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OBJECTIFS :
1. Objectif général
2. Objectifs spécifiques
1
CHAPITRE I : LA MECANIQUE (CINEMATIQUE ET
DYNAMIQUE)
I. LA CINEMATIQUE
2
3
4
2. MOUVEMENT RECTILIGNE UNIFORMEMENT
ACCELERE (M.R.U.A)
5
6
7
3. MOUVEMENT A DEUX ET TROIS DIMENSIONS
8
9
10
4. LA BALISTIQUE
11
12
5. LE MOUVEMENT CIRCULAIRE
13
6. LES MOUVEMENTS RELATIFS
14
II. LA DYNAMIQUE
15
1. LES TROIS LOIS DE NEWTON ET LEURS
APPLICATIONS
16
17
18
19
2. LES REFERENTIELS NON INERTIELS
20
21
3. LES LOIS DE KEPLER
22
23
4. TRAVAUX ET ENERGIE
24
25
26
27
L’énergie potentielle
28
29
30
31
CHAPITRE II : ELEMENTS D’HYDROSTATIQUE ET
D’HYDRODYNAMIQUE
1. Notion de pression
1.1. Définition
Exemple 1 :
Un objet de 50,0 [kg] est posé sur le sol. Sa section horizontale vaut 0,250
[m2]. Quelle pression son poids exerce-t-il sur le sol ?
Exemple 2 :
Un objet exerce une pression de 120 [Pa] sur une surface de 0,300 [m2].
Quelle est la masse de cet objet ?
Exemple 3 :
Un objet de 30,0 [kg] exerce une pression de 1200 [Pa] sur le sol. Quelle est
la surface de contact de cet objet avec le sol ?
32
La pression est une grandeur scalaire dont l’unité SI est le pascal
(1pa=1 N/m²). On utilise aussi le bar (1 bar=105 Pa), l’atmosphère (1
atm=1,013.105 Pa = 1,013 bar=1013 mbar) et le torr (1 torr =1mmHg
=1,3.10−3 atm, car 1 atm=760 torr).
A l’état liquide, l’eau a pour masse volumique 103 kg/m3 à 0°C et pour 1
atm ; elle croit légèrement avec la pression (1002 kg/m3 à 0°C et pour 50
atm) et diminue quand la température augmente (958 kg/m3 à 100°C et
pour 1 atm).
33
On dit qu'un fluide est incompressible si sa masse volumique ne dépend
pas de la pression exercée sur ce fluide.
Par exemple l'eau et plus généralement les liquides sont des fluides
incompressibles.
Par contre, l'air et plus généralement les gaz, sont des fluides
compressibles.
Si l’on donne à cette pression le nom de pression partielle, car on n'a tenu
compte uniquement de la force de pesanteur du liquide dans le récipient !
34
Dans le paragraphe précédent, on a considéré uniquement la force de
pesanteur d'un liquide dans un récipient, mais on n'a pas du tout tenu
compte de la pression atmosphérique Psurface qui, en fait on additionne à la
pression du liquide. Ainsi, la pression totale Ptot que subit le fond du
récipient vaut : Ptot=ρ⋅g⋅h + Psurface
Cette unité est très utilisée par les météorologues. Cette unité porte aussi le
nom de torr.
- Le bar est une unité très fréquemment utilisée par le service des eaux ou
du feu : 1 bar équivaut à 105 [Pa].
35
- Le "mètre colonne d'eau équivalent", notée mCE est aussi une unité très
fréquemment utilisée par le service des eaux ou du feu. 1 [mCE] équivaut à
la pression exercée par une colonne d'eau de1 mètre de haut.
1. Le principe de Pascal
Ce résultat, établi par pascal en 1651, est connu sous le nom de Principe
de Pascal. Ce principe est une conséquence directe des lois de Newton.
Donc Patm=ρ⋅g⋅h
38
b) De combien monte la surface S2, lorsque la surface S1 descend d'une
hauteur h1 ?
c) Lorsque S2 est environ 100 fois plus grandes que S1, comment faire
pratiquement pour faire monter S2 de 2 mètres ? (S1 ne peut pas descendre
de plus que quelques décimètres !)
2. La force d’Archimède
Tout objet plongé dans un fluide subit une force, de bas en haut, égale à la
force de pesanteur du fluide qu'il déplace. C'est la formulation du principe
d'Archimède.
- si ρobj = ρfluide, la force résultante est nulle, l'objet va rester sur place ;
39
- si ρobj < ρfluide, la force résultante est négative, l'objet va monter.
Exemple : Quelle est la masse apparente d'un bloc cubique de fer de 50 [kg]
immergé dans de l'eau ?
La masse volumique du fer est de 7'870 [kg/m3], celle de l'eau est de 998
[kg/m3].
40
7 870 solide, Gaz carbonique : 1.98 gaz, Glace (eau) : 917 solide, Huile
(olive) : 840 liquide, Mercure : 13 590 liquide
1. Equation de continuité
𝚫W = 𝚫Ec+𝚫Epg
1. Nombre de Reynolds
( )
42
où v est la vitesse du fluide, ρ sa densité, d le diamètre du tube et D le
débit. R est en fait le rapport du travail des forces d’accélération au travail
des forces de viscosité.
- Pour H petit, les manomètres sont stables, le jet ressemble à une tige de
verre polie : l’écoulement est laminaire.
43
CHAPITRE III : CHALEUR, ELEMENTS DE
THERMODYNAMIQUE
I. TEMPERATURE
1. Mesure de la température
44
Si deux corps A et B sont chacun en équilibre thermique (aucun transfert de
chaleur) avec un troisième corps C (appelé thermomètre), alors A et B sont en
équilibre thermique entre eux.
