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AUX
DICTIONNAIRES ARABES
SUPPLÉMENT
AUX
DICTIONNAIRES ARABES
PAR
R. DOZY
COMMANDEUR,
OFFICIERET CHEVALIER
DEPLUSIEURSORDRES,MEMBRE DE L'ACADÉMIE D'AMSTERDAM
ROYALEDESSCIENCES
OT DE CELLEDE COPENHAGUE,CORRESPONDANTDE CELLEDE ST.-P£TERSBOURG,
DE L'INSTITUT
DE FRANCK
ET DE LACADÉMIE
D'HISTOIRE
DB MADRID,ASSOCIÉ
ÉTRANGER DE LASOC.ASLAT.
DE PARIS,
A L'UNIVERSITÉ
PROFESSEUR DE LEÏDE, ETC.
TOME PREMIER
————~—~0[--~~- ;
LEYDE, E. J. BRILL.
1881.
IMPRIMERIE DE E. J. BRILL à LEYDE.
PRÉFACE
La langue arabe classique, celle des anciens poèmes, du Coran et de la Sonna, n'a eu qu'environ deux
cents ans d'existence. Vers la fin du premier siècle de l'hégire, avant que les Arabes eussent une autre litté-
rature, elle subit un grand changement, qui tendait à s'accroître toujours davantage. C'était la conséquence
nécessaire et inévitable des victoires rapides et presque miraculeuses des sectateurs du prophète de la Mecque:
la langue cessa de s'appartenir pour devenir la propriété des provinces qu'elle avait conquises. Le contact avec
les peuples vaincus, qui se mirent à parler l'arabe mais qui le parlaient incorrectement, exerça son influence
sur les Arabes mêmes. On négligea de se servir des désinences grammaticales, on employa des mots dans une
,
signification détournée et l'on emprunta aux langues des vaincus, des Syriens, des Persans, des Coptes, des
Berbères, des Espagnols, des Turcs bon nombre de termes. Cependant le commerce avec l'étranger n'était pas
la seule ni peut-être la principale cause de l'altération du langage. Il faut la chercher aussi dans la situation
entièrement nouvelle que les conquérants s'étaient créée. Nomades jusque-là ou habitants de petites villes et
menant une vie très-simple, ils se trouvèrent transportés soudainement dans un monde où tout leur était nou-
veau, au sein de grandes villes où régnait le luxe, et de vieilles civilisations, comme celles de l'empire romain
et de la Perse. Bientôt aussi, il faut le dire à leur honneur, ils se firent instruire par leurs nouveaux sujets,
et se mirent à étudier avec ardeur des arts et des sciences qui leur avaient été étrangers. Une révolution
complète s'opéra dans leurs idées comme dans leurs mœurs, et leur idiome devait nécessairement ressentir le
contre-coup de ce brusque passage d'une vie demi-barbare à une civilisation fort raffinée. Il s'appauvrit d'un
côté, et s'enrichit de l'autre. On laissa tomber cette surabondance de mots qui encombrent l'arabe littéral;
c'était peut-être un tiers de la langue, et ces mots exprimaient principalement des idées bédouines, pour ainsi
dire, sans compter que plusieurs d'entre eux n'avaient à aucune époque été d'un usage général; par contre,
on forma plus ou moins régulièrement, selon le génie de la langue, des termes nouveaux pour désigner des
objets et des idées inconnus auparavant, ou bien on modifia le sens de ceux qu'on possédait. Cette transfor-
mation de l'idiome eut lieu dans toutes les provinces où dominaient les Arabes, mais à un degré inégal; le
démembrement de l'empire contribua sans doute à accélérer la formation des dialectes, et bientôt chaque pro-
vince avait le sien 1.
Ce changement, toutefois, ne s'opéra pas sans rencontrer une violente opposition de la part des puristes,
c'est-à-dire, des grammairiens, des théologiens et des jurisconsultes, qui n'admettaient et n'étudiaient d'autre
La langue arabe classique, celle des anciens poèmes, du Coran et de la Sonna, n'a eu qu'environ deux
cents ans d'existence. Vers la fin du premier siècle de l'hégire, avant que les Arabes eussent une autre litté-
rature, elle subit un grand changement, qui tendait à s'accroître toujours davantage. C'était la conséquence
nécessaire et inévitable des victoires rapides et presque miraculeuses des sectateurs du prophète de la Mecque:
la langue cessa de s'appartenir pour devenir la propriété des provinces qu'elle avait conquises. Le contact avec
les peuples vaincus, qui se mirent à parler l'arabe mais qui le parlaient incorrectement, exerça son influence
sur les Arabes mêmes. On négligea de se servir des désinences grammaticales, on employa des mots dans une
signification détournée et l'on emprunta aux langues des vaincus, des Syriens, des Persans, des Coptes, des
Berbères, des Espagnols, dos Turcs, bon nombre de termes. Cependant le commerce avec l'étranger n'était pas
la seule ni peut-être la principale cause de l'altération du langage. Il faut la chercher aussi dans la situation
entièrement nouvelle que les conquérants s'étaient créée. Nomades jusque-là ou habitants de petites villes et
menant une vie très-simple, ils se trouvèrent transportés soudainement dans un monde où tout leur était nou-
veau, au sein de grandes villes où régnait le luxe, et de vieilles civilisations, comme celles de l'empire romain
et de la Perse. Bientôt aussi, il faut le dire à leur honneur, ils se firent instruire par leurs nouveaux sujets,
et se mirent à étudier avec ardeur des arts et des sciences qui leur avaient été étrangers. Une révolution
complète s'opéra dans leurs idées comme dans leurs mœurs, et leur idiome devait nécessairement ressentir le
contre-coup de ce brusque passage d'une vie demi-barbare à une civilisation fort raffinée. Il s'appauvrit d'un
côté, et s'enrichit de l'autre. On laissa tomber cette surabondance de mots qui encombrent l'arabe littéral;
c'était peut-être un tiers de la langue, et ces mots exprimaient principalement des idées bédouines, pour ainsi
dire, sans compter que plusieurs d'entre eux n'avaient à aucune époque été d'un usage général; par contre,
on forma plus ou moins régulièrement, selon le génie de la langue, des termes nouveaux pour désigner des
objets et des idées inconnus auparavant, ou bien on modifia le sens de ceux qu'on possédait. Cette transfor-
mation de l'idiome eut lieu dans toutes les provinces où dominaient les Arabes, mais à un degré inégal; le
démembrement de l'empire contribua sans doute à accélérer la formation des dialectes, et bientôt chaque pro-
vince avait le sien
Ce changement, toutefois ,
ne s'opéra pas sans rencontrer une violente opposition de la part des puristes,
c'est-à-dire, des grammairiens, des théologiens et des jurisconsultes, qui n'admettaient et n'étudiaient d'autre
1)Ibid.
2) Freytag n'a fait de ces notes qu'un usage fort restreint, et souvent il les a rendues d'une manière inexacte. J'aurais voulu incorporer
dans mon livre toutes celles qui présentent encore de l'intérêt, car, dans l'état actuel de la science, l'immense majorité en est devenue inutile;
mais toutes les citations devant être vérifiées, j'ai calculé que ce travail demanderait deux années, sans que le résultat fût en proportion avec
la peine et le temps qu'il exigerait, car le dépouillement ne donnerait après tout qu'environ deux cents pages in-8°. Je me suis donc borné à
consulter ces notes de temps en temps, et c'est à elles que j'ai emprunté mes citations d'Elmacin, d'Aboulfaradj, d'Eutychius, d'ibn Tofail,
d'Imr&nî et de l'ouvrage intitulé al-Faradi ba'da 's-chidda.
3) C'est ce que Quatremère annonçait dans le Journal asiatique de cette année, IIIe série, t. V, p. 201-2.
manuscrites sont d'une richesse incomparable, car personne n'a jamais lu, en vue de la lexicographie, autant
d'auteurs orientaux. Elles contiennent surtout beaucoup de termes ecclésiastiques, de provenance grecque ou
copte. Malheureusement, bien que plus faciles à consulter que celles .de Schultens, car chaque carton ne con-
tient qu'une seule citation, elles ne sont pas rédigées non plus. Souvent les termes sont notés, mais non pas
expliqués, et pour la plupart d'entre eux il faudrait comparer les manuscrits auxquels ils sont empruntés, ceux
,
de la Bibliothèque nationale, ce qui revient à dire que la rédaction de ces notes, si quelqu'un voudrait l'en-
treprendre ne pourrait se faire qu'à Paris 1.
N'est-il pas à regretter que les annotations de tels savants et de plusieurs autres qu'on pourrait nommer,
fruits de longues veilles et de vastes lectures, aient été perdues pour la science? Et il en sera ainsi de toutes
celles qui n'auront pas été rédigées par ceux qui les ont faites; d'autres ne le feront pas ou le feront mal,
car rédiger les notes d'autrui est un travail peu attrayant et souvent impossible.
Mû par ces considérations, et quoique persuadé que je ne réussirais pas à produire un ouvrage tant soit
peu complet, j'ai osé croire que je ferais une œuvre utile en mettant en ordre et en publiant les notes lexibo-
graphiques que j'avais rassemblées dans le cours de mes lectures pendant plus de trente ans. A peu d'ex-
ceptions près, là où quelques développements me semblaient désirables, j'ai passé sous silence tout ce qui a
déjà été bien expliqué par Freytag ou par Lane 2, et je me suis attaché à les compléter en puisant dans
plusieurs sources que je vais indiquer.
En premier lieu je nommerai trois glossaires composés en Espagne au moyen âge.
Le plus ancien est le glossaire latin-arabe contenu dans le man. de Leyde 231, que j'ai désigné par la
lettre L. Il a appartenu à Scaliger, qui l'avait reçu de Guillaume Postel et qui en a fait usage dans son
Thesaurus Linguœ Arabicœ (ouvrage qui n'a point été publié, mais dont notre Bibl. possède l'original, man.
212), de même que son contemporain et ami Raphelengius dans son Lexicon Arabicum (Leyde, 1613). Ce der-
nier (voyez sa Préface) le croyait écrit «ante annos octingentos plus minus.» A ce compte il serait de la fin
du VIlle siècle; c'est une assertion qu'il serait inutile de réfuter. Scaliger exagère moins; «ante DC plus mi-
nus annos scriptum, » dit-il ;
mais le man. doit être plus récent que la fin du Xe siècle, car il est écrit en
partie sur parchemin, en partie sur papier de coton; la grande majorité des feuillets est de la dernière sub-
stance, et l'on sait qu'antérieurement au XIe siècle on ne trouve pas de livres écrits sur papier de coton 3.
A mon sens le man. est du XIIe siècle, et c'est aussi l'avis de deux paléographes exercés, M. Wright (de
Cambridge) et M. Karabacek (de Vienne).
Loin d'être l'original, c'est une copie assez médiocre, mais l'ouvrage lui-même, à en juger d'après l'ara-
be, n'est guère plus ancien. Il a été composé en Espagne, comme le prouvent péremptoirement plusieurs des
termes bas-latins et arabes qu'il contient, ainsi qu'une petite liste en espagnol à la fin, où sont énumérés les
chevaux de différente robe Le nom de son auteur est inconnu. On pourrait soupçonner que c'était un juif,
parce qu'on trouve à la fin les noms arabes et hébreux des pierres précieuses, le tout en caractères arabes,
et aussi les noms latins et arabes des planètes et des signes du zodiaque, avec leur traduction en hébreu écrite
en caractères hébreux; mais l'encre de ces derniers diffère et peut-être sont-ils d'une autre main. Ce qui,
1) Grâce a l'obligeance de la direction de la Bibl. de Munich, j'ai pu examiner à loisir la première lettre du recueil de Quatremère, et
J
elle m'a gracieusement offert de m'envoyer successivement le reste si je le désirais. On voit pourquoi je n'ai pas profité de cette offre. obser-
verai encore que, pour un futur éditeur, la moitié peut-être de ces cartons sera inutile. Quelques-uns font double ou triple emploi; d'autres se
rapportent à des noms propres ou relatifs et n'appartiennent pas au Dictionnaire (j'en ai remarqué quinze, p. e., qui contiennent des renvois
le
pour la vie du poète Imra al-kais); enfin, bon nombre d'entre eux sont superflus après la publication du Lexique de Lane. J'exprime encore
qui
vœu qu'ils tombent un jour en de pieuses mains, et j'espère que l'on passera sous silence plusieurs erreurs qu'ils renferment, erreurs
surprennent chez un aussi grand savant; mais il faut se rappeler que ce savant avait, comme chacun de nous, ses moments de distraction, et
que, s'il lui avait été donné de reviser ces notes, il les aurait sans aucun doute corrigées lui-même.
2) Jusqu'à la lettre rd inclusivement; c'est tout ce qui a paru de ce Lexique.
3) Voir Sehônemann, Versuch eines vollständigen Systems der Diplomatik, t. 1, p. 491.
4) Elle a été publiée, d'après ma copie, par M. Simonet, Glosario etc., p. 166, n. 4.
:
--
chrétien, c'est qu'il dit nous ippodiaconus tgrece quem nos subdia-
au contraire, semble indiquer qu'il était
conum dicimus. » On peut donc supposer avec M. Simonet que c'était un mozarabe ou bien un juif converti.
;
Le latin de ce glossaire est parfois un singulier mélange de mots surannés, qu'on ne trouve que chez
5
Yarron ou d'autres philologues anciens (je doute que le compilateur les ait toujours compris), et de termes de
la plus basse latinité. Souvent l'équivalent arabe manque. Les confusions et les bévues abondent au contraire.
®
9
Verbix, p. e., qui est pour vervex, y est traduit par il faudrait Sous sterto on trouve j ~>8
iffi. Le premier mot arabe peut bien signifier sterto, ronfler; mais le second signifie sternuo ou sternuto,
~«w ~Cl
éternuer. Sous sciasis on rencontre L«jJ! Kj->;
O c'est une faute pour LwUlJt ~y~t goutte sciatique. Parfois le
latin ne correspond nullement à l'arabe, p. e.: plagiarius (vel plagiator, àbilelator 1, seductor) Cl.::::- à J":i1>.
Il faut remarquer que, dans ce glossaire, ~) indique constamment qu'il faut prendre le mot latin dans un sens
qui diffère de celui qui précède; or, le second terme arabe, qui signifie celui qui blesse, montre qu'il faut
penser, non pas à l'explication latine, mais à un mot qui serait formé de plaga (ce plaga précède, avec la
~'J, O-o»
traduction X~-~ ,) 'i.>fr' blessure et, dans un autre sens, plage)); mais quant au premier terme arabe, je
ne puis deviner ce qu'il aurait de commun avec plagiarius. Parfois les mots sont tellement altérés qu'on ne
sait qu'en faire; ainsi fervidus est \-X-;-t, (etosa, ïMl.:> XcLjue.
L'orthographe latine de Fauteur est bizarre. Il confond sans cessc le b et le v, ce qui, au reste, est
conforme à la coutume des Espagnols, l'e et ri, l'o et l'u (in quu, pour in quo), etc. Il a un souverain
mépris pour les h, qu'il ajoute ou omet à sa fantaisie, pour les cas et pour les nombres: ses mots sont tantôt
au nominatif, tantôt au génitif, tantôt au datif, etc., tantôt au singulier, tantôt au pluriel. Il supprime l'a et
l'm dans us et um, sans signe d'abréviation. Dans l'arabe il donne presque toujours les voyelles et même les
désinences grammaticales; mais il confond les lettres du même organe, p. e. à et Jo (satiriasis Jl.aJjf ~ele) j
Peut-être les fautes de ce glossaire doivent-elles être imputées en partie au copiste. Un autre exemplaire
pourrait nous renseigner à cet égard. Il serait très-important de l'avoir, d'autant plus que le nôtre est fort
»
difficile à lire («scriptum charactere Longobardico difficillimo, disait l'illustre Scaliger qui se connaissait si
;
bien en man. latins), et qu'il a beaucoup souffert par l'humidité, de sorte que certains mots sont devenus
illisibles ou qu'ils ont disparu avec le papier, qui est fort mauvais au commencement la moitié de chaque page
a été enlevée par la vétusté. Or Ducange s'est aussi servi d'un « Glossarium Arabico-Latinum. Il aura voulu »
dire: Latino-Arabicum, et en comparant quelques-uns des articles qu'il lui a empruntés avec notre man., j'ai
reconnu que c'est le même ouvrage, mais avec des variantes. Ainsi ce que Ducange donne sous mulco et
pestillum d'après son Glossaire arabe, se trouve aussi dans le nôtre. Sous cimentarius il a, d'après la même
:
source «qui disponit fundamentum ;»
de même dans notre livre avec la variante « fundamenta. Sous artabu-
larius et sacis, articles qui sont dans les deux exemplaires, Ducange a noté les explications«craticula» et
»
«clyster,» que le nôtre n'a pas. Où se trouvait ce man.? Ducange ne le dit pas et les recherches qu'on a
faites, à ma demande, dans la Bibliothèque nationale à Paris ont été infructueuses. Il n'est ni parmi les man.
orientaux ni parmi les man. latins, et M. Léopold Delisle fait remarquer que Ducange ne dit pas que le man.
soit à la Bibl. du Roi, oe qui, à son avis, rend très-douteux qu'il y ait jamais été. Espérons qu'il se re-
trouve ailleurs!
On verra que ce Glossaire m'a fourni une moisson moins abondante que les deux autres dont je vais
parler, mais néanmoins assez considérable.
1) Chez Papia. (in vocc) abigerator; abigere est voler dans la basse latinité.
Un autre vocabulaire arabe-latin et latin-arabe, celui que j'ai désigné par les lettres Voc., est plus
complet et plus exact: c'est celui que M. Schiaparelli a publié avec beaucoup de soin à Florence en 1871,
d'après un manuscrit de la Riocardiana. Il a été composé dans l'Orient de l'Espagne, en Catalogne
ou dans le
royaume de Valence, peut-être par le frère Prêcheur Raymond Martin 1, célèbre théologien, philosophe et
orientaliste catalan, qui s'était consacré à la conversion des musulmans et qui mourut peu après l'année 1286.
En tout cas il a été composé de son temps, dans la seconde moitié du XIIIe siècle. Quelques savants l'ont
cru plus ancien 2, mais l'emploi du mot &j,~Lb sous fiala s'y oppose, car cette espèce de vase emprunte son
nom au sultan al-Melic at-Tâhir Baibars, qui s'en servait à sa table et qui régna de 1260 à 1277 3. Le man.
de la Riccardiana, qui n'est pas l'original, me semble, à en juger par le fac-similé, de la fin du XIIIe siècle 4.
La principale difficulté que présente l'emploi de ce Glossaire, sans compter que les mots catalans au bas
des pages doivent souvent être corrigés, consiste dans la signification qu'il faut attribuer aux formes dérivées
du verbe, qui sont indiquées, mais non expliquées, dans les différents articles. Afin de ne pas induire les
arabisants en erreur, je me suis souvent borné, quand j'étais dans l'incertitude, à noter que telle forme se
trouve sous tel article.
Le troisième Glossaire, celui que le Père Pedro de Alcala composa à Grenade et qu'il y publia en 1505,
sur l'ordre de Ferdinand de Talavera, premier archevêque de cette ville, qui avait l'intention de faciliter la
conversion des Maures récemment soumis, est sans contredit le plus riche de tous, mais aussi celui dont l'étude
m'a coûté le plus de temps et de peine. Les obstacles que j'ai eu à vaincre sont nombreux et de toute sorte.
D'abord l'auteur a l'espagnol avant l'arabe, et ce n'était pas une petite besogne que de retourner, pour ainsi
dire, tout ce livre. Puis beaucoup des termes espagnols qu'on y trouve ont vieilli ou changé de signification.
L'auteur nous apprend, dans sa Dédicace à l'archevêque, que, pour les mots castillans, il a pris pour base de
son travail le Dictionnaire espagnol-latin d'Antonio de Nebrija (ou Lebrixa, comme il écrit). C'était donc ce
dictionnaire qu'il fallait consulter en premier lieu. Je l'ai fait constamment et j'ai adopté les significations qu'il
donne et qui diffèrent souvent de celles qu'on rencontre dans les lexiques modernes. En outre, l'ancien diction-
naire espagnol-français-italien de Jérôme Victor (Genève 1609, Cologne 1637) m'a rendu d'utiles services.
Mais P. de Alcala a ajouté, comme il le dit lui-même, des mots qui ne se trouvent pas dans Nebrija, et ces
mots, qui sont beaucoup plus nombreux qu'on ne s'y attendrait, sont parfois embarrassants. Il y en a qu'en
Espagne on ne connait plus, pas même à Grenade. Un autre obstacle, c'est que l'arabe est imprimé, non pas
avec les caractères propres à cette langue, mais en caractères castillans, et que quelques lettres du même
organe sont rendues de la même manière. Par suite, bon nombre de mots ont été pour moi des énigmes jus-
qu'à ce que je les eusse retrouvés, souvent après plusieurs années, dans un autre glossaire ou chez un auteur.
Ma liste d'incerta, d'abord très-grande, s'est donc réduite peu à peu; mais il en reste encoreplus que je ne
voudrais, et je donnerai ces articles dans un Appendice. Peut-être réussira-t-on tôt ou tard à les expliquer ou
à corriger les fautes d'impression que quelques-uns renferment; car des fautes de cette sorte, bien que relati-
vement peu nombreuses, se trouvent cependant de temps en temps dans le livre do P. de Alcala.
Ce livre étant devenu fort rare et fort cher, le Père Patricio de la Torre, qui avait été longtemps dans
le Maroc et qui fit profession dans le cloître de l'Escurial en 1805, en prépara une nouvelle édition, dont
l'impression a été presque terminée dans le temps; mais tous les exemplaires ont été détruits dans la guerre
contre Napoléon Ier, à l'exception d'un seul, qui va jusqu'au mot ofrecimiento et qui se conserve dans la
1) Nous avons fait cadeau, M. de Goeje et moi, de cette copie à la Bibl. de notre Université.
ai notés dans un cahier que j'ai déposé à la Bibliothèque, et qui peut-être sera encore utile à d'autres. En
partie, toutefois, ils semblent appartenir plutôt à d'autres langues.
J'ai aussi incorporé dans mon travail la plupart des notes lexicographiques et des glossaires, que les
savants européens ont ajoutés aux auteurs qu'ils ont publiés ou traduits, et parmi lesquels les notes de Qua-
tremère et les glossaires de M. de Goeje tiennent incontestablement le premier rang. Réunir et coordonner ces
observations, disséminées dans des ouvrages de divers genres, était, je crois, une œuvre utile et méritoire.
Que si parfois je n'ai pas reproduit certains articles des glossaires, c'est que je ne les approuve pas, que je
ne les regarde pas comme absolument nécessaires, ou que Lane a suffisamment éclairci les mots dont il s'agit,
sauf les fautes d'omission bien entendu, mais j'espère qu'elles seront en petit nombre.
Mes sources principales, toutefois, ont été les auteurs arabes du moyen âge que j'ai lus, soit dans des
textes imprimés, soit dans des manuscrits qui appartiennent aux principales bibliothèques de l'Europe, et qui
traitent des sujets très-variés. Ainsi j'ai dépouillé régulièrement, parmi les historiens et les biographes: Mo-
hammed ibn-Hârith, Ibn-al-Coutîa, l'Akhbâr madjmou'a, Ibn-Haiyân, le Matmah et le Calâïd d'al-Fath, Abd-
al-wâhid al-Marrécochî, Ibn-al-Abbâr, Ibn-Çâhib aç-çalât, le Bayân al-moghrib, Ibn-Abdalmelic al-Marrécochî,
le Riyâdh an-nofous, un historien anonyme qui se.trouve en manuscrit à Copenhague, plusieurs volumes du
grand ouvrage d'Ibn-Khaldoun, le Cartâs, le Holal al-mauchîa, une Histoire des Benou-Ziyân de Tlemsen,
Ibn-al-Khatîb, Maccarî, l'Histoire de Tunis par al-BAdjî, Nowairî (Afrique et Espagne), le Fakhrî, les extraits
de l'Histoire d'Alep publiés par Freytag et ceux de l'Histoire du Yémen que Rutgers a mis au jour; parmi
; :
les géographes et les voyageurs: Becrî, Ibn-Djobair, Abdarî, Ibn-Batouta; en fait de diplômes: ceux qui ont
été publiés par Grcgorio, de Sacy, Reinaud, Amari en fait d'apologues et de romans les Fables de Bidpai,
l'Histoire de Bâsim le Forgeron, les Mille et une Nuits dans les différentes éditions qui en ont paru et qui
:
sont autant de rédactions, de sorte qu'elles servent de commentaires les unes aux autres; puis, parmi les
botanistes ;
le livre intitulé al-Mosta'înî et Ibn-al-Baitâr; le grand ouvrage sur l'agriculture par Ibn-al-Auwâm
parmi les médecins: le Glossaire man. sur le Mançourt de Rhazès, Ibn-Wâfid, Ibn-al-Djauzî, Checourî; parmi
les livres de jurisprudence: al-Cabbâb et un Formulaire de contrats que possède notre Bibliothèque; en fait
d'oeuvres diverses et de recueils: la partie du Kitàb al-Aghânî que Kosegarten a publiée, deux ouvrages de
Tha'âlibî, dont l'un a été publié par M. Valeton, l'autre par M. de Jong, Ibn-Badroun, le Calendrier de
Cordoue de l'année 961, les recueils de Weüers, Iloogvliet, Meursinge, Amari, Miiller, la Chrestomathie de
Silvestre de Sacy, celle de Kosegarten, deux Chrestomathies de Freytag, la Revue de l'Orient et de l'Algé-
rie, le Journal asiatique français et le Journal asiatique allemand, l'ancien et le nouveau, ensemble plus de
cent soixante-dix volumes de ces trois ouvrages périodiques. Partiellement j'ai mis à profit beaucoup d'autres
livres; la liste qu'on trouvera plus loin donnera à ce sujet tous les éclaircissements nécessaires. Je n'y ai pas
noté quelques-uns que j'ai cités rarement et d'une manière assez claire; en revanche, j'ai bien indiqué toutes
les relations de voyageurs européens que j'ai mis à contribution, parce que je voulais épargner à ceux qui
voudront entrer dans la même voie, la peine de les consulter de nouveau. Pour la même raison, j'ai ajouté
à ma liste un supplément contenant les titres des relations que j'ai feuilletées en vain.
Quelques-uns de mes savants amis ont enrichi mon travail par leurs contributions importantes. M. Wright
(de Cambridge) m'a communiqué ses notes lexicographiques tirées principalement du Diwan des Hodzailites, de
celui d'Amro'lkaïs, du Kâmil d'al-Mobarrad, du Mofassal,d'Abou'l-Walîd, de la traduction des psaumes par
Saadiah, du Lexique syriaque de Payne Smith, de Bar Ali et des Archives de Merx. Toutes elles m'ont été
utiles, mais les plus importantes pour moi étaient celles qui sont empruntées à Abou'l-Walid. Cet auteur est
d'un grand intérêt pour le dialecte arabe-espagnol; seulement je ne sais si j'aurais eu le courage d'étudier
d'un bout à l'autre son dictionnaire hébreu, et M. Wright, qui avait lu en épreuves l'édition très-soignée
qu'en a donnée M. Neubauer, m'a rendu un insigne service en m'offrant ses notes dès qu'il eut appris qu'elles
me seraient agréables. Quant aux gloses arabes de Bar Ali et d'autres glosateurs dans Payne Smith, c'est
un langage sui generis ; l'étude n'en est encore qu'ébauchée et les fautes nombreuses dans les manuscrits la
rendent incertaine et difficile. Il faut donc parfois se servir avec défiance de ce que mon livre en contient.
J'ai aussi de grandes obligations à M. Simonet, professeur d'arabe à Grenade. Il m'a communiqué des
extraits précieux tirés d'un ouvrage fort curieux sur l'agriculture par Ibn-Loyon et de plusieurs manuscrits de
l'Escurial ou d'autres bibliothèques espagnoles (toutes les citations de ce genre que je donne sont de lui),
ainsi que beaucoup de passages qu'il a trouvés dans les chartes arabes de son pays. En outre, il m'a con-
stamment fourni des lumières pour l'étymologio des mots, très-souvent surannés, que les Arabes ont empruntés
aux dialectes romans de la Péninsule ibérique. Il a composé lui-même un excellent ouvrage sur ce sujet,
ouvrage dont il a eu la bonté de m'envoyer les feuilles à mesure qu'elles sortaient de la presse. Malheureuse-
ment on n'en a encore imprimé que trois lettres et dans les dernières années l'impression a été interrompue
faute d'argent, car elle se fait aux frais du gouvernement, et l'on sait que les finances de l'Etat ne sont pas
le côté brillant de l'Espagne. Mon livre, cependant, n'a pas souffert de cette circonstance, fort regrettable de
reste, car M. Simonet, chaque fois que je lui adressais des questions (ce qui est arrivé fort souvent), s'est
toujours empressé de me procurer les renseignements que je désirais.
Mon vieil et excellent ami, M. Amari, n'a pas voulu rester eu arrière. C'est par son entremise que j'ai
obtenu le prêt de l'excellent manuscrit du Mosta'înî, que possède la Bibliothèque de Naples, et que j'ai pu
faire copier à Florence l'important Glossaire de Pagni. En outre il a mis à ma disposition les notes qu'il avait
empruntées à quelques diplômes arabes-siciliens, dont M. Cusa, professeur à Palerme, lui avait communiqué
les copies, et que ce dernier a publiés plus tard dans sa grande collection. Je regrette que cette dernière, qui
porte la date de 1868, lorsque l'impression commença, mais qui n'a paru que six ans plus tard, me soit par-
venue à une époque où la rédaction de mon travail absorbait tout mon temps, de sorte que je n'ai pu
m'en servir.
Parmi les noms d'autres savants qui ont contribué à rendre mon recueil plus digne de l'approbation des
lecteurs éclairés, celui de M. de Goeje apparaît plus rarement que de droit. Mon excellent ami, pensant à
l'adage: Pauperis est numerare pecus, et aimant à rendre des services en cachette, l'a voulu ainsi; mais la
vérité m'oblige à dire que l'intimité qui nous unit depuis de longues années, pendant lesquelles j'ai apprécié
toujours davantage l'étendue de ses connaissances aussi bien que la noblesse de son caractère, a eu pour ce
livre les résultats les plus profitables. Maint article n'a été imprimé qu'après avoir été longtemps discuté entre
nous, et plusieurs citations, notamment de Yâcout et de l'Aghâni de Boulac, sont de lui.
Avant de terminer, quelques remarques me semblent encore nécessaires.
Des mots étrangers je n'ai admis que ceux que les Arabes ont naturalisés. J'ai donc exclu plusieurs
mots grecs mentionnés par Ibn-al-Baitâr ou d'autres, et ceux que les voyageurs, notamment Ibn-Batouta,
donnent comme appartenant à différentes langues. J'ai cru bien faire. Quand un touriste français rapporte que
les Allemands appellent un charpentier un Zimmermann, on ne s'avisera pas de donner place à ce dernier
terme dans un dictionnaire de la langue française. Cette observation devait être faite afin qu'on ne m'adresse
;
pas des reproches qui seraient injustes mais j'avoue que parfois la distinction est difficile. Il se peut que j'aie
laissé de côté des termes qui ont eu réellement droit de cité, du moins à une certaine époque et dans cer-
tains pays, et que j'en aie admis d'autres que j'aurais dû supprimer. Le progrès de la science nous renseignera
là-dessus.
J'ai indiqué, je le pouvais, l'origine des mots étrangers; mais c'est une étude à part et à laquelle je
si
n'ai pas pu consacrer autant de soin que je l'aurais voulu. Je m'en console en pensant que même dans les
dictionnaires do la langue classique, qui renferme déjà beaucoup de termes de provenance non-arabe, très-peu
a encore été fait sous ce rapport.
En termes de botanique, mon livre, j'ose le dire, est fort riche; mais malgré le secours de l'ancien
ouvrage de Dodonœus et des éclaircissements que m'a fournis de temps en temps un jeune botaniste déjà
avantageusement connu, M. le Dr. Treub, je n'ose pas me flatter de l'espoir d'avoir toujours évité les erreurs,
car les Orientaux eux-mêmes ont confondu bien souvent des plantes diverses; ils ont appliqué, dans les diffé-
rents pays, le même mot à des plantes qui n'ont rien de commun entre elles, et quand on n'a pas étudié lu
botanique, il est difficile et maintefois impossible de les comprendre et de les corriger.
Dans un recueil de la nature de celui-ci il ne faut pas s'attendre à voir les lois de la grammaire arabe
toujours respectées. Plusieurs formes (p. e. celle du diminutif du nom quadrilitère, dont la dernière voyelle est
constamment a, pas i, dans les glossaires espagnols) et plusieurs textes appartiennent plus ou moins à lu
langue vulgaire; je les ai laissés tels qu'ils sont; les changer serait donner dans le purisme.
J'ai omis certaines formes quand elles n'ont rien de remarquable: le pl. sain des noms féminins en ~a—,
des diminutifs, des comparatifs, dos noms d'unité, quelquefois aussi des adjectifs en ~QÎ, plusieurs noms de
métier formés du pluriel (comme J~Lj de ~Jwystj, pl.de~
la IIe forme du verba employée dans le sens
de la IVe, la VIIe employée comme passif de la Ire. C'est régulier et constant dans la langue moderne.
En général, je n'ai pas cité des passages ni des articles d'anciens glossaires qui l'ont déjà été dans des
notes ou des glossaires d'orientalistes auxquels j'ai renvoyé.
De temps en temps j'ai corrigé Freytag, mais il
me répugnait de le faire régulièrement.«Enconsidéra-
tion de sa Hamâsa, » a dit un orientaliste allemand en annonçant la mort de Freytag, ail faut lui pardonner
son Lexique arabe et son Meidânî l.» En partie, d'ailleurs, la publication du Lexique de Lane a rendu su-
perflue cette tâche ingrate.
Dans les textes imprimés on rencontrera souvent des mots que l'on chercherait vainement dans mon livre
et que je n'ai pas admis parce qu'ils n'ont jamais existé. J'ai eu parfois la velléité d'enregistrer ces fautes
pour les corriger, mais j'ai dû y renoncer parce que leur nombre était trop considérable; je ne l'ai donc fait
que par exception.
Pour la brièveté j'ai indiqué les constructions des verbes, etc., par les abréviations latines que chacun
connait par les dictionnaires arabes-latins.
Les termes composés doivent être cherchés sous le premier mot. Quelques-uns, mais en très-petit nom-
bre, sont néanmoins sous le second.
L'achèvement de ma tâche me remplit de reconnaissance. Elle a été longue, presque toutes les citations,
dont quelques-unes dataient de quarante ans, ayant dû être vérifiées, et si j'avais prévu que la rédaction seulo
me coûterait huit années d'un travail assidu, j'aurais peut-être hésité à l'entreprendre. Il y eut en outre un
temps où, souffrant et malade, je craignais de ne pas pouvoir la mener à bonne fin. Cette crainte, Dieu
merci, n'était pas fondée; la vie et les forces ne m'ont pas manqué. Je puis me dire à présent que mon
travail, si incomplet et défectueux qu'il soit, fera cependant entrer la lexicographie arabe dans une voie nou-
velle. C'était le rêve de ma jeunesse, mon premier ouvrage en fait foi, et c'est pour moi une vive satisfaction
de le voir réalisé.
Abbâr Ibn-al-Abbâr, dans mes Notices sur quelques Abou'l-Walid. The Book of Hebrew roots, by Abu'l.
manuscrits arabes. Leyde, 1817-1851. WaUd Marwân ibn-Janàh, otherwise called Rabbi
Abd-allatif* Abdollatiphi Historiœ JEgypti compen- Yonâh, edited, with an appendix, containing extracta
dium ed. White. Oxford, 1800. from other Hebrew-Arabic dictionaries, by Ad. Neu-
bauer. Oxford, 1875 (Wright). Pour la brièveté, j'ai
Abd-al-masîb al-Kindî* Ouvrage sur la religion chré- cité les extraits publiés dans l'Appendice sous le nom
tienne dont une édition a été commencée à Londres;
d'Abou'l-Walîd.
mais elle a été mise au pilon parce qu'elle était trop
mauvaise. M. Wright en a vu des épreuves (Wright). Adams. Rois in de Binnenlanden van Afrika. Am-
sterdam, 1826.
Abd-al-wâhid Tho History of the Almohades by
Abdo-'l-wâhid al-Marrékoshî, ed. by Dozy. Leyde, 1847. Argest. De afgestorvene (le prince de Puckler Mus-
Abdarî. Voyage d'al-Abdart, man. de Leyde nO 11 (2). kau) in Africa. Naar het Hoogduitsch. Harlem, 1838.
2 vol.
Abdoun. Voyez Gl. Badroun.
Agbâni. Alii IspahanensisLiber Cantilenarum magnus
ed. Kosogarten. Greifswalde, 1840. 1er volume. Les
Hammou II Mousâ ibnYousof. Tunis, 1279 (1862). citations de l'éd. de Boulac sont presque toutes de
Abou-Ishâc Chirâzî* Voyez Gl. Tanbîh. M. de Goeje.
Aboulf. Ann. *.
Abulfedœ Annales Muslemici ed. Reiske.
Copenhague, 1789. 5 vol.
Aghlab.
Ibn-Khaldoun, Histoire des AghlabiteR éd.
Noël Desvergers. Paris, 1841. Ce texte a été publié
Aboulf. Géogr. *. Géographie d'Aboulféda, texte arabe aussi par Amari, p. 464 et suiv.
publ.par Reinaud et de Slane. Paris, 1840. Traduc- Agrell. Neue Reise nach Marokos. Aus dem Schwe-
tion de Reinaud, Paris, 1848. dischen. Nurnberg, 1798.
Aboulf. Hist. anteislam. Voyez Gl. Abulf. Akhbàr. Ajbar machmuâ, crénica anônima del siglo
Aboulfaradj* Historia compendiosa dynastiarum, au- XI, dada a luz por Don Emilio Lafuente y Alcán-
thore Gregorio Abul-Pharajio, ed. Pocock. Oxford, tara. Madrid, 1867.
1663 (J.-J. Schultens). Albucasis* De Chirurgia ed. Channing. Oxford, 1778.
Ale. Pedro de Alcala, Vocabulista aravigo en letra Arvieux (D'). Mémoires du chevalier d'Arvieux. Pa-
castellana. Grenade, 1505. Voyez ma Préface, p. x r ris,1735.6vol.
Alf. Astron. Libros del saber do Astronomia del Rey Asâs* Asâs al balâgha par Zamakhchart, man. de
D., Alfonso X de Castilla, copilados etc. por Dn. Leyde n08 20, 620, 1441.
Manuel Rico y Sinobas. Madrid, 1863 et suiv. Le Athîr*. Ibn-el-Athiri Chronicon ed. Tornborg. Leyde.
* 3e volume manque à l'exemplaire dont je me suis
13 vol.
servi et qui appartient à l'Acad. royale des sciences
à Amsterdam. Augustin. Freiherr von Augustin, Erinnerungen aus
o> Marokko, gesammolt auf einer Reise im Jalire 1830.
Algiers volgens de nienwste berigten. Utrecht, 1836. Vienne, 1838.
Egypt,
Ali Bey. Travels in Morocco, Tripoli, Cyprus, Autob. Autobiographie d'lbn-Khaldoun, à la fin du
Arabia, Syria, and Turkey. Londres, 1816. 2 vol. de Leyde 1350, t. V.
man.
Amari. Biblioteca Arabo-Sicula. Leipzig, 1857. Ap- Auw. Traité d'Agriculture par lbn-al-Auwâm, que
pendice, 1875. Banqueri a publié à Madrid en 1802 d'apiès lo man.
Amari Dipl. Amari, 1 diplomi arabi del R.archivio de l'Escurial. Comme cette édition fourmille de fautes,
-
Fiorentino. Florence; 1863, Amari Dipl. Append. je l'ai corrigée à l'aide do notre man. 340, qui est
> l'Appendice publié en 1867. infiniment meilleur, mais qui malheureusement ne va
Amari MS,. Liste de mots tirés de chartes arabes- que jusqu'à la page 675 du tome Ier de l'édition, de
siciliennes. Voyez ma Préface, p. xiv. sorte que j'ai dû omettre plusieurs mots probablement
plus ou moins altérés. La traduction de Clément-
Anonyme (L') de Copenhague. Fragment d'une his-
Mullet (Paris, 1864, 2 vol.) tout médiocre qu'elle
toire de l'Afrique et de l'Espagne (566-662 H.), ,
est, m'a cependant été quelquefois utile. Cléinent-
man. de Copenhague, el 76 in qO. Voyez sur ce livre Mullet était à coup sûr un pauvre arabisant, mais il
mon Introduction au Bayân, p. 103-6. Je ne crois
plus que ce soit un fragment du Bayân. Un passage se connaissait en agriculture.
Azrakî * Chronique de la Mecque éd. Wustenfold.
de ce dernier livre que cite Ibn al-Khatib, fol. 69 rU,
Leipzig, 1858. Elle forme le Ier volume des Chroniken
et qui, dans ce cas, devrait se trouver dans le man.,
der Stadt Mekka.
n'y est pas, et les courts extraits publiés par M. Gil-
demeister (Catal. des man. or. de Bonn, p. 13 et Badroun. Voyez Gl. Badroun.
suiv.) n'y sont pas non plus. Baidhàwî * Commentaire sur le Coran éd. Fleischer.
Antàki*. Tadzkira, man. de Leyde n 404 (Catal. Leipzig, 1846. 2 vol.
III, 270). Bait. Traité des simples par Ibn-al-Baitâr. Je l'ai
Antar*. Extraits du. Roman d'Antar. Paris, 1841. étudié dans les man.; mais comme l'indication des
A. R. *. Kachef er-roumoûz d'Abd er-rezzaq ed-Dje-
zaïry, ou Traité de matière médicale arabe, traduit
titres des différents articles aurait demandé trop de
place, je l'ai cité d'après la traduction de Sontheimer
(Stuttgart, 1840, 2 vol.), quoiqu'elle soit fort mau-
et annoté par le Dr Leclerc. Paris, 1874.
vaise, comme je l'ai montré dans le Ztschr. XXIII,
Arab. Heur. Voyage de l'Arabie Heureuse. Amster-
p. 183 et suiv. J'indique les différents articles qui
dam, 1716.
se trouvent sur la même page de cette traduction
Aranda. Relation de la captivité du sieur Emanuel par les lettres de l'alphabet; mais quand une page
d'Aranda, où sont descriptes les misères, les ruses, commence par la fin d'un article, je nomme cette
et les finesses des Esclaves et des Corsaires d'Alger. fin a, puis le premier article b, et ainsi de suite. A
Paris, 1657. Dans le même volume, et sans nouveau et B sont deux manuscrits de Leyde, à savoir no 13 (1)
titre, les Relations particulières d'Emanuel d'Aranda, et n) 420 b et c, S est Sontheimer. Dans quelques
avec nouvelle pagination. endroits douteux, M. Hartwig Derenbourg a bien voulu
Armand. Voyages d'Afrique faicts par le commande- collationner pour moi les man. de Paris, à savoir:
ment du Roy. Où sont contenues les navigations des C = nO 1025 A. F., D = no 1071 A. F., E = nl 1025
François, entreprises en 1629 et 1630 soubs la con- suppl. ar., H = no 1026 suppl. ar., K = no 1028
duite de Mr le Commr. de Razilly. Le tout illustré suppl. ar. L est un man. qui appartient au Dr. Le-
de curieuses observations par Jean Armand, Turc de clerc. Comme tous ces man. sont médiocres et que
Nation, lequel a eu employ ausdits voyages. Paris, 1632. les points diacritiques y manquent souvent, j'ai dû.
omettre quelques mots dont l'orthographe est tout à Belàdz Voyez Gl. BelAdz.
fait incertaine. L'édition qui a paru à Boulac en 1291 Belon. Les observations de plusieurs singularités et
(1874) est très fautive. En Orient on ne pout pas pu- choses mémorables, etc. Paris, 1588.
blier correctement ce livre qui est hérissé de mots
BerbIbn-Khaldoun, Histoire des Berbères, texte
grecs et espagnols, car on n'yconnaît pas ces lan-
arabe publ. par de Slane. Alger, 1847. 2 vol. Tra-
gues; mais le reste est imprimé aussi avec une ex-
trême nonchalance. duction de cet ouvrage par le même. Alger, 1852. 4 vol.
Bar Ali* Syrisch-arabischo Glossen, herausgegeben Berbrugger.Voyages dans le Sud do l'Algérie par
von Georg Hoffmann. Kiel, 1874. 1er vol. (Wright). el-'Aïachl et Moula-Ahmed, traduits sur deux man.
Barbier. Itinéraire de l'Algérie, avec un vocabulaire arabes de la Bibl. d'Alger par l'Algérie). Berbrugger. Paris,
français-arabe. Paris, 1855. 1S46 (t. IX de l'Exploration de
Bargès. Tlemcen, souvenirs d'un voyage. Paris, 1859. Berg (V. d.). Van don Berg, De contractu « do ut
des iure Mohammedano. Leyde, 1868.
Barth. Ileisen und Entdeckungen in Nord- und Cen- Bg* » ~(j^o)
1849.
tral-Afiika. Gotha, 1857. 5 vol. Berggren, Guide français-arabevulgaire. Upsal,
Barth W. Wanderungen durch die Kûstenlânderdos
Mittelmeeres, Berlin, Bidp.
1844.
Calila et Dimna, ou Fables de Bidpai, publ.
Bâsim. Histoire de Bâsim le Forgeron (~~uK-j'~>- par de Sacy. Paris, 1816.
oL\.=X),
man. de Leyde no 1232, t. IV (Catal. I, 351).
*
Bîrounî Chronologie orientalischer Volker von Al.
bêrûnî, herausg. von Sachau. Leipzig, 1878.
Bassâm Mes extraits d'Ibn-Bassâm, Voyez sous Haiyân.
Bat Blaquiere. Letters from the Moditerranean,containing
Voyages d'Ibn-Batouta, publ. par Defrémery et
Sanguinetti. Paris, 1853 et suiv. 4 vol. Avant que
cette édition parût, j'avais lu cet auteur dans le man.
an account of Sicity, Tripoly, Tunis and Malta.
Londres, 1813. 2 vol. -
de M. de Gayangos, que j'ai cité lorsque je ne pou- Booms. Veldtogt van het Fransch-Afrikaanscholeger
vais retrouver dans l'édition lo passage que j'avais tegon KleinKabylië in do eerste helft van 1851. Bois-
noté. J'ai aussi fait usage, à cause des notes, de le-Duc, 1852.
ces trois extraits des Annales des voyages: Defréinery, Breitenbach. Be&chroibung der Reyse unnd Wallfahrt,
Voyagesd'ibnBatoutah dans la Perse et dans l'Asie dans Reyssbuch dess heyligen Lands. Francfort, 1584.
centrale, Paris, 1848; le même, Voyages d'Ibn-Ba- Browne. Niouwe reize
naar de binnenste gedjelten
toutah dans l'Asie-Mineure, Paris, 1851, et Cherbon-
van Afrika. Amsterdam, 1800. 2 vol.
ncau, Voyage du cheikh Ihn Batoutah, à travers
l'Afrique septentrionale et l'Egypte, Paris, 1852. Bruco. Travels to discover the source of the Nile,
Baudc. L'Algérie par le Baron Baude. Paris, 1841. Edimbourg, 1790. 5 vol.
2 vol. Buchser Marokkanische Bilder, nach des Malers Frans
Bayan. Voyez Gl. Bayân. Buchser Reiseskizzen ausgeführt, von Abraham Roth.
Berlin, 1861.
Bc Dictionnaire français-arabe par Ellious Bocthor,
revu et augmenté par Caussin de Perceval. 3e édit. Buckingham. Travels in Mesopotamia. Londres, 1827.
Paris, 1864. Voyez ma Préface, p. x:. Je ne l'aipas 2 vol.
cité quand la signif. qu'il donne est empruntée à Burckhardt Arabia. Travels in Arabia. Londres, 1829.
Dombay. 2vol.
*
Beaussier Dictionnaire pratique arabefrançais. Al- Burckhardt Bédouins*. Notes on the Bédouins and
ger, 1871. Voyez ma Préface, p. xn. Wahabyp. Londres, 1830.
IBecrî. Description de l'Afrique septentrionale par Burckhardt Nubia. Travels in Nubia, 2e édition,
Abou-Obeid-el Bekri, texte arabe publié par le Baron
Londres,1822.
— Traduction deM. de Slane
de Slane. Alger, 1857.
dans le Journal asiatique 1858-9. Burckhardt Prov. * Arabie Proverbs, 2e édition,
— Quatremère, Londres,1875.
Notice d'un man. arabe contenant la description de
l'Afrique, dans les Notices et Extraits, t. XII. Je Burckhardt Syria., Travels in Syria and the Holy
cite le tirage à part, Paris, 1831. Land. Londres, 1822.
Burton. A personal narrative of a pilgrimage to El Chartes grenadines Ce sont en partie des chartes
Medinah and Meccah, 26 édition, Londres, 1857. 2 vol. arabes de Grenade, qui appartiennent au professeur
Cabbâb Commentaire sur les f ~y< jjl-A
du
Don Leopoldo Eguilaz, en partie des chartes d'Al-
mérie et de son territoire, ainsi que des notes de la
jurisconsulte Abou-Yahyà ibn-Djamà'a at-Tounist, man.
r de Loyde n° 138(2) (Catal. IV, p. 130, cf. Y, 256).
dépense journalière de la maison des marquis de Campo-
Tejar, avant et après leur conversion au christianisme.
Caillié. Journal d'un voyage à Temboctou. Paris, M. Simonet m'en a fourni des extraits et je les ai
Cairawânî *.
1830. 3 vol.
Man. de Leyde nO 1193 (Catal.
110); c'est la Risâla Ibn-abî-Zaid.
IV, p.
appelées grenadines, parce qu'aujourd'hui elles sont
toutes à Grenade.
Choc. Checourî, Traité de la dyssenterie catarrhale,
CalAïd. Calâïd d'alFath, édit. de Paris (chezDuprat man. de Leyde nO 331 (7) (Catal. III, p. 262).
et chez Challamel) s. d. Cité quelquefois d'après le Chénier. Recherches historiques sur les Maures. Paris,
man. de Leyde nO 306, fort souvent d'après Maccarî, 1787. 3 vol.
qui en a donné de longs extraits, ou bien d'après Cherb. Cherbonneau, Définition lexigraphique de
les textes qui ont été publiés par Wefiers, Hoogvliet plusieurs mots usités dans le langage de l'Afrique
et moi-même. septentrionale. Dans le Journal asiatique, 1849, I,
Çalât.Ibn-Çâhib-aç çalât, Histoire des Almohades, p. 63-70, 537-551.
man. d'Oxford, Marsh 433 (Catalogue d'Uri nO 758).
Je l'ai copié en partie, jusqu'au feuillet 103 vo.
Cherb. B et C.
B désigne les Observations de M. Cher-
bonneau sur l'origine et la formation du langage arabe
africain, dann le Journal asiat. 1855, II, p. 549 et
Calendr. Le Calendrier de Cordoue de l'année 961,
suiv., et C, ses Nouvelles observations, dans le même
publ. par Dozy. Leyde, 1873.
Journal, 1861, II, p. 357 et suiv. Comme la plupart
Capell Brooke. Sketches in Spain and Morocco. Lon- des termes qu'il a notés appartiennent exclusivement
dres, 1831. 2 vol. au langage actuel, je n'en ai admis que ceux qui,
Carette Géogr.Recherches sur la géographie et le pour mon but, me semblaient de quelque utilité.
commerce de l'Algérie méridionale. Paris, 1844 (t. II Cherb, Dial. * Cherbonneau,Dialogues arabes. Alger
de l'Exploration de l'Algérie). 1858.
Carette Kabilie. Etudes sur la Kabilie. Paris, 1848. Clavijo. Ruy Gonzalez de Clavijo, Historia del gran
2 vol. (t. IV et Y de l'Explor. de l'Alg.). Tamorlan, etc., 2e édit., Madrid, 1782.
Cartâs. Annales regum Mauritanie ed. Tornberg. Clenardus. Nicolai Clenardi Peregrinationum, ac de
Upsal, 1846. Je n'ai pas noté quelques particularités rébus Machometicis Epistolœ elegantissimæ, Louvain,
1561.
vol.
qui appartiennent plutôt à la grammaire, p. e. l'emploi
du u,au lieu de l'accus., la confusion des préposi- Colmeiro. Diccionario de los diversos nombres vul-
tions ~J.' et ~&, ~Jai pour ~C,+, etc. gares de muchas plantas. Madrid, 1871.
Carteron. Voyage en Algérie. Paris, 1866. Colomb. Exploration des ksours et du Sahara de la
Casiri * BibliothecaArab. Hisp. Escurialensis.Madrid, province d'Oran. Alger, 1858.
1760. 2 Constant. Bilder aus Algier. Berlin, 1844.
Catal. des man. or. de Leyde * Leyde, 1851 et suiv. Coppin. Le Bouclier de l'Europe. Paris, 1686.
6 vol.
Cotte. Le Maroc contemporain. Paris, 1860.
Cazwîni* Cosmographie, éd. Wûstenfeld.Gœttingue, Cout. Ibn-al-Coutîa, man. de Paris nO 706 (1).
1848. 2vol. Crist. e Barb. 1 cristiani e i Barbareschi. Genève, 1822.
Cella (Délia). Reis
van Tripoli naar de grenzen van Curé. De l'assimilation des Arabes, par un ancien curé
Egypte, in het jaar 1817. Amsterdam, 1822. de Laghouat. Paris, 1866.
Chahrastànt * Histoire des sectes, éd. Cureton. Lon- Dan. Histoire de Barbarie et de ses corsaires. Paris,
dres, 1842. 1637. Cf. l'autre liste.
Charant. A letter in answer to divers curious ques- Dareste. De la propriété en Algérie, 2e édit., Paris,
tions. (Dans le même volume que Fréjus). 1864.
Daumas Kabylie. Daumas et Fabar, La grande Ka- Dorrat al-ghauwâs * Par Harlrt, éd. Thorbecke. Leip-
bylie. Paris, 1847. zig,1871.
Daumas Mœurs., Mœurs et coutumes de l'Algérie, 2e Dunant. Notice sur la Régence de Tunis. Genève, 1858.
édit.,Paris, 1855.
Duvernois. L'Algérie, ce qu'elle est — ce qu'elle doit
Sahara. Le Sahara algérien. Paris,
Daumas
Daumas V. A
Paris, 1869.
1845.
La vie arabe et la société musulmane.
être. Paris, 1858.
Edrîsî. La partie publiée par M. Amari dans sa BibL
Arab. Sic., celle que nous avons publiée, M. de Goeje
Daumas MS. Comme l'orthographe de quelques mots et moi, à Leyde en 1866, copies d'autres parties par
dans les ouvrages du savant général m'embarrassait, Engelmnnn et par moi-même. A = man. de Paris
je l'ai prié do me les transcrire en caractères arabes. n° 893 suppl. ar. (très-médiocre), B = man. de Paris
Il a eu l'obligeance de le faire, et c'est ce signequi nO 892 (le meilleur), C = man. d'Oxford, Pococke
indique ses notes. 375, Catal. I, n) 887, D = man. d'Oxford, Grav.
Davidson. Notes taken during travels in Africa. Lon- 3837-42.
dres, 1839. Elmacin* Historia Saracenica ed. Erpenius. Leyde,
Defrémery, Mémoires d'histoire orientale. Paris, 1854 et 1625 (J.-J. Schultens).
1862. Erath. Verhaal eener reis naar Algiers. Uit het Hoog-
Delap. * Delaporte, Guide de la conversation fr.-ar. duitsch. Groningue, 1811.
ou Dialogues, 3e édit., Alger, 1846. Escayrac (D').
Le Désert et le Soudan, par le comte
Denham. Voyages et découvertes dans le Nord et d'Escayrac de Lauture. Paris, 1853.
dans les parties centrales de l'Afrique, par Denham, Espinosa. Dn. Pablo de Espinosa de los Monteros,
Clapperton et Oudney. Paris, 1826. 3 vol. Historia de SeviUa. Séville, 1630. 2 vol.
Descr. de l'Eg. Description de l'Egypte, 2de édit., Etat des Royaumes. Etat des Royaumes de Barbarie,
Paris, 1822. Etat moderne, t. XI-XVIII. - Tripoly, Tunis et Alger. La Haye, 1704.
Desor. Aus Sahara und Atlas. Vier Briefe an J. Lie- Eutych. * Annales ed. Selden. Oxford, 1658. 2 vol.
big. Wiesbaden, 1865. (J.-J. Schultens).
Devic. Dictionnaire étymologique des mots français Ewald Chr. Ferd. Ewald, Missionar, Reise von Tunis
d'origine orientale. Paris, 1876. nach Tripoli. Nurnberg, 1842.
Dict. berb. Dictionnaire français-berbère.Paris, 1844. Fâïk *
par Zamakhcharî, man. de Leyde nO 307
Diwan d'Amro'lkaïs. publié par de Slane. Paris, 1837 (Catal. IV, p. 74) (de Goeje).
(Wright). Fakhrî. Elfachri. Geschichte der islamischen Reiche
Diw. Hodz. The poems of the Huzailis edited by vom Anfang bis zum Ende des Chalifates, von Ibn
Kosegarten. Londres, 1854. 1er volume (Wright). etthiqthaka. Arabisch herausg. von Ahlwardt. Gotha,
Djaubarî * Al Mokhtâr fi cachf al-asrâr, man. de 1860.
Leyde nO 191 (Catal. III, p. 175). Fàkihat al-khol. * éd. Freytag. Bonn, 1832.
Djauzi Ibn-al Djauzî, Abrégé de l'ouvrage Locat al- Faradj (A1-) ba'da 's-chidda*.
man. de Leyde no 61
manâfi' fi 't-tibb, man. de Leyde nO 331 (4) (Catal. (Catal. I, 213) (J.-J. Schultens).
p.
III, p. 251).
Ferrières-Sauvebœuf. Mémoires hist., polit. et géogr.
Djawâlîkî* Al-mu'arrab éd. Sachau. Leipzig, 1867.
des voyages du comte de, etc. Paris, 1790. 2 vol.
Djob. The travels of Ibn Jubair ed. by Wright.
Fesquet. Goupil Fesquet, Voyage d'Horaoe Vernet
Leyde, 1852.
Dodonœus. Cruydt-Boeck. Leyde, 1608. en Orient. Paris s. d.
Domb. Dombay, Grammatica linguœ Mauro-Arabicœ. Fleischer Beitrâge zur arab. Sprachkunde Dans les
Vienne, 1800. Berichte der kÕn. sachs. Gesellschaft der Wissenschaften.
Dorn* Drei in derkaiserl. Bibl. zu St. Petersburg Fleischer Berichte. Ses notes sur Maccarî, dans le
befindliche astronomische Instrumente mit arabischen même recueil.
Inschriften. St.-Péterabourg, 1865. Fleischer GL.
De glossis Hàbichtianis. Leipzig, 1836.
Formul..d. contr. Formulaire de contrats, man. de Gl. Fragm. Le Glossaire joint aux Fragmenta His-
Leydo n° 172 (Catal. IV, p. 163) Semble écrit à toricorum Arabicorum ed. de Goeje. Leyde, 1871.
Fez ou dans les environs, car Témsna y est nommé, GI. Geogr.
Le Glossaire joint par M. do Goeje à
p. 1 xjL~xL~ ~Lmu .~-~ x~L~
: -~o* ~é,Ye sa Bibliotheca Geographorum Arabicorum. Leyde, 1879.
Ce livre ayant paru trop tard, jo
n'ai pu m'en servir
Fragm. hist. Arab. Voyez Gl. Fragm. qu'à partir de la lettre ~Ji.
Fraser. Travels in Koordistan, Mesopotamia, etc. Gl. Manç. Glossaire sur le Mancourt de Rhazès par
Londres, 1840. 2 vol. Ibn-al Hachchâ, man. do Leyde no 331 (5) (Catal.
Fréjus. The Relation of a Voyage made into Mau- III, p. 256).
ritania. English out of French. Londres, 1671. Gl. M:tw. Le Glossaire joint à Maverdii Constitu-
Freytag Chrest. Chrestomathia Arabica, grammatica, tionea politicœ ed. Enger. Bonn, 1853 (mauvais).
historica. Bonn, 1834. Les morceaux publiés p. 31-83, Gl. Mosl. Le Glossaire joint au Diwan poëtae Abu-
97-138; le reste consiste en fragments d'ouvrages '1-Walid Moslim ibno-'l-Walfd al-Ançarf, cognomine
que j'ai utilisés dans leur entier (Fakhrî, Macc., Prol.). Çarío-'l-ghawání, ed. de Goeje. Leyde, 1875.
Freytag Einleitung* Einleitung in das Studium der Gl. Tanbîh Le Glossaire joint pir M. Juynboll fils
arab. Sprache. Bonn, 1861. à son Jus Shafiiticum; at-Tanbîh auctore Abu Isliâk
as-Shîrâzî. Leyde, 1879. Même observation que pour
Freytag Locm. Locmani fabulœ et plura loca ex le Gl. Geogr.
codicibus maximam partem historicis selecta ed. Frey-
tag. Bonn, 1823. Godard. Description et histoire du Maroc. Paris, 1860.
2 vol.
Ghadamès. Mission de Ghadamès. Rapports officiels
Gråborg Graberg di Hembo, Spocchio geografico,
et documents à l'appui. Alger, 1863.
e statistico deU' Imporo di Morocco. Gênes,1834.
Ghazâlî, AiyohA 'l-walad, éd. Hammer. Vienne, 1838. Comme la plupart des renseignements que donne cet
Ghistele Tvoyage van MherJoos van Ghistele. Gand, auteur sont empruntés à l'ouvrage de Jackson et
1572. Ce voyage a été fait en 1481; l'auteur de la surtout à celui de Hœst, je me suis souvent dispensé
relation est Ambroise Zeebout, le chapelain de Van de le citer.
Ghistele et qui l'a accompagné. Gregor. Gregorio, De supputandis apud Arabes Si-
Gl. Abulf. Le Glossaire joint à Abulfedœ Historia cu los temporibus. Palerme, 1786.
anteislamica ed. Fleischer. Leipzig, 1831. Grose Voyage to the East Indics, Londres, 1772. 2 vol.
Gl. Badroun. Le Glossaire joint au Commentaire Gubern. (De).
De Gubernatis, Lettere sulla Tunisia.
historique sur le poème d'Ibn-Abdoun par Ibn-Badroun, Florence, 1868.
publ. par Dozy. Leyde, 1846. Guyon. Voyage d'Alger aux Ziban. Alger, 1852.
GL Bayân. Le Glossaire joint à l'Histoire de l'Afri- Haedo. Diego de Haedo, Topographia o historia gé-
que et de l'Espagne intitulée al Bayâno '1 mogrib par neral de Argel. Valladolid, 1612.
Ibn-Adharf (de Maroc) et Fragments de la Chronique Haiyân. Ibn-Haiyân, man. d'Oxford, Bodl. 509, Catal.
d'Arib (de Cordoue); le tout publ. par Dozy. Leyde, de Nicoll n° 137. La copie que je possède de ce man.
1848-51. 2 vol. a été faite par moi sur celle de M. Wright.
GL Belâdz. Le Glossaire joint au Liber expugna- Haiyân-Bassâm Extraits d'Ibn-Haiyân apud Ibn-
tionis regionum auctore al-Beladsorf ed. de Goeje. Bassâm; t. 1 man. qui a appartenu à feu M. Mohl
Leyde, 1866. et qui est à présent dans la Bibl. de Paris; t. II
Gl. Djob. Voyez Djob. man. d'Oxford, n° 749 du Catal. d'Uri (presque tous
ces passages se trouvent dans mes Abbadides ou dans
Gl. Edrtst Le Glossaire joint à la Description de
mes Recherches); t. III man. de Gotha n" 266; M. de
l'Afrique et de l'Espagne, par Edrtsî, publiée par Gayangos possède aussi un man. de ce volume, sur
*- Dozy et de Goeje. Leyde, 1866. lequel M. Wright a bien voulu collationner pour moi
Gl. Esp. Dozy et Engelmann, Glossaire des mots les passages d'Ibn-Haiyân; quand j'avais des vatiantes
espagnols et portugais dérivés de l'arabe, 2e. édit., à noter, j'ai désigné le premier man. par la lettre A,
Leyde et Paris, 1869. le second par la lettre B.
Hamaker Fotouh Miçr, ou le PseudoWâkidt de Hama- Ibn-'Akî!*. Commentaire sur l'Alfia éd. Dieterici-
ker * Incerti auctoris liber de expugnatione Leipzig, 1851 (Wright).
Memphidis et Alexandriæ, vulgo adscriptus—Wakidæo, Ibn Dihya*
ed. Hamaker, Leyde, 1825,
Son Motrib, man. du Musée britannique r
orient, n" 77 (Wright).
Hamâsa* Hamasse Carmina ed. Freytag. Bonn, 1828.
Hamilton. Wanderings in North Africa. Londres, 1856.
HamzaIspahânî* Annales ed. Gottwaldt. Leipzig, 1844. Ibn-al-Djezzâr*.Nomenclature pharmaceutique, man.
Oluf. Sonderbare Aventuren. Aus dem Dâni- de l'Escurial n' 882 (Simonet; cf. son Glosario, p. 151).
Harck
schen. FIcnsbourg, 1751. Ibn-al-Djezzâr, Zâd al-mosâfir* man. de l'Escurial
nu 852 (Simonet).
Haringman. Boknopt Dag-Journaal van een verblijf
van agt weeken, in het keizerrijk van Marocco. La Ibn-Hazm, Traité sur l'amour *
man. de Leydo no 927.
Haye, 1803. IbnHichâm *Vie de Mahomet éd. Wüstenfeld.
Harîrî*. publ. par de Sacy. Paris, 1822. Gœttingue, 1859. 2 vol.
Hay John H. Drummond Hay (le fils du consul an- Ibn Iyâs * 4'! volume de rHistoiro d'Egypte, par
glais à Tanger) , Western Barbary. Londres, 1844. Ibn-Iyâs, man. de Leyde n° 367 (Catal. II, p. 183).
Hbrt. Humhert, Guide de la conversation arabe, ou Ibn Loyon* Poème didactique sur l'agriculture, avec
Vocabulaire fr.-ar. Paris et Genève, 1838. des notes marginales, man. de Grenade. Voyez sur
Hirsch. Reise in das Innero von Algérien durch die ce livre très-curieux le Glosario do M. Simonet: p.
;
1
Kabylie und Sahara. Berlin, 1862.
collationné-par
moi sur celui do la Bibl. de l'Acad. orient, de Vienne.
Hist. Joctanidarum* par A. Schultens. Harderwyk,
Ibn-as-Sikkît*.~Jslà^ît—•US', man.
n°597(Catal.I,p.61).
*
Ibn-Tofail
d3 Leyde
,
4e tirage, Alger, s. d. nommé Mousâ ibn-Yahyà et décédé en 1751, dans le
Hugonnet. Souvenirs d'un chef de bureau arabe. Pa- man. de Leyde n° 1376 (Catal. I, p. 164).
ris, 1858.
Ibn-Abdalmelic— Le 6e volume du <&JLt~J~ ~JjjJ' "':-'¡{
J. A. Journal asiatique. Chaque année comprenant
deux volumes, je cite l'année et j'indique le premier
uftLoitj J~o~< et le second volume par 1 et II. Je n'ai pas fait
par lbn-Abdalmelic al-Marréco-
usage des derniers volumes, qui ont paru pendant la
chi, man. de Paris nn 682 suppl. ar. rédaction de mon travail.
Jackson. Account of Marocco. Londres, 1809. Laue M.
Egyptians,
E. Manners and customs of the Modem
3e édit., Londres, 1842, 2 vol. Voyez
Jackson Timb. Account of Timbuctoo. Londres, 1820.
aussi 1001 N.
Jacquot Expédition du général Cavaignac dans le
Laugier Histoire du royaume d'Alger, par Laugier
Sahara algérien. Parie, 1849.
J. d. S. Journal des savants. Principalement les ar-
ticles de Quatremère.
de Tassy. Amsterdam, 1725, ire édit., qualifiée de
rare dans les Nachrichten über den algierschen Staat,
t. I, p. 5. L'History of the pirat. States, Londres,
Jong (De) Le Glossaire qu'il a joint à son édition 1750) est une traduction de cet ouvrage avec un
du Latâïf al-ma'ârif. par Tha'âlibî. Leyde, 1867. appendice peu important. Cette trad. angl. a été re-
Jong (De) van Rodenburgh. Schetsen en tooneelen traduite en français sous ce titre: Hist. des Etats
uit den Atlas en. den Aoerès. Arnhem, 1869. 2
barbaresques — trad. de l'anglois, Paris, 1757, vol.
Kalyoubt * The Book of anecdotes, wondors, marvcls, Le Blanc. Les voyages fameux. Paris, 1649. 2 vol.
etc., by al-Qolyoobi, ed. by Nassau Leos. Calcutta, 1856. Lello. Descrizione del real Tempio di Morreale.
Pa-
Kâmil. par al-Mobarrad, éd. Wright. Leipzig, 1864 terme, 1702. Il a donné la traduction latine contem-
et suiv. (Wright). poraine de la charte de 1182, publiée par Cusa aux
Kennedy Algiers en Tunis in 1845. Amsterdam, pages 179-202 et 202-244 (Ainari).
1846. 2 vol. Lempriere. A Tour to Morocco. Londres, 1791.
Ker Porter. Travels in Georgia, Persia etc. Londres, Léon.Joannis Leonis Africani Africse descriptio.
1822.2vol. Leyde, 1632.
Khaldoun Tornberg. Ibn Khalduni narratio de expe-
ditionibus Francorum in terras Islamismo subiectas,
Lerchundi. Notes lexicographiques du P. Fr. José
de Lerchundi, missionnaire à Tetuan, qui m'ont été
ed. Tornberg. Upsal, 1840. Voyez aussi Aghlab.,
communiquées par M. Simonet.
Autob., Berb., Prol.
Khaldoun man. Man. de Leyde nO 1350, t. IV, Lettre à M. Fleischer. contenant des remarques cri-
depuis le commencement jusqu'au feuillet 40. tiques et explicatives sur le texte d'al-Makkari, par
Dozy. Leyde, 1871.
Khallic. * Ibn-Khallicân. Je cite la première partie
d'après l'édit. de M. de Blane, 1er volume (seul paru), Light. Travels in Egypt, Nubia, Holy land, Mount
Paris, 1842; le reste d'après celle de WUstenfeld, Libanon, and Cyprus. Londres, 1818.
Gœttingue, 1835 et suiv., 13 fascicules. Traduction Lobb al-lobâb * par Soyouti, éd. Veth. Leyde,1840
anglaise par de Slane, avec des notes, Paris, 1842 et suiv.
et suiv., 4 vol. Löwenstein Prinz Wilhelm zu LÕwenstein, Ausflng
Khatib. AI-Ihâta fî tartkhi Gharnâta, par Ibn-al- von Lissabon nach Andalusien und in don Norden
Khalfb, et l'abrégé do cet ouvrage: Marcaz al-ihâta von Marokko. Dresde et Leipzig, 1846.
biodabâi Gharnâta. Ordinairement je cite le man. de Lyon. Travels in Northern Africa. Londres, 1821.
M. de Gayangos; B est le man. de Berlin, Escur.,
M. Mohît al-Mohît. Voyez ma Préface, p. XI.
celui de l'Escurial, P, celui de Paris, n° 867 A. F.
Koseg. Chrest. Kosegarten, Chrestomathia Arabica. Macc. 1 et II. Analectes sur l'histoire et la littéra-
ture des Arabes d'Espagne, par al-Makkari, publ. par
Leipzig, 1828.
L. Le man. du Glossaire latin-arabe de notre Bibl.,
n° 231. Voyez ma Préface, p. VIII.
Dozy, Dugat, Krehl et Wright. Leyde, 1855-61.
J'ai aussi fait usage de l'édit. de Boulac. Il faut
consulter constamment les Additions et Corrections,
Lambrcclits. Journaol gehouden in s'lallds schip van les remarques de M. Fleischer dans les Berichte, et
oorloge Waatervliedt, gecomwandeert door den Heer les miennes dans ma Lettre à M. Fleischer. L'index
Captn Dirk Roos, in de jaaren van 1733 en 1744. joint au dernier livre facilitera les recherches.
Door den Commandr Martinus Lambrechts. Man. de Macc. III. La seconde partie d'al-Maccarî, qui contient
Leyde (man. latins) nO 924. la Vie dIbn-al-Khatib, 3" et 4e volume de l'édit. de
JLamping Erinnerungen aus Algérien. Oldenbourg, Boulac, 1279 (1862). Dans les endroits douteux j'ai
1844—6. 2 vol. consulté notre man. 1637.
madjma' al-anhor* éd. do Constantinople, 1240 Meursinge. Sojutii Liber de interpretibus Kôrani ed.
Meursinge.Leyde,1839.
(1824-5).
Maltzan
zig, 1869.
2 vol.
Sittenbilder aus Tunis und Algérien. Leip- Michel. Tunis. Paris,
1001 N..,.. Mille et une
1867. <je
Nuits. L'édition que cite
Mamt. Quatremère, Histoiro des sultans mamlouks. sans autre indication est celle de Macnaghten, Cal-
Paris, 1837 et suiv. 2 vol. en 4 parties. cutta, 1839, 4 vol. Bresl. désigne l'édition de Breslau
893. C'est le ~ë\;A ~L~, par
(1825 et suiv.), commencée par Habicht etcontinuée
Man. Escnr. par Fleischer, 12 vol.; c'est une autre rédaction. Celle
Ali ibnMohammed Abî-'lFath ibn.ad-Doraihim al- de Boulac an contraire (1251 (1835), 2 vol.), est
Maucilî, qui mourut à Bagdad en 763 H. Les extraits presque la même que celle de Macnaghton. 'J'ai fait
qu'en a donnés Casiri, t. I, p. 318-320, ont été constamment usage do la traduction anglaise et des
corrigés et augmentés pour moi par M. Simonet. excellentes notes de Lane, Londres, 1841, 3 vol.
Mantegazza. Relatione del Viaggio di Gierusalemme. Miss, hist. Fr. Francisco de San Juan do el Puerto,
Milan, 1616. Mission historial de Marruecos. Séville, 1708.
Marâcid * Lexicon geographicum ed. Juynboll. Leyde, Mi'yâr. Mi'yâr alikhtibâr, par Ibn-al-Khattb, publié
6vol.
1852. par M. Simonet dans sa Descripcion del Roino de
,
Margueritte. Chasses de l'Algérie et notes sur les Granada, Madrid, 1861. J'ai corrigé ce texte dans
Arabes du Sud, 2e édit., Paris 1869. le Ztschr., t. XVI5 p. 580 et suiv., et plus tard j'ai
eu la satisfaction de voir presque toutes mes correc-
Marmol. Descripcion de Affrica. Grenade, 1573. 3 vol. tions confirmées par les trois man. de l'Escurial, dont
Marmol Itob
Martin*
Historia de la rebelion y castigo de
los Moriscos. Malaga, 1600.
Dialogues ar.-fr. Paris, 1847.
;
deux étaient restés inconnus à M. Simonet, et que
Müller a collationnés voyez ses Beitrago, p. 60 et suiv.
Mocaddasî* éd. do Goeje. Leyde, 1876.
){asoudî* ,.
suiv. 9 vol.
éd. Barbier do Meynard. Paris, 1861 et Mocquet. Voyages en Afrique, Asie, Indes Orientales
et Occidentales. Paris, 1617.
Maiham. Voyage au Maroc (1640-41), publ. par F. Mohammed ibn Hârith. Histoire des cadis de Cor-
de Hellwald. La Haye, 1866. doue, man. d'Oxford, nl 127 du Catalogue deNicoll.
Matmah. Le Matmah d'al-Path, ma copie faite d'après Monconys. Journal des voyages. Lyon, 1665. 2 parties.
les man. de St.-Pétersbourg et de Londres. Cité fort
souvent d'aprèa Maccarî, qui en a donné do longs
Mong. Quatremère, Histoire des Mongols de la Perse.
Paris, 1836.
extraits.
Mâwerdî*. Voyez Gl. Maw.
Morgado. Historia de Sevilla, Séville, 1587.
Me. * Marcel, Vocabulaire fr.-ar. des dialectes vul-
Morgan.AlgemeeneBeschrijvingovau Barbarijon. Uit
het Engelsch. La Haye, 1733. 2 vol.
gaires africains. Paris, 1837. Il a incorporé dans son
livre le vocabulaire de Dombay, mais sans l'avouer. Morgenl. Forschungen* Leipzig, 1875.
Mehren. Et Par Bidrag, etc. Copenhague, 1872. Ti- Most.
Le Mosta'înî, man. de Leyde n" 15 (Catal.
rage à part d'un article qui a paru dans les Actes III, p. 246), collationné sur celui de Naples (N).
de la Société royale des sciences. C'est une liste des La indique la partie ancienne du man. de Leyde,
mots vulgaires que l'auteur a trouvés dans le Hazz Lm, la partie moderne.
al-cahouf. Mouette. Histoire des conquestes de Mouley Archy.
Mehren Rhetorik * Die Rhetorik der Araber. Copen- Paris, 1683.
hague et Vienne, 1853. Mufassal. par Zamakhcharî, éd. Broch. Christiania,
Mem. hist. esp. Memorial histérico cspafiol. Madrid, 1859 (Wright).
1851 et suiv. Vol. I-XIX. Müller. Beitrâgo zur Geschichte der westlichen Araber.
MerxArchiv. Archiv fiirwissenschaftlicheErforschung Munich, 1866. lre livraison.
des alten Testamentes, herausg. von Merx. 1er volu- Mûller L.
me, Halle, 1869 (Wright). nich, 1863.
Z.
Die letzten Zeiten von Granada. Mu-
Müller S. B. 1863,II. Textes d'Ibn-alKhatîb et Pagni
d'IbnKhâtima sur la grande peste du XIVe siècle;
MS. Copie du glossaire de Pagni que l'éditeur
de ses Lettres a supprimé (voyez p. 110), faite d'après
texte sur la mort de Sébastien, roi de Portugal; publ. le man. original, nO 203, vol. IV, de la Laurenziana
par Muller dans les Sitzungsberichte der konigl. bayer. à Florence. ,¡
Akademio der Wissenschaften, année 1863, t. II. Palgrave. Nàrrative of year's journoy through
a cen-
Nachrichten. Nachrichten und Bemerkungen über den tral and eastern Arabia (1862-63), Londres, 1865.
algierschen Staat. Altona, 1798. 3 vol. Pallmo. Beschreibung von Kordofan. Stuttgart et
Nawawî*. éd. Wüstenfeld. Gœttingue, 1842-47. Tubingue, 1843.
Nebrija. JElii Antonii Nebrissensis Dictionarium (latin- Pananti.Mijne Lotgevallen en Reizen in do Barba-
esp. et esp.latin). Il en existe plusieurs éditions; je rijsche Roofstaten. Uit het Italiaansch. Leeuwarden,
me suis servi de celle qui a paru à Antequera, 1595. 1830. 2 vol.
Cf. ma Préface, p. x. Payne Smith. Thesaurus Syriacus. Collegerunt Qua-
Niebuhr
etc.,
B.
1774.
Beschrijving van Arabië. Amsterdam, tremère, Bernstein, Lorsbach, Arnoldi, Agrell, Fiold,
auxit, digessit, exposuit, edidit Payne Smith. Oxford,
Niebuhr R. Reize naar Arabië. Amsterdam, etc., 1776. 1868 et suiv. Les citations que m'a fournies M. Wright
sont tirées des 3e, 4e et 5e livraisons, mon savant
Not. et Extr. Notices et Extraits des manuscrits de
ami n'ayant pas lu les épreuves des deux premières.
la Bibliothèque du Roi. Surtout les articles de Qua-
tremère. Pellissier. Description de la Régence de Tunis. Paris,
1853 (t. XVI de l'Explor. de l'Algérie).
Notices Notices sur quelques manuscrits arabes, par
Dozy. Leyde, 1847-51, .,-
Pflügl. Freyherr von Pftiigl, Ueber Marokko's mili-
tiirisclie Verhiiltnisse, dans les Wiener Jahrbucher,
Nowairi Afrique. Nowairî, Histoire d'Afrique, man.
t. 66, Anzeige-Blatt, p. 1-19. Tagebucli der Reise
de Paris n) 702 A. F.
der k. k. Gesandtschaft in das Hoflager des Sultans
Nowairî Espagne. Nowairî, Histoire d'Espagne, dans von Marokko nacli Mequinez, im Jahre 1830, dans
le man. do Leyde n° 2 h, collationné sur le man. le même recueil, t. 67, Anzoigo-Blatt, p. 1-13, t.
de Paris nl 645 A. F. — Incidemment j'ai aussi cité 68, Anz.-Bl., p. 1-33, t. 69, Anz. BI., p. 1-31,
d'autres volumes de la grande compilation de Nowairî; t. 71, Anz.-Bl., p. 1-21.
ils se trouvent dans la Bibl. de Leyde; voyez le Catal.
des man. or., t. I, p. 4 et suiv.
Poiret. Voyage en Barbarie. Paris, 1789. 2 vol.
*
Oiseaux (Les) et les fleurs allégories morales d'Az-
Prax. Commerce de l'Algérie avec la Mecque et le
Soudan. Paris, 1849. Voyez aussi R. d. O. A.
zeddin [lisez Izzeddin] al-Mocaddesi, publ. par Garcin
de Tassy. Paris, 1821. Prol. Prolégomènes d'Ibn-Khaldoun, éd. Quatremère.
Paris, 1858. 3 vol. Traduction de M. de Slane, Pa-
Oosterlingen. Verklarende lijst der Nederlandsche
ris, 1863, 3 vol., où une foule de passages ont été
woorden, die uit het Arabisch, Hebreeuwsch, Clial-
corrigés; j'ai adopté ces corrections; il faut donc
- deeuwsch, Perzisch en Turksch afkomstig zijn, door
toujours consulter la traduction.
Dozy. La Haye, etc., 1867.
Ormsby. Pseudo-Wâkidî. Voyez Ilamaker.
Autumn Rambles in North Africa. Lon-
Quatremère, Recherches sur l'Egypte. Paris, 1808.
dres, 1864.
Ouaday Mohammed ibn-Omar el-Tounsy, Voyage au R. d. 0.A.Revue de l'Orient. Paris, 1843-46, Il vol.
vol.
gingen, 1582. Rozet. Voyage dans la Régence d'Alger. Paris, 1833.
Ramos Chronica do Infante santo D. Fermando, que 3 vol. ';¡: ',': :; -"¡', [,'(",
morreo ein Fez. Por Frey Joiio Alvarez, Secretario Ruppell. Reise in Abyssinien. Francfort s/M, 1838.
do dito senlior, que com elle esteve cativo atè sua ,d','
2 .-"
morte, e dopois cinco annos. Revista etc. polo Padre
Fr. Jeronymo de Ramos. Lisbonne, L730, 3e édit. Rutgers Hictoria Jemanæsub Hasano Pascha. Leyde,
Recherches. Dozy, Recherches sur l'histoire et la 1838.
littérature de l'Espagne pendant le moyen âge. 2e édit., Rijk (Het) en de stad van Algiers. Amsterdam, 1830.
Leyde, 1860. Quelquefois j'ai cité la 1re édit.(Leyde,
1849), où se trouvent des textes qui n'ont pas été
Rijn-Acker. De Reyse naer Africa, Tunis, Algiers
reproduits dans la 2e. etc., gedaen in den Jare 1625 onder 't beleyd van
>* » •
Arlach(D'), Le Maroc et le Riff en 1856. Paris, 1856. Davies, Algiers in 1857. Londres, 1858.
Augustin (Freilierr von), Marokko in soinen geogr., Desjobert, l'Algérie en 1844. Paris, 1844.
histor. etc. Zuständen. Pesth, 1845.
Dumont, Histoire de l'esclavage en Afrique de J.-J. Du-
Beeumon (Von), Nacli Marokko. Berlin, 1861. mont. Paris, 1819.
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Croisièresetnégociations de Mr de Kinsbergen, avec navigations. Londres, 1599.
des détails sur Maroc, par Mr le Bon de Schœning,
Hardman, The Spanish campaign in Morocco. Edimbourg,
rédigés sur son journal allemand par do Champigny.
1860.
Amsterdam, 1779.
Heine, Sommerreise nach Tripolis. Berlin, 1860.
Dan. La traduction hollandaise (Amsterdam, 1684) est
augmentée d'un second volume par S. de Yries, Histoire véritable des dernièros guerres advenues en
Handelingen en geschiedenissen, voorgevallen tusschen Barbarie: et du succéz pitoyable du Roy de Por-
den Staat der Vercenighde Nederlanden en dien van tugal dernier, Don Sebastien. Trad. de l'espagnol.
de zee-roovers in Barbarijen, avec un Aanhangsel, Paris, 1579.
behelzende de rampzalige en zeer gedenkwaardige (Jardine) Bemerkungen über Marokko; desgleichen iiber
wedervaaringen van cen slaaf etc., in 't Fransch be. Frankreich, Spanien und Portugal. Von einem en-
selireven door Monsv Gallonge, die zelve deze rampen glischen Offizier. Leipzig, 1790. Dans la préface on
heeft geleden. lit que l'auteur est le major Jardine.
Dandini, Voyage du mont Liban. Paris, 1685. Journaal wegons de rampspoedige Reys-tocht van Capa
Daveyro, Itinerario de Torra Sancta. Lisbonne, 1596. H. C. Steenis in 1751. Amsterdam s. d.
Lambrechts, Journael etc. in de Jarcn van 1735, 36 Schiltherger, Reisen, herausg. von Neumann. Munich,
en 37. Man. de Leyde (man. latins) nO 925. 1859.
Landa, La campana de Marruecos. 2a edic. Madrid, 1866. Settala, Ragguaglio del Viaggio compendioso. Milan,
Metzon, Dagverhaal van mijne lotgevallen te Algiers. 1805. (Est Caronni).
Rotterdam, 1817.
Tavernier, Voyages.
Murray (Mrs. Elizabeth), Sixteen years of an artist's
life in Morocco, Spain, and the Canary Islands. Lon- Turner, Journal of a Tour in the Levant. Londres,
dres, 1859. 2 vol. 1820. 3 vol.
Nouveaux voyages sur toutes les côtes de la Barbarie Verdun (De) de la Crenne, de Borda, etPingré, Voyage.
et de l'empire de Maroc, dans la haute et la basse Paris, 1778. 2 vol.
Egypte, sur les côtes de la Mer rouge, en Nubie et
Walmaley, Sketches of Algeria during the Kabyle war.
en Abyssinie, et dans le pays de Sonnaar, extrait Londres, 1858.
des Voyageurs les plus modernes et les plus accré
dités. Paris, An YII, 2 vol. Ce n'est qu'une com- Weber (Von), Ein Ausflug nach dem franzosischcn Nord
pilation. Afrika. Leipzig, 1855.
Pfeiffer, Reizen en vijfjarige gevangenschap in Algiers. Wingfield, Under the palms in Algeria and Tunis. Lon-
(Uit het duitsch). Leeuwarden, 1834. dres, 1868. 2 vol.
Rasch, Nach den Oasen von Siban. Berlin, 1866. Wingrove Cooke, Conquest and colonisation in North
Russell, History of the Barbary States. Edimbourg, 1835. Africa. 1860.
Sangnier, Relations de plusieurs voyages à la côte Zuallart, Le très-dévot Voyage de Jérusalem. Anvers,
d'Afrique, à Maroc, etc. Paris, 1792. 1608.
Tabadô çaherimiento.
et
- renacuajo. Talabrî turnio de ojos — visojo.
Xik aguinaldo.
~gou
ou
âçâr aparejar; guaçâr aparejar; sous desparejar azçar Lip lagrimal del
ojo.
avec la négation. Guaçâr popar.
Lahlâla (pl. lahalît) llama de fuego.
Aadî adivas.
Lapôrio unicornio animal.
ârraq desalbardar.
ûunquîa, Fulîn bal ûunquîa envararae. r
Aazel rasgar. Mumdî descaminado — mumdî errado o perdido.
t ou ~3
Mavîn estuche.
~O
Guaçâr voyez sous le 'ain.
Ançâa dezir bien en dicha.
Gazîa avion — trigo ruvion.
Manaabîn (pl. manaabinîn) dotado per (et de) gracias.
Gudrud cra boç del cuervo.
Nenfêd, anfêdt, anfêd, aparejar o buscar, nenfêd, ne-
Guagûâ artimana.
fêtt, enfêd, buscar para pagar. Les termes espagnols
Guarguîa cimitarra — daga arma. sont fort obscurs; M. Simonet et M. Eguilaz n'ont
Guçdra hollin — guaçdra hollimiento. pas pu me les expliquer. 1
Anha refrescar. Yatç arrâya favorecedor del pueblo.
ManAh relox del sol. Voir mon article tu.:. t_efS. Maicdni izquierdo.
sous
Ichimdyl lagrimal del ojo.
Maguîl. Çuf bile maguîl lana suzia.
Tazhê macicez.
Maliaîn adivao. Manaâvin mandado de palabra.
Clatûç. adcel clatôç clarea de especias e vino. Tencîl orilla de lienço.
Mîdbi consiguiente. Tazeît pega do pez.
Mezêle consequencia. Teheleguîn quixones yerva de corner.
Makort (pl. maRdguit) cimitarra. Aguêm robar los enemigos — saltear a los enemigos,
Aghar encobar casi corvar maxhôr encobado asi como Gelet rochaçar — maxlûd (pl. în) rechaça.
—
conejo. Tapaaxur saynete para cevar.
Maniôh enechado. Ingihâra tarrefias chapas para taner.
Moâguaja. Çôra modguaja escorohe en la pintura. Vayna vaso pequeno.
~1j3Î tement alfareque, Cron. de D. Alfonso XI, p. 401,1. 34.
I, 862 ~! (àtou).
plongeon (oiseau), Bait. 16 a; Bg )
Lis
(berb.) nom d'une plante, Bait. 4b. I,
-.L~<.! I,
I
espèce d'arbre, Bait. 18 f.
.~L'
119, Bc.
écurie, ;
Bc ~^>1 grand écuyer, Mami. I, 1,
~~X~H (berb.)
{jmaIaLoÎ î
nom d'une plante, Bait. I, 5 c (leçon de A).
(berb.) nom d'unarbuste, Bait. 1,5 b (leçon de A);
<j~~t' (berb.) l'écorce de la racine de Vépine-vinette ; = ~L~M (voyez), A. R. 50, 258.
qui lui ressemble,
— l'épine-vinette même, ou un arbuste
01. Esp. 57.
~Lt. Selon Auw. II, 112, 2af., il y a deux espèces
.LSJ (berb.) elaeodendron argan, Gl. Edrîsî. de lin, dont l'une est ouverte (^.y&t) et s'appellent
.LS.! plus loin, 113, 21, ce mot est écrit J~.L~. Je crois
autre forme du même mot dans A de Bait. II, 444 a, devoir lire dans les deux endroits ~.L~, qui est le
où Balaforme latin aperto, esp. abierto. Un copiste, quand il écrit
~Jt' espèced'étoffefabriquée dans le Khowârezm, deJong. un mot qu'il ne connaît pas, change facilement ~Jo
en ~Jo; dans le premier passage le nôtre aura sauté
~Sjî(esp.) ~j! pierre le Jo par mégarde.
pl. sacrée sur laquelle on étend le
corporal, Aie. (ara del altar). ~41 arbousier, Most. sous ~! ~Jj'lS.
~! (A) ou (B) ou ~.3,)l (S) (berb.) = ~LJ Voyez
I,
Bait. 31b.
~&«&!. Voyez sous ~"L4 lf,./;,.:I.
~«JM
ou
~-e Le premier est uvella, dimin. du latin
- e
3uj1011 uva. Ibn-al-Djezzâr le donne dans son Zâd al-mosàfir
chez Freytag; corrigez ~~LybU, Bait. I, 2b; sous ~-JL~! v>JLc, où le mot est écrit par erreur ~aJULiK.
cerfeuil (plante potagère), Bc; -corne-de-cerf (plante Dans un autre ouvrage il dit: ~xlLoî _j,3Ji ~J~
sauvage et cultivée), Bc. XJuJLy, uviella (esp. uvilla)canina.
N:F4t. Voyez
~Oot V
se caser, s'établir; s'installer, Bc. — Voc. sous
perpetuari.
~Ouï lesecond appel du moëddzin une heure avant
le lever du soleil (on l'appelle ainsi parce que le mot
105, 389; ajoutez Abou'l-Walîd 797, 7: UL-çai ~SjJto ~J s'y trouve au commencement), Lane M. E. I, 103.
~tXut.
e joubarbe
stupide, Bc.
tifie le ~sjt
à Robert, id.; Bait.
ou
10 e; le Most. sous _,zLK. iden-
~P!J! ~syl avec le L5.cL", ce
signifie en effet catapuce, car le Most. l'explique
par le terme espagnol w)LW' (tartago). — ~-J-J~! ~>-
,
noix vomique, MÓst. sous ~.c ~jy?-:
.J' ~-
que Bait. désapprouve. ~ù-tr*
ow
~Lài (pers.~)41, cf.
le Most. sous
Vullers) serait l'étain, ~yjuaï, selon
mais selon le Gl. Manç. c'est le ~m*1
plomb (~j~! (joLoJi .;l?\); de même Bait. I, 10 c,
496 a et M.
Voyez .1J)4'-
-
)'-?';), )~L~! sorte de collyre, M. —
~—
- ~?o£
~o -
.t.J'
0JO
~C4,j = S~-:, Bait. I, 129 c; voyez ce mot.
Most. sous ce dernier mot.
~J1
carrelet, grande aiguille carrée, Bc. (Biffez l'ar-
soie mêlée de coton, Burton II, 169n.
ticle almavar dans le Gl. Esp. 161. M. Simonet m'in-
forme qu'il doit avoir écrit indistinctement, mais que 4-ÏUI?l pot de terre
ou de métal, avec un col un peu
le mot qu'il a eu en vue est almardz. C'est donc r~L~). .! ;
allongé, une anse et un bec aiguière, Bc, Burckhardt
groscarreletdecordonnier, Bg (sous aiguille). Arabia I, 76, et Nubia 358, Lane M. E. I, 212, II,
22. Il y a une espèce qui s'appelle ~aa~ I.J:Yd" ) Descr.
- Etui, Hbrt 82. de l'Eg. XVIII, part. 2, 417. Coqmmar, vase pour
faire bouillir l'eau, Bc. gfilt
JLj_jI cafetière, Bc,
15L.:;¡J, ~ouyl tltéière, Bc.
l'Inde, Most.
(
~x4et
~J~tCI (voyelles dans le man. de l'Escurial dans le texte
(apopores (pl.) chez Isidore, port. abobara, abo- * ~3 ~fi,dans le Voc.
bora, abobra (citrouille), Simonet281-2), auMaghrib, Müller L. Z. 44, mais ~J-îyî et aprîl chez
couleuvrée, bryone (plante), nommée ainsi parce que Aie.) avril.
sa racine ressemble à une petite citrouille, Gl. Manç.: ~î ~oS
(berb.) cigale, Dict. berb., Daumas V. A. 432, sau-
terelle, Bc, Ht, Roland, grillon, Pagni MS (bobsh).
Cf. ~jiji et ~j$.
~! djol chez Simonet. C'est un dimin. esp.
fil de soie, Bc. ~j.L~t~flJ;(~fyxpta), aussi 14w,.? (voyez), fretin, poisson-
vaille, de Sacy, Abdallatif 285-8, Yâcout I, 886, r;G.-J' pères des déserts, anciens anachorètes, Bc. -
(cf. les notes dans le Ve vol.)
~11
cLo~ yi 4
~bî de
'eC"e
~a- père nourricier, Bc. — ~if
jjjijoî Y
c. ~-J~ p. se réunir auprès de quelqu'un, Gl. père en fils, Bc, de Sacy Chrest. I, 141, 2; héréditaire
Bayân.
Bc. — Exemple de ~CI
~aU b, 1
Gl. Fragm.; ~aub, ibid. -
~JSJÎ. )î9î
~oe15-5e_ ~,
~c,
sorte d'imprécation, comme , ,:!~L'i ~*jp
~rsi
0 ~< basilique, veine de la partie interne
~CI
Khallic. X, 70, 3 a f.
£b
s s
du bras, Gl. Manç.; .~-~~!<J~r~ chez Bc sous basilique. ~X testacé, Bc.
\~Ï.Jt ~c.
I, nom d'act. ~XïLî, Voc. — Se volatiliser, Prol. (j~j — lézard, Bc, Hbrt 69, Guyon 223 (boubrèst
Agama colonorum).
III, 197, 15 et 3 a f., 198, 2.
~W-
w ~y
£
figues comprimées en masses, Abou '1-Walîd
K-L-jt
— - lézard,
ySwiLj
~a~!! -
argumentateur,
Voc.
Jong.
aveugle, de
Bc.
~dL
.U~L-»~o£
~o
Voc. Chez Aie. ~jLxjJb.
~MjS
— allium sylvestre minus, Pagni MS.
,
f (roman) plantain,
sorciers, Bc.
C'" -
~Ci-- imbécile, Daumas Y. A. 103.
belléric (espèce de myrobolans), Bc ~(=z»sJLdj). a~ -
~—J, et
—~.
sorte d'oiseau de proie, nommé aussi
en Syrie Man. Escur. 893, où
l'auteur le nomme avec L5,.M"13 ~0»iLJt. Il
,
~-ol
~àuài bardache, jeune homme qui se livre aux pé- y a donc deux fautes dans l'article de Freytag: ~,yi
dérastes Bc. s~->- avis inSyria~a&S! ~appellata. Daumas, Sahara
~qQ pl. ~o!, Prol. 316, confirme l'orthographe que j'ai donnée, quand il
II, 16, 3.
dit: «Une espèce d'oiseau que les Arabes appellent
~iuuUo,vulg.ÎUUAX, impudeur, Voc. bou djerada, le père de la sauterelle, et qui semble
avoir quelque rapport avec le corbeau».
~AjÏ
1, faire attention à, souvent c. ~.,i chez Abou '1-
Walîd, p. e. 411, 30, 585, 10. -
Q1jjtss- ver luisant, L (cicindela _>-Oe ~J"
~Qe
~Kgjt ~J-e faire le gros dos, ~l'homme important, Bc. ~)' ~)
» ~CI
~GS
~YI - -
<~-!~L~ le mois Dzou-'l-càda, Domb. 58.
Bc. — ~AjS
père, titre des religieux, prêtres, Bc. Patriarche,
pères de l'Eglise, Bc. — ~L- jJL~J!
~— »» > Hœst 251.
~uiL> point de côté, Daumas V. A. 425. — Ecre- J»A^VO anguille, Roland. — Bécassine, Daumas
vi88e demer, homard, Bg 346, Daumas V. A. 432; V. A. 432 (Bou mekhiyett).
ses noms ~busneb et mugenèb chez Pagni 94 semblent
des altérations de ce mot.
~m- qui a une descente, hernie,
~iOk> hernie Bc. ,
q
~J. -
-
<~<j~>
-
crabe, Cherb.
scarable, Aie. (abadejo).
(j~Ls~~
r:!..Jwo
-
- grillon,
- piastre à
doigt),
envie (au
Bc.
Domb. 89.
>
odeur, M.
ignorantissime, Bc.
cabeça). —
- Laniusa
qui une grande tête, Aie. (ombre de gran
dealbatus, Tristram 398.
N. II,
9 t-
sous ~J.fJ' ~Ow.
°
62 n.
(renard) cf. Niebuhr B. 157, Lane 1001
~<~u~J!
.uu.!
— huppe (oiseau), Bc.
~-~>- -
- ~5O rougeole, Domb. 89, Daumas V. A. 425. ~Jlïye
- corbeau, Lettre à M. Fleischer 108.
-
..-~L~>- reptile qui ressemble à une araignée, 'iLSj
-
herbe dont mangent les chameaux et aussi
les hommes, Richardson Central I, 202, 233,11, 53
Burckhardt Syria 598.
(rekabah), Barth I, 294, 313 (rékkeba),gazophyllum
-
«LiLs^Jî sorte d'oiseau, Yâcout I, 885, 6. album, R. d. O. A. XIII, 90 (recbah), andropogon la-
-
J<~=~
forme, Bc.
protée, qui change continuellement de
niger, Colomb 28 (rokba).
':'.~-t. —
~X poisson volant, Roland.
-
~~X~U! et (j&~J~>- voyez ~ej-- ~yt ~vju^ — la boisson qui fait venir -l'eau à la bouche,
vin, Fleischer sur Macc. II, 782, 19.
tJÀjs- — (? khrech), bourrache, Prax R. d. O. A.
le
VIII, 346. -
~XJljj bave, salive qui coule de la bouche, Bc.
~jlJ.
— bécasse, Bc. (Barb.), Domb. 61. çjyij- vert,
) lézard Cherb., Pagni MS.
~J. -
-
UtJL~t espèce de datte, Rohlfs 116. escarbot, Bc.
-
~yis* arbouse, Domb. 69. /~u.' - geai,
~O
m Daumas V. A. 432.
