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Table des matières

I Orthopédie 5ÈME 3
1 Théorie 5
1.1 Fracture de la diaphyse humérale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.2 Fracture de la rotule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.3 Fracture de l’extrémité superieur de l’humérus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1.4 Fracture de l’extrémité supérieur du fémur (fesf) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1.5 Fracture du cotyle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
1.6 Fractures de l’extrémité distale de l’humérus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
1.7 Infection ostéo-articulaire de l’enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
1.8 Lch . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
1.9 Tbc . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
1.10 Traumatisme de l’épaule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
1.11 Traumatisme ligamentaire du genou . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
1.12 Traumatisme osseux du genou . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
1.13 Traumatisme ouvert de la jambe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
1.14 Traumatisme vertébro-médullaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
1.15 Tumeurs osseuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29

2 Clinique 33
Cas Clinique 1 | Traumatisme vertébro-médullaire [2020 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
Cas Clinique 2 | Traumatisme vertébro-médullaire [2019 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
Cas Clinique 3 | Traumatisme vertébro-médullaire [2017 R 3] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34

II Rhumatologie 5ÈME 35
1 Théorie 37
1.1 Lombosciatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37
1.2 Polyarthrite rhumatoïde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41

2 Clinique 51
Cas Clinique 1 | Lombosciatique [2022 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
Cas Clinique 2 | Polyarthrite rhumatoïde [2021 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
Cas Clinique 3 | Polyarthrite rhumatoïde [2021 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
Cas Clinique 4 | Lombosciatique [2020 R 3, 2020 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
Cas Clinique 5 | Polyarthrite rhumatoïde [2020 R 3, 2020 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
Cas Clinique 6 | Lombosciatique [2020 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54
Cas Clinique 7 | Lombosciatique [2019 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
Cas Clinique 8 | Polyarthrite rhumatoïde [2018 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
Cas Clinique 9 | Polyarthrite rhumatoïde [2018 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56
Cas Clinique 10 | Lombosciatique [2018 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57
Cas Clinique 11 | Lombosciatique [2018 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58
Cas Clinique 12 | Lombosciatique [2017 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58
Cas Clinique 13 | Polyarthrite rhumatoïde [2017 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59

1
TABLE DES MATIÈRES TABLE DES MATIÈRES

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Première partie

Orthopédie 5ÈME

3
CHAPITRE 1

Théorie

1.1
□ E. Une sidération du nerf radiale lors d’un trauma-
Fracture de la diaphyse humérale tisme fermé impose une exploration chirurgicale sys-
tématique

2022 2021
1. Dans une fracture de la diaphyse humérale,avec at- 5. Le platre pendant dans le traitement des fractures
teinte neurologique,l’examen clinique retrouve [R 1] de la diaphyse humérale [R 2]
□ Une attitude de dessault
A. □ A. Il maintient la réduction par le simple poids du
□ Une hyperesthésie de la 1ère commissure
B.
platre
□ Un déficit de la flexion du poignet et des doigts
C.
□ B. Permet une réduction progressive
□ Une hypoesthésie de la 1ère commissure associé à
D.
une main tombante
□ E. Une hypoesthésie du moignon de l’épaule 2020
2. La classification de sunderland [R 1]
6. Dans le traitement de la fracture de la diaphyse hu-
□ A. Utilisée pour classer les fractures de la diaphyse
mérale, le plâtre pendant [R 3]
humérale en 05 degrés
□ B. Utilisée pour classer les atteintes nerveuses en 04 □ A. Doit contenir les articulations sous et sus jacentes
degrés □ B. Est l’équivalent d’un plâtre thoraco brachial
□ C. A un intérêt pronostique pour les atteintes neuro- □ C. Il maintient la réduction par le simple poids du
logiques plâtre
□ D. Une atteinte de 1ier degré signifie une simple sidé- □ D. Permet une réduction progressive
□ E. Il agit en position debout ou assise, par la pesan-
ration du nerf
□ E. Une atteinte de 4ème degré est de bon pronostic teur
7. L’exploration radiographique d’un segment diaphy-
3. L’examen clinique d’une fracture de la diaphyse hu-
saire fracturé [RATT]
mérale avec atteinte neurologique retrouve [R 2]
□ A. Comprend au minimum, une incidence de la face
□ A. Une attitude de dessault ou le membre malade sup-
porte le membre sain et une incidence de profil
□ B. Doit obtenir les articulations sous et sus jacentes
□ B. Une hyperesthésie de 1ère commissure
□ C. Un déficit de l’extension du poignet et des doigts 8. Quelles sont les complications précoces (48h) au ni-
□ D. Une hypoesthésie de la 1ère commissure associe veau d’un plâtre circulaire pour fracture diaphysaire fer-
associé à une main tombante mée ? [RATT]
□ E. Des signes d’une atteinte du nerf axillaire
□ A. Syndromes des loges
4. Dans la prise en charge d’une fracture diaphysaire □ B. Phlébite
de l’humérus [R 2] □ C. Embolie graisseuse
□ D. Déplacement secondaire
□ A. L’atteinte neurologique ne contre-indique pas un
traitement orthopédique. 9. L’abord chirurgical large dans la fracture de l’humé-
□ B. Le fixateur externe est indiqué en cas de trauma- rus [R 2]
tisme ouvert ou balistique □ A. Risque de dévitaliser les fragments osseux
□ C. Le traitement de choix dans les fractures basses □ B. Risque de traumatiser l’artère humérale
reste l’enclouage centromédullaire □ C. Risque de traumatiser le nerf radial
□ D. La fixation par une plaque vissée est contre- □ D. Expose au risque de cal vicieux
indiquée □ E. Expose au risque de pseudarthrose

1 → AD 2 → CD 3 → CD 4 → AB 5 → AB 6 → CDE 7 → AB 8 → ABCD 9 → ACE 10 → ABC

5
CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. FRACTURE DE LA ROTULE

10. L’abord chirurgical large dans la fracture de l’hu- □ B. La paralysie secondaire qui ’en suit est souvent due
mérus [R 1] a un cal hypertrophique
□ C. Complication la plus fréquente est la pseudarthrose
□ A. Risque de dévitaliser les fragments osseux
□ D. Cal vicieux le plus intolérable est le raccourcisse-
□ B. Risque de traumatiser e nerf radial
□ C. Expose au risque de pseudarthrose ment
□ E. Le cal vicieux le plus intolérable est la rotation
19. Paralysie radiale
2019 □ A. Est une paralysie des extenseurs du poignet et des
11. Dans les fractures de la diaphyse humérale, la pa- doigts
ralysie radiale [R 2] □ B. Est une lésion qui peut se voir secondairement
après une fracture
□ A. Se voit dans 10 à 20
□ B. Peut survenir secondairement 20. Dans les fractures de la diaphyse humérale, la pa-
ralysie secondaire du nerf radial peut être due à [R 2]
12. L’abord chirurgical large dans la fracture de l’hu-
mérus [R 3] □ A. Une algodystrophie
□ B. Une infection post opératoire
□ A. Risque de dévitaliser les fragments osseux □ C. Un retard de consolidation
□ B. Risque de traumatiser e nerf radial □ D. Une immobilisation prolongée
□ C. Expose au risque de pseudarthrose □ E. Compression du nerf par englobement dans le cal
21. Concernant la lésion du nerf radial, quelles sont les
2018 notions correctes [R 2]
□ A. La neuropraxie est de bon pronostic
13. L’abord chirurgical large dans la fracture de l’hu- □ B. Sa réparation doit être micro chirurgicale en cas de
mérus [R 1] neurmesis
□ A. Risque de dévitaliser les fragments osseux □ C. La repousse axonale se fait à l’ordre de 1mml jour
□ B. Risque de traumatiser l’artère humérale □ D. Le neurmesis est une interruption incomplète des
□ C. Risque de traumatiser le nerf radial éléments nerveux
□ D. Expose au risque de cal vicieux □ E. Le neurmesis ne peut jamais régénérer spontané-
□ E. Expose au risque de pseudarthrose ment
14. Quels sont les signes d’une paralysie radiale lors 22. Dans les fractures de la diaphyse humérale [R 2]
d’une fracture de l’humérus [R 2] □ Le nerf radial est le plus fréquemment touché
A.
□ A. Anesthésie au niveau de la première commissure □ Le nerf médian est le plus fréquemment touché
B.
□ B. Déficit de l’extension active du poignet et des □ Le cal vicieux en rotation est bien toléré
C.
doigts □ La pseudarthrose est plus fréquente au niveau du
D.
1/3 distal
□ E. Le nerf radial peut être atteint secondairement
2017 23. Dans le trt des fractures de la diaphyse humérale le
plâtre pendant [R 2]
15. Dans les fractures de la diaphyse humérale, la pa-
ralysie radiale [R 3] □ A. Doit contenir les articulations sous et sus jacentes
□ B. Pour principe de contenir le foyer de fracture
□ A. Se voit dans 10 à 20 □ C. Il maintient la réduction par le simple poids du
□ B. Récupère spontanément dans 80
plâtre
□ C. Peut survenir secondairement suite à un cal hyper- □ D. Permet une réduction progressive
trophique □ E. Il agit en position debout ou assise par la pesanteur
16. La lésion complète du nerf radial est appelée [R 1]
1.2
□ A. Neurmesis
Fracture de la rotule
2016
17. Les fractures de la diaphyse humérale 2022
□ A. Se compliquent souvent de pseudarthrose. 24. Les ruptures du tendon patellaire [R 1]
□ B. S’associent souvent a une paralysie radiale.
□ C. Relèvent exclusivement d’un traitement orthopé- □ A. Sont plus fréquentes chez les adolescents que chez
dique. l’adulte
□ D. Se compliquent de raideur articulaire. □ B. Sont dues à un choc direct de la région sous patel-
□ E. S’accompagnent de paralysie cubitale. laire
□ C. Sont traitées chirurgicalement
18. Dans les fractures de la diaphyse humérale
□ D. Sont souvent liées à des traumatismes sportifs
□ A. Le nerf le plus fréquemment atteint est le nerf ra- □ E. Sont de diagnostic clinique confirmées par l’écho-
dial graphie
11 → AB 12 → ABC 13 → ACE 14 → AB 15 → ABC 16 → A 17 → AB 18 → ABCE 19 → AB 20 → E
21 → ABCE 22 → ADE 23 → CDE 24 → BCE 25 → ABDE

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. FRACTURE DE LA ROTULE

25. La fracture de la patella [R 1] 2019


□ A. Est la lésion la plus fréquente des lésions de l’ap-
33. Une fracture verticale de la rotule [R 2]
pareil extenseur
□ B. Représente 1 □ A. Est une fracture sans rupture de l’appareil exten-
□ C. Est toujours articulaire seur du genou
□ D. Peut-etre traiter orthopédiquement □ B. Stabiliser chirurgicalement par un vissage
□ E. Peut-etre secondaire à un syndrome du tableau de
bord 34. Une fracture à trait transversal de la rotule [R 3]

□ A. Aucune réponse juste


2021 35. Dans les fractures des plateaux tibiaux [R 3]
26. Une fracture de la rotule [R 2] □ A. La fracture spinutuberuositaire se fait suite à un
□ A. Se prête à un traitement chirurgical par hauban choc latéral sur le genou
□ B. Est une fracture instable □ B. Les fractures bituberositaire sont secondaires à une
□ C. Affecte l’extension du genou compression axiale
27. Une fracture de rotule sans rupture de l’appareil □ C. Les fractures séparations nécissitent une greffe os-
extenseur [R 1] seuse
□ D. Leur diagnostic est clinique
□ A. Peut etre traitée chirurgicalement en fonction du □ E. L’agent vulnérant est le condyle fémorale
terrain
28. Quelle complication ne survient jamais après une
fracture de la rotule ? [R 3] 2018
□ Arthrose fémoro-patellaire
A.
□ Algodystrophie du membre inférieur
B. 36. Une fracture transversale simple de la rotule [R 1]
□ Raideur du genou avec flexion réduite à 10 degrés
C.
□ A. Est classée type i selon ricard et moulay
□ Pseudarthrose rendant la marche impossible par
D.
□ B. Peut être sans rupture de l’appareil extenseur
défaut de verrouillage du genou
□ E. Recurvatum sévère du genou 37. Un déficit de l’extension de la jambe sur la cuisse
29. Indiquez parmi ces réponses la ou les affirmations peut être le résultat [R 1]
vraies concernant les fractures de la rotule [R 3] □ A. D’une fracture type ii de la rotule selon ricard et
□ A. Une image radiologique de fracture de rotule peut moulay
simuler une affection non trauma □ B. Avulsion de la tubérosité tibiale antérieure
□ B. Ce sont toujours des fractures articulaires □ C. Rupture du tendon quadricipital
□ C. Elles succèdent toujours à un traumatisme direct □ D. Rupture du tendon quadricipital
□ D. Elles surviennent plus volontiers sur des genoux
porteurs d’une dysplasie fémoro-patellaire
□ E. Elles s’accompagnent souvent de lésions cutanées
2016
30. Indiquez parmi ces réponses la ou les affirmations
vraies concernant les fractures de la rotule [R 3] 38. Le type iii de la classification de duparc des frac-
□ A. Une image radiologique de fracture de rotule peut tures de la rotule répond à la description suivante [R 1]
simuler une affection non trauma □ A. Fracture en étoile
□ B. Ce sont toujours des fractures articulaires
□ C. Elles succèdent toujours à un traumatisme direct 39. Dans les fractures des plateaux tibiaux [R 3]
□ D. Elles surviennent plus volontiers sur des genoux
□ A. La raideur du genou est une complication fréquente
porteurs d’une dysplasie fémoro-patellaire
□ E. Elles s’accompagnent souvent de lésions cutanées □ B. Le scanner est souvent indispensable

31. Quelle complication ne survient jamais après une 40. Le type iii de la classification die duparc des frac-
fracture de la rotule ? [R 3] tures de la rotule répond à la description suivante [R 1]
□ Arthrose fémoro-patellaire
A. □ A. Fracture en étoile
□ Algodystrophie du membre inférieur
B. □ B. Fracture ouverte.
□ Raideur du genou avec flexion réduite à 10 degrés
C. □ C. Fracture à deux fragments.
□ Pseudarthrose rendant la marche impossible par
D. □ D. Fracture de la pointe de la rotule.
défaut de verrouillage du genou □ E. Fracture de la rotule associe à une fracture du fé-
□ E. Recurvatum sévère du genou mur homolatéral.
32. Une fracture de la rotule [RATT]
41. La lésion la plus fréquente de l’appareil extenseur
□ A. Se prête à un traitement chirurgical par hauban du genou touche [R 1]
□ B. Est une fracture instable.
□ C. Affecte l’extension du genou. □ A. La rotule.

26 → ABC 27 → A 28 → E 29 → AE 30 → AE 31 → E 32 → ABC 33 → AB 34 → A 35 → BE
36 → AB 37 → ABCD 38 → A 39 → AB 40 → A 41 → A

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.3. FRACTURE DE L’EXTRÉMITÉ SUPERIEUR DE L’HUMÉRUS

1.3
□ A. La rééducation précoce nécessite une réduction
Fracture de l’extrémité superieur parfaite et ostéosynthèse solide
□ B. L’enraidissement représente la complication ma-
de l’humérus jeure

1.4
2019 Fracture de l’extrémité supérieur
42. Concernant les fractures de l’ l’extrémité sup de du fémur (fesf)
l’humérus chez l’enfant [RATT]
□ A. Peuvent se compliquer de troubles vasculaires
□ B. Les fractures supra condyliennes en extension re- 2022
présentent 80
□ C. Sont plus fréquentes que celles chez l’adulte 50. Quelles sont les complications les plus fréquentes
chez un sujet agé ayant une fracture sous trochanté-
43. Cochez la réponse exacte [R 1]
rienne ? [R 1]
□ A. La palette humérale est faite de deux colonnes qui
□ A. La pseudoarthrose du foyer fracturaire
circonscrivent les fossettes coracoïdiennes et olécra- □ B. L’ostéonécrose de la tete fémorale
niennes □ C. Le cal vicieux
□ B. Les fractures de la palette humérale sont le plus □ D. La décompensations des pathologies associées
souvent extra-articulaires □ E. La coxarthrose
44. Les fractures de l’humérus distal [R 1] 51. Le type 3 de pauwels [R 2]
□ A. Sont des urgences thérapeutiques □ A. Instable
□ B. Maximum de compression
45. Les cals vicieux de l’humérus [R 2] □ C. Le trait de fracture tend à s’horizontaliser
□ A. Sont souvent bien tolérés □ D. Correspond au type 1 de la classification de garden
□ B. Affectent la fonction du membre lorsqu’ils sont en □ E. Le cisaillement est important
rotation
2021
2017 52. La classifications de powels est basée sur [R 1]
46. Cochez la réponse exacte [R 2] □ A. Le type du trait
53. La classification de powels est basée sur [RATT]
□ A. La palette humérale est faite de deux colonnes qui
circonscrivent les fossettes coracoïdiennes et olécra- □ A. Le type du trait
niennes 54. Le but du traitement de la fracture du col fémoral
□ B. Les fractures de la palette humérale sont le plus chez l’adulte jeune est [RATT]
souvent extra-articulaires □ A. Réduction anatomique de la fracture
□ B. Réinsertion socio professionnelle
□ C. Obtenir la consolidation
2016
47. Cochez la réponse exacte [R 3] 2020
□ A. La palette humérale est faite de deux colonnes qui
55. La classification de powels utilise comme critère [R
circonscrivent les fossettes coracoïdiennes et olécra-
1]
niennes
□ B. L’axe de la palette est incliné de 30 vers l’avant □ A. La direction de trait
□ C. La colonne latérale se termine par l’épicondyle la- 56. Le but du traitement de la fracture de col fémoral
térale sphérique, la colonne médiale se termine par chez l’adulte jeune est [R 1]
l’épicondyle médiale rectangulaire
□ A. Réduction anatomique de la fracture
□ D. Le trt des fractures de la palette humérale nécessite □ B. Réinsertion socio professionnelle
un abord chirurgical □ C. Obtenir la consolidation
□ E. Les fractures de la palette humérale sont le plus
57. La classification de powels des fractures du col du
souvent extra-articulaires
fémur utilisé comme critère [RATT]
48. A propos des fractures de l’extrémité distale de l’hu-
□ A. La direction de trait
mérus [R 1]
58. Le but du traitement de la fracture du col fémorale
□ A. Nécessite une prise en charge urgente chez l’adulte jeune est [RATT]
□ B. Peuvent se compliquer de syndrome de volkmann
□ A. Réduction anatomique de la fracture
49. Dans les fractures de la palette humérale de l’adulte □ B. Réinsertion socio professionnelle
[R 3] □ C. Obtenir la consolidation

42 → ABC 43 → AB 44 → A 45 → AB 46 → AB 47 → ABCDE 48 → AB 49 → AB 50 → ACD 51 → AE


52 → A 53 → A 54 → ABC 55 → A 56 → ABC 57 → A 58 → ABC

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.4. FRACTURE DE L’EXTRÉMITÉ SUPÉRIEUR DU FÉMUR (FESF)

2019 □ A. Le syndrome des loges


□ B. Pseudarthrose septique
59. Le terme d’aspect (en pleine lune ) en radiographie. □ C. Les complications thromboemboliques
s’applique a [R 1] □ D. Une ischémie du membre
□ E. Les cals vicieux
□ A. Type 4 de garden
□ B. Type lamare
2016
2018 71. Quelles sont les propositions qui correspondent le
mieux à la fracture du col fémoral de l’adulte en a coxa
60. La fracture a bec céphalique du col fémoral est [R
valga [RATT]
1]
□ A. La marche est possible
□ A. Une fracture spiroide □ B. Fracture stable
□ B. Une fracture instable
72. L’instabilité des fractures trochantérienne tient a
61. Parmi les fractures ci-après, indiquez quelle est calle [RATT]
qui ne se complique pas classiquement de nécrose osseuse
□ A. Fracture à plusieurs fragments
[R 2] □ B. Fracture trochantero-diaphysaires
□ A. La fracture sous-trochantérienne du fémur 73. L’instabilité des fractures trochantérienne tient à [R
1]
2017 □ A. Fracture a plusieurs fragments
□ B. Fracture trochantero-diaphysaires
62. L’importance du déplacement dans le type dit : tête 74. L’importance du déplacement dans le type dit «
folle » est étudier par [RATT] tête folle » est étudier par [R 1]
□ A. Garden □ A. Lamare
63. Parmi les fractures suivantes quelles sont celle qui 75. Parmi les fractures suivantes quelles sont celle qui
sont dites instables [RATT] sont dites instables [R 1]
□ A. Fractures obliques longues □ A. Fractures spiroides

64. Quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) juste(s) 76. Les complications immédiates des fractures du fé-
concernant le type 3 de powels [R 2] mur chez l’adulte sont [R 3]
□ A. Les complications thrombo emboliques.
□ A. Les forces de cisaillements sont au maximum
□ B. Risque important de pseudarthrose 77. Parmi les fractures suivantes quelles sont celle qui
□ C. Fracture instable sont dites instables [RATT]
65. Quelles sont les propositions qui correspondent le □ A. Fractures obliques longues
mieux à la fracture du col fémoral de l’adulte en coxa 78. L’importance du déplacement dans le type dit «
valga [RATT] tête folle » est étudier par [RATT]
□ A. La marche est possible □ A. Garden
□ B. Fracture stable 79. L’instabilité des fractures trochantérienne tient a [R
66. L’instabilité des fractures trochantérienne tient à 1]
[RATT] □ A. Fracture à plusieurs fragments
□ A. Fracture a plusieurs fragments □ B. Fracture trochanter diaphysaire
□ B. Fracture trochantero-diaphysaires 80. Quelles sont les propositions qui correspondent le
67. L’importance du déplacement dans le type dit « mieux à la fracture den col fémoral de l’adulte en u coxa
tête folle » est étudier par [RATT] valga [R 2]

□ A. Garden □ A. C’est une fracture à haut risque de nécrose cépha-


lique
68. Quelle(s) est (sont) la (les) réponse ) juste(s) □ B. La marche est possible
concernant le type 3 de powels [RATT] □ C. L’attitude vicieuse du membre est un raccourcis-
□ A. Les forces de cisaillements sont au maximum sement rotation externe
□ B. Risque important de pseudarthrose □ D. Fracture stable
□ C. Fracture instable □ E. Fracture est déplacée
81. La classification anatomo-pathologique des frac-
69. La distinction de lamare sert à [R 2]
tures du col fémoral en fonction du siège du trait [R
□ A. Présage du risque de nécrose de la tête fémorale 1]
□ B. Complété le type 4 de garden
□ C. A un intérêt pronostic □ A. Garden
□ B. Powels
70. Les complications immédiates des fractures du fé- □ C. Delbet
mur chez l’adulte sont [R 1] □ D. Ender
59 → AB 60 → AB 61 → A 62 → A 63 → A 64 → ABC 65 → AB 66 → AB 67 → A 68 → ABC
69 → ABC 70 → C 71 → AB 72 → AB 73 → AB 74 → A 75 → A 76 → A 77 → A 78 → A 79 → AB
80 → BD 81 → C
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.5. FRACTURE DU COTYLE

1.5
□ E. Lamare
82. Quelle (s) est(sont) la (les) réponses(justes) concer-
Fracture du cotyle
nant le type 3 de powels
□ A. Les forces de cisaillements sont au maximum 2022
□ B. Risque important de pseudarthrose
□ C. Fracture instable 92. A propos des traumatismes du bassin [R 1]
83. Quelle(s) est (sont) la (les) réponses justes) concer- □ A. L’incidence oblique ascendante permet de dégager
nant le type 3 de powels l’arc pelvien postérieur
□ B. Le cliché du bassin standard de face est suffisant
□ A. Les forces de compressions sont au maximum □ C. Les fractures du bassin de type b correspondent à
□ B. Les forces de cisaillements sont au maximum une rupture complète de l’arc postérieur
□ C. L’évolution vers la consolidation est favorable □ D. Peuvent survenir suite à une chute banale chez les
□ D. Risque important de pseudarthrose personnes agées
□ E. Fracture instable □ E. Les complications sont rares chez les personnes
84. La distinction de lamare sert a agées
93. Chez un patient présentant une fracture du cotyle,le
□ A. Évaluer le potentiel de consolidation d’une fracture
bilan radiographique doit comporter les incidences [R 1]
du col fémoral
□ B. Présage du risque de nécrose de la tête fémorale □ A. Une hanche de face et de profil
□ C. Complète le type 4 de garden □ B. Un bassin de face
□ D. Évalue le risque de pseudarthrose d’une fracture □ C. Un ¾ alaire de la hanche traumatisé
□ D. Un ¾ obturateur de la hanche traumatisé
du col fémoral
□ E. Un ¾ alaire de la hanche saine
□ E. A un intérêt pronostic
85. La fracture à bec céphalique du col fémoral est
2021
□ A. Une fracture spiroide
□ B. Une fracture instable 94. Le traitement chirurgical dans les fractures du co-
tyle , a pour but [R 1]
86. Le terme d’aspect <en pleine lune > en radiogra-
phie, s’applique a □ A. Réduite une tete fémorale irréductible
□ B. Mettre un moyen d’ostéosynthèse solide
□ A. Type 4 de garden □ C. Nécessite un abord chirurgical
□ B. Type lamare □ D. Rétablir la surface articulaire
87. Les fractures trochantériennes 95. Le cotyle présente toutes ces éléments sauf [R 1]
□ A. Aile iliaque
□ A. Se compliquent de pseudarthrose
□ B. N’atteignent pas le jeune 96. Le cotyle comporte de [R 1]
□ C. Se compliquent de lésions vasculaires □ A. Une paroi postérieure
□ D. Peuvent entrainer le décès □ B. Une colonne antérieure
88. Dans les fractures du col fémorales agissant de la
□ C. Une paroi postérieure
□ D. Toit du cotyle
direction du trait, le quel est considéré comme instable
97. Le traitement chirurgical dans les fractures du co-
□ A. Fracture spiroide à bec céphalique tyle a pour but [R 3]
□ B. Fracture a trait vertical
□ C. Fracture a trait horizontal □ A. Réduire une tète fémorale irréductible.
□ B. Indiqué pour toutes les fractures simples ou com-
□ D. Fracture à bec cervical
□ E. Toutes les réponses sont justes plexes.
□ C. Mettre un moyen d’ostéosynthèse solide
89. Dans les fractures du col fémoral le type 3 corres- □ D. Nécessite un abord chirurgical.
pond □ E. Rétablit la surface articulaire.