T=a.p
( )
T(K)=273,16+Tc(°centigrade)=273,15+Tc(°Celsius)
45
Cette échelle absolue (T) est issue de la loi de variation de la pression p
d’un gaz à volume constant, en fonction de la température Tc (°C), à savoir
(voir figure 5).
Avec ( )
2. Dilatation thermique
∆T =L0.𝝀∆T (a)
47
Relation bien vérifiée expérimentalement dans la gamme de 0 à 100°C de
température.
∆V = V0.β.∆T (b)
Dans les liquides à pression constante, la relation (b) s’applique avec des
coefficients de dilatation volumique plus importants. Voici quelques
valeurs du coefficient de dilatation volumique dans les liquides : 2,1.10-4K-
1 pour l’eau liquide ; 1,8.10-4K-1 pour le mercure ; 1,1.10-3K-1 pour l’alcool
48
Figure 8 : Anomalie de l’eau
Dans certaines conditions (propreté extrême) un liquide pur, tel l’eau, peut
être refroidi en dessous de son point de congélation, sans se modifier
spontanément, il est dans un état de surfusion. Selon le degré de pureté,
on descend jusqu’à 20°C (pour l’eau) en dessous du point de congélation.
La glace est un des seuls matériaux solides (avec le bismuth, l’antimoine et
la fonte) qui flottent sur leur propre liquide (masse volumique de la glace :
917kg/m3).
1. Quantité de chaleur
50
Nous avons énoncé la loi de l’équilibre thermique ou principe zéro de la
thermodynamique, bien vérifié expérimentalement ; le voici énoncé
autrement ; Quand deux systèmes sont à la même température qu’un
troisième tous les trois sont à la même température.
2. Capacités calorifiques
Par convention, une chaleur reçue par un système est positive et une
chaleur perdue par un système est négative. Rappelons que dans un
système isolé l’énergie totale reste inchangée.
- Solides : Or 0,13 ; fer 0,47 ; verre 0,84 ; aluminium 0,90 ; téflon 1,0 ;
bois 1,8 ; glace 2,1 ; corps humain (moyenne) 3,47 ;
- Gaz : air (100°C) 1,0 ; vapeur d’eau (110°C) 2,01 ; méthane 2,2 ;
Hydrogène 1,42
51
L’eau se distingue par une capacité calorifique massique élevée, qu’elle soit
à l’état solide ou liquide ou gazeux.
( )
L’énergie interne d’une masse donnée d’un gaz parfait ne dépend pas son
volume, mais uniquement de sa température (loi de Joule).
La capacité calorifique molaire des gaz polyatomiques est plus grande (en
plus des transitions, vibrations et rotations possibles) ; plus la structure
moléculaire est compliquée, plus on a des degrés de liberté et plus grande
est la capacité calorifique molaire du gaz. Dans un gaz diatomique,
vaut 1,4 ; dans un gaz triatomique, vaut 1,33.
3. Changements de phase
4. Convection
Par exemple les alizés sont produits par ces courants de convection d’air
sous les tropiques les courants océaniques (Gulf Stream) sont produits
par la convection dans l’eau de mer. La convection est aisément forcée (voir
cours spécialisés).
5. Conduction
53
(73) ;… ; béton (1,8), verre (0,8), bois (0,1); Hg (8,7); eau (0,6); Huile
(0,15);…air
(0,025).
Les mélanges ont une bonne conductivité thermique, des centaines de fois
plus grande ou les autres solides qui conduisent mieux que la plupart des
liquides ; ceux-ci conduisent des dizaines de fois mieux que les gaz,
mauvais conducteurs thermiques (trop peu de collision).
54
Expression de la loi de conduction de Fourier (1807); le signe ‘ – ‘
exprime que la chaleur s’écoule dans la direction de décroissance de la
température (ΔT < 0).
Par exemple, si nous marchons pieds nus sur un carrelage (froideur) ou sur
un tapis (confort) nous ressentons pourquoi le corps humain est un
mauvais thermomètre.
Alors que l’on rejette la théorie du calorique depuis longtemps, l’emploi des
mots « chaleur » et « flux » de chaleur a par contre bien survécu et prête
souvent à confusion.
Nous allons utiliser ces termes d’une façon très précise. Si de l’énergie est
transférée d’un objet à un autre par suite d’une différence de température
entre la source et la région de destination, nous appellerons ce transfert
flux de chaleur. La quantité d’énergie transférée portera le nom de chaleur.
1. Travail mécanique
56
Figure 10 : Travail fourni par un gaz ou par un piston pendant un
petit déplacement ∆x vaut ∆W = F.∆x = P.∆V.
C’est dans le cas des gaz que le développement de nos idées est le plus aisé.
La figure 10 montre un gaz soumis à une pression P dans un cylindre
fermé. Le gaz exerce une force F=PA sur le piston. Quand le piston se
déplace d’une petite distance A∆x parallèle à la force, le travail accompli par
le gaz vaut ∆W=F.∆x=F.A. ∆x. Comme ∆V = A.∆x, le travail effectué par le
gaz vaut ∆W=P.∆V.
∑ ∫ (e)
( )
57
Figure 11 : (a) Le travail effectué par le système est égal à la somme des
aires des petits rectangles. Dans chaque intervalle, Pj est supposée
constante ; pour le rectangle coloré, on a ∆Wj=Pj.∆Vj. (b) Le travail total est
exactement égal à la surface colorée au-dessous du graphe de P en fonction
de V.W est positif dans cet exemple. (c) Cas d’un processus où l’on effectue
un travail sur le système ; W est donc négatif.
Réponse :
( ) ( ) ( )
∫ ∫
Lors d’un processus isobare (c'est-à -dire à volume constante aucun travail
n’est accompli puisque dV=0.
