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[MODULE 1] Les secrets pour devenir millionnaire grâce à la bourse

Résumé du cours

Les actions sont les actifs qui performent le plus à long terme (S&P 500 en moyenne 10% par an depuis 1926)
Important de gérer son portefeuille soi-même pour éviter les frais de gestion qui font perdre de l’argent au final.

La bourse est un placement impopulaire en France (8% des épargnants)

Avantages de la bourse :

Diversification sectorielle
Diversification mondiale (évite les crises nationales)
Diversification des actifs (actions, immo, or, pétrole, obligations)
Frais réduits
Temps passé à la gestion de son portefeuille assez faible
Liquidité (possibilité de liquider rapidement ses actifs)

Urgence de reprendre ses finances en main:

danger sur les retraites


Allongement de la durée de vie
Taux bas
Incertitudes économiques
Investissement classique via les banques trop onéreux
Chômage en hausse

Erreurs à éviter en débutant en bourse :

Tomber dans le piège des vendeurs de rêves


Recourir à des produits à faible probabilité de réussite (CFDs, options binaires)
Trader de manière active sans formation

[*]Avoir des attentes démesurées de la bourse (objectif 10% par an)


[*]Ne pas placer son argent car trop risqué (dans ce cas l’inflation rongera l’épargne)[/list]
Objectifs de l’investissement :

Sécuriser l’argent et ne pas subir l’inflation


Fructifier son patrimoine et vivre à terme de ses rentes
Ne plus dépendre de l’état pour sa retraite

Stratégie ISM (Investisseur stratège et millionnaire)

Définition : Fournir le moins de travail pour un max de résultat

Utiliser son temps efficacement


Investir quand ça vaut le coup uniquement
Faire en sorte que l’investissement prenne le moins de temps possible
Ne pas perdre son temps avec des futilités

Secrets pour devenir millionaire:

1. Investir le plus tôt possible et capitaliser sur les rendements composés


2. Ne pas essayer de battre le marché mais être le marché
3. Nul besoin d’être un matheux pour gagner en bourse
4. La bourse n’est pas un investissement risqué (sur le long terme)
5. Notre conseiller financier n’est pas notre ami
6. Battre le marché grâce à une simple astuce (patience, ne pas confier son argent)
7. Avoir un avantage pour gagner en bourse (modélisez les meilleurs, s’inspirer des meilleurs gérants)
8. Ne jamais laisser la peur prendre le dessus
9. Ne pas rechercher l’adrénaline (ne pas prendre la bourse pour un casino, devenir millionnaire est un marathon pas un sprint)
[MODULE 2] Tout ce que vous devez savoir sur la bourse avant de faire votre premier
placement
Résumé du cours

Définition de la bourse

Émission d’actions par une entreprise pour financer son activité sur le marché primaire
Échange sur le marché de l’occasion appelé marché secondaire

Investir dans une entreprise c’est investir dans son potentiel. Possibilité également d’investir dans une économie globale grâce aux indices
(panier d’actions).

C’est un investissement totalement passif.

Les principes :

Combattre le risque d’inflation


Diversifier ses placements
Avoir une perspective long terme

1. Les actifs non risqués

Argent liquide ou cash (permet de faire face aux urgences)


Obligations (emprunts d’états pour la perception d’un intérêt sur le montant investi + garanti du remboursement intégral du nominal).
Risque de défaut existe tout de même.
Résidence principale (être sûr d’avoir un toit pour ses vieux jours)
Assurance vie (réduction d’impôts)

2. Les actifs risqués

Actions et indices (réduire le risque grâce aux ETFs)


High Yield Bonds (obligations à haut rendement mais risque de défaut élevé)

Placements à privilégier selon les profils :

Temps disponible et capitaux : Trading / Bourse / Immo / business en ligne


Pas de temps, pas de capitaux : gagner plus et épargner => bourse / trading / Immo
Pas de temps mais capitaux : Bourse
Temps mais pas de capitaux : Immo (si capacité d’emprunt), business en ligne
[MODULE 3] Est-il possible pour un particulier de battre les meilleurs gérants de
portefeuille ?
Résumé du cours

Gestion active VS passive

La gestion active est plus dangereuse car les frais seront plus élevés pour une performance moindre.
Performance du S&P 500 en moyenne de 1993 à 2013 = 9,2%
Performance moyenne des gérants de portefeuilles (gestion active) = 2,5% (à peine plus que l’inflation)
96% des gestionnaires de portefeuille ne battent pas le marché.
Investir dans un fond revient au final à perdre 60% de son épargne à cause des commissions.
La gestion passive est plus rentable car faibles commissions et performance égale au marché.