□ A. Fracture déplacée 98. Les fractures de cotyle sont [R 3]


□ B. Fracture instable □ A. Les fractures de l’os iliaque atteignant la surface
articulaire de cotyle.
90. La classification anat-path des fractures du col fé-
□ B. Nécessite une prise en charge multidisciplinaire,
moral en fonction de la direction du trait
(chirurgien, réanimateur.)
□ A. Powels. □ C. Des fractures peu fréquentes.
□ D. Diagnostic est clinique et radiologique.
91. L’instabilité des fractures trochantérienne tient à □ E. Nécessitant un traumatisme violent (accident de
□ A. Fracture a plusieurs fragments circulation, chute d’un lieu élevé.).
□ B. Fracture trochantero-diaplaysaires 99. La zone portante du cotyle comporte [R 3]

82 → ABC 83 → BDE 84 → ABCDE 85 → AB 86 → AB 87 → ABCD 88 → AB 89 → AB 90 → A


91 → AB 92 → ADE 93 → BCD 94 → ABCD 95 → A 96 → BCD 97 → ACDE 98 → ABDE 99 → ABCE
100 → ABDE 101 → A
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.5. FRACTURE DU COTYLE

□ A. La paroi postérieur □ A. Fracture de la paroi postérieure


□ B. La colonne postérieure. □ B. Fracture transversale
□ C. La colonne postérieur et /ou paroi postérieur □ C. Fracture de la colonne antérieure
□ D. La paroi antérieur.
□ E. Le toit du cotyle
110. Dans le bilan radiologique d’une fracture du cotyle,
100. La paroi postérieure est visible sur incidences rx le 3/4 alaire [R 1]
suivant [R 3]
□ A. Radiographie bassin face. □ A. Se fait par une surélévation de la hanche saine de
□ B. Scanner du bassin 45°.
□ C. Radiographie ¼ alaire. □ B. La crête iliaque et la colonne postérieure sont bien
□ D. Radiographie ¼ obturateur analysées.
□ E. Radiographie de la hanche face.
101. Peut-être utilise seul ou après réduction [RATT] 111. Le traitement des fractures du cotyle [R 1]

□ A. Aile iliaque □ A. L’indication chirurgicale est retenue pour toute


fracture avec déplacement articulaire en zone por-
2020 tante.
□ B. Le recours à la prhèse totale de hanche chez le sujet
102. La zone portante de la cotyle comporte [R 2] âgé est envisageable d’emblée ou différée.
□ A. La paroi postérieur □ C. Certaines fractures extrêmement comminutives et
□ B. La paroi antérieur. pluri fragmentaires peuvent être traitées par traction-
□ C. La colonne postérieure. suspension.
□ D. Colonne postérieur et /ou paroi postérieur.
□ E. Toit de la cotyle 112. Selon la classification de judet-letournel pour les
103. Les fractures élémentaires ou simples sont :(cochez fractures du cotyle, les fractures simples comportent
la rep fausse) [RATT] [RATT]
□ A. Fracture en t □ A. Fracture de la colonne antérieure.
104. Les fractures du cotyle sont [R 1] □ B. Fracture transversale
□ A. Les fractures de l’os iliaque atteignant la surface □ C. Fracture de la paroi postérieure
articulaire du cotyle.
□ B. Nécessitant un traumatisme violent (accident de
circulation, chute d’un lieu élevé.).
□ C. Le diagnostic est clinique et radiologique. 2018
□ D. Nécessite une prise en charge multidisciplinaire
(chirurgien, réanimateur.) 113. Concernant les fractures du cotyle [R 1]
105. Les fractures élémentaire ou simple du cotyle sont
□ A. La tête fémorale représente l’agent vulnérant pour
[R 1]
la cotyle
□ A. Fractures a trait transversale
□ B. Fracture de la paroi antérieure 114. Quelles radiographies à demander devant un luxa-
□ C. Fracture de la colonne postérieure. tion traumatique de la hanche [R 2]
□ D. Fracture de la paroi postérieure.
106. Le traitement des fractures du cotyle [R 1] □ A. Radio du bassin face
□ A. Est souvent chirurgicale. □ B. Radio du bassin en ¾alaire
□ B. Peut-être orthopédique. □ C. Radio du bassin en ¾obturateur
□ C. La réduction doit être anatomique.
□ D. Doit aboutir à une articulation mobile stable et 115. Un blessé victime d’un accident de voiture est
indolore. vu au service des urgences. aprés l’examen clinique.
vous êtes convaincu qu’il présente une luxation trauma-
tique postérieure de la hanche droite. en effet, vous avez
2019 constate que le membre inférieur droit se trouve fixé
dans une des positions suivantes. laquelle ? [R 2]
107. Les fractures complexes sont : (rep fausse) [R 3]
□ A. Les fractures de la paroi postérieure □ A. Flexion - adduction - rotation interne
108. La paroi postérieure est visible sur les radiogra-
phies suivantes : (rep fausse) [RATT, R 2, R 3] 116. Dans les fractures du cotyle [R 1]

□ A. ¾ alaire □ A. L’arthrose coxo-fémorale représente une complica-


109. Selon la classification de judet letournel (fractures tion tardive.
de la cotyle) : toutes ces fractures sont ces fractures □ B. L’anneau pelvien supporte le poids du tronc et
simples [R 1] prège l’appareil génito- urinaire interne
102 → ACDE 103 → A 104 → ABCD 105 → ABCD 106 → ABCD 107 → A 108 → A 109 → ABC 110 → AB
111 → ABC 112 → ABC 113 → A 114 → A 115 → A 116 → AB

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.6. FRACTURES DE L’EXTRÉMITÉ DISTALE DE L’HUMÉRUS

1.6
2017
Fractures de l’extrémité distale de
117. Dans les fractures du cotyle [R 2]
l’humérus
□ A. La fracture de la paroi postérieure est la plus fré-
quente des fractures simples (judet letournnel.)
□ B. Arthrose coxo-fémorale représente une complica-
tion tardive. 2022
□ C. Le scanner du bassin est indispensable au bilan
124. Le triangle de nelaton est [R 1]
lésionnel.
□ D. La paralysie du nerf sciatique est fréquente s’il □ A. Une zone de fragilité osseuse métaphysaire de l’hu-
existe une luxation postérieure de hanche. mérus distal
□ E. L’os iliaque est constitué de l’union de 3 centres □ B. La cavité articulaire de l’olécrane
d’ossifications : l’ilium vers le haut le sacrum en ar- □ C. La zone d’insertion des épitrochléens
□ D. Est un triangle joignant le sommet de l’olé-
rièrede pubis en avant
crane,l’épicondyle médial et latéral ; le coude étant
118. La fracture du cotyle [R 2] fléchi
□ A. Peut se compliquer de plaie de la vessie. □ E. Est le centre de la cupule radiale
□ B. La tête fémorale représente l’agent vulnérant pour 125. Le mécanisme de la fracture supra condylienne de
le cotyle l’humérus par extension chez l’enfant est [R 2]
□ C. La fracture en t "est une fracture simple selon la
classification de judet letournne □ A. Une chute sur la paume de la main
□ D. On divise classiquement le cotyle en colonne an- □ B. Une chute sur le coude
□ C. Le coude est en extension
térieure (ilio pubienne), et une colonne postérieure □ D. Le coude est en flexion
(ischio pubienne) □ E. L’épaule en abduction
□ E. Le cliché oblique ¾obturateur efface l’aile iliaque,
et étale le cadre obturateur. 126. Le stade 3 de la classification de jakob des fractures
du condyle latéral de l’humérus chez lenfant correspond
119. Selon judet letournnel [R 1] à [R 2]
□ A. La fracture en «t» de la cotyle est une fracture □ A. Un trait qui se termine en dehors de la trochlée
simple □ B. Un déplacement inférieur à 2 mm
□ B. La fracture de la paroi postérieure est la plus fré- □ C. Un déplacement supérieur à 2 mm sans rotation
quente des fr simples de la cotyle □ D. Un grand déplacement avec rotation
□ C. L’arthrose coxo-fémorale représente une complica- □ E. Un trait qui se termine au niveau de la trochlée
tion tardive fréquente des fr de la cotyle 127. Le dépistage en milieu scolaire de la scoliose [R 2]
□ D. Le cliché oblique
□ E. L’os coxal est constitué de l’union de 2 centres d’os- □ A. N’a pas d’intérêt pronostique et est coûteux
sifications : colonne antérieur et colonne postérieur □ B. Est basé sur l’examen clinique
□ C. Est basé sur la radiographie du rachis entier de
face et de profil
2016 □ D. Permet de diagnostiquer des déformations minimes
avant l’aggravation pubertaires
120. Dans les fractures du cotyle [R 3] □ E. Permet une prise en charge précoce
□ A. L’arthrose coxo-fémorale représente une complica- 128. Dans les fractures de l’humérus distal chez l’adulte,
tion tardive. les fractures condylaires et supra-condylaire complexes
□ B. La paralysie du nerf sciatique est fréquente s’il correspondent selon la classification de l’ao au type [R 2]
existe luxation postérieure de hanche. □ A. A3
121. Selon la classification de judet letournel (fractures □ B. C3
de la cotyle) : toutes ces fractures sont ces fractures □ C. C1
simples [R 1] □ D. A1
□ E. B3
□ A. Fracture de la paroi postérieure
129. Le mécanisme de la fracture supra condylienne de
□ B. Fracture transversale
□ C. Fracture de la colonne antérieure lhumérus par extension chez l’enfant est : [R 2]

122. La fracture du cotyle [R 1] □ A. Une chute sur la paume de la main


□ B. Une chute sur le coude
□ A. La luxation coxo-fémorale reste toujours une ur- □ C. Le coude est en extension
gence thérapeutique e □ D. Le coude est en flexion
□ B. Son traitement visera à rétablir une congruence □ E. L’épaule en abduction
articulaire pour éviter la survenue d’arthrose. 130. Le stade 3 de la classification de jakob des fractures
123. La fracture du cotyle [R 3] du condyle latéral de lhumérus chez l’enfant correspond
□ A. Peut se compliquer de plaie de la vessie. à [R 2]
□ B. La tête fémorale représente l’agent vulnérant pour □ A. Un trait qui se termine en dehors de la trochlée
le cotyle □ B. Un déplacement inférieur à 2 mm

117 → ABCD 118 → ABE 119 → BC 120 → AB 121 → ABC 122 → AB 123 → AB 124 → D 125 → AC
126 → D 127 → BDE 128 → B 129 → AC 130 → D

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.7. INFECTION OSTÉO-ARTICULAIRE DE L’ENFANT

□ C. Un déplacement supérieur à 2 mm sans rotation □ A. Seule l’ostéosynthèse a évolué par l’apparition des
□ D. Un grand déplacement avec rotation plaques anatomiques rigides
□ E. Un trait qui se termine au niveau de la trochlée □ B. La palette humérale est faite de 2 colonnes laté-
131. La ligne de malgaigne est [R 2] rales ,qui circonscrivent les fossettes coronoidienne et
olécranienne
□ A. La zone métaphysaire la plus solide de l’humérus
□ C. La technique chirurgicale n’a pas été modifiée
distal
□ B. Le sommet de l’olécrane 140. Dans les fractures de la palette humérale de l’en-
□ C. La zone d’insertion des épitrochléens fant [RATT]
□ D. Un repère anatomique joignant le sommet de l’olé-
□ A. Le mécanisme le plus fréquemment retrouvé est
crane, l’épicondyle médial et l’épicondyle latéral ; le une chute sur la paume de la main
coude étant fléchi
□ E. Un repère anatomique joignant le sommet de l’olé-
1.7
crane, l’épicondyle médial et l’épicondyle latéral ; le
coude étant en extension Infection ostéo-articulaire de
l’enfant
2021
132. Les signes cliniques d’une fracture déplacée de 2022
l’humérus chez l’enfant sont [R 1]
141. La région métaphysaire est le siège principal de
□ A. Une déformation du membre
□ B. Une douleur avec œdème du membre prolifération bactérienne en raison [R 1]

133. Dans les fractures de la palette humérale de l’en- □ A. Du ralentissement du flux sanguin
□ B. De la rareté des cellules immunitaire à ce niveau
fant [R 1]
□ C. De la richesse du réseau veineux en valves anti re-
□ A. Le mécanisme le plus fréquemment retrouvé est flux
une chute sur la paume de la main □ D. De la proximité de l’articulation
134. À propos des fractures de la palette humérale [R □ E. De la situation intra articulaire de certaines méta-
1] physes
□ A. La palette humérale est faite de 2 colonnes qui cir- 142. L’ostéomyélite aigue de l’enfant [R 1]
conscrivent les fossettes coracoidienne et olécranienne □ A. Est l’infection par voie hématogène de l’os
□ B. L’axe de la palette est incliné de 30° vers l’avant □ B. Le germe responsable est le plus souvent le staphy-
□ C. Les fractures de la palette humérale sont le plus locoque doré
souvent extra-articulaires □ C. Elle est généralement localisée près du genou et
135. Dans les fractures de la palette humérale de loin du coude
l’adulte [R 1] □ D. Est généralement localisée au niveau de la diaphyse
des os long
□ A. L’enraidissement représente la complications ma- □ E. La radiographie standard est normale au moment
jeure des premiers signes cliniques
□ B. La rééducation précoce nécessite une réduction
parfaite et une ostéosynthèse solide 143. Le traitement d’une ostéomyélite aiguë se fait par
[R 2]
136. À propos des fractures de l’extrémité inferieure de
l’humérus [R 1] □ A. Des anti-inflammatoires non stéroïdiens en atten-
dant le résultat des prélèvements
□ A. Les premiers clichés du coude f/p sont générale- □ B. Une antibiothérapie orale par un antibiotique an-
ment de très mauvaise qualité tistaphylococcique
□ B. Les fractures parcellaires à trait frontal sont fré- □ C. Une antibiothérapie parentérale double associée
quentes chez la femme □ D. Un abord chirurgical et trépanation osseuse
□ C. La classification de l’ao subdivise ces fractures en □ E. Une immobilisation plâtrée
3 groupes
137. Dans les fractures de la palette humérale de l’en-
fant [R 2]
2021
□ A. Des lésions vasculaires peuvent survenir dans les 144. Le traitement chirurgical d’une ostéo-arthrite per-
déplacements antérieurs de la métaphyse met [R 2]
138. Dans les fractures de la palette humérale de □ A. Une biopsie osseuse si doute diagnostic
l’adulte [R 2] □ B. Une mise à plat avec des prélèvements cyto-
□ A. Une réduction parfaite et une ostéosynthèse solide bactériologique et anatomo-pathologique
permettent une rééducation précoce 145. Concernant la mobilité articulaire [R 3]
139. Concernant les fractures de l’extrémité inferieure □ A. Les énarthroses sont les articulations les plus mo-
de l’humérus de l’adulte [R 2] biles
131 → E 132 → AB 133 → A 134 → ABC 135 → AB 136 → ABC 137 → A 138 → A 139 → ABC
140 → A 141 → AB 142 → ABCE 143 → CE 144 → AB 145 → A

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.8. LCH

□ B. Les articulations condyliennes sont plates □ A. Est indiqué devant tout épanchement ne répondant
□ C. Les articulations trochléennes sont ovales pas au traitement médical.
□ D. Les amphiarthroses sont les articulations les plus □ B. Permet l’ablation des séquestres osseuse
mobiles □ C. Permet de stériliser le foyer infectieux par une an-
□ E. Les diarthroses sont constituées de deux articula- tibiothérapie locale.
tions □ D. Permet une biopsie osseuse en cas de doute diag-
nostic.
□ E. Corrige les attitudes vicieuses secondaires aux ré-
2020 tractions musculo-tendineuses.
146. 8-une arthrite aiguë de hanche chez un nourrisson 153. L’abcès de brodie [R 2]
de 7 mois [RATT] □ Est une forme chronique de l’ostéomyélite.
A.
□ A. Peut se propager en métaphysaire à travers le car-
□ Ne pose pas de problème diagnostic.
B.
□ De diagnostic clinique.
C.
tilage de croissance □ Se traduit par une image radio transparente. en-
D.
□ B. Peut se propager en métaphysaire par l’intermé-
tourée d’une ostéo condensation.
diaire de la synoviale articulaire □ E. De traitement uniquement chirurgical.
154. Le bilan biologique d’une infection ostéo - articu-
2019 laire doit comporter [RATT, R 2]
□ A. Vitesse de sédimentation.
147. Le traitement chirurgical d’une ostéoarthrite per- □ B. Dosage des anti staphylolysines alpha.
met [R 3] □ C. Dosage de la préine c réactive.
□ A. Une biopsie osseuse si doute diagnostic □ D. Dosage de la procalcitonine
148. Une arthrite aigue de hanche chez un nourrisson 155. Le diagnostic différentiel d’une infection ostéo-
de 18mois [R 1] articulaire de l’enfant peut se faire avec [R 3]
□ A. Se manifeste par une boiterie douloureuse suite à □ A. Un sarcome d’ewing.
□ B. Un rhumatisme articulaire aigu.
un traumatisme banal
□ C. Une leucose.
□ B. Peut se propager en métaphysaire par l’intermé-
diaire de la synoviale 156. Une image radiographique d’une géode métaphy-
saire entourée d’une ostéo condensation
□ A. Peut évoquer une forme chronique d’ostéomyélite.
2017 □ B. N’a aucune expression clinique.
□ C. Peut évoquer un ostéome ostéoide
149. Une arthrite débutante de la hanche chez un nour- □ D. Impose une simple surveillance clinique.
risson s’exprime par [R 1] □ E. Évoque un abcès de brodie si elle est associée à un
□ A. Une impotence fonctionnelle totale du membre. syndrome infectieux.
□ B. Un aspect échographique normal.
□ C. Une géode métaphysaire juxta corticale. 1.8
□ D. Un élargissement de la cavité articulaire.
□ E. Un empattement de la région inguinale. Lch
150. Une arthrite débutante de la hanche chez un nour-
risson s’exprime par [R 2]
□ A. Une impotence fonctionnelle totale du membre
2022
□ B. Aspect échographique normal 157. La luxation congénitale de la hanche est [R 1]
□ C. Une géode métaphysaire
□ D. Elargissement de la cavité inguinale □ A. Toujours découverte à la naissance suite à un ac-
□ E. Un empattement de la région inguinale couchement dystocique
□ B. Une malformation congénitale liée au sexe
□ C. Une anomalie de développement favorisée par des
2016 positions luxantes
□ D. Suspectée devant une impotence fonctionnelle du
151. En cas d’arthrite septique du genou chez un enfant. membre inférieur du nouveau-né
la contention plâtrée complémentaire [R 2] □ E. Fortement suspectée chez une fille,avec notion de
□ A. Maintient la position de fonction à 10° de flexion version tardive
du genou. 158. Le dépistage de la lch [R 1]
□ B. Maintient le genou en extension pour éviter les ré-
□ A. Débute in-utéro lors de l’échographie du troisième
tractions.
trimestre
□ C. Permet de prévenir les fractures pathologiques.
□ B. Se fait à la naissance
□ D. Permet d’obtenir une indolence.
□ C. Est basé sur la recherche de l’instabilité radiogra-
□ E. Est prolongée jusqu’à guérison totale de l’infection.
phique de la hanche
152. Le traitement chirurgical d’une infection ostéo- □ D. Permet une prise en charge précoce
articulaire chez l’enfant [R 2] □ E. Objective l’instabilité clinique de la hanche

146 → AB 147 → A 148 → AB 149 → ADE 150 → ADE 151 → BD 152 → AD 153 → ADE 154 → ABCD
155 → ABC 156 → AC 157 → CE 158 → BDE

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.8. LCH

159. Les critères de réussite d’une radiographie du bas- □ C. La ligne des y doit passer par la dernière pièce
sin de face chez un nourrisson sont [R 1] sacrée
□ D. Les diaphyses fémorales doivent etre perpendicu-
□ A. La largeur des ailes iliaques doit etre égale des deux
laires à la ligne des y
cotés
□ B. La verticale passant par le milieu du sacrum doit 166. Dans le dépistage de la luxation congénitale de la
passer par le cartilage en y hanche quels sont parmi les facteurs de risque majeurs
□ C. Le bord supérieur des ossifications de l’ischion et [RATT]
du pubis doivent etre tangent ou presque □ A. Antécédent familial de luxation congénitale de la
□ D. Les axes des diaphyses fémorales doivent etre per- hanche
pendiculaires à la ligne des y □ B. Sexe féminin.
□ E. Les trous obturateurs doivent etre symétriques □ C. Présentation de siège.
160. La luxation congénitale de la hanche est [R 2] 167. Dans la luxation congénitale de la hanche la
□ A. Fortement suspectée chez une fille, avec notion de construction d’ombredanne sur la radiographie [RATT]
version tardive □ A. Permet le diagnostic après 06 mois
□ B. Un défaut de segmentation survenant lors du pre- □ B. Aide au diagnostic à partir de 04 mois.
mier trimestre de la grossesse. □ C. N’est pas nécessaire après l’âge de la marche.
□ C. Toujours associée à un conflit intra-utérin.
□ D. Une anomalie de développement favorisée par des
positions luxantes.
2020
□ E. Suspectée devant amyotrophie globale du membre 168. Parmi les critères majeurs de suspicion de luxation
inférieur du nouveau-né. congénitale de la hanche, figure [R 1]
161. Le dépistage de la lch [R 2] □ A. La césarienne
□ A. Permet une prise en charge précoce. □ B. La présentation de siège
□ B. Débute in-utero lors de l’échographie du troisième □ C. Les antécédents familiaux
trimestre. □ D. Le sexe féminin
□ C. Se fait au cours de la première année de la vie. 169. Sur la radiographie du bassin de face d’un bébé de
□ D. Objective l’instabilité clinique de la hanche 5 mois, la hanche est luxée si après construction d’om-
□ E. Est basé sur la recherche de l’instabilité radiogra- berdanne le noyau céphalique est dans [R 3]
phique de la hanche. □ A. Le quadrant supéro-externe
162. L’examen clinique pour dépistage d’une lch com- □ B. Le quadrant supéro-interne
mence par un interrogatoire à la recherche [R 2] □ C. Le quadrant inféro-interne
□ D. Le quadrant inféro-externe
□ D’antécédent familial d’une lch
A. □ E. Absent
□ De notion de version tardive
B.
170. Le dépistage de la luxation congénitale de la
□ D’un traumatisme obstétrical
C.
□ D’une hospitalisation néonatale dans une unité de
D. hanche [RATT]
soins intensifs □ A. Est basé sur l’examen clinique à la naissance
□ E. De prise médicamenteuse pendant de la grossesse □ B. Est facilité par l’échographie des hanches à la nais-
sance
□ C. Impose la répétition de l’examen clinique complété
2021 si nécessaire par une échographie à j30
163. Dans le dépistage de la luxation congénitale de la
hanche,quels sont parmi les facteurs de risque majeurs 2019
[R 2]
171. Une luxation congénitale de la hanche est suspecte
□ A. Antécédent familial de luxation congénitale de la a la naissance en présence à l’examen clinique [R 2]
hanche
□ B. Sexe féminin □ A. D’une limitation unilatérale de l’abduction
□ C. Présentation du siège □ B. D’une asymétrie des plis fessiers
□ C. D’un torticolis
164. Dans la luxation congénitale de la hanche la □ D. D’un talus du pied
construction d’ombredanne sur la radiographie [R 2] 172. Le dépistage de la luxation congénitale de la
□ A. Permet le diagnostic apres 06 mois hanche [R 2]
□ B. Aide au diagnostic a partir de 04 mois □ A. Est base sur l’examen clinique à la naissance
□ C. N’est pas nécessaire après l’age de la marche □ B. Est facilite par l’échographie des hanches a la nais-
165. Les critères de bonne qualité de la radiographie du sance
bassin en matière de luxation congénitale de la hanche □ C. Impose la répétition de l’examen clinique complété
[R 2] si nécessaire par une échographie au 30eme jour
□ A. La verticale passant par le milieu du sacrum passe 173. La prise en charge d’une luxation congénitale de
par le milieu de la symphyse pubienne la banche diagnostiqué a l’age de 06 mois est faite [R 3]
□ B. Les ailes iliaques sont de meme largeur □ A. Harnais de pavlik

159 → ACDE 160 → AD 161 → AD 162 → AB 163 → ABC 164 → ABC 165 → ABCD 166 → ABC
167 → ABC 168 → ABCD 169 → ABD 170 → ABC 171 → ABCD 172 → ABC 173 → AB

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.8. LCH

□ B. Traction au zénith 2017


174. Le diagnostic de la lch est permis à la naissance
184. Dans la pec de la lch l’échec d’un trt orthopédique
par [R 3]
chez un nourrisson non marchant doit faire rechercher
□ A. L’examen clinique [R 1]
□ B. La positivité du signe de barlow
□ A. Une coxalgie
175. Le dépistage de la luxation congénitale de la
□ B. Une ostéo-arthrite
hanche [RATT] □ C. Tm des parties molles
□ A. Est facilite par l’échographie des hanches a la nais- □ D. Maladie neuromusculaire
sance □ E. Drépanocytose
□ B. Est base sur l’examen clinique a la naissance 185. Le diagnostic d’une luxation congénitale de la
□ C. Impose la répétition de l’examen clinique complété
hanche a la naissance e fait par [RATT]
si nécessaire par une échographie au 30eme jour
□ A. L’examen clinique des hanches
186. Une luxation congénitale de la hanche chez un
2018
nourrisson de 7 mois est traitée par [R 3]
176. La luxation congénitale de la hanche est traitée à □ A. Une traction au zénith.
la naissance par [RATT]
187. Le diagnostic de la lch à la naissance se fait par [R
□ A. Culote d’abduction 3]
□ B. Langeage en abduction
□ A. L’examen clinique des hanches
177. Dans la luxation congénitale de la hanche la radio-
graphie du bassin est indiquée [RATT] 188. Le dépistage de la luxation congénitale de la
hanche implique [R 1]
□ A. À partir de 04 mois
□ B. Chez le nourrisson marchant □ A. Échographie anténatale
□ C. Chez le grand enfant □ B. L’examen clinique de la hanche à la naissance uni-
178. Les critères de bonne qualité de la radiographie du quement
bassin en matière de luxation congénitale de la hanche □ C. La répétition de l’examen clinique de la hanche
[R 1] chez le nouveau-né et le nourrisson
□ D. L’examen clinique associé à l’échographie à 30eme
□ A. La verticale passant par le milieu du sacrum passe
j en cas de suspicion
par le milieu de la sy in physe pubienne. □ E. L’échographie systématique des hanches à 45 jours
□ B. Les ailes iliaques sont de même largeur
□ C. La ligne des y doit passer par la dernière pièce
sacrée 2016
□ D. Les diaphyses fémorales doivent être perpendicu-
laires à la ligne des y 189. Le diagnostic d’une luxation congénitale de la
179. Le diagnostic d’une luxation congénitale de hanche hanche à la naissance se fait par
à la naissance est permis par le constat lors de l’examen □ A. L’examen clinique des hanches.
clinique [R 1]
190. La luxation congénitale de la hanche droite être [R
□ A. D’un ressaut de réduction de la tête fémorale
3]
□ B. D’un ressaut de luxation de la tête fémorale
□ C. D’une limitation de l’abduction □ A. Recherchée systématiquement à la naissance
180. Le traitement d’une luxation de hanche chez un □ B. Traitée à la naissance
□ C. Traitée par longeage en abduction à la naissance
nouveau-né se fait par [R 1]
□ A. Un langeage en abduction 191. Dans la luxation congénitale de la hanche
(lch).quelles sont parmi les propositions suivantes celles
181. Le diagnostic d’une luxation congénitale de hanche
retenues comme facteurs de risque majeur [R 2]
à la naissance est permis par le constat lors de l’examen
clinique [RATT] □ A. La présence d’antécédents familial de lch
□ B. Le rang de fratrie
□ A. D’un ressaut de réduction de la tête fémorale □ C. La grossesse gémellaire
182. La luxation congénitale de la hanche est traitée à □ D. L’oligo amnios
la naissance par [R 2] □ E. La présentation de siège.
□ A. Culote d’abduction 192. Pour diagnostiquer une luxation congénitale de la
□ B. Langeage en abduction hanche chez in nourrisson de dix jours il faut [R 2]
183. Dans la luxation congénitale de la hanche, la ra- □ A.Faire un examen clinique soigneux
diographie du bassin est indiquée [R 3, R 2] □ B.Faire un écho graphie en urgence
□ A. À partir de 04 mois □ C.Faire une radio graphie
□ B. Chez le nourrisson marchant □ D.Recherchez les facteurs de risques et examiner le
□ C. Chez le grand enfant bébé.
174 → AB 175 → ABC 176 → AB 177 → ABC 178 → ABCD 179 → ABC 180 → 181 → A 182 → AB
183 → ABC 184 → D 185 → A 186 → A 187 → A 188 → ACD 189 → A 190 → ABC 191 → AE
192 → ADE
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.9. TBC

□ E. Examiner les hanches et en cas de doute répéter 2017


l’examen clinique avec échographie des hanches à 30
jours. 201. Le mal de pott du rachis lombaire se traduit ra-
diologiquement par [R 3]
193. Concernant la luxation congénitale de la hanche,
□ A. Une image en miroir
quels signes ne font pas partie des critères de bonne qua-
□ B. Un tassement cunéiforme antérieur de la vertèbre.
lité de la radiographie du bassin
202. La coxalgie se définit comme étant [RATT]
□ A. Les deux ailes iliaques sont de même largeur
□ A. Une tuberculose de la hanche.
□ B. Les axes des deux fémurs doivent être perpendicu-
laires à la ligne des y 203. Une tumeur blanche se définit comme étant [R 3]
□ C. Le cintre cervico obturateur doit être respecté □ A. Une tuberculose du genou.
□ D. La ligne ilio ischiatique ininterrompue
194. Dany la luxation congénitale de la hanche (lch)
2016
quelles sont parmi les propositions suivantes celles rete-
nues comme facteurs de risque majeur [RATT] 204. Dans le mal de pott il y a une atteinte [R 1]
□ A. La présence d’antécédents familiaux de lch □ A. Disco-corporéale
□ B. La présentation de siège. 205. Le mal de pott du rachis lombaire se traduit ra-
195. Au cours de l’examen clinique d’un nouveau-né, diologiquement par [R 3]
quels signes parmi les suivants doivent faire rechercher □ A. Une image en miroir
une luxation congénitale de banche □ B. Un tassement cunéiforme antérieur de la vertèbre.
□ A. Un torticolis avec chevauchement des os du crane 206. La coxalgie se définit comme étant [RATT, R 2]
□ B. Une hernie inguino-scrale □ A. Une tuberculose de la hanche.
□ C. La symétrie des plis fessiers
207. Le traitement de la tbc osseuse est d’abord
196. Le traitement de la lch peut être assuré à la nais- □ A. Médical
sance (1er mois) par □ B. Médico-chirurgical
□ A. Maintien en abduction par lange vincent □ C. Chirurgical
□ D. Orthopédique
□ B. Culotte d’abduction
□ C. Traction de somerville petit, suivi de plâtre pelvi- 208. Le mal de pott dorsal se traduit radiologiquement
pédieux par [R 2]
□ D. Chirurgie précoce mini invasive □ A. Un élargissement du médiastin.
197. Dans le cadre de l’anatomopathologie de la lch □ B. Une scoliose dorsale.
□ C. Une image en miroir
□ A. La partie cartilagineuse de la cotyle □ D. Un tassement cunéiforme antérieur de la vertèbre.
□ B. Le bourrelet cotyloïdien □ E. Une condensation osseuse des vertèbres.
□ C. La partie latérale du ligament rond 209. Une tumeur blanche se définit comme étant [R 3]
□ D. Le tissu fibreux qui occupe le fond de la cotyle
□ A. Une tuberculose du genou.

1.9 210. Dans le mal de pott la diffusion se fait toujours


par voie [R 1]
Tbc □ A. Hématogène
211. Sur le plan anapath, quelles sont les différentes
phases évolutives dans le mal de pott
2019
□ A. Phase d’envahissement
198. Le mal de pott du rachis lombaire se traduit ra- □ B. Phase de destruction
□ C. Phase de contamination
diologiquement par [R 3]
□ D. Phase de cicatrisation ou réparation
□ A. Une image en miroir 212. Les signes cliniques les plus évocateurs d’un mal
□ B. Un tassement cunéiforme antérieur de la vertèbre. de pott
□ A. Douleurs
2018 □ B. Amaigrissement anorexie fatigabilité
□ C. Abcès froids
199. Une tumeur blanche se définit comme étant [R 2] 213. L’évolution de la tbc osseuse passe par plusieurs
□ A. Une tuberculose du genou. étapes, lesquelles
□ A. Phase d’envahissement
200. Le mal de pott du rachis lombaire se traduit ra- □ B. Phase de développement
diologiquement par [R 2] □ C. Phase de destruction
□ A. Une image en miroir □ D. Phase de cicatrisation.
□ B. Un tassement cunéiforme antérieur de la vertèbre. 214. La tbc osseuse est toujours

193 → CD 194 → AB 195 → A 196 → AD 197 → D 198 → AB 199 → A 200 → AB 201 → AB 202 → A
203 → A 204 → A 205 → AB 206 → 207 → A 208 → CD 209 → A 210 → A 211 → ABD 212 → ABC
213 → ACD 214 → B
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.10. TRAUMATISME DE L’ÉPAULE

□ A. Primitive □ A. Le coup de hache externe


□ B. Secondaire □ B. Le comblement de sillon delto-pectoral
□ C. Tertiaire □ C. L’abduction irréductible de l’épaule
□ D. Primitive et secondaire □ D. Le signe de touche de plano
□ E. L’abduction réductible de l’épaule
215. La radiographie dans le mal de pott montre
□ A. Image de géodes
□ B. Pincement de l’interligne 2021
□ C. Cunéiformisation
223. Quel est le signe clinique fondamental d’une luxa-
216. Les signes cliniques les plus évocateurs d’un mal tion traumatique postérieure de l’épaule [R 3]
de pott sont
□ A. Attitude du bras en adduction
□ A. Douleurs □ B. Attitude du bras en rotation interne
□ B. Lombo-sciatique □ C. Attitude du bras en rotation externe
□ C. Amaigrissement anorexie fatigabilité □ D. Déformation du moignon de l’épaule
□ D. Abcès chaud □ E. Aucun des signes précédents
□ E. Abcès froids 224. La complication la plus fréquente au long terme
217. La radiographie dans le mal de pott montre de la luxation antéro-interne de l’articulation scapulo-
humérale [R 1]
□ A. Image de géodes
□ B. Image de reconstruction □ A. L’instabilité chronique antérieure de l’épaule
□ C. Pincement de l’interligne 225. Le diagnostic de luxation antéro-interne de l’arti-
□ D. Une scoliose culation scapulo-humérale est orienté par [R 1]
□ E. Cunéiformisation
□ A. L’existence d’un vide sous acromial externe
1.10 □ B. L’impossibilité d’effectuer une rotation interne
226. Les signes cliniques d’une luxation antérieure de
Traumatisme de l’épaule l’épaule sont [R 2]
□ A. Un coup de hache externe au niveau du moignon
de l’épaule
2022 □ B. Une attitude en abduction irréductible
□ C. Une vacuité de la cavité glénoide à la palpation
218. Dans la chaine ostéo-articulaire de l’épaule du su-
jet agé,le maillon faible est [R 1]
□ A. L’os 2019
□ B. Les ligaments
227. Dans la luxation traumatique de l’épaule [R 3]
□ C. Les muscles
□ D. Le bourrelet glénoidien □ A. La forme inférieure est rare
□ E. Le cartilage articulaire □ B. Peut-être bilatérale
219. Dans la disjonction acromio-claviculaire [R 1] 228. L’articulation de l’épaule est [R 3]
□ A. Considérée comme étant la plus mobile du corps
□ A. Le traitement est toujours chirurgical
□ B. Elle peut se manifester cliniquement par le signe” humain
□ B. De type énarthrose
touche de piano” □ C. Composée de plus de 3 articulations
□ C. Elle touche le plus souvent l’enfant
□ D. Elle touche le plus souvent le sujet agé 229. Les signes cliniques d’une luxation antérieure de
□ E. Le traitement est souvent orthopédique l’épaule sont [R 1]
220. Quelle forme de luxation de l’épaule est la plus □ A. Un coup de hache externe au niveau du moignon
fréquente ? [R 1] de l’épaule.
□ B. Une vacuité de la cavité glénoïde à la palpation.
□ A. La luxation inférieure □ C. Un comblement du sillon delto-pectoral par la tête
□ B. La luxation erecta humérale.
□ C. La luxation supérieure □ D. Une attitude en abduction irréductible.
□ D. La luxation postérieure
□ E. La luxation antéro-interne
221. Le muscle principal responsable de la rotation in- 2018
terne de l’épaule est [R 2]
230. Les signes cliniques d’une luxation antérieure de
□ A. Le supra-épineux l’épaule sont [R 3]
□ B. Le sous épineux
□ A. Un coup de hache externe au niveau du moignon
□ C. Le petit rond
□ D. Le sub-scapulaire de l’épaule.
□ B. Une vacuité de la cavité glénoïde à la palpation.
□ E. Le petit pectoral
□ C. Un comblement du sillon delto-pectoral par la tête
222. Parmi les signes cliniques d’une luxation antéro humérale.
interne de l’épaule [R 2] □ D. Une attitude en abduction irréductible.

