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Support : c’est une zone ou seuil de transaction où le cours freine sa baisse, rebondit ou retourne à la

hausse, neutralisant ainsi l’offre.

C’est un support d’achat ce qui veut dire que la valeur est assez forte à ce niveau pour qu’une baisse
du marché ne se produise pas sur une longue période.
Résistance : c’est une zone de transaction où le cours freine sa hausse, retourne à la baisse,
neutralisant ainsi la demande.
C’est un support de vente assez fort pour empêcher une hausse pendant une longue période.
La rupture d’une résistance, c’est-à-dire lorsque le cours d’une valeur dépasse le niveau de
cours de la résistance, on obtient un signal d’achat.
A l’inverse, la rupture d’un support constitue un signal de vente pour l’analyse graphique ;
Les lignes de support et de résistance sont formées en reliant les plus hauts cours entre eux
et les plus bas sur une période donnée.
L’importance d’un support ou d’une résistance se traduit selon différents critères :
• Le niveau : point d’achat ou de vente, niveau de stop ou des niveaux d’intervention, cours
psychologique.
• Le nombre de rebonds : plus le nombre de rebond est élevé plus le support ou la résistance
est significatif, attractivité.
• L’amplitude des rebonds ;
• L’antériorité.

Les canaux : ce sont des figures directement liées à l’analyse des droites de tendance.
Repérage : trouver une parallèle à la tendance qui permet de coiffer toute l’évolution du cours sur la
période ou la tendance est constatée.
En haut c’est un signal de vente, et en bas c’est un signal d’achat.

La cassure de la résistance lorsqu’on remarque ont sortie du cours de la hausse.

Lorsque le cours a validé une sortie de canal haussier, il est très fréquent que le cours effectue un
PULLBACK en résistance sur la ligne de support du canal haussier.
Les triangles :
Représentent des phases où le marché se cherche, il n’a généralement pas de tendance définie, il évolue
ainsi entre une zone supérieure et inférieure qui, au départ, est assez large et qui va en se réduisant.
• Triangle ascendant : Est une figure chartiste de continuation haussière. La figure est formée par
deux droites convergentes.
La première droite est une oblique haussière faisant support, également appelé "ligne de support du triangle
ascendant".
La deuxième droite est une résistance horizontale, également appelée "ligne de résistance du triangle
ascendant".

Sortie par le haut, retour de la tendance haussière, l’objectif est le report de la bouche.
• Triangle symétrique :

Cette représentation graphique apellée triangle symetrique de sommet traduit une nervosité
grandissante des investisseurs mais également un fort sentiment d'incertitude.
Généralement les sommets évoluent autour d'une ligne de résistance oblique.

Sortie dans le sens de la tendance de fond, l’objectif est le report de la borne opposée

• Triangle descendant : est une figure de continuation avec implication baissière, qui apparaît
en fin de tendance baissière.

Sortie par le bas retour de la tendance baissière, l’objectif est le report de la bouche.
Comment interpréter un graphique en forme de
triangle descendant ?
Cette figure se décompose en plusieurs étapes, une première amène le cours vers
un plus bas qui constitue une ligne de support.
La seconde étape se traduit par un rebond du titre de la droite de support à la droite
de résistance, mais celles-ci vont en diminuant en formant une succession de
sommets et de creux.
Les traders ont assez confiance en leur conviction pour réussir à ramener les cours
vers la zone de résistance.
Une dernière tentative de poursuite des cours dans un trend baissier est alors
engagée, faisant capituler les derniers traders haussiers, il s'ensuit alors d'une forte
baisse des cours.
Le marché devient peu à peu plus serré, l’espace de mouvement se rétrécit comme si l’opinion
des intervenants commence à converger, puis un mouvement important se dessine alors ; à
l’intérieur d’un triangle, l’évolution des cours devient de plus en plus étroite comme si les
intervenants attendaient quelques choses pour prendre une décision.

Les figures triangulaires sont considérées comme des figures de continuation


sans que cela puisse pour autant constituer une règle stricte.
Les DRAPEAUX
Ils représentent une phase de consolidation avant un retour de tendance initiale.
Sortie dans le sens de la tendance de fond, l’objectif est de calculer en reportant la hauteur
du mât au point d’accélération.
Le mât correspond au dernier mouvement qui a précédé la construction de la figure.
• Drapeau descendant :
Le drapeaux haussier ou bullish flag est une figure de continuation avec implication
baissière, qui apparaît en fin de tendance baissière.

