Vous êtes sur la page 1sur 23

Thème N°1 : Prise de Parole en public

La prise de parole en public est une compétence essentielle dans de nombreux domaines de la
vie. Cette présentation vous donnera les outils pour améliorer votre efficacité et votre
confiance en public.

La préparation

Avant de prononcer un discours, il est essentiel de bien se préparer. Voici les étapes clés de la
préparation d'un discours :

L'importance de la communication non-verbale lors d'une prise de parole en public

La communication non-verbale joue un rôle essentiel lors d'une prise de parole en public. Les
gestes, l'expression faciale, la posture et le contact visuel sont tous des éléments importants de
la communication non-verbale. Ils peuvent renforcer le message que vous transmettez et aider
à établir une connexion avec votre public.

Conseils pour gérer le stress lors d'une prise de parole en public

 Préparez-vous en avance: Répétez votre discours et familiarisez-vous avec le contenu


pour vous sentir plus confiant.
 Respirez profondément: Prenez de grandes respirations pour vous détendre et calmer
vos nerfs avant de commencer à parler.
 Visualisez le succès: Imaginez-vous donner un discours réussi et recevoir des
applaudissements pour renforcer votre confiance.
 Utilisez des techniques de relaxation: Essayez des techniques de relaxation comme la
méditation ou le yoga pour réduire le stress et l'anxiété.
 Faites des pauses: Si vous vous sentez dépassé par le stress, prenez des pauses
régulières pour vous détendre et vous recentrer.
La structure du discours
Introduction

La première partie du discours est l'introduction. Elle doit capter l'attention de l'audience et
présenter le sujet du discours de manière claire et concise. L'introduction doit également
inclure une phrase d'ouverture percutante pour attirer l'attention de l'audience.

Corps du discours

Le corps du discours est la partie principale du discours où vous développez vos idées et
arguments. Il est important de structurer le corps du discours de manière logique et cohérente.
Vous pouvez organiser le corps du discours en fonction de différents points clés ou thèmes
que vous souhaitez aborder.

Conclusion

La conclusion est la dernière partie du discours. Elle doit résumer les points clés et les
arguments du discours, et laisser une impression durable sur l'audience. La conclusion doit
également inclure une phrase de clôture forte pour laisser une impression durable sur
l'audience.

Importance de la prise de parole en public :

 Communication efficace 🗣️

La capacité à exprimer ses idées avec clarté et conviction est vitale pour réussir dans de
nombreux domaines, qu'il s'agisse de professionnels ou personnels.

 Opportunités professionnelles 🎓

Les personnes capables de bien parler en public sont souvent remarquées et se voient offrir
des opportunités professionnelles intéressantes.

 Impact sur les autres 🤝

Lorsque vous parlez en public, vous pouvez influencer, inspirer et motiver les autres, en
particulier dans les situations où l'enjeu est important.

Les clés d'une prise de parole efficace :


Maîtrise du sujet

Il est essentiel de bien connaître son sujet pour pouvoir parler de manière claire et
convaincante.

Structuration du discours

Un discours bien structuré permet de garder l'attention de l'auditoire, facilite la


compréhension et renforce la crédibilité du speaker.

Utilisation de supports visuels

Les supports visuels tels que les images, vidéos, tableaux, ou graphiques peuvent aider à
maintenir l'attention de l'auditoire, clarifier des concepts, et ajouter de l'intérêt à la
présentation.

Gestion du trac et du stress

Le trac et le stress font partie de la prise de parole en public. Apprendre à les gérer peut aider
à crafter une présentation mémorable.

Conseils pratiques pour s'améliorer :

Répétition et entraînement

La pratique régulière est le secret de la réussite en prise de parole en public.

Exercices de respiration et de relaxation

Des exercices simples de respiration et de relaxation peuvent aider à réduire le stress et la


tension.

Feedback constructif

Demander des avis constructifs à des collègues ou amis peut aider à identifier des faiblesses et
des opportunités d'amélioration.

Conclusion :
Pratique régulière

La prise de parole en public est une compétence qui s'améliore avec la pratique régulière.

Confiance en soi

Plus vous serez à l'aise et confiant en public, plus vous serez persuasif et convaincant.

Persévérance 🚀

Persévérez et vous verrez des résultats positifs à mesure que vous gagnerez en expérience et
en compétences.