215 → ABC 216 → ACE 217 → ACE 218 → A 219 → BE 220 → E 221 → D 222 → ABC 223 → B
224 → A 225 → AB 226 → ABC 227 → AB 228 → ABC 229 → ABCD 230 → ABCD

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.11. TRAUMATISME LIGAMENTAIRE DU GENOU

2017 239. L’appareil extenseur du [R 2]


□ A. Est constitué de 04 éléments anatomiques
231. Quel est le mécanisme de la luxation antéro interne □ B. Assure l’extension de la jambe sur la cuisse
de l’épaule [RATT] □ C. Est constitué d’éléments osseux, musculaires et
□ A. Abduction rotation externe tendineux
□ D. Assure la stabilité du genou
232. Les signes cliniques d’une luxation antérieure de □ E. Est représenté essentiellement par la patella
l’épaule sont [R 3]
□ A. Un coup de hache externe au niveau du moignon
de l’épaule. 2021
□ B. Attitude du traumatisé du membre supérieur
240. Dans l’articulation du genou [R 1]
□ C. Une vacuité de la cavité glénoïde à la palpation.
□ A. Les ménisques ont un role d’augmenté la
233. Les signes cliniques d’une luxation antérieure de
congruence articulaire
l’épaule sont [R 2] □ B. C’est une articulation synoviale
□ A. Un coup de hache externe au niveau du moignon 241. Les lésions ligamentaires du genou [R 1]
de l’épaule. □ A. Toute lésions de ligament latérale externe est une
□ B. Une vacuité de la cavité glénoïde à la palpation.
□ C. Une attitude en abduction irréductible.
entorse grave
□ B. Sont fréquentes dans les sports à pivol
□ C. Peuvent se compliquer d’une luxation du genou
□ D. Une rupture complète d’un ligament est une en-
2016
torse grave
234. La stabilité de l’épaule est assurée par [R 3] 242. Les lésions ligamentaires du genou [R 3]
□ A. La capsule □ A. Peuvent se compliquer d’une luxation du genou
□ B. Les ligaments gleno-huméraux □ B. Sont fréquentes dans les sports à pivot
□ C. Les muscles de la coiffe des rateurs et le deltoïde □ C. Toute lésion de ligament latérale interne est une
entorse grave
235. Quel est le mécanisme de la luxation antéro interne
□ D. Toute lésion de pivot central est une entorse grave
de l’épaule [R 2, RATT] □ E. Sont fréquentes chez les sujets jeunes
□ A. Abduction rotation externe 243. En cas de traumatisme du genou [R 1]
236. Les déformations caractéristiques de luxations an- □ A. Un choc rotulien positif signifié l’existence d’un
térieures de l’épaule sont [R 3] épanchement intra articulaire
□ B. Une fracture de segond est un signe d’une rupture
□ A. Saillie de l’acromion en dehors (signe de l’épau-
lette) du lca
□ C. L’artériographie du membre est indiquer en ur-
□ B. Vacuité de la glène a la palpation
□ C. Le membre est en abduction rotation externe gence en cas de luxation du genou
□ D. Le membre est en abduction rotation externe 244. Les lésions ligamentaires du genou [R 2]
□ A. Sont fréquentes chez les sujets jeunes
1.11 □ B. Sont fréquentes dans les sports à pivot
Traumatisme ligamentaire du □ C. Peuvent se compliquer d’une luxation du genou
□ D. Toute lésion de pivot central est une entorse grave
genou 245. Pour le diagnostique d’une lésion ligamentaire du
genou [R 2]
□ A. Une fracture de segond est un signe d’une repture
2022 du lca
□ B. Un avalement de la tta est évocateur d’une rupture
237. Parmi les signes cliniques suivants,quel signe est
du lca
le plus spécifique d’une rupture complète du ligament □ C. L’artériographie du membre est indiquer en ur-
croisé antérieur ? [R 1] gence en cas de luxation du genou
□ A. Le signe du glaçon □ D. Une hémarthrose donne un choc rotulien positif
□ B. Le grinding test 246. Pour le diagnostic d’une lésion ligamentaire du ge-
□ C. Le test de lachman-triflat nou [R 3]
□ D. Le tiroir antérieur
□ E. Le ressaut rotatoire □ A. Le test de lachman est pathognomonique d’une lé-
sion du ligament croisé postérieur (lcp)
238. Les ménisques [R 1] □ B. Hémarthrose donne un choc rotulien positif
□ A. Absorbent les chocs transmis au genou □ C. Un avalement de la tta est évocateur d’une rupture
□ B. Jouent un role important dans la stabilité du genou du lca
□ C. Ne permettent la transmission des forces du fémur □ D. Une fracture de segond est un signe d’une rupture
vers la jambe du lca
□ D. Ont un role dans la lubrification du genou □ E. L’artériographie du membre est indiquée en ur-
□ E. Augmentent la congruence articulaire du genou gence en cas de luxation du genou
231 → A 232 → ABC 233 → ABC 234 → ABC 235 → A 236 → ABCD 237 → C 238 → ABDE 239 → BC
240 → AB 241 → ABCD 242 → ABDE 243 → ABC 244 → ABCD 245 → ABCD 246 → BDE

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.11. TRAUMATISME LIGAMENTAIRE DU GENOU

247. Concernant l’anatomie du genou [R 3] □ A. Le sport de pivot est le premier responsable


□ A. Le lca est richement vascularise □ B. Toute lésion du ligament latéral externe est une
□ B. Le ligament latéral externe est formes de 2 fais- entorse grave
ceaux superficiel et profond □ C. Le syndrome de tableau ce bord est responsable
□ C. Le lca s’insère dans l’espace pré-spinal du tibia c’une lésion du lcp
□ D. L’articulation du genou est une articulation non 254. Dans les lésions ligamentaires du genou [R 1]
congruente
□ E. Les ménisques sont des fibrocartilages qui ont un □ A. Un choc rulien positif est significatif d’une hémar-
rôle d’augmenter la congruence articulaire throse.
□ B. Un recurvatum signe l’atteinte des points d’angles.
248. Les lésions ligamentaires du genou [RATT]
□ A. Toute lésion de ligament latérale externe est une
entorse grave 2019
□ B. Sont fréquentes dans les sports à pivot
□ C. Peuvent se compliquer d’une luxation du genou 255. Les lésions traumatiques du ligament croisé [R 2]
□ D. Une rupture complète d’un ligament est une en-
□ A. Entrainent une entorse grave
torse grave
□ B. Entrainent une hémarthrose
□ C. Un ressaut ratoire est pathognomonique
2020 256. Suite à un choc latéral violent sur le genou en ap-
pui, par un pare-chocs de véhicule en mouvement [R 2]
249. A propos des traumatismes du genou [R 1]
□ A. Une lésion cutanée associée est fréquente
□ A. Toute lésion de pivot central est une entorse grave
□ B. Radiographie est systématiquement indiquée en 257. Dans les fractures ouvertes [R 2]
cas lésion nerveuse □ A. Le pronostic est dominé par le risque infectieux
□ C. Le test de lachman est pathognomonique d’une lé-
□ B. Le fixateur externe est un moyen d’ostéosynthèse
sion de lca.
utilisable dans ces fractures
□ D. La fracture de segond est un signe de rupture de
ligament croisé antérieur 258. Dans les fractures ouvertes [R 1]
□ E. La technique de kenneth jones utilise un transplant
□ A. Le pronostic est dominé par le risque infectieux
rulien □ B. Le fixateur externe est un moyen d’ostéosynthèse
250. A propos du traumatisme ligamentaire du genou utilisable dans ces fractures
[R 2]
□ A. Un recurvatum est un signe d’une atteinte des
points d’angles. 2018
□ B. Un avalement de la tubérosité tibiale antérieur est
259. Dans l’entorse du genou [R 1]
évocateur d’une rupture du lcp.
□ C. Une triade antéro-externe est consécutive d’un mé- □ A. Une rupture de lca est recherchée par le signe du
canisme en valgus-flexion-rotation externe. tiroir antérieur
□ D. Le test de lachman est spécifique d’une rupture du
lcp.
□ E. Une triade antéro-interne associée une lésion de 2017
papi-lli-lca
260. Dans l’entorse du genou [R 2]
251. Une lésion traumatique du ligament croisé anté-
rieur du genou lca [R 2] □ A. I ’hémarthrose, la douleur vive, et la difficulté à
□ A. Le mécanisme le plus fréquent est un traumatisme bouger l’articulation sont les principaux symptômes
nan appuyé aigus.
□ B. Peut donner une hémarthrose □ B. Une rupture du lca est recherchée par le signe du
□ C. Le test de lachman est spécifique d’une lésion du tiroir antérieur.
lca □ C. Le glaçage et l’immobilisation sont des moyens
□ D. Peut entrainer une avulsion de la surface osseuse physiques de traitement.
pré spinale 261. Un patient ramené aux urgences suite à une choc
□ E. Une fracture de segond est un signe indirect d’une
indirect sur le genou (shoot dans le vide) lors d’un match
lésion du lca [R 1]
252. Les lésions traumatiques du ligament croisé anté-
□ A. Il s’agit probablement d’une entorse grave du ge-
rieur du genou [R 1]
nou
□ A. Entrainent une entorse grave □ B. Le glaçage avec surélévation et immobilisation du
□ B. Entrainent une hémarthrose membre sont indispensable
□ C. Un ressaut ratoire est pathognomonique □ C. La radiologie peut montrer des signes d’arrache-
253. A propos de la lésion ligamentaire du genou [R 1] ment ligamentaire
247 → CDE 248 → ABCD 249 → ABCDE 250 → ABE 251 → BCDE 252 → ABC 253 → ABC 254 → AB
255 → ABC 256 → A 257 → AB 258 → AB 259 → A 260 → ABC 261 → ABC

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.12. TRAUMATISME OSSEUX DU GENOU

1.12
2016
Traumatisme osseux du genou
262. Quel est le signe clinique le plus fréquent dans une
rupture ligamentaire du genou [RATT]

□ A. Hémarthrose 2022
263. Dans l’entorse du genou [R 3] 271. Le type v de la classification de la sofcot des frac-
tures de l’extrémité inférieure du fémur est [R 2]
□ A. L’hémarthrose, la douleur vive, l’impotence fonc-
tionnelle sont les principaux symptômes. □ A. Une fracture diaphyso-métaphyso-épiphysaire
□ B. Glaçage et l’immobilisation sont des moyens phy- □ B. Une fracture supra-condylienne complexe sans
siques de traitement. console de stabilité
□ C. Une fracture sus et inter-condylienne simple
264. Devant une luxation du genou l’examen clinique □ D. Une fracture sus et inter-condylienne à comminu-
doit chercher [R 2] tion métaphysaire
□ E. Une fracture supra-condylienne simple
□ A. Les lésions ligamentaires
□ B. Les lésions cutanées 272. Le traitement des fractures de l’extrémité infé-
□ C. Les lésions vasculaires rieure du fémur [R 2]
□ D. Les lésions neurologiques □ A. Est chirurgical chez l’adulte
□ E. Les lésions osseuses □ B. Peut-être orthopédique chez l’adulte
□ C. La traction suivie d’une immobilisation plâtrée
265. Devant un flessum du genou inférieur à 30 degrés.
peut être indiqué chez l’enfant
quel est le diagnostic le plus probable [R 2] □ D. Les fractures articulaires doivent bénéficier d’une
□ A. Luxation du genou. réduction anatomique
□ B. Rupture du lca □ E. Le fixateur externe est indiqué dans les fractures
□ C. Rupture du lli ouvertes.
□ D. Lésion méniscale luxée. 273. Le type iv de la classification de schatzker des frac-
□ E. Rupture du lcp tures de l’extrémité supérieure du tibia est [R 2]
266. Quel est le signe clinique le plus fréquent dans une □ A. Une fracture tubérositaire + fracture diaphysaire
rupture ligamentaire du genou [R 2] haute
□ B. Une fracture-séparation pure du plateau tibial la-
□ A. Douleur téral
□ B. Varus □ C. Une fracture-enfoncement pure du plateau tibial
□ C. Valgus latéral
□ D. Hémarthrose □ D. Une fracture bitubérositaires
□ E. Récurvatum □ E. Une fracture-séparation du plateau tibial médial
267. Une lésion vasculaire peut être secondaire [R 1]

□ A. Une fracture supra condylienne du fémur 2021


□ B. Une luxation du genou
274. Dans les traumatismes osseux du genou [R 3]
268. L’examen permettant de confirmer une rupture du □ Le diagnostic est souvent clinique.
A.
ligament croisé antérieur [R 1] □ Le nerf fibulaire commun est souvent atteint.
B.
□ Les lésions méniscales associées sont fréquentes
C.
□ A. Tirroir antérieur à 90 degrés □ Le scanner est primordial pour le bilan lésionnel et
D.
269. Toutes les propositions suivantes sont exactes sauf le planning opératoire.
une, concernant la laxité antérieure chronique du genou □ E. Le traitement est souvent orthopédique.
275. La recherche radiographique d’une fracture ré-
□ A. Tiroir antérieur positif à 90°
cente du plateau tibial externe peut exiger [R 3]
□ B. Lackman-trillat positif
□ C. Ressaut ratoire latéral positif □ A. Des incidences de ¾
□ D. Dérobement antéro-interne □ B. Une incidence fémoro-patellaire
□ E. Ressaut en extension □ C. Une tdm
□ D. Un cliche en valgus forcé prudent
270. Quel est le critère le plus fiable dans la laxité an- □ E. Une arthrographie opaque
térieure chronique 276. Les fractures de l’éxtrémité inférieure du fémur [R
□ A. Tiroir antérieur à 90° 2]
□ B. Ressaut ratoire interne □ A. Surviennent après un traumatisme à haute énergie
□ C. Douleur articulaire □ B. Sont des fractures graves
□ D. Amyotrophie du quadriceps □ C. Le genou verrouillé en position d’extension-appui
□ E. Blocage du genou monopodal est la situation de vulnérabilité
262 → A 263 → AB 264 → ACE 265 → D 266 → D 267 → AB 268 → A 269 → E 270 → A 271 → D
272 → ACDE 273 → E 274 → BCD 275 → ACD 276 → ABC 277 → ABC

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.12. TRAUMATISME OSSEUX DU GENOU

277. Dans les fractures des plateaux tibiaux [R 2] □ B. Les fractures bitubérositaires sont secondaires à
□ A. Les fractures bitubérositaires sont secondaires à une compression axiale
une compression axiale □ C. L’atteinte des ménisques est fréquente
□ B. Dans le cadre d’un polytraumatisé,le diagnostic □ D. Ce sont des fractures par définition : articulaires
peut passer inaperçu □ E. L’agent vulnérant est le condyle fémoral
□ C. L’agent vulnérant est le condyle fémoral 284. Un patient est ramené aux urgences suite à une
278. Un vielle dame est ramenée aux urgences suite chute d’un lieu élevé et réception sur le membre inférieur
à une chute de sa hauteur et réception sur le ge- gauche jambe tendue en extension, avec gros genou, im-
nou,l’examen clinique retrouve un genou globuleux ,une potence fonctionnelle et douleur en regard de l’extrémité
impotence fonctionnelle et douleur importante [R 2] supérieure du tibia [R 3]
□ A. Il peut s’agir d’une fracture de l’éxtrémité inférieur □ A. Il s’agit surement d’une fracture de l’extrémité su-
du fémur ou du plateau tibial périeure du tibia
□ B. Le diagnostic est radiologique □ B. Le diagnostic est radiologique
□ C. D’autres fractures associées du membre ipsilatéral
□ C. Le scanner (tdm) n’est pas indispensable
sont possibles □ D. Souvent, il s’agit d’une fracture en tassement- sé-
paration
2020 □ E. Son traitement est souvent orthopédique

285. Suite à un choc latéral violent sur un genou en


279. Dans les traumatismes osseux du genou [R 1]
appui, par un para-choc d’un véhicule en mouvement [R
□ A. La position de vulnérabilité du genou est : en appui 3]
monopodal genou verrouillé en extension.
□ B. Se compliquent souvent de raideur articulaire. □ A. On aura surement une fracture du plateau tibial
□ C. La tomodensitométrie est un examen essentiel dans externe de type spinotubérositaire
le bilan pré-thérapeutique. □ B. Le risque de lésion du nerf fibulaire commun est
rare
280. Dans les fractures de l’extrémité inferieure du fé-
□ C. Une lésion cutanée associée est fréquente
mur [R 2]
□ D. Il y’aura surement une fracture du plateau tibial
□ A. La fracture type" hoffa" est une fracture bi condy- interne (mécanisme en casse-noix)
laire □ E. Souvent il s’agit d’une fracture extra-articulaire de
□ B. La fracture type "trelat" est une fracture supra l’extrémité supérieure du tibia
condylaire
□ C. Le diagnostic est radiologique 286. L’articulation du genou [R 2]
□ D. Touche souvent un homme jeune après trauma-
□ A. Est une articulation non congruente
tisme violent
□ B. Les ménisques sont des fibrocartilages qui aug-
□ E. Elles sont toutes articulaires
mentent la congruence.
281. Dans les fractures des plateaux tibiaux [R 2] □ C. Le lcp est richement vascularisé
□ A. Parmi les mécanismes traumatiques on a : l’hyper □ D. Le lle est constitué de 2 faisceaux superficiel et
extension appuyée profond.
□ B. Les fractures bitubérositaires sont secondaires à un □ E. Le plan ligamentaire interne s’oppose au varus.
choc latéral, membre en appui
□ C. L’atteinte des ménisques est rare
□ D. Les fractures séparations nécessitent une greffe os- 2019
seuse
□ E. Le scanner montre le plus souvent une fracture plus 287. La fracture de l’extrémité inferieure du fémur [R
importante que celle de la radio 2]
282. Les fractures de l’extrémité inférieure du fémur [R
□ A. Survient souvent suite à un choc violent chez un
3]
sujet jeune
□ A. Touchent souvent un sujet jeune suite à une chute □ B. L’enclouage verrouillé du fémur, fait partie de l’ar-
banale de sa hauteur senal thérapeutique
□ B. La fracture type « trelat » est une fracture à trait
frontal 288. Dans les fractures de l’extrémité inferieure du fé-
□ C. Sont des fractures graves mur [R 3]
□ D. Évoluent souvent vers l’arthrose post traumatique
□ A. La fracture type "hoffa" se fait dans un plan frontal
□ E. Le choc latéral sur le genou et le choc axial sont
□ B. Sont des fractures graves
des mécanismes lésionnels fréquents
283. Dans les fractures des plateaux tibiaux [R 3] 289. Fractures élémentaire ou simple sont : (cochez la
réponse fausse) [R 2, R 3]
□ A. La fracture spino tubérositaire se fait suite à un
choc latéral sur le genou □ A. Fracture en « t »

278 → ABC 279 → ABC 280 → CD 281 → AE 282 → CDE 283 → BCDE 284 → ABD 285 → C 286 → ABC
287 → AB 288 → AB 289 → A

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.12. TRAUMATISME OSSEUX DU GENOU

2018 □ A. Les fractures unicondylaires du fémur distal sont


des fractures articulaires
290. Dans les fractures des plateaux tibiaux [R 1] □ B. La fracture type « hoffa » est une fr bicondylaire
□ A. Le mécanisme traumatique est l’hyper extension du fémur distal
appuyée et la compression axiale. □ C. La fracture « séparation » est la principale lésion
□ B. Les fractures bi-tubérositaires sont secondaires à anapath des plateaux tibiaux
une compression axiale □ D. Les fractures bi tuberositaires des plateaux tibiaux
□ C. En cas de polytraumatisme le diagnostic de ces font suite à un choc par compression latérale sur le
fractures peut passer inaperçu. genou
□ E. Une fracture spinotubérositaire, détachent un pla-
291. Les fractures sus inter condyliennes de l’extrémité
teau tibial avec le massif des épines
inferieure du fémur [R 3]
300. Concernant le genou [R 1]
□ A. Sont souvent déplacées
□ B. Nécessitent une réduction épiphysaire puis méta- □ A. Les fractures unicondylaires du fémur distal sont
physaire des fractures articulaires
□ C. Sont articulaires □ B. Une fracture spinotuberositaire, détache un pla-
□ D. Leur traitement est chirurgical teau tibial avec le massif des épines.
292. Dans le syndrome du tableau de bord [R 3] 301. Dans les fractures de l’extrémité inférieure du fé-
mur [R 2]
□ A. La force vulnérante est transmise par les plateaux
tibiaux si genou en extension □ A. Les fractures bicondylaires sont des fractures arti-
□ B. La force vulnérante est transmise par la rotule si culaires
□ B. Une lésion vasculaire est toujours possible et à re-
genou en flexion
chercher
293. La compression axiale dans les fractures de l’extré- □ C. Une complication thromboembolique est à redou-
mité supérieure du tibia détermine les lésions anatomo ter
pathologiques suivantes [R 3]
□ A. Fractures en t, en v ou en y inverse
□ B. Fractures bi-tubérositaires 2016
□ C. Fractures simples et complexes
302. Dans les fractures de l’extrémité inferieure du fé-
□ D. Fractures enfoncements
mur
294. Les fractures spino-tubérositaires [R 3]
□ A. Une lésion vasculaire est toujours possible et à re-
□ A. Sont des fractures articulaires chercher.
295. Dans les fractures de l’extrémité inferieure du fé- □ B. Touche souvent un homme jeune après trauma-
mur, les fractures supra condyliennes [R 3] tisme violent.
□ C. Une complication thromboembolique est à redou-
□ A. Sont extra articulaires
ter.
□ B. Les vaisseaux postérieurs sont menacés par le dé-
placement des fragments osseux 303. Une épiphysiodėse excentréo antero-externe de
□ C. Nécessite souvent un traumatisme violent l’extrémité inferieur du fémur , entraine
296. La fracture de hoffa [R 3] □ A. Genu valgum recurvatum
□ A. Est une fracture uni condylienne 304. Dans les fractures de l’extrémité inferieure du fé-
□ B. Est une fracture horizontale mur [R 3]
297. Dans les fractures de l’extrémité inferieure du fé- □ A. La fracture type "hoffa" est une fracture uni condy-
mur [R 1] laire
□ B. Une lésion vasculaire est toujours possible et à re-
□ A. Une lésion vasculaire est toujours possible et à re- chercher.
chercher. □ C. Une complication thromboembolique est à redou-
□ B. Touche souvent un homme jeune après trauma- ter.
tisme violent.
□ C. Une complication thromboembolique est à redou- 305. Les fractures sus inter condyliennes de l’extrémité
ter. inferieure du fémur
□ A. Sont souvent déplacées
□ B. Nécessitent une réduction apophysaire puis méta-
2017 physaire
□ C. Sont articulaires
298. Dans les fractures des plateaux tibiaux [R 2] □ D. Leur traitement est chirurgical
□ A. Le mécanisme traumatique est l’hyper extension 306. La fracture de l’extrémité inferieure du fémur
appuyée et la compression axiale. □ A. Survient souvent suite à un choc violent chez un
□ B. En cas de polytraumatisme le diagnostic de ces
sujet jeune
fractures de plateaux tibiaux peut passer inaperçu. □ B. L’enclouage verrouillé du fémur, fait partie de l’ar-
299. Concernant le genou [R 1] senal thérapeutique
290 → ABC 291 → ABCD 292 → AB 293 → ABCD 294 → A 295 → ABC 296 → AB 297 → ABC 298 → AB
299 → AE 300 → AB 301 → ABC 302 → ABC 303 → A 304 → ABC 305 → ABCD 306 → AB

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.13. TRAUMATISME OUVERT DE LA JAMBE

1.13
315. Le traitement d’une fracture ouverte de jambe [R
Traumatisme ouvert de la jambe 1]
□ A. Doit etre instauré en urgence
□ B. Doit éviter l’infection ,couvrir le foyer de fracture
2022 et stabiliser l’os
□ C. Doit comporter une prophylaxie anti tétanique
307. Dans les fractures ouvertes de jambes par méca- □ D. Le parage chirurgical doit se faire dans les condi-
nisme indirect [R 2] tions d’asepsie rigoureuse
316. Le traitement des fractures ouvertes de jambe de
□ A. L’ouverture se fait de dehors en dedans
□ B. Le risque de contamination est faible stade iii (cauchoix-duparc ) comporte [R 1]
□ C. Il s’agit souvent de fractures spiroïdes □ A. Une immobilisation des lésions osseuses par fixa-
□ D. Il s’agit souvent de fractures transversales teur externe
□ E. La fibula n’est jamais fracturée □ B. Un parage soigneux des parties molles
308. Dans la classification de cauchoix et duparc [R 2] 317. La classification de cauchoix et duparc dans les
fractures ouvertes de jambe [R 2]
□ A. Le type 2 correspond à une plaie sans décollement
ni contusion □ A. Est basée sur l’ouverture cutanée
□ B. Dans le type 1 si la plaie est fermée précocement 318. Le traitement des fractures ouvertes de jambe de
la fracture est considérée comme fermée stade iii (cauchoix-duparc) doit comporter [R 3]
□ C. Le type 3b correspond à une perte de substance □ Une prévention antitétanique
A.
étendue sans possibilité de réparation □ Un parage soigneux des parties molles
B.
□ D. Le type 4 correspond à des lésions de broiement □ Une fermeture cutanée primitive
C.
□ E. La classification a un intérêt pronostique et théra- □ Une ostéosynthèse des lésions osseuses par plaque
D.
peutique vissée
□ E. Une immobilisation des lésions osseuses par fixa-
teur externe
2021
309. Le traitement d’une fracture ouverte de jambe [R 2020
2]
319. Le traitement d’une fracture ouverte de la jambe
□ A. Doit éviter l’infection ,couvrir le foyer de fracture
[R 3]
et stabiliser l’os
□ B. Doit comporter une prophylaxie anti tétanique □ A. Doit être instauré en urgence
□ B. Doit éviter l’infection, couvrir le foyer de fracture
□ C. Le parage chirurgical doit se faire dans les condi-
tions d’asepsie rigoureuse e stabiliser l’os
□ C. Doit comporter une prophylaxie anti tétanique
310. Une fracture ouverte de jambe avec une ouverture □ D. L’administration des antibiotiques est facultative
de dedans en dehors [R 2] □ E. Le parage chirurgical doit se faire dans des condi-
tions d’asepsie rigoureuse
□ A. Le trait de fracture peut etre spiroidal
□ B. Est secondaire à un mécanisme indirect 320. Dans les fractures ouvertes [RATT]

311. La classification de cauchoix et duparc dans les □ A. Le pronostic est dominé par le risque infectieux
□ B. Le fixateur externe est un moyen d’ostéosynthèse
fractures ouvertes de jambe [RATT]
utilisable dans ces fractures
□ A. Est basée sur les lésions cutanées 321. A propos des fractures ouvertes de la jambe [R 1]
312. Le traitement d’une fracture ouverte de jambe □ A. Le pronostic d’une fracture ouverte est dominé par
[RATT] le risque infectieux.
□ A. Doit être instauré en urgence □ B. Le parage de la plaie est un geste primordial dans
□ B. Doit éviter i’ infection, couvrir le foyer de fracture l’évolution d’une fracture ouverte.
et stabiliser l’os □ C. Le parage transforme une plaie traumatique en une
□ C. Doit comporter une prophylaxie anti tétanique plaie chirurgicale
□ D. Le parage chirurgical doit se faire dans les condi- □ D. Le parage doit se faire au bloc opératrice dans les
tions d’asepsie rigoureuse. conditions d’asepsie chirurgicale.
□ E. Le parage se fait de la superficie à la profondeur.
313. Dans les fractures ouvertes de la jambe [R 1]
322. Un jeune homme de 20 ans, après un accident de
□ A. Le trait de fracture est spiroide lors d’un méca- motocyclette présente une fracture pluri-fragmentaire
nisme indirect des 02 os de la jambe ouverte ce type iii sans lésion
□ B. Les contusions et les lésions des parties molles sont vasculo-nerveuses. quel traitement choisir ? [R 2]
plus fréquentes lors d’un mécanisme direct
□ A. Parage et fixateur externe.
314. La classification de cauchoix et duparc dans les 323. Le type il de cauchaix et duparc comporte [R 1]
fractures ouvertes de la jambe [R 1]
□ A. Les décollements cutanés.
□ A. Est basée sur l’ouverture cutanée □ B. Les contusions.