Son objectif est de reproduire dans le futur, le comportement psychologique passé des
intervenants de marché se trouvant dans une situation identique à savoir une figure
de continuation.

Drapeau ascendant :

Un drapeau baissier, au même titre que le drapeau haussier, est une figure d'analyse
technique, construite à l'intérieur d'une première droite de supporte et d'une seconde de
résistance. Les fluctuations entre ces deux droites forment parfois ces figures qui se nomment
des drapeaux.
Comment interpréter un drapeau baissier ?
Le drapeau baissier traduit un ralentissement dans une tendance baissière, avec à la
sortie, une continuation baissière. Ce ralentissement dans la tendance haussière, qui se
traduit donc graphiquement avec un drapeau baissier, s'explique par une consolidation du
marché. En fait les vendeurs hésitent et une partie de ces derniers décident de prendre leur
bénéfice.
On assiste souvent à une hausse des volumes à la formation de la figure, de même qu'à
la cassure du support. Néanmoins, les volumes sont souvent faibles lorsque la figure est en
cours.
Figures chartistes de retournement :
Configurations graphiques apparaissant au terme d’une tendance bien définie.
Processus de renversement de creux ou de sommets,
Confirmation impérative des volumes.
1. Tête épaules :
La figure en tête épaules est une figure de retournement majeure, l'une des plus
connues des milieux chartistes (mais peu fréquentes également). Elle doit son nom à
sa forme particulière, représentant une tête et deux épaules.

Cette figure nait après une longue tendance haussière, et est formée d’une suite de
trois sommets consécutifs, le premier et le troisième étant de hauteur quasi similaire
tandis que le deuxième est relativement plus haut.

Interprétation : après une forte hausse du cours, le cours atteint un plus haut qui
suscite des prises de bénéfices (1ere épaule).
Les cours reculent sans volumes et trouvent un soutien (ligne de cou) sur lequel ils
rebondissent. Le récent sommet est dépassé, mais le soufflé retombe faute de
volumes suffisamment importants pour soutenir la hausse. Les cours reviennent sur
leur support (ligne de cou) et forment la tête de la configuration.
Une dernière tentative des acheteurs pour faire monter les cours échoue au niveau de
la première épaule ; à ce stade, les volumes sont en retrait. Ce second échec cristallise
les craintes et entraine un fort courant baissier qui se solde par la rupture de la ligne
de cou. Le retournement baissier est ainsi validé.
2. Figure tête et épaule inversée

La tête-épaules inversée qui nait en phase de baisse et se termine sur un retournement


haussier.
3. Double Bottom/ double TOP :
La validité de cette figure passe par le respect de trois règles essentielles :

• Le deuxième sommet doit être inférieur ou égal au premier


• Un équilibre des deux sommets en amplitude et en timing
• Une ligne de cours avec une pente modérée
C’est une structure de retournement haussière. Au terme d’une vague de baisse, les cours
trouvent un plancher. Ce niveau entraine des hésitations : les vendeurs qui ont entrainé les
cours vers le bas sont moins enclins à vendre ; les acheteurs qui avaient déserté le marché
reviennent progressivement, anticipant la fin de la baisse. Dans un premier temps, les
vendeurs restent dominants, les cours butent sous une résistance (appelée ici ligne de cou)
et reculent sur leur support. Dans un deuxième temps, l’entrée de nouveaux acheteurs
combinée au rachat des positions de vente provoquent une hausse des cours et
conjointement une forte progression des volumes. Les cours franchissent la ligne de cou et
signent la fin de la baisse. Une éventuelle baisse peut avoir lieu (appelé pull back) vers la
ligne de cou mais tant que la valeur reste au-delà de ce seuil, le mouvement reste valide.
Double top : Le double top est une figure chartiste baissière ayant la forme d'un "M". Le
cours effectue successivement deux sommets approximativement au même niveau,
témoignant d'une importante résistance.

Remarque : - Une fois l'objectif de cours atteint, le mouvement baissier est généralement
moins important si le cours a effectué un pullback en sortie de figure.
- Plus les deux sommets de la figure en double top sont proches, plus le pourcentage de
réussite de la figure est important.
- Plus le mouvement haussier ayant précédé la formation de la figure en double top est
important, plus le mouvement baissier à la cassure de la ligne de coup sera puissant.

