Vous êtes sur la page 1sur 14

COURS DE TECHNOLOGIE ET SCIENCES DES MATERIAUX (TSM) – CHAPITRE 3

CHAPITRE 3 : PROPRIETES DES MATERIAUX

1. Introduction
L’utilisation des matériaux nécessite de connaitre les caractéristiques fonctionnelles
(propriétés) de chaque matériaux. La connaissance de ces propriétés permet non
seulement de prévoir ou de prédire le comportement en service de chaque matériau, mais
aussi de comparer les matériaux entre eux. Le succès dans la réalisation de nouveaux
objets est fortement influencé par les propriétés des matériaux utilisés et leur disponibilité.
Donc, tout progrès technologique est souvent lié au développement de matériaux ayant des
propriétés améliorées ou nouvelles.

2. Différentes catégories de propriétés des matériaux


Les matériaux possèdent trois catégories de propriétés. On distingue les propriétés :
o Les propriétés mécaniques qui reflètent le comportement des matériaux lorsqu’ils
sont sollicités par des efforts extérieurs
o Les propriétés physiques qui représentent le comportement des matériaux sous
l’action de la température, de la pesanteur, de la lumière, des champs électriques ou
magnétiques.
o Les propriétés chimiques qui caractérisent le comportement des matériaux dans
un environnement réactif.

3. Propriétés mécaniques

Un matériau soumis à des efforts extérieurs peut en fonction du niveau de l’effort :


soit reprendre sa forme et ses dimensions initiales après avoir été déformé, soit perdre sa
forme et ses dimensions avec l’effort et il est dit « plastifié ». Dans le premier cas, on est
dans le domaine de déformation élastique et dans le 2e cas, on est dans le domaine de
déformation plastique. Ces deux cas de figures représentent deux grands domaines d’étude
mécanique des matériaux à savoir : l’élasticité et la plasticité.

Dans l’étude mécanique des matériaux, l’effort ou sollicitation est généralement


représenté par le rapport : F/S, désigné par contrainte. Le symbole est σ

= , où F est l’effort en Newton, et S est la section sur laquelle s’applique l’effort,


en mm2. La contrainte est en méga pascal (MPa=N/mm2)

Les variations de dimensions sont représentées par le rapport :


Allongement/dimension initiale, désignée par déformation. Le symbole est ε.

= = , la déformation est exprimée en pourcentage (%)

Jean Calvin BIDOUNG 1


COURS DE TECHNOLOGIE ET SCIENCES DES MATERIAUX (TSM) – CHAPITRE 3

Illustration de la courbe contrainte-déformation d’un matériau ductile

Rm est la résistance mécanique du matériau et Re est la limite élastique du matériau

3.1. Propriétés dans le domaine élastique (ou propriétés élastiques)

3.1.1. Les constantes d’élasticité

Le module d’élasticité à la traction ou module de Young


Lorsqu’un matériau subit une sollicitation de traction dans le domaine élastique, la
contrainte est proportionnelle à la déformation et est exprimée par la relation :

= = =

Le coefficient E est appelé module de Young. Il caractérise la raideur du matériau. Plus


E est élevé, plus le matériau est rigide. E est la pente de la courbe contrainte-déformation
du matériau.

Le coefficient de Poisson
Lorsqu’on sollicite une tige d’un matériau à la traction dans le sens longitudinale, on
observe un allongement. Il est possible que le matériau subisse aussi un rétrécissement de
Jean Calvin BIDOUNG 2
COURS DE TECHNOLOGIE ET SCIENCES DES MATERIAUX (TSM) – CHAPITRE 3

sa dimension transversale. La capacité du matériau à subir un rétrécissement transversal


quand il est sollicité longitudinalement est traduite par le coefficient de poisson noté ν
Il représente le rapport de la déformation transversale (ε1) sur la déformation

longitudinale (ε2), ν = ε1/ε2

Le module d’élasticité au cisaillement ou module de Coulomb


Dans le cas d’une contrainte τ appliquée de façon tangentielle à la surface d’un matériau,
il apparait une déformation par distorsion notée γ, qui est approximativement proportionnelle
à la contrainte appliquée.