Principes de bases :

les investisseurs font l’erreur d’acheter haut et vendre bas, il faut faire l’inverse
Évaluer sa performance sur plusieurs années et non pas sur une seule
Avoir des règles simples
Développer des routines et des habitudes
Avoir une check-list complète de ses actions

Les ETF (Exchange Traded Funds) :

Contiennent plusieurs actifs, certains répliquent des indices (actions) d’autres comportent des matières premières (or, pétrole,…) ou
sont sur des pays ou régions.
Frais de gestion extrêmement faibles (10 fois moins élevés qu’un fond classique)
Nul besoin de diversifier car l’ETF le fait pour nous
Transparence (on sait ce qu’on achète contrairement aux SICAV classiques)
Permettent d’investir dans plusieurs classes d’actifs sans nécessiter un gros capital
Permet de créer un portefeuille qui colle à nos attentes
Possibilité de recourir à l’effet de levier
Possibilité de vendre un marché à découvert

Les grands émetteurs d’ETFs aux USA :

Blackrock
Vanguard
StateStreet
Invesco
PowerShare

Les grands émetteurs d’ETFs en France :

Lyxor
[MODULE 4] Comment construire un portefeuille performant et peu risqué ?
Résumé du cours

La rémunération est liée au risque pris


Le fait de diversifier va réduire ce risque

Evaluation du risque :

Écart-type (volatilité d’un actif sur la durée)


Beta (variation d’un actif par rapport à un actif de référence)
Drawdown (différence entre un sommet et un creux dans la courbe de performance)
Ratio de Sharpe : S = (R-Rf)/V

Le ratio de Sharpe mesure le rapport gain/risque, plus il est élevé, meilleure est la performance.

Les actions sont des actifs à intégrer dans un portefeuille, elles sont moins risquées que les obligations sur une période 15/20 ans.
(risque de perdre sur action sur 1 an = 27% alors que sur 15 ans = 3%)

Types de diversification

Image

Critères pour choisir un ETF :

Liquidité
Frais de gestion
Configuration Technique
Emetteur

Corrélation :
Corrélation de 1 = actifs qui évoluent dans le même sens
Corrélation de 0 = actifs sans aucune corrélation
Corrélation de -1 = actifs corrélés négativement (quand le premier progresse, l’autre décline)

Allocation stratégique

Les 3 aspects pour améliorer ses performances selon Swensen :

1. L’allocation d’actifs (division du portefeuille entre principales classes d’actif => obligations, actions, liquidités)
2. La diversification (réduction de la volatilité du portefeuille et donc réduction du risque)
3. L’optimisation fiscale

Les facteurs à prendre en compte pour l’allocation d’actif :

Âge
Patrimoine
Profil (agressif / prudent)
Type de marché (haussier / baissier / range)

Allocation d’actif VS stock picking : la majorité des titres sous-performent l’indice, donc le Stock Picking est une stratégie compliquée.

Théorie du portefeuille moderne :

Composition: actions locales et internationales, matières premières, obligations locales et internationales.


Frontière efficiente: situation où le portefeuille est optimal (performance maxi pour un risque mini)
[MODULE 5] TKL Rentier
Résumé du cours

Le Portefeuille 60/40 (c’est le plus populaire) (60% d’actions, 40% d’obligations)


La règle Jack Bogle : investir son âge en obligations

Limites :

pas assez diversifié


Drawdown assez important durant les crises (source de stress)
grosses contre-performances historiques

S’inspirer des meilleurs business school comme Yale & Harvard :

Actions US : 30%
Immo : 20%
Actions internationales : 15%
Obligations Etats Long Terme : 15%
Actions pays émergents : 5%
TIPS (Treasury inflation protected securities) : 15%

Leur performance est supérieure à celle du marché.


Elles génèrent de l’Alpha grâce aux marchés les moins efficients en se focalisant sur la classe d’actifs les plus volatiles.

Le gros de la performance se fait grâce aux Private Equity.

Dans les marchés efficients, la gestion active est inefficace (privilégier gestion passive)
Dans les marchés moins efficients, la gestion active sera plus intéressante

Stratégie de Swensen

Beta (performance qui duplique l’indice)


Alpha (positif : performance supérieure à l’indice | négatif : performance inférieure à l’indice)

Les conseils de Mohamed El Arian (ancien gestionnaire du fond d’Harvard) :

1. Il faut gérer le risque car l’allocation d’actifs ne suffit plus pour le diluer (corrélations des actifs devenues importante)
2. Trouver les thématiques qui vont exploser dans les prochaines années et faire partie des premiers

Stratégie pour acquérir des titres :

DCA (dollar cost averaging) : investir régulièrement pour moyenner (volatilité = allié)
Lump sum : investissement en une fois
[MODULE 6] TKL Zen
Résumé du cours

Le portefeuille 4 saisons de Ray Dalio (célèbre gérant de hedge fund)

performant peu importe la conjoncture économique


performance d’une régularité exceptionnelle

Les 4 états possible de l’économie :

1. inflation plus forte que prévu (actions et immobilier en hausse)


2. Déflation ou inflation moins forte que prévu (hausse des obligations car baisse des taux d’intérêts, baisse de l’immo)
3. Croissance plus forte que prévu (forte hausse des actions)
4. Croissance moins forte que prévu

Actifs à privilégier suivant les différents scénarios :

(Croissance < prévisions) + (inflation < prévisions)


=> TIPS (obligations corrélées à l’inflation)

(Croissance > prévisions) + (inflation > prévisions)


=> Or/Argent ; matières premières (pétrole) ; TIPS

(Croissance > prévisions) + (inflation < prévisions)


=> Actions ; obligations d’entreprises ; matières premières ; Or

(Croissance < prévisions) + (inflation > prévisions)


=> Actions ; obligations d’Etats

Ce portefeuille est plus performant que le 60/40 et le risque moins élevé. Sa gestion est quasi-passive.