Fiche Output : Pistes d’amélioration de ma prise de parole en public


Dans le tableau suivant, notez les 4 éléments les plus importants que vous
souhaitez travailler pour améliorer votre parole en public, et dites comment vous
comptez faire pour y arriver.

Points de vigilance relevés Aspect de prise de Parole en Comment allez-vous faire


Public à développer pour améliorer cet aspect
(+ comment vous savez que
vous avez ce point de
vigilance)
Ex : Le trac (car j’ai le cœur La confiance en soi (gestion
qui bat, je transpire, je ne du stress et des émotions)
trouve plus mes mots...)

Thème N°2 : La gestion du stress et des émotions


Stress et émotions sont des réponses naturelles du corps face aux défis de la vie. Découvrez
comment les comprendre et les gérer efficacement.

Origines du Stress et des Émotions


1 : Facteurs environnementaux
Le stress peut être déclenché par des situations de travail, des événements de la vie et des
stimulations extérieures.
2 : Facteurs internes
Nos propres pensées, croyances et attitudes peuvent influencer nos émotions et notre niveau
de stress.
3 : Influences sociales Les normes sociales, les attentes et les interactions avec les autres
jouent un rôle dans notre stress et nos émotions

Effets du Stress sur le Corps et l'Esprit


Physiques :
Le stress prolongé peut entraîner des problèmes de sommeil, des douleurs musculaires, des
maux de tête et une diminution de l'immunité.
Émotionnels :
Le stress peut provoquer de l'anxiété, de la dépression, de l'irritabilité et une difficulté à se
concentrer.
Cognitifs :
Le stress peut affecter notre capacité à prendre des décisions, à résoudre des problèmes et à
penser de manière claire et logique.
LE STRESS : UN MAL NÉCESSAIRE ?
Le stress est un ensemble de réponses produites par l’organisme lorsqu’il rencontre une
situation qui lui demande un effort d’adaptation.
On différencie parfois deux formes de stress : le bon et le mauvais.
 Du côté du « bon stress », on place la motivation, le désir de réussir ainsi que les réactions
positives qui surviennent lors de la rencontre d’une situation stimulante : surprise, intérêt, plus
grande créativité, dépassement de soi et persévérance (pour ne nommer que celles-ci).
 Du côté du « mauvais stress », il y a l’angoisse, la peur d’échouer et cette panoplie de
réactions qui viennent rendre des situations difficiles encore plus difficiles : maux de tête ou
d’estomac, pensées sombres, irritabilité, difficulté à se concentrer, etc.
Est-ce dire que le stress est un mal nécessaire ? En fait, il n’en revient qu’à nous de choisir
comment on réagit aux événements !
Le stress est donc une réaction normale. Il est présent lorsque l’on mobilise des ressources
afin de mieux performer. Toutefois, on l’associe avant tout à ces moments où l’on se sent
dépasser par les événements et que notre capacité d’adaptation est mise à l’épreuve.

Mais c’est également une réaction subjective.


On remarque que lorsqu’il est question de leur formation universitaire, certains étudiants et
étudiantes se disent avant tout passionnés par l’opportunité de relever de nouveaux défis. Pour
d’autres, cette idée est inévitablement accompagnée de questions angoissantes
:
« Comment vais-je y arriver ? »,
« Où trouverais-je le temps ? ».
Si vous faites partie de la seconde catégorie, ce guide est pour vous !

Les signaux : mes réactions au stress


Chacun d’entre nous réagit différemment lorsque confronté à une situation nouvelle ou
demandant. On peut classer les signes de stress en quatre grandes catégories : les réactions
physiologiques, cognitives, émotionnelles et comportementales. Pour chacune de ces formes
de stress

Les sources : mes agents stressants


Ne nous le cachons pas, les sources de stress peuvent être nombreuses dans le quotidien d’un
étudiant ou d’une étudiante.
Tentez de porter attention aux moments où apparaissent les premiers signes de vos réactions
de stress.
 Qu’êtes-vous en train de faire ?
 de penser ?
 Avec qui interagissez-vous ?