307 → BC 308 → BCDE 309 → ABC 310 → AB 311 → A 312 → ABCD 313 → AB 314 → A 315 → ABCD
316 → AB 317 → A 318 → ABE 319 → ABCE 320 → AB 321 → ABCDE 322 → A 323 → ABC

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.13. TRAUMATISME OUVERT DE LA JAMBE

□ C. Les sutures sous tension. □ C. Le syndrome de loge


□ D. La pseudarthrose de jambe septique ou aseptique
324. Dans les fractures ouvertes [R 1]
334. Les complications tardives possibles d’une fracture
□ A. Le pronostic est dominé par le risque infectieux
ouverte de jambe type ii stabilisé par un enclouage cen-
□ B. Le fixateur externe est un moyen d’ostéosynthèse
tromédullaire sont [R 1]
utilisable dans ces fractures
□ A. La pseudarthrose de jambe septique ou aseptique
325. La classification de cauchoix et duparc dans les □ B. Les raideurs articulaires
fractures ouvertes de la jambe [R 3]
□ A. Est basée sur l’ouverture cutanée
□ B. Est basée sur les lésions vasculaires 2018
□ C. Est basée sur les lésions vasculaires et nerveuses
335. Le traitement d’une fracture ouverte de la jambe
326. Une fracture ouverte de la jambe avec une ouver- [RATT]
ture de dedans en dehors [R 3]
□ A. Doit être instauré en urgence
□ A. Est secondaire à un mécanisme indirect □ B. Doit éviter l’infection, couvrir le foyer de fracture
□ B. Le risque de contamination est élevé e stabiliser l’os
□ C. S’accompagne d’une contusion importante des par- □ C. Doit comporter une prophylaxie anti tétanique
ties molles □ D. L’administration des antibiotiques est facultative
□ D. Le trait de fracture peut être spiroïdal □ E. Le parage chirurgical doit se faire dans des condi-
□ E. Est secondaire à un choc direct tions d’asepsie rigoureuse
327. Les complications de la fracture ouverte de jambe 336. Le typeii de cauchoix et duparc comporte [R 3]
stabilisée par un fixateur externe sont [RATT] □ A. Les décollements cutanés.
□ B. Les contusions.
□ A. La thrombophlébite □ C. Les sutures sous tension.
□ B. Les raideurs articulaires
□ C. Le syndrome de loge 337. A propos des fractures ouvertes de jambe [R 3]
□ D. La pseudarthrose de jambes septique ou aseptique □ A. Le pronostic d’une fracture ouverte est dominé par
le risque infectieux.
□ B. Le parage de la plaie est un geste primordial dans
2019 l’évolution d’une fracture ouverte.
□ C. Le parage transforme une plaie traumatique en une
328. La couverture du foyer fracturaire dans une frac-
plaie chirurgicale
ture ouverte de jambe peut faire appel à [R 1] □ D. Le parage doit se faire au bloc opératoire dans les
□ A. Suture simple sans tension conditions d’asepsie chirurgicale.
□ B. Suture avec incision de décharge postérieure. □ E. Le parage se fait de la superficie à la profondeur.
□ C. Cicatrisation dirigée. 338. Un jeune homme de 20 ans après un accident
□ D. Greffe de peau. de motocyclette présente une fracture complexe des 02
□ E. Lambeaux.
os de la jambe ouverte de type iii sans lésion vasculo-
329. La classification de cauchoix et duprac est une clas- nerveuses quel traitement choisir ? [R 3]
sification basée sur [R 1] □ A. Parage et fixateur externe.
□ A. Les lésions cutanées. 339. La classification de cauchoix-duparc des fractures
330. Le traitement des fractures ouvertes de jambe de ouvertes de jambes est basée sur [R 1]
stade 3 cauchoix-duparc doit comporter [R 1] □ A. Les lésions cutanées.
□ A. Un parage soigneux des parties molles 340. Les complications d’une immobilisation plâtrée
□ B. Une immobilisation des lésions osseuses par fixa- d’une fracture de la jambe [RATT]
teur externe □ A. Syndrome des loges
331. Dans les fractures ouvertes [RATT] □ B. Phlébite
□ C. Escarre cutanée
□ A. Le fixateur externe est un moyen d’ostéosynthèse □ D. Déplacement secondaire
utilisable dans ces fractures 341. A propos des fractures ouvertes, toutes les affir-
□ B. Le pronostic est dominé par le risque infectieux
mations suivantes sont vraies, sauf une. laquelle ? [R 2]
332. Dans les fractures ouvertes de jambe [R 1]
□ A. L’embolie graisseuse est plus fréquente dans les
□ A. Le trait de fracture est spiroide lors d’un méca- fractures ouvertes.
nisme indirect 342. La classification de cauchoix et duparc dans les
□ B. Les contusions et les lésions des parties molles sont
fractures ouvertes de jambe [RATT]
plus fréquentes lors d’un mécanisme direct
□ A. Est basée sur l’ouverture cutanée
333. Les complications de fracture ouverte de jambe □ B. Est basée sur les lésions vasculaires
stabilisée par un fixateur externes sont [R 2, RATT] □ C. Est basée sur les lésions vasculaires et nerveuses
□ A. La thrombophlébite 343. Le traitement d’une fracture ouverte de jambe
□ B. Les raideurs articulaires [RATT]

324 → AB 325 → A 326 → AD 327 → ABCD 328 → ABCDE 329 → A 330 → AB 331 → AB 332 → AB
333 → ABCD 334 → AB 335 → ABCE 336 → ABC 337 → ABCDE 338 → A 339 → A 340 → ABCD
341 → A 342 → A 343 → ABCD
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.13. TRAUMATISME OUVERT DE LA JAMBE

□ A. Doit être instauré en urgence 352. Une fracture ouverte de jambe avec une ouverture
□ B. Doit éviter l’infection, couvrir le foyer de fracture de dehors en dedans [R 3]
et stabiliser l’os □ A. Le risque de contamination est élevé
□ C. Doit comporter une prophylaxie anti tétanique □ B. Est secondaire à un choc direct
□ D. Le parage chirurgical doit se faire dans les condi- □ C. S’accompagne d’une contusion importante des par-
tions d’asepsie rigoureuse. ties molles
344. Dans les fractures ouvertes de jambe [RATT] 353. Une fracture ouverte de jambe avec une ouverture
□ A. Le trait de fracture est spiroide lors d’un méca- de dedans en dehors [R 2]
nisme indirect □ A. Est secondaire à un mécanisme indirect
□ B. Les lésions des parties molles sont plus fréquentes □ B. Le risque de contamination est élevé
lors d’un mécanisme direct □ C. S’accompagne d’une contusion importante des par-
345. Quel traitement pour une fracture comminutive de ties molles
□ D. Le trait de fracture peut être spiroïdal
la jambe au tiers moyen avec ouverture de stade 2 [R 1,
□ E. Est secondaire à un choc direct
R 2]
354. Le traitement des fractures ouvertes de jambe de
□ A. Parage, lavage, drainage et fermeture cutanée sans
stade iii (cauchoix et duparc) doit comporter [R 3, R 2]
tension
□ B. Ostéosynthèse par fixateur externe □ A. Un parage soigneux des parties molles
□ C. Sérothérapie att et vaccination □ B. Une immobilisation des lésions osseuses par fixa-
□ D. Antibiothérapie teur externe
346. Le traitement d’une fracture ouverte de jambe [R 355. Les complications tardives possibles d’une fracture
2] ouverte de jambe type ii stabilisé par un enclouage cen-
tromédullaire sont [R 3]
□ A. Doit être instauré en urgence
□ B. Doit éviter l’infection, couvrir le foyer de fracture □ A. La pseudarthrose de jambe septique ou aseptique
et stabiliser l’os □ B. Les raideurs articulaires
□ C. Doit comporter une prophylaxie antitétanique
□ D. Le parage chirurgical doit se faire dans les condi-
tions d’asepsie rigoureuse.
2016
347. Dans les fractures ouvertes de jambe [R 2] 356. Quelles complications évoquer vous devant une im-
□ A. Le trait de fracture est spiroide lors d’un méca- mobilisation plâtré d’une fracture de la jambe
nisme indirect □ A. Syndrome des loges
□ B. Les contusions et les lésions des parties molles sont □ B. Phlébite
plus fréquentes lors d’un mécanisme direct □ C. Escarre cutanée
□ D. Déplacement secondaire
357. A propos des fractures ouvertes de jambe
2017 □ A. Le pronostic d’une fracture ouverte est dominé par
348. La classification de cauchoix et duprac est une clas- le risque infectieux.
□ B. Le parage de la plaie est un geste primordial dans
sification basée sur [RATT]
l’évolution d’une fracture ouverte.
□ A. Les lésions cutanées. □ C. Le parage transforme une plaie traumatique en une
349. Dans les fractures ouvertes [RATT] plaie chirurgicale
□ D. Le parage doit se faire au bloc opératoire dans les
□ A. Le pronostic est dominé par le risque infectieux
□ B. Le parage de la plaie est un geste primordial dans conditions d’asepsie chirurgicale.
□ E. Le parage se fait de la superficie à la profondeur.
l’évolution d’une fracture ouverte
□ C. L’antibiothérapie n’est pas nécessaire 358. Les complications tardives passibles d’une fracture
□ D. Un fixateur externe est un moyen d’ostéosynthèse ouverte de jambe type ll stabilisé par un enclouage cen-
utilisable dans ces fractures tromédullaire sont
350. Les complications possibles d’une fracture ouverte □ A. La pseudarthrose de jambe septique ou aseptique
de jambe traitée par plâtre cruro-pédieux sont [RATT] □ B. Les raideurs articulaires
□ A. La thrombophlébite 359. A propos des fractures ouvertes, toutes les affir-
□ B. B la pseudarthrose de jambe septique ou aseptique mations suivantes sont vraies, sauf une. la quelle ?
□ C. Le déplacement secondaire □ A. L’embolie graisseuse est plus fréquente dans les
□ D. Le syndrome de loge fractures ouvertes.
351. Dans les fractures ouvertes [R 3] 360. Les complications possibles d’une fracture ouverte
□ A. Le pronostic est dominé par le risque infectieux de jambe traitée par plâtre cruro- pédieux sont [R 2]
□ B. Le parage de la plaie est un geste primordial dans □ A. La thrombophlébite
l’évolution d’une fracture ouverte □ B. La pseudarthrose de jambe septique ou aseptique
□ C. Un fixateur externe est un moyen d’ostéosynthèse □ C. Le déplacement secondaire
utilisable dans ces fractures □ D. Le syndrome de loge
344 → AB 345 → ABCD 346 → ABCD 347 → AB 348 → A 349 → ABCD 350 → ABCD 351 → ABC
352 → ABC 353 → AD 354 → AB 355 → AB 356 → ABCD 357 → ABCDE 358 → AB 359 → A
360 → ABCDE
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.14. TRAUMATISME VERTÉBRO-MÉDULLAIRE

1.14
□ E. Les raideurs articulaires
361. A propos des fractures ouvertes de la jambe [R 2] Traumatisme vertébro-médullaire
□ A. Le pronostic d’une fracture ouverte est dominé par
le risque infectieux.
□ B. Le parage de la plaie est un geste primordial dans 2022
l’évolution d’une fracture ouverte.
□ C. Le parage transforme une plaie traumatique en une 371. Une fracture du rachis,doit [R 1]
plaie chirurgicale □ A. Faire rechercher une autre lésion viscérale grave
□ D. Le parage doit se faire au bloc opératrice dans les □ B. Etre considérée comme une urgence
conditions d’asepsie chirurgicale. □ C. Etre recherchée systématiquement chez tout trau-
□ E. Le parage se fait de la superficie à la profondeur. matisé grave
362. Dans une fracture ouverte de jambe de type trois □ D. Bénéficier d’un traitement chirurgical
□ E. Faire transporter l’accidenté en position demi-
selon cauchoix duparc [R 2]
assise
□ A. Le risque infectieux est important
372. Le rachis thoracique [R 1]
□ B. La stabilisation se fait par un fixateur externe
□ C. Peut être traitée par un plâtre cruro-pédieux □ A. Est mobile
□ D. Plaie punctiforme □ B. Fait partie de la cage thoracique
□ E. Plaie suturable sans tension □ C. Comprend douze vertèbres
□ D. Est immobile
363. Dans une fracture ouverte de jambe de type iii
□ E. A un canal médullaire large
selon cauchoix dupart [RATT]
373. Le ramassage d’un traumatisé suspect de trauma-
□ A. Le risque infectieux est important tisme du rachis [R 1]
□ B. La stabilisation se fait par un fixateur externe
□ C. Peut être traitée par un plâtre cruro-pédieux □ A. Se fait patient allongé sur le coté
□ B. Requiert au minimum trois personnes
364. Une botte plâtrée peut comprimer les structures □ C. Nécessite un examen sommaire des principales
suivantes [R 3] fonctions vitales
□ A. Tubérosité tibiale antérieure. □ D. Doit respecter l’axe tronc-cou-tete
□ B. Col du péroné. □ E. Requiert au minimum deux personnes
□ C. Mollet. 374. Concernant le score de frankel le d correspond à
365. Pour immobiliser une articulation avec un appa- [R 2]
reillage plâtré on doit immobiliser [RATT, R 3] □ A. Examen neurologique normal
□ A. Les segments sus et sous-jacents. □ B. Force musculaire > 3, utile, sensibilité normale
□ C. Un déficit moteur et sensitif complet, paraplégie
366. Un plâtre cruro – pédieux est indiqué en cas de [R
aréflexie flasque.
3] □ D. Examen neurologique normal
□ A. Fracture du genou. □ E. Force musculaire 1-2, sensibilité préservée
□ B. Fracture des 02 os de la jambe. 375. La technique de laminectomie [R 2]
□ C. Luxation du genou.
□ A. Est un geste de décompression
367. Le traitement des fractures ouvertes de jambe de □ B. S’adresse au rachis traumatique cervical
stade 3 cauchoix-duparc doit comporter [R 1] □ C. S’adresse au rachis traumatique dorsal
□ A. Un parage soigneux des parties molles □ D. S’adresse au rachis traumatique lombaire
□ B. Prévention anti tétanique □ E. Indiquée en cas de troubles neurologique
□ C. Une immobilisation des lésions osseuses par fixa- 376. Le score 3 dans la cotation musculaire correspond
teur externe à une [R 2]
368. Un homme de 45 ans présente, après un accident □ A. Contraction musculaire entrainant un mouvement
de la vole publique, une fracture complexe des 02 as de la possible en éliminant la pesanteur
jambe ouverte de type iii sans lésion vasculo-nerveuses, □ B. Contraction musculaire visible ou palpable sans
le traitement doit comporter [R 1] mouvement
□ C. Contraction musculaire entrainant un mouvement
□ A. Parage et fixateur externe.
possible contre la pesanteur
369. La classification de cuachoix et duparc est une clas- □ D. Contraction musculaire entrainant un mouvement
sification basée sur [R 1] possible une légère résistance
□ A. Les lésions osseuses □ E. Contraction musculaire entrainant un mouvement
□ B. Les lésions nerveuses possible en éliminant la pesanteur
□ C. Les lésions cutanées 377. La technique de bohler dans le traitement des frac-
□ D. Les lésions vasculaires et cutanées
tures du rachis dorsolombaire [R 2]
□ E. Les lésions vasculaires
□ A. Se fait en décubitus dorsal
370. Le type ii de cauchoix et duparc comporte [R 3]
□ B. Se fait sous anesthésie générale
□ A. Les décollements cutanés. □ C. Se fait en décubitus ventral
□ B. Les contusions. □ D. Est une manouvre instrumentale
□ C. Les sutures sous tension. □ E. Se fait à vif

361 → ABCDE 362 → AB 363 → ABC 364 → ABC 365 → A 366 → ABC 367 → ABC 368 → A 369 → C
370 → ABC 371 → ABC 372 → BCD 373 → BCD 374 → B 375 → ACDE 376 → C 377 → CE

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.14. TRAUMATISME VERTÉBRO-MÉDULLAIRE

2019 385. Le patient ne présente aucune mobilité au niveau


des membres inferieurs une sensibilité très faible. classer
378. La mise en place d’un étrier de gardner se fait le selon la classification de frakel [R 1]
selon les étapes suivantes [R 1]
□ A. Frankel b.
□ A. Rasage des zones de pénétration des vis.
386. Quelle incidence radiologique demandez-vous ? [R
□ B. Désinfection par une solution antiseptique.
1]
□ C. Anesthésie locale puis pénétration à 03 travers de
doigt au-dessus du tragus de l’oreille. □ A. Radiographie du bassin.
□ D. Mise en place de l’étrier avec le poids idéal. □ B. Radiographies du rachis lombaire face et profil.
□ C. Radiographies du rachis cervical et thoracique
379. Dans les traumatismes du rachis thoraco-lombaire,
face/profil
la méthode de bohler est [R 1]
387. La prise en charge d’un accidenté suspect d’un
□ A. Une méthode orthopédique de traitement. traumatisme du rachis doit commencer [R 1]
□ B. Basée sur la réduction et la contention externe par
un corset plâtré. □ A. Sur les lieux de l’accident.
□ C. La plus utilisée parmi les autres méthodes ortho- □ B. Dans l’ambulance.
□ C. Au pavillon des urgences.
pédiques.
□ D. Au bloc opératoire.
380. Parmi ces propositions concernant les trauma- □ E. Après conditionnement du malade
tismes du rachis, lesquelles sont justes ? [R 1, RATT] 388. La prise en charge d’un accidenté suspect d’un
□ A. Tout polytraumatisé est considéré comme porteur traumatisme du rachis doit commencer [R 2]
d’une lésion du rachis jusqu’à preuve du contraire. □ A. Sur les lieux de l’accident.
□ B. Les complications neurologiques peuvent être ag-
389. Le rachis cervical supérieur [R 1]
gravées pondant le ramassage et le transport du
blessé. □ A. Est constitué par deux premières vertèbres.
□ B. A un rôle important dans la mobilité de la tête.
390. Les courbures du rachis jouent un rôle important
2018 dans [R 1]
381. Parmi ces propositions concernant les trauma- □ A. La mobilité du rachis.
tismes du rachis les quelles sont justes [R 1] □ B. La dynamique du rachis
□ C. La souplesse du rachis.
□ A. Tout polytraumatisé est considéré comme porteur
391. L’examen neurologique permet de [R 1]
d’une lésion du rachis jusqu’à preuve du contraire
□ B. Les complications neurologiques peuvent être ag- □ A. Rechercher une atteinte de la moelle épinière.
gravées pondant le ramassage et le transport du □ B. Préciser le niveau de l’atteinte neurologique.
blessé. □ C. Explorer la mobilité et la sensibilité.
□ D. Explorer les réflexes et examiner le périnée.
382. Parmi ces propositions concernant les rappels ana-
392. Devant un patient qui a fait une chute de 4 mètres
tomiques du rachis. lesquelles sont justes ? [R 1]
et réception sur le bassin, vous devez [R 1]
□ A. Il n’y a pas de courbures dans le plan frontal.
□ A. Rechercher un état de choc, ou une lésion grave
avec un risque vital (traumatisme crânien, abdomi-
2017 nothoracique...)
□ B. Rechercher une impotence fonctionnelle et une dé-
383. Le patient est conscient coopérant, stable sur le formation du membre inférieur
plan hémodynamique. que recherchez-vous à l’interro- □ C. Faire un examen neurologique à la recherche d’une
gatoire ? [R 1] paralysie
□ D. Rechercher des signes d’ischémie (palpation des
□ A. Les atcds du malade. pouls d’une façon comparative aux membres infé-
□ B. Les conditions du ramassage et du transport du rieurs)
malade.
□ C. Le mécanisme de l’accident. 393. Parmi ces propositions concernant les trauma-
□ D. Une éventuelle prise médicamenteuse en cours tismes du rachis les quelles sont justes [R 3]
□ E. L’examen neurologique jo initial. □ A. Tout polytraumatisé est considéré comme porteur
384. L’examen clinique retrouve des douleurs en regard d’une lésion du rachis jusqu’à preuve du contraire
□ B. Les complications neurologiques peuvent être ag-
du rachis lombaire, des contractures musculaires et une
mobilité anormale d’une épinceuse. que faites-vous ? [R
gravées pondant le ramassage et le transport du
1]
blessé.
394. Parmi ces propositions lesquelles sont justes [R 3]
□ A. Immobiliser le rachis lombaire.
□ B. Donner des antalgiques et des corticoïdes. □ A. L’attitude thérapeutique est conditionnée par la
□ C. Réaliser un examen neurologique présence ou l’absence de troubles neurologiques.
378 → ABCD 379 → ABC 380 → AB 381 → AB 382 → A 383 → ABCDE 384 → ABC 385 → A 386 → ABC
387 → A 388 → A 389 → AB 390 → ABC 391 → ABCD 392 → ABCD 393 → AB 394 → ABCD

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.15. TUMEURS OSSEUSES

□ B. On utilise souvent la voie d’abord antérieur dans □ B. La consolidation d’une fracture est plus rapide en
le traitement chirurgical des lésions du rachis cervical cas de fracture fermée
inferieur.
403. Un poly traumatisé est un patient qui va présenter
□ C. Pour le rachis thoraco-lombaire la voie postérieure
[R 3]
est le plus utilisée.
□ D. Le traitement chirurgical doit répondre à 3 impé- □ A. Plusieurs lésions dont une au moins met en jeu le
ratifs dont la stabilisation des lésions pronostic vital
395. Le rachis cervical supérieur [R 1] 404. Les clichés radiologiques suivants sont incontour-
□ A. Est constitué par deux premières vertèbres. nables chez un polytraumatisé [R 3]
□ B. A un rôle important dans la mobilité de la tête. □ A. Radio thorax
396. Un patient âgé de 32ans maçon de profession, ra- □ B. Radio du bassin
mené aux urgences suite à une chute d’une hauteur es- □ C. Radio du rachis cervical profil
timée à environ 6.m.asa.réceation l’examen retrouve un 405. Le bilan radiologique dans les fractures du rachis
patient conscient en décubitus dorsale ne pouvant pas cervical supérieur comporte [R 3]
bouger ses membres inférieurs. qu’elle est votre conduite
en urgence ? [R 1] □ A. Une radio de face du rachis cervical dégageant les
épaules
□ A. Prise des constantes hémodynamiques. □ B. Une radio de ¾ droit
□ B. Immobilisation du rachis.
□ C. Une radio de face bouche ouverte
□ C. Deux voies d’abord, sonde à oxygène, sonde gas-
□ D. Radio de profil
trique. □ E. Une radio de ¾ gauche
□ D. Examen somatique cranions thoraco abdominal.
406. La courbure physiologique du rachis cervical est
397. Un patient présente une fracture complexe com-
[RATT]
minutive de l2 avec un recul du mure post 50 %. quelle
est votre attitude thérapeutique ? [R 2] □ A. Une lordose
□ A. Traitement orthopédique selon le procédé de boh-
ler. 1.15
□ B. Traitement fonctionnel avec repos strict. Tumeurs osseuses
□ C. Traitement chirurgical
□ D. Coquille lombaire
□ E. Abstention thérapeutique.
398. Parmi ces rappels anatomiques du rachis, les-
2022
quelles sont justes ? [R 3] 407. Les tumeurs bénignes osseuses [R 1]
□ A. Il n’y a pas de courbures dans le plan frontal.
□ A. Se développent à partir des memes lignées cellu-
□ B. Le rachis cervical supérieur est constitué de c1 c2.
laires que les tumeurs osseuses malignes
□ B. Elles ne se transforment jamais en tumeurs ma-
2016 lignes
□ C. Elles surviennent uniquement chez l’enfant et
399. La courbure physiologique du rachis dorsal est [R l’adolescent
3] □ D. La fracture est un mode habituel de découverte
□ E. L’aspect radiologique est univoque avec image de
□ A. Une cyphose
condensation corticale
400. Dans le traitement chirurgical des fractures du ra-
408. Le sarcome d’ewing de l’os [R 1]
chis thoraco-lombaire
□ A. Se fait partiellement en préopératoire immédiat et □ A. Peut débuter par un tableau simulant une infection
sera complétée en peropératoire. osseuse aigue
□ B. La décompression se fait en réduisant les déplace- □ B. Atteint l’enfant et l’adolescent
ments. □ C. Atteint plus souvent le bassin que le genou
□ C. Elle se complète par une éventuelle laminectomie. □ D. L’image en feu d’herbe est fréquente à la radiogra-
phie
401. Dans les traumatismes vertébro-médullaire, sur les □ E. La tdm est prescrite avant l’irm
lieux de l’accident, il faut [R 1]
409. Les tumeurs bénignes osseuses sont [R 2]
□ A. Respecter l’axe tète-cou-tronc
□ B. Transport du malade en décubitus dorsal allongé □ A. Toujours ostéolytiques
□ B. Se localisent sur les diaphyses osseuses uniquement
402. Parmi les affirmations suivantes, laquelle (s) est
□ C. N’entrainent pas de fractures
(sont) correcte(s) [R 3]
□ D. N’envahissent pas habituellement les parties molles
□ A. La consolidation d’une fracture est plus rapide chez □ E. Posent parfois des problèmes de diagnostic diffé-
l’enfant que chez l’adulte rentiel avec des tumeurs malignes
395 → AB 396 → ABCD 397 → C 398 → AB 399 → A 400 → ABC 401 → AB 402 → AB 403 → A
404 → ABC 405 → ABCDE 406 → A 407 → AD 408 → ABD 409 → DE 410 → AB

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.15. TUMEURS OSSEUSES

2021 2017
410. Une tumeur bénigne se caractérise par [RATT] 420. Une image radiographique d’une géode métaphy-
saire entourée d’une ostéo condensation [R 2]
□ A. Les limites floues sans liseré de condensation péri-
phérique □ A. Peut évoquer une forme chronique d’ostéomyélite.
□ B. L’existence d’une réaction périostée □ B. Peut évoquer un ostéome ostéoide
421. Une image radiographique d’une géode métaphy-
saire entourée d’une ostéo condensation [R 2]
2020 □ A. Peut évoquer une forme chronique d’ostéomyélite.
□ B. Peut évoquer un ostéome ostéoide
411. Une tumeur bénigne se caractérise par [R 1]
422. Un sarcome d’ewing du fémur chez un enfant de
□ A. L’absence d’envahissement des parties molles 10 ans [R 2]
□ B. La petite taille de la lésion □ A. La radiographie montre une image de condensation
□ C. L’intégrité des corticales
osseuse
412. Une tumeur bénigne se caractérise par [RATT] 423. Une tumeur osseuse maligne chez un sujet âgé se
□ A. L’absence d’envahissement des parties molles traduit par [R 2]
□ B. La petite taille des lésions □ A. Des douleurs persistantes rebelles aux antalgiques.
□ C. L’intégrité de la corticale 424. Les signes radiologiques évocateurs d’un ostéosar-
come sont [R 2]
2019 □ A. Une condensation des parties molles.
□ B. Une image lytique à contour irrégulier.
413. Les images radiologiques évocatrices d’un ostéo- 425. Le diagnostic radiologique de la malignité tumo-
sarcome sont [R 1] rale probable est évoqué devant [RATT]
□ A. Une image en feu d’herbe. □ A. Ostéolyse large
□ B. Une condensation des parties molles. □ B. Réaction périoste
□ C. Une image lytique à contour irrégulier.
□ C. Envahissement des parties molles
□ D. Amputation d’une corticale
414. Pour un ostéosarcome du fémur chez un homme 426. Les images radiologiques évocatrices d’un ostéo-
de 50 ans [R 1] sarcome sont [R 3]
□ A. La radiographie montre une image de condensation □ A. Une image en feu d’herbe.
□ B. Une condensation des parties molles.
415. Une tumeur osseuse maligne du cartilage de crois- □ C. Une image lytique à contour irrégulier.
sance chez un enfant doit être suspectée devant [R 1]
427. Un ostéosarcome du fémur chez un homme de 50
□ A. Des douleurs persistantes rebelles aux antalgiques. ans [R 3]
□ A. La radiographie montre une image de condensation
2018
2016
416. Le testing musculaire est un examen [R 1]
□ A. Qui fait partie intégrante de l’examen clinique en 428. Les signes radiologiques d’une tumeur maligne
mpr sont [R 2]
□ B. Nécessite la connaissance de la fonction musculaire □ A. Une image lytique à contour régulier.
□ C. Qui permet d’évaluer la force musculaire □ B. Une image en feu d’herbe.
□ C. Une image lytique avec rupture de la corticale.
417. Les images radiologiques évocatrices d’un ostéo- □ D. Une condensation osseuse mal limitée.
sarcome sont [R 1] □ E. Une condensation osseuse avec présence d’un nidus.
□ A. Une image en feu d’herbe. 429. Le diagnostic radiologique de la malignité tumo-
□ B. Une condensation des parties molles. rale probable est évoqué devant [RATT]
□ C. Une image lytique à contour irrégulier. □ A. Ostéolyse large
□ B. Réaction périoste
418. Les images radiologiques évocatrices d’un ostéo-
□ C. Envahissement des parties molles
sarcome sont [R 2] □ D. Amputation d’une corticale.
□ A. Une image en feu d’herbe. 430. Les signes «évocateurs d’une tumeur osseuse ma-
□ B. Une condensation des parties molles. ligne« sont [R 2]
□ C. Une image lytique à contour irrégulier.
□ A. Une simple douleur osseuse nocturne.
419. Pour un ostéosarcome du fémur chez un homme □ B. Des douleurs climatiques.
de 50 ans [R 1] □ C. Des douleurs persistantes
□ D. Des douleurs fébriles.
□ A. La radiographie montre une image de condensation □ E. Des douleurs se type mécanique.

