Vous êtes sur la page 1sur 28

Université Abdelmalek Essadi

Faculté des Sciences et Technique


d’Alhoceima Département de la physique

Information Quantique : Modélisation et Applications (2024)

Mécanique Quantique Avancée

EFFET AHARONOV-BOHM

Encadré par :
M EL ALLATI Abderrahim

Présenté par :
EL MOUSSAOUI Chaimae
El YASNARI Issam
LAARAJ Ibtissam
MOUHOUT Safae
Table des matières

Figures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
Tables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4

1 L’effet Aharonov-Bohm 5
1.1 L’effet Aharonov-Bohm . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.1.1 Théorie classique : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
1.1.2 Transformation de jauge : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
1.1.3 Théorie quantique : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
1.2 L’effet Aharonov-Bohm magnétique : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
1.2.1 Équation de Schrödinger dépendante du temps : . . . . . . . . . . 14
1.3 L’effet Aharonov-Bohm électrostatique : . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
1.3.1 Équation de Schrödinger dépendante du temps : . . . . . . . . . . 19
1.4 Applications de l’effet : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
1.5 Conclusion : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
1.6 Les références : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25

1
Liste des Figures

Figure 1.1 : Un faisceau passe des deux côtés d’un solénoı̈de.

Figure 2.1 : expérience pour tester l’effet électrique Aharonov-Bohm.

2
Liste des Symboles

ϕ :Potentiel scalaire :

A : Potentiel vecteur :

q : Charge d’une particule :


h
h : Constante de Planck, souvent écrite ℏ = 2π :

Φ : Flux magnétique :

F µv : Un tenseur :

ρ : Charge volumique :

ψ : Fonction d’onde de l’électron :

H ou Ĥ : Hamiltonien et opérateur hamiltonien :

| ψ⟩ | : État propre :

p : Impulsion :

3
Introduction

L’effet Aharonov-Bohm est un phénomène quantique fascinant

qui a des implications profondes dans la physique. Il est principa-

lement basé sur l’influence des champs électromagnétiques sur des

particules chargées, même en l’absence de contact matériel direct.

Dans ce projet, nous allons explorer cet effet en détail et examiner

ses applications dans le domaine de la physique quantique.

4
CHAPITRE 1

L’effet Aharonov-Bohm

1.1 L’effet Aharonov-Bohm

L’effet Aharonov-Bohm est un phénoméne quantique fondamen-

tal décrit en 1949 par Werner Ehrenberg et Raymond Eldred

Siday et redécouvert en 1959 par David Bohm et Yakir Aharo-

nov qui montre que les particules chargées, comme un électron,

peuvent être influencés physiquement par un champ magnétique

qui se trouve dans un endroit inaccessible pour elles.Ceci différe

du cas de la mécanique classique, ou la force exercée par le champ

magnétique est nulle si le champ lui-méme est nul. Cet effet joue un

role fondamental en physique. Il d´ecrit les quantités physiquement

5
importantes en électromagnétisme, et sa vérification expérimentale

est un test de la validitée de la théeorie quantique elle–même.

L’effet Aharonov-Bohm est une étude théorique importante en

physique quantique, qui a été développée par les physiciens Yakir

Aharonov et David Bohm en 1959. Cet effet démontre comment

un champ électromagnétique peut influencer le comportement des

particules chargées, même lorsqu’elles se trouvent dans des régions

où le champ magnétique est nul. Bien que la théorie quantique a

environ un siècle, sa capacité de produire de contre perspicacités

intuitives dans la nature de la matière demeure non diminuée.

