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VILLE/CITY FINANCEMENT :
DOUALA AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPMENT
PROJET :
ACTUALISATION DU SCHÉMA DIRECTEUR D’ASSAINISSEMENT DE
DOUALA ET RÉALISATION DE L'AVANT PROJET SOMMAIRE, DE
L'AVANT-PROJET DÉTAILLÉ ET DU DOSSIER DE CONSULTATION DES
ENTREPRISES D'UNE SECONDE TRANCHE DES TRAVAUX
D'ASSAINISSEMENT
CONTRAT N° :
MAITRE D’ŒUVRE :
Fiche Qualité
Validation
Réalisé par Cheikh. Ah. BAMBA DIENG, M. Sc. Civ. Eng 25/05/2023
Vérifié par Cheikh. Ah. BAMBA DIENG, M. Sc. Civ. Eng 25/05/2023
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02
03
Projet : Actualisation du Schéma Directeur Codification
Assainissement de Douala et réalisation de l'Avant EU-0-COM- GRC-001
Projet Sommaire, de l'Avant-Projet Détaillé et du Dossier
de Consultation des Entreprises d'une Seconde tranche Version 00
des travaux d'assainissement
SOMMAIRE
1. OBJET DE LA NOTE
Cette note a pour objet la présentation des hypothèses générales prises en compte pour le
dimensionnement des ouvrages de la station de traitement des boues de vidange de DOUALA
STBV/Bonabérie-Japoma, les stations de relevage. Les ouvrages concernés par la présente
note sont les unités suivantes :
• Postes de relevage ;
o SP01
o SP02
o SP03
• STBV de Bonabéri ;
• STBV de Japoma ;
• STEP de Kotto ;
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2. DOCUMENTS DE REFERENCES
Règlements Européens :
▪ Eurocode 0 : Bases de calcul des structures,
▪ Eurocode 1 : Actions sur les structures,
▪ Eurocode 2 : Calcul des structures en béton,
▪ Eurocode 3 : Calcul des structures en acier,
▪ Eurocode 4 : Calcul des structures mixtes acier-béton,
▪ Eurocode 5 : Conception et calcul des structures en bois,
▪ Eurocode 6 : Conception et calcul des ouvrages en maçonnerie,
▪ Eurocode 7 : Calcul géotechnique,
▪ Eurocode 8 : Calcul des structures pour leur résistance aux séismes,
▪ Eurocode 9 : Calcul des structures en aluminium,
Règlements français :
▪ Fascicule 62 - Titre V : Règles techniques de conception et de calcul des fondations.
3. UNITES
5. MATERIAUX
5.1. Aciers passifs
ARMATURES POUR BA
Nous faisons l’hypothèse que les barres sont des barres de longueur 12 m.
5.2. Aciers laminés
La durée de vie des ouvrages est de 50 ans minimum. Ils sont donc de classe S4. Les classes
d’exposition à prendre en compte sont les suivantes :
Pour les ouvrages de génie civil :
- Ouvrages de contenance et bâtiment couvrant les ouvrages de contenance non
couverts au plan d’eau : XA2, sauf ouvrages particuliers à définir en fonction de
l’avancement des études process sur la ligne en XA3.
5.3.2. Resistance
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Type de Classe
Utilisation
béton d’exposition
C16/20 Gros béton, béton de propreté X0
C35/45 Béton pour les ouvrages exposés aux agressions chimiques XA3
5.3.3. Retrait
Le retrait est la propriété que possède le béton de diminuer de volume à l’absence de tout
changement. Ce phénomène a plusieurs causes physico-chimiques de cinématique différente.
Les deux formes de retrait qui affectent les éléments béton armés sont le retrait endogène et
le retrait de dessiccation.
Afin d’éviter l’application d’un ferraillage complémentaire dû au retrait, nous proposons de
mettre en place des joints de dilatations tous les 30 m conformément à l’Eurocode 2, partie 1-
1 (article 2.3.3 Déformations du béton). Pour les ouvrages dont des dimensions entre joints de
dilatation de leurs superstructures sont inférieures à 30 m, les effets du retrait et de la
température pourront ne pas être pris en compte.
Dans le cas où les joints de dilatations seront espacés de plus de 30 m, nous prendrons en
compte la déformation due au retrait suivant le mode de calcul de la partie 1-1 section 3-1-4.
Qui est expliquée ci-dessous :
L’évolution de la déformation due au retrait total dans le temps est donné par :
Où :
▪ t est l'âge du béton à l'instant considéré, en jours
▪ ts est l'âge du béton (jours) au début du retrait de dessiccation (ou gonflement).