~yp
~O
4* («père de l'amertume») la noix vomique, par abréviation 'BLÎ^JÀ ~JL, le thaler autrichien (The-
1arsenic,
Prax R. d. O. A. VIII, 347.
-
~fil) guêpe, Hbrt 71 (Alg.). ~<d
- pustules, Domb. 89.
-
~Ju. hercule, homme robuste, Bc. ~X& — citrouille, Cherb.
-
~àuû*. qui a six doigts, Alc. (ombre de seys dedos). ~c - patient, qui souffre patiemment, Bc.1
-
~M -.?
I..S;:"- petites dattes dures et fondantes, comme ~JJuo
- jaunisse, Domb. 89.
jfjuo - jaunisse,
du sucre pur, Marmol I, 13 b,
19, id. Timb. 3 n., 80, Godard
II, 68 c, Jackson
I, 177, Rohlfs 55. ~O
jûsuaA—
Daumas V. A. 424.
sorte de poisson, M. sous ~}W'.
~ôy - ~mouton, Hay 44, de Jong v. Rodenburg 85.
xLwwo
— bécasse (la longueur de son bec est com-
parée à une grosse aiguille d'emballage), Cherb.
WX ?
~c~a - nom d'un oiseau dont les serpents crai-
~s'appelle
oy
~vJiÂc
(~r.
-
~OS>
272.
~tir)
x
,.~-)~ (ou ~(2)?Aboukerdan) «oiseau tout blanc,
sur deux pieds hauts et noirs, ressemblant fort à une
petite grue, excepté la tête, sur le derrière de laquelle
est une espèce d'aigrette comme en a le héron; son
bec est long et large, et au bout formé comme une
spatule», Monconys 198.
~oY:C -
espèce de serpent, Telescopus obtusus,
a'T'Î- coquelicot, Cherb., papaver hybridum, Prax
R. d. O. A. VIII, 345.
v. Heuglin dans le Ztschr. für âgypt. Sprache u. Alt.,
mai 1868, p. 55. ~a",
harsh,
- (poisson) voyez Monconys 227. — Avec el
rhinocéros, Jackson 38, plus correctement~JJ!
J<Ube
— cigogne, Bc. <J-~ ~a}Üt
KJL~c
— saponaire, espèce de Clymenon Diosc., à
Fez, en esp. N~~& (jabonera), Bait. II, 317 a.
~o,ï— rhinocéros, Yoc. — Nom d'un instrument
{jJJaê
^jwuuw-Juê
- plongeur (oiseau de mer), Hbrt 68.
—
~b l'Apocalypse, Bc. u-
de musique en Afrique, Macc. II, 144, 4.
perce-oreille (insecte), Bc; fttllo, Domb.
67; cerf-volant, Daumas V, A. 432.
~oUâ
— soupe à la mie de pain, DaumasV. A. 252. X~-~ — fusée volante, Bc.
~Lc~XaJ!
~50
>
Xijjpâ -
— conquérant, Bc.
de la viande hachée au vermicelle et aux
amandes, Hœst 109.
~XjLLï
~£
~jjiè
—
-
~jlàs
*F
— (? Bukottaia) espèce d'oiseau, Pagni 184.
gourmand, qui laisse les plats nets, Cherb.
cigale, Domb. 67, Cherb.
Là - lion, M (sous ~y*3).
~LRJU
— plante décrite Bait. II, 317 c; on l'appelle
~9. — chataigne, marron, Bc, Pagni MS, Hbrt ainsi parce que sa fleur ressemble au visage d'un
54, Burckhardt Syria 159 (incorrectement ~3—s ,..Ht
chez Freytag).
~LJNW
-
escaravajo).
scarabée,escarbot, Voc., Aie. (abadejo, .JLS
y -
— est le grec
~vxoxii^xfiov, qu'on cherche
en vain dans les dict. de la basse grécité, mais que
>
_^uwô- roitelet (oiseau), Cherb.; chez'Tristram 393
fisseough, house bunting.
- crapaud,
Jwiiaâiî Voc.
~0,
M. Fleischer a trouvé dans le Glossaire nO 45 de Paris.
Il signifie selon ce savant (GI. 106): «pannus cui in-
texti sunt~x~à~Jtxhxfioi
texti ~sunt [enarabe
~[en arabe
âxgoi [en , i.i,
~ciE
fi~L,\],
virgae, ~LJoï~. En effet, Yâcout (IV, 166, 16) at-
~ri
0. ~pafiàoi,
e,
e.
(jojjii- espèce de
149, d'Escayrac 11.
datte, Pagni 150, Pellissier teste, de môme que les lexicographes arabes (voyez
aussi Comment, sur Hariri 223,2), qu'on fabriquait cette
étoffe en Grèce; mais on l'imitait en Egypte (Hariri
-
~j<~JLs écailleux, composé d'écaillés, Bc. 1. 1.), notamment à Damiette (Yâcout II, 603, 14) et
,~>-' ~))- -
~»»! ~>
ruber,
centrantus valériane rouge,
à Tennis (Yâcout I, 882, 10, Cazwînî II, 118, 6af.).
Ses couleurs étaient fort brillantes et changeaient se-
Prax 0.
R. d. VIII, A. 279. lon les différentes expositions (Hariri 1. 1., Yâcout
~.3 - espèce de mutille; on l'appelle ainsi parce IV, 166, 16). On en faisait surtout des tapis, l.J:..j.n
guérir de sa piqûre, qui passe pour être Q~Ju~!, Yâcout I, 882, 10 (cf. Cazw. 1.1.), ou,
que, pour
très-dangereuse, on enterre le malade jusqu'au cou, par abréviation, (jàjLSI, Yâcout II, 603, 14.
Guyon 235. — En Orient, jaspe, Bait. II, 603 a (jaspe): ~r-z
t-&x3 — bossu, Bc.
~L'â. Masoudî, II,
437, parle de chatons qu'il
album Desf., Prax nomme .JRLJ! (ce qui est le même mot), et il dit
A-Oj_ï — zygophillum R. d. O.
A. IV, 196, VIII, 282. qu'ils offrent à l'œil des nuances chatoyantes et va-
riées entre le rouge, le vert et le jaune. Il est clair ~A-~~ gypaëte, Cherb., Tristram 391
qu'on a appliqué le nom de l'étoffe chatoyante au jlfti
— tarentule noire du désert, Cherb. C, Shaw
jaspe; nous avons fait le contraire en donnant le nom I, 283, Guyon 235.
de jaspé à une étoffe chatoyante. — Sorte d'oiseau,
Yâcout I, 885, 16. Je crois retrouver son nom dans ~XJLQ
— scolopendre (insecte), Bc, Domb. 67.
l'esp. calamon, chez Nebrija calamun, qui désigne un X~L-~L~ — morveux, qui a de la morve au nez
grand oiseau qui vit dans les marais; il a le cou et
(petit enfant), Bc.
les jambes, qui sont rouges, fort longs, comme le
héron; le bout de ses ailes et de sa queue, qui est ~XÀj-x - murène (poisson), Bc.
très-petite, est blanchâtre; son bec est rouge, et son
plumage, qui lui couvre tout le corps, est superbe ; &ÂAÂ&*
- solanum hortense, Domb. 73.
cf. Victor et le Dict. de l'Acad. esp. Je pense que ~JL<J!
- alouette, Bc.
cette dernière circonstance lui a procuré le nom de
la belle étoffe dont il a été question, et si ce que
I:!ULo
- saponaire, Bait. II, 317 a.
,
y
cmdy.t (voyelle dans N) == .c~S! LeL>, Most. sous ce K~J~Lt! la dignité ~d'Atabek, Maml. 1, 1, 3.
dernier mot.
.jLio~)
y-y
sorte de bitume de Judée, Bait. II, 310; de O ~CI - ~o
Sacy (Abd-allatif276) pense que c'est ~àiroTXvm. Dans
<-A-j! et X-AJCJLX voyez Vêtem. 21-23, Freytag
le Most sous ~m
~j+z>- (par erreur pour J"":>' comme l'au-
ç»..
»
Einleitung 314. Ce dernier dit avec raison que le
j'Iétait porté par les jeunes filles; voyez le vers
teur le dit sous t5a>Fil N porte y „ ~oy ~y
La chez Ibn-as-Sikktt, Kitâb tahdzîb al-alfâdh, man. 597,
p. 193, dern. 1., avec le commentaire.
!
~s
~sbî
- déni (refus d'une chose due), Bc.
~a
~XJLJÎ fierté, Mi'yâr 18, 3. ~+s.
~j!
un canal vers, Gl. Abulf. — se dit en parlant
~SX~Sr
t
~fc'oi
,
très-fier, Kâmil 352, dern.
et ~~j! voyez sous I.
1. de celui qui est attaqué et vaincu par l'ennemi, Gl.
~-
S ~,l.,
~ii4Lo déni, refus, Bc. n'échoue pas à cause du petit nombre de mes sol-
m,1
xiuà
~!
voyez plus haut p. 1 b.
, i dans un sens obscène, Gl. EdrIsi,
datsa, ibid. — ~j!
~! ~yo i
(grec) hépatique (plante), Bc.
sii
venit. N. III,8, 6 a f. — Comme jSÎ e signifietradition et
> complaisance, Bidp. 186, 4.
III. sLrtjjo que les traditions étaient souvent des prédictions de
IV. > t5j.3,
je suis puni, Macc. III, 676, 1.
l'avenir (cf. Prol. II, 179, 3, 17), ce terme, propre-
ment j,LtL\~ jS! (Djob. 76, 18), a reçu le sens de
prédiction écrite, Badroun 212, 7, Âkhbàr 154, 7,
Bayân II, 275, 2 et 3 (cf. 7 a f.). (Corrigez en ce
II meubler, Bc. sens le Gl. Badroun et le Gl. BayAn; dans Abbad. I,
Y s'établir, se monter un établissement, Bc.. 306, 14, (js-c et ontleur sens ordinaire, et l'hé-
„£ mobiliaire, mobilier,
L5àU,l Bc.
mistiche signifie: «A présent vous ne me dites abso-
lument rien»). — Influence (très-fréquent), particuliè-
o Il =
1~v^ajuU—Jmk*
Lanea
oCI chez Freytag est une faute;
rement d'un astre, Prol. I, 191, 14, 202, 17, 204,
2, II, 187, 17, III, 108, 4, Haiyân-Bassâm I, 116 ro:
j
HjUrt
~q*
L~a. — Le sens de ce mot ne m'est pas
clair Berb. I, 473, 7: il employa auprès du sultan
l'intercession des hommes dévots ~Lj~
)mw : !t.U:~
~q*
d'exemples.J'ajoute: Abbad. II,
- 115, 3 (cf.III, 208), &;.m5 ~oJuoj (de Slane « avec lesquels il s'était déjà
Djob. 288, 14, Bat. I,
104, 232, 243, 345, II, 25, lié par la pratique de la piété et des bonnes œuvres»).
54, 72, 138, 166, 179, 338, III, 255, 269, 337, t,
~ij}Lo. Pl. ~jSLc productions de l'esprit, Abbad. I,
IV, 286, Prol. II, 238, 8, Berb. I, 407, 6 a f., 6.-
12,6. Tour,Bat.IV, 356 (si la leçon est bonne) bonne).
Cartâs 36, 4 a f., 42 med., 189, 10 a f., 221, 13,
Macc. I, 590, 3 a f., 595, 16, 597, 22, Khattb 72 Jiyti.
aûyS mordant, force, originalité dans
vo, 86 vo. Dans plusieurs de ces passages ~JSii\ si-
l'esprit, Bc.
gnifie libéralité ou charité.
X faire grand cas de, Bidp. 31, 6 (cf. les notes Ofcil.
critiques et la IIIe forme).
ner quelque chose à quelqu'un
-
C. a. p. et ~'-r r. don-
particulier, à Vex-
jutât
K.Ill. pi. ~m
~e ~l pl. àUI trépied,
tré Bc, chez Aie. (trevedes)
en jjUâljl ~viJIj o* (le troisième soutien
— Au fig.,
àU-1.
clusion d'autres personnes, Berb. I, 130, 10.
de l'empire), Berb. I, 538, 5. — ~3ISÎ foyer, Hbrt
Il
~6,t
relique, ce qui reste d'un saint, Bat. I, 95.— 196. — Nom de trois étoiles d'Orion, Cazwfnî I, 38, 17.
~!
c;-1.
Y tâcher de prendre une ville, l'investir, Berb.
135,11.
~J.
~ois Xiisil
~jlit aludel
~pi empetrum (plante), Bc.
Aie. (jornalero).
Aie. (siervo).
a raison.
ii}.:::-'
— Domestique, Bc. — Esclave,
f II
î
~fr affermer, Bc, Hbrt 177;
j~-Lt location, action ~c,>
oî^>-ljÛMMw9terres affermées, louées, Maml. II, 2, 129.
;
de donner à loyer, Bc ~QIJLJ~Q-» sous-affermer,Bc. "T' (dans le man. de Leyde ~3—~) (berb.) litière,
V tâcher de mériter une récompense dans la vie ;
Cartâs 144, 4 a f. cf. Tornberg 430, qui observe
future, Gl. Djob.
qu'Abd-al-wâhid emploie le terme Xa-~*.
VIII même sens, Recherches I, Append. LUI, 3,
Gl. Badroun.
X s'abonner, Bc. — Ci-j4 ~(}'8 r~
sous-affermer,Bc.
w
ment
~c
grammaire, règles d'une langue, Bc. Propre-
iôdOûiiî est le titre d'une courte gram-
~r'
~9Go.
dans la vie future, Abbad. I, 112,
récompense
maire composée par Abou-Abdallâh Mohammed ibn-
n. 212, Freytag Chrest. 62, 7 a f., Abd-al-wâhid
Dâwoud aç-Cinhâdjî (+ 723 de l'Hégire).
15, 10, Djob. 70, 3, Prol. III, 432, 6 et 12. Com-
-,Most.sous
parez avec l'expression ~JUS
'>!
~JLC
aW ~|« chez Lane,
U,2--à.t.
Selecta fo, 4, où l'épouse de Mo'tadhid, qui soup-
çonne (avec raison) que son père, Khomârouya, est Damas,Bat.IV,255.
à u~L>~ l'esp è ce de prune
a
Sj->! nom d'une plante, Ztschr. constamment poire; Gl. Manç. sous ~.JL~
a
:
XXII, 92, n. 7.
(N + ~l*fj ~< u~L-~~ L (pirus (ceci fait partie d'un grand malheur,» Macc. II, 486,
17 avec la note de Fleischer Berichte 71, 72.
(j~L>~~ -5.24s); Voc-; Ale. (peral et pera); Hœst —
.)L:::f se dit en parlant d'une tradition qui s'appuie
305; Cherb.; Pellissier 348. Dans les 1001 N. BresI. sur l'autorité d'un seul compagnon du Prophète ou
1, 297, (joL^ (sic) est aussi le synonyme de seulement sur celle des q^uIj, et que les juriscon-
Poire sauvage, Domb. 71. Chez Bc prune est
L~ sultes rejettent si son authenticité ne peut pas être
etpoire (jwLpî ou yoUpU J~b (~L~o ~'L~! blette prouvée, v. d. Berg 6. — ~yJjJÎ ~<A>Î xïl£
- <~
~Cr comme
~G
(poire) Bc. < U~~- Article dans le Most.: s'il était un simple particulier, Bayân, II, 68, 12.
;
oL>L>î (?) Berb.
olptoi
I,
654, 6 a f.: x-*Jî
de Slane traduit fuyards.
U~~f~' (N) ou u~3~>! (La) — ~L&ls», Most. sous
1 ce dernier mot.
*~, ,s
jL>W> temps donné
Xdevenir
X~—-~
une
MMc X~>
a
pour réfléchir, Roland.
,
Gl. Belâdz.
GL
surprit, R.
Ur-C.
Haiyân-Bassâm I, 30
N. 61 vO.
- XJL~J~!
l'°.
--
o.
o=:=-l.o
= Jcs-lo citerne, Gl. Edrîsî.
règne par etc., Amari 444, 13; j. <-\->-! commencer
par décrire, Macc. I, 130, 3. — j~-~ '-\;>-! ~éblouÙ.,
para majar).
au fig. J.-a-.J' ~éblouir,
surprendre Vesprit par
X<L~j~ maillet, Ztschr. XXII, 116. (La compa-
une apparence brillante, Bc. — subir la<Aj>Î
-a -
raison de Lane montrera pourquoi j'ai noté ces deux peine de son crime, Bc. M.L\s"J~>-!
se mettre sur
,
formes).
- ~ob>
~t
~&
f
<::
voyez
ahi! Bc.
CIE
0 -"
ses gardes, prendre ses précautions, Bc.
cheveux
quintessencier, Bc. — ~Ls ~ytA
à quelqu'un, Gl. Fragm.
i r.
faire assister (ou accompagner) de, Bc. —
copier, Bc. — m M
—
~X~"!
&X~'L\~
couper les
Bayân;
de Sacy
Jjt ~&J~!
Ghrest.II,Po,2a
~&U=
<—)LJ!
rendre stupéfait; tourner la tête, rendre fou d'amour, que personne n'entre,
Gl. Badroun. barrer le chemin
pier un livre sur une tablette, Amari 192, 3 a f. — à quelqu'un, Abbâr 86, 8 a f. (=z Haiyân 94 ro). —
~qL£J ~Jc>t viser, Bc.
— ~Lii
L\->-! prendre haleine, '~u~J!~c(~>-! s'endurcir, s'accoutumer à la peine,
Bc. — L~>~ à-,;-l se familiariser, prendre des ma-
à la fatigue, Bc. -
«-Lis» ~J-c J~>.< se choquer de,
Bc. — ~e..ù ~&L\-~-! ou s^ÂXl se tenir sur ses
nières trop familières, Bc. — C. ~J.' allet" à, mener à
gardes, prendre ses précautions, Macc. I, 162, 2 a f.,
(chemin), Bc, cf. Gl. Abulf. — Prendre la route de,
cf. Add. et Fleischer Berichte 177. — Reprendre,
Becrî 114, 4 (aussi ~J-c, voyez). — C. a. p. et ài
réprimander, c. ~J-c p. et l'accus. ou à de la chose
conduire, menerquelqu'un à, chez, Bc. — ~~L« ~Lxli à cause de laquelle on réprimande quelqu'un, Amari
673,5, Mohammed ibn-Hârith 344: XiuSjJî£ ~KAC.lXs>1 )
par exemple al-Mançour; sa mère était une esclave»,
Tha'âlibî Latâïf 75, 2 a f. — ~s.liLi <-\->-! se venger,
ou 1f.,¡hL:> à
relever le courage de quelqu'un, le con-
;
soler, Fleischer Gl. 83; apaiser; choyer; complaire;
chercher à se raccommoder avec quelqu'un amadouer,
.,UJ4 L\~-! fasci-
sélever avec véhémence contre (cf. Fleischer Berichte
-
comprendre, interpréter, Bc. f ! le courage
~Laj L\->-~
ê
agir avec douceur, par crainte, Bc. — âJ ~>-! je
lui fis réciter un passage, Abd-al-wâhid 62, 9. —
lui, manqua, Gl.Badroun. - jUL ~"i
-
on lui de-
~^5^. ~Lew4 ~Ài>îparaphraser, interpréter malignement,
manda compte de ~Vargent, Abd-al-wâhid. — <"-~ Oe>!
~j. il commença à lui parler de, Gl. Badroun.—
soutenir quelqu'un, lui prêter son appui, Fakhrî 372,
.Ls ~£-A t~->-! consulter quelqu'un, Berb. I, 406, 11. —
1 et 2. — C. a. p. et yr. ordonner à quelqu'un de C. en parlant d'un canal, prendre ses eaux d'une
faire ou d'apporter quelque chose, depayer une somme, ~(J'8,
rivière (ellipse de ~nelo), de Sacy Chrest. I, 327, 1;—
un tribut, Gl. Belâdz., de Jong, Gl. Fragm., Berb. profiter de, Gl. Badroun. — C. ~Cr p. réprimander, blâmer,
I, 50, 52. — C. a. p. et de l'autre, rendre quel-
y Abd-al-wâhid 205, 9; — vaincre, subjuguer, en par-
qu'un responsable d'un autre, de Jong, Gl. Fragm. —
lant du vin, Badroun 35, 10, Bassâm II, 113 vo:
C. %-j et j. agir, Gl. Maw. — C. &
p. prendre sur soi,
se charger de, Bc.; — s'emparer de l'esprit de quel-
qu'un, Abbad. II, 120, 5; — en parlant d'un disci- je garde bonne, tu me le payeras, tu- auras de
te la
ple, non-seulement &~ if
(~-s"!, mais aussi ~- mes nouvelles, tu éprouveras ma vengeance, Bc.
de O -- ou de
1), Bassâm II, 113 vo: là
II. juMjltilj
par routine, Bc.
L\~>Lj!
, avec
de soi, Bc.
Ç o
L\—>!
~&.ià
routiner, dresser à quelque chose
- ~o
arrérages, débet, Bc.
.r>l.i.:.-Af
II, 741, 2.
hlXç^-î
r butin, Aboul-Walid 357, 4. ,
- -
t~Jue O> (litt. prends-moi
~jj~j>- avec toi) grateron
(plante), Bc.
,,}!, polype, Bc. — Sèche ou seiche (poisson), Bc.
~Je>Lo proprement endroit d'oïl l'on prend quelque ~-.t~!!E
1
chose (voyez Lane); de là: source où puise lin histo- pl. ~jL>.! épingle, Aie. (alfilel). C'est une cor-
,
~rien Prol. I, 8, 5 a f., un jurisconsulte, ibid. 341,
10. — Proprement le chemin que l'on prend (voyez
ruption de
, ; s
:d>', pl. de ~L->-,
, qui a le même sens.
Lane) au fig., manière d'écrire ou d'improviser, de (xxxxiiewy
,
même que ;<< CI,
*>
,
qui a aussi ces deux sens, Abd-al-
wâhid 104, 7 a f., 72, 3, 211, 3, Macc. I, 384, 11
,y::.
voyez Stephani Thésaurus) cal-
cédoine (agathe blanche), Bc.
,
II pour la IIIe, Voc. vo sociare.
hist. esp.
L'endroitque quelqu'unoccupe,
L'endroitquequelqu'un
116, 5 (où il faut lire
tre le fac-similé).
joî,
occupe,Mémorial
Memorial hist. esp. VI,
comme le mon-
ti
Cf
frère (d'un ordre religieux), Bc, Daumas Ka-
y
bylie 67; pl. vulg. ~q^3» (pour o~
J. A. 1859,
IIc. a. p. destituer, déposer, Macc. I, 645, 6, 9
et 10 (bis), 884, 17, 801, II, 11,
Cartâs 45, a f., 2
trad. 356, n. 1, l'anonyme de Copenhague 61, 69
(3 fois), 71 (3 fois), Hist. Tun. 110, Bassâm III,
.- Bero.
toujours,
~L~, Berb.
II, U' - de même
52, 1, 70, 7 a f.; - .-r>'
lire Huct avec le MS).
a -c
Kj~>! fraternité, confraternité, compagnie, ordre;
II, 121, 4, 186, 6 a f. Dans une phrase ~.L~. Kj~-! confrérie, Bc.
w)
~a^j>i tribut annuel,Palgrave
(proprement fraternité)
I, 62, 65; ce que l'étranger paye aux Bédouins pour
traverser le pays, Burton II, 113; chéz Burckhardt
Syria 301, khone.
X~t lacet, cordon de filou de soie, Bc; pl. ~oî,
w
Exercice,Edrîsî Clim.
~tJju
fortintelligents,
II, Sect. 6: les dromadaires de
Mahra, qui sont fort intelligents, 4M ~!~t ULe ~r--Lü
,
<—>^î
IIaccoutumer (Aie. bezar costumbrar) quelqu'un à (B) (berb.) ~Tlwps-ia, Bait. I, 19 c.
quelque chose, c. a. p. et ~& r., Bidp. 271, 9. — C.
.*~'
y r. s'appliquerà, Macc. I, 560, dern. 1.: ..jLwIL
II. Y quelque chose avec son
pain, Bc.
~JL~!~ (les voyelles dans l'éd. de Boulac). — T. de
jardinage, serfouir, gratter, remuer -légèrement la
V c. y
r. manger quelque chose comme assaison-
nement avec le pain, Voc., Bait. dans de Sacy Chrest.
terre avec la serfouette, L (excodico, cf. Ducange).
V c. y
de la personne dont on apprend, Khatib I,148, 4af., où A porte aussi: Lc~.L~<< ~&.à ~LXj
fr.:;,J4; mais dans B c'est: ce qui est pré-
férable.
observer, de Sacy Chrest.
&' 01 (fV-ivÂ-i 1 II, 401, 6: ~JJ ~j~X-t
i»S
ou la politesse réclame, Maml. I, 1, 250; CX4
K 0t«1'officier ne voulut pas, par politesse,
- oli' couleur du vin, Gl. Mosl.
vendeur de (rlal) tout ce qu'on mange avec
que l'on prononçât son nom», ibid.
X c. a. p. prendre quelqu'un pour précepteur, Macc.
I, 529, 18: ~sjJ^J mc"i «il le prit pour précepteur
de son fils»; de même Haiyân 35 ro.
~1-l
S
,_eaa bien élevé, poli, délicat dans sesprocédés, Bc,
~!.
II,
-S <-~~-
.»
195, n. 2;
'-~ l'art
aussi ~v.5^-'-'
de la guerre, J. A. 1848,
ibid. 196, n.2. —
Ztschr. XXII, 119; on dit au pl. ~Lmü, des hommes
polis, la bonne compagnie, ou simplement ral.51, ibid.
fc»>î II fournir, pourvoir
garni, Bc.
je le voudrais,
°
Lane), -,a--çUt
4 (cf. Add.);
-
*
<~!
proprement
de ce qui est nécessaire, Bc.
instruments, au fig.
connaissances, parce que ce sont les instruments dont
on a besoin pour exercer un métier ou remplir une
fonction, pour bien écrire, etc., Abbad. II, 29, n. 2,
Gl. Bayân, Berb. I, 475, 11, 498, 5, 517, 6 a f.,
«parce que je ne
possède pas assez de connaissances)), Khatîb 114"ro:
~stol
~<3! chez Chec. 200 rO, 210
518, 13, Macc. II, 514, 16, de Sacy Dipl. IX, 495, u6111
9, Chec. 223 vo: je ne puis pas écrire aussi bien que
~X-*J mais on dit aussi
Koseg. Chrest. 101, 5 af.
~! J
Most. sous ce dernier mot.
V. M'f4
Oo
C)31
o
Prol.III,8,6.
~a.
,
~,s£
~qÔLj
~uj!
il lui témoigna beaucoup d'égards,
— ,
C.q£ avec ellipse de y«(cf.
Lane sous la
Ve forme), indiquer, Valeton o, 5, cf. 7, n. 6.
mange crue, et elle a un goût aigret», Vansleb 99.
- ~—~~ ~031 cyclamen, pain-de-pourceau, Bc; bu-
pleurum, percefeuille, Bg. 835; J.
~':»t otJi idem,
~"0
C,>lvoici,Bc.
£ J5 M Lane)) proférer
(cf. Lane proférer les lettres, Prol.
I, 23 b. — ).;J\ ~OJt Echium plantagineum, comme
il résulte de la fin de l'article de Bait. II, 438 b
(J,U^i ~j! XjJLjilj, voyez plus haut sous _^jI).
—
II, 388, 11, et dern., 389, 2.
12 t'.)':»' le mode
-
-
Kjôjj (pour
deuda).
,
de récitation adopté pour la lecture du Coran, Prol.
II, 357, 6, 13, 358, 3, Macc. I, 606, 19.
~o, a, ~Lj^Lj) payement, Aie. (paga pago de
— en Syrie,
~<~~ ~o'ji Plantago asiatica (S), Bait.
~Sï>
)<3~-~ endroit oh l'on paye le tribut, l'impôt, Gl.
Belâdz. Cynoglossumcheirifolium, Prax R. d. O. A. VIII,
279. — ~)LJl. ~o'J' consoude, Bc. — ~Ju! Sta- ~<
a~ (sic) tribut, impôt, Ht. tice, Prax R. d. O. A. VIII, 283; cortuse, Bc. —
~CI ~sLàJî ~OJ\ voyez sous J~ D
cynoglosse, Bc. —
goyàJ!^31 Umbilicus horizontalis, Prax R. d. O. A.
Bc. ¡J à moins que, si ce n'est que, Bc.
!
~J,
—
, -11 VIII, 280. —OyJI ~Oîol, 1001 N. IV, 173, 1, Bresl.
tout (omnis), Voc. III, 144, XII, 63, ne m'est pas clair. —
J~J!
(alisma) chez Freytag se trouve dans A de Bait. I,
23e, mais B et Sonth. donnent ,y..Jt
semble la bonne leçon. — jlaJt
ce qui
voyez 4 articles
, de là (l'adjectif pour le substantif) les cousins (mou-
cherons), Bassâm I, 150 vo, 151 ro.
,î
,
~Sa
~ï% jLtôt malfaisance, méfait; — malignité (qualité
chez Bait. I, 21-23; l'auteur du Most. (sous
;
~JWI O'J') pense que c'est une espèce de ce qu'on ;
nuisible) — causticité; — virulence; — méphytisme, Bc.
nomme en esp. ~jJuJu (veleno) Lamium amplexicaule
L., Prax R. d. O. A. VIII, 279; morgeline ou alsine,
~jutôt
~O-~-S
~= O ~;f
Lettre à M. Fleischer 132; dans le
Bc; myosotis, Bc; piloselle ou oreille de rat, Bc. — ~Yoc.ioîô!
~^5<3t
;il a aussi gsfôf.
~U".à ~qIiM, en Espagne, Cotylédon, Bait. 1, 23 f, o 5 ~s
(poét.) ondes, vagues, non-seulement de la
ou au Maghrib en général, id. II, 330 b (AB ~0ot
Bc, en Egypte et enSyrie une espèce de mer, mais aussi d'une rivière (P. Becrt 129, 14, P.
de Sacy Chrest. II, IfA, 7) et même d'un torrent
Sempervivum, id. II,
449 c. — ~oUU! Cjlàl ou ~„o
t.eiDWI espèce de beignets qu'on appelle en esp. orejas
de abad (oreilles d'abbé), Aie. (hojuela de massa ten-
dida, lasanna o orejas de abad, orejas de abad) Macc.
(P. Abbad. I, 50, 12).
~)
~ôyA malin ; — venimeux; —
méphytique; — malebête (individu dangereux); —
caustique,mordant ; —
,
II, 515, 19; — cotylédon, Bc. - \,J~
~O- ~o6' oreil- 31.>- arme offensive, Bc.
~>
~«3yj insalubre, Bc.
lette, cavité du cœur, Bc. — X~jtJJ! ~OJ' nom d'une
plante, Daumas V. A. 381. -
rt'~ oreille-de- ~S£J
t^5<3yj fdché, ennuyé, Aie. (estomagado por enojado).
Judas, champignon de sureau, Bc.
~CIl. ~o,~&iài
»
~OJ' <—~&.L~
~Il
- -vesce(espèce de grain), Bc.
crédule,Yoc. — , ~J'ôeffleurer une LAS!.) (?). Aie. donne
matière, Bc.
~a- «erâfia almorfôa» pour «traemon-
s,CI
~xiôl nom d'unité de ,
O ~CI
~qÔÏ Koseg. Chrest. 33, 10.
tana yerva»; mais trasmontana comme nom d'une
plante n'est pas dans les dict., et aujourd'hui, comme
& ~a me l'a écrit M. Lafuente, on ne le connaît pas en
~xîôï, au Maghrib, le nom du Sempervivum maius, Espagne.
Most. sous ~;W\ ~tc'
2 ~of
1
L533i auriculaire, Bc.
~O
~q-jÔI !**&> Cri t,..A ~if; ainsi dans N; dans ~Lm:-0
Sempervivum maius, Pagni MS (Uden h. e.
auricula).
, -
~, (pour ~XjjLt) chant du
Xj~j ~p-
~*Ji persicaire (plante), Bc.
coq, Daumas V. A. 245.
t, -
A,jJLo mosquée, Weme 31.
~LK~'t' réglisse, Most. sous lJ"'J"
— Dans le chapelet des
musulmans fragment très-allongé qui tient la place U~J pierre qui
1 ~lis
ressemble à l'ivoire, Most.
de la croix dans le chapelet des catholiques, Ouaday
683 et suiv. ~L^l II aller de biais, biaiser, aller en ligne oblique,
est,dit-on,=
Gl. Edrisi. calculer, déterminer par le calcul le jour où quelque
,
graver une épitaphe sur un tombeau, Yoc. (cf. go^li').
nier mot; chez Bc .:s::J\ V, en parlant d'un tombeau, recevoir une épitaphe,
de mer) ;
— squille
est langouste (écrevisse
(crustacé qui ressemble à la che-
vrette), Bc; — crabe, car Bait., I, 506 e, dit que
Voc. ~CI
^Lo^j est ce qu'on nomme en Espagne camaron. Au pl. oî et ~ti1, génisse, Voc., Aie. (eral de
Maghrib on ignorait quel crustacé était désigné par ~-OÏ ~&de
un ano, eral ternera); ;,;,.:»~':»t la génisse, Hbrt
ce terme (voyez sous ~j,) qui appartient au dia- 15 (Alg.).
lecte de la Syrie, Bait. 1. 1. (j»L&Jl A*iQ-»).—
~qLojÎchrysanthemum, Bc; cf. Bait. 1. 1.
'~j.) (gr.) orthodoxe,Bc. Kj~w~L\ orthodoxie,Bc. (Catal. des man. or. de Leyde, I, 154, 4 et 5 t. a.,
— Bc), la présente année; ~)L~~ )-~-~~?.~ f*~, le
iS.5i:3jf (gr.) hérésie, schisme, Hbrt 157. mois, le jour, duquel sont datées les présentes, de
Sacy Dipl. IX, 470, 11, cf. 5 a f., Catal. I, 154,
~t_5SALU: (gr.)/'arithmétique, Prol. III, 88, 4, Si- 2 t. a. Chez les chroniqueurs ~j.UJ! ~rl-e (ou &~.Jj)
monet 256. ou ~-t.bJ~ ~XSJMest la susdite année, Millier L. Z. 13,
dern. 1., 30, 3, 35, 2, 10, 36, 3 a f., 37, et 3 3
,..J~. f ortolan (petit oiseau), Bc. a f., 38,2,39,10 et 5 a f., 40,10,42,
43, 5 a f., 47, 4, Khatîb 67 vo, l'équivalent de
a f., 4
£>>'•
~0-S
.-.~
~j ~oy
,
~y
~(;.J' (?) expliqué par ~ajCo ~iUyj (?), Ibn-al-Djezzâr.
~~Li.~) mandragore, Simonet 256; dans le Most.
(?)
(même article) La ~&a N »SaAs>j-\.
,.tR~) (si telle est l'orthographe véritable; beaucoup
de variantes), plante connue sous ce nom, non pas chez 1 et 9, 125, 14, 281, 4, 11 et 13. — Répertoire,
teinturiers (Q^LLaJt)
t II
,
les Berbères, comme traduit Sontheimer, mais chez les
Bait. I, 27 b.
Ale. (reportorio libro en que esta algo).
i
~J£ ^1•
J^ sc,r-
pour
Q~-~~
y ~Cr <o->} chez Bc),pzwy.
~„ Le pl.
~t) dater de (commencer à compter d'une
c. ~v->
~vjCatal.
£ , des man. or. de Leyde I, 156,
certaine époque), de Sacy Chrest. I, ~aa: viiôli" ~Jo
12, où l'on trouve l'explication: les principaux chré-
tiens de Damas.
hippopotame, Bo. basse d'un appartement), Bc. — Lie (ce qu'il y a
1),
scription de l'ital. articiocco; de même Devie 37).
,
J
~.J ~r~ A f
(pers. ~CI ~a.15 espèce d'Origanum maru,
Bait. II, 503.
~&ï
~jj. Le pl. ~)i,
Saadiah ps. 29.
~jj\ (arez) parfum qui vient de Mokha, Burckhardt
~bf
".)
£
~>o
~^,1
jasmin jaune,
:=
~-OS
selon Auw.
Prax R. d. O. A. IV, 196.
, J~!,
~o*°~r
I, 431, 20. — Ephedra,
1i riz, ~0Jt.
1
~»
Calendr. 50, 1.
~ü). Pour l'hébreu ~roavin> Saadiah, comment, sur
~JO!S
aq5jaÎ!
.t ps. 95,95,
~~J«! chardon-de-Notre-Dame, caille-lait
(plante), Gl. Esp. ~ps. &3 ~M ~ü); cf. Abou'l-Walîd 789,27.
,,
a ~CjD
391.
~of
~~A~w.t
„
archevêque,
en Ifrîkiya = Most. sous ce Amari Dipl. 1 et 7; proprement ~éj\
dernier mot. ikàiuio, car c'est ainsi qu'il faut lire ibicl. 14.
*.*1 pl. X~t! chantre, choriste, Bc. ~<e
Le nom de cet arbre est chez les botanistes
\:!H}.
~soS
~J!o.t Capparis sodata, et la description qu'en donne Barth,
pavé, L (pavimentum). — SyA~! (j~~ la France,
I, 324, s'accorde avec celle qu'on trouve chez Lane
Abbad. III,
mistes, un coagulum des
189. - X~J~
natures
chez les alchi-
supérieures et infé-
(Barth écrit lirük; c'est ~U avec l'article arabe; ail-
leurs, V, 97, il écrit irâk); il porte aussi le nom
rieures, Prol. III, 207, 12. de -Jii1"; voyez mon article sur ce mot. — Edera,
! o.
,,,b)l terrestre, foncier,- territorial, Bc. —
trad. latine d'une charte sicilienne, Amari MS.
.t
—
Xxjjîs coussin en cuir, Voe.
t<~~ (artichaut) voyez Oosterlingen 18 et suiv.
et et sous K~~O~. de Montréal (P), J. A. 1845, II, 318, 4 a f.
K~ fonds (le sol
a ~of d'un champ) Bc.
, - Fond, ~O
(jéSLojÎespèce de bois, voyez Bait. I, 26 b, 148 a,
d'une étoffe, d'un châle, Bo. — Plancher (partie ':i' avec AB.
où il faut lire 1:ÛLo.J
ni
1
,;L<,o (pers.) manteaux ou casaques de laine, Bat. IV,
~àîjî ibid. 1. 12. .1
232, dern. 1.
'3,JE
~LJ~.! j!~' (toutes les voyelles dans La), thymélée, garou, tren-
betterave, Auw. II, 420, 2 a f.
tonel (plante), Most.
C))f.
1 sorte de poisson, Yâcout I, 886, 2.
~yjt.
(hébr.
hysope, Saadiah ps. 51; Payne
~aux)
1338.
—
Sur ~J< '-~)~~ voyez Bait. I, 29 b.
~xôy aine (partie du corps entre le haut de la en style sacré, pluies excessives, Bc.
cuisse et le bas-ventre), Bc.
J~L~f
£
x
w .CI:E bandit, Bc.
~tj~ qui appartient au lièvre, Aie. (lebruno cosa
de liebre). — Fricassée, ragoût de lièvre, civet, Aie.
J ~11. lambrisser, Gl. Djob., Gl. Belàdz.
~î
"Cl15.
~&éijî
5 O
~*rO
(lebrada).
~.,1>
~8^, à Valence, sorte de petite poire, Macc. I,
c'est une espèce de gros bourrelet recouvert en châle 110, 11; cf. de Gayangos trad. I, 374. L'orthographe
de cachemire, Bc, Bg 805. et les voyelles de ce mot sont à présent certaines
grâce au Voc. (v° pirus).
~Ï-)~>£ ~(jkpov)Arum,pied-de-veau (plante), Bc, Bg,Auw. s-
~,£ panier
~jiy proprement vêtement qui couvre la partie infé-
I, 468, 14, 472, 7, 475, 4 (1. ~oSjL).
~BI
Heure du corps, depuis la ceinture jusqu'à mi-jambes.
pl. grand pour lafarine ou lepain, En ce sens ce mot arabe se trouve déjà chez Héro-
Aie. (nassa para trigo, panera para guardar pan). dote (VII, 69), qui dit en parlant des Arabes dans
Dans le dialecte de l'Andalousie horon est: panier de
sparte, grand et rond. — Comme oron en esp. (cf. yffoev. Cf. Vêtem. 37. Porter l'izâr très-long et le
Victor): gabion, espèce de panier qu'on remplit de
~J
~,k,i Manteau d'homme, voyez sous .-r.}.:i. — Voile qui
en Syrie cerf, en Nubie bou-
cerf, Bc (=: ~Juj)
~S,-
A.;j t grande calamité, Abdoun vs. 47. ~-a épinards, Aie. (espinaca); c'est la forme vul-
~:..u.-+.w'
~Calligonum
~lis gaire, Most.
comosum, plante qui ressemble au blé
sarrasin et qui forme avec le ~&,a la nourriture prin-
cipale des chameaux, Desor 23. — Azâl, Ephedra, - (avec ~(j*L<u), Hbrt 170.
Prax R.' d. O. A. IV, 196. 1 (pers. LjJo^î) espèce de soupe composée de
Z."4L>-" -.%N
.LXjt.) et <'~-~'
ocre (terre ferrugineuse dont on fait bouillon et de petits morceaux de viande, avec des épi-
une couleur jaune), Bc; restituez f~)! Bait. I, 28b nards, de la fleur de farine, du vinaigre, etc.; voyez
~m
ji
Lfi
= :S:ja, Diw. Hodz. 41, vs. 22.
phe ordinaire est U.
de Jong sous ~.L.&~ et les dict. persans. L'orthogra-
esclava).
a
-
esclave (homme ou femme), Aie. (es-
4
cipal); musicienne, Aie. (tanedora). clavo, imitateur servile, Bc.
~t,
~CI
)
~iUûa<v°«f ub.w
ou vulg. pour ~*c.* (voyez Lane sous ce
~L~~t
, ~a
(esp. estepa) pl.
ciste, Aie. (xara mata conocida).
lêdum, lède, espèce de
(vTtxàpiov, voyez Stephani Thésaurus et Du-
466, 8af., 468, 5.
(-kY-4U.--loi j,
dernier mot), 1001 N. III, 463 (Bresl. IV,
~Gl,
~». ~f..f'"(~f
~tj~.aJa~~t m9J9OS
^wJîLlwI
chez Freytag, a les voyelles dans le
1le
qu'on mange avec du miel; c'est de la pâte à pain
Voc. (pl. ~oî) et chez Aie. (elemento, ayre el ele- très-molle et très-levée, qu'on fait frire dans de l'huile;
ces beignets ressemblent à nos pets de nonne, L (crus-
mento), qui donnent aussi (Aie. sous elemental) l'adjectif
i tula 4* ~O<OÎ
~-~~",. ~(j-i ~L^UiuJ), Aie. (bonuelo, ~oO
et a),
,«ssÂâ*wî
j
mv.>»O
Wjtlliwl.
)
~«. ~oi
ffc.ixvwî
Haedo 25, 1, 26, 2, 29, (asfinge), Pagni 153,
1
~t) portiquey vestibule, Voc., Aie. (antepuerta de Hœst 109 (gsÀiuw), Jackson 132 (sfinge), J. A. 1830,
casa, portada de casa), Ht, Bat. I, 62, 87, etc. — 1, 320 (sfenge), Cherb. ~(^Ââ^), R. N. 80 ro, 97 v°
Petit portique dans l'intérieur d'une maison, Aie. (por- ~o
(,.;Mi-)
tai pequefio de dentro de casa). — Balustrade, Ht.
+ yo
Xj~i~ i ~o
îi
les stoïciens, Bc.
—~Ua~ spongièuxy Bc.
,
0, 0
~U:<M!
asperge, Calendr. 33, 3; voyez c;}.f-t
elLàLà-1 voyez sous ~JL~e.
épinards. Cette forme se trouve: Chec. 182 vo,
197 vo, Djauzi 144 vo, Bait. I, 34 b (A), Auw. I, —.t~JÏ~J (pers. ~~$; à feuilles blanches) peu-
67,5af.
~wt
~9--o
(asperge) est un mot propre au dialecte du Magh-
rib (asparagus), Macc. II, 87, dern. 1., Bait. II, 570h.
Dans Ibn-al-Djezzâr (Zâd al-mosâfir), le Voc. et chez
, plier blanc, Payne Smith 1228.
aujourd'hui mets composé de viande,
S
CI
chez Freytag (Psyllium) et dans Payne Smith
S c-c,s
1159, est dans le Gl. Manç. (j~-~-a~;
A dans les deux man. du Most.
aussi avec le
(sous1dont o o
ce sens —lsjXwî, pl. ~oJ ou (Alc.)~ (escofina
4 + + ~Q
£
;
l'auteur dit qu'il l'a trouvé avec le sln et aussi avec para limar madera, rallo). Chez Roland ~Ls-&w rdpe
le chîn. Selon le Most. et Bait. (I, 132 k) c'est un à sucre. Ce mot se rencontre aussi, sous la forme
mot persan; cf. Vullers sous ~J. que j'ai indiquée en premier lieu, chez Albucasis
188, 3, et son éditeur, Channing, en a cru trouver
l'origine dans scolopax. Ce dernier mot, en grec TzoAdirae
ou ~7xo/.ôû7rx%, désigne la bécasse, et les dict. grecs
escalier volant ou peut-être planche, Gl. Edrisi, M. ;
et latins ne lui donnent pas d'autre sens. Il se peut,
Pl. JJ&L~! ou dans les 1001 N. Bresl. IV, toutefois, qu'il soit devenu le nom d'un instrument
7, 4 a f. lisez J~L~, au lieu de ~ïL~~, comme dont la pointe ressemblait au bec long, droit, grêle
le montre la comparaison de X, 254, 4: ~L/-* et cylindrique de la bécasse, car Albucasis dit que
s~j~9 L^JLxïL-^/t, où Macn. (IV, 269) a ~L^liLw. — pour enlever les racines des dents,on se sert de pin-
Sorte de machine de guerre, scala ambttlatoria, cou-
ces «dont l'extrémité ressemble au bec du faisan»,
verte de planches en guise de toit, Gl. Edrîsî. —
Echelle, port, ibid., M. — Cf. àuLsio, sous JJ~a.
~O
X.jJb~M) (esp.) escalier, Aie. (escala o escalera).
~ÂX<~!
.Jo~a~
o y
(Macc.
~-
I, 102, 6) voyez CJ5CI voyez ~xJl&wt.
*
.by).Ji.w f scorbut, Bc.
~<t (gr.) bonnet des prêtres grecs, Bg; Vansleb 307
r,e.
°
voyez ~LaJjC~.
(esp.)
: '>**
râpe (espèce de lime), Aie. (escofina para
~sZs
/j~j\~t obscurité, Domb. 55, Ht.
* ~CI0
limar madera). Chez Lerchundi X.*~s.x~!.
U)-Y:S!4mt (pers. de OL..-' et ~QJ-^) couleur bleu de
,,
~^u•u°
~oX*wj
CI
râpe (espèce de lime),
rape )
,
*
Haiyân-Bassâm 1,
lime Haiân-Bassâm I, 174 r°:
ro: .j~
ciel, Abou'l-Walîd 217, 12.
qui est bleu de ciel,azuré, Relation des
Voyages, Quatrem. J. d. S. 1846, 519, Abou'l-Walîd
M. Lafuente y Alcântara m'a écrit qu'on ne sait plus
en Espagne ce que exe signifiait au jeu des échecs.
ou ismendji (hyacinthe)», B. d. O. A. XIII, 81. Je soupçonne que c'est l'équivalent de ~O
~jjàJ (voyez),
Xj~—~J~—t-~ couleur bleu de ciel, Miiller S. B.
qui signifie en échec (p. e. le roi est en échec).
1863, II, 3, 8 af. ^j!wî
o ~i
(t~t repas, festin,
~, s
Voc. ~S*
chut! Bc.
,
Lw' II
c. a p. et y r., pour la IIIe, donner une aumône
à quelqu'un, Voc. LwLwtstaphisaigre, herbe
J ~oÇ
O!,-t Le pl. < ,1> Diw. Hodz. 202, vs. 41.
js.ilLr.Ai.wf ? en Espagne, espèce de lis, [de Sacy Abdalla-
XJUa.-.1
~L~! (médicament, remède) pl. ~oîsLwî, Mi'yâr 6, 1. 6. tif 38 d'après Bait. I, 118 c; leçon de D; B
~=Ss
~"I , s colonne, Abou 'l-Walid 70, 16 et 17.
pl. ~yLwt (sic),L xiUaxjwî.
®i
proprement nom d'action de la IIIe forme, JaL*w&î ~(c&aCpôLXTOç)
~Suwtyc
assister; substantivement bienfaisance, charité, Gl.
,
asphalte, Abou'l-Walîd 235, 20.
Edrisi. — Hospitalité amiable, Ztschr. XX, 502. — olxÀxLc&î poisson du lac de Bizerte, Gl. Edrîsî.
Gratification, libéralité qu'on fait aux ouvriers, aux
» o ,pl~5
co~~p~e, parrain,
coinpèt-e,
-
soldats, soit en vivres, soit en argent, Auw. I, 534, ~j (ou pl. ~CKM, Bc. —
Personne qui accompagne l'épouse le jour de ses noces
(chez les Coptes), Lane M. E. II, 370, M, qui dit
(sous le chîn) que c'est un mot syriaque.
,
~CI(ou coinmèi-e,
comm e, marraine,
wc~'r<MMc, Bc. —
Compagne de la mariée, M.
~wyo
wsJôwî i
Ibn-Loyon w chez Aie. y
(esp. estopa) étoupe, Voc., Ibn-al-Djezzâr. Chez
i
~>
(pers. de
jtXti
chameau et ~jL.c épine) leuca-
canthe, Bc.
1 I, aor. il
LSI*14 ~J p.
infester, incommoder, tourmenter,
c. f
~A
Bc, 1001 N. Bresl. X, 265, 8, où semble pour ~g~l voyez &,.
=
-
(Barb.).
tum, Voc.;
pourquoi? Voc. — Jls\1" quan-
~lfii' ~Ce
e
,
voyez &JUL&1.
~o*S
~\6j&\ espèce de mouton en Abyssinie, dont la peau iulxàï
- ~oJ5
(esp.) pl. écaille de poissons, Aie. (es-
fournit le cuir qu'on appelle w ~0, Macc.
L5-1"-ey II, 711, camosa (1. so) q*^^Lo; cf. sous les adver-
t
~-
13; cf. Gl. Esp. 242. bes escama a escama). Dans le Voc. ïwcUCiii
~O est bran-
~b* (?), Most. sous ~i ° t
(lis blanc): .4^0J» xLo)«$>3 chia, ouïes d'un poisson. — Ecaille, petitepartie mince
~s*
Lerchundi.
~eI5
~L~! .L\~! ~duJ
;
O
comme adjectif; ïLôLSiJ ~.ft: alênes, Inven-
(esp. escafio) pl.
,s
banc à dossier pour
:f
~^-viî
y ~o ~t£
N'tL)S..
voyez
«
taire (la copie porte par erreur
~w,
1>
~K*êls>i). trois~a
ou quatre personnes, Yoc. Le
Djob. 63, 10, car c'est ainsi qu'il faut lire en cet
endroit au lieu du jjSL&J du man., que l'éditeur a
~pl. ,1>
chez
(esp.) pl. ~JéL&i lieu où se met Vamorce ou la changé mal à propos en par conséquent il
mèche d'un fusil, Aie. (esquero de yesca; cf. Victor). faut biffer l'article ~p, dans le Gl.
Ist&î > CI
et 8 colèrey mauvaise humeur, Voc. (stoma-
.X~)
o »oi
~»
pl. ot hérisson, Voc.
~0, oï
J~~X~
catio). (man. Ga du Holal 14 rO, Macc. I, 137, 20)
tj~tjLS~! = ~ïà galbanum, Most. ou «bhLXâJ (1001 N. X, 305, 2 a f.) écarlate; shkalat,
sous ce dernier mot. drap d'Irlande, Jackson Timb. 347.
2~AjLa~) &xJlX«wî
ou lat. scandula et scandella
(b.
(voyez Ducange), esp. escana) épeautre; speltum - où le man. de Paris porte ^5Cioi et Ga J~&L
dans la traduction d'une charte sicilienne apud
Lollo 13 ~(Jj); far et scandula dans L ~(yjj) répond
/c*X~!
;
N ~JJ), Auw.
206 c, Auw.
voyez àLdUL&i
Kj~~) est vestimentum dans le Voc. (seulement
dans la lrepartie).
;
Lane M. E. II, 409. — Pipe pour fumer, Bg (au
~bS
une altération de l'arabe u;;,t Liban, ~ti - Aiguillette (tresse, cordon garni de
,
ou Ce mot, que Golius a entendu au
Descr. de l'Eg. XIV, 25.
Maroc et que j'ai trouvé seulement chez les voya-
sittitriiiiialt,
~jL~o! ou de soie qui tire son nom
L,;3LÈ%Aolétoffe
de la ville d'Ispahan, Gl. Edrisi. On la fabriquait turmijah ;
geurs, est chez Domb. 94 us-
Hœst 153 sing. estermia, pl. stermiat (63,
152), Grâberg 49 stormie. Mul [== Stormia,~-]
aussi à Almérie, Macc. I, 106, 2. — Le O *
chez «l'employé qui prend soin des accoudoirs ronds de
Bc àlooi t~-~ antimoine, s'appelle aussi simplement
l'empereur», Pflügl LXIX, 19.
» ~tB CI
_>Zywili t OS
H~~û! ,
àlfàéol, Ztschr. V, 238.
,,-
cosa, ques cosa y cosa). Je soupçonne que c'est une
expression berbère plus ou moins altérée. Dans le
.;i, ces, celles-là, ~~bj~t lustrine (étoffe de soie brochée), Bc.
Dict. de cette langue je trouve J,S
~jjyoî jJb la patrie de ses ancêtres, Macc. 1, 529, 16. (« pas uniquement sur son autorité» ), de même 149,12.
~Jot
oW langue mère (d'où dérive une autre 2 ~oe z
— ~^ioi. ~LJ-olprimordialement,Bc.
langue), Bc. — ~*LJ! J~a~ hydrogène (gaz), Bc. —
~3eLotisane, Bc. — ~,V-o\ n'est pas toujours ori-
ginal (aussi ~v-jU^Î Bait. II, 542 a, en critiquant
nelle, 1001 N. Bresl. X, 282 (Macn. J~~!).
t~LxjC! ~J 0-..iaiu-j"), opposé à copie; il signifie ~os
J~-~-Ao! dans le sentide noble, (cheval) de race,
aussi quelquefois copie, exemplaire; voyez Voc., Macc.
forme au pl. ~jLiî (1001 N. Bresl. III, 384), ~but
(Macc. I, 801, dern. 1., , ~e (Bc
802, 8), et J~L~ sous
condition et sous race).
—
~S^\ la terre ferme,
le continent, Bc, 1001 N. I, 113.
s'appelle
,
J~o~ ai <~-') ~L\F.
t-\,
le contraire on dit s
-
r
d'une manière plus ou moins illicite (&£*-& ~*-9 ^<S")
R. N. 102 ro; pour exprimer
ibicl. :
Qualité bonne ou mauvaise, Bc
(sous acabit), plus souvent bonne qualité; 1001 N. I,
* ~« surtout noble origine,Yoc., Khatîb 14 vo (après avoir
nommé les tribus arabes établies à Grenade): ~,w3
(ou
~~<Jt)
chopper, faire un faux pas, Bc.
-
2UOJû
~Oî
1 est expliqué dans le Voc. par ofa (offa) et son ~I
~LCi
(turc), suivi d'un génitif ~sLcl ou ~xcl (cf. Fleischer
synonyme est
~0'
a.>^» , Du latin attritus, selon
ou ~Jn-S. Gl. 85), pl. oljlêî, agita, commandant turc, — exempt,
Bc. — Eunuque, 1001 N. Bresl. IV, 375, VII, 96
M. Simonet, 260, qui fait remarquer que le Yoc.
(dans ces deux passages l'éd. Macn. a ~k).
donne aussi (p. 477 gl.) un verbe atridar = &S~.
f w
,,
JJLo}:
~O
(voyelles dans A) nom d'une plante, Bait. 1, 55 i.
~jJ~!
~G«rO
~beldans
>
dans
~o'î
l le Yoc.,
e Voc., sans explication.
= ~c^iLc, Payne Smith 995, 997.
ou
sorte de graminéo, voyez Gl. Edrîsî.
os (altération d'une forme
~Jo^éî romane dérivée
posé ou électuaire, dans lequel entrent les myrobolans,
~o£
du lat. glis, en prov. glire, en esp. liron) pl. OUJ_È\
loir,Voc.
~.sWt A > ~J~î
~O
(esp.) grillon, Aie. (grillo especie de cigarra).
ro Gildemeister, Catal. des man.
or. de Bonn, p. 55: « Quomodo paretur ~Vubl e (j~~!
"j£S
(Aie.) et ~'-! o ~>£
(Augustus) le mois d'août, Si-
autre
tribus myrobalani speciebus». Un de ces électuaires
monet 237.
s'appelle vjus=u«î car c'est ainsi qu'il faut
lire Becrt 27, 11; un Sang., ~.)f =
S ~O
~XA&XI.
Voyez ce mot.
U~ (berb.) limaçon, escargot, Domb. 67, Roland, Hbrt
~035
#
9 et 9 a f., 223 med. et 8 a f., 224, 2 a f., 225
med., etc. (seulement en parlant de la flotte des chré-
tiens).
CI
&aSLOÎ poulet à l'huile d'olives, R. N. 69 vO: v^JUsâ
(J~~S'
(j~
O
y
S
~>o
S
épitltyme, Gl. Manç. vo y
fusain ou bonnet à prêtre (arbrisseau), Bc.
Calendr. 67,6.
~ÇjJ- y
—L~nSt absinthe, Most.
sous ~XJL~s! (dans Lm il n'y ou
a pas de ~-). 378, 10; conjectures sur son origine Ztschr. V, 90,
n. 2) médicament composé, Bc. — Pharmacopée, Ca-
talogue de Leyde III, 255, chez Bc oLoôbLsJ.
i # ~CI0
~oiii '* 1 chez les
~,.. ~i hémisphère, ~~f~!
Ité)nis Voc. X~~LH
Ki~~-Ui ~vJiiî
(esp. cresta) crête du coq, Voc.
Soufis, la station laplus élevée à laquelle Vâmepuisse o-oS
~XJ..S)
nu, Voc.
~m w et .c~!,
S ~C-i »il
vers chez Weijers 192. —
Horizontal, Bc. (sans voyelles). au Maghrib, bonnet haut, de forme conique,Voc.
~!
«5,o£
(latin pulegium) pouliot, Domb. 73; voyez sous (capellus), Mohammed ibn-Hârith 275: iO-bys ~ru Lis
la racine J;.
~L~~jJ~ =
, ~O5O
~~Uj~t
ou
jj,
2S.::p..¡l.;
Bait. II, 254 b.
ci
146, 389. Employé substantivement,c'est le synonyme bouctou] se nomme Akabar»; cf. 192; incorrectement
de bendj, ibid. VII, 282 (où l'éd. Macn. a ~(t/ akkabah chez Jackson 24, 61, 62, 75 et souvent
dans son Timb., et chez Grâberg 144. C'est sans
doute un mot étranger (cf. Barth 1. 1.) et nullement
~=&ypiOKxpùxflOv, Simonet 234; chez Aie. (berro yerva) ~,
le pl. de l'arabe —~-~, comme l'a pensé d'Avezac
uucuriôn. (J. A. 1. 1. 385).
~<
~(gr.)oxymel,1001 N. Bresl. II, 101 104 (= Maen. ~~X~t
(-- Macn. b,
.t
11, 101, Freytag), voyez Bait. I,
e
(chez 73 294 a;
I, 189).
,
dans le Most. N O ~^OÏ
LaX+a^ î (très-corrompu dans Lm).
- ~Joi
liseron, liset, Bc. le mois d'octobre.
5 ~oS
<.~S! (Freytag) appartient au dialecte du Yémen, Bait.
,
2 )CI!
l5jŸS' poisson qui paraît en octobre dans le golfe
de Tunis, Becrt 41, 10 a f.; aujourd'hui le poisson
qui y paraît dans ce mois, s'appelle cltelba; c'est
II, 465 b.
une espèce de dorade, de Slane.
~,fI
~#~Sy ~toi(pourX.ijijiSS)
m 9O!!) m~M
J! (pour Xj.j atteint les ~'ct~ers
maladie qui a«e~t< étrangers
~J*
« ~S
(roman, Simonet 253) pl. oi aiguillon, Voc. à Tuggurt en octobre, Carette Géogr. 247.
9 o.., ~0^1 ~<.
i
district, étendue de juridiction, Gl. Edrisi, pro- voyez
s
vince, Bc. ~~a~ l'Egypte, «Xuuaîîj»—xJLsi (jài.JvXS'î
voyez sous le 12).
Haute Egypte, ~J,UaA«jJî
# O
LA~JS! ~Ia+aIs(KxàfAelx)cadmie, Most., Gl. Manç., - pommette (ornement en forme de petite pomme),
,J~ ,l pilae marinae, Bait, I, 74 b, qui
) i
* «• ~g
Bait.
ou
I, 43 a et b, II, 314, Bc.
Bc. - 0,
-~0 :i,
~ît - ~oS
(berb.) instrument de musique dont on se sert
249 (= Bresl.); j'ignore ce qu'il faut entendre sous
cette expression.
en Afrique, Macc. II, 144, 4; c'est un tambour de
~iVt grand héliotrope, tournesol, Bc, est un terme qui
terre glaise qui a une peau tendue sur un seul fond;
voyez Hœst 103, 262, et la figure Tab. XXXI, no appartient au dialecte de Nedjd, Bait. I, 75 c: C.;r_
9; il écrit ~JYt.
VII se manger, être mangeable, 1001 N. Bresl. IX,
~Lj~. 296,8.
jy&J! (var. ~piH), lisez
VIII (vulg. v}wXjI et ~YÛI)
se manger, être man-
~U>/' l.S4Js'f,
terme dont se servent les Persans
ou geable,Bc.
dans les 1001 N. pour confirmer ce qu'ils disent. o£
~O
J~!. <~<~! ~Wt remords, Bc.
Il paraît être du persan corrompu; voyez Fleischer
Gl. 69 et son édit. des 1001 N. XII, préface, p. 92. ~O-oS
t
~lUS repas, Bc, Hbrt 11.
-
Pâture, Bc. — Man-
akrecht ARNEB paronychia, Prax R. d. 0. A. IV, 196. geure (endroit mangé d'une étoffe, d'un pain), Bc. —
Ver rongeur, remords, Bc. — Cancer, Domb. 88, Bc;
,
Î
îI
~s
La~iJLS-
oi
~J~~t
o ~;b'f~,1>mèche, J. I,
en ce sens (cancer). — Gangrène, Bc. —
[
pl. A. 1850, 246, 247.
Chancre, ulcère, Bc, Ht.
-
~Cét (gr.) oxygène, M. s,CIl
~YJSI terres du beylick occupées, à titre de béné-
~, ~CI
voyez plus haut sous
(j~L>~. fices militaires, par des Turcs, Dareste 87 (cf. Lane).
~35
1 •r -of
~t 1 au fig. corroder) ronger peu à peu, miner, con-
XJLSi
voyez
~JLIIcorrodant,
~aJ^I.
Bc, Jackson Timb. 325; de même ~Lyto Yi XliS Jil, pas, mais qui mord en silence, van Kamebeek dans
la Revue (de Gids» de 1868, IV, 141 (Jakuloskud,
être battu, recevoir des coups, Bc; ~K
Si, Daumas «qui mange sans parler»).
V. A. 480, 2 a f.; Lan ~KjU Ji il a reçu cent coups
~»oi
~Mt
de bâton, Bc.
par regret, Bc. —
- ~LstAi jsï se mordre les doigts
Yi succéder à, hériter de,
pl. tiUlJ'i tablier de taffetas des femmes, Bg.
Bc.
-
.4~X~!~K<L*J~ U>UJL^t vous nous avez bien
fait swer (travailler), Bc.
,
III (au lieu de la IIe) donner à manger, Voc.
V être
V rongé,Bait.
être rongé, Bait. 13 I,I, a:
a:~-LJ!
13 -<ex
v_jLyul ~ot<
r--Ut pl. ~b tapis, Bc; oUlS" espèce de tapis, Deser.
,3,~a:
~J^L-aJÎ
Cr Igfoô -. — Incorrectement, actif c.
de l'Eg. XVII, 388.
~I. ,
(car c'est ainsi qu'il faut lire) «ce contre quoi on
peut le prémunir en le buttante (Clément-Mullet).
ils n'osent le faire avec serment», Bc. — -:jt, ouf
~•
ou bien, voyez mes remarques J. A. 1869, II, 185,
,
9 5>
la visite sacrée dans le mois 186. «
-alors,~ojt, o
suivi de ~U mais mettant cela à part (de
côté), Fleischer sur Macc. II, 824, 1 et 2
de Bedjeb, ainsi nommée parce qu'elle commence à
Berichte 206. — ~Îl dans une phrase négative, au
partir d'une petite hauteur qui est en face de
la mosquée d'Aicha; voyez Bat. 383. I, lieu de ~e
comme on dit plus ordinairement, Ibn-
«t~M! buglose des bois, Bc.
courage I Bc.
trement (si non, sans quoi), Bc.
~m
~r '-5*' «
loin de moi l'amour! Certainement l'a-
«loin
~(jàlL
9 ~-
(j~*~!
1 a
déiste, Bc.
)f
mour blesse». A expliquer par une ellipse: SfU, (turc) truite (poisson), Bc.
: , ~-s (turc)
A~*~!
~Î; ft~* Lo (ibid. n. 1). Aussi isolément, p. e.: «Me bariolé, Bc. — Etoffe de soie rayée, Bc;
connaissez-vous ?;réponse ~Slil»,
certainement,
Descr. de l'Eg. XVII, 308: (des étoffes de soie et
Bc. — De même~-SS"
ou ÎU, dans des phrases comme ;
coton de deux qualités, l'une appelée alâgâ Châmy,
et l'autre, alâga Hendy» cf. Browne II, 264; étoffe
en coton, Ghadamès 40. I..S,W' X—>~! étoffe assez
pas, certainement je marcherai contre lui»,Valeton grossière en soie et coton, Ouaday 337, cf. 341.
69, n. 6 (cf. H, 1); Fakhrî 372, 2; R. N. 98 rO: t~sL~/J! sauge (plante), Bait. I, 77 b
(ÈÀEÂ/a-CP",xoç)
(qui dit avec raison que les deux premières lettres
vas pas, certainement je te crèveaussi l'autre oeil» ; sont radicales), Most. Pas à sa place chez Freytag.
J
1001 N. Bresl. IX, 345: ~jJLxJ L5-lïèï M (~0~!
«si tu n'ôtes pas tes habits, certainement je te tue»;
:
sapin, Bait. I, 78 c.
8
1-
voyez aussi sous <~ VI;
Ztschr. XX, 487, (~A~3! (gr.) linaria elatine, Bait. I, 76 b, velvote
ou
élatine, Bc; ~Sô (~L~! véronique, Bc.
craignais de devenir trop long, j'indiquerais certaine- (turc)
appareil, cérémonie, pompe, Bc; (~~Lj en
ment les titres de tous ces livres». 3 ~'Îl signifie grand cortége, en grande pompe, Bc. — (J~L=- ~(
aussi certainement, p. e. Cartâs 118, 5, où il faut héraut d'armes, Bc.
Régiment, Bc;
-
Èi,%.A c..5";)' batterie, Bc.
colonel, Bc. ~( ~! -
~aJÎ II rassembler une armée contre quelqu'un c.
p., Nowairî Espagne 466, Ibn-Khaldoun man. 1350,
J
mais, cependant, Gl. Edrîsî, Gl. Belâdz., Bc (sous
IV, 3 vO. - ~{yis v-JI exciter le peuple, le pu-
cependant) ; de même ~"if seul, Macc. I, 154, n. a,
blic, contre quelqu'un, Autob. 231 vO: ~J& yqjL;
Bc (sous couper), et 5 ~Sil, Koseg. Chrest. 89, 5 a f.,
-
~<jo
~oJî CJ'8 ;::>,
Pl. du pl.
~ols^L par milliers, Bc.
ou
—
jt4a
!
Uu'
-
~à
mais
~tlf. En lisant, on prononce *JS>\ 11, mais le vulgaire prenelle chez le peuple en Espagne, Aie. (pinpinella
dit ~gJi, M.
~-AJ! 1 s'apprivoiser, Bc. v_^JL*iJî H~ ~_;
ainsi dans A; B ajoute ~^IJLO après
\.JJ', mais sans nécessité absolue, comme le prouve
II (chez Aie. et Bc v_àJj dans toutes lesaccep-
tions que je donne sur leur autorité) apprivoiser, Bc,
Ht, Hbrt 66; accoutumer, Ht, Hbrt 66. — En gé-
néral préparer, apprêter, mettre une chose dans l'état
convenable à l'usage auquel on la destine; le sens 474 e) ou %-e)e ~0J' (Aie. milhoja verde) mille-feuille,
particulier est déterminé par le substantif qu'on joint et aussi Stratiotes sauvage (Bait. 1. 1., après avoir dit
à ce verbe. Ainsi en parlant de viande, c'est assai-
sonner, accommoder; en parlant de bois, limer, on
~cS
raboter, ou travailler artistement ~(xxJUsit -JJyo t.~->-,
Berb. I, 412, 2 a f.); en parlant de cuivre, battre; ~uut Paroles de Mamoun: uJ', 064 -c 0JI3
en parlant de verre, facetter, tailler à facettes, Gl. ~! a
Edrîsi. — En chimie, amalgamer, ibid. — Orner, avec la traduction: «Hic est satio manus meee et
disciplina meâ excultus», Gl. Fragm.; mais je suppose
parer, Aie. (apanar ataviar). — Forger (controuver),
Bc. — Renfermer le bétail dans l'étable, Aie. (apris- que le mot a ici sa signification ordinaire, celle de
compagnony et qu'il faut traduire:«mon compagnon,
car). — Commander des soldats, Aie. (capitanear
gente). — Débaucher (entraîner à des parties de mon égal, en savoir-vivres. — Coll. amis, Gl. Mosl.
~GS
plaisir, et aussi: faire quitter le service de quelqu'un, ~olSî. s:4 \JJt A.B.C. (petit livret de l'alphabet),
embaucher), Bc. — C. ~c adapter (appliquer, ajuster
;
ne
de l'Ego XIV, 138, où il est question de la ~xJ
wâhid 121, 9: &j~s ~~L~!,en parlant du printemps,
~(XXj)
où est saison; l'auteur parle de l'égalité de la d'une jeune fille. — .-&J~ .;=:-L:i un marchand
température au printemps, et ~u)Wi est l'opposé de qui possède mille bourses (trad. de Lane) , 1001 N.
~>.~ dans la phrase qui suit. Hoogvliet (150, 3 et IV, 640, 9, 683, 3 a f.
n. 185) ne me semble pas avoir saisi le sens de ce
passage.
~J'lisynthèse,
~JJâ Bc.
synthèse2 Bc.
X c.
~s,
iLsuJCi
t,
pièce (ouvrage en vers ou en prose), Bc.
a. p. chercher à s'assurer l'amitié de quel-
9
.~jLt synthétique; ~LdLJlj synthétiquement, Bc.
~L ~Lx~, AkhbAr 68, 2 (= Bayân II, 44, 16), ~O# (pour \-&~Lj) embauchage, Bc.
~e-<*
orateur, Aie. (orador que haze oracion). — V seproclamer Dieu, Macc. II, 131, 2 a il -
Râpe (espèce de lime), Aie. (escofina). — Embaucheur, Déifier,Voc. - Voyez plus loin
~6£J¡,
~&JU.
Bc. - ~<~~
v_5yLo
forgeur (qui controuve), Bc.
Xe~!
~s, -
,Joa,
déesse, Bc.
s j>i Ibn-Ehaldoun
auquel on est accoutumé, qu'on mange ordi- (> Ibn-Khaldoun etet d'autres écrivains
écri.vains maghri-
nairement; Auw. I, 67, 9 nomme le riz parmi Y-ML,
K~!LM.
-
~AjJ!~< doit avoir un sens'qui ne m'est
bins oublient quelquefois la règle qui prescrit de faire
.JJ! par la ,
,,
suivre le mot particule p. e. Prol.
pas clair 1001 N. I, 365, 7.
~S,l,
I, 11, 1. 13, 402, 2 a f., 403, 11.
~sJtxîyA (homonyme) se dit d'un i8ndd dans lequel ~Ois-
~bJL;¡ amour-propre (proprement Vadoration de tosoi-
le nom d'un des rapporteurs s'écrit comme celui d'un même), Prol. I, 300, 7, II, 293, 4. Mais dans le
autre rapporteur, mais se prononce différemment, de passage Berb. I, 641, 3 a f.: QLOAÂJ!
~L,
.,JL;.:.H, (dans
Slane ProL II, 483.
il faut lire ~Ud~ (cf. Lane
,vulg.
notre man. 1351
, 0,,J¡
éléphantiasis, sous ~&il V).
Aie. (elefancia dolencia).
o °- ~Ju
~vjUî V
et VIII chez les poètes briller, en parlant de pour illic,Voc.
fleurs, (Ve forme) P. Abbad. I, 24, dern. 1. et 32, ~(^î. , S
Quand cette particule a le sens de jusqu'à, on
n. 106, P. Macc. II, 409, 3, et (VIlle forme) P. 5
Macc. II, 371, 3. y joint quelquefois la copulative, p. e. Bidp. 243, 2
(i;.£/j/jj) pariétaire, Payne Smith 1016.
~J,' est répété,
~~J'~i espèce d'exercice militaire; voyez J. A. 1848,
(comme en hébreu ~"1V1—^o).
— Quand
il signifie jusqu'à — ou jusqu'à, p. e. Maml. 1, 1,
II II, 221.
~f
~t (olmus)) orme, Cherb. C.
(olmus
C.
affliger, faire de la peine à quelqu'un, contrister,
mortifier, Voc., Bc, torturer, tourmenter, Hbrt 214.
V être supplicié, Hbrt 214.
I,
~Oou
il
465, 11: on n'y fait attention ,.~e.
Sy-
après, p. e. Akhbâr 44, 8: ~olo
mourut peu de jours après»; P. Macc.
-
~J,' ~1
~J
«que
Bc, chez Hbrt 153 ~)'jt seul. — ~!
Ktt~-> le vendredi
longtemps après». — Selon, eu égard à, à propor-
saint, Bc. -
~)'jt a—P. grenadille ou fleur de la
Passion, Bc. — ~ait 41 éclater, montrer son ressen-
tion de, p. e. Prol. II, 48, 15: ~(J"?J' ftw')
timent à découvert, Bc.
S
~0,
(b.Adji (t. de marine)
d'arrière, J.
~«. oJS
~&^UJÎ
~jo»S
~~-~L~!
espace vide en avant du
A. 1841, I, 589.
~gj, Macc. I,
gaillard
Quand on parie,
^'•sLè^iî ~~-tï
~ycaï
~J.t
~JJt
II déifier, diviniser, apothéoser, Bc. (aussi dans Frey- etc., voyez Fleischer sur Macc. I, 310, 3 a f. Be-
tag, mais comparez Lane). richte 181, 182. — ~W atteindre, parvenir à,
p. e. Tha'âlibi Latâïf 68, 7, où Ali dit pour prouver
que les hommes deviennent plus petits de génération
I,
Prol. II, 401, 5, ou oLgAtft seul, Prol. II,
351, 3, 15, 401, 8, Mohammed ibn-Hârith 220, en
565, 7,
voyez encore
II, 400, 1;
ou ~L~*~
w
;
bécassine, 185.
je vais, j'irai, a été supprimé. — Sur les phrases
- lézard,Yoc.
;
- ~O9
telles que~La t~i~ voyez sous Le. ~j~~>.
.!Õ
~~J! vulg. pour qui, Bc. - rossignol,
:S-J' Yoc., Aie. (ruysenor), Domb.
24 ~CI1
~f=
~S 01£
~t~~!~ H?! bois d'aloès, P. Macc. II, 776, 15, avec
61,Daumas V. A.
Hbrt 67. Dans L
432 ~~,-
,.-j<<~J~ rt
~rt Müller
est filomela (irundo), et
mI
la note de Fleischer Bcrichte 195. on sait que hirundo signifie hirondelle. Chez Pagni
~&*Jf.
S ~,01>
~t~
~- :o~ les Pléiades, Dom 47.
~-,-6
MS (Humelassèn) c'est calandra (espèce d'alouette).
~JiliS
~~*~Jt — ammi (plante), Bc.
~r,"
~f
~CI
ellipse (t. de géométrie), Bc.
oî
CI!>
J~JL:*
-
(ou J~i~ ~rt) moule (petit poisson enfermé
dans une coquille), Bc (cf. sous ostracé).
vulg. pour nonne, Voc.
~r1 ~~j~.t, EJ) t-
chez Freytag; Bait. I, 309 g donne
1 c. y
p. être imâm en même temps qu'un autre, Xju~, au lieu de ~xj~.
être son collègue dans l'imamat, Freytag Chrest.
118,13. XjOjJî, - Marrubium vulgare L. et aussi Marru-
Si
ri exemplaire, copie, Yoc., Most. sous ~»L —j:
bium alysson L., Prax R. d. O. A.
plante s'appelle aussi marroubia (ibid. 346), dont
VIII, 343; cette
~rt
K~J! est sans doute une corruption.
id. sous ~Ojaprès avoir cité un passage d'Abou- ~qLwJW
- sorte de poisson, YAcout I, 886, 11.
~.15
~& rt sorte de verroterie, Burckhardt Nubia 269. ~MI chemin, Voc.
-
s~rLAt
pt. -
I
~O*
poisson du Nil, Gl. Edrist, Ztschr. für II,
l\axc Kj~~ ~rLot le pape, J. A. 1845, 318.
agypt.
ägy Sprache
Sprache u.Alt.,mai
u. Alt., mai 55. Aussi
1868, p. 55 ~ri
~rt
B
~jùoLot bouquin de pipe, Cherb.
oS:!:
~*0*9
~SiXaac, même Journal, juillet 1868, p. 83, Seetzen -
zUx-xt. Le pl. riul, Kâmil 274, 2 et 3.
III, 498; ce dernier dit que ce poisson a des men- 5 -1.'
~~<! maternel, Bc.
strues comme les femmes. Vansleb 72 a Abeide parmi
les poissons du Nil.
~ul-
9 ~',z,
M-~L< sous la direction d'un imâm ; J. A. 1852,
— cloporte, Bc.
~0,y
-= ~o
«.
~U*z ri, sauterelle, Gl. Fragm. 62.
tandis qu'un autre que lui était imâm»; R. N. 77 rO:
il avait promis de prier pour le défunt, mais quand
on voulut procéder à la cérémonie, il s'y refusa en
parmi les insectes, Man. Escur. 893. s'en déclarant indigne; on lui rappela sa promesse
<')~L&
- épine-arabique, Bc; nom que le peuple
~O
40 Bait.
donne à l'arbre ~^JLb, II, 163 b.
q^LJLc
-
diablesse invisible dans le désert, la-
quelle enlève les trainards des caravanes afin de jouir ~taî
~lu
de leurs embrassements, Burckhardt Syria 452, qui quel? quelle? Bc (Barb.).
9 ~,1£
de
écrit Om Megheylan, et qui dit que le mot dérive ~—'Loi
,
la distance à laquelle un arc peut lancer une flèche,
Amari 334, 6 a f.
~CI,
-
Q-ftii
Jif *r.t*
rhinocéros, Bc. <~~M~Le! amarante, Payne Smith 1013.
< H° <
voyez la glose dans de Sacy Chrest. ..J~Lo! (Bait. I, 81 b) ou
~j~Let (Most. sous
II, 379, n. 52. .-~3~) ~9Oo amarante.
est une altération de ^Lij^Lsî,
<~A~S — chouette, Bc, hib.ou, Sang.
~3—voyezOijji
~Lx~!!
— dans le Coran III, 5, signifierait, selon
Jes Prol. III, 45, 11: la majeure partie du livre,
xdlêj &~u~9.
- La science ou prescience de Dieu,
de Dioscorides. M. Simonet m'apprend qu'une note
.!
Lane M. E. II, 255 n. marginale du man. de Tolède de la trad. arabe de
iJùJi - pansu, qui a une grosse panse, Bc.
~03, et qu'on lit chez Ibn-Loyon, 34
- hibou, Daumas V. A. 431.
rO:
~Jj&a
- bécasse, Hbrt 184.
(JNW'
du Soudan,
- Prax
arbre dont la résine noire est l'encens
20, 21, R. d. O. A. XIII, 83.
«Axiol t'::?' - nom d'une plante, voyez Bait. I,
82 b. - avant-Mer; X~.L~a) XJ~t avant-hier soir, Bc.
~o£
«wAAJUûÎ
— matrice, Bc. — ~~j! alambic, Bc.
~*u4) (sic)
maman, Bc. ~Owoî
II à quelqu'un ajournement,
9 -i' c. a. p. accorder ~tin
u-::' laïque, Aie. (lego no sagrado). une ~surséance,Yoc.
~oS
C)L'yî.lN^Î Çalât passim. — ~am ~.;A' (proprement le décret de Dieuf
nom d'une plante, voyez Bait. 1, 80 c.
ou (voyez Lane) le châtiment de Dieu) la pe8te,
~.Af I. à ,3..tt' il ordonna de lui donner, Ictifâ 165 vo: Mouette 402.
M ~01£ impératif,
c..5.;At qui exprime le commandement, Be.
Congédier, Aie. (dar licencia). s
II conférer à quelqu'un le titre d'émir ;
de là ..t',. »
~SE
s
j-A~e! chevalier,
— marquis, — pair, Bc. — ~7
portant le titre d'émir, Gl. Edrîsî. — Donner à celui ~A~!, voyez sur cette dignité Maml. I, 1, 3. —
*
IU^•Uo ijwc iiîi Mais ~c,5
~oS
— Signe, marque,
-Pl.
r""Loi signal, Gl.
Esp. 141, 142. — Signalement, Bc, Roland; ~Ja-c!
~ijjt signaler (faire ou donner le signalement), Bc.
qu'une personne apporte en nais-
sant et qui est regardé comme un heureux présage,
242, 12, Berb. I, 393, dern. 1., l'anonyme de Co- Aie. (senal de virtud en los ninos), Cartâs 193, 15.
— Cri de guerre, Prol. II, 156, 8. —
Convention,
accord, pacte de deux ou plusieurs personnes, Amari
Dipl. 63, dem. 1., 64, 1; on trouve une YUSI ~XAAS) fier quelque chose à quelqu'un, Voc., Bc. — C. ~crb
dans le Formul. d. contr. 10. être à couvert dey se mettre à couvert de, Bc.
~Xj-yo!amirauté (dignité d'amiral),
~Os ~35 Xj~~ assurance, sécurité, état où l'on est hors de
j
6 et 7 dit, selon le man. de Leyde: .,.::>' çgà &-JLx~
yAjwwoî
G<
avant-hier, Voc. ~0;0":iy. Comme onne peut pas lire .ye~UL, attendu
w o ~5 qui est de la veille, Bc.
t~*~! que le 0,.-0':» a déjà été nommé et décrit 1. 4, le mot
O.,,-ot, si toutefois la leçon est bonne, doit désigner
s ~toi.
prêle, queue-de-cheval (plante), Bait. I,80 d; une espèce de cédrat.
s'écrit aussi Bait. II, 599 b (ABS), 604d s ~S
..-jue! vérificateur des poids et mesures, Aie. (almo-
(AB).
(J~ ~CI]S
(berb.) chat est en usage parmi les Maures
tacen, fiel de los pesos, fiel de las medidas del pan).
— Architecte, celui qui a l'inspection des bâtiments,
d'Alger, Ztschr. XII, 182. Aie. (juez de los edificios == yj.,\yr.), Çalât 45 vO:
J(berb.)
» CI ~oï
menthe sauvage, Domb. 73.
~toli etc.,
voyez Gl. Mosl.
~! II c.£ r. désirer, Gl. Fragm. celui qui règle la distribution des eaux, Yanguas II,
432, 7, Adic. 358, 359. — Chef de corporation, Hœst
V se construit avec l'accus. (Lane, Voc.), et non 144 (où il faut substituer ,
à ~qLo!) Pananti II,
pas avec ~Cy., comme le dit Freytag; dans Bidp. 14, 65, Het Rijk en de stad van Algiers (Amsterdam, 1830)
1 le ~oA signifiie à cause de. Bc a la constr. avec à. 42, d'Escayrac 176, 1. 1, Daumas Mœufs 150 n., Car-
g ~Jt-
Oj-ol* intention, volonté, désir, Ht.
~et II c. a. p. r. confier une chose à quelqu'un,
et ~JLc
Voc. — Chez Aie. seguir acompanando (qui est assequor co sont les ~-j~ ilJLaî d'Abd-al-wâhid 207, 2 a f.
chez Nebrija). Je ne sais comment cette expression
peut s'accorder avec les significations bien connues - Intendant; <~—4-~J! ~f intendant des douanes;
de ~d't
sUL~~!fT~ surintendant; .~Ljm ~CAAI cellérier, Bc.
Y jouir de sécurité, Voc., Amari Dipl. 227, 9, - qU-tI.wlî trésorier dtt sultan, Charant 49;
~~J~Jj~J! t*r~~ caissier, Bc. — Percepteur, Grâberg
228, 2af. 210; au Maroc on trouve dans chaque grande ville
VIII c. a. p. et ~I-r- r. confier une chose à quel- ~i
un chef des percepteurs, qui s'appelle sLjL~ ~f
qu'un, Yoc. Pflügl LXIX, 23. — Le chef de la déchera, Daumas
Kabylie 48; s;U.A"jf ~~a! le président de la djemma
X rendre à quelqu'un, après
c. ~ci.' p. (cf. Lane) se
et le chef de toute la tribu, ibid. 49.
avoir obtenu l'amân, Akhbâr 16, 2, Amari 228, 10,
Athîr YII, 3, 1. 5, 69, 3. — C. a. p. et ~e r. con- *
~G
z.:..jl..Ai discrétion, Gl. Badroun, cf. Gl. Belàdz. —
9 ~E
Indifférence, Gl. Mosl. — La fonction de Q-y«i, dans
t pour
~o.
~'? ~OE
~cil ~il, Prol. II, 308, 10 avec lanotede
— a
les différentes significations qu'a ce dernier mot, M. de Slane. — Voyezsur ~ot avant un prétérit dans des
p. e. la fonction de vérificateur des poids et mesures, phrases comme l)"'Wi ,3 I..S.)U q!»^o\ ail lui ordonna
Aie. (fieldad oficio del fiel de los pesos), la fonc-
tion de chef de corporation, Macc. I, 589, 19, qu'il fît cette proclamation", vOtf' 0' <~~t Fleischer
intendance, fonction d'intendant, Bc, Mohammed ibn- sur Macc. II, 485, 2 Berichte 71.
~O
t*)* ~ot,
~s
- ~CI soit — soit, Meursinge 45, n. 196, 5 a f.;
ge, Bc.
~O £j
~OycLa
, et ~j~La
>,,, sarriette
rc. (ainsi nommée 0
~Cr
~cîo
~^pbLJ
II B
qui prononcent ~àoJS mais le Voc. donne
~l^dj'iê), Sang.
1 - 1 avec le participe
~wî )
aSOUS gemidor el que mucho
gime). Le Voc. a (jrj-TaJî ~rT
sous amittere; mais
je crois que c'est proprement: pleurer la perte d'un
Mcrw; elle est extrêmement sucrée et de couleur rouge,
Bait. I, 146. Peut-être emprunte-t-elle son nom au jeune homme.
;
calife al-Mamoun. O ~us
~QUI. En parlant d'une femme mariée, ~KJLit si-
~«5S ~Jt.
w
Xju~Le (cf. Lane) massepain voyez le dict. do Vul-
lers; 1001 N. II, 67, 11; en esp. «bollo maimon» si-
gnifie: ((massepain aux confitures».
1 Lit quel? quelle?
Bc (Eg. vulg.).
/4~'
o ~*B
(b. lat. amignus, Simonet 250) espèce de chaus- Çj;,c
K-ôlii égoïsme, Bc.
sure, L (calige
~JSLMÔJ ~^jjJooî),
~Oû~E
Voc. (sotular). ,
~s
fj~~AjL&L))
anagalUs, mouron, Most., Bc.
,>
~Uwj > ~-E
(ou ~(_",) anagyris, bois-puant y Bait.I, 83 c,
Bc.
xijJôt, r)-A-~ ~j., taie, pellicule qui o ~>ai
se forme sur L-^xiî t'Il-3.
l'œil,Bc. voyez sous
oS
» E ~)Wf (grenier) pl. ~uDI, Bat. III, 148, ou ~jjliî, Bc.
?
O~T~* (de l'adj. latin cette plante ayant
amarus, un
,
~>û'vu
goût amer, Simonet 250; esp. almiron et amargÓn)
sauvage Gl.Esp.166,Auw. 365, II,
« - ~«•oE
~O
~.A3L~*.i! sorte d'étoffe de laine grossière et velue,
~t
chicorée
~CI
jL~Ut~O terre à potier verte,
ont péché contre la grammaire en écrivant X L-X-j!
;,
très-belle correction de M. Simonet, il faut lire JSUJUJ,
l'esp. entenado, qui signifie précisément: beau-fils,
celui dont on a épousé le père ou la mère.
« ~toC
L~j~î endive, Bait. I, 96 g.
«<~
Syria166.
) ~oS
ant-imoine, Bc.
Hid âz
de ~Hidjâz
: AB
de AB) est en Espagne ce qu'on nomme ailleurs terre
(CjL. ~L;, ce qui suit chez
;
Sonth. «von Damaskus», est une lourde bévue la
S
antimonial,
y ~ofi phrase est terminée et Bait. cite l'auteur ad-Dimachkî)
! II.jf
Bc.
U être
~tcj
~-ci
et on l'y emploie au lieu du bol d'Arménie. — ~ür
~~—~
~-~.t efféminé, Tha'âlibî Latâïf 30, 3; .L~~! tormentïlle (plante), Bc. — Chez le vulgaire
t, , c'est, selon le M (sous une altération du turc
viA-ôbCj, d'une manière efféminée, Aie. (mugerilmente).
oi.* : qui
,;4::F¿, pauvre, misérable, à Alep JL.S~.; il aurait dû
~L5:bi.
~,CIl
dans l'autre, DJob.
L.,;b ~LgZi l'un Djob. 195,
8; Wright a cru qu'il faut lire ~Lzi à ~liJ, comme
dire
dire:
dupers.~(y
du pers.
lant, manœuvre.
j qui gagne sa vie en travail-
2
agrafe (cf. Victor: «corchete macho y hembra, crochet ~L~\j! (f~M~~M~~-~~(j~L<J~
~CI:6 ~a
diacre, Bc. —
et portière, uncinello maschio e femina»). - - a
Evangéliste, Voc.
~jul&t femelle, Bc.
~6--5
parlant de fer (voyez Lane),
~ïolii non-seulement en
comme le prouve Macc. II, 84, 12.
~V-/ ~©
.wü'.i- ~»
~Lm4e
~•*
~CI,.. iUioJûl gaZon
s' *
~o*
U.il honnête,
bienfaisant, humain, Ht.
politesse, Macc. I, 891, 9.
I, 607, 2af.
,
privé (animal), Bc. — Révéré,
|
~©oi ~J~JLe domestique,
consolation, Aie. (consolacion, solaz o conso-
~UMjf
consacrépar la dévotion, Maml. I, 2, 252.
lacion). — Divertissement, amusement, Voc., Berb. II,
129, 9: sa sœur lui envoya (j<<J~!~ \~A~jd! e~J! «et
tout ce qui pouvait servir à l'amuser».—Quand on
~• «»<»#,vulg.en Esp. pour ~G * moi-
I, yci
Cm ~u-i'
2, 252. — UJUJI nom d'une plante, Bait.
l'instrument de musique appelé ~Qyô* voyez Lane M. ;
~f-oS %-bil
~9
E. II, 78. —wiXs»!
I,91b(AB). busqué (chanfrein), Bc. —
,CIl. (esp.) KA4~J~ moucheron (bout de mèche de chandelle
K.,ii once (animal), Aie. (onça animal pe-
qui brûle), Bc. - J"?~ \~J~ Ântirrhinum Oronti-
,-
regrino).
Km,34
-
S ,1>
K.v.ài civilisation (état de ce qui est civilisé), Bc;
honnêtement, Bc.
um, Bait. I, 89 c.- \~RJt ~(~c ou ~~A .~-c. ~J~
;;¡
au nez de, à la face de, en bravant, Bc. — ~&Âif
-s ~2-s
.~f~
~J).
~0
~S o
Les formes du pl. ~o ~iii
Freytag sont fautives ; il faut ~'j! et
et chez
Ztschr.
donner sur le nez, mortifier, Bc.
casser le nez, ne pas réussir, Bc.
~y ~<~3!
A.i.j' se -
~>
£
XII, 81, 0' ~w
n. 39. — En anatomie: ~,.= ~J~ ~-*jL~
, \~aj! ~01£
==~&3! primitive, Gl. Mosl.
0"
~~àyp ~CàJt, Gl. Manç.
2
i.ÏÏ~cS nasal,
~5*B
Bc.
X~ sociabilité, Bc. — Politesse, manièrespolies, \~aj~! doux, en parlant d'une gazelle, 1001 N.
Bresl.III, 332.
,1, CI~* \.JJlÃ.w..tt
\~jLX~ dans la suite, plus tard,
Gl. Fragm.
~oWt.
~9 ~? ~Juif
~9 ~Of
Le fém. ~XiLmJt se trouve dans des vers est bien une transcription de ~ôu&xxiov, mais ne
signifie pas uvœ acerbœ, comme le dit Freytag. tel que moi pourrait-il s'exprimer avec élégance?»
En grec et en arabe c'est de l'huile d'olives non en-
Abd-al-wàhid 125, 13 et 14. — jÀ L J~ ~"jJ
,
~-P <-A-t~; encore une fois p. 264, où l'éd. Macn. ~-PÎ abréviation pour LEEZSI, éd. égyptienne de Macc., etc.
donne de nouveau ,? ~tSf.
~'0' Selon Abou'l-Walid, 169, 3, le n. d'act. est ~K-P!,
o-»*1 (pl. avâquin, 1. anâquin), hanche, Alc. (cadera avec le dhamma.
o quadril), semble formé de l'esp. anca, ou plutôt
9w
de l'augmentatif ancon.
~~3! ; -9,o'~
~iUPÎ (pour
~CI. l'armement d'un soldat,
»~',a°s
est écrit dans le Most. sous ~wwwt sous jjtXwsS
La a d 'l N. <~j!.
0
XAIXJI (j*~X.~t très-grand arbre à feuilles épineuses et piquantes
sentine, Voc.
qui vient du Soudan, Richardson Sahara II, 255, qui
,
~tL'~XJ!
anchusa, Most. sous ~JL>. écrit le mot en caractères arabes.
~têt
tj~XJ! (esp. langosta) langouste, écrevisse de mer, Pagni
~! II. Il l'en jugea digne n'est pas seulement &JL
£>t
Berb.
~ou
~<V
9-
~8otcultivé y
KjJL~! alliance,
J~P!
I,
voyez gJLJlS'U
~JuJ~ coll.,
en parlant d'un arbre, l'opposé de
~0? sauvage, Auw. I, 225, 16, 419, 23, 423,17,
-parenté, qua-
9
~-eL~,
s"'-",
~uut.
~(N~y»).
(;-,'
JL>3t,
= ~4o5,
.,
&p
..,.,
(esp. uvas)
1
jP
Gl. Djob. — Tente,
il est sur
Jong, Gl. Fragm. (cf. p. 129), Cout..
le
Be.
point de mourir, de
5 ro:. à ~Sï
c'a.,
^JUL5>Î JL ~O
,
et £NJLd$>l.IIll
572
,
~SL>~ un page, Maml. 1, 1, 108.
~jÀo\
, ~O6 (myrobolan citrin, Bc),
;
bolan chebale, Bc), 20
;
nom d'unité X^vJlS'î Akhbâr 102, 2; chez les voya-
geurs hegligg ou heglig, Ouaday 358, d'Escayrac 79,
hydromel, Sang.
~«o»oS
Browne I, 377, II, 42. Une autre corruption est tj~JL~j~t persil
sauvage, Most. sous ..j~JLM~M.
~gJLP chez Aie. (mirobalanos especie).
— En Esp. ~led)3
(les voyelles dans N) lis blanc;
blanc il en existe ;
deux sortes «..5ftJt, .Aj~J~, Most.
~.fJ' 0~ on sait que le myrobolan est ~oli
~j»^t
rue sauvage, Domb. 73. Ce mot est d'origine ber-
gros comme la prune. — ~L~LJL~ tumeur qui s'étend
bère, car on lit dans le Most. sous i-ritÂ-w, mais
sur l'oreille du cheval sous forme d'un myrobolan,
Auw. II, 600, 12 et suiv. ~*jL^ULaJl$espèce de seulement dans Lm: Kj~JL
C~Il.
—
projectile, Reinaud F. G. 44; il avait selon toute
apparence la forme d'un myrobolan.
<~ hydromel, Sang.
p~J~ ~àèT,
u6à.j3t (grec) aorte (grosse artère du cœur), Bc. pestet Mûller S. B. 1863, n, 9, 1. 11. -
~Jj^t dans la vigne, la rougeur des feuilles, le rougeau,
V c. ~jr. faire la nique, se moquer, Bc.
J' #
j~ compliment; "Jt complimenteur; q* ULe~ Auw. 1, 583, 12; cf. Clément-Mullet I, 547, n. 1. —
Vipère, Bc, 1001 N. I, 31, 543, II,101, 241, 13
~j5^î laissons là les compliments; Bc.
— persiflage,
~-3S (où l'éd. Bresl. VII, 306, 2 ~xî>), III, 32, 2 af.,
a
~J',t pl. ~0' (t. de musique) ton, Descr. de l'Eg. IV, 379, 1, et Bresl. IV, 131, 5; basilic (serpent
XIV, 24.
,
( fabuleux dont le regard tue) Bc. — Dragon de
~))t
g, 2- ,
2 -
~j, vertu, Bc.
ou ~j». grue, Bc, 1001 N. III, 239, 15.
a , s ~t,
2
Pour désigner l'oie, on dit ~^aL - ~ú'Y' infecté de peste, pestiféré, Müller S. B. 1863,
1001 N. Bresl.
II, 7, 1. 11, 9, 1. 10, 11, 1. 9. Aussi dans le Voc.,
II, 156, 6. où il faut prendre ocasionatus en ce sens.
~oS-
celui qui prend soin des oies, car chez Aie.
_)Ij.5
ansareria (endroit où l'on nourrit ou élève les oies)
est )~ (cf. Gl. Esp. 357, 358).
Smith 998.
j,-,,' (pour ~X-A-s^t) oke ou ocque, poids turc de deux
(2)1^
nom d'un instrument de musique d'origine étran- livres, Bc.
gère que l'on frappait dans les marches des sultans
a
mamlouks, Maml. I, 1, 136. ~Jjî II. ~ja\ lui ~Jjb. l'on n'aura recours à aucun
« et
9-- prétexte pour en éluder l'observation», de Sacy Dipl.
~ONt Le myrte signifie chez les poètes la barbe de la
joue; voyez J. A. 1839, I, 170. — Les restes, le IX, 487, 2. — Gloser, censurer, interpréter en mal, Bc.
cadavre d'un homme, P. Koseg. Chrest. 80, 7 a f. V interpréterlessonges, Aie. (divinar por los suenos,
soltar suenos). — Avoir une opinion, Aie. (opinar
~5
<j~JoL~~t pensar opinion), interpréter malignement ~(J;L.:i com-
(les voyelles dans les deux man., mais Lm
mentaire, interprétation maligne, Bc), Calâïd 191, 17:
~, Most.
~! instrumental,
9
Bc. — Joueur d'instrument,
~JL-o.
interprétatif, Bc.
\.5'}t ~JUj fA~C~! «regarder comme infidèle
~o-B
~iô
juiici, Voc.
9_
I. aôlIaLw '-
~a_j| , Berb.
signifier: .(il lui montra un verset du Coran dans
II, 168, 3, semble
~Lit,
hé bien, voyons, allons! Aie. (ea pues).
dans des livres non classiques, est employé à
dans le présent et dans l'avenir, Ghadamès 21. a
la place d'un nom au nominatif, p. e. KoBeg. Chrest.
~OsE>
ayant besoin d'explication, c.-à-d., ayant un
~ù,yo
sens caché, allégorique, mystique, Macc. I, 571, dern. 1. «L;~ ~J!~,
au lieu de %1>%ii; 1001 N. I, 99, 10:
~jt de la veille, 1001 N. Bresl. IX, 315: ~j4l t..,L au lieu de ~3.