Telle surprise a commencé par une expérience provocatrice pro-

posée par Yakir Aharonov et David Bohm en 1959. D’après leur

résultat, un aimant protégé d’une telle manière qu’il ne pourrait

pas exercer une force sur un autre aimant tout près ; En d’autres

termes, aucune manifestation conventionnelle du gisement de l’ai-

mant protégé n’a pu être détectée, pourtant si un faisceau des

électrons devaient propager par la proximité de cet aimant protégé,

Aharonov et Bohm ont prévu que la phase de la fonction d’onde

d’électron changeraient. Aharonov et Bohm ont prévu que cet ef-

6
fet est dû à une entité physique plus fondamentale que les champs

électriques et magnétiques : un potentiel, dont le taux de varia-

tion dans l’espace et le temps rapporte les champs électriques et

magnétiques. Après trois décennies l’effet Aharonov-Bohm a été

mis en évidence expérimentalement en utilisant des électrons se

propageant dans un vide.

1.1.1 Théorie classique :

D’aprés la théorie de Maxwell, les champs électrique E et magnétique

B sont déterminés, dans le cas général, à partir des densités de

charge ρ et de courant j par les quatre équations fondamentales de

l’électrodynamique classique, les Équations de Maxwell :

ρ
∇·E= (1.1)
ε0

∇·B=0 (1.2)

∂B
∇×E=− (1.3)
∂t

∂E
∇ × B = µ0 j + µ0 (1.4)
∂t

7
En physique classique, une particule de charge e, vitesse v qui

se déplace dans le vide en présence d’un champ électromagnétique

(E, B) subit une force décrite par l’équation de force de Lorentz

de la forme :

1
F = e(E + v × B) (1.5)
c

Dans la théorie classique, si E = B = 0, la force de Lorentz est

nulle. Il ne peut donc y avoir d’effet ayant une contrepartie clas-

sique. Cependant, en mécanique quantique, les phases relatives aux

paquets d’ondes peuvent se manifester par des phénomènes d’in-

terférences qui n’ont pas d’équivalent classique. Par conséquent,

nous devons examiner attentivement les rôles joués par les poten-

tiels, par exemple dans le contexte de l’équation de Schrödinger.

Les deux champs, le champ électrique et le champ magnétique

peuvent s’exprimer en fonction des deux potentiels scalaire et vec-

teur ϕ et A. En utilisant la deuxième équation de Maxwell (équation.1.2),

nous pouvons écrire un champ magnétique sous une forme :

B=∇×A (1.6)

8
On peut faire la même chose avec la troisième équation de Maxwell

(équation (1.3) et l’équation (1.6), et réécrire le champ électrique

sous la forme :

1 ∂A
E=− − ∇ϕ (1.7)
c ∂t

Aharonov et Bohm ont prédit que les potentiels électromagnétiques

A et ϕ pourraient être des quantités physiques réelles et que cela

pourrait être démontré par des expériences d’interférence d’électrons.

1.1.2 Transformation de jauge :

Les transformations de jauge doivent être modifiées pour tenir

compte de la structure dynamique de l’électromagnétisme. Soit :

A′ = A + ∇X (1.8)

1 ∂x
ϕ′ = ϕ − (1.9)
c ∂t

Alors :

1 ∂A 1∂
E′ = − − ∇ϕ′ = − (A + ∇X) − ∇ϕ′ = E (1.10)
c ∂t c ∂t

9
Ainsi, A et ϕ ne sont pas uniques, ils peuvent être modifiés par

des transformations de la jauge sans changer la nature du champ

électrique ou magnétique.

1.1.3 Théorie quantique :

En mécanique quantique,l’effet d’Aharonov-Bohm n’a pas d’ori-

gine dans la théorie classique.Les effets physiques se produisent

dans la région où E = B = 0, et dont le potentiel vecteur A

n’est pas nul. Pour réaliser ce phénomène,on introduit un solénoı̈de

derrière le mur entre les fentes.Considérons les intégrales de la

forme suivante :

Z
xC1 = A(r) dr
C1

Z
xC2 = A(r) dr (1.11)
C2

xC1 et xC2 désignant deux chemins différents. La différence de

phase entre les deux chemins xC1 et xC2 est :

∆ = xC1 − xC2 (1.12)