411 → ABC 412 → ABC 413 → ABC 414 → A 415 → A 416 → ABC 417 → ABC 418 → ABC 419 → A
420 → AB 421 → AB 422 → A 423 → A 424 → AB 425 → ABCD 426 → ABC 427 → A 428 → ABCD
429 → ABCD 430 → C
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.15. TUMEURS OSSEUSES

431. Les signes radiologiques évocateurs d’une tumeur □ A. Est une complication d’une fracture décollement
maligne sont [R 3] du cartilage de croissance du fémur distal
□ B. Est une complication de fracture diaphysaire du
□ A. Une condensation des parties molles.
□ B. Une image lytique à contour irrégulier. fémur
□ C. L’échographie permet le diagnostic positif
432. Le diagnostic radiologique de la malignité tumo- □ D. La radiographie montre une image de lyse osseuse
rale probable est évoquer devant [R 1] à contour régulier
□ A. Ostéolyse large □ E. La radiographie montre une image de condensation
□ B. Réaction périoste osseuse
□ C. Envahissement des parties molles 442. Les signes radiologiques évocateurs d’un ostéosar-
□ D. Amputation d’une corticale come sont
433. Une tumeur osseuse maligne chez un sujet agé se □ A. Une image lytique à contour régulier.
traduit par [R 3] □ B. Une condensation osseuse avec présence d’un ni-
□ A. Des douleurs souvent nocturnes. dus.
□ B. Des douleurs de type mécanique. □ C. Une condensation des parties molles.
□ C. Des douleurs fébriles de type inflammatoire. □ D. Une image lytique à contour irrégulier.
□ D. Un œdème important du segment atteint. □ E. Une condensation corticale bien imitée.
□ E. Des douleurs persistantes rebelles aux antalgiques 443. Un sarcome d’ewing du fémur chez un enfant de
434. Le diagnostic radiologique de la bénignité tumo- 10 ans
rale probable est évoqué devant □ A. La radiographie montre une image de condensation
□ A. Image bien cernée osseuse
435. Un patient porteur d’une tumeur osseuse peut 444. Les signes radiologiques évocateurs d’un ostéosar-
consulter pour trois tableaux cliniques come sont
□ A. Tableau clinique où domine la douleur □ A. Une condensation des parties molles.
□ B. Tableau clinique où domine la tuméfaction □ B. Une image lytique à contour irrégulier.
□ C. Tableau clinique où domine la fracture 445. Les images radiologiques évocatrices d’un ostéo-
□ D. Tableau clinique où domine la fièvre sarcome sont
436. Parmi les tumeurs suivantes, quelle est celle qui □ A. Une image en feu d’herbe.
est maligne et productrice de tissus osseux □ B. Une condensation des parties molles.
□ A. Ostéosarcome. □ C. Une image lytique à contour irrégulier.

437. Les signes «évocateurs d’une tumeur osseuse ma-


ligne sont
□ A. Des douleurs persistantes
438. Parmi ces signes radio-cliniques, lesquels sont en
faveur d’une tumeur osseuse maligne
□ A. Evolution rapide
□ B. Réaction periostée
□ C. Image en feu d’herbe
□ D. Corticales rompues
439. La découverte d’une tumeur, qu’elle soit bénigne
ou maligne, se fait selon des circonstances cliniques, les-
quelles
□ A. Tableau clinique de douleur
□ B. Tableau clinique de fièvre
□ C. Tableau clinique de tuméfaction
□ D. Tableau clinique de fracture pathologique
440. Concernant les tumeurs osseuses bénignes, quelles
sont les notions correctes
□ A. Le temps d’évolution est souvent long
□ B. Nécessitent l’exérèse chirurgicale et des bilans d’ex-
tension
□ C. Les structures de voisinages sont intactes
□ D. Peuvent comprimer des structures vasculo- ner-
veuses
441. Un sarcome d’ewing du fémur chez un enfant de
10 ans

431 → AB 432 → ABCD 433 → E 434 → A 435 → ABC 436 → A 437 → A 438 → ABCD 439 → ACD
440 → ACD 441 → E 442 → CD 443 → A 444 → AB 445 → ABC

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.15. TUMEURS OSSEUSES

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CHAPITRE 2

Clinique

Cas Clinique 1 [2020 R 2] □ A. Entamer en urgence un examen neurologique des


04 membres
Vous êtes de garde et vous recevez un homme âgé de 42 □ B. Envoyer directement le patient à la radio
ans victime d’un accident de la circulation, le patient est □ C. Rechercher une urgence vitale et conditionner le
conscient et coopérant il se plaint de douleurs au niveau du patient
cou et une faiblesse musculaire des deux membres supérieurs □ D. Examiner son rachis cervical
avec des paresthésies, □ E. Interroger le patient sur les conditions de ramas-
sage
CC1-1. Notre patient présente probablement un trau- CC1-6. Le patient est coopèrent et il ramène la notion
matisme du rachis cervical, à l’examen neurologique de douleur au niveau du cou, vous aller
vous allez
□ A. Examiner tout le rachis cervical, thoracique, lom-
□ A. Tester la sensibilité superficielle et profonde baire et le reste de l’appareil locomoteur
□ B. Les réflexes ostéo-tendineux bulbo-caverneux, cu- □ B. Examiner juste le rachis cervical
tanéo plantaire et abdominaux □ C. Passer directement à l’examen neurologique
□ C. Le toucher rectal □ D. Accompagner le patient à la radio pour un bilan
□ D. La marche, la station debout et coucher radiologique spécialisé
□ E. La motricité □ E. Faire un bon interrogatoire du malade et de son
CC1-2. Nous demandons au patient de faire l’abduc- entourage
tion des deux bras en s’opposant et en l’empêchant de la CC1-7. Votre bilan radiologique de 1ère intention com-
faire, le patient arrive à soulever ses deux bras, classer portera
le selon le score d’appréciation de la motricité
□ A. Radiographie du rachis cervical de face et de profil
□ A. 1 □ B. Radiographie du rachis cervical de face bouche ou-
□ B. 2 verte
□ C. 3 □ C. Radiographie du rachis thoraco-lombaire
□ D. 4 □ D. Radiographie du bassin
□ E. 5 □ E. Radiographie dynamiques
CC1-3. Lequel parmi ces muscles celui que nous venons CC1-8. Il s’agit d’une fracture de c5 type tear drop ;
de tester (en demandant au patient de faire l’abduction que proposez-vous
de l’épaule)
□ A. Un traitement chirurgical
□ A. Le triceps brachial □ B. Une traction trans- crânienne jusqu’ à consolida-
□ B. Le biceps brachial tion
□ C. Le deltoïde □ C. Une traction trans- crânienne suivi de la confection
□ D. Les muscles fléchisseurs des doigts d’une minerve plâtrée
□ E. Les épitrochléens □ D. La confection d’emblée par une minerve plâtrée
CC1-4. Parmi les muscles suivants quels sont ceux que □ E. L’abstention thérapeutique
vous allez tester pour apprécier la motricité des membres
inférieures
Cas Clinique 2 [2019 R 1]
□ A. Le tibial antérieur
□ B. Le quadriceps fémoral A la suite d’un accident de la circulation. le conduc-
□ C. Le triceps sural teur âgé de 40ans est retrouvé éjecté de son véhicule
□ D. Le muscle couturier conscient mais incapable d’un mouvement volontaire de ses
□ E. Les extenseurs des orteils 02 membres inférieurs A un premier examen rapide de ses
CC1-5. À sa réception vous allez membres on ne retrouve aucune plaie ni aucune détaxation
CC1-1 → ABCE CC1-2 → E CC1-3 → C CC1-4 → ABCE CC1-5 → C CC1-6 → AE CC1-7 → ABCD
CC1-8 → A CC2-1 → AB

33
CHAPITRE 2. CLINIQUE

majeure

CC2-1. Comment doit-on ramasser ce blessé vous allez


□ A. En bloc par en moins 03 personnes
□ B. Ne pas le toucher et attendre l’ambulance
CC2-2. Le bilan radiologique comportera
□ A. Une tdm avec reconstruction bi et tri dimension-
nelle
□ B. Une irm.
□ C. Une radiographie de toute la colonne vertébrale de
face, de profil, face bouche ouverte
CC2-3. Vous recevez ce blessé vous allez
□ A. Rechercher une urgence vitale.

Cas Clinique 3 [2017 R 3]


A la suite d’un accident de la voie publique, le conduc-
teur Age de 35 ans, est retrouve éjecté de son véhicule
conscient mais incapable d’un mouvement volontaire de ses
4 membres. A un premier examen rapide de ses membres,
on ne retrouve aucune plaie ni aucune désaxation majeure.

CC3-1. Ce bilan radiologique est insuffisant pour


conclure. vous devez demander complémentairement
□ A. Une tdm avec reconstruction bi et tri dimension-
nelle.
□ B. Une irm.
CC3-2. Quelles incidences radiologiques faut-il deman-
der en cas de suspicion d’une lésion du rachis cervical
inferieur
□ A. Radiographie du rachis cervical de face.
□ B. Radio de profil
□ C. Radio ¼ droit
□ D. Radio ¾ gauche.
CC3-3. Comment doit-on transporter ce blesse jusqu’a
l’hôpital ?
□ A. Sur le dos
□ B. Immobilisé par une minerve
CC3-4. Vous recevez ce blesse, vous allez
□ A. Rechercher une urgence vitale
CC3-5. Lorsque vous examinerez les clichés, la présence
d’une tétraplégie vous poussera à rechercher tout parti-
culièrement
□ A. Une luxation fracture du rachis cervical inferieure

CC2-2 → ABC CC2-3 → A CC3-1 → AB CC3-2 → ABCD CC3-3 → AB CC3-4 → A CC3-5 → A

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Deuxième partie

Rhumatologie 5ÈME

35
CHAPITRE 1

Théorie

1.1
□ A. 1 39 hypoesthésie se prolonge à la face dorsale du
Lombosciatique gros orteil
□ B. Le réflexe achilléen peut être diminue ou aboli.
□ C. Le malade ne peut marcher sur les talons
□ D. L existe toujours un pincement radiologique du
2022 disque l5-s1
□ E. L39 ;électromyogramme est constamment perturbe
1. Le patient est traité en milieu hospitalier pour toutes
les pathologies rhumatologiques suivantes à l’exception
d’une seule, laquelle ? [R 1] 2021
□ A. Lombosciatique vertébrale commune hyperalgique
□ B. Lombosciatique commune l5-s1 droite avec 6. La hernie disco lombaire, l’étage l4-l5, peut être à
troubles sphinctériens l’origine de toutes les manifestations suivantes sauf une,
□ C. Une maladie de paget douloureuse avec vs calme laquelle [R 1]
□ D. Une lombosciatique commune non déficitaire □ A. Douleur lancinante du genou
□ E. Une polyarthrite aigue □ B. Douleur de la face externe de la jambe
2. Les pathologies rhumatologiques suivantes, à l’excep- □ C. Douleur du bord externe du pied
tion d’une, peuvent avoir un début juvénile entre 9 et 16 □ D. Fourmillements de l’avant pied
□ E. Déficit neurologique des releveurs du pied
ans, laquelle ? [R 1]
□ A. La polyarthrite rhumatoïde 7. La prise en charge est médicale pour les situations
□ B. La spondylarthrite ankylosante suivantes sauf une, laquelle [R 1]
□ C. L’ostéoporose idiopathique □ A. Lombosciatique commune non déficitaire
□ D. La formation du tissu ostéoide □ B. Lombosciatique commune hyperalgique
□ E. Le conflit radiculaire disco-vertébral □ C. Lombosciatique commune s1
3. Parmi les mesures suivantes, laquelle est indiquée en □ D. Lombosciatalgies à bascule
priorité au cours de la prise en charge du conflit disco- □ E. Lombalgies inflammatoires
vertébral l5-l1 non déficitaire : [R 1] 8. Le signe de lasègue positive est recherche pour confir-
□ A. Le repos strict au lit mer [R 1]
□ B. Substitution vitamino-calcique □ A. Une sciatique vertébrale
□ C. La marche □ B. Une raideur lombaire
□ D. Intervention chirurgicale sur le rachis □ C. Une cyphose dorsale
□ E. Injections intramusculaire de corticoïdes □ D. Une dorsalgie inflammatoire
4. Tous ces propositions suivantes à propos là lombos- □ E. L’absence d’anomalie rachidienne
ciatique commune non compliques sont justes sauf une 9. L’exploration d’une lombosciatique par conflit disco
laquelle [R 3] vertébral demande tous les examens suivants sauf un,
□ A. Le mécanisme de la douleur est double mécanique lequel [R 1]
et chimique □ A. Irm
□ B. Généralement l’examen clinique permet à lut seul □ B. Tdm
de poser le diagnostic □ C. Emg
□ C. Absence de fièvre. □ D. Enzymes musculaires
□ D. La radiographie standard est réalisable à la 2eme □ E. Biopsie osseuse
consultation à 15 jours d’évolution 10. Une lombosciatalgie droite aigue, chez un homme
□ E. La marche sur les talons explore la sciatique l5. de 60 ans, ayant régressé spontanément après un repos
5. Dans une lombosciatique discale de topographie s1 au lit de 10 jours, est une des propositions suivantes [R
[R 3] 2]

1 →D 2 →E 3 →A 4 →D 5 →B 6 →A 7 →B 8 →A 9 →D 10 → C

37
CHAPITRE 1. THÉORIE 1.1. LOMBOSCIATIQUE

□ A. Poussée d’arthrite rhumatoïde 2019


□ B. Lombarthrose
□ C. Lombosciatique commune par conflit disco- 17. Une lombosciatique symptomatique [R 3]
radiculaire □ A. Est la plus fréquente de sciatiques
□ D. Accès de goutte □ B. Est suspectées devant une radiculalgie permanente
□ E. Névralgie cervicobrachiale avec des signes généraux et un syndrome inflamma-
11. La hernie disco lombaire, à l’étage l4-l5, peut être à toire
l’origine de toutes les manifestations suivantes sauf une, □ C. Peu être due à une volumineuse hernie discale
laquelle ? [R 2] □ D. Peut être due à des localisations secondaires
□ E. Peut être due à une spondylodiscite
□ A. Douleur lancinante du genou
□ B. Douleur de la face externe de la jambe 18. Une lombosciatique paralysante l5 se manifeste par
□ C. Douleur du bord externe du pied [R 3]
□ D. Fourmillements de l’avant pied □ A. Marche sur les talons est difficile
□ E. Déficit neurologique des releveurs du pied □ B. Marche sur les pointes difficile
12. Le signe de lasègue positif est recherché pour confir- □ C. Un pied tombant par paralysie des muscles rele-
mer [R 2] veurs du pied
□ D. Une amyotrophie quadricipitale est fréquente
□ A. Une sciatique vertébrale □ E. Une abolition du réflexe achilléen
□ B. Une raideur lombaire
19. Dans une lombosciatique commune, vous recherchez
□ C. Une cyphose dorsale
□ D. Une dorsalgie inflammatoire [R 1]
□ E. L’absence d’anomalie rachidienne □ A. L’impulsivité de la douleur la toux et l’éternuement
□ B. Le signe de la sonnette
13. Dans une lombosciatique discale de topographie s1
□ C. Des troubles génito sphinctériens
[R 3] □ D. Un syndrome rachidien lombaire segmentaire avec
□ A. L’hypoesthésie se prolonge à la face dorsale du gros contracture des muscles para vertébraux
orteil □ E. Le signe de lasègue
□ B. Le réflexe achiléen peut etre diminué ou aboli 20. Une lombosciatique s1 déficitaire se manifeste par
□ C. Le malade ne peut marcher sur les talons [R 1]
□ D. Il existe toujours un pincement radiologique du
disque l5-s1 □ A. Un steppage
□ E. L’électromyogramme est constamment perturbé □ B. Un talonnage
□ C. Un déficit de la dorsiflexion du pied
14. Toutes ces propositions suivantes à propos de la □ D. Déficit de la flexion plantaire
lombosciatique commune non compliquée sont juste sauf □ E. Une abolition du réflexe achilléen
une .laquelle ? [R 3] 21. Le (s) diagnostic(s) diférentiel(s) d’une lomboscia-
□ A. Le mécanisme de la douleur est double :mécanique tique commune est (sont ) [R 1]
et chimique □ A. Métastase osseuses
□ B. Généralement l’examen clinique permet à lui seul □ B. Spondylodiscite
de poser le diagnostic □ C. Névralgie cervicale
□ C. Absence d’altération de l’état général □ D. Névralgie cervicobrachiale
□ D. La radiographie standard est réalisable d’emblée □ E. Méralgie paresthésique
□ E. La marche sur les pointes des pieds explore la scia- 22. Devant une lombosciatique commune , vous recher-
tique s1 chez à l’interrogatoire [R 3]
15. Devant une lombosciatique radiculaire l5 commune □ A. L’horaire mécanique des lombosciatalgies
d’origine discale,l’indication opératoire se pose de façon □ B. La présence de paresthésies
formelle devant [R 3] □ C. Le caractère impulsif de la sciatalgie à la défécation
□ D. La présence de troubles génitosphinctériens
□ A. L’apparition d’un steppage
□ E. L’absence d’une fièvre
□ B. Un signe de lasègue à 30 degrés
□ C. L’apparition de raideur matinal importante 23. Devant une lombosciatique communes , vous recher-
□ D. Une image de protrusion discale au scanner chez à l’examen physique [R 3]
□ E. L’abolition du réflexe achiléen □ A. Douleur médiane ou para vertébrale au niveau l4-l5
ou l5-s1
□ B. Cmpv : contracture des muscles para-vertébraux
2020 □ C. Signe de la sonnette positif
16. Une lombosciatique l5 déficitaire se manifeste par □ D. Signe de lasègue positif
□ E. Signe de la cassure
[RATT]
24. Le signe de la sonnette consiste à [R 3]
□ A. Un steppage
□ B. Un talonnage □ A. Une douleur vertébrale au niveau l4-l5 ou l5-s1 à
□ C. Un déficit de la dorsiflexion du pied la palpation des épineuses
□ D. Un déficit de la flexion plantaire □ B. Une impossibilité de réduire une déviation croisée,
□ E. Une abolition du réflexe achilléen patient en position debout.
11 → A 12 → A 13 → B 14 → D 15 → A 16 → AC 17 → BDE 18 → AC 19 → ABCDE 20 → BDE
21 → ABCE 22 → ABCDE 23 → ABCDE 24 → C

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.1. LOMBOSCIATIQUE

□ C. Une radiculalgie déclenchée à la pression para ver- □ B. Face postéro externe de la cuisse
tébrale au niveau l4-l5 ou l5-s1 □ C. Face postérieure du mollet
□ D. Une radiculalgie déclenchée à l’élévation progres- □ D. Tendon d’achille
□ E. Se termine au gros orteil
sive du membre inférieur , patient en décubitus dorsal
□ E. Des points douloureux déclenchés à la pression sur 32. Les signes suivants sont très évocateurs de lombos-
le trajet du nerf sciatique . ciatiques [RATT]
25. Le traitement chirurgical est indiqué devant un □ A. Le signe de la sonnette positif
□ B. Peut s’accompagner de paresthésies
conflit discoradiculaire devant [R 3]
□ C. Peut s’accompagner de troubles génitosphincté-
□ A. L’aggravation d’une sciatique parésiante riens
□ B. La présence d’un lasègue très serré à l’examen cli- □ D. Impulsivité de la douleur à la toux ou à l’éternue-
nique ment
□ C. Un syndrome de la queue de cheval □ E. Horaire inflammatoire de la douleur
□ D. La persistance des radiculalgies malgré une nucléo- 33. Quel examen complémentaire demandez-vous pour
tomie percutanée le diagnostic d’une lombosciatique commune chez un
□ E. La présence d’une lyse isthmique à la radiographie jeune adulte [RATT]
lombaire de profil
□ A. Une irm médullaire
26. La cruralgie [R 3] □ B. Une radiographie du bassin de face
□ C. Une tdm lombaire
□ A. Est due un conflit discoarticulaire au niveau l2-l3
□ D. Un bilan inflammatoire biologique
□ B. Est suspectée devant des paresthésies de la face □ E. Aucun examen complémentaire n’est nécessaire
antéro-externe de la cuisse
34. Une lombosciatique l5 déficitaire se manifeste par
□ C. On retrouve une abolition du réflexe osteotendi-
[RATT]
neux rotulien
□ D. S’accompagne de troubles sphinctériens avec anes- □ A. Un steppage
thésie périnéale □ B. Un talonnage
□ C. Un déficit de la dorsiflexion du pied
□ E. Une amyotrophie quadricipitale peut s’installer
□ D. Un déficit de la flexion plantaire
□ E. Une abolition du réflexe achiléen
2018
2017
27. Le traitement de la lombosciatique repose sur
[RATT] 35. Les signes suivants sont très évocateurs de lombos-
□ A. Repos relatif ciatique [R 1]
□ B. Antalgiques □ A. Le signe de la sonnette positif
□ C. Ains □ B. Peut s’accompagner de paresthésies
□ D. Manipulation vertébrale □ C. Peut s’accompagner de troubles génitosphincté-
□ E. Disectomie riens
28. Une lombosciatique commune l5 chez un adulte □ D. Impulsivité de la douleur à la toux ou l’éternue-
jeune de 30 ans peut se manifester par [R 3] ment
□ E. Horaire inflammatoire de la douleur
□ A. Des radiculalgies se terminant aux gros orteils
36. Quel bilan biologique et d’imagerie réalisez-vous
□ B. Des paresthésies achiliennes
devant une lombosciatique l5 gauche évoluant depuis 5
□ C. Des troubles génito sphinctériens
□ D. Un signe de la sonnette positif jours chez un homme de 27 ans sans antécédent particu-
□ E. Une faiblesse du jambier antérieur lier ; [R 2]
29. Une cruralgie se manifeste par [R 3] □ A. Radiographie rachidienne lombaire de face
□ B. Irm rachidienne
□ A. Des radiculalgies jusqu’à la face interne de la jambe □ C. Vs. nfs,crp
□ B. Des paresthésies en raquette □ D. Radiographie du bassin de face
□ C. Une amyotrophie quadricipitale □ E. Aucune des propositions citée
□ D. Une abolition du réflexe rotulien 37. Que recherchea vous à i’examen clinique chez ce
□ E. Un signe de lasègue positif patient [R 2]
30. Une capsulite rétractile se caractérise par [R 3] □ A. Impossibilité de marcher sur les talons
□ A. Une limitation active de l’abduction □ B. Troubles sphinctériens
□ B. Une limitation passive de la rotation interne □ C. Signe de lasegue direct et croisé
□ D. Déficit du tibial postérieur
□ C. Une épaule douloureuse chez une femme diabétique
□ E. Abolition du réflexe rotulien
□ D. Une sensation de butée aux mouvements de
l’épaule 38. Quels sont les déficits moteurs que vous allez plus
□ E. Un pincement articulaire avec ascension de la tete spécifiquement rechercher dans une lombosciatique l5 [R
2]
31. La lombosciatique l5 est une radiculalgie qui suit le
trajet suivant [RATT] □ A. Tibial antérieur
□ B. Tibial postérieur
□ A. Face postérieure de la fesse □ C. Psoas iliaque

25 → ACD 26 → CE 27 → ABCE 28 → ACDE 29 → ACD 30 → ACD 31 → ABE 32 → ABCD 33 → E


34 → AC 35 → ABCD 36 → E 37 → ABC 38 → AD

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.1. LOMBOSCIATIQUE

□ D. Releveur des orteils □ A. Douleur thoracique haute et violente


□ E. Fléchisseur des orteils □ B. Douleur lombaire à la pression vertébrale
39. Devant l’aspect de vertèbre en ivoire , vous évoquez □ C. Douleur aigue à la mobilisation du tronc
[R 2] □ D. Douleur chronique du coude
□ A. Une hyper parathyroïde □ E. Hyperesthésie permanente du cuir chevelu
□ B. Un lymphome osseux
□ C. Une maladie de paget 47. Le trajet l5 comporte les zones suivantes sauf une ,
□ D. Des métastases d’un cancer du sein laquelle ? [R 3]
□ E. Des métastases d’un carcinome de la prostate
□ A. Face postérieure de la cuisse
□ B. Face postérieure de la jambe
2016 □ C. Dos du pied
40. Une lombosciatique commune présente les caracté- □ D. Gros orteil
ristiques suivantes [R 1]
48. Le reflexe rotulien [R 3]
□ A. Touche le plus souvent l’étage l3-l4
□ B. Peut survenir sur un disque arthrosique □ A. Abolie au cours de la lombosciatique s1
□ C. Complique souvent des métastases osseuses □ B. Abolie au cours de la lombosciatique l5
□ D. La saillie discale est généralement postérieure
□ C. Vif au cours de toute lombosciatique
□ E. Elle est volontiers pluri-radiculaire
□ D. Jamais recherché
41. L’examen clinique d’une lombosciatique s1 défici-
□ E. Non altéré au cours des lombosciatiques s1 et l5
taire retrouve [R 1]
□ A. Un déficit de la marche sur les talons 49. La marche sur les talons explore [R 3]
□ B. Marche sur la point des pieds non déficitaire
□ C. Un réflexe achilléen aboli □ A. La présence de déficit neurologique eu cours de la
□ D. Un déficit de l’extenseur propre du gros orteil lombosciatique s1
□ E. Une manœuvre de léri positive □ B. Est altérée au cours de la lombosciatique l5 défici-
42. L’indication chirurgicale au cours d’une lomboscia- taire
tique commune se pose en cas de [R 1] □ C. Est normale au cours de la lombosciatique l5 défi-
□ A. Résistance thérapeutique citaire
□ B. Présence d’une anesthésie en selle avec troubles □ D. N’est pas recherché
sphinctériens □ E. N’est jamais altérée au cours des lombosciatiques
□ C. Présence d’un signe da laségue serré (<60°)
□ D. Lombosciatique paralysante 50. La marche sur les talons explors [R 3]
□ E. Présence d’un syndrome inflammatoire fortement
positif □ A. A présence de déficit neurologique au cours de la
lombosciatique s1
43. La lombosciatique commune l5 gauche a toutes les
caractéristiques suivantes sauf une,laquelle ? [R 2] □ B. Est altérée au cours de la lombosciatique l5 défici-
taire
□ A. Signe de lasègue positif à 30°
□ C. Est normale au cours de la lombosciatique l5 défi-
□ B. Douleur calmée par le repos strict au lit
□ C. Douleur s’étend jusqu’au gros orteil gauche
citaire
□ D. S’accompagne d’une abolition du réflexe rotulien □ D. N’est pas recherché
□ E. Peut être hyperalgique □ E. N’est jamais altérée au cours des lombosciatiques
44. Le trajet s1 comporte les zones suivantes sauf une
51. Le repos strict au lit [R 3]
,laquelle ? [R 3]
□ A. Face postérieure de la cuisse □ A. Indiqué dans les lombosciatiques
□ B. Face postérieure de la jambe □ B. Contre indiqué dans les lombosciatiques
□ C. Dos du pied □ C. Sans résultat clinique
□ D. Face plantaire du pied
□ D. Jamais prescrit
45. Le signe de lasègue au cours de la lombosciatique □ E. Indiqué après chirurgie
commune , est recherché , le patient en [R 3]
□ A. Décubitus dorsal et membres pelviens en extension 52. La chirurgie dans les lombosciatiques est [R 3]
□ B. Décubitus dorsal , membres pelviens fléchis
□ C. Position debout □ A. Systématique
□ D. Position demi-assise □ B. Après le deuxième episode
□ E. N’importe quelle position □ C. D’emblé dans les sciatiques hyperalgiques et les
46. Au cours de la lombosciatique commune , le signe de sciatiques déficitaires
la sonnerie est une des propositions suivantes , laquelle ? □ D. Sans résultat clinique
[R 3] □ E. Jamais indiquée

39 → BCE 40 → BD 41 → C 42 → BD 43 → D 44 → C 45 → A 46 → B 47 → B 48 → E 49 → B
50 → B 51 → A 52 → C

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. POLYARTHRITE RHUMATOÏDE

1.2
□ A. La déminéralisation
Polyarthrite rhumatoïde □ B. La carpite fusionnante
□ C. Pincement de l’interligne articulaire radiocarpien
□ D. Un pincement de l’interligne articulaire des genoux
□ E. Syndesmophytose étagée
2022 60. Au cours de la polyarthrite rhumatoïde, il y a une
53. Au cours de la polyarthrite rhumatoïde en phase seule caractéristique immunobiologique juste parmi les
d’état ; l’examen clinique de la main peut montrer les suivantes, laquelle [R 3]
signes caractéristiques suivants sauf un, lequel ? [R 1] □ A. Présence d’anticorps antinucléaires avec un titre
élevé
□ A. Aspect de doigt en maillet
□ B. Présence de facteurs rhumatoïdes avec un titre
□ B. Aspect de doigt en boutonnière
□ C. Pouce en 2 élevé
□ C. Présence des anti-ccp avec un titre élevé le plus
□ D. Pouce adductus
□ E. Aspect de main tombante souvent
□ D. Présence des antidna natifs avec un titre élevé
54. Le traitement de fond de référence et de première
61. La raideur articulaire des mains est très significa-
intention au cours de la polyarthrite rhumatoïde est : [R
tive, au cours d’une polyarthrite chronique des mains,
1]
d’une seule des maladies suivantes, laquelle ? [R 3]
□ A. Ains
□ A. Une arthrose digitale
□ B. Prednisone 0.15 mg/kg/jour □ B. Une polyarthrite rhumatoïde
□ C. Méthotrexate □ C. Une ostéomalacie
□ D. Anti tnf alpha □ D. Une gonarthrose
□ E. Anti il6 □ E. Une goutte
55. Dans le liquide de ponction d’une arthrite rhuma- 62. Le nodule rhumatoïde est un : [R 3]
toïde, on trouve par rapport à celui d’une articulation
□ A. Kyste du creux poplité
normale, la perturbation suivante : [R 1] □ B. Nodule pouvant siéger au niveau de la face d’ex-
□ A. Augmentation du taux des protides totaux tension du coude
□ B. Augmentation du taux du complément □ C. Nodule strictement parenchymateux
□ C. Diminution du nombre des leucocytes □ D. Nodule pleural
□ D. Présence de cellules géantes □ E. Signe radiologique de la polyarthrite rhumatoïde
□ E. Présence de microcristaux de mono-urate de so-
dium
2021
56. La lésion histologique suivante est pathognomo-
nique de maladie rhumatologique. est-ce vrai pour toutes 63. Rhumatismale chez la femme au cours d’une des
les lésions ? laquelle ne l’est pas [R 1] maladies suivantes, laquelle ? [R 2]
□ A. Raréfaction osseuse et altération de la microarchi- □ A. Athrite rhumatoïde
tecture osseuse □ B. Spondylarthrite ankylosante
□ B. Présence de tissu ostéoide □ C. Ostéoporose sénile
□ C. Panartérite focale et segmentaire avec infiltrats in- □ D. Arthrite septique à streptocoque
□ E. Lombosciatique
flammatoires
□ D. Plasmocytose médullaires pathologique 64. Le traitement de fond et de première épisode de la
□ E. Synovite inflammatoire subaigüe polyarthrite rhumatoïde est le [R 2]
57. La polyarthrite rhumatoïde a une seule expression □ A. Les anti-tnf a
clinique juste parmi toutes les propositions suivantes ; □ B. Le méthotrexate
□ C. Les immunomodulateurs
laquelle [R 3]
□ D. Les corticoïdes
□ A. Maladie dégénérative □ E. Les ains
□ B. Altère les cartilages articulaires en premier 65. Le méthotrexate est le traitement de première ligne
□ C. Respecte le métabolisme osseux
dans la polyarthrite rhumatoide.il est [R 3]
□ D. Altère anarchiquement les articulations des mains
□ E. Peut faire tarir les secrétions lacrymales □ A. Il est aussi prescrit pour tous les autres rhuma-
58. Le cartilage articulaire est sérieusement affecté au
tismes
□ B. Il est conseillé au cours de l’arthrite septique
cours des maladies suivantes, sauf une, laquelle [R 3] □ C. Il est utilisé dans l’ostéomalacie
□ A. Arthrose diffuse □ D. Inefficace partout
□ B. Polyarthrite rhumatoïde □ E. D’une grande efficacité dans la polyarthrite rhuma-
□ C. Spondylarthrite ankylosante toide
□ D. Ostéomalacie carentielle 66. La raideur matinale est un signe clinique observé
□ E. Arthrite septique dans la polyarthrite rhumatoide.il est [R 3]
59. Les signes radiologiques suivants s’observent au □ A. Habituel
cours de la polyarthrite rhumatoïde. un seul signe est □ B. Constant
faux, lequel [R 3] □ C. Critère diagnostique