Normalement, ceci correspond à la fin de la cure.
▪ h0 est le rayon moyen (mm) de la section transversale = 2Ac /u avec :
o Ac aire de la section du béton
o u périmètre de la partie de la section exposée à la dessiccation.
▪ kh est un coefficient dépendant du rayon moyen h0, conformément au tableau
suivant :
où :
▪ fcm est la résistance moyenne en compression (MPa)
▪ fcmo = 10 Mpa
▪ αds1 est un coefficient qui dépend du type de ciment :
o = 3 pour les ciments de classe S
o = 4 pour les ciments de classe N
o = 6 pour les ciments de classe R
▪ αds2 est un coefficient qui dépend du type de ciment :
o = 0,13 pour les ciments de classe S
o = 0,12 pour les ciments de classe N
o = 0,11 pour les ciments de classe R
▪ RH est l'humidité relative de l'environnement ambiant en %
▪ RH0 = 100 %
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Le cas (a) se produit lorsqu'une nouvelle partie de béton est coulée entre deux parties
préexistantes. Le cas (b), particulièrement courant, se produit lorsqu'une paroi est coulée sur
une dalle de base rigide préexistante.
▪ Bridage d'un élément à son extrémité
L'ouverture maximale des fissures peut être déterminée à l'aide de l'expression (7.8) de l'EC
2-1-1 où (εsm – εcm) est calculé à partir de l’expression suivante :
Pour vérifier la fissuration sans calcul direct, σs peut être déterminé à l’aide de l’expression
[M.2] qui peut alors être utilisée avec les Figures (7.103N) et (7.104N) afin d'obtenir une
disposition satisfaisante des armatures.
Où ρ est le rapport As / Act et Act est l'aire de la section de béton tendu, telle que définie au
7.3.2.
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Où :
▪ Rax facteur de bridage. Voir l'Annexe informative L de l’EC2 partie 3;
▪ εfree = εcd déformation qui se produirait si l'élément était totalement libre de se déformer
(présenté précédemment).
Le facteur de bridage de l’élément sera calculé selon l’annexe L de -partie 3 relative aux silos
et réservoirs, soit :
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5.3.4. Fluage
Le phénomène de fluage sera considéré en prenant un module long terme du béton égal à :
ELT=ECT/3
Valeurs de l'enrobage minimal cmin,dur requis vis-à-vis de la durabilité dans le cas des armatures
de béton armé conformes à l'EN 10080 :
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Quelle que soit la nature des bétons, les enrobages seront au minimum de :
▪ 5 cm pour les parements extérieurs, les parements intérieurs et les parements en
contact avec la terre et l’eau.
▪ 3 cm pour les bâtiments en XC3.
6.2. Maitrise de la fissuration
Pour les ouvrages hydrauliques et pour les faces en contact avec les effluents on considère
une classe 2 d’étanchéité conformément à l’Eurocode Partie 3. L’ouverture de fissure sera
limitée à 0,15 mm à l’ELS QP.
Pour les autres ouvrages non hydrauliques mais en contact avec la terre (avec ou sans nappe
d’eau phréatique), on limite les ouvertures de fissures à 0,20 mm. L’ouverture de fissures pour
tous les autres ouvrages sera limitée à 0,3 mm.
Les calculs sont menés à l’ELS Quasi permanent. Le schéma suivant précise par face
l’ouverture de fissure à respecter :
6.3.1. Espacement
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6.3.2. Ancrage
Nous considérons que les aciers sont toujours dans les conditions de la bonne adhérence.
Ainsi, nous aurons les longueurs suivantes :
Nous gardons en mémoire cependant que ces longueurs d’ancrages peuvent être réduites
grâce aux coefficients α1, α2, α3, α4 et α5.
Nous considérons que les aciers sont toujours dans les conditions de la bonne adhérence.
Nous considérons que les armatures transversales dans une zone de recouvrement sont
suffisantes pour reprendre les efforts transversaux de traction.
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Nous disposerons des renforts au droit des réservations pour toutes les réservations de plus
de 15cm de long par 15cm de haut. Les renforts seront disposés de la façon suivante :
▪ Toutes les réservations supérieures à 1m x 1m, elles seront modélisées dans les
modèles et les efforts seront directement issus des modèles de calcul. Nous
disposerons les renforts nécessaires.
Pour toutes les réservations inférieures à 1m x 1m, nous disposerons les renforts de la façon
suivante :
▪ Les sections d’armatures interrompues seront remplacées par des sections
équivalente. Les barres de renforts seront prolongées au-delà de l’ouvertures de la
longueur d’ancrage + la demi hauteur de l’ouverture. Nous disposerons de plus des
renforts diagonaux au droit des réservations circulaires.