Composition :

30% actions/indices
40% obligations Etat LT (20-25-year Treasuries)
15% intermediate term (7-10-year Treasuries)
7,5% gold
7,5% matières premières

La grosse part des obligations consiste à contrebalancer la volatilité des actions.


Le gold et les matières premières sont une protection en cas de forte inflation.

Pratiquer le rééquilibrage permettra d’avoir une meilleure performance (alléger les actifs qui ont performé pour réallouer les gains sur les
actifs qui n’ont rien fait)
Effectuer un rééquilibrage au moins une fois par an.
Il est également possibilité de booster la performance en intégrant des Small cap / Mid cap/ large cap.
[MODULE 7] Comment protéger son épargne même dans les situations extrêmes ?
Résumé du cours

Le permanent portfolio de Harry Brown

C’est un portefeuille conservateur.

Composition :

25% actions US (pour profiter de la croissance)


25% obligation d’Etat (TLT) (tirer profit de la déflation)
25% Gold (couverture contre l’inflation)
25% en cash ou T-bills (protection lors des recessions)

Rééquilibrage dès qu’un actif représente 35% du portefeuille ou moins de 15% afin de le ramener à 25% (vente des actifs sur-pondérés et
achat de ceux sous-pondérés)

Ce portefeuille a un très bon comportement lors des crises (performance positive en 2000, 2001, 2002), le pire drawdown est faible (-14,3%
en 2008), seulement 6 années négatives depuis 1978.
Ce Portefeuille est d’une excellente régularité.

Sa performance est légèrement plus faible que le 60/40 sur la durée mais beaucoup moins volatile.
Il est possible de booster légèrement sa performance grâce aux mid cap.
Ce portefeuille est idéal pour un gros patrimoine afin d’en tirer des revenus.

Limites actuelles :

L’Or sous-performe depuis 2012 donc sa performance est très limitée ces dernières année (Or = 1/4 du PP)
Ne fonctionne plus durant les périodes de croissance molle, il faudra trouver des alternatives.

Les risques qui pèsent sur notre patrimoine :

Faillite de l’Etat (guerre, révolution…)


Krach boursier (arrive régulièrement)
Le risque de change (risque extrême sur zone euro => acquérir des actifs libellés en $ ; effectuer une opération de change via son
courtier)
Faillite bancaire (=> ouvrir plusieurs comptes ; choisir banque avec bon rating)
Faillite du courtier (=> choisir courtiers avec bon rating avec une assurance type SIPC complété par une assurance solide type Lloyds)
[MODULE 8] L'allocation d'actifs stratégiques
Résumé du cours

Avantages des ETFs :

Reproduire la performance des indices à frais réduits


Beta ciblé avec possibilité d’investir sur différents styles/secteurs
Beta intelligent avec la nouvelle génération d’ETFs qui permettent de ne pas investir sur des indices pondérés selon la capitalisation
mais selon d’autres critères
Ils permettent de construire un portefeuille sur mesure.

Objectif avec les ETFs : ne pas perdre de temps à repérer les meilleurs actifs mais repérer les tendances économiques, la psychologie du
marché.

Risque d’investir sur une action individuelle :

Risque spécifique, news


Rendement qui ne justifie pas le risque auquel on s’expose
Difficulté de sélectionner les bons titres

Limites de l’allocation classique (indices construits sur la base de la capitalisation boursière) :

Ne rémunèrent pas assez bien certains critères


Pas suffisamment diversifiés car concentrés sur les grosses capitalisations

Allocation stratégique

Approche dynamique :

Diversification plus poussée


Actifs non corrélés

L’objectif est de diminuer la volatilité et augmenter la performance

Il est nécessaire aujourd’hui de prendre plus de risques pour avoir les même performances que par le passé.

Fama and French ont démontré les 2 facteurs déterminants pour établir la performance future d’une action :

La capitalisation boursière
La valorisation

Ils démontrent également que les small cap sous évaluées ont une meilleure performance.

Les titres avec une valorisation inférieure à leur valeur fondamentale sont qualifiés de Value Stocks (valeurs défensives)
Les titres avec une valorisation supérieure à leur valeur fondamentale sont qualifiées de Growth Stocks (valeurs de croissances)

Le Smart Beta (1.0)

Il est à la croisée de 3 grands types de gestion :

Discrétionnaire
Passive
Quantitative

L’investissement factoriel

Il y a 6 principaux facteurs (selon Fidelity) :

1. Quality
2. Low volatility
3. Smaller size
4. Momentum
5. Value
6. Dividend yield

Les limites du smart Beta 1.0 :


trop grande importance accordées aux facteurs, il faut améliorer la diversification.