Quelques conseils pour combattre le stress


Vous voulez vous faire plaisir ? Améliorer votre état de santé et vos performances scolaires ?
Passer du temps de qualité avec vos proches ? Rangez tout de suite votre carte de crédit, les
avantages d’une gestion efficace du stress ne s’achètent pas !
Les réactions de stress sont des réflexes et des comportements conditionnés. C’est pourquoi
elles nous semblent difficiles à éviter et prennent du temps à modifier. Heureusement, il est
possible de combattre le stress à trois niveaux différents afin d’augmenter les chances de
modifier ces habitudes.
Finalement, certaines personnes auront besoin de développer leurs capacités à organiser
efficacement le temps et à gérer un budget si elles veulent diminuer leur niveau de stress à
long terme.

Gérer son stress en situation d’examen


Bien peu d’étudiants voient arriver les sessions d’examen sans ressentir un quelconque
sentiment d’anticipation et ceux qui le prétendent sont bien difficiles à croire ! Les examens
sont des agents stressants que l’on ne peut éliminer. On peut toutefois éviter de rendre une
situation difficile encore plus difficile.
En terminant…
Modifier ses réactions au stress et adopter des habitudes de vie qui amélioreront votre qualité
de vie est une entreprise de longue haleine. Permettez-vous de faire ces changements
lentement, en commençant par les éléments les plus faciles à améliorer afin d’éviter de vous
décourager. Après tout, il ne sert à rien de se stresser au sujet de la détente !

« N’oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu’à
celles-là nous obéissons sans le savoir. »Vincent Van Gogh

Il n’existe pas de définition générale admise par la communauté scientifique. Les scientifiques
s’accordent sur le fait qu’une émotion est liée à un sentiment vif, de grande intensité, en
réaction à un événement interne ou externe. (Émotion : ex movere, mettre à l’extérieur de soi)
• L’émotion se distingue des sentiments : l’émotion est visible de l’extérieur alors que les
sentiments sont des réactions internes et plus intimes.

État affectif qui...


•survient à un moment défini dans le temps en réaction à une situation ou à un objet précis
•implique une activation physiologique
•comporte des sensations appétitives ou aversives

Les émotions arrivent dans notre cerveau par nos 5 sens et sont traitées au niveau des
cerveaux archaïques : reptilien et limbique et plus particulièrement au niveau de l’amygdale.
Celle-ci renvoie l’information à l’hypothalamus qui gère le système nerveux autonome
(battements du coeur, respiration ...) Ceci permet au corps de réagir très rapidement à un
besoin urgent. Notons aussi que l’amygdale est toute proche de l’hippocampe, lieu de la
mémoire.
LES ÉMOTIONS FONDAMENTALES ET LEUR CLASSIFICATION
 Un modèle très détaillé, celui de Plutchik (1980), caractérisé par...
 Des émotions fondamentales, à savoir 8 émotions primaires
 Des émotions secondaires provenant de la combinaison des émotions primaires
 Des variantes dues à des variations d’intensité émotionnelle
Définition : Le stress est un ensemble de réponses produites par l’organisme
lorsqu’il rencontre une situation qui lui demande un effort d’adaptation.
Fiche output : Identifier mes réactions émotionnelles :
« NOS PEURS SONT LES NIDS DE NOS DESIRS »
Thème N°3 : Le leadership

LE CONSTAT
Peur de ne pas être un leader né ? De manquer de charisme, de talent ou d’un
autre ingrédient magique ?
Rassurez-vous : le leadership ne dépend pas de facteurs comme la personnalité
ou le talent. En réalité, les meilleurs dirigeants ont des personnalités, des
attitudes, des valeurs et des forces très différentes – ils sont extravertis ou
solitaires, décontractes ou autoritaires, généreux ou parcimonieux, axés sur les
chiffres ou sur les idées.

LE DÉNOMINATEUR COMMUN DES LEADERS VERITABLES :