Jean Calvin BIDOUNG 3


COURS DE TECHNOLOGIE ET SCIENCES DES MATERIAUX (TSM) – CHAPITRE 3

La constante G (ou µ) est appelée module d’élasticité au cisaillement du matériau, en


MPa.

Le module de compressibilité
une compression hydrostatique sous une pression p permet de définir le module de
compressibilité K (ou χ) du matériau, en MPa, à partir de la variation relative de
volume :

Dans le cas courant d’un matériau isotrope (matériau ayant les mêmes propriétés dans
toutes les directions), deux modules d’élasticité (E et ν, par exemple) suffisent à caractériser
son comportement élastique. Les constantes E, ν, G et K ne sont donc pas indépendantes,
mais peuvent toutes s’exprimer en fonction de deux d’entre elles grâce aux relations :

3.1.2. La limite élastique et la résistance mécanique

La limite élastique notée généralement Re représente la valeur de la contrainte à


partir de laquelle le matériau commence à se plastifier lorsqu’il est sollicité. Cette grandeur
est généralement déterminée au cours d’un essai de traction. La limite élastique correspond
au point de la courbe de traction à partir duquel la courbe cesse d’être une droite. Sur le
plan pratique, ce point n’est pas toujours facile à repérer avec exactitude (parfois la courbe
à ce niveau connait une courbure). Pour cette raison, on admet par convention une valeur
de la limite élastique telle que la déformation soit égale à 0,2% et on la note Re0,2 (voir
courbe ci-dessous)

La résistance mécanique est la plus grande contrainte supportée par le matériau


avant sa rupture. Elle est désignée par Rm.

Jean Calvin BIDOUNG 4


COURS DE TECHNOLOGIE ET SCIENCES DES MATERIAUX (TSM) – CHAPITRE 3

3.1.3. La fragilité et la ductilité

Un matériau est fragile lorsqu’il peut se rompre brutalement, sans se déformer d’abord
plastiquement. Exemple : le verre, la fonte, les céramiques, le béton…

Illustration d’une courbe de traction d’un matériau fragile

Un matériau est ductile lorsqu’il peut être étiré, allongé et déformé avant de se rompre
Exemple : l’aluminium, l’étain, l’acier doux, l’or …

3.1.4. La dureté

La dureté d’un matériau est définie comme la résistance qu’il oppose à la pénétration
d’un corps plus dur que lui. Par exemple, l’acier est plus dur que l’aluminium. Pour mesurer
la dureté d’un matériau on se sert généralement d’un autre corps à très grande rigidité (cas
Jean Calvin BIDOUNG 5
COURS DE TECHNOLOGIE ET SCIENCES DES MATERIAUX (TSM) – CHAPITRE 3

du diamant) en forme de bille ou de cône qui est appuyé avec force sur le matériau. Le
niveau de dureté est alors évalué par la profondeur de pénétration du corps dure dans le
matériau.

3.1.5. La résilience ou la ténacité


La ténacité est la capacité d’un matériau à résister à la rupture sous l’effet d’un choc.
Par exemple, l’acier est plus tenace que la fonte, et la fonte plus tenace que le verre.

3.1.6. Malléabilité
La malléabilité est la facilité avec laquelle un matériau se laisse façonner, étendre et
aplatir en feuille mince sous un effort de compression. Les procédés de compression sont :
le forgeage (martèlement) et le laminage (rouleau compresseur). L’or, l’argent et le plomb
sont très malléables. La malléabilité croit avec l’augmentation de la température.

3.1.7. Résistance à l’abrasion


La résistance à l’abrasion désigne la résistance d’un corps dur à l’usure par
frottement. Plus un matériau est dur, plus il résiste à l’abrasion. Les aciers outils par exemple
présentent une bonne résistance à l’abrasion car ils sont utilisés pour usiner d’autres aciers.