En effet, nous avons vu plus haut que la théorie cinétique prédit une
énergie cinétique moyenne de translation égale à 3 kBT/2 pour chaque
58
molécule d’un gaz parfait monoatomique. En raison de l’absence
d’interaction et donc d’énergie interne d’un gaz parfait composé de N
molécules est par conséquent égale à l’énergie cinétique totale des
particules qui le composent.
∆U=Uf -Ui=Q-W
Les concentrions de signe sont les suivantes. Q est positif quand le système
reçoit de la chaleur, et W est positif quand le système effectue un travail.
Bien que nous ayons choisi un gaz dans cet exemple, le résultat (1.6) reste
59
vrai pour tous les systèmes thermodynamiques et ne dépend aucunement
de la présence d’un gaz.
60
Figure 12 : (a) Dans le cas où le piston est maintenu fixe, la Q ajoutée est
égale à l’accroissement ∆U de l’énergie interne. (b) Cas où les parois sont
thermiquement isolées de l’extérieur (donc pas d’échange de chaleur). La
force F fournit un travail au gaz, par l’intermédiaire du piston. Ce travail
est égal à l’augmentation de l’énergie interne. (c) Cas général. Le système
(c'est-à -dire le gaz) reçoit de la chaleur et il se dilate tout en luttant contre
la force extérieure F. Le gaz fournit donc un travail. La différence entre Q et
W est égale à la variation ∆U de l’énergie interne du gaz.
Figure 13 : (a) Un système peut passer d’un état (Pi, Vi) à un état (Pf, Vf)
d’une infinité de manières. Deux d’entre elles sont représentées. (b) Le
travail fourni par le système à l’aire au-dessous de la courbe de P en
fonction de V. Le travail fourni pendant le processus (1) est supérieur à
celui du processus (2) montré en (c).
Dès lors, le produit P.V (=n.R.T) n’est plus constant mais augmente
également. La courbe qui correspond à une compression adiabatique dans
le diagramme PV a donc une pente en tous points supérieure à celle de
l’isotherme. Il en est ainsi car l’augmentation de température entraine une
variation de pression plus grande que si T était constant. De manière
similaire, si le gaz se détend adiabatiquement, il se refroidit, entrainant une
variation de pression plus grande que dans la transformation isotherme.
Dans le cas d’une transformation isotherme, nous avons vu que le gaz obéit
à la loi de Boyle-Mariotte, PV=constante. Dans une transformation
adiabatique, on montre que les évolutions plus rapides de P en fonction de
V correspond à P.V.γ=constante
Où γ est une constante qui vaut 5/3 pour un gaz parait monoatomique.
61
Fondamentalement, le premier principe de la thermodynamique exprime la
conservation de l’énergie. Il constitue l’un des piliers de la
thermodynamique,
62
Dans ce paragraphe, nous discuterons les versions microscopiques
(corpusculaires) et macroscopiques du second principe. Le rendement des
machines thermiques sera étudié dans le prochain paragraphe. Les
applications aux systèmes chimiques sont traitées en détail dans les
manuels de chimie et de biochimie.
Illustrons cela au travers d’une analogie. Supposons que l’on lance 4 pièces
de monnaie sur une table. Le nombre de côtés « pile » et de côtés « face »
qui apparaît procure une description de l’état macroscopique du système
alors que la spécification du côté particulier que présente chaque pièce
définit l’état microscopique de ce système. Le tableau 1 donne les états
microscopiques correspondant à chaque état macroscopique.
63
Tableau 1 : Configuration possibles pour 4 pièces de monnaie
S=kB.ln𝜴
64
Où kB est la constante de Boltzmann et W le nombre d’états
microscopiques correspondant à un état macroscopiques donné. Le second
principe, comme nous le verrons dans la section suivante, énonce le fait
qu’un système a tendance à évoluer vers une entropie plus grande et donc
vers un plus grand désordre. D’un point de vue statistique, cela traduit
simplement le fait que sels les processus les plus probables
s’accomplissent. Cela peut sembler banal mais une précision importante du
point de vue de l’interprétation : les phénomènes associées à une
diminution d’entropie ne sont pas réellement impossible mais pratique.
Ainsi, il pourrait arriver que l’eau d’un lac gèle en plein été, par temps
chaud, mais la probabilité qu’un tel événement se produise est tellement
infime qu’il n’est jamais observé.
65
Nous pouvons maintenant donner la définition macroscopique de l’entropie
d’un système. Supposons que l’on apporte, lors d’un processus réversible,
une petite quantité de chaleur ∆Q à un système se trouvant la
température absolue T. La variation d’entropie du système se produisant
pendant cette opération est alors définie par ∆S=∆Q/T (processus
réversible)
∑ ∫ (f)
Noter que lorsque la chaleur quitte un système, ∆Q est négatif de même que
la variation d’entropie qui en résulte. Quand on a affaire à une
transformation irréversible,
∆S(total)≥0
67
CHAPITRE IV : ELEMENTS D’ELECTRICITE
I. LE COURANT ÉLECTRIQUE
1. Les atomes
Il est constitué d’un noyau autour duquel gravitent des électrons, qu’on
appellera « nuage électronique ».
2. Le noyau
C’est la partie centrale de l’atome (environ 10 000 fois plus petit que
l’atome lui- même).
3. Le nuage électronique
68
Enfin, dans un atome neutre, le nombre d’électrons est égal au nombre de
protons.
4. Le courant électrique
69
II. LES DIFFÉRENTES FORMES D’ÉLECTRISATION
- Une tige en verre bien sèche, frottée à l’aide d’un morceau de drap en
soie ou en laine, tenue à la main, attire de petits morceaux de papier
(a).
