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Quizz du 14 novembre

 Théorie de la fosse (Eeast side story) de Yves Coppens : nature restée telle qu’elle était, pas de
boom de l’évolu°, mais de l’autre côté, condi° ont empiré > clivage entre espèces qui pouvaient
résister et autres qui n’ont pu s’adapter ; parmi hominidés, se sont distingués quelques individus qui
ont pu se dresser sur leurs pattes de derrière > série d’avantages pr pouvoir survivre et dominer les
autres ; fait que les humains parlent, comment se fait-il que ce phéno unique se présente de tant de
manières diffs ;

pidgin : langue apprise, pseudo-langue utilisée pr besoins des circonstances, tandis que

le créole est une langue maternelle ; en tant que langue mat, passée par filtre de l’intelligence lingui,
et les enfants ont développé cette langue

langage des animaux : langage des humains serait incomparable avec celui des animaux, alors que
d’autres estiment que langage humain est un langage plus raffiné, rupture de continuité ;

intelligence lingui ? spécifité du langage se pose par-r à notre intelligence, ou bien intelligence
générale qui se spécialise pr apprentissage des langues ; zones du cerveau spécialisées, mais pas
spécialement pr langage

hémisphère gauche, droit, aire de Broca et Wernicke : aires de production et de compréhens°


langage ;

4 systèmes cérébraux : lingui, métalingui, pragmatique, motivationnelle ;

apprentissage LM et LE : LM innée, LE apprises comme autres matières scolaires ; LE apprise


tardivement : apprentissage ds autre zone que celle de LM

4 skills : vient des USA, skills fonda, savoir écouter, lire, parler, écrire (phases de compréhens° et
prod, orale et écrite) ; on en a ajouté un 5e : savoir interagir, le CECRL est grille d’éval des LE pr
l’Europe ; pas suffisant de savoir ces skills >

Quizz du 21 novembre

 Acquisition, apprentissage, enseignement : acquisi° = finalité de l’apprentissage, appropria°,


apprentissage = conscient ou inconscient, volontaire ou non, on acquiert connaissances,
compétences, comportements, et est éminemment personnel ; on peut créer condi° de
l’apprentissage mais on ne peut le faire à votre place ; enseignement = un des modes
d’apprentissage ; peut-ê, un jour, implanta° de puce qui permet apprentissage (Olivier Alexandre)

Codeswitching : passer d’une langue à l’autre en fct des circonstances, ce n’est pas un pidgin, gens
compétents ds les 2 langues ; plus particu chez enfants, qui ne sont pas conscients que parlent 2
langues venant des parents.

processability, teachibility, interlangue : théorie de Pienemann ; processability : progrès lingui selon


un ordre spéci ; particu des interlangues : microsystèmes, chaque interlangue est une langue ;
théorie de la récapitula° en lien ; teachability : ce qu’on peut enseigner à ce stade

fossilisa°, plafonnement : erreurs qui n’ont pas été corrigées à temps et qui font partie du système
lingui des apprenants

; trois + un savoirs : savoirs, savoir-faire, savoirêtre, savoir apprendre ;


grammaire implicite : usages qui se formalisent grâce à l’imita° et le raisonnement, parfois
généralisa° abusives ; grammaire explicite : grâce à enseignement, on mémorise des règles ;

polyglotte virtuel et apprentissage par l’oubli : tt enfant nait et est capable d’apprendre n’importe
quelle langue du monde, un enfant adopté va apprendre langue de ses nouveaux parents ;
apprentissage par oubli : encouragé implicitement par parents à oublier capacités lingui qui ne sont
pas directement utiles ds son environnement lingui

3 prototypes de bilinguisme : composé, coordonné, subordonné

; généralisa° abusives : gram implicite se met à l’œuvre, mais on va trop loin ds logique, ex : vous
disez*

language awareness : programme qui visait à exposer enfants d’école maternelle à une multitude de
langues étrangères pr couper cordon ombilical avec langue mat ; enfants ne voient pas que langue
est arbitraire ; fait d’ê exposé à langue étrangère, qd on ne vient pas de famille bilingue, coupe
cordon ombilical entre mot et chose ; plus tôt on coupe ce cordon, plus tôt on prépare enfants
d’apprendre langue étrangère, sont ds une perspective multilingue ; pas d’apprentissage, recul sur
leur langue et culture, ne dure pas longtemps, pas apprentissage de langue

: input et intake ; input : tt ce à quoi je soumets l’apprenant, multitude d’infos ; intake : ce que
perçoit comme pertinent et qui risque de favoriser l’apprentissage ; intake : input préparé, justifié,
rendu pertinent par prof pr ê intégré ds système d’apprentissage de l’étudiant , ; ex d’intake :
apprentissage de passé composé et imparfait > formes de pp soulignées en vert et imp en bleu ;
intake est le plus important ; élément déclencheur de ce processus : les besoins communicatifs

L'acquisitionnisme est une approche de l'apprentissage des langues qui met l'accent sur la
compréhension des processus mentaux et des mécanismes cognitifs qui sous-tendent l'apprentissage
d'une langue étrangère