3.1.8. Fatigue
La fatigue est la détérioration d’un matériau soumis à des charges répétées. Ces
sollicitations répétées se terminent souvent par une rupture même si les forces de
sollicitations ne sont pas importantes. Exemple le mouvement répété de traction-
compression d’une tige, ou le mouvement répété de flexion-redressement d’une tige.

3.1. Propriétés dans le domaine plastique (ou propriétés plastiques)


La déformation plastique est irréversible (permanente). Le modèle ressort ne permet
pas de décrire le domaine plastique : Quand σ = Re, les liaisons atomiques sont étirés au
maximum. Dès que σ > Re, la seule possibilité de déformer le matériau est de déplacer les
atomes. Le matériau se déforme alors par glissement des atomes les uns sur les autres sur
un plan cristallographique donné.

Jean Calvin BIDOUNG 6


COURS DE TECHNOLOGIE ET SCIENCES DES MATERIAUX (TSM) – CHAPITRE 3

3.1.1. Glissement cristallographique


Les feuillets constitués par les plans denses du cristal glissent les uns par rapport
aux autres dans les directions atomiques de forte densité. Ces glissements laissent des
traces visibles (lignes de glissement) sur la surface polie du matériau.

Caractère cristallographique du glissement pour quelques métaux :

4. Propriétés physiques
4.1. Propriétés structurales
4.1.1. Masse volumique et densité

La masse volumique ρ caractérise la masse d'un matériau par unité de volume :

La densité d'un matériau est liée à sa masse volumique. Elle est le rapport de la
masse volumique de ce matériau à celle de l'eau. La densité est donc forcément un nombre
sans dimension.
On distingue la masse volumique (densité) spécifique ou absolue et la masse
volumique (densité) apparente. La masse volumique apparente tient compte du volume total
Jean Calvin BIDOUNG 7
COURS DE TECHNOLOGIE ET SCIENCES DES MATERIAUX (TSM) – CHAPITRE 3

réel du matériau y compris le volume des vides, alors que la masse volumique absolue tient
compte du volume réel diminué du volume des vides. Dans la pratique, la masse volumique
absolue s’obtient généralement en broyant le matériau sous forme de poudre. Les matériaux
de construction tels que les briques cuites étant sous la forme solide, la masse volumique
(densité) apparente est la grandeur utilisée pour caractériser le matériau.

4.1.2. Porosité et compacité

La porosité représente le taux des vides (pores ou cavités de petite taille) présents dans
un matériau par rapport au volume total du matériau. Elle peut être fermée ou ouverte.

• La porosité est fermée lorsque les pores ne sont pas reliés entre eux. Dans ce cas
les pores sont sphériques ou cylindriques.
• La porosité est ouverte lorsque les pores sont reliés entre eux et forment des canaux
très fins. Ici les pores sont tubulaires de section circulaire ou plus ou moins aplatis.

Porosité fermée Porosité ouverte

La compacité est le rapport du volume plein sur le volume total.

4.2. Propriétés thermiques


4.2.1. Température de fusion
La température de fusion d’un matériau est la température à partir de laquelle le
matériau passe de l’état solide à l’état liquide. La température de fusion se note Tf (en kelvins
(K) ou en degrés Celsius (°C))
Pour T< Tf, Matériau solide
Pour T≈ Tf, le matériau s’amollit
Pour T> Tf, Matériau liquide
Les matériaux à température de fusion élevée sont dits réfractaires et ceux à basse
température de fusion sont dits fusibles.

Jean Calvin BIDOUNG 8


COURS DE TECHNOLOGIE ET SCIENCES DES MATERIAUX (TSM) – CHAPITRE 3

4.2.2. Dilatation thermique

La dilatation thermique est un phénomène décrit par l’augmentation du volume d’un


matériau lorsqu’on élève sa température. Ce phénomène est dû à l’agitation des atomes
sous l’effet de la température entrainant ainsi l’augmentation de la distance moyenne entre
les atomes du matériau. Le phénomène de dilation thermique est caractérisé par le
coefficient de dilatation ou d’expansion thermique α.