Par contre les charges dues à l’électrisation se déplacent dans les métaux
et s’écoulent vers la terre à travers le corps de l’expérimentateur. C’est la
raison pour laquelle on ne constate aucun effet de l’électrisation dans
l’expérience de la figure
70
2. Electrisation par contact
4. Mise à la terre
Si l'on met une faible tension U aux bornes d'un conducteur de résistance
R, le courant sera faible car l'énergie pour compenser le travail des forces
de frottement sera faible et permettra donc peu de passages des charges
électriques. Si on augmente la tension, le courant augmentera aussi
proportionnellement. Nous en tirons la première loi d'Ohm : U = R.I ; La
71
résistance R=U/I s'exprime en volt par ampère ou ohms : en souvenir de
Georg Simon Ohm qui découvrit cette loi en 1827.
On l'appelle aussi force électromotrice (f.e.m) car c'est grâce à son action
que le courant électrique peut exister.
3. Dipôle
Si on mesure la tension aux bornes d’un dipôle qui n’est pas insérer dans
un circuit, deux cas peuvent se présenter :
5. La tension est nulle, le dipôle est passif, c’est le cas d’une ampoule.
6. La tension n’est pas nulle, il existe donc une tension aux bornes du
dipôle alors que celui-ci n’est traversé par aucun courant, le dipôle
est actif, c’est un générateur, c’est le cas d’une batterie.
72
Figure 18 : Loi des branches
La somme des intensités des courants qui arrivent à un nœud est égale à la
somme des intensités des courants qui en repartent.
73
• I1 et I5 sont les intensités qui arrivent au nœud.
5. La charge électrique.
On trouve
74
Figure 20 : Loi de Coulomb
⃗ ⃗
1°) Elle s’exerce sur des objets de même nature, ici des charges électriques.
2°) Elle agit suivant la droite qui joint les deux objets.
3°) Elle est proportionnelle au produit des grandeurs liées aux objets
considérés : q1 et q2.
4°) Elle varie comme l’inverse du carré de la distance entre les deux objets.
75
6°) Enfin, elle est instantanée.
7. Champ électrique.
W = q×U et W = q×V
Wmec=m.g.h
ΔPel =ΔW/t=q×U/t =(q/t)×U =I×U => P =U×I [W = J/s] qui est la loi de Joule.
9. Exercices
Courant électrique
b) Calculer la charge électrique Q que cette batterie fait circuler pendant les
deux secondes du démarrage du moteur en admettant que le courant est de
I = 120 A.
Tension et puissance
Lois d'Ohm
1) Il apparaît une tension U = 10 V entre les extrémités d’un fil lorsqu’il est
parcouru par un courant I = 5 A. Déterminer sa résistance R.
77
CHAPITRE V : ELEMENTS DE LA RADIOACTIVITE
I. INTRODUCTION
• Lors de l’explosion des étoiles, marquant la fin de vie de celles-ci, pour les
éléments au-delà du fer.
C’est la chaleur qu’elle génère qui maintient le noyau terrestre sous forme
liquide, et qui a permis lors des éruptions volcaniques la formation de
l’atmosphère primitive (protection contre les météorites, effet de serre pour
diminuer les écarts thermiques entre le jour et la nuit).
2. La radioactivité et l’homme
Quelques applications :
3. Ordres de grandeur
• Masse d’un cm3 de noyaux de fer ≈ 2,125 x 1014 g soit plus de 200
millions de tonnes dans un dé à coudre !!! On peut trouver dans l’univers
des objets aussi denses, sous la forme d’étoiles à neutrons.
Si compare les énergies en jeu au sein des atomes et des noyaux d’atomes,
on observe que l’énergie de liaison des électrons au noyau est environ un
million de fois plus petite que l’énergie de liaison qui assure la cohésion des
protons et des neutrons au sein du noyau.
C’est cette différence entre énergies de liaison qui explique l’écart entre les
effets des réactions chimiques (ex. dynamite) et des réactions nucléaires
(ex. bombe atomique).
79
II. NOTATIONS
, , .
On peut noter que plusieurs isotopes d’un même élément chimique sont
naturellement présents dans l’atmosphère. Ainsi, le carbone que l’on trouve
dans le CO2 par exemple, est réparti de la manière suivante :
• 98,89% de (stable)
• 1,11 % de (stable)
80
• et une infime fraction de (radioactif de période 5730 ans) : le rapport
vaut 1,3×10−12.
Le carbone est fixé par les êtres vivants et on le retrouve par exemple dans
la cellulose des arbres, créée lors de la photosynthèse. Ainsi, le bois d’un
arbre est naturellement radioactif. C’est cette propriété des tissus vivants à
fixer le CO2 (donc le ) qui est à l’origine de la méthode de datation par le
carbone 14.
2. Vallée de stabilité
Figure 21 : carte des noyaux connus. Les noyaux stables sont notés en
noir.
81
• Au-dessous des noyaux stables, on trouve en bleu les noyaux trop riches
en neutrons. Ces noyaux reviennent vers la ligne de stabilité par
désintégration β-, qui transforme au sein du noyau un neutron en proton.
• Au-dessus des noyaux stables, on trouve en rouge les noyaux trop riches
en protons. Ces noyaux reviennent vers la ligne de stabilité par
désintégration β+ou par capture électronique, qui transforme au sein du
noyau un proton en neutron.
• Les noyaux lourds riches en protons sont revenir vers la ligne de stabilité
par désintégration alpha
Exemples :
82
Figure 22 : Déplacements sur la carte des noyaux lors des
désintégrations radioactives
1. Désintégration alpha
→ +
→ + + 𝜈e
+ → + 𝜈e
83
3. Désintégration β–
→ + + 𝜈e
4. Désintégration gamma
Au même titre que les atomes, les noyaux peuvent se trouver dans un
état excité. La désexcitation d’un noyau vers son état fondamental
se fait de deux manières :
→ + ou → + + +…. +
V. UNITÉS DE MESURE
Par définition,
NA× M(12C)=12 g
84
M(12C)=12/NA g
1 u.m.a=1/12 × M(12C)
1 u.m.a.=1/NA g
2. L’électron-volt
• 1 keV = 103 eV
• 1 MeV=106eV
• 1 GeV = 109eV
85
Le noyau de se désintègre :
Dans le premier cas, le bilan Q d’énergie de masse est égal à 514 keV, cette
énergie étant partagée sous forme d’énergie cinétique entre les trois
produits de désintégration : , e- et neutrino. Le noyau de
retourne à son fondamental en émettant un photon de 662 keV.