Le Smart Beta 2.0

Il consiste à adopter une approche multi factorielle (meilleur diversification) afin d’augmenter la performance et diminuer le risque.
Opter pour des stratégies multidimensionnelles en matière de pondération.

Valeurs défensives :

Résultats stables quelque soit l’état du marché


Font mieux que le marché lors des récessions et moins bien lors des expansions
Distribuent un dividende régulier

Les valeurs défensives permettent de se protéger dans les phases de forte volatilité ou de ralentissement de l’économie.
(Elles représentent les biens de consommation courante que les gens achètent en tout temps : nourriture, boisson, tabac, médicament,
etc…)

Valeurs cycliques :

Affectées par les haut/bas de l’économie


Vendent des produits que les consommateurs n’achèterons que en période de croissance

(automobile, compagnies aériennes, vêtements, hôtels, restos…)


Selon Jim Slater, il est conseillé d’acheter les actions cycliques lors de la dernière année de baisse des taux, avant qu’ils ne remontent.

Secteurs à tendance à sur-performer le marché en période de croissance :

Technologie
Consommation
Industrie
Finance

Secteurs à tendance à sur-performer le marché en période de ralentissement économique (valeurs défensives) :

Santé
Énergie
Services publics

(car on peut difficilement s’en passer)

La notion de cycle :
Il faut investir en bas de cycle (surtout pas en haut) et alléger sa position en haut de cycle.

L’allocation stratégique permet de capturer l’intégralité du cycle boursier.


L’allocation tactique consiste à capitaliser sur la simplicité du marché en allégeant les actifs sur-évalués et en renforçant les actifs
sous-évalués (rééquilibrage dynamique).
[MODULE 9] Battre le marché ? Les apports de la recherche académique
Résumé du cours

Les limites de la gestion passive : aucune performance durant les lost decades (marchés en range). La solutions est d’opter pour une
gestion un peu plus active.

Historiquement, il n’y a eu aucune période négative sur une période de 30 ans (2% réel minimum) contrairement à 10 ou 20 ans.

Leçons à tirer :

Le moment de la décision d’investir aura un impact non négligeable


Possible d’être piégé durant de nombreuses années
Difficile de tout miser sur l’investissement passif

Solutions pour éviter le piège des krachs boursiers et les périodes de range :

Momentum
Market timing

Avantages de la gestion passive (achat/conservation) :

Meilleurs performance des actions à long terme que les autres actifs
Avoir un portefeuille diversifié permet une performance positive à long terme
Impossible de prédire les cours, autant rester tout le temps investi
Après un krachs, les marchés récupèrent toujours leurs pertes
Commissions et frais de gestion réduits
Capitalisation maximale sur les rendements composés

Limites de la gestion passive :

Ne fonctionne plus car la volatilité est trop importante aujourd’hui (selon Andrew Lo)
La diversification n’est plus assez efficace pour gérer le risque

Points faibles de la diversification : forte corrélations des actifs en période de crise (alors que c’est là que l’on a le plus besoin de se
protéger)

Limites du rééquilibrage : les actifs peuvent continuer à sur-performer et sous-performer pendant des années.

Entre 1877 et 2009 (S&P) :

Marchés haussiers : total de 2075% et 80 années haussières (60% du temps)


Marchés baissiers : total de -329% et 52 années baissières (40% du temps)

Plus la perte est élevée, plus il sera difficile de revenir. En cas de perde de 50%, il faudra réaliser une performance de 100% pour revenir à
l’équilibre.

Etude de John Maudlin sur 88 périodes de 20 ans :

50% des périodes ont un rendement annualisé de moins de 4%


10% seulement ont un rendement annualisé supérieur à 10%

Augmenter ses chances de gagner en gestion active :

capitaliser sur les erreurs psychologiques des amateurs (momentum, panique)


Éviter la concurrence avec les pros et les algorithme de trading
Se discipliner pour appliquer certaines règles de décision

Market timing

Les meilleures opportunités se situent durant les périodes de crise.

Règles du système quantitatif :

Les règles d’intervention sont simples


Elles s’appliqueront pour toute classe d’actifs
Système uniquement basé sur les prix

Le Market Timing consiste à investir intégralement son capital lors d’un signal validé et le liquider totalement lors d’un signal contraire.

En pratique :

Investissement sur clôture mensuelle au dessus la MM 200 jours (10 mois) d’au moins 1%
Liquidation sur clôture mensuelle en dessous la MM 200 jours d’au moins 1%

Cette pratique sur-performe la stratégie d’achat/conservation de plus de 4% par an entre 1972 et 2006.
La volatilité est inférieure à 25% mais elle profite moins bien des marchés haussiers que la stratégie d’achat/conservation.
La stratégie de Market Timing est extrêmement performante pour éviter les krachs.