= Macn. III, 196: ~ojIj ~OIS
~Ciol (berb.) gens de, tribu de. Proprement, comme
~C331 (mongol?) des
chevaux, Mesâlik al-abçâr apud
l'a observé Carette (Kab. I, 71, 72), ~oui ne répond
pas à ~yki ou à ~<3*^, mais à ~pi, car on ne dit pas
Quatrem. Mong. 259 b. ..fI:
2 ~sî»
(~J~tye, par abréviation ~JL;L< ou 151X44, médin,
«que son écriture est belle!» - J~\jtX~-; ~(jiui
,Cl1S
acore,Sang.
Ouaday 466: «Les Fôriens n'ont que
ij..r-t' blouse;
f-
~a
dans le man. do Leyde).
est, «s
Aboul-Walid 805, 29.
~-OÎ
&..;. ~-eO ~&l lequel? Bc. — l:!JiJ ~cr- ~k,\9>~0:1' OU
*î)i>3..ya a encore d'autres sens que ceux qu'indique
—
~A 1- non, ou pas, point, Voc. 492 (13 ~yj).
a ~a: quoi le calife ne pourrait-il pas posséder comme
~j~J' courir la chance, hasarder, — jouer de son
1 concubines les filles des hommes libres? Badroun »
reste, prendre le moyen extrême, Bc. 216; (pourquoi n'allez-vous
9
ywL*?jt pas trouver un telPw Macc. I, 473, 14; — un vizir,
;
(c'est ainsi que prononce Aie.) espérance,
Aie. ~(fiuza) ^LaSfaireperdre l'espérance, Aie.
(desafuziar a otro), mais ordinairement cette expres-
voulant recommander quelqu'un pour cadi, dit: ~-;!
~o!~ ~&l ~cy* <~J~ pourquoi ne désignez-vous pas
Ibn-at-Tofail pour cet emploi?» R. N. 16 v°. —
sion signifie: désespérer, perdre l'espérance, Bc, Ictifâ
..y!~ où; dV-yj où es-tu? Bc.
c-,IE
~\Ju\ (vulg.) quel? quelle? p. e. 0-->')\'
~-,ai ",~p
~L41 4(quel
L~! quel
(1. ~JJIAC, Cartâs 223, 12, 227, 9 a f., 1001 N.
I, 55, Bresl. III, 233, dern. 1., IV, 97, Daumas est le meilleur?» Bc.
<
comment! quoi! 1001 N. I, 63, 6, Bresl. II, 114,
(j4~ désespérer, réduire au désespoir, Bc. 11. — Que, quoi, quelle chose? — commetat? (em-
ployé pour 'faire répéter un discours qu'on n'a pas
1
tl,0. est une corruption de #
AMIJ
1
Ci,
os mais s'emploie son*
compris), Bc. — Oui, Bc. — &dljP morbleu Bc. —
jyl i.) O* I:!U ~ue.. « quel profit vous reviendra-t-il de
vent pour oui, Burton I, 70, Habicht Gl. I, Bc.
eelaPJ) Bc.
~p~.
— On dit:
xJaLjyu ,
Haiyân 92 vo,
X~-i?.JLj KJoA-iî, id. 93 ro, la ville de Grenade, la
ville de Cordoue. — Exemple de ce qu'on appelle le
pl. ~u~j,
est en arabe la forme ordi-
naire de ce mot persan, celle que donnent Bg (sous
pantoufle) et Bc, et
non pas U&JJIJ, comme chezFreytag.
Voyez Vêtem. 50 et suiv. <£
- .5"
(J^ paraguante
(présent fait en reconnaissance de quelque service),
Bc. — g}»»*» barbeau ou barbot (poisson), Bc.
~Cotula,Prax R.d.O.A.VIII,346(cf.Bc
KA.CJJJIJ
je le conjure par Dieu», Rutgers ~t~jb
sous cotula). - Mélampyrum parvum, Rauwolf 118.
Ellipses: « n. d'un 8, frelon, Aie. (abejon, abispon); cf.
192, 3 a f.; — ~JL\-j W-J crD «qui nous garantit Simonet 264.
cela?» 1001 N. I, 59, 3 a f.; — 'j, |À^uui ~JLS
«. )
—s~j «je disais: j'ai perdu un œil, mais non pas <t~&~L~ en Ifrtkiya, sorte de camomille, Bait. 106 b. I,
la vie»,ibid.101, dern.
Y4
1.
(esp.) bouillie pour les enfants, Aie. (papas para
le pape, Amari341, 6, 10, Gl. Abult
nino).
44. ~>. antipape, Bc. — En berbère et en turc ~-4,
père, Bat. II, 416; aussi dans la langue des Foulah, t.de musique = ~rà, Gl. Mosl. LXI, 11.
Foulan ou Fellatah, Hodgson 105, et en arabe,
Cherb. Dial. 32, M.
--ate morue, Hbrt 69 (Alg.).
t~jb papal, ,_fj-3U (ital. padre) pire (titro des religieux, prêtres), Bc.
M.
~G
C..,44 papal, Bc, M.
O)
<X~<~L castory Aie. (castor animal), cf. Bc.
x~LL papauté, Bc.
~"**L?;~ ~(ji-U bombasin (étoffe de soie) , Bc. "'aLà ou ~)~L tuyau semblable à celui d'une chemi.
YO,.,.i44
ébénier, Burckhardt Nubia 473. née servant de ventilateur, Bc, Bat. II, 300, 1001
N. Bresl. II, 127, 132, etc., Macn. I, 201: (e--pa4
~»
~L*
6
L'i (esp.) bec-figue (oiseau) Aie. (papahigo).
,
v-oL».
(:SL.4-
Babel étant considéré comme le siège de lama-
gie (cf. Lane trad. des 1001 N. I, 213), on dit (pers. Csi^Lj) citronnelle, mélisse (cf.
~-
~-~-LJj chez Freytag JU^-^U^IJ), Chec.194 v°, Auw. I,
yettx enchanteurs, 1001 N. I, 58,
~oy** des
Bresl. X, 259, dern. 1., où l'éd. Macn. porte mal à 650, 9, 12, où Banqueri a changé à tort la leçon
propos XjLjj; il faut aussi substituer 4.L.4 à iCJuL du man.
~abj4
salpetre, Reinaud F. G. 13 et suiv., Quatremère
J. A. 1850, 1, 220 et suiv. — De même que ~Jaâi,
composition incendiaire, J. A. 1849, II, 320, n. 2.
—
AtA&ôb Poudre A canon, Aie. (polvora), Macc. II, 806, 15,
(pers.) exanthème, pustules rouges et nombreuses
qui deviennent quelquefois des ulcères, Gl. Manç. sous
Ksjum (le man. porte un À au lieu du à).
~.tL~U~u orificium, L.
— Sorte d'oiseau de proie, que
l'on nomme aussi ~j-jf, et en Syrie ~nJ<,
Man. Escur. 893.
si,Il.
~LA VIII craindre, Voc.
,
<16f;;\-W4
Qwjixwlj
grive, Hbrt 184.
~yuas.
~SjjJL»crème, Cherb., Ht (cf. ii)34).
farine, Bc.
- s.JL colle de
-
J L
cavalcadour, Bc; £IJSÛLA~(jiL fourrier, Bc.
L&b, bour battant, au vu et au su de tout le monde, Bc.
au pl. aussi ~o^L&Ij, M, Bc. — L^L* bou-
lette (petite boule de chair hachée, d'oignon et de crème, Bc (Barb.); cf. s.Jb.
persil), Bc.
j~ôL~b
OÎ^L&lj
(esp. embajador) ambassadeur, Bc (Barb.).
=SjjIj, mot qui, chez les Mongols, désignait
bourre d'une arme à feu, Bc (Barb.). une tablette d'or qui portait l'empreinte d'une tête de
~tL~~b lion, et qui était remise aux grands dignitaires, aux
(pers. ~IJL> tJia)moustiquaire (garniture de courriers, etc., Maml. II, 2, 159.
;
lit pour garantir des cousins), Bc cf. plus loin KiLs^io.
&~
•
(j~-~
*. 1
(turc) têtière (partie de la bride), Bc.
~Ss.
f nom qu'on donne à un très-petit enfant,
bébé
dune bête de somme quand Tha'âlibî Latâïf 27, dern. 1.
on l'attache, M. — Collier
o.
(lat. et esp. upupa) huppe (oiseau), Voc.
~y ),
(
pl. sommier, Ztschr. XI, 479, n. 5; aussi
~fi panthère, Bc, Hbrt 64. — Chez Edrisi c'est le nom
d'un animal du Nord, du castor, je pense, que Pline
appelle bibris, bebrus chez un ancien commentateur J
GsM^
décisif, définitif; *
~LJÔ
de Juvénal (voyez Ducange sous bever). Dans toutes en définitive, Bc.
les langues du Nord, ce quadrupède porte encore le ww,
~X-yo WtN.-
ou iÇyô, pl. oi ou
« , tonneau, baril,
même nom. Edrisi dit (Clim. VII, Sect. 3, Norwège):
barrique, Edrîsî, Introd. xi, n. 1, M, Ht, Roland,
Hbrt 77, 129, Amari Dipl. 200, 1001 N. IV, 294,
7 a f., 307, 7 a f., cf. Bernstein, Lexicon Syriacum
Chrest. Kirschianœ, 80, 577 et suiv. — Muid (ton-
neau qui contient un muid), Bc. — La constellation
que les Espagnols appelaient tinaja, mot qui a le
même sens, Alf. Astron. V, 181, où le terme est
expliqué ainsi: ,Tynafa diccn en arabigo betya, et
-~Jt. La leçon défendre, car on
disait également fiber ;
-.-à peut aussi se
voyez Ducange 1. 1.
en ella tienen los omes guardadas todas las cosas
cosrientes que son necesarias para ueuer, assi cuemo
,1), uino 6 agoa, et otras cosas, assf cuemo farinas et
~»rw pantoufle de cuir verni et brodée en argent ou en
legumbres, et otras cosas que toman los omes a
or, Michel 76, 232, 235, 273; «babra, souliers très-
minces à semelles souples,» Dunant 201. pro. »— Appareil pour apprendre aux jeunes soldats
à tirer; on disposait au-dessus d'une table appuyée
o>
~oir" (dimin. esp. de bobra,commecalabacin de ca- sur quatre pieds, et qui s'élevait à hauteur d'appui,
une espèce de baril fermé par une peau de vache;
labaza; apopores (pl.) chez Isidore, port. abobara, la peau -servait de cible, J. A. 1848, II, 218, 219.
abobora et abobra, Simonet 281-2) citrouille, Voc. S
S
y
fj~~j
voyez sous ~j.
(esp.). ~J:~-*~-!!las bubas, le mal vénérien, Lafuente
„ ., o-
Codices de Tetuan 70. ~OJÛÔ II c. C p. chuchoter, parler tout bas avec quel-
~JIÂO,
tj~ ~w,
M, et
(.:)lit;';.
perroquet, Bc.
jII
qu'un, Bc.
casque sous le menton), Aie. (bavera). de cette racine qui signifient tranchant, sont souvent
employés substantivement dans le sens d'épée tran-
~u-- décider, porter
f\ %e,,à
à «
chante, Abbad. I, 84, n. 62.
décision; — son ju-
gement sur une chose, Bc.
~j hélénie (plante), Most. sous ,-~
fi'
3 ,Cl1Õtranchant, P. Koseg. Chrest. 76, 5.
~J
jpj~
1 1
V se faire ermite, Voc. (cf. Lane). cygne,Bc; — pélican, Seetzen IV, 482, et lisez
~JJô. bL_X_j ainsi Yâcout I, 885, 17 (= Cazw. II, 119, 12), n.
irrévocablement, Formul. d. contr. 3:
d'un. S, M.
quelqu'un lègue le tiers de son argent aux pauvres
~Ls
~Ojjô puceau, garçon vierge, Bc. ~j plante à fleurs rouges, Carette Géogr. 137,
bouleau (arbre), Bc. Moricandia suffruticosa, Prax R. d. O. A. VIII, 282.
J~Xj
O ,
virginal, Bc.
5< ,..
~X-Jyo virginité, Bc.
5 w" .- ?
v-Q^S 1 bavarder, Bc.
J~L~JL~ ermite, Voc., Aie. (ermitano); cf. Lane
II baliverner, radoter (Syrie), verbiager, Bc.
sous ~Jjô V. — Nom d'un animal (fabuleux?), 1001
N.Bresl.XI,118, 3 af. XA~: baliverne, bavardage, radotage, verbiage, Bc.
~L.~u&<t~<t~, Bc.
~fi II causer, faire naître, des pustules, Bait. I, 145 a:
II solenniser, célébrer avec solennité, Bc.
~ràL SJtxx «faisant naître des pustules dans la bou- V être honoré, Voc.
che,» 146: aùjbLs»- ~-'~ j*rj\ KL->--u ulcère dans le membre génital, chancre, M.
~5,0. -
~abouton, pustule,
-
Bc. — Ulcère, Voc. - Gale
.L~2~
O
i
(maladie de la peau),Voc. crevasses (maladie du cheval), Bc.
jyo scatebra, L (cf. ~j^L dans Freytag). ~r*5 gland, Bc.
~/4'
> VII. ~LL~J~~ signifie chez les chrétiens .}L\~J! Jf-)t
M.
<.
~au-fc
==
J~Lt~ biscuit, Cartâs
(instrument de
'-ri).
#
~¡.s; I semer
O
1
(1
., C.
,,
(peçon de fruta Dans le Voc. le terme ficuum creuser, fouir, miner, Bc. —
1 caver, ~o-s:
~w).
expliquer, Berb. II, 7, 1. 9. — Dans le sens d'exa-
y,
CI. ii
mota, qui y est traduit par (j~c, ,<j~>-y& et miner, faire des recherches sur, ce verbe ne se con-
doit avoir le même sens, mais je ne connais ce mota
ni en b. lat., ni en catalan, ni en espagnol. — Ma-
struit pas seulement avec ~oz, mais aussi avec J;
Abbad. I, 249, 10; j'ai révoqué en doute cette con-
ci ~,B
~gjï
s i
—~=~
enroué, Voc.
,
enroué, Bc, Hbrt.
III examiner
un ouvrage, Bc.
c. ~c, Voc. - Critiquer, examiner
1
C. ~~j~î-L!~
quècer a otro). —Desserrer, relâcher,Bc. naturelles, Bc.
II s'affermir (domination), comme M. de Slane lit S o - critique (adj.), Bc.
avec raison Prol. III, 91, 3; cf. Lane. — Se réjouir,
1001 N. I, 450, 4. — Se divertir, s'ébattre, s'égayer,
S 5,
d>L<Vi dans le Voc. v° scrutari. — Le convive qui,
se faire fête de, se promener, Bc. — S'enrouer, Aie. l'œil sur ses voisins, les prlvient, va prendre le mor-
(enronquecerse). ceau qu'ils avaient choisi et qu'eux-mêmes allaient
~s"CI, Hbrt 226, Bc, gaîté, partie
X-$:~~ divert-issement,
(divertissement), régal (grand plaisir),
X-~-~ goguettes (propos joyeux), Bc.
ribote ; prendre, Daumas V. A. 314.
~~>-L critique sévère, mais équitable, Bc.
—~: pl. ÉAL:s:! joyeux, gai, Hbrt 226, Bc, jovial, Chercheur d'or, Gl. Edrîsî.
riboteur, Roger-bontemps, bon vivant, Bc.
X~t~~ enrouement, Bait. I, 195: ~oyait XN~:
~= preuve, 1001 N. II, 424, 9.
«l'enrouement de la voix;» lisez de même J. A. 1853, <^S"LUD critique, Bc.
I, 345, 1.
~® 5 V se vanter, Voc.
enrouement, Aie. (enrronquecimiento, ron-
quedad).
-
~O
- Aphonie, Cherb. C.
CI - j enroué, Aie.
~rS: II dans le Voc. v° mare. — Gagner la pleine mer,
Aie. (engolfar). — Jeter à la mer, Daumas V. A.
~-<~e (ronco), Domb. 108, Hbrt 35, 366. — Cultiver, Cherb. Dial. 16. — Regarder, con-
Ht. - En bon état, en bonne santé, Cherb. C. templer, Ztschr. XXII, 122, 148.
V dans le Voc. y0 mare. — Se jeter en pleine marche d'un escalier (?), 1001 N. Bresl. II, a f.:
152, 3
)
mer. Aie. (engolfarse). — Abonder (voyez la Xe),
Macc. I, 81, 3 a f.:
Q~! j-~, Berb. II, 84, 13: CI , A Damas
~le4. 1 OÎ
y CI:15 Xfi1$
fë*"(J°y^ qCKAJMLAX
, signifie: 1° les bassins de
marbre, remplis d'eau courante et souvent ornés de
mosaïques, qui se trouvent dans les salles des mai-
!~~X~ ~âq (abondamment);
sons; 20 les réservoirs qui se trouvent dans toutes
~^11,
X devenir une mer, être entièrement inondé, Ztschr.
XVI, 594, Berb. I, 50, 1: où l'on
les rues, Ztschr. XI, 476.
C,e;4
S
galérien, Aie. (galeote). — Garde du port,
peut traduire avec de Slane: «marais formé par les
,une
»
eaux de la mer. — En parlant d'une mer, s'élargir,
Prol. I, 77, dern. 1. — En parlant d'un fleuve, être
grand comme une mer, Abbad. II, 250, 5 a f. — Au
fig., être inondé par (y), être abondamment pourvu
de, Mi'yâr 22, 2 (où il faut substituer
?
— Par ellipse (pour ~r>Wl
connaissances très-profondes, Haiyân 34 rO: ^-g-.1»,
~=u comme t. d'archit., Gl.
~O
(ou HyA^u?)
Esp.71.
-
mer, est fém. chez Abdarî; voyez le passage
j.s=u,
sous ~Uc.
— Etang, Abbad. I, 97, n. 126 et 127,
Bc.
plaine, Richardson Mor. II, 118;
- Renou 33: «Bh'îra,
pl.,
Avec le même
mê me
r
Mi'yâr 22,
132. — ~s4A b
7. — Bas-fonds sablonneux, Ghadamès
désert, Jackson 239; ce terme ou
?
diminutif de O- [lisez de a~],
O**
ne s'applique qu'aux
flaque large et ondée de sel nitreux sous
a
plaines unies;» Marmol II, 234 (Bône): «Tiene unos
llanos donde llaman el Bahayra que se estienden ca-
laquelle se trouve de la boue durcie, Burton II, 73. ;
torze léguas en largo,» etc. Barth W. 241 parle
~e).iH ysrJî reflux, Bc (Barb.).
—
Z. r
le fonds
—
Remada;
d'une «weite Thalebene,» qui s'appelle bah'iret er
l'anonyme de Copenhague 22: le sultan
de la selle, la partie entre le pommeau et le trousse-
quin, Bc, Koseg. Chrest. 69, 3af., 1001 N. 1,368,
III, 285. — T. d'archit., espèce de cartouche, d'or-
nement de mosaïque ou de peinture, qui portait une
inscription ou des figures d'hommes, d'animaux, etc.,
Edrisi 113, 3-6, 210, 2; cf. Gl. Esp. 71. potager, Quatremère J. d. S. 1847, 484 (sur Cartâs
— Degré,
17, 1); l'explication de Nowairt qu'il cite et selon aspersion, injection, Bc.
laquelle gre---;u signifie, dans le dialecte africain, .S~U.,
en parlant d'une monnaie, voyez Ztschr.
CI7
^uûmo, se trouve aussi chez Ibn-al-Athir X, 407; IX, 611 n.
Ht, Roland, Delap. 144; Jackson 95 n.: «bahaira,
kitchen garden ;» :
Miss. hist. 612 b « Una ribera de 1 se moquer de, Hbrt 239.
,
huertas llamada Baharrat.;» R. N. 70 ro: w
bourbier, Berbrugger apud de Slane trad.
de l'Hist. des Berb. III, 276, marais, Carteron 378.
i
I, 98, a traduit --JLc;u par étangs, s'est trompé); II et IV rendre heureux, Voc.
VII s'aventurer, se hasarder, Aie. (aventurarse).
OO
Macc. III, 751, 2 et 4. Forme berbérisée
jardin potager, Dict. berb.; «thebhairt (Arabie) gar- aventure (vaine prédiction), Bc, augure, Ht.
,
den,» Hodgson
viers
IV, 376.
Berb.
93. —
II, 321, 8; le pl.
s-<~ plantation d'oli-
~JLj-J!~L~ Bat.
s
\~-~b, ~L~u,
w
voyez sur l'origine
Edrisi rv, 2 et suiv. Palgrave I, 325:
de ce mot,
~-<=u (sic)
«
O z
.L<=~ jardinier, Quatremère J. d. S. 1847, 484, or Bactrian, two humped, clumsy, coarse-haired,
à
Roland. upland Persian beast.»
S
~c.L-s~ manœuvrier (matelot qui entend la ma- ~destiné
5 être heureux, Berb. I, 444, 6 a f.
nœuvre), Bc. M- > devin, sorcier, Aie. (hadador).
--
nom d'un grand nombre de plantes qui appar-
# #
V'v':'s'. dans le Voc., sans explication. tiennent au genre Erodium, Ztschr. XXII, 92, n. 7.
j.s::
-
O -
autant que, Voc. (quantum). C'est, à ce qu'il paraît, V exhaler une bonne odeur, Badroun 273, 1. —
une altération de ~L<~j. Dans le Voc. v° vaporare.
s~8i~
O ",. iuJLijc écarquiller les yéux, Bc, 1001 N. Le Voc. a
««s?.. j-~~
O- o 0\o ~~-!
a—~ sous barba,
1.
sans explication.
Bresl. I, 172, 7, II, 69, 2; £ftLs=u* œil fixe,
fuméesy vapeurs qui s'élèvent au cerveau;
1 ;
ouvert et immobile, Bc.
rapports, vapeurs qui sortent de l'estomac,
a
asperger en soufflant de l'eau que l'on tient dans Bc. — Haleine, Aie. (aliento). — £«^1^. il a
Vhaleine mauvaise, Bc.
sa bouche, c. (~C; mouiller le tabac avant
.b
,
de le couper, en prenant de l'eau dans sa bouche et
la faisant jaillir dessus, Bc; en ce sens 1001 N.
encens, au fig. flatterie, Bc.
encens d'une qualité inférieure, Lane M. E.
- .—<~J!
I, 207.
,.,.)
J, 124 d, au lieu de comme donne Freytag,
dans Gersdorf's Repertorium 1839, p. 433; injecter, car c'est l'esp. morisco (moresque); c'est le synonyme
introduire une liqueur avec une seringue ou la bouche de ~sjLc~Lj, la racine dit thelephium imperati L.,
dans une plaie, dans les veines, seringuer Bc. — qu'on brûle en guise de parfum
et
j
Boire, en parlant de papier, Hbrt 112.
suiv.,X,sur les monnaies, voyez Ztschr. IX, 606
818 etsuiv., XI, 143 et suiv.
(~u vendeur de <~~j, Casiri I, 145, n. a.
w
S >
Xj.~u cassolette, Ht. - Les femmes maronites
,
donnent ce nom à un châle de Lahouri, dont on se
ceint en laissant les deux bouts flotter par devant,
Bg 807; cf. 574 v° moucher.
pl. ~L~u,
dans l'Asie mineure, conduit,
évent, par lequel monte la fumée, Bat. II, 337.
(c'est ainsi qu'il faut lire, Daumas MS) celui
~j&~&~j* (pers.) pl. 1.:.t..:s;: pourboire, étrenne,
gratification, Bc, M.
1 c. a. p. désappointer
honteux, M.
II
quelqu'un, ou le rendre
c. a. p. blâmer fortement, M.
bas
.M~Ut.yt~
j -
prlx, Bc.
(J~-~~ à très-bon marché, au plus ~pl. voyez Yêtem. 55, 56, Defrémery
,
dans la terre), Bc, Hbrt 178, M, J. A. 1849, II,
310, n. 1, 312, n. 1, Prol. II, 353,
et 18, 354, 3; restituez le même mot chez Koseg.
8,
10, 11, 16 w*
1 dissiper, n. d'act. et ~, Gl. Mosl. - C. a.
Payne Smith
— C. a. p. et y r.
les
1
= innovation, Gl. Abulf.
sujet à caution; — cr- assurément, certaine-
ment, — à toute force, absolument. — Dans le sens
ment la récolte par anticipation,» Bat. III, 429.
d'idole, ne semble être rien autre chose que
Bouddha; la signification de temple en dérive, Gl. li.-A ouverture d'unepartied'échecs, van der Linde,
Belàdz. Geschichte des Schachspiels I, 104.
nom d'une plante, Bait. I, 125 d; leçon de
BDE; AC ~;
Sonth. et ~,
mais l'ordre al- 2 - o subjectif (qui appartient
phabétique montre que la seconde lettre est -un ddl. t.5ï.16x;41 au sujet de la
meunier d'un moulin à huile, Aie. (molinero phrase), Bc.
de azeyte), comme en araméen (voyez Buxtorf). 1xï., nominatif, Aie. (nominativo), Bc.
5
exzé.A commençant (qui est aux premiers éléments
d'un art, d'une science), Aie. (novicio nuevo encada
arte, et à ~L\j~ ombre nuevo en las armas),
d'église en manteau), Bc, étole (ornement de prêtre),
cipal mérite est au modèle, quelque parfaite que soit Bc, Bg, M.
l'œuvre de l'imitateur,» Bc. .,.,. 0
prodiguer, dissiper, Hbrt 219, M.
!
\~&.jt I (?) = ~, Most. sous ce dernier mot; leçon
de Lm; N ou s~àj!~ (u maghribin = ü). tium iunceum). Telles sont les formes de ce mot, que
.-tL~Lt~ rubis-balais, Maml. II, 1, 71.
-
Freytag écrit à tort U-I,.U Bait. I, 125 c. On
trouve ^IXwlXj Bait. II, 380 a (AB), 384 d.
II,
avec ~, aller dès le matin chez, Bc.
C~Xj II
déployer son éloquence, Bc. — C. p. faire
V être pleine, en parlant de la lune, 1001 N. du tumulte contre quelqu'un,Voc.; c. a. ou c.
;
Bresl. III, 332, 7. crier, appeler,Yoc.
VI avec l'accus, de l'endroit vers lequel on s'em- VIII renouveler, Abbad. I, 243, dern. 1.
,„,,
VIII avec l'accus., Haiyân-Bassâm III, 49 vo:
paradoxe, Bc. — Tumulte,
O-o
App. p. XLVII, 1.
55 miraculum) , L.
nœud, Yoc.
bourse, Voc., qui prononce SjJ~ pl. Le
=->-? paradoxal, Bc.
— Dans l'arabe vulgaire est: une somme d'ar- teron 176; selon Maltzan 19, Bdaya est à Alger =
Kbaya, à Tunis gilet. Lyon 6 écrit bidrïah, parce
gent qu'un émir ou,un autre personnage considérable
qu'il a mal entendu et qu'il a pris le E pour un j.
jette au peuple, Lane trad. des 1001 N. II, 508, n. 1.
~J (pl.) signes qui apparaissent bientôt, Gl. Mosl.
(Ceci peut servir à corriger ce que j'ai dit Vêtem. 56.)
ingénieux, spirituel, Bc.
~<-\j pl. (~<~ précoce, Bc, Hbrt 51. — Mati-
pl. c'lià-, dans le sens indiqué par Lane,
nal, Bc.
222, 11.
-- agneaux, 1001 N. Bresl. X,
~~<-~ prémices, Bc. — Adverbe (que voyez Orientalia I, 391, n. a. — Invention (chose
inventée), Bc.
Marcel prononce bedry) de bon matin, de bonne heure,
Bc (Eg.), 1001 N. Bresl. IX, 273, 6, 318, 2 a f.;
~<~~~J~ «
il est encore de bonne heure, » Bc.
F-
S o»
commencement, Bc.
S.o..,.
matinée, Bc. beau), Antar 7, 4. -
HjjjîvAj latte, pièce de bois longue, étroite et plate, Bc.
I. (j~Lm~ commuer, changer lapeine, Bc. —
voyez Victor).
~L~.
-- # )
pl. ol
~, précocité,
j-'s~j
sottise, maladresse, Aie. (desalino;
Bc.
Jtt~Xe~t ViaLtA précession des équinoxes,
mouvement rétrograde des points équinoxiaux, Bc.
Chez les chrétiens, en parlant d'un prêtre, revêtir
les habits sacerdotaux, M.
II transformer,
Id. (trasfigurar).
JjJyj'
Aie. (trasformar), p. e.
— Défigurer,
e <*
Aie. (j~X~ desfigurado,
desfiguramiento). — Transvaser, verser d'un
,
vase dans un autre, Aie. (trassegar vino li-
o cosa modifier ce que j'ai dit Yêtem. 396, n. 2; cf. Lano
quida). — Changer, et par conséquent, corrompre la 174 c, Gl. Fragm. sous OPL-<J! orne.
religion, Abd-al-wàhid 141, 10; celui qui le fait est ments, habits sacerdotaux, Bc, M. — Habit, vêtement
Bc, Hbrt 19. Cependant M. de Goeje, dans le GI.
un jiAax,
w ibid. 137, 3 a f. — Changer de religion,
Fragm., s'est trompé en attribuant cette acception
apostasier, Cartâs 223, 13. — Changer de logis, dé- aux deux passages des 1001 N. qu'il cite; le terme
ménager, Aie. (mudar casa a otro lugar, mu- en question y signifie habillement, comme toujours
dança de casa a otro lugar). — La signification que dans les 1001 N., et c'est sa signification véritable,
Freytag a notée sur l'autorité de Reiske: Venerem celle qu'indique le M. En outre, de Goeje a eu tort
prœposteram in podice exercuit, se trouve aussi chez
Aie. (cavalgar macho a macho, hazerlo el honbre al
de croire que KjJ~j est une autre forme de et~,
il aurait dû substituer le second mot au premier dans
otro). — Revêtir quelqu'un des habits sacerdotaux, le texte qu'il publiait. — Relais (chiens, chevaux,
qui doivent en remplacer d'autres), Bc.
M. — changer de couleur (pâlir, rougir),
(mudar elcolor).~ ~personne mas.
~) chasuble, Bg.
Alc.
quée, Aie. (homarrache). — transposer, Bc.
~, dans le dialecte de l'Egypte et de la Syrie,
pour au lieu de, en échangede, autre que, Burck-
V, en parlant d'une chose, être changée contre hardt Prov. no 143, Bc, M.
(y) une autre chose, P. 1001 N. I, 44, 9:
&L>\j
= ~J~, Abou'l-Walîd 803, 24, Payne Smith
-
1289. Epouse qui en remplace une autre, M.
(où j~L!!
Echanger une chose
est l'équivalent de te--.=
~)
contre (y) une autre, Gl.
—
.L est proprement l'ital. patella (patelle, lépas);
Mosl., P. Abbad. I, 59, 7: Pagni 93 écrit badalà, en ital. patella; chez Bc ..j~L
est huttre.
substitution (action de substituer ses biens), Bc.
,
VI se relayer, se relever, Bc. 47. Cf. XS~
VII être changé,Yoc., Abou'l-Walid 774, 1; le II rendre corpulent, Voc.
n. d'act. métamorphose, Bc.
VIII se permuter (lettres), Abou'l-Walîd 132, 21: V devenir corpulent, Voc.
338, 11, 352, 31: cette ..J~ (corps) s'emploie aussi en parlant d'une plante,
lettre jujs-uo
1286.
~L\X~j, et ailleurs, Payne Smith
A
laisser tromper), Bc.
>o-«
l'improviste est aussi
au propre en parlant d'un coursier ra-
Voe. —
Yoc. (rusticus).
~~<~—j grande chemise bleue
ou noire, ouverte
par les côtés en guise de manches, et depuis le haut
pide, s'emploie au figuré pour désigner un homme jusqu'en bas. Elle est portée par les femmes au Caire
qui prévoit tout, qui n'est jamais pris au dépourvu.
et par les femmes fellAh. Ordinairement elle est en
:,;'°,
Ce que Lane a d'après le TA «a man who takes by
toile de lin assez grossière, souvent en toile de coton
surprise with large bounty» est la traduction du vers
ou de fil, parfois en châch ou grosse mousseline.
d'at-Tirimmâh XJJLXJJÎ -,-,r*
- , ce que Zamakh- Elle se met par-dessus le vêtement, Ouaday 57 n.,
364, 394-5 (beddâouy, 364 beddâouyeh).
saillant, Gl. Edrîsî. — Seul ou avec _^JL>
1. Pour exprimer: changer d'avis, on ne dit pas
agresseur, assaillant, Bc.
seulement fI':»\ à àJ (voyez Lane), mais aussi
Kj,>Là contrée, campagne, territoire d'une ville, GI.
EdrIsi. -
rusticitas.
Agriculteurs, ibid., Voc. — Dans le Voc.
165, dern. 1. Il ne faut pas confondre ces expres- L:}I.? Ces quatre caractères, qu'on rencontre fréquem-
sions avec une autre, à savoir \:!UJ ~,
qui si- ment au bas de l'adresse d'une lettre ou gravés sur
gnifie: trouver bon de faire une chose, p. e.
~« ils trouvèrent bon de partir,» Belâdz. 16,
des cachets, forment une espèce de talisman. Ses
principales vertus sont: si un voyageur porte sur lui
le mot p~-~, il peut marcher tout le jour sans ja-
7 a f.; ~LaXj~~ à (cf. le Glossaire) exprimerait pré-
cisément le contraire; Bayân, Introd., 104, 1. 16: mais se fatiguer; — si une femme enceinte, dont on
craint l'avortement, porte sur elle le mot son
enfant arrivera à terme; — une lettre sur l'adresse
de laquelle se trouve ce mot, doit parvenir sûrement
à sa destination; — ce mot sert encore à faire nattre
l'amour. Il représente les nombres pairs, qui sont
regardés comme heureux: 2468, ou 8642. Voyez de
I. Au lieu de ~J~ (voyez Freytag), on
Sacy Chrest. III, 365-6, Reinaud Descript. des mo-
numents II, 243, J. A. 1830, I, 72, Bg 17, 18, dit aussi simplement VJJAJIXJ, Abbad. I, 393, 3. —
Godard 1, 169, et surtout J. A. 1848, II, 521 et suiv.
yN-jmt
~, est empruntée à Macc. II, 801, 14;
II e. a. faire vivre quelqu'un dans l'abondance, ~j~! passer au fil de l'épée, Bc, Haiyân-Bassâm
dans le luxe,Yoc.
III, 49 vO. - ~c"~ ~bc~ J~Xj promettre une chose
,.
Y c. y vivre dans l'abondance, le luxe, Yoc. (de-
liciari, in cibo, potu et huiusmodi = r*z). par écrit, Gl. Fragm. —- -& prostituer son
;
honneur, sa dignité, Bat. I, 240. Offrir, Abbad.
est deliciœ (= |*A&>) dans le Yoc.; luxe, Ht II, 174, n. 98, Gl. Belâdz., Haiyân 74 ro: ~,
(avec le dâl).
,
diguer soi-même, se rendre familier, J. A. 1. 1., Abbad.
w~!~\J! ;A":S, («dans cette affaire il prend pour guides à
,
III, 172, n. 131. — se vêtir d'une
manière très-simple, Meursinge ~, 8 a f. (l'expli-
les D.»). C. y
p. servir de guide, d'escorte, à quel-
cation de Weijers dans sa note sur ce passage, p.
qu'un, le conduire, Berb. II, 81, 1, Autob. 206 vO:
99, est inadmissible parce que l'auteur veut louer
le personnage dont il parle) ; de là Siw
en négligé,
II,
l'opposé de
13. — Se prostituer ,
en habit de gala, Macc.
s'abandonner, Weijers apud
404,
~, fém. S, creux, usé, Khatib 103 ro: tral I, 119; dans le Voc. -—
u; hors de, p. e.
«
hors de la ville,»
Bc; déjà dans le
R. N., où cette expression est fréquente, p. e. 98 vO:
déroger, faire une chose indigne de, Gl. Maw.
- Boucle d'oreille, Yoc.
prodigue, L (prodigus).
1 honorer, Voc. — Lane a soupçonné avec raison le sens d'un substantif: l'étranger, le pays étranger,
qu'on ne dit pas seulement mais aussi comme nous disons le dehors, p. e. I^-JQ*_*1
faire venir de l'étranger,» Bc; LJ par dehors,
Gl.Mosl.—OnneditpasseulementOJ «
~, ~, dehors,
mais aussi &ij~ Gl. Abulf.
bouleverser le terrain (pour en extraire les racines
- extérieurement, Bc;
Aie. (hazia fuera). -
et en dehors,
(Esp.), avec le nom d'unité
des plantes), Cherb. Dial. 18. ~, échauboulures, boutons, Aie. (barro de la cara).
II
décharger d'une accusation, renvoyer quitte et
absous, justifier, disculper, excuser,Bc; absoudre,
~, honneur, Yoc.
aussi dans
,
Voc.
S,
^1y^l (les justes), nom qn'on donne au cri du
le Voc. 36, mais 380 I..S;. - Epithète d'une sorte
moëddzin dans le mois de Ramadhân, parce qu'il de bois d'aloès, Bait. II, 225 a.
commence par les paroles du Coran (Sour. 76, vs. 5): Edrisi; campagne,
terre ferme; - plaine, Gl.
OJJYÀA Lane M. E. II, 264. — Sur les
champs, Bc.
monnaies: poids très-juste, et &Ul
(t. de marine) étai ou bras de la vergue amarrée
juste d'après le poids divin, Ztschr. IX, 833. — à l'arrière du bâtiment, J. A. 1841, I, 588.
Syrie, Egypte, Bc; tout le Soudan ce qui est hors d'une ville, Notices XIII, 205.
s'appelle souvent (continent), Burckhardt Nubia 263.
— Rive, rivage, bord d'une rivière, d'un lac, de la extériettr, externe, Bc; ^jIJAJI (JW^aJI d'une
Bc, Mace.
mer, Bc) Macc. I, 833, 1;
1; <Y"r> garde-côte;
porte, Cartâs 22; àûôl^JI A-OAII, l'opposé de KJÇIJLLI
".** ranger (aller le long de);.~J!'-~L>. border XJLs»l(>JI, Haiyân-Bassâm 49 ro. — Qui est hors d'une
ville, Notices XIII, 205; ~,
Macc. I, 471, seul, sans vjul» ou quelque chosede sem-
3 a f. — Paysan, Cherb. Dial. 129. — Etranger,
blable, n'a pas le sens de pur, mais seulement celui
Voc., Aie. (avenedizo, estrano, estrangero, forastero),
de libre..
Bo, Ht; en Algérie les Berranis sont des Arabes ou
des Kabyles qui viennent exercer momentanément leur honneur, Voc.
X-ôlles
industrie dans les villes, Daumas Mœurs 4, 8; com-
(formédel'esp.barro, ~) qui a la figure
parez sous affaires étrangères, couverte d'échauboulures, de boutons, Aie. (barroso).
Bc. — Celui qui est banni de sa patrie, Aie. (des- )'.P" pieux, en parlant d'un homme, Cartâs 2, 4
naturado de la tierra). — Qui se traite hors du pa- a f., Gl. Amari Dipl.
lais, Notices XIII, 205. — En parlant d'un digni- j
, 1.5e 1
1 livrer, remettre, abattdonner, céder une chose
taire, celui qui occupe une place hors de la cour, et
n'est point attaché à la personne du souverain, Notices M à (~,' ou J) quelqu'un, Mohammed ibn-Hârith 219:
XIII, 205. — 'â-oLj champ isolé, qui est éloigné le cadi reproche à Yousof al-Fihrî de s'être appro-
d'endroits habités, Auw. I, 92, 6 et 7. — ~~J~e prié deux jeunes filles qui appartenaient à Abdérame,
ou seul, casuel, revenu fortuit; tour
du bâton (profit illicite), Bc.
accessoire, Notices XIII, 205.
-- —
Taxe, contribution
Vent du nord-est, <~j~ U
(les voyelles sont dans le man.);
Aie. (viente entre oriente y cierço), Bc; chez Hbrt
e
p. et r., en parlant d'un dépôt, l'indique l'étymologie, la signification primitive de ce
— C.
terme, mais on l'emploie aussi pour désigner plu-
dégager sa responsabilité en rendant ce dépôt à la sieurs sortes d'écrits. Il signifie donc encore: diplôme,
personne à laquelle il appartient, Badroun 182, 5 Bc; — brevet (expédition d'une grâce royale), Bc; —
a f., Berb. I, 643, 2 af. — C. p. et 0-, comme mandement, billet portant ordre à un comptable de
la Ire forme: «j'ai livré ma payer, Aie. (carta de pago), Bat. III, 407; assi- -
gnation, mandat délivré à un militaire, et dont il
propre personne au roi,» Gl. Badroun. — C. p. devait percevoir le montant sur le revenu de tel ou tel
et r. livrer une chose à quelqu'un, Haiyân 61 ro: château, de tel ou tel village (on payait en nature),
¡
Ibn-Rochd cité par Amari Dipl. 416, n. j, notes sur
Bat. III, 459; — billet de logement (écrit portant
injonction à un habitant de loger un ou plusieurs
1
ventes, voyez sous
X. On dit en parlant d'une femme ~, quand
le temps de l'attente ou retraite légale est passé pour
militaires), l'anonyme de Copenhague 51, 52 (arrivée
du calife almohade al-Mançour avec son armée en
,»
mourir a eu une négresse pour concubine, celle-ci
doit porter le deuil pendant deux mois et six jours,
(~L~ = u~L~ épine-vinette, Chec. 199 vo. ~SJf~ barboter, agiter l'eau
avec les mains, Bc.
(N; ) ~j forme au
;j
La (sic) Virga pastoris, Most. sous pl. Jaj)y, Gl. Fragm.
O
turbo, Yoc., mais en quel sens P (cf. Simonet 284).
£
2fcXX 0,
lijJ
ou (esp. verbasco) Verbascum undu- LXj.j
nom d'un instrument de musique, Casiri I, 528 a.
latum, bouillon-blanc, Bait. I, 184 e art.
..JV..J.fl(pers.) collier de cheval, dans le Commentaire sur
A; B 'em. Aie. (gordo lobo yerva o nenufar)
,
le Dîwân d'al-Ferazdak (Wright).
écrit VÎJL&LJJJ,
'.J.. X~&L-j.
O ~L~j-j couscous grossier dont se nourrissent les nègres
nom d'unité -
~UO~-J
nom d'une plante, Most. sous ~: r, U-->-»&l en Algérie, Cherb.
~b.J)
(esp.) verveine; c'est ainsi qu'écrit al-Ghâfikt chez
Bait. I, 129 d (AB); Aie. (verbena) verbêna; Bait.
;
XJuo^j Bc L~-j.
- , syr. 12o¡..o,
1 > hébr. ~,
cyprès; voyez le
Thésaurus de Gesenius I, 246 b, 247 a; Saadiah,
ps. 104, a aussi ou Oî-il. =
~-
~-~. yeux, vides, trous dans la mie
de pain, Bc. faut prendre dans le sens de col, passage étroit entre
--.CI.-
deux montagnes. C'est le dimin. (portellus) du b. lat.
1
caméléon, Bc, Hbrt 69.
,
ro de yglesia).
bère, Voc.
9 ,.,
d"jp. En parlant d'un lion qui guette sa proie, on
j
mille-feuille, Bc.
(gr.)
(gr.) papyrus, Amari 9, 1. dit: s (J^C.IXM!, Macc. I, 246, 14; de là
K~*.~ entraves pour les chevaux, Aie. (guadafiones). au fig., en parlant d'un homme: ~JL~L-~
- _CI..
(J~t~ 1
barbare, sauvage, grossier, Bc.
a
3.
correction fort heureuse de M. Simonet (268), dans V être ceint, fortifié avec des tours, Yoc.
Auw. II, 51, 9, au lieu de oLiujj. C'est l'esp. bar- phare, Domb. 97, Ht. — Habitation en pierrt
dans un jardin, Pellissier 102; maison à la campa- KJL~yJ!, qu'on rencontre souvent chez les historiens.
gne, Delap. 144, Ht; à Bairout, grande maison, M. —
ii}A"i' télégraphe, Bc.
colombier), Bc. — U.,.*àl5,;Jl clocher, Bc.
-
volière (petit
-
Après que les Espagnols eurent reconquis l'Anda-
lousie, le terme barchela se conserva encore quelque
temps.Voyez les excellents articles de M. Simonet.
a,.,éà tour de Babel, Bc.
?
269, 270.
* 09 pl.
X~J ,) trou, mais ouvert seulementd'un côté, 5
ë::..r. >
iXâkjj est proprement le nom d'une étoffe; voyez Ibn-
~l
Voc. (faute pour Mais le mot se trouve dans as-Sikkît 527. Au reste comparez Vêtem. 58.
les deux parties).
,
~j-j quartier de fruit, Roland. (j~L>-j. L'exercice du birdjûs était
presque la
O-*5
K-~u~ guérite, Ht. même chose que ce qu'on appelle à présent
gardien d'un colombier (<L?' Maml. II, L~-~-~J!; ceux qui y prenaient part étaient montés
2, 119 (2 exemples), Fakhrt 44, 4 a f. et suiv., 1001
sur des chevaux et se combattaient ou se poursui-
N. I, 3
514, a f., III, 417. vaient en se jetant desbâtons, Lane M. E. II, 136
K->..L pl. (altération du mot indien d'après le Roman d'Abou-Zaid.
»«ju,
aujourd'hui en hindostani ~)
barque dont on se ser-
;i.wl.::-..r. demi-vertu (femme équivoque), Bc (Eg.).
vait dans l'Inde, Gl. Belâdz. Selon Baidhâwî II, 30,
2 a f., ce serait un adjectif arabe, et l'on dirait
£j»yo
r.,
xJLaJL*» dans le sens de: bdtiment découvert;
mais cette étymologie est sans doute erronée.
~l
festonné, Roland.
» Aie. (desvan de casa).
»
pl. engelure, Aie. (friera de pies) (aussi
,
Smith 868.
-
S-~~a» -
r
CI,
(esp.). Le premier mot est modius
~).
.&..J sac, Voc. Chez Aie. on trouve ~, ~, pl. <
dans le Voc. (-J#!- et , En esp. barchilla, grand panier de sparterie (seron de esparto), et aussi
paillasse (xergon); chez Espina, R. d. O. A. XIII,
~,
,
autrefois barcella, signifie: mesure de grain qui est
le tiers de la fanègue; selon Berb. II, 137, 9 a f.,
145,
145, espèce de grand sac fait de sparterie.
désignait à Tlemcen une mesure de 121 M. Simonet (284) considère avec raison le d'Ale.
XL~~, qui est le même terme, se trouve quatre
comme un augmentatif du b. lat. bursa (sac), et il
fois chez Ibn-al-Khatîb (apud Casiri II, 254, 3 a f.
compare l'esp. boisa, dans le sens de saccus sparteus
(où il faut lire ~J<~S XLça-y au lieu de
tj~S XL~ ~), 2 a f.) comme le nom d'une cer-
reticulatus. J~j
est un dimin. du même mot. Quant
rafraîchissement, Macc.
I, 131 b.
II, 303,
les dans le man. de Homaidi 43 v°). — Bordat, ou
plantain, Moilt.
5 (les voyel-
Xj~j
1 5
2
nom relatif de ca,.à; mais c'est une erreur.
4, #
est
le nom d'unité de cayi. Mes man. de l'Asâs porLent:
voyez Vêtem. 59 et suiv. La borda que le Xia;à espèce de tambour, Ouaday 367, 396.
,
Prophète avait portée et qu'il avait donnée au poète S o,
o').ft fou, sot, un
homme qui dit des sottises, et
Ca'b ibn-Zohair, devint plus tard la propriété de
de là un bouffon, Gl. Esp. 66.
Mo'âwia, qui l'acheta de la famille du poète pour la
somme de 600 dînârs (Tha'âlibî Thimâr al-coloub,
1 rideau; — portière (espèce de rideau devant
man. 903, 9 vo; 40,000 dirhems, Aboulfedâ I, 170).
Elle devint un des insignes du califat et on l'ap- une porte), Bc. A Damas on prononce Ztschr.
XI, 507, n. 31. — Espèce de gaze qui couvre la
pelait souvent la borda par excellence, aJ>j—*—H,
et 5 af, X, 20, 13, 428, gorge, Bg 806.
p.e. Athîr IX, 442, 1
7 a f., Aboulfedâ II, 96, 6, III, 160, 6 a f., 170,4. ..)'; limaille (parties de métal que la lime détache),
Comme elle était très-vieille et très-usée, on disait Aie. (limaduras de hierro).
signifie bien proprement collyre rafraîchissant,
Tha'âlibî 1. 1., Freytag Prov. III, 139. Lors de la mais on l'a appliqué à toutes sortes de collyres, Gl. Manç.
prise de Bagdad, elle tomba entre les mains des Mon-
gols (Aboulf. I, 170); cependant les Turcs prétendent flegme, au fig., froideur; — froid, au fig.,
que leur sultan Selîm la trouva en Egypte; ils la air sérieux et composé, air de froideur, indifférence; —
nomment khirca cherif (Burton I, 142), et aujourd'hui refroidissement, diminution de chaleur, au fig., dimi-
encore cette relique plus ou moins apocryphe est ex- nution de passion, d'amitié; — relâchement, tiédeur,
posée dans le sérail de Constantinople (J. A. 1832, II, au fig., ralentissement d'ardeur, manque d'ardeur, Bc.
<-~-~-j
soupe à la semoule, Daumas V. A. 252. -
= changer de mœurs, se corriger, Bassâm III, 179rO. Feuilles légères de pâte au beurre, ibid. 253. — En
- A Damas,
S
rideau, Ztschr. XI, 507, n. 31; cf. parlant d'un chemin très-étroit, on dit: ijOjC,
lXjJjJ, Macc. I, 392, 10, c.-à-d.: un chemin qui est
On faisait des habillements de papyrus; BecrÎ justement assez large pour qu'un mulet de la poste
84, 10: ,e~-*J< t?-~
De Slane cite dans sa note sur puisse y passer. — La poste, des mulets ou des che-
vaux établis à de certaines distances pour le transport
ce passage les paroles de Juvénal, Sat. IV, vs. 24: des courriers et des dépêches (pl. Gl. Fragm.), ~,
Hoc tu
Succinctus patrie quondam, Crispine, papyro.
Cette coutume existe encore aujourd'hui; voyez Barth
;
Maml. II, 2, 87 et suiv. c'est une dissertation im-
portante sur la poste en Orient; aussi poste dans le
III, 265. — En Espagne, sagette, glaïeul, flèche d'eau, sens de: établissement de chevaux, placé de distance
fléchière aquatique, Aie. (enea yerva ensordadera, es- en distance, pour le service des personnes qui veulent
,
padana yerva); cf. Gl. Esp. 66.
en poste, Bc. — La direction de la poste, de Sacy
terme du jeud'échecs,Voc.v°scacus.C'est Chrest. I,~, 4 a f.
quand le roi seul reste à l'un des joueurs, comme le aûijj froideur (accueil froid), Bc.
— Sottise, bê-
montre le persan tise, Bc, Hbrt 238; mauvaiseplaisanterie, goguenar-
derie, lanternerie, fadaise, fadeur (manque de grâces
# est donné par Lane (v° qui cite la
et louange fade), fagot (sornette); — monotonie, Bc.
- s.
phrase empruntée à l'Asâs: àuOjj 4J,
<3'1.- comme un — Fraction de tribu, Pellissier 128, 133 (berada).
)) frais, fratcheur, froid agréable; 8J)-t !,.+JI feu, Bo. — aL413 4
employer le vert et le
l'air est frais; SJ'J~ fraîchement, Bc. Hu- -- sec, employer tous les moyens de succès, Bc. — Scro.
midité, Domb. 55. — Fièvre, Hbrt 36 (Alg.). In-
sipidité, sottise, Voc., Alc. (desgracia en hablar). —
fule, Daumas V. A. 425 (et MS.). - Le plur.
Incivilité, rusticité, M. est le synonyme de ~~j~ (voyez) et signifie: herbes
S >9 et drogues rafraîchissantes, Prol. I, 25, 6: .t-~JLJ!
AJV>JY froideur, p. e. ~Lju~ (_^-O «il y a de
la froideur entre nous, » Bc.
aussi à différents plats apprêtés avec du vinaigre,
~\j-j courrier de laposte, Maml. II, 2, 90, Bc, avec des sauces piquantes, Bait. I, 497 a: Q*
Badroun 265, 3 (et non pas legatus, comme chez
6, 209, 1; UL.L, 1001 N. II, 449, Bresl. VIII,
Freytag).
211, où Macn. II, 396 a Selon Ri-
~)~/rt~Ma?, Bc.
— Théière, Domb. 92. chardson et Meninski, qui disent à tort que ce mot
a~L~ (chez Aie. pl. J~.!~j) jarre à deux anses, est persan, c'est spécialement: une composition de
vinaigre, de moût et de pain, qu'on fait cuire en-
Aie. (jarro con dos asas). -
Pot de terre avec goulot,
Hbrt 199;pot de terre, de forme ronde, avec goulot,
semble.
I,
qui a un tempérament chaud), Bait.
fou, Gl. Esp. 66, Gl. Fragm., saugrenu, goguenard,
bête (personne stupide); &->~j! signifie aussi un
17, Auw.
de Leyde ~, 257, 4 (où il faut lire avec le man.
au lieu de ~).
que
sot, Burton I, 270, 1001 N. Bresl. IV, 266, de
même
même que
tient la portière de l'appartement, huissier de la porte, pelle Cartâs 222, 1, mais plus ordinairement
de Sacy Chrest. II, 179.
Djob. 238, 13, Müller 40, 4 a f., Berb. II, 263,
.em,3*.M raisin muscat, Aie. (moscatel uva), qui écrit 15, Bat. IV, 90, Cartâs 252, 7. — Faire une pro-
cession, Voc., Macc. I, 376, 12: sLa~X~!
perdichin.
(j~UJL((faire une grande procession pour demander
de la pluie;» dans le même sens jy
(propre-
>>
». oLiï;,
~ÏO) ment comparaître devant Dieu), ibid. 1. 14; :5-oi
pour orange, M.
jour de procession, Mohammed ibn-Hârith 210: C).LI'
~• pour (ji^ïJya marjolaine, Bc, 1001 N. I,118,10.
~S~~ (lat. portulaca) pourpier, Pagni MS. Cf. ~X5\Xj.
àJi. — En parlant de troupes, défiler devant le prince
~;à verdier (oiseau), Pagni MS. (berdelùm).
~ô-J. «Nous passâmes ainsi deux jours, ayant vent de Cartâs 238, 3, ibid. 241, 4:
bouline et marchant sur le flanc. C'est ce que les «les soldats défilèrent avec leurs prisonniers
marins moghrébins de la Méditerranée appellent bôrdo devant la ville;» aussi en parlant de bâtiments de
oua la bôrdo, »
Ouaday 605; cf. l'esp. et l'ital. bordo.
f. De là
guerre, ibid. 243, 5 a Vaction de dé-
filer, Cartâs 238, 3, Macc. I, 230, 18; comparez sous
67), chardonneret, Bc, Ht. - Sortir
)'.-r.. des rangs pour appeler un ennemi au
65;appeler
combat, Recherches II, au
~t".) ~.j voyez ce qui précède.
>CI1
remplaçant
combat, Bc.
III,331, 5.
-- ramasser le gant, Bc, 1001 N.
Eclore (sortir de la coque), Bc. —
1.
cheval de bât ~(q$>3jj), Kâmil 272, 3:
chez Ale.
lui, à son préjudice). — Saillir (s'avancer en dehors,
déborder le nu du mur), sortir (être de relief), bom-
ber (v. n.), Bc, p. e. vX.g.âJj iijj4, 1001 N. I, 57;
:
partir, ibid. 151; cependant ce sens serait conforme
à l'analogie. — Comme la Ire forme sortir en grande
pompe à la rencontre d'un prince ou d'un autre per-
V et VII apparaître, se montrer, Voc.
CI,
voyez sous I.
sonnage considérable, Müller 17, 2 a f., 24, 3 a f., s.j-j, chez les Bédouins, petite tente où les nou-
25, 6, où a le même sens que )'fl' l'anonyme veaux mariés passent la première nuit, Ztschr. XXII,
de Copenhague 6 (prisonniers de Béja transportés à
105, n. 44. - (jwjjjtîî rsjjj est JJSàJLJwu L, M.
chien, à un ,dog-hero,» ;
batant, the champion of the Arabian classical and
chivalrous time;» on applique même ce mot à un
ibid. 1
duel, combat
singulier, Aie. (lid en trance de armas), Hbrt 243,
Bc (aussi ~).
fleur qui renferme la graine), Bc.
~c~.j excrémenteux, fécale, Bc.
y celui qui a la coutume de sortir des rangs pour
appeler un ennemi au combat, qui en fait son métier,
l'esp. campeador, Recherches II, 66. — Celui qui se
CI
IV montrer, Voc., rendrepublic, Nowairî man. 273, montre souvent,Yoc.
»
138, en parlant de l'amour: .y~J~! .1Üjft' «les langues en relief, Bc.
l'ont rendu public;» cf. Macc. I, 273 sous la Ire for-
me; — ouvrir un hôpital au public, Djob. 48, 5,
~, à Couç en Egypte: grande plaine située près
de la ville et entourée de palmiers, où les pèlerins
ouvrir ses cuisines au public, Gl. Belâdz.; de là, en
et les marchands emballaient leurs bagages et leurs
,
parlant de bains, l)NLill publics, où tout le monde marchandises et les faisaient peser, Djob. 62, 10-13.
a le droit d'aller, Gl. Edrîsî (mais c'est la IVe forme excellent, chez Freytag, est une faute; il faut
et non la lIe), Macc. I, 355, 11; —
il se fit connaître à eux, Gl. Bayàn; dans cet endroit Meursinge 90.
),.fl'" =
Chrest. 75, 6 a f.
en vue, exposé à la vue, Koseg.
~)
9
~i5 S-jMQUer,.,l.w.¡j'" Müller 30, 10, Ale.
Aie. (frenesia.
(frenesia,
;:,. 31 endroit
jjuiA en plein air où l'on fait ses besoins, 1. ç). -
bareâm, Dans L est léthargie (litargia).
Gl.Belâdz. 35.
pAAMji. Le pl. jt~~ luzernières, terres semées en
luzerne, Maml. I, 1, 16, 8 a f.
purgatoire, Yoc., Aie. (purgatorio de animas) qui
:; luzernièret Bc.
,
prononce cf. Prol. III, 55,
3. — Chez les
;ALw; pleurétique, Bc.
Soufis, le lieu qui est situé entre le monde matériel
et le monde spirituel, Macc. I, 569, 2 a f., cf. de
Slane Prol. III, 194, n. 5; Prol.
#
III, ~-~—~
# O#
(caluniar).
accuser faussement, calomnier
1 ,voc., Aie.
144, 2. — Péninsule, M.
II quasi-passif de la Ire, Yoc.
chez les Soufis, voyez Prol. III, 142, dern.1.
XA*«~ accusation, calomnie, Aie. (acusacion, calunia).
avec la note de M. de Slane. 9
C_y- a
ccuqation calomnie, Aie. (acusacion, ca-
lunia).
rendre la vue plus perçante, M. - accusé, Voc., Aie. (acusado).
XS. pl. U des pains de froment minces, sur ~~-~e accusateur, calomniateur, Yoc., Aie. (acu-
lesquels on aétendu du
dibs ou du beurre et répandu sador, caluniador, malsin).
du sésame, Ztschr. XI, 517, M, R. N. 61 vo: tJU >
voyez ~->~.
~'-A-~r*
nom d'une plante, Bait. I, 130 d; en persan
~L~~-j
< est Virga pastoris et catptHa~;tjL~-~-j ou
V o«~' donner contre un écueil, échouer (navire),
Aie. (encallarse la nave). N'ayant jamais rencontré
ce verbe et n'en connaissant pas l'origine, j'ignore si
la dernière lettre est un un ou un j
y
fjMji tarentule, Bc (Barb.).
I.
's-5 ,? pl. ancre, J. A. 1841, I, 588. leur) , aor. o, déteindre (se déteindre, perdre sa cou-
Bc.
~X~-j, en Ifrîkiya, Aristolochia rotunda, Bait. I, 525 c; II et V dénominatifs de Voc. (va lentiginosus).
leçon de ADL; ES <4~~ comme dans le man. 13 (3); o
H Ijij-J «gomme odorante qui vient de l'Inde; elle
sert comme parfum, et comme remède pour ceux qui
»
ont pris du bendj, Pagni 204; espèce de conserve
*L~. Comme la maladie indiquée par ce terme enivrante, Lane M. E. II, 42, 1001 N. II, 66, 4:
Hbrt
pl. (jàîjj galiote (long bateau couvert), Bc,
127. Marmol a trouvé en Egypte de très-grandes
barques qu'il nomme burchos ou burchios, I, 18b,
• 1 cacheter une
latin: «perseus portans caput algol,» en arabe: «uar- (esp.) persil, Aie. (perexil).
seus hamul raz algol.»
II rendre lépreux, Voc.
V être lépreux, Voc.
lépreux, L (leprosus),Voc.
)
tU~
-
menudas atadas, haz de lena, manojo o manada).
-O-
O-
(syr.) sorte d'ancien médicament composé, M.
/~wUo.J
m
nom d'une pierre précieuse, 1001 N. Bresl.
120, 4 a f.
(ji'iby seuil d'une porte, M. II et V dans le Voc. sous exccllero et sous fa-
cundus.
, 1galoper, Hbrt 183, 1001 N. I, 8, 8 a f., Bresl. &zi,.à
génie (inspiration, faculté de créer), Bc. —
I, 168, 2. Eloquence, Voc. — = bonne et franche volonté,
iLo (AB) remède pour ceux qui ont dans le
Saadiah ps. 54, ps. 68 dans le commentaire.
gosier une arête ou un osselet, Bait. II, 483 c.
£J\J. Le pl. -,Leé"
< Ibn-Dihya 7 ro (Wright).
des actes purement facultatifs (do Slane)
ou (esp. portai), pl.
Prol. I, 71, 10, 403, 14.
fibule, portique,voc., Aie. (portai de fuera (et de
dentro) de casa, patin entre colunas), Macc. I, 253,
Dans le Calendr. 59, 3, on trouve le pl. y, avec taire, Most. v° la 4e espèce (je cite d'après
le fâ. Proverbes :~
JLh.ft
cada gorrion con su espigon; 0-==-'
y en castillan:
I:!J"",-:! -~~'~-
N, car ce passage manque en partie dans Lm):
l.
,
pl. ~J~-J~~ savate, vieux soulier, Bc. Dans le '~e~ plein depuces, Aie. (pulgoso Heno de pulgas).
vers cité par Soyoutî apud de Sacy Chrest. I, 146, >
(pers. vJj-êjJ), pl. J~-~~-j, n. d'un. S, froment
1, le dernier mot
.,
~verrueyYoc., Aie. (berruga), Gl. Manç. v°
jJ:..t pl. of sandale de corde, faite avec du chanvre
ou du sparte, Alc. qui écrit pârga (alpargate, espar-
tefia). Dans le Voc. avarca, ce qui confirme ce que ~VSjt pl. ~0.J!H substantivement nuage qui renferme
j'ai dit (GI. Esp. 373) sur l'origine basque de ce mot.
cabane construite de paille, hutte, baraque, des éclairs, P. Weijers 34, 3; éclair y P. de Sacy
— Pl. Chrest. I, 11, dern. 1. — ~L~~
—
ji
Aie. (casa pagiza pequena); cf. Gl. Esp. 236; je con- 0.;!HP 1001
tinue à croire (cf. Simonet 271) que ce mot est d'ori- N. Bresl. XII, 223, 9.
gine berbère. ,~~-j, ainsi au Maghrib (Alc., Gl. Manç.). Selon
le 01. Manç., la 4e espèce (cf. Lane), le miçrî, s'ap-
~UÎ
m
(turc ~t'is, Bc, Hbrt 85, M;'-
pelle aussi natron et ~CI~y D'après Bait. I,
tire-bourre,Ht. 187 c, le ~miçrî est de deux sortes: le natron et le
~j-î-ii (~j~-~
r~f? porphyre (sorte de marbre rouge ou vert et ta- ce dernier porte ce nom parce que les
boulangers en Egypte, après l'avoir dissous dans de
cheté), Bc.
l'eau, l'étendent sur le pain avant de le cuire, afin
1 c. ou à
sauter sur une personne qui est de donner plus de lustre et d'éclat à la croûte. L'es-
couchée ou assise,Voc. pèce dite ~s\J! ~<*) est la meilleure de toutes.
II, en parlant des plantes, bourgeonner, pousser, Il y en a aussi une qui s'appelle vuy-x-Ji ~3~-~ et
germery Voc.
IV, au fig., faire apparaître subitement comme la
foudre, Gl. Mosl.
C*.0~m
V quasi-passif de la IIe dans l'expression XAÂAC ~&ë)y. élément nitreux, Auw. I, 127, 17, où il faut
(3r^> Voc. lire ~X~~ avec le man. de Leyde, II, 156, 5 a f.
y
ü.,r. brillant (éclat, lustre), Bc. —Paillette petite = borax Bc.
plaque en or, Bc, Lane M. E. I, 67, 11, 401, 409, J»o£ à Malaga, Ilaia pastinaca, Bait.
~0.ré, II, 100 b. —
Descr. de l'Eg. XVIII, part. 1, 113. — ,j~J!
aventurine (pierre précieuse semée de paillettes d'or),
Onagre, s'il faut en croire Casiri I, 151.
Bc. — = v_»dl*xJl Most. sous ce dernier mot. 4-')L~J (pl.) assaisonnement yde l'huile ou un peu
~Sji (nabatéen). nommé dans l'Agri-
~\jtaA ~tëji (AB), de graisse; M.
culture nabatéenne, est un légume qui a reçu ce nom ~W
a. )
ï-~e verrues Aie. (berrugoso), dérivé
parce qu'il a été apporté d'Egypte (SY*-JL>- XJLA-J
~juia ~cy.), voyez Bait. I, 130b. ~> couvert de
(voyez)
~xbSjj éclat du teint, M. , parlant d'une partie d'habit qui se double sur une
autre. C'est ce qui explique cette expression Macc.
~îV" se déteindre et se salir (étoffe), M.
O>o>
x-s-j voyez Vêtem. 64 et suiv.; blanc dans tout croise sur la poitrine (Vêtem. 360, 361); comparez
le Hidjâz, Burton II,
15; en Syrie les femmes ne ~'»Sg.
portent pas ordinairement ce voile égyptien, Burck- sous
hardt Syria 407, 659 n. Porté quelquefois par des III. ~yysk &~L il le combattit sans rélâche, Cartâs
hommes, de peur du mauvais œil, ou quand, à cause
de leur beauté, ils redoutaient pour eux-mêmes les
107, 7 a f. - Bénir aussi c. à r., p. e. £ ~aJM~L
-
ples: Auw. II, 533, 3 et 4, 8 et 9, 557, 3, Cout. V. ~Wj+i
recevoir un sacrement, Bc.
9-
voyez AS'.-r..
~O
~éj-* a le pl. ~Alc.
Alc. (laguua, lavajal).
lavaj -
al ) — Le
°
<—~~! ti~JJLj. L'explication de Burckhardt, que j'ai
citée Vêtem. 64, n. 1, n'est pas exacte. — Le voile bois de la charrue, M.
ou rideau de la porte de la Ca'ba est appelé par les 'i!)j-j bagage, Maml. I, 1, 253; dans le Fakhri,
savants xot&t et par le peuple X~Ua 350, 6 et 8,
parce qu'on dit que Fâtima Chadjara ad-dorr, l'épouse
oi
«•«
du sultan aç-Çâlih, a été la première personne qui pl. (cat. bruc, esp. brugo, b. lat. brucus,
ait envoyé un tel rideau pour couvrir la porte de la de ~fipaÙKOç ou ~(3poû%oc) puceron, Voc.
Ca'ba. Il est en brocart noir et brodé, avec des in- voyez aLS^-j. — Rosace, rond de fleurs au
scriptions tirées du Coran en lettres d'or, Lane M. E.
~U** ifiet~
II, 272, Burton II, 235, Ali Bey II, 78. —
etuuu>
milieu d'un châle, Bc (du pers. J, feuille d'un
~Lçk= ~"V ~pi sortes d'oiseaux, Yâcout arbreP).
,
1, 885, 7. '\Sji
~«* cette partie d'un habit qui
se double sur une
1
~C-7tA mode de musique, Descr. de l'Eg. XIV, 29. autre et qui couvre la poitrine, Macc. II, 169, 9;
comparez sous -w*%e.- I. Je ne sais pas s'il faut mettre
~"CI,
clignement, clignotement (mouvement rapide,
~XSâji
cette signification rapport en avec
CI
'ii.j°x, poitrine, qui
continuel, involontaire des paupières), Bc. ne s'emploie qu'en parlant de la poitrine du chameau;
cependant je serais porté à le croire. — Comme sinus
en latin, sein en vieux français, baie, Lane trad. des
biens, la lenteur une source de maux, Bc. - ~jus»
VSnielle, herbe
1001 N,III, 107, n. 72. — Bassin d'un bain, Bc. - aux épices, Bc; — la semence de
5
,
I, 383 n.; cf. sous ~v—
la fleur du fenouil, Lane M. E.
-,
~'iS(canard) était la prononciation espagnole (Aie.
anade, pata; dans le Voc. ~Kil-i), pl. ~wy. Selon Shaw
I, 275, 277, ce n'est pas un nom spécifique, mais
générique. Chez Ht canard est ~viLj, pl. ~Js ~Sar-
celle, cet-celle, Aie. (cerceta ave).
arbre dans l'Inde, jacquier, Bat. III, 126-
~O*
7, IV, 228.
j.
3, avec la note de Hamaker 182-4, Quatremère
Quand al-Mançour l'Almohade eut fait frapper les
Becrî 51, Abbad. I, 316, 1, Amari 1, 2, 135, 136,
grands dînârs connus sous le nom de Ya'coubîs, il
144, 424, Djob. 34, 9, 324, 8, 327, 2 a f., 331, 20,
en envoya 200 au savant et lui fit dire: ~cr- 1i.-0 Cazwînî II, 144, 11, 12 et 14.
,
d..,à les présents que les agitas et les
câïds se font donner par leurs sujets. En esp. alboroc,
- 1 alboroque, est: pot-de-vin, épingles, ce qui- se donne
reçu de ce qu'il possède,sesmoyens, 1001 N.
Dieu,
I, 309, 12: Je ne puis vous donner autant que je par manière de présent aii delà du prix convenu, Cri.
Esp. 73—4.
voudrais, car je ne suis plus riche; !L\-F L\~- ~r CI.
(nom propre).
tiV-j-j
~CI, ~uU.>mémoire ~dapothi-
X-~~J! t~j~
~jJwc«mais prenez ceci; (je vous le
caire, mémoire porté trop haut, Bc.
donne) selon mes moyens.» — ~Provisions de bouche,
Ztschr. I, 157 (X_1\_j), car en avoir est une faveur
du ciel. — Faveur du ciel qu'on reçoit par l'entre-
o ~s-
cette espèce de gros camelot que les Français
appellent bouracan, les Espagnols barracan un
manteau fait de cette étoffe. Plus tard on a appliqué
;-
mise d'un homme, cadeau, gratificationy 01. Esp. 73,
ce nom à, des manteaux faitsd'étoffes plus fines, et
plus précieuses, mais qui étaient taillés à la façon
lit:
des anciens barracâns, Vêtem. 68 et suiv. Chez Mo-
£
lsÛW
;
hammed ibn-Hâritb 319 on ~qV
:\S)4¡' X.
chose
êjJjf-A béat (qui fait le dévot), Bc.
Bc.
—
syphilis, Bc; aussi ~L-*-~ seul, Sang., Bc, Ht.
benoîte (plante), Bc.
~H!
-
1f.r"
V c.
ler 40
j
(=
J~a&!!; chez Bc c.
~L à < o 'CI,
~<
a le 1)1. en ~oî, Maml. I, 2, 79, où Qua-
VII. ~yuiJl ~j!
friser, v. n., être frisé, Bc.
VIII -.:.. VII chez Lane, 2e signification, Gl. Fragm.
tremère traduit caparaçons, Freytag Chrest. 101, 2 a f.
Aussi ~L~~, J. A. 1849, II, 319, n., 1. 10. X dans le sens de la Ire; une femme dit: ~~jj~
.M,.~
, ., ~(1,1 agiter,ébranler, secouer, Bc.
peut-être: tordre, tresser des fils.
II être agité, rouler (être agité par les vagues), Bc.
,
,; ~j«yj
acacia (arbre), comme traduisent Banqueri et
Clément-Mullet, Auw. I, 28, 2, II, 295, 21. — La
„ ~5 dans Freytag.
~S fleur jaune et odorante de Varbre nommé rl-01A si-?;u
t~t-~~
..,o'jft (fr.).
(voyez), Bait. I, 132 i, II, 86 j.
gues feuilles, Bait. I, 308 b: ~^J.
-
Le thym à lon-
JUualS
,
f)"~-!! WJLJ brelan (jeu de cartes), Bc.
Brolfaraoun, nom d'une plante, R. d. O. A.
~—*JL
Niebuhr R. II,
où A porte
215.
~A.
- Espèce de dattes,
VII, 286.
~J~-j mode de musique, Hœst 258. - ~C»>
~Uoyj espèce de sucrerie (-t^JLo), M; il est on con-
.j~JjJ, tradiction avec lui-même, car il dit d'abord que ce
en Egypte, herbe aux puces, l'espèce dont la
semence est rouge, M. v° (j<~a~; Fadj.Kju<*Jy), M mot est une altération du turc ~o*o ~y et ensuite il
VO ur lui attribue une étymologie arabe (f'< S'LÂJW^).
- ~':1'pot de
terre pour l'eau, Pallme 32, 157 (où
~S-A-
~Mji
il faut lire burma, au lieu de burna), Werne 17;
~J-j
+ ~>09
dgogne, L. (ciconia); cf.
~j
petit vase à conserver l'eau, Descr. de l'Eg. XVIII,
part. 2, 415. — Gourde, Burckhardt Nubia 201. —
~ip 1 croiser (tordre légèrement les fils), Bc.
du fil sur un peloton, Bc. -
Entortiller, Bc.
Rouler -- Foret, vrille, Bc, Hbrt 203. — Tire-balle (instrument
r.J? pour tirer une balle d'un fusil), Bc.— Vis, Bc. —
~jt-~ crêper, friser, Bc.
rond, tournoyer, tournailler,
-pirouetter,
Tourner, se ~mouvoir en
valser, Bc, M.
Lumière d'une arme à feu, Bc. — Pirouette, Bc. —
Tour de promenade, Bc.
— Parcourir, p. e. ~4Is ~U; rt-à «il a parcouru ~Qyoj quatre-temps (trois jours de jeûne dans cha-
toute la ville,» Bc. — ~K-.A t'T-~ faire un tour de
que saison), Bc, Hbrt 154.
promenadey Bc. — Tourner, mouvoir en rond,Bc;
III, ^jî- Descr. de rEg. XVII, 199: On fabrique «
c. y r., 1001 N. 420, 3:
J
~wCl, ..CI'
comme Defr. l'a observé p. 323, Bg 802 (même faute), xxjjj, au Maghrib Xxiyj, car ces voyelles se trou-
Palgrave II, 80.
X-».jjyj pl.
-
Bague, Daumas V. A. 173.
vent dans le Gl. Manç. (in voce) et l'esp. a albornia.
est la forme qu'on emploie au- — L'esp. bernia chez Aie. (do Hibemia);, Victor:
jourd'hui en Algérie au lieu de corde en poil
«manteau ou robe fourrée de peau do loup, ou
d'autre peau velue, capote, vêtement rustique à la
de chameau ou de chèvre, avec laquelle les Arabes se façon des Irlandais;)) l'Acad.: gros drap de laine do
ceignent la tête par-dessus le haik, Dict. berb. ~VO différentes couleurs, dont on faisait des manteaux qui
corde, Cherb., Prax R. d. O. A. V, 220, Carette Ka-
bylie I, 380, Carteron 61. y~y
portaient le même nom.»
~ji ~crucheyVoc.
~oî,etpl.
CjDyà pl.
~1Iz,chaudronnier, Aie. (calderero). — Cordier, M. •*»«» ~«m
(esp. barrena), pl. +*
* ~CI> (espèce d'étoffe,
~-*-~ voyez Lane) forme au pl. tarière, vrille, GI. Esp. 375-6, Auw. I, 561, 2, Voc.;
~fJÛS, Tha'âlibî Latâïf 114, 4, 119, 7. cf. Simonet 272.
9 ~CI
~ro-A~o»pl. ~-A
,
corde, Gl. Esp. 304. — Rouleau ~~Lt~ (esp. borracha) pl. -.,Ji cuve, tonneau, pour
(bois cylindrique), Bc.
— Bistourné (cheval), Daumas le vin, Aie. (bota de vino).
V. A. 189. — Nom d'une graminée, Prax R. d. O. A.
VIII, 282.
~~<~o.j sorte d'oiseau, Yâcout I, 885, 14; chez Caz- table d'un livre, table des chapitres, Domb. 78, Ht
~wlnl .c~. (qui écrivent ~-*-~t~), Abbad. II, 166, 8, nommée
2 ,CI.
~~X~.J, Barmécide, = généreux, M. - .)~ aussi t~nà~ gvoliy, Aie. (recapitulacion). — Réper-
toire de jurisprudence, précis des opinions des juris-
espèce de parfum qui tire son nom des Barmécides, consultes d'une secte par ordre de matières. Dans
J. A. 1861, I, 119. ces ouvrages on expose en peu de paroles, et avec
le moins de remplissage possible, les questions dont
~r. ~Ç'
iC-oCay même sens, J. A. 1. 1.: K.<t-~-~ Xj~j.~ et on traite et les preuves qu'on y emploie, Prol. HT,
11, n., dern. 1., 13, dern. 1., 250, 6. — Répertoire
où ron note les noms de ses professeurs, des détails rable, Voc.
leur vie, et les traditions qu'ils ont communiquées,
sur
Macc. I, 809, 3, 818, 2,
843, 874, 8, 4, #• ~C 1
II, 659, (jK~f~ grimacer, Bc.
12, 769, 18, Autob. 198 r°. — Chez Aie. «nota de ~oyy
formulario,» que Nebrija traduit par formula. (JwaiiyJ, Amari Dipl. 76, 8, est, selon l'éditeur (411,
n. 8), l'italien baroncello, fripon, coquin.
~Q++
x-i+j—J «belle plante à larges feuilles, »
Richardson
~&~.j et ~J
Central I, 180. = ~jyj (voyez), Bait. I, 129 c.
# .CI,
0+
(je ne sais si ces voyelles, données par Freytag, C)j ¡? bourdonner, Aie. (zunbar). — Forer,percer avec
1
(pers.)1 c-1,
Most. vo ~,
armoise, herbe de la Saint-Jean,
Bait. I, 283 h, Sang., Bc, Bg 813.
Au Maghrib, selon le Gl. Manç., on ne savait pas au
~*~~ xplante qui porte une poudre qui sert pour la
~teinture,J) Vansleb 99; «elle a une petite tige pote-
lée, comme un champignon, et à la cime un bouton
«
juste ce que c'est.
même de la grosseur d'une noix, lequel est plein d'une.
•
~O poudre, dont les teinturiers se servent pour la tein-
sens, Bg 813.
(turc) ture. Ses feuilles sont aussi minces que celles du
gaze (étoffe très-claire), Bc; crêpe, Bg
chez Bc crêpe ~estrj ~j cf. Burton II, 15
(burunjuk). — Ecrit ~L~J~, turban noir des Mau-
.CI-
pavot,» id. 333.
~«.
Ct+
vulg. ~~j~, espèce de gomme odorante, Pagni
204, où il faut lire avec le Ms.: «volgarmente si dice
;
resques, Cherb. l'imam de Constantine: <~~L~J< Barnabl o Bernabï.»
l
bonnet haut, qu'on mettait sur la tête des criminels pl. ~elà, pour ~.f~t emplâtre, G1. Esp. 88, Voc.
quand on les promenait publiquement, J. A. 1847,
+U*
~il, 420, Athîr VIII, 69, 4 a f., 205, 2 af. (lisez: 1 c. ~OC r., Bc ~(VOargumenter), Gl. Maw.
~a43 U~r~ IX, 412, 3, 413, 7 af.; nommé
.K..L' ,~ Khallic.
~Q-P ~CIiJ
prodige,
miracle, Bat. III, 81 (parce que c'est
XI, 73, 7. — Capuchon, Augustin une preuve de la puissance surnaturelle d'un saint).
9.
-« Le bcrnous rouge, marque du commandement,»
Vf
Martin 89.
—
u~~-!~ J.==-. ou (j~~J! les pré- ~-i sorte do poisson, Yâcout I, 886, 2.
,
sents que les aghas et les câïds se font donner par
leurs sujets Sandoval 322.
—
(~*.~! <J~-~ arrière-
faix, tunique qui enveloppe le foetits, Bc, M.
cel.à bourrache, Bc.
fi.
,
bordure de bois autour d'untableau)
au lieu de
(outil), Bc.
~CI
!tt—~—~
,
~XjlyjîverruesyL(verrueeSu^M).
canif, Hbrt 112 (écrit ~oy
A^>-c) ;
chez Payno Smith 1134. — Plane
;
qui emporte alors des morceaux cotonneux; on lave
va. 16.
ces morceaux et l'on en retire la laine brisée dite
berroual,» Godard I, 210.
~!)~ (chambellan)s'écrit aussi chez les Turcs reta), ou ital. Daumas (bori-etta.», pl. J~j,
~wl et
Seldjoucides de l'Asie-Mineure, le principal ministre,
Maml. 1, 2, 57. chapeau des Européens; en Algérie les Arabe dési-
(grec) bryone, coulettcrée, Bait. I, 131 e.
gnent par ce mot les képis des soldats français et
même en général, toute coiffure française, Bc, Bg 165,
(esp.)
< ~>
sorte de drap noir très-gros, Alc.(bruneta
799, Hbrt 21, Daumas Kabylie 234, 349, Delap. 79.
~jj
pano). chapelier, Bc, Hbrt 83.
l5.p I. Au fig. ~^5-^5 ~LM) faire du bien et du mal, ~MLt~ (Daumas MS) cousin (insecte), Daumas V. A.432.
Abbad. III, 171, n. 129; comparez aussi avec les
i
il
deux phrases que j'y ai citées, Macc. II, 758, vs.
fit du mal aux
ceux qui lui obéissaient. Dans
le vers Prol. III, 402,15 de Slane traduit tour-
»
espèce
lire chez Bait.
(jww-ôjj ou
de chêne. C'est ainsi que je crois devoir
I, 132
~(j-w-Ujj sans
f, 183 d, où mes man. portent
points, car Bait. dit que c'est
un nom grec, et l'on y reconnaît facilement ~irpïvoç
menter. — Couper, en parlant de pierres tranchantes, yeuse, chêne vert. Seulement il semble le confondre
Becrî 54, 13. — Planer (unir, polir), Bc. — User avec une autre espèce de chêne, puisqu'il donne -J<~,
(diminuer par le frottement), Bc. — L donne: curât lo latin suber, c.-à-d. liége, comme le nom do cet
arbre dans la 'adjamiya al-Andalos.
II monter sur unemontagne, Aie. (amontar). ~-!~ crottin des chèvres et des moutons, Cherb.
~«I
III est le synonyme do ~{jeje,
non-seulementdans fi 1 bourgeonner, boutonner, Bc.
le sens de rivaliser avec, imiter, mais aussi dans ce-
lui de être vis-à-vis de, Amari 338, 1, où il faut
restituer la leçon du man. (cf. l'Appendice). Bc, Ztschr. XXII, 134; chez les quadrupèdes, trayon,
IV comme la Irc, tailler une plume, Voc., Aie. bout dit pis, Bc. Par extension, mamelle, téton, Bc,
(cortar pendola, tajar pendola). M, Hbrt 3, Ht, Payne Smith 1284, 1001 N. Bresl.
-
VII se construit aussi avec
~Lj.
I, 342,
278 çyljii
~G
II, 280.
avec beaucoup de KILU dent-de-cltictt (plante), Be.
lampsalle, herbe aux matneUes, Be.
- f:.J'
mamelle y Bc.
Be. lendr. 67, 5, 5j, 0uU-Ja à herbe aux pucesy
~O*
~»)L^ = X-WLMAOmacis, Bc.
a
~CI
~!-j~ pl. épice, Voc., Aie. (especia de espe-
~ô-j, chez Freytag (copié par M), n'existe pas. Freytag ciero).
l'a pris dans Berg, qui s'est laissé tromper par une ~w?
fausse leçon; voyez Gildemeister, Catal. des man. or. jjjju* <-'~ vin épicé, Aie. (vino con especias).
w
Voc. vo salsamentum.
;
~»G.»
~~j-~ (pers.) mode de musique, M.
.0.1
V être orné, s'embellir,Voc.
teur, M.
pl. ~c!-j beau, Voc.
XCIJJ beauté, Voc.
Maml. I, 1, 251.
~j)1- II dissiper son bien, Bc. — Voyez la Ve forme. ~jiJ II c. a. dans le Voc. sous oriri.
V quasi-passif de la IIe, être épicé, Voc. — Sepro- ~,C., l'endroit où la lune
se lève, Gl. Fragm.
diguer, Cherb. Dial. 5:
&53J1*
~~r~j-~ 13 lo
trad. littér.: «mais combien cela (serait
0», ft II saliver (rendre beaucoup de salive),
«j—^
Bc. -
agréable) à moi (que) je me prodiguasse pour eux C. a. Voc. sous spuere. ecit ut semen
3j-à fecit
:
d'une prodigalité bonne; trad. libre «mais j'aurais
voulu les recevoir avec un peu plus de pompe.»
—
emitteret pénis, 1001 N. Bresl.
~(
XI, 110,
semm
3 af.
j
V dans le Voc. sous spuere.
~CI ( ~M
~jji pepin, Hbrt 52, noyau, Ht. — ~jà seul = O\.;\JH.Jp ~Lj. -6âji ~Lj sélénite, Bait. I, 499 d.
~i-j dans le Voc. sous spuere. — Escargot,
Hbrt 68.
~L
~XSÎJJ limace, Bc, limaçon, Bg. - Doit désigner
un objet fait de verre; dans le man. de l'Escurial
Le pl. » et ~};'
~oB
Colchicum autumnale (
~c drogues, :
~#
Sang. - X, Le pl. du pl. épices, 1001 ~&' j.Lan, (Simonet).
N. Bresl. 134, 5, où Macn. a
Bezrebat, graine qu'on envoyait d'Egypte à Jérusa-
- ~«•O
(ïjjï* ~,0
(pour ~j~) lancette, Domb. 90.
lem pour en faire des chapelets qui étaient achetés ~Jft 1, 3e signif. chez Freytag et Lane, n. d'act. ~Jj.?
par les pèlerins de la Chrétienté, Descr. de l'Eg.
XVII, 314. -
XibiM-îyS» jji barbotine (semence, poudre
et ~jip, Gl. Mosl. — En chirurgie faire une incision
,
fenugrec, du Nigella sativa et de l'anis. Le mot
quebrado potroso). Xj~*~~ signifie aussi: la farine qui provient du fruit
du Nebek, Burckhardt Syria 603; Bg 269: «iw-ywo
(pers. maquereau, qui fait métier de pros- farine faite avec du fruit sec de Nèbek ou Rhamnus
tituer des filles, M. Lotus, qui vient en abondance dans le Wâdi-Feyrân;
les bédouins de ces contrées la conservent dans des
1 c. y r. étendre du beurre, du miel, sur du pain, sacs de cuir, et s'en servent surtout dans leurs voyages;
ils la délayent dans du lait doux, et la mangent comme
où l'éd. Macn. porte par erreur un brouet très-nourrissant et rafraîchissant.»
—
Baiser, Voc. (jwllo bassin de chaise percée ou pot de chambre,
VII recevoir un baiser, Voc. Aie. (bacin o servidor, servidor bacin, potro para
CI , CI
(pers. U.,.à.), adverbe, assez, c'est assez, Bc, orinar). Il écrit bactç et beetç. Dans la première
partie du
me parait pas
Voc.:latrina ; cette explication ne
exacte; dans la seconde partie: pot
r
1J:j bistorte (plante), Bc.
.A~~ 1 c. a. dans le Voc. sous viridarium; faire unjardin,M.
(olla). ~,prononcé basais à la manière espa- II croître dans les jardins, Ibn-Loyon15 ro: ,;uI.\1.
gnole, me semble bacis, le plur. du cat. bacf (esp.
bacicît (~),becîcin ;
bacin). Chez Aie. le pl. du mot arabe est bacicî,
dans le Voc. ol. — Sorte de
poisson, Yâcout I, 886, 7; mais les voyelles, et
sous viridarium.
~jj. La IIe forme est aussi dans le Yoc.
~Jb.U! ?
Maghrib et en Espagne, Bait. I, 140 a, Most. sous
et sous eiLà-1 (= «aôljjîj et SX*£),
L (maratro), Voc., Aie. (hinojo), Pagni MS, Bc,
(le man. de Leyde porte au
lieu du de Banqueri); Bait. I, 4b: \::.l'-+-W'
Calendr. 33, 4, où l'ancienne traduction latine a fe-
~c~ 9 0*
(ital. bastoni) pique (une des deux couleurs
noires des cartes), Bc.
Aie. (macias una especie, mais lisez bizbâç, au lieu
de bizbaâ), Bc, Bait. I, 137 a, Bat. IV, 243. —
Anis, Prax R. d. O. A. VIII, 280. — dJL~ yd-yao (corail) est écrit dans les deux man. du
sassafras, Pagni MS. Most. et dans le Gl. Manç.; dans Bait. A 137 b I,
chez Bc L\~u.
~i~--
dattes quand elles jaunissent, Prax. R. d.
les
O. A. V, 212 (bisir); — dattes rabougries, Bc; —
voyez sous .-o. - -j~j cancamum
pl.
plication de Daumas V. A. 381 est erronée.
te.-. (pers.) CI 9
ou ménole,)) Ouaday 579, 716;
poisson). C'est gr. mod.
- sardine,
et
Bg (vo
l'on écrit
vanne à l'embouchure d'une
rivière ou d'un ruisseau, M. aussi voyez de Sacy Abdallatif 285-8.
4
-)-"> ou (cf. Lane) fie (ficus, marisca), Aie. m:.-C:e X-Aa à — Donner en abondance (cf.
(higo dolencia abaxo, cabrahigo enfermedad ^u*é\jS)]
Zahràwt 114 v°, dans son chapitre sur les maladies
chez Lane, Macc. I, 943, 1), No-
Mace. 1,
(« il
était du nombre de ceux qui possèdent de gran.
des richesses»); — donner, Akhbâr 27, 4 a f.; —
w > hémorroïdal,
<~~L p. e. C4CjU*.w«flux de
accorder, p. e. l'amân, Haiyân-Bassâm III, 63 vo:
sang hémorroïdal, » Bc. QIO^I Akhbâr 48, 2 et 3. De même
***-} étendre, au fig., r-jel ~c<-~.U~jrt—~
1 qu'on dit VJAUJI ^.AUC Ja^-J (Lane, Abd-al-wâhid 66,
Haiyân 77 vo. — Etendre par-dessus, couvrir, Macc.
J!~-~! J~—~!.
- Pour exprimer que quelqu'un est
i
libéral, qu'il aime à donner, on dit: A_JA_J
j~JJ, Macc. II, 404,19. — L'expression ~\j~ jA~! «il lui donna plein pouvoir sur l'argent,» Kha-
signifie joindre les mains, mais en ce sens que les tîb 68 vO. — -W.*"t* développement, Bc.
paumes et les pouces des mains droites se touchent IV égayer, réjouir, divertir, dérider, Hbrt 226,
sans serrement; on le fait quand on contracte un Bc; Jaj*oï «produire un grand effet sur les
engagement qui doit être sacré; voyez Jackson Timb. spectateurs, leur plaire,» Bc.
289 et comparez Abd-al-wâhid 134, 3 a f., qui dit
.J~ «joignez a cela quelle avait acquis des sous - Breuvage ou pilules faites avec les
feuilles du chanvre, Bc, Burckhardt Arab. I, 48 n,
connaissances considérables en médecine, de sorte
qu'elle pouvait s'étendre (parler au long) sur les Lane M. E. II, 40. — Numérateur (t. d'arithm.), Bc.
éléments de cette science,» Haiyân-Bassâm dans mes
Notices 182, note, 1. 3 (afin qu'on ne change pas
Xhw> i
contentement, Cherb. Dial. 7. — Pièce d'é-
toffe, Ht, Roland, Delap. 103, Bc (Barb.).
LF en 4J, j'observerai que le man. B a les mêmes — A
pour
J~-~-!(~~JLj!
L~cUuJ~t-j! ~* (==
f. ;
faire creuser des canaux d'irri-
gation), Macc. I, 374, 3 a
(d'un miroir), Prol. III, 65, 12; ^5
surface plane
Haiyân-Bassâm I, 30 ro.
— C. g* p. (de même que
c. & p.) traiter quelqu'un avec bienveillance, luiparler 1351 et celui de Londres); II, 166, 4, en parlant
-
379, 7, 392, 2
~SU;
Paris)
sens.
aussi
Macc.
-
~*o_b
II,
a.1
3J~L~
a 1,
,
456
437,
: ~iXs»
8
on dit
libéral, qui aime à donner, 1001 N.
I, 199, 5. Aussi ~b~~e seul, avec de la chose
y
qu'on donne, Macc. III, 675, 18: jJlxJb U-~~ ~C)W
~¥')4 L~O~&e. — Etendu, grand, large, de grande
dimension, en parlant de pierres, Djob. 84, 9, 164,
10, de créneaux, Djob. 98, 7, de plats, Djob. 152,
~OyJj,
Djob. 102, 16. Ces dernières paroles se trouvent aussi
»
Il
JL-;-~,
j
bonne santé, gaillard, dispos, Bc, M.
~— —
à largement, au large, d'une manière large,
Bc.
Bc.
--
Horizontal; ~'x*K'.«cadran horizontal,» jUxwrfO bottines des paysans, Bg 801.
C. y parlant au long sur, Mi'yâr 11, 4. —
jlhM» (esp.) pastel, Aie. (pastel para tenir). Pl.
Surface, ~J!J-~~J, Prol. I, 156, 9. — Terre —
~ot pdté, mets mis en pâte, Aie. (pastel de carne).
ferme, continent, Prol. I, 93, 14. — Parterre, car-
reau ou compartiment de fleurs, Macc. I, 639, n. a (turc &~~-u~L) viande désossée,battue, salée,
(aussi dans l'édit. de Boulac).
pressurée et séchée à l'air, M.
~XLLMO l'état d'une substance simple, composée
non
de parties, simplicité, Mong. CLIV, Voc., BC, Prol.
II, 306, 14, 353, 1. -
Naïveté,ingénuité, simpli-
cité; X—bL-<~-t-J naïvement, naturellement, rondement, 1*moà fougère (plante), Bait. 1, 140 b, qui explique
uniment, franchement, sans artifice, Bc; bonne foi, ce mot par ~Jf<->-~J!.
probité, Hbrt 231. — Gaîté (enjouement de style),
Bc. — ~KLLWJ affabilité, Bc. ~jL&~J polypode se trouve aussi chez Bc.
~~j~l&~J le fruit du ~ôLu, M.
pl. B
— maussadèrief Bo.
homme brave, courageux, Macc. II,
jj(~.j.
o ,
Dunant 202, en parlant des femmes de Tunis: J~b insipide, Domb. 105, Hbrt 14, Ht. — Bavard,
beskir, grand et long mouchoir brodé qui enveloppe
le menton et le bas du visage, et dont les bouts,
.,.
Ht. - Monotone, Bc. — Maussade, Bc.
arvense L., en ajoutant qu'aujourd'hui on écrit plus CY»A_mA..àet ~ij, chat; c'est peut-être une altération
ordinairement ~xL*o. Cette dernière forme se trouve de (j<~~, dimin. de (j*~, M.
O}-"*-? ~m q^wsao,
>
et sorte de breuvage empoi-
sonné, Cout. 31 vo.
,
le man. (voyez n. 2), 130, 12, 17, 18, où il faut
substituer trois fois XJL~J~ à XJLJ~, 713, 14, où il SiyÀMKi = KjuL>, Payne Smith 1172.
faut restituer le ~iJL~-J! du man. (voyez n. 1), et chez ) 0"
CaawxwO (esp.) bissextil, Aie. (bisiesto).
Bc. La forme ~X—w-j se trouve chez Bat. IV, 335
(bL~-j dans l'édit.). On écrit aussi Bait. II,
~(J^J,
vulg. pour ^b, comment; ~LêJu ~{Ji^
ou ~qSu
«comment vous nommez-vous ?»Voc.
~(j~ I, n. d'act. iCSiLio, c.
aor. a, p., aller joyeu-
sement à la rencontre de quelqu'un, parce qu'on est
bien-aise de le voir, Voc. — ~Jb se popu-
biffez le 1S4-? de Sonth.), II, 102 b: u'J---.tt ~LJLS- lariser (se familiariser), Bc.
débarrasser des mouches, les chasser, Bc.
- ^IxXiî ~uiu émoucher,
~L~JL (AB); Auw. II, 99, 3; chez Ht XJL~. Cf.
II caresser, flatter, faire un bon accueil, Aie.
Descr. de l'Eg. XVII, 89 (besilleh). L'étymologie pro- (halagar, regalar halagando).
posée par Abou-Hanifa est sans doute erronée. Le VII commencer à s'égayeraprès avoir été affligé,
mot n'est ni d'origine arabe, ni d'origine persane (cf.
;
Bc. — ~O)l; ~*>3 ~~s (jii-ôi semble signifier sourire à
la note sur Bat. 1.1.), car le ~JL~j des dict. persans quelqu'un, de même qu'on dit en ce sens à ~L-~~
n'est qu'une mauvaise prononciation de x_J—««—j. Il
t-~L~U! cf. Lane sous la Ire forme et ci-des-
dérive du latin «piselli,» diminutif de «pisum,» qui
s'est conservé dans l'italien «piselli» et dans le fran- SOUS (J~~J.
çais «bisailles.» (j~~j
y
affable, Hbrt 233, Bc, courtois, Bc.
— De bonne
composition (d'humeur facile), agréable, Bc. — Enjoué,
riant, Hbrt 226, Bc; chez Bc riant (gracieux, qui
marque de la gatté = tik^Uo).
— ~u~ ~M>3 air
doux, agréable, gai, serein, Bc. — Le Yoo. a ce
»
mot sous «asurgere et sous «preceps. »-
= jJ*j~,
Most. sous ce dernier mot (dans N; La (jà^io).
~I
;
garniture de lit ou de chambre pour garantir des
X^iL^o affabilité, Bc, Ht, courtoisie, Bc. — En- ~);
iouement, bonne humeur, Bc. — douceur
cousins (appelés en persan ~&-~
— le lit, ou la
du visage, Bc. - ~ïLSiLio l'influence excitante chambre, qui a un moustiquaire, Fleischer Gl. 56 et
,
de la foi, Prol. III, 34, 6 (où il faut lire JÛ&L£O, dans son éd. des 1001 N. XII,Vorwort 92; ajoutez
de Slane) Berb. II, 13, 10; aussi avec le sens aux passages qu'il cite 1001 N. Bresl. XII, 76, 8.
,
~x&Lâo, Chez Bc moustiquaire est mL~~L, et sous dais (poêle
d'influence excitante dans l'expression
Berb. I, 303, 10. en ciel de lit) il a je suppose que c'est une
faute d'impression pour ~XjLs^ùo.