10
Z Z 
e
∆= A(r) dr − A(r) dr (1.13)
ℏc C1 C2

En utilisant le théorème de Stockes, on trouve que

Z
e Φ
∆= A(r) dr = e ̸= 0 (1.14)
ℏc C ℏc

Ici, C1 et C2 représentent les chemins empruntés par chaque fais-

ceau lors du passage du solénoı̈de. Puisqu’ils forment un chemin

fermé autour du solénoı̈de, la différence de phase totale entre les

faisceaux sera proportionnelle au flux magnétique à l’intérieur du

solénoı̈de. Donc, si nous modifions le champ magnétique dans le

solénoı̈de, la différence de phase entre les faisceaux et le motif

d’interférence se déplace :c’est ce qu’on appelle l’effet d’Aharonov-

Bohm. La vérification expérimentale de l’effet d’Aharonov-Bohm

a fait l’objet du plusieurs expériences complexes dont certaines

mettent en jeu les microtechnologies des circuits intégrés. Enfin,

on pense que I’effet d’Aharonov-Bohm jouera un rôle important

dan les prochains circuits électroniques.

11
L’effet Aharonov-Bohm magnétique

1.2 L’effet Aharonov-Bohm magnétique :

L’effet magnétique Aharonov-Bohm peut être décrit par un fais-

ceau d’électrons qui est divisé avant et recombiné après être passé

de part et d’autre d’un solénoı̈de infiniment long dont le champ

magnétique est orienté dans la direction z, comme dans la figure :

Figure 1.1 – Un faisceau passe des deux côtés d’un solénoı̈de.

12
Le flux à travers ce solénoı̈de est, en utilisant l’équation 6 :

B = ∇ × A. (1.15)

le théorème de Stokes est :


Z
ϕ= B · dA (1.16)
Z
= (∇ × A) · dA (1.17)
I
= A · dr (1.18)

Pour commencer, nous construisons l’hamiltonien en présence d’un

champ magnétique et pour simplifier, nous fixons le potentiel sca-

laire Φ = 0. En notant que lorsque le champ magnétique est activé,

nous constatons que p −→ p − qA par couplage minimal. Nous sa-

vons que p = −iℏ∇, donc notre hamiltonien complet avec champ

magnétique est :

(−iℏ∇ − qA)2
H =T +V = (1.19)
2m

Avec ce hamiltonien, nous pouvons examiner l’équation de Schrödin-

ger dépendante du temps.

13
1.2.1 Équation de Schrödinger dépendante du temps :

Nous nous intéressons à l’évolution temporelle d’une particule

dans un potentiel, qui est abordée dans l’article original d’Aharonov-

Bohm. Nous examinons cette évolution dans l’approximation adia-

batique, contrairement à l’approximation non adiabatique, où l’état

propre résultant est une combinaison linéaire des états propres

du nouveau Hamiltonien. Nous commençons par l’équation de

Schrödinger dépendante du temps avec l’hamiltonien général de

l’équation :

(−iℏ∇ − qA)2
H =T +V = (1.20)
2m

(−iℏ∇ − qA)2
 
∂ψ
Hψ = [T + V ]ψ = ψ = iℏ (1.21)
2m ∂t

Une idée intéressante est d’éliminer A de cette fonction par une

transformation de jauge :

ψ(r(t)) = eiSi(r)/ℏψ0 (1.22)

14
Z r
Si(r) = q Ai dr (1.23)
0

Où nous fixons l’origine de notre système de coordonnées au point

de séparation du faisceau, et ψ0 = ψ(r(0)) = ψ(0). L’indice i in-

dique les différents côtés le long duquel le solénoı̈de est passé. Pour

faciliter la résolution de l’équation de Schrödinger, nous calculons

d’abord ∇ψ, puis nous revenons sur :

qA iS(r)/ℏ
∇ψ = ∇(eiS(r)/ℏψ0) = (∇ψ0)eiS(r)/ℏ + ψ0 e (1.24)

Le deuxième terme sera annulé par -qA dans la quantité de mou-

vement, de sorte que nous nous retrouvons avec l’équation de

Schrödinger suivante :

ℏ2 2 ∂ψ
− ∇ ψ0 + V ψ0 = [T + V ]ψ0 = iℏ (1.25)
2m ∂t

On voit ici que le potentiel vectoriel est effectivement absent de

cette équation de Schrödinger par notre transformation de jauge.