4. Biseau d’élargissement ascendant


Le biseau ascendant est une figure de retournement baissière qui intervient
généralement après une hausse des cours. (De manière beaucoup plus rare, un
biseau ascendant peut être identifié dans une phase baissière, il s’agit alors d’une
figure de continuation).

Dans un biseau ascendant, les cours évoluent à la hausse entre un support et une
résistance, tous deux haussiers et convergents.
5. Biseau d’élargissement descendant :
Le biseau descendant est formé par deux droites de tendance baissière:

• Une droite de support oblique baissière


• Une droite de résistance oblique baissière

Tout au long de la formation de la figure, les cours augmente et oscillent entre les deux droites
avec une amplitude de moins en moins élevée.Les cours rebondissent sur le support plusieurs
fois, avant de percer la résistance.
Les graphiques :
1. Bar charts :
Ils permettent principalement de repérer rapidement les points extrêmes d’une journée et le
cours de clôture et de visualiser les gaps d’un jour à l’autre.

Un "bar chart" permet d'afficher sur un graphique plusieurs données de cours : le cours
d'ouverture, le plus haut et le plus bas de la séance ainsi que le cours de clôture. Ce type de
graphique est de loin le plus utilisé en analyse technique.

2. Les chandeliers :
Illustrent la méthode de représentation graphique au japon depuis plus d’un siècle, ils
permettent d’apprécier le sens de la journéeen distinguant directement si le cours de
clôture est supérieur ou inférieur au cours d’ouverture.

sur le graphique, l’écart entre le cours d’ouverture et le cours de clôture est appelé Body
(corps) et ressemble à une bougie (candle), tandis que les extrêmes (points que ne sont pas
compris entre l’ouverture et la clôture) sont ensuite représentés par un simple trait verticale
sont appelés (Shadows) ou (fantôme).
3. Les configurations de figures en chandeliers de retournement de tendance :
• Le marteau et le pendu :

Le marteau est souvent annonciateur d’un retournement à la hausse. Il est souvent


caractérisé par une bougie en forme d’un carré et une mèche basse. Il apparait souvent après
plusieurs séances de baisse ou dans un marché excessivement baissier.
Interprétation : Les investisseurs émettent quelques doutes sur la poursuite de la baisse du
cours de l’action.
Après un nouveau plus-bas, ils estiment que le cours est attractif pour diverses raisons.
Le pendu : est souvent annonciateur d’un retournement à la baisse, il se trouve dans une
résistance majeure.
Les investisseurs émettent des doutes sur la poursuite de la hausse du cours de l’action.
Après un nouveau plus-haut, ils estiment que rien ne justifie d’acheter.
Pour que le pendu soit validé, il est préférable que le corps soit rouge et qu’il soit suivi d’une
bougie rouge. Une clôture sous le corps du pendu viendra confirmer le retournement à la
baisse.
Le principe du marteau correspond à l'inverse du pendu. C'est à dire qu'il est préférable que
le corps soit vert et qu'il soit suivi d'une bougie verte. La clôture sur le corps du marteau
confirmera le retournement à la hausse.
• Le doji : est un chandelier japonais matérialisée par l’absence de corps. Le cours
d’ouverture est égal à celui de clôture.

C’est un signe précurseur d’un retournement de tendance.


Interprétation : par analogie à un sport collectif, c’est match nul et peu importe le score, il
est pertinent de le voir sur un support ou résistance majeur, ou encore dans un vrai creux ou
sommet de marché.

• Le marobuzu :
1. Configuration simple :
C’est une bougie bleue sans mèches, le cours le plus haut de la séance correspond au cours
de clôture, le cours le plus bas à celui de l’ouverture.
Lorsque vous voyez une action dans une tendance haussière, le marobozu ferait qu’affirmer
un signal positif.
Le marobozu c’est une bougie rouge sans mèches, le cours le plus haut de la séance
correspond au cours d’ouverture, le cours le plus bas à celui de clôture.
Lorsque vous voyez une action dans une tendance baissière, le marobozu ferait qu’affirmer
un signal néfatif.
L’opening yang bozu :
C’est une bougie bleue qui laisse à désirer. Certes, les acheteurs remportent une bataille mais
pas forcément la guerre. La mèche basse d’une longueur non négligeable indique que les
vendeurs ont aussi leur mot à dire. Au regard de la tendance de fond, le rêve d’une poursuite de
la hausse peut prendre du plomb dans l’aile ou nécessite une respiration salutaire à la baisse.
L’opening yin bozu :
C’est une bougie rouge qui n’augure rien de bon. Surtout que mèche basse montre que les
vendeurs voulaient enfoncer le clou. Même si des acheteurs se sont manifestés pendant un
moment de la séance, la baisse a de fortes chances de se poursuivre. Encore faut-il analyser
avec recul la tendance du cours de l’action.