O~j les feuilles de la coloquinte, Bait. I, 142 b;
; "Il 1 racler, ratisser des peaux;
selon A c'est un mot esp.: <~JjJ~! mais ces — gratter une écri-
ture pour l'enlever de dessus le papier, effacer des
paroles ne sont pas dans B; c'est un mot persan, M. mots avec un grattoir; aussi: raturer, effacer ce qui
est écrit, en passant quelques traits de plume par-
dessus, Lettre à M. Fleischer 78—81, L (derado,
c'est-à-dire avec la couleur naturelle de la laine, qui :
eradit), Voc. «radere pergamenum vel simile.w
sert à l'habillement des paysans et des femmes, Descr. II donner un présent à celui qui apporte une bonne
de l'Eg. XII, 280, 449 (bicht). — Casaque des Arabes
du désert, qui descend jusqu'au bas de la jambe, et nouvelle, Aie. (albriciar). — <~L
~-,L voir
en noir,
»
qui s'appelle «zeboun quand elle est plus longue et prévoir des malheurs, Bc. — Escrimer, faire des
de quelque prix, Bg 802 (bischté); manteau de laine armes, Aie. (blandear esgremir, esgremir blandeando).
blanc, Ztschr. XXII, 130; 1001 N. I, 877, 3 af.:
III toucher, Lettre à M. Fleischer 210; de même
;
espèce d'abâä 1001 N. Bresl. IX, 216: s~J~ &4=.D
juuLS, où l'édit. Macn. porte atLx.; M l'explique par
~K~ Chez Seetzen bùseht,» chez Rousseau
atlxc. Beert 24. — Tenir la main à, soigner, faire exécu-
«bichte,» comme l'a observé M. Defrémery Mémoires ter, Bc; ubua ~JJWLsoigner une affaire, s'en occuper,
159, qui a aussi dit avec raison que c'est le «boush» Bc; ~!~r4 procéder à quelque chose, Bc; ~.Lq
de ce passage de Burckhardt cité Vêtem. 92: « Les &j~~jï-~J! exécuter soi-même une chose, Bc; ~yib
abbas de Bagdad sont les plus estimés; ceux qu'on ~vJUJ \ja+i «recevoir l'argent en personne,» Berb. I,
fabrique à Hamah, à manches courtes et larges, sont
» »
nommés boush, et le «wischt du passage de Wild chose à certaines conditions), Bc. — ~i4
440, 9. — Entreprendre (s'engager à faire quelque
~JiXi
cité Vêtem. 433. En effet, ce voyageur écrit souvent remplir les fonctions d'ostâdâr, Maml. I, 1, 27. -
w, au lieu de b, p. e. « W ascha» pour Bascha, «Wul- C. a p. avoir des rapports personnels avec quelqu'un,
lach» pour Boulac (p. e. p. 154). Un autre ancien Prol. I, 248, 11, 317, 4, Berb. I, 483, 7 a f., 484,
voyageur allemand, Schiltberger, écrit de même «Wya- 3, II, 512, 2 a f. — C. a. p. tâcher de tuer soi-
sit» pour Bajazet. — Cuirasse, cotte de mailles, Payne même quelqu'un, Berb. II, 430, 11: K- ~o,l -r ~<~S!
Smith 1526, Bar Ali éd. Hoffmann no 4355. - V se réjouir, Diw. Hodz. 222, 3 a f.
bardache, Bc, M (cf. le pers. ~ïo).
VII quasi-passif de la Ire, Voc. v° radere.
~LX~JL~ (turc bx- cantine (coffret de voyage à
M.
pour
1, 148), ~jjLio n'est pas, je pense, le pl. de
Bc,
Ja*£u (pers. v^-£o) bardache, M.
,
à ce qu'il paraît, mais sans points: I, 51 b C a Hidjâz: des grains noirs qui viennent du Yémen et
dont on se sert pour guérir les maladies des yeux,
Bait. I, 141 208b, 249 g,
282 a. e,
9 0 -*
,~~iX-<~j .L~-~ pl. ~oî profil, Aie. (perfil).
semble l'esp. escalona, fr. échalote, Ibn-Loyon
39 vo (texte): voyez sur cet arbre Burckhardt Arab. II,
124. -
> CI,
Chez les Bédouins baume, Burton, II, 143.
II c. a. Voc. v° curiosus.
_bL+jwdb (AB), Bait. I, 354 b. Most.: ~iL~~-~.-~
V c. ~J Voc. v° curiosus. — Flatter, Voc.
~xJL&j curiosité, désir indiscret de savoir les affai- et voyelles de N; La Lj~L~~j. C'est TnzÇxfttôiov,
res, Voc. Fleischer Gl. 71. La forme plus correcte, J~L~Ju
~JL&j (voyez), est en usage en Egypte, et Bc dit que
curieux, indiscret, Voc.
-LL6-%à est employé en Barbarie; cependant on trouve
a
jL~J (esp.) bachelier, Aie. (bachiller); il a aussi ba- aussi ce mot chez Macrîzî (Maml. I, 2, 71). Cabbâb
«
chilleradgo»(baccalauréat) qu'il transcrit avec les
à
,
,
mêmes lettres.
~CI
biscuit de mer, Alg.); Domb. 60 (.bL..::>:).
Bait. AB I, 142 d, 261 a, qui dit que c'est un mot ~L~ (turc) pantoufle, portée seulement
espagnol; II, 408 e A ~JL~j, B xCiJb. C'est une ou
altération de basilica, un des noms de la gentiane; par les femmes et les faquîhs; ces pantoufles sont
de toutes les couleurs, mais les hommes ne portent
voyez Simonet 275, Dodonœus 599 a. que les jaunes dites notes man. de l'imâm
# #
cUL~ de Constantine (^L-&j); Prax R. d. O. A. VI, 339:
(turc sJLL&L) cape (capot), Bg. «Dans le harem, les femmes de Tunis chaussent des
~»iwA 1 II
II c.a.
a.Voc.
o.
souscrapulari; dégoûtant,
Voc.souscrapulari; dégodtant,
pantoufles en maroquin rouge ou vert appelées bech-
mak;» Carette Géogr. 96; Dunant 201; DaumasV.
causant du dégoût, en parlant de mets, Aie. (hastioso A. 488.
l'officier
, qui portait les pantoufles du sul- à quelqu'un, lui lancer un coup d'oeil pour lui faire
0,0»o»
119, 1.
Xxa»Aaj
~.1. II (de l'esp. pestana) clignoter, cligner des yeux, lorgnerie, Bc.
remuer les paupières, Aie. (pestafiear, pestaneador jKkOMOi (semble formé de ~J<~~M~J(voyez) et de la
~yïy*)-
-»
legros I, 141 a,
millet blanc; voyez Bait. 1,
termin. esp. ero) oiseleur, Aie. (caçador de aves, pa-
xarero caçador de aves).
J~JJ! (j~~MM ver luisant, Payne Smith 910.
Jackson Timb. 24, Ten Years 23, Daumas Sahara
- ~yo charbon ardent, Ztsehr. XXII, 123.
295, Richardson Sahara I, 334 n., Davidson 23, 25,
,
K~*j~u
Blaquiere I, 40 n., Rohlfs 87, Ghadamès 333, Bargès
137. jaaà I. La construction incorrecte c. a. dans le Voc.
8
M.
K-1-A-~-t (esp. pestana) cils, poils des
aussi c. ~vj r., Fakhrt 373, 6 a f.: %r4.4 ~yaJ ~Jî
374, 2 et 3.
paupières, Aie. (pestana del ojo).
~L = -L~~, Gl. Esp. 240.
VII être vu, Voc.
CI~y(espèce d'huître, cf. Freytag) voyez Bruce I,
209, 330, qui écrit «bisser.»
(JjJuio II se passer un mouchoir sous le menton, Bc.
1 ~CI~>le poisson à coquille ~(oLi^) quand il est
gl-àa-à
vJiJLào a probablement le même sens que X..s~
(ci-dessous), 1001 N. Bresl. II, 45: K-~o ~Siy>\ ~, séché, Burckhardt Syria 532 (bussra).
vJiJLio, où Macn. (I, 165, 3 a f.) a ~j»L5J~a—îJ-Jo et ~j.*.*n *
nom qu'on donne en Syrie à une sorte
l'éd. de Boulac (I, 60) oUÎLo 5. ,
d'oiseau de proie, que l'on nomme aussi !<~L->-j—~
et qL^*3Li Man. Escur. 893.
XJ~JL~ mouchoir passé sous le menton, Bc. t,>
Sj.&Aai plan, projet (= ~G
~^j) c. à de faire quel-
~m
~(Jûj 1 c. j
lorgner, regarder de côté, comme à la dé-
robée, Bc. — C. à mettre le nez dans, commencer à
étudier,Bc.
657, 15, Amari 185, 12, où il faut lire &j-jm~ au
,
II regarder fixement, fixer, Aie. (mirar en hito). lieu de ~tJya. (le man. porte i&yoj3, sans point). —
~*»n ) luisant, brillant dans l'obscurité, Ztschr.
~—SL~U ~-*—>-L ils revinrent à des sentiments plus
1
~CI
~vJL-û, !~j~ est proprement hymen, le repli membraneux
%-~J 1 = Abou'l-Walîd 104, 18 et 19; c'est
qui se trouve ordinairement, chez les vierges, à l'en-
étrange, mais il l'atteste formellement.
trée du vagin, Gl. Mosl.
n. d'act. X à
~Aa"':, Koseg. Chrest. 64, 11. — ~-o-
~iuuaj pl. ..,
~LAw
O
poumon, Voc. (pulmo); L a ~t-oà
Semen eiicere, Macc. II, 255, 6; cf. Add. et Corr.
et Lettre à M. Fleischer 189. sous pulmu. - J*-r"T~ XJUOOJ
gras de jambe, mollet,
II
saliver, rendre beaucoup de salive, Bc; sous Domb. chez Hbrt 5 ,*,LJ! ~iïu.
86, qui écrit. ~X*Lu;
;
Voc. - PI. £jLn_j viande sans os, Aie. (carne sin
J*,Aaà
i- ,
échalote, Aie. (escalonia cebolla); chez Bc. ~J
-- chez Bait. I, 143 ~~J~~J! UJ.
J&SA ciboule; aussi ~M ~JJLii, Bc. — jlâil ~~M, la
1. - huessos, desossado, pulpa carne sin guesso). — Viande
maigre, Aie. (flaca cosa magra, magra cosa). — Pou-
mon, Voc. — ~t3W\ K-CLJOJ gras de jambe, mollet,
sèille maritime, a été nommée ainsi parce qu'elle tue
les rats, Most., Auw. II, 385, 17, 18. On l'appelle
1001 N. II,
391, 6 a f.; cette signification est cer-
taine par l'anecdote 392, 1 et suiv.
489,
ou
7
,
et 8; Aie. (albarrana cebolla; cf. simiente de
puerros); — ou~jhJ>\ J~eu, Auw. I, 50, 2 a f.; —
~~J~ Auw. II, 386, 5; — ou ).Jl.
Auw. II, 386, 4; — ou ~QJCJ» ~Jokaj, Renou 264. —
,j«J~t~L! ~Jotai l'iris Macedonica de Pline, Auw. II,
277, 5 a f.; cf. Clément-Mullet II, 267, n. 2. —
Radis, Hœst 138.
, qu'ils eussent acquis des connaissances très-étendues
dans la science des traditions,» Prol. III, 6, 5;
«à
pour exprimer le contraire:
xLyJt, Khallic. I, 242,
.c-~LLu~!
De même:
~Cr ~XxLcaxji
8 SI.
cause de mon insuffisance,»
Bc. — Métier, profession, gagne-pain, Voc., Abbad.
J.,A..I.'•>
~«îs
!L.4L-4 ~.1;4
gros oignon, Cherb. II aplatir, Hbrt 194, Bc; cf. 1001 N. Bresl. IX,
jdL«aj scille, M. 885, 9 (Macn. ^).
V s'aplatir, Bc.
~j
oison, au fig., idiot, Bc.
creuse (oiseau aquatique),
Bc.
les oiseaux, Yâcout I, 885, 15.
—
- ~Xlw,
wa-
~JaJI parmi neutre, s'étendre, se coucher sur le ventre, coucher la
face contre terre, Bc. — Frapper, 1001 N. Bresl. IX,
~KI pâté, goutte d'encre sur le papier, Bc.
J.~ÎM pl. ot mule, chaussure sans quartier, Payne
Smith 1521 (5 fois), Bar Ali éd. Hoffmann, no 4349.
~LbLhi,
n. d'un. ~ij, plante dont le fruit s'appelle
V c. j r. entreprendre, M.
~my
ï-t-u
«m s»*y
tonne, Me. — Hune, sorte d'écha-
= a^viaj pl. ~LLu plaine, plate
;
~X-yô
campagne, Voc., Aie.
faud au haut du mât, 1001 N. I, 103, 6 a f. (= (canpo raso como vega, vega canpo llano). — Place,
Bresl. I,
261, dern. 1.). lieu public entouréde batiments, J. A. 1852, II, 222, 9.
Jolûi qui ne fait rien, Voc. VO osciosus, où on ,
~CI
iLIssifaj ? - ~&S
voyez sous rfuajî.
lit ~m*vfrJsLîpj
«bllaj ~w ~O mais je soupçonne que l'édi- .iM.- Après «montana deletable,»
o ~CI
(voyez),
teur a eu tort d'ajouter le point et que l'expression Ale. a cet adjectif sous «montaña cosa asi.»
est:
~blku ~Jslbj
dans le sens de: battre le X^uçLu la femelle du
ver à soie quand elle est de-
pavé,flaner.
JaLxvo plat, écrasé (trop aplati); Jah»* ca- venue
-
~J -oS
papillon, M.
~>135
pl. ~Ê141 vallée, Abbad.
~ùB
mus, qui a le nez court et plat, I,
144, n. 415. —
~>û iIV.
~.f- *eULj\
0 fLii~~ ~îôi
~i «quand
Bc.
~u bétel, Bc.
~o'k gai, allègre, gaillard,
folâtre, fringant,
étaitlamarque,Gl.Fragm.
parmi les musulmans et dont une couronne (io-Lidl_lj')
étaitlamarque, Œ. Fragm.
égrillard, vif, guilleret, homme sans souci, pétu- Objlaj. QUU^LUJ\ les deux courroies
lant. Bc. lesquelles
avec
on attache la sandale, M.
0,0,la
dignité de patriarche, M.
réFsidence du patriarche, M.
résidence
— Ce mot et
jjh\j
£S 1
pl.
!4,64 même sens, Hbrt 126.
sorte de natte, M.
(du nom de lieu Pedroche), n. d'un
sens, M.
dans le sens de: il avait été saisi par Satan; of. 1.
t,¡;;" œuvé, (poisson) qui a des œufs, Bc.
~u. ~L~!. — C.
violent, Bc. —
à p. et assener (porter) un coup
~":-'r.
Faire une chose avec précipitation, Ale.
~LLj ~(irrêptç) fougère (plante), Bc. (apressurar), c. ~":-' r., jtjftilj (jàJii «prendre précipi-
tamment la fuite,» Sadi Gulistan 30, 6 éd. Semelet, tuer, Bc. — Falsifier, Aie. (falsar).
— Cesser, v. a.,
à r., Voc. faire cesser, Voc.,Bc, Macc. II, 358, 7, 1001 N.
ouc.
II donner un coup de poignard, Aie. (dar punalada). I, 251, 15: xxLUs» «il
cessa de coudre,» 337,
VII
1001 N.
c.
I, 110,
~ra
p. tomber avec force
6.
sur quelqu'un,
y
2: ~flXJtsyJLLu«elle cessa de pleurer,» 843, 7:
~<JLc fi:il cessa de le battre,» IV, 161, 2af.,
J
~(J£wLU. yiwLuj rapidement, Voc.
~-¡ , I, 661, 2 a f.: <~L~!! !t~~ ~JJaj «cessez cc discours,»
* un
~y.*'**
~OfT seul coup, 1001 N. I, 365, 4 a f. (je
rétracte le changement proposé Vêtem. 267, n. 3).
888, 10: «cesse le travail.» — Cesser,
Btach. Parmi les ouvrages de sparterie, Espina, v. n., tsiXÂe «j'ai cessé d'aller chez
R. d. O. A. XIII, 145, nomme: « des btach, pour lui» (aussi: «j'ai renoncé à aller»), Bc. — Rester
chameau.» oisif,fainéanter,chômer, ne rien faire, Voc., Bc,
p. e. ~Ax*il ~jlçi £
~JJJJ, Bc.
triomphant (superbe, pompeux), Bc. — Vaquer, être en va-
o&LLj grand navire à deux mâts, Domb. 100.
cances, Bc. -
Estropier, Voc.
v.&I2J
(ji'wLuJLi Y.;Ã" dar punalada).
—
s~bJ! J~-u! désaccoutumer, déshabituer; )3?*~~
-
II Yoc. v° cedula. désinfatuer, désabuser un homme infatué; — <~~UjJ!
iiïlLj en général billet, lettre, Abbad. disproportionner; — ~âL*j réfuter; — X-~laJ~ parer,
I, 209, n.
éviter un coup, Bc. — Emousser, ôter le tranchant,
55. — Epitaphe, Aie. (petafio). la pointe, Aie. (despuntar la punta, enbotar a otra
~JM 1 cesser, v. n., p. e.
déparler), Bc, ~*~*J~ ~cy.. ~CI- , ~J (cesser de parler,
de Sacy Chrest. I, b.,
6, et v. a., faire cesser, Bc (v° rompre, faire cesser, ren-
cosa, rebotar lo agudo). — Estropier, Aie. (lisiar o
danar, mancar de manos).
~'v.
1001 N. I,
1 ~~t~
~w
«on cessa de le frapper,»
~&JL&
189. — Vagabonder, Aie. (andar vagando).
dre nul).
nul)
»
-
X~t~~>JH.M
** «
il n'y eut pas d'office le ven-
dredi, Athîr X, 339,9. — Echouer, ne pas réussir, Bc.
— Etre estropié, Voc.
~JtLu héron, Me, Daumas V. A. 431.
;
~Kiyo ~gai
— Rater,Ht. — = il perdit la voix, en parlant ~U.M athlète, homme robuste, Bc. — N'ayant rien
d'un homme atteint de paralysie, Aghânî 29, 8 a f.
à faire, Tha'âlibî Latâïf 123, 10. — Licencieux (poète),
sq. ~i
~xJL* ~J^-Lu = il ne fut plus en état de Gl. Fragm.
marcher, Bait. I, 202 e. — Se dissoudre, se séparer,
L5.U= héroïque, Bc.
se rompre, Bc. —
>
S ~CI révocable,
sujet à la révo-
cation, Bc. — Etre privé de sentiment, de mouvement, ~çyk
o ~y l'action
d'émousser, d'êter le tranchant, la
en parlant d'un paralytique, Aghâni 29, 11, ou d'un pointe, Aie. (rebotadura en lo agudo). — Blessure,
membre atteint de paralysie, Aboulfeda III, 274, dern. fracture qui résulte d'un coup, Aie. (lésion como quiera).
— Paralysie, Aie. (perlesia dolencia). — Etre estropié,
Voc.
Amari 442, 2 a f., Ztschr. XX, 489, 10. — Racon-
KILL; nul, Bc. —
nullité,défaut qui rend un acte
ter des anecdotes, Ztschr. XX, .498.
II dissoudre, détruire,
Bc. — Déconcerter, rompre
les mesures, les desseins, Bc.
1001 N. III,
425, IV, 467. — Qui est en congé, Aie. (enforrar voiatidura7OL-.ALrL4
3 vestidura en-
Hbrt 116, qui est en vacances, Bc; en parlant d'une forrada, enforrada vestidura). — Couvrir de peau,
terre, qui est inculte, qui est en friche, l'opposé de doubler de peau, Aie. (enpellejar cobrir de pelleja).
~JlZc,«terra non laborabilis,» ancienne trad. latine — Vêtir, couvrir d'une saie, Aie. (ensayalar). —
C. cacher, Voc. — Plafonner, Cherb. Dial. 71,
d'une charte sicilienne chez Lello 14; en parlant de ~qUzaj plafonnage, ibid. 70.
— En parlant d'un édi.
papier, qui est vide, qui neportepas d'écriture, 1001 fice, couvrir de certaines pierres, Edrisi ~VII, 7 a f.:
N. I, 314, 13. Lorsqu'il n'y a pas de nom géogra-
phique sous telle ou telle combinaison de lettres,
Enlever la corne du pied du cheval qu'on ferre, Auw.
Yâcout écrit ~J'Jaj, rien, comme il écrit ailleurs ~JL>
II, 562, 14, 15, 17. — Fouler, donner un apprêt
0
jus );
voyez V, 53. — Homme stupide, ni-
~olf aux étoffes, Alc. (batanar). En ce sens ce verbe n'est
gaud, Light 15. — A Médine le peuple donne le pas d'origine arabe; c'est, comme M. Simonet, 274,
l'observe avec raison, l'esp. batanar (formé du subst.
nom de QySLLuJI à la dernière classe des eunuques, batan), b. lat. batare et batere, lat. batuere.
qui sont les bedeaux de la mosquée et auxquels est
confié le soin de la nettoyer, Burton I, 357. III c. a. p. se concerter secrètement avec quelqu'un,
Diwan d'Amro'l-
~$4 ~,-e3 = (chez
comploter avec quelqu'un, Gl. Bayân, Berb. I, 337,
)
Y c. p. tromper, M.
lanternes, fadaises, contes, Bc.
40
0-Ud.-A faussaire, Aie. (falsario).
X. Comparez avec :
Lane Berb. II, 331, dern. 1.:
- émoussé,
* ~O
3CL-- sans pointe, Aie. (boto no agudo, ~juLo(«qu'il portait caché entre ses autres habits);»
rebotada cosa). — Estropié, Gl. Esp. 235-6, Voc. —
Faible, languissant, Aie. (flaco que no se puede tener).
, Gl. Belâdz.
1
) ~O-
qMÂxLIzj ~JjLi)
~(rsXXivvj avec l'article copte) clou de mer (co- ~J.L <-~&L ~_,L (voyez Lane sous
,
de sa toison, Espina R. d. O. VIII, 342. Chez Pagni MS, qui dit que ces mots
A. XIII,
«batania
155, qui écrit d'abord «btana,» ensuite
;»
couverture bariolée en laine, Gl. Esp. 62,
signifient « agni cauda, » orobanclte. Comparez ~ijoyatu, ~o,
De Gubern. 117. — Douillette (sorte de vêtement), Bc. ~c. 1 p. envoyer chercher quelqu'un, Lettre à
~~Lj pansu, qui a M. Fleischer Berb. I, 70, 3; dans le même
38, sens
une grosse panse, Voc. —
c. J p. ou r., Miiller L. Z. 43, 1, 53, 6. -
Gourmand, Hbrt 245
-
Bc. seul envoyer une armée, Macc. I, 126, 2. -
~cou,
C. a. p.
.,
~Ojku hostile, Ht.
~unhabitfourré, Gl.GBadroun,
~un habit fourré~ l Badroun
Arab. I, 138, 10, Yâcout II, 792, 14.
,
Bibl. geogr.
Bc. Provenir, en parlant d'un arbre qui provient
d'un noyau, Auw. I, 264, 16; pousser, en parlant
d'un arbre, sortir, en parlant de bourgeons, Auw. I,
179, 17, 286, 9 (où il faut lire avec le man. de
Leyde jJLftJls, au lieu de rl.iiili). — Ressusciter (v. n.),
IXxijiaj(/SfTTOv/jeij) bétoine, Bc.
Gl. Badroun,Voc., Bc. — Se fâcher, se mettre en
colère, Autob. 216 v°: quand on eut raconté ces
141 ro il faut lire LçJLe.~jïjuà, au lieu (le L~J~j~~, sont brouillés avec leurs familles, Gl. Belâdz.
leçon de A (dans B ces paroles manquent). — Visi-
VIII se reléguer, se retirer, séquestrer, s'exiler
ter, Freytag Chrest. 121, 7af.:~a£<o ~dJ ~ai se
(au fig.); — &A~Mu ~if s'écarter, ne plus Joindre, Bc.
~lXju.
y Dans le passage J. A. 1849, II, 271, n. 1:
~u crevasse (fente de ce qui crève), Bc. — Hernie, crois qu'il se trompe. A mon avis ~Aju a ici sa si-
~0. gnification ordinaire, après, et le sens est: «il faut
Daumas V. A. 425.
prendre de préférence des peaux de moutons, mais,»
~jûu (proprement creveur) espèce de magicien
au etc. — ~j»^o ~Juu«un jour plus tard,.» Bc. —
Maghrib, qui emploie la magie pour crever le ventre
des bestiaux et des esclaves; voyez Prol. 131, III,
(t
15 et suiv.
~4XJL 1
n'est
c.chez les géographes et les voyageurs,
de bonne heure» (Kasraouan), Bc. — ~CIX- O s'em-
souvent que la négation de « être situé sur le ploie dans le sens de: qu'il vous soit donné de me
bord de la mer ou d'une rivière,» et signifie: être survivre! M. L'amant s'en sert en parlant à son amante,-
situé à une petite distance de. De même ~cXju~s" ,
petite
1001 N. Bresl. III, 193, 4af., 194, 1, 254, 4.
distance, ~«Xju et ~vXcLXe situé à une petite distance, ~J.aà voyez sous Jxà I. Le pl. alaàl, Abou'l-Wa-
— Vivre loin du prince, de la cour, ap-
Gl. Edrisi.
lid 364, 10. — En musique intervalles, Descr.
partenir à une classe inférieure de la société, l'opposé
de ~y}, souvent, p. e. Bidp. 277, 6.
— Etre invrai- de l'Eg. XIV, 17; ~JI&Î ~JoiJî octave, Bc.
semblable (cf. Lane) être impossible, Bassâm II, 113
HJuu. «JuuJJ
,
vo, Bait. II, 385 c, Prol. II, 181, 7, 227, 14, se
«5 au loin, dans un pays éloigné, Bc.
construit c. p., 1001 N. I, 89, 2af.: ~Jujux-j L
..-tjuu après coup, trop tard, Bc.
~Jl*«il ne m'est pas impossible de vous tuer ~v>Liuéloignementj absence; iXctyUt Clealui licence,
(je puis vous tuer),» Auw. I, 420, 3, où il faut lire écart des règles, de l'usage, Bc.
avec le man. de l'Esc, et celui de Leyde: ~CiJl ~a
semé, Bc. — ~iXou il s'en faut beaucoup, Bo; ~LgM. exposer en détail, détailler, Aghânt 75, 2af.
II 1
époux, le sultan, auquel elle raconte ses histoires, petit insecte qui se forme de la graine du
p. e. III, 426, 3af.: ~vXotJt ~aUl éJ Jw, au caprifiguier, Auw. I, 573, 14.
lieu de IY,679,2af.: ~cil 8J J~JLj o,L»o
(jïajOLo assortiment, Ht.
io
àjjuu*Voc. v° elongare.
IACLAX voyez sous ~LNJUI.
J~t-j, le
nom de l'ancien Dieu syrien, Ztschr. XI,
489. En Syrie on dit encore Jou ~tjoJ, et tout ce
qui croit sur de tels terrains s'appelle ;
ainsi on
parle de figues, de raisins, de grenades de Baal,
,
~ibld. Burckhardt Syria 297 donne: 3Laà Boal, des
«
-Il>
~Byu est chez Aie. ((coraje,» et ce mot esp. signi- champs arrosés par la pluie.» L'auteur du Gl. Belâdz.
(14) a ajouté à tort une troisième signification à
fie soit courage, soit colère.
celles qu'a données Lane. Dans le passage de Mâ-
~-ou le nom du plongeon en Esp., Bait I, 16b, werdî qu'il cite, le mot a le sens que Lane a donné
mais la leçon est incertaine; r~*~ dans
~AJtiii.
B, S s-~J!, ;
en second lieu le y est pour car il faut faire
S
- O-
~j*i 1, prodiguer, dissiper, Hbrt 219, chez Bc ~JJU adjectif relatif de JJU dans le sens qui pré-
~Ujai
JUJÎ
cède, p. e. Li-P-à. ~Jrur «un jardin ou verger qu'on
~XÏJJU profusion, excès de libéralité, de dépense, Bc.
~o~a~
t
J queue; Hugonnet
Meslem bla bumouss,
218 cite le dicton:
(deChrest. I, 226-7.
decoton
étoffeétoffe
~deBalbekBalbek) de coton blanche;
blaitche; - un"
Ki kelb bla bassous, étoffe de soie, Vêtem. 82-3, n. 1.
«
Un musulman sans burnous, (est) comme un chien
sans queue.»
Prax R.
- ü,..rSù'
d. O. A.IV,
f » 5 CI.
{joya.JU
196.
salsola muricata,
Comparez u^^au.
~LS** I, aor. a et
~^JU. jfrÀxJI
i, bêler, Bc.
bélement, cri des moutons, Bc.
~.,~M 1, au passif: il fut surpris par la mort, il mou-
rut subitement, Macc. II, 24, 9. Yawàkit al-mawâktt, chap. 53, parce que, parmi les
,*'"0" II faire pièces du jeu d'échecs, il n'y a pas de mule. —
, -
~jjt~ gros dos, faire l'homme important,
le Bâtiment de plus de cinquante tonneaux, Burton I,
à se carrer,
faire de l'embarras, se pavaner;
aliiu
173.
S
- J.M'J~ ~XJUb éperon de muraille, Bc.
marcher d'un air arrogant, Bc. Formé du n. pr. ~Ju. ~KAIÀJ dirhems persans, qu'on appelle
* ~CJ,façon, afféterie, Bc.
sJOdb aussi Belâdz. — (Berb., 1-"1 dans le Dict.
GH.
nO
chevalet de passementier ; — table
que large, sur laquelle se placent, pendant le jour,
plus longue
)
~j\Ju. les effets de litterie, Cherb.
5 (Simonet).Voyez
j.
+
SAjju- carcan, Ht.
~*0
une tunique sans manches, ou à manches très-courtes,
qu'on portait sous la Elle était faite de coton
, ~G
X*22XJ, et non pas *»*»•<
~CI
comme dans la langue
de Balbek blanc, ou de
quelquefois elle était ornée
petit-gris, ou de satin;
de perles, et même formée
tout entière de pierreries, Vêtem. 81-4.
classique, est la prononciation du peuple,Voc., Aie.
(enojo ira que dura, ira envejecida, hastio enojo,
malquerencia), Bc (v° animosité). 1384, M.
(jixob haïssant, Voc. (cf. Lane).
~-*J~ II se dit du vendeur qui fait beaucoup de façons,
X-~~u raucité, enrouement, L (raucedo 'j.::,':',=:i.
qui refuse longtemps d'accepter le prix qu'on lui
offre, M.
(jttlîb qui hait beaucoup, Voc.
> - 05
(j~M~ c. ~¿' p., Koseg. Chrest. 79, 6: ~qOj
-- K~Juu lourdise, défaut du niais, du timide, Bc.
~'ju.
haïssait le plus).
~5O
~CI' *
haineux, Daumas V. A. 165.
(.-5àà 1 c. a. p. calomnier, Akhbâr 142, 5.
~,CI,
~~Ju. Quand il y a quelque chose de trop, on dit
où ce terme semble signifier: celui qui débauche les ~renfermé dans une X-~~, Maml. I, 1, 13, part. 2, 204. 1
>
my
,-mi. (esp. bofe) pl. poumon, Voc.
3, 218 et suiv., 252, part. 2, 204, Bat. IV, 232,
~Ue milan, Pagni MB. 1001 N. I, 422; ballot, gros paquet, Hbrt 101; ïLpjij
O*
s~~Rj et
286: «u>su
~JL~
(pers. ausU) bafetas, toile de cotott blanc
des Indes, Bc,M, Vêtem. 31; chez Burckhardt Nubia
, cambric from Madras and Surat;»
basin, sorte de toile de coton très-forte, Bc.
~j
carré, avec un rond (&—S\_j) au milieu;
châle de
grandes raies, Bc.
-
Bc.=
cachemire
-
~xx&j, M (en quel sens?).
v
paquet de hardes, de linge, Bc. — Châle
châle de Perse «
,Z
carotte de tabac,
et
cou-
sins, marais, Gl. Belâdz.
~j~Ub
-
Bc, M (Maghrib).
(esp. bacallao) merluche, morue sèche,
i^j-2-j la
parmi les insectes, Man. Escur. 893.
chair du bœuf, Bc. — Fait
~&j~ 1 bavarder, Bc. de cuir de bœuf, Gl. Esp. 231.
.,,0.- ~jlib,
Xa~&j bouillon, rondeur, bulle d'une liqueur agitée avec l'article, bouvier, constellation près de
par le feu, Bc. — Bavardage, Bc. la grande Ourse, Bc.
~Oà. bavard, 1001 N. I, 239, dern. 1. ~j*1* bronze, Hbrt 171.
X3~U cloche, ampoule sur la peau, Bc. )
a^slj, pl. -'*'!,.?, troupeau, aussi en parlant d'ânes,
~mMréuni
~Xiuxiu bosse, élevure par suite de contusion; cloche,
~jfJT a^lj, Payne Smith 1310.
ampoule sur la peau; vessie, petite ampoule sous l'é-
piderme, Bc. s!/8* (var. gL*j) nom d'un petit animal quadrupède,
~e- II réunir en paquets, M; en unpaquet, Gl. Edrisi. - Voyez Z.:r<j--
II tacher, souiller, salir, faire une tache, Hbrt 199,
~.)
L
(en copte, avec l'article, ~xeKpovp) grenouille, Ztschr.
fur âgypt. Spracho u. Alt., juillet 1868, p. 84, n. 18.
II
1 (voyez Lane); on
a
~«
y ~'Ois
CI.
~JJU
»
118.
O- vache de
~[il*iû]
:JJb,
couleur pie, R. d.
Mace.
Allumer, Cherb. Dial. 26. 1, 50, 7 a f., où Banqueri traduit hieracium; cf. sous
V quasi-passif de la IIe dans le sens de coller,
,
etc., Voc.; - maladie contagieuse, Aie.
t..JDro
(contagion dolencia que se pega).
de jLyôwJsJî ~-S-J< on entend tous les légumes qui
viennent sans culture; mais j..j4 désigne spé-
~Joib
tribut, consistant en esclaves, que les Nubiens
cialement le ~Ui* [c.-à-d. le sonchus tenerrimus L.],
devaient payer tous les ans, ou tous les trois ans,
Gi. Belâdz. Bait. 1, 155 k. — ~JJb arroche des jardins (atri-
plex hortensis), Most. vo (jAfN, Gl. Manç. vo ~,a~,
~Kbjib f (esp.) pilori, carcan, Aie. (picota para en-
Bait. I, 155 b (où nos man. ont à la fin de l'article:
*"
~lili-,R.;:ï pl.
picotar, palo para assaetear o picota, cf. enpicotar).
~&isb
Auw. II, 158, 16.
- ~J ~O
5 ~&JiSLi
ou L44 sorte d'insecte, voyez Payne Smith 1479.
,
(atriplex hortensis), Auw. ~11, 158, 16. ~Xiib
~âL
,
f~'à6. Du nom d'unité
et ~.-~~LSL
voyez Bait. I, c. — sL~!
154 ~xlib ellébore; on l'ap- asblsL
a~LSL on forme le
r
AJUU^O
Bait. I, 155 e, plutôt l'erymjium, XJUu*o-JS, que le forme au pl. J~LtJ<, Gl. Edrîsî.
sonchus. ~-N-J II c.
a. et V, Voc. sous bresillus; probablement
ii;CI ou 1;CI (M) ~(turc)«pAte faite avec de la
(cf. Z , .1 chez Freytag) teindre, et être teint, avec
fleur de farine, bien pétrie, ensuite étendue en feuil-
du brésil.
les très-minces qu'on oint de beurre, et que l'on
couvre d'une couche de noix concassées, trempées ~pjii (brésil) est dans le Voc. pl. aussi
dans du miel; on place ensuite ces feuilles les unes
sur les autres jusqu'à une certaine épaisseur, on les chandelle, bois jaune des ~HeS;.e~*S bois de
coupe en triangles et les cuit au four sur un plateau;
enfin on verse dessus du sucre, de la cannelle et du rose, de Rhodes, de Chypre; ~L>.j~ rïj bois de co-
rail;jyA ~râà campêche, Bc.
miel,» Bg. 266, n° 84; comparez la description de
Lane trad. des 1001 N. I, 610, n. 22; «tourte, gâ-
teau feuilleté au miel et aux amandes, Bc Daumas » ;
i>
~pJLi Datura Metel ;
c'est ainsi que Bait. I, 153 d
prononce ce mot.
V. A. 253, Burckhardt Arab. I, 58, Hbrt 16, 1001
N. I, 579, III, 215. ~Jb voyez ~Ouo.
, *< mauve, Domb. 74.
ùyjii
-
,
de lamesa). ~LA!! saints,
~olxib reliques des V Voc. sous manicare.
—
Aie. (reliquias de santo).
— T. de chimie, résidu, la
X déflorer, ôter virginité, c. a. p. 1001 N. Bresl.
sédiment, ce qui reste d'une substance soumise à une III, 83, 4, c. u p. XI, 127, 3.
opération, Bc.
— Le reste d'une dette, en esp. «al-
baquia,» Tantàwi Ztschr. Kunde VII, 54: UjÎOj
JL. prémices, Bc. ~, qu'on trouve
quelque part dans les 1001 N. (j'ai noté Macn. IV,
331, mais cette citation est fautive), doit signifier
— Dépôt, lieu oùrestentdes soldats, des recrues d'un »
«du vinaigre âcre, car l'éd. Bresl. (FI.) porte en cet
corps, Bc. — T. de musique, intervalle moins grand
~4pl.
I, 163, n. 534.
~i
voyage qu'on fait au matin, Abbad.
fi,r4- matin, de bon matin,
Bc. — Demain; !).~ ~M après-demain, Bc.
(~fj~ de bonne heure, de bon matin, Bc (Barb.).
«
<~jXj premier-né, Bc. - Virginal, Bc.
,
Bdton crochu,. M.
n. d'un.
W (fruta).
~ao^xj vierge, M.
~w~X~j
-)"-14 certaine fleur, 1001 N. Bresl. I, 298, 6. matin, debon matin, Bc.
~LXJ orifice d'un réservoir ou bassin, Auw. I, 147, cafetière
..0..
(vase pour le café), Hbrt 202,
3 a f., 148, 1, 6 a f., 2 a f., 149, 2, 13, 150, 1, M, Bc, Lane M. E. I, 205 n., II, 39, Ztschr. VIII,
4
2 a f., 151,11,13,17, 18, a f., 2 a f. Banqueri
348, n., 12, 1001 N. IV, 582, 9 a f. Aussi ~Jgj
compare avec raison l'esp. «piquera;» mais au lieu
1.
de dériver ce dernier de ~,
il aurait dû dire que Domb. 92, Hbrt 202, et Cherb., Ht, M (Alg.).
~jbo est la transcription de piquera.
15)L4 (pl.) prémices, Bc.
~jàjiu
prémices, Hrbt 160. — Figues de printemps, muet, Hbrt 8 (Alg.), Bc (Barb.), M (Maghrib).
Hœst 254, incorrectement 304.
.jj~ 1
,
pl. _)L?-41 Voc., Ale., Pl.-1 Bc, précoce, X<t~j
« très-grande somme d'argent, M.
hâtif, Voc., Aie. (temprano, higo temprano~&
J~-X—J
pl. JL?.-? ~(jO', temprana fruta ajA~, pl. Hbrt
nière,M.
II boutonner, passer le bouton dans la bouton-
îlju.
~ubo jérémiade (plainte), Bc.
plaint toujours de sa misère), Bc. pense qu'en Espagne on a nommé autrefois cet ani-
mal «polio marino» (polio dans le sens du latin
~e pl. temps où l'on pleure, jour de deuil, pullus).
Gl. Mosl.
,
'~>-~ S~8/ son désir de voir quelqu'un, jouir de
la vue de quelqu'un, le voir, s'entretenir avec lui, Bc,
1001 N. II, 63, 2 a f., Bresl. III, 242; dans un
sens un peu différent, Macn. I, 872, en parlant de
Xi
- 99
moiteur, mouillure, Bc.
~jJuJb
synonyme de 1001 N. III, 437, 6 a
«
, (ces voyelles dans les deux man. du Most.;
,
chez Bait. I, 71 b B ~-l, A ,>..à I, 168 b A *>-?)•
w 31
s~Jj
V être fermé avec un Voc.
(esp.) poulpe (animal marin de la classe des
mollusques), Aie. (pulpo pescado).
~rfJb pl. cette serrure de bois que les Arabes
-
nomment aussi ~KAAO, Voc.,
Aie. (aldaba o pestillo,
~xJu huile inférieure qui provient du marc, Pellis-
»
sier351; «belba-fi-toura, huile encore plus grossière, pestillo, cerradura de pestillo, serradura de madera),
Cartâs 39, 3 a f. (où Tomberg s'est gravement trompé
celle que l'on extrait par une seconde pression du
marc, ibid. sur le sens de ce mot; voyez sa note p. 372).
-y vulve, matrice, Voc.
.0) (esp. vulva) pl. ~wJb
~xJu cabined'unnavire. Ce mot, qui se rencontre
~JL pois chiches lorsqu'ils sont grillés, Cherb. dans les Merveilles de l'Inde, ouvrage arabe qui a
été rédigé vers le milieu du Xe siècle et dont M.
s.jkM (b. lat. alabrum
ou alibrum, Simonet 87) dévidoir, Schefer possède un man., est le malais ~oiLo, cabi-
Yoc., Aie. (devanaderas), qui a ~a-Jb.
net, pièce d'un logis, pavillon, Devic 84.
"f~T
1 être encore en bouton (rose, œillet), Cherb. n. d'un. ~iS,pl. ,.~L (semble une autre forme
~çpL,
~'ç)
jLâuylj pourpier, Pagni MS (blebxè). dattes avortées, ibid. 10.
olJLsajLj toutes sortes de parfums dans lesquels
ornithogale, plante aussi appelée churle;
terre-noix (plante bulbeuse), Bc; pl. (jwuuXi lis sau- entrent les dattes dites ~gJb, Bait. I, 167 a (v° ~L)!
vage,Payne Smith 1033.
~J!~i~ C'est ainsi que ce mot est écrit dans
(~JZohfiôç).
expliquer le passage de Tha'âlibt Latàïf 94, 6.
le Gl. Manç. (in voce), où on lit qu'il désigne toutes
sortes de plantes bulbeuses, celles qui sont bonnes à ,
~^uJb voyez l'article qui suit.
,
~.,Le-4 gaude, herbe-à-jaunir, Reseda Luteola L.; VI caliner ou se caliner, prendre ses aises, être
Bait. 1, 167 d, qui épelle le mot, dit qu'on nomme indolent, Bc.
ainsi à Alexandrie la plante qui porte au Maghrib X c. ~J* s'endurcir au crime, au vice, Bc.
le nom de mot qui signifie en effet gaude. iXJLj champ, pièce de terre, Burckhardt Arabia I,
Dans la Descr. de l'Eg. XV, 207: «blyhah, gaude,
Reseda Luteola Lin.)) (inexactement beleghah, ibid. 122, II, 209 n. (pl. ~Q^AJb). — Le pl. ~aUq canton,
XVIII, part. 2, 384). Sang. donne: «£LMOjt Bc. - Le pl. ~qIaJLaJI
CI9
a quelquefois le sens de
;
plante tonique et carminative elle sert aussi à teindre
o-",*: L-~,
-
les habitants des villes, p. e. 1001 N. I,
:
étoffes qui sont jaunes. Elle
en noir ou en vert les
ressemble, dit-on, à la Roquette.))
704: ~jjLJ~ ~~!.
En Espagne .<~U! est aussi
le synonyme de ~j~;L\jLJ!, mais dans le sens de: les
Arabes de la première invasion, par opposition à ceux
~LjL~Ub. C'est ainsi qu'il faut prononcer ce mot
qui chez Freytag est zLa-^Uu, car c'est l'arbre de
Akhbâr 45, 7
de la seconde invasion, les Arabes de Syrie, p. e.
rL;,Jt - L'expression ~X-U
1
;
>
îO^Lj,Akhbâr 94, 5, semble signifier: (Dieu donne
Balklt, .~=JLJ!
«
I,167c,
LJ~L~J! le saule de Balkh; voyez le pouvoir selon son bon plaisir.»
cXJb«3^, citoyen, bourgeois, Bc.
--
~iA-Lj ~Cyil, pl.
compa-
Bait.
-
183 b.
triote; ~L
~&l «c'est mon compatriote,» Bc. —
~X~Lt
*
(esp. pleita) clayon, éclisse, mouled'osier à ~L*J! ~&l indigène, Bc.
,
«Beldis et celle des « Berranis. Les premiers sont
II, 1, 71; Bat. III, 59: %Awle ~->JLJ! o^JSLJt les Arabes qui ne quittent pas leur pays et restent
I.
à cultiver dans leur douar natal. Les Berranis sont
les Arabes qui changent de pays et vont chercher
Le Voc. donne non-seulement mais aussi la fortune ou du travail dans les villes ou hors de
leur tribu;» — en parlant de monnaies, celles qui
- ,.
aô~L comme n. d'act. de ~Jjj.
ont été frappéesdans le pays même et non pas à
,
II c. a. rendre indolent, apathique,Yoc., Bait. I, l'étranger, Gl. Esp. 233; — en parlant de plantes,
indigène, l'opposé d'exotique; un grand nombre de
209, en parlant de la pomme: J~J~ ~OdLi (le tech-
noms de plantes sont composés avec cet adjectif, p. e.
dîd dans A).
— Obduro
~jJjI L. le gingembre baladî, qui est l'aunée, Gl. Esp. 233;
Bc: indigène (qui croit naturellement dans un pays);
du pays, qui estproduction du pays; ~JL~ h»
IV. Ji-.XLI Lo que tu es indolent! 1001 N. Bresl.
I, 179,2.
béledin, coton du Levant, Bc; en Syrie ~CJ41 ~ja+Jt
V, en parlant d'un cheval, manquer d'énergie, Auw.
et ~jJL~ ~yuil sont les meilleures espèces de chèvres
II, 550, 18; aussi devenir docile, ibid. II, 543, 3. En et de bœufs, Ztschr. XI, 477. — (De ~jJLj dans le
—
parlant d'une épée, être émoussé, P. Abbad. II, 78, 2. sens de «ville») citoyen, bourgeois, Voc., Bc.
~UMIAX
~juJub nationalité, Bat. IV, 329. — Possessions ter- possédé, tourmenté du démon, Aie. (demoniado),
ritoriales, Jlaec. II, 142, 15. ~LMP. même sens, Aie. (diabolico, endemoniado
o
endiablado).
~jpL cristal,Voc.
.tj~JLj pl. r.à baume, Bc. — Balsamine, Hbrt
*/
j~Jb ornement de femme, voyez Lane M. E.
~r,
II, 404.
Judée; ~J~ ~( opobalsamum; ~xuûuxjt
)~Le~Jb stacté (myrrhe stactée);~j~L
~< baume
(j~j~L cristallin,Voc. Bc. — ~5)A. u~<~ de Copahu;
LG--UP baume du Pérou, Bc.
copal, gomme d'une odeur agréable qui entre dans
le vernis, Bc. ~;*"
m - balsamique, Bc.
J»LWJLJ (écrit rl.w.fi) mutisme, Voc.
~UML II ~jiJbli,Voc.
c. a., V et vo diabolus.
jj,#:"+r>"t- ~lJ balsamine, Bc.
IV c. a. éloigner,Voc.
tjX~ I,
VII s'éloigner,Voc. aor. i, c. y enticher (faire adopter une opi-
nion); &~Jb infatuer (prévenir excessivement en
(JMJLJ long poignard, Burton II, 8. — (Voyelles faveur de ce qui ne le mérite pas), Bc. — à <J!!<L
~x£Jb
incertaines) sorte de poisson, YAcout I, 886, 2. ~JLJ jeter, mettre dans l'embarras; aussi à &-~JL
~iUJU pl. L.,.L figue, Voc. 2e partie; dans la lre ~iuJb laisser un os A ronger, susciter
t £
a f., 323, n., 1. 4; dans ce passage, Quatremère, J. A. Bc. — Se trouver dans l'embarras ~àu&JLj
1850, I, 270, veut à tort changer la leçon.
KtA~«~ est tombé dans une affaire fâcheuse, dans
U«wJU
# vulg. pour ~(jMwJbt, Gl. Esp. 238-9. un grand embarras,» Bc.
-
~J~Jb expliqué par
-
~rfl' Ibn-al-Djezzàr. ~(jàJu
5
espèce de roseau; voyez sous «yuod (Most.). ,,
y
et VII.
embarras, affaire fdcheuse, Bc; cf. ~JSJ~ 1 5. — Louvoyer, aller tantôt d'un côté et tantôtde
Vautre pour profiter du vent, Bc, Ht, Hbrt 130.
—
~(jSàb, vulg. pour ~bb, gratis, pour rien; aussi Dans le Voc. sous via et sous inverecundus.
~jibLJIj, Bc. >> 8'enfuir,
V (dénominatif de ~Jalu) Gl. BelAdz.
—
- Most. Dans le Voc. sous via et sous inverecundus.
.jSiuJb et ~J&-;~L = Jwfljs-, sous ce dernier mot.
~1 » pl. (J!!!J~Lj grand panier où l'on garde le
VI faire le diable (enfant), polissonner, Bc.
VyJL-JLj
~O*
~J.4 et ~JaL.
~CI'
Dans la phrase: JaLJî w
pain, la farine, etc., Alc. (nassa para trigo, sera de
esparto). a;4UAo3 ~J~&J, Berb. I, 43,
dern. 1. (cf. 333, 10,
~là (esp. ballestera) embrasure, créneau, meurtrière,
336, 4), il faut traduire hache (voyez Lane), et non
»
pas <(pavé, comme l'a fait de Slane, qui a cru à
,
ouverture pour le canon et autres armes, Yoc. tort que est l'équivalent de~Js^b.
~JaJb
~,CI,
~,n~L et ~dA, héron, sont formés d'un mot copte,
~>o~ -~pi.<tB
~JaL j!?hb! route, chemin, Voc.
qu'on trouve écrit, avec l'article, niç\scofe> ~nit\"
~Xm& et n~C~&, Ztschr. für âgypt. Sprache u. Alt.,
pétulant,Bc.
)
1868, p. 56, 84. L donne honocrotalus
pense que ~ôvoxpoTXhoç est le cormoran.
et l'on
~XlaL
~\--
pl. ~J.4 hache, Hbrt 84, Bc, M. »k1
barreau (sorte de barre), Bc. — ~xi ~Yti
- ;
jjola I, aor. o, faire une avanie à quelqu'un, rançon- pêle-mêle,Bc.
(exiger plus qu'il ne faut), Bc, opprimer, vexer, w ~CY(cf. Lane)
~LJb
wer voyez le Gl. Edrîsî; Bc: barbue
Ht, Hbrt 210, M, Amari Dipl. 207, 5.
,
(poisson plat du genre du turbot) et turbot; Vansleb
~(jdu
~O*-avanie,vexation, Hbrt 210, Bc, M, taxe, 72: «Le «Bulti» qui après le Variole est le meilleur
contribution, Ht. — Outil d'orfèvre; c'est ii.JF ~lÛT poisson du Nil, et celui-là a des écailles ;»
cf. Browne
I, 101-2, Seetzen III, 274. Chromys nilotica Cuv.,
Ztschr. für âgypt. Sprache u. Alt., mai 1868, p. 55.
-
~o*>
2ûaJb, j-IaJb effronté,Voc.
pl. ~(jâL, ~oLaJb et même sens que
; ~O) .~L,
m ~oy
0..
le premier <j~L, Hbrt 210, Bc (aussi concussion, ~XALIL = le poisson nommé Bc, 1001 N.
exaction, extorsion, maltôte), Bg, de Sacy Chrest. Bresl. X, 232, 259.
III, m, 2, Ztschr. XI, 438, n. 2.
~LtL (turc sapeur, Bc, M.
exacteur,maltôtier, Bc. — Pl. ~J~J~b cruche,
U>obb
J?~L (palatium) palais ou tente impériale, Maml.
Bc, sorte de jarre qui se fabrique dans le ~Qa'ld, où
II, 1, 278, Akhbâr 5, 1. 5, 12, 1, 21, 6. — (B.lat.
l'on met l'huile et d'autres liquides, Descr. de l'Eg.
XVIII, part 2, 416, XII, 433, 471; aussi: une me- baletum) pl. ~oi et xkJul
« ~ClJ;
galerie couverte, Gl. Edrîsî; —
sure d'huile, ibid. XVII, 230, 232. nef couverte, comprise dans une mosquée, ibid. Le
~L
- * ~O-
1 embaumer, Payne Smith 1320.
J~J~ ~- semble avoir été une des nefs dont se
composait la grande mosquée de Damas, bâtie par le
~ma
- - ~O*
1 bredouiller, parler d'une manière peu distincte, calife omaiyade al-Walîd, mais les Bédouins dési-
sans articuler, Bc. gnaient cette mosquée par ce nom, de Slane Prol. I,
~pLoL beau diseur, beau discoureur, qui affecte de
360, n. 3.
ver) , Bc.
-
~Jabb ~-
grès (pierre qui sert à pa-
bien parler, Bc.
~>J espèce de laurier, Aie. (mostajo arbol).
~JsJu
) ~CI..
r4aUà —
bredouillement, Bc.
~CI..,
-I&L' (de) ~çlx* ~)'r) fruit de l'aubépine, Aie. (ma-
(*»«** bredouilleur, Bc. juela fruta de cierta yerva).
II fouler, battre, aplatir, Prol. II, 320, 10, 321, pl. SUOJLJ effronté; espiègle, lutin (enfant
'bruyant), démon (enfant vif, pétulant); ~laAI ~<xJ$ ~1%.y
~xiaîlx grande route pavée, Voc., Mace. I, 124, 2af.
enfant diable, enfant turbulent, Bo. ~jL6L
(esp.) pl. ~ot palais (partie supérieure du dedans
effronterie,Yoc. — Herbe aux mites, Bc. —
~xLhlI
de la bouche), Aie. (paladar de la boca).
Dans un autre sens, voyez sous XjgvéLx.
(esp.) pl. (j<~~ plat (sorte de vaisselle),
~&JnkAA
Aie. (plato). vulgaire pour M (sous ce dernier
mot).
X~~b (b. lat. poletum, poleticum, gr. roxurru-
en Sicile, rôle de serfs ou vassaux appartenant
~Zoy),
A une même seigneurie ou à un même monastère, J.
A. 1845, n, 319, 9, 336.
~~jjL~ ~ri= M. Simonet, qui m'a fourni ce passage,
, manteau-de femme, Roland (cf. ~xbJb).
~XhJb ~dt
croit que c'est pulido (politus).
.b.>4
&<
(gland). Le pl. ot, Abd-al-masth al-Kindt 36.
Le Voc., qui prononce Jc~L, donne le n. d'un.
~EL.
absorber, Hbrt 174, Bc. — Submerger, Ht.
1
En tenir, être dupe, Bc. — Chez Aie. «paladear el
-
9 et
~nÜÍop Nebrija donne: «paladear el nino quando mama,
le pl. <bjJ~b, qui se trouve dans le Gl. Manç. vo lallo,» et il prend lallo dans un autre sens que nos
dict. latins, car il le traduit par ,mamar, o apoyar
fleurs j Roland. —
de Vœil, Domb. 86.
~XJb^L
~w
#
pupille, la prunelle
las tetas.» — Se rendre coupable de concussion, Aie.
(cohechar). — ~&aj. &
respirer, prendre haleine, avoir
~ji~ pl. ~J~L quelque relache, Bc, Macc. 1, 825, 3 a f., avec la
casaque d'homme, Aie. (sayo de
note de Fleischer Berichte 258. — ~.rJ' ~çJb avaler la
varon).
pl.V»*
<5 * )
jupe de femme, Aie. (saya de
pilule, faire ce qui répugne, Bc. — ~aJLou ~çJb dévorer
des yeux, regarder avec attention, Bc.
muger). Il parait que c'est l'esp. «pellote » (cf. Gl. VII être avalé, Voc.
..CI)
<iX~e glouton,
d'eau, Aie. (remolinado de agua).
Hbrt 245.
XJn1«A
chlnaie, lieu planté de chênes, Voc.
~^LLo référendaire, Bc.
—
Dénonciateur
indicateur (qui fait connaître un coupable), Bc.
;- ~jJu* ~sJiLuf. «D'autres
épiciers préparent l'aloès avec des
écorces du bois qui est appelé ~yjUuu^t(un peu bi.
garré de blanc et de noir),» J. A. 1861, I, 10.
Celui qui (le fonctionnaire qui) écrit son visa, Bat.
III, 407. — Un fonctionnaire attaché à une mosquée, ~.UUj (esp.), pl. ot, Voc., ou jS~L, Aie., pouce (le gros
et qui répète, d'une voix sonore, une partie des pa-
roles destinées à annoncer la prière, et qu'a pronon- doigt de la main),Voc., Aie. (dedo pulgar). — Orteil
cées l'imâm ou le khatîb, Maml. II, 2, 79; cf. Descr. (le gros doigt du pied), Aie. (pulgar de pie o mano).
de l'Eg. XII, 228, Burton I, 298. — Pouce, mesure, douzième partie du pied, Aie.
~JL~t exagéré (qui exagère);
— amplificateur ; dé- (pulgada medida). — Le ~:) (voyez) quand il est
court, c.-à-d., une sorte d'instrument fait en forme
clamateur qui exagère; — recherché (opposé à natu-
rel) Bc. de grue, dont les laboureurs usent pour mesurer les
,
m ~O» terres et fossés. — Foie de chèvre, Most.: ~iclti
~CtU~M ~OuS
cuir de Bulgarie, cuir de Russie, Vêtem. 156,
d'oiseau, Yàcout
dence et indocilité, M.
I, 885, 5.
Sorte
- à -
impu-
~^«Jb
~<b
sorte dé sycomore, Bait. 1, 256.
- caveçon, Bc; dans M
~++
rence de la vétusté, Prol. II, 198, 10.
(bain chaud, ne vient nullement de la racine
~-oy
ja (Freytag, Lane) mais de azXayËîoy), garçon de
VIII. Lgj^JÙLA^J! = l'amant de sa femme, Beert
, 33, 3 a f.
bain, se trouve 1001 N. I, 244, 409, 693, Bresl. IV,
~91. -EbUJI ~L~'< les lépreux, Ztschr. XX, 493,
352, 353. Le fém. ~xNj, 1001 N. I, 425, IV, 482,
Lane M. E. I,
244, II, 53; coiffeuse; dame d'atours, souvent dans le R. N.; ~*oy
cf. J~L~9.
0
Bc. — ~(Bxhxvoç) gland de mer, pouce-pieds (coquil- --.L pauvreté, P. Macc. I, 633, dern. 1.
—
Dans
lage), Bc. les Prol. ce mot a souvent le sens de A.::-l.:>, besoin,
,.~b nom d'une plante, Bait. I, 169 b (qui épelle qui est nécessaire, p. e. II, 1, dern. 1.: ~£UAJ ~L*
12, 266, 3.
— Sorte d'oiseau, Yâcout I, 885, 16;
~q^L,
M, qui prononce n. d'un. ~ij, épithyme; il ajoute chez Cazwînî~j-Jb.
que le vulgaire le nomme f~L~ eiXùy». ~xÂJb aventure galante, intrigue amoureuse, Aghânî
'âJLju (esp.) pl. ~.y~~L baleine, Voc., Aie. (vallena
64, 13. — 1^1—t—Jl J—~~ ceux qui ont des maladies,
de la mar).
Edrîsî Clim. III, Sect. 5.
~~*~
- ~o>
>
(esp. palomina, pour palombina) colombine, fiente Jy périssable, Bc.
depigeon,Voc. ~jJ lépreux, Bc, 1001 N. III, 424, 6 a f. La
~0à-.
..0.
(esp.) plantain, Aie. (llanten yerva), Auw. II,
9 s+oy serait plus correcte, et l'on
forme du passif, (JJLya,
;
321,3 dansleVoc.~^lÉâjJbf.
~A~L~UL
= ou-Lpji, Bait. I, 170 b, 283 h, II, 113 b.
les 1001 N. c'est ,
pourrait prononcer ainsi le ~JJCAA de Bc; mais dans
et le vulgaire (voyez Lane)
,.A~
c'est le dimin. esp. en elo.
d 1 c. a. a une signification qui m'est inconnue R. N. savoureux, exquis, excellent, succulent, Prol. III, 412,
2 a f., avec ma note dans le J. A. 1869, II, 208,
31 r°, où on lit que ~ioLo, en parlant d'une femme
Voc. (sapidus); je crois devoir attribuer le même sens
mariée, signifie: <~)J~& ~'c ~jJ ..y~j ~^cJI. à ce mot dans un passage des 1001 N. I, 730, 2,
où on lit que deux ermites ne se nourrissaient que
II
dans le Voc. sous sapidus.
de mouton et de lait de brebis, ~JLt, ~if .~j~-~U~
V c. u
p. adopter selon de Sacy, être attaché à
~LJ~ «en renonçant à l'argent et aux mets déli-
d'après Fleischer, Gl. Abulf. — Dans le Voc. sous
sapidus. cats,» car il me semble qu'on ne peut pas traduire
ici: «et aux fils.» — Gracieux, Aie. (gracioso). —
X savourer, Roland.
Vené, qui commence à se gâter et à sentir (viande),
»
~S ~G
o>
saumure de carpe, le (voyez) du poisson Aie. (manida asi como gallina).
dit 0,,
~fi
~^5-*
selon le Gl. Manç. sous ce dernier mot; il .j ~G^> souci (fleur), Pagni MS.
i. pl. ~oî vexillum, Voc. Ce mot doit apparte-
.yLj
11
«bonn» avec du poisson pourri, du sel et du moût,
nir à un dialecte espagnol qui avait la forme pennon
= fr. pennon, prov. peno, penon (Raynouard IV,
409 a), ital. pennone, a. cat. pan6, esp. pendon.
~XjUj
voyez sous la Ire forme du verbe.
fl,; »
(esp.) pompe (machine pour élever l'eau), Aie.
de l'Afrique, mais qu'on trouve dans les montagnes
de Grenade, GL Manç. vo ~j~c.
(bonba para agua); chez Lerchundi
BENBAZAR mousseline
de Smyrne, Daumas Sahara 199.
tus,Bc.
~„G«•
,
,.if'? (esp. pampano)
feuilles, Ibn-Loyon 15 ro:
pampre, branche de vigne avec ses ~iXaj II Voc. sous vexillum. — Voc. sous balista.
V Voc. sous vexillum.
r. cordon (tresse, ruban), Bc.
~«Aâj Courroie pour
—
chaussures, Bc. — Ceinture, Not. et Èxtr. XIII,
295. — \~Â~J< ~iXo baudrier, Hbrt 134. — Au jeu
des échecs, pion mené à dame,~lit^sJl*o ~,J, .~J~Jt,
j £~-o
~(3T »
VT#<puA/.ej/) tourmentille (plante), Aie. (sie-
M; autrement chez Lane. — ~j les manœu-
teenrama yerva). vres avec la lance, J. A. 1848, II, 201, Catal. des
.J~-0,0
- - CI,
1 c. ~(& menacer, Voc. •
le même sens, J. A. 1. 1. 202.
;
man. orient, de Leyde III, 297, 4 a f. ~a,,U seul a
~X^XJo gui,
.jiJoJJo (Most. L) ou (Most. N), en Espagne, * ~o- ~XJUAX
~HlXâj. - ~r.1 ~> ~HINJO baudrier, Aie. (vinda vanda al
plante parasite qui naît sur les branches de certains traves; dans mucâlaba, il faut mettre une cédille
arbres, de l'olivier, de l'amandier, du grenadier, etc., sous le c).
Bait. I, 180 c, 471 c, II, 222 f, Most. in voce,
Ibn-al-Djezzâr.
m ~Q+
ajAâj ,
poursJàJuy
S -»-»
grande pierre de taille, M.
~»v>Lb(P) légion (P), Gl. Fragm. (leçon incertaine).
II c. a. mettre du bendj dans un mets, 1001 N. ~jLb
S^*>LjLj~A porte-étendard,Voc.
(esp.) pl. ~X-j~Lj~ pâté, sorte de pâtisserie
w y
.~SJ~U sequin de Venise ; cette petite monnaie d'or d'un port de mer, Bc. — ~J3J0 (esp.) pl. -LLÀàipoint (qui
termine une phrase), Aie. (punto que cierra la sentencia),
a cours au Maroc, où elle vaut fr. 9, 60, Hay 37,
f
«*
~XnJo
O"
Pflûgl LXIX, 22. (esp.) hôtellerie, cabaret isolé pour les voya-
XASIXÂJ
w ) 02, , 02, geurs, Aie. (venta taverna en el camino).
coll. fusil, Bc, Ztschr. XXII, 126,
,
~AXj
n. 1, Rutgers 138; ILjjiJJa fusil à un coup, (VOC. ~s~aJLj). Les poètes comparent le duvet
Bc; Sj~—~X-jLjtJULj fusil à deux coups, Bc; aussi qui naît sur les joues à une violette; c'est une espèce
de ressemblance entre la couleur de ce duvet et celle
de la violette qui a autorisé l'emploi de cette métaphore,
~^OULJ, pl. /~-j~Ùj, fém. H, bdtard, Bc (Syrie), J. A. 1839, I, 171-2. — ~àJo * .L\_> serpentaire
Hbrt30,M.
~t~j tireur (militaire, celui qui tire des armes
;
àfeu), Bc chez Lyon 303 « bendag. » Jo
ou vipérine de Virginie, Bc.
(Voc.~Jo) violet
--,wà.Àà iris, Bc.
(couleur pourpre
,,
de l'Eg. XIII, 511.
# 0.
HjJiXÂj (esp. bandera; cf. Lane sous ~<xL) pavillon, éten-
Holal 54 ro, où l'on trouve le même passage, <~Lc~
dard,M.
XjJuÂtt. Un tel mot m'est inconnu, et comme
~v.>
bézoard, Bc; & 1 ~-,e, Lane M. E. I, 395. dans le premier texte, Y.
traduire: «des drapeaux rayés.»
fi
(voyez) signifie «raie," il faut peut-être lire
(voyez ~L<LL~<J'
dans le second, et
~0' *
dat), Abd-al-wâhid 93, 3 a f.; de même r-M éUu, wairî Espagne 468.
~6 9 0 o ~L~!,
~CI"
de même que ~xpi
&1# (voyez), les in- dans l'île de Sawàkin aux écueilsy Bat. man. de M,
de Gayangos 102 vo; l'édition (II, 163) porte OLÀJ),
fants, les princes mérinides, souvent Berb., p. e. II,
509, 4. — ~LXe~ à ~&ÂJIpénitent (qui confesse ses .t~! parotide(glande au-dessous des oreilles),Bc.
péchés à un prêtre), Bc. XiLi»*— espèce de dattes, R. d. O. A. N. S. I, 311.
~«uot bdtard, Ztschr. VI, 314 n. -expliqué de différentes manières par les
,. ~r^y
~~Lj
-- qui est d'une honnête naissance
compatriote, Bc.
y Bc. scoliastes: serpent — biche sauvage — gazelle — biche
de l'espèce nommée par les Arabes vache sauvage, de
,
Sacy Chrest. II, 385.
~JJD
-- bourgeois, Bc.
séculier (mondain, laïque), Bc. -
~~J! espèce de dattes, Niebuhr R. II, 215.
Kj~L! — filleule, Bc.
- homme d'honneur, Bc.
— bdtard; — chenapan (vaurien), coquin
«ILXC
—, suivi du gén., en poésie, nourrisson de;
p. e. le vin est ~ri-ju ~J~c
*
(voleur, fripon), Bc. une jeune fille
t-~L
— baleinon (petit d'une baleine), Bc.
Ben-drag, pourpier, Prax R. d. O. A. VIII, 283.
<~>JJ! ~0-1' adoptif, Bc.
— bdtard, Bc.
.1 ~li)
—~J!
OL.wJ'
-
beau-fils, (celui dont on a épousé le père), Bc.
— sorte d'oiseau, Yâcout I, 885, 10.
<~<-J!
muses (belles-lettres), Bc.
-.
Les champignons portent ce nom, parce
que l'on croyait qu'ils sortaient de terre par l'effet
— instantané (qui ne dure qu'un instant,
~&Zr-Lw
qui est produit à l'instant même), Bc.
~Bf&e
Xj~~H
--
homme aimable en société, Bc.
filleul, Bc. -)W'91 -. On emploie cette expression quand il
~&&
XÂJJLU
- vert galant (vif, alerte et robuste), Bc.
— citadin, Bc.
s'agit d'un texte qu'on peut interpréter de différentes
manières, Tantâwî dans Ztschr. Kunde VII, 200.
— sorte d'oiseau, Yâcout I, 885, 10; var.
~ACfU
dans Cazwinî K&~!.
~*'
~JuJUt
-- les plaisirs, GI. Mosl.
épinyctide, pustules fort douloureuses qui
~ijJi
*~-;
-- voyez
s
(jdi.
éphémère, Bc.
s'élèvent pendant la nuit sur la peau, et se dissi-
pent avec le jour, Sang.
~Lo! génération (peuple), Bc.
~t.
~wL-ÂJî
-.
ijàjti Dans les expressions ~c-x~aJ! (J&~
et Ce-<JI chez Freytag, il faut lire (j&jtÂi!,
~oLb
tromper; * i
chattemite, qui a l'air doux, humble, flatteur pour
faire la chattemite;
grimacier, hypocrite, Bc.
- t~o-Lo
6 et 7; peau de bœuf qui contient deux ardebs, me-
sure d'Egypte, Macrizi cité par Quatremère Becrt 230.
Cf. Lane. Aujourd'hui encore c'est le
nom d'une me-
sure de capacité (420 (anciens) livres de Hollande)
fjL~J grimacerie, dissimulation, Bc. pour différentes espèces de marchandises, telles que
~L voyez ~c^). - Pâle, de couleur matte, Hbrt
O le fer, l'acier, le café, les épiceries, Niebuhr B. 208 -
~--),
81, Bc; .J~ ~L iXxxi vin paillet (qui est rouge 210 (prononcé à présent, mais incorrectement,
Quatremère 1. 1. — Epiceries, drogueries, Quatremère
Voc.
1 c. ~J-c être arrogant, Voc. — C. ~J-c menacer,
1. 1., Bc, Hbrt 18, 77, Amari Dipl. 186, 2 a f. et
ailleurs, 1001 N. Bresl. IV, 45, 9, Macn. II, 684,
dern. 1. Dans le même sens ~pyg ),
Bc, Hbrt 77
(incorrectement ~oîj£i), 1001 N. I, 579, 13, II, 67,
1, Bresl. III, 369. On prononce incorrectement ~^l$j.
G o«
<~-J est le nom d'une espèce d'orchis, qui s'ap-
pelle aussi XJLs^Xywwo(voyez), I, 182b (AB).
Bait.
— Poivre, Hbrt 18 (^l^j). -
Les droits de douane,
de Sacy Chrest. III, 379, n. 159, 383, 11, 384, 2;
cf. Quatremère 1. 1. — Quant au poisson _)Lei voyez
CI-
cortége, 1001 N. I, 369, 2af., 558, 5af. Edrist trad. Jaubert I, 134.
~09 pittoresque,
J)t~O~S<~Me, Bc.
~Bc. j
~-à aussi ~t-~ ~yoti, astiludere, et
~5^4»
1 insulter, outrager, traiter ignominieusement, ba- astiludium, Voc.; de l'esp. bofordo ou bohordo, qui
fouer, dégrader, gourmander, gronder, honnir, malme- désignait une lance courte que les chevaliers jetaient,
dans les tournois, contre une espèce de charpente, où le man. de Leyde porte ,.j~, au lieu de
que l'on pouvait renverser si on la frappait fortement je lis ~~J<.
et avec adresse (ce qui s'appelait: lanzar a tablado);
le verbe est bofordar, bohordar; voyez le dict. de
l'Acad. esp., et Catâlogo de la Real ArmerÍa, Glo- 0.. chêne, Bait. I, 132 f, 183 d;
U4-q-à. espèce de
sario p. 15, 64. r!J-.Y,
) y
voyez ce que j'ai dit sous dont c'est le sy-
~s., 3- marinade,
sauce de sel, vinaigre et épices, Bc.
nonyme. — L'autre sens (voyez Freytag) est indiqué
~<jJ~ l:i..rH' carotides, les deux artères du cer- par Bait. I, 183 d, en ces termes: ~if Lnj\ (j:~JL
Iveau, Bc.
Mebouher, ne voyant
Daumas V. A. 189.
sare), c.
pas clair la nuit (cheval),
~os-gj
c.
Lym4j.
t.
~_<~!
sorte d'oiseau, Yâeout I, 885, 6 et 20.
&>--~ concetti, pensées brillantes, mais fausses, Bc.
celui qui a l'espèce de lèpre nommée ~J!~,
~clinquant,oripeau,
Oftpe~M, similor,
SMM~Or, Bc.
Be. Voc.
~JL->.~-j ouvrier qui prépare clinquant d'or, ~}~J III. Comparez avec Lane le Gl. Belâdz.
le
Descr. de l'Eg. XVIII, part. 2, 403. IV éblouir, surprendre l'esprit par une apparence
~«•C
= r.,
~'CJ Payne Smith 1111.
brillante, Bc.
VII bayer, regarder la bouche béante en contem-
—.~J faux-brillant, Bc. plant, Bc.
J~-S fou, idiot, 1001 N. III, 424, 7, où Bresl.
.jLe~j,
*.
c,
de même que
183 Abou'l-Walîd 228, 32.
, i, carthame, Bait. I, IX, 207, 12 a la même leçon. C'est évidemment une
,.01>
transposition de ~«Jbf.
~t4,
Le
4..g.,j
~&J3, Macc. I, 102,
balsamine, Domb. 72, Hbrt 50 (Alg.); chez
-<-~-
d'enchanterquelqu'un par une opération magique,
,
manières de faire la guerre, ruses de guerre
(Lane, Gl. Bayân, 1001 N. II, 111, 12 et 13), on
emploie aussi le verbe ~gJCs, Müller L. Z. 35, 2 et 3,
1001
„
_q.à ew
242, 5 a f. - — Classe d'articles d'un compte (Lane);
-*à (pers. (^j)
odeur, P. Macc. II, 815, 15 (cf. Add.
>
faite de bois, Gl. - Belàdz. — Diviser en chapitres ouvertures à quelqu'un, Bc. — Condition, état de
~<-jl—j
domesticité; chercher une condition,
«j'ai placé les noms des hommes illustres dans l'ordre Bc. — Voyez sous v_jb.—v-»b propre
9
des lettres de l'alphabet, dont chacune forme un
à, Voc.; cette prononciation, ~t-jb,
chapitre,» Khatîb 4 vo. C. Prol. II, 396, n. 12: prouve qu'Aie, a
jJ ~jtj «c'est en vue le même mot quand il traduit « conveniente»
~LçJuo tx---i3 M
qu'on a classé les traditions;»
sous ces divers titres »
par «bîba. — ~jLJI la cour, la résidence d'un sou-
Abbad. 1, 202, 9: verain avec sa suite, Gl. Fragm. -
Duel qIjLJI la
,
stamment auprès de sa tente, Richardson Mor. H,
même
phrase et il traduit: «le crieur ouvrit les en- 216.— ~~-!! ~otiLc côlon, le deuxième des groB in-
chères sur la mise à prix de 4,500 dinârs. »
Quand testins, Bc.
la chose miso à l'enchère est adjugée au plus offrant ~Kj famse porte, petite porte par laquelle on ne
et dernier enchérisseur, on dit: ~«UAC<JSX:YL4i
passe pas ordinairement, Müller L. Z. 121. — Partie
d'une porte, selon Quatremère Maml. II, 2, 138,pan-
neau de porte, mais c'est une erreur; Miiller L L a
prouvé que c'est: portail, ornements d'architectureau-
-
~lLb ai ouvrir à quelqu'un une
belle carrière, lui fournir une belle occasion de, Bc.
~y4 0" à plus forte raison, Bc. -
v-Zu Q*
Xfixil de confiance, par confiance dans la discrétion,
la probité de quelqu'un, Bc. — ~JLJ 0" à titre
1,
marine, arrive, ou va sous le vent, J. A. 1841, I,
588.
*O
révéler, n. d'act. aussi A..:>.-H'
~yu, non-seulement c.
bad. 1, 67, 3af.
Gl. Mosl.; ~r;4
J,' p., mais aussi c. i) p., Ab-
Bresl. II,
valet J Maml. I,2, 194-5, 1001 N.
mit de baiser ses joues et son sein). — C. a. p. per-
mettre à tout le monde d'accuser quelqu'un, Cout.
187, 9.
-, C. d. a. permettre à quelqu'un de piller une ville,
-
~XAJJJ
!Zà i
guichet (petite porte dans une grande), Bc.
xoyi poterne (porte secrète dans
etc., Gl. Fragm.; \::.JL:>4')\, a-J».l—^ il lui accorda
un fort), Bc.
Bc.
-
oLo_jj coup d'essai, premier essai, la permission de mettre tout au pillage, AkhbAr 31,
3. — O':i.J £ ~r,41 il permit de le tuer sans forme
des artichauts sauvages, du fromage pilé et beaucoup ~Xj~ybaiser, Bc, 1001 NI Bresl. VII, 61.
d'épices. On fait cuire avec du feu dessus et dessous;
c'est très-bon. — » ~j espèce de meloukhia, Mehren 25.
##O«
(j*.~j baiseur (quibaise volontiers), Bc.
x~e, tJ (turc) culasse, fond d'une arme à feu, Bc. j-wC-? 1 c. a. Voc. sous emoreydas.
II avoir des hémorroïdes, Voe.
.J-? II faire la moue, la mine,témoigner du méconten- ,L<4-,Yà.
~.J
~tement, bouder, Bc, M. — Discréditer, tarer, causer (pers.) mode de musique; on dit aussi M. ~~J,
-
du déchet, de la tare, Bc. Distribuer les coquilles
(*)<~~ (dans N; dans La la première lettre est sans
ou petits cailloux dans les trous ou cases de la man-
cala, Lane M. E. II, 56. point) menthe, Most. v° ~tw.
V tomber en discrédit, se décréditer, Bc.
>
~jji ~(pers. j^j)
) pl. ~, mufle, groin, hure, museau,
~C,15
~j~J II empeser, mettre de l'empois, Bc.
catir, donner le cati, Bc. — Mettre au pacage, M.
-
(j&Lj~! (jfcjj
Payne Smith 1101, Bar Ali éd. Hoffmann, no 4056, ~j~j empois, Bc. — Cati, apprêt des étoffes pour
Hbrt 61, Ht, Bc, M. — Glace, Hbrt 167, Bc. - .';
les lustrer, les affermir, Bc. — Drap rouge, Barth
Obus, Bc (Barb.).
— Rebut, Bc.
la ,
tête M.
~tjàljj
o-J<~
moue; humeur, petite bouderie, Bc. - Ra-
empeseur, Bc.
yiLîykj
empesage, Bc.
caille, chose de rebut, Bc.
ôLw~j est écrit
~jj-oa affreux, maussade, Ht;.~< ~Jill «le temps avec le dzâl dans les deux man. du
Most. et expliqué par ~jLXj~J! ,t~\JL~J!.
est affreux,» Delap. 30, Roland 598.
~0.,.< ~>
0. )
~t'~Xj.~j ceux qui pensent (esp.) pl. ~oï bute,butoir, outil de maréchal
((inconnu au Maghrib; que
c'est l'orchis se trompent gravement,» Gl. Manç.; ce- pour couper la corne superflue, Aie. (puxavante de
albeytar).
pendant on semble avoir cru assez généralement que
c'est l'orchis, et Aie. (satiriones yerva) traduit de cette
manière le terme arabe; cf. Bait. I, 183 f.
~O*fondrière,
~ijoyi mare, Aie. (pecina de barro, bAuç).
~(Y&J. II baisotter, baiser souvent, Bc. Je crois que ce mot est d'origine espagnole: pozo,
VI se baiser, s'entre-baiser, Bc, 1001 N. I, 211, puits, poza, mare.
Bresl. ln, 241. à
,
~y
~UO-H coll., nom d'unité ~Ii, «nom applicable tous
~tjy voyez sous ~uoy.~* les roseaux mais plus particulièrement à l'arundo
œgyptiaca, qui fournit de «kalams» à bon marché -kâ-6-1
»
les écoles de l'enfance, J.A. 1848,1,274; roseaux,
1 2
(creuset) forme au pl. iâltà, Bc, Gl. Esp. 188,
;
porte vjyuï. Le pl. ~Jiyj, Maml. II, 2, 164: JJojÎj
1.
~X4e (ital. bossola, bussola) boussole, Bc. — Xl.uy, ) ~jjuoLfeâl mais Quatremère n'a pas saisi le sens
de ce mot, car il traduit: (il supprima les cabarets
morceau de papier sur lequel on a écrit quelque chose,
,
et les lieux de prostitution.»
mémoire, M.
~£>* II c. a. et V, Voc. sous pasus (passus).
-
qui manque de moyens.
or. de Leyde I, 303, 4, 1001 N. I, 578, 8 a f.,
3,
II,283, IV, 714,11, Bresl. III,123,12, IV, y ~O#poignet, jonction du bras et de la main, Bc.
360, 12, cf. le texte dans Fleischer Gl. 65, 3 a f. ~(turc)Pl.i.-*
des notes, ou qui contient une eau de senteur, 1001 ~jLc~J (turc) pl.
N. ni, 449, 11.
~C bras de
mer, détroit; einboit-
embou- -
chure d'un fleuve, Bc.
2~~Uo~J. Ce
nom de la couleuvrée noire est souvent 2~L~
lessive, Bc. (Barb.).
donné comme un mot de la langue espagnole, X~t-~
~J<~JJ~! (Most. vu ~U~~-P, Bait. I, 190 e, II, ~J
1 sonner de la trompette, Hbrt 97.
243 b, Auw. 1, 454, dern. 1., où il faut restituer le II sonner de la trompette, corner, sonner d'un cor-
mot, II, 384, 9), qui semble l'avoir perdu; selon net, Voc., Bc, Abou'l-walîd 326, 15, 1001 N. Bresl.
Vullers (Dict.) c'est $Ot'f'«.IIOÚTOt,que Dioscorides donne IV, 337, 1; — trompetter, publier à son de trompe, Bc.
comme un des noms de cette plante. Les Arabes ~üy (Daumas MS) poterie, Daumas Y. A. 488.
l'avaient adopté, comme le prouve ce passage du Gl.
yjjjj vient sans doute du latin buccina (cf. (3vKXvy)i
mais il n'en est pas moins vrai, quoique M. Simonet
(83, 282) soit d'un autre avis, que les Espagnols ont
reçu leur albogue des Arabes, et que, par conséquent,
Engelmann avait raison de le noter dans le GI. Esp.
Description de cet instrument de musique Prol. II,
358,
de avis tarda, Simonet 288) pl.
canard gris, Aie. (abucasta ave).
(berb.),
» espèce de
- ~ïyj)
sublime, Bc. — La coquille du limaçon, parce qu'elle
.,.,CI.-Voc.
d'une plante, Bait.
emboucher la trompette, prendre le ton J:;-.H II et ,
I, 191 b, qui épelle le
p
bien plus grande, la lre n'étant qu'une espèce d'in-
amas de jets d'eau, de fusées réunies, Bc. — Bouquet
est ~YïLà, Hbrt 50, Bc, et ~XSb seul, Ht.
—
~&Sb
dex, le Voc.,après avoir donné deux mots pour
columba, ajoute: XJL~J J~~!' Selon la mé-
.~L< trophée, assemblage d'armes arrangées avec art thode de ce lexicographe, cela indique ce que fait
pour servir de monument, d'ornement de triomphe, Bc. le pigeon, c.-à-d., roucouler, et Ki~j est le n. d'act.,
~yVj*(esp.) œil (nom d'un poisson), Aie. (boga roucoulement.
pescado), Domb. 68, man. de l'Escurial 888, no 5,
Cartâs 17, 1. 17, mais la leçon y est incertaine, et
l'éditeur (trad. p. 25, n. 18) a noté ces variantes: ~i44*~t
Xj~-J!,XS~u~-J~,Ka~&J!; elles font penser plutôt
Ce
Ce mot singulier, que Freytag a trouvé chez
Hœst 303 comme le nom d'une espèce de raisin,
au mot esp. besugo, qui désigne un autre poisson,
signifie, à en croire Grâberg 109, qui écrit bu-eniar,
le rousseau; cependant ce dernier porte un autre nom
arabe chez Aie. «grosses têtes»[?]. Serait-ce le même que «puculiâl,»
qu'on trouve chez Aie. (moscatel uva), avec le sens
~ü!H un trompette, un homme qui sonne de la de «raisin muscat?»
trompette, un corneur,Voc., Aie. (alboguero, tanedor
de trompeta), Hbrt 97, Bc, 1001 N. Bresl. IV, 336,
~p espèce d'oiseau aquatique, Gl. Edrtsi.
12, 13, 337, 7, 2 a f. — Joueur de harpe, Aie. (har-
pador). — Espèce de chat sauvage, qu'on nomme ainsi
~Kftjb.
~-» 9++ ~<i$dire
~Kfijb des choses qui sont pénibles,
6
~JL.>,
fâcheuses, humiliantes pour quelqu'un, Akhbâr 26, 10. bourse?» cf. AkhbAr 32, 3. —
De même que
dont J4 est le synonyme, chez les mystiques extase,
ravissement d'esprit, Koseg. Chrest. 57, 8 a f., où il
mortel, Alc. (mortal pecado, pecado mortal). faut lire JLJb. — Chez Lane ~^b ~0" !<~' ~(j
«cela
m'importe peu;» dans le même sens: ~J.4 ~c u, Bc;
-, fenêtre ronde, M.
~J4 ~& ~0Ih,Am\\ cr «le sultan faisait cas de
~&à cousins (moucherons), Payne Smith 1167. lui,» Freytag Chrest. 135, 8 a f.; q* ~J34 L.
(esp.~CI ~J
avucasta, de avis casta, comme avutarda
~s,^ insouciant, Bc. — Attention (Lane), aussi ~o'j*>
~J4, Bc; faire attention à, ~11 ~iu ~*~z chez Lane,
est aussi: J ~-14 ~<^1, Akhbàr 26, 7, Maco. I, 465, Grande cuiller de bois, Aie. (hataca para mecer).
(Ital.) balle, ballot, M. — t,.=::- ~AJ4pièce de drap, Bc
..0' l'action
~AJJJ d'uriner, Aie. (meada de meados, cf.
,
dant que je me déshabille,» c.-à-d., regardez vers la las orinas, orina).
porte, tournez votre visage du côté de la porte, xSi^j vessie, Hbrt 4 (Alg.), M (Maghrib).
~wL-h—HK-g ">• ~O comme porte l'éd. Macn.; , ~-*-<e
- ~CI pl. <jjb*w«
+ pissoir, lieu destiné pour pisser,
Aie. (meadero donde mean).
0 vase de nuit, Hbrt 203.
~1~,Cr
~JLj; et enfin: ~aJb
~C,,
aJut>, Akhbâr 44, 2; Moham- A-Jj-yo
„* -
~O
vessie, Aie. (bexiga de la urina), Bc.
)
~3. Aie.) , n. d'un. g, papillon, Voc., Ale.
~(v-» chez
~lJ4 (esp.
~iJb ) pl.
(esp.), pl.~ol et remuer
, ~!ô ~LojJ (roman) pomme dorée, pomme d'amour, Bc.
les grains, Voc. (pala), Aie. (pala para traspalar,
« 0 ~y
pala de grandes dientes; cf. traspalar), Bc (Barb.). — à4.44j.? (ital. bomba) obus, petite bombe, Bc.
\~-~J maison, établissement de commerce, compa-
v- ~Cjy sorte d'oiseau, YAcout I, 885, 14. gnie, Bc. — Ordre de chevalerie, Maml. I, 2, 25.—
Appartement, ensemble de pièces de suite, Bc.
—
Er-
)~jL~ fleur de farine d'épeautre,Payne Smith 1014. mitage, habitation d'un ermite; de la ~Ji-PÎ,
~jj hulotte, espèce de hibou, Bc. ermites, anachmoètes, Abd-al-wâhid, Préface xx, Haiyân
~f
,.
Lebuya.» —
CI..
vanneauy
~aey, (pôya) petit
~f.
lins, on nomme chaque moulin un ~v^o, Cartâs 395
; de la trad. lat., 9
a qUO -
Lieu où les guêpes, les abeilles, les frelons construi-
sent des gâteaux et des alvéoles, Auw. I, 633, 16,
430. Chez Cherb. Ja***?.
* ~CI
~^yuu (Voc.; ~Q-HH chez Freytag est une faute) est la
»
transcription du latin «vimen, auquel il correspond
ù* fourmilière,Bc; b
cf. Lane 280
Alvéole, cellule de l'abeille, Bc.
à la fin. —
— Alvéole, cavité où
dans le Voc., le v et le m ayant été changés en b; est la dent, Bc. — Famille noble, voyez Lane 280 c;
en Espagne, toutefois, vimen, de même que l'esp. ~->~-A-~ ~~JL~ fille de bonne maison, Bc. — Epouse,
mimbre, qui en dérive, ne signifiait pas «branche Aboe-Walid 92, 8 et 9. — En poésie: ~s. d'une
d'osier,» mais osier, l'arbrisseau même. ,.~-j~ avait K-~&y., stance, Prol. III, 390, 8, 9, 11; le duel
le même sens; voyez Bait. I, 122 d, 381 b: ~<ML
QIA-O
= LJ~J!, quatrain, Prol. III, 429, 12, avec
la note de M. de Slane. — Etui, fourreau, gaine,Bc. —
Petite bourse de cuir pour le tabac, le briquet, la
pierre à fusil et l'amadou, Barth V, 19, 705. — Fi-
1 dormir, Gl. Fragm. — Faire la garde pendant
gure carrée dans le tissu d'une étoffe, Gl. Fragm. —
Carré d'un champ, Gl. Fragm. — Carré en termes
de guerre; c'est le centre d'une armée, Gl. Fragm. —
Carré en termes de jardinage, 1001N. I, 877, 4 a f.:
L~~i ~; spécialement: butte s'élevant avec un
plan incliné faisant face au soleil, couche en ados,
Auw. II, 215, 14 et suiv.; cf. Clément-Mullet II,
faire la ronde pendant la nuit, Aie. (rondar). 208, n. 1. — Carré, case de l'échiquier, Macc. II,
II
dans le même sens que la Ire, coucher, passer 673, 1, 1001 N. Bresl. XII, 140, 4 a f.; de la
la nuit dans un endroit, Bc. zàyirdja, Prol. I, 214, 9 et suiv.; de la mancala,
— C. a. faire coucher,
Lane M. E. II, 56, et d'autres tableaux sur lesquels
Voc., Bc; ~ta ~JJÛO faire découcher quelqu'un, Bc. —
on joue, ibid. 60. ~aJUb ~, en parlant d'une pièce
,
Mettre de l'eau rafraîchir au serein, Aie. (serenar
de l'échiquier, signifie: la place qu'elle occupe au
poner al sereno).
à commencement du jeu, Macc. 1, 882, 3. — Case d'un
V c. ou ~Jù passer la nuit dans, chez, Voc.
.!;¡ oLXwt pot, d'une boîte, etc., Macc. I, 655, les deux dern.
X. ~CI'JI dormir sur uneaffaire, prendre ~O
du temps avant de former une résolution, consulter 1.
—
En parlant d'une c.-à-d., d'une enceinte
h chevet, K&mil 527, 8. que formaient des chasseurs, pour enfermer ainsi une
,
cltasseurs, 1001 N. I, 31, 2:
~eWl stt~
,
a
multitude d'animaux sauvages, le mot ~c-v? désigne:
la partie de cette enceinte qu'occupe chaque chef de
~J!.JUL "->',
On ne peut pas traduire ici: «la tente
du roi » car il n'a pas été question de tentes, et il
de Fleischer Berichte 50,
(voyelles du man.),
9 * ~CI
poignée et les extrémités de Varc, J. A. 1848, II, ermites; voyez sous au commencement.
208. — T. de musique, degré du son (— ~La~), Descr. ~m CI. domestique, de la maison, Bc.
uezai — Domestique,
de l'Eg. XIV, 37, n. 1.
Niebuhr R. II, 197. — ~—~!
-
~a! ~cwo boussole, Bc,
lieux d'aisances, privé (animal), surtout en parlant des pigeons, ~rL;
Bc. — ~JfSt salle à manger, Bc. — ~.x~ ~\—~~ ~~u, Aie. (paloma duenda o çorita, paloma çurana)
1001 N. II, 66, dern. 1.
élément, au fig., chose, lieu, etc., qui plaît le plus;
&~J! «il est dans son élément,» Bc. — - ~>
CL
Xj~~j - famille, famille noble, Yoc., Gl. Edrîsî (où
,
télégraphe, Bc. Mt~~ ~usacristie, Bc. ~o-o
~A—~ coulisse, rempli pour passer un cordon, une privé (animal), Bc.
~oLo «attaquer, surprendre
de-piété, Bc. -
K~!J! 'J
ceinture de caleçon, etc., Bc. — mont-
latrines, Aie. (necessaria
~oLo. On dit les
,:
o privada, privada),Hbrt 191, Bat., man. Gayangos,
9 vo, où l'édit. (I, 63) a le synonyme ~~L~ ~o-o.
I^Juo vi>-o pagode, temple d'idole, Bc. -
~)y~
volière, Bc. — ~Jdic. appartement voûté en pierres,
- serrure ,
Grecs pendant la nuit,» Amari 224, 6.
I, 145, n. a.
Bc. — (J<~C ~o-u mauvais lieu, maison de débauche, ,
Xj~j ~Oj-u, 1er Lane,,
~:JO.. == sens chez M.
tripot, Bc. — ~(jytM ~<-' orbite, cavité dans laquelle :JO.. ,
l'œil est placé, Bc. -
.)L.WJ ~->-A-~ bordel, Bc.
—
~ooL réchauffé; C-JIJ mets réchauffé;
fruitier, Bc. — (j«L\R~<—~ sanctuaire,
JJS!,Aj' u>,.u ~cul réchauffage, vieux propos donnés pour du neuf,
le lieu saint, lieu où est le maître-autel, Bc. — ~- Bc. — Pl. et oLo~s' soldat
ou agent de police, qui
A>*ÂJI salon, Bc. -
)L..iiJ' ~-~ loterie, Bc.
— ~o-o
~3L4 était une certaine somme d"argent très-considé-
»
fait la garde pendant la nuit (cf. sous la Ire forme
du verbe), L (excubitor (vigilator)), Aie. (escuchas
rable, Macc. I, 373, 15: ~Jl.o ~VI^O ~LD&ÀLA^« ~nlú;
,» ce une.
^>U-S 1
altération de (j~!~ ?
Le Voc.
V oc. donne lepl.~
donnele pl. ~jjo alène, Roland. - HyLwJf à nappe, linge don,t
~!j~
0..
est intérim dans le Voc., tandis, pendant, en on couvre une table, Bc.
attendant, Aie. (en tanto, en tanto que, entre tanto, ~jLo (de jY) fauconnier, Voc., Daumas R. d. O. A.
, O
.J~ju.O
mientras o mientras que).
~è/-
III, 240.
~,^Lo fauconnier, Aie. (halconero).
voyez
~tjft.
ceau, pile de blé fauché ou de paille, Bg. ~.-AJ chasser avec le faucon, Yoc.
«. O > 0, * , fauconnerie, Voc.; Ibn-al-Kbattb écrivit un
K.-j~
.X~L~~J =
.;:.w.)y castor, Bc.
livre de fauconnerieintitulé {{.-~J!, Macc. III, 655;
~J ou
vJji«XxJ II. De même
que, dans le langage aÛL^ja sesfauconniers, Berb. I, 412.
du jeu d'échecs, on a formé~ de ~cjl (deve- ~c.-j~ fauconnier, Voc.
nir firzân,» Ibn-al-Habbârtya a formé de ~L\—~-j,
? C,
~O"** espèce de poisson de rivière, man. de l'Escurial
«pion,)) le verbe ~devenirpion, apud Khallic.
VII, 109, 7:
888, no 5. M. Simonet, qui m'a fourni ce renseigne-
ment, croit que c'est l'esp. pez.
(j~ y
pl. (j~-~-j~L espèce de candélabre, Bat. II,
882,3. — (Autre forme de Xï~, etc.) creuset, Gl. Djob. 263,294.
s
~j hydromel, L (idromelum). ~(j&AJ «plante inconnue au Maghrib; cependant on dit
-
11
~Li
que c'est celle qu'on connaît dans les montagnes de
crème cuite, Bc.
Grenade,» Gl. Manç., c'ost-à-dire l'aconit ou napel,
~, Payne
~J
aW,
A..i
= Smith 1275.
testicules, Bc.
«. t:'r'
w
X~aju. ~\ja^ œufs non fécondés, œw/s stériles,
Auw. II, 716, 14 et suiv. —~ pa.*.» espèce
de raisins rouges, ainsi nommés parce qu'ils ont la
grosseur d'un œuf de poule, Richardson Morocco Il,
171; mais selon Hœst 303 (où Reid est une faute
d'impression, pour Befd), ils ne sont pas plus gros
qu'un œuf de pigeon. — ~rle ^a-o espèce de dattes,
ainsi nommées parce qu'elles ont la forme d'un œuf
de pigeon, Pagni 150. — Chez les alchimistes, ~AXO-O,
œuf, signifie: le composé tirédel'animal; voyez Prol.
III, 205, 14 et suiv. — Au fig., ville natale, Macc.
I, 113, 21. — Vessigon (tumeur molle au jarret du
(distinctement dans le man.) il faut lire AV ou cheval), Daumas V. A. 190. — Dans le sens de tes-
b.Laju; après ce mot on lit les lettres ~DI5, qui sont
biffées; puis il y a un blanc, qu'on pourrait remplir
,
ensevelir les morts, doivent être blancs; voyez Ha-
Voc., Aie. (enessar como encalando, enluzir pared o maker, Takyoddini Ahmedis al-Makrizii Narratio de
otra cosa/ enxalvegar, encaladura Un..t.: *.*)•> Cartâs expedit. a Grœcis Francisque adversus Dimyatam su-
sceptis, p. 127, de Sacy Chrest. I, 499. On dit aussi:
32, 5 et 8, 1001 N. I, 634, Martin 7; uâiuJ) L)U.-. (j~L~-J! ~u-+4 quand on a résolu de mettre
plafonner, Bc. — Etamer, enduire d'étain (Lane sans quelqu'un à mort, de Sacy Chrest. I, 52. — u~L~J
(j~~! pays qui n'est ni cultivé, ni habité, chez Lane;
chir, justifier, faire parattre innocent; ,( ":""}
de Lane I, 424. —
o>
une muraille). ~j,LkaLw 1.J"l+.i, 1001
N. I, 210, 3 a f., est encore aujourd'hui au Caire le
nom de la meilleure espèce de plâtre; voyez la trad.
(j»Lo craie blanche, Domb.
«posta,» qui semble venir de ponere (ova), fr. pon-
dre; faut-il donc traduire œufs pondus?
~iûioLu.conjonctive,
L
membrane, le blanc
de l'œil, Bc. — Taie sur l'œil, Daumas V. A. 425;
- à ~KAOLOcataracte, humeur, tache sur le
102. — Céruse, aussi ~L> (j~L~ parmi le vulgaire cristallin de l'œil,Bc.
en Espagne, Gl. Esp. 70, Calendr. 101, 2, L (cerussa ~cL~J! les cultures qui n'ont besoin d'aucun ar-
tache blanche et opaque qui se forme quelquefois sur rosement jusqu'à la récolte sur les terres qui ont été
l'œil; en parlant d'un cheval: «uUxi ~e (j~L~-J! «il inondées par le Nil, Descr. de l'Eg. XVII, 17.
cf. Auw.
a une taie sur l'œil,» Daumas V. A. 190; ~U»Lo l'ouvrier qui fait cuire la soie, Prax R. d.
II, 569, 19 et suiv., I, 532, 3af.; Bait. I, 43 a:
0. A. IX, 215. —
AJCOLOpondeuse (qui pond), Bc.
y—o£ wdftJt(jïixjlcandide,
~(jaujt. franc, libre, sincère,
~XJ13
J t'
~Cï; Calendr. 83, 6; voyez aussi sous
~Lj ~& en blanc, sans
bonjour, Bc. — ~KAJÛO voyez Lane; en ce sens
,
la IXe forme du verbe. — seul, P. Akhbâr 163, 6. — (jia-ol substantive-
;
écriture ~LPLM sJb3 blanc-signé ou, blanc-
-çL.à2*e
ment et par antiphrase: charbon, Hbrt 196 (Barb.);
~L
sei-ng, Bc. — Cr ~=''L~ b quel beau jour que le pl. \jajji, Hœst 222; cf. à la fin.
seul et substantivement: lèpre, de Jong;
~Lj
— la petite
-
celui-ci! ~c'à «quel beau jour
que celui-ci, puisqu'Ibn-Abbâdvient me rendre visite,))
pièce de monnaie appelée blanca en espagnol ces
blancas sont aussi nommées (jaujxiî Gl. Esp.
;
Abbad.
-
III, 89, 4 a f., 91, n. 79; cf. Bc. sous
.e~-J!~L~-~ la substance blanche qui se trouve
62; le pl. ~jau pièces d'argent, Hartri 374, 1; an- -
thyllis cytisoides, arbrisseau rameux dont les feuilles
sous l'écorcedu papyrus ou du jonc, et compose la
sont blanchâtres, Gl. Esp. 62.
tige, J. A. 1850, I, 245. — 7.5LëA premier plan
~G- blancluitre, tirant sur
~blanchâtre, le blanc, Be-
Bc.
ou dessin, ébauche, Aie. (il donne ce terme sous falso
assi, et le mot qui précède est: falso dezidor v_ôl^; ~[ètamage, Bc. -
l'expression arabe ne peut pas signifier cela, et l'ar- ~~a~~e blanclterie, blanchisserie, lieu où l'on blan-
m+y
ticle qui suit est falsa traçadura jjiaxx*; je crois donc
qu'il faut placer l'article « falso (falsa) assi» après
chit, Bc.