Le coefficient de dilatation thermique α (alpha) donne la variation relative de longueur


ou de volume du matériau en fonction de la variation de température. La dilatation peut être
linéaire (suivant la plus grande dimension du matériau) ou volumique dans toutes les 3
dimensions.

4.2.3. Conductivité thermique

La conductivité thermique λ (W/m.K ou W/m.°C) est la capacité d’un matériau à


transmettre de la chaleur. Sa connaissance est utile aux études d’isolation thermique. C’est
l’une des propriétés importantes à tenir en compte par exemple pour les matériaux de
construction.
Si λ est élevé, le matériau est conducteur de chaleur ; si elle est faible, le matériau
est isolant thermique.

4.2.4. Capacité thermique


La capacité calorifique C indique l’aptitude d’un matériau à absorber la chaleur : c'est
l'énergie qu'il faut apporter à un kilogramme de matériau pour élever sa température d'un
degré.

Jean Calvin BIDOUNG 9


COURS DE TECHNOLOGIE ET SCIENCES DES MATERIAUX (TSM) – CHAPITRE 3

4.3. Propriétés électriques


4.3.1. Résistivité et conductibilité électriques
La résistivité électrique est une propreté spécifique au matériau qui décrit son
opposition à conduire le courant électrique. Elle ne dépend que de la nature du matériau et
ne dépend pas de ses dimensions. On note la note ρ en Ω.m;

La conductibilité électrique est l’inverse de de la résistivité notée σ en Ω-1.m-1

4.3.2. Permittivité électrique


Un matériau sans électrons de conduction (diélectrique, à résistivité élevée) contient
néanmoins des charges électriques localisées (électrons, protons ou ions) susceptibles de
se déplacer à courte distance sous l’effet d’un champ électrique extérieur E, provoquant
ainsi une polarisation du matériau. La permittivité électrique ε (F/m) caractérise cette
polarisabilité.

5. Propriétés chimiques

5.1 Corrosion
La corrosion se définit comme une dégradation des matériaux, sous l’effet chimique de
l’environnement. On distingue la corrosion sèche et la corrosion humide en milieu
aqueux.

5.1.1 Corrosion sèche

Il s’agit d’une réaction chimique d’oxydo-réduction entre le matériau (beaucoup plus


les matériaux métalliques) et un agent corrosif non métallique (O, Cl, F, SO2, CO, CO2,

Jean Calvin BIDOUNG 10


COURS DE TECHNOLOGIE ET SCIENCES DES MATERIAUX (TSM) – CHAPITRE 3

H2O…), avec formation d’un composé (oxyde, chlorure, sulfure, fluorure…), en milieu
gazeux. La vitesse de réaction (donc la consommation du matériau) dépend :
– de la température : la vitesse s’accroît à haute température;
– de la concentration du milieu en agent corrosif;
– du temps, compte tenu de la nature plus ou moins isolante électriquement, étanche et
protectrice de la couche de composé formée.

5.1.2. Corrosion humide


Il s’agit là encore d’une réaction d’oxydoréduction, mais avec des échanges
d’électrons et d’ions dans un milieu liquide (généralement une solution aqueuse, jouant le
rôle d’électrolyte) entre :
– des zones anodiques où les atomes métalliques sont ionisés positivement, libérant des
électrons dans le métal; les cations créés lors de cette réaction anodique sont entraînés par
diffusion dans l’électrolyte et le métal se dissout;
– des zones cathodiques où les électrons du métal sont capturés par des atomes du liquide;
cette réaction cathodique donne lieu à la formation d’anions en solution dans l’électrolyte.

Les risques sécurités et environnemental de la corrosion


risque d'accident par rupture de pièce de structure, d'un réservoir sous pression ;
risque environnemental et sur la santé :
• produit toxique qui risque de se répandre hors d'une cuve percée,
• la toxicité de l'oxyde de métal ainsi formé ?