1. Loi de décroissance
Démonstration :
Pendant ce tout petit intervalle, les choses varient tellement peu que le
problème devient linéaire. On dit qu’on a linéarisé le problème, c’est une
technique très utilisée en physique, parce qu’elle permet de décrire très
simplement l’évolution d’un système.
Si on considère maintenant non plus un seul noyau, mais les N(t) noyaux
présents, N(t)×λ×dt noyaux vont se désintégrer pendant le petit temps dt.
dN(t)= - λ×N(t)×dt
dN(t)/dt= - λ×N(t)
87
dN(t)/[dt×N(t)]= - λ
On sait que si deux fonctions sont égales (ici, ce sont des fonctions qui
dépendent du temps), alors leurs primitives sont égales à une constante
près :
ln N(t) = - λ×t + C
N(t) = e-λ×t + C
N(t) = eC + e-λ×t
N(t) = K + e-λ×t
2. Période radioactive
N(t) = N0×e-λ×t
N(T) = N0×e-λ×T
N(T) = N0/2
N0×e-λ×T = N0/2
e-λ×T = ½
eλ×T = 2
λ×T = ln2
Exemples de période :
: 5730 ans
88
: 1672 ms
1. Définition
() ()
2. Unités
89
1. Aspects qualitatifs
90
• Par interaction avec les noyaux des atomes du milieu, qui dévient la
trajectoire des électrons. Lors du changement de trajectoire, un photon de
Brems strahlung est émis (conservation de la quantité de mouvement).
Les particules bêta sont plus de 8000 fois plus légères que les particules
alpha et elles sont facilement déviées par le champ électromagnétique des
noyaux. Leur trajectoire est en forme de ligne brisée. Les particules bêta
sont nettement moins ionisantes que les particules alpha.
• La diffusion Compton
Pour que ce processus ait lieu, le photon doit avoir une énergie supérieure
au seuil de création e+e-, par exemple hν >2×0,511 MeV.
( )
( )
( )
93
( )
X. RADIOPROTECTION
95
Figure 31 : Facteur de pondération radiologique
96
Figure 32 : Facteur de pondération radiologique
5. Effets de seuil
Les effets des faibles doses sont mal connus, on peut seulement
définir un caractère probabiliste de l’apparition de cancers :
97
CHAPITRE VI : ELEMENTS D’OPTIQUE
I. INTRODUCTION
II. LA LUMIÈRE
1. Les sources
2. Le spectre électromagnétique
98
On classifie les ondes en fonction de leur longueur d’onde dans le vide λ0
(en mètres) ou de leur fréquence ν(en Hz). On a la relation λ0= c/ν avec c la
vitesse de la lumière dans le vide.
a) La théorie corpusculaire
b) La théorie ondulatoire
- une onde se propage à partir d’une source dans toutes les directions de
l’espace.
99
- la vitesse de propagation d’une onde est une propriété du milieu : la
vitesse de la lumière dépend par exemple de l’indice du milieu qu’elle
traverse.
Le champ électrique :
La polarisation est aussi utilisée pour « visualiser » les contraintes que subit
un matériau ou le dosage de solutions.
C’est le cas pour l’air ou l’eau mais c’est faux pour la plupart des cristaux
où l’indice dépend du trajet suivi par la lumière. Dans un tel cas, le milieu
est dit anisotrope.
Dans tout ce qui suivra, sauf mention explicite, nous supposerons que le
milieu considéré est un milieu homogène, transparent et isotrope.
b) Le miroir plan
Image virtuelle
Pour un œil qui regarde dans un miroir, tout se passe comme si les rayons
issus de A venaient d’un point fictif A’ qui est le symétrique de A par
rapport au miroir. L’œil (et le cerveau) étant conditionné à la propagation
rectiligne de la lumière, il « croit » voir un objet en A’, en tous points
identiques à A ; l’œil est trompé par le changement de marche dû à la
réflexion sur le miroir. A’ est appelé image virtuelle du point A, car si on
place un écran en A‘, bien sûr, il ne se passe rien car la lumière ne franchit
jamais le miroir !
Remarque :
- L’œil ne verra pas le rayon (1) issu de A puisqu’il n’est pas réfléchi vers la
pupille de l’œil.
- Il faut au moins deux rayons pour dessiner l’image d’un point par un
système optique ; l’image se trouve à l’intersection des deux rayons
sortants.
102
- On note que plus on éloigne l’objet, plus les rayons issus de A et perçus
par l’œil feront un angle petit entre eux.
Mirage
103
4. Les lois de Snell-Descartes
b) Plan d’incidence
104
Figure 39 ; plan d’incidence
c) Lois de la réflexion
Vous ne verrez donc votre reflet dans la vitre du métro que dans les tunnels
et pas dans les stations où la lumière provenant de l’extérieur est beaucoup
plus intense que celle réfléchie.
d) Lois de la réfraction
Ainsi si n2> n1, on aura i2< i1. Autrement dit, si le premier milieu est moins
réfringent que le second (n1< n2) le rayon se rapproche de la normale (i2< i1).