) .oJS
pomme = ~L~J~L mélongène, aubergine, Bc. —
dorée, pomme d'dmour, Bc.
yîa-Ajf. par antiphrase, poix, Yoc., Bc; —
— Aussi :
brai, sorte de goudron, Bc. e ,3 p. (vendre à), AkhbAr 45, 9 (où il faut lire
1
~JL~ £ ^juxij), 10; c. p., Gl. Maw.,Ztschr.
dans le Voc. sous ovum, avec l'explication XX, 509, 5; c. a. p. et w r., ibid. 510, 9. — ~E.4
~aiM
Cr &mjj il fit à Dieu le sacrifice de sa vie, Bat. Bc. — Espion, Hbrt 140, Ht (qui prononce eL~j)
IV, 30, 196, Berb. I, 127, 128, ou simplement ~cb ~Xxllj £
~Xh '">XcLocrémière.
~al1'
Q*, P. Berb. II, 289, 8 a f.; chez Bo: ~J — Le fém. chez Bc;
~f!:Ÿ. ;u.;;4 f?'W:..A des marchandises qui trouvent
~f~~J
1 compasser, bien proportionner, M.
Gl. Belâdz. II quasi-pass. de I, M.
~X-jt-x-june
vente, Bc. — Forfait, marché à porte ~JLZ* (guerre, combat, campagne) forme au pl. ~-kiLo,
ou à gain, Bc. — La chaîne d'une toile, Voc. -
Le mot ~XJULI,église, se prononçait en Espagne , Maml.
1 I, 2, 18.
~-j, compas, Bc,
;
~XJL^O
de même que ~1;.à pers.
Yoc., Aie. (iglesia); il signifiait aussi synagogue, Aie.
(sinagoga ayuntamiento de judios). III, 91, 5, Bresl. I, ~249,3;^KxJb Lrï
M, 1001 N.
compasser ~c par compas et par mesure, au
~KJIAJ. iùwûûUt
les,Bc.
X<t~! l'Eglise, l'assemblée des fidè- fig., avec beaucoup d'exactitude; .L~-JL-AJ~ ~&tC~'
compasser ses actions, les bien régler; .L~J!
avoir le compas dans l'œil, mesurer juste à la vue
~ï
~XcLu commission yce qu'un commissionnaire perçoit seule, Bc.
regrattier, petit marchand, Bc; dans le même Xj^bCo pl. -~~J plaque, comme traduit Quatremère,
sens que ~cLu (voyez), celui qui vend des légumes, du Maml. II, 2, 70, 7 af., 6af., 71,6et 9; peut-
poisson en saumure, etc., 1001 N. Bresl. I, 193, 5 être cette plaque a-t-elle été nommée ainsi, parce
qu'elle avait la figure d'un cercle décrit avec le
et 6, où il n'est pas nécessaire de changer (voyez
compas.
aussi Lane) en pLj~, comme le veut Fleischer Gl. 30. L~Lj
sureau, Bc (= ~QL*JJ), Hbrt 183, qui donne
,
~^Lo ~t.>
marchand, débitant, vendeur, revendeur, Voc.,
Bc, Hbrt 102, marchand en détail, Hbrt 100, Macc. aussi ~QLW^LO.
I, 687, 12. On ajoute souvent le nom de la chose ~L~Lj. Dans l'éd. de Bresl. des 1001 N., I, 149, 8,
que débitent ces marchands en détail, p. ~e.jy>\ on trouve nommé parmi les pâtisseries: X^JlaLo
1001 N. III, 129, u&~~ ibid. II,66, ~Çul ~^IAJ l'édit. de Macn. et celle de Boul. n'ont pas le second
~=*LïL», Ztschr. XI, 513, ~Lo,
ibid. 515, mot, et comme le masc. ne s'accorde pas avec
et une foule d'exemples chez Bc. Spécialement: celui la forme du fém. de l'autre mot, je serais tenté de
qui vend des légumes, du poisson en saumure, du lire X^LiULoj. C'était peut-être une pâtisserie qui
fromage, des edpres, des olives, etc., Fleischer Gl. tirait son nom de la ville de Bailacân, dans la
30. — Commissionnaire, qui trafique par commission, Grande Arménie.
;zt.i (Aie. et Lerchundi y) (esp.) le bassin d'une fon-
-
':
IV avec ~«JM&plaider sa cause, R. N. 73 ro,
en parlant d'un cadi qui avait été an'eté:tt-cf)~
taine, Aie. (pila de agua; Wright, Gl. Djob., a tra-
duit pila par «auge,» comme il a trouvé dans le dict.
V se - distinguer, se signaler, se produire, se fairê
de Nunez; mais Victor donne «un bassin de fontaine;»
connaître, ressortir, produire de l'effet par contraste;
en ital. pila a la même acception), Macc. I, 126,
avec VjfJi ~y marquer, être marquant, Bc. — ParaI-
dem. 1. et toute la page 127, Djob. 50, 14, 199, 15.
tre à travers uncorps transparent, Aie. (trasluzirse).
Dans le Cartâs 36, 8 a f.—37, 14 (cf. 41, 15) on
— Etre prouvé, Voc. — Etre expliqué, Voc. — C. a.
trouve la description d'une ~X*u> et d'une~XLo. Chez
;
apercevoir, voir, voir distinctement, découvrir, Gl. Edrtst,
Aie. ces deux mots sont synonymes; il traduit l'un
et l'autre par pila de agua.» Defrémery (Voyages
d'Ibn Batoutah dans l'Asie-Mineure p. 49) a dit que
khaçça désigne le bassin supérieur d'une fontaine, chez Badroun 11, 3 (cf. notes 54) on peut
et que bila en indique le réservoir ou le bassin in- traduire simplement voir.
férieur; mais c'est, de son propre aveu, un lapsus
calami, et c'est le contraire qu'il a voulu dire; en VI c. ~Cr contraster, faire un contraste, Bc.
effet, on lit dans le Cartâs (37, 1 et 2): « Quand la U.-J..KJCA ~Jo' 9eaJ ~um ((entre Baçra et la Mecque,»
bîla est pleine, l'eau descend dans la khaçça.» —
Fonds baptismaux, Aie. (pila de bautizar). — Poisson
(~), M. ou avec t4, est dans le Voc. ad invicem, synonyme
.*Lkj sorte de terre argileuse dont on se sert au bain,
comme de savon; cimolie, Bc.
de tj~mJ <~*~u.
~Xiljintervalle,
-Ht.~A~! ~tm entre deux, Bc.
u<.4 - «g)uJLo ~-~~ vaisseau de guerre, Bc. ~XJ (esp.) peine, chdtiment, Aie. (pena).
dre, représenter une figure, Bc. — JbâJJt ~t;-à articu- .~jLu caractéristique, Bc.
ler, prononcer nettement, Bc.
(de Bayonne) galion, sorte de vaisseau de
III c. Cr contraster, faire un contraste, Bc. —
Distinguer le vrai et le faux, Mohammed ibn-Hàrith haut bord, Aie. (galeon).
~KÂAJdans le sens de témoignage; le quasi-pl. ££*>
~-A-s.
— C. a. surpasser, Gl. Maw. — C. ~'—<r. mon- -
dans le Voc.
~iuLu
Témoin, Voc., Mohammed ibn-Hàrith
238: «citez un second témoin.»
&..L.3 contraste, Bc.
CT..:..¡¡ spécification, Bc.
JLrfll*. KJ~L~M u.>'
adversatif, particule adver- Freytag écrit '5** "; Bait., 1,
468 a, l'épelle. C'était
aative, qui marque l'opposition, la différence, Bc. en Espagne la edOY4 àXeÇxvàpsix et aussi la chu.
qj.LJL*. oyLjiLjûe des souverains indépendants (de mœdaphne de Dioseorides. Chez Bc thymélée, lauréole,
garou; souslauréole il a aussi les voyelles que donne
Slane), Berb. I, 442, 2. — q,.iI«V.,«t. de Freytag.
mathém., aliquante, nombre qui n'est pas exactement
/~&L~AJU chef de bataillon, Bc.
contenu dans un autre, Bc.
*
~s— C'est ainsi qu'il faut prononcer ce mot que ~2 (turc) pl. \.:;.J' bey, Bc.
b,abréviation de teL-..,afin de, afin que, Bc. maison, Lyon 315; tezaka, cabane, Daumas Kabylie
22; teschka, chambre aux provisions, Barth V, 712.
,
0^*vJuti centaurea fuscata Desf., Prax R. d. O. A. CI,CI,
~7wL* (berb.) la racine du telephium imperati L
VIII, 281. — Huile faite d'olives vertes, Jackson
85 (tabaluht). qui croit spontanément dans l'ouest de l'Algérie et
principalement dans le Maroc, et qui entre dans la
.b~, en pers. un adjectif,
«brillant,» est employé à composition des parfums, Bat. IV, 394, Léon 774
Damas comme un substantif, le brillant d'une lame, (tauzarghenta), Marmol III, 21 d (tansarguent) Prax
,
Ztschr. XI, 520, n. 43. On y dit aussi: «une lame 4, 21 (serghin) et dans la R. d. O. A. V, 20, VI,
de tâbân,» dans le sens de: un vrai damas, ibid. 485. 341, ibid. XIII, 85 (serghrin), Carette Géogr. 94
(serrîn), Tristram 155 (s'rrhine), Daumas Sahara 285
11
Ojjt» reliquaire, Aie. (reliquario), cf. Djob. 102, 16; — (acerr'ïa); Bait. I, 124, en parlant du .;-?.;+J'
endroit où l'on garde les reliques, Aie. (sagrario se-
creto del templo). — Hune, gabie, Aie. (gavia de la
nave). — Poupe, arrière de vaisseau, Aie. (popa de A J~JL~!; II, 11 c, où il faut lire avec A: ~JLc.~
nave o navio). — Petit monument oblong et en bois,
qu'on élève sur la voûte d'un tombeau, Lane M. E. I, Ontrouve
II,
d'une femme, Berb.
comme le nom propre
239, 11. Capell Brooke II,
359. — Espèce de machine hydraulique, Lane, M. E.
II, 31. 86, 87: «a root called tasserint; it is employed in
washing hayks and woollen stuffs; being collected
.,.(I.,.J lucellum,
~~-t~j L, mot que Ducange explique and dried it forms an article of some considérable
par feretrum. trade. It is also, 1 believe, used by the Moorish
~XfLb women for the purpose of rendering themselves plump;
(pers.) sorte d'étoffe qu'on fabriquait à Naisà- and is sometimes mixed with the kouskousu for this
bour, de Jong.
purpose. The root is something like horseradish.»
~X~.u (Daumas MB) vermicelle, Daumas V. A. 252 (ta- CI
SjXrfwL»
(berb.) platane, Cherb. — Une carduacée mangée
recheta). par tous les bestiaux, Prax R. d. O. A. VIII, 280
(teskra); carduus sphœrocephalus, PagniMS (tesekara).
Ojjli (berb.) sortede poisson au Maghrib, Bat. II, 217.
~Lwb
(berb.) globularia alypum L., turbith, Prax R.
~~J<3..L' (berb.) raton de l'Atlas, Cherb.; sans le préfixe, VIII,
d. O. A. 281.
~t.~ raton, Roland; zerdi, HerpestesNumidicus Cuv.,
the Numidian ichneumon, Tristram 383; zordani, mus
(berb.).
lieu
semble, au
C'est ainsi qu'il faut lire, à ce qu'il
de <~~Jj chez Golius et Freytag; c'est
Barbarus Linn., the striped mouse, id. 385. du moins la leçon de nos deux man. de Bait. 1, 202 d.
~u est le mot berb. pour maison, Becrt 157, 1; taskha,
le sing., pl. ~uil, espèce de chaussure, sandale, pan-
Oji'lj
, ,
(berb.) a les voyellel ~oj-ïlï dans N du Moat.
,
toufle,Boulier,Vètem. 104, Bc, Bg, Hbrt. 21, R. N. (vO dans le Gl. Manç. (même article) et dans
78 v°, 1001 N. III, 468, 9; X»juu>
M.>-\¡ escarpin,
B de Bait. II, 248 b; écrit Inventaire, OjisJ,
Be; AjutJve M.>-\j soulier en pantoufle, Bc.
LSML* (aimi chez Quatremère et dans la trad.
A de Bait. II, 249, ~~AJ,
0.. B de Bait. ibid. Pro-
-
timchemt ou calcaire saharien,» Carette Géogr. 271 pliqué ce terme à d'autres substances dont on se sert
et 272. On y lit: «Il en existe une carrière assez
considérable dans la montagne voisine du village de
Bou-Noura,» ce qui peut servir à corriger le nom
sur Edrîsi
Edrtst
nom au -lam3)31 »
id. 1, 201 Godard I, 215:c;
«le takahout, teinture noire de Tafilet, provenant
d'une gale de la mimosa.» Chez de Jong van Ro-
p. 14) s'écrit aussi «^wwlaxjbu; l'auteur du Gl. Manç. denburg 286, takaoet est «une teinture jaune.» —
--
dit que le l.:>.}.}b est inconnu au Maghrib, et que Je ne sais si Guyon 211, n. 3, a en vue le même
beaucoup d'auteurs se sont trompés en pensant que mot, quand il dit que les Arabes font de la Reau-
c'est ~— La forme ,
(jakAââj qui est donnée
muria vermiculata un mélange avec du shée, auquel
ils donnent le nom de t'gout.
par le Most., se trouve aussi chez Aie. (tagàudeç ~.A.~JU
(grec) jon-thlaspi (fleur), Bc.
sous pelitre rayz conocida). Gantés chez Carette
Géogr. 255, (joLaÂï chez Cherb.
s~JL)
* >
nom d'une plante, Daumas V. A. 380.
(berb.) grèq,
~(borb.)
~"CI Cherb.
grès, Cherb.
~&4JU*espèce
descorsonère, Daumas V. A. 382; salsifii
'Lt thapsia, voyez Ly*ilj.
sauvage, ibid.
~xfls
~&*ib podospermum resedifolium, Prax R. d. O. A. VIII, 343.
(berb.) espèce de chardon, Daumas V. A. 381.
)#
OjÂîlii
M
(berb.) carduncellus pinnatus, Prax R. d. O. A.
De
VIII, 281. ~fjï pl. *~j! jumeau, jumelle, Bc.
~y1pi-vas,Voc., ~QUxjdouble, Ouaday 632 («teyman» ou «tymân»).
boîte, petite boîte, Aie. (buxeta,
<~d!~Lj (berb.) espèce d'arbre, Becrt 156, 2.
têqra, pl. tequêr). M. Simonet pense que c'est un dimin.
d-'t~LA~Lj (berb.) (meum) est écrit ainsi dans A. de
o^Lw^lî.«
de theca, thecula ou thecella.
~\ÓlJ Bait. I, 202 c; Sonth. ~LI"; B
celle-là, Bc (Eg.).
j~L~u pierre à aiguiser, Most. vo :,.t, ~***3
ajAL'à.(borb.) en arabe, Chec. 195 vo:
~1—Bc.
^tol %I>jl3 (~c!
moi,,, Bc. —
soumettre y
Côtoyer
lit
, aller
«je chanterai, accompagne.
le long de, p. e. ~ftJ' et
— S'accommoder ày se conformer,8e
se rendre conforme à, Bc, Aie. (convenir
a otro). — C. a. p. éclairer, épier la conduite, Be.-
£o,
(sic), Sonth. ~y. Dans le Voc. inducere, synonymes ~els
~L9ai et Lgj"t.
~S~J~Lj (berb.) cuivre, Gl. Esp. 348. ~«JLw#
- — L'expression dans mes No.
~<JU~~, dans le tices 181, note, 1. 3, semble signifier: «il comptait
X. On dit: <~J~ sens de: «il
»
trouva une occasion favorable, Berb. I, 615, 5, cf.
environ vingt ans;» les mêmes leçons dans le man.
de M. de Gayangos.
II, 134, 4 a t.; ~bLJLï ~!
~il ~~XX~<~ «son entreprise
III se conformer, se soumettre à (cf. sous la Ire),
eut d'abord quelque auccès,» Prol. I, 286, 16. Bidp. 86, 1, 206, 7, où il faut lire lüt.?l,¡,U" au lieu
uuuô' huppe (oiseau), Cherb., Jackson 70, id. de KJ~H~, cf. les notes crit. — C. £ r. continuer
à faire une chose, Haiyân 13 vO: ~JwaJLjuj à £7^3
Timb. 334, Tristram 398, Pagni 66 (qui, en expli-
;
ce
ressortir à, être du ressort, de la juridiction de, - Servilité, exactitude Bc.
-
—
servile,
-
appartient une moitié,» Bc. Accompagnerle chant,
etJj, epithète d'un chien de chasse, quipoursuit 0..
nom d'une plante, Daumas V. A. 380.
vivement le gibier, Diwan d'Amro'lkais ft**, va. 14.
a", , amant de servantes, Kàmil 516, 15; H (de l'esp. tapon,
teille, etc.,Voc.
«bouchon») boucher une bou-
-
0
VIII, 283. ou Mami. I, 1, 120.
domestique, valet, Gl. Belàdz., Haiyân-Bassâm - Le est le andropogon schœnanthus,
III, 142 rO; pl.
Ecuyer, Voc. -
gens, domestiques mdles, Bc.
Satellite, supp6t, Bc. — Vassal,
- Bait. I, 202 f; on l'appelle aussi Most.
soit pour le sens, soit pour les expressions; mais t-~' III c. a. p. et
r. commercer, trafiquer, Gl. Edrlst,
elle ne reçoit pas cette désignation à moins que les Voc., Bc, Valeton I., 3 (où il faut ajouter voyez
deux traditions ne proviennent du même Compagnon, p. 100) et 19, n. 6; ~>-LXj commerçable, Bc.
-
--,.S
de Slane Prol. II, 482. C. a. p. lésiner avec quelqu'un, Berb. II, 42, 7 af.:
tabac, M.
Dieu! il a lésiné avec moi et a voulu déprécier mon
cadeau » (de Slane).
JLo = Diw. Hodz. 30, vs. 19.
Vers de Ferazdac dans de Sacy Chrest. I,
assaisonnement; poivrade, Bc.
256,1:
J~-tb. Le pl. J~-j~-j dans le Voc., et chez
85111:JLLI
Bait. I,
Bc, Pagni MS, Prax R. d. O. A.
— Coriandre,
VIII, 345. — Sorte
d'achillea, dont la feuille bouillie est bonne à man-
ger, et dont la graine forme une pâtée très-nourris-
sante, qu'on emploie pour donner de l'embonpoint
aux filles à marier, Pellissier 347. -
~~J! ~Lx~! sî
-
au pl.
- En parlant
,
«Certes, celui qui achète la jeunesse fait une heu-
reuse spéculation; mais à acheter les cheveux blanea,
il n'y a rien à gagner.»
EjlJp forme marchandises, Gl. Edrt-
d'une personne en pouvoir d'autrui,
le pouvoir de disposer de son pécule, v. d. Borg 32.
•
1
commercial »wreantile, Bo.
commeraai, mercantile, Bc. lambeau, partie détachée d'une chose usée, M.
r.,
prement: «deux époux, qu'elle de-chaussée, Lane M. E. I, 21, II, 225; elle sert
avait eus, étaient morts, » Bat. IV, 143. — de salon pour les hommes, Burton II, 195.
~At~-~J
en cachette, en-dessous, sous main, secrètement;
id--çue rire sous cape, Bc.
—
(pers.
..0..
pl. planche,
M, Abou'l-Walîd
à l'envers, le dessus dessous, Bc. — Subst. parties 649, n. 76.
honteuses, 1001 N. IV, 485, 12, 486, 10. — Le
0
milieu et le devant d'un vaisseau, Burton I, 168n. pour litière (Lane sous 1001
M N. IV, 611, 4 (== Boul.) et constamment dans ce
avec l'article, le doigt annulaire, Domb. 86. récit.
,àLze subalterne, Bc. — Couvert,dissimulé, Bc.
II
causer une indigestion,Voc. — Borner, aborner
- a) «il y a dans cette affaire un
dessous de cartes,» Bc. — Nom d'un vêtement qu'on
un champ, une route, L. (terminio (finio», Aie.
(deslindar beredades, mojonar camino, deslindador
portait sous un autre, Aboulf. Ann. V, 344:
u*Jlbt. En comparant les paroles ibid. V, 80 et Abou'l-Walîd 122, 1.
294: ~Lx~ LrkLl je serais porté à croire IV causer une indigestion, Voc.
que c'était une espèce de kabd. Cf. !WLze. VIII souffrir d'une indigestion,Voc.
KjuLx.~ nom d'un vêtement qu'on portait sous un
district, Bc. — Chaos, L (kaos
autre, Vêtem. 94-.5. Cf. àlze. o £ pituite, Domb.
87. — Tristesse, Voc.
SwftSP II enjoliver, Bc. r-7- -- triste,Voc.
\J~ ) donné en cadeau, Voc. y
pl. J~JCt mamelle, Voc.
fi.
périnée, espace entre l'anus e1
ta 1 pourrir (bois, etc.), Bc. les parties naturelles, Bc.
),,>!;i severelle (poisson), Burckhardt Syria 166. Bait. I, 207 o. - argile, glaise, Bo.—
.JLS\iJt
chez Freytag et Bc, est une faute
xj,t.J (lat.) dans une charte sicilienne, seigneurs ter-
riers (terraru), vassaux, J. A. 1845, II, 318, 2 a f.,
contre la grammaire; il faut gUlgJt
57 h, 104 b.
Bait. H, s~
319, 7; cf. 334. -,
.,. tt..,.:> Y-itj
rocou ou roucou; — rubrique,
(Daumas MS), faucon, le plus grand des oiseaux sorte de terre rouge, Bc.
de race, Daumas R. d. O. A. N. S. III, 235 (terakel); terreux, mêlé de terre, Voc., Bc. — Gris,
terakell = femelle du lanier grande espèce,
Margueritte 176; on
Guy 221 écrit tarkli. n,15. - ,
II crépir, enduire de mortier (un mur), Aie. (en- X*~j espèce de terre laxative, Pallme 121.
barrar). — Etre réduit en poussière, M.
°
'-ri;':' pl. ~Lx~ terroir,
cru, terre considérée selon
IV enrichir, Yoc.
ses qualités, Aie. (terruno linage de tierra).
K-jyj',
.CI
que de nos jours on prononce quelquefois AjyU ?. chez Macc. I, 515, 2, pour 0
marteau,
Xj~, argile qui remplace le savon, Aie. (greda para Lettre à M. Fleischer 62.
adobar panos = Daumas Sahara 243 (terba). ~L~j la chaussure
d'été du voyageur; elle consiste
- Terre blanche qu'on substitue au pldtre, Carotte
Kab. I, 307. — Terre grisâtre,spécifique des mala-
en une semelle de peau de bœuf ou de chameau,
fixée par quatre ou cinq bouts de ficelle noués sur
dies syphilitiques, d'Escayrac 92 (tereba), Ghadamès le pied, Carette Géogr. 181, Sandoval 311.
351. -iLijj X-j—' (terre de Barca) espèce de terre
qui est d'un blanc tirant sur le jaune; il s'en exhale (le t-Xojj" de Freytag n'est pas correct; le syriaque
une odeur sulfureuse, Auw. I, 97, 7. — J~mJ!
est un des noms de la garcinia mangostana on l'a
appelée ainsi, surtout dans l'est de l'Espagne, parce
; a l'i long) convolvulus turpethum, voyez Vullers et
Payne Smith 1452.
— turbith, minéral,
qu'elle servait à faire fermenter le miel; Most. v° précipité jaune de mercure, Bc.
,
322, 4 a f.; — barricader une porte, une fenêtre, Bc.
Becri 5, 15; Chec. 217 ro: c'est dans l'est de
1.
l'Espagne qu'on emploie le pour faire ~L-t verrou, Bc.
fermenter le miel; Bait. I, 274 b, où l'on trouve
aussi Xjylil seul dans le même sens. — Mausolée ou œdème, enflure des membres et autres parties du
mosquée construite sur un tombeau, Vêtem. 330, n. 6, corps, par suite de mauvaises digestions, d'hydropi-
Ryn-Acker 25, Thévenot I, 298, Djob. 42, 10 etc., sie,etc.,Sang.—Médicament purgatif =
très-souvent chez Bat., mausolée, Bc.
Sang.; torboul, drogue, Descr. de l'Eg. XVII, 394.
ï —
lF.ii fossoyeur, Bc, Hbrt 215, Lane M. E. II, 295 n.
mélange
* > de chaux et de sable, mortier, Gl.
Bayân 30. — bol d'Arménie, pierre armé- ~X~-AJ.J
outil pour tailler les pierres, M.
nienne, Bc. — ~L*J! ",:-,'Jd' terre de Thessalonique
(Clément-Mullet), Auw. I, 97, 3 a f.
— En Syrie, s'enfler (chair), M.
1 bredouiller, Ht.
(AB) terre d'ach-Chdrida, qui est le nom d'une ile
près d'Iviça (je suppose que c'est Formentera); cette
0, .,.
1. ~Lx~ diviser un livre en chapitres,Voc.
terre sert à tuer les sangsues, Bait. I, 208 b. —
f° 9
0. >
-
Intituler un livre, un chapitre, avec du titre,
Gl. Badroun, Prol. II, 296, dern. 1., 401,13, 14 et 15.
y
terre de Sidon; on la tire d'une caverne
qui se trouve près d'un village du territoire de Sidon, -#
K~-~-f, traduction, a le pl. pXzAji chez Abou'l-
et l'on s'en sert dans le traitement des fractures, Walîd 703, 13 et ailleurs. — Les lignes qui se trou-
,
vent en tête d'une lettre et qui contiennent le nom a la même leçon; mais je soupçonne qu'il faut lire,
de celui qui l'a écrite, ainsi que le nom de celui à (j<~t comme porte ce man. dans le passage II, 155
qui elle est adressée, YUJUI ~-~ ~-~r't
Macc. 1,
5, et comme on lit dans le texte II, 279, 5.
237, 3. — Trait de plume, Aie. (caso de letra, que
Nebrija traduit par ductus litterœ). Editio- lJIii barre d'une porte, Abol'-Walîd 113, 1
et 2;
L. — Epitaphe, Aie. (petafio). — Enigme?
Macc. I, 503, 6, en parlant d'un Souft: ~L~
chez Lane (sous lJI'?) L.JNji. - Fantassins, Martin 23.
lJIii. (le bouclier de perfidie); ce bou.
clier, que le guerrier attachait à son cou, était percé
Amari Dipl. 143, dem. 1., 203, 8 (le premier K~>~<). par le milieu, et l'on pouvait y faire passer le fût
— L'argent qu'on donne au drogman pour ses servi- d'une arbalète. L'archer tenait le bouclier dressé
-O
ces, Amari Dipl. 106, 9, 203, 7, 8 et 9. devant lui, et au moment où son adversaire s'y at-
tendait le moins, il lui décochait un trait, J. A. 1848,
,
Bc (~-t->.!-t. - Dictionnaire, glossaire, Bc. posée de plusieurs madriers, derrière laquelle on se
mettait à couvert des traits et des pierres, Freytag
.~>.~e. Bien que l'on dise: li^li «écrire un
-LJN?'
547,14,582,
cependant:
7,
Meursinge ,2
article biographique sur quelqu'un» (Lane, Macc. I,
et 125), on dit
pour exprimer: celui dont traite
Chrest. 131, 11; cf. sous
poisson de mer plat; — turbot, Bc.
~-c~ raie
cet article, Khatîb 30 ro, 33 vo, 36 vo. tortue, Ht; «poisson rond comme un bouclier,
1 est employé par Saadiah pour (Niphal de et qui mange les petits du crocodile, quand il peut
recessit) dans ps. 78, vs. 57, et ps. 129. les attraper,» Yansleb 79; Seetzen III, 502, IV, 518;
Ztschr. für âgypt. Sprache u. Alt., mai 1866, p.55,
est Man. Escur. 893 (cf. Casiri
et juillet p.83. Trionyx œgyptiaca Geoffr.
I, 319 a).
~j~;-' infanterie, Hbrt 138.
(esp. tordo) grive (oiseau), R. N. 48 r° U"",;..¡pl. 9 fantassin, Bc (Barb.), Hbrt 43,
138, Cherb., Barbier, Ht, Roland Dial. 566, Delap.
177; Poiret I, 147: «deux Déras, ou soldats Maures.»
récit le synonyme de (jia-ol jïjjj
est .J'J»' Cf. l'article qui suit.
j et chez Aie. tordo
— Pl. charretier, qui conduit une charrette, une
charrue, Bc. — Celui qui se sert d'un levier pour
soulever des fardeaux, chargeur et déchargeur de mar-
a
~J<3-J (esp.) pl. espèce de grosse grive, Aie. (torden- chandises, Fleischer Gl. 74, n. 3.
cha (1. tordella ave) conocida). Cf. l'article qui précède.
dessert, Ht.
Barbacane, Burton I, 374. -
u~-X-~ retiradey
t. de fortification, retranchement derrière un ouvrage,
(berb.)guêpe,
9 Bc; cf. Rutgers 166, 7 et 10. — Levier, Fleischer
Pagni MS, où l'on trouve Ferzësu, Gl. 74, n. 3 (aussi yjyix). — Au pl. bastingages, Ht.
mais il faut changer le F en T, car dans le Dict. «»
X~-X~ rempart, Bc.
V"? pl. .-
~J<~t.~J~
fléau, barre de fer mobile der-
l, >> rière une porte, verrou, Bc, Fleischer Gl. 74, n. 3.
n. d'act. lJNJ;ji, c. doit signifier: être ac-
coutumé à dans ce passage d'Edrtst Clim. V, Sect. 1: Boulevard, rempart, retranchement, épaulement,
—
Bc, retranchement, redoute, Hbrt 143; au pl. ligne,
retranchement, circonvallation, Bc; Barth I, 37: «Die
_r-5.:%Jl ~-'~j~e.Jtgnorecomment ce verbe a reçu Reste einer Befestigungsmauer, NamensMâtarîs. »
ce sens, mais tous les man. (ABC) sont d'accord. jgMUjU* dresser des batteries, prendre des me-
II c. bloquer, Berb. II, 146, 7, où le man. 1350 sures pour, Bc. — Voyez deux fois sous
Ilital. darqena,
l'ital. 205-6.
darsena, voyez Gl. Esp. 205—6.
-
Abroger, mettre hors d'usage, abolir,
Esp.
rij ou f~f~
205-6.
(JNt;..fi, qu'on (Léon 772, Marmol III, IIIe forme et Amari 203, 7.
prononce
1 d, Hœst 308, Lyon 37, Jackson 80, Carette Géogr.
259, PraxR. d.
O. A. VIII, 283),
R. d. 0. * (Ilbrt
(Hbrt 18)
1, 13, Nowairt, man. 273, p. 637: J~t~J~~~L
et LJ";ji (Domb. 61, Tristram 170), truffes, est un a .0'
mot d'origine berbère, Bait. I, 208 d. nom d'un vêtement de femme, 1001 N. Bresl.
j
jlASfcLoy IX, 270, 2,
ge trouve 1001 N. Bresl. où plante, Gl. Manç. v° Dans le Most. le nom
l'éd. Macn. porte Kj!~, portière. berbère du est o~L~j (Lm) ou O':)J; (N). fi
~J~jJt
O*
<.0< rance,Aie. (rancio); il donne dans le même sens:
(ital. tromba) pompe, Bc.
calîl (^)wJlï) atatariôq et le verbe ataridq est
chez lui rancir (enranciarse) et faire devenir rance
T-JWI (voyez),
dansleVoc.sous
&."A;i.pastilleq7 synonyme de (enranciar otra cosa).
Sang.
j'
dans le Voc. sous triaea,
triaca, sem.
sem-
fi,
y©>
lJNy4 n. d'un. 8, lupins, Voc.
ble signifier: une thériaque composée de cinquante in-
~LA~.J grédients (cf. Lane). — X~~! diatessaron, Bc;
eupatoire, Bc.
(~.f~~ O"*' est
térébenthine, Bc; chez Aie. (trementina) et
le Voc. a sous triaca. —
le grand antidote dont on se sert intérieurement aussi
Ht avec le 8.
bien qu'extérieurement, Burton II, 108. Chez Bc:
et
1*y - Un chameau qui fait
Aboulf. Ann. V, 80, 294,
(cf.~
w y chez Lane
le trajet de neuf
..,.,i.
lyUtiûo
borieux, Bc.
dur, difficile, incommode, pénible,
-
et dont on se sert pour guérir les maladies des yeux,
:
Bait. I, 208 g, 282 a, II, 351 j (la bonne- leçon dans ,j<~n malheur, Hbrt 220.
LJN.)h:i,
\Jt'~ 1
un pl. 1
qu'il a trouvé ces formes,
etc. M. Wright m'apprend
=
^J^JLScuL (voyez),
I balbutier, Bc.
II c. a., dans le sens de la IVe,Yoc. sous laborare.
IV molester, vexer, tourmenter, Aie. (molestar) , J—*-J
,
le vase ou la fosse qui reçoit le suc de ce
Macc. I, 591, dern. 1., 592, 2. — Travailler, tour-
qu'on presse, Abou'I-WaUd 293, n. 48.
menter, causer de la peine, incommoder, gêner, Bc. —
Surmener,excéder une monture par une marche forcée, espèce de poisson, man. de l'Eseurial 888,
Bc. -
"L\~> %-4m-ïl s'intriguer, se donner beaucoup
de peine pour réussir; — se battre les flancs, faire
no 5, distinct du
.Ljt~Jf pl.
qui y est nommé aussi (Simonet).
(M) grand pot de terre vernissée,
beaucoup d'efforts inutiles, Bc. — \~jJL~JL
Bc;
charger d'impôts, Bc. - y*S\woûl peiner, causer de
l'inquiétude. — déranger quelqu'un, l'im-
portuner, le détourner de ses affaires, Bc. o..J:j 1 cracher, Bc.
~jt-j 01> exercice, peine, fatigue, labeur,
pl. yL.a..:i' (berb.) sonchus tenerrimus L., Prax R. d.
veilles (grande et longue application au travail d'es-
prit), Bc. — Incommodité, malaise, mal-être, Bc. — O. A. VIII, 348, Pagni MS, Daumas V. A. 383,
Sujétion, assujettissement, assiduité gênante, Bc. Bait. I, 155 e et k, 211 e, 367 b, II, 570 c.
~-~.w—j laborieux, difficile, pénible, Voc., Bc. — crachoir, Bc.
,
odeur très-agréable, Tha'âlibî Lat&ïf 95, 7 et suiv.,
dans la ~.<t~J~
O
l'adiante est fratohe, tandis
Auw. I, 330, 2 af. dans le man. de Leyde, où l'on
qu'elle est sèche dans la ^L&AAJILLBJCJI Lettre à trouve après Ai.:i,: eL4.j4 ôyu.Jas. &l'le, 1001 N.
Fleischer 155.
M.
I, 56, 13. - Gl. Esp. 352, Calendr.
1 faire fanfaron, Aie. (fanfarrear). — T'ton-
le 58, 2; lisez de même Auw. I, 309, dern. 1. (man.
ner, être incertain, Cherb. C. — S'occuper de riens, id. — L ~Att~J! sic), 330, dern. 1. (correctement dans L);
Anonner, parler, lire en hésitant, Bc. — Crachoter, Bc. l'arbre qui donne cette espèce ne porte pas de fleurs,
AÂASJ crachotement, Bc. et ces pommes sont sans pépins, ibid. 331, 1 et 2,
1 333, 13 et 14 (la bonne leçon dans L). — r,L-i.:i
O pl. xâjlâjhâbleur,
tebuii 1 1- fanfaron, Aie. (deslen- o
\JL~-<~! momordica balsamina, Domb. 73. -
guado que habla mucho, fanfarron).
1
(?), I, Auw. I, 330, dern. 1. —
147, 4 af. (où l'éd. Macn. a
r;Li:i, 1001 1
ser le démon. Cette opération consiste à prendre un Auw. I, 670, 17; mais le man. L porte (sic).—
mélange de miel et de farine, connu sous le nom de ~jLe —L~f ou (citron); Bait., I, 211 d, dit sur
thammina, et à en parsemer la cour d'une maison l'origine de ce nom: t-~-j~t- et que,
en prononçant une certaine formule, Cherb. par conséquent, il ne vient pas de eau; restituez
;¡, I, 314, 14. — r;li:i, 1001
,
aussi: ornement en forme depomme, de boule, ce mot Auw. N.
Cartâs 31, 6 af. — pomme d'Adam,
éminence au-devant de la gorge, Bc. — J'-"'}
IV, 249, 2 a f., Bresl. I, 147, 3 af. ),-'
nommé dans le Voc. et dans le Calendr. 101, 2,
-
Voc. — pomme de terre ou morelle tu- est pour y grenade, comme on lit Calendr. 75,
béreuse, Bc. -
.~-M<JL~—î.~ espèce de pomme
douce, jaune, d'ungoût et d'une odeur excellents, 4, où je n'aurais pas dû changer la leçon. —
h
la meilleure au Maghrib, Becrt 116, 10, Cartâs 23. ¡;li;d', Calendr. 45, 2 (car je crois à présent avec
~-sai~, Cartâs 23, Voc. M. Fleischer que cette leçon est bonne) vent d'est
~grande
--:- grande et 12. —
et excellente espèce
—
espèce de pomme, qui
qui souffle en Espagne depuis le 13e jusqu'au
avril
pommiers.
et qui est souvent pernicieux pour
16e
les fleurs des
,
JLàio. Le pl. M.LXA, DtwAn d'al-Akhtal 7 vo (Wright). gion par prudence et feindre qu'on en a une autre;
1
~j~aj
e
(Daumas MS) entorse, Daumas V. A. 426.
que Bc donne dans le même sens. ~t~~Xj en Afrique, en Orient \.l:..: :., espèce de
..J!j I, aor.raisonner, se rendre raison dey Bc.
i, chanvre bâtard, qui, comme l'opium, possède des
IV finir, mettre la dernière main à, Bc.
LJLAJj!
- vertus somnifères, et que l'on fume avec le tabac,
Bidp. 3,
Bc. —
1.
lire un livre avec beaucoup d'attention,
4. — Raisonner, se rendre raison de,
à faire très-bien une chose,. Bc.
B. d. 0. A. IV, 78, 136, Daumas Sahara 128, d'Es-
-
cyâï.A étudié, fait avec soin, Bc. baquet, Ht. de navire, Nie-
0' — A Baçra, espèce
CyâxA possédant des connaissances solides, de Sacy buhr R. II, 203, 204 n.
Chrest. I, 114, 9.
»O*raisonné, appuyé de raisons; — réfléchi,
Oj-iLiLio
fait ou dit avec réflexion;
— étudié, fait avec soin, Bc. pl. LtULï couvent
MMceM~ où l'on reçoit auasi
aussi ordïnMM-
ordinaire-
<
ment des voyageurs pauvres ou des personnes recom-
mandées, qui y trouvent l'hospitalité gratuite, Nie-
buhr R. II, 283, B. 21, Descr. de l'Eg. XVIII,
part. 2, 319, Ht (hospice), 1001 N. II, 87, 4 a f.,
Ztschr. XVI, 654, Burton I, 84, 408: «La
l'Inde, de la Perse et de l'Egypte ressemble à la
1431. d'Afrique,» Hist. Tun. 132: ^-AJLAJCAJ^
o
vient de
de
Domb. 64
;
ûJtf.
tag, mais en
chez Ht
, , bien, fortune;
»
'S!,JJ3 «il n'a ni
|
les Mauresques pétrissent avec leurs doigts et qui
ressemblent aux pâtes d'Italie. On mange le tlitsli
64
&&~o, 463,7,490,10,529,2,539, 6, etc. cf. Wingfield I, 195, sac noir, ou à raies blanches
et noires, fait de poil de chèvre, dont les paysans
haut plateau, Berb. I, 4, 1. 7. — Terre élevée se servent pour porter leur blé au marché, Burck-
entre deux raies ou sillons, Aie. (lomo entre sulco hardt Prov. 68, 97, sac en laine et en lanières de
e sulco). — Rigole- pratiquée' entre deux raies ou sil- palmier, Daumas Sahara 96, 136, sac tissé en feuilles de
lons, Voc. (aqueductus), Aie. (cavallillo entre sulco palmier, id. 198; «double sac dans lequel on met
e sulco). le grain et quelquefois le charbon; contenance, deux
monticule, hauteur, tertre, Bc. — Haut pla- sacs; le tellis se compose d'un carré long dont les
deux petits côtés sont cousus sur le milieu de la
teau, Berb. I, 32, 7. — Tissu fin et brodé dont se
pièce; on obtient ainsi deux fourreaux qui ont chacun
couvre la nouvelle mariée, M.
une extrémité--fermée; l'étoffe est une laine rayée,»
J~JLj,en Egypte, espèce d'oiseau, Ztschr. für Cherb. — Sac de blé, certaine mesure de blé, Burck-
âgypt. Sprache u. Alt., mai 1868, p. 56, et juillet, hardt 1. 1. — Tapis grossier à diverses couleurs;
«lorsque l'Arabe n'a plus à se servir du tellîs comme
p. 84.
sac, il le découd et en forme un tapis long,» Cherb.
pi. JJ'~ collier, Voc. Cette espèce de tapis, en copte sert aussi de
caparaçon ou de courte-pointe, Gl. Esp. 349, 350. Le
lama, Lane M. E. II, 94. tellîs était encore un habit de deuil, Bat. Il, 35,
s~~M calomnie, crime, perte, Ht. et les ermites s'en habillaient quelquefois, Cartâs 178,
7 a f.
K~JLt, sac, était déjà en usage du temps du ca-
iilidù' pl. babil, caquet, M. life abbâside al-Mançour, Gl. Belâdz. — Tapis (cf.
«petits grumeaux de pâte que Jackson Timb. 23.
« («du sac») espèce de dattes, Prax R. d.
1 n. d'act.
j,
VIII, 344.
perte; — dégat; — perversion; — tort; — que voulez-vous? » Bc. — (Arithm.) additionner, Bc,
consomption, état des choses qui se consument par Hbrt 122.
le feu, Bc, cf. Abou'l-Walîd 358, 11, 773, 7, 803, 20. II approuver complétement, de Sacy Dipl. IX,
oSLî' prodigue, L (prodigus). 486, 3 a f.
— ajiJLo u:i:1 gâte-
enfant ,
~c~er; ~~L—t gâte-papier;
Bc.
o^L-j gâte- VI (voyez Lane et Gl. Belâdz.) non-seulement c.
p., mais aussi c. p., Haiyân-Bassâm I, 11 rO:
son règne avait duré 47 (1. 49) jours àJ -~JLJLj
3 ,
~j~-Lx-~ perdu, égaré, errant, Voc., Aie. (desca-
minado, erradizo, mestenco o mostrenco), Roland, sur les monnaies poids parfait, Ztschr. IX,
Abou'l-Walîd 773', 8, P. Prol. III, 425, 8. — (Egaré)
833. — ici, Bc (Barb.), pour
= le lion, Margueritte 144.
JS pl. rL.:i' bouche, gueule, Bc, Hbrt 2, 63, Burck-
,<~L< w) .JL~
w
hardt Syria 40; m grimace, Bc; (pour
X-«JLj thymus inodorus Desf., Prax R. d. O. A.
,JL~-t bravo! Bc.
VIII, 281.
addition, première règle de l'arithm., Bc, Hbrt
II c. j p. devenir le disciple de, Fakhrt 306, 1. 122. — Totalité, Bc.
inauguration, consécration d'une église, Aie. * *
~w~J 1 devenir insensible comme le crocodile (parce
(dedicacion de yglesia). — en plein, direc- qu'il est couvert d'écaillés), M.
tement vis-à-vis, Bc. — à à point nommé, Bc. ^1m trj dans le Voc. pl.
o
~«ornement pour la tête et en même temps
calament (plante), Bc.
une amulette protectrice. Chaque tamymeh a ordi- - ,.-
nairement un petit grelot qui bruit lorsque la femme !~èJ repas, festin, Voc.
marche, remue ou tourne la tête,» Ouaday 335. —
Collier, Voc.
Xjyolç cause finale, Bc.
2 , botte de cavalier, Bg, Ht,
(turc .~Le~-b)
p'»9»- «Le Scheik choisit dans chaque famille des Cherb., Daumas Sahara 299, Mœurs 262, Pflügl LXVII,
auxiliairea, nommés Tammann (1. m), pour l'instruire, 7, Bat. II, 127.
le renseigner sur tout ce qui se passe et faire exécuter
ses ordres et ses condamnations,» Carteron 442 (Kabyles).
.,)"1 comparatif, Cartâs 33, 7 a f.: 1t -. ~-y~~-L expliqué par anis sauvage, Auw. II, 261,16;
synonyme de <~~-H 8j_jt (terme qui désigne deux
CI.,
£+£» est chez Bc
plantes différentes), Bait. I, 10 e: Lf4-*j
f"
sorte de ~-*—>- j-cU, Man. Escur. 893 (cf.
Le pl. of dans le Voc. - Trombe, colonne
d'eau et d'air mue en tourbillon par le vent, Bc.
Casiri I, 319 a).
.) nom d'une étoffe, Maml. II, 2, 77; Quatre- <d5LkJijt
tombac, métal composé de cuivre et de zinc,
mère croit que c'était une étoffe sur laquelle étaient similor, Bc; «c'est le malais '~L~, cuivre, qui est
représentées, en broderie, des dattes. d'origine hindoue,» Devie 221.
TAMARZOUGA salvia verbenacaL., Prax R. d. O. A. VIII,279.
TEMOURDI verbena nodiflora, Prax R. d. O. A. VIII, 283. &AÂXÂJ bonnet sans poil, rembourré de coton, Bc.
>
(pers.) paresseux et stupide, M, ganache, au fig., t,.YN-iJ pastille du sérail, Bc.
qui a l'esprit lourd, Bo. ..6.ii
~jjj (esp. atambor, tambor) tambour, Gl. Esp. 375.
fer-blanc, Be, Hbrt 85;
(turc «le tének
jaune ou cuivre jaune en feuilles,» Ouaday 339.
-
(pers.) nom d'une monnaie persane, dont le
bétel, Bat. I, 247, 366, II, 184, 204, Not. et
poids, en dtnArs du Maghrib, est de deux dînârs et
Extr. XIII, 208. demi, Bat. I, 293, III, 187.
Y~L~Aj sorte de pierre, voyez Becrî 182, 4 a f. = eVlj", fer-blanc, Hbrt 171.
..0..
(cf. pers. se retirer à la campagne pour s'a-
'-'
y:;J
Cherb.
, et plus communément lupanar, muser et manger, M. — Salon de réception, Hbrt 192,
Humbert Arab. anal. ined. 118.
coriandre, Most. vu
deux man.).
9 (distinctement dans les
w
Bc, Hbrt
anonner, parler, lire en hésitant, balbutier, bégayer,
8.
qui contient plusieurs lampes et dont on orne les Hbrt 211, Roland.
,
mosquées, selon l'explication de Silv. de Sacy (cf.
soupçonneux, Voc.
Wilken Gescb. der Kreuzzuge 1, 296), de Sacy Druzes
, récrimination, accusation, reproche
I, CCCXLIV, CCCLXV, Athîr X, 192 bis, 6 = Khaldoun pour en
Tornberg 11, 2 a f., Macc. I, 341, 16, Bat. III, repousser un autre, Bc.
251 (où la traduction doit être changée), Khallic.
VIII, 35, 14 et suiv. En syriaque ce mot a aussi
cette acception. — Cuirasse, de Goeje dans la Revue
critique de 1867, p. 404.
tout à l'heure, il n'y a qu'un
vient de partir, il est parti tout à
)j_>—J
instant;
l'heure ;» «il
,
t—~J II convertir, Voc., Bc.
puits il dit que c'est une altération de ijy-3' (P).
IV c. a. p. et r. corriger une personne d'une
- dans le sens de ~,fourpratiqué dans le mauvaise habitude, Bc.
sol, Ztschr. XI, 516, n. 41. — Pagne, Bat. IV, 23,
&bi
où le man. de M. de Gayangos porte M, cf. c. faire pénitence pour, Koseg. Chrest. 20,
Vullers. 7
a f. — Indulgence, rémission de la peine due
à un
péché, Aie. (indulgencia de pecado). — U
~<~Lj (j~~o, Cartâs 41, signifie un (j*^>15
j
sabot du cheval, le crapaud des auteurs français, II, Bc QOIJL* Kj:~ — fonte, mélange de métaux, Bc.
634, 22 et suiv. (Clément-Mullet II, part. 2, 174). — K~~e la plaine de la Métidja; lieu de ceinture,
- cE
..s"'} fraise, Bc. - ~.L~J!
„« mûre sauvage, Roland.
le fruit la ronce, Ztschr. XI, 524, n. 47. —
de
n'est pas seulement le nom de la mûre pour Aie. (leon coronado .,
0
noire et douce (Lane, Ztschr. XI, 524), mais aussi
au Maghrib, cacalia, Bait. I, 156 b vo
celui d'une espèce de mûre amère, man. de Leyde
-d'Ibn-al-Auwâm après I, 292, 19 du texte imprimé:
0*
(de Tunis) toile de lin, Aie. (olanda lienço),
A
était la meilleure, Vétem. 180, n. 2, De Reyse naer
..¡¡¡.
de ce mot on a formé le verbe recouvrir un Africa, Tunis, Algiers etc. (Haarlem 1650), p. 11.
arc de cette écorce; Gl. Manç.:
132, 12.
et le Lobb-al-lobâb.
Tha'âlibî Latâïf 110, 2; <;;.:; > ou
v_jLyLjl
ibid. y
fille(~c^o), M.
f~
~uD
) -
(dimoy) thym, Most. vo Uil.:>; le motest plus Bar Ali éd. Hoffmann nO 4117.
ou moins altéré dans les deux man., et
ce que l'au- Le pl. ~oî,Abou'l-Walîd 700, n. 67, et~ûl
~jLj.
teur ajoute prouve qu'il ne connaissait pas la vérita- chez Saadiah ps. 43 et 88. Torrent, au fig., en par-
ble orthographe, qui cependant est certaine. lant des affaires, des passions, tourbillon, au fig.,
= thon, Domb 68, YAcout I, 886, 5. Bc. — Voyez
(jpXiî (eap. tirante) bretelles, Delap. 77. t. Sur les différentes espèces de figues on trouve ce
passage dans le Most., que je publie tel qu'il est dans
tj~J II a., Voc. sous ignorare, probablement: dé-
o. le man. L, en ajoutant les variantes de N: XAx».^
clarer que quelqu'un est un ignorant, un imbécile.
e, ignorant,Yoc., godiche, niais, nigaud, Bc,
(jmuû*
,
meiro 232):«y aquf en Sevilla hay muchas maneras
~Jlï pl. ,.L~ ganse de soie, Cherb. de figos, ca bay figos xaharies y dofiegales y bre-
^pl. O - métal, fil de métal, d'or,
~ot corde de
d'argent, de fer, Bc, Hbrt 86; corde de laiton dans
vales y coties;» — (de Malaga), Macc. I, 123,
7. — Tin et tin luggudfni, figue sèche, Pagni MS. —
les instruments de musique, Descr. de l'Eg. XIII, Noms du fruit du sycomore: uU>1it et
Most. Vo _t~- — Noms du cactier, raquette,
228, n. 3, où l'on trouve ~vyj>tell; cf. ~JIj
sous ~J-o. - figuier d'Inde, selon Sang.: - 31 & (aussi dans La
Filasse de chanvre, Bc.
du Most. sous (j^-2, où N porte ;
E.-*«JI (J~—~)~
pl. of instrument sur lequel on coud la reliure
d'un livre, M. Yoc. dans la lre partie vendeur de figues,
-~4'~ et s-At-~
, en Espagne et au Maghrib al-akçâ, cro-
codilium Dioac. (III, 10), Bait. II, 253b : ~jlII
dans la 2de celui qui achète des figues.
V Voc. sous perplexus.
dédale, labyrinthe, Bc. — Indifférence, état
d'une personne indifférente, Bc.
laurier, Sang.
Jb.
IaamâIâ thapsia asclepium, Bait. I, 225 b; le Most. JU petit palmier; — délire qui n'a pas de suites,
a
ce mot sous le mais il ajoute: à c?)~~ *JL->~!
o, folie passagère, Sang.
*l£N (distinctement dans N); dans le Gl. Manç.
1 c. a. Voc. sous veruca.
)
a les voyelles Ly«itî.
verrue,
u poireau, Bc.
,e.9)~, verrue, Bc, durillon, cor, Ht. terre,» Akhbâr 128, 2 et 3; IO-A-SI soutenir
verrue,Yoc. une thèse, Bc;
L~j< ~-~-*-~< valider, rendre valide;
v^»AjJ[
~pl.
;
convaincre un accusé, Bc. — Intransit, c.
à persister tenir bon, tenir ferme, faire bonne conte-
nance, montrer de la résolution; c. ~ASou ~e!~\ï tenir
~iooi _Lô>r. lo ~^suj; Mohammed ibn-Hârith 268:
f- ~g~-»<0 £_sLJi
mant ce qui leur était dà, l'héritier -..c" mémoire des dépensesqu'on a faites, Fakhrt,
344, 6 et 7.
&-L-l se faire valoir, soutenir, sa dignité,
~oL3 signature, de Sacy Dipl. IX, 486, 10: ~Ld
valoir auprès du cadi les droits qu'il avait sur cette ~ol*& efficacement, Aie. (eficacemente).
o'Lo •
*9 assoupissement long et profond, Bc. 0 ~* qui
~by. *-.»-* a Vestomac surchargé par une trop
,
» grande quantité d'aliments, Aie. (ahitado).
Oj-o fixation, t. de chimie; — fixité, propriété
de n'être point dissipé par le feu, Bc. Le nom d'action, ou, si l'on veut, le subst.
~A~~—~ écrit (partie, d'écrire), Ábbad. I, 391, 5, Macc. I, 371, 13.
,
Inventaire, en parlant des créanciers: L\c~
VII = Ibn-Doraid (Wright).
lant d'une graine, bien saine, Auw. J, 23, 3. n'existe pas, mais on trouve:
t-~Jaj~ pour tarière, J. A. 1849, II,
~oLoS
preuve, Roland. .CI
312,
<~-~JS sanction, Bc.
— Confirmation, sacrement de n. 1, 1. 3.
l'Eglise qui confirme dans la grâce du baptême, Bc, M.
II
épaissir, rendre épais, Voc., Bc; répaissir,
O9
blessures graves, Berb. II, 341, 3 a f.: Bc. — Grossir, rendre gros, exagérer, Bc. — Con.
denser, Bc.
Celui qui tient à la doctrine de ceux qui enseignent q<13. Comparez sur le vers d'al-'Adjdjâdj, cité
la prémotion physique, sans nier tout à fait le mérite
par Lane, la note sur Tha'âlibî Latâïf 22, n. c.
des actions, de Sacy Chrest. II, 471-2.
'CI.,.c"
=".*'.Apour Gl. Abulf.; constant, certain,
,.yA-s~ son bourdonnant (de Slane) d'un instrument
indubitable; — réglé, décidé, jugé, Bc. de musique, Prol. II, 354, 3.
wOU*.
O-o,
~JL~! pl. ^_>oLo qui consedit firmius aliquo loco
(cf. Freytag), P. Abbad.
1
I, 320, 5. o - Le pl.
t5lx-3. ~,
voyez sous 1 et LW,
Abou'l-Walîd 703, n. 95. A en croire Hœst 224, ce
-~
mot ne s'emploie au Maroc qu'en parlant des ma-
melles d'une nourrice.
IV enrichir, Voc.
V être grand, abondant, riche (héritage), Berb.
Nom d'un superbe collier, Berb. II, 116, 7. —
vîV-ew,
I, 101,
Bc,
~aU'
~QU*3 Hbrt 70, eeut
J-jAi', Yansleb 72, anguille.
Browne
II, 463, 12.
~—S opulence, Voc., Bc, Abd-al-wâhid 152, 5,
216, 13, Amari 328, 4 af., où il faut lire a~Jj~, ~R
~-~JLJM. La plus noble espèce du renard est, selon
au lieu de o~-J~~ , et non pas iS,'.r-J'" comme le Bait. I, 227 f, ~VJLAÂJI; leçon de A; B ç)»..
veut Fleischer dans les Annot. crit. On dit aussi:
jdJI»j-$cr* «un jeune homme apparte- £ÎI
OLMA*
= XAJL$JI, nom de
o ~y
plusieurs étoiles de
nant à une des familles les plus riches de la ville,» la grande Ourse, Cazwînî I, 30, 13.
Prol. III, 405, 15. .CI,' prudent, fin, Aie. (recatado).
~-JL<~
~i;\? opulence, de Sacy Chrest. II, 36, 5 af.
w.,
~LiJi, .",JJ
aussi XJ , ~,J
pl.obyi,
lustre, sorte de chan-
~¡i'J III,en parlant de guerriers, se tenir sur les fron-
tières, Macc. II, 699, 4, 705, 4 a f., 706, 5, Amari
delier de cristal, etc., suspendu, Bc (cf. Lane), se Dipl. 165, 2, 181, 2, 210, 1, 221, Prol. I, 298,
trouve: Gl. Bayân, Gl. Djob.,Voc., Bait. I, 402, en dern. 1.; il faut lire de même Berb. II, 334, 6, 335, 9.
parlant de la fleur de la cassia fistula: ^OJLa .J-Lj
O Voc. — Place frontière, Bc, Gl.
gencive,
Belâdz.; place, ville de guerre, forteresse, Bc. —
jjJtxNXjuyft les quatrepoints cardinaux, J. A. 1848,
Ictifâ 163 - v°: ayant enlevé les cloches des églises,
II, 196, n. 1.
XA~jJb~L>, Macc. I, 360, 10, 361, 5, 362, 13, homme de la frontière, Voc.; de là vient
14, 15, 17 et 2 a f., 363, 2, 367, 6,368, Khatîb 2,
143 r°, en parlant de la mosquée de FAlhambra:
le nom des Zegris, qui est bien connu par les ro-
mances mauresques, et celui des Tagarinos, c.-à-d.,
des Mauresques d'Aragon.
II, 263, Cartâs 30, 14, 38, 19, 279, a f., 280, 7
13, 1001 N. Bresl. VII, 317. — Comète ~(iuy sic),
çu (cf. Lane). Ibn-al-Khatîb 29 ro dit en parlant
Ht. — Chez les botanistes andalous ((j~J~J~ ~L~~),
j
d'un imposteur: ^^JUS ~uui.
senecio vulgaris, Bait. I, 102 e.
7 de la constellation de Persée, Dorn
- ~CI
l'étoile
47, Alf. Astron. ~&»SÛ
~cresson de
~r
fontaine, Sisymbrium Nasturtium, Sang.,
I, 37 (autrement chez Freytag sous ..J.;¡A)' '-r~)
~LjJ! étoile de la constellation du Cocher, ainsi appelée
- Bait. I, 228 b, 299 b, Most. sous u.,r>:
CI
•
temps que les
Alf.
Dorn 47.
étoile de la constellation de Persée, Dorn 47,
Astron. I, 37.
Alf. Astron.
- I, 37.
o y
~JkJuâ
l'âne, Mehren 26
s'écrit très-souvent
drêche, Prol. III, 204, 1,
,
~(J>&
(~;à:i).
o >
~v5j-2 comme terre dans le sens de sépulture, Gl. même cru que cette orthographe était la bonne, mais
Rœdiger, dans le Ztschr. Y, 395, a observé qu'il s'est réformer la conduite, les mœurs, Bc. — N.
1
~0
4 a f. et n. 13, Macc. II,
451, n. s, 562,20,741,
~WU&A trépan, instr. de chir., Bc. 3, Khallic. X, 28, Wüst., Abou'l-Walid 403, 12,
10
Cartâs 49, 16, 52, 11, 99, 9, 103, 8 a f., 197, 5,
6ea2A poreux, Becrt 156, 8 a f. -
~O
~LB~a gros fil d'archal, que le faiseur de tuyaux de
262, 3, 264, 8, 268, 10 a f., 270, 15, 271, 3.
Séquestrer, mettre en séquestre, Cout. 29 vo: quand
-
pipe introduit dans le tuyau, Descr. de l'Eg. XII, 486.
III manier les armes (Lane), voyez J. A. 1869,
-
~îO—
t~a~e est chez Aie. cavadizacosa, ce qui se dit II, 155.
du sable qu'on tire en creusant. V être emprisonné,Yoc. — Etre séquestré, être mis
en séquestre, Amari 393, 2 (biffez, dans les Annot.
V-ÀJEf I. De même qu'on dit: ~c~! oii&" «être habile crit., la note de l'éditeur, qui n'a pas remarqué que
dans une choses (Lane), on dit ù ~!ULZ entendre le \~a~ de Bc est pour ~.Ji$).
bien la navigation, Prol. II, 34, 2, 3, \.JIÚ
s
7. adresse (cf. Lane) , Haiyân-Bassâm III, 3
II
s'emploie aussi en parlant de kalams, de Sacy
v° (dans B, car dans A il y a une lacune): 1..JH)t.j
~Chrest. Ifi, 8: ~Z, CY
~Chrest. II, ~"4,
2
JS r~u~l
0-- «choi-
«
choi- ~jUHJ~ XJL~J! ~lr~' — Circonférence, circuit,
enceinte, p. e. d'un faubourg, Becrt 103, 3 a f. Dans
sissez d'abord des kalams bien dressés» (de Sacy).
le Calendrier, chaque jour du mois a son J~->-) et
En parlant de poèmes,~LL~!X-&JL~< polis, Berb.
l'introduction et la conclusion, qui se trouvent au
I, 24, 8. — ~,sl> se corriger, s'amender, régler commencement et à la fin de chaque mois, sont Le
sa conduite; ~*3^*»rectifier sa conduite; OLft-3
~W*, 24, 8, 32, 8, etc. — ~XiiSce dont X c. a. p. trouver qu'un homme a peu d'esprit,
,
on se sert pour lier; ainsi des menottes sont un
Abou'l-Walid 799, 17. — — Prison, Abbad.
I, 153, Abou'l-Walid 786, 16.
~et le trouver ennuyeux; avoir de Vaversion pour quel-
qu'un, Becrt 46, 4, Macc. I, 137, 4 et 7, 473, 12,
511, 16, II, 506, 11. -
J~JLËXX~j vous suis-je sus-
nesto
III
,
ranger, gêner, importuner, ennuyer, Lettre à M. Flei-
scher 192, Voc. (tedium facere). — Honorer, L (ho-
9 «w«»£w
le part. pass. honestatus).
contre-peser, contre-balancer, servir de contre-
IJoids, Bc.
Réponse: ~KW J~eL> «c'est pour ne point vous être
à charge, Bc. »
contrepoids, balancier, perche de danseur de
corde, Aie. (apesgamiento, contrapeso para saltar).
J~aS accablant, faUguant, Bc. Exigeant, qui
—
IV c. trouver une chose incommode, Cart&s
217, 3 et 4. — Honorer, L (honesta exige trop, Bc. — Dur, sans grdce, lourd, empesé,
guindé; 4su'* il a l'esprit épais, Bc. — Lourd,
V s'appesantir, devenir plus pesant, Bc.
ennuyeux, qui a l'esprit pesant, fâcheux, importun,
VI être grave, sérieux, Mohammed ibn-Hârith 307: gênant, incommode, trouble- fête,Yoc., Bc, Macc. I,
531, I,
17-19, Khallic. 384,16 SI.; ennuyeux est
dans la torpeur, Becrt 184, 3 a f. : y..».)! J~*X~<~ aussi
~e:
J~-JLJ, Yoc., Aie. (enojoso a otro), et
J~~) Bc. — Pataud, grossièrement fait, villa-
humeur, Calâïd 199, 333, 2 a f., 1001 N. Bresl. IV, geois grossier, Bc. — Laid, Bassâm III, 6 vo:
145, 3 a f. — C. cr
p. trouver quelqu'un importun
126, en parlant de l'ombrage d'un arbre qui est trop
et se détourner de lui, Aghânt 54, 8, Nowairî Es-
pagne 466: [~~r~ jjUfi c. r. trouver une
feuillu pour que l'air puisse y pénétrer.
important, de conséquence, sérieux;
Grave, -
affaire
chose incommode, Cartâs 145, 10 et 11; aussi c.
de conséquence;~JtAfiâ homme d'importance, de
p., Haiyân-Bassâm I, 128 rO: ~.U~
~ÇIIE) ~j qualité, de savoir, de capacité, Bc, d'importance, 1001
N. Bresl. II, 138, 1, IV, 376, 6, honestosus, L;
vilaiiî huppé, apparent, considérable, Bc. — Grand,
l., Cartâs- 217, 2, où il faut lire avec d'autres man.
yslixà, au lieu de ~jjlSUi. — C. nombreux (armée), Haiyàn 78 ro: à K~Lj
p. ennuyer quel-
qu'un, 1001 N. I, 175, 14, 302, 16.
,
;j.:D.;:)' 1001 N. II, 61,
le man.).
-, £ est le comparatif de
~Jjiii JoJii dans presque tou-
tes ses significations, p. e.: plus nombreux, 1001 N.
II, 61, dern. 1. Il signifie: de très-mauvais augure
~&§â. clsmardi gras, du carnaval, Bc. —
~5
~Kk»
~AÎS,
*
pl.,jJLiet
et KOpl.
~n.y pi.JJa
JJLS
dans le même
m ême sens que
troupeau de brebis, ou de brebis et de chèvres,
en un seul, Jackson 40. — oLo^LS des traditions qui
ont été transmises successivement par trois tradition-
Gl. Belàdz. p. 99. XxSjiji Trinité (un seul Dieu en trois personnes),Voc.
~b. ~ôjJlî. ôjJliiî NJ!~ pensée (fleur), Bc.
CI
~Vy^JLS, en parlant d'un chameau, est du genre ~JLË triangle, Payne Smith
,
1511, 1516. — « Chez
commun et n'a pas le ~ii du féminin, selon un scoli-
les astrologues il y avait quatre trigones ou tripli-
aste; au pl. on dit vr^JUL*. Voyez le Diwan d'al- cités, dont chacun se composait de trois signes du
H&dira p.
porteleman.
la p.
(?)
f, 1.
f,
I, 228 c; leçon
zodiaque, éloignés de cent vingt degrés l'un de l'autre.
ôJ.Z:J', le trine ou trine aspect, c'est quand une
planète est éloignée d'un astre dutiers du zodiaque.
Le
degrés se
trine sinister, est celui dont les
le
comptent en suivant l'ordre des signes;
~,,f ~JL~,
le ..yt-~ le trine dexter, en est le contraire,w
KJL!~ endroit où Ton dénigre (<-*-^-3 est dénigrer note de M. de Slane sur Prol. II, 186.
*_jjJ~
0. qui croit à la Trinité, M.
1z ,1 dans le sens de triangle, forme le pl.
(olSliiJ X~-L~e trigonométrie).
en ~oî, Voc., Bc —
.JLi~ Triangle, constellation; l'étoile qui est au sommet ~jli 1 herser, passer la herse dans un champ, Bc.
du Triangle se nomme ~JLiLL! ~u~, Cazwînî I, 35, ~Î* herse, instrument de laboureur, Bc.
Dorn 51, Bc, Alf. Astron. I, 13, où ce mot est ~rU
»
altéré en « alcedeles. — Liqueur, boisson qui a pour 1 c. a. porter atteinte à, blesser, p. e. ~xZiM r-U
base l'oau-de-vie, l'esprit de vin; rossolis (liqueur), «porter atteinte à, blesser l'amitié,» ~~-j~! 1*
Be. — La chaîne d'une toile, Voc.
~—
-
Tragopogon «blesser l'honneur, décréditer, faire tort à, ternir la
~»«>
renommée de quelqu'un,» Bc.
crocifolium, Bait. II, 160 a, 329 h.
pilules composées d'aloès, de myrrhe et de rhubarbe, M.
î
~(J3
~CI
- sillon, Ht.
MJLi~e. était dans l'Irâc un dinâr dont on
<*)JL~~
~o
parfois, ce qui semble bon.
L2
W
~m*
voyez
;;.
^3.
- S
glLtâ là, Bc (Barb.).
= là, I, II, 52,
SjlJL ~; je crois devoir lire ~L~JL~!.
-
gJci»-s-b de l'eau glacée, Prol.
Glacer, con-
~*L!J
Macc.
espèce d'arbre, J. A. 1853,
917, 21,
I, 165.
11.
(î/
-57
mer ~Glaciale; ^JULiî glacière, lieu où l'on
conserve la glace; ~e.U XxLis glaçon, Bc. —
, ,
ou (jyajî ~tU (la neige de Chine) la fleur de la
pierre Assios, le salpêtre, Bait. 1, 42 c, 229 c, 293 f;
cf. Reinaud F. G. 14; Quatremère dans le J. A. 1850,
1, 222, veut lire au lieu de «ce qui,»
dit-il, «répond parfaitement à l'expression persane
~tiW,» et Sontheimer semble avoir trouvé
dans son man. de Bait. I, 42 c, où nos deux man. ~j.~
~JL<
II
~#'y*
~atruie
t~
~+S
^JOLLSIJ),
~CI
y
Gl. Mosl.
Domb. 64.
, 1.
(arbolecer).
ches ,»
— Croître, en parlant d'un arbre,. Aie.
;i::..b
~CI évaluation, estimation, Bc.
QIAIC! ~j, L~a ^»ji. Le mot est écrit indistinctement
~CI
~estimatif,
et sans points.
Gl.Belâdz.
ts.#à'
- ~»produit, rapport de la terre,
~JaÂi.
.e etdimatif,
estimateur, Bc.
Bc.
i
~1^+5 fondations, faire des plis à du linge; éculer,
Ht.
plier les quartiers d'un soulier en dedans; X~L~-
~Kl+2 crapula, L, temulencia, Voc. AJLLÛ.J l'etaper, retrousser les bords d'un chapeau con-
'CI, ivre, Voc. tre la forme, le remettre à neuf, Bc. — Se courber,
'( se tourner vers ~(J,I), Abbad. I., 57, 3. — C. v-i r.
~ex** II
apprécier, évaluer, estimer, fixer la valeur de, faire une chose pour la seconde fois, la répéter, Ab-
priser, mettre le prix à une chose, Bc, Amari Dipl. bad. II, 103, 2 a f., cf. III, 206; Lane n'a que la
IIe forme en ce sens, mais dans ce vers c'est la
206, 9; 0-=.:"--J.
inappréciable, impayable, Bc. — Ire, comme le montre la mesure.
Faire compte de quelqu'un, l'estimer, Vavoir en quel-
que considération, Aie. (hazer cuenta de otro). — II donner aux terres
le deuxième labour, la deu-
~et
xième façon, Aie. (arar vinando, barvechar, cf. sous
Enchérir, rendre plus cher, Voc. — O'LUI a faire
o.:S ~>JL-~ II, cavar segundario), Auw. I, 66, 14, II,
une glose en octaves sur la pièce d'un autre auteur, 128, 23. — C. y
r. nommer une chose en second
Macc. I, 917, 22 (cf. Lettre à M. Fleischer 146).
lieu, Macc. II, 204, 3 a f. (l'opposé de ~!~ dans la
IV c. y
r. tirer un grand prix de, Gl. Belâdz. ligne précédente; ~cf.-3^ dans la 1. 20). — C. y
- ,t-4-~
Estimer, évaluer, apprécier, Ht.
p. traiter quelqu'un de la même manière qu'un autre,
Berb. o ~»
nom d'une pièce de monnaie, proprement
II,
138, 3; Mocquet 179: «Chaque
Freytag Chrest. 122, 4: le sultan avait déjà tué un
de ses deux prisonniers d'un coup de sabre, et l'au-
tomin vaut demy redle;» Laugier 251: temin * du
pataca chica, 29 aspres (à Alger); huitième du rial
pacêta; — pièce de 25 cts., Cherb.
Jl il lui donna le titre de Dzou'l-wizâratain,
SC huitième
~XAÂ+3 M? Ztschr. XI, 479,
du «X«, n. 6.
S ~CI
> -,
~,6^-A ~}~ — Diffamer, diminuer la réputation,
..J.
iûuLéJî pl. ,cJ<-~ cruche, pot, Aie. (cangilon vaso
Aie. (enfamar de buena fama). — C. a. dans le Voc.
1 de barro, cantarillo). C'était sans doute, dans l'ori-
gine, une mesure pour les liquides, qui contenait la sous lascivire.
: Cr J;' OliJ
huitième partie d'une autre mesure, de même que IV c. y p.P Haiyân 49 vo, 50 ~ro
^ilî
veau;
~&A&2 j
journellement, Bc. — Loti
çyi i
piquette, petit vin, méchant vin; —
lire jus-
bonne réputation,Yoc.
V Voc. sous dualo.
VII grimacer, faire des faux plis, Bc. — Voc.
»+
qu'au bout, Ale. (leer hasta el cabo).
~Pl ,
seconde, soixantième partie
d'une minute, Bc, M; dans un traité sur l'astrolabe,
sous lascivire. qui est antérieur au 7e siècle de l'Hégire, man. 591 (3)
»
the path often necessary, Palgrave I, 346. Les ports II, 395, 5 a f., «doit signifier le 30 de Dzou'l-hiddja,
mois qui, dans les années embolimiques, compte un
U» O~y
(Oj-î-iî ou ~'j~J!)
T des Pyrénées, c.-à-d., les points
jour de plus que dans les autres années,» note dans
les plus bas qui servent de passage de l'Espagne en
la trad. IV, 245, n. 1. — ~JU~J!, quand on parle
France et dont la hauteur moyenne est de 2,766m
au-dessus du niveau de la mer, sont les ~LiLo de cette du Coran, comparez avec Lane: Prol. III, 323.
chaîne de montagnes, Prol. I, 119, 2a Khaldoun
iûyaaâ+Jî)
f., ~,Haiyân-BassâmI,114v°:J,-u,
S ~o-
2
41 (Alg.). — Le pl. ~LJJO dents de devant et dents ce qui signifie qu'ils prirent le titre de vizir et celui
de lait, premières dents, Bc. de Dzou'l-wizâratain; cf. ~~J! II.
X~~e demi-pièce d'une étoffe, Hœst 269.
été transmise sur Vautorité de deux séries de tradi- prescription, manière d'acquérir la pro-
priété ou d'exclure une demande en justice; extinc-
tion d'une dette à défaut de demande de son paye-
ment dans le temps fixé, Bc.
~QÙ de
~fi
son côté, Gl. de Habicht sur les 1001 N. retourner,revenir; on dit: 'JJJUXJÎ
,-=,,>'.;"1 viotï
III, p. 32 (au lieu de 336, lisez 386). — Opposé, «l'ancienne situation retourna, on se retrouva dans
en parlant de la rive d'un fleuve, etc., 1001 N. III, l'ancienne Bituation,» Macc. III, 680, 5. De même
56, 14 et 15: X~3LJL~ IûùiLwJt «la rive opposée du
ruisseau,» I, 5 a f.,
771, 772,5,795, dern.1.:
Ilaiyân 56 ro, on emploie ~t-Jj seul dans le sens de
retourner au combat, Haiyân 61 rO: IfclPlj ~m ald3
ij;l..¡: ~àU*reconstruction;
—
s-* derechef, de nou-
~son
~>
234, ~<_/J m
esprit
wli,AbouNowâs I,
Ahlwardt, et aussi:
courage, Macc. II, 13, 4;
Pacha: A~Aj
tJÛJ>
i
228, 8. — De même qu'on dit: &Lâm&J ~wlî (Lane,
de Sacy Chrest. II, 382, 3 a f.), on dit: &~J!
revint à l'état naturel,» Bat. IV,
poème 5, vs. 8 éd.
se remettre, reprendre
~U~'
se remettre,
revenir du trouble, Hist. Tun. 139: les grands, qui
avaient été frappés de stupeur par la mort subite du
~JJ
A~à3~, Abbad. II, 198, 9 (cf. III, 233): ~vlî
~xsoLoâJLr.
~?'~
aussi ^jtï
m CI. ~)
sur la Kj~tJu~, id. II, 15.
.-,
mais il est plus large, ibid. 115. A Médine: chemise
blanche de femme à manches énormes, qu'on porte
Dans l'intérieur de l'A-
frique: grande chemise ou blouse de coton, ordinal,
rement bleue, ou bleue et blanche, à manches très.
amples; portée par les hommes et par les femmes
Vêtem. 107, Voyage au Darfour trad. par Perron
206, Richardson Central I, 315,317, id. Sahara II
207. — Froc, habit de moine, Aie. (mongil vestidura
de monge); chez Bc t~J~J! <—' — Voile ou rideau
de brocart, dont ou couvrait la Ca'ba en hiver, du
temps d'Othmàn, Burton II, 236. — Dépouille, peau
de serpent ou de ver, Bc; la dépouille du serpent
simplement: prendre courage, Macc. I, 142, 14; de
~19.
même ~Ke juJÎoolî prendre confiance, Macc. I, 160,
MS.— ~jLjt~J! ~~:: pimprenelle, Bait. II, 62 c (AB).
16. —
~s""w Os
'À—x5j-La ~X~ aÎ c^lî«une ambition, digne de
,
~v-jy3,
Bc. — Se révolter, c. ~à* p. contre quelqu'un, con-
geur de ses manches égale à peu près la longueur stamment chez les auteurs maghribins. — Avec ou
de la robe elle-même; elle est faite de soie et ordi-
nairement de couleur d'œillet, de rose ou de violette. sans ~&~&~, régner en prince indépendant; les petits
rois de l'Espagne arabe au XIe siècle sont appelés
Quand les dames veulent sortir, elles se revêtent
très-souvent Vr*"j*
d'abord de cette robe, pour former la c.-à-d. -
(pl. de ~}'û), Gl. Edrîsî.
~s'alluma;» xl+jl.o^Ij«la —
«la guerre mou-
le costume qu'elles mettent par-dessus leurs autres
habits quand elles se montrent en public. Quelques
tarde
s~! (il
lui monte au
nez,
fut piqué
d'honneur,»
- il s'échauffe;»
Bc.
<3
~«s 1
~jlps*
r-,abréviation pour '—~*->- réponse, Bc. 1 (cf. Lane). On dit en parlant du peuple, quand
2.1.
L>L>
I s'emploie au fig. dans le sens d'appeler, Berb.
ilestému par les paroles d'un prédicateur: ~Cî/
I,44, dern. 56,5,87,178,206, etc.
1.,
et en parlant d'un prédicateur qui fait la prière pour qui reçoivent le sucre quand il est cuit, Gl. Manç. ~1
y
I, 428, 12.
C),,5Jb ~(pers. macis, écorce intérieure de la
muscade, Most. vo Bait. I, 238 d. ~)L=J olol> pièces de verre,vitres, 1001 1
q*. — N.
O}J\.:;. instrument qui sert à aplanir la terre et qu'on
fait tirer par des bœufs, Ibn-Loyon 3 ~yO: jjdî &i"$l ~~M! ~yLw.
- K~L~~L rI.::- ventouse,. vaisseau
l'on applique sur la peau pour raréfier l'air, attirer
que
= L-~-:") voyez ce qui suit ici. «habit,» proprement «argent pour la garde-robe»),
S ~CI»
(JL^« dépourvu d'esprit, imbécile, Abou'l-Walîd pl. t~~->- et (Bc) ~~L~>-, paye, solde, traitement,
appointements, gages, Bc, Rutgers 127, Fleischer Gl.
87, Descr. de l'Eg. XI, 508, Maml. I, 1, 161, No-
wairî Egypte, man. 2 n, 24 rO: ~"L->- lX3-L_j )3
(h~A~L~, aussi (j^aJLw (ancien mot turc
ou du persan
(j&~-$-, guerre, bataille?), grand drapeau, surmonté honoraires d'un professeur, Abd-al-wâhid 172, 12.
d'une touffe de crins. Les sultans turcs, p. e. les Donner des appointements, des gages, s'exprime au
sultans mamlouks d'Egypte, lorsqu'ils se préparaient moyen des verbes: L;rkiiiî , ~id J~:, Bc, el (jJLLl,
à faire un voyage ou une expédition, avaient la cou-
tume de suspendre cet étendard, quarante jours avant
leur départ, à l'édifice appelé «tablkhânât,» Maml.
I, 1, 225—6, 253. Aujourd'hui les différentsordres
de derviches en Egypte donnent ce nom à leurs ban-
nières. Ce sont des perches longues de vingt pieds I, 60; ~«_xJl==» buffle,
son cuir, Bc.
et surmontées d'un ornement do cuivre large et co-
nique, Lane M. E. II, 250, 272. — Avantgarde, (grec) chamœmelum, Most. VO ~L.
par extension, parce que ce drapeau, lorsque le sul- >.124 (lat. centum capita, chardon-roland,cent-
tan se mettait en campagne, était constamment en têtes). Most. sous ~(wjiulaï JLUM (aster atticus): aJuOj
tête de l'armée, Maml. I, 1, 226, Vie de Saladin
105, 189, 190, 194, mais Schultens n'est pas cou-
pable de la lourde bévue que lui attribue Freytag ~xj jjm-J; même variante dans N.
(1, 295 b), car il n'a pas traduit le terme en ques-
»
tion par ((sagitta, mais par «sagittarii, ce »qui,
~CI-
.tLXtL~ (pers. «écuyer, celui qui porte les armes»),
jusqu'à un certain point, est bon, car il résulte de
plusieurs passages que ces soldats de l'avant-garde
étaient réellement des archers. — Porte-drapeau, M, sous les Mamlouks, et au Maghrib, sous les Mérini-
qui a aussi lancier et protecteur. des, les djândâr étaient huissiers de la porte, valets
de pied et bourreaux; voyez Maml. I, 1, 14, Prol.
II, 14, 3 et suiv.
à l'avant-garde, Maml. I, 1, 227, 253, Vie de Sa- A
ladin 68, Freytag Chrest. 120, 1. ~e.>
gentiane, Bc.
~rL>. On lit dans le Gl. Manç. .tJ~'j~ seigle, Bc.
suivant l'auteur
que,
du Mohcam, c'est un vase d'argent,mais que Rhazès ~J!<~L~:~.==:~J«~L>~,
0, -
Most. sous ce dernier mot: ~3~;' -
l'emploie pour indiquer un vase de verre (~.Ls~J! ~s4A
dans le man., mais lisez ~!j!). — o'-«L> les formes
benjoin;
vage, Bc. Voyez
certaines
et
UDL-?- implratoire, benjoin sau-
,
pas bien comment il faut traduire.
Bc. Cf. LÎ-.JDL?--
.,¡./¡"b (pers.
plante, Bc, Bait. II,
fj~L&. voyez (j&-;~L>.
388 :
panaces Heracleon, ferula opo-
c
panax, Bait. I, 235 b; — opopanax, la gomme de cette
oy
(Voc., Aie.), ruche, forme aussi au pl.
Voc., Aie. (colmena, corcho de colmenas), Akhbâr
28, 9, Macc. II, 10, 2; il faut donc substituer
chez Auw. II, 722, 5 (lisez aussi
<~L.~
benjoin; c'est proprement LgDL-?» «encens à
723, 1 et 3, comme partout dans ce passage
javanais,» appelé aussi «parfum java- à &, et à £.Iâ>î. En outre, le témoignage
C4=?-t
nais,» c.-à-d., encens ou parfum de Sumatra, car les de cet auteur montre que ce terme appartient à la
Arabes donnaient à cette tle le nom de Java, et c'est langue vulgaire et qu'il désigne une ruche faite de
liège, ce qui est aussi le sens de «corcho de colme-
elle qui produit le benjoin le plus blanc et le plus
beau; voyez Gl. Esp. 239; — impératoire, benjoin
sauvage, Bc.
Pl. 1
nas» chez Aie. (Victor, Nebrija: alveus, alvear). —
bouchon de liège, Aie. (tempano de corcho;
à
ce que peuvent labourer deux bœufs, Gl. Esp. 292-3.
IV recouvrer, acquérir de nouveau une chose qu'on
-
<~*-~<» subductus, L. avait perdue, Voc., où la construction est: c. a. et
c. Aie. (cobrar lo perdido).
brodé, Roland; travail en or,
brodé en or, Delap. 93. V. On dit: j être orgueilleux de soi-
J4.,à.1, au fig., rétablir une personne dans même, Tha'âlibî LatAïf 13, 2 af.; -
rieusement, avec hauteur, Bc;
VIIc. J recouvrer, Voc.
-- *
inflezibilité, Bc.
Se trouver, se ren-
contrer, Bc (Barb.). où ~t-~J! j-*-> doit signifier manger tout; mais
force, contrainte;
force, comme je n'ai jamais rencontré ailleurs un tel verbe,
contrainte; de force, par je doute que la leçon soit bonne.
contrainte, violemment, Be. - Orgueilleux, M.
ij.Jo> holosteum umbellatum chez les botanistes an- II pldtrer, repldtrer, Voc., Aie. (enessar cobrir
dalous, Bait. I, 98 e, 243 b. — Etrille, Bc.
algèbre, Aie. (algebra arte).
- de yesso), Hbrt 191, Bc.
1001 N. II, 104, 9;
— Sceller, t. de maçon,
~J~
scellement, t. de maçon, Bc.
v# algébrique, de l'algèbre, Bc.
gipso
~.A.>-
Ao dédommagement, indemnité, argent qu'on pldtre; L: s
u~->'.
donne à quelqu'un pour le dédommager de la perte qu'il O
(j~~>. ^iloLw (j"~>- pldtre pulvérisé; il est très-
M
,
XI, 523, n. 46.
movible, composé d'attelles en bois, de la longueur
m o
du membre, lesquelles sont réunies parallèlement gypseux, Bc.
entr'elles par des fils de laine ou bien appliquées et pldtrier, qui fait, qui vend le plâtre, Bc,
LJNI;.:?--
fixées sur une pièce de laine ou de cuir, »
Ghadamès
Abbad. II, 233, 10, Cartas trad. 50, n. 1.
344. — (Formé de poche, et de la terminai-
son portugaise «eira» )
sac en cuir, giberne, que le X~<L~>. pldtrière,
où l'on fait le plâtre; carrière
cavalier suspend à l'arçon de sa selle, et qui tombe d'où on le tire, Bc. — Meule pour broyer le pldtre,
librement comme la sabretache, GI. Esp. 125-6; — Burckhardt Prov. no 106 et no 502. — Four à pldtre,
portefeuille, ibid. 127, Dunant 64: «Le Secrétaire du Descr. de l'Ego XVIII, part. 2, 139.
— Le quartier
bey porte le titre de Saheb-el-Djebira (Porteur du des fours à pldtre, Descr. de FEg. XII, 401.
portefeuille). »
(j~A~ plâtrage, ouvrage en plAtre, replâtrage,
~portefeuille, Gl. Esp. 127.
II,
,
flexible Bc.
Kfchft
(j<~*-~JL< ressemblant au pldtre, Bait. 161 b.
*
chirurgien renoueur, Aie. (concertador de pldtras, débris de vieux plâtres,
guesos). de vieux murs, Bc.
j*~
Cherb.
espèce de
>O. espèce de
— «
poisson, Gl. Belâdz.
kouskoussou inférieure
Le réal madjbour, monnaie d'Alger,
R. d. O. A. IV, 137.
au ,
» Prax
----
CFA (turc Qybls^) amble, sorte d'allure du cheval;—
ambleur, cheval qui va l'amble;
aller l'amble,Bc.
-yus»-- ambler,
i
Burckhardt Arab.
a
II, 212, Burton I, 384. ormment
XjJuj> substance qui ressemble à l'encens ou au
K~!~ quête y Bc.
benjoin, et dont les Africains se servent pour faire
la gratification que recevaient les guerrier$
des fumigations, Jackson Timb. VII.
nomades qui levaient, dans les provinces éloignées de
tuJLe traiter quelqu'un avec or- la capitale, les impôts pour le gouvernement; cette
gueil, M. gratification s'élevait ordinairement à la moitié de la
J~s-
- endroit où l'on pétrit Vargile, M. somme perçue, Berb. II, 406, 5, cf. la trad. IV,
262 n.; cependant de Slane n'a pas traduit exactement
s montagneux,Yoc. ici, parce qu'il a mal à propos coupé une phrase en
JLt-~* monceau d'argile récemment pétrie, M.
signifient: «Jugeant que la gratification qu'ils rece-
.L~ (esp. cebollino) ciboulette, civette, Auw. II, 192, 1. vaient comme collecteurs était trop considérable, il
»
la réduisit beaucoup. — Payement d'une dette, 1001
t.j*S~ II cailler, coaguler, Bc, M; -O.-e lait N. I, 208, 1 (où il faut lire ainsi avec l'édit. de
caillé (sansfeu), Bc; — Voc. sous caseus. -
Boul. et celle de Bresl.). Répartition dans une
chasse aux esclaves, Ouaday 471. — Payant tribut,
V devenir ldche, Amari 207, 5, où la leçon du
texte est confirmée par nos man. 12 b et 783 du
al-Fath al-Cossî.
VII même sens, Abou'l-Walîd, 297, 33. pl. receveur des contributions, collectew.,
*
X c. a. p. déclarer que quelqu'un est Mche, fac- Gl. Badroun, Bc. — Quêteur, Bc. — Archer, Ht.
cuser de lâcheté, Abbad. I, 256, dern. 1.
pl. ,~L~ non-seulement tribut, imposition,
1
y
fém. !lS='. £j!OJ bedaine, gros ventre, Bc.
c.
IV cacher, céler, Aie. (encubrir).
*» ~e.
VII Cr et Voc. sous negare. - © > Freytag et Lane donnent , © dans le
-~s~
- CI ) négation, Ale. (negacion).
!tJ~=\> secrè- sens de lieu où l'on se retire, asyle. Chez Nàbigha,
—
tement Aie. (escondidamente, et Nj~a~ J~->~ entrar apud de Sacy Chrest. II, tff, 3 af. (cf. 440), on
escondidamente). -
trouve j~~=~ en ce sens, mais je me tiens persuadé
)
~-.s=~->-, P. dans les Fragm. hist. Arab. 239, 7, -~~e.
que c'est une faute et qu'il faut lire *
ne signifie pas: avare recusans, comme on lit dans
le Gloss., car ce sens ne conviendrait pas, mais in-
IV forcer quelqu'un à se retirer dans (cf. Lane), une faute d'impression. Peut-être faut-il lire .t~>b.
S
* ° -
XJL^5V>. Djaafa, chaise en osier recouverte de
«
peaux et de châles du Soudan, du Caire et de Tim-
bouctou, »Denham I, 31; on place ces chaises sur
des chameaux et les dames s'en servent en guise de
palanquins; voyez Barth V, 122, avec la gravure.
s.S *
de terme africain se trouve aussi dans le man. d'Ibn- Macc. I, 432, 9. On dit encore ;;
< ) O
6af.etsuiv.
(Barb.), Roland.
dA citer de Sacy Chrest.
,
de nouvelles provisions, Cartâs 6, 1. 9 et 10; v
^SL>ÂJl5 ~!.-J~ ravitailler, remettre des vivres, des
III, 409,
Djob.
.tLk3
32, 9. — Recommencer à boire, P.
cette forme, ou peut-être
14. — Chez Aie.
la IIIe, a le sens de «batallar por la loi,» combattrepour-
la loi, ce qui peut s'entendre de plus d'une manière.
>
Prol.
.a~ 9 O
) r
Aussi ..jMsa~\>, Voc. part. 1.
chose, Abbad. II, 251, 10. — Il faisait cela,
voyez ce qui précède. pour le pousser à acquérir des ta-
& « ».. lents, Berb. II, 151, 2 af.
(vulg. M) grand-oncle, Aie. (tio hermano
w
.> I.1. On ditdit: ~<Â-~
1 ceci me paratt grave,
parait de aguelo, de aguela). — Généalogie, Aie. (abolorio).-
CI
important, Macc. I, 216, 18, où la correction de limace, limaçon, Yoc.
Fleischer (Add. et Corr.) est confirmée par Boul. — (vulg. M). efficacement, Aie. (efi-
fém.
pour ,
ystupideyM.
4
sérieux, Bc.
,
paras," M; dix de ces pièces valent un porte ce nom, parce que les lentilles dans le riz
ressemblent à un visage marqué de petite vérole. —
Lane trad. des 1001 N. III, 526, n. 56; 1001 N.
C,'5
~auLJ! SjiA^Ui grains de porcelaine blanche avec des
III, 461, 3, IV, 688, 3. Le pl. est ~J~>.! (voyez taches relevées en bosse, Lyon 152.
plus haut), et 1001 N. Boul. II, 347, 3, qui
) >
se prononce régulièrement «XXs», mais ordinairement (jj)~>. feu Saint-Antoine y espèce de maladie, Aie.
M, selon Lane, 1. 1., ~J~>. Aujourd'hui cette (huego de San Marçal).
1
monnaie n'a plus de cours, Lane 1. 1. — Sac que ~~s~ II sacrer, jurer, blasphémer;
portaient les Bohémiennes et qui renfermait les maté- blasphéme, Bc.
riaux de leur divination, Yêtem. 260, n. 7. — Nom
sacrilège, action impie, Bc.
d'un impôt = Mehren 26. .L\~
m blasphématoire, Bc.
II,
!tt~-jJ~>- nom d'une pièce de monnaie, Palgrave
~—~' sacrilège, celui qui commet une action
178.
impie, Bc.
J~!~> (pl.)
,,
sillons, Abou'l-Walîd 123, 9.
,
:;L:::- distingué
réformation
illustre, Roland.
J<~
1.
1 tresser, Hbrt 22, Bc, 1001 N.
— Tricotery Bc.
II, 256, dern.
f~/br~Mt~oM, Alc.
Ale. (reformacion).
(reformacion) III c. a. p. combattre un ennemi, Abbad. I, 324,
nouveau 1: Ut~JL~L>, Nowairî Egypte 2o, 116 rO: U
neuf, inexpérimenté, novice, Bc.
otojcfC*
» «"- choses arrivées récemment, ce qu'il y a
,
o
tricot, ouvrage tricoté, Bc.
de nouveau Froytag Locm. 52, 1: ~~J~f~L u.J1.6.:t
par le simple plaisir d'argumenter
(de Slane), Prol. II, 332, 16.
S-*~~ 1 c. à dire du mal de, Daumas V. A. 165, 167. ~J~>. argument, Aie. (argumento).
~J~>
femme stupide, M. colonne d'un livre (Lane), Yoc., Hbrt 110,
Amari 695, dern. 1., Prol. III, 107, 10, cf. I,
214, 8. Dans le Moata'Int, l'article sur chaque plante,
, qui eBt divisé
en cinq colonnes, porte le nom de ;
5 a f. -de Slane traduit cordes, mais la construction
JyJ~>'; voyez le Catalogue des man. or. de Leyde,
- semble indiquer que a ici un autre sens et
III, 248, 1 et suiv. — Tableau, écrit dont les pages, qu'il faut penser plutôt à la matière dont ces tentes
ou dont quelques pages sont divisées en plusieurs co-
lonnes, Catal. des man. or. de Leyde, 111, 82, 83,
étaient faites. -
D'après Tebrtzt, le J~-;JL->. était
«
~J~J~ fie la twenty little twists called jadilah.»
290. De là science des tableaux talis-
~Hj~> polémique, qui appartient à la dispute lit-
maniques, qui se font avec des caractères, arabes,
syriens, etc., Berbrugger 35. Dans les 1001 N. I, téraire et morale, Bc.
423, 2 a f., Jt~J~J! seul a ce sens, ou peut-être ~JL> tricoteur, Bc.
- JtcLs'Jî,
~>-
par transposition
celui d'astronomie, d'astrologie, ou bien encore de
l'art de composer des calendriers (voyez plus haut).
pour
pape,
JL>-jJ!, antéchrist;
Bc.
- antipape, faux
On applique aussi le nom de J~X> à des talismans jj~* bandoulière, Burton II, 115. Dans l'Inven-
d'un autre genre, qui sont chargés de caractères,
taire il est question de ;" ~r ~*'
p. e. à une petite main en or ou en argent, qui
représente la main droite de Mahomet; on y trouve (cf. Lane) «
des midjdâl ou sortes de pierres
des caractères et on la porte suspendueau cou en
de taille,» Ouaday 712n. — Glane d'oignons, etc., M.
guise d'amulette, de Jong van Rodenburg 170, 276.
La barbe et les griffes du lion servent aussi de ~J~'
9 O«
petite tresse de cheveux; Burton II, 115,
J~\-> ou amulettes, id. 171. — Ecriture cursive, en parlant des femmes des Bédouins: «The hair is
calligraphie, Graberg 171. — Cordeau, corde pour twisted into majdul, little pig-tails.» — Baudrier,
aligner, ligne, Bc, Hbrt83. — Niveau, instrument Barth V, 713.
pour connaître si un plan est horizontal, Bc. — - ., réglé,
J~J~' compassé, Bc.
Equerre, Bc. - \-~3 J~-~ compartiment, dorures
à petit fer sur un livre, Bc. — Lljjiî
alidade, règle mobile pour mesurer les angles, Bc. —
J'ignore quel sens il faut attribuer à ce mot dans
les 1001 N. IV, 260, 4, où les cuisses d'une belle
jeune fille sont comparées à X~L&J~ ~J~J~.
.<~~ II
,
cheville du pied, Domb. 87.
lézard Hbrt 69 (Alg.).
fin canal, de Sacy Chrest. II, If, 6. — Diviser la IV, dans le sens de donner, c. p. et y
page d'un livre en colonnes, Voc. — Marger, com- Zauzanî, dans son Commentaire sur le 4e vers de la
passer les marges d'une feuille d'un livre, Bc.
O^ profit, gain, avantage, Bat. II, 399. —
Signifie aussi pluie, quoi qu'en dise le TA (chez
Lane), GI. Mosl.
J~ voyez sous J<~>.
~CI
278. — uA-ë-Jt ~, ,
danse, les gestes, etc., du s~J~" (voyez), parce qu'on
croit que c'est une espèce de catalepsie, Berbrugger
SyxX»- nom d'une maladie, ~4~l.
- 9 - ';
Xj)~>- n. d'un. du n. d'act. ~UJIAS-, Gl. Badroun. —
9 ~o* Convulsion, tétanos, Payne Smith 1152, où il faut
.eJ~>-. En Espagne le peuple prononçait ce mot
Voc., Aie., et il désignait en général: les
lire ainsi, au lieu de ajwX»-; f~-~ ~0- pro-
Kjlk--.
prement «attraction par Dieu;» on dit ~CI
jeunes bêtes à quatre pieds qu'on mène paître, Aie. ~o-T)'0-, 1001 N. II,370, 6 a f., tomber en extase
(hijo deanimal manso). -
J~-!! L~'-~' daguet, jeune
cerf qui est à sa première tête, Aie. (enodio hijo de
et en convulsion, parce que l'exaltation religieuse cause
des convulsions; voyez <~L\ — Dans le même
ciervo).— ~<~~J!, proprement le Chevreau, l'étoile sens que <—~L\, benêt, bêta, bête, butor, idiot, niais,
» de la petite Ourse, appelée ordinairement l'étoile Bc (avec le ddl). — ~oUÂ> appâts, Ht.
polaire, a servi à marquer le septentriQn, Reinaud
Aboulf. cxciv, J. A. 1848, II, 196, n. 1.
~~L>-, safran, s'écrit, selon Bait. I, 239 a, avec attrayant, appas, attraits, Bc. —
Epispastique,vé-
sicatoire, M.
le ddl et avec le dzdl.
~«3<3L>-attractif;
— sympathique, Bc.
<-)~ I. Le n. d'act. ~J~>, Koseg. Chrest. 106, 10,
où il faut prononcer de cette manière, et non pas
~J~>.
-
Allécher, attirer par la séduction, Bc. —
L~c~ «Aie ^5 électricité, propriété d'attrac-
tion des corps frottés; — K~L~J~! yM-JaLotUàLoôls».
Ebranler, étonner, toucher, Bc. — <~A\u piquant,
,
magnétisme animal, Bc.
trique ,
qui plaît, qui touche vivement (avec le ddl); — élec-
Bc. — ~jXÎ ~L~! t~L\—>- résoudre quelqu'un, <
%-JAZ9%3 convulsion, tétanos, Payne Smith 1152,
le déterminer à, Bc. -
<~-~<L! ~<\—>- donner, au
moyen du gouvernail, une autre direction au vaisseau,
où il faut lire ainsi, au lieu de t-jJ~. — S'étirer,
1001 N. III, 55, 3. -
~~JLaJ! ~L\> charmer, Bc.
— étendre les membres pour en rétablir la souplesse,
- ~N J
~W' ~<-X->- aspirer, attirer l'air avec la bouche, Bc.
~L\—>-
proprement tirer quelqu'un par le
quand on se repose ou qu'on se réveille, M, qui dit
de
I,
son
;
qu'on veut remettre sur pied au fig., tirer quelqu'un
Vobscurité et l'élever à de hautes dignités, Abbad.
346, n. 117, Lettre à M. Fleischer 96, Tha'âlibî
Latâïf 121, dern. 1. —
~Mêlait <-A\->-
point, à l'état qu'il convient, Bc.
faire venir à
pl.
que le vulgaire emploie
4
i-jiArpJ!,
>
dans le sens de Le6.s:ii.
~Opl.