Comme il existe de nombreux potentiels pour le même état phy-

sique, il est bon de l’avoir éliminé. Le seul endroit où nous trou-

15
vons A est dans l’exponentielle de la fonction d’onde. Comme nous

l’avons déjà noté, ce facteur de phase contient juste la bonne quan-

tité d’informations. On pourrait naı̈vement dire que cela montre

que la présence du potentiel n’a pas d’importance et que, par

conséquent, le point de vue classique selon lequel seuls les champs

peuvent affecter les particules est vrai. Mais nous n’avons pas en-

core examiné le cas où il y a une différence de phase. Pour reve-

nir au faisceau d’électrons divisé autour d’un solénoı̈de infiniment

long, nous avons une partie qui va ”avec” A et une partie qui va

”contre”. Il en résulte que :

 
1 1 ∆S
|ψ|2 = |ψ|2(2 + 2 cos((S1 − S2)/ℏ)) = |ψ|2 cos2 (1.26)
4 2 ℏ

Ceci est évidemment identique au resultat sans potentiel vectoriel

lorsque ∆S 2 1 ∆S

ℏ = n2π (c’est-à-dire cos 2 ℏ = 1). La seule chose qui

compte dans l’équation est la direction de A ; en regardant la figure

1.2, nous voyons que le chemin devant le solénoı̈de va ≪ avec ≫ A,

l’autre chemin ≪ contre ≫ lui. Cela provoque la différence entre S1

et S2, soit A est positif, soit il est négatif, le chemin emprunté de

16
0 à r n’a pas d’importance, tant que S1 et S2 forment une boucle

autour du solénoı̈de. Ce que nous voyons, c’est que l’interférence

dépend de, à l’aide de :

Z r
1 ∆S q qϕ
= (A1 − A2) dr = (1.27)
2 ℏ 2ℏ 0 ℏ

Notons que ce résultat est invariant de jauge : quoi que nous ajou-

tions à A, c’est la différence qui compte, et nous n’avons donc pas

besoin de choisir une jauge. Voici donc le résultat central de l’article

d’Aharonov-Bohm : les potentiels peuvent affecter les particules,

même en l’absence de champ électromagnétique.

17
L’effet Aharonov-Bohm électrostatique

1.3 L’effet Aharonov-Bohm électrostatique :

La partie magnétique de l’effet Aharonov-Bohm a été large-

ment décrite et testée. Cependant, il existe également une partie

électrique, dans laquelle A = 0 et ψ = 0. Bien que moins décrite,

une expérience sur la partie électrique de l’effet a été la première

à être proposée dans l’article d’Aharonov et Bohm de 1959.

Figure 1.2 – expérience pour tester l’effet électrique Aharonov-Bohm.

18
L’expérience proposée se déroule comme la montre la figure 1.2 .

Tout comme dans la partie magnétique, un faisceau d’électrons est

divisé et la moitié du faisceau passe par un potentiel différent de

l’autre moitié, mais cette fois, le potentiel est différent de celui de

la partie magnétique. De plus, les potentiels sont activés lorsque le

faisceau est ”bien à l’intérieur des tubes”, de manière à ce que les

champs de franges n’aient aucun effet sur les extrémités des tubes.

1.3.1 Équation de Schrödinger dépendante du temps :

Ce que nous savons, c’est que la fonction d’onde ne prend un

facteur de phase que dans l’approximation adiabatique, donc nous

prenons à nouveau :

Si (r)
ψ(t) = ψ0ei ℏ

ψ0 = ψ(0)

avec i=1,2

Ce temps Si dépend du temps, car les potentiels changent en fonc-

tion du temps. Si nous substituons ceci à l’équation de Schrödinger

dépendant du temps, nous trouvons :

19
 
∂ψ ∂ψ0 ∂Si S (r)
i iℏ
iℏ = iℏ + ψ0 e = [H0 + qϕi(t)]ψ = Hψ
∂t ∂t ∂t

Où H0 est l’hamiltonien lorsqu’il n’y a pas de potentiel scalaire

présent. À partir de cette équation, nous trouvons que :