Avantages du Market Timing :

Être sur le marché quand ça vaut le coup


Peu de frais de transaction (car peu de signaux)
Évite de subir les krachs
Permet de rester dans le marché lors de petites corrections
Possibilité de recourir au levier pour booster sa performance

C’est un système qui détermine quand prendre des risques et quand rester à l’écart ce qui diminue la volatilité du portefeuille et également
le drawdown.

Limites du Market Timing :

Présence de faux signaux


Frais supérieurs à une approche purement passive
Risque de rentrer trop tard ou sortir trop tôt
Demande d’attendre parfois plus d’un an avant de se positionner sur certains actifs
Il y a une part de surveillance contrairement à la gestion passive
Va parfois nous faire rater le début d’un mouvement impulsif
Risque de se faire sortir par la volatilité

Application à la gestion de portefeuille (Meb Faber) :

Chaque classe d’actif est indépendante des autres, soit on est acheteurs, soit on est en cash
Chaque actif représente au max 20% du portefeuille (permet de ne pas être surexposé)
Les résultats obtenus excellents et le risque fortement réduit (pertes inférieures à 10% en général)

Portefeuille GTAA de Meb Faber (Global Tactical Asset Allocation) :

Actions US : 20%
Actions mondiales : 20%
Obligations : 20%
Immobilier : 20%
Matières premières : 20%
On est investi en moyenne à 70% avec ce portefeuille.
Une seule année négative depuis 1973.
Sa performance est meilleure que l’achat/conservation
[MODULE 10] TKL Booster
Résumé du cours

Objectifs de TKL Booster:

augmenter la performance
Diminuer le risque
Éviter de subir les krachs ou les ranges
Bénéficier de la diversification
Capitaliser sur les situations extrêmes

S’applique pour toutes classes d’actifs:

EAFE : foreign stocks


GSCI : commodities
US bonds 10 year
NAREIT : real estate

Repérer les retournements majeurs grâces aux indicateurs techniques:

Divergence baissière: oscillateur en tendance baissière alors que les prix dessinent de nouveaux plus hauts
Divergence haussière: oscillateur en tendance haussière alors que les prix dessinent de nouveaux plus bas

Les divergences sont pertinentes uniquement dans les marchés sur-vendus ou sur-achetés

L’indicateur RSI: la zone des 50% fait office de support/résistance (équilibre entre acheteurs et vendeurs). Les divergences sont
véritablement validées en cassure de ce niveau

En tendance haussière, le RSI évolue au dessus des 40/50%


En tendance baissière, le RSI évolue en dessous des 60/50%

Qualités nécessaires pour être un bon investisseur:

Patience
Persévérance
Indépendance d’esprit: ne pas se laisser influencer
Capacité à endurer les périodes de sous-performance du portefeuille

Augmenter la rentabilité en se positionnant sur un actif après 2 ou 3 années négatives:

Cas pour les actions en 1975, 2003, 2008


Cas pour les matières premières en 1977 et 1999
Cas pour l’immobilier en 1975, 1995 et 2000

Comment capitaliser concrètement sur ces situations:

marché qui perd 20%, idéalement au moins 30%


Marché baissier depuis une année (sauf si déjà baissé de 30%)
Divergence haussière validée (évite d’être bloqué pendant des années)
Consensus général très négatif

Une erreur à éviter est de vouloir à tout prix investir… il faut être patient.
Les recherches prouvent que la majorité des investisseurs achètent trop haut et vendent trop bas.

Les marchés sont plus volatiles et plus violents durant les baisses.

Il faut filtrer les signaux avec les indicateurs techniques.

Ne pas se contenter d’un simple signal donné par la MM 200 (market timing):

Quel est le contexte de marché ?


Le marché a-t-il fortement baissé ? (20 à 30%)
Les volumes sont-ils élevés ?
Divergence haussière ?
Eviter le market timing en range

Booster sa perf:

1. en utilisant l’effet de levier:


quand le marché a fortement baissé et valide un retournement
jouer l’idée avec l’indice pour booster son portefeuille
ne miser qu’une partie de son portefeuille
2. en vendant à découvert:
capitaliser sur les retournements baissiers
3. En travaillant avec plus de classes d’actifs au lieu d’un indice international

Il ne faut pas nécessairement investir sur obligations (rentabilité pas exceptionnelle et déjà couvert par le fait de ne pas être tout le temps
exposé aux marchés)

Travailler les classes d’actifs hautement volatiles (emerging market bonds, junk bonds, small cap emerging market)
On peut Booster sa performance sans prendre de risque en risquant ce que l’on a déjà gagné.
[MODULE 11] La stratégie patrimoniale globale
Résumé du cours

Qualité d’un bon patrimoine:

Durable
Capacité de se développer
Suffisamment diversifié
S’adapte à notre profil (20/40/70 ans)
Cohérent avec le nombre d’années qui reste avant d’arrêter de travailler
Prend en compte les risques exceptionnels (perte subite de 50% du portefeuille)

Objectif du patrimoine:

assurer sa retraite
Acheter la maison de ses rêves
Payer les études de ses enfants
Subvenir à ses besoins
Faire le tour du monde
Vivre dans un endroit de rêve
Maintenir son niveau de vie une fois en retraite