53 → E 54 → C 55 → A 56 → E 57 → E 58 → D 59 → E 60 → C 61 → B 62 → B 63 → A 64 → E
65 → E 66 → C

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. POLYARTHRITE RHUMATOÏDE

□ D. Marqueur des formes sévères 2020


□ E. Variable
74. La polyarthrite rhumatoïde [RATT]
67. L’atteinte articulaire des mains au cours de la po-
□ A. Est un rhumatisme inflammatoire chronique des-
lyarthrite rhumatoide est [R 3]
tructeur
□ A. Fréquente □ B. Est à prédominance féminine
□ B. Rare □ C. Résulte de l’interaction de facteurs génétiques et
□ C. Absente d’environnement
□ D. Constante □ D. Est fortement liée à la présence de l’hla b27
□ E. A la phase d’état □ E. Le pronostic dépend de la précocité de la mise en
route d’un traitement de fond adapté
68. Il y a une prédilection de l’atteinte rhumatismale 75. L’atteinte élémentaire dans la polyarthrite rhuma-
chez la femme au cours d’une-seule des maladies sui- toïde est [RATT]
vantes, laquelle ? [R 1]
□ A. Le pannus synovial
□ A. Polyarthrite rhumatoïde □ B. L’érosion osseuse sous-chondrale
□ B. Spondylarthrite ankylosante □ C. La calcification des tendons par dépôt de micro-
□ C. Ostéoporose sénile cristaux
□ D. Arthrite septique à streptocoque □ D. L’enthésite inflammatoire
□ E. Lombosciatique □ E. La reconstruction osseuse péri-articulaire
76. La polyarthrite rhumatoïde débutante se manifeste
69. Le traitement de fond et de première intension au
par [RATT]
cours de la polyarthrite rhumatoïde est le [R 1]
□ A. Une polyarthrite fixe bilatérale et symétrique
□ A. Les anti-tnfa □ B. Un aspect en fuseau des doigts
□ B. Le méthotrexate □ C. Un indice de schôber positif
□ C. Les immuno modulateurs □ D. Un squeeze test positif
□ D. Les corticoïdes □ E. Signe de rabot positif
□ E. Les ains 77. Le bilan biologique dans la polyarthrite rhumatoïde
70. La polyarthrite rhumatoide est un rhumatisme qui débutante peut montrer [RATT]
a un seul caractère épidémiologique vrai parmi les sui- □ A. Une vitesse de sédimentation élevée
vant.lequel ? [R 3] □ B. Une crp élevée
□ C. La présence d’un facteur rhumatoïde
□ A. Peut toucher la femme à tous les ages □ D. La présence anticorps anti-protéine citrullinée
□ B. Touche l’homme en particulier □ E. La présence d’anticorps anti-nucléaires
□ C. Aucune différence de sexe 78. La cytokine pro inflammatoire incriminés dans la
□ D. Absent dans l’hémisphère nord génèse d’une polyarthrite rhumatoïde sont [R 1]
□ E. Pandémique
□ A. Ptpn22
71. L’atteinte articulaire bilatérale et symétrique est □ B. Il6
caractéristique au cours de [R 3] □ C. Tnf alpha
□ D. Stat4
□ A. Le raa □ E. Il1
□ B. Maladie de horton avec une ppr 79. Chez le sujet agé, une polyarthrite doit faire recher-
□ C. La polyarthrite rhumatoide
cher [R 2, R 3]
□ D. Maladie de paget
□ E. Ostéomalacie phosphopénique □ A. Un lupus érythémateux systémique
□ B. Une pseudopolyarthrite rhizomélique
72. La déminéralisation épiphysaire en bande est ty- □ C. Une polyarthrite aigue oedémateuse
pique sur la radiographie des mains [R 3] □ D. Une polyarthrite paranéoplasique
□ E. Une chondrocalcinose
□ A. Arthrosiques
80. Dans la polyarthrite rhumatoïde ,les cytokines in-
□ B. Rhumatoides
flammatoire agissent sur [R 1]
□ C. De l’enfant
□ D. De la femme en post-ménopause □ A. Le synoviocyte entrainant sa nécrose
□ E. Saines □ B. L’adipocyte entrainant sa multiplication
□ C. L’ostéoblaste entrainant une reconstruction os-
73. Le pincement de l’interligne articulaire au cours de seuse
la polyarthrite rhumatoide s’observe [R 3] □ D. L’ostéoclaste entrainant une résorption osseuse
□ E. Le chondrocyte entrainant sa prolifération
□ A. Au niveau des articulations touchées
□ B. Au niveau de toutes les articulations 81. Dans la polyarthrite rhumatoïde débutante , quelle
□ C. Jamais observé (s) est ( sont ) la ou les affirmation (s) juste(s) [R 1]
□ D. Constant au début de la maladie □ A. La polyarthrite rhumatoïde est un rhumatisme po-
□ E. Dans les formes avec vascularite tentiellement déformant
67 → D 68 → A 69 → B 70 → A 71 → C 72 → B 73 → A 74 → ABCE 75 → A 76 → ABD
77 → ABCDE 78 → BCE 79 → BCDE 80 → D 81 → AB 82 → ADE

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. POLYARTHRITE RHUMATOÏDE

□ B. La lésion de début est une synovite □ D. Gonflement des mcp


□ C. Elle touche électivement les articulations des sacro- □ E. Gonflement des ipp
iliaque et des hanches 89. Les traitements de fond classiques de la polyarthrite
□ D. Elle touche autant les femmes que les hommes rhumatoïde (pr) pris seuls ou en association sont [RATT]
82. La polyarthrite rhumatoïde touche avec prédilection □ A. La mésalazine
les articulations des [R 1] □ B. La sulfasalazine
□ A. Le poignet □ C. Le méthotrexate
□ B. Inter apophysaire postérieure □ D. Le léflunomide
□ C. Inter phalangiennes distales □ E. L’hydroxychloroquine
□ D. Temporo mandibulaire 90. Quelles sont les biothérapies que vous pouvez pro-
□ E. Métacarpophalangiennes poser devant une polyarthrite rhumatoïde active mal-
83. Le squeez test [R 1] gré un ou plusieurs traitements de fond classiques bien
□ A. Est une manœuvre utile dans la polyarthrite à la conduits ? [RATT]
phase d’état □ A. Tocilizumab
□ B. Consiste à faire une pression latérale des mains et □ B. Antitnfalpha
des pieds □ C. Cyclophosphamide
□ C. Est positif s’il ya une douleur ressentie type une □ D. Rituximab
décharge dans le territoire du nerf médian de la main □ E. Denosumab
□ D. Est positif s’il ya des ténosynovite 91. Chez le sujet âgé, une polyarthrite doit faire recher-
□ E. Est positif s’il ya des arthrites des métacarpopha- cher [RATT]
langiennes
□ A. Un lupus érythémateux systémique
84. Le das 28 comprend les paramétres suivants [R 1] □ B. A une pseudopolyarthrite rhizomélique
□ A. La crp ou la vs □ C. Une polyarthrite aigue œdémateuse
□ B. Le nombre d’articulations douloureuses rapportées □ D. Une polyarthrite paranéoplasique
par le patient □ E. Une chondrocalcinose
□ C. Le nombre d’articulations gonflées retrouvées par 92. La radiographie des mains d’une polyarthrite débu-
le médecin tante peut montrer [R 1]
□ D. L’échelle visuelle analogique de l’activité de la ma-
□ A. Des érosions des os du carpe
ladie □ B. Des érosions de la 5 eme tète métatarsienne
□ E. La durée de la poussée □ C. Une déminéralisation apophysaire
85. Dans la polyarthrite rhumatoïde établie, quelles □ D. Des signes de reconstruction type ostéophyte
sont les déformations articulaires que vous pouvez re- □ E. Un aspect normal
trouver [RATT] 93. Hormis la radiographie des mains de face ;que de-
□ A. Un coup de vent cubital des doigts mandez vous pour confirmer le diagnostic d’une pr ? [R
□ B. Une déformation en boutonnière des doigts 1]
□ C. Une déformation en maillet des doigts □ A. Une radiographie des mains de profil
□ D. Une déformation en bouchard des doigts □ B. Une radiographie des pieds ¾
□ E. Un pouce en z □ C. Une radiographie des avant pieds de face
86. La radiographie des mains de face dans la polyar- □ D. Une radiographie du bassin de face
thrite rhumatoïde débutante peut montrer [RATT] □ E. Une radiographie du thorax de face
□ A. Aucune anomalie 94. L’irm dans lc diagnostic de la polyarthrite rhuma-
□ B. Une déminéralisation épiphysaire en bande toïde [R 1]
□ C. Une carpite fusionnante □ A.Doit être demandé précocement
□ D. Une reconstruction péri-epiphysaire précoce □ B.Montre des érosions infra-radiologiques
□ E. Une érosion de la 5ème métatarsienne □ C.Montre un œdème osseux à un stade précoce
87. Quels sont les signes radiologiques que vous retrou- □ D.Est un outil de suivi du traitement de fond
vez sur les clichés d’une polyarthrite rhumatoïde établie □ E.Est plus utile quc l’échographie ostéo articulaire
[RATT] dans la pratique quotidienne
□ A. Des géodes dans les os du carpe 95. Le facteur rhumatoide (fr) [R 1]
□ B. Des érosions sous-chondrale en encoche □ A. Est un auto-anticorps dirigé contre des détermi-
□ C. Une apposition périostée de la corticale des pha- nants antigéniques situés au niveau du fragment fc
langes des lg
□ D. Un pincement global de l’interligne articulaire □ B. Est pathognomonique de la polyarthrite rhuma-
□ E. Une carpite fusionnante
toïde
88. Dans la polyarthrite rhumatoïde, l’aspect en dos de □ C. Est toujours présent si anti ccp positif
chameau correspond à [RATT] □ D. Fait partie des critères diagnostiques de la pr
□ E. Peut être retrouvé grâce au test waalerrose
□ A. Gonflement dorsal du poignet
□ B. Gonflement palmaire du poignet 96. Les facteurs exogénes incriminés dans la genèse
□ C. Amyotrophie des muscles interosseux d’une polyarthrite rhumatoïde sont [R 1]

83 → BE 84 → ABCD 85 → ABCE 86 → ABE 87 → ABDE 88 → ACD 89 → BCDE 90 → ABD


91 → BCDE 92 → CE 93 → BC 94 → BC 95 → ADE 96 → BE

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. POLYARTHRITE RHUMATOÏDE

□ A. Un agent microbien type le streptocoque beta- 2019


hémolytique du groupe a
□ B. Le tabac induisant une citrullination 103. Dans une polyarthrite rhumatoïde débutante, les
□ C. Une prise médicamenteuse type salazopyrine res- radiographies des mains (de face) et des pieds (3/4)
ponsable d’une origine iatrogène montrent [R 2]
□ D. La survenue d’une pathologie auto-immune type □ A. Une déminéralisation épiphysaire "en barde"
hypothyroïdie faisant le lit de la maladie □ B. Des érosions épiphysaires sous-chondrales
□ E. Une gingivite induite par le porphyromonas gingi- □ C. Une ténosynovite de l’extenseur ulnaire du carpe
valis □ D. Un œdème osseux diffus des os du carpe
□ E. Une érosion de la 5 ème tête métatarsienne
97. Dans la pr débutante, le diagnostic différentiel se
104. Le bilan radiologique devant une polyarthrite rhu-
fait avec [R 1]
matoïde destructrice peut montrer [R 2]
□ A. Le rhumatisme psoriasique □ A. Des géodes dans les os du carpe
□ B. L’arthrose érosive □ B. Des érosions péri articulaires sous-chondrale
□ C. Le gougerot sjogrcn □ C. Des ponts d’ossification inter- articulaires
□ D. La polyarthrite goutteuse □ D. Pincement totale de l’ interligne articulaire
□ E. Polyarthrite virale □ E. Carpite fusionnante
98. Quelle(s) est(sont) ia(les) déformation(s) obser- 105. Les complications que redoutez devant une poly-
vée(s) dans une polyarthrite rhumatoïde établie [R 1] arthrite rhumatoïde établie sont [R 2]
□ A. Une atteinte atloido-axoidienne
□ Déformation en col de cygne
A.
□ B. Une ankylose en attitude de skieur
□ Déformation en coup de vent cubital
B.
□ C. Une vascularite
□ Déformation en pouce adductus
C. □ D. Une ostéoporose
□ Un double gonflement dorsal du poignet et mcp
D. □ E. Une coronaropathie
avec amyotrophie interosseux
106. Les traitements dit "de fond" de la polyarthrite
□ E. Une pouce en z
rhumatoïde sont ? [R 2]
99. La (ou les) complication(s) recherchée(s) dans une
□ A. Le méthotrexate
pr avancée est (ou sont) [R 1] □ B. Le lénunomide
□ A. Une maladie coronarienne □ C. Les corticoïdes
□ D. Les anti-tnf alpha
□ B. Une ostéoporose
□ E. Les bisphosphonates
□ C. Une luxation atloido-axoidienne cl cz
□ D. Une vascularite 107. La polyarthrite rhumatoïde résulte de l’interac-
□ E. Une goutte associée tion entre les facteurs génétiques et environnementaux
suivants [R 3]
100. Le méthotrexate [R 1]
□ A. Présence du gène hla dr b1
□ A. Est le traitement de fond de référence de la poly- □ B. Présence du gène hla b5
arthrite rhumatoïde □ C. Présence du gène ptpn22
□ B. Est pris quotidiennement à la dose de 25 mg/j □ D. Les infections bactériennes gingivales
□ C. Doit être associé systématiquement l’acide folique □ E. Le tabac
□ D. Peut entrainer une augmentation des transami- 108. Dans la polyarthrite rhumatoïde débutante ,
nases l’échographie ostéo -articulaire est nécessaire à la re-
□ E. La pneumopathie immune-allergique est une com- cherche de [R 3]
plication redoutable
□ A. Synovite
101. Le score du das 28 <2 ;6 correspond à [R 1] □ B. Érosion
□ C. Ténosynovite
□ A. Une activité élevée de la maladie □ D. Avec utilisation de doppler-puissance
□ B. Une activité modérée de la maladie □ E. Sans l’utilisation de doppler-puissance
□ C. Une activité faible de maladie
109. Dans la polyarthrite rhumatoïde en phase d’état ,
□ D. Une rémission
l’examen de la main peut montrer [R 3]
□ E. N’a aucune signification å ce score
□ A. Une amyotrophie des muscles inter -osseux
102. La biothérapie dana la polyarthrite rhumatoïde [R □ B. Des doigts en « boutonnière «
1] □ C. Des doigts en « maillet »
□ D. Une touche de piano
□ A. Est indiquée en d’échec du méthotrexate
□ E. Un pouce en z
□ B. Induit généralement une rémission rapide et per-
sistante 110. Le bilan radiologique devant une polyarthrite rhu-
□ C. Peut entrainer des complications infectieuse matoïde destructrice peut montrer [R 3]
□ D. Ne doit pas dépasser6 mois de traitement □ A. Un diastasis c1-c2
□ E. Les anti tnf alpha en fait partie □ B. Des érosions péri articulaires sous – chondrale

97 → ABCDE 98 → ABCDE 99 → ABCD 100 → ACDE 101 → D 102 → ABCE 103 → ABE 104 → ABDE
105 → ACDE 106 → ABD 107 → ACDE 108 → ABCD 109 → ABCDE 110 → ABDE 111 → ABCD, ABCDE

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. POLYARTHRITE RHUMATOÏDE

□ C. Des ponts d’ossification interarticulaires 117. Quel(s) traitement(s) préconisez-vous chez une
□ D. Pincement totale de l’interligne articulaire femme de 45 ans , ayant une polyarthrite rhumatoïde
□ E. Carpite fusionnante debutante avec un das 28 modéré [R 1]
111. Das28 comprend [R 3] □ A. Une corticothérapie petite dose pendant 3 mois
□ A. Le nombre d’articulations douloureuses □ B. Un anti-cox2 pour la douleur
□ B. Le nombre de synovites □ C. Le méthotrexate en première intention
□ C. L’échelle visuelle analogique selon le malade □ D. Une biothérapie en première intention
□ E. Des orthèses de repos
□ D. La crp et la vs
□ E. L’activité de la polyarthrite rhumatoïde est modé- 118. Quelle(s) est(sont) la(les) déformation(s) obser-
rés devant un das 28 a 4,5 vée(s) dans une polyarthrite rhumatoïde établie [R 1]
112. La méthotrexate [R 3] □ A. Déformation en col de cygne qui consiste en une
hyper extension de ipp et flexion de l’ipd
□ A. Est le traitement de référence de la polyarthrite
□ B. Déformation en boutonnière qui consiste à une
rhumatoïde
flexion de l’ipd
□ B. Est un traitement de fond, donné en une prise
□ C. Un double gonflement dorsal du poignet et mcp
unique quotidienne le matin avec amyotrophie des interosseux
□ C. Peut entrainer une pneumopathie immuno aller- □ D. Un hallux valgus
gique redoutable □ E. Des orteils en griffe
□ D. Nécessite une contraception efficace
119. La polyarthrite rhumatoïde est due à [R 2]
□ E. Les transaminases, la nfs et le bilan rénale doivent
être contrôlés des son introduction □ A. La production d’auto-anticorps type anti-ccp
□ B. La production de cytokines pro-inflammatoires
113. La biotherapie est indiqué dans la polyarthrite rhu-
type tnf a
matoïde [R 3] □ C. La production et dépôt de microcristaux sur la
□ A. Si échec du méthotrexate membrane synoviale des articulations entrainant des
□ B. Est pourvoyeuse d’infection érosions
□ C. L’anti-tnf alpha en fait partie □ D. La prolifération des synoviocytes en un pannus sy-
□ D. L’anti-il6 a montré son efficacité novial
□ E. Nécessite l’association systématique de corticothé- □ E. L’altération de la fonction des chondrocytes et des
rapie à petite dose ostéoclastes responsable de destruction ostéoarticu-
114. La polyarthrite rhumatoïde [RATT] lafre
□ A. Est un rhumatisme inflammatoire chronique rare- 120. Un squeeze test [R 2]
ment destructeur □ A. Correspond la pression de la rotule sur les condyles
□ B. Est à prédominance féminine fémoraux déclenchant un retour douloureux
□ C. Touche l’adulte jeune □ B. Correspond la pression latérale des métatarsopha-
□ D. Résulte de l’interaction de facteurs génétiques et langiennes déclenchant une douleur
d’environnement □ C. Correspond pression des métacarpophalangiennes
□ E. Le pronostic dépend de la précocité de la mise en déclenchant une douleur
route d’un traitement de fond adapté □ D. Est positif en absence de douleur provoquée
□ E. Évoque présence de synovite au niveau des articu-
115. Dans la polyarthrite rhumatoïde débutante
lations testées
queue(s) est (sont) la ou les affirmation(s) juste(s) ? [R
1] 121. La polyarthrite rhumatoïde débutante est poly-
morphe, elle peut d’exprimer par [R 2]
□ A. Le diagnostic doit être le plus précoce possible car
le traitement de fond est plus efficace au début □ A. Une acropolyarthrite bilatérale et symétrique
□ B. Des poly arthralgies inflammatoires
□ B. Elle est due une interaction de facteurs génétiques
□ C. Des iombofessalgies inflammatoires
et environnementaux tells que tabac □ D. Une mono arthrite chronique
□ C. La lésion de début est une entéropathie inflamma- □ E. Un syndrome du canal carpien
toire initiale
122. Une déformation en "col de cygne" au cours de la
□ D. Elle se manifeste au début par des cervicalgies in-
polyarthrite rhumatoïde est décrite comme suit [R 2]
flammatoire associée å une polyarthrite chronique
□ E. Le méthotrexate est le traitement de fond de réfé- □ A. Une flexion de i’ipp et hyperextension de i’ lpd
rence □ B. Une flexion permanente de i’ lpd
□ C. Une déviation cubitale du doigt
116. La polyarthrite rhumatoïde débutante peut se ma- □ D. Une déviation radiale du doigt
nifester par [R 1] □ E. Une hyper extension de i’lpp et flexion de i’lpd
□ A. Une polyarthrite chronique et symétrique 123. La polyarthrite rhumatoïde débutante se manifeste
□ B. Un aspect en « fuseau » des articulations inter par [RATT]
phalangiennes distales □ A. Une polyarthrite fixe bilatérale et symétrique
□ C. Une déminéralisation épiphysaire -en barde- à la □ B. Une atteinte d’emblée des hanches
radiographie des mains de face □ C. Un aspect en fuseau des doigts
□ D. Une érosion précoce de la 5ème métatarse □ D. Un squeeze test positif
□ E. Augmentation des acpa et du facteur rhumatoïde □ E. Un choc rotulien positif

112 → ACDE 113 → ABCD 114 → BCDE 115 → ABE 116 → ACDE 117 → ABCE 118 → ACDE
119 → ABDE 120 → BCE 121 → ABDE 122 → E 123 → ACDE

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. POLYARTHRITE RHUMATOÏDE

124. Un squeeze test [RATT] 2018


□ A. Correspond à la pression de la rotule sur les 131. La polyarthrite rhumatoïde touche préférentielle-
condyles fémoraux déclenchant un retour douloureux ment [R 3]
□ B. Correspond à la pression latérale des métatarso-
□ A. Les poignets
phalangiennes déclenchant une douleur
□ B. Les temporo mandibulaires
□ C. Correspond à la pression latérale des métacarpo-
□ C. Les inter-phalangiennes proximales
phalangiennes déclenchant une douleur □ D. Les inter-phalangiennes distales
□ D. Est positif en absence de douleur provoquée □ E. Les métatarsophalangiennes
□ E. Évoque la présence de synovite au niveau des arti-
132. Le squeeze test [R 3]
culations testées
□ Correspond à la pression latérale des mcp
A.
125. Le bilan biologique dans la polyarthrite rhuma- □ Correspond à la pression latérale des mtp
B.
toïde débutante peut montrer [RATT] □ Correspond à l’aspect fusiforme des doigts
C.
□ Est positif si une douleur est déclenchée à la pres-
D.
□ A. Une vs élevée
□ B. Une crp élevée sion
□ E. Est positif s’il ya une arthrite des mcp et/ou des
□ C. La présence d’un facteur rhumatoïde
□ D. La présence anticorps anti-protéine citrullinée
mtp
□ E. La présence d’anticorps antinucléaires 133. Les signes extra articulaires qui accompagner une
polyarthrite rhumatoïde au début sont [R 3]
126. La radiographie des mais de face dans la polyar-
thrite rhumatoïde débutante peut monter [RATT] □ A. Une sécheresse buccale
□ B. Une asthénie
□ A. Aucune anomalie □ C. Un nodule rhumatoïde
□ B. Une déminéralisation épiphysaire en bande □ D. Une vascularite
□ C. Une carpite fusionnante □ E. Une adénopathie
□ D. Une reconstruction péri-épiphysaire précoce 134. Dans une polyarthrite rhumatoïde au début , une
□ E. Une érosion de la 5éme métatarsienne radiographie des poignets et des mains de face montre
127. Dans la polyarthrite rhumatoïde établie , quelles [R 3]
sont kes déformations articulaires que vous pouvez re- □ A. Une opacité des parties molles des mcp et ipp
trouvez ? [RATT] □ B. Une déminéralisation épiphysaire « en bande «
□ C. Une érosion épiphysaire sous – chondrale
□ A. Un coup de vent cubital des doigts □ D. Un pincement de l’interligne articulaire
□ B. Une déformation en boutonnière des doigts □ E. Elle peut être normale
□ C. Une déformation en maillet des doigts
□ D. Une déformation en bouchard des doigts 135. La complication à redouter dans la polyarthrite
□ E. Un pouce en z rhumatoïde est [R 3]
□ A. Un diastasis c1 c2
128. Dans la polyarthrite rhumatoïde , l’aspect en dos
□ B. Une luxation atloido-axoidienne
de chameau correspond à [RATT] □ C. Un espace entre l’atlas et l’odontoide >4 mm
□ A. Un gonflement dorsal du poignet □ D. Un espace entre l’atlas et l’odontoide <4mm
□ B. Un gonflement palmaire du poignet □ E. Un syndrome de la queue de cheval
□ C. Une amyotrophie des muscles interosseux 136. Le traitement de fond de la polyarthrite rhuma-
□ D. Un gonflement des mcp toïde peut etre [R 3]
□ E. Un gonflement des ipp □ A. Le méthotrexate
129. Quels sont les signes radiologiques que vous retrou- □ B. La sulasalazine
vez sur les clichés d’une polyarthrite rhumatoïde établie □ C. L’hydroxychloroquine
□ D. Le léflunomide
[RATT]
□ E. Le tociluzimab
□ A. Des géodes dans les os du carpe 137. Dans la polyarthrite rhumatoïde établie , quelles
□ B. Des érosions sous- chondrale en encoche sont les déformations articulaires que vous pouvez re-
□ C. Apposition périostée de la corticale des phalanges trouver [RATT]
□ D. Pincement électif de l’interligne articulaire
□ E. Carpite fusionnante □ A. Un coup de vent cubital des doigts
□ B. Une déformation en boutonnière des doigts
130. Quels sont les traitements de fond de la polyar- □ C. Une déformation en maillat des doigts
thrite rhumatoïde [RATT] □ D. Une déformation en bouchard des doigts
□ E. Un pouce en z
□ A. Biphosphanate
□ B. Sulfasalazine 138. Dans la polyarthrite rhumatoïde , l’aspect en dos
□ C. Méthotrexate de chameau correspond à [RATT]
□ D. Léflunomide □ A. Un gonflement dorsal du poignet
□ E. Méthylprednisolone □ B. Un gonflement palmaire du poignet

124 → BCE 125 → ABCDE 126 → ABE 127 → ABCE 128 → ACD 129 → ABE 130 → BCD 131 → ABCE
132 → ABDE 133 → ABCE 134 → ABCDE 135 → ABC 136 → ABCDE 137 → ABCE 138 → ACD 139 → CD

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. POLYARTHRITE RHUMATOÏDE

□ C. Une amyotrophie des muscles interosseux 146. Dans une polyarthrite rhumatoïde établie , quelles
□ D. Un gonflement des mcp sont les déformations que vous pouvez retrouver ? [R 3]
□ E. Un gonflement des ipp
□ A. Déviation des doigts en coup de vent radial
139. Les manifestations extra-articulaires qu’on peut □ B. Déformation du pouce en z
observer dans la pr [RATT] □ C. Déformation des doigts en maillet
□ D. Un hallux valgus du gros orteil
□ A. Une uvéite antérieure aigue □ E. Une résorption des houppes phalangiennes
□ B. Une colite chronique
□ C. Des nodules rhumatoïdes 147. Une déformation du doigt en « col de cygne «
□ D. Une vascularite consiste à [R 3]
□ E. Un érythème malaire □ A. Une déviation du doigt vers le bord cubital
140. Quelles sont les signes radiologiques que vous re- □ B. Une flexion permanente de l’ipd , due à la rupture
trouvez sur les clichés d’une polyarthrite rhumatoïde de l’extenseur sur la base de la 3ème phalange
□ C. Une flexion du doigt de l’ipp puis hyperextension
établie [RATT]
de l4ipd
□ A. Des géodes dans les os du carpe □ D. Une hyperextension de ipp et flexion de l’ipd
□ B. Des érosions sous-chondrale en encoche □ E. Un double gonflement de la mcp et ipp associé à
□ C. Apposition périostée de la corticale des phalanges une amyotrophie des muscles
□ D. Pincement électif de l’interligne articulaire
□ E. Carpite fusionnante 148. La polyarthrite rhumatoïde est [R 3]
□ A. Un rhumatisme inflammatoire chronique
141. Quelles sont les traitements de la pr : (ratt 2018)
□ B. Un rhumatisme dégénératif chronique
[RATT] □ C. Responsable de déformations articulaires
□ A. Mésalazine □ D. Responsable d’une ankylose rachidienne
□ B. Sulfalazine □ E. Responsable d’une destruction articulaire
□ C. Méthotrexate 149. La polyarthrite rhumatoïde est une maladie poly-
□ D. Léflunomide génique , incluant [R 3]
□ E. Méthylprednisolone
□ A. Hla dr b1
142. Le traitement biologique dans la polyarthrite rhu- □ B. Ptpn22
matoïde est indiqué [RATT] □ C. Hla b27
□ D. Stat4
□ A. En première intention
□ E. Hla b51
□ B. En cas d’échec d’un traitement de fond classique
□ C. Si la das 28>3,2 malgré le méthotrexate à
25mg/semaine depuis 6 mois 2017
□ D. Si présence d’érosion radiographique initialement
absentes sur les clichés de contrôle 150. Le bilan radiologique devant une polyarthrite rhu-
□ E. Si désire de grossesse matoïde destructrice peut montrer [RATT]
143. La polyarthrite rhumatoïde est une maladie poly □ A. Des géodes dans les os du carpe
factorielle , incluant , [R 3] □ B. Des érosions périariculaires sous-chondrale
□ C. Des ponts d’ossification inter-articulaires
□ A. Le tabac
□ D. Pincement totale de l’interligne articulaire
□ B. La maladie de crohn
□ E. Carpite fusionnante
□ C. La gingivite
□ D. Le psoriasis 151. Les traitements de fond de la polyarthrite rhuma-
□ E. L’hypothyroïdie toïde sont ; [RATT]
144. La synovite rhumatoïde est caractérisée par [R 3] □ A. Le méthotrexate
□ B. Le léflunomide (arava)
□ Une hypertrophie des franges synoviales
A. □ C. La colchicine
□ Une hyperplasie épidermique avec hyperkératose
B. □ D. L’allopurinol (zyloric)
□ Une néo vascularisation
C. □ E. Les corticoides
□ D.Une infiltration lymphoplasmocytaire péri vascu-
152. Le méthotrexate est [RATT]
laire
□ E. Des micro-abcès avec nécrose caséeuse □ A. Le traitement de référence de la polyarthrite rhu-
145. Quelles sont les confirmations justes concernant la
matoïde
□ B. Nécessite un suivi biologique
pr ? [R 3] □ C. Doit être prescrit précocement des le diagnostic
□ A. Le diagnostic de la pr doit être le plus précoce □ D. Sa prise est hebdomadaire
possible □ E. Peut entrainer une hta
□ B. Le traitement de la pr est plus efficace lorsqu’il est 153. Dans la polyarthrite rhumatoïde établie , vous pou-
instauré au début de la maladie vez retrouver les déformations suivantes [R 3]
□ C. Sous traitement de fond, les déformations articu- □ A. Doigts en col de cygne
laires de la pr sont réversibles □ B. Baguettes de tambour
□ D. La polyarthrite est souvent fixe, bilatérale et sy- □ C. Doigts en maillet
métrique □ D. Orteil en saucisse
□ E. La polyarthrite est plutôt fugace et asymétrique □ E. Coup de vent radial