Le closing yang bozu :


C’est une bougie bleue avec une mèche haute. Vous risquez de vous réjouir en voyant ce
chandelier japonais. Pourquoi ? Parce que les acheteurs l’emportent haut la main sur les
vendeurs. De plus, ses derniers risquent de se racheter pour combler leurs pertes. Ce qui peut
expliquer la formation de la mèche haute.

Le closing yin bozy :

C’est une bougie rouge avec une mèche haute. Malgré des velléités acheteuses à un moment
de la séance, les vendeurs ont gardés la main.
2. Configuration double :

Passons à présent aux configurations à deux bougies. Elles représentent mieux le sentiment
profond du marché. Lorsqu’elles apparaissent sur des unités longues, c’est souvent annonciateur
d’une poursuite ou retournement de tendance.
Avalement

Un avalement est composé d’une petite bougie suivie d’une grande bougie qui doit l’englober
dans sa totalité. Quel que soit le mouvement de marché, il doit être composé de deux bougies
de couleurs différentes.

L’avalement baissier se forme suite à un mouvement haussier significatif. En règle générale,


vous arrivez à un sommet de marché. Si cela se confirme sur vos écrans, vous avez de fortes
chances d’assister à un retournement baissier de l’action.

D’un point de vue graphique, cela commence par une petite bougie bleue, puis suivie d’une
grande bougie rouge qui l’englobe totalement.

Avalement baissier :

La petite bougie bleue vous


montre que les investisseurs ne
sont pas emballés propulser le
cours à la hausse lors des
prochaines séances. Séance
suivante, la grande bougie rouge
qui la suit confirme cette
hypothèse et englobe la petite
bougie bleue avec des volumes
conséquents. Pour valider
définitivement l’avalement
baissier, vous devez attendre
une ou deux bougies rouges
avec des niveaux de clôture
inférieurs avant de vendre à
découvert ou shorter.
Avalement haussier :

L’avalement haussier se forme suite à un mouvement baissier significatif. En règle générale,


vous arrivez à un creux du marché. Si cela se confirme sur vos écrans, vous avez de fortes
chances d’assister à un retournement haussier de l’action.

D’un point de vue graphique, cela commence par une petite bougie rouge, puis suivie d’une
grande bougie bleue qui l’englobe totalement.

La petite bougie rouge montre que les vendeurs à découvert commencent à avoir des difficultés
à enfoncer le clou. Séance suivante, la grande bougie bleue qui la suit, confirme cette hypothèse
et englobe la petite bougie rouge avec des volumes conséquents. Pour valider définitivement
l’avalement haussier, vous devez attendre une ou deux bougies bleues avec des niveaux de
clôture supérieurs avant d’agir à l’achat.
Le HARAMI :

Tout comme l’avalement, le harami est composé de deux bougies à la différence que c’est une
grande bougie qui est suivie d’une petite bougie. Quel que soit le mouvement de marché, il doit
être composé de deux bougies de couleurs différentes.

Le harami haussier se forme suit un mouvement baissier important. En régle générale, il vous
indique que la baisse de l’action arrive à sa fin. Si cela confirme sur vos écrans, vous avez de
fortes chances d’assister à un retournement haussier de l’action.

D’un point de vue graphique, vous le remarquerez par une grande bougie rouge qui englobe
totalement la petite bougie bleue.
La grande bougie rouge montre que les vendeurs à découvert ont le sentiment d’avoir la
mainmise. Cependant, ils commencent à douter. Les acheteurs surgissent lentement mais
sûrement avec une petite bougie bleue lors de la séance suivante. Pour valider définitivement
le harami haussier, vous devez attendre une ou deux bougies bleues avec des niveaux de clôture
supérieurs avant d’envisager un achat.

Le Harami baissier se forme suite à un mouvement haussier important. En règle générale, il


vous indique que la hausse de l’action manque de carburant. Si cela se confirme sur vos écrans,
vous avez de fortes chances d’assister à un retournement baissier de l’action.