Pour toutes les réservations inférieures à 15 cm x 15 cm, nous ne disposerons pas de renforts.
6.3.5. Dispositions des aciers au droit des réservations pour tuyaux
Il existe plusieurs façons de venir réaliser la liaison des tuyauteries de la station sur les voiles
en béton armés. Nous retenons principalement les deux méthodes suivantes :
▪ Le scellement des inserts en premières phase : le ferraillage s’adaptera à l’insert et
pendra en compte les dimensions des collerettes de scellements.
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En attente des éléments process pour la définition des inserts à sceller en première phase et
ceux à sceller en seconde phase.
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Art 9.2. Art 9.3. Art 9.4. des EC2- partie 1-1
Plus particulièrement, pour les voiles en flexion, nous suivrons pour les armatures minimales
à mettre en œuvre dans le sens transversal, les préconisations de l’articles 9.6.3 de l’EC2
Partie 1-1 à savoir :
As,hmin = max ( 0,1% Ac ; 25% As,v)
où As,v désigne l’aire des aciers verticaux mis en œuvre. Dans tous les cas nous limiterons
l’espacement maximal entre 2 barres adjacentes à 40 cm.
Ci-après un extrait de l’articles 9.6.3 de l’EC 2 Partie 1-1 :
Les aciers d’efforts tranchants nécessaires seront calculés selon l’article 6.2.3 de l’EC 2
Partie1-1. Pour les poutres, le ferraillage minimal défini ci-dessus sera en mis en place.
Pour les éléments surfaciques (voiles et dalles), lorsque Ved<Vrdc, tranchant, on ne disposera
pas d’aciers d’efforts tranchant. Soit :
Etant donné, l’utilisation de prédalles, nous traiterons les surfaces de reprises conformément
à l’article 6.2.5 de l’article de l’EC2.
6.4.3. Armatures de poinçonnement
Nous vérifierons que les armatures de poinçonnement ne sont pas nécessaires conformément
à l’article 6.4 de l’EC2 Partie 1-1. La méthode de calcul est fondée sur des vérifications
effectuées au nu du poteau et sur le contour de contrôle de référence u1 . Si des armatures de
poinçonnement sont nécessaires, il convient de trouver un autre contour uout,ef à partir duquel
plus aucune armature de poinçonnement n'est nécessaire. On définit les valeurs de calcul des
résistances au poinçonnement [MPa] le long des sections de contrôle :
▪ vRd,c est la valeur de calcul de la résistance au poinçonnement d'une dalle sans
armatures de poinçonnement le long de la section de contrôle considérée
▪ vRd,cs est la valeur de calcul de la résistance au poinçonnement d'une dalle avec
armatures de poinçonnement le long de la section de contrôle considérée
▪ vRd,max est la valeur maximale de calcul de la résistance au poinçonnement le long de
la section de contrôle considérée.
Il convient de procéder aux vérifications suivantes :
où :
• Asw est l'aire d'un cours d'armatures de poinçonnement sur un périmètre autour du
poteau [mm²]
• sr est l'espacement radial des cours d'armatures de poinçonnement [mm]
• fywd,ef est la limite d'élasticité de calcul efficace des armatures poinçonnement, avec
fywd,ef = 250 + 0,25 d ≤ fywd [MPa]
• d est la moyenne des hauteurs utiles dans les directions orthogonales [mm]
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▪ α est l’angle entre les armatures de poinçonnement et les armatures principales (c’est
à dire pour les cadres verticaux, α = 90° et sin α = 1)
▪ sr est l'espacement des cadres ou étriers de poinçonnement dans la direction radiale
▪ st est l'espacement des cadres ou étriers de poinçonnement dans la direction
tangentielle
▪ fck est en MPa.
Les flèches dans les dalles sont soumises aux prescriptions de l’EC2-1-1 et sont supposées,
dans tous les cas supporter des cloisonnements ou revêtements fragiles. Les flèches seront
justifiées à l’ELS QP. D’après l’articles 7.4.1 de l’EC2-1, les flèches des éléments porteurs
doivent être limité à l/250 où l est la portée de l’élément.
6.6. Resistance au feu
▪ Poutres continues
Le poids du volume de remblai extrait est supérieur au poids de l'ouvrage, une couche de 20
cm de GNT ou Pouzzolane compactée à 90 ou 95% de l'OPN est suffisant pour neutraliser le
foisonnement du sol en place après terrassement.