. Cette approche se concentre sur la manière dont les élèves construisent leur compréhension de la
langue et de la culture étrangères, en se basant sur leurs expériences et leurs interactions avec
l'environnement

fin/achèvement sur plan de cohésion (dernière page), fin complétude sur le plan de cohérence (on a
tt dit) ; les 2 ne correspondent pas tjrs ; le mieux est d’avoir atteint objectif, pertinence = fin
accomplissement (on a réussi exam, on a été intéressé) ; nous, qui sommes lecteurs experts, nous
passons de l’un à l’autre sans souci, nous faisons les 3 choses à la fois (cohés°, cohérence, pertinence)

mémoire à court terme et mémoire à long terme (mémoire de travail) ; axe de cohérence permet de
passer à autre stade d’abstrac° et de capitaliser ds mémoire à long terme

les langues ne permettent pas de voir le monde de même manière ; comme lunettes : nous
permettent de voir, mais d’une certaine manière ; même ds sa propre langue, le système de vis°
change ; même monde, mais pas vu de même manière (50 états de neige chez les Eskimos, couleurs
connues par le peintre)

analpha : personnes qui n’ont jamais acquis de compétences en littératie ; illettrisme = personnes qui
ont acquis de telles compétences mais qui les ont perdues ou oubliées au fil du temps

sur base génétique : apparentement des populations (groupes sanguins, ADN) : souches linguistiques
congo-saharienne, eurasiatique (dont l’indo-européen), nostratique, austrique - sur base
étymologique : apparentement et filiation des langues indo-européennes sur base lexicale (les «
racines ») et morphologique  reconstitution d’un protoindo-européen

Le français dérive du latin. En effet, selon, environ 90% des mots que nous utilisons tous les jours
sont des déformations de mots latins. Le latin est une langue synthétique qui compte 6 cas, 3 genres
et 6 temps pour les verbes. Le français a évolué à partir du latin en supprimant des lettres et en
changeant certaines terminaisons,

Les langues d'oc, d'oïl et de si sont des termes des utilisations pour désigner les différentes langues
romanes parlées en Europe. La langue d'oïl était parlée dans le nord de la France, tandis que la
langue d'oc était parlée dans le sud de la France. Le terme "oc" vient du latin "hoc" qui signifie "ceci",
tandis que le terme "oïl" vient du gallo-romain "o-il" qui signifie "celui-ci". Le poète italien Dante a
popularisé cette distinction au XIVe siècle dans son essai "De vulgari eloquentia". Le terme "langue
de si" désignait principalement l'italien, encore à ses débuts littéraires à l'époque de Dante.
Aujourd'hui, ces termes sont principalement utilisés pour des raisons historiques et linguistiques.

a) langues naturelles issues de filiations ancestrales, progressives, spontanées à

partir des souches linguistiques

b) langues hybrides provoquées par rapprochement soudain et intense de groupes

de populations (souvent dominant vs dominé) à l’occasion de circonstances

historiques particulières : les sabirs, les pidgins, les créoles

NB : intérêt du créole, qui permet d’assister à la « naissance » d’une langue au

moment où le pidgin devient langue maternelle des locuteurs, et retrouve alors la

complexité et la finesse d’une langue « naturelle » (en faveur de la thèse

innéiste ?)

c) langues artificielles créées personnellement et volontairement par un homme

pour des raisons scientifiques (la langue parfaite ?) ou politiques : l’espéranto

(Zamenhof : 1887), le volapük (Schleyer : 1879), le novlangue (George Orwell in

1984)

langues naturelles issues de filiations ancestrales, progressives, spontanées à partir des souches
linguistiques b) langues hybrides provoquées par rapprochement soudain et intense de groupes de
populations (souvent dominant vs dominé) à l’occasion de circonstances historiques particulières :
les sabirs, les pidgins, les créoles NB : intérêt du créole, qui permet d’assister à la « naissance » d’une
langue au moment où le pidgin devient langue maternelle des locuteurs, et retrouve alors la
complexité et la finesse d’une langue « naturelle » (en faveur de la thèse innéiste ?) c) langues
artificielles créées personnellement et volontairement par un homme pour des raisons scientifiques
(la langue parfaite ?) ou politiques : l’espéranto (Zamenhof : 1887), le volapük (Schleyer : 1879), le
novlangue (George Orwell in 1984)

Thèse de Sapir et Whorf : la langue organise l’univers de chaque société (le

« génie » de telle ou telle langue : allemand synthétique, français analytique), ne


se contente pas d’exprimer les idées, mais les façonne (conception du temps,

rapports sociaux), conditionne notre analyse du monde (ex : la distinction des

couleurs)

Cf. Hagège : « Les langues diffèrent non par ce qu’elles peuvent ou non

exprimer, mais ce qu’elles obligent ou non à dire » (L’Homme de paroles, p. 62)

- Analyse du discours (2) : le discours fixe des statuts aux différents interlocuteurs,

légitimise les circonstances d’où il est issu, pour se justifier.

- Pragmatique : théorie des actes de langage, des performatifs (« Quand dire c’est

faire »), de l’interaction contraignante vis-à-vis de l’interlocuteur (cf. première liste

d’achat de Searl)

- Pensée (dé)constructiviste : c’est la langue, les discours que l’on tient sur le

monde qui élaborent les réalités sociales (le réel n’a pas d’existence en soi,

d’autonomie)

dichotomies saussuriennes : parole/langage (distinc° platonicienne, ce que H voient et pratiquent


n’est pas la réalité, parole n’est qu’une pâle image de langue parfaite), signifiant/signifié,
paradigme/syntagme, diachronie/synchronie

variations sociales : pour un groupe, en fonction de la classe sociale, de l’âge, du

sexe…

variations sociales : pour un groupe, en fonction de la classe sociale, de l’âge, du

sexe…

= « sociolectes »

. variations situationnelles : pour une même personne, en fonction du contexte de

la communication : conversation familière, entretien formel,…

= « registres »

. variations fonctionnelles : pour une même personne, en fonction de l’activité

socioculturelle (philatélie, sport, …), professionnelle (justice, médecine…), du

support (courrier, e-mail, SMS…)…

= « genres de discours, jargons »

 variations personnelles : à l’initiative du locuteur, en fonction des alternatives que

lui laisse la langue (stylistique)

= « idiolectes »

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