6. Modification des propriétés


Certaines propriétés des matériaux peuvent être modifiées par :
• Application des traitements thermiques ou mécaniques
• Addition d'éléments étrangers (formation alliages, ajout de précipités,…)

6.1 Traitements thermiques


Un traitement thermique est une opération qui consiste à faire subir au matériau un
ou plusieurs cycles de température en vue d’obtenir un changement de certaines de ses
propriétés (ductilité, résilience, résistance, dureté…). On porte généralement le matériau
considéré à des températures élevées T dans lesquelles le matériau séjourne pendant un
temps suffisant pour qu’il obtienne un état stable. Un traitement thermique se fait
généralement en trois phases :
1) la montée en température
2) le maintien à température
3) et le refroidissement.

En général, la phase déterminante et critique est le refroidissement. La vitesse


appropriée pour obtenir les caractéristiques voulues amène à choisir un milieu de

Jean Calvin BIDOUNG 11


COURS DE TECHNOLOGIE ET SCIENCES DES MATERIAUX (TSM) – CHAPITRE 3

refroidissement (par exemple air, eau, bain de sel, huile, gaz ou mélanges gazeux sous
pression) en fonction de la dimension de la pièce à traiter et la trempabilité.

Il existe plusieurs traitements thermiques parmi lesquelles


• Le recuit
• La trempe
• Le revenu

Le recuit consiste à :
chauffer la pièce à une température déterminée dite température de recuit (le choix
de la température dépend des objectifs, elle peut aller de 450 et 1100°C)
maintenir cette pièce à cette température pendant un temps donné
refroidir à une vitesse adéquate afin d’obtenir après retour à la température ambiante
les propriétés désirées

Le recuit permet notamment: d'éliminer ou réduire les contraintes résiduelles du


métal liées à une action antérieure (déformation, soudure, etc.) ou un traitement thermique
antérieur, ou d’obtenir la formation d'une structure favorable à une action ultérieure
(déformation, usinage, etc.) ou un traitement thermique ultérieur.

La trempe (ou durcissement par trempe) consiste à :


chauffer la pièce à une température appropriée
refroidir à une vitesse adéquate la pièce en la plongeant par exemple dans de l'eau
(trempe à l'eau) ou de l'huile (trempe à l'huile) ou par insufflation d’un gaz tel que l'air.
On peut évoquer également les émulsions eau-polymères ainsi que certains sels
(nitrates, nitrites) comme milieux de trempe.

Une trempe a pour objet de durcir le métal. Elle permet d'obtenir des aciers très durs
mais dans la plupart des cas peu ductiles. Elle est donc généralement suivie d'un revenu.
Remarque : Il est possible de réaliser des trempes "locales" ne s'appliquant qu'à une
partie d'une pièce.
Jean Calvin BIDOUNG 12
COURS DE TECHNOLOGIE ET SCIENCES DES MATERIAUX (TSM) – CHAPITRE 3

Le revenu consiste :
en un ou plusieurs chauffages de la pièce à une température déterminée (inférieure
à la température de début de transformation de phase de l’acier ~ 700°C)
un maintien de la pièce à cette température pendant un temps donné
un refroidissement approprié.
Un revenu permet d'atténuer les effets de la trempe en rendant la pièce plus ductile
et plus tenace. Il peut dans des cas particuliers permettre un durcissement secondaire.
L’emploi du terme revenu sous-entend que le traitement est réalisé sur un état
préalablement trempé. [Un traitement à 500°C sur un acier trempé est un revenu, sur un
acier non traité est un recuit].

Jean Calvin BIDOUNG 13


COURS DE TECHNOLOGIE ET SCIENCES DES MATERIAUX (TSM) – CHAPITRE 3

6.2 Traitements mécaniques

Durcissement par écrouissage


Après écrouissage, le matériau devient plus résistant et plus dur qu’à l’état initial

Jean Calvin BIDOUNG 14

Vous aimerez peut-être aussi