105
Figure 40 : illustration des lois de Descartes. Ici n1> n2
e) Réflexion totale
Dans le cas où le rayon arrive d’un milieu 1 d’indice n1 plus grand que
l’indice du milieu 2 (n1> n2), il est possible que l’équation n1sini1= n2sini2
n’ait pas de solution pour i2 si i1est supérieur à un angle limite iL tel que :
Remarque :
• Le cas où i1= iL est le cas limite pour lequel n1sini1= n2, soit sin i2= 1 ou
encore : i2= 90°.
• Lorsque le milieu d’indice faible est l’air (cas le plus fréquent) l’angle
limite devient :
Tout trajet suivi par la lumière dans un sens peut l’être dans le sens opposé
; c’est le principe de retour inverse de la lumière.
107
CHAPITRE VII : INTRODUCTION A LA PHYSIQUE MODERNE
I. INTRODUCTION
Puisque les concepts d’espace et de temps sont modifiés pour des objets en
mouvement rapide, on doit également apporter, dans ce cas, des
modifications aux lois de la mécanique. On doit changer les définitions de
l’énergie et de la quantité de mouvement si on veut qu’elles continuent
109
d’obéir aux lois de conservation habituelles. Si un objet a une masse m et
une vitesse v, son énergie relative est
√
Quand la vitesse est nulle, l’énergie devient l’énergie de repos
111
Ce type d’horloge est constitué d’une barre de longueur l portant un miroir
R et un photodétecteur P à ses extrémités. Une impulsion lumineuse, émise
à une extrémité, est réfléchie par le miroir à l’autre out et revient au
photodétecteur près de la source lumineuse. Chaque fois que le détecteur
reçoit une impulsion lumineuse, l’horloge avance d’un cran et émet une
autre impulsion.
( )
Où t’est le temps mis par la lumière pour effectuer l’aller-retour de la
source au photodétecteur de l’horloge en mouvement. Mais nous savons
aussi que 2D=ct’, ou encore D=ct’/2, et que l=ct/2. En remplaçant D et l par
ces expressions dans l’équation ci-dessus, on obtient( ) ( ) ( )
En résolvant par rapport à t’, on a :
√
√ √ ( )
Comme toutes les horloges, y compris les horloges biologiques, doivent se
comporter de la même façon, en 1 heure de son temps, elle peut parcourir
( )( )
L’hôpital n’est qu’à 100 km, de sorte qu’elle doit arriver à temps.
Dans cet exemple, on peut émettre des objections à l’idée que la montre de
cette femme et ses processus biologiques obéissent à la loi que nous avons
obtenue pour l’horloge à la lumière. Cependant, toutes les horloges et tous
les processus doivent obéir à cette loi ; sinon, le principe de la relativité
serait violé. Par exemple, nous pouvons synchroniser une horloge à lumière
et plusieurs autres types d’horloges quand elles sont toutes au repos.
Quand on les met en mouvement à la même vitesse, toutes les horloges
doivent se comporter de la même façon. Si une partie seulement de ces
horloges ralentissait, on pourrait dire que celles qui ne retardent pas ne
fonctionnent correctement que dans un seul système de référence.
113
Des particules subatomiques à courte vie, appelées mésons, sont créées par
les rayons cosmiques dans la haute atmosphère, approximativement 10000
m au-dessus du niveau de la mer. Elles se déplacent à une vitesse de 0,999
c (c=3.108 ms-1). Dans des expériences de laboratoire sur des mésons mu
au repos, on leur trouve une vie moyenne de 2,2.10-6s.
Réponse :
√ √( )
Cette durée de vie est plus de 20 fois la vie d’un méson mu au repos.
b) En utilisant le résultat précédent pour la vie moyenne. On trouve
qu’un observateur terrestre voit les mésons parcourir une distance
( )( )( )
Ceci est supérieur à la hauteur de 10 000 m à laquelle ils ont été produits.
De sorte que, en moyenne, les mésons atteignent la terre. Si la durée de vie
était 2,2.10-6 s, un méson mu au niveau du sol, on a ainsi une
confirmation directe de la dilatation du temps.
Un objet en mouvement est plus court qu’au repos. Cet effet est
appelé la contraction des longueurs et est une conséquence immédiate de
la dilatation du temps. Pour prendre un cas concret, considérons de
nouveau la femme de l’exemple 1.1. Elle-même et un observateur au repos
par rapport à la roue, doivent trouver tous deux la même valeur de la
vitesse relative de l’un par rapport à l’autre, en accord avec le principe de
relativité. Pour autant qu’elle puisse s’en rendre compte, sa montre
fonctionne normalement. Par conséquent, elle tiendra le raisonnement
suivant : Si elle a été capable d’atteindre l’hôpital à temps, c’est que la
distance qu’elle devait parcourir était inférieure à la distance de 100 km
annoncée sur le poteau indicateur. En d’autres termes, la longueur de la
roue, mesurée par cet observateur en mouvement, a diminué.
114
est diminué par rapport à du facteur de dilatation du temps, de sorte que
√
Donc l’ de la route, telle qu’elle apparaît à la femme,
Dans les microscopes électroniques, les électrons sont déviés par les
lentilles magnétiques et la force agissant sur les électrons dans ces lentilles
est proportionnelle à leur vitesse. Le calcul de la puissance de ces lentilles
doit tenir compte des effets relativistes pour éviter des erreurs non
négligeables.
115
Un observateur en déplacement ne voit aucune modification de longueur
d’un objet dans la direction perpendiculaire à son mouvement. Nous
laissons à un problème (problème 1.28) le soin de montrer que ce fait est
une conséquence directe du principe de relativité.
vitesse v vaut ( )
√
116
( ) . Cependant, l’énergie cinétique d’un objet en mouvement rapide est
nettement supérieur à ( ) .
L’exemple suivant montre que, pour amener un objet à une vitesse très
élevée, il faut dépenser un travail bien plus élevé que la valeur prédite par
la mécanique non relativiste.