Répartition inégale des richesses:

Le 1% les plus riches possèdent 46% des actifs


Le top 10% possède 86% des actifs
Les 50% les moins bien lotis possèdent moins de 1% de la richesse globale

Secrets des riches (selon Ashvin B. Chhabra): ils sont focalisés sur ce qu’ils maîtrisent

Manières les plus efficaces de devenir riche (Forbes):

1. business: 60% (bill gates)


2. finance: 20% (Buffet)
3. Héritage: 12%
4. Immo: 8% (Trump)

Se concentrer sur 2 aspects:

créer de la richesse
la préserver et la faire fructifier

Seules 13,5% (54 personnes) se sont maintenues chaque année dans le classement Forbes 400 entre 1982 et 2003 (20 ans).

Raisons énumérées pour justifier la difficulté de rester dans le top 400:

Concentration
Levier
Dépenses excessives
Impôts
Dynamique familiale
Taux de change
Actions gouvernementales

Il ne faut jamais dépendre d’une seule source de revenus.


Il est également important de continuer à prendre des risques pour préserver sa richesse.

Son patrimoine doit coller à ses objectifs.

Pyramide de maslow:

Image

Traduction en matière patrimoniale:

assurer ses besoins physiologiques essentiels


Maintenir son style de vie (sécurité)
Se réaliser et réaliser ses rêves

Pour prendre sa retraite il est nécessaire d’avoir une épargne qui représente 20 fois les dépenses annuelles.

Les 3 principaux objectifs:

1. Essentiels: protection contre anxiété, pauvreté, problèmes santé, perte de job


2. Importants: aider ses proches, assurer sa retraite, assurer une stabilité
3. Ambitieux: réaliser ses rêves, acheter une belle voiture, une belle maison, contribuer à la société

Erreurs en matière de retraite:

surestimer le montant nécessaire pour vivre correctement


Sous-estimer le montant nécessaire pour maintenir son train de vie

% des revenus à épargner:


[Nombre d’années à la retraite / (nombre d’années de travail + nombre d’années à la retraite)]
L’épargne peut être revue à la baisse avec un portefeuille performant.

Segmenter son patrimoine pour chaque objectif:

Dimension sérénité (filet de protection): portefeuille déconnecté des marchés ou pas trop affecté. Allouer l’essentiel des dettes à ce
portefeuille sérénité (emprunt immo)
Lifestyle: réaliser une performance au moins égale à l’inflation. Être totalement exposé aux marchés, portefeuille bloqué pour au moins
10/15 ans, ne pas chercher à diminuer le risque et l’accepter pour avoir une belle performance
LFA (portefeuille millionnaire): nécessite plus de risque et a pour objectif de réaliser ses rêves: investir dans sa formation, développer
un savoir faire, monter un business

Cycle de vie de Modigliani:

1. financé par ses parents ou crédits bancaires


2. Épargne à partir de la trentaine
3. Désépargne une fois en retraite

Modification du cycle de vie par HS Dent:

1. période de désépargne dans la quarantaine pour financer les études des enfants
2. épargne de nouveau après 50 ans
3. puis désépargne en retraite.

Cycle de la richesse:

1. accumuler richesse
2. Protection patrimoine
3. Puiser dans sa richesse

Gestion de fortune stratégique

Stock = patrimoine
Cash flow (flux) = partie du revenu qui part enrichir le patrimoine (salaire)

Un gros patrimoine permet de limiter la prise de risque.


Conseil pour s’enrichir plus vite: ne pas s’endetter (pour consommation) et rembourser au plus vites ses dettes.
[MODULE 12] Devenez un investisseur global macro
Résumé du cours

De nombreux bouleversements majeures auront lieu dans les prochaines décennies.

Crise des subprimes: hausse record des déficits publics, jamais vu en temps de paix.
Appauvrissement sans précédent de la classe moyenne
Enrichissement excessif d’une petite minorité

3 forces conflictuelles qui impacterons l’économie:

1. vieillissement accéléré de la population: qui produira les biens consommés par les retraités ? Qui achètera leurs actifs ? L’âge de
départ devra augmenter considérablement.
2. Montée en puissance des émergents (Chine, Inde, reste de l’Asie): le gros de la production se fait en Asie.
3. Montée en puissance de l’IA: taux de chômage de 50% dans les prochaines décennies.

Phénomène 1:
Forte hausse des natalités après la 2de guerre mondiale puis forte baisse à partir des années 60s.

Phénomène 2:

hausse de l’espérance de vie: 66 ans en 1950 ; 76 ans (F) et 81 ans (H) en 2010 et ce n’est pas près de s’arrêter grâce aux progrès
de la médecine.
inversement de la pyramide des âges: le gros de la population aura + de 70 ans dans les pays riches. Les personnes âgées de + de
80 ans seront plus nombreux que les - de 15 ans.

Dans les 30 prochaines années:

1/3 de la population mondiale vivra en Afrique.