Z t
Si = −q ϕi(t′) dt′
0

Cela ressemble beaucoup aux trajectoires magnétiques, à l’excep-

tion de l’intégrale du temps. Il s’agit en effet de la composante

temporelle du vecteur quatre Aµ . La procédure pour l’interférence

d’interférence est également la même, à savoir que le temps 0 cor-

respond à la séparation du faisceau, et que la recombinaison du

faisceau a lieu à un temps t.

20
Les application

1.4 Applications de l’effet :

Bien que l’effet Aharonov-Bohm soit un phénomène subtil et

difficile à observer directement en raison de ses caractéristiques

quantiques, il a des implications et des applications potentielles

dans plusieurs domaines de la physique et de la technologie.Voici

quelques-unes des applications de l’effet Aharonov-Bohm :

— Technologiques quantiques : Bien que l’effet Aharonov-Bohm

en tant que tel ne soit pas directement exploité dans des tech-

nologies, la compréhension avancée de la mécanique quan-

tique qu’il a contribué à développer est essentielle pour de

nombreuses technologies émergentes. Les technologies quan-

21
tiques, telles que l’informatique quantique et la communica-

tion quantique, reposent sur les principes fondamentaux de

la mécanique quantique.

— Microscopie électronique : L’effet Aharonov-Bohm a des im-

plications dans la microscopie électronique, où il peut être uti-

lisé pour manipuler les trajectoires des électrons pour améliorer

la résolution des images.

— Supraconductivité : L’effet Aharonov-Bohm a des liens avec

la supraconductivité, un phénomène quantique dans lequel

certains matériaux perdent toute résistance électrique à des

températures très basses. Les boucles supraconductrices peuvent

exhiber des effets analogues à l’effet Aharonov-Bohm, ce qui a

des implications dans la compréhension des propriétés électroniques

des supraconducteurs.

— L’observation de l’effet Aharonov-Bohm a ouvert un nouveau

champ de recherche entier dans lequel la nature quantique

d’un électron se déplaçant dans un solide peut être étudiée

dans le domaine entre les atomes et les objets macrosco-

piques. De tels systèmes ”microscopiques”, qui sont beau-

22
coup plus grands qu’un atome ou une molécule, peuvent être

manœuvrés et mesurés par des moyens macroscopiques, en

utilisant toujours les règles du jeu de la physique microsco-

pique. Ces systèmes montrent directement les effets peu com-

muns de la mécanique quantique dedans, par exemple, des

mesures électriques ordinaires. Comme on pourrait mesurer

la résistance des électrons satellisant un atome. Ces systèmes

aideront à répondre à des questions fondamentales telles que

la façon dont un système doit devoir se comporter macrosco-

piquement.

Il est important de noter bien que certaines applications sont en-

core à un stade de recherche ou de développement préliminaire.

23
Conclusion

1.5 Conclusion :

L’effet Aharonov-Bohm reste un domaine fascinant de la phy-

sique quantique, ouvrant la voie à des nouvelles perspectives sur

la compréhension fondamentale de la nature et des applications

technologiques potentielles.

24
Les références

1.6 Les références :

— Bachelor Thes is The Aharonov-Bohm-Effec.

— Théorie des invariants d’un oscillateur harmonique à deux

dimensions (2D) à masse et fréquence variables en présence

de l’effet Aharonov-Bohm (AB).

— Théorie des Invariants d’une Particule Chargée dans un Po-

tentiel Aharonov-Bohm.

— Lecture Notes in Physics Murray Peshkin (auth.), M. Pe-

shkin, A. Tonomura (eds.) - The Aharonov-Bohm Effect-

Springer Berlin Heidelberg (1989).

25
— Aharonov–Bohm effect with an effective complex-valued vec-

tor potential.

— Aharonov-Bohm Effects as Geometric Phases.C

26

Vous aimerez peut-être aussi