Ainsi donc l’énergie relativiste vaut plus de trois fois l’énergie non
relativiste. Cela signifie que le travail pour accélérer un objet du repos à
une vitesse v=0,9 c vaut plus de trois fois ce que nous aurions prédit par la
mécanique non relativiste. Lorsque la vitesse approche de celle de la
lumière, l’énergie cinétique d’un objet croît très rapidement. Par
conséquent, il faut proportionnellement plus de travail pour atteindre des
vitesses très élevées. En fait il faudrait un travail de valeur infinie pour
amener un objet à une vitesse égale à c. c’est une façon de montrer que des
objets de masse non nulle ne peuvent atteindre la vitesse de la lumière.
Ceci revient à dire que la masse m d’un objet est équivalente à une énergie
mc². L’énergie totale de cet objet est alors la somme de l’énergie au repos et
de l’énergie cinétique, E=E0+E, ce qui donne
√
Cela revient à affirmer que la masse et l’énergie sont deux formes d’une
même propriété physique et que l’on peut convertir l’une en l’autre. Cette
idée paraissait révolutionnaire quand Einstein l’introduit ; elle est
maintenant très bien confirmée par l’expérience.
√ √
118
La fusion nucléaire, dans laquelle deux noyaux légers fusionnent
pour former un plus gros noyau, dégage encore plus d’énergie en
proportion de la masse des constituants. C’est la fusion qui est la source de
l’énergie des étoiles et qui pourrait finalement nous procurer une énergie
presque illimitée. Nous discuterons en détail de la fission et de la fusion
dans les chapitres qui suivront.
Quand v/c est faible, pc est petit par rapport à mc² et on peut alors
développer cette équation en puissances de p, ce qui donne E=mc²+p²/2m.
Le premier terme est l’énergie au repos. On peut récrire le second terme
sous la forme (mv)²/2m=mv²/2, ce qui est le résultat bien connu pour
l’énergie cinétique on relativiste.
Si la masse m est nulle, ce qui est le cas pour la lumière, l’équation (1.8)
devient
E=pc (m=0)
L’énergie est égale à la quantité de mouvement multipliée par la
vitesse de la lumière. Maxwell avait obtenu exactement le même résultat
plusieurs décennies plus tôt, quand il calcula l’énergie et la quantité de
mouvement transportée par une onde électromagnétique. C’est là une
indication supplémentaire que la théorie d’Einstein de la relativité
restreinte est en accord complet avec la théorie de Maxwell de
l’électromagnétisme.
119
TABLE DES MATIÈRES
INTRODUCTION ..................................................................................................................................... 1
OBJECTIFS : ........................................................................................................................................ 1
1. Objectif général ..................................................................................................................... 1
2. Objectifs spécifiques.............................................................................................................. 1
CHAPITRE I : LA MECANIQUE (CINEMATIQUE ET DYNAMIQUE) ........................................................... 2
I. LA CINEMATIQUE........................................................................................................................... 2
1. CINEMATIQUE A UNE DIMENSION DE LA PARTICULE ............................................................... 2
2. MOUVEMENT RECTILIGNE UNIFORMEMENT ACCELERE (M.R.U.A) .......................................... 5
3. MOUVEMENT A DEUX ET TROIS DIMENSIONS .......................................................................... 8
4. LA BALISTIQUE .........................................................................................................................11
5. LE MOUVEMENT CIRCULAIRE ..................................................................................................13
6. LES MOUVEMENTS RELATIFS...................................................................................................14
II. LA DYNAMIQUE ...........................................................................................................................15
1. LES TROIS LOIS DE NEWTON ET LEURS APPLICATIONS ...........................................................16
2. LES REFERENTIELS NON INERTIELS ..........................................................................................20
3. LES LOIS DE KEPLER .................................................................................................................22
4. TRAVAUX ET ENERGIE..............................................................................................................24
CHAPITRE II : ELEMENTS D’HYDROSTATIQUE ET D’HYDRODYNAMIQUE ............................................32
I. NOTION DE PRESSION ET PRESSION DANS LES FLUIDES .............................................................32
1. Notion de pression ..................................................................................................................32
1.1. Définition .........................................................................................................................32
1.2. Pression hydrostatique ....................................................................................................32
2. Pression dans les fluides ..........................................................................................................33
2.1. Masse volumique d'un liquide non compressible ................................................................33
2.2. Pression partielle dans un liquide non compressible ...........................................................34
2.3. D’autres unités hors Système International de la pression..................................................35
II. LE PRINCIPE DE PASCAL, LA FORCE D’ARCHIMEDE .....................................................................36
1. Le principe de Pascal ...............................................................................................................36
1.1. Introduction expérimentale et formulation .........................................................................36
1.2. Application du principe de Pascal : le tube en U. .................................................................37
1.3. Application du principe de Pascal : le baromètre.................................................................38
1.4. Application du principe de Pascal : la presse hydraulique ...................................................38
2. La force d’Archimède...............................................................................................................39
120
2.1. Enoncé du problème et sa résolution ..................................................................................39
2.2. Notion de masse apparente .................................................................................................40
III. EQUATION DE CONTINUITE ET THEOREME DE BERNOULLI ....................................................41
1. Equation de continuité ............................................................................................................41
2. Théorème de Bernoulli ............................................................................................................42
IV. ECOULEMENTS LAMINAIRES ET TURBULENTS ........................................................................42
1. Nombre de Reynolds ...............................................................................................................42
2. Ecoulement laminaire et turbulent .........................................................................................43
CHAPITRE III : CHALEUR, ELEMENTS DE THERMODYNAMIQUE ..........................................................44
I. TEMPERATURE.............................................................................................................................44
1. Mesure de la température ......................................................................................................44
2. Dilatation thermique ...............................................................................................................47
II. CHALEUR ET ENERGIE THERMIQUE .............................................................................................49
1. Quantité de chaleur .................................................................................................................49
2. Capacités calorifiques ..............................................................................................................51
3. Changements de phase ...........................................................................................................52
4. Convection ...............................................................................................................................53
5. Conduction ..............................................................................................................................53
III. INTRODUCTION A LA THERMODYNAMIQUE ...........................................................................55
1. Travail mécanique ...................................................................................................................56
2. Premier principe de la thermodynamique ..............................................................................58
3. Second principe de la thermodynamique ...............................................................................62
3.1. Forme microscopique du second principe ......................................................................63
3.2. Forme macroscopique du second principe .....................................................................65
CHAPITRE IV : ELEMENTS D’ELECTRICITE ............................................................................................68
I. LE COURANT ÉLECTRIQUE ...........................................................................................................68
1. Les atomes ...............................................................................................................................68
2. Le noyau ..................................................................................................................................68
3. Le nuage électronique .............................................................................................................68
4. Le courant électrique...............................................................................................................69
II. LES DIFFÉRENTES FORMES D’ÉLECTRISATION .............................................................................70