S’attaquer aux bons sujets, de la bonne manière, en suivant huit règles :
1- Se demander ce qui doit être fait.
2- Se demander ce qui est bon pour l’entreprise.
3- Elaborer des plans d’action.
4- Assumer la responsabilité des décisions.
5- Assumer la responsabilité de la communication.
6- Se concentrer sur les opportunités, pas sur les problèmes.
7- Conduire des réunions productives.
8- Penser et dire ≪ nous ≫, et non ≪ je ≫.
LA HIERARCHIE DES LEADERS :
NIVEAU 5
Dirigeant : Bâtit une excellence durable grâce à une combinaison paradoxale
d’humilité et de détermination.
NIVEAU 4
Leader efficace : S’investit dans une vision claire et convaincante qu’il poursuit
avec acharnement. Stimule ses équipes pour atteindre un niveau d’exigence
élève.
NIVEAU 3
Manager compétent : Organise ses équipes et ses ressources afin de poursuivre
efficacement des objectifs prédéfinis.
NIVEAU 2
Collaborateur actif : Contribue à la réalisation des objectifs de l’équipe, travaille
efficacement en groupe.
NIVEAU 1
Individu très compétent : Participe de façon productive grâce à son talent, son
savoir, ses compétences et ses bonnes habitudes de travail.
HUMILITÉ + DÉTERMINATION = NIVEAU 5
Comment les leaders de niveau 5 manifestent-ils leur humilité ?
En attribuant systématiquement le succès de leur entreprise aux autres, aux facteurs extérieurs
et à la chance et en se désignant comme responsables en cas de faibles performances. Ils
agissent avec calme et détermination et motivent leurs équipes non par un charisme inspirant,
mais par des attentes inspirantes.
Ces attentes élevées sont la preuve de leur volonté inébranlable.
Ils ne supportent pas la médiocrité et se montrent fermes dans leur décision de mettre tout en
œuvre pour atteindre l’excellence, même s’il faut pour cela sacrifier le reste. Ils sélectionnent
de brillants successeurs pour que leur entreprise remporte toujours plus de succès à l’ avenir.
PEUT-ON APPRENDRE LE LEADERSHIP DE NIVEAU 5 ?
Les leaders de niveau 5 sont au sommet d’une hiérarchie de quatre autres niveaux, plus
communs, et possèdent les compétences de ces quatre niveaux. Par exemple, les leaders de
niveau 4 ont une vision claire et convaincante a laquelle ils sont dévoués et qu’ils poursuivent
avec force. Peut-on passer du niveau 4 au niveau 5 ? Oui, a la condition d’avoir le « germe »
du niveau 5 en soi. Les leaders qui ne l’ont pas tendent à avoir des egos monumentaux qu’ils
ne peuvent assujettir à une chose plus grande et moins fugace qu’eux-mêmes, a savoir leur
entreprise. Mais les dirigeants qui ont ce germe en eux peuvent, sous certaines conditions – en
pratiquant l’introspection ou en vivant un événement profondément marquant telle qu’une
maladie mortelle – l’amener à se développer.
ATTEINDRE LE NIVEAU 5
Faites germer le niveau 5 en mettant en œuvre les pratiques appliquées par les leaders de
niveau 5 pour passer d’une
« bonne » à une « excellente » performance :
1. CHOISIR D’ABORD LES PERSONNES
On s’attendrait à ce que les leaders de niveau 5 aient avant tout en tête une vision et une
stratégie. Au lieu de cela, ils se préoccupent d’abord des gens et ensuite de la stratégie. Ils
font monter à bord les bonnes personnes, débarquent les mauvaises, placent les gens aux bons
endroits puis, seulement, fixent le cap.
2. FAIRE SIEN LE PARADOXE DE STOCKDALE
Ce paradoxe tire son nom de l’amiral James Stockdale, décore de la plus haute distinction
militaire américaine (Medal of
Honor). Il a survécu 7 ans dans un camp Viêt-Cong en s’accrochant à deux croyances
contradictoires : sa vie ne pouvait être pire qu’a ce moment... et sa vie serait un jour meilleur
que jamais. Comme l’amiral Stockdale, les dirigeants de niveau 5 affrontent la réalité dans
toute sa cruauté, tout en gardant une foi inébranlable dans le fait qu’ils finiront par triompher.
Ils s’accrochent à ces deux disciplines – la foi et les faits – en même temps, tout le temps.
3. CRÉER UN VOLANT D’INERTIE
On n’atteint pas l’excellence du jour au lendemain, ni d’un simple bond.
Le processus s’apparente plutôt à un effort continu pour pousser une énorme et lourde roue
dans une direction donnée.
Les premières poussées permettent à la roue de faire un tour. Si on maintient l’effort, elle en
fait deux, puis cinq, puis dix, et enfin atteint son moment d’inertie et prend franchement de la
vitesse.
4. APPLIQUER LE CONCEPT DU HÉRISSON
Dans un essai célèbre, le philosophe Isaiah Berlin décrit deux approches de la pensée et de la
vie à l’aide d’une parabole simple : le renard en sait un peu sur tout, le hérisson ne connait
qu’une chose, mais très bien.
Le renard est compliqué, le hérisson simple. Et le hérisson gagne. Notre recherche montre que
pour décoller, il faut avoir une lecture simple, à l’instar de celle du hérisson, de la zone
d’intersection de trois cercles : ce que l’entreprise fait de mieux, ce qu’elle fait de plus
rentable, et ce qui nourrit la passion de ses collaborateurs.
On avance a partir du moment où on comprend le concept du hérisson et ou on l’applique de
façon systématique et constante, en éliminant tout ce qui ne rentre pas dans ces trois cercles.
5. CHOISIR DES ACCÉLÉRATEURS TECHNOLOGIQUES
Les entreprises qui ont atteint l’excellence ont une relation paradoxale avec la technologie.
D’un cote, elles évitent de se jeter avec frénésie sur les nouveautés. De l’autre, elles sont
pionnières dans l’emploi de technologies rigoureusement sélectionnées et investissent de
manière audacieuse et visionnaire dans celles directement en lien avec leur concept du
hérisson. Tels des turbocompresseurs, ces accélérateurs technologiques créent une explosion
qui accélère la vitesse de la roue.
6. PRATIQUER UNE CULTURE DE LA DISCIPLINE
Quand on observe les entreprises qui atteignent l’excellence, on s’aperçoit qu’elles déploient
systématiquement trois formes de discipline : celle des équipes, celle de la réflexion et celle
de l’action.
Avec des équipes disciplinées, plus besoin de hiérarchie.
Avec une réflexion disciplinée, plus besoin de bureaucratie.
Avec une action disciplinée, plus besoin de contrôles excessifs.
En combinant culture de la discipline et éthique entrepreneuriale, vous obtenez l’alchimie
magique de l’excellence.
2. Corrigé
1 Autocratique2 Démocratique3 Collégial4 Laisser-faire5 Paternaliste6 Collégial7 Autoritaire8
Laisser-faire9
Paternaliste10 Autocratique
Thème N°4 : La gestion du temps et des priorités