8.1. Chargements
1 – Eau 1000
Brute kg/m3
1100
2 – Boues
kg/m3
DECANTEURS
▪ Charges climatiques :
La plupart de nos ouvrages auront des dimensions entre joints de dilatation de leurs
superstructures inférieures à 30 m, ainsi, les effets du retrait et de la température pourront ne
pas être pris en compte.
On considère un gradient thermique maximal de +25°C. Ce gradient thermique sera considéré
pour toutes les faces des ouvrages hydrauliques qui ne sont pas en contact avec la terre.
L’annexe 1 présente la méthode de calcul des moments dus au gradient thermique pour 25°C
inspirée de l’annexe B du fascicule 74. Le moment de gradient sera calculé manuellement
selon cette annexe et ne sera pas généré directement par les modèles. Le moment dû au
gradient thermique sera appliqué sur la face froide de la paroi, conformément au fascicule 74.
8.2. Combinaisons de charges
Charges de construction :
▪ Qcons : Charges durant la phase de construction
Autres charges :
▪ Fwk : Vent
▪ Tk : Gradient thermique
Les valeurs de coefficients sont données par le tableau ci-dessous de l’Eurocode 0,
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Dans les zones de process, nous appliquons les coefficients ci-dessous pour la catégorie E :
NOTA : Nous appliquerons pas les combinaisons caractéristiques pour les cas où l’ouverture
de fissure est limitée à 0,2 mm à l’ELS QP car elles ne sont pas dimensionnantes et au vu des
efforts à l’ELU.
8.2.4. ELS fréquent :
NOTA : Nous appliquerons pas les combinaisons fréquentes pour les cas où l’ouverture de
fissure est limitée à 0,2 mm à l’ELS QP car elles ne sont pas dimensionnantes compte tenu
des ouvertures de fissures considérées à l’ELS QP et au vu des efforts à l’ELU.
8.2.5. ELS quasi permanent :
9. PRINCIPE DE JUSTIFICATION
Nous établirons des notes de modélisation rappelant les hypothèses principales ainsi que les
hypothèses spécifiques des ouvrages. Ces notes décriront le modèle utilisé (conditions aux
limites, charges, combinaisons) ainsi que la stabilité globale de l’ouvrage étudié. Nous
modéliserons à l’aide du logiciel Autodesk Robot Structural Analysis Professional 2020 et les
modèles intégreront les interactions sols/structures. Pour les structures les plus simples, des
calculs manuels ou le logiciel RDM6 seront utilisés. Tous les cas de vides/plein seront étudiés
de façon conservatrice.
Ci-après une description des cas de charges pour tous les ouvrages utilisés dans les différents
modèles :
Charges permanentes :
▪ G1 : Poids propre de la structure (radier, voiles, plancher, …)
▪ G2 : Poids des effluents / les différents cas de vide-pleins seront étudiés
▪ G3 : Poussée hydrostatique / les différents cas de vide-pleins seront étudiés
▪ G4 : Poussée des terres
▪ G5 : Toiture accessible et étanchéité
▪ G6 : Poids du média filtrant
▪ G7 : Poids de la charpente de couverture
Charges d’exploitations
▪ Q1 : Surcharges sur dalle, toiture accessible et escalier
▪ Q2 : Charge d’exploitation d’équipements
▪ Q3 : Charges routières (verticale si nécessaire)
▪ Q4 : Charges routière de poussée (si nécessaire)
▪ Q5 : Poussée hydraulique engendrée par la HMT des pompes : P=HMT*π*DN^2/4
▪
Charges climatiques
▪ W : Action du vent caractéristique (WX+, WX-, WY+, WY- / suivant chaque direction)
▪ T : Action de la température (gradient thermique)
Charges de Construction
▪ Qcons1 : Charge Engin de chantier
▪ Qcons2 : Charge de personnel de chantier
▪ Qcons3 : Charge de manutention des prédalles et Autres charges provisoires.
Exemple de modélisation 3D :
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Le calcul du gradient thermique dépend du ferraillage mise en place. Ainsi le calcul du moment
sera présenté dans chacune des notes de justification des ouvrages. Ce gradient thermique
sera considéré pour toutes les faces des ouvrages hydrauliques qui ne sont pas en contact
avec la terre.
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ΔT = 25 °C
α = 0,00001
fck = 30 Mpa
Ev = 11497 Mpa
λb = 1,75 W/m°C
1/hi = 0,005 m²°C/W
1/he = 0,06 m²°C/W
h0 = 0,25 m
Gradient thermique
ΔT = 19,47 °C
Moment pour h = 30 cm
A (aciers) 25 cm²
d (hauteur utile) 0,34 m
b (largeur) 1 m
A/bd 0,00735 <0,01
i 0,06147
I (max id3;h03/24) 0,00267 m3