D’un point de vue graphique, vous le remarquerez par une grande bougie bleue qui englobe
totalement la petite bougie rouge.

La grande bougie bleue


montre que les acheteurs ont le
sentiment d’avoir la mainmise.
Cependant, ils commencent à
douter. Les vendeurs à
découvert font leur apparition
avec une petite bougie rouge.
Pour valider le harami baissier,
vous devez attendre une ou
deux bougies rouges avec des
niveaux de clôture inférieurs
pour vendre à découvert ou
shorter.
La pénétrante :
Pénétrante haussière :

C’est la structure inverse de la pénétrante baissière. Elle signale généralement un retournement


de la tendance ou une consolidation à la hausse.
à quoi ça ressemble ? Les deux chandeliers sont de
couleurs différentes. Le premier est un chandelier
rouge relativement grand. Il est suivi par un chandelier
bleu un peu plus grand. Son cours déouverture doit être
inférieur à celui de la séance précédente. Puis son
cours de clôture doit se situer en-dessus de la moitié du
corps du chandelier rouge.
Pour valider définitivement cette configuration, il
serait sage pour vous, d’attendre une ou deux
chandeliers bleues supplémentaires avec des niveaux
de clôture supérieurs pour prendre une position
acheteuse.
Pénétrante baissière :

C’est une structure à deux chandeliers japonais. Honnêtement, je n’ai pas le réflexe pour repérer
sur les écrans. Et pourtant, je le devrais parce que c’est généralement une configuration de
retournement de tendance ou une consolidation à la baisse.

A quoi ça ressemble ? Les deux chandeliers sont de


couleurs différentes. Le premier est un chandelier bleu
relativement grand. Il est suivi par un chandelier rouge
un peu plus grand. Son cours d’couverture doit être
supérieur à celui de la séance précédente. Puis son
cours de clôture doit se situer en-dessous de la moitié
du corps du chandelier bleu.

Pour valider définitivement cette configuration, il


serait sage pour vous, d’attendre une ou deux
chandeliers rouges supplémentaires avec des niveaux
de clôture inférieurs pour prendre une position
vendeuse.
3. Les configurations triples :
D’après des études américaines, figurez-vous que les configurations à trois bougies possèdent
les meilleurs pourcentages de réussite, puis sont très puissantes en termes de sentiment de
marché.
• Les étoiles :

Les étoiles sont composées de trois bougies. La première et la troisième ont un grand corps de
couleur différente. La deuxième qu’on appellera l’étoile est le sommet de la structure. Des gaps
peuvent se former : un entre la première bougie et la seconde et un autre entre la seconde et la
troisième. Il existe deux types d’étoiles à connaître : l’étoile du matin et du soir.

L’étoile du soir prend forme suite à un mouvement haussier. En règle générale, il indique un
retournement baissier de l’action. Au niveau graphique, elle est composée par un premier gap
entre la grande bougie bleue et l’étoile (bleue ou rouge) et un deuxième entre l’étoile et la
grande bougie rouge.

En termes de signaux techniques, l’étoile signifie que les acheteurs hésitent à poursuivre la
hausse. Malgré un gap à la hausse, son corps est moitié moindre par rapport à la première. Lors
de la séance suivante, la grande bougie rouge confirme cette probabilité avec un gap baissier.
La validation de l’étoile du soir sera actée par une ou deux bougies rouges avec des niveaux de
clôture inférieurs.
L’étoile du matin prend forme suite à un mouvement baissier. En régle générale, il indique un
retournement baissier de l’action. Au niveau graphique, elle est composée par un premier gap
entre la grande bougie rouge et l’étoile (rouge ou bleue) et un deuxième entre l’étoile et la
grande bougie bleue.
En termes de signaux
techniques, l’étoile
signifie que les vendeurs
hésitent d’enfoncer le
clou à la baisse. Malgré
un gap à la baisse, son
corps est moitié moindre
par rapport à la première.
Lors de la séance
suivante, la grande
bougie bleue confirme
cette probabilité avec un
gap haussier. La
validation de l’étoile du
matin sera actée par une
ou deux bougies bleues
avec des niveaux de
clôture supérieurs.

• Bébé abandonné :

C’est une configuration qui ressemble à l’étoile du soir ou du matin. Sauf que la seconde bougie
est doji et les gaps sont obligatoires. La mèche du doji ne doit pas dépasser les plus-bas de la
première et troisième bougie.