En 2050, plus qu’un seul pays européen dans le top 10 mondial, l’Allemagne. La France sera au 13ème rang. Les 6/7 premières
places seront occupées par les pays émergents.
USA et UE seront moins importantes que l’Inde en 2050.

Les PED produisent 50% de la production mondiale, bientôt les 2/3.


Il suffit d’investir dans les PED ? non car corrélation négative entre croissance et actions.

Il faut se diversifier au niveau mondial:

USA = 90% de la cap boursière en 1940, aujourd’hui elle est inférieure à 50%
PDEM = encore 85% de la capitalisation boursière
Il est préférable de diversifier au niveau mondial pour réduire le risque

Se couvrir contre le risque de change ? non car l’investissement se fait sur du long terme et les opérations de couverture coutent de
l’argent.

Utilité d’investir à l’international:

forte volatilité
progressions pouvant dépasser 100% en moins d’un an
capitaliser sur les mouvements violents

La Chine a une forte croissance passée mais les marchés boursiers n’ont pas performé (performance même négative)
Acheter un pays à la mode ne veut pas dire performance car les actions sont souvent surévaluées.

Mexique, Amérique latine: les actions sont faiblement valorisées donc belles performances ces dernières années.

Les pays à fort potentiel ces prochaines années:

Inde
Chine
Brésil
Indonésie
Russie
Nigéria
Mexique

Eviter à tout prix d’être investi sur un seul Pays, exemple du Japon qui fait du sur-place depuis longtemps.
Idéalement se focaliser sur les régions, mais le fait d’investir sur des pays permet plus de diversification.

Limite des ETFs sur ces marchés:

frais et liquidité
Moins de confiance dans les modes de gouvernance
Volatilité plus grande à court terme
Avoir une partie de son portefeuille investi dans ces pays peut valoir le coup

Forces de l’Europe et USA:

Système éducatif
Stabilité politique
Démocratie

Faiblesses:

économie à bout de souffle (surtout UE)


Vieillissement population
Montée du populisme
Dette publique
déséquilibres majeures
Faible compétitivité
[MODULE 13] Comment optimiser la fiscalité en matière boursière ?
Résumé du cours

1) Le CTO (compte titre ordinaire)

Compte classique ouvrable auprès d’une banque | courtier.

fiscalité sur plus value:


Auparavant à la tranche marginale d’imposition (donc le % = à celui de l’IR) + prélèvement sociaux

Aujourd’hui avec la Flat taxe depuis janvier 2018, il y a un prélèvement forfaitaire de 30% (prélèvement sociaux: 17,2% & IR: 12,8%)

Payer le moins d’impôts possible:

Acheter ETF pour une optique long terme


Ne jamais prendre ses bénéfices tant qu’on est dans la phase de construction de patrimoine
Lors du rééquilibrage, augmenter la part de l’actif sous évalué pour garder les même proportions
Se focaliser sur les ETFs capitalisant pour éviter les impôts sur dividende
Jongler avec l’assurance vie pour les obligations

Avantages:

large choix d’ETFs


Simple à mettre en place
Possibilité de recourir au trading actif

2) Le PEA (Plan Épargne Actions)

actions, fonds d’actions et ETFs (siège en europe)


Pas d’impôts sur plus value après 5 ans
Prélèvement sociaux tout de même de 15,5%
Le début du PEA correspond à la date d’ouverture (ouvrir le plus tôt possible)
Dépôt de 150k€ max dans un délai de 8 ans (au delà le compte est fermé)
Un seul PEA et un seul PEA PME (2 par foyer fiscale)
Diversification mondiale sans payer d’impôts (ETFs synthétiques)

Conditions:

Être domicilié fiscalement en France


150k€ max et 75k€ max pour un PEA PME (2 également max par foyer fiscal)
Limité en placements (actions et parts de sociétés avec siège en Europe, actions et ETFs investis à 75% minimum en titres
Européens)

Conditions pour le garder ouvert:

Ne pas effectuer de retrait avant 8 ans (sauf création ou reprise d’entreprise dans les 3 mois)
Non respect des conditions (dépassement plafond versements)
Décès du titulaire
Après 8 ans, retrait de la totalité des sommes
Si retrait d’argent après 8 ans, plus possible de faire de versements

Les PEA sont proposés par les banques et les courtiers (privilégier fais de courtage les plus faibles)

Avantages PEA:

on ne paye que les prélèvements sociaux


Possibilité de monter jusqu’à 300k€ par foyer fiscal
Diversification mondiale grâce aux ETFs synthétiques

Image

Limites:
Impossible de faire un arbitrage entre actions et obligations d’où intérêt de travailler également avec un CTO ou une assurance vie.

3) L’assurance vie

L’objectif est de garantir le versement d’une rente ou somme lors d’un événement lié à l’assuré (décès)

Faire fructifier son patrimoine pour sa retraite


Avantages fiscaux en matière de succession
2 types de support d’investissement
contrats en euros (fonds euro uniquement les sommes versées sont garanties par l’assureur
UC (unités de compte, déterminés par l’assureur): sociétés immo, ETFs. Pas de garantie.