1. Electrisation par frottement (triboélectricité).........................................................................70
2. Electrisation par contact..........................................................................................................71
3. Electrisation par influence .......................................................................................................71
4. Mise à la terre..........................................................................................................................71
121
III. AUTRES ELEMENTS EN ELECTRICITE ........................................................................................71
1. La résistance et la loi d'Ohm....................................................................................................71
2. La tension électrique ou différence de potentiel ....................................................................72
3. Dipôle.......................................................................................................................................72
4. Lois des tensions ......................................................................................................................72
a) Loi des branches ..................................................................................................................72
b) Loi des mailles......................................................................................................................73
c) Loi des nœuds ou loi de Kirchhoff .......................................................................................73
5. La charge électrique. ...............................................................................................................74
6. La force électrostatique : Loi de Coulomb...............................................................................74
7. Champ électrique. ...................................................................................................................76
8. L'énergie W et la puissance électrique P .................................................................................76
9. Exercices ..................................................................................................................................76
CHAPITRE V : ELEMENTS DE LA RADIOACTIVITE .................................................................................78
I. INTRODUCTION ...........................................................................................................................78
1. La radioactivité dans la nature ................................................................................................78
2. La radioactivité et l’homme .....................................................................................................78
3. Ordres de grandeur .................................................................................................................79
II. NOTATIONS..................................................................................................................................80
1. Classification des noyaux .........................................................................................................80
2. Vallée de stabilité ....................................................................................................................81
III. BILAN D’ÉNERGIE DE MASSE ...................................................................................................82
IV. DÉSINTÉGRATIONS RADIOACTIVES .........................................................................................82
1. Désintégration alpha ...............................................................................................................83
2. Désintégration β+ et capture électronique ..............................................................................83
3. Désintégration β– .....................................................................................................................84
4. Désintégration gamma ............................................................................................................84
V. UNITÉS DE MESURE .....................................................................................................................84
1. L’unité de masse atomique .....................................................................................................84
2. L’électron-volt..........................................................................................................................85
VI. DIAGRAMMES DE DÉSINTÉGRATION .......................................................................................85
VII. EVOLUTION TEMPORELLE D’UNE POPULATION DE NOYAUX .................................................86
1. Loi de décroissance..................................................................................................................86
2. Période radioactive..................................................................................................................88
VIII. ACTIVITÉ D’UNE SOURCE .........................................................................................................89
122
1. Définition .................................................................................................................................89
2. Unités.......................................................................................................................................89
IX. Interaction des particules avec la matière ..............................................................................89
1. Aspects qualitatifs ...................................................................................................................90
2. Interaction des particules alpha ..............................................................................................90
3. Interaction des particules bêta ................................................................................................90
4. Interaction du rayonnement gamma ......................................................................................91
5. Importance relative des trois processus .................................................................................92
6. Atténuation d’un faisceau de photons par la matière ............................................................93
X. RADIOPROTECTION .....................................................................................................................94
1. Effets sur le vivant ...................................................................................................................94
2. Quantification de l’irradiation, unités .....................................................................................94
3. Importance de la nature des rayonnements en jeu, dose équivalente ..................................95
4. Importance de la nature des tissus irradiés ............................................................................96
5. Effets de seuil ..........................................................................................................................97
CHAPITRE VI : ELEMENTS D’OPTIQUE .................................................................................................98
I. INTRODUCTION ...........................................................................................................................98
II. LA LUMIÈRE .................................................................................................................................98
1. Les sources...............................................................................................................................98
2. Le spectre électromagnétique .................................................................................................98
a) La théorie corpusculaire ......................................................................................................99
b) La théorie ondulatoire .........................................................................................................99
3. Optique géométrique ............................................................................................................101
a) Cadre de l’optique géométrique .......................................................................................101
b) Le miroir plan .....................................................................................................................102
4. Les lois de Snell-Descartes .....................................................................................................104
a) Réflexion et réfraction d’un rayon lumineux.....................................................................104
b) Plan d’incidence.................................................................................................................104
c) Lois de la réflexion .............................................................................................................105
d) Lois de la réfraction ...........................................................................................................105
e) Réflexion totale .................................................................................................................106
f) Retour inverse de la lumière .............................................................................................107
CHAPITRE VII : INTRODUCTION A LA PHYSIQUE MODERNE ..............................................................108
I. INTRODUCTION .........................................................................................................................108
II. LA RELATIVITÉ RESTREINTE........................................................................................................108
123
1. Principes fondamentaux de la relativité restreinte ...............................................................110
2. Horloges en mouvement et dilatation du temps ..................................................................111
3. Contraction des longueurs ....................................................................................................114
4. Quantité de mouvement et énergie ......................................................................................116
TABLE DES MATIÈRES ........................................................................................................................120
124