Le bébé abandonné haussier arrive généralement suite à un mouvement baissier. Un premier


chandelier japonais rouge est suivi d’un doji avec la présence d’un gap baissier. S’ensuit un
troisième chandelier bleu avec un gap haussier.
Les vendeurs semblent avoir la main avec le grand chandelier rouge et le gap baissier lors de la
séance suivante. Mais elle se solde par un doji qui marque une indécision dans leur esprit. Le
grand chandelier bleu suivant le confirmera. Si c’est encore le cas lors des prochaines séances,
les vendeurs risquent de se racheter fortement pour couvrir leurs pertes. Comme l’adjectif
l’indique, c’est une figure de retournement à la hausse.

Le bébé abandonné baissier arrive généralement suite à un mouvement haussier. Un premier


chandelier japonais bleu est suivi d’un doji avec la présence d’un gap haussier. S’ensuit un
troisième chandelier rouge avec un gap baissier.

Les acheteurs semblent avoir la main avec le grand


chandelier bleu et le gap haussier lors de la séance
suivante. Mais elle se solde par un doji qui marque
une indécision dans leur esprit. Le grand
chandelier rouge suivant le confirmera. Si c’est
encore le cas lors des prochaines séances, les
vendeurs reprennent la main. Comme l’adjectif
l’indique, c’est une figure de retournement à la
baisse.

• Les trois soldats bleus :

C’est une configuration qui intervient dans un creux de marché ou une tendance haussière. Elle
est composée par trois chandeliers japonais consécutifs de couleur bleu. Sur chaque
chandelier, le cours d’ouverture et de clôture sont font toujours au plus haut.

Elle vous indique un renforcement du


mouvement en cours. Pour valider cette
hypothèse, vous devez faire preuve de
patience en attendant une ou deux
chandeliers bleus supplémentaires.
• Les trois corbeaux rouges :

C’est une configuration qui intervient dans un sommet de marché ou une tendance baissière.
Elle est composée par trois chandeliers japonais consécutifs de couleur rouge. Sur chaque
chandelier, le cours d’ouverture et de clôture sont font toujours au plus bas.

Elle vous indique un renforcement du mouvement en cours. Pour valider cette hypothèse, vous
devez faire preuve de patience en attendant une ou deux chandeliers rouges supplémentaires.
Les graphiques points et figures :

elle ne s'intéresse pas au temps qui passe mais uniquement aux cotations. Son but est de
focaliser l'attention de l'analyste sur les rapports de force existant entre l'offre et la demande de
titres.

Cette méthode unidimensionnelle de représentation de l'évolution des cours d'une valeur


présente des graphiques très différents de ceux que l'on a l'habitude d'observer. Hormis le fait
que le temps n'a aucune incidence sur l'analyse, la technique de représentation s'appuie sur deux
symboles communément employés : les ronds et les croix.

La croix représente une


tendance de hausse du
titre.
Le rond représente une
tendance à la baisse.

Comment réaliser cette


représentation ?
Une représentation en
« point et figure »
n’utilise que deux
paramètres :
• La boite
également appelé
« carré » ou « box »
• Le niveau
d’inversion
Le filtrage numérique :
M(mesure)= X (valeur réelle) + B(bruit)
Le problème posé : connaissant la valeur mesurée (M), comment faire la
meilleure estimation possible de la valeur réelle (X).
Solution : avoir un moyen de distinguer le signal utile X du bruit de mesure.
La méthode la plus simple : utilisation des moyennes mobiles.
I. Les types de moyennes mobiles :
• MM simple
• MM pondérée
• MM exponentiels.
1. Exemple de MM Simple :
Nous utilisons la série suivante pour illustrer la construction d’une MM simple :
Date T1 T2 T3 T4 T5 T6 T7
Cours 2 4 6 11 10 9 8
MM 4 7 9 10 9
Pour T3= (2+4+6)/3=4
Pour T4= (4+6+11)/3=7
Quand le jour suivant le marché poursuit sa baisse, la moyenne mobile
commence à réagir, consultant T6 le cours a baissé et il a continué sa baisse en
T7 où la moyenne mobile a commencé à réagir.
La moyenne mobile réagit avec retard
Quelle est la meilleure durée à retenir ?
La réponse dépend de deux facteurs essentiels :
• La volatilité de l’actif financier considéré
• Les objectifs les horizons de gestion de l’opérateur
La plupart des analystes se contentent d’utiliser les moyennes standards du
genre : 3,5,10,20,50 ou 200 jours.
2. MM pondérée :
(P1 Ct + P2 Ct-1 + Pn Ct-(n-1)
MMP =
P1 + P2 + Pn