140 → ABE 141 → BCD 142 → BCD 143 → AC 144 → ACD 145 → ABD 146 → BCD 147 → D 148 → ACE
149 → ABD 150 → ABDE 151 → AB 152 → ABCD 153 → AC

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. POLYARTHRITE RHUMATOÏDE

154. Le calcul du das28 est indispensable au suivi de la □ D. Une acropolyarthrite chronique


polyarthrite rhumatoïde , il prend en compte les para- □ E. Une atteinte des sacroiliaques
metres suivants [R 3] 162. Dans ia polyarthrtte rhumatoide. ia membrane sy-
□ A. Vs ou crp noviale est le siége [R 2]
□ B. Nombre d’articulations douloureuses □ A. D’une hypervascularlsation
□ C. Nombre d’articulations gonflées □ B. D’un granulome cellules géantes
□ D. Appréciation globale de la maladie du patient □ C. D’une hypertrophie
□ E. Appréciation globale de la maladie du médecin □ D. D’une infiltration lympho plasmocytaire
□ E. D’une fragmentation de la couche bordante
155. Dans la polyarthrite rhumatoïde débutante ,
163. Parmi les maladies ci-dessous lesquelles peuvent
l’échographie ostéo-articulaire est nécesaire à la re-
s’accompagner de signes articulaire pouvant simuler une
cherche de [RATT]
polyarthrite rhumatoïde débutante [R 2]
□ A. Synovite
□ A. Hépatite virale
□ B. Érosion
□ B. Maladie de basedow
□ C. Ténosynovite
□ C. Maladie de biermer
□ D. Avec utilisation de doppler-puissance □ D. Rubéole
□ E. Sans utilisation de doppler-puissance □ E. Parovirus b19
156. Dans la pr en phase d’état , l’examen de la main 164. Au cours de ia polyarthrite rhumatoïde, ie facteur
peut monter [RATT] rhumatoïde peut étre mis en évidence par la réaction de
□ A. Une amyotrophie des muscles inter-osseux weber rose et test du latex [R 2]
□ B. Des doigts en boutonnière □ A. Chez 10
□ C. Des doigts en « maillet « □ B. Chez 75
□ D. Des orteils en saucisse □ C. Ces tests sont spécifiques de la maladie
□ E. Un gonflement dorsal du poignet □ D. Ces tests sont moins fiables que l’elisa
□ E. Leur négativité élimine la maladie
157. Une déformation en ‘col de cygne ‘ au cours de la
pr est décrite comme suit [RATT] 165. Dans la polyarthrite rhumatoïde débutante , il
s’agit [R 3]
□ A. Une flexion de l’ipp et lhyperextension de l’ipd
□ B. Une flexion permanente de l’ipd □ A. D’une polyarthrite fixe
□ C. Une déviation cubitale du doigt □ B. D’une polyarthrite fugace
□ D. Une déviation radiale du doigt □ C. D’une polyarthrite bilatérale et symétrique
□ D. D’une acropolyarthrite le plus souvent
□ E. Une hyperextention de l’ipp et flexion de l’ipd
□ E. Ne touche jamais les articulations temporomandi-
158. Une déformation en « col de cygne « au cours de bulaire
la polyarthrite est décrite comme suit [R 1] 166. Dans la polyarthrite rhumatoïde débutante , le cli-
□ A. Une déviation du doigt vers le bord cubital ché des poignets et des mains de face peut montrer les
□ B. Une hyperextension de l’ipp et flexion de l’ipd signes radiologiques suivants [R 3]
□ C. Une flexion progressive de l’ipp et l’hyperextension
□ A. Radiographie strictement normale
de l’ipd □ B. Erosions épiphysaires sous chondrales
□ D. Une flexion permanente de l’ipd □ C. Pincement de l’interligne articulaires des articula-
□ E. Luxation des 1ères phalanges vers le haut tions inter-phalangiennes distales
159. La polyarthrite rhumatoïde résulte de i ‘interac- □ D. Condensation « en bande « des épiphyses
tion entre facteurs génétiques et environnementaux sui- □ E. Opacité des parties molles périarticulaires
vants saut an [R 1] 167. Concernant le méthotrexate dans la polyarthrite
□ A. Présence du hla dr b1 rhumatoïde , quelles sont les propositions vraies ? [R 3]
□ B. Présence du gène hla b5 □ A. Il constitue le traitement de fond de référence de
□ C. Présence du gène ptpn22 la polyarthrite rhumatoïde
□ D. Les infections bactériennes gingivales □ B. Il est contre indiqué en cas de grossesse
□ E. Le tabac □ C. Il doit être associé à la prise d’acide folique
□ D. Il se prend en une dose unique ou fragmentée 5
160. La polyarthrite rhumatoïde peut etre responsable
jours sur 7
des lésions suivantes au poignets [R 2] □ E. Il peut se compliquer d’une atteinte pulmonaire
□ A. Ténosynovite des fléchisseurs des fléchisseurs fibrosante
□ B. Ténosynovite de l’extenseur ulnaire du carpe 168. Devant une polyarthrite rhumatoïde tres active.
□ C. Syndrome du canal carpien
une biothérapie indiquée comme [R 3]
□ D. Déformation en dos de fourchette
□ E. Touche de piano □ A. Les anti-tnf alpha ( etanercept)
□ B. L’anti –il6(tocilizumab)
161. Quels signes ne sont pas décrits dans une polyar- □ C. L’anti lymphocyte b (rituximab)
thrite rhumatoïde débutante ? [R 2] □ D. L’anti-lymphocyte t (abatacept)
□ E. Un agent alkylant (cyclophosphamide)
□ A. Une oligoarthrite distale
□ B. Des iombalgies inflammatoires 169. Dans la polyarthrite rhumatoïde débutante , il
□ C. Une luxation atloido-axoidienne s’agit [RATT]

154 → ABCD 155 → ABCD 156 → ABCE 157 → E 158 → B 159 → B 160 → ABCE 161 → BCE
162 → ACD 163 → ADE 164 → BD 165 → ACD 166 → ABE 167 → ABCE 168 → ABCD 169 → ACE

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. POLYARTHRITE RHUMATOÏDE

□ A. D’une polyarthrite fixe □ D. Cyphose dorsale


□ B. D’une polyarthrite fugace □ E. Pieds triangulaires avec aplatissement de la plante
□ C. D’une polyarthrite bilatérale et symétrique des pieds
□ D. Touche avec prédilection les ipd
177. L’arthrite rhumatoïde est caractérisée par toutes
□ E. Touche surtout les mcp et ipp
les propositions suivantes sauf une, laquelle [R 1]
170. Le bilan biologique d’une pr peut montrer [RATT]
□ A. Inflammatoire
□ A. Une vs élevée □ B. Récidivante
□ B. Une crp augmentée □ C. Migratrice
□ C. Le facteur rhumatoïde présent □ D. Fixe
□ D. Les anti-ccp (acpaa) présents □ E. Extensive
□ E. Les fan (anticorps anti nucleaires )présents
178. Les corticoides, dans le traitement de la polyar-
thrite rhumatoïde,correspondent à une des propositions
2016 suivantes , laquelle ? [R 3]
□ A. Toujours injectés en intra-articulaire
171. L’atteinte articulaire au cours de la polyarthrite
□ B. Souvent utilisés à petites doses le matin
rhumatoïde est caractérisée par une seule des caractéris- □ C. Contre indiqués
tiques suivantes , laquelle , [R 1] □ D. Utilisés à dose journalière le soir
□ A. C’est toujours une monoarthrite □ E. Jamais indiqués
□ B. C’est une polyarthrite non érosive et non défor- 179. La ponction articulaire ramène un liquide in-
mante flammatoire dans une seule des situations suivantes ,la-
□ C. Polyarthrite bilatérale et symétrique non destruc- quelle ? [R 3]
tive
□ D. Polyarthrite bilatérale, symétrique et érosive □ A. Arthrite rhumatoïde du poignet
□ E. Polyarthrite non séquellaire □ B. Arthrite gonococcique de la cheville
□ C. Arthrite septique du genou au staphylocoque
172. La vs est le plus souvent augmentée au cours d’une □ D. Arthrite tuberculeuse de l’épaule
seule de ces pathologies [R 1] □ E. Arthropathie arthrosique du genou
□ A. La polyarthrite rhumatoïde
□ B. Spondylarthrite ankylosante
□ C. Arthrose digitale
□ D. Ostéoporose poste ménopausique
□ E. Lombo discarthrose
173. La raideur matinale correspond à une seule des
propositions suivantes ,laqulle ? [R 1]
□ A. Enraidissement matinal des articulations au cours
de la polyarthrite rhumatoïde
□ B. Gonflement matinal des doigts
□ C. Ténosynovite des extenseurs des doigts
□ D. Bursites inflammatoires
□ E. Arthrite microcristalline
174. La raideur matinale est retrouvée au cours d’une
des pathologies suivantes ,laquelle ? [R 3]
□ A. Maladie de paget
□ B. Algoneurodystrophie
□ C. Tassement vertebral ostéoporotique
□ D. Polyarthrite septique
□ E. Polyarthrite rhumatoïde débutante
175. L’atteinte articulaire au cours de la polyarthrite
rhumatoïde correspond à toutes les caractéristiques sui-
vantes sauf une [R 3]
□ A. Affecte surtout les mains
□ B. Bilatérale et symétrique
□ C. Fugace et intermittente
□ D. Fixe et additive
□ E. Destructrice et déformante
176. Les déformations suivantes sont spécifiques de la
polyarthrite rhumatoïde sauf une , laquelle ? [R 3]
□ A. Doigt en col de cygne
□ B. Déviation en coup de vent cubital des doigts
□ C. Saillie du poignet en touche de piano

170 → ABCDE 171 → D 172 → A 173 → A 174 → E 175 → C 176 → D 177 → C 178 → B 179 → C

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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. POLYARTHRITE RHUMATOÏDE

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CHAPITRE 2

Clinique

Cas Clinique 1 [2022 R 1] CC1-4. Un seul des moyens thérapeutiques cités ne


peut pas être indiqué dans ce cas, en premier lieu, le-
Monsieur Mohamed, 36 ans, enseignant, sans antécé- quel ?
dents, vient vous consulter pour une lombalgie irradiant
□ A. Orthèse de contention lombaire
dans le membre inférieur droit. La douleur lombaire est ap-
□ B. Repos strict sur un plan dur 10 à 15 jr
parue il y a quinze jours après un effort de soulèvement. Il □ C. Traitement de type anti-inflammatoire non stéroï-
s’agit d’une douleur lombaire basse, relativement suppor- dien per os
table, irradiant à la face postéro-externe de la cuisse, à la □ D. Traitement de type antalgique per os
face externe de la jambe et au dos du pied. La douleur est □ E. Information au patient quant aux règles posturales
aggravée par les efforts, soulagée par le repos, impulsive à
CC1-5. Quel est le diagnostic à évoquer ?
la toux, son seul antécédent est une malposition urétérale
opérée dans l’enfance. L’examen clinique montre un signe de □ A. Lombosciatique l5 gauche
Lasègue à droite à 55°, une colonne lombaire enraidie et dou- □ B. Lombosciatique s1 droite
□ C. Lombosciatique l5 droite
loureuse à la palpation. Il n’y a pas d’anomalie à l’examen
□ D. Lombocruralgie l4 gauche
neurologique, pas de fièvre, pas d’altération de l’état général. □ E. Spondylarthrite ankylosante
CC1-1. Quels sont les examens complémentaires à réa-
liser en urgence pour mr mohamed ? Cas Clinique 2 [2021 R 1]
□ A. Bilan biologique simple Une femme de 65 ans souffre de scapulalgies inflamma-
□ B. Aucun examen n’est demandé toires évoluant depuis une semaine. il y a une limitation
□ C. Radiographie du rachis lombaire face et profil des mouvements des épaules, une raideur matinale, pas d’al-
□ D. Radiographie du bassin face tération de l’état général et un syndrome inflammatoire
□ E. Incidence des sacro-iliaques de face biologique.
CC1-2. Quelques semaines plus tard, le patient revient
consulter au pavillon des urgences pour un déficit moteur CC2-1. Quel est votre diagnostic ?
du membre inférieur droit fait d’un steppage et impos- □ A. Une polyarthrite rhumatoïde débutante
sibilité de marcher sur les talons, quel est le diagnostic □ B. Une spondylarthrite ankylosante
le plus probable ? □ C. Une ostéomalacie
□ D. Une arthrose
□ A. Compression médullaire par hernie discale □ E. Une arthralgie mécanique
□ B. Spondylodiscite infectieuse
□ C. Syndrome de la queue de cheval CC2-2. Comment confirmer votre diagnostic ?
□ D. Polyradiculonévrite aigue □ A. Demande de dosage du facteur rhumatoïde
□ E. Sciatique paralysante □ B. Demande de dosage des anticorps nucléaires
□ C. Demande de dosage des anti-ccp
CC1-3. Parmi les propositions suivantes, laquelle est □ D. Demande de dosage de la calcémie
exacte concernant la manœuvre de lasègue ? □ E. Demande de dosage des enzymes musculaires
□ A. Elle recherche une douleur radiculaire du membre CC2-3. La vs est accélérée, allez-vous demander un exa-
inférieur men parmi les suivants ?
□ B. Teste les racines l3, l4 et l5 □ A. Une fns
□ C. Est très spécifique du conflit discoradiculaire □ B. Une électrophorèse des protéines sériques
□ D. Rend compte de la grosseur de la hernie discale □ C. Une chimie urinaire
□ E. Est recherchée par l’élévation contrariée du □ D. Une crp
membre inférieur □ E. Une calcémie

CC1-1 → B CC1-2 → E CC1-3 → A CC1-4 → A CC1-5 → D CC2-1 → A CC2-2 → C CC2-3 → B


CC2-4 → C

51
CHAPITRE 2. CLINIQUE

CC2-4. Il y a élévation des alpha 1, béta et gamma Cas Clinique 3 [2021 R 2]


globulines avec un profil inflammatoire, quelle est votre
Une femme de 65 ans souffre de scapulalgies inflamma-
attitude thérapeutique parmi les suivantes ?
toires évoluant depuis une semaine. Il y a une limitation
□ A. Ains des mouvements des épaules, une raideur matinale, pas d’al-
□ B. Antalgiques tération de l’état général et un syndrome inflammatoire
□ C. Les deux ensembles biologique.
□ D. Traitement physique
□ E. Repos strict au lit CC3-1. Quel est votre diagnostic ?
CC2-5. Il y a une ostéoporose pot-ménopausique modé- □ A. Une polyarthrite rhumatoïde débutante
rée sur le bilan radiologique de la patiente voue recom- □ B. Une spondylarthrite ankylosante
□ C. Une ostéomalacie
mander
□ D. Une arthrose
□ A. Une supplémentation vitamino-calcique □ E. Une arthralgie mécanique
□ B. Une réduction des apports calciques CC3-2. Comment confirmer votre diagnostic ?
□ C. Une immobilisation □ A. Demande de dosage du facteur rhumatoïde
□ D. Un repos strict au lit □ B. Demande de dosage des anticorps nucléaires
□ E. Une corticothérapie □ C. Demande de dosage des anti-ccp
□ D. Demande de dosage de la calcémie
CC2-6. Le tassement vertébral de l’ostéoporose post- □ E. Demande de dosage des enzymes musculaires
ménopausique s’accompagne un seul des signes suivants,
CC3-3. La vs est accélérée, allez-vous demander un exa-
lequel ?
men parmi les suivants
□ A. Une dm0 avec un t-score plus de -2.5 ds □ A. Une fns
□ B. Absence de trouble neurologique □ B. Une électrophorèse des protéines sériques
□ C. Aspect de vertèbre en ivoire □ C. Une chimie urinaire
□ D. Lyse osseuse □ D. Une crp
□ E. Géodes à l’emporte pièces □ E. Une calcémie

CC2-7. Les biphosphonates sont des médicaments de la CC3-4. Il y a une ostéoporose post-ménopausique mo-
famille des dérée sur le bilan radiologique de la patiente, vous re-
commandez
□ A. Antibiotiques □ A. Une supplémentation vitamino -calcique
□ B. Ains □ B. Une réduction des apports calciques
□ C. Anti-résorbeurs osseux □ C. Une immobilisation
□ D. Anabolisants osseux □ D. Un repos strict au lit
□ E. Antagonistes des récepteurs des œstrogènes □ E. Une corticithérapie

CC2-8. Le dénosumab est un médicament CC3-5. Les biphosphonates sont des médicaments de la
famille des
□ A. Anticorps monoclonal humain inhibiteur de l’os-
□ A. Ains
téoblaste □ B. Antibiotiques
□ B. Anticorps monoclonal humain inhibiteur de l’os- □ C. Anti- résorbeurs osseux
téoclaste □ D. Anabolisants osseux
□ C. Traitement de l’ostéomalacie phosphopénique □ E. Antagonistes des récepteurs des œstrogènes
□ D. Traitement de l’ostéomalacie calcipénique CC3-6. Une déminéralisation osseuse avec plusieurs tas-
□ E. Traitement de l’arthrose sements vertébraux peut-être due à
CC2-9. Le teriparatide est un médicament qui peut □ A. Un traitement par les corticoïdes
□ B. Acromégalie
□ A. Améliorer la synthèse protéique □ C. Une maladie hyperostosante
□ B. Améliorer la microarchitecture osseuse □ D. Une chondrocalcinose
□ C. Soigner la polyarthrite rhumatoïde □ E. Une scoliose rachidienne
□ D. Soulager une lombosciatique commune CC3-7. La mise en décharge est une mesure thérapeu-
□ E. Minéraliser un tissu ostéoïde tique indispensable au cours de
CC2-10. Le raloxifène est un médicament qui diminue □ A. L’arthrite septique
le □ B. L’arthrite rhumatoïde
□ C. L’arthrite microcristalline
□ A. Le risque de développer une thyroïdite □ D. L’ostéoporose
□ B. Le risque de faire une infection nosocomiale □ E. La maladie de paget
□ C. Le risque de faire une fracture ostéoporotique CC3-8. La ponction articulaire est un acte médical qui
□ D. Le risque de faire la covid-19 doit satisfaire une des conditions suivantes
□ E. Le risque de faire une uvéite
□ A. L’asepsie rigoureuse

CC2-5 → A CC2-6 → B CC2-7 → C CC2-8 → B CC2-9 → B CC2-10 → C CC3-1 → A CC3-2 → C


CC3-3 → B CC3-4 → C CC3-5 → C CC3-6 → A CC3-7 → A CC3-8 → A

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CHAPITRE 2. CLINIQUE

□ B. Une hémoglobinémie à 12 g/ dl □ A. Un steppage


□ C. Absence de l’infection articulaire □ B. Un talonnage
□ D. Le matin à jeun □ C. Un déficit de la dorsiflexion du pied
□ E. Une glycémie inférieure à 1.26 g/l □ D. Un deficit de la flexion plantaire
□ E. Une abolition du réflexe achiléen
CC4-7. Quels conseils donneriez-vous à mr t ?
Cas Clinique 4 [2020 R 3, 2020 R 2]
□ A. Repos relatif d’une semaine
Mr T, âgé de 23 ans, étudiant en architecture, sans anté- □ B. Repos absolu d’un mois
cédent pathologique, consulte chez vous pour des lombalgies □ C. Le port d’un lombostat rigide pendant 6 semaines
évoluant depuis 20 jours, complétées depuis 2 jours d’une □ D. Une kinésithérapie pour verrouillage du rachis lom-
douleur lancinante intense, du membre inférieur gauche irra- baire
□ E. Une manipulation vertébrale sur la chaise de travail
diant jusqu’à son gros orteil. Il a consulté chez son médecin
traitant qui lui a demandé une TDM lombaire. Son état CC4-8. Quel(s) traitement(s) proposez-vous à mr t ?
général est conservé. L’EVA=05/10, le bilan biologique est □ A. Des antalgiques palier 2 type association paracé-
normal. tamol et tramadol (lxprim*)
□ B. Un ajns en im type piroxicam
CC4-1. Quelle affection évoquez-vous chez mr t ? □ C. Une corticothérapie type solumédrol en iv
□ D. Une infiltration épidurale par de l’acétate de pred-
□ A. Une lombocruralgie gauche l3 nisolone
□ B. Une lombocruralgie gauche l4 □ E. Une chimionucléolyse à la chymopapaine
□ C. Une lombosciatalgie gauche l5
□ D. Une lombosciatalgie gauche s1 CC4-9. Vous indiquez un traitement chirurgical à mr t
□ E. Une névralgie du fémorocutané l2 s’il s’agit d’une forme
CC4-2. Vous demandez à mr t de décrire le trajet de □ A. Paralysante d’emblée
sa douleur. quelle réponse attendez-vous ? □ B. Avec syndrome de la queue de cheval
□ C. Parésiante s’aggravant sous traitement medical
□ A. La face antérieure du cuisse □ D. Après échec de traitement percutané
□ B. La face postéro-externe de la cuisse □ E. Du sujet âgé
□ C. La face postérieure du mollet
□ D. Le tendon d’achille CC4-10. Devant une altération de l’état général associé
□ E. Le bord interne du pied à un syndrome inflammatoire biologique, quel(s) diag-
nostic (s) devez-vous évoquer ?
CC4-3. En plus du trajet de la douleur, que recherchez-
vous à l’interrogatoire ? □ A. Spondylarthrite
□ B. Spondylodiscite à germe banal
□ A. Facteur déclenchant type un faux mouvement □ C. Métastases osseuses
□ B. Une aggravation des lombalgies au décubitus dor- □ D. Tumeur intra-rachidienne
sal □ E. Mal de pott
□ C. Une aggravation lorsque le patient tousse
□ D. L’horaire mécanique de la douleur
□ E. La présence de troubles génitosphinctériens Cas Clinique 5 [2020 R 3, 2020 R 2]
CC4-4. A l’examen clinique, le patient présente un signe
Mme D, 50 ans, enseignante de profession, consulte pour
de lasègue. en quoi consiste-t-il ?
des polyarthralgies touchant les poignets, les MCP et les
□ A. Une flexion latérale opposée impossible aux ma- ]PP avec une difficulté à se leyer le matin. Vous retrou-
nœuvres d’inclinaison vez un gonflement intėressant les poignets, les articulations
□ B. Un effacement de la lordose lombaire physiolo- interphalangiennes proximales et des 2 ème et 3 ème méta-
gique, à l’inspection carpophalangiennes. La pression latéral des métarsophalan-
□ C. Un déclenchement de la radiculalgie par pression
giennes déclenche une douleur exquise.
d’un point lombaire
□ D. Une douleur déclenchée à l’élévation progressive du
CC5-1. Quels sont les arguments en faveur d’une poly-
membre inférieur, genou en extension
□ E. Une contracture des muscles paravertébraux à la arthrite rhumatoïde ?
palpation □ A. L’age, le sexe
□ B. La douleur temporomandibulaire
CC4-5. Mr t vous remet la tdm. quelle lésion attendez- □ C. Une polyarthralgie aigue
vous de retrouver ? □ D. Une acropolyarthrite bilatérale et symétrique
□ A. Une hernie discale postéro-latérale l4-l5 □ E. Le squeeze test positif
□ B. Une hernie discale foraminale l5-s1 CC5-2. La polyarthrite rhumatoïde est une maladie po-
□ C. Un bâillement intersomatique postérieur électif l4- lygénique, incluant
l5
□ D. Une discite élective de l’étage l4-l5 □ A. Hla dr b1
□ E. Une protrusion discale l5/s1 □ B. Ptpn22
□ C. Hla b27
CC4-6. Si vous suspectez une lombosciatique s1 défici- □ D. Stat4
taire, quel(s) signe(s) recherchez-vous ? □ E. Hla b51

CC4-1 → C CC4-2 → B CC4-3 → ABCDE CC4-4 → D CC4-5 → A CC4-6 → BDE CC4-7 → ACD
CC4-8 → ABD CC4-9 → ABCD CC4-10 → ABCDE, BCDE CC5-1 → ADE CC5-2 → ABD

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CHAPITRE 2. CLINIQUE

CC5-3. La polyarthrite rhumatoïde est une maladie po- Cas Clinique 6 [2020 R 1]
lyfactorielle, incluant
Mr F, 30ans, instituteur, souffre depuis 15 jours de dou-
□ A. Le tabac leurs lombaires, irradiant vers la face postérieure de la cuisse
□ B. La maladie de crohn
□ C. La gingivite
gauche du genou et décrit des sensations de décharge Élec-
□ D. Le psoriasis trique des deux petits orteils. A l’examen vous objectivez
□ E. L’uvéite une attitude antalgique lombaire. L’inflexion latérale droite
CC5-4. Votre bilan biologique comprend est très douloureuse, il existe un Laségue à 40°, le réflexe
achilléen gauche est nettement diminué. L’examen de la
□ A. Vs, crp, nfs
□ B. Facteur rhumatoide
hanche est normal.
□ C. Acpa
□ D. Facteurs anti-nucléaires CC6-1. Quel diagnostic proposez-vous ?
□ E. Calcémie, pal □ A. Une spondylarthrite axiale débutante
CC5-5. Votre bilan radioiogique comprend □ B. Une sciatalgie l5 gauche
□ A. Une radiographie des poignets et des mains de face □ C. Une lombosciatique s1 gauche
□ B. Une radiogrphie des avants-pieds de face □ D. Une coxarthrose gauche débutante
□ C. Une radiographie des pieds (3/4) □ E. Un lumbago
□ D. Une radiographie du bassin de face CC6-2. Vous recherchez à l’interrogatoire pour étayer
□ E. Une radiographie du thorax de face
votre diagnostic
CC5-6. Queis sont les signes radiologiques que vous re-
□ A. L’horaire inflammatoire des lombosciatalgies
cherchez ?
□ B. Le caractère impulsif de la sciatalgie à la défécation
□ A. Pincement articulaire □ C. La présence de troubles génitosphinctériens
□ B. Erosions précoces des interphalangiennes distales □ D. L’absence de fièvre
□ C. Erosion précoce de la tête de la 5ème métatarsienne □ E. Les circonstances de survenue
□ D. Déminéralisation épiphysaire en "bande"
□ E. Condensation sous-chondrale CC6-3. Les manœuvres des sacroiliaques consistent à
CC5-7. Le das 28 comprend □ A. Pression directe en plein fesse
□ B. Manœuvre de hirtz
□ A. Le nombre d’articulations douloureuses
□ C. L’écartement/ rapprochement
□ B. Le nombre d’articulations gonflées
□ D. Manouvre de mennel
□ C. Eva de l’activité estimée par la patiente
□ D. Eva de l’activité estimée par le médecin □ E. Une douleur provoquée en plein fesse
□ E. Vs ou crp CC6-4. En quoi consiste le signe de lasègue ?
CC5-8. Vous décidez de prescrire 5 mg de prednisone □ A. Déclenchement de la radiculalgie à la pression d’un
et 20mg de méthotrexate, comment prescrivez-vous ce point lombaire
dernier ? □ B. Points douloureux à la pression sur le trajet du nerf
□ En prise journalière
A. irrité
□ En association avec l’acide folique
B. □ C. Déclenchement de la radiculalgie à l’élévation pro-
□ En association avec le calcium et la vitamine d
C. gressive du membre inférieur, genou étendu
□ Avec contrôle des transaminases et de la formule
D. □ D. Inflexion latérale opposée déclenche la radiculalgie
sanguine □ E. Limitation à l’antéflexion du rachis
□ E. Une contraception efficace est nécéssaire
CC6-5. La détérioration du div peut être favorisée par
CC5-9. Malgré la prise du méthotrexate à dose suf-
□ A. Une anhélie
fisante pendant 8 mois, mme d revient vous voir. vous
□ B. Des microtraumatismes
retrouvez une arthrite de la 2 ème, 3 ème mcp droites, le □ C. Un rétrolisthésis
poignet gauche, i’eva= 70/100, la vs= 80mm h1. devant □ D. Une maladie de scheuermann
un das 28 élevé, vous décidez de prescrire une biothé- □ E. Une hyperlordose
rapie, quel bilan pré thérapeutique initial demanderez-
CC6-6. Quelle(s) radiographie(s) standard(s)
vous ?
demandez-vous chez mr f. ?
□ A. Radiographie du thorax de face
□ B. Sérologie de l’hépatite b, c □ A. Radiographie du bassin de face
□ C. Dosage du quantiféron □ B. Radiographie du rachis dorsolombaire de profil
□ D. Vaccination anti-pneumococcique □ C. Radiographie de schuss de face
□ E. Vaccination anti-grippal □ D. Faux profil de lequesne droit et gauche
□ E. Aucune radiographie n’est nécessaire
CC5-10. Quelle est ou quelle sont les biothérapies que
vous pouvez proposer à mme d ? CC6-7. Une lombosciatique paralysante l5 se manifeste
par
□ A. Denosumab
□ B. Tocilizumab □ A. Marche sur les talons est difficile
□ C. Anti tnf alpha □ B. Marche sur la pointe difficile
□ D. Cyclophosphamide □ C. Un pied tombant par paralysie des muscles rele-
□ E. Rituximab veurs du pied
CC5-3 → AC CC5-4 → ABCD CC5-5 → ABCDE CC5-6 → ACD CC5-7 → ABCE CC5-8 → BDE
CC5-9 → ABCDE CC5-10 → ABD CC6-1 → C CC6-2 → BCDE CC6-3 → ACDE CC6-4 → C CC6-5 → BCDE
CC6-6 → E CC6-7 → AC
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CHAPITRE 2. CLINIQUE

□ D. Une amyotrophie quadricipitale est fréquente CC7-4. Quel diagnostic évoquez-vous ?