UjJL5U
-
~w
i_-o3L^\x,
avec le ddl, pour
II tirer l'épée du fourreau, 1001 N. Bresl. IV, Dieu a élu et qui obtient sans aucune peine tous ses
bienfaits, M; — «convulsionnaire, l'individu qui tombe,
153, 2: Xj~-~ t~~w. sous l'empire de certaines circonstances, dans un état
V voyez plus loin le n. d'act. qui rappelle tout à fait celui des convulsionnaires de
VII se laisser attirer, Cazwînî I,
239, 2 a f.,
Saint-Médard, » Berbrugger 100. En général, un
~~J~'* est un fanatique qui a des extases, qui croit
Nowairt, man. 273, p. 138: quand on aime, ~s-S. avoir des apparitions, des inspirations, ou un aliéné,
~jUjii ~jj~~
v^JLaJt. — Tressaillir, Bc; voyez un fou, un idiot, et l'on sait que, pour les Orien-
plus bas le n. d'act. taux, les aliénés sont des inspirés et des saints; le
~A~—>-,
~il
chez les Soufis, mot se trouve: Lane M. E. I, 347, II, 193, Ztschr.
attraction par Dieu, M
VII, 23, n. 4, 1001 N. II, 369, 7 a f., 371, 1,
-
III, 419, 2 a f., 427, 3 a f. De là: benlt, bêta,
bête, dadais, hébété, imbécile, jocrisse, niais, Bc (à en rouge.» Pellissier 161: «djedri, espèce du genre
~!
une seule exception près, avec le ddl), Hbrt 239.
entraînement; — gravitation; — tressail-
mespilus, dont la racine teint en rouge.» Espina R.
d. O. A. XIII, 147: «djedêri, le lentisque de la
Provence et de l'Algérie.» Chez Barth I, 144 ftel
lement, mouvement soudain et convulsif des nerfs, Bc. djederîa.» — Ce qui
précède explique pourquoi ge.
«
dâry» désigne aussi une (drogue pour la teinture,»
Descr. de l'Eg. XII, 126.
~CI~1
<~->. souche, le bas du tronc et les racines, tronc, 1 (voyez Freytag sous le no 5) s'emploie réelle-
la tige d'un arbre sans les branches, Bc (avec le ment pour ~->-, Valeton 12, 11. 8.
dâl). — Eteule, Edrisi 1., 6 a f. (avec le dâl). —
~CI
et~>- tronc de palmier. On attachait les criminels,
Poutre,
Bc (avec le dâl). - -
~Yoc.(j*X-s>»). Exposant,
~~AJ~ tL\j>-
mathém.,
t. de
serpentaire
ou vi- pour les faire mourir, à des troncs de palmiers; Berb.
périne de Virginie, racine diurétique,
Bc (avec le I, 603, 11 et 640, 11: J~L~ ~> (~-~ P.
~(M £)* — «racine du scorpion; on peut, 1001 N. I, 627, 8: si tu dis cela encore une fois,
après l'avoir placée dans la main, y mettre un scor-
pion, il restera immobile et comme étourdi, on n'aura
mot c~>- a reçu le sens de croix, Gl. Bayân, Atliîr
pas à en redouter la piqûre, »
d'Escayrac 85.
VIII, 302, 17, Macc. I, 666, 18, II, 11, 1. 13, Berb.
t!.>-
9 -
souche, Ht; racines, Martin 105. I, 540, 6, II, 325, 3 a f., Cartâs 168, dern. 1.
o i
ajiAs- poutre, L (trabem, avec dâl). - t ~5
Pl. ~—>-
souche de vigne qui a peu de rejetons, Aie. (vid sin
cL\~- le chameau de trois
ans, Daumas R. d. 0.
A. N. S. I, 183, de cinq ans, Prax R. d. O. A. V,
braços; cf. Victor).
M~jo pl. cf. Gl. Edrisi 353)
~il
219. — Avec le pl. ùb..A=?-
vaillant, Ht.
brave, Bc, fort, solide,
~fi
(n. d'un. du
souche, Ht. < ~CI~**poulain, jeune
~KcÀs* cheval, Domb. 64, Ht.
~O ~esp è ce d'arbrisseau épineux, dont le fruit -- s
K~&L\~- bravoure, Bc.
porte le nom de (voyez) et dont on trouve la
description chez Bait. I, 274 c, II, 178 c. Cette ú\l:?- rameur, Bat. IV, 59, Maml. 1,1, 142, 3 a f.
description montre que cet arbrisseau est le même
que celui qui porte le nom de ajdaree »chez Ri- JJ~ I, se réjouir de, se construit c. ~v->,Becrî 188, 4.
»
chardson Central I, 37. «L'ajdaree, dit-il, «est un
buisson épineux, qui, vu à distance, rappelle tant j*~~ II c. a. p. rendre quelqu'un lépreux, éléphantique,
soit peu l'aubépine d'Angleterre. Quand on en appro-
che, on trouve que les feuilles sont ovales et en
forme d'avelines. La baie, appelée thomakh, a pres- ~o; l'ensemble du récit ne laisse aucun
HJLAIXS? doute
que la grosseur de la cénelle, mais elle est aplatie sur ce sens.
aux côtés; on en fait usage comme d'un médicament, V devenir lépreux, éléphantique, Becrî 148, 4 a f.,
car c'est un puissant astringent dans la diarrhée.»
Ailleurs, p. 180, il écrit « jadâree.» Prax, R. d. O.
A. VII, 263, dit que cet arbre «donne un fruit de ~j>
CI
tribu, Berb. I, 86, dern. 1.
la grosseur d'un petit pois, qui devient noir en mû-
~Js—>- lèpre, Voc.
rissant. Ce fruit est mangé par les Arabes. On voit
sur l'écorce de la racine de cet arbre des excrois- ~ML\> dartre, Bc.
sances, d'où sans doute le nom de djeddri, qui si- JL\->. feu Saint-Antoine, espèce de maladie, Aie.
gnifie couvert de boutons. [La manière dont Bait.
écrit le mot, prouve que cette étymologie est erronée]. (huego de San Anton).
L'écorce de la racine du djeddri est employée, par * ~t dartre, Bc.
~J~>.
les Arabes, pour teindre en noir la soie bleue, et
pour le tannage des peaux de mouton qu'elle colore ~)~>-
m x ~t dartreux, Bc.
pjc>t lépreux,Voc. de ruminer, Gl. BelAdz. — Il
~1 ~O successivement,
~r ~CI
1) pl. 05
q3 et ~Ls^, ,
lépi-eux,Voc.,Ale.
~rà~W lépreux, Yoc., Aie. (leproso).
(loproso) Aie. (subcessivamente).
a
VIII.
X traîner après soi, entraîner, p. e. l'ennemi qu'on
«il se mit en marche à la tête d'une armee, » Koseg. attire dans une embuscade,Nowairî Egypte, man. o, 2
Chrest. 103, 1. - ~-r")
~+~O ?->-
~m
ou
~"j traîner la
~O—
~o
~r.>
ler, tortiller les jambes en marchant, Aie. (çancajoso, num.» Ce mot est encore en usage au Maroc, où
~m
çanqueamiento, çanqueadora cosa). — ~31") ~ys-, --
pro-
prement «traîner son licou,» agir en toute liberté, (Lerchundi).
faire tout ce qu'on veut, Abbad. ,
III,M
10. — ~siAj :s..r==-trace, piste, Cherb.; ~voyezijr.
~& passer la main sur, Gartâs 120, 17 et 3 a f.:
~ply>. Le pl. ~)fr, Kâmil 112, 11.
~,!-> (pl.) instruments qui tiennent lieu de char-
dos du lion, le caressa de la main, et l'apaisa.» De
rues, Ouaday 380.
épithèted'une espèce de melon qui a été
ainsi parce qu'il ressemble à une
.iS;:?
jarre,
Un se
nommé
Auw. II, 223, 4 af.
IV. J~c~-J~
# ~S«• f ~o
~j^>\ mettre aux chameaux le _là7-- compose, selonMasoudî,
c.-à-d., le cordon qui leur passe sur le nez (voyez d'au moins 12,000 hommes, Mong. 250. — Rapide
Laneà la fin de l'article ~jjy>), pour les empêcher (torrent),Voc., Mong. 250. — Abondant(source) Mong. ,
250. — ~^pendantplus d'un mois, Gl. BelAdz. — *
ac~.> courage guerrier, Bc.
>(jJi escrocs, Burton I, 119. — Tiroir, M. — ~CI
~-X->! licence, liberté trop grande, contraire
Timon, pièce d'une voiture, Bc. — ~eiat ~l-
affût, au
machine pour soutenir et mouvoir le canon, Bc. respect, Bc. — ~jX>L criminellement, Bc.
~a.~j>. On trouve cette espèce de scorpions 'Ascar à r;.H'r nom d'un fruit; voyez
y * *
Burckhardt Syria 282.
Mocram, Bait. II, 454, et en général en al-Ahwâz,
Tha'âlibt Latâif 107, 5 a f. — Traîneau, Aie. (narria L~t,~ (XEP«tTltX" pl. de XEptlerTlOll,b. lat. cerasea) cerise,
o rastra).
(cf.Freytag). gond, Bc. — Tiroir,
M. - Targette d'une fenêtre, M.
; II,
~XJiA*O 282 b, il atteste de nouveau que les Siciliens
- 3 morceau de bois qu'on attache au
S<~L>- et ~disentLy^y>- pour uyoîjï, et il ajoute qu'à Damas
avec lequel on le tire, M. les cerises se nomment Le-J-,u ~LyoLï; Ibn-Loyon 8vo:
~Jt armée,Abou'l-Walid 374, 5 (yCu^c). Pl. -
ol torrent, courant d'eau, Aie. (raudal venage del
,
agua). — Cassette, Domb. 93.
~JG¿ (esp.) gerfaut, oiseau de proie, Aie. (girifalte,
~-~e trait, longe avec laquelle les chevaux tirent halcon girifalte).
= ~')
à laquelle on attache la bête, qui la fait tourner, Auw.
galeux, Carette Kab. l, 46. — qLÎIJÎ
I, 146, 3 a f., 147, 1 (le man. de Leyde a la bonne ~Vir?"
Most. sous ce dernier mot.
leçon).
)~!r. S) ~<
à quelqu'un, Gl.
~,CI
y
~l4fr. ~Kb>.
, -
batterie, Niebuhr R. I, 403.
-'.;-=:-- 1 c. ~,Lr- p. oser résister
Kj->- gale, rogne, Voc., Aie. (sarna), Bc.
Fragm., de Sacy Chrest. II, vf, 3.
IV c. a. p. et ~(Jsji r. exciter quelqu'un à, Abbad. w ~O
4* On fabrique dans l'île de Djerba des tissus
l5!fr.
I, 254, 13, cf. III, 104.
V. Bc (oset.) a la construction c. ~t-<. Empiéter,- de laine et de laine et soie: burnous, haiks, djobbas,
entreprendre sur les droits de quelqu'un, Bc.
VI être hardi, Eoseg. Chrest. 20, 3, 1001 N. I,
;
couvertures, châles, ceintures, etc., qui sont très-fins,
très-blancs et très-moelleux ils sont les plus renommés
de la régence de Tunis et ils ont même une grande
73, dern. 1.
réputation dans tout l'Orient; voyez J. A. 1852, II,
VII Voc. sous audere.
VIII c. ~J.s; p. oser résister à quelqu'un, Gl. Fragm., 171, Berb. I,576,5 af., d'Arvieux IV, 19 (où il
Abbad. I,
51, 11. Le Voc. (sous iniuriari, c.-à-d. faut lire »
brenis —
y-Jiy, pl. de ~U
~ÎO)
—, au
iniuriare) a la constr. c. j
et ~,c.
«
-
de la nature de la gale, Bc.
~~->
S ~CI
-
voyez
~j>
~«.G „ a
la fin.
plante épineuse, M. j>.
~-JO> Comme ce mot signifie proprement « racine,»
le chef des rebelles, Omar ibn-Hafçoun, est appelé
~w)? ~KZ
..L-J,—> cette large pièce d'un vêtement qui couvre ~q-* Berb. I, 137, 1, dans le sens de
le derrière, les fesses, Khallic. VII, 68, 6- où 9, v-ytil ül.i.ù' U"';)' qui précède, «les boute-feux
~£yA
ce mot est expliqué. de la sédition.» — Noble origine, Voc.
— On dit:
~Pl.o\,Bc, et .L—>-, Burckhardt Nubia xjjuoJÎf-o'îJ-l Abbad. I, 221, 1 (cf. III, 77),
ce qui semble signifier proprement: «traverser sur sa
monture des chemins raboteux,» au fig.: «affronter
le
I.:-'Y:;=:-.
l4'r:-
Le pl. y
troisièmeestomac d'unanimal ruminant, M (sous <_^ôs).
~Xj~?ft".
ujjls- expert, Ht.
m ~oy
(~L~ r étoffe de soie qui tire son nom de la ville
)
d'une planche, d'une estampe pour en corriger les
fautes, Bc.
Bc.
— Examen,
- ~rà l'épreuve, qui résiste,
Aie. (esamen, profesion en algun
verses reprises de côté et d'autre, Bc.
~w
~expérimental;~W empirisme, Bc. ~r '— ~MpM*MtM~
voyelles dans N).
~e< olive très-mûre
.L>~>- et qui n'a plus rien d'amer, M.
Aie. (professe en algun oficio). —
t-j-~9 examiné, .Jfrr bavard, Hbrt 239 (Alg.).
Galeux, rogneux, Aie. (ronoso lleno de rona, samoso
lleno de sarna).
~a
y o ~y
.Jfr.r?' fenouil, ~JL.L.
Most. vO -
Dans l'île de
Sawâkin, sorte de millet, dont le grain est très-gros,
examinateur, Aie. (esaminador). — ~-'t-~ ~t* Bat. II, 162.
empirisme,Bc. ~O
~>~>. cresson, Ht; chez Bc eUl j!i?r. - «Girgir
Sukarra,» eruca sylvestris lutea, Pagni MS. — Dans
~rr1 c. j p. tromper, Merx Archiv I, 183, n. 6.
le passage de la Chrest. de Silv. de Sacy, cité par
Freytag, I, oo, 7 a f. de la 2e édit., on ne trouve
i4JUà semble signifier: sac, valise, portemanteau, pas, comme il dit: K~JU~X~ j-~->~., ce qui serait
contre la grammaire, mais le second mot a la copu-
lative ;
ce sont donc deux plantes différentes,
a ici son sens ordinaire, celui de «roquette.»
et
~rrt
CI >
préparation à la roquette, Auw. II, 410,
12, 414,20etsuiv. 389, 2 (de Slane, dans sa trad., a cru à tort que
Vie
~jS±f chez Freytag, est dans le Gl. Manç. ~J<~>-->.,
~O
de Timour II, 366, 4, Koseg. Chrest. 87, 2 a f
pl. (j<~~!~>, aussi Payne Smith 1167. Auw. I, 599, 1, où il faut lire ainsi (man. de Leyde
+ ~O
#»
n-~j~ nom d'un arbre d'où l'on tire une sorte de
miel, Burckhardt Nubia 437.
1
82, 4.
X c. p. se rendre odieux à, Cout. 32 v°: ~0Uii Kj~-jL~- sorte de jeu d'échecs
tr II
sur un tablier
68 cases, van der Linde,
indigne
~>
~àLconduite blâmable par
1 ~CI laquelle on se rend
de remplir un emploi, de succéder à la cou- que ~JoLjwJÎ ~, Aie.(descalçar). -'~LJ~\~,> désar-
-
ronne, etc., Müller 44, 6, Çalât 39 rO: oL*oj$JUc} mer, ôter les armes, Aie. (desarmar).
dévaliser, Voc., Aie. (despojarrobar). — Dépouiller,
.)ffY"
~xJLc on arrache les mauvaises herbes, Auw. 1, 311,
- >
*
»
publiques, et ses nuits au plaisir. — Le calife Omar II
ôta au gouverneur de l'Ifrîkiya le droit- de nommer a donc le sens de pauvreté, mais seulement quand
il est question d'un homme pieux qui renonce de son
~w
plein gré aux biens de ce monde, p. e. Macc. I,
un cheval, le mettre en haleine, Bc. — (Dénominatif Soufis le titre de CZÈU, Macc. 1, 5, 1. 9, 583, 5,
de :~X-t—>-, voyez) inventorier, Cherb. Dial. 206. —
qui signifie ordinairement: celui qui a quitté le monde;
12 (longue description).—Raclure, ratissure, cequ'on des soldats, Fakhri 165, 1. 0'rSû' !"-~r~ le registre
9
'.1
été en raclant, en ratissant, Aie. (raedura). - Ter- de l'impôt foncier, 1001 N. II, 397, 4 a f. — ~Jb
à
rain
*
élevé et
ou L~.<
~y- C
fort éloigné de la mer, M. — ~&M ~BL>.
Vêtem. 120.
~y>- racloir, ratissoire, instrument pour racler, Lgcly-- sorte d'oiseau, Yâcout I, 885, 5.
~(pl.)petites sauterelles,Abou'l-Walid777,7.
,
ratisser, Aie. (raedera para raer).
<!<~;->- bâton, canne, espèce de javelot sans pointe, ~ai;>»
étranger qui vient dans une ville pour y faire
Bc, M. — (Cf. Lane sous «X^s») taille, bois pour des achats, M.
~-O5
marquer par des entailles ce que l'on fournit ou reçoit, w
Bc. On dit: vendre ses marchandises
~HJuJL à la taille, à crédit, Gloss. de Habicht
,
«~b
ou ~à
sur
~~j~>-!
~Ou ~0 W-
vulg. pour
= ~JyF
ras, M.
le Ile volume de son édit. des 1001 N. — Liste, religieuse, aller vivre dans la retraite et la pauvreté;
tableau, état, inventaire, registre, tarif, M, Cherb.
a
chez Bat. IV, 23, deux man. (voyez p. 453 des notes)
Dial. 82, 204, Martin 136, Ht, Prol. I, 325, 11,
326, 3, Ztschr. XX, 494, 3 a f., Ghadamès 19:
>
tres donnent la même expression dans le Car
c'est dans une pièce de vers, publiée par de Sacy
tas 98 de la traduction, n. 10; hémistiche chez Macc.
Chrest. I, 281, que Freytag a trouvé l'expression:
~w,jaA ~Julde
Sacy traduit: «des registres ex-
de Sacy Chrest. I, 1.1,dern.1.; cf. I, lof, 1, Hamâsa
20, 19, Prol. I, 8, 2 a f., », 4, 248, 17, Cartâs
~jJJt ~v^Lo <~~!~. Quelquefois on peut traduire cé-
libat (voyez sous ~.)fr V), Defrémery Mémoires 151.
364 des notes, 4 a f., Fakhrî 376, 8. ~—La
e
aussitôt que, Bc. — la, métaphysiquement,Be. —
~C
Dans d'autres passages, surtout quand il est question ~r. ~Jais purement et simplement, Bc.
de Soufis: se délivrer de la conscience de sa propre
individualité, ce qui, d'après leur système, est né-
~CI
cessaire pour rendre possible l'union de l'âme avec y
ô~—~-< , en haleine, en exercice (cheval), Bc.
—
la divinité; voyez la note de M. de Slane, trad. d'Ibn- .;i-J' ~J-r- aD7«e habitué à voyager, M. — Ustensile
Khallic. II, 155, n. 4, dans le texte I, 417, 5. Dans
- en fer pour porter le feu, M.
le passage des Prol., III, 144, 11, le même savant
traduit: le dépouillement des sentiments mondains qui
préoccupent l'dme. — Ce terme doit avoir un tout
autre sens chez Macc. I, 693, 5, où on lit qu'au
i cf. Harîrî 138, 7 et 8 du Comment. A Fez
Caire un homme pauvre peut faire tout ce qu'il veut les y>- étaient ce qu'on nommait ~yUa-i à Tunis,
et
cï
~—
~ô~, Gl. Manç. v° lXjlô, du vin dégagé de la lie
~0..
~)r:- verge de fer, d'or, Bc.
UÎ -*-;z-A !~t=~. Pauvre, en parlant, non pas de
).f?- audacieux, hardi, Ht.
—
celui qui l'est volontairement (cf. ~T—>- V), mais de
celui qui l'est par la force des circonstances, Macc.
gerbe, faisceau de blé coupé, Bc; ~8^j>
fagot, fascine,Hbrt 196, Bc, qui donne le pl. )'f?';
l, 693, 3 et 9. — On dit: ~lui! ~.M ar>.-,.tj. à vue
;,.,. ~* ~8jy> faisceau de calams, R. N. 70 rO.
d'oeil, à la simple vue, à la seule vue, Bc;
a~->. gloutonnerie, voracité, L (voracitas, glubie,
de juifs ne leur convient qu'en raison de leur origine,» ingluvies),Voc. (ingluvies).
11, éclat que fait une chose honteuse à quelqu'un, Bc
(tj~tf~ chez les Egyptiens par transposition pour cb?'»
sarment, Hbrt 196. (sans voyelles), 1001 N. IV, 465, 3 (où Bresl. X,
447, 5, a lY"¡::-) et 7 (où Bresl. a aussi X**p>).
<&*+•Q+
t,.¡4;)r aloë americana, Domb. 74. Esclandre, accident qui fait de l'éclat avec honte
-
~CI
>
Bc. — Insulte, outrage, Hbrt 242 ~(&wj>), Bc; infa-
UN.r-- 1 voyez sous la IIe forme. mies, paroles injurieuses, Bc.
II promener ignominieusement, promener un cri-
minel par la ville, Maml. I, 2, 50, Bc, Macc. I, KjM~>- campanule ou gantelée (plante), Bc.
135, 6, 1001 N. IV, 233, 7 a f., 493, 4,Bresl. IV, ~Lywl voyez plus haut
146, 4. Quatremère (Maml. I, 2, 106) a soupçonné p. 180 b.
que, lorsque l'on promenait ignominieusement un cri- (j~j> dans la lre partie du Voc., sans explica-
tion; carillonneur?
minel, il était précédé d'une sonnette, UN.f?-, au son
de laquelle on proclamait la faute qui avait attiré sur (herse, Ht.
1 CI Je crois que c'est une faute de
ce malheureux la vengeance du prince, et que cette l'auteur, ou peut-être du peuple; le mot véritable
circonstance a motivé l'emploi de ce verbe. Mais il est
n'en est pas ainsi; le fait est qu'on attachait des ~,CI. (voyez).
sonnettes, ~UN?' au bonnet haut dont on couvrait la
tête du criminel qu'on promenait en public; c'est par
(j~reprisinfâme,justice, par la
honoré, de
flétri
Bc.
loi, l'opinion, dés-
nettes ,
verte d'un bonnet haut, garni de bandes et de son-
:-.
Tavernier (cité ibid. 421) atteste
aussi que le supplice ordinaire pour ceux dont on a ~K~t—>- espèce de mets, Palgrave I, 73.
,
Ire forme, nom d'act. 1001 N. Bresl. IV, 160,
famer,
- Pilorier, mettre au pilori,
noircir, tympaniser, décrier
Dif-
Bc. —
quelqu'un haute-
ment (le hâ est une faute d'impression); xmmâjy«y>- ~AÎUaJùmI.On trouve ~L~~—>. chez Chec. 182 rO,
un esclandre, quereller, Bc. (..)Dfr II pour (j<~>-, promener un criminelpar la ville, Bc.
IV. On dit ~J~~J!
o y ~-~\JJ!f «une bride qui rend ~U"fr pour (j~—>-~ Payne Smith 1141.
un son,» Calaïd 96, 17, parce qu'on attachait des -6f-à. -
sonnettes aux brides des chevaux. i>AjZ>-
~y
ornement, Voc.
>
être l'a-t-il aussi dans le passage d'Ibn-Haucal, cité
,~ 1 rdteler, ôter les ordures avec le râteau, amasser
avec le râteau, Bc. - (jx~~ houer, Bc. —
Gl. Edrtsi 277.
~0'
-
~J vjya- banc de sable, Bc.
Ka~>- rocher, Becrî 113, 11.
N. d'act. oi-îys-, disperser, Mehren 26.
V se laisser émier? voyez CH. Edrîsî. K9->- alose y
Léon 552, en parlant du lac de Bi-
> > 0 ~J zerte: «Post mensem Octobrem genus quoddam piscis
u.r=::- ou ~-?j—>- semble signifier proprement (cf. capitur quod apud Afros Giarapha appellatur; eun-
Lane): pente roide, le penchant d'une montagne, d'un dem piscem esse crediderim, qui Romanis Laccia ap-
précipice, le bord escarpé d'un torrent, d'un fossé; pellatur: tum enim pluvialis aquœ accessione, huius
mais on a appliqué ce mot à ce qui est au-dessous fluminis aqua dulcis efficitur, qualem maxime huius-
et au-dessus de la pente, de sorte qu'il a reçu le modi pisces amare dicunt. »Edrtsi no, 2 nomme un
sens de ravin ou fossé, et celui de falaise ou rocher ; poisson de ce lac, dont le nom est dans les man.
escarpé.. — Dans le premier sens: Athîr VIII, 412,
les escarpements ou la colline qui les présente, » Renou canaux, travail du serf, Mehren2&
221; l'expression est rendue par fontes ~L>.. ~J~L~U~ ~eLtiS! la grande peste noire qui
*
rupium dans l'ancienne traduction d'une charte sici-
lienne chez Lello 19, Amari MS; on trouve comme désola l'Asie, l'Afrique et l'Europe en 1348 de. J. C.,
Prol. I, 51, 3 a f., Berb. I, 78, 270, 476, 7 a C.,
nom propre ~Jt-~J!
o** ~!.ou
~CI
* CI.
~vJLb, et c'est,
II, 366, 2 a f.
dit Barth W. 258: «ein hochfelsiger Kap;» certaine
5 ~s"
montagne est nommée par un auteur «Djerf-el-Gueléah,» ú'JI.::- aussi en parlant de la pluie, ~~J->. ~JCLA,
et par un autre, «Djebel-el-Klie,» R. d. O. A. VII, Payne Smith 1141. — Ratissoire, Bc.
~,oS
U~>! sorte d'herbe, Burckhardt Arab. II, 396.
~XV
-",.~C, pelle, Bc, Hbrt 178, 197, Mehren 26, Auw.
y o-»
« # O#
(j&~-~. = ~JS^ broder d'or, Fleischer Gl. 49,50, Bc. profond (ton), Bc.
o ~y
~r.r 1 mettre à l'amende, Bc, Hbrt 214,
rlàjjt ~if MeWl désosser,
M. — <*r-~'
fj>- c. ~e dans le
M. —
natio) ~j~o(pour
~r.f? audace, Voc.; dans L abstinatio (pour obsti-
~s^J») 'iyai. - ~r~~ ~¡;Je s'enca-
nailler, Bc.
Voc. audere; probablement: oser résister à quelqu'un,
ainsi que ~e ~£ }, ~Mfr truelle, Hbrt 83, Ht.
},fr, qu'il donne sous le même article. —
~Mfr9 grand vase dont se servent les
~-O
vinaigriers,
= CLT^" battre le blé
avec la machine —.yJ!, Mehren 26. Descr. de l'Eg. XII, 437.
II un crime à quelqu'un, M.
c. a. p. imputer ~O-O) oy
j~~>- (de ~r.T!- avec la termin. esp. «ero») auda-
V commettre un crime est dans Lane; exemple: cieux,Yoc.
Bayân II, 284, 13.
(t-;~> audacieux, Yoc.
~CI-
~—>. Beaucoup de voyageurs parlent de cette K~<->. audace, Voc.
espèce de barque, dont on se sert en Egypte. Belon
231, qui écrit par erreur «gerbes,» dit que, sur le
Nil, ces barques sont de trois ou quatre sortes, et
X~-.t<~-. ~- ~f la prison pour les crimes,
il les décrit; Coppin 169 («germe»): «barque plate pour ceux qui ont commis des crimes, Khallic. I, 107,
et découverte, comme celles qui portent le sel sur dern. 1., 108, 1. De Slane, dans une note sur la trad.
le Rhône ;»
d'Arvieux I, 183: «germes; ils n'ont de ce passage, soupçonne que cette prison a été
point de pont; ils sont longs à peu près comme ceux nommée ainsi pour la distinguer du ~vjuh*
# ~CI
#
ou prison
qui apportent le bois à Paris;» Yansleb 106: «ger- d'Etat. — Tort qu'on fait à quelqu'un, Voc. (iniuria).
mes, très-longues barques, faites pour décharger les
vaisseaux et pour les tirer hors des bancs de sable;» — Accusation, Roland. — Amende, Quatremère dans
le J. d. S. 1843, 397—8, Hbrt 214, Bc, M, Macc.
Turner II, 307: «the boat was a large three-masted II, 159, 4 (cf. Add. et Corr.).
jerm, without covering, as usual in these vessels,
but with a large capacious deck ;»
voyez aussi Ghis-
.~<~-~. X~~elidl semble signifier les fruits
tele 189, 235, Schweigger 256, Mantegazza 82 et à pepin, Edrîsî, Clim. II, Sect. 6: ~q* Ke54
ailleurs, Browne I, 51, Fesquet 60, v. Richter 7,
Amari Dipl. 424, n. aa.
H4-~> queue, Domb. 66, Bc (Barb.).
r.f:. OjiXs? ~oï le
~rr projectile, corps lancé, Bc. —
plus criminel, Abbad. I, 51, 3 a f. (cf.
Proprement corps, s'emploie dans le sens de volume, III,21).
l'étendue, la grosseur d'un corps, Haiyân-Bassâm III, ~D.e On a vu, par le témoignage de Vansleb,
49 ro: ~~J! Xè.Ab-o ~-~t Abd-al-wàhid 182, 14.—
~oS que les barques nommées «djerm» servent à déchar-
Le pl. r'.r=:-' gros blocs de pierre, Prol. II, 206, 2; —
ger les vaisseaux, et je crois que ~—tj-~Jf signifie
vastes édifices, Prol. II, 201, 2 a f., 319, 13, 323,
proprement: transporter à terre, sur des djerm, les
11. Dans les 1001 N. III, 29, 5 il est question d'un
marchandises qu'on a retirées du vaisseau; mais dans
monstre qui avait deux oreilles t~-~j~~
O- J~*) je crois Amari Dipl. 132, 4 (cf. 424 oa) ce terme signifie:
que cela signifie: (comme deux gros blocs de pierre;. l'argent qu'on paie pour ce transport, de même que
Lane, qui avait la même leçon sous les yeux, car x-;~ qui suit, proprement «décharger les marchan-
dises,» a ici le sens de «l'argent qu'on paie pour oV" n. d'un. 8, grenouille, Hbrt 68 (Barb.),
décharger les marchandises; a les expressions i ()"~, Pagni MS, Daumas V. A. 432; crapaud, Ht.
ce sujet.
~JJUÂ
sorte
Cazwint ~~>-.
d'oiseau, YAcout I, 885, 13; chez
o ~y
.,—~e gueux, vagabond, coquin, Bc. — Forçat,
~XJlest
~i dans la lre partie du Voc.«brandola,»
galérien, Bc. — Dans L distinctement brocc, que je et dans la 2e ,brandar;» brandon, torche.
ne comprends pas. Scaliger en a fait brocus; mais .-Cl.~y
je ne vois pas comment le mot arabe aurait reçu le XJLj->- endroit où l'on vend le blé, M.
sens qu'a le latin broccus, brocchus, etc. O',,?!- magasin de blé, Mehren 26.
Q¡.
~~>- houe à longue manche, Barth V, 263.
y
~w +„ sorte de bordure découpée,
o» 2
)YOfr. ^5^yeiy>-i^ot+2», de Sacy Chrest. II, 419, O',?!- (esp.) pl. Qjtj»
16, où l'éditeur traduit: «je me hâtai de ramasser au bas d'un habit, Aie. (giron de vestidura).
tout ce que je possédais; »~isLtJ <.>-, Berb.
II, 93, 7, où de Slane traduit: «.il prit ses mesures
en conséquence.» — Voyez
«espèceI,
*O+
Lane M. E.
de bois; je crois que c'est érable,»
201.
~A~"> nom d'une plante, Daumas V. A. 380, carlina
,
espèce de gentiane, Bait. I, 260 b; leçon
ploie en fourrures, Gl. Esp. 276.
de A; dans CEL la première lettre est un ~r:' et dans
BD un t: — Espèce de sauterelle, Casiri I, 320 a.
: <,
personnes qui se trouvent dans un vaisseau, naviguer,
Gl. Edrisi, Tha'Alibt Latâïf 73, 8, où il faut pro-
noncer
~CI ,
et non pas ~-~J,> comme
l'éditeur. — En parlant du vent, souffler, Gl. Edrîsî. —
l'a fait
le monarque en ce sens qu'il leur permettrait de
rester où.ils étaient; ce qu'il fit.» — Faire valoir,
v. d. Berg 71, n. 1. — Atténuer les humeurs, Be.
Couvrir (comme la IIe, voyez), Lettre à M. Fleischer
vjliL C j~
-
183-4. faire droit à chacun, rendre
S'introduire (usage), Bc. — Valoir, v. d. Berg 71, n. 1.— —
la justice, Bc. — *t<~~ L~-~~ faire tomber la
j. sollicitations,soins, démarches, diligences conversation sur quelque chose, Bc. (j:S)' -
iLgr>.l
~.1'"
pour le succès d'une affaire, Bc. -
~(c er:.e.. L\~-~
t~\jjt ~QjiÊ il commença à parler selon les lois de la
faire venir l'eau à la bouche, exciter en parlant le
désir d'une chose, Bc. — faire aller
grammaire, Macc. I,
137, 4 — ~5CII &,k.
~CI"- ~O
cA
à la selle, procurer des selles, Bc. — S~L-c ~~—~!
introduire un usage, Bc.
celui sur le visage duquel le rasoir a passé, c.-à-d.
,
celui qui a atteint l'âge de puberté; — ~iuJLc ~Lo V dans le Voc. sous predari.
~J! ce qui a été mesuré, Gl. Belâdz. VI.ChezMeursinge23, 2: ~~L-~ ~W
,
otra cosa). —~
II, comme la Ire, courir, Aie. (correr cavallo, correr
faire des incursions dans
A.lW' & pbliîl «bUiaâiî ~J~M~J~tQ; comme
de 1..S.r ne présente pas ici un sens convenable, je
la VIe forme
*
~vX-g il~Jt au trône,
nomma son fils son successeur
Bat. IV, 309; mais la leçon est incertaine et semble
(voyez sous la IIIe), et je traduis: «j'entrai en con-
versation avec un savant sur cette matière.»
mauvaise; voyez la note. — Couvrir, spécialement en
parlant d'une maison qu'on couvre de tuile, d'ardoise,
,c->- et (vulg.) foire, cours de ventre, Lettre
etc., Lettre à M. Fleischer 183-4. a M. Fleischer 224, dans le Voc. ~LJ! 1..Sf-; ~!.Si
III. ~L)~ ~)L>- entrer en conversation dyssenterie, espèce de flux de sang, Aie. (lluvia
avec quel-
qu'un, Gl. Fragm. sangre).
mais on dit, par suite d'une double ellipse: LL~>~ o corrida, corrida o carrera).
iu
mone. »
,
'Âiyoji, Cartâs 233, 13, dans le sens de: LâJLx3- Luy>.î
(nous fîmes courir nos chevaux vers Car-
— Donner cours, Bc. — C. ~J.&.p. (cf. Lane)
~Là
~O •
~CI (pour ^jbys»-)
-»- dyssenterie, M.
accident,Voc.
,
pourvoir aux besoins, à la subsistance de quelqu'un, X~.~>. draperie de canapé en brocard, Ht. — Dans
>
sont l'équivalent de .! *o
J<jt~~&, qu'on trouve
chez Khallic. IX, 134, 4 et 5 Wüst.), 1001 N. III,
204, 4 af.; assigner un traitement,. p. o. lent de ,jàU3.
-y*
polissoirf instrument pour polir, Aie., qui
donne: polidero para polir, jarrî; je pense que c'est
- 0
un traitement, » Fleischer Gl. 86.
(cf. mon Histoire des musulmans d'Espagne IV, 255): traitement,- appointements, Djob. 38, 5(où
M
,
il faut lire ~é~- à M, comme porte le man.), 46, ~j-> nom d'une étoffe de soie, dont la matière
13 et 15, 273, dern. 1., 274, 3 et 4. première est teinte de quatre ou cinq couleurs diffé-
rentes, Bat. IV, 2.
K~-~J
CI incursion,course de
gens de guerre en pays
~»j—> les restes des feuilles de mûrier, ce que les
ennemi, Voc., Aie. (rebato); cf. 'Jft- II.
vers à soie n'en ont pas mangé, M.
avec ou sans ~ëLeou aUf, fil, courant d'eau,
ruisseau d'eau vive, rigole, aqueduc, Bc, Hbrt 174, 5?
petit morceau de papier, sur lequel le voya-
Ht, Gregor. 36. — Cloaque, égout, Voc., Aie. (al- geur note dans son auberge les mets et les boissons
banar de casa, alvanar, cano o albanar),.!~~! (3'r~ qu'il désire avoir, Harîri 282-3.
Abbad. I, 306, 7. — Saignée, ouverture faite à un tondeur, Voc., Aie. (tresquilador de ganado), Bc.
canal, Aie. (espiradero de agua, sangradera de agua
cogida). — Canal, conduit dans le corps; couloir, jl> et u-L>»couteau de cordonnier, Payne Smith 1134.
canaux; ~JjaJî L?'
urètre,
;
canaZ de la bile; vaisseaux, veines, artères, petits f
canal par lequel
l'urine;~aj.jJî ,)L*I,A bronches, vaisseaux du poumon
qui reçoivent Pair
qui contiennent le chyle, Bc. — Coulisse, rainure de
châssis ou volet pour le mouvoir en glissant, Bc. —
sort
~!r* II doser,
mettre les doses, Bc.
X. ~x_j t-~~J Le ce dont on peut se contenter,
veines lactées, veines Abou'l-Waltd 58, 14, 308, 12.
~CI
y
~t.fr acte, partie d'une pièce dramatique, Bc. — Le
.,L>-Ju)<~-~ tuyau de cheminée, Bc. — Carrière,
lieu destiné à la course, hippodrome, Abbad. I, 172,
pl.matériaux pour composer un ouvrage, Bc. —
~of
~9 ~CI~3
piqueur, en termes de manège, Gl. Fragm. —
secondaires (de Slane), Prol.
K~~- du particulier au général,
I, 182,
Bc.
1. - X :. -:c:I..--
~O
~a)-. =
,
~~!~ coureur, léger à la course,
, carrière, P. Kamil 486, 7;
~so
—
Bc.
rile, Bc.
w û
~Leal ,
ï
ou avec le suffixe turc
~w#OS
.~>-—>-!
,
droguiste, M.
w. o ~S boutique de droguiste, M.
Xj~!->-!
conduit, Fakhrî 371, dern. 1., 372, 2 et 4.
~aL^u est l'équivalent de )Mj~ ressort, J. A. 1848, (pers.,composédel'arabe et du pers.
~O
>
II, 214, n.2, Machâri' al-achwâc 97, Il éd. de Boulac: portefeuille, Hbrt 112, Bc; dans le M o',)j:;.
ï~M(~c ~X U~
de là vient que ce terme
a servi à désigner une espèce d'arbalète, l'arbalète
à ressort, dont on trouve la description J. A. 1. 1.
Dans le Cartâs 105, 5 a f. on trouve le
barbarisme J';=:-' pour ~r>! îles.
~!~j~ courges, Martin 101.
- M .->.
~j-> ivette (plante), Aie. (pinillo yerva conocida).
«
~p¡. VU être tondu,Voc. nom d'une plante, Bait. I, 2 b.
,1
~/À canari, serin, Hbrt 66, Bc. cf. 86, 8-10 et 47,
10; dans ce dernier passage il
<•
.~—~n-~LJ ~L est une expression poétique
est question de deux drapeaux noirs <6-!—~J
(j~L~ tachetés de blanc.» De même ~gj^Ul fL>.J
«
pour indiquer un homme généreux, hospitalier, parce chez de Sacy Abdallatif 227, col. 1, dern. 1. Mais
qu'afin de régaler ses amis et ses hôtes, il fait tuer ordinairement, comme le dit Sprenger dans le Ztschr.
beaucoup de chameaux, Badroun 138,4, 139, et suiv. 3 XV, 409, le terme ~.f-f~ <~
signifie: du marbre
S~t-j>., avec ou sans oasis, Gl. Edrtst, blanc incrusté d'arabesques de marbre d'une autre
couleur, et cette mosaïque n'est pas" seulement tracée
Becrî 16, dern. 1., Lyon 345. — ~'J"} voyez
sur le sol des appartements, mais aussi sur des co.
lonnes et sur des moulures. Chez Bc tL~~L c
,
juiPUt est orné de mosaïques. Ztschr. XV, 411 à la fin:
-)LO01 -)LOI
(dans le man. de Leyde on trouve ~&-à
K-j.&<j après ~Q^XJ); Clément-Mullet veut lire, avec
L~~ ~!. Chez Djob. 85, 7 et 8, C.-j-e- est le sy-
raison je crois, ~fi
et traduire: terres d'allu- nonyme de x-j~a—t, mosaïque. L'expression <L&..J!
II, 19, 3 a f.: ~.êdJ r~~r~<J~
vion, en comparant
- Pavé, L (pavimentum).
Xe—>-
conque de Vénus, Bc.
~Er 1.
~,o£ g^j>->
xsil au fig. briser la puissance de quel- gvoyez
«~W ~y
sous ~tft II. — Sorte de poisson,
qu'un, Borb. I, 2, 1. 1 et 2. YAcout I, 886, 10.
II proprement: orner des couleurs du O *
E.r-, de X<—~<< faux onyx, Gl. Edrtst.
Vonyx, c.-à-d., de noir et de blanc (voyez Lane sous ~J~-~ III ne parler d'une chose que par conjecture,
~O
~tfr); dans le Voc.«variare ;»
chez Djob. 149, 5af.,
il est question d'une chaire couverte d'une <
.«~J~~ En parlant d'un cheval, gj-^-*
XaJLX~* Ke-~<.
signifie, à ce qu'il semble, tigré, tavelé et moucheté
à peu près comme un tigre; L donne à la fin, parmi
les noms des chevaux de telle ou telle robe: musuco
m* y ~r.-JI
c.-~-<. Mais en parlant de viande, .-~e e
signifie
traduire: Quand on lui demandait quel âge il avait,
«
entrelardée, mêlée de gras et de maigre, Gl. Manç.: il répondait par conjecture, car il avait oublié l'année
de sa naissance: (Jesuis au monde depuis tant ou
~um ej-~<. tant d'années»;» Prol. II, 195, 2 a f.: c'est une pièce
'—'j*~ <~-~, de même sous En parlant de forgée à plaisir, car elle ne renferme pas une seule
bois c'est veiné, qui a des veines, Becrî 177, 7 a En f. prédiction qui soit vraie, à moinsqu'on ne l'inter-
parlant de marbre, il a quelquefois le même sens, prète d'une manière allégorique, ainsi que font les
Djob. 92, 7, où il est question de cinq colonnes de
marbre, dont trois étaient rouges et deux vertes: ~à
«OU qu'on ne l'explique au moyen de conjectures, a
l'exemple des gens haut placés, qui y attachent de
• elles étaient donc veinées de blanc, ou plutôt, comme l'importance» (de Slane). Aussi, de même que la VIe,
l'indiquent les dernières paroles, tachetées de blanc; Macc. II, 93, 4 a f., en parlant de savants, et surtout
de traditionnaires: ne pas distinguer le vrai d'avec le
faux, les traditions authentiques d'avec celles qui ne
le sont pas, soit par légèreté, soit par un manque de
discernement et de critique, soit par mauvaise foi,
Macc. I, 5, 1. 15, II, 95, 1, Meursinge ~rat,
pass., ~tL~—~ à <~—>. se laisser tromper sur un
12. Au
rd, Payne Smith
üjl.;=:- et aussi
mot est d'origine persane,
aussi avec le
~g)). Ce
~<&.
pl.
i
~O
*
compte, Mâwerdî 375, 8. <
!<fJ~-~ (altération del'ital. giustacuore?), dans
VI voyez la IIIe, à la fin.
le dialecte de Malte, petit jupon en toile à raies bleues
1 Voc. sous magnanimus. et blanches et à petits plis; il est ouvert d'un côté,
II c. a. Voc. sous magnanimus. et attaché avec de petits rubans, Vétem. 121.
IV. Combler quelqu'un de biens, de faveurs, est
\.Sj:;' I. ~'j-
~so CI) )
.tj~j.>, formule de politesse dans le sens
•)
de Sacy Chrest. I, T, 5. — Faire festin, L (epulor). de: non, je vous remercie, Gl. Badroun.
X.~J~! tL.e portant des fruits en abondance, II, comme la Ire, récompenser, rémunérer, Aie.
O»•*
;
P.Abbad. II, 51, 2 a f. (galardonar); dans le J. A. de 1869, II, 168, j'ai
dit que la IIe forme se trouve avec cette acception
~Jfr. Dans le Voc. J~>, pl. <~>-, magnanime.
— dans le vers Prol. III, 228, 12; mais il vaut mieux
~L91 u~>-
chez Lane, qui a le ju- î
Dans le sens de
'Miçr 161.
et
deux mots sont synonymes, Macc.
4
— Dans
I, 96,
18: ~S
signifie très-souvent unpont
de pierres, formé d'arches; voyez Hamaker Fotouh
le sens de chaussée, digue, levée,
le pl. est aussi
1.,
~*j O
Bc, Amari 616,
617, 1. — Poutre, Hbrt 191 (—j~->), sommier,
7 et dern. VI c. a. p. et y r. accabler quelqu'un de, Payne
XI, 479, ~CI , ,
Ztschr. n. 5 ~(^>), avec le pl. ij),.-:?".
r
Gl. Abulf.
(voyez).
aunée (plante médicinale), Bc.
~~ML>-
~i PI. ~? a le sens de ~- o- voyez ce
.t~~J relief, ouvrage
O - relevé en bosse, Bc. — T.
mot. Pour adoucir la prononciation, on dit aussi
de chimie, corporification, action de rendre le corps
)L.:,: (voyez).
aux esprits, Bc.
,t-~—~-~ reliefy
en
« des figures en relief,
les 1001 N. I,
bosse, Bc,
»
en
Prol. II,
,
~L~*~~
formé
par la parabole; ~aUwit (j~L~S ~rJr- stéréomé- et
sens que je viens d'indiquer - et ~jLÎo- (pl. ~^JL>)
ce dernier mot est expliqué dans une note
e
»
trie, science de la mesure des solides, Bc.
~L
»
- 7 (les voyelles dans A),
*~• ~sLS*»
traduit avec raison : «et
où Sontheimer
désignait un hameau ou village. Dans une donation (lisez ainsi avec le man.).
faite par le même monarque au conseil de Séville,
qui a été publiée en 1630 par Espinosa, Historia de
9 1
~«•»~oT
.:. voyez Lane; un exemple chez Chanfarâ
dans de Sacy Chrest. II,!<**o, 4 a f.
Sevilla, t. II, fol. 16 v°, et en 1851, comme si elle a -1
eût été inédite, dans le Memorial hist. esp., t. I, satirisé, Diw. Hodz. 259, vs. 2, 1. 6 et 7.
i
(Macar Alcorahi, 1. Machar Alcorachi, .*i!~), IV voyez sous la Ire.
fol. 5, col. 2, 3 et 4, fol. 6, col. 4 où il faut changer V s'exposer à des inconvénients, des difficultés,
Malharapcadi en Macharalcadi, UeLiLi t~t
fol. 9,
p. e.: je me rendrai vers vous, ~(jvj \<~-~ ~y*i
col. 4, fol. 10, col. 1, fol. 16, col. 2 et 3, fol. 24,
~aU', ~-t~ «dussé-je m'exposer à des inconvénients
oS >
col. 4. Le mot a le même sens que -VIN (en marchant) entre la boue (de la route) et l'eau
car on lit chez Becrî 153, 11: &A~j C-I!, ~oJb (qui tombe du ciel),» P. Macc. II, 520, dern. — 1.
C. a. r. supporter, souffrir avec patience, P. Tha'âlibî
i. ,
342, ~U)*~J «il feignit d'être (il se
158, n. 4, on trouve K.A~l ---, avec un ghain, dans donna pour) un médecin.» — Incitel., pousser, exciter,
le sens de planisphère. Aie. (incitar). — C. p. et acc. r. confier une chose
vulg. pour M.
à quelqu'un, la commettre à la fidélité, au soin, à
l'habileté de quelqu'un, Abd-al-wàhid 82, 2 a f.:
YII vulg. pour ~sc-j!, M.
4:
*
X demander, exiger une récompense (?), Gl. FragM.
Epithète d'une espèce d'or, Auw. I, 578, ~jJLi. Le pl. ~JUsH, Abou'l-Walid 409, n. 92,
Payne Smith 1421. - Même pl. imposition, impôt,
j;
tribut, Aie. (imposicion). — Forfait, traité pour un
ouvrage à un prix convenu, Aie. (destajo a hacer).
ralmente)
peine pécuniaire, amende, Aie. (pena de dinero).
peine, chdtiment, Aie. (pena gene-
~J»*» pl. JL<t>!
jugement, sentence quiprononce une peine,
1ÚLki- nom d'un instrument de musique, Khallic.
IX, 37, 7 a f. C'est une espèce de masse ou de
sceptre, auquel sont attachées trois cymbales, qui
produisent une sorte de musique quand on les met
Aie. (censura el juyzio); peine pécuniaire, amende, en mouvement; voyez dans les dict. persans ~qUL^»
Aie. (pénal cosa de dinero). — Ver luisant, L (ci-
ces propres à former les pierres, Bc. ~Le ~v-Â>, Badroun 177, 14 et 15, dans
~tj~
) salaire, M. le sens de: Dieu a décidé ce qui arrivera, — Dieu
sait ce qui arrivera, je ne puis pas encore vous dire
Xe~~JL>. pl.
~<~'Jt~ géographe, Bc,
cheveu, Voc.
~-.
«lignum
Ce qu'on appelle en hébreu ~roano, c.-à-d.,
duplex, cui collum, manus pedesque captivi
ita inserebantur, ut curvus sedere cogeretur et neque
M. collum tollere, neque manus pedesque movere posset»
O # même
~!-jL->. (Gesenius), se nommait en Espagne \~a—>-, Aboul-
w
sens, M, et géographique, Bc. Walîd 781, 22.
X~!j~- et ~LsLà» géographie, Bc, M; comparez Ks~-
nom d'une plante, Jacquot 183 (jeffa, sans
autre explication).
J~JL~ ,j~~ tripes, nom d'un mets, Mehren 26.
OïlJL>. u\.i::- un dérangement dans le
&cLe~
,
268,
veut que dans un passage d'un livre sur l'art mili- III, 315, 2.
taire, le mot %-à4W désigne: des pièces de feutre,
~slo «(pourtour, circonférence) plaine,» Prax R.
d.O.A.VII,261.
bien rembourrées, dont on doublait les cuirasses des
& s écheveau de coton, M.
,
cavaliers et les caparaçons des chevaux.
%-àW spongieux, plein de petits trous comme l'é- en parlant d'un homme, l'opposé de 0
ponge, Aie. (espongiosa cosa).
~L~a~. (du pers. <J~Â~. ~«courbé, incliné?»), que Freytag J~S~ I, n. d'act.
-
s'ébrouer,ronfler par frayeur,
a noté comme le nom d'un instrument de chirurgie, souffler avec force, en parlant d'un cheval, Bc.
mais en doutant de la leçon, est bon; on le trouve CI dans le
IV. ~JUo-t sens de terreur, Maml. II, 2, 146.
comme le nom d'un instrument dont se servent les a
jardiniers,chez Auw. I, 639, 6. L'édition porte en xJLsus»- est donné dans le
~ouail sens de fuite par Qua-
cet endroit (sic); mais dans le man. de Paris tremère Maml. II, 2, 145. Je ne sais si ce terme
lit, selon Clément-Mullet, SUA-ÂJL, et dans celui
on
trouve a ce sens dans le premier passage qu'il cite, mais
*
de Leyde je Il parait que cet instru- dans le second il semble avoir plutôt celui de frayeur,
ment est identique avec celui qui, à la ligne 3, est indiqué par Lane.
appelé un ^UU^e, «un instrument ou une pointe
de fer mince. » — K~JLaj fusil à deux coups, Bc. ..f,1 taille, bois pour marquer par des entailles
~L~A~, pl. ~oli>
ou
~tèipalissade, Mong. 287 b,
ce que l'on fournit ou reçoit, Bc.
Amari
288 a, 207, 10, Athtr XII, 4, 1. 3 (en pu- Berb. I, 429, 10, ce qui signifie: tous les habitants
bliant le même passage, Amari 313, 3, faute d'avoir de la ville, sans distinction d'âge ni de rang.
connu la note de Quatremère, a donné une mauvaise
leçon; Fleischer, dans l'Appendice d'Amari 30, montre
J~>- ombrageux (cheval), Bc.
aussi qu'il ne l'a pas connue), Amari 338, 2 (où il peureux; ombrageux (cheval), Bc.
—
faut lire j^Lsil).
~al«a On donnait le nom de ulzàg à deux pages ~JJ»>) XJLa~,
à tort et un fugitif, un émigré, Maml.
roux, vêtus d'une robe de soie jaune, avec une bor- II,2,145.
dure d'étoffe d'or, et un bonnet de même étoffe.
Ils étaient montés sur des chevaux blancs, qui por-
taient un ornement de cou semblable à celui qui
-
XIOUÀ.> pl. coup dans l'eau, Aie. (çapatazo en
•
parait le cheval du prince, et précédaient le sultan el agua).Sur l'origine voyez Simonet.
dans ses marches solennelles. Us tenaient des bandes C)*---
II clignoter, remuer fréquemment les paupières,
d'étoffes d'or, dont les extrémités enveloppaient le
Aie. (parpadear con los parpados). — Mettre dans un
prince, dans la crainte qu'il ne se rencontrât quelque
trou qui fit broncher le cheval du sultan, Maml. I, vaisseau (~-t->),
CI
embarquer, Amari 175, 7 (bonne
1, 135. correction de l'éditeur).
(paupière). En chirurgie ~-~\J! est ce quitter, notes de Fleischer sur Macc. II, 77, 11, dans
les Add. et Corr., et dans les Berichte 273-4. Les
qu'on appelle -~~J, c.-à-d.:. couper une partie de la
Arabes disent, comme l'a prouvé Fleischer: s~~JL~
O
paupière supérieure quand elle a trop de cils, Gl.
Manç. in voce (voyez le texte sous ~J-a.+£.ï). — Pl.
~moi; paupières ont abandonné le som-
.La->! et ~navire
>
y vaisseau, Gl. Bayàn, Gl.
>
» .L&>!,
meil,» quand nous disons: .le sommeil a abandonné
mes paupières;) on peut donc prononcer chez Macc.
II, 195, 7, comme le veut ce savant (dans les Add.
Djob., Voc.; on dit dans le même sens <~~!j<J!
Amari Dipl. 34, 2 a f. — L'enceinte, l'espace qui est et Corr.) : 1
~pUIt mais ~pUit, comme j'ai
~La>;
fait imprimer («le sommeil a abandonné mes pau-
clos, entouré, d'une ville, Edrîsî, Clim. V, Sect. 2:
pières» )
est bon aussi, car on trouve dans un vers
Prol. III, 398, 13: ~jJ! ~N.> ~La>; le dhamma est
la ville, Abbad.
- II, 6, dern. - 1., 24, 11, 174, 12, dans notre man. 1350, et sans doute le poète a pro-
187, dern. 1.; ou l'enceinte d'un château, d'une for-
noncé ainsi, car autrement il aurait écrit \~Jo. -
teresse, l'anonyme de Copenhague 48: q* .; On dit oisyt
- Lâ_> dans le sens de ~ju£ > ~Li.::-
ijï>\JLj! (chez Freytag et Lane) , 1001 N. II, 101, 5.
— Blâmer, Voc.
II (cf. Lane) signifie réellement, comme l'a dit
Golius: iniuria affecit, duriter et inique tractavit;
traiter quelqu'un durement, Bc; ce sens est classique;
-j~!< ~t44 1^**' — Ville, par opposition à la
~JJ
forteresse, au château, qui la domine, deux passages
on le trouve dans un vers de e. - il cité Khallic.
#
d'Ibn-al-Khatîb, cités Abbad. II, 6, n. 22, Abbad. I, S
136, 2 SI., où le man. de Leyde porte ~-a—~\j;
~,ss
~IgAAAaib ~&i><
- Espèce de chaussure
.,j>Û. aussure rustique
rustique
couverte de morceaux de laine, Sandoval 312.
voyez aussi Gl. Mosl.
III traiter quelqu'un avec rigueur, maltraiterj ru-
doyer;¿¡L:::-- être cruelle, parlant d'une maîtresse
en
qui est cruelle pour un amant, Bc.
K~a~ (cf. Lane sous pl. ~olk: (aussi Saadiah VI se déranger, changer de position, Becrt 159, 4.
~C. r. se détourner de, s'abstenir de, Macc. I,
,
—
ps. 78, vs. 47, ps. 105), selon le Most., sous ~rï-sl 55, 11, 75, 2, 634, 2, II, 164, 8, 273, 4, 434, 12,
le synonyme de ce dernier mot (de même Abou'l-
Walîd 143, 11), signifie souche de vigne, Auw. I,
13, 1. 13, 182, dern. 1., 183, 3, 185, 23, 186, 4,
12 et 13. On dit v_AÂJtM r~:" la vigne en souches, I, 160, 16, 229, 6, Berb. II, 64, 8, 128, 8, 316,
par opposition à ij&JLftJt, la vigne montante, ibid. I, 7 a f., 318, 13, 323. 5, 334, 2 a f., Amari 687, 8.
185,20. Freytag donne l'explication: «scu- Quelquefois: ne pas vouloir, Abdart 58 v°: j'avais
— Comme
tella lignea,» je ferai observer que cette espèce de loué une maison à la Mecque, mais elle était encore
plat n'est pas toujours en bois; Daumas Kabylie 203:
~f, ~L7= ~if ~-I-
,
occupée par des Tunisiens,
«djefana, énorme plat en terre;» Ibn-Iyâs 386: ~^JLb
~Ji L~A& K~&~
- Pl. ~olk:, vaisseau de guerre, Bc
,
(Barb.). -
Nom d'une plante, Carotte Géogr. 137,
gymnocarpos decandrum Desf., Prax R. d. O. A.
stenir de faire du mal à quelqu'un, de le molesterr
de lui nuire, Haiyân-Bassàm 111, 50 ro: ~Sjâ&t ~L~\X&
VIII, 282. OySSJL* XJbiXt ~<~!~ ~>T~3 P.;.g (leçon de B, A
naval y Aie. (naval). I,
mais la Ve forme n'est pas en usage), Berb.
105, 9, 524, 5 a f., II, 103, 7 a f., 295, 3 af.,
~Ale. a. se détourner de, s'éloigtter de, abandonner, Macc. II, 63, 2 a f.; - ~mS ~AL il s'abstint
de lui ôter la vie, il épargna sa vie, Berb. I, 597, ,,-°-
10, II, 22, s'éloigner de, orner, Voc.
9. — C.
~if quitter, aban-
donner, Berb. I, 649, 14, II, 181, 12; .<~.W~~
O
••• # (turc jAÀiûç-,
o
ou mieux ?L:rr) pantalon de
j,jag ~gVJLt «il abandonna la possession de la capi-
tale, il renonça à la possession de la capitale,. Berb. drap, Vêtem. 121-2. Comparez Jrs..iÑ.
I, 657, 3 a f.; ~ce ~àL;Ë «il renonça au pou-
voir, il abdiqua,» Berb. I, 620, 6 a f. — C. J p. II Voc. sous cicada. — En parlant du chacal
et ~if r. céder quelque chose à quelqu'un, Bayân II, marcher avec peine pour avoir trop mangé, M.
283, 11, Berb. I, 552, 11, 581, 11, 583, 3, 595, JjL>. (pers. jJLii) chacal, M.
10, II, 98, 10, 124, 4 af. et ailleurs, Bat. III, 340.
— C. r. avoir de l'aversion pour, Berb. I, 367,
à
~Y-Ji *(roman), en Espagne, cigale, Voc., Aie.
cheval, M.
fabricant et vendeur de couvertures de
«Des graines de
Richardson, Sahara
le sens de ce mot.
I,
»
boue, limon, Mehren 26.
JJL~
qu'il faut lire, au lieu de
~,
embonpoint excessif, Aie. (gordura).
~)JL> est aussi un adjectif, grave, formidable,
~~L~, P. Berb. I, 337, 4 a f. (car c'est ainsi
P. Abbad.
II, 51, dern. 1. — Clarine, clochette pendue au cou
des animaux, Bc. — Selon Marmol III, 5 b, gelel
signifie: de l'or très-fin.
Bc. -
altérée.
naturaliser une plante exotique dans un pays,
(sic) ~,
Mêler? R. N. 100 vo: a)DL-6-M X.<=~~ «JL-~
II sauter, franchir,
mais la leçon est peut-être
J~L>. Cf. avec les dict. Abou'l-Waltd 134, n. 86: 1001 N. Bresl. II, 180, 7.
dans le sens de la Ire,Voc. (aportare). — C.
IV
faire des incursions dans, Berb. I, 12, 52, 60,
jt~L->-,
1 pl. de dans la langue classique, est 68, 79 etc.; aussi c. J., ibid. I, 137. — C. r.
un sing. dans la langue moderne, couverture en laine s'emparer de, se rendre maître de, Gl. Belâdz.
plus ou moins ornée de dessins, très-large, très- V. Lane a déjà observé que la signification attri-
chaude, et enveloppant le poitrail et la croupe du buée à cette forme par Golius ne se trouve dans
cheval; — ornement de soie que l'on étend sur la
aucun lexique. Le fait est que la Ve forme n'existe
croupe des chevaux aux jours de fête; — bardelle, pas du tout. On la trouve bien dans l'édit. des Berb.
sorte de selle de toile et de bourre, Gl. Esp. 278. et dans celle des Prol., mais c'est une faute pour
J~JL->- pl. J~L> charnu, gras, Aie. (carnudo o t~JL~ (voyez), avec le hâ.
carnoso, gorda cosa). — J~JL~J! .r<wJ' de grosses VII s'assembler, se réunir, Gl. Edrisi, Djob. 122,
pierres de taille, Becrî 17, 8, 47, 4, 52, 14 et 15,
56, 9 et 10, 143, 2 a f., 145, 3 a f., où de Slane
remarque: « Nous savons que les anciennes construc-
tions de cette ville sont en grosses pierres, réguliè-
rement taillées.» — Solennel, pompeux, Bc. — Glo-
rieux, qui jouit de la gloire céleste, Bc. importation de marchandises, Bc. — Faire venir
quelque chose d'un autre endroit, Nowairt Espagne I, 305. —~
Domb. 58; mais voyez sous la--..
onzième mois musulman
* vulg. = L.t.1:> M.
magogue, remède pour provoquer les règles et le flux celui qui importe des marchandises, p. e.
hémorroïdal, Bc. des drogues, dans un pays, Bait.
, I, 191 a (r.145
et de 1
X attirer, Voc. — Attirer, gagner par des bien-
faits, Maml. I, 1, 198. — Dans le sens de '~JL~.
(voyez Lane sous la Ire forme),
s'attirer (comme on dit: s'attirer une méchante affaire),
s'exposer sans nécessité à une opération dangereuse,
»y£>), 205 b (jJ 0y£&) marchand, Gl. Edrisi,
particulièrement marchand d'esclaves, ibid. — Nom
d'un vêtement qui s'appelle proprement ar.-
(voyez).
Gl. Fragm. — C. J se laisser attirer vers, Ztschr. ~~L>- l'eau dans laquelle on a laissé tremper les
XX, 491, n. 1: /~:> ~JL~t9. — S'appro- raisins secs, M.
prier, Djob. 76, 10. Xj~L>
nom d'un vêtement qui s'appelle proprement
étranger, que l'on tire du dehors, Bc. — (voyez).
Le pl. ~~L>t (cf. Lane) marchands d'esclaves, Noti- Kj~~)L>. doit signifier, soit un vêtement que portent
ces XIII, 287. — Onzième mois musulman, Roland;
les "-:l\i..;-, les marchands d'esclaves, soit un vête-
mais voyez sous - Grande cérémonie chez les
ment que ceux-ci font porter aux esclaves; si cette
nègres d'Algérie, décrite par Rozet II, 145 et suiv. dernière explication est la véritable, on peut com-
41.::- jalap, racine purgative, Bc.
parer l'esp. esclavina, qu'Ale. traduit par X~L> et
traite, transport de marchandises d'un pays qui signifie robe de pèlerin, mais qui, dans l'origine,
à un autre, Bc. — Pl. <~JL>, bande, lien plat et désignait un vêtement dont les Slaves, ou les escla-
et ~,
large de fer, Bc. — Cerceau, Bc. — Pl. ~L>-, ~-JL>-
grande barque ou gondole, faite de plan-
ches jointes avec des cordes de fibres de cocotier;
ves, faisaient usage (cf. Ducange, v° sclavina, et le
Dict. de l'Acad.esp., v° esclavina). Dans le Voc.
A-o"bî> est
capa. Chez l'anonyme de Copenhague 114:
on en fait usage dans la mer Rouge, Gl. Djob., Bat.
II, 158, Gl. Esp.276. — Nom d'une drogue, Descr.
de l'Eg. XVII, 394 (galbah), probablement jalap, L~Jb~-~-! uJ-Zc. Selon les voyageurs, c'est une
chez Bc et L~L>. sorte de chemise ou plutôt de sac, fait de laine ou
de toile grossière, et que l'on porte ordinairement
~JL>. espèce de datte, Burckhardt Arab. II, 213.
sur la peau nue. Il est brun, ou à raies brunes et
~JL~. (turc). ~dégoùté, difficile, délicat, Bc. blanches, ou noires et blanches, et il n'a point de
(cf.LanesousQUJL>>),n.d'un.»,haricot, manches (d'autres disent qu'il a des manches courtes
et étroites) , mais des trous en haut et aux côtés
Aie. (fasola legunbre). — «C'est une espèce de gesse pour y passer la tête et les bras. Il descend, soit
(lathyrus sativus), que l'on sème, comme le trèfle et jusqu'à la ceinture, soit jusqu'aux genoux; il est
le fenugrec, sur les terres que l'inondation a couver- garni d'un petit capuchon, et c'est l'habit des pauvres
V
tes,» Descr. de l'Eg. XVII, 88.
(pois) est la forme qu'on trouve dans le
Voc., qui donne le n. d'un. X et l'expression
une légère altération de
X
dans le nord de l'Afrique. Voyez Vêtem. 123, 1. 19
jusqu'à la fin de la p. 124, car les passages que j'y
~;
ai cités se rapportent à la et non pas au
ibid. p. 119, où le gerivia de Marmol est
prononcé à la manière
(jS~-~J!.
- Dans l'Irâc épeautre, J. A. 1865, I, espagnole (Aie. écrit gelibîa et l'on trouve chilivia
dans la Miss. hist.); ailleurs (II, 148c) le même au-
200,201. -
L~L> jalap, racine purgative, Bc. teur écrit giribia, et chez les auteurs portugais on
trouve aussi un r, au lieu d'un 1 (algerevia, alge-
,. X~L~ un troupeau de gazelles, R. d. O. A. N. S. ravia, aljaravia; voyez Sousa, Vestigios da lingot
Arabica em Portugal, augment. por Moura, 46); Jack- où il faut lire de même avec le man. A. Ailleun,
(
son Timb. 200 n. (jelabea); Davidson 12 jelâbfyah) ; II,57 f, Bait. dit que c'est le synonyme de ^vrtrrr
Buchser. C'était dans le Maroc le vêtement des escla-
ves chrétiens, Miss. hist. 71 b, 73 a, 360 a
etc., 614 a. ~., et Sonth. traduit cerbera mangha. Enfin Ibn-
al-Djezzàr (in voce) croit donner le nom esp.: Y"4--çIU4
K~L>-,
Ce mot a été altéré en car Shaw (dans mes
Vêtem. 123) écrit jillebba, et Daumas, Sahara 47,
242, Mœurs 370, djellaba. Chez Carotte Géogr. 109
J~L>- pl. J~-~L->. balayures, crotte, boue, Aie.
on lit que la djellaba est la première blouse des
Touareg qui en portent trois. «Elle est,» dit-il,
,
(cazcarrias).
«rayée de blanc et de rouge, brodée en soie verte;»
9
cf. ibid. 217, R. d. O. A. N. S. X, 538, Jacquot 207, loriot, bouton à la paupière, Bc, M.
Jackson Timb. 29. Enfin ce mot a été altéré encore
davantage, car on trouve aussi ~L>-. Le Dict. berb. ~~L~JL>. est, selon le Most. (v° ~), un mot
donne: chemise de laine et petite chemise de
;
indien qui signifie coriandre (?j*j3)»
- Sésame;
mais
on donne aujourd'hui d'autres voyelles à ce mot; Prax
laine De même chez Lôwenstein 128 (gelab).
R. d. O. A. VIII, 345: «djeldjelan, le sésame; on
Hay écrit aussi ordinairement gelab (p. e. p. 3), mais
une fois (p. 53 b) jelabea. Voyez aussi Barth IV, 449.
fait du nouga avec du miel et du sésame ;«
gilgillân
chez Lyon 273 («a amall peaa); «djeldjellâne, espèce
<~JL->. celui qui importe des marchandises dans un »
de millet, R. d. O. A. N. S. V, 231. Chez Niebuhr
B. 142 n., qui explique djildjyldri par «sésame in-
pays, Müller 10, 4. dien,. il faut lire djildjyldn. — En Espagne aussi
cabriole, saut léger, Bc. cette espèce de condrille que les Grecs appelaient
sesamoidesmicron, Gl. Esp. 146. — Chicoréesauvage,
s-jL~* fouet, 1001 N. Bresl. I, 179, 13; cf. Flei- Bc. — Ce qui chez Freytag est ~>..j~L~JL>-,
scher Gl. 84 n. Comme les Coptes en ont fait TfcxKhafii, est chez Bait. I, 254 d (AB) ~~JL>.
on semble avoir prononcé 1 animosus fuit, Payne Smith 1352. — BAsim
"':-'# exotique, étranger, Bc.
~JL~JLa pupitre, Bc, mais sous lutrin c'est KJL~J~e. bie du récit montre que ce verbe doit signiner em-
~Lji~ castagnette, pêcher quelqu'un de travailler, d'exercer son métier.
Bc.
jiâaJb» chauveté, Bc.
!!f~)~ poisson du Nil chez Edrisî, mais chez Cazwtnî
1 être ulcéreux (paupière), M.
on trouve ~JL>-, Gl. Edrîsî.
gAâfc I, plus ordinairement II, aiguiser, M.
& pierre à aiguiser, M.
J.~J->. le petit d'un oiseau avant qu'il ait tout son
<~M~ I,
plumage,M. en parlant d'un nourrisson, épuiser le lait de
la mamelle (iXJL^ut J ~)t M.
«semen fruticis spinosi dicti, cuius radix II couvrir de cuir, Voc., Aie. (encorar), Gl. Fragm.;
,
nomine nota est»). Selon le Gl. Manç., SjJLs~
le 066î.J--.. (sic) est une plante inconnue au Maghrib, en parlant de tours de bois employées dans les
siéges, Mong. 134 a; Quatremère pense que c'est:
et la divergence d'opinions chez les botanistes maghri-
couvert de cuir bouilli (imperméable au feu). — Cou-
bins prouve que cet auteur a raison. D'après le Most.,
c'est le. .~LJ! j.r=:- (article sur ce dernier mot), et
vrir de croûte une tourte, un pâté, etc., Aie. (en-
costrar poner costra). — La signification donnée en
dans l'article il dit que c'est artichaut. Chez
dernier lieu par Lane, comme celle qui est aujourd'hui
Bait. I, 252 c, qui donne toutes les voyelles, Sonth.
traduit reseda mediterranea; cf. I, 370 b à la fin, en usage, est aussi dans le Voc.: confortare =
— Geler, endurcir
par le froid, Bc. — Prendre, se Mûller S. B. 1863, II, 35, 1. 12, est une manière
geler, Bc. — Se racornir, se retirer, se durcir, Bc.
d'écrire défectueuse, pour a~L>..
V patienter, attendre avec patience, 1001 N. Bresl.
IV, 40, dern. 1.
— Etre couvert de cuir,
Geler, se geler, Bc.
Voc. — ~cutané
m CI y de la peau, Bc. — Coriacée, qui
d'où elle tire son nom. Les Turcs et les Arabes s'en
les peaux, Bc.
servent en voyage; ils dissolvent cette pâte dans de
l'eau et la mangent comme une délicatesse avec du bourreau y Bat. III, 218, 1001 N. II, 689,
pain ou du biscuit, »,
Burton 1, 191; Bat. I, 186,
III, 425; les traducteurs de Bat. rendent ce terme
691.
Voc.,
- Peaussier, artisan qui prépare
Aie. (pellegero que las cura). — Marchand
les peaux,
de
par pénis du cheval (en forme de saucisse); je crois peaux, 1001 N. I, 258, 4 a f.
que c'est bon (cf. Lane) et que Burton a entendu s~~- fouet,Voc.
cette expression de la même manière; mais au reste
la pâtisserie dont parle Bat. se compose d'autres in- séant à un homme d'un caractère ferme, P.
grédients, à savoir de suc épaissi qu'on fabrique avec Aghâni 62, 4.
-
les raisins, de pistaches et d'amandes. (jJ-~\Jj< J~JL~ cristallisation y Bc. — Couverture d'un livre,
I, 356. - ~,
nom d'une grande fête dans le Darfour; voyez Browne
nom du onzième mois musul-
man, lequel a été appelé ainsi d'après la personne
Hbrt 111.
reliure
J~L~e (vulg.
y manière dont un livre est relié, Bc.
vAirf*) fouet, Fleischer Gl. 84 n.
qui, pendant ce mois, parcourt les maisons couverte pour
de peaux crues et avec des cornes au front, Hœst <~JL~'
» couverture d'un livre, Hbrt 111.
251; mais Roland nomme ce mois ~, et Domb., coriace, Bc. — Volume; le pl.
struit avec des noms de nombre masc., Gl. Abulf. —
se con-
<~Jb- le firmament, Saadiah Dans les Prol. III, 4, 1, où on lit que la doctrine
d'un
ps. 148. — Nom des Dhâhirites a disparu du monde et qu'on n'en
animal à cornes, grand comme un veau, Burckhardt
trouve plus rien excepté dans les at~JL~JM <~-X~J!,
Nubia 439.
tiS1?-
«les
de Slane (trad. III, 5, n. 3) lit avec un man., l'édit.
,
coup de fouet, Bat. IV, 52, 1001 N. I, 52, 6. de Boulac et la traduction turque, li-
* bourse à tabac, Bc. — ajJL> nom vres reliés,» c.-à-d. ceux dont on ne se servait plus,
car les livres qu'on étudiait dans les écoles étaient
d'un mets, Macc. II, 204, 8. -
Le vulgaire dit
y
dans le sens de fermeté force, etc., chez
Le n. d'un. i, Voc., Ale. (avellana). comme le prouvent le témoignage d'Alo. et l'emploi
0
.~JL~. # ## gendarmerie, Bc, et le pl.
Le pL 5DU--?» de la Ve forme (voyez), au lieu de comme
est aussi ~,Abou'l-Waltd 407, n. 48. on lit dans l'édit. — w 9 u**L>. les œufs des vers
à soie tardèrent en partie à éclore, M.
.jL~e celui qui récite les excellentes actions des
IV introniser un évêque, Bc.
Compagnons du Prophète dans les mosquées, M. V toucher, donner contre un Icueil, sur le sable,
Lei--- 1 être prêt à recevoir des visites, R. N. 88 ro: en parlant d'un navire, Bat. IV, 186. — Etre en
bon état (affaire), M.
monter sur le trône, Bc; de même LML- seul, p. e. K~<JL~ est ce qu'on appelle un «nom d'une fois,»
et ~~ti~ est l'action de s'asseoir du khattb
en parlant d'un usurpateur, 1001 N. I, 80, 8:
entre les deux parties de la khotba. Comme elle est de
; très-courte durée, on emploie proverbialementcette ex-
est proprement s'asseoir en se tournant vers quelqu'un, pression pour indiquer un moment très-court, un instant,
Gl. Badroun, de Jong, Gl. Belâdz., Bat. II, 86 (deux
fois), Khallic. I, 178, 20 SI., IX, 132, 4 Wüst.,
Amari 652, 6, Cartâs 77, 10, J. A. 1849, I, 189,
~, Macc. II, 312, 8 (cf. 1. 5), 426, 12 avec la
note de Fleischer Berichte 48-9. — Session, séance
7 a f.: U.L->., en parlant du sultan qui donne d'un corps délibérant, Bc. — Leçon d'un professeur,
audience à ses sujets, Mohammed ibn-Hârith 239 : Macc. Introduction, p. c, 1. 8.
— Droit d'occupation,
;
Ht; Dareste 130: «Le habous est de sa nature ina-
liénable mais si l'immeuble dépérissait entre les mains
de l'usufruitier, si la ruine des bâtiments était immi-
nente, sans que le possesseur actuel pût faire les
dépenses exigées, la vente, ou plutôt l'aliénation avec
57 rO, en parlant de deux docteurs:
J
(j~JL>! <~
9
un titre spécial, était décidée et autorisée par une
délibération du midjelès (réunion du mufti et des
s'asseoir pour dîner, Gl. kadis). Le contrat de vente qui intervenait alors au
— C. r. U.-L-à.
Badroun, lP')"i' u~ s'asseoir par terre, ibid. — profit d'un tiers portait le nom d'ana [~Li&] ou djelça*
C. Chec. 187 e: a j-xJLjI
«il fut sept jours sans aller à la garde-robe.»
'J~-?' Il emportait obligation pour l'acquéreur de faire les
améliorations exigées et de payer à perpétuité une
rente annuelle qui prenait la place de l'immeuble
II asseoir, M, Voc., Aie. (asentar, asentar a otro), dans les transmissions successives dont il pouvait être
l'objet, et continuait de grever la propriété dans
quelques mains qu'elle résidât.»
~XXjM (Banqueri: «aquella tierra, la quai apretada
y asentada regularmente con la mano;» Clément- LyCL->. avènement à une dignité suprême, Bc. —
Mullet: «tout étant assis d'une manière stable et de v_Àiûwf UT)~' intronisation, installation d'unévêque,
«
niveau»), 688, 3. - ~jta~ • installer, mettre
en possession d'un office; gwuJUF1' intronisation,
installation d'un évêque, Bc. — Verser d'un vaisseau
semblée
ur:.1
,.;.,
Bc. — Séance, droit de prendre place dans une as-
Bc.
sous Kj~JL~. — Palais, Yoc. — La salle où un pro- leurs meilleurs chevaliers; mais LJL~-~
fesseur donne ses leçons, où il fait un cours, Macc.
I, 473, 6. — Leçon d'un professeur, et ce qu'il dicte
pendant une leçon, Macc. I, 244,21,245, 11, Khatib
< reposé, p. e. en parlant d'eau qu'on a laissé
reposer quelque temps parce qu'elle était trouble, Aie.
(reposada cosa como agua).
)j«JL~<, à la cour de Maroc, celui qui a le droit
~, CI
-
Lane M. E. II, 212. — Le pl. ,j<~JL-~ les ou espèce de carpe, Seetzen III, 496,
,
1
—~L~J! .~j. - Titre, certaine qualification que l'on II est dans le Voc. radere, avec la note: enpe-
1
donne par honneur, comme nous disons Son Excel- guntar (marquer les bêtes à laine avec de la poix)
lence, sa seigneurie, p. e. en parlant d'un ambassa- ho (ou) espalmar (chez Victor: «espalmer, c'est donner
deur, Rutgers 167, 13 (cf. 172): une couche de suif au bas du vaisseau par dehors,
afin qu'il glisae et coule mieux sur l'eau;» à peu
(j&~<L<>., de même Amari Dipl. 219, 1; en parlant
près de même chez Nunez; mais selon le Dict. de
d'employés du gouvernement, XjuqLmJI ibid. l'Acad. française, espalmer signifie: «nettoyer, laver
214, d'un négociant, ibid. 212, 2. — La dernière
la carène d'un bâtiment, d'une embarcation, avant
dans le Gl. Manç. (in voce)
_31rJ
: H'iAsS
signification que donne Lane est bonne, car on trouve
malentendu. — r
cuation faite en une fois;» mais le sens de «latrines,»
que lui attribue Freytag, repose, je crois, sur un
u~L~t la partie de la selle
sur laquelle on est assis, Macc. I, 231, 1 et 4. —
réunion de savants qui discutent, Macc. nant,
XLtL>.
caillé,Bc.
pl.
M. sous
caillot, masse de sang
j
Xc~b~ strasse, bourre ou rebut de la soie, M.
371-2; ajoutez Edrisî chez Bait. I, 408. qui dit en
V semble être en usage; Haiyân-Bassâm I, 143
ro: il fit pour la seconde fois le pèlerinage de la \Ju~>.. Dans Berb. I, 502, 2, on trouve un duel
: Mecque malgré le mauvais état de sa santé Le-L-03
v_à_Jup mais notre man. 1351 porte correctement
(sic) je crois devoir lire et
traduire: «et quoiqu'il eût fait de grandes pertes
d'argent.» — Dans le passage Amari 121, 11, il ne
voyezsous
faut pas lire ~L.~, comme le propose l'éditeur, mais
*
K~JL> altération du mot turc
,
g.VjL>
,
(voyez), 01.
; voyez sous y_âJL> Y. Esp.291.
\~aJL>-. Tristram 341: «Les récoltes sont ici très-
précaires par suite de la sécheresse, et les Arabes
les appellent djelf, ou champs abandonnés à la grâce (ciseaux), le pl. Voc., Bc.
de Dieu» [?].
n. d'un. S, Abbad. I, 89, n. 86. )u-Wl
xâJls», grumeau, portion de sang, de lait caillé, est le balaustrier ou grenadier sauvage, le grenadier
Bc (sans indication de voyelles). à fleur double qui ne porte point de fruit, et jUJb»»
~L~-
- 6 excellente race de chevaux qui tire son est la fleur double de ce grenadier, Bc, Auw. I, 280,
14 et suiv. — Tournesol, Aie. (tornasol yerva) qui
origine du Yémen, Ali Bey II, 276 (djelfé; cf. le
dict. persan de Richardson).
~ajL> yelek à longues manches, Lane M. E. II, 95. (jjj~ (voyez), Gl. Manç. sous ce dernier mot.
M CI dans le
^àJls» sens de ~,CI stupide, sot, Gl. Fragm.
~~i~, aussi idL. (turc), aigrette d'argent qui
~ajj~>- dans le sens de lolium ~, voyez Bait.
à la guerre sur
valeur, Bc.
le turban,
se porte
comme récompense de la
KJL^JLa lutrin, Bc, mais sous pupitre c'est un passage de l'opuscule d'Albert Bobowski, publié
par Th. Hyde, où on lit: (tgjemgjema vel naalîn, i. e.
~.JuJ~ espèce d'éponges, Pellissier 364 (gelines).
calopodia altiora vel depressiora. »
Dans le Fakhrî,
361, 13, c'est la chaussure d'un homme du Sawàd.
t (les voyelles dans A et B) racines qui
2 1
substantivement,
substantivement, multitude,
multillide, grand
y-rand nombre,
tionibre, viennent de la Chine et dont la forme ressemble un
y
, peu au gingembre. Quelques médecins disent que
c'est le béhen blanc, et la vertu de ces deux plan-
«amas considérable de peuple.» Pl. co-
; tes est en effet à peu près la même, Bait. 1, 259 b
(mal traduit par Sonth.).
hortes, bataillons, Çalât 30 ro: à 5
oVn.g.îC
X~-~t->- réticence, figure de rhétorique, chose omise
> les
— En parlant d'eau douce,
~L<j>-! L9~i~~
«>
à dessein dans le discours, Bc. — Au lieu de K~-~t~>,
poètes disent v-kXxM, P. Macc. II, 184, dern.
crâne, Voc.
1., P. Prol. III, 370, 2 (corrigé dans la trad.). K~-~->- (proprement crdne) cône, fruit des pins,
S J
a dans le Voc. (coma) le pl. ~, pour Auw. I, 285, 7, Most. v° ~j~.J< <.L>: ~.L~
<L~->-,à ce qu'il semble, car la forme du pl. T~ ôîytit Z.,k-r%éfjl ~t~~!. Aussi le
n'appartient qu'à la forme du sing. — Chez Alc. fruit de l'arbre appelé ~,Fleischer Gl. 65, n. **.
ce mot signifie: cheveux du haut du front, toupet jt->L4->- consoude (plante), Bc.
(cabellos sobre la frente, copete de cabellos) et che- — Le pl.
- y o- merle, Hbrt 67 (Alg.).
X~-~->-
veux de derrière attachés avec un cordon et couverts
d'un ruban roulé tout autour (coleta). Chez Ht, qui
r':;:' II Voc. sous efrenis.
i
prononce djemma, chignon de femme. — Touffe, as-
semblage de branches; Lane soupçonne avec raison X-<~>. Dans les 1001 N. 68, I, 8, on lit
que tel est le sens de ce terme, et non pas « bouton,» <âJl3, ce qui doit signifier: une boule de neige, autL»
comme le Kenz al-logha donne à entendre; ce qui ~, comme porte l'édition de Boulac (I, 28, 6
le prouve, c'est un passage d'Ibn-al-Auwâm où il est a f.); mais je ne conçois pas comment X-<=\~> pourrait
question du pin, mais qui est gravement altéré dans avoir ce sens, et comme le man. de Maillet, cité par
l'édition, I, 286, 9—13; il faut le lire ainsi avec Fleischer Gl. 65, n. **, porte en cet endroit X~-~~>.
ce qui donne un sens raisonnable, quoiqu'en-
tièrement différent, je crois que le K-s=~t->. de
l'édit. Macnaghten n'est qu'une qorruption de cette
flocon, Aie. (flocadura). — Fronteau ou frontal, cette (j~J~J! «un homme qui s'élance vers tout ce qui est
partie de la têtière qui passe au-dessus des yeux du noble et qui se révolte (se cabre) contre tout ce qui
cheval, Aie. (frontal de frente cavallo). Le fronteau est vil,» P. Macc. II,543, 11; «il
a reçu ce nom parce qu'il était garni d'une houppe. se laissa emporter par l'ambition »
(deSlane), Berb.
existe encore aujourd'hui, p. e. dans les Etats de l'Imam
ibid. II, 93, 4. - de Mascate, où il signifie commandant, et dans le
Beloutchistan, Maml. 1,1, 11.
refroidir, Aie. (resfriarse).
1 se
sévérer dans, Berb. I, 300, 7 af.
C. r. per- - (pers.
o portemanteau, valise, Be,
l'enchantement est défait, brisé, 1001 N. Bresl. III, 1001 N. Bresl. X, 429.
364, 1. — J~-> être stupéfait, M. il,,.> II embraser, brûler, réduire en braise, Aie. (abrasar).
II refroidir, Aie. (refrescar enfriar, resfriar a otra — S'embraser, M.
: :, cosa). Y s'embraser, Aie. (abrasarse).
V s'engrumeler, se mettre en grumeaux, Bc.
VII se cailler; — se congeler; — a4.:Él figement, —
cristallisation, Bc. #O
s.-t->. Au figuré, ~.*<-4->- ovX*£>, mot à mot:
((leur charbon fut éteint,» dans le sens de: ((ils per-
refroidissement,Aie. (resfriamiento).— Glaçon, »
dirent entièrement leur puissance, Maml. 1, 1, 41. —
morceau de glace suspendu aux gouttières, Aie. (cer- Sur ô'bLiJî ~j-~ voyez Lane; selon le calendrier
rion de caranbano). — apoplexie, L (apo- de Cordoue, la première tombe le 8 février, la se-
plexia). conde le 14, la troisième le 21; celui que Hœst a
iitU> rafraîchissement, Aie. (refrescadura). — T. traduit (p. 252-3) donne la première sous le 7 fé-
de médec., engourdissement général, M. vrier, la seconde sous le 17, et la troisième sous le
21. — Carboncle, pustule, Hbrt 37, tumeurpestilen-
~L<->-. idiâlît dans le sens de XfctffUî
aLb-->.
Abou'l-Walîd 308, n. 59. — Coagulation, Bc. — Suie
tielle, Jackson 281—2; charbon, gros fu-
roncle, tumeur pestilentielle, Bc.
de la cheminée,voc., Cherb.
- -, - chez le vulgaire, qui dit
O
viL-é—> pour
homme turbulent, Mong. 226-7, où Quatremère avoue
qu'il ignore l'origine de ce terme; je crois qu'il faut
-
,3
8^-»—-> refroidissement, Aie. (resfriamiento).
,
~L~->, t. de médec., engourdissement général, M
parenchyme, moelle, pulpe des fruits, des plantes,
1
tiède, Aie. (tibia cosa). — L\~L> qui
Bc; la masse blanche et tendre du chou-fleur,
a.Lt->-
a bon dos, qui est riche, capable de supporter, Bc. — qui sert d'aliment, Bait. II, 361, en parlant du chou-
(enfriadero lugar).
kXé-^Ui. t~t-~e
w remède incrassant, qui épaissit .~aL->, pl. et est dans la lre partie
(
.1
le sang, les humeurs, Bc. du Yoc., où ce mot est écrit ),..=:-, sumitas, et dans
.u O «
mal expliqué par Freytag et par M, qui l'a
copié, est le persan ou ^Ju«l>, et signifie
la 2e, turris. Chez Aie. chapiteau (chapitel). Cf. Bat.
II, 13 (dans la trad. corniche), 406 (trad. chapiteau);
Abdarî 39 ro, en parlant du phare d'Alexandrie:
!.
J sauter (gazelle), Ztschr. XXII, 362, M.
VII est complere dans le Voc.
fém. 8. Je crois que dans le passage des
Fragm. hist. Arab. p. 481, qui a embarrassé l'éditeur
(voyez le Glossaire) et où on lit: «X-»—s?
I, 283, n. 135, Amari 218, 4, où Fleischer a eu
tort de changer en J~c; cette dernière préposition
ne s'emploie pas dans cette locution. — Peut-être y
a-t-il une ellipse de la même nature dans le passage
Abd-al-wâhid 116, 2 a f., où on lit en parlant du Pro-
I,
dans le sens de réunir, assembler, convoquer;
construction incorrecte c. 10.:-'p., au lieu de l'accus., IV, comme la Ire, additionner, réunir, Ht. —
Cartâs 80, 10 a f. ajoute quel-
— Par ellipse (on Cueillir, p. e. des olives, récolter, moissonner, Aie.
(ordenar oomoazeituna,
(ordenar como cogerfruto,
azeituna,coger fruto, encogi- convenir que,» Bc. — son cœur resta
a
miento). — Passer des soldats en revue, Aie. (alar-
inébranlable (de Slane), Becrt 123, 15.
K~JJ se ramasser, se replier sur soi-même pour s'élan.
-
dear). — Rimer, avoir la même consonnance, Ale.
(consonar una letra con otra). — Dans le sens de
1Bc.1
cer, t.t ;--'
dans le même sens que
résoudre d'un commun accord de, on disait ancienno- seul chez Lane («he attained to his full state
of manly vigour, and his beard became full-grown»),
Notices 181, note, 1. 2 (où le man. B. porte aussi:
r.
LjL4->-~; mais plus
p. e. Abd-al-wâhid
E
énergie (cf. chez Lane la phrase 6---- LJN¡iJ\
(gUi.)
De même la phrase ancienne
(très-rarement c. r.), qui a la même
mand sich fassen), Abbad. I, 66, 5 a f. <-tLS-\x~
a.Le~U être assez âgé pour exercer le pouvoir, Berb. I,
-
598, 7 a f. (cf. la VIlle dans le sens de: avoir l'âge
acception, Gl. Fragm., est devenue plus tard:
viril). — C. a. réun-ir, Gl. Belâdz., réunir en soi,
) ) )
J-c ~b~, p. e. Cartâs 34, et même 'Y.'J Berb. I, 599, 3. — C. a. achever, p. e.
Dans le Voc. sous plurale. — Ramasser, rassembler, ses pensées, le recueillement, Prol.
Aie. (allegar algo). — Se détourner de (cf. Lane), S
le même sens que ïU-^iî 5 ibid., 1. 3 et 4. —
t
étaient en garnison à Maroc sans jamais quitter cette
YIII se pelotonner, Bc. — S'ameuter, se réunir capitale, Abd-al-wàhid 248, 12 et 13.
séditieusement, Bc. — Dans le sens de rencontrer
CI,
quelqu'un, faire la connaissance de quelqu'un, aussi coup
~-*->- depoing, L (alapa), Aie. (punadaherida
c. p., 1001 N. III, 12, 8 a f., 39, 1, Tantâwî de puno).
dans , le Ztschr. Kunde VII, 54: ~~uLt~>-! -o ) les cérémonies des vendredis pour
~k~j~ «par l'entremise de Fresnel je fis la connais- lesmorts, 1001 N. II, 467, dern. I., avec la note
C. "':-' p. s'allier, s'unir,
sance d'autres Francs.» — eLtJ~-~ de Lane dans sa traduction, II, 633, n. 3. -
se coaliser, Bc. — confrontation, ac-
tion de confronter des témoins, des accusés, Bc. - le le
vendredi quicomplète
vendrediqui complèteou oit suit suitla
qui qui la pério-
voyez
«• cumulatif, Bc. 5 a f. Pour désigner les partisans de l'unité de
.,)
f17-) ou AJU-S^Î (k>L>} semainier, celui quiest l'empire, on dit: ~L}L Haiyân 1 vO: 1..LÜ'
de semaine pour officier dans un chapitre, Aie. (se-
manero). U.rt!4- Le califat de Cordoue est souvent appelé
y-17- assemblée, cercle, comité, communauté, corps, par opposition à jUXait, c.-à-d. au règne des
petits princes qui, après la chute du califat, se dis-
diète, réunion, société; IXJLJ*.*.»>• commune, putèrent ses débris, p. e. Abbad. I, 220, 4 a f.:
corps d'habitants d'un village, des bourgeois d'une
ville, Bc. — Addition, première règle de l'arithmé-
tique,Be, Hbrt 122.
,
W
<umt->. réunion qui a lieu chaque semaine ou clta- En général, x_eLjï- est l'état d'unité et de paix inté-
vendredi, M.
rieure tandis que est l'état de troubles, de
que séditions; voyez Belâdz. 413, 3 a f., 424, dern. 1.,
<tj~->- espèce de datte, Burckhardt Syria 602. et 425, 1, Fragm. hist. Arab. 21, 4. — !LcL..41 est
particulièrement: la communauté musulmane réunie
XcL~->. Le pl. ~Lt->- troupes, Gl. Abulf. — Sous
le mot A.cLY- on entend les décisions concordantes des pour prier en commun, la communion des fidèles, p.
docteurs musulmans du temps des premiers califes.
Ces décisions sont, pour les orthodoxes, la troisième
source de la jurisprudence, après le Coran et la
Sonna; mais les Chiïtes les rejettent, parce qu'ils
nient la légitimité des trois premiers califes dont les
décisions forment la plus grande partie de la djamâ'a.
<~~J~e
*q
De là vient que la doctrine orthodoxe s'appelle
XJLjMut,
A.c~, m Bat. II, 12, ou simplement K-JL-~-J!
:; .: Dans le Cartâs 124, 8, on lit que les députés de
Séville étaient restés un an et demi à Maroc sans
M.L~, Beert 97, 15, 147, 5 a f., Cartâs 18, 14,
pouvoir obtenir une audience du calife, lorqu'enfin
76, 4, 8 a f., 85, 7, tandis que les orthodoxespor- ils le rencontrèrent dans le Moçallâ le jour de la
tent le nom de K~L~ Bat. II, 61. —
A.cL.:U.,
par abréviation pour L>4"1 Macc. I,
359, 14, est proprement la communauté musulmane, «ils le ;»
il
saluèrent avec toute la communauté ~è
p. e. Abbad. I, 222, 5 a f.: U"'Joi.i ~JL.~
xVl t<iis &~iJ «imâm de la communauté
musulmane,» c.-à-d. ;
calife Berb. 1, 98, 5: en commun, Bc; oULwail assistait
aux prières que l'on faisait en commun, b Fragm.
hist. Arab. 270, 8, où la leçon du man. ne doit pas
les entreprises de cet homme portaient atteinte aux être changée, comme l'a fait l'éditeur. L'endroit où
intérêts de la communauté musulmane et à ceux de l'on prie en commun s'appelle K~L~ jL~~x~e, Ibn-
la dynastie. »Mais signifie aussi l'unité de Cotaiba, Kitâb al-ma'ârif, 106, 13; cf. Amari 38,
la communauté musulmane, de Vempire, p. e. Berb. 6 a f.: o!cU^Jli J~>L«~ mais il semble qu'il
faut entendre sous ce terme plutôt une chapelle
qu'une grande mosquée, car le ~$~~e à Coufa,
a le même sens, p. e. Fragm. hist. Arab. 2, 1. 7; dont parle Ibn-Cotaiba, était dans le palais du
gouvernement, et le mot XrUr>- seul s'emploie dans
le sens de petite mosquée, chapelle, Gl. Edrist. —
\,.&; Abbad. I, 224, 4, 244, On dit aussi Paroisse, quartier d'une ville, Aie. (collacion de
dans cette ecception
Xfcljl.^UaL» à *Y»rivi^S,
0 -
3.
HaiyAn 38 ro:
Abbad. I, 252,
ciudad; le
~jJ!, le
est
synonyme
K~L~, pour x.
quartier des juifs. Les Espagnols, quand
ils se furent emparés de plusieurs villes musulmanes, vénérien,
vénérien, Bc.
Be.
ont aussi donné ce nom au quartier habité par les
Maures, GI. Esp. 144-5. — Conseil municipal, pour
«nattes avec lesquelles on construit des bor.
digues sur la plage de Sfax,» Espina R. d. 0. A.
réunion des anciens,» Gl. Esp.
XIII, 145 (djema). Ces bordigues semblent avoir
144, Aie. (ayuntamiento concejo, concejo). — A Cor-
doue, sous les Omaiyades, le conseil d'Etat, Haiyân- reçu ce nom, parce qu'elles rassemblent et retiennent
Bassâm 157 rO: après la chute de cette dynastie, le
peuple de Cordoue voulut donner le pouvoir à Abou-
les poissons. —
..J.l,Jt fourrageur, Bc.
recruteur, Bc. -
X.rl—»-->• qui fait une collection, p. e. de livres,
~Lt->, Macc. I, 249, a f., III, 272, 15,
2
Berb. I, 366, 5 a f.;
~L<JL!KnL<.~- qui amasse de
l'argent, Berb. I, 502, 7 a f. Mais ce mot s'emploie
UAbbad. I, 248, 5. — Chez les :
aussi absolument et signifie alors qui amasse beaucoup
;
Almohades, les dix premiers partisans dit Mahdî de connaissances, Abdart 108 rO, en parlant d'un sa-
Mohammed ibn-Toumart, Abd-al-wâhid 135, 5 et 6. Z -
vant: Xrl,»-> Khatîb 26 vO: XPtjJ ~Lt~. Il
Leurs fils s'appelaient X~L~!~LjLj!, Çalât 52 doit avoir un autre sens Berb. I, 227, 7, où on lit
en parlant d'un prince: «L-JLL*^o pro-
bablement: qui rassemble des objets rares, excellents,
73 rO: oc'^l -tLoî, mais sans doute il faut ~L>- compilateur, Bc. — Lieu de réunion, Becrî
— Tribunal, Poiret I,
lire 21 (jument). — 112, 12 (où de Slane traduit à tort «mosquée»). —
Ordre, corps qui composent un état; ordre, com- en parlant d'un Soufi éminent, Macc. I, 586,
pagnie, confrérie, Bc; corporation, si je ne me dern. I., semble signifier: réunissant toutes les vertus,
trompe, dans Freytag Chrest. 134, 3 a f.: toutes les qualités excellentes. — Mélanges, pièces de
prose ou de poésie que l'on recueille en un même
volume; recueil, réunion d'écrits, de pièces, Bc. —
xc.Ljr-1. — Ecole, secte, doctrine, Bc. — Suite, ceux .-JL-& ÜAL::-- miscellanées, Bc. — Concis, qui fait
qui suivent, qui accompagnent, qui vont après ou entendre beaucoup de choses en peu de mots, Djob.
: avec quelqu'un, Bc. — Monde, les domestiques ou
ceux qui dépendent de quelque famille, Bc. — En
arithmétique, somme, Berb. I, 163, 6. — Chez Aie. ne donne pas ~~-> seul dans le sens de JL~!! ~~s",
pujar. Ne trouvant pas un tel substantif dans les mais Freytag a eu raison de le faire; voyez Abbad.
dict., j'ai consulté M. Lafuente, qui m'a répondu ceci: 1, 207, 2 a f.; t4l>-- dans le même sens, Berb.