Où Pn = 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑒𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑒𝑛𝑡𝑠:


Par exemple
Date T1 T2 T3 T4 T5 T6 T7
Cours 2 4 6 11 10 9 8
MM 4 7 9 10 9
Coefficient 9 3 8 4 5 2 1
MMP 3.9 6.933 8.353 10.18 9.5

MMP pour T3 :
(9 × 2) + (3 × 4) + (8 × 6)
MMP (T3) = = 3.9
9+3+8

3. MM exponentielle :
C1 + aCt-1 + a2 Ct-2 + an-1 Ct-(n-1)
MME =
1 + a + a2 + an-1
Avec 0≤ a ≤ 1
𝑀𝑀𝐸t = (1-a) Ct + a𝑀𝑀𝐸t-1
On commence au T par 1 t -1 = 0.02 c’est (a) et t -2 = 0.04 (a2 )
MME réagit plus vite que MMS.
Sur eviews :
Les étapes :
• Première chose : introduire la période ;
• Créer un cours : genr cours=0
• Smpl @first+1 @last ( sa commence du deuxième jours)
• Cours=cours(-1)+nrnd (le cours s’affiche)
• Cours=cours+100
• Calculons maintant la MM de 20 jours :
• Genr mm20=@movav(cours, 20)
• Graph : open group : cours et mm20➔view graph
Interprétation :
La courbe de la MM étant censée représenter la tendance que suivent les
cours, l’opérateur prendra position dans le sens d’évolution de la moyenne.
Chaque point d’inflexion de la Moyenne constituera un signal de
retournement de la position.
Acheter quand des cours en hausse traversent la MM, et vendre quand les
cours en baisse traversent la MM.
Acheter quand les cours en hausse clôturent au d-dessus de la MM et vendre
quand les cours en baisse clôturent en dessous de la MM.

II. Enveloppe de la MM c’est-à-dire l’intervalle


On a enveloppe haute= MM+a.MM
Et enveloppe basse= MM-a.MM
Avec 0≤ a ≤ 1

Sur eviews :
Genr envH20=mm20+0.01*mm20
Genr envB20=mm20-0.01*mm20
Pour le graphique : line envH20 envB20 cours
Ce qui nous intéresse c’est les sorties de l’enveloppe (limite de l’enveloppe)
Il y a l’existence des faux signaux (sur le graphique) pour remédier à cette
limite, il faut tracer plusieurs MM
Line mm20 cours mm50
Mm20= rapide et mm50 elle est lente.
Remarque : l’utilisation des enveloppes limite sérieusement le risque d’être
confronter à des faux signaux à répétition.
Lorsqu’on trace plusieurs MM simultanément :
Acheter quand la MM rapide traverse en montant la moyenne lente.
Vendre quand la MM rapide travers en baissant la moyenne lente.
• Acheter quand les cours passent au-dessus des deux MM
• Fermer les positions quand les cours sont situés entre les 2 moyennes
• Vendre quand les cours passent en dessous des deux MM.
• Clôturer les positions courtes quand les cours sont situés entre les 2
moyennes.
III. Bandes Bollinger
On calcule tout d’abord le cours moyen (CM)
Max + min + cloture
CM =
3
On calcule l’écart-type de x jours (généralement 20 jours)
Enveloppe haute ou bande supérieure :
CM + 2𝜎CM
Enveloppe baisse ou bande inférieure :
CM-2𝜎CM
Sur eviews :
Supposons que le cours calculé est le cours moyen :
Calculons l’écart type mobile :
Genr e20=@movstdev (cours, 20)
Genr bh20=cours+2*e20 « bande hausse »
Genr bb20=cours-2*e20 « bande basse »
Graphique : line cours bh20 bb20
Graphique avec bande ➔option➔graph mixed➔mixed setting➔ bh bb
(area band)
On a une line résistance et support
Une fois la bande est étroite on parle de range.
Lorsque le marché est en tendance, les enveloppes s’écartent.
Utilisation de la bande de Bollinger :
Si un phénomène évolue selon la loi normale, 95% des observations doivent se trouver
dans un intervalle défini par la moyenne plus ou moins deux écart-type.
5% de chances que les cours dépassent les bornes enveloppes, les enveloppes constituent
des zones de soutien-résistance, le rétrécissement de l’écart-type indique l’essoufflement
du trend et l’entrée dans une période de consolidation.