□ E. Une abolition du réflexe achilléen
□ A. Des méralgies parasthétiques l2
CC6-8. Une lombosciatique symptomatique □ B. Une lombocruralgie gauche l3
□ A. Est la plus fréquente des sciatiques □ C. Une lombosciatique commune gauche l5
□ B. Est suspectée devant une radiculalgie permanente □ D. Une lombosciatique commune gauche s1
avec des signes généraux et un syndrome inflamma- □ E. Des lombofessalgies inflammatoires gauches
toire CC7-5. En quoi consiste le signe de lasègue ?
□ C. Peut-être dûe à une volumineuse hernie discale
□ D. Peut-être due à des localisations secondaires □ A. Déclenchement de la radiculalgie à la pression d’un
□ E. Peut-être dûe à une spondylodiscite point lombaire
□ B. Points douloureux à la pression sur le trajet du nerf
CC6-9. Quel(s) traitement(s) préconisez-vous chez mr
irrité
f. ?
□ C. Déclenchement de la radiculalgie à l’élévation pro-
□ A. Rééducation fonctionnelle d’emblée gressive du membre inférieur, genou étendu
□ B. Lombostat □ D. Inflexion latérale opposée déclenche la radiculalgie
□ C. Anti-inflammatoires non stéroïdiens à dose d’at- □ E. Limitation à l’antéfiexion du rachis lombaire
taque
□ D. Corticothérapie en iv CC7-6. Le patient présente un signe de la sonnette. en
□ E. Antalgiques palier 2 quoi consiste ce signe
CC6-10. Le traitement chirurgical est indiqué devant □ A. Des points douloureux à la pression sur le trajet
□ A. L’aggravation d’une sciatique parésiante du nerf l5
□ B. La présence d’un lasègue très serré à l’examen cli- □ B. Un effacement de la lordose lombaire physiologique
nique à l’inspection
□ C. Un syndrome de la queue de cheval □ C. Une douleur déclenchée à l’élévation passive du
□ D. La persistance des radiculalagies après un traite- membre inférieur gauche en décubitus dorsal
ment médical bien conduit □ D. Une radiculalgie déclenchée à la pression paraver-
□ E. La présence d’une lyse isthmique à la radiographie tébrale
lombaire de profil □ E. Une inflexion latérale opposée impossible aux ma-
nœuvres d’inclinaison forcée
CC7-7. Vous faites une tdm lombaire chez mr k., elle
Cas Clinique 7 [2019 R 2]
montre
Mr K ; 28ans ; ouvrier de chantier ; sans ATCD consulte □ A. Une spondylodiscite l4-l5
pour des lombalgies évoluant depuis 15 jrs surtout que de- □ B. Un syndesmophyte bilatéral l4-l5 et l5-s1
puis 2 jours, il rapporte la notion d’une douleur intense avec □ C. Une hernie discale foraminale l4-l5
des décharges électriques intéressant le membre inferieur □ D. Une protrusion discale l5-s1
gauche s’étendant jusqu’au gros orteil □ E. Des tassements vertébraux l3-l4, l4-l5 et l5-s1
CC7-8. Quel traitement préconisez-vous chez mr k. en
CC7-1. Quel signe recherchez vous à l’interrogatoire
première intention ?
évocateur d’une origine commune ?
□ A. Un début brutal □ A. Un repos relatif
□ B. Une fébricule □ B. Un lombostat
□ C. Des épisodes de lumbago □ C. Un anti-inflammatoire non-stéroïdien
□ D. Une attitude antalgique en chien de fusil □ D. Une nucléotomie percutanée
□ E. Une impulsivité à la toux □ E. Un aménagement de poste de travail
CC7-2. Quel est ou quels sont le(s) bilan(s) complémen- CC7-9. L’examen neurologique de mr k. peut montrer
taire(s) demandez-vous chez mr k. ?
□ A. Une hypoesthésie du gros orteil
□ A. Vs, crp, nfs □ B. Une abolition du réflexe rotulien
□ B. Radiographie du rachis lombaire de face et de profil □ C. Une abolition du réflexe achilléen
□ C. Tdm lombaire □ D. Un déficit du muscle extenseur des orteils
□ D. Irm rachidienne □ E. Un déficit du muscle fléchisseur des orteils
□ E. Aucun bilan paraclinique n’est nécessaire
CC7-10. Une prise en charge chirurgicale est indiquée
CC7-3. Quelle est la topographie d’une sciatique l5 ? devant une forme
□ A. Face postéro-externe de la cuisse, face externe de
□ A. Fébrile
la jambe □ B. Hyperalgique
□ B. Face postérieure de la cuisse, face postérieure de la
□ C. Paralysante
jambe □ D. Avec un syndrome de la queue de cheval
□ C. Face plantaire du pied
□ E. Persistante après échec du traitement médical bien
□ D. En avant de la malléole latérale
□ E. Gros orteil
conduit

CC6-8 → BDE CC6-9 → BCE CC6-10 → ACD CC7-1 → CE CC7-2 → E CC7-3 → ADE CC7-4 → C
CC7-5 → C CC7-6 → D CC7-7 → C CC7-8 → ABCE CC7-9 → AD CC7-10 → BCDE

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CHAPITRE 2. CLINIQUE

Cas Clinique 8 [2018 R 2] □ D. Déminéralisation épiphysaire en "bande"


□ E. Condensation sous-chondrale
Mme D, 50 ans, femme au foyer, consulte pour des po-
CC8-8. Le das 28 comprend
lyarthralgies touchant les poignets, les MCP et les IPP
avec une difficulté à se lever le matin. Vous retrouvez un □ A. Le nombre d’articulations douloureuses
□ B. Le nombre d’articulations gonflées
gonflement intéressant les poignets, les articulations inter-
□ C. Eva de l’activité estimée par la patiente
phalangiennes proximales et des 2 ème et 3 ème métacarpo- □ D. Eva de l’activité estimée par le médecin
phalangiennes, La pression latéral des métatarsophalan- □ E. Vs ou crp
giennes déclenche une douleur exquise CC8-9. Vous décidez de prescrire 5 mg de prednisone
et 20mg de méthotrexate, comment prescrivez vous ce
CC8-1. Malgré la prise du méthotrexate à dose suf- dernier ?
fisante, mme f revient vous voir. vous retrouvez une ar-
□ En prise journalière
A.
thrite de la 2 ème, 3 ème mcp droites, le poignet gauche,
□ En association avec l’acide folique
B.
l’eva= 70/100, la vs= 80mm h1. devant un das 28 élevé □ En association avec le calcium et la vitamine d
C.
vous décidez de prescrireune biothérapie, lesquelles sont □ Avec contrôle des transaminases et de la formule
D.
indiquées dans la pr ? sanguine
□ A. Tocilizumab □ E. Une contraception efficace est nécessaire
□ B. Antitnfalpha CC8-10. Quels sont les complications de la corticothé-
□ C. Cyclophosphamide rapie que vous craignez ?
□ D. Bisphosphonate
□ A. Infection
□ E. Denosumab
□ B. Diabète
CC8-2. Les caractéristiques d’une douleur inflamma- □ C. Ostéoporose
toire sont les suivantes □ D. Cataracte
□ E. Uvéite
□ A. Une douleur qui apparaît à l’effort
□ B. Une douleur qui cède au repos
□ C. Maximale au petit matin Cas Clinique 9 [2018 R 1]
□ D. S’accompagne d’un bref dérouillage matinal
□ E. S’accompagne d’un long dérouillage matinal Mme .42 ans, enseignante, vient vous consulter pour
CC8-3. Quels sont les signes extra-articulaires que vous des poly arthralgies touchant les poignets les MCP et la
recherchez pour le diagnostic différentiel ? difficulté à se lever le matin et se render au travail. Vous
□ A. Notion d’érythème malaire
retrouvez un gonflement intéressant les poignets, les articu-
□ B. Notion de chute de cheveux lations interphalangiennes proximales et des 2ème et 3ème
□ C. Notion de xérophtalmie et/ou de xérostomie métacarpo-phalangiennes. La pression Latéral des méta-
□ D. Notion de nodosité de bouchard carpes déclenche une douleur exquise
□ E. Notion d’oeil rouge douloureux
CC8-4. Dans l’énoncé, quels arguments sont en faveur CC9-1. Les caractéristiques d’une douleur inflamma-
d’une polyarthrite rhumatoïde ? toire sont les suivantes
□ A. L’âge, le sexe □ A. Une douleur qui apparait à l’effort
□ B. La douleur temporomandibulaire □ B. Une douleur qui cède au repos
□ C. Une polyarthralgie aigue □ C. Maximale au petit matin
□ D. Une acropolyarthrite bilatérale et symétrique □ D. S’accompagne d’un bref dérouillage matinal
□ E. Le squeeze test positif □ E. S’accompagne d’un long dérouillage matinal
CC9-2. Quels sont tes signes extra-articulaires à recher-
CC8-5. Votre bilan biologique comprend
cher ?
□ A. Vs, crp, nfs
□ B. Facteur rhumatoïde □ A. Des lésions de psoriasis
□ B. La notion de chute de cheveux
□ C. Acpa
□ C. La notion de xérophtalmie et/ou de xérostomie
□ D. Facteurs anti-nucléaires
□ D. La notion de phénomène de raynaud
□ E. Calcémie, pal
□ E. La présence d’une maladie de crohn
CC8-6. Votre bilan radiologique comprend CC9-3. Dans l’énoncé, quels arguments sont en faveur
□ A. Une radiographie des poignets et des mains de face d’une polyarthrite rhumatoïde ?
□ B. Une radiographie des avants-pieds de face
□ A. L’age, le sexe
□ C. Une radiographie des pieds (3/4) □ B. La douleur temporomandibulaire
□ D. Une radiographie du bassin de face □ C. Une poly arthralgie aigue
□ E. Une radiographie du thorax de face □ D. Une acropolyarthrite bilatérale et symétrique
CC8-7. Quels sont les signes radiologiques que vous re- □ E. Le squeeze test positif
cherchez ? CC9-4. Votre bilan biologique comprend
□ A. Pincement articulaire □ A. Vs, crp, fns
□ B. Erosions précoces des interphalangiennes distales □ B. Facteur rhumatoïde
□ C. Erosion précoce de la tête de la 5ème métatarsienne □ C. Acpa

CC8-1 → AB CC8-2 → CE CC8-3 → ABC CC8-4 → ADE CC8-5 → ABCD CC8-6 → ABCE CC8-7 → ACD
CC8-8 → ABCE CC8-9 → BDE CC8-10 → ABCD CC9-1 → CE CC9-2 → BCD CC9-3 → ADE CC9-4 → ABCD

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CHAPITRE 2. CLINIQUE

□ D. Facteurs anti-nucléaires paracétamol à raison de 4g/j pendant 3 jours Il n’a aucun


□ E. Calcémie, pal antécédent. L’examen de cet homme : pesant 70 kg pour 1,76
CC9-5. Votre bilan radiologique comprend m montre une attitude antalgique avec inflexion latérale, un
Effacement de lordose physiologique avec contracture des
□ A. Une radiographie des poignets et des mains de face
□ B. Une radiographie des avants-pieds de face muscles para-vertébraux. Il est apyrétique et son examen
□ C. Une radiographie des pieds (3/4) général est normal.
□ D. Une radiographie du bassin de face
□ E. Une radiographie du thorax de face CC10-1. Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous ?
CC9-6. Quels sont les signes radiologiques que vous re- □ A. Lombosciatique l5
cherchez ? □ B. Lombosciatalgie l5
□ C. Lombosciatique s1
□ A. Pincement localisé d’une articulation □ D. Lombosciatalgie s1
□ B. Erosions précoces des interphalangiennes distales □ E. Lombocruralgie l4
□ C. Erosion précoce de la tête de la 5ème métatarsienne
CC10-2. Vous expliquer à mr d l’origine commune de la
□ D. Déminéralisation épiphysaire en "bande"
□ E. Condensation sous-chondrale lombalgie, de quoi est constitué le disque intervertébral
□ A. Anneau fibreux
CC9-7. Le das 28 comprend
□ B. Anneau pulpeux
□ A. Le nombre d’articulations douloureuses □ C. Noyau pulpeux
□ B. Le nombre d’articulations gonflées □ D. Noyau fibreux
□ C. Eva de l’activité estimée par la patiente □ E. Plaques cartilagineuses vertébrales
□ D. Eva de l’activité estimée par le médecin CC10-3. Dans l’énoncé, quels sont les arguments de l’in-
□ E. Vs ou crp terrogatoire qui sont en faveur de l’origine commune
CC9-8. Vous décidez de prescrire 10 mg de prednisone □ A. L’âge
et 20mg de méthotrexate, comment prescrivez vous ce □ B. La profession
dernier ? □ C. L’horaire mécanique
□ D. L’effort de soulèvement
□ En prise journalière
A.
□ E. Le trajet de la douleur
□ En association avec l’acide folique
B.
□ En association avec le calcium et la vitamine d
C. CC10-4. Que recherchez-vous d’autres à l’interrogatoire
□ Avec contrôle des transaminases et de la formule
D. pour étayer le diagnostic ?
sanguine □ A. Les antécédents d’ulcère gastrique
□ E. Une contraception efficace est nécessaire □ B. Les antécédents de lumbago
CC9-9. Quels sont les complications de la corticothéra- □ C. Le caractère impulsif de la douleur
□ D. La présence de paresthésies type fourmillement
pie que vous craignez ?
□ E. Les troubles génitosphinctériens
□ A. Diabète CC10-5. Vous complétez votre examen clinique en ef-
□ B. Coxite
fectuant
□ C. Ostéoporose
□ D. Cataracte □ A. Le signe de lasègue
□ E. Uvéite □ B. Le signe du rabot
□ C. Le signe de la sonnette
CC9-10. Malgré la prise du méthotrexate à dose suffi- □ D. La marche sur les pointes
sante, mme f revient vous voir. vous retrouvez une ar- □ E. L’examen neurologique
thrite de la 2 ème, 3 ème mcp droites, lepoignet gauche, CC10-6. En cas d’atteinte neurologique de votre pa-
l’eva= 60/100, la vs=60mmh1.devant un das28 = 5 : tient, que pouvez-vous retrouver ?
décidez deprescrire une biothérapie, lesquelles sont indi-
□ A. Hypoesthésie du dernier orteil
quées dans la pr ? □ B. Hypoesthésie du gros orteil
□ A. Tocilizumab □ C. Faiblesse du fléchisseur des orteils
□ B. Anti tnf alpha □ D. Faiblesse de l’extenseur des orteils
□ C. Abatacept □ E. Réflexe achilléen diminué
□ D. Rituximab CC10-7. En quoi consiste le signe de lasègue ?
□ E. Denosumab
□ A. Reproduction de la douleur radiculaire à la pres-
sion para vertébrale en l5-s1
□ B. Reproduction de la douleur radiculaire à l’élévation
Cas Clinique 10 [2018 R 1]
du membre intérieur en extension
Mr D, 35 ans, maçon de profession, consulte pendant □ C. Reproduction de la douleur radiculaire à la pres-
votre garde aux urgences pour une douleur lombaire qui sion du trajet du nerf atteint
descente de la face postérieure de la cuisse droite, de la □ D. Permet de suivre l’efficacité du traitement
□ E. Est négatif si lombalgie seule
jambe droite pour terminer en bracelet au niveau de la che-
ville droit il dit que sa symptomatologie est apparue il y a CC10-8. Quel(s) examen(s) complémentaire(s)
3 jours suite à un soulèvement d’un sac de ciment. Il estime demandez-vous d’emblée ?
son EVA a 8/10 moindre mouvement malgré la prise de □ A. Radiographie du bassin de face + vs

CC9-5 → ABCE CC9-6 → CD CC9-7 → ABCE CC9-8 → BDE CC9-9 → ACD CC9-10 → ABCD CC10-1 → D
CC10-2 → ACE CC10-3 → ABCDE CC10-4 → BCDE CC10-5 → ACDE CC10-6 → ACE CC10-7 → BDE
CC10-8 → E
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CHAPITRE 2. CLINIQUE

□ B. Radiographies du rachis lombaire face et profil + CC11-4. Que recherchez chez mr r à l’interrogatoire
vs pour étayer le diagnostic ?
□ C. Tdm lombaire + vs
□ D. Irm lombaire + vs en □ A. L’horaire mécanique de la douleur
□ E. Aucun examen complémentaire n’est nécessaire □ B. Les antécédents de lumbago
□ C. Le caractère impulsif de la douleur
CC10-9. En quoi consiste l’eva ? □ D. La présence de paresthésies type fourmillement
□ A. Echelle visuelle aléatoire de la douleur aigue ou □ E. Les troubles génitosphinctériens
chronique CC11-5. Vous complétez votre examen clinique en ef-
□ B. Permet une auto-évaluation de l’intensité de la
fectuant
douleur par le patient
□ C. Permet le suivi après traitement □ A. Le signe de neer
□ D. Eva à 70/100 est considéré comme douleur légère □ B. Le signe de lasègue
□ E. Eva a 70/100 est considérée comme douleur intense □ C. Le signe de la sonnette
CC10-10. Que préconisez-vous chez votre patient ? □ D. La marche sur les pointes et les talons
□ E. L’examen neurologique
□ A. Un repos relatifs de 5 jours
□ B. Un antalgique palier 1 type paracétamol à raison CC11-6. En cas d’atteinte neurologique de votre pa-
d’1g toutes les 2 heures tient, que pouvez-vous retrouver ?
□ C. Un antalgique palier 2 type xamadol *à raison d’un
□ A. Hypoesthésie du dernier orteil
cp toutes les 4 heures
□ B. Hypoesthésie du gros orteil
□ D. Un anti-inflammatoire non stéroïdien type diclo-
□ C. Faiblesse du fléchisseur des orteils
fénac à 150 mg/j pendant 7j puis relai par une dose □ D. Faiblesse de l’extenseur des orteils
d’entretient □ E. Réflexe achilléen diminué
□ E. Une discectomie chirurgicale
CC11-7. En quoi consiste le signe de lasègue ?
□ A. Reproduction de la douleur radiculaire à la pres-
Cas Clinique 11 [2018 R 2]
sion paravertébrale en l4-l5 et l5-s1
Mr R, 30 ans, enseignant, consulte pour une douleur □ B. Reproduction de la douleur radiculaire à l’élévation
lombaire qui descend le long de la face postéro externe de la du membre inférieur en extension
cuisse droite, de la jambe droite pour terminer en bracelet □ C. Reproduction de la douleur radiculaire à la pres-
au niveau de la cheville droite. Mr R dit que sa symptoma- sion du trajet du nerf atteint
tologie est apparue il y a 3 jours suite à un faux geste. Il □ D. Patient étant en décubitus dorsal
estime son EVA à 80/100 au moindre mouvement malgré □ E. Permet le suivi après traitement
la prise de paracétamol à raison de 4g/j pendant 3 jours. CC11-8. Quel(s) examen(s) complémentaire(s)
Il n’a aucun antécédent particulier. L’examen montre une demandez-vous d’emblée chez mr r ?
attitude antalgique avec inflexion latérale, un effacement
□ A. Vitesse de sédimentation (vs)
de la lordose physiologique avec contracture des muscles
□ B. Radiographies du rachis lombaire face et profil
para-vertébraux. Il est apyrétique et son examen général est
□ C. Tdm lombaire + vs
normal. □ D. Irm lombaire + vs
□ E. Aucun examen complémentaire n’est nécessaire
CC11-1. Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous ?
CC11-9. En quoi consiste l’eva ?
□ A. Lombosciatique l5
□ B. Lombosciatalgie l5 □ A. Echelle visuelle aléatoire de la douleur aigue ou
□ C. Lombosciatique s1 chronique
□ D. Lombosciatalgie s1 □ B. Permet une auto-évaluation de l’intensité de la
□ E. Lombocruralgie l4 douleur par le patient
CC11-2. Complétez le trait de la douleur de mr r ? □ C. Permet le suivi après traitement
□ D. Eva à 80/100 est considéré comme douleur légère
□ A. Devant la malléole externe
□ B. Derrière la malléole interne □ E. Eva à 80/100 est considéré comme douleur intense
□ C. Le gros orteil CC11-10. Que préconisez-vous chez votre patient ?
□ D. Les deux derniers orteils
□ E. Le tendon d’achille □ A. Un repos relatif de 5 jours
□ B. Un antalgique palier 1 type paracétamol" à raison
CC11-3. En dehors de l’origine commune, quelle(s) étio-
d’1g toutes les 2 heures
logie(s) craignez-vous si mr r présentait une altération
□ C. Un antalgique palier 2 type xamadol *à raison d’un
de l’état général ?
cp toutes les 4 heures
□ A. Spondylodiscite □ D. Un anti-inflammatoire non stéroïdien type diclo-
□ B. Tumeur fénac à 150 mg/i pendant 7j puis relai par une dose
□ C. Hernie discale volumineuse d’entretien
□ D. Thrombose veineuse profonde □ E. Une discectomie chirurgicale
□ E. Atteinte du fémorocutané

CC10-9 → BCE CC10-10 → ACD CC11-1 → B CC11-2 → AC CC11-3 → AB CC11-4 → ABCDE


CC11-5 → BCDE CC11-6 → BD CC11-7 → BDE CC11-8 → E CC11-9 → BCE CC11-10 → ACD CC12-1 → C

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CHAPITRE 2. CLINIQUE

Cas Clinique 12 [2017 R 1] □ A. Repos relatif, 5 jours


□ B. Repos relatif, 15 jours
Monsieur J.R, âgé de 40 ans, professeur de mathéma- □ C. Mise en décharge avec béquillage
tique, qui n’a aucun antécédent pathologique, consulte pour □ D. Repos absolu, 5 jours
des lombalgies évoluant depuis 15 jours, complétées depuis 2 □ E. Repos absolu, 15 jours
jours d’une douleur lancinante intense, du membre Inférieur CC12-8. Mr j.r n’est amélioré que partiellement après
gauche s’étendant jusqu’à son gros orteil. Il consulte chez le traitement que vous lui avez prescrit pendant 15 jours.
son médecin généraliste qui lui demande d’emblée une TDM vous décidez de réaliser une infiltration épidurale. quel
lombaire. produit utiliser pour l’injecter ?
□ A. Diclofenac (voltarene")
CC12-1. Quelle affection évoquez-vous ?
□ B. Paracétamol (perfalgan*)
□ A. Une lombocruralgie gauche l3 □ C. Triamcinolone (kenacort)
□ B. Une lombocruralgie gauche l4 □ D. Morphine (skenan")
□ C. Une lombosciatalgie gauche l5 □ E. Bisphosphonate (aredia")
□ D. Une lombosciatalgie gauche s1
□ E. Une lombofessalgie gauche CC12-9. Quelle est l’évolution naturelle habituelle de
cette affection ?
CC12-2. Quel signe recherchez-vous à l’interrogatoire,
très évocateur d’une origine lombaire discale commune ? □ A. Bénigne dans la grande majorité des cas, disparais-
sant en quelques semaines
□ A. Un amaigrissement
□ B. Amélioration de la poussée mais récidive au
□ B. Une aggravation des lombalgies au décubitus dor-
moindre effort ultérieur
sal
□ C. Chronique, avec persistance définitive des douleurs
□ C. Une aggravation lorsque le patient tousse
□ D. Des épisodes de lumbagos en l’absence d’intervention chirurgicale
□ E. Une diminution de la force musculaire proximale □ D. Rémission sous traitement antalgique, reprise à
l’arrêt.
CC12-3. Vous voyez la tdm ramenée par la patient. □ E. Aggravation systématique conduisant à un handi-
quelle est la lésion la plus probablement rencontrée ? cap fonctionnel
□ A. Une hernie discale postéro-latérale l4/15
CC12-10. Quelle est l’indication opératoire la plus ur-
□ B. Une hernie discale foraminale l5/s1
□ C. Un syndesmophyte entre la vertèbre l4 et ls gente de cette affection ?
□ D. Un syndesmphyte entre la vertèbre l5 et s1 □ A. Forme trainante
□ E. Une protrusion discale l5/s1 □ B. Forme hyperalgique
CC12-4. Le patient présente un signe de la sonnette. en □ C. Forme paralysante
quoi consiste ce signe ? □ D. Forme avec syndrome de la queue de cheval
□ E. Forme parésiante
□ A. Une flexion latérale opposée impossible aux ma-
nœuvres d’inclinaison
□ B. Un effacement de la lordose lombaire physiolo- Cas Clinique 13 [2017 R 1]
gique, à l’inspection
□ C. Un déclenchement de la radiculalgie par pression Mme. F, âgée de 52 ans, mère de trois enfants, aux anté-
d’un point lombaire cédents de diabète type 2 sous antidiabétique oraux, d’HTA
□ D. Une douleur déclenchée à l’élévation progressive du sous cozaar, d’une lithiase rénale (2 épisodes), consulte pour
membre inférieur, genou en extension une polyarthrite touche principalement les mains, les poi-
□ E. Des points douloureux à la pression sur le trajet gnets et les métatarsiens des pieds, apparue il y a é mois
du nerf l5 après décès de son mari. Elle rapporte de polyarthralgies
CC12-5. Quel bilan paraclinique demandez-vous, pour d’horaire inflammatoire. A l’examen clinique, vous retrou-
compléter l’exploration du badent ? vez une tuméfaction des 2 poignets, un gonflement des MCP
et IPP avec squeeze test positif. Aux genoux, vous retrou-
□ A. Un bilan biologique inflammatoire
□ B. Une radiographie du rachis lombaire (face et profil) vez un choc rotulien bilatéral, plus prononcé à gauche. La
□ C. Un bilan biologique + une radiographie du rachis patiente vient avec un bilan biologique fait en ambulatoire :
lombaire (face et profil) VS= 77 mm la première heure, CRP =25mg/l, Hb= 9.7
□ D. Aucun bilan complémentaire n’est nécessaire g/dl, VGM= 90 CCMH= 28 GB= 11000 alts/mm, pla-
□ E. Une irm médullaire quettes= 332 000/ mm.
CC12-6. Lequel, parmi les traitements suivants,
prescrirez-vous ? CC13-1. Quel diagnostic vous semble le plus probable ?
□ A. Prednisone (precortyl) □ A. Une spondyloarthropathie féminine débutante
□ B. Diclofenac (voltarene") □ B. Une polyarthrite goutteuse
□ C. Calcium (orocal*) □ C. Une polyarthrite rhumatoïde débutante
□ D. Colchicine (colchicine") □ D. Une arthrose digitale
□ E. Morphine (skénan") □ E. Un lupus érythémateux systémique
CC12-7. Vous lui conseillez le repos, que lui diriez- CC13-2. Une douleur typiquement inflammatoire se ca-
vous ? ractérise par ?

CC12-2 → C CC12-3 → A CC12-4 → C CC12-5 → D CC12-6 → B CC12-7 → A CC12-8 → C CC12-9 → A


CC12-10 → D CC13-1 → C CC13-2 → A

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CHAPITRE 2. CLINIQUE

□ A. Une douleur qui réveille spontanément le malade □ B. Contraception


la deuxième moitié de la nuit □ C. Dosage des transaminases
□ B. Une douleur qui survient surtout à l’effort □ D. Formule numération sanguine
□ C. Une douleur calmée par le repos □ E. Toutes les réponses sont justes
□ D. Une douleur qui s’accompagne d’un dérouillage CC13-10. L’étude bactériologique du liquide synoviale
matinal de moins de 30 minutes est revenue négative, devant la persistance de l’épanche-
□ E. Une douleur qui s’estompe le matin au réveil
ment articulaire, vous réalisez
CC13-3. Un squeeze test positif aux 2 mains désigne ?
□ A. Une biopsie synoviale
□ A. Une douleur déclenchée à l’hyperflexion des poi- □ B. Une infiltration avec un corticoïde retard
gnets □ C. Une viscosupplémentation
□ B. Une douleur déclenchée à l’hyperpression des ipd □ D. Un bolus de corticoïde
□ C. Une douleur déclenchée à la pression latérale des □ E. S’abstenir de toute thérapeutique
mcp
□ D. Une douleur déclenchée à la percussion antérieure
du poignet
□ E. Une douleur déclenchée à la pression contrariée de
l’articulation trapézo-métacarpienne
CC13-4. Le bilan biologique spécifique qui permet de
confirmer votre diagnostic sera
□ A. Une recherche positif des anticorps anti-sm
□ B. Une recherche positive des anticorps anti-dna natif
□ C. Une recherche positif des anticorps anti-ssa et anti-
sse
□ D. Une recherche négative des anticorps anti-
nucléaires
□ E. Une recherche positive des acpa
CC13-5. L’imagerie à demander en première intention
chez votre patiente est la suivante
□ A. Une radiographie standard de face des 2 mains
□ B. Une échographie des poignets
□ C. Une irm des poignets
□ D. Une radiographie standard de face des 2 pieds
□ E. Une radiographie des 2 genoux
CC13-6. Une radiographie des 2 main faite chez la pa-
tiente, vous recherchez
□ A. Une calcification du ligament annulaire du carpe
□ B. Une ostéophytose des ipp et ipd
□ C. Une résorption des houppes phalangiennes
□ D. Une érosion des mcp
□ E. Une érosion des ipd
CC13-7. Vous ponctionnez le genou gauche, l’étude du
liquide synoviale montre
□ A. Présence de cristaux de pyrophosphates de calcium
□ B. Présence de cristaux d’urates de sodium
□ C. Gb> 10000 éléments/mm3 altérés
□ D. Gb =2000 éléments/mm3 non altérées
□ E. Présence d’un germe non spécifique
CC13-8. Votre diagnostic retenu, le traitement de fond
que vous prescrivez en première intention chez votre pa-
tiente est le suivant
□ Allopurinol (zyloric*)
A.
□ Colchicine
B.
□ Méthotrexate
C.
□ Traitement biologique par anti-tnf alpha (etanar-
D.
cept : enbrel*)
□ E. Prednisone (cortancyl) à petite dose
CC13-9. Quelle mesures à entreprendre avant de mettre
la malade sous traitement de fond
□ A. Test de grossesse

CC13-3 → C CC13-4 → E CC13-5 → A CC13-6 → D CC13-7 → D CC13-8 → C CC13-9 → C CC13-10 → B

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