«Je crois que ce ne peut guère être autre chose que
ce qu'on appelle en Andalousie peujar et en Castille
I, 388, 12 et 13. - ;
Xjt~L>., t. de marine que je ne
connais que par le portugais dans cette langue le
pegujal, ce qui veut dire les semailles et aussi la mot chumeas, chimeas ou chúmbeas désigne: pièces de
récolte.» Ce serait alors récolte; cf. Aie. sous la IVe bois qu'on cloue au mat quand il s'est fendu, Gl. Esp.
forme. — En géomancie, le signe, M. — Xx-l«.r>-
ve.Ai maisonnée, tous les habitants d'une maison, Bc. 256 -7. — doit signifier: le service est
CL--5;U;
).
iholicus (universalis)
X~L>-; c'est lorsque l'imâm appelle tout le monde à non-sens, mais que le terme arabe signifie peut-être
la prière, ce qu'il ne fait que dans les occasions ce qu'on appelle la macula lutea. wJ~-~!
solennelles, p. e. pendant les fêtes, les éclipses, ou
comme J6.IL-.A chez Lane, 01. Fragm.;
lorsqu'il a à faire au peuple une communication im-
&.?L4 bAL>.-4- J~ta, Freytag Chrest. 39, 11. Au
portante, Gl. Belâdz., Gl. Fragm. (mais pour ce qui
concerne le second passage qui y est cité, voyez
sous Bayân I, 55, 16, Djob. 161, 5.
ajl»oL>
voyez sous £*!->•
~-t.>
- ermitage, Aie. (ermita).
> oS, parfait, qui a
II, 113 vo.
,
E4--.i beaucoup de qualités, Tha'â-
8
pièces de rapport, unies et arrangées sur un
fond; pièces rapportées, Bc.
dans le sens de qui réunit, Macc. I, 512, 6:
'ÂJusf cloche; voyez ~L~
;
cL->-! convocation, Bc. Bc. en parlant d'un village, d'une ville, sem-
— Unanimité,
Ré-
— ble avoir le sens de ^l..>,
grand, bien peuplé,
capitulation, Aie. (reeapitulacion).
* -
Abdarî 81 vO: s~<!e K.K-~-S ^, 117 v°:
~-t-~. On dit dans le sens de mar-
ché, la réunion de ceux qui vendent et qui achètent
dans le marché, Becrî 49, 4 a f. — Caisse, comme
x*oL»
-
Xr^é"^HiXJb.
Ramassé, trapu, vigoureux,
herbier, Bc.
Bc. —
-
organe de la sensibilité, Bc. — ~jJ! t--e est, suivant
1 récapituler, Bc.
dans, Bc. -
-
C. à envelopper, comprendre
choses,qui lui sont nécessaires, bien équipée, Weijers grand jeu d'échecs, aux pièces du jeu d'échecs ordi-
dans Yaleton 77, n. 4, qui cite Aboulf. IV, 304, 8: naire; chaque camp en avait deux, Vie de Timour
II, 798, 2 a f.; voyez sur leur marche van der Linde,
Geschichte des Schachspiels I, 111. — yi-
raffe, Lyon 127. — ~pélican, Vansleb 102,
Maml. 1, 1, 34, 2 a f. Ce nom d'action se prend Bruce I, 80. — J<~->- caméléon, Macc. I, 901,
plur. de
Q* "-LA}
î oncommence è
ijjJt*0 XJLt->- on entend cette valeur des lettres d'après
laquelle est 1, l5 10,
dans la
100, 1000, tandis que
par le C, de sorte
sidérer ce mot comme un pl. de
bonté,politesse, 1001 N. III,
chameau?
442, IV, 482.
que C est 1,21 et ainsi de suite, Ztschr. XII, — Sorcière, Werne 45.
,
Bc; chez Me KL6-èi-4; chez Aie.
en bloc, sans compter, -
J~-~* sommaire, extrait, précis, Bc.
*!«•<; acheter en bloc (mercar en uno). - XJL4->
., nombreux, Aie. (numeroso).
aj~>.~ entièrement, Abd-al-wâhid225,5; aussi
Berb. I, 416, 7 a f.
Bc. - ~LJL~b
- en tout, tout compris,
en général, généralement, Bc; — entière-
ment, de Sacy Chrest. I, 3; — enfin,finalement,
(Sonth.
nom du galéopsis en Espagne, Bait.
mais dans les man.
II,
gJLjM) ;
229 |e
,0.,..0.
421.
* jA~ 909 rlpublique, Bc, Ht.
« ~50) républicain, Bc, M.
~-*>•
0)j^4-^4jI
.0.. ver de terre, Bc. — Chez Lane c'est le diminutif
sont sept cacidas, qui tiennent le second
rang après les sept Mo'allacàt. Elles ont été compo- Xi~L>., que le vulgaire, dit-il, prononce Xâaâ»-; mais
sées par an-Nâbigha ad-Dzobyànt, 'Obaid ibn-al-Abraç, Bc, à en juger par le pl. q.tl.;~y-, semble donner
'Adt ibn-Zaid, Bichr ibn-HAzim, Omaiya ibn-abt-'ç-
Çalt, Khidàch ibn-Zohair et an-Namir ibn-Taulab, M. ,
Xâaâ>. ,,0,
Dans le M c'est KJuu~, pl. , ot, jardin oh
~çyjd cr=?"> ~cy est qL_Is>- jardinier, Voc., Cherb., Macc. I, 446, 12,
folie, le vulgaire dit: M; aussi
581, 11, 586, 18, II, 328, 17, Ibn-Loyon 9 vo.
chez Bc: sauter aux nues, s'emporter; ~-~~: ~CT*
idolâtrer, aimer avec passion; c. ~c p. être fou de
quelqu'un, l'aimer beaucoup.
2 -5
~-Ce (pour .), les puristes condamnent,
que
se trouve dans L (arepticius, ce qui est = dæmo-
niacus, voyez Ducange).
II transporter, mettre quelqu'un hors de lui-même,
~5^)
Bc. épileptique, Jackson 153.
9
~m
K-*-> dans le Voc. sous ;»~i^ulLc,,
«ludere «locus
M~«K
X~J~ )
tapis, dans la lre partie du Voc., mais dans
ludi, » précède. ~1Izil
la 2e c'est K~Ls~.
X ~» « déesse; fée; nymphe;sirène, Bc. > #
~~<LX~ janvier, Amari 168, 8.
* ~oLk?-- extravagance, folie, fureur;~^tiÂ>~04
~qU> ,
métromanie, Bc.
le pl. de XJ:->. dans la langue classique,
de main,
I. t~L~J!<J~-~J!->- il lui donna des chevaux
lui envoya en cadeau, Berb. I, 435,
il les
7 a f., II, 230, 10, 267,13, 391, 6 a f., 431, 12;
est dans la langue.moderne un singulier, jardin, Bc, aussi c. ~vX!p., Berb. II, 292, 13. — Remorquer,
prendre à la remorque, Berb. II, 386, 2 a f. —
Border, garnir le bord, être sur le bord, Bc.
~,Lb (mais plus loin comme un plur.:WL\-~ v^JLiO III s'avancer, Ht; probablement: s'avancer le long
--,O
de, en côtoyant, comme .ftJ' ~wiLs-, border la côte,
chez Bc.
V c. ~if se mettre à l'écart, s'écarter, se garer, Bc.
»
côté de
o!iLs>-, Cherb., Ibn-Batouta, man. de M. de Gayan- côte à côte, près l'un de l'autre; — le long, sur les
bords, en côtoyant, Bc. — ~uù> à l'écart; — à
gos, 281 v°. — Forêt, L (nemus (silva opaca».
r.Ille — part, séparément, Bc. — ~qC
~J..> mettre à
Pré, L (pratum
y .1
~O Vécart, Bc. - à en comparaison de (Lane
d'après le TA), Freytag Chrest. 55, 5, R. N. 58 vO:
qjâs»-. ~LaxII qjàs»- «les folies de la jeunesse,»
Berb. II, 243, 1. — ~oUâJIvégétation abon- mes péchés sont énormes, 1i;t:i> ïib*.O
'3' ~JW
~mje3 ~111'~jÀ* ~V^?* ~j.; -
aussi: qui est à côté de,
qui vient en même temps que, Bidp. 244, 7: ~&
chose à son c8téj)l.Í.I:. '-r~*~ aayant un bourdon à
0
son côté,» Mûller 50, 3.
u^JLpJÎ S.UeUl de part en part, d'outre en outre, Bc.
~&U> impureté,
ce qu'il y a d'impur, de grossier,
d'étranger dans un corps, Bc.
où Lane traduit panier. — ~OUÂ>, si la leçon est ~LL>-. Dans de Sacy Chrest. I, Ivt", ~9,KJ-JL
bonne, doit avoir un sens qui m'est inconnu chez
xuU|- semble au premier abord un titre d'honneur,
« son
altesse;» mais pensant à d'autres mots dérivés
la leçon de A; dans B la première et la troisième
lettre n'ont pas de points; dans Boul. OLÀ>J. de cette racine, l'auteur a employé par antiphrase le
mot (ÎÇLÀS»-dans le sens d'impur.
m ~O
+
XAXÂ>, mot dont les Mecquois se servaient déjà V-JLO* lefdcheux qui, pour manger à son aise, se
pente d'une
fait une plus large place en jouant des coudes, Dau-
mas V. A. 315.
iLolIi»-. ~oLoL^Jf sont les pierres posées de champ
colline ou montagne, côte, Aie. (ladera de cuesta).
~y4. J~-~J~ yU:::- versant de montagne, Roland. sur les deux côtés de la tombe, et qui en forment
— Portion, Roland. — Comme titre d'honneur seigneu-
rie, Roland, excellence, Ht, Bc, sérénissime, Bc, al-
: l'encadrement latéral, Brosselard, Mémoire sur les
tombeaux des émirs Beni-Zeiyan etc. 19.
tesse, Ht; on donne ce titre aux employés du gou- ~JL->. aile, côté d'une armée, Bc. — Quartier,
vernement, de Sacy Chrest. I, ~Ioa, 1, Amari Dipl.
214, à la mère du calife, Djob. 224, 16, etc. On partie latérale d'un soulier, d'un sabot, Bc. — Au
»
dit aussi gVjlJLs» «votre seigneurie, vous, p. e. L.L,::-» duel, .L*jL~\!! les deux parties intéressées, Macc. II,
J~L*J! ~Q-»~AJLO-«loin de moi l'idée que vous soyez 230, 18. — Pour ce qui concerne le sens de tractus,
avare,» Bc. ~J,W' -jLL5Ut altesse, Bc. En parlant regio, etc., il faut remarquer l'expression: ~vjUUxit
~xoL>- ~J,' il passa son chemin, il continua sa route, -
Bidp. 274, 7. — Quant à l'expression .~*jL>-
divine est trop grande pour que,» Bc. Au figuré:
~J.~=~ XJUJ-càJi ~V_JU>«la majesté de la loi divine (chez Freytag), comparez Amari Dipl. 24, 9: ~Lj!~>~
était respeetée,» de Sacy Chrest. II, If, O uu-é-
11. ~a- m **
departie,portion (cf. Lane), surtout une grandepartie,
*JLO» manquer au respect que l'on doit à quelqu'un, voyez Fleischer dans Gersdorf's Repertorium 1839,
p. 433 (où il cite de Sacy Chrest. III, 380, 4 a f.
et Bc sous «partie») et dans son édit. des 1001 N.,
XII, préface, p. 93, où il a corrigé ce qu'il avait
104 et 118.
y y ~y
Dans le Voc., avec le pl. ~wû>,
v_jyLs»-. cui aci-
dit (accidit) pollucio. — Au duel, ~L~JL~J!, les deux
~Lxu «partie de marchandises ;»
dit dans son livre de Gloss. Habicht. 87; Q* '-~L>
~*XLo L
~*Ju« (il ne le possède qu'en partie;» partie, somme
à
,
Akhbàr 144, 2, ou (même histoire) Bayân II, 105,
r ~y©y
une !<L\-~J~, c.-à-d., une espèce de voûte ou coupole.
5 af. - Titre d'honneur (comme ~wlL>-), excellence,
altesse, etc., {*-!~Ï~ <~JL~J!, Amari Dipl. 106, 4 (où
Al-Cabbâb, 118 ro, cite cette décision de Mâlik:
~y-oî
~>
~Jl ~UUP
qui n'est pas de sa famille, p. e. Bat. IV, 388: .tLw,;..H-, 1. 6), car cette VIIIe forme de ~<> signifierait: «faire
CI >
J~.s~
~X~-", édificevoûte,
Gl. Fragm. — Colline, plus haut sous le verbe.
voûté, en forme de voûte, Gl. Fragm.
la lre c'est XJH.~; comparez v_»J^ chez Lane.
*++2^ , n'est pas seulement aile d'une armée, mais
0>
XJ93t centaurée, Ibn-al-Djezzâr vo ~vigile. ~Ll.>. Pl. ,Voc., Aie., Abou'l-Walid 799,
36, ~&,
> ~t
Be. Pour indiquer la vitesse d'un cheval,
on dit en parlant du cavalier: ~jp.
.JL..l" Calâïd
;
~oS
192, 12. — Pl. CU:::-', troupe, nombre plus ou moins
_~jL*~ coup
(.,
iLm * ~0
sur la tête, Domb. 90
~A°
~(v^o).
Mtiller L. Z. 50, 8
envoya un détachement de son
~0" ~^LjL> «un
11 ; c'est millepieds,scolopendre, Zahrâwî228 rO: détachement de cavalerie,» Aie. (escuadra batalla; il
ire partie) a aussi ce terme sous «atajo de enemigos,» et peut-
-
être faut-il entendre sous ces mots espagnols: un dé-
tachement ennemi qui coupe le chemin); y! *~
jIjlo (sans points diacritiques dans leman). ~Jii «troupeau de vaches,» Aie. (hato de vacas), r;L\.::-
~q'uo ~Cr troupeau de moutons, » Aie. (hato de ovejas),
«
Aie. a sans doute en vue le même mot, quand il
donne «çubcipîcha »
sous «cientopies serpiente» (mille-
pieds), et je crois que ces deux formes sont des al-
et O
aussi ~r;£ ~0" r;U=:-, Aie. (manada de ganado menudo),
seul, Aie. (rebano de ganado). - Pan d'un
5 ~O
,~~U~>
o+y vêtu de
<L.~U~
vestido de remiendos ;
haillons, de guenilles, Aie. (panoso
il a munchêncheq, mais je crois
que le n est de trop).
r
~JL~ I. Dans le vers chez Macc. II, 776, 11, où l'aunée chez le vulgaire en Andalousie» (Sonth. a
> - ~CI- traduit ces paroles d'une manière ridicule), 476 b,
Fleischer lit ~gJL^ui, ce verbe serait, selon ce savant
~r;4 11 Bc; ~Lf'
II, 313, 6,
Auw.
r~
11, ~L. ~L ~z->. aunée,
aunée , Sang.
,
(Berichte 194), un dénominatif de et signifie-
~.L~! signifie peut-être arbousier,
L'expression
rait demeurer à côté de, c. a.
car l'auteur du Most. dit sous ~&ààl ~Jolï, qui signifie
c. a. courber,Yoc. — Saigner un cheval au
II
flanc, Auw. I, 34, 7 a f., II, 672, 15. — Séparer
quelques pièces d'un troupeau pour les voler, Aie.
nageoire, Bc (cf. Lane). - O,.>Lkj~JLJt ~.LJL—>- volant,
(atajar
(atajar ganado, et et~
ganado, - atajo de ganado).
atajo ganado) aile de moulin, Bc (cf. Lane). - r;L.:::- ne
signifie pas seulement cynara scolymus, Bait. 1, 266 c,
IV, au passif, en parlant d'un vaisseau, de même
que la Ire, demeurer à sec, Gl. Belàdz.
~O ténèbres,Yoc.
~JL>
Rozet I, 209. ~—
mais aussi: le froment de Barbarie, Shaw 1, 213,
est chez Aie. «velo
de templo» (pl. -L~!); ~r;4 semble donc avoir le
« ~O crime, M.
K~\JL> sens de voile, Berb. II, 85, dern. 1., 203, 4. Chez
Bc jsj-,4 est pinacle, la partie la plus élevée
Cl.J.::. coup, qui ressemble à la sauterelle, et qu'on appelle
d'un édifice, comble en pointe. ~Lt M.
aussi ~JoyS,
~gll>
1 9 peine, difficulté, CalAïd 192, 12.
~li
*o » o ~»
~J
~(AÂ&. C'est ainsi qu'Aie, (cojon de castor ani-
~.1 aile, M.
K-~JL>'. Le pl. ~-1 nageoires, Ht. mal) prononce le nom du castoréum j
chez Bc ~jJU.
JAaOu; dans le
~J
Yoc. ~yot
..of. ~W>.
-
Le castor même
,
Macc. I, 122, 5, mieux chez Bc ~X~~L~~J~
~\J~
1 Q~+
9
x^\JL^* ~yléà des vêtements à grands pans, Becri 159, pierreux, Voc.
7, avec la note de M. de Slane.
StU~- ~(Ktvapct) artichaut, Bc.
,
jiÂSh II. en parlant d'un prêtre chrétien,
prier pour un mort quand on l'enterre, M.
1
V s'engager; s'enrôler, entrer dans l'armée, Gl. Maw. ~jLo»»,comme convoi, Bc.
~O
> ~CI'
«iXÂs» ou ~\JL> s'applique à présent en
Egypte exclusivement à un cavalier, par opposition a beaucoup de bruit pour peu de chose, » Bc.
à ~-©- fantassin,» Burckhardt Nubia 482, M.
~Xwc, ~-ÎU->- funèbre, mortualre, Bc.
~ic
f
enseignent à danser, et qui quelquefois, montées sur
«comment a-t-il pris la nature humaine?» Ztschr. des ânes, suivent le cortége des noces en jouant du
III,303. rebâb ou du târ.»
O
X voyez sous V.
CI Le pl. >
~> t ~.1 nations, Roland. - <
~,,0- (esp.) pl. <j)U>
K~J~ 1 mule, pantoufle, Voc. (sotu-
lar), Aie. (calçado, chinela calçado). M. Lafuente Wa
~(J1 galère à deux
bancs, Aie. (galea de dos
expliqué le mot esp. chanco de cette manière: (C'est
~os
ordenes); (j«LA>! ~&ibLi ~(J1 ~SiXj^ galère à trois bancs, proprement un soulier avec une semelle de bois; mais
Aie. (galea de très ordenes). en Andalousie on dit communément: «andar en chan-
;
~y.xvCI~1)gentiane, Aie. (genciana yerva). cos,» ou «en chanqueta» dans le sens de: porter
des souliers ou pantoufles sans talon, ou avec le
~~JL.>
« o sexuel, Bc.
talon doublé. »
Chez Aie. Kj0:->- est aussi « xostra de
KAjw~- homogénéité, Macc. I, 882, 8. :
çapato, » terme que M. Lafuente explique ainsi KC'est
une semelle de bois, de même que chanco, et je crois
~jU~A~ gentiane, Bc. même que, dans quelques districts, ce mot signifie
DJENGRON espèce de grand panier servant à renfermer simplement semelle. »
Cf. Müller L. Z. 96. Au Maroc
des poissons ou des fruits, Espina R. d. O. A. XIII, 145. ~O
on emploie encore X~JL~- dans le sens de «vieux sou-
<~~A!~. moire, satinadey Bc, taffetas, Hbrt 203.
(j~LaJL>.
~° ~i
CI,CI
~CI.. pl.
..i~JL> #
lier fort usé, savate» (Lerchundi).
L~-> jongleur, bohémien, Ht.
et (jyaxâJo>- ~(xxvvxptç)
/s serpillière,
canevas, ~à>!4*trjw,exproeii;ion dont j'ignore l'ori-
Bc, M. gine, mais qui semble signifier fesses, B&sim 68 :
~G
Kzolàjo»- î et ~-tl<0
K>oaââ2» banne, grosse toile qui couvre
un bateau, etc., Bc, M. ~XOk (du nom propre Chine), au Maghrib, orange, M;
~fO» (pers.
JJiÂss-
Daumas V. A. 361.
,'6«
^Sist-y croc, crochet) croc-en-jambe, •
~i •« (berb.; ~g~-JL-~
O +* sabre, Dict. berb.; adjenéwi,
4 xJlaJLs»alcyon,
II marcher sur
goëland, Bc.
,
~Cr;
dans la note p. 344, n. 101,
&--l»
*,
j'ai soupçonné que c'est la IIe forme, mais je n'ai
j.L:>, et je traduis:
-
pas rencontré cette dernière ailleurs avec cette signif.
-De
lieu de «Ce sont des veines
dans les lèvres que l'on saigne dans les maladies de
~>.„
— Demême qu'on la »
même qu'on dit Lane),
~:
(cf. Lane) , on dit bouche.
IjjS»
~(jvs- «causer une guerre,» Badroun 151, 3 a f.,
O ~CI
aussi -O (pers. composé de ~o-,
¡,.$', creu-
a~-'~o ~{j^ «causer de l'ennui,» P. Macc. II, 550, 19. set, et de ~, sanscr. pati, seigneur, directeur, pro-
II? voyez sous la Irc. - ~-}L:->- !j~>! ~Jd:- im-
prement: directeur du creuset), 1)1. a~XjL~-, celui
qui
poser une amende à quelqu'un, Fakhri 187, 13.
IV, avec deux accus., faire cueillir, notes de Flei-
scher sur Macc. I, 700, 17 (Berichte 241), II, 188,
examine les pièces de monnaie pour séparer les bonnes
des mauvaises, essayeur,vérificateur, changeur
—
en général: celui qui discerne le bon du mauvais, le
;
6, Lettre à M. Fleischer 171, Abbad. I, 62, 3 (cf. vrai du faux, p. e. ?lJ«un marchand qui
discerne les bonnes marchandises des mauvaises,»
III, 25), Macc. II,
442, 10. — Voyez sous ~o=t.
Macc. I, 372, 4,
un homme qui connaît à fond les
j
V c. p. et y r.,
accuser quelqu'un de, lui affaires et qui en pénètre les circonstances les plus
imputer une chose digne de blâme, Berb. I, 439, 9 subtiles, un critiquejudicieux,Gl.Fragm. auteurs ;les
a f., 478, 9 a f., II, 369, 4 a f. qui y sont cités ont corrigé les fautes de Meninski,
VII être cueilli, Voc. de Freytag, etc.; Macc. I, 8,
47, 465,13,590,14,
~U
5-• Le nom de l'arboltse est } O ,£ tL.i-<J\
~_w
Prol. I, 355,12, II, 344, 404, 9, 1,
III, 19, 15,
Berb. T 654, 6, Khatîb 30 ro: a~L~> à ,.J~JL~
(voyez), mais on trouve .-Z"':>' ~!!
dans le Most.
(vO ~xxi\ ~Jola) et chez Bait. I, 265 d, sous le ~djtiit.
- ~O5
ij.))"J' ~(S^i qu'il
fièvre,»enflure du foie, Werne 43.
traduit par (enfant [fruit] de la
!<.-~-
nus ou des taxes publiques ; SL\J!
la perception et Vadministration(Tes reve-
<~J~ le iii-
nistre des finances (=: X~oL~ ~Ut~! k_*>=>Lo), Flei-
~-> scher, Boitriige zur arabischen Spraelikunde p. 96, 97
embryon, Domb. 76.
:. (note sur de Sacy Gramm. I, 18, 1. 17 et 18), qui
,
cueillette, récolte annuelle des fruits, Bc. cite Abou-'l-mahâsin II, 174, dern. 1., et Macc. I,
~XJUL>. 134, 7 (cf. 1. 9). Mais dans le passage du Traité de
Le pl.. fruits, dans ces paroles du Pro-
Rhétorique par Ibn-al-Athîr, cité Maml. I, 1, 199:
,
phète citées Auw. I, 2,1. 1: LLi~- £
où le man. de Leyde porte ~044. Une
amende imposée à des gens que l'on veut punir, Maml.
- ce terme doit désigner
deblé un genre
d'impôt.
Ce mot qui en apparence est persan, mais que III maintenir, Ht.
je ne trouve pas dans cette langue, est expliqué de IV encourager, animer, Aie. (esforçar a otro). -
cette manière dans le Gl. Manç. (in voce): Ó'.-r L *«».u J~! faire tous ses efforts, Gl. Belâdz., Bidp-
25, 1; .L*~ à ~wju fatiguer excessivement le y ,
qui donne j-~-'>- dans le sens de nyctalopie, mais il
li ~s--
corps par le travail, Bidp. 279, 4 a f.; à6é
= faut ~-F'>.
~Mi J~X>~, que Lane a sous I, Gl. Maw. IIéblouir, priver de la vue (~a-J!) par trop d'éclat,
j,
V être ébloui, 162.
224, 14; peut-être faut-il lire iî;:e
dans ce passage, VI c. y r., faire une chose blâmable en public,
mais cotte leçon ne se trouve que dans un seul man. sans se gêner en aucune manière, Vêtem. 274, n. 14.
VIII se livrer à des pratiques de dévotion. de piété, ~- ou ~j.g&, ou selon un autre
tour, machine dont se servent le tourneur et le potier,
~mi 1,
lX-a-5»
~O ,
que Lane a sous I, Gl. Maw.
Payne Smith 1453 (deux fois), 1513.
~.> nyctalopie, Avicenne I, 350; cf. sous la Ire
manque de vivres, Gl. Bayân. — Grande forme.
faim,Bait. 47d. I, j-fr-r" ~jA (cf.
sonore; Je
dans le sens de Lane) haut, clair,
,
0)<<
peine,Be.
Bc (sans voyelles).
~~L~-> nom d'une monnaie d'or turque, M.
.CI'
!t-~>, dans le sens de ~-fs- et de 8}Lt>, aspect,
,
J~L~a. J~L~! ~-ài titre d'un roi musulman du
Bengale, J. A. 1823, II, 274, 288. ~-?-
- -» > petite mouche dans l'intérieur de l'Afrique,
sJ~L~ poursuite, soin pour le succès, Bc. dont la piqûre est très-dangereuse pour le bétail,
— Avec Pallme 74 (johara).
l'article, ou LM-L;JI ë~L~, Macc. I, 585, 13, le
combat spirituel, le combat qu'on livre à soi-même, ~->-
? )
nyctalopie, Auw. II,577, 4, avec la note
en se détachant de tout excepté de Dieu, Ztschr. XX, de Clément-Mullet II, 2, 115, n. 2. Le Voc. donne
41, n. 56, Khallic. I, 417, 5, Bat. IV, 63, Cartâs cette forme sous «cecus.»
180, 6, Macc. I, 568, 12, III, 679, dem. l., Prol. ~—>-
- , semble avoir chez Ibn-alKhatîb le #,sens
II, 163, dcrn. 1., III, 61, 3, 4 et 5, 62, 8 et 17,
;
~5- ~CI,
que le TA (chez Lane) attribue à audacieux.
Dans un passage de cet auteur, cité par Macc. 1, 859,
sultan Baber sur une médaille, J. A. 1823, II, 288. et dans un autre (chez Macc. III,
~L~>-~. ~cJàJI ~j. les jurisconsultes de
cette classe ont le droit d'interpréter le Coran et les
traditions, et ce droit n'appartient qu'aux compagnons m+O
Kj~~>- être clair, net, aigu, en parlant de la voix,
du Prophète ~(v_^>Lo), à leurs disciples ~(j^lï) et aux
six imams; — v-A&Xit ~j. ~L~>~ est l'autorité dans
l'école, et J~L~ à ~L~>~! est le droit de décider (cf. l'article qui précède), Khatib 177 ro, en parlant
certains points de jurisprudence; voyez v.d. Berg 7-9. de Mohammed Ier de Grenade: ~Kj ~OIS J~>'~! IIL.0
« O)
J~X~*, en Perse, le chef de la doctrine chiite, le
chef de l'Eglise persane, Defrémery Mémoires 411,
n. 1, Fraser Khorasan 483.
~*> II se targuer, se prévaloir; c. ~c p. brttvery
~j** ~i- j^s>- être nyctalope, Richardson Sahara I, 322, narguer, Bc.
~iUjp
« ~C«. bravade, action, parole
quelqu'un, Bc.
par laquelle on brave
~- - ProrJisÍOn de blé,
— Provision blé, Abdart .8
48 ~ru:
ro: ~) ~w-
~jîd> II,
en parlant d'un cadavre, voyez Lane, CartAa
277, 5 a f., Berb. II, 116, 7 a f., 153, 7 a f., etc.;
A
envoyer,
~, de Sacy Chrest. I, fA, 5: "j~>- l s'engourdir, devenir pesant et paresseux, Aie.
L_qî»>
basalte, Burton II, 74.
—
~i.1
,
gauche, stupide, Ale. (torpe cosa). — Jeune, étourdi, foncer, pénétrer plus avant; !,,-=:- ~do' ~o\;, J..-.n
«il
évaporé, Bc. — ldoldtre, Daumas Sahara 110, 120. —
Ches les Druzes, laïque, v. Richter 132.
;
se glissa dans l'appartement p avant, profondé-
ment, Bc, cf. M.
~JL~L>- (cf. Lane) existant du temps du paganisme,
avant Fislamisme, p. e. une ville, une muraille, un ôter la sole, Bc. -
torrent, un puits, etc., Ztschr. XV, 384-5.
tj~L~LJ! t. de rhétor.; c'est quand celui !~j~t~
- ~y
(?). C'est ainsi que M. Wûstenfeld (YAeout
qui parle demande une chose qu'il sait, comme s'il
V, 218) veut lire avec un man. dans Yàcout II, 837,
ne la savait pas. Ce vers en est un exemple: «Dites-
moi, je vous en conjure, ô gazelles de la plaine: 20, et ce mot, composé des termes persans ..J~>.~eMMe
Ma Lailâ est-elle une gazelle comme vous, ou bien et ~vjxj vieille, signifierait sorcière. Cette composition,
appartient-elle au genre humain?» M (sous ü,.-w). =
jeune-vieille sorcière, serait assez étrange; il fau-
drait prouver d'abord que les Persans l'ont eue; leurs
W. Il fut tué quelque part dans ces ravins et dict. ne la connaissent pas.
c'est pour cette raison qu'on ignore où (l'endroit précis II répondre, Ht; c. ~e p., Rutgers 189, 18; c.
où) il fut tué, » Haiyân-Bassâm I, 172 ro. p. et y r. ibid. 197, 12 et 13.
~Xi~*
~O-
une chose que l'on ignore, Prol. I, 44, 4. — VII se fondre (neige), Gl. Fragm.
'T'!,.=:-
marais, Gl. Edrisi et p. 388.
## seul, dans le
sens de
« )
~O ~(et Lane),
,
~&>
la proposition corrélative qui vient après une propo-
d'une manière austère, le regarder en fronçant le
~e
corrélative
le ~yl». de~,J, Lettre à M. Fleischer 17.
~»~1
,
~estj-1
;
etc. on dit
Comme -
,0
>3, Abbad. II, 40, 9 et n. 10. réplique en français: les sons de l'octave supérieure,
un homme laid, désagréable à la vue, 1001 Descr. de l'Eg. XIV, 125.
,;¡
N. Bresl. VII, 162, 13, où il est question d'un nègre.
-
CICI.., (composé de ~1- et de
'T''* la terminaison esp.
<tJL~ cela m'est égal, employé ero) celui qui répond,Voc.
pour témoigner
~y.
-
2af.
;
défendeur,
»
réciproque, Ht.
(
~LjL>j LéPlà continuellement, Berb.
opposé à
X~ transport, Ht.
demandeur, Bc.
~QUJJJÎ. ,
Dans Freytag Locm. 68, 6 et 7,
berger, pâtre.
607,
à.
-9
qu'on frappait à la porte, Alà-ed-din dit à Zobaida:
II. ~w">
71, 1.3 et 9.
5
formé de
S
~O
bandes, Maml. II
21
,
«. 9
X~~>. nom d'un vêtement de drap. Macrîzî rap-
2~tU~9 vase dont on se sert dans la haute Egypte porte que, dans sa jeunesse, le drap n'était porté
pour faire nicher les pigeons, Descr. de l'Eg. XVIII, habituellement que par les Maghribins, les FrImes,
part. 2, 416. les habitants d'Alexandrio et quelques personnes du
menu peuple de Miçr; les hommes distingués ne por-
taient une djoukha que les jours de pluie. Plus tard,
X->L>- ajoute-t-il, la cherté des autres étoffes contraignit les
pour à Damas et au Maghrib, M;
tjijJL ~x>L>- et j3A>ij6 iL>L>- bécasse, Bc. gens des hautes classes à se servir de drap et l'usage
en devint général en Egypte; voyez Vêtem. 127-131.
1 ~L>~>- poisson du lac deBizerte, Edrîsî ~tb, 2;
,
Veste en drap, Bc. Chez Canes (cité Vêtem. 131):
mais peut-être faut-il lire :,:,¡;.. (voyez). «vêtement de drap ressem blant à une redingote a ;
.L>~>- serviteur, domestique, Hbrt 221. par-dessus chez Woltersdorff «(ein Rock den die
XjL>~->. servante, Hbrt 221. Türckenüber alle Kleider anlegen, und welcher das
# ~O
# »)
eigentliche Kleid ausmacht ; la djobba en drap,
1
;
balancer avec une balançoire, brandiller,
balancer dans une brandilloire aussi Bc.
II se balancer avec une escarpolette, se brandiller,
comme on la porte en hiver, Bg 800; « à présent on
désigne par tchoukha le par-dessus à manches pen-
dantes que portent les Persans; mais jadis ce mot
se balancer avec une corde, Bc. s'appliquait spécialement à l'habit de moine, » de
,
Khanikof dans le J. A. 1865, I, 317; cf. Ztschr.
~f~
- - ~0,
1 voyez l'article qui précède. XXII, 79, 5, où Wetzstein traduit manteau rouge.
~JL>\&t~ balançoire, brandilloire, Bc. ~>-
- ,
drapier, fabricant, marchand de drap, Bc,
~&~~
~CI
* Hbrt 82, Vêtem. 127.
c. ~çx est dans le Voc.: habere secretum.
—!~>- même sens, M.
chez le vulgaire au Maghrib, boucle d'oreille,
Abou'l-Walid 793, 32; cf. ce qui suit. ~«3^ I, dans le sens de donner libéralement, c. ~Js: p.,
,
Voc., c. a. p. et a. r., Müller 21, 16. En parlant
d'une femme, J-~JL ~~L>- accorder ses faveurs, Bc.
..->~->. boucles d'oreilles, Domb. 82; cf. ce qui précède. II. manger copieusement, 1001 N. I,
CI + O
~a~~ 1 piauler ou pépier, Aie. (cantar piar).
273, 10. - Exprimer ses sentiments d'une manière
, *
>. CICI -o- distincte, élégattte, Abbad. I, 43, dern. 1.: ~=a,»
j~~>. merle, la Torre, Lerchundi.
1001 N. Bresl. VII, 83, 2 af.: Entendant distinctement,Voc. — Lire ou réciter le Coran en
psalmodiant, le chanter (comme c'est la coutume), Sahara 83,214, 215, 256, Kabylie 460, Mœurs 24,
Abd-al-wâhid 263, 3, Macc. I, 583, 6, 597, 14, Bat. Sandoval 266, 272.
r-UiaL-.,l d'eau, petite source qui court
veine
~a
sous terre, Alc. (vena de agua). Il écrit: «Ijêd almt,»
ce qui ne peut être autre chose que ~41! ¡)L::-'; mais
,
je ne comprends pas de quelle manière il faudrait
mettre ce terme en rapport avec la racine ~oL>, et
seul a le même sens; ~~-s~ seul signifie par con- je ne vois pas non plus à quelle autre racine il ap-
séquent: Vart de réciter le Coran en psalmodiant, partiendrait.
Burion I, 83 n. (u Koran chaunting Macc. I, 550, »),
dern. 1., III, 40, 15, et celui qui possède cet art
~)«•o£
~->-! coursier, Cartâs 159, 5, de même que ,
~->,
.., comme portent d'autres manuscrits.
est un .1
Macc. I, 896, 11, Bat. l, 358. —
~O
aJLs^Ls- voyez sous la IIe forme.
Chanter des chansons, Cout. 48 vO:
¥»
- ?
~—:>~o voyez sous la IIe forme.
j!~ coursier rapide, noble, Gl. Mosl.
,y
~y' - Comparez avec Lane (395 c) cet article du Gl.
le vers qu'elle chanta.
III chiffonner, IIt.
IV ~Jflj. il mange copieusement, Badroun
221, 11.
,
V dans le Voc. sous meliorare.
X choisir avec grand soin (cf. Lane), Berb. I,
502, 1,
609, 8af.
,
service,assistance, bons offices, Bc. — Petite
outre dont le cavalier se sert en voyage, Ztschr.
XXII,
"CJ 120.
«il
?Sp:i: empiéter, usurper sur le terrain d'autrui, Bc. -.
,~générosité, faut ménager son voisin,
quand même on aurait à se plaindre de ses procédés,»
,III. ,
gion M.
~L->. Mehren 27 renvoie à ~~>--~, où il a sou- c. ~qlXc il évita Aden, ibid. 1..8. —
~if
liers de paysan. Creuser, Bc, Hbrt 178, Ht.
distance. » — En Algérie, avec le pl. ~>-, noble, 3 a f. (j'ai corrigé le texte et la traduction de ce
membre de la noblesse d'épée, Daumas V. A. 150, passage, III, 30 et 31).
~6
)\:>.-. Voyez un proverbe sous la Ire forme du ,
liers M.
— (Irrésolu chez
Ht est une faute; il faut
-verbe. - .y!JJ~ ~o
y , «le voisin de Mohyt'd-
din,» est le nom que les cornichons portent à Damas,
~mauve f
}L::., avec le lad).
Daumas V. A. 381.
jjLs*. A Médine on donne aujourd'hui le nom de
parce qu'on les confit à Çâlihtya, où Mohyt'd-dtn ibn-
al-'Arabt; le célèbre Soufi et le plus grand saint des (J'J'={' à ceux qui habitent cette ville sans y être
Turcs, a son mausolée et sa mosquée; ce saint et
nés, Burton I, 360, II, 7. — Gardien du tombeau
les cornichons sont donc voisins, Ztschr. XI, 520. —
d'un saint, Burton I, 95 n.
~)L:?» épi-d'eau (plante), Bc, Bait. I, 238 b, II,
(proprement être permis) doit se traduire quel-
1
43 b.
c-
~ffi". Le pl. I~o£
dans le Voc.
quefois par mériter, p. e. Macc. I, 142, 8:
t
~yfl,
~KiuS U (1;il composa des vers qui méritent d'être
;
voisinage, 1001 N. I, 9, 1. rapportés. »
, ,
~voisinage, Voc. — Creux, cavité, trou en
II traverser, percer, transpercer, Aie. (atraveBado
terre, Bc, Hbrt 178, fovea chez Castel, fossa chez passar con tiro o herida). — Ficher, faire entrer
D. Germ. de Siles., 1001 N. Bresl. IV, 275, 4, Auw. par la pointe, Aie. (hincar traspassando). — Eprouver,
I, 200, 7, où le man. de Leyde porte ~u mais mettre à l'épreuve, Aie. (tentar). — Dans l'Eglise chré-
peut-être faut-il lire cave, caveau, Ht. — tienne, donner, conférer les ordres, Aie. (ordenar de
Poêle, Mehren 27.
orden sacro, - ., ordenado de orden sacro, synonyme
- ~CI, attentatoire, Bc. - Epithète du bois de
,
'-.5).r=:-- de JuJtâ; aussi: graduado por ordenado). — Canoniser,
sandal blanc, voyez ^jASLA sous~yas.— )y>'- déclarer saint, inscrire au catalogue des saints, Aie.
,
benjoin, Bc.
adj. rel. de > (pers.
~£
> J.
nom d'une ville
(canonizacion ~y> a y
•• canonizado .~—~). Subir un-
examen pour obtenir un emploi ou pour être reçu dans
un corps de métier, Aie. (profession hazer en algun
en Perse, qui reçut plus tard celui de Fairouzâbad. 0 G «>~->-
S -
Elle était si renommée pour ses roses rouges, ~a,41 officio). — ~îwXJLc passer un acte, Delap. 7. —
de
dans le même sens, Berb. I, 549, 7, où il faut lire second hémistiche au premier hémistiche d'un autre
poète (Freytag), mais aussi quand un poète ajoute
,
ainsi, au lieu avec notre man. 1351, les
lui-même un second hémistiche au premier, dans un
man. de Paris 74| et 74f, le man. de Londres et poème de sa composition, Abbâr 86, 6 a f. (cet auteur
l'édit. de Boulac. - )~?" à côté
,
impropre dire ce qui n'estpas strictement vrai, Abbad.
de AB (S rfOjit), qui est peut-être bonne, car on
I, 317, 4 (cf. III, 158). — Détourner le sens d'un
mot, Gl. Manç.: dans trois passages du al-Kitâb al-
~O
Mançourt le n. d'act. <~tL~J~ ne signifie rien autre synonymede
~synonyme de à.~Le JJiU
~j CH. Manç.: ~JoLojy>-
,
VI, dans le sens de dépasser, outre-passer on dit: rouges, qui ressemblent aux fruits du myrobolan em-
il fit jeter en prison ces deux personnages L<~L~
(1. ~UPjAc) jffAtJù ~J.' «et en outre quelques autres,»
Haiyân-Bassâm I, 10 vO. En parlant du serment de
fidélité prêté à un sultan qui vient de monter surle
yù\
blic; voyez Bait. I, 271 d. — ~\JL& ~)fr voyez ).=:-
— cocon, coque de ver à soie, Bc. —
liaîj\y^>-, synonyme de ~Ju.seditm
cepœa,
ainsi nommé parce que les oiseaux qui portent le
~b~!
~W ~J.' ~JJ~L~-
*s ~o Haiyân 3
pour indiquer
rO, plante, Bait. 1, 272 b et d. — voyez
nom de katâ aiment à manger les fruits de cette
).=:-
J'
y
que ce serment fut prêté, non-seulement par les grands,
- J~~L!!
:
~t~JL>.. noix d'une plante indienne,
mais aussi par le peuple en général. ~«ÂS5 ~~L~
voyez Bait. 273 1, b;
dans le dict. pers. de Richard-
Becrî 149,1, dans le sens de: (d'autres n'exer- son: the physic-nut, c.-à-d. la semence de Curcas
cent pas ce métier.» ptwgans, espèced'euphorbe.— ~IJLO\~->, synonyme
X c. a. p. prier quelqu'un ou lui ordonner de ré-
citer le second hémistiche d'un vers, après qu'on en
a soi-même récité le premier, Berb. 1, 432, 9.— C. A«^vLa» ~-jÎ
J vouloir pénétrer jusqu'à, Gl. Bayân. chicum ephemerum. Most. sous
; ~L:::-,par transposition pour ~, vitriol,couperose,Bc.
~—8€^um
(:;
~oï
),;:?- nœud de la
gorge, Aie. (nueç del cuello).
~rJ) )".=:- est la plante qui, chez les Berbères, porte
- ^JSLO._?->, Bait. I, 269 e (AB).
vX.Â.g .n
cepœa, Bait. I, 272 d. — Au lieu de
le nom de .JL:LS-H,
1 Bait. I, 275 d.
~s* ,
- (j~juLe~ ).r=:--
coco, fruit du cocotier, on dit aussi Jj—»» Bait.
nux Abyssinica, Bait. I, 273 c. — !~j.~>. (muscade);
I, 275 b, et ~<J<J~
),,=:-, Bc. Pagni MS donne ce
~j ~)fr'
-
, ?
on trouve aussi dans les man. de Jong, et O -» - -
*****
dernier terme dans le sens de muscade.
~j ~)fr' Most. La (où N a ~j). - ¡-w=?- ~)fr (pers.~j^?-
-
) ~O
r6X;S')mangostan, Bait. I, 274 b, qui atteste que le
couleur fltuve, Aie. (leonado color).
tion, pour O-
avec le pl.
~O$(
Par
couple,
transposi
paire;
(ljîm du second mot se prononce avec le dhamma
~(rW> chez Freytag est une faute); aussi ~jy>-j ~S pair ;
lancer des
mari, Bc. -
ruades,
).::-, Q O+
~Y;-i" ~'M~c;j~—>'! Y.-A;)
,
Bc.
K~*-~J!.~>.
Bait. ibid., Most., et |^XÂc ~j^>-, Most. —
b mariage, Bc.
~IS.
nux Abyssinica, Bait. I, 272 e. -
/~JL.$\—!!
j£_> ~»O#
N.~>. noyer (arbre), Bc. -
Flocon, houppe, Aie.
pomme d'Adam, éminence au-devant de la gorge, Bc. —
~L>
> synonyme de Most. sous ce dernier
(bivos de toca). — Noix de l'arbalète, Voc.; le b.-lat.
(nux, voyez Ducange) et les langues romanes (ital.
noce, esp. nuez, cat. nou) avaient le même mot en
ce sens, et selon le Dict. de l'Acad. franç. noix
I,
nom d'une noix indienne, décrite Bait.
~vjj ~jfr synonyme de ~PU ~j Bait. , I,
271 c. —
269 c. —
signifie: la partie du ressort d'une arbalète, où la
corde est arrêtée quand elle est tendue; comparez J.A.
,6.JL::,.. Voyez un proverbe sous la Ire forme du liers, M. — (Irrlsolu chez Ht est une faute; il faut
le hâ).
-verbe. - ~"J~ )4-, «le voisin de Mohyt'd-
YeLCW, avec
y^F.. il
« composa des vers qui méritent d'être
;
i»jL> voisinage, 1001 N. I, 9, 1. rapportés. »
,j
mettre à Vépreuve, Aie. (tentar). — Dans l'Eglise chré-
peut-être faut-il lire cave, caveau, Ht. — tienne, donner, conférer les ordres, Aie. (ordenar de
Poêle, Mehren 27.
orden sacro, ordenado de orden sacro, synonyme
voyez~sous
« - attentatoire, Bc. — Epithète du bois de de aussi: graduado por ordenado). — Canoniser,
déclarer saint, inscrire ait catalogue des saints, Ale.
sandal blanc ,
benjoin, Bc.
> adj. rel. de ?.,
>(pers. nom d'une ville
(canonizacion •• canonizado S >
£-=s^. j
— Subir un
examen pour obtenir un emploi ou pour être reçu dans
un corps de métier, Aie. (profession hazer en algun
en Perse, qui reçut plus tard celui de Fairouzâbâd. ff O e #
Elle était si renommée pour ses roses rouges, ^Jl officio). — JtXJLc passer un acte, Delap. 7. —
Par transposition pour -.~, accoupler, marier, Bc.
xacout 11, 147, 11, et pour l'eau qu'on en tirait III. La signification que Freytag attribue en der-
par distillation, Aboulfeda Géogr. 325, qu'on l'appe-
lait tla ville des roses,»~ Lobb al-Iobâb
nier lieu à cette forme: «aufugit ex periculo,
est peut-être empruntée au passage Bidp. 177, 8:
c.~»
v. b. De là chez Bc: (~j~> rose rouge de Damas,
et aussi lS)fr -incarnat, adj., et '~- incar- .J
nat, subst., Bc, Hbrt 81. mais dans ce cas elle doit être biffée, attendu que
empiétement,Bc.
~piétement, Bc. O* dépend de ~,
et non pas de ~L>., verbe qui
Kj~>
mouchoir de mousseline blanche, brodé d'or a ici son sens ordinaire.
ou de soie, Bc. IV, permettre, aussi c. a. p. et r. (il lui permit
de), Gl. Abulf. — Dans le sens de la Ire, passer,
au ng.,a~L~t~! la proximité du triomphe, traverser, Abbad. II, 10, 5, 196, 7. — Ce verbe ne
le prochain triomphe, Berb. II, 262, 1; seul jj s'emploie pas seulement quand un poète ajoute un
de ,
dans le même sens, Berb. I, 549, 7, où il faut lire second hémistiche au premier hémistiche d'un autre
,j
poète (Freytag), mais aussi quand un poète ajoute
ainsi, au lieu avec notre man. 1351, les
lui-même un second hémistiche au premier, dans un
man. de Paris 744 et 74~ le man. de Londres et
l'édit.
l'édit. dedeBoulac.~
—
Boulac. - àà, côté de, Yoc.
Voc.
poème de sa composition, Abb&r 86, 6 a f. (cet auteur
a copié Ibn-Haiyân, 94 ro). -
Des exemples de l'ex-
'T. de cordonnier, grande forme en bois pour lessou- trouvent dans le Gl. BelAdz.
'-r,1 1
V, employer un mot figurément, .se construit c. j~>- Elcaia iemanensis Forsk., Bait. I, 271 b. —
Baidhâwî II, 48, 3 a f. — S'exprimer d'une manière ~;J~ nom d'un fruit décrit Bait. I, 272 c; leçon
,
impropre, dire ce qui n'estpas strictement vrai, Abbad. (i/
de AB (S qui est peut-être bonne, car on
I, 317, 4 (cf. III, 158). — Détourner le sens d'un
mot, Gl. Manç.: dans trois passages du al-Kitàb al-
Mançouri le n. d'act. v_jL^o^ ne signifie rien autre
se marier, Bc.
VI, dans le sens de dépasser, outre-passer; on dit:
il fit jeter en prison ces deux personnages L~L~
(1. UPjAC) ~c-&3 «et en outre quelques autres,»
Haiyân-Bassâm I, 10 vo. En parlant du serment de
,
fidélité prêté à un sultan qui vient de monter sur le
;
synonyme de ~L~! )".=:--, sedum cepœa,
ainsi nommé parce que les oiseaux qui portent le
nom de katâ aiment à manger les fruits de cette
~L~~, Haiyân 3 r°, pour indiquer plante, Bait. 1, 272 b et d. — )".::-- voyez ),=:--
que ce serment fut prêté, non-seulement par les grands,
mais aussi par le peuple en général. ~L~-! ~\J~>-.
voyez Bait.
- ~-j~J!
1,
273 b;
noix d'une plante indienne,
dans le dict. pers. de Richard-
Becrî 149,1, dans le sens de: «d'autres n'exer- son: the physic-nut, c.-à-d. la semence de Curcas
cent pas ce métier.» purgans, espèce d'euphorbe.— )".=:--, synonyme
X c. a. p. prier quelqu'un ou lui ordonner de ré-
citer le second hémistiche d'un vers, après qu'on en
,
a soi-même récité le premier, Berb. 1, 432, 9.
vouloirpénétrerjusqu'à, Gl. Bayân.
;
j;.:?- nœud de la
,
gorge, Aie. (nueç del cuello).
C.
I, c
269
)..B-, Bait. I, 269 (AB).
c (AB). —
-,
sedum
sedu'm
J~\A->.-j!
,
275 d.
coco, fruit du cocotier, on dit aussi ..).j.g> )..B-, Bait.
nux Abysslnica, Bait. I, 273 c. — L >
(muscade); (~J~LP
I, 275 b, et Bc. Pagni MS donne ce
5 de Jong, et
on trouve aussi dans les man. dernier terme dans le sens de muscade. — j~-?" ~L&J
~,
CI;¡¡,
fû>ûS)
Most. La (où N a
mangostan, Bait.
-
~). rw=:-
I, 274 b, qui
djîm du second mot se prononce avec le dhamma
(jmJOcs- chez Freytag est une faute); aussi rIoNS
(pers.~
atteste que le
~,
tion, pour
pair; mari,
,
couleur fauve, Aie. (leonado color).
ruade; j'~—~'
paire;
o *»
,
Bait. ibid., Most., et *t~JL& Most. — X~=~!.~>.
a.L>. mariage, Bc.
nux Abyssinica, Bait. l, 272 e. —
O -
),.=:-
pomme d'Adam, éminence au-devant de la gorge, Bc. —
ij)-* noyer (arbre), Bc. -
Flocon, houppe, Aie.
(bivos de toca). — Noix de l'arbalète,Voc.; le b.-lat.
synonyme de Most. sous ce dernier (nux, voyez Ducange) et les langues romanes (ital.
noce, esp. nuez, cat. nou) avaient le même mot en
ce sens, et selon le Dict. de l'Aead. franç. noix
• nougat, Bc. -
S~
,, Vétat voulu
A. 1843,
i .;.1.:> mon décret est valable, j'ai
fi O ,
buhr R. II, 215 (deux fois).
e0 sauce pour le poisson, faite de noix et
j,L-?- solive; les dict. ne donnent en ce sens
la forme —~L<>.;
que
mais '*IL>» est beaucoup plus usité
d'épices, Aie. (nogada salsa). chez les auteurs du moyen âge de la littérature arabe,
,
Gl. Edrisi, Voc., Aie. (viga), Domb. 90.
~t.~->-
w
= !<.~>-, la meilleure espèce de raisins, M.
« que
le gouvernement de Mossoul avait été donné
est pour pair ou non, t. de jeu, ^>«îV à,» Khallic. I, 180, 2 SI. — Examen, Aie. (esamen,
ou impair, Bc.
profesion en algun oficio). - ,
Canonisation, Aie.
,
j-fr^ nymphe, premier degré de la métamorphose (canonizacion).
des insectes; -
fève, nymphe de ver à soie, Bc. > - plus permis, Gl. Maw., Abou'l-Walîd 62, 8.
a~o-, „
pour a-SL>., pl. j~~,
ajxs», par transposition pour
solive, Voe.
mariage, Bc.
-~ clergé, l'ordre ecclésiastique, Aie. (elerezia
orden).-
que, Bc.
~~-~ licence, liberté poéti-
quelque chose pour le faire passer, » Daumas V. A. est rendu par vadum ou locus dans la tra-
351. — Dans les actes notariés, oS duction latine d'une charte sicilienne apud Lello p. 9
capacité de
,
et passim. — Galerie, allée de communication, Aie.
contracter, J. A. 1840, I, 381, 1, de Sacy Chrest. II, (portai para passear), Bc. — Passage, péage, droit
~, 2, Amari Dipl. 109, dern. 1., Gregor. 42: qu'on paie sur un vaisseau, une barque, Aie. (passage
de nave o barca). — Baie, golfe, Ht.
- ~, „O i
Le vulg., par transposition pour double;
-el. C'est le synonyme de «l'état
s.* 'sSàXi fusil à deux coups, Bc.
voulu par la loi» (voyez sous mot
examiné, Aie. (professo en algun oficio). —
seul s'emploie dans le même sens, Macc. III, 122, Passager sur un navire" une barque, Aie. (passagero
4, Amari Dipl. 96, 2 a f., 180, 1, Formul. d. Contr. de nave o barca).
- )
examinateur, Aie. (esaminador).
t;-;Ls~. J'ai soupçonné, Gl. Esp. 172, que le terme
Chez Ht légalité. esp. almojaya, pièce de bois saillante fixée par une
extrémité à un mur, est une altération de 8j.il-fo,
examen, Aie. (esamen). — Chez Aie. ce mot proprement «la saillante.»
signifie aussi: Comunalia mediana;. s'il faut lire
«modiania,» qui est en effet le synonyme de «co-
/~Jb. forme au pl. ~, Becrt 158, 5 a
#
f.
munalfa,» le sens est: modération, retenue, mesure. (J!~~, t. de marine, amure, J. A. 1841, I, 588.
solive, L (laquearia, tignum (trabes tecti,
, j-*~-~ = j**»)l>», opopanax, Most. sous le dernier mot.
ut stipes), trabes). Je soupçonne que cette forme
d'un arbre et de son fruit dont il
(?) nom
irrégulière, qu'il donne trois fois avec toutes les
est question Bait. I, 375 g (AB), où on lit que,
» »*
voyelles, est une altération du pl. ;!!,.:?-. selon Edrîst, c'est un mot persan.
, -L*9;.Ilj,; "'rJ'LS K-a~>. meute de
chiens, Payne Smith
de musique (= -
est aussi dans le M le nom d'un instrument
et ,*~>); mais dans les passa-
- ~t9t->-
Sombre, obscur, Aie. (sombria cosa). Simonet) tronc, souche, Aie. (tronco de arbol, chuq,
pl. chuqît, tronco pequeno, chucayâq, pl. it). D'après
gourmand, Ht; le glouton envieux et maus-
le P. Lerchundi, s'emploie encore en ce sens,
sade qui voiidrait être seul à table pour tout dévorer, mais rarement, au Maroc.
Daumas V. A. 315. }
.J~->- (pers. qU^j-j>-)
#
crosse, bâton courbé par le
bout pour pousser une balle, une boule, bâton crochu
veine-cave inférieure et supérieure, les deux plus gros par un bout pour ramasser le djérid, Bc, Maml. I,
vaisseaux du sang, Bc. 1, 122 et suiv., 1001 N. I, 27, 11 a f. et 6 a f.
pl. \_À-t~L-~' cavité; — ventricule, cavité
cier qui porte ledjoukân (voyez) du sultan, de Sacy
dans le cerveau, le cœur;
the, cavité de l'oreille, Bc.
- ~J"~ ~-~~ labyrin-
Chrest. I, 279, 504, Maml. I, 1, 121-2.
3e--à-
I,
dans le sens de parcourir, se construit parfois
avec l'accus., au lieu de la construction ordinaire
~j~>-
O *. dans le X~>-
o<
sens de bande, troupe, Dict.
CI:!>
de Richardson, avec le pl. M, Fleischer Gl.
72, n. 1,Abou'l-Walîd 628, 30, 629, n. 73, Saadiah
ps. 22. — A la Mecque, morceau de musique que les
M.
II aller
quiera cabo) et
,
en pèlerinage, Aie. (peregrinar a qual-
M pèlerin, Aie. (peregrino mucho
tienpo, romero; l'un et l'autre = ~Le~).
,
K~>-, bande, troupe, forme au pl. dans un
passage dIbn-Iyàs cité Maml. II, 2, 212, on lit:
•
III. ~-~J j-
!,J-,L::-- «ils s'exercèrent à des combats
simulés,» Khatîb 65 ro. — C. a. p. combattre quel-
qu'un, Berb. II, 536, 3 a f.
àetetlà,
errer ,çà
VVer"eI' là,traverser unpays
tt'avei'ser un entoutsens,
pays en tout sens, p. 93, p. e. s'enfoncer dans une caverne, 1001 N
Gl. Edrîsî. On dit J~J, Gl. Djob., Abbad. Bresl. IV, 107, 8. En parlant de la mer, s'enfoncer
II, 82, 2, ou au-.,JI j, Djob. 13, 2 a f., Haiyàn
dans la terre, c.-à-d. former un golfe, Gl. Edrîsî,
On dit aussi, en parlant du territoire d'une fovte-
0,.
s'agit d'unejambe de bois, et non pas d'une béquille;
perte; enjôler, cajoler; attraper, tromper, duper, Bc.
je crois aussi que si l'auteur avait voulu désigner une
V dans le Voc. sous circumfodere. — S'enfoncer,
béquille, il se serait servi d'un mot plus ordinaire.
Bc, pénétrer bien avant vers le fond, vers l'extrémité,
,.<j~<'«
Fleischer dans son édit. des 1001 N. XII, Préface, renfoncement, Bc.
-
honneur, Voc. — Faveur, bonnes grâces,Bc.
Force, violence (quand on force quelqu'un à payer
une contribution), Macc. I, 687, 3 a f.
polaire, J. A. 1841, I, 590.
— Etoile
O
K~>~!y>-
# )
**
X~!~>- joaillerie, pierreries, art du joaillier, Bc.
bijoutier, diamantaire, lapidaire, Bc.
joaillerie, pierreries, art du joaillier, Bc.
puanteur, M.
1-
mais je crois qu'il faut dire -:.;.Jt ~-~J!.—-~->- chemin les mena vers cette maison,» 1001 N. I, 67,
J~jL~ fausse perle, Domb. 83. — j~-~~ XL»r>-,
'JCI' chez
sa quote-part de la dépense, je payerai pour lui,»
Rhazès, l'action qu'exerce la nature d'une chose, na- 1001 N. I, 60, 5 a f. — C. aller à, convenir,
ture qui lui est propre et qui ne provient pas d'une
habit ne vous va pas, il n'est point juste à votre
taille,» Bc. -
qu'un, lui plaire, Bc. —
être du goût de quel-
et
ù,jtA. -
Le n. d'un., au fig., la perle des hommes,
C. coûter, p. e.
(mot), essentiel, décisif, Bc. bien vous vaut votre place?» Lfgi;.l
.lJ".
m O«• dans le Voc.
H—!.-~->- sous gaudere; cf. sous la quel profit vous reviendra-t-il de cela? » Bc. — ';JiL::-
Ire forme.
«
1
&^su CI.
revenir à soi, reprendre ses esprits, Aghànt 52,
.~>--~> oaillier, bijoutier, Bc, M.
bijouterie, commerce de bijoux, Bc.
- O 4»« convient-il de parler ainsi (osez-vous bien)? » Bc. —
~~L~ diamantaire, Bc. m 36-k. «je
LÎA
te la garde bonne, » Bc.
~L>~ p~J~ «
à compter de ce jour et du plus beau blanc, Descr. de l'Eg. XII, 400.
pierre calcaire, Bc.
-
en avant,» de Sacy Dipl. IX, 471, 5 a f.
ce verbe de --L-> suivi de la préposition y, et il a Most. dit (sous le djîm) qu'il a trouvé ce mot écrit
les mêmes significations que ce dernier: amener, ap- avec le M, le kh4 et le djîm.
porter, porter, rapporter, produire (arbre), faire venir, chaufournier, ouvrier qui fait la chaux, Voc.,
produire des témoins (~), Bc, Hbrt 190, Abbad. II, 233, 11, Macc. III,137
i
donner, valoir, rapporter
16, Çalât 9ro.
du profit, mettre bas, faire des petits, Bc. On le
)~L~ four à chaux, Descr. de l'Eg. XVIII,
trouve déjà dans le R. N.; voyez les passages de ce part.
2, 139.
livre que je cite sous et sous Ju~Lc". Mais le S »5
en parlant d'un terrain, plein de cailloux,
peuple a plus ou moins oublié l'origine de ce verbe;
Ale. (aguijeno), Auw. I, 240, 11.
:
de là vient qu'on trouve chez Bc les expressions sui-
vantes c. J procurer, causer des désagréments,etc.; —
c. At représenter, exhiber, mettre une chose sous les
yeux; - Ac t~L> repasser dans sa mémoire; — (j~~>- pet, Bc.
(j~-jk—>- pistacia vera, Bait. I, 276 b; leçon de
prendre à quelqu'un, lui attribuer le tort, le rendre BCDELS; A
responsable de; — à v-jc?- représenter, offrir
~A.~ ne signifie pas, comme on lit chez Freytag,
l'image, l'idée; — y\.::- ranger à la raison,
mettre à la raison, réduire à la raison, au devoir — ; une excellente espèce de palmier, mais c'est le nom
que porte dans l'Irâc une espèce de datte très-mûre
y\.::- parler mal de quelqu'un en son absence
médire.
II appeler, Voc.
V être appelé, Yoc.
~JLJt.
XÂx^. (du nom propre Chine) oranger, J. A. 1843, II,
~relle.,
— La viande de bêtes mortes de mort natu-
Aie. (carne mortezina), Hist. des Benou-Ziyân 220, 5; cf. s.
~&A>.
plus exactement ~t, pour ~gJî, etc., Macc. I, 855, auils>^.4-r>- Ten Years 27, 32, 38, 125,
~,
~, 138, 161, 259 etc. (hampers), Afgest. II, 102 (hambi
14 et 16 (aussi dans l'édit. de Boulac), avec la note
de Fleischer Berichte 261. comme pl.), 169 (hamba comme sing.), etc., R. d. O. A.
b haïe, cri des charretiers pour animer les chevaux, Bc. III, 318, VIII, 9, Pellissier 53, 376 etc., Dunant76.
voce (dans N une fois ~<L~-). 4 (Lane a la Xe forme construite de cette manière).
V c. J p. se faire aimer par quelqu'un, Voc.
,.LaL~ (X*(*»i(Aijhov) camomille, Most ~yO ~&>lY
Xse faire aimer, Aie. (ganar amor de otro).
~)s'~ ~uùlp.
pl. A Tunis on donne ce nom à des m +
t-~-s~. Le pl. du pl. ~L~J~
yy
les grains, le blé,
spahis d'élite attachés en tout temps à la personne
du bey et qui ont des fonctions analogues à celles
des corps de la gendarmerie en Europe, Hist. Tun.
s\jà*a]\ ;
Forge, etc., Bc. — Pilules, nom d'unité S, pl. y ~y
,,
fie, selon Prax R. d. O. A. VIII, 346, la même qu'ils ressemblent aux graines des courges, Gl. Manç.
plante que le terme qui précède, à savoir lepidium
sativum L.; cresson alénois. - ~! '-r*' les racines
du souchet comestible, amandes de terre, Sang., Aie.
p<A~ '—~" Ue-:-l
(chufas specie de juncia), Rauwolf 63, Bait. I, 279
e et d, 536 d, Most. in voce, Gl. Manç. sous ~Jiy Au
52, où
de Dioscorides : est la traduction des paroles
~arEI ÏKyuvùx ~Trhxrelxv, Chec. 199 ro:
j
~o*
Maghrib on prononçait r-1jJ' ~V-5* car la première
voyelle est un dhamma dans les man. du Most. et
qLUimJI 3 a f.—296, 3. - coccus ou kermès, Bc.
du Gl. Manç., et un u chez Aie. —
~G
Â
- ~vJLiUîG -
datte d'un petit palmier, Sang. —
vii^JLiiSî (et non pas ~oJUiH, comme chez Sang.,
cannabis sativa, Bait. I, 279 e, de Sacy Chrest. I,
car Bait. I, 282 i, dit que le lâm a le fatha) sorte
synonyme de (j~~J! ~-~-,s~e~/MS~rc, herbe aux de vesce ou ers, haricots de VInde, Sang., Bait. I,
dernier mot. — ..T-?.F' '-~-~
poux, Most. sous ce
pignon, amande de la pomme de pin, Bc. —
282 i. - JjiJlaJî Dans son article sur ce terme,
_ROLWI les graines du vitex ou Agnus-Castus, Bc. Bait., 1, 282 g, ne dit nullement ce que Sonth. lui
I
—
fait dire, mais il se borne à renvoyer au ^, c.-à-d.
~~<jt~
- lebouton
sorte d'ornement de femme, M (sous ~v^c).
-c~t '-""> genièvre, graine du genévrier, Bc. — à l'article jJi.U (II, ~312 e).-
LeWl chez le
<-~s>- le boutonde la
de la sueur, DaumasY.A.
sueur,Daumas V. A. 425.
425. vulgaire en Egypte, le fruit de l'anagyris ou bois-
- ~yi v-*s>, moins bien ~la>, les racines du e
puant, Bait. I, 83 c, 279 b, 355 (où le «Elhalâw»
de Sonth. doit être changé en ~JjCJI leçon de
souchet comestible, amandes de terre, Léon 580, Mar-
mol II, 288 c, Rauwolf 63, Voyage dans les Etats
AB), II,. 132 g.
Aussi cette plante même, Bc. —
~Lj~J( genièvre, graine du genévrier, Bc. —
barbar. 170 (où il faut lire «habbazis,» au lieu de \JL~ ~-c~ le fruit du coqueret ou alkekendje, Bc;
«halbazis»), Pagni MS, Descr. de l'Eg. XII, 170,
mais dans nos man. de Bait. la dernière lettre de ce
Prax 24, Ztschr. XI, 524, Bait. I, 279 d (où il faut
mot est constamment, si je ne me trompe, un tcau,
biffer l'article, qui n'est pas dans AB). En sicilien
et non pas un fa ; il dit que c'est un terme de la
Cabbasisa. Le terme Babbagigi, que la Crusca donne,
langue vulgaire de l'Espagne ou en général du
d'après les Voyages de Targioni, comme le nom d'une
racine que l'on apporte à Chypre de Damiette et que
Maghrib, I, 281 e, c, e
II, 182 339 (où il n'est pas
l'on mange rôtie au four avec des pois chiches, est question d'Arabes, comme chez Sonth., mais de
i
M Avec l'article, les amours, l'objet aimé,
Bc. - QIAAAOH voyez l'article qui précède. —
~~J~ ~L~'! ceux qui ont un amour passionné pour
|ju\:) Macc. I, 121, 16, II, 409, 16, Bat. I,186,
d
Il, 391, Auw. 1, 20, Bait. 1, 282 b, II, 282 b,
Calendr. 58, 1, où l'on trouve comme
est
Dieu, Macc. III, 675, 23.
l'équivalent de pièce, dans le sens de
chacun, chacune, comme on dit: «ces oranges coûtent
dans le Most., au lieu de «djJLlt c'est comme
vingt-cinq centimes la pièce,» Gl. Edrîsî, Berb. II,
on dit
J~J~ ~s;W' (p. e. 1001 N. Bresl. II, 98, 6).
138, 4. — Nom d'une très-petite monnaie, Tha'âlibî
On dit aussi ~gUuJl ~uc», Auw. I, 133, 5 a f., Shaw
I, 223, cf. la leçon du man. N dans le passage du
Most. que j'ai cité, comme on dit ~,h1M*Il «l'amour sans un liard ne vaut pas un grain de blé,
ne vaut rien.» C'est ainsi que ce proverbe se trouve
Hoest 305, non pas, comme le prétend ce voyageur,
au commencement des 1001 N. (j'ai négligé de noter
parce que le sultan seul a ces fruits, mais parce la page); on le rencontre aussi chez Freytag Proverb.
qu'ils sont exquis et délicieux, un manger de roi,
Le duel Z> y
III, 89, no 529, mais écrit d'une manière incorrecte.
Becrî 62, 13. — Nom d'un orne-
ment de femme; c'est une sorte de grain de chapelet
gnifie en outre: l'amande du grand pin à pignon, Bait. en or et ayant la forme d'un cube auquel on a coupé
I, 282 b, Auw. I, 269, 4. Chez les médecins en une partie de chaque angle, Lane M. E. II, 409.
Orient, Euphorbia Lathyris, Bait. 1, 282 b, II, 459 b.
t'
Davidson 96 traduit le mot par coquille, et il parle
Nom d'une graine purgative, Descr. de l'Eg. XII, d'une petite «habba »
qui consistait en une pièce
136. -
et purgatif, dont
nom d'un médicament composé
v*-2*"
Rhazès donne la recette, Gl. Manç. —
ronde d'agate. !L~—!<~>. ~l4> des grains de chapelet
noirs et ovales, avec des lignes circulaires blanches
plxÀil ~-~t parmi le vulgaire au Maghrib, les fruits
ou d'un bleu clair, Lyon 152. Cf. ~Cr s~LaJ! ~A-A->
de la smilax aspera, Bait. II, 256 b. - Jwxlli s~L& (= ij,))l¡j, pi) = la plus belle partie de sa poésie,
tag, car Bait. I, 279, 1. 6 et 1. 14, l'en distingue, Daumas V. A. 357. — X-~<J! ~KAS» voyez sous
mais indigotier, comme traduisent Sontheimer (Bait. ~5
- t~~!
20). Aie. donne: maravillas 1
I, 278 f, II, 184 c) et Clément-Mullet (Auw. II, 307,
à4* en espagnol
maravilla désigne un grand nombre de plantes. --
et sous bouillie, Payne Smith
1251. — ~sjllL ~Kék (Freytag omet mal à propos l'ar-
ticle du premier mot, Gl. Edrîsî), anis, est, selon
Bait. I, 281 g, un terme dont on se servait en Es-
~4J' ~u> cardamome, Bc, Burckhardt Nubia 261.
~al; ~V^O- même sens; aussi: graine ~deparadis Sang. — y
pagne. - N~L-s>. 4->
même sens, Bc (Barb.). —
~~JLewJ! ~l4> «plante inconnue au Maghrib,» Gl. Manç.
Termes dont l'orthographe est incertaine: .~j'! v9*
dans AB de Bait. I, 280 c, chez Sonth. ,~*J!
(il traduit: Amyris Opobalsamum), chez Ibn-Djazla,
~< in voce; c'est cannabis sativa, voyez sous ~uu>.
xLwJt
2
-
bouton d'Alep, sorte de maladie éruptive,
man. 576, .~j~
~-~>(~c); — Habelcudùl, parié-
taire, Pagni MS; — Habel mickenes, les petites baies
de la Cassia Monspeliensium, Rauwolf 288. signifie pas seulement nielle, herbe aux épices, mais
m
= ~—!. vase à lait, Mehren 27. - ~*
~v—^ c'est aussi le synonymede et de £+«*3 (voyez
Q'U*MI.lit, aussi QLX-MASI
«
en Espagne galiutn ces mots); il désigne par conséquent: des grains noirs
qui viennent du Yémen et dont on se sert pour nom de deux étoiles de la queue du Capricorne,
guérir les maladies des yeux, Bait. I, 282 a, II, 351 j, Cazwtnt I, 37, 20, Alf. Astr. I, 79 (amantes).
of. le passage du Gl. Manç. que j'ai cité sous
„
Aussi: la semence de la fleur du fenouil, Lane M. E.
I, 383 n., II, 308. - Cyf^\ ~XMW est le synonyme - ~OS
UMtàjJt moi (subst.), le moi humain, Bc.
-
de (voyez),
~O Sang., Ouaday 332; — prunelle ou jLj-jsWj familièrement, Aie. (familiarmente).
— ~Je
t~)j~-~ par votre bonté, grâce à votre bonté, 1001 N.
pupille, Bc, M. — X~~S ~Xe--
~4j
Coccus cnidius, Bait. II, 120, 8 (dans la trad. de Lane: cthrough thy
-û, „
e (AB), cf. II, 488 f. —
I, 282
,
Bc (Barb.), Hbrt 36, Roland, Daumas Mœurs 55.,-
(j&~! X~~- diarrhée, Daumas Y. A. 426. été commandé parune loi, Vêtem. 174, n. 7.
marchand
~uIL>marchandde
de l, 374,
blé, car selon Burton I, - O###
coquelicot,Yoc., Aie. (hamapola, en arabe hap-
~(3y* signifie «marché au blé,» et dans cette papâvra, coll. happapâvr), Ibn-al-Djezzâr, Zâd al-mo-
sâfir: ~1** ~&5 o~ vJLJIm. Je rétracte ce que
expression ~L~. est le plur. de littéralement j'ai dit dans le Gl. Esp. 284 avant de connaître le
«
le marché des marchands de blé.» Voc. et l'article d'Ibn-al-Djezzâr; je crois à présent
K~L~- esclave favorite, concubine, Barth III, 359. que les Arabes d'Espagne ont formé ce mot du latin
papaver, en y ajoutant un ha au commencement,
granulation qui survient à la partie inté-
peut-être par l'influence de l'arabe ~vo-. Les trois p
rieure de la paupière du cheval, Auw. II, 581, 13. d'Ale. plaident pour une origine latine; mais il n'en
~<
- > aimant Dieu, pieux, Djob. 249, 11, Macc. est pas moins vrai que les formes esp. doivent leur
I, 588, 19, 939, 16, II, 666, 11. C'est surtout aux origine à la forme arabe. Lerchundi écrit
£ ~#OS
.e~,
~YO., et
Soufis qu'on donne ce titre. — (les deux amants) Domb. 73, qui traduit ~bIllet,
~.r:> ~Jd3, Descr. de l'Eg. XII, 170: «Etoffe habar
de Mehalleh.»
grappe un à un, M.
,1,,y ~,0
ïjpontificat y dignité de grand pontife, de pape, Bc.
}
dans le Hidjâz et notamment à la Mecque,
pastèque, melon d'eau, Ztsehr. XI, 523, n.46, XVIII, !<y~. Dans la langue classique,
555,1.1. ce mot, comme
Freytag (Einleitung, 310 et 311) l'a observé avec
proprement ver luisant, est devenu (Bait.
raison, n'est pas le nom d'un vêtement, comme on
II 318 a) le nom de la plante appelée en espagnol l'a dit et comme on trouve aussi chez Lane, mais
colleja, chez Colmeiro Silene inflata Sm., qui est celui d'une étoffe rayée qu'on fabriquait dans le Yé-
très-proche des Lychnides, et que les auteurs plus men; voyez Azrakî 174, 1, où il est question de la
anciens désignaient par le nom de Lychnis. La
hv%vi$, dont le synonyme est Xx[A7râq chez Diosco-
cf. les 3 dernières lignes de cette page et 176, 1,
rides, a reçu ce nom parce que «sa fleur luit presque
comme une flamme» (Dodonams 271 a), et c'est aussi
177, 9, 180, 8, Ibn-Hichâm 1012, 11, 1019, 9. La
a meilleure espèce venait d'alDjanad, Azrakt 175, 9 et
pour cette raison que le nom de ver luisant lui 10 (où Wustenfeld a eu tort de prononcer al-Djond).
été appliqué.
Pour le sens moderne de grand voile ou manteau, en
soie, en taffetas ou en châle, dont les femmes se cou-
vrent quand elles sortent, voyez Vêtem. 135-6. On
volvulus, passion iliaque, colique de misé-
trouve ce terme avec cette acception dans les 1001
réré, Bc. N. IV, 319, 4 a f., Bresl. IX, 263, où l'édit. Macn.
r&::. II. <~ij0~ ~;::. polir le style, le rendre clair, Bc. a le synonyme En Algérie il a le même sens,
a
Avec ou sans complément, ce verbe signifie: écrire de Jong van Rodenburg 170, et chez Bg on trouve
avec élégance y
ou simplement écrire, voyez ma note
dans l'édition que Lafuente a donnée de l'Akhbâr 81,
:
sous ~voile yp- voile noir ou de couleurs obscu-
res, dont les pauvres femmes chrétiennes se couvrent
n. 1; Mohammed ibn-Hârith 281: quand elles sortent.» — ~ii';;'taffetas, Hbrt 203, Bc.
m ~0
£*• qui appartient à un savant juif, M. —
3 a f., Mâwerdî 171, 7, où il faut
~au ? d'act.
(.gj—*—
11, Macc. I, 241,
Pontifical, Bc.
lire ~Cjl ~)" au lieu ~dej^.y cf
Macc. I, 54, 19. Le nom est le syno-
y ~s
<~T'~* pl. c..5)4:> outarde y Bc.
- ~grand?messey
« ~,CI ~III CI
nyme de 385, 3 a f., et le partie. ^j^S"y vulg. pour qui appartient à un
~U',
Il
~Ïl ~) savant juif, M. Bc.
y
~TA--O
~w., de Calâïd 210, 16.
,*
~aubère mot qui dérive du terme arabe et
V être ornéyYoc.
~yp-sépia, Bait. II, b,
74 qui dit en parlant de par lequel on indique un cheval dont le poil est
la matière colorante que répand la sèche: ~«JOo
~-O5
)
couleur de fleur de pêcher, entre le blanc et le bai.
On l'appelle ~C, moins à cause de la ressem-
blance de sa couleur à celle du plumage de l'outarde,
qu'à celle de la chair de cet oiseau quand elle est
a-t-il le même sens chez Auw. I, 645, 7. Prélat,
Hbrt 150 (qui l'écrit avec le kesra, cf. Lane) Bc;
- cuite, Gl. Esp. 286.
, jL-t—c" fabricant d'encre, Descr. de l'Eg. XVIII,
pontife, Hbrt 150, Bc; ~jxS. le souverain pon- part.2, 403.
tife, lepape, Hbrt 150, Bc; aussi ~j^~i Hbrt 150. a ~y 410, 6, on trouve
~~e. Chez Ibn-al-Athîr, X,
~yp*
nom d'une étoffe, de même que a~~, R. N. le nom propre berbère Ojj»lï, et Nowairt (Afrique),
~O
#
qui a copié ce passage, observe: ~Igj QLtaÂ.»
IV se construit avec ~J&o de la personne à laquelle
ce qui signifie qu'il faut prononcer le g berbère en le legs est destiné, Gl. Edrîsi. — Dans le sens de
lui donnant un son qui tient le milieu entre le — et la Ire forme, retenir, de Sacy Chrest. II, 461, 2,
leé.
a.-*-~ sorte de poisson, Cazwînî II, 119, 3 af.;
chez Yàcout
~Le~~, 1001 N. Bresl. II, 87, 98, est pour
~s» V dans le Voc. sous stabiliro.
~JjÂit (j~L-~! rétention d'urine, Bc.
VII.
VIII, au figuré, rester stupéfait, comme on dit
yAA.Aà. I. Au figuré rendre stupéfait, comme on dit en latin: teneri metu, de Jong. — Tarder, aller lente-
en latin: tenet me spes, cupiditas, teneri metu, de
- £
,
mentyYoc. (tardare), synonyme de eUOJI Bidp. 211,
~_o
Jong. :
Occuper un défilé, Çalât 5.7 ~VO 1M.%&=^**>3 5. - S'attacher, saisir, Aie. (asirse). -Tenir, v. n.,
~C. -
en parlant d'une chose collée sur une autre, Gl. Mosl.
Isoler, p. e. les lépreux, les séparer de la société C. ~ijj dans le Voc. sous sustentare. — et ~q,
d'autres personnes, leur assigner un quartier qui leur s'abstenir de, Voc. — fr' U*~ se trouve chez
est propre, Gl. Fragm. — Soutenir,Yoc. (tenere et Aie. sous «retesar las tetas.» En espagnol, retesarse,
sustentare), Aie. (sostener). — Ce verbe se construit s'endurcir, se dit des mamelles des animaux, surtout
avec de la personne à laquelle le legs est des-
&-VA-ÇLà
lorsqu'elles sont trop chargées de lait. UN - :':
--i
tiné, Gl. Edrîsi. — C. p., pour ~j~-*—s~, ~JÛUMJdevenir ou être bègue,Voc.
s'attacher à quelqu'un, poète populaire Prol. III, ~CI, ) ? ~t»
(jw-o*. ,~3)~' tj**-{~' engourdissement, spasme, con-
traction,retirement, de nerfs, Aie. (envaramiento de
a bien peu de belles à qui tu puisses t'attacher et
;
qui s'attachent à toi » de Slane traduit « se confier :
à, avoir confiance en,» mais je crois qu'il se trompe. —
nervios);
nervios ~OO
) ; (j<~~ seul dans le
dans le même sens, Aie.
Alc. (enco-
gimiento de nervios). — ICXÂM ~J<~-~B~ diète, l'action
,
~bJl.:> (j**-~ se claquemurer, Bc. - &c~e~
y ~y
U~-~ re- de se priver d'aliments pour rétablir sa santé,Voc.
,
tenir dévorer ses larmes, Bc. — ~RJJI
dusang,Bc.
~l'écoulementdu —
u*~ étanchert
j-iù
st )dans le sens de fantassins, soldats à pied,
arrêter
arrêter l'écoulement sang, Bc. voyez Gl. Belâdz., p. 27, 1. 6 et suiv.
cloîtrer, Bc; &..Su ~j~-~ se cloîtrer, entrer dans un U"'4>-. On donne ce nom à deux bandes de laine
pl.
monastère et y prendre l'habit, Beert 36, 15 et 16,
noire, dont on attache l'une sous le genou, l'autre
Prol. I, 420, 8, Edrtst, Clim. III, Sect. 5 (Jérusa-
au-dessus de la cheville du pied, quand on a été
mordu par un serpent, Burton II, 108.
* chez les chrétiens, ltermite,
s'attacher, se dévouer entièrement à quelqu'un, Bokhâ-
anachorète, Bc, Hbrt 151, M.
,
qu'ils ont occupé,» car c'est ainsi qu'il faut lire dans (j»l ">• celui qui retient, Wright 109, 5, 131,
le Mem. hist. VI, 116, 5, comme le montre le fac-
n. 25, xvi, dern. 1., XVII, 1.
similé de ce diplôme. — ,~-t-~~ retenir son 4» réservoir, Aie. (lugar en que algo se re-
Lr.A-,-\A
haleine, Bc. cibe,retenedero) , Becrt 30, 3; bassinyHt; cuve,
II
se construit avec de la personne à laquelle baquet, Cherb., Martin 123. — Vase, pot, Voc., Ht,
le legs est destiné, Gl. EdrisI. — Emprisonner, Gl. Auw. I, 187, 12, où il faut lire avec le man. de
Fragm., Khattb 52 ro: lu****&}jxls, mais il faut cor- Leyde: ~\a~ u~L~~ 439, 19, 485, 1,
riger &m%*tW4. où il faut lire avec notre man. (j#*—»—^, au lieu de
ibid. 1. 6, qui répond à l'expression espagnole: «peer
en desfavor de otro.»
/j~~, n. d'un. S, Bc, basilic, Aie. (albahaca, qui
est formé par transposition du mot arabe), Bc. —
Anneau, bague sans chaton, jonc, bague unie, Bc, Menthe d'Arabie ou menthe sauvage, Gl. Esp. 339,
—
Hbrt 22, M. — Laurier-rose, Most. vo J3~: ~.:.r KâxÂj»
1. 9.
tartamudo).
~O }
Kj~~t~~e vase de nuit, Ht. santerie, les parties naturelles de la femme, 1001 N.
ywLfcxs»-!, t. de médec., constilJation, M. I, 63, 12. -
Lff-----~CI..
~w uv ci-,-. Dans AB de Bait. on
- Abyssins, Macc.
~U«uoL>t III, 683, 10. Pagni MS. — KJt~.s~ boire, boire beaucoup de
vin, se mettre en pointe de vin, se griser, godailler,
boire avec excès, se mettre en goguettes, en belle
(j&i~* joueur de farces, Lane M. E.
I,
I, 250, II,
manger trop, ne s'emploie pas seulement en
123.
humeur, Bc.
Bait.
~G-5
~iLk
I,
, chez le vulgaire en Espagne, pariétaire,
308 c.
parlant d'animaux, mais aussi en parlant d'hommes, pot de fleurs, Domb. 75.
Tha'âlibt Latâïf 108, 10. ~JtNAS~
composé de l'arabe ~Ju> et de la terminaison
~V-P Celui qui veut témoigner son mépris pour
1. diminutive espagnole ela, signifiait pariétaire chez le
ce qu'un autre vient de dire, IAche un pet, Ü
XJUS»,
: vulgaire en Espagne, de même que Ka~~, Bait. I
Athîr X, 186, 4 et 5; de là l'expres- 308 c, qui dit formellement que c'est le diminutif de
Sion ~oU: (~s~ Macc. II, 470, 5, ou ~O":ii
1 border une rote, une jupe, Voc. (suere, et des pauvres,.. de même qu'une espèce de clématite
dans une note capzar; le catalan capsar répond au s'appelle en français «herbe aux gueux,» parce que
castillan cabecear, qui a le sens que j'ai donné), Prol. les mendiants se servent de ses feuilles pour faire
III, 309, 12. paraître -leurs membres livides et ulcérés, Gl. Esp.
II entrelacer;
+ +C* mêler du fil, de la
72; ajoutez Bait. II, 299 b; lierre, Bc. — Au figuré
corde, etc., Bc.
V se mêler, s'embrouiller (fil, etc.), Bc. amitié avec quelqu'un, de Jong. yo-,
- «Jlo* homme
VII être bordé (robe, jupe), Voc. lent, lambin, Bc.
VIII. °
iiî)uA^b« entrelacé, Bc; se mêler, en parlant àJus». cordage, corde; amarre, cordage pour atta-
d'étoiles,scintiller, P. 1001 N. I, 21, 8, parce que cher; longe de corde ou de crin; laisse, corde pour
la scintillation, c.-à-d. la rapidité d'agitation qu'on ~Jya
observe dans la lumière des étoiles, surtout lorsque mener les chiens, Bc. — ~ïJuiL tirer en longueur
l'atmosphère n'est pas tranquille, produit l'illusion une affaire, chercher à la prolonger, Bc.
d'un mélange d'étoiles. Le synonyme ~tJ~! s'emploie xSus* conception, Aie. (concepcion
en la hembra),
de la même manière. — Etre plein, rempli, p. e. Bc.
~xJLLs», le pl. Jl—I®» dans la rime, Gl. Mosl. —
6; aussi absolument: être plein de monde, ibid., 1. 9,
I, 20, 8. Captivité, Berb. I, 57, 7.
xJlJLs»- corderie, lieu où l'on fait les cordes, art
tissu,
<é)wA»> petit ouvrage tissu, Bc. — Voyez ~Xxo».
K~ passemellt, Bc. — Reliure, manière dont un de les faire, Bc.
livre est relié, Bc. — Selon Burton I, 232, on donne ~55
~—
>
,4--e est chez Aie. «rebuelto, »
et Victor explique
le nom de habak à des cordons de soie cramoisie ce dernier mot par: enveloppé, révolté, mêlé, embrouillé,
qu'on passe sur l'épaule et qui portent l'épée. C'est brouillé, troublé, embarrassé.
~-o >
- y pl. de ~Kx+s».
peut-être ~gLo»,
âLlLx_s>- tissu, petit ouvrage tissu, Bc. — K-~JL~ oléandre,
~O est un mot du dialecte d'Omân,
K~L~L passementerie, Bc. — wLaJM K~L~- nervure, Bait. I, 281 d (AB).
parties élevées sur le dos d'un livre, Bc.
est
II engrosser, Aie. (enprenar a hembra), Bc. —
C. ace. dans le Voc. sous funis, probablement: faire bonne, car Bc donne aussi:~9 ~^jLs>
* faire accep-
des cordes. tion de personnes. — C. a. p. et ~%-jr., comme la Ire,
favoriser, gratifier quelqu'un de quelque chose d'avan-
V dans le Voc. sous funis, probablement quasi-
tageux, l'en doter, P. Abd-al-wâhid 112, 9.
passif de la lIe dans le sens qui précède. — S'en-
chevêtrer (cheval), Bc. VI, avec ~fC-A,faire acception de personnes, Bc.
~O
J~s". -
# Le pl. JoLcs»- (cf. Lane) chez Bc lien. sous — gravité de quelqu'un, le rendre sot, voyez Gl. Mosl.
Cordage, assemblage de cordes pour la manœuvre
casser des noix, des amandes, Becrî 41, 3.
1
Om
d'un vaisseau, Bc. — ~r>.C
Aie. (ristra o riestra de ajos).
,f,
J~-t-~' glane d'oignons,
-
s~J) J<~c~ cordon
~XXc- pl. ~~X> (ainsi dans M;
voyez Lane; Bc n'a
s;,j¡,
ombilical, Bc. —~~J J-~ collier de perles, Bc. — pas de voyelles), en Egypte (M), déchiqueture, tail-
lade; tranche; — mie, particule négative = j;
.L~J! le
0
grand liseron, proprement , corde
—
le pl. ~X&. débris, restes d'un pâté, d'un repas, et
~Ux>)
comme adverbe (pour menu, en petits morceaux,
ment de la racine
s~>, je rétracte la conjecturé que et très-souvent dans ce livre. 1
~Go*
bouc, Hœst 293; chez Cherb. et Ht ~J©-
(j~
»
nemis. — Dans le sens de même, on dit aussi 3 ;"tif.>; ~-~~
fém., Abbad. II, 159, 7.
p. e. ~0^3^ «même les enfants, jusqu'aux en-
,
fants » Bc. — Avant que, GI. Badroun. — Après
une proposition négative, au contraire, Macc. I, 238, <~J~~< pl. UUL---\A lieu où les animaux
se frottent
et se grattent, lieu ou on les frotte et les lave, Aie.
(rebolcadero, rebolvedero, estregadero para estregar
las bestias). Ce mot, qui dans le Voc. est )~JLs=~
w O«
o
~3«
est évidemment une altération de <~X~, le partie.
passif, dans le sens d'un nom de lieu, de la VIIIe
~s«
* 9
~w tranchant, qui décide hardiment, Bc. —
X~X~~e imposés, Roland.
IV dans L prefinitio >.eXe3 (sic) rW:J. tandis
qu'il a sous prefinitus (~X-~
gence de cet homme aurait été incapable d'adopter
les doctrines erronées des alchimistes, et encore moins
de les professer» (de Slane). — Suivi de pas
~>.# coercition, Bc.
pensablement, Bc, Bat.
-
~90+ décisivement, indis-
LtJ~.
III, 409:
seulement; ~&Z" ,-if.> «je ne l'ai pas seulement
**
naturel est indispensablement de faire ce qu'il dit.»
Nowairt Espagne 450. — Dans le sens de ~Jt,
~O R. N. ~e
~m ~Z---
~liLexpressément, formellement, Bc.
expressément,
t~'— coercitif, — décisif, — impératif, Bc.
pl-X-B» dogiitatisetit-, Bc.
ï6aLk le jugement, le décret de Dieu, Catal. des _>A-% et (~ verser beaucoup d'argent, le donner à
1
pleines mains, Prol. II, 150, 5, 151, 4.
man. or. de Leyde IV, 246.
~I )0)
vulg. pour J~X~-,
~,09
~I.{y^igs- faire le pèlerinage comme rem-
- •» M.
plaçant d'un autre, R. N. 92 ro: ~à, L~-; ~aï v^Jlï5
, ~5 1
.c-X-c~ (cf. Lane) est, selon Bait. 1, 283 o: cette
partie du fruit du palmier nain que l'on mange et On voit que la dernière expression est elliptique:
w
Xj~~e ~if ~gsA. q'JuaM
Prov. - m ~w
«trois
jours après jamais,) l(la semaine des trois (quatre)
convaincre,Prol.I,350,15.
w
juûis» mesure à Ouâregla et dans l'Ouad Mezâb, jeudis» (jamais), Bc. — Le passif~,;;..:> se laisser
1, 350, 15.
Carotte Géogr. 207-8, Jacquot 270.
s~*. III. ~&JLc~>-Ls~
il cherchait à le défendre contre
-
construit aussi c. ;-t.J'
a v£as>-
S
in- ceux qui l'accusaient, à le disculper, Berb. II, 551,
~J.' r., ~J,'
,
1 se
12, aller vite, trotter, en parlant d'hommes, 1001 N. rain, propos qui n'a pas de rapport à la chose dont
Bresl. XII, 267, 3, ou d'animaux, Macc. I, 557, 7. il est question, Bc.
«le vin, les coupes,»
:
— Quand l'objet de ce verbe est
etc., il signifie les présenter rapidement, de sorte
que les coupes se suivent avec vitesse, Weijers 48,
VI verbaliser, dire des raisons, Bc.
VIII c. ~if dans le Voc. sous disputare. — S'excuser,
Aie. (escusarse); c. ~J-c r. s'excuser sur, Bc, Hbrt
5, avec la note p. 169, 1. 1 et suiv., note de Flei-
scher sur Macc. I, 457, 3, dans les Berichte 188,
115. — C. ~(Jwe exciper de, Bc. - C. ~J-c alléguer
y
Gl. Mosl., Macc. I, 663, dern. 1., II, 558, 5 a f.,
Haiyân-Bassâm III, 50 Vo: la jeune fille ayant com-
pour motif que, motiver, Bc. - ~m ~Will
X—>\-.~-~ ~J~-~ OU
~gli*,M.
delaMeque,Bc. - vulg. pour
En parlant de coupes, etc., — 1 (voyez), Gl. Mosl.
X inviter, exciter quelqu'un à se rendre quelque ~m - L'expression
~«l«O que Lane a mal
~mj
part, Berb. II, 351, 6 a f.; exciter quelqu'un à venir,
~it
(«avec l'armée»), Haiyân 55 vO. —
traduite, signifie: la visite à Dieu, c.-à-d., à la maison
de Dieuy Gl. Fragm. — Le nom du dernier mois,
En parlant de vin, de coupes (cf. sous la Ire forme),
être présenté rapidement, P. Macc. II, 508, 15.
K-~~J~ ~5Ô ou
vains de la décadence: 1°
X~\-saJ! ~,J,
est aussi chez les écri-
~-,J, sans article,
Bayân I, 273, 6, Cartâs 5, 1. 3; 20 K-~-~! seul,
Rutgers 174, Ztschr. XVIII, 556, n. 1, Macc. I,
876, 17, II, 800, 12, 808, 18; 30 K-~., sans ar-
96.
,
ticle, Ztsehr. XVIII, 556, n. 1, Rist. Tun. 95, 2,
- Vulg.pour M. nommée ainsi parce qu'elle fait le pèlerinage de la
Mecque, M; ef. l'article qui suit; l'hirondelle de Syrie
voyez ce qui précède. est plus petite que la nôtre.
s
Fragm. ;
~L-~-~ titre, acte qui établit un droit, Bc, Gl.
contrat, convention notariée, Bc, acte notarié,
J. A. 1843,! II, 218 et suiv., 1001 N. I,
427, 5, n,
~gis».
On donne aussi ce nom aux chameaux qui
ont transporté les pèlerins à la Mecque, Relation of
a Joumey begun An: Dom: 1610, p. 124: «All are
82, 13, 473, 4 a f., III, 426, 6 a f., 661, 2 a f., called Badges: and so call they their Camela, han-
IV, 197, 13 et 15, 233, 2 a f., Macc. III, 656, 1, ging as many little chaines about their forelegs, as
contrat de vente, M; ~J - ~!Ze
~G
compromis, soumis- »
they have been times there. — Nom d'un oiseau
à l'arbitrage, acte qui la contient, Bc; 4\.>1 qui est appelé ainsi parce qu'il accompagne les cara-
~i! baptistère, extrait
sion
d'un
baptistaire, Bc; vanes qui vont à la Mecque, et qui, pour cette rai-
son, est considéré comme sacré. Il est à peine aussi
ampliation, double acte, expédition, copie d'un
grand qu'un merle, et son plumage est de couleur
acte, Bc. — Excuse (Hbrt 115), prétexte, défaite, cendrée. Il se nourrit d'escarbots et d'autres insectes,
détour, faux-fuyant, subterfuge, Bc. — Cassade, men-
Gl. Esp. 138, cf. l'article qui précède.
songe pour rire ou pour s'excuser, Bc. — Masque, — Nom d'une
au fig., apparence, Bc. — Incident, mauvaise diffi-
culté dans les disputes, Bc. — Acte, décision juridi-
que, Bc, sentence légale du cadi, Descr. de l'Eg. XI,
~ë;L».
voyez sous ~- -
^_s=uJî
~CI,
est le nom du document écrit par
512;
—
Affaire, Aie. (hazimiento por negocio, negociacion;
il jj~).
traduit aussi ces deux mots par~fi~y
— En par- L~ pl. ~>L-e retirade, t.
~3< ~(I. e ~1 de fortification, re-
lant d'un homme pieux, K-~Lc~ .J~, Khallic. I, tranchement derrière un ouvrage, Rutgers 166, 7 et 10.
299, 12 SI., où de Slane (trad. I, 587) observe que
I,
en parlant d'un prince, le tenir renfermé,
les hommes pieux sont appelés ainsi, parce que Dieu
le séquestrer de la société des hommes, le soustraire
les présentera le jour du jugement dernier, afin de
à tous les regards, Maml. I, 1, 10.
réfuter les pécheurs qui prétendraient qu'ils n'ont
VII dans le Voc. sous velare; être caché, Abou'l-
connu personne qui leur donnât l'exemple de la sain-
Walîd 545, 24, Kalyoubt 44 éd. Lees. — Etre retenu,
« r..,::- -
~j~, 325, 23.
VIII c. ~r' r. se couvrir d'une cuirasse, d'un cas-
que, CartAs 149, 8.
m A-X-jJ~XJ~ — Chez les traditionnaires, celui vr*L^V>>.xa>yCJt hymen, membrane, pelli-
qui connaît 300,000 traditions avec tout ce qui s'y
rapporte, à savoir leur texte, leur isnâd, le degré cule au col de la vulve des vierges, Bc.
de confiance que méritent leurs rapporteurs et le ~L~~ vulg. pour ~'-~, M.
temps où ils ont vécu, M. — Chez la secte des ultra-
Chiites qui portent le nom de ÏU*AuwJt, O,JL.t, quand
., invulnérable, Bc.
il n'y a pas d'imâm, M. K~
•« vulg. pour ~-'t
o « » o M.
~L~~ pèlerinage, Voc. (écrit ~;l^>). ~O
s-~—~-s~! invulnérabilité, Bc.
A 1 o. a. et ~e, Voc. sous tutor testamentarius (cf. Piècedujeu des échecs, 1001 N. IV, 194, 195; chez
Lane). — C. ~e r. se réserver Vusage de, Içtakhrt Bc on trouve &.P-J' ~u;.éj case, t. de jeu
42, 8. -7rbi ~ft' interdire au public Ventrée place pour poser un pion; ~iiato ~Ye pion, petite pièce
—
d'un lieu; ~(c ~lble «ils fermèrent leurs gre- du jeu de dames, Bo. — Un boulet, parce que,
niers,» Bc. lorsque les canons prirent la place des balistes, les
II. La constr. n'est pas seulement ~Kiojt > premiers jetaient des boulets de pierre, J. A. 1850,
I, 238. — Joint à un autre mot, ce terme, comme
(Lane), mais aussi ~c,
Gl. Maw. — C. a. et
~KteJ
Stein en allemand et pierre en français, s'emploie
~àr- dans le Voc. sous tutor testamentarius. — C. ~c
",'
p. et à
r. âter à quelqu'un la faculté de disposer de château d'Abou-Khâlid, »
pour désigner un château, p. e. t~JL~ ~J I(le
~.#" qu'on traduirait
~-1*JI
quelque chose. Dans le Formul. d. Contr., p. 6, on ,
en allemand par Geyerstein, Lettre à M. Fleischer
trouve deux Le premier est conçu
213-4. — ~JL la grêle, lorsque les grains sont
gros, Martin 171. -
En Egypte, pipe (pour fumer
le tabac), M; et sous !'~<=~.
Dans le second on lit aussi:
-~~C! ~0*>
~pjMj saisie,
vertir en pierre, car Bc
gement en pierre, et
-j~ lapidification,~ijaft
a
.T!'-<I..A
m *
L~ L~-$~ ~li -
arrêt, Roland. - Pétrifier,
pétrification,
con-
chan-
pétrifiant; il a aussi
~e.~
288
,<~JULj~
c.