« Choisissez un travail que vous aimezet vous n’aurez pas à travailler un seul
jour de votre vie. »Confucius

La gestion du temps est définie comme étant la méthode ou la stratégie


employée qui utilise des outils et des techniques pour planifier et utiliser le
temps de la manière la plus efficace possible, de façon à générer de la création
de valeur maximale pour chaque seconde passée. Elle fait partie du
développement personnel car elle participe d'une bonne organisation de sa vie,
ce qui favorise la fixation de buts et leur réalisation.

Les voleurs de temps


Pour gagner du temps et l'optimiser, une des premières démarches est
d'identifier les moments où vous en perdez. L'analyse d'un journal d'activité
soigneusement rempli pendant une semaine peut se révéler riche
d'enseignement. Elle permettra de mettre à jour vos voleurs de temps, c'est à dire
les tâches ou les personnes qui vous consomment anormalement du temps.

Le profil J'AIME
Le profil J’AIME est un outil simple et visuel qui permet de développer la
connaissance de soi et la compréhension des autres. Il modélise les sphères par
lesquelles vous êtes naturellement attiré (zones de confort) et, à l’opposé, celles
que vous avez tendance à éviter (zones d’effort). Il peut vous aider à développer
votre connaissance de votre personnalité qui influence vos attitudes en termes de
management, motivation, apprentissage, délégation et votre façon de
La gestion des priorités
Le temps est limité et le nombre de choses à faire est exponentiel. Il faut donc
faire des choix et prioriser. En mettant la priorité sur l’importance plutôt que
l’urgence, nous pouvons obtenir le sentiment de travailler sur les bonnes choses
à court, moyen et long terme. La matrice d’Eisenhowers’avère un précieux outil
de classification méthodique des priorités et d’appréciation des urgences. On
considère que les tâches peuvent être :
1. Importantes / Urgentes : à exécuter soi-même et en priorité.
2. Importantes / Non urgentes : à exécuter soi-même ou à déléguer rapidement.
3. Non-Importantes / Urgentes : à planifier ou à déléguer.
4. Non Important / Non Urgent : à repousser à plus tard, à abandonner.

Vous aimerez peut-être aussi