IV. Les bandes de STARC


Elles s’utilisent de la même façon que les bandes du bollinger :
STARC+=CM+3TrueRange
STARC-=CM-3TrueRange.
TrueRange=Max(|Ht -Lt |; |Ht -Ct-1 |; |Lt -Ct-1 |
Sur eviews :
Genr tr= n’a pas été faite par le professeur car nous aurons besoin du
max,du minimum et clôture.
V. Les indicateurs de puissance
1. L’oscillateur :
La dérivée, me donne une information avant la fonction. L’oscillateur donne un
signal d’achat, que je le constate sur le graphique de la dérivée.

2. Le momentum :
Mt (xjours) = Ct − Ct-x
Sur eviews :
Genr mmt20=cours -cours(-20)
Show mmt20 cours
Le momentum peut être un signal d’achat ou de vente à travers la ligne de 0.
le momentum atteint le minimum avant le cours, il donne un signal de
tendance avant le cours.
3. Oscilalteurs de moyennes mobiles (OSC)
X<y
OSCt = MMt (x jrs) − MMt (y jrs)
MMt (x jrs)
OSCt (%) =
MMt (y jrs)
Sur eviews :
Cours=cours +100
On doit calculer les deux MM (lente et rapide)
Genr mm20=@movav(cours, 20)
Genr mm50=@movav(cours,50)
Calcul de l’OCS,
Genr OSC=mm20-mm50
Visualiser en groupe (cours et OSC)

➔Catégorial graph
Genr OSC%=mm20/mm50
On comparte le % par rapport à 1.
4. L’oscillateur MACD (moving average convergence divergence)
Est un oscillateur de moyenne mobiles exponentielles dont la construction se
fait en suivant les trois étapes suivantes :
• Calcul de deux MME A et B
• Par défaut, on choisit pour A (12 jours) le coefficient 0.15 et pour B(26
jours) le coefficient 0.075.
• On définit ensuite D, la différence entre les deux MM (D=A-B)
• On calcule E, la MME de D (avec le coefficient a=0.2 équivalent à 9jours)
• L’objet de E est d’accélérer le signal donné par l’oscillateur D : la MM E
croisera la ligne D avant qu’elle ne passe la ligne de 0.
• MACD=D-E

Sur eviews :
Smpl @all
Scalar coef=0.15
Smpl @first @first+11
Genr a=1
A=@cumbsum(a) (cumul descendant)
A =@coef^(a-1)
Smpl @first+11 @first+11
Genr mm12=a*cours/@sum(a)
Smpl @first+12 @last
Mm12=coef*mm12(-1)+(1-coef)*cours
Maintenant pour le calcul de b
Scalar coef=0.075
Smpl @first @first+25
Genr b=1
B=@cumbsum(b)
B=coef^(b-1)
Smpl @first+25 @first+25
Genr mm26=b*cours/@sum(b)
Smpl @first+26 @last
Mm26=coef*mm26(-1)+(1+coefb)*cours
Smpl @all
Genr dd=mm12-mm26
Smpl @first+25 @last
5. Le commodity Channel Index (CCI) :
Est un indicateur de vitesse de marché. Il a été développé par Donald R.
lambert sur les matières premières, mais il s’applique à tous les marchés de
futures.
M−M ̅
CCI =
0.015 D
H+L+C
M=
3
n
1
̅|
D = ∑|Mt − M
n
1

Avec : H : le plus haut de la période


L : le plus bas de la période
C : cloture de la période
M : MM de x jours
D : ecart-type par rapport à la moyenne.
6. Relative Strengh indexe (RSI) :
Le RSI est le plus populaire des oscillateurs bornés.
Il permet de borner les variations du marché.
Lorsque le marché est en forte hausse, l’oscillateur tend vers 100
Lorsque le marché est en forte baisse, l’oscillateur tend vers 0.
Sur
eviews :
7. Le rate of change (ROC) :
Sur eviews:
Genr cours=0
Genr e=nrnd
Smpl @first+1 @last
Cours=cours (-1)+e
Genr m=cours-cours(-10) « où m est le momentum »

Calcul du ROC :

Ct
ROCt (xjrs) = 100
Ct-x
Genr roc=100*cours/cours(-10)

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