Fiscalité:

7,5% sur les gains après 8 ans + prélèvements sociaux (17,2%): 24,7% au total
pas d’avantages comparé au CTO, pire, il y a des frais de gestions avec l’assurance vie
30% lorsqu’on détient plus de 150k€ en assurance vie
Attractif pour les successions: abattement de 152 500€ par bénéficiaire sur sommes versées avant 70 ans
Alimentation d’un nouveau contrat assurance vie et retrait dans les 4 ans: que 30% de prélèvements (50,5% avant flat taxe)

Les frais:

frais de gestion des UC souvent de 0,6%


Frais conséquents des fonds acquis (2 à 5% pour entrer + frais de gestion + commissions sur performance)

Choisir une bonne assurance vie:

frais sur UC de 0,5 à 0,6% max


Il est préférable d’opter pour une assurance vie en ligne: 0 frais d’entrée, 0,5% de frais de gestion, commissions de 0,1 à 0,2% (achat
ou vente)

C’est intéressant pour les successions mais moins intéressant qu’un PEA ou CTO pour le reste.

Avantages:

pas de limites en apport


Possibilité d’en ouvrir plusieurs
Fiscalité succession attractive
Possibilité ETFs

Limites:

frais plus élevés que PEA et CTO


Moins de choix que PEA et CTO (gros frais de certaine gestions avec performance souvent décevantes)
Pas propriétaire des fonds (assureur)
Envisager une assurance vie quand le PEA est plein ou pour optimiser la fiscalité sur succession.
[MODULE 14] Le passage à l’action
Résumé du cours

Qualités d’un bon courtier:

solide financièrement
Bon service client
Plateforme fiable
Possibilité PEA
Assurance vie

Opter pour courtier en ligne car les frais sont réduits, application mise à disposition pour suivre son portefeuille, flexibilité au niveau des
passages d’ordres.

Choisir les ETFs

Risques des ETFs (selon AMF):

Risque de contrepartie, collatéral


Décorrélation avec l’indice suivi
Risque de liquidité (pas de problème sur indices majeurs)
Impact sur les marchés sous jacents

Choisir ETF pour PEA:

ETF diversifié (pour diminuer le risque)


Frais inférieurs à 0,5%
Encours supérieurs à 100 millions €
ETF liquide
Réplication synthétique

ETF synthétique:

éligible au PEA
Actifs physiques non liés à l’indice suivi, très liquide et complété par des SWAP de performance.
ETF qui comprend bien des actions mais pas forcément celles de l’indice
ETF sur USA peut donc être éligible au PEA (au moins 75% d’actions EU et contrat SWAP qui permet une performance de l’ETF
d’être similaire à celle de l’indice US)

Gestion des dividendes

3 types d’indices:

1. Price return (pure rendement): dividendes non pris en compte


2. Rendement brut: dividendes intégrés mais pas les impôts liés
3. Rendement net: dividendes intégrés + impôts payés

Acheter ETF en USD ou EUR ?

USD = frais de change facturés


Pas de problème avec un compte multi-devise

ETFs Hedged (couvert du taux de change):

à long terme cela est peu intéressant car les parités sont plutôt stables
À court terme c’est intéressant car cela permet de diminuer le risque
Frais souvent élevés donc performance pas meilleure

Effet de levier:

attention au Beta slippage car le levier est remis à 0 tous les jours
Seulement à court terme pour jouer les retournements
Conserver un levier sur 1 ou 2 ans max

ETFs capitalisants: dividendes non versés mais réinvestis


ETFs distribuants: dividendes des sociétés sous jacentes versés aux actionnaires

ETFs obligataires:

pas possible pour PEA


Choix limité en assurance vie
fiscalité élevée dans le cadre d’un CTO

La meilleure solution est de privilégier les fonds euros investis à 80% en obligations.
[MODULE 15] Construire un portefeuille sur mesure
Résumé du cours

Il faut créer un plan d’investissement mensuel ou trimestriel.

La gestion de son portefeuille doit se faire le plus simplement possible.

Toujours se poser la question « pourquoi investir ? » afin d’adopter la bonne stratégie.

Conseils pour construire portefeuille:

idéalement, débuter par un PEA puis assurance vie et enfin CTO


diversifier: en fonction des émetteurs, des types d’ETFs (physiques et synthétiques), des marchés
petit capital: se limiter à quelques lignes (limiter les frais)
rééquilibrage: investir son épargne à la fin de l'année sur les actifs sous pondérés

Peu de temps et peu de moyens: possibilité d’acheter un ETF monde + fonds euros pour la partie obligataire.

Portefeuille 100% actions:

100% MSCI world


possibilité d’être plus agressif avec les facteurs value, small cap…: compléter MSCI world avec small caps et pays émergents
optimiser sa fiscalité grâce au PEA

Investir dans le gold: ETFs disponibles pour CTO. Dans le cadre d’un PEA il est possible d’investir indirectement dans l’or en achetant des
valeurs aurifères.

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