les bouchains sur de nombreux navires.
Les boulons des bouchons de nable dans les capacités de pétrole sont souvent fournis
avec des carrés et dans les capacités d’eau, avec des têtes hexagonales, ce qui montre
immédiatement le type de capacité.
Après que la capacité a été vidée, le liquide restant peut-être transféré à la cale sèche
avec l’aide des bouchons de nable et la capacité nettoyée.
Les cloisons
Les coquerons avant et arrière sont utilisés pour régler l’assiette du navire, aussi, ces
capacités doivent être de tailles spéciales, ce qui influence la position de la cloison d’abordage
et de la cloison d’étambot.
Forward
After peak Stern peak
tank bulkhead Cofferdam
Collision
Double bulkhead
FWD engine Hold bottom tank
room bulkhead bulkhead
Side
tank
Lower
side tank
Duct
Keel
To afford : procurer
To spread : s’étendre
Heeling tanks : caisses de gîte
Peak : coqueron (ballast)
Bilge tank : caisse à eau sale
Sludge tank : caisse à boues
Bolts : boulons
For enabling : pour permettre
Tank : capacité
Drained : vidé
Bottom plugs : bouchon de nable
Vissé : screwed
Dry-dock : cale sèche
Oil tight : étanche aux hydrocarbures
Great significance : grande importance
Threefold function : triple fonction
Collision bulkhead : cloison d’abordage
1st / Translate :
Une caractéristique commune sur de nombreux navires de charge modernes est les grues de
pont qui remplacent les mâts de charge. Généralement, ils sont considérés comme une
alternative au gréement du colis volant. Les grues de pont ont certains avantages le temps de
gréement étant négligeable et la grue est capable de prendre et débarquer les charges
autorisées n’importe où dans son rayon de travail. La CMU des grues est généralement de
l’ordre de 10 à 15 tonnes et certaines grandes grues existantes sont capables de lever de 30 à
40 tonnes. Comme pour le gréement du colis volant, la grue est faite pour les tâches de
chargement et le déchargement de marchandises avec des charges dépassant rarement trois
tonnes. Il y a des controverses concernant les mérites des grues par rapport au gréement du
colis volant mais la preuve nous montre que les grues sont eut-être moins efficaces avec les
charges très légères.
Les grues peuvent être souvent positionnées au milieu du navire mais cela peut requérir une
flèche extrêmement longue quand la largeur est importante et une portée raisonnable est
désirée. Les grues à positionnement transversal peuvent être positionnées de façon que, quand
elles ne chargent pas, elles peuvent être bougées sur bâbord ou tribord et sécurisées pour
travailler sur la cale et fournir une portée désirée. Autrement, à chaque extrémité de la cale,
des grues fixes pourront être trouvées. C’est une disposition qui est utilisée en déchargeant à
bâbord et à tribord simultanément. Il y a aussi une grue qui est montée sur la section de
panneaux de cale capable de sa déplacer avec une charge le long des hiloires de cale dans le
sens longitudinal. Les grues sont disponibles chez les constructeurs spécialisés et le
constructeur devra être responsable pour l’installation et les renforcements et les
emplacements locaux.
2nd / Vocabulary :
Jib : flèche
Hatch coaming : hilloire de cale
Swing : tourner, éviter
To rig : gréer
Union purchase rig : gréement du colis volant
1°/ Translate :
L’étrave doit donner une résistance et une rigidité à la structure de la coque le long de la ligne
de foi de l’avant et fournir une connection réelle entre les deux bordés de côtés. Etant donné
que l’avant est la partie du navire qui rencontre en premier le tonnage de la grosse mer et des
impacts des obstructions sur la route du navire, la résistance et la massivité de l’étrave doivent
être suffisantes.
Comme pour toutes les autres parties de la structure du navire, la capacité de l’étrave à donner
de la résistance et de la rigidité à la proue entière, dépend largement de l’efficacité du support
donné par la structure auxiliaire à l’intérieur de la coque comme le pont, les guirlandes, les
serres et les couples de l’avant généralement.
Sur la plupart des navires récents, une étrave construite, à partir d’éléments assemblés ou de
tôles soudées ont été posées en connections avec une pièce fondue sur la partie basse. La
pièce d’étrave est chaudronnée avec un rayon important sur sa partie haute en devenant plus
étroit vers le bas et de les renforcer à l’intérieur par des tôles de galoches soudées auxquelles
les ponts et les guirlandes peuvent être attachées. L’avantage des tôles soudées à la place des
lourdes poutres et que cela forme un avant plus arrondi, plus doux, qui est moins susceptible
de causer de graves avaries lors de collisions que les vieux styles de barre d’étrave. Cela est
dû au fait qu’une barre d’étrave est relativement fine et qu’en cas de collision, découperait le
bordé d’un autre navire (transpercerait).
L’avant arrondi devrait s’écrouler et offrirait une large surface en vertu de quoi si elle pénètre
un bordé d’un autre navire, la pénétration serait minimum.
2nd / Vocabulary :
1°/ Translate :
Les gouvernails.
Nombre de gouvernail qui l’on trouve sur les navires d’aujourd’hui sont semi-compensés, par
exemple, ils ont une petite proportion de leur surface sur l’avant de leur axe de rotation (-
20%). Les gouvernails semi-compensés avec une plus large surface sur l’avant de l’axe de
rotation (de 25 à 30%) et les gouvernails non balancés avec la surface complète sur l’arrière
de l’axe sont aussi installés. Le but de la compensation est d’accomplir une réduction du
couple puis le centre de pression latéral est amené à proximité de l’axe de rotation. Toutefois,
les gouvernails totalement compensés auront tendance aux faibles angles à entraîner l’appareil
à gouverner, ce qui n’est pas un gros problème avec les appareils à gouverner mécaniques
mais qui est moins satisfaisant avec tout autre forme de barre manuelle. La conception des
gouvernails est variée, des types brevetés sont disponibles, chacun de ses types revendique
une efficacité accrue d’une forme ou d’une autre.
Le gouvernail.
Dans sa forme la plus simple, un gouvernail consiste en une large plaque plate et un arbre
vertical ou une mèche grâce à laquelle ce safran est orienté afin de diriger le navire. Un safran
plat est trouvé seulement sur les vieux navires ou les petits bateaux. Les gouvernails carénés
ont une section profilée.
Les gouvernails peuvent être de type semi-compensés ou non compensés. Sur la plupart des
navires, la mèche qui tourne le gouvernail est réalisée en deux sections qui sont boulonnées
ensemble juste sous la voûte avec un accouplement à écartement ou à bride pour faciliter le
démontage du gouvernail. La plus basse section de la mèche sur laquelle le safran est attaché
est appelée « pièce principale ». La section supérieure qui s’étend vers le haut dans la coque
est appelée mèche de gouvernail. La mèche est généralement forgée ce qui est habituellement
meilleur marché que les pièces moulées d’aujourd’hui au niveau résistance aux contraintes de
torsion. Le poids du gouvernail est supporté par un palier support du gouvernail dans la coque
habituellement placé au-dessus du haut de l’étambot sur les varangues de voyées. La mèche
est introduite dans une jaumière étanche sous ce point. L’intérieur du palier de gouvernail est
cylindrique et forme le palier supérieur pour la mèche du gouvernail. Toutes les surfaces des
paliers sont recouvertes avec des coussinets anti friction et entièrement lubrifiés.
2nd / Vocabulary :
Rudder : gouvernail