~aj~
lapis Armeniacus, Bait. I, 292 f; dans
le Most. (sous a;!,)Wl ~^5>) on lit que (~A~
— lapis
est
le grec .LuL<.! et que ce terme signifie lapis-lazuli.
- cystéolithe, pierre d'éponge, Bait.
,
formation de pierres. — Paver,
(jwLDit diamant, Bc.
Aie. (enpedrar). — encaissement d'un —
V
-
chemin, Bc.
c.
Lapider,Yoc. -
VIII,
~LU = 2e signif. chez
Voyez -~ m + ~y
aen
la
quelles il n'y avait ni points-voyelles, ni points dia- fin du passage. Le texte porte: «AââaJI ~XJL*q «lXPj
critiques, sorte que la lecture en fut
limitée,» de Sacy Chrest. I, 234, n. 11.
t O Ht ce mot, qu'il prononce «hhedjer,»
-~s". Chez
noux , ge-
au pl. L'explication de cette signification, qui
parait assez étrange au premier abord, se trouve chez
j»**J!
-
j-ilo)—
voyez Bait. I, 293 b (il l'épellé).
,j~J~ -
- voyez ce dernier mot.
lapis Pauli, voyez Bait. I, 291 c.
- pierre
,j{L~L~-
ponce, Bc. ~XàsL^Î.
- lapis calceolariorum, Bait. I, 286 c.
^U-Ju* -
~à*?
- pierre de touche, Bc. m O*y
calamine, pierre calminaire, Bc.
~^,1 -
espèce de pierre qui se forme dans les
baignoires, Bait. I, 291 e. — Pierre ponce, Aie.
~~JLJ<
t5ï,,P"l
- voyez Bait.
~.7el
I, 287 a.
nommé Bait. I, 290 a, 1. 1; leçon
(esponja piedra pomez). — Espèce de rApe, faite
d'argile cuite, avec laquelle on frotte la plante du
pied du baigneur; voyez Lane M. E. II, 50. :.. ~y" ~-F~ (et cy~~) pierre (meule) à aiguiser ; —
~j~ - est quelque chose qui ressemble à une
grès, Bc.
~Jt!
pierre et qu'on trouve dans la tête de certains pois- ~»~iA
-
pierre qu'on trouve quelquefois dans le
nid des hirondelles et qui est bonne contre la jau-
nisse, M.
-«pierre 1, 289 b,
serpentine, Bc, Bait. Monco- - grenat, pierre
~alun,Bc.
précieuse rouge, Bc.
;
tiWXJi
- concrétion pierreuse qu'on trouve dans j-~~ pierre à briquet, silex, Bait. I, 291 b.
le corps du coq; voyez Bait. I, 290 c. ~o granit; — silex, Bc.
<~m - antimoine, Bc.
~CI> ~aSIhSI
- voyez le second mot.
~aL~
- lapis plumbeus, Bait. I, 289 d (Sonth.
O.=>Lb - meule, Bc.
~J<Jb~ - tripoli, pierre tendre servant à polir, Bc.
donne par erreur
¿¥J' ~!
l'article n'est pas dans AB).
voyez sous le second mot.
i1, -
~jjU
Bait.
hématite,
293 h.
sanguine, gJôUJl , Most. vo
~.o*
~OljpM
àlijJî
-~je pierre à briquet, silex,pierreSang.,
béryl ou aigue-marine,
précieuse, Bc.
Bait. I, - pierre Arabicus, I,
~'iJUt d'achoppement, Bc.
Most. in voce.
~-;
M ,..
— pierre judaïque, Bc, Sang., Most. in
voce, Bait. I, 285 c.
,
mLw^LâJ!
(~~*3 — voyez
- grand-œuvre, lapierre philosophale, Bc.
sous ..rf\.:> ~àkp sardoine, pierre précieuse, Bc. — r-«çà
m ~m
.~a~S — lapis morochtus, Bait. I, 284 d. — Espèce
..rf\.:> charbon de terre, Bc. - antimoi-
III, 229,
- même sens, Bc, Ztschr. XX, 502, Prol.
14. trouve Koseg. Chrest. 80, 2 a f.
;
~, ,JI 1( voyez Bait. 1, 289 j; A donne parfois < ~CI d'une mosquée. On lit dans le Cariâs, 43,
Sj-~~-
5, qu'un khatib s'assit ~tALe
avec le rd, et cette leçon se trouve constam- où il atten-
ment dans B. dit le moment où les moëddzins allaient annoncer
l'heure de la prière, lorsqu'il monta en chaire. Ail-
~vJXit
- voyez Bait. 1, 287 b. leurs, 35, 5 a f., la «hodjra» de la mosquée est
-
t-~~!
~-O
astroite, Bc. nommée encore une fois, mais notre man. porte
~~Jt pierre infernale, Bc. c.-à-d. 7é,-- au pl. Enfin on lit, 38, 1, que les
~!
-
~.y-t-JLJ! galactite ou
pierre de lait, Bc; aussi - )
~fi\> de la mosquée pouvaient contenir environ 1500
— voyez Mong.429 b.
~Jai\ CI» et M. Amari observe:
d'un puits et de deux ~àLJyè,
.~L<< - lapis Memphites, Bait. I, 289 e. «Sans doute c'est la ~XOVTÇP* d'une charte grecque
1 - cristal, L (cristallus). — Saphir, L(saffirus).
f*JÙ\ — aétite ou pierre d'aigle,bc, Sang., Bait.
de 1170, apud Morso, Palermo antico, p. 386, où
,
l'explication petite maison» suit dans le texte. Le
n. 37. Chez
de 1
gens des chambres;* voyez de Sacy Ohrest. 1, 156,
Khallic. I, 516, 19, ils portent le nom
+«•
d'armes, et qu'il était obligé d'exécuter sans hésiter
~.#'
.Of#!. j>L~
pl. carrière, lieu d'où l'on tire la pierre,
chaque ordre qu'il recevait. Cet auteur les compare
aux templiers et aux hospitaliers. — Le rebord, le
Bc.
- TerrainII, pierreux,
Sacy Chrest. o, a 7
Burton II, 70; le pL,
f.
de
bord élevé d'un astrolabe, Dorn 19, 27, Alf. Astron. - - ~pl.-e
«• O
~«r^4 il
endroit où
IX, 261: «alhogra, la armella que es sobre la tabla a y beaucoup de
mayor dell astrolâbio.» pierraille, lieu pierreux, Aie. (cascajal lugar de cas-
~8? pierre, Bc. — Masse de sel, Barth V, 26.
cajo, pedregal lugar de piedras).
- paillettes d'or, Bc. -
de
,<)r-t-~ aventurine, pierre précieuise-semée
<"~j~ 8ft\> crayon, Bc. —
~«;>;
pierreux, Aie. (pedregoso), Roland, Djob. 189,
12 (où Wright a eu tort de changerla leçon du man.),
~!j~iil*%-- la pierre du briquet, Bc. 8ft\>
~L~aJiJ~ noix de pipe, bout de pipe dans lequel on
- Auw. I, 90, 7, 97, 9 (où il faut lire «-~d! avec
le man. de Leyde), 295, 7 (même observation). —
; o.-
~++OÎ
met le tabac,
S—~~ pl. Bc
,e. pupille,
Aie. (pupilo menor de edad); orphe-
pierreux, Bc. — Rocailleux (style), Bc.
lin, Domb. 77 (fém. ~ii), Ht.
~CI
est une faute. (j~J-~~ petits cailloux, Delap. 161.
x-ljSpV»»
mélange de chaux, de petits cailloux et I. L donne: compello (cogo) eJ61.e, (3-^5 iel.«.
de sable, qu'on étend sur les terrasses des maisons; VII c.qC abandonner (Lane TA), exemple dans
le Gl. Mosl.
on l'aplatit, on le fait sécher et il devient dur comme
le roc, M. VIII se défendre (Lane TA), exemples dans le
jL~\&. mouchoir, Roland. Gl.Mosl.
~<L-~\o. de pierre, Gl. Edrisi.
~j "r'.;¡S quittance, Gl.
~o- ~y Mosl.
Le
1.1.
pl. chez Bait. II, 32 c: ~<3^1 ~¿''Õ
sens qu'on trouve chez Lane, mais aussi celui de
retenir, empêcher, qu'on trouve très-souvent dans l'Hist.
des Berb.; mais dans la première partie de ce livre,
de Slane a fait imprimer à tort ce mot avec un râ,
au lieu d'un zd, p. e. n, 117, 7 a f., 126, 10, 127,
des sens que Lane donne sous .;-=:L>.
— Dans le
4, 150, 4, 158, 11, 159, 1, 160, 5, 251, a f., 8
259, dern. 1., 260, 5; dans la suite on trouve le
:
passage Belàdz. 347, 6, ce terme signifierait, selon
:
le Gloss. chemin pavé, depuis la porte de la
mos-
quée jusqu'à la chaire; mais une telle signification
est plus que douteuse, et je crois devoir lire, avec
8, et A
mot avec un zd. Aussi
* 9 Macc.
~Pil
I, 4,
t~-t, Frol. 165,
1. 5.
le man. A, js*l>. (voyez ce mot). ~Ae. ~ii>l, Berb. II, 292, 12.
parez ~au
î,
~L9, espèce de raisins ronds et doux, mais in-
sipidei, Burton 1, 387. — Mode de musique, Descr.
livre est ~;, _,&d "to'l,¡(, Bc («un gros
de l'Hg. XIV, 23. — Fabricant d'entraves de cha- volumee)
meaux, Prol. 1, 241, 1, avec la note de M. de Blanc. — Meursinge 11, 13. ,
ou au contraire
: (~L~ moca, café de Moca en Arabie, Bc.
1
àû«L^" ventouse, Aie. (ventosa médicinal), Bc; chez
.;=:'-> pl. j=>-!~ cloison, séparation en planches, ML~~L>.
ce dernier aussi
en briques; — garde-fou, balustrade (cf. Belàdz. 347, <t~La~, pl. de X~-~% ventouse, était le
:
6, où la leçon du man. A me semble la véritable,
et où ce terme désigne un passage entre deux ran-
gées de balustres); parapet, mur d'appui sur un pont,
nom que
l'on donnait en Espagne à la plante qu'on appelait
-., (voyez), Bait. II, 491 d, parce qu'elle
ailleurs X*aLs^
une terrasse, un quai; plat-bord, garde-fou autour
du pont d'un vaisseau; — pale, pièce de bois pour a des fleurs bleues et renversées qui ont la forme de
retenir l'eau d'une écluse; vanne, espèce de porte
dont on se sert pour arrêter l'eau d'un canal; —
ibid.e.
levée, digue, chaussée; — valvule, membrane dans
les vaisseaux; — enclave, limites, bornes; — frein, ~tye- VIII
être retenu, arrêté, Gl. Mosl.
au fig., ce qui retient dans le devoir; —
.LJÎ-~L~
garde-feu; - ~—
diaphragme, Bc.
-
~lî .f?'l.:> paravent; ..;-=:--L> <-'L~'
les Pyrénées, Macc. I, 82,
~~->-Ls~ épithète d'une espèce de basilic, Auw. II.
289, 6, 290, 18.
17 et 19, 83, 4.
~,
fussent près de mourir,» Ztschr. V, 65. De même
p. e. A lit d'étais aux portes de
allégorie fondée sur le Coran, les principaux ministres
qui forment la hiérarchie religieuse de cette secte,
de Sacy Chrest. II, 242. — (Pour ~) aigre (style,
discours), Bc.
~M
presque un embryon,» ibid. 72. Aujourdhui on dit — Cresson, Bc (Kasraouan).
SLXS»limitation, Bc. —
dans le sens de jusque, ibid. 78. — Le lit
neutraliser, rendre neutre un sel, Bc.
d'une rivière, Aie. (madré de rio). — En logique. ~pénal,Bc.—(Pour~\s>.!)
dominical,
«Selon les logiciens arabes, on désigne une chose dominical, Bc.
par le genre et la différence les plus proches, ou par promptitude, colère, emportement, Bc. —
la différence la plus proche, soit seule, soit jointe
Plage, rivage, Ht (qui écrit: hhadia).
au genre le plus éloigné, ou par le genre le plus
proche joint à une propriété, ou par une propriété,
soit seule, soit jointe à un genre éloigné. La défi-
qui, dans leurs opérations, se servent d'instruments
nition ^Ju—Jtj* de la première classe s'appelle défini-
de fer, les opérateurs oculistes,» Ztschr. XX, 498. —
tion parfaite, celle de la deuxième classe, Coin, morceau d'acier gravé en creux, dont on se sert
définition imparfaite, (jxaSlJLit J~-; celle de la troi- pour marquer de la monnaie, Gl. Belâdz. — Avec le
sième classe,» etc., de Slane Prol. III, 154, n. 4.
pl. J~J~, fer d'une flèche, Aie. (caxquillo de saeta);
J~s~ le grand terme, jk*o\ le petit terme,
..h-.}t le moyen terme, Bc. — En astrologie. sorte de trait on de flèche mince et très-aiguë, Aie.
«Les astrologues partagent les degrés de chaque signe (vira specie de saeta); flèche, Aie. (sacra, mais il faut
du zodiaque entre les cinq planètes. La portion assi- y substituer saeta) ; trait d'arbalète, Aie. (passador
gnée à chacune s'appelle le terme de cette planète, tiro de ballesta).
parce qu'elle marque la partie du signe où cet astre B~J~ taillanderie, art, ouvrage des taillandiers,
exerce toute son influence,» de Slane Prol. II, 221,
n. 1.- Période, Bc; p~LJ~ J--.- âge nubile, puberté, Bc ;.dans le sens de: art du taillandiers aussi dans
le Voc. (comme chez Lane), mais dans la 2e partie En portugais alhada, qui semble l'adjectif ~wlJL, «la
il faut lire «ferraria,» au lieu de «ferararia,» et dans piquante,» employé substantivement, signifie: mets
la 1re il faut substituer «fabraria» (= ara ferraria, assaisonné avec de l'ail, Gl. Esp. 132. — Plante
voyez DucaDge) à «fabra.»
iiatxk K*.;,, serrurerie,
amère dont on fait la sauce pour le ~çyig ou aj~ac
art, ouvrage du serrurier, Bc.
SJ~J~ outil en fer, Richardson Sahara II,
283, 287 (hada); en compa.
Bc; souvent chez Auw., p. e.
rant l'article »Ju>-<fl-c, on verra que c'est sonchus
I,473,1, 488,19; scalpel, Formul. d. Contr.5: chendriloïdes.
,
oxyde de cuivre, Gl. Esp. 132. -
Le pl. <~-~~-c'.
dans le passage Müller S. B. 1863, II, 9, 1. 14, s'il
fallait en croire l'éditeur, p. 22, n. 9. Mais comme
il s'agit d'un temps de peste, je serais plutôt porté
entraves en fer, Daumas V. A. 167; — fers à re-
à croire que a.De--e yale
sens de malheureux, désas-
passer, Roland. — <i)LL& ttju~\> espagnolette, ferrure treux, que donne Lane. De même Abdallatif 122,
de fenêtre, Bc. — SJ~J~. pelle, Hbrt 197. — 2 a f., 242, 11, cf. la trad. de Silv. de Sacy 250,
HJuJo des figures de stuc qui imitent la den- n. 70; Khallic. VIII, 42, 6 a f.,
où unlivreest
telle, Afgest. I, 334 (il écrit nuksch). ~J~ c.-à-d., qu'il porte malheur à celui qui le
~~jL-s~ épithète d'une espèce de pigeon, Man.
Escur. 893. aJUo-î ~~Ju~ ~; 123, 6: Abou-'Obaida violait de
propos délibéré les règles de la grammaire, car, disait-
~jL-nX-~ ferrugineux, Bc. -Gris, Hbrt 81.— il: «l'observation de ces règles porte
Sidlritis, crapaudine, Bait. 1, 295b. -
(~\j~\s~
cÏ alezan, de couleur
malheur.» Dans Akhbâr 144, 4, le traducteur n'a
Djabala lui répondit: «Tu le feras dans la cour, et etj<~ voyez sous ~\c".
si quelqu'un veut nous empêcher de faire nos prières,
nous lui décocherons des flèehes.» — Prompt, colère, UAXâk V dans le Voc. sous gibosus.*
Bc. — Querelleur, Voc. — ~olJL 4.,.à4, en parlant ##
~uA>. ~o.
Le pl. wriiX»»! (cf. Lane) Diw. Hodz. 181,
du .JLS, la partie de la corde la plus proche du
vs. 3; gibbus d'une colline, trad. latine d'une charte
ehevalet, Delcr. de l'Eg. XIII, 308. — Le fém. ~h3ls». sicilienne apud Lello p. 21.
XjJ~ ;
bosse chez Bc. — Tubérosité,
le pl.
éminence sur un os, Bc. — Convexité, Bc. — X~
Fragm. hist. Arab. 120, 12 et 13, je propose de lire:
~~J~
> (vulg.) bossu, M. «il leur recommanda de ne rien faire avant qu'il ne
»
leur en eût donné l'ordre; R. N. 99 v°: un jeune
II. On trouve chez Freytag que ce verbe se homme s'était enfui d'al-Monastir, parce qu'il craignait
construit c. y
r. et aussi ~c. ;
r. mais ces deux d'être trahi par al-Ghadâmest qui l'avait vu baiser un
constructions ont un sens différent, comme on peut garçon, et, étant allé à Sousa, il y rencontra quel-
le voir en comparant Abd-al-wâhid 72, 16. Il résulte
ques personnes qui arrivaient d'al-Monastir; alors JL*
de ce passage que ~if c~X~ signifie: ne parler
d'une chose que par ouï-dire, et S.~J parler~>: L-~& il
de ce qu'on a vu, entendu ou éprouvé.
cation : «librum exposuit c. r.,» chez Freytag, est
y
-
La signifi-
~tJL*~SS « demanda à quelqu'un d'entre eux
si al-Ghadàmesî avait fait quelque chose après son
départ, ou s'il avait dit quelque chose à son sujet.»
,
bonne, car ce verbe signifie en effet: expliquer un
Aussi: se révolter, Gl. Belâdz., Nowairî Afrique 18 vo:
y
livre, l'enseigner, c. du livre. Ainsi on trouve chez
de Sacy Chrest. I, 119, 6 af. et 5 af., que Macrîzt i.u'tXfi»a.
* ° ~! (On lit dans le Gl. Belâdz. que
composa un ouvrage én six volumes sur les descen- KJLaJL* BelAdz. 173, 4 a f. et suiv.,
dants du Prophète et sur toutes les choses qui étaient a le
même sens, mais cette expression signifie plutôt:
à son usage, et qu'il l'enseigna à la Mecque, caXs»-$ causer du dommage). Et encore: commettre un péché,
-
C. a. p. et y
r. suggérer, inspirer, mettre Fragm. hist. Arab. 45, 1. — ~C.v_j, dans le sens de
mettre au monde, enfanter, au fig. en parlant de la
dans l'esprit
se flatter de
de quelqu'un, Bc. - + G- ~-~~
l'espoir de faire ou d'obtenir une chose, guerre qui donne des ennemis morts au vainqueur,
Gl. Bayân, Gl. Fragm. (où on lit que cette expres-
sion signifie aussi: «sibi proposuit rem, intendit, ausus
V, dans le sens de converser, s'entretenir, parler
est;» mais je crois que l'explication que j'ai donnée
s'applique a tous les passages qui y sont cités), Abd- avec quelqu'un, se construit aussi c. ~t4 p., Bc, de
Sacy Chrest. I, ~taf, 9. — Discourir, ne dire que des
al-wâhid 18, 5 (= Nowairî Espagne 471), Prol. II,
choses frivoles, Bc. — C. à ou ~Jc avoir l'inspection,
1, I, 1.
,
177, dern. 1. et 178, Berb. 2, 8, Bat. IV,
l'autorité, la juridiction sur une chose, Maml. II, 2,
160. Dans le même sens on dit: ~yo« ~o
au~~u jGCiOo, ~o # 108, cf. I, 1, 18, 27, 169, 203, de Sacy Chrest. II,
14, 2, 5 a f., 182, 1, 188, 5 a f., 189, 3.
Berb. I, 152, 13, ou avec ~0"
~o£
Abd-al-wâhid 85, 10;
T ~o-S VI. ~~L~', vulg. pour ~J:J<~, ils racontèrent,
mais chez Bc ~b ~Lf" ~JLXSJ~>- est: quelque chose
ils déposèrent en justice, Catal. des man. or. de Leyde
tne dit que. Dans le passage Athîr V, 199, 5 a f., I, 154, 2 a f.
où il, faut prononcer , « n
et non pas \~-SjL~,
~w c>Âs>- événement, Gl.Fragm. — Phénomène, tout
comme l'a fait l'éditeur (car alors il faudrait ~XSjLs~ ce qui apparaît d'extraordinaire, de nouveau dans le
ciel, dansl'air, Bc. — Innovation, introduction de.
quelque nouveauté dans le gouvernement, dans l'admi-
chose (le ~y\ ~,,e4 qui suit, est altéré; en comparant nistration, Fragm. hist. Arab. 398, 3 a f. (= Bayân
I, 99, 2 a f. et Nowairi dans la traduction de
l'Hist. I je crois qu'il faut traduire de la même manière los
des Berbères I, 414, où de Slane a donné un sens paroles citées Maml. II, 1, 124, 1. 3 des notes: jLL~J
trop restreint à ce mot, en disant qu'il désigne: les uJl»* ~<~! ~&Je, que Quatremère me semble avoir
impôts qui ne sont pas autorisés par la loi). — Trou- mal rendues par: «il souleva contre lui les jeunes
ble,révolte, voyez sous la IVe forme, où l'on trou-
vera les différentes significations de LSjL~ ~-~!. Peut-être
gens d'Alep;» Freytag Chrest. 116, ~15:vrJL^.
était-ce dans l'ori-
gine: les jeunes gens, les gamins, et par extension:
De là ~!j~=>.~! ic"3? en Orient (car je n'ai jamais
la canaille.
rencontré ce terme chez les auteurs maghribins) préfet Uîj.>. épisodique, Bc.
de police, proprement: celui qui est chargé de faire
cesser les troubles et de punir ceux qui les excitent; .L-S<~-~-, qui, selon Lane, s'emploie comme
s;
un
sing. et comme un plur., et qui signifie proprement:
« il
le nomma préfet de poliee;» aussi ~!)~-~>~!
fut nommé,» etc. (Athîr VI, 27,
~J~>< ..y~.;
1)
homme que l'on regarde comme un favori de la Di.
vinité, qui annonce, soit le prochain établissement
d'un empire ou d'une dynastie, soit les guerres qui
ij. voyez Gl. Belâdz. et cf. Gl. doivent avoir lieu entre une nation et d'autres peu-
Fragm., Khallic. I, 272, 18 SI. Des passages mal ples, soit enfin la durée d'une dynastie et le nombre
compris ont fait dire à de Slane que ~<~s~~! signi- de souverains dont elle se composera et dont on se
fia «les recrues,» et Reinaud (J. A. 1848, II, 231) hasarde même à donner les noms, »
définition d'Ibn-
a aussi dit à tort que c'étaient «les gardes nationales Khaldoun Prol. II, 177, 2 a f.-178, 3; mais c'est
»
du moyen âge. Ce ne sont pas des personnes, mais en général: prédictions d'un devin, d'un astrologue,
des choses; l'expression d'Ibn-al-Athîr, qui dit en etc., Macc. I, 142, 16 (=Ictifâ 127 ro), Abbad. II,
parlant d'un personnage chargé de la police sur la 120, 4, Prol. I, 290, 7, II, 50, dern. 1., 176, 3af.,
route qui conduisait à la Mecque et à la Mecque
s - ~- seul, dans de «prédictions,» Djob. 49, 21, 76, 18, Prol. II,
— Péché, GI.Belâdz.,
le sens de ~-~ s,.
Gl. ~Fragm.—ôvXs»
s,. J~—~t jeune homme, pl. ~J~~!, ~oS
178, 12.
«cvotXcs-
ce que quelqu'un dit, Bidp. 263, 7:
jeunes gens, Voc., Bc, Khatîb 136 rO, en parlant de gkJLiiX.»» «la vérité de ce que vous dites,» Koseg.
~yjfj
s
— Apprenti, celui qui apprend un mét-ier,
Ht. — Négociation, conférence, p. e. ~.h~.
«la négociation fut ~rompue,»ci-oJo- tsV** ~J, Lo ~U,
«je n'ai aucune affaire avec toi,» Maml. II, 2, 109.
— Autorité, juridiction, Maml. II, 2, 109,
Imâd-ed-
jUtoj. - ~o.
~)J~&.! les gens du bas peuple, Gl. BelAdz.; din ibn-al-Athtr, 'Ibra oulî'l-abçâr, man. de M. de
~> débordement de pituite, M.
> ~>
- ) ~t
a.~t~s~ pente, descente, Domb. 97, Ht.
J<~~ colporteur, Bc.
~àpente, Bc.
:
s- - —
le sens d'espoir et dans celui de crainte, inquiétude; voie de conjecture, Berb. I, 528, 10: IJD}' ~cu*~-s?
exemples de la dernière signification dans le Gl. Fragm. 0->',. — Ecacher, écraser,
et dans le Gl. Mosl. Le Gl. Manç.
ajoute a~t~J!
w ~° -
~ctonjectural, Bc.
Bc.
A;..w ~&U#, Payne Smith 1206. être à l'étroit, parce que la prunelle du chameau est
) ~>
j~&. nœud, Voc. petite. — Le pl. oliAs» enviroM, Mi'yâr 4, 1. 6..-
~««,
.~Cj4J! ~05
d6>.-I
Sait.I,18b.
buphthalmum ou œil-de-bœuf ~(jLH) t
II, 296, 10, où ~yytii est sous-entendu. De même:
&-%-- hyacinthw orientalis, Bait. I, 97 b (où la
première phrase de l'article, qui donne l'explication
386, 3 (= Macc. II, 484, 9), où il faut sous-enten.
*
de ~vxxtvôoç et à laquelle Sonth. n'a rien compris, est:
~,
dre i5l-r-tl («il rivalise avec les meilleurs poètes»).
(où il faut lire ~JL avec le man. A). Le sens de défier quelqu'un, porter un défi, convien.
drait encore mieux à ces passages, bien que Lane
-
&b>X=>». On ~t ~°* aJLjA_>- dans le sens de
dit .LX~j
ne le donne pas, et les paroles dans de Sacy Anthol.
* ~-
K<U)~S~, jardin entouré d'une muraille ou d'une haie,
Djob. 177, 3, 254, 4. De même ~L^ij ses ~slfvJt ~q* LeL*~ ~j$J, ne peuvent signifier rien autre
..,.
jardins y Vie de Timour II, 968, 7. - ~01'}' XajJo- ~lod chose que: «les apôtres défièrent Jésus de leur faire
était le nom d'un jardin du faux prophète Mosailima, ** ?.°»
descendre de la nourriture du ciel.» — <~<-~~ ~oA
mais quand il eut été tué dans son voisinage, on
.!~&!U, Baidhâwî I, 11, 7, est l'équivalent de: lJNW\
K~c",
- ~e 1
en parlant d'une femme mariée: celle qui
dit à son époux en le regardant ifxement: «une telle
a reçu des robes de son mari; telle autre a reçu des
bijoux du sien et il a couché avec elle;» ce qu'elle
fait pour engager son époux à en faire de même,
, ,
assez difficiles à saisir, et les explications données lic. IV, 223) a traduit avec beaucoup d'exactitude et
par Reiske (Aboulf. Ann. II, 302), de Sacy (Anthol. d'élégance: «In the morning, he marches forth, bea-
39), de Slane (Prol. I, 190, n.3), de Goeje (Gl. Mosl.) ring death on the points of his lances which, when
et Lane, ne me paraissent pas suffisantes. Dans le couched, announce to the foe that his last hour is
;
sens de rivaliser avec (Lane) , on le trouve chez come. »
Baidhâwî I, 2, 1. 2, qui dit en parlant du Coran: , pl. - ~oS -
~£
~k\s>, forme vulgaire pour mi-,
• I. -0- ~u-X> couper la queue aux chevaux, V devenir habile, Aie. (entricarse).
et ~!U L)~ des chevaux qui ont la queue coupée, = ~3L~, Payne Smith 1381.
^jjAs»
u
GI. Belâdz. - -jt-~J~ ~ôÂs- abréger un poème, en
XA!L\s"
~r
esprit, génie, Aie. (engeno naturaleza, in-
omettre quelque chose lorsqu'on le récite ou qu'on le
genio fuerça natural; X-3~L\~: entricadamente). —
chante, Aghânt 33, 7. — H^LAO-M à u.i.>
réciter
vite la prière, Gl. Belâdz. — C. ~Jo' confiner dans, Perspicacité y Bc (avec le dâl). — Discrétion, Ht.
reléguer dans un lieu, Bc. — C. ~ae imputer, t. de
finance, appliquer un payement à une dette, Bc. —
~C31 - qui apprend facilement, ingénieux, Ale.
r
Jeter, lancer au loin, ruer, jeter avec impétuosité, (ensenable, ingenoso).
Bc, Antar 56, 5 a f. (lisez ainsi); ~a^L^LMA> lan- ~> o£ t
~JA> fronder, .~L\~-! le plus ingénieux, Macc. I, 798, 12.
cer des pierres à quelqu'un; c~LJLib
jeter avec une fronde; v_5jv>^s? ~j»y>-projectile, corps
1 fendre, Aie. (hender).
lancé, Bc; dans le sens de jeter, lancer, c. r., y
— Rejeter, renvoyer à un autre
Koseg. Chrest. 64, 12.
article, placer ailleurs, Bc. — ~tsm s~—~-J! <~\—s>-
fers à un cheval, Bc.
(ou ~-~3~ ou ~olA)ajourner, renvoyer une
~r.H ~-*r-à
affaire à un autre temps, Bc. III orienter cl-âli les voiles, Prol. I, 94, 10.
VI. S~L~b ~:~L~* ils se lancèrent des pierres, Vie V = VIII, imiter, etc.,Abou'l-Walîd 136, n. 14.
de Saladin 81, 10 a f. (Freytag a confondu par mé-
VIII se construit aussi c. y r., Hoogvliet 49,
garde cette VIe forme avec la IIe). Gayangos:
14, où il faut lire avec le man. de M. de
VII dans le Voc. sous excludere. — S'élider, Bc. &3~t~X~ le synonyme de *îl*X3î, qui suit. ~<-\X~
— Se jeter, se précipiter, se ruer sur ~(J^c), Bc. &X~b
,
J~ —
imiter quelqu'un, Koseg. Chrest. 40, 3 a f.,
» Ï yprojection, action
,~jet où il faut substituer un dzâl au ddl.
de jeter, Bc.
s,\À..:>.
S' » ~~J~-~
S ~-
est iuxta dans le Voc. Il donne
AÎLXS». épée, Voc.; dans la 2e partie ensis, dans ~-O -9
la lle: ensis,
ici ce lignea, qui
lignea.» J'ignore ce que fait
aussi ~jAs»
*
?)
(jA5>-- circiter.
w#)5#'
K~J~ ferrure, action de ferrer, Bc (avec le ddl).
II, chez Aie. (previlegiar, escusadora cosa, la balle avec la raquette, il la dirigea contre le vi-
escusado por previlegio, esento, previlegiado) exemp- sage du calife;» 1001 N. Boul. I, 62, 13: e,>.Il
ter de la règle commune, donner un privilège, s'em- ~XjtJLfljt~Jc «il pointa le canon contre le château.»
ploie principalement en parlant d'impôts, en exempter IV réchauffer, Auw. I, 176, 8 et 9.
une personne ou un endroit, Bat. II, 410: ~q* V recouvrer la liberté, Voc., Aie. (ahorrarse, de-
liberarse de servidumbre, librarse de cativo). — Etre
riWil IV, 52, en parlant d'une ville: ~r)Wi
359. Le verbe ;j-~ seul se prend aussi
~Q*
~aj-
écrit, de Sacy Dipl. XI, 45, 11: hl\£>o
dans le sens d'exempter de tout impôt, Bat. II, 410:
X estuare dans le Voc., et sous calefacere il a:
GOJIÏ ~Ji );=., III, 75, II,
537, 5, 702,
Macc. ~L*J~L
y
17, Cartâs 122, 5 a f., 124, 12, Ibn-Abdalmelie 133
ro, en parlant d'Alî ibn-Yousofibn-Téchoufîn : — En parlant du foie, devenir sec
par suite de la soif ou de la tristesse, Gl. Mosl.
1. ,
.-> comme adj. chaud (cf. Lane sous
~;l»,
~O
i ,
~oS
En Afrique un blanc, Pflügl t. 67, p. 6; les
Aussi: dispenser quelqu'un de travailler, Aie. (jubilar gens de race, les blancs purs, par opposition aux
~e," sangs mêlés, Daumas Sahara 78, 280, 287, 323. A
(cf. Victor), ~),-e jubilado suelto del trabajo). Dans
la religion catholique, ~rb lejubilé, indulgence Maroc "=-~ ~o5
«les fils des blancs,» sont les
plénière et générale, Aie. (jubileo afio de remission). serviteurs de la cour qui tiennent en bon ordre les
— Corriger. Quand il y a une faute dans un livre, armes du sultan, et qui, munis de courroies, tiennent
on écrit «cette
-
~OS 9 O # faute doit être corrigée,»
la populace à distance pendant les audiences; ils peu-
vent être considérés comme une garde particulière
Macc. I, 855, 12, et très-souvent sur la marge d'édi- du sultan, Pflügl t. 69, p. 5. — En parlant d'ani-
;
tions qui ont paru en Orient. ~LiylCa j—s- écrire, maux, de ~«t
race, de bonne race: dromadaires J'.r->',
faire une lettre, une missive; v_jlx£ iî ~JJS- dresser un Burton II, 16, '~-t-~ Macc. II, 711, 16;
aujourd'hui -~\J~ ~J.».h est en Barbarie l'oiseau de
~contrat;xjwî J;:-" signer, mettre son seing, sa signa-
race, le faucon, Domb. 61, Hbrt 68 (Barb.), Bc (Barb.),
ture à une lettre, Bc; ~LLaaiî Jr-<\A écrivain de ju- Daumas Sahara 258, mais je crois que c'est propre-
ment le fém. S-~~ jument de race, Cartâs
£_JLA_XJ\. — Assaisonner,
Hbrt 15 (Alg.)
— C. J~ ~159,6.—y jS>-
~m o ~s> s~U libre arbitre, Voc.
et N-s~
examiner avec soin, regarder de près, examiner sévè- ~a
** -
rement, scruter, passer par l'alambic, éplucher, re- — Joue,Voc., Hariri 129, 2, pour
~&> ~-V>.(voyez).
qui
chercher les défauts avec malice ou avec grand soin, — Nom d'un animal qui habite le Sahara et
ressemble un peu à la gazelle; son dos et sa tête porous basait, scoriæ, greenstone, schiste, and others
sont d'un rouge pâle et son ventre est d'un beau supposed to be of igneous origin. It is allo used to
blanc, Jackson 32, Timb. 512 (l'étymologie du mot dénoté a ridge or hill of such formation.»
bézoard, » donnée par ce voyageur, est inadmissible). S» ~mi
ij..¡> voyez ~r.
- }i>', ~c,
15
S) *
Le fém. ij"¡>, qui dans le Voc. et chez Aie. a le - m ~i libre; ~4.7>. ~obL
« pays
libre,» Bc.
pl. femme chaste et honorable, Aie. (casta mu-
¡¡';-A' femme
~r>» indépendance; 4.r>-\à librement, sans égard,
ger, muger casta e onrrada) (Bc: !<—s>-
}\r),
vertueuse), dame, Voc. (domina, pl. ~};->' et
princesse, reine, impératrice, Gl. Esp. 287, Holal 80
~iwî
~ZI
sans circonspection; q'u^Îiuys»- liberté de conscience;
3UA*o licence, abus de la liberté; ~K-e ~,
~: Xj~!J~ St~- dans les épitaphes exp. prov., à la campagne on est libre (on n'est point
des princesses de la famille des Benou-Ziyân, publiées assujetti à l'étiquette), Bc. — Privilége, franchise,
par Brosselard (Mémoire sur les tombeaux, etc., p. 26, exemption, Aie. (escusacion por previlegio, essencion,
28, 42, 70, 90, 119,etc.),celles-ci sont appelées franqueza por previlegio). — Chasteté, Aie. (castidad
constamment g--.; — espèce de datte de seconde .; de la muger). — Excellence, degré éminent de per-
qualité, R. d. O. A. V, 210, XIII, 155-6, d'Escay-
rac 11, Michel 272, Dunant 89, Pagni 149 («sbian-
cati, crespi, ed asciutti, ma gustosi»). — ~Jult .f>,
Abd-al-wâhid 153, 5 et 6, semble signifier: de l'ar-
O ,
gent qu'on a acquis d'une manière tout à fait hono- mes,) Hoogvliet 105, 4. — Espèce de tobe ~(«^_5,
~(1 A ~»
rable. — proprement pommette, partie voyez) de soie, Barth IV, 449, 466.
~—=>chaleur(échauffement) du sang, Hbrt 35;
haute, éminente de la joue, Bc (cf. Lane), s'emploie
dans le sens de joue, Bayàn I, notes, p. 118. — inflammation, ardeur aux parties échauffées du corps,
phlegmasie, Bc, Gl. Badroun, Khallic. I, 353, 3 SI.,
S-.qLjLjwÎ
£
~O ~OÎ
dents de devant, Domb. 86, mais je Abdallatîf 8, 4 a f. éd. de Tubingue. — Chancre,
crois qu'il faut ajouter
-~.
l'article, ~LL~!. - <~JjU! Daumas V. A. 424. — (Pour ii})t ~vy^o) Vappartement
la préparation ou culture énergique, le système intérieur et principal des bains, Lane M. E. II, 47. —
de culture qui comprend trois labours et plus, Auw. Vivacité, Bc. — Esprit, vivacité d'imagination, Lettre
3
II, 10, dern. 1.,11, et suiv., 37,16,38,22.— à M. Fleischer 100, 101. — I::.J'};> des aliments, des
,
remèdes échauffants et excitants, Gl. de Habicht sur
j~- aL~ maladie inflammatoire, Lettre à M. Fleischer
~ii
182.
~~J!
» inflammation dans l'estomac des enfants,
son IVe volume, 1001 N. Bresl. VII, 331, 11, Macn.
II, 67, 1.
qui cause dans la bouche des espèces d'aphthes, M. En S~-> morceau de soie, Auw. II, 570, 16, 4 a f. —
espagnol alhorre, qui est l'arabe signifie croûte
de lait, maladie des enfants nouveau-nés. ;-<\1'
Le pl. y~ soierie, marchandise, commerce de soie,
(jw-jtJl espèce de tubercules ou excroissances Bc, M. -
« Sorte de bouillie qui correspond assez
charnues sur le pénis du cheval, Auw. II, 624, 20 aux crèmes européennes,)) Ouaday 401; cf. Bat. III,
,
131.
et suiv. En portugais alforra, qui est aussi ;-<\1',
w >
a le sens de nielle, maladie des grains. Jusqu'ici (C~ Le fém. est une épithète du vin dans un
j'avais prononcé (Gl. Esp. 116 et Lettre) confor- vers de Moslim (p. 32, vs. 15), fort, généreux, par
allusion à la bravoure des Khàridjites connus sous le
mément à l'étymologie ~(^-M> chaleur); mais le té-
moignage du M et les formes esp. et port. montrent nom de Harourites.
qu'on a changé le fatha en dhamma.
, Comparez avec l'explication de Lane celle de
«
ij.;=>.
Burton I, 403: is the generic name of lava, tisserand en soie, Aie. (texedorde seda, texcdor
eon muchoslizos) , Ht, CartAs 41, 12. En sicilien II, 711, 3. Il parait que c'était une étoffe de laine
careri, tisserand (communiqué par
9 „ M. Amari).
lepl.<.—Inflammatoire,
- Inflammatoire,
ou de feutre fine et douce au toucher comme de la
qi-ç-
soie; peut-être était-elle mêlée de soie. — Dans le
,
},>.
~luw. Le donnele pl.
Voc. donne
I, 280, 20: ~4JL,
Bc; on dit ;L-.. «maladie inflammatoire,» Lettre vers chez Macc.
~LMYA
~e, le dernier mot ne m'est pas clair.
à M. Fleischer 182. —Ingénieux, spirituel, Lettre
à M. Fleischer 100, 101. — Acrimonieux, Bc. —
Js*vi>—fj, J. A. 1849, II,
319, n., 1. 4, signifie,
ë celui qui a un tempérament chaud (l'opposé
impôt établi
Slane traduit: «Malheur!
Escarmouche, Aie. (escaramuça).
malheur!auxarmes!»
- pour
t—t—'~J!
-
pour remplacer les avanies arbitraires, Descr. de l'Eg. ~Yr ~-'~ Le
XI, 495, XII, 61. (cf. Lane), p. e. « les négociants eu-
; , ,
Vj5*" fou, qui a perdu Vesprit, expliqué par <-.~L~
Macc. I, 123, dern. 1., l'étoffe dite ~«XJU, qui doit ~JjUtif, Tha'âlibt Latâïf 131, 5 et n. c.
avoir été une espèce de feutre, est comptée parmi X,j.s» lame de poignard, Ht. - (j~. j, ~-~-~
les ii;'.e ,jJJJ!
nonce «harabi» ),
lire
H~r~'
Amari 452, 5, où je crois devoir
-
Brigand, Prol. I, 288, 9 (de Slane — Affaire, combat; ~ÇA KJ
ritant d'être traité en ennemi par les vrais croyants.»
livrer bataille, Bc.
pl. (le sing. n'est pas en usage) vaisseaux
traduit «soldat,» mais ce sens ne convient pas à ce
-
passage). .Ó.;> - vaisseau de
-4 guerre, Gl. Edrîst ; de guerre, Gl. Edrisi.
chez Amari 444, 11, il faut lire \-sSjo, comme Kj<~s~ mode de musique, Hœst 258.
j'ai trouvé dans le man. que l'éditeur indique par la X-j<-s~ pl. (le sing.
ne semble pas en usage) bri-
lettre A, au lieu de \.Si? ~^y>. — seul, dans
gands, Djob. 122, 1, 180, 18; dans son Gloss., M.
le même sens, Athtr VII, 349, 9 a f. (où Ó..¡> est Wright a cru à tort que, dans ces deux passages,
~L-—,comme l'a observé Fleischer dans sa ce mot a le sens que je donne en second lieu; il y
pour
note sur Amari 246, 3), Amari 436, 5 a f., où il a celui que Lane a noté d'après le TA. — La garde
faut lire: ~Lu->- (jy&LS car telle est la leçon du noire de l'émir de la Mecque, ainsi nommée parce
man. qui n'a pas ~Lt, quoi qu'en dise l'éditeur, ,"; que les nègres qui la composaient étaient armés de
~Xaj, lances (tharba»), Abbad. II, 127, dern. 1. (où ce
459, 5 a f. Le pl. vaisseaux de guerre, Athtr
- mot peut cependant aussi avoir l'autre signification),
VII, 350, 7 a f.
5 O - balistique
~2Ljuj-5>
jet,
, Mode de musique, Hœst 258.
,1
côté d'une source, d'un puits, d'un réservoir ou
d'une grande jarre que l'on remplit d'eau chaque jour
-
à l'usage des voyageurs. Quelquefois il est aussi
et de même dans B, mais sans points, Boul. ~-j~j.
destiné à être un lieu de repos, puisque c'est une
petite chambre couverte d'un toit et ouverte vers le &.,r---
•• - chez les botanistes en Espagne,
»
nord.
» :
— Autel, Ht; Bc donne aussi ce mot sous
«autel, mais en ajoutant «lieu qui correspond à
mercurialis annua, Bait. I, 318 b. Sonth., qui traduit
»
«ellébore, a lu mais c'est une erreur, car
l'autel, dans une mosquée, lieu où se place l'iman.»
— On lit chez Djob. 81, 12, qu'il y a sur des ri- Bait. dit que c'est ~X ~Ls~L, et Antâkt: -.j~
1 w>
~.J~-~
85, 1, cf. 1. 11, 86, 7, 265, 3. Ce sont des figures pl. ~otautour,Yoc.
qui ont la forme d'une niche; cf. Lane trad. des 1001
N. II, 247, n. 143: « Dans quelques maisons arabes,
on forme ou on peint, dans un ou dans plusieurs y chez Freytag, qui dit que Sprengel écrit
%::jD,czu
appartements, une niche dans ou sur une des mu-
,
railles afin d'indiquer la direction de la Mecque.
Mais plus ordinairement on la remplace par un tapis
Ô,;-<\A. On le trouve avec le thâ dans La du Most.,
dans AB de Bait. I, 84 c, dans A de Bait. II, 226;
mais avec le tâ dans N du Most., dans B de Bait.
à prier, dont le patron offre la forme d'une niche, II, 226, et Ibn-al-Baitâr II, 491 b, dit formellement
avec la pointe tournée vers la Mecque;» voyez aussi que c'est le tâ «avec deux points.»
~~J.L~<. - Titulus ~t~=~ .t~, L. ~Õ,r I. Le n. d'act. ôl,Abou'l-Walîd 45, 2, Payne
t~.L<=~< brigand à main armée, celui qui commet Smith 1388. — Echouer, donner contre un écueil,
des crimes sur les grandes routes, Gl. Maw., Prol. sur un bas-fond, Bc, Hbrt 130, Roland Dial. 588.
II, 97, 16, 98, 2 et 4, Berb. I, 97, dern. 1., Macc. II même sens, Bc, Roland. — Faire échouer, jeter
sur la côte, Hbrt 130.
VII dans le Voc. sous arare.
~ô';" cultivable; tneuble (terre), aisée à remuer, à
,tout
vecerse).
~v 1 se fâcher, se mettre en colère, Voc., Aie. (cor-
j> garniture, ameublement, Cherb.; matériaux,
rerse de lo que le dizen (cf. Victor), enbravecerse,
~o
encenderse en ira, enojarse con ira; sous ensanarse Cherb. Dial. 64, 200; ce
il a la IIe forme, mais c'est sans doute une erreur). qui est nécessaire pour la route», Martin 129.
vulg. pour
O
M.
~Qj, L:~=>; Fleischer (Préface, p. 17) veut lire L>, ~- prohibition; ~c;? &AU Lo ^JL>VTÎ
«on passe
mais comme le peuple disait (Voc., Aie.), et
tout à un fou, Bc. » -
Chose indécente, Becrî 18,
12. — Colère, et aussi promptitude à se fâcher,Voc.,
non pas
~g/5"» il
a formé régulièrement le nom d'act. Aie. (ayramiento, alteracion enojo, braveza, despe-
y> cho, enojo ira subita, enojo ira que dura, enojo que
-,..:>; plus loin on en trouvera un autre exemple. hombre recibe, furia o furor, molestia, sana, sana
II c. ~J p. semble signifier, en parlant du cadi, con causa), Mohammed ibn-Hârith 279: ~j-c~ 0'6,
défendre à quelqu'un de porter plainte, Mohammed
ibn-Hârith 312, en parlant d'un juge qui donne tort
1
Abbad. II, 204, 1. — Pl. ciL.0 > (comme ~Jdl ~dejdb, CI',
le man. 320: je voulais intenter un procès
,
etc.) Prol. I, 240, dern. 1.; il résulte de ce passage
que c'étaient des objets composés de pièces de bois;
contre un tel, mais on me calomnia auprès du cadi:
comparez Lane à la fin; de Slane traduit « des bâts
de chameau.»
r. défendre de, prohiber, Hbrt 209, Bc. C. ~Je
—
p. adjurer, commander au nom de Dieu de faire, Mo-
chéj Voc., Aie. (ayrado enojado, alterado, corrido,
despechado por enojado, enojado, irado subitamente,
;
sanudo), Abbad. II, 119, 3 a f., 1001 N. Brest.
dans le man.). Je crois que ce verbe a le même sens XI, 29, 12, où il faut lire: < -..>,
dans cette expression que donne Bc: a~-f~ ,3 ~«L i—a*n f, au lieu de dans l'éd. Macn. IV, 486,
4 a f.: ~~MtJb <:;;J4A ~&e ce qui revient au même.
~JLc --.:>" ,
et qu'il traduit par: «recommander for-
— Terrible, cruel, Aie. (terrible con crueldad).
tement une affaire à quelqu'un ;»
c'est proprement:
«et il l'adjura »
(d'en prendre soin); le M explique
K->-j=~
colère, haine, aversion, Gl. Bayân; ajoutez
Aie. sous enconamiento.
w
~gjS* c. J& p. par OJ~. à r.
persévérer dans,
— C. ~j-~.Çomparez avec de Sacy, déjà cité par
— C. a. p. mettre quelqu'un en colère, Voc.,
M. Aie.
(correr a otro, enojar a otro, ensanar a otro, moles- Freytag: Macrtzt, man., II, 355: ~J
S-JÀ ~~LA.;~
tar enojando, provocar a yra). — En parlant d'une
marchandise qu'un huiasier-priseur vend en public,
atteindre son plus haut prix, M. Aranda 16: «criant Arrache, arraChe, ce qui veut
IV c. a. p. rendre quelqu'un triste, Djob. 221, 3. — »
dire: Qui offre le plus? Lane M. E. II, 16, Ztschr.
XI, 492. — CrUe, proclamation de vente d'un bien,
encan; r;'r- tY vendre à Vencan, Bc; selon M, ~L car au lieu de
IV, 409, 15, ~èJÀ.
a il faut lire, comme dans Athir
ce que j'ai dit moi-même sous la Ire forme. J~;. iratu8 dans L; Vm^âJL5^L\-;~ fougueux,prompt
triste, mélancolique, Aie. (malenconico).
F,.1-)>-
Enclin à la colère, cruel, terrible, Aie. (bravo).
- à s'échauffer, Mohammed ibn-Hârith 309: ~Ly»
-,
~s* pl. ~j~- en colère, courroucé, ,
fâché fu-
,vilis),
didus Gl. Mosl.
rieux, Aie. (enojado, furioso).
« O
.~u,j=<J prohibitif, Bc.
~,-maladie
o , C).
dans les pieds du cha-
d
304 b, Abou'l-
Waltd 258, 6,
Payne Smith 1367. iLàa;>» vulg. pour AJAS», M.
- y
même sens, Payne Smith 1367, Man. Escur.
893, où ce mot est écrit correctement, pas ~->->
AJ•yo
I °
OJ»
..tL~~<3.~
J
et
J
Xj~
«)» la bosse du chameau.M.
j!
voyez sous
- Saleté y L (squalida X~s~ ~£-iy«). ~if 1 valoir, être d'un certain prix, avoir un prix;
-
~rr , W ~jysr «chaque chose a son prix; »
;
1 s'échauffer Ht.
grave, important, de conséquence, sérieux; ~);S. Le
.f>';>.J,Sw:Jf ~jS-jS"pulmonaire,espèce de mousse (le tâ en deux endroits différents) ou ~)r. b L5>é*
qui vient sur les chênes, sur les pierres, Bc. cela n'en vaut pas la peine Lo ~<S" minutie, ba-
gatelle, Bc.
~afb. II crier et tempêter, L (baccare (c.-à-d. bacchari)
II fortifier une ville, Gl. Bel&dz.
Bayàn II, 183, 4 a f.: ils avaient commis des crimes fixés sur lui). — Acquérir, gagner, obtenir, p. e.
te~&B Ceci peut servir à corriger
~jUJU <~ô. l'argent, les armes, etc., qui se trouvent dans le
ce que
Arab.
j'ai dit dans le Gl. Bayàn; dans le premier passage camp d'un ennemi qu'on a vaincu, Fragm. hist.
qui y est cité (I, 26, dern. 1.), il y a une faute, a
420, 4 f., ou un paya dont on a vaincu les dé-
Censeurs, Gl. Belâdz.
CalAïd 209, 8: ~KêhUi
o*
..,
j
* w. Voyez aussi Lane sous
O- A la fin de d'une plante, ~ajÎJi CJ4 ~3j~ motte, la portion de terre
son article sur ~)i> IV, ce lexicographe cite incor- qui tient aux racines des plantes, quand on les lève
rectement un proverbe qui n'a rien à faire avec cette ou qu'on les arrache, Auw. I, 170, 4 a f., 172, 12
IVe forme, et qui doit être placé sous le substantif (2 fois), 179, 6, 184, 20 et 21, 215, 4 a f., 250,
18, 268, 9. Peut-être faut-il lire le pl. ~j.r>, qui
-
if--,, qui manque chez Lane. Cette faute a été cor-
aurait alors le sens de tas, monceau, dans Khallic.
rigée dans le Gl. Belâdz.
V. ô )y~' prendre ses précautions, Gl. Abulf.
Se fortifier dans un poste, s'y retrancher, y faire
— est, selon M. de Slane (trad. III, 486, n.
16), celle
des dispositions quimettent en état de tenir contre
de tous les man.; mais il doute qu'elle soit bonne et-
l'ennemi, Gl. Fragm. -
K-iSL~ ~JiLi à jj-~' faire
Abd-
je suis du même avis.
»;!-> custodia dans le Voc.
une copie avec beaucoup de soin et d'attention,
;
al-wâhid 220, 4 a f.
~)
ç;. celui qui écrit des amulettes, Voc.
VII dans le Voc. sous custodire. ~)i>' plus fortifié, très-bien fortifié (lieu), Bidp. 240,
VIII c. ~ce éviter circonspection, j~L~~ 3 a f. (corrigé dans les notes critiques, p. 106). —
circonspect,Bc. Celui qui, dans l'hippodrome, remporte le plus souvent
~o f °*
amulette, forme au pl., ~non-seulementjîJSA la victoire, Bassâm III, 99 ro: C,ijbm ¥ ~)i>t
(Lane, Voc.,Cartâs 168, 5 a f.), mais ~aussi
y
aj-~~t mode de musique, Hœst 258 (mohârza).
Voc., Aie. (nomina), Ht, Cherb. Dial. 107. Selon y ~CI
» ),;-<\A en bon état (cheval), Daumas V. A. 184
Ouaday 703, «hourouz ne signifierait pas proprement (qui écrit mal à propos un kha, au lieu d'un ha).
amulettes, mais les étuis cylindriques dans lesquels
ils sont placés; c'est une erreur, car ces étuis ont ~t~. I. Exemple: P. Badroun 132, 4.
,
d'autres noms; cf. p. e. Koseg. Chrest. 73, 4 a f.:
~l:) ~.-~, pour c»}>, limaçon, Voc.
r
On
des
j
attache des amulettes à tout ce qu'on aime, à
animaux, à des choses inanimées (Hœst 223, où
il faut substituer à et surtout au cou des
~UN 1 faire la garde, faire sentinelle, Bc; c. Lt-r- de
la personne à la sûreté de laquelle on veille, Amari
187, 3. Aussi c. acc. p., mais alors ce verbe a un
j
chevaux; voyez Jackson 247, Riley 485; de là vient double sens, à savoir celui de veiller à la sûreté de
que Hœst 118 donne «bers» dans le sens d'ornements quelqt4'un, le garder, et celui de surveiller quelqu'un
au cou du cheval. Bc, sous amulette, prononce ~, (Bc a ce verbe sous surveiller), p. e. l'ennemi qui
pl.
ther charma — ~jJol* ^l-^>iûudaet «je lui ai
,
et Davidson 96 écrit aussi: «horse a lea-
médite une attaque. On le trouve d'abord avec le
premier sens et ensuite deux fois avec le second,
dans un passage du R. N., 63 ro, où on lit: Quand
donné cela en prenant en gage un objet de même Obaidallâh le Chiite se fut rendu maître de l'Ifrikiya,
valeur,» Bc. Djabala quitta le Caçr at-toub et vint s'établir à
O>
~jjS* voyez l'article qui précède.
~Jj-z*, mal expliqué
par Freytag («omne idquod
cavetur»), signifie: tout ce qu'on obtient, Gl. Belâdz.,
coup,Bc.
~-&~-L~ <c*~ Lane l'explique, mais en le citant.
~MjJ O* (j'ai corrigé deux fautes dans ce passage,
car le man. porte L~yJ~e et ~~). — Sauver, éviter,
d'une manière inexacte, sous la IVe forme du verbe. parer un 1
II c. (:" prémunir,précautionner contre, Bc. GI. Edrisi. — Un bdtiment destiné à loger les étu.
V faire la garde, faire sentinelle, Cartâs 172, 16. diants, les moines, les voyageurs et les pauvres, Gl.
- C. ~jj-i se défier de, Bc. — C. Cr éviter, Bc.
VI faire la garde, en parlant de plusieurs per-
EdrisI. Je crois devoir restituer ce mot dans
1001 N. IV, 314, 10, où il est question des rues
les
guette.Ale.
cautionner contre, se prémunir, se défier de; -4-Ji ~0- (atalayador).
« prévenir le mal;)) — c. ~J garder, conserver; (Jc
~AJLJ*se ménager une protection, se la procurer, l'avoir ~~f~ nom d'une plante dont on mange la racine, M.
en réserve, Bc.
O-
lJN';>. Biffez dans Freytag: «sœculum, tum tempus ~j~ I, n. d'act. ~déterrer,
, *
exhumer, retirer un
opportunum, Vit. Tim. ed. Mang. I, 282,w corps de la sépulture, Aie. (desenterramiento de muerto
car dans
(;.,
ce passage c'est lJN""-=:>' gardes, comme Manger a
traduit. — Circonspection, précaution; lY".rs: studieu II agacer, irriter,Ht.—ameuter.
; précieusement,avecgrand soulever, attrouper le peuple, Bc.
pl. .J
sement soin, Bc.
III voyez plus loin iLùjLs^o.
un soldat destiné à garder une
4.
V harceler,Abou'l-Walîd 144, 17: (j~-.s=~ ~ci
place, Maml. I, 1, 33, de Sacy Chrest. II, v, 2. —
<
Agent de police, Voc. (avec lY";;' comme pl.), Daumas
Y. A. 402. VI c. ~c
p. harceler, provoquer, et harceler, fati-
qUwjS»» rougeole, Bc. guer par des attaques; — c. à
p. faire une niche à
quelqu'un, Bc.
lJN';;" gardien, Gl. Maw.
VIII c. à se jouer à quelqu'un, l'attaquer incon-
(j~-C" réservé, circonspect,prévoyant, soigneux, Bc. Ridérément, Bc.
331. -
Garde des bois, garde forestier, Ale. (saltero
o montaraç). — Garde des jardins, Domb. 104. — Bc, Hbrt 55, M, Fâkihat alkholafâ 2, 1. 10; «tP.;>
Dans les bains publics: le maître garçon, Lane M. E.
ou jjàwo», forêt, mais en Syrie on applique souvent
II, 52. — LJN)1lL l'ibis, de Sacy Chrest. II, 15.
ce terme à des endroits où les arbres sont à vingt,
J,Cl
pl.
plus sôr, plus en sûreté, Gl. Maw.
lJN.f>'
m
bécasse,
»
pas l'un de l'autre, Burckhardt Syria 266. — X>L>-
-
Le pl. ~ÚÑ,?
, ,
~(j*.— ?
une enceinte fermée de murs Bc(pour àL>Ls»0).
des plaines couvertes de roches basaltiques, Jackson
et assez grande pour loger une petite garnison, où 69, 78 n., 108 (qui écrit «harushe»). — Melon, Bc;
les zélés musulmans se réunissaient pour faire la
guerre aux non-musulmans, Gl. Edrisi, Athir VII, en ce sens c'est peut-être ~rJN>.
196, 7, Aghlab. 49, 2 a f., 55, 2 a f., Amari 239, rude, âpre au toucher, Bc, se prononce
5, Léon 581, où c'est un nom propre: «Machrescas-
tellum nostris temporibus ab Afris eam ob causam aujourd'hui en Afrique chez Ht raboteux, ru-
ad fretum Cabes conditum, ut regionem illam ab gueux; Jackson 38 donne comme un des noms du
hostium incursionibus tutam servarent.)) — Caserne, rhinocéros: «boh girn el harsh, the father of the
liard
~horn» (uiJl -
0J*tt^)- Petite verroterie verte,
jaune, Ouaday 336 (harich); Browne
chose, y apporter beaucoup d'attention, de soin, de
zèle, e. à ou c. r., Voc. — Pour la dernière
ou bleue, ou
II 95, écrit «hersch »
et dit qu'on la fait à Jéru- signif. chez Lane, voyez Gl. Mosl.
salem. II c. a. p. et à ou r. exciter quelqu'un à
x>Uts> grès, Cherb. s'appliquer à, Voc.
j&uj~ espèce d'arme qu'on lance (P), voyez Ztschr. uc.:f>, âpreté, qualité de tout
ce qui est âpre, Bc.
IX, 547, 592, n. 129. , Le pl. (jûjS>, Payne Smith 1181. — C.
iûSiLs» aspérité, rudesse, dureté, Bc. {jajj»-.
;
est un sin.
elliptique, sans qu'on nomme la personne, ou les per-
~1y--1
-o ~'c, rude au goût, Aie. (aspero al gusto).
sonnes, qu'on excite à faire une chose, Lettre à M.
- L donne: calvaria
),ol>.o£
(j~ probable-
Fleischer 67. — Défier, harceler, Ht.
?
V dans le Voc. sous monere.
ment ~(O—l'indique), comme calvero en esp. (cf.
calveta chez Ducange) , terrain stérile. - X~-~L~.
là,g-, ,
se harcelaient sans
Esp. 86,
cesse,»Abou'l-Walîd 143,
e---. à ~vit**èjà).
—
S'appliquer, Delap. 114, àune
orées, Alc. (v.ÂJj^.ï hurto de lo sagrado). — Dans Aie. (silaba). — Chez les algébristes, ~» signes
le Voc. c. a. sous artificium et sous indignari. — de notation, Prol. III, 96, dern. 1., avec la note
)m-»
Dans L: arto (c.-à-d. arcto) ~ur" (J~o~' i Voyez - dans la trad. 134, n. 2. — ~oJL jJLc, science
III,
sous III. de la lettrey est un procédé cabalistique, consistant
III et y r. donner à quelqu'un une ré-
c. a. p. à disposer les lettres de l'alphabet arabe d'une cer-
compense, une rétribution, 1001 N. I, 60, 10: ~p taine manière, dans des carrés magiques, J. A. 1865
~&-.f L:e ^)lm «avez-vous quelque chose (de II, 382, 1866, I, 313. — Pivot,Edrîsî M", 6, Ihn-
l'argent) pour nous récompenser?» — C. a. p. cher- abi-'ç-Qalt, Traité de l'astrolabe, man. 556 (2), chap.
cher à plaire à une femme, se montrer galant envers
elle, 1001 N. Bresl. XI, 363, 4; en ce sens le nom
d'act. Ui,>-, ibid. 347, 5, où je lis gU lo, en deux
mots: oLs^Ij ~g)J le «pourquoi te mêles-tu d'intrigues
de Bîrounî sur le même sujet, man. 591 (4), qui
galantes? »
Mehren 27 donne ~ui> et ~j.~ dans le
»oLca*it. —
sens d'aimer, caresser. — Tromper, duper, jouer un emploie aussi l'expression Doit avoir
, chez les fabricants de cordons de soie un sens qui
tour à quelqu'un; Bc donne Ks~L~ sous biaisement,
détour pour tromper, et sous adresse, ruse; M: m'est inconnu, voyez sous >0
~XJLJww.
~O—>
cresson. On lit dans le Gl.
est le rouge, qui est le meilleur; quant au blanc,
Manç.: le JJj
est trompé, Ztschr. XX, 494, 5 a f.; mais ~!.~- se
la plupart des modernes pensent que c'est le ~Uj:>
prend dans le sens d'être dupe, Ztschr. XX, 494, n. r:,u-J', et ils l'identifient avec le ~^JLjL [ainsi chez
2,496,5etn.1. Bait. I, 301 b], ce qui est une erreur. r:,u-J' ~ur
thlaspi bursa pastoris, Bait. 1.1.; ~i~~e ~uj> lep;-
y
V. la santé s'est dérangée, Voc.
dium draba, Bait. ibid. c; ~*UI cardamine pru-
VI c. ~uka p. biaiser, employer la finesse, enjôler, tensis, Bait. I, 302 b.
,
~o ; n J
cajoler, subtiliser, tromper subtilement, jouer un tour U'~- ~-~->, Payne Smith 1384.
=
~u.f:-- corporation J.;'
VII décliner, en parlant des astres, Bc. — Biaiser, artisans, Bc; il
les ttW~(M?s,
aller de biais, Bc;~!-~b de biais, obliquement,
Auw. I, 531, 10, où il faut lire avec le man. de
- » .s-,
semble prononcer K.:-sa-, attendu qu'il donne le pl.
~'si proprement le malheur de la
correction, c.-à-d. la leçon du malheur, est une ex-
OÎvAJCfc'iî
~if u.rs" signifie s'éloigner du juste milieu,
Prol. I, 159, 4; U.,el
seul s'emploie dans le même pression que Tha'âlibî emploie dans sa Yatîma, quand
il dit en parlant du poète Abou-Faras ibn-Hamdân:
sens et le nom d'act. peut se traduire par les extrê-
12 (où ~!
mes, comme l'a fait de Slane; voyez Prol. I, 148,
est l'opposé de J.,.Mal1), 149, 12,
150, 3, 151, 7, 152, 14, 158, 15, etc. Chez Macc.
«il reçut la leçon du malheur et fut fait prisonnier
par les Grecs. » On s'en sert aussi dans le sens d'une
mort prématurée, de Slane trad. d'Ibn-Khallic. II,
I, 152, 12: des troupes de Berbères 45, n. 6. Dans le vers 1001 N. 1, 22, 1, il faut
~&& if
X>.L>- d'un naturel singulier et qui lire, je crois au lieu de XSj~.
«
s'écartaient des usages reçus.) <~!—~ singularité,
manière extraordinaire d'agir, de parler, qui prête
~L5 X.ïy=>-,
,
que je ne trouve pas dans les dictionnaires, à savoir
,
dans celui de vagabond, car il traduit aussi «roncero»
~w
y
par qui, chez lui, est également «mostenco o
a constamment un kesra dans cet excellent man. — mostrenco»(=~v^Jbôe),
~>O- «vagabond.»
dextérité, Bc.
Adresse,
X9~> = XiLe», Payne Smith 1384. 0r« incendier, brûler, mettre le feu à, Bc,
1
£ -<..,il
~L=>- voleur, Voc. ; l'éditeur (p. XXVIII) a eu tort
mettre le feu au camp, »
KJLjJctt Gl.
Belâdz., où on lit que la IIe forme s'emploie en ce
de vouloir changer ce mot; Aie. a aussi r;.*m
voleur de bétail (hurtador de ganado) et comparez sous sens, mais je crois que c'est la Ire. On emploie 4~~
la IIe forme. comme nom d'act., Catal. des man. or. de Leyde I,
y o
U~-s-t î
le plus grand niais, Ztschr. XX, 495, 10,
où M. de Goeje avait traduit ce mot par hals, qui,
en hollandais, signifie niais; mais le rédacteur du brouir, Bc. — Hdler, rendre basané, Bc. — Cuire
journal, qui ne le comprenait pas, l'a changé en des briques au feu, Becrî 50, 7, où il faut substituer
«Betrüger (trompeur), ce qui donne un contre-sens. un hd au khd. — Cuire, causer une douleur Apre et
Fleischer (ibid. XXI, 275) a corrigé cette erreur, aiguë, p. e. ~S~J ~j~e «l'œil me cuit,» Bc. —
mais sans en connaitre l'origine.
5- y voyez
u.;-<\A
)
~U?\Aréfringent,
sous u..f>.
qui cause une
<
réfraction, Bc.
wJlfiJI
II
*
attiser, Ht. —
dérive, détour de la route, t. de marine, IV havir, dessécher, Bc. -c~-~J! üi>' inflammer
Bc. - ~çlx&Jt u'¡s' réfraction, réfrangibilité, Bc. le sang, l'échauffer, Bc. —
L~~-~ «la faim lui
~s~-~! indirect, Bc. causa une douleur âpre et aiguë,» 1001 N. I, 416,
7. — Tirer un feu d'artifice, J. A. 1850, I, 256-7.
~~JL~ ou ~xaaUm trapézoïde, figure de
Y au fig., brûler, désirer ardemment, Djob. 330,
quatre côtés dont deux sont parallèles, Bc. — XcL*
~-~ cadran vertical, Bc. — Ks-~JLM S~L~M~~ est 14: en entendant parler des lieux saints IjSj—&
~vj£j>
KJ~.
-0.
feu, supplice, Bo. - 1
brûlure, Bc, Ht, Daumas V. A. 425; ce
~Ctc. hâle, Bc.
mêmes voyelles dans A de Bait. I, 181 d; Most.
sous et sous K.-~~! jj-ii Pagni MS (horreg et
hurreha), Hbrt 47 (Alg.). — IMJLJI pariétairet..i--
mot s'emploie souvent par imprécation, Bc. — In- Domb. 74.
cendie, Ht. — Feu, au fig., chaleur, ardeur; KJ~-~: ~XSÎ vésicatoire, subst., Bc, M. Sorte de fusée,
—
ardemment, passionnément;
vivacité, ou avec feu et colère, Bc.
~i
~^JULJ parler
avec
qui est employée surtout dans les sièges, M.
~q\, t. de chimie, distillation, M.
~, le pl. dic>,
~10» «.9 Abbad. III, 200. — Avec le
~o y
ür<\.A, t. de médec., remède caustique, M.
même pl., contrition, regret qu'on éprouve d'avoir -O y holocauste, Bc. Feu d'artifice, Ht.
ï.,;j,rwo —
péehé, Voc. — Affection, amour, L (affectus <L-3-s~ 9
~CIy des bombes, Macc.
olysv/> II, 806, 1.
£mA^\A
+ y laine brûlée, celle qui, ayant perdu
son.
XII, 317, 7? voyez sous K~J~. suint, est devenue sèche et jaune, Hœst 272.
espèce de scorie, Most. v° àûcaÀJlleçon ~O —
~~=~< cretons, résidu de la fonte du suif et de
de N, Lm avec le khd. la graisse des animaux, Yoc. — 13'r-<'A colco-
Ul->.
qIïjs* cuisson, douleur du mal qui cuit, Bc.
engelure, Bc.
tar, résidu de l'huile de vitriol, Bc.
.X~-!, t. d'astron.; c'est quand le soleil et une
<~J!-~>
brûlure, Ht. — Douleur, Domb. 88, Ht. — planète se trouvent dans le même degré du zodia-
Voyez sous la Ire forme. — Ulcères, L (ulcéra). que, M.
w., du rôti, de la viande rôtie, Djauzî 145 yo:
~ois
-
feu d'artifice,
et
J. A. 1850,1, 256—7; aussi gVJULâ.
seul, Bc.
..n1incendie, Bc, Hbrt 165, Ht. — Feu d'arti- ou calciné, avec le soufre et un peu de sel marin,
Sang., Most vo ~j~aJL~
fice, Bc. — Brasier, Ht.
vésicatoire, adj., Bc. — Pl. ol et ~, ¡>
U">'>0 y petit morceau de viande cuite, M.
un ~ci),ce
e,
~t-c~,
qui est une faute. —JUUAOI JÇ:>
mèche, assemblage de chiffons demi-brûlés et
préparés pour prendre facilement feu, terme qui est
cancer, M.
1 se remuer, se donner du mouvement pour réussir,
Bc. — Sucer, Ht(P).
II exciter, animer, aiguillonner, Bc
«émouvoir le peuple, l'exciter à la révolte,» Bc; ex-
citer, faire naître, provoquer, irriter, g vî)j-5>
;~!
signalé comme vulgaire, fait au pl. ~Jn.s~, J. A. «irriter, stimuler l'appétit, » Bc; a~&J< Jire aphro-
1850, I,
229, où Quatremère a donné une fausse ex- disiaque, qui excite à l'amour, Bc; .~J~
plication de ce mot, M; ~J \~!.
des mèches
pro-
imprégnées d'huile,
Leyde I, 156, 3.
» «
Catalogue des man. orient, de moteur d'une querelle, qui l'excite, Bc; - exciter
cju~
~OS
&xàla le cadi ne le suit
tard pour s'excuser: uuqla
Bc
"LA- H-
provoquer, attaquer, Bc. —
I, 481,
a., jouer d'un instrument, Gl.
frotter fortement toutes les cordes
plectrum et en mesttre, Descr. de
390. Dans les 1001 N. Bresl. XII,
y>-,
Egypte, man. 2 or
•
quelqu'un à quelque dignité, Cout. 31 ro: ~Jjî
;
J!,-"if
gWÂÂj.
L~intérêt,Faire travailler
faire produire
ou bien
'ils-jlS
S
~t-e
~JL&~
-
-
4-<.Jitea st~.-~. — C. a. p. et J r. avancer, élever
«• ~).&.
* ~O .S
M ~OÔJ
t::::-"
..:;..1-J' prendre l'offensive, et aussi:
toucher,
émouvoir; aiuLâJt faire pitié; XjuLâJt ~A-JÔ intéresser,
toucher, émouvoir; absolument: émouvoir quelqu'un,
lui causer de l'émotion, Bc. — ~Eh»H al !,J..f>,
,
gir, exciter des troubles, Bc. — Se mettre en route,
Djob. 3, 1. 9 (où il faut lire <éLsftè).
En termes de guerre, s'ébranler, se mettre en mouve
ment, Bc, Nowairi Espagne 480: L\JL-~Jb
u J ~—<=~Jf,
G
IXXJIJ
ramasser le
*
~«Ù chercher noise
Ji
Cart&s 129, 8, etc. Aussi: manœuvrer, faire la ma-
nœuvre, Bc. En parlant d'un marché, on dit qu'il
est ~w' .., quand le commerce y est animé, Gl.
,.~H JL>,
~JULe gagner, obtenir les bonnes grâces de
compas-
~b-41 pJû&i KS&~J! «par un mouvement de
sion, il s'avança vers lui,» Bc. — Exciter, Ht.
<~L~. remuant, qui remue, qui s'agite sans cesse,
Bc. — Industrieux, qui a de l'industrie, de l'adresse,
Bc.
~'S—S—mouvement, peine que l'on se donne, Bc.
~tjn,
— Geste, Bc. Mobilité, Ht.
—
t. de médec. ;
Impulsion., Ht.—
—
c'est quand il y a un
changement dans la maladie, soit qu'elle augmente, xSjJL £
8vX-
est mécanique, structure d'un corps qui
soit qu'elle diminue, M. — Proprement, «la force de
se meut. — Promptitude d'esprit, Mohammed ibn-
»
se mouvoir, s'emploie dans le sens de force et comme
Jt ), J, 0 e
'iS^«ys,I,52,7:
synonyme de
~r. il
~»^-3, 1001 N. III, 20, 2:
IgAr
Lf-ilà qC. Lfdal «je n'ai pas la force de me défen-
dre contre elle.» — Marche, Ht, expédition militaire,
Bat. III, 109, 192, Khatib 44 vO: xo=\aoj ciLS31
¡
brusquement leurs chevaux en leur faisant faire demi-
volte, Jackson 45. Déjà chez Ibn-Haiyân on trouve
,
toire figures pathétiques et
propres à exciter les
grandes passions; — fonctions des viscères; — 1::.J'IS.f>
~~ejJ! JL~~ procédure, Bc. - ~j 'i.f..¡> onction,
mouvement de la grâce, consolations du Saint-Esprit,
ju-Kuwwef.
— Au jeu des échecs, un coup,
Macc. I,
Bc. - Xj".KSL..J~ K~.&- raisons et convenances hu-
maines, respect humain, Bc.
481, 5 et 6, Prol. II, 367, 15. — Cause, motif, ~-> inquiet, Voc., Aie. (inquieto). - Celui qui
1.
raison, 1001 N. III, 49, dern. — Evénementgrave,
1001 N. I, 127, 14. — S'élever successivement d'une inquiète, inquiétant, Aie. (inquietador).
dignité à une autre, Haiyân-BRssâm I, 30 ro: *-*^5 .~Le~ (si c'est ainsi qu'il faut transcrire le horâ-
v*.»9
précède. mencement de la prière (voyez Lane sous la IIe for-
XjLt-~=~
pl. ~~L~J l'action de remuer la queue, me): Becrt 139, 7, Macc. I, 544, 3, II, 533,11,
R. N. 60 vo, 74 ro. De là: ~abUaiL! commencer
Aie. (coleadura con la cola). la prière (Lane a la Ve forme construite de cette
ilsT-«Ci garrot, Bc. — Au Maroc: cavalier
d'un
corps de cinquante hommes, qui portaient les ordres S^LOJIJ xLjtil. Dans le même sens: ~abLall r..r>',
du sultan aux officiers. Ils allaient autour du camp
et des escadrons, avec un bâton à la main, pour
rallier la cavalerie, et si quelqu'un fuyait ou manquait
à son devoir, ils avaient le droit de le tuer, Marmol
II, 100 a et d, copié par Torres 317-8. On trouve
aussi ces personnages auprès des sultans de Grenade;
Cartâs
abLoiî Yoc.
dit: u>Ar-,S. Le
179, 14, 1001. N. Bresl. XI, 445, 8 et 9, et
— En parlant de la Ca'ba, on
s
avait lieu le vingt-
septième jour du mois de Dzou-'l-ca'da. On relevait
alors les rideaux qui la couvrent à la hauteur d'en-
Baeza (dans Müller L. Z. 71, 6) leur donne le nom viron une brasse et demie, et cela sur ses quatre
d'alharriques (pour almoharriques) et les compare aux faces, afin de garantir ces voiles contre les mains
ballesteros de maza» ou massiers des rois de Castille. qui auraient voulu les mettre au pillage. A partir
~CI
<!~—=~, suivi de ~0£1,
CI # de cuisine
ustensile f servant de ce moment, l'on n'ouvrait plus la Ca'ba qu'après
l'accomplissement de la station d'Arafa, c.-à-d., douze
à remuer les mets qu'on prépare dans un pot, Chec. jours plus tard, Djob. 166, 6 et suiv., Bat. I, 395.
Aujourd'hui cette expression signifie que la Ca'ba est
~ju!. - Boute-feu, celui qui excite des discordes, M.
sans rideaux, ce qui dure quinze jours, car le vingt-
-~-.~ remuant, qui remue, qui s'agite sans cesse.
cinquième jour de Dzou-'l-ca'da on ôte les rideaux,
~éjJÏchatouilleux, susceptible, qui s'offense et le dixième jour de Dzou-'l-hiddja on les remplace
aisément; — ric-à-ric, avec une exactitude rigou- par des rideaux neufs, Burckhardt Arabia I, 255,
Ali Bey II, 78.
reuse, Bc.
tFJ'r* 1
1 «-0 V. De même qu'on dit: S^UaiL ~j. «commencer
(vulg. pour ~7--, M) remuer, farfouiller,
:
la prière » (Lane), on dit ~~LJL t*y-~' commencer
à faire le tour de la Ca'ba, Badroun 282, 7. —
Voler, faire le métier de voleur, 1001 N. Bresl. VII,
291, dern. 1.; faire le métier de pirate, de Sacy Dipl.
XI, 41, Amari Dipl. 194, dern. 1.
— Dans le Voc.
¿'';>-, syr. t~a~, vesce, Payne Smith 1373. sous pallium.
X-JL-~- paroisse, Voc. Comme il traduit aussi VII dans le Voc. sous proibere.
ce
VIII. Lane a corrigé la faute de Golius et de
mot par ~5^L&-, il est clair que le terme en question
Freytag qui donnent à cette forme le sens d'être
est composé de ~ii;b et de la terminaison diminutive
~,y.Il
espagnole ela. respectable, et il a observé que c'est r.f>" , au pas-
sif; mais en Espagne le peuple disait mohtarim, au
exclure, priver de, Bc, de Sacy Dipl.
1 c. ~0" r.
lieu de mohtaram, dans le sens de respectable, hono-
XI, 46, 6 a f. Anathématiser, Bc, Hbrt 157, rable; voyez Aie. sous les mots: magnanimo en las.
—
excommunier, Aie. (M.
descomulgado), M, Bc, qui honrras, matrona muger onrrada, matronal cosa,
noble, onrrado. — De même que respecter en fran-
31,5 a f.: je ne la vendrai pas pour toutes les ri.
çais, ce verbe signifie figurément: épargner, ne point chesses du monde, ~~j~ Kà cause des liens sa-
endommager, p. e. Bat. III,
291: Ce souverain punis- crés qui m'attachent à elle.» — Une dame, une femme
sait les petites fautes, comme les grandes; il n'é- respectable, Koseg. Chrest. 92, 10; ~Lj madame!
pargnait (~J~s~< {~-X-~: ~*J ~0"') ni savant, ni juste, 1001 N. II, 427, 8. — ~ü.r
au nom de, par,en
ni noble; IV, 88. — Freytag a fait une bévue gros- considération, Bc. — ~u.f> à ou ~MJÀ à cause de;
sière en disant que J.-J. Schultens a noté sur la ~G
«
~yW Mf> pourquoi? Yoc.
marge de son Golius que ce verbe signifie: «abstinuit
bonorare. » Schultens lui avait attribué deux signifi-
;
cations, que Freytag a confondues en une seule, celle
de s'abstenir et celle d'honorer voyez Weijers dans
Rutgers 154; et ce verbe signifie en effet s'abstenir
qui porte ce nom parce qu'elle croît dans le Hidjâz,.
Bait.1,19d.
~0 dénuement,
olA;:::
d'une chose par respect, se priver de l'usage de quel- privation, Bc.
que chose par respect, p. e. Rutgers 153, 24: Les X-~JLe-~ privation, Bc.
Arabes qui habitaient ces contrées s'abstenaient de
~pl—s-
couper quelque chose de cet arbre, .e-X-~: malhonnête, Bc. — Usuraire, Bc. — Inces-
tueux, Bc. — Vol, action de celui qui dérobe, Bc,
1001 N. I, 233, 1, III, 475,15, Bresl. VI, 235,8.
servait de demeure aux djinns; Macc. I, 688, 8:
Quoiqu'il y ait deux ponts, les hommes et leurs mon- — Malédiction, anathème, Ht, excommunication, Aie.
tures passent le fleuve dans des barques, ~&ÀP ~CI (descomunion).
(descomunion). ~r'i>
-
—~flr55" pour
et ~r'r pour ~G (voyez),.
(voyez)
,
pièce d'étoffe de laine blanche; ce sont surtout les
Maghribins qui en font usage; pendant le jour ils
passer sur ces deux ponts,» attendu qu'ils sont situés s'en enveloppent le corps, et elle leur sert en outre,
dans l'enceinte du palais du sultan; cf. 1. 9: LeLxc"!
soit de couverture pendant la nuit, soit de tapis; ce
~qLLJImJî t7.e_dl«par respect pour l'endroit où se
:
sont eux qui importent les «herâms» en Egypte, et
trouve le sultan.» ~tewl ~J~-! s'abstenir de manger cette couverture a reçu ce nom, parce qu'elle res-
de la viande, faire maigre,Yoc. — Etre privé de,
de Sacy Chrest. II, ~aC, 5 a
~ùyXÈ* «il
f. ~Cr
iau«si ~ri>'
sera privé des avantages qu'il aurait pu
semble à l'ihrdm des pèlerins; voyez Lane trad. des
1001 N. III, 570, n. 21 (dans le passage auquel se
rapporte cette note, s-,
dans l'édit. de Boulac,
recevoir de tous les ministres (de la religion uni- est une faute pour r'J->, comme on lit dans l'édit.
,
taire). » Macn. IV, 166), M. E. I, 227, II, 8, Bc, Descr. de
,
~j~-~-ù
CI - - voler, faire le métier de voleur, 1001 N. l'Eg. XII, 128, pl. ot, ibid. XVII, 300, Defrémery
Mémoires 153, Pananti II, 66;
— un châle qui cou-
Bresl. VI,199, 2, XI, 395, 6 et 9.
CI
~r,>- interdit, censure ecclésiastique, Bc, M. - ~f" f
vre la moitié du visage, Barth V, 270, cf. IV, 349.
enfant naturel, adultérin, bdtard, Bc,
Hbrt 30, 1001 N. I, 178, 15; — garnement, vaurien,
dans le sens de respect ou honneur: j.c
- ~CI
gueux, Hbrt 220, coquin, chenapan, Bc; — J~-~3~
«sauf
X-<-~ respecter, Aie. (acatar onrra). On dit: L~Ls~
le respect de la compagnie,»
et \:!UJ ~a- ~X~ LàLs» «vous n'êtes point capable
vauriens, voleurs, 1001 N. I, 772, 10 et 11.
y»
M- anathème; excommunication, Bc.
d'une semblable action (d'une mauvaise action),» Bc. ~.t~- pl. ~L>
famille, Yoc. — Pl. \:.:J' les harems
Chez Aie. on trouve l'idée de respect modifiée, car
il traduit horma par faveur (favor), X&L.~! X-~-&' la de plusieurs personnes, 1001 N. II, 474, 475.
faveur du peuple (favor del pueblo); cf. L: privilegi- àL/iL-s-, chez Freytag, doit être biffé, Fleischer,
umtn (kXSjÎ}
£ oy Aussi: marques d'honneur, Aie. (in-
note sur Macc. 1, 468, 5 et 6, dans les Berichte 189.
signias de honrra), trophées, Aie. (insignias de ven-
cimiento), et noblesse, Aie. (nobleza). — Asyle, Domb. ~.— coquin, voleur, brigand, bandit, Bc, Ht,
~s
99, Ht. — Dans le sens indiqué par Lane 555 b
, remarquez
la construction Koseg. Chrest.
M, Djob. 303, 20, Koseg. Chrest. 74, 7 a f., Brei-
tenbach 115 vo, Davidson 64, Burton I, 242, II, 101;
même sens dans le passage de la Vie de Timour, cité cette
5 > )
à la famille,
partie la
XXII,
Ztschr.
de tente qui sert de demeure
Bdtard, Hbrt 30 (Alg.), Roland, 100, n. 31.
par Freytag. —
~Y
CI -
Daumas V. A. 101. — En Ifrîkiya et en Syrie, jas- r'r<\A banni de la société, Abbad. III, 45, 12,
I, 310, 4, si la leçon est bonne. 66, n. 44. — Excommunié, anathème, Aie. (desco..
min sauvage, Auw.
mulgado), Hbrt 157.
o y favori, homme
t0,.,
rjxe;u en faveur auprès d'un prin-
210, 12 (= Bat. II, 101). ce, etc., Aie. (privado de gran senor). — Lieu pri-
*O( vilégié, Aie. (previlegiado lugar).
r~9.r>' pire, Aie. (peor).
~!)~
~C) (pers. QÎiAxyi»;; en arabe on trouve aussi ce
mot avec le khd, mais plus ordinairement avec le
Macc. II, 711, 5), du pèlerin. Il con-
le costume
hâ) sac de cuir qu'on porte au côté et dans lequel on
siste en deux pièces de toile ou de laine, préféra- tient ses outils, sespapiers, son argent, etc.; particu-
blement blanches, longues de six pieds et larges lièrement trousse de barbier, Fleischer Gl. 51,cf.
son édit. des 1001 N. XII, Préface, p. 92, Maml. II,
de trois et demi. L'une, qu'on appelle le
1.5 r.-CI.
V c. a. avoir soin de, Bat. I, 334: ~LJNLWt,
CI.
~-<~JL~ .—~Xj «le peuple a soin de balayer cette
rieu ,
-O
1
en général, parent, qui est de même fa-
mille, même en parlant d'un parent assez éloigné
route tous les jours.»
Bat. 1, 387 :~ -
U>1113 « il
Observer, faire attention à
observait le
moment où ils faisaient leur tournée,)) et, ce moment
pour qu'on puisse l'épouser, de Jong. — Sorte d'étoffe, venu, il se joignait à eux; Edrîsî, article sur Rome,
Maml. II, 2, 71, 1. 11, 12, 18 et 19; mais la leçon ~e-~j; le véritable but
en parlant de Dieu: ^JUcuJt
est incertaine, voyez p. 76.
de l'histoire, Prol. I, 50, 13. Ayant à expliquer les
K~—<=~<
pl. <.L.s:~ mouchoir, Maml. II, 2, 76,
Mehren 35, Woltersdorff, Burton II, 115, Ht, M,
Ghadamès 42, Ztschr. XI, 503, etc.;
— serviette;
tOilette, toilegarnie, étendue sur une table, Bc.
«(Maharma-foum-hezam, fichus de soie rayés aux ex-
trémités, portés par les femmes sur les épaules,» attention à la quantité de farine qui,» etc. Aussi:
Prax R. d. O. A. V, 24.
~e,CI # -
confidence, Ht. «on s'y conforme à la méthode démonstrative,w Prol.
III, 26, 13. — C. a. p. et y
r., chercher quel-
qu'un pour lui donner quelque chose, p. e. se donner
de la peine pour découvrir des pauvres qui se livrent nom d'un. 8, avec le pl.j~, (enpeyne), Aie. Domb
à toute l'austérité des pratiques de la vie religieuse, ,89, Hbrt 36, Roland. - ~jr^ hépatiqlle
afin de leur faire l'aumône. Pour éviter cette cir-
(plante), Bc, Bait. I, 183 e, 304 e (lisez ainsi avec
~LjjLi
* *
conlocution, on peut traduire î,,,àà (~j~jf par AB), 545 c. Les deux man. du Most. (in voce) por.
} faireprésent à quelqu'un de; voyez Abd-al-wàhid 12,
1. 15 et 16, 209, 1, et comparez dans le Catal. des
tent et le terme en question signifie proprement:
dartres des rochers, parce que le lichen qui croît en
man. or. de Leyde III, 246, 6 a f.: celui qui pos- forme de croûte sur les rochers ressemble à la ma.
sède des connaissances ne doit pas les cacher; au
ladie de la peau qui porte le nom de dartre. Golius,
contraire, il est de son devoir ~&Ui M ~~-eu ù' «d'en
1
faire part à ceux qui en sont dignes. — C. ~Cr ou suivi par Freytag, a prononcé -~J! ~jlyz- et traduit
«perforator petræ;" mais si cette manière de pro-
~if s'abstenir de, Voc., Cartâs 33, 14, 35, 5; s'ab-
stenir par respect de toucher à une chose, faire noncer, qu'on trouve aussi chez Lane, est bonne, l'in-
.!.
Lj
conscience d'y toucher, Cartâs 25, 10 a f. terprétation ne l'est pas, car dans ce cas n'est
à peine, difficilement, Voc. (vix,
dificilis), Macc. II, 115, 3 et 4: ~CyA|JLmo qÎ 1 qu'une autre forme de~jLs»»; cf. plus loin a.<:~-.
~üj5---.
voyez ce qui précède.
«à peine échappe-t-il à.,» Haiyân 96 vo: ~oî
~cil L~j~
~- dartres, L (impétigo), Voc. lre partie (ber-
bol, mot catalan qui est l'équivalent de impetigo et
difficilement l'occasion de le surprendre;» — à plus
de l'esp. empeine; voyez le Dict. catalan d'Esteve);
r.r..
forte raison, Bc, qui a aussi: * ~r5 à combien
— gale, Voc. 2e part. (scabies), avec le pl. ~ol et
plus forte raison; — au plus, tout auplus, Bc (Barb.). 1 qui est proprement le pl. de ~5!e
1 1 (voyezsous
~îôjlyï»-(?)capsule, silique, Auw. II, 268, 5 (à la
1. 6,
6 y il faut lire ~Vjji,
u au lieu de a.~; voyez Clément-
Mullet II, 258, n. 1). + , dartreux,
~m
jl=>. ~|^liL(?) pion, pièce du jeu d'échecs, Hœst 112. )j-'A Aie. (enpeynoso).
--
S «-
Yj:::' II. Le Yoc. (sous distribuere) a dans une note:
2, >»
~jS", lre signif. chez Lane, pl. j')j~~ Bc. — T. de
disentire. - ~&Jrtài-- illesattiraverssoi M*
31.
comme je l'ai soupçonné III, 233. — Pli, Ht, troussis, partisans) = la victoire se déclare constamment pour
pli pour raccourcir une robe, Aie. (alforza, alhorza), lui. — Ordre religieux; ceux qui en sont membres
-
bord d'un vêtement, Aie. (borde del vestido).
Noeud, Voc.
le
r~-*-~
aussi
~Yj>' les litanies de la mer, qu'on appelle
-ouaJtVjiL (H. Kh.
prière composée, en 1258 de
III, C'est une
57, 4).
J. C., par Abou-'l-Hasan
ach-Châdzilî, et destinée à apaiser la colère de Dieu,
II * y-
Kï~-~-, >
Bc, et XS~.L~-, M, hoquet.
flâner ou lambiner, M.
heureuse; voyez H. Kh. III, 56, 11 et suiv., Bat. .; même (J*.LA5Ï rr' 1001 N. II, 74, 5.
I, 40, 105, Ztschr. VII, 25, Burton I, 206. On en II ceindre d'une ceinture, sangler, Ale. (abarcar,
trouve le texte dans Bat. I, 41-44. cenir, cinchar alvarda, reatar otra vez) , Bc, Ht,
~l4r parti, faction, troupe,Ht. Belâdz. 238, 3 a f. — Ceindre l'épée à quelqu'un,
le faire chevalier,Voc. — Retrousser son habit sous
~w,
~L~-. Le pl. yty> lecteurs du Coran, Roland.
lebras, Aie. (sobarcar). — çjLoxJÎ pis- emballer, Bc.
~V7^ P1- réunion d'hommes, Cartâs 113, 6. — Donner à quelqu'un de la fermeté, du courage,
(où l'éd. do Boul. et celle de Macn. ont par erreur VII porter une ceinture, Ibn-Batouta, man. de M.
)e.L\>).
-
Acculer, pousser dans un coin, dans un
endroit ou l'on ne peut reculer, Bc.
de Gayangos, là où l'édit. II, 264, 3, porte la
forme. — Etre emballé, 1001 N. II, 69, 7.
Ve
VII s'accltler, se retirer dans un coin, Bc. ~ÏUp- bouquet, assemblage de fleurs,Abd-al-wâhid
~O';?,
O- >
et même O ) vulg.
pour jiti-it,
«p M.
268, 4 a f. De là le terme injurieux dont on se
sert en parlant d'une femme qu'on méprise M-~J!
);.;. devin, Hbrt 157. ~SjjiÂJî, le bouquet puant, 1001 N. I, 603, 8 et 9,
énigme, Bc, M.
parce qu'on compare ses charmes flétris à un bouquet
m ~O tlivlnaf.oÙ'eBc.
divinatoire, Bc dont les fleurs se sont depuis longtemps fanées, de
sorte qu'elles répandent une mauvaise odeur.
,
) ~)
para esprimir). ~;ij,j>sol raboteux, Gl. Mosl.
j~~- ceinturier, qui fait et vend des ceintures, Bc. ~JL~!-~- mortuaire, Bc.
r«- suivi de çjLhJî, emballeur, Bc; .y~-.~J! e-iieela sol raboteux, Gl. Mosl.
t.J:tWû' ~(f4, 1001 N. Bresl. VII, 57, où l'éd. Macn.
* CI
Xj-~~J! t. de musique, ce qui rend triste
convient
X~j~j ou à la tristesse, comme ~L~! .L~b~, M.
pl. ~L-s=\j ceinture, Aie. (cenidura, cincha-
dura, cintura). ..t~*
>~G
«• qui
est en deuil, Aie. (enlutado, enxergado
vulg. r?,
~r?' por luto, lutado cubierto de luto).
tablier, Bc, Hbrt 199, qui sert
à tenir lieu, dans les bains publics, du caleçon dont mille-feuille, Sang.; cf. Bait. I, 306 b, où A
« I, 301, 9.
~!-=>- astrologue, aussi Berb.
,.~j~ 1 prendre le deuil, Aie. (enlutar poner luto) , c.
jL~, pl. irrég. (~~, Berb. I, 299, 1, 569, 10,
~< p., Bc.
581, 5 a f., II, 167, 2 a f. (man. 1350 ,~J~J!),
IV. Le nom d'act. soin, Roland.
282, 10.
X. ~oylil .-~u~! trouver qu'un ~oyo est CJ'IP"'
<j~St. 1 c. y
ressentir, sentir, éprouver; se ressentir de;
Kâmil 505, 4 (voyez .'y!~*- v.:eee dans Lane). ;
s'apercevoir de avoir vent de se douter de; juger,
~»— j. (j<~.&- pressentir;
;
~w
O #1' Le pl. o';-=::,
0';->' Diw. Hodz. 214, dern. 1., conjecturer, prévoir; y
"JI..> t/~-s~ se trouver, sentir, éprouver que l'on est
dans un certain état; KJjJïJIj ~u-> avoir la puce à
n~~->- ,
un homme dit en se remettant du trouble, de la
de ~-~-:>,
car c'est ainsi qu'il faut lire, au lieu
comme le prouvent le sens et la rime;
raison et l'expérience, Bc.
~j<~=~) (cf.
y o +
y*}—««——*,
Freytag) étrille, Payne Smith 1474.
pas de discrétion, de
~I
passive; l'un ou l'autre est une faute.
«
le silence).
— «ne vous arrêtez pas à ce qu'il dit,)) Bc. — S'aviser
bruit, Fleischer Gl. 35 n., 104-5, Aie. (ruydo por
estruendo), p. e. le bruit qu'on fait avec les pieds,
suis pas avisé,) Bc; cf. Fakhri 270, 2. —
Ale. (estruendo de pies), ôliLSit
~ot
«le bruit que ~LL s'attendre à une chose; — avoir égard à,
font des pots de terre, etc., qui se cassent en tom- Bc. — U«*.,>• ~«îfaire compte de quelqu'un,
bant,» Aie. (roydo de cosas quebradas). —Bruit, l'avoir en considération,Bc, Antar 5, 5 a f. — Deviner,
nouvelle, Aie. (fama de nuevas). prédire l'avenir, Voc.
——~- physique, adj., v. d. Berg 39. — Vocal,
<.::.. penser, Bc, 1001 N. Bresl. IV, 152, 6:
qui s'exprime par la voix, Bc.
a
(j*~
> ~)
sentiment; sensation; délicatesse, sensibilité Estimer, faire cas de, Aie. (estimar en mucho, tener
excessive, Bc. en mucho); <-~ Le compter pour rien, Ale. (esti-
;
mar en nada) seul ou avec .r-:>,) ,
se vanter, se
glorifier, avoir une bonne opinion de soi, Aie. (pre-
»
fait que me dégrader (81.). — L'expression
JUy ~tuJLc se trouve réellement dans l'AsAs, de
sorte
ciarse de si, presumir de si mesmo). que le doute de Lane est mal fondé; mais je crois
dé
III, c,
~jumâS se ménager, s'observer, se donner
garde, éviter, se précautionner, Bc.
qu'elle a été mal expliquée par le lexicographe qu'il
cite, et qu'elle signifie: je lui demandai compte de
l'argent. On trouve ce verbe en ce sens, mais c. a.
IV deviner, juger par conjecture, Aie. (divinar por p
instinto).
V faire les opérationsnécessairespourprédire l'avenir, «on ne leur demandait pas compte de l'impôt terri-
1001 N. II, 690, 4 a f.
— Craindre, M. -= VIII torial.»
VI c. ~<-~ p. faire (régler) ses comptes avec quel- tentèrent de se retrancher dans az-Zâhira,»Nowairî
qu'un, Voc., Bc. Espagne 476. Quand on veut terminer une discus-
VII être compté,Voc. sion, on dit - J c , cela suffit, c'est assez, n'en
VIII. Lane aurait dû donner comme la première
signification (ce que du moins il n'a pas fait assez *
parlons plus, Badroun 201, 1. y ~CI s'emploie sans
complément et adverbialement dans le sens de seule-
clairement): compter, penser, croire, attendre, voyez
ment, rien de plus, pas davantage, de Sacy Chrest,
Harîri 322, 6 a f. et des exemples J. A. 1836, II,
138 (dans cette note de Quatremère il y a de la con- II, 445, 2, Aboulf. Hist. anteislam. 50, 15: ~0" ~UÏlj
r
notes, 190, 8 a f., et par ellipse, NL\-J~s-~~-JLs~!,
abbâsides ne possédaient plus que ~l'Irâc,> O-m*.
- .,.
,
future, J. A. 139, et les étudiants en théologie sont
nommés ~M.n ~=t3 à Macc. 1, 244, 3 a f.,
c.-à-d., ceux qui, pour mériter une récompense de
Dieu, se dévouent à l'étude de la théologie; cf. le
K-KJHJS». XSiLit t.~-~ «autant qu'il était possible,*
passage du Mocaffâ J. A. 140, où les derniers mots «ils mangèrent autant qu'il était nécessaire pour se
mal traduits, signifient: «celui qui, pour obtenir une rassasier,» Koseg. Chrest. 71, 6 af. t~,
récompense dans la vie future, a étudié avec le plus
de soin ce qui est écrit dans le livre divin. »Par '-~J~!
,
suivant, selon,Voc., 3-vl*iî«sui-
un fréquent usage, ce verbe a perdu sa force. Ainsi vant la »
~coutume, de Sacy Chrest.
1
II, vl, 2. Dans
~O
(~)~~JLJ~~Xs~, Macc. II, 36, 15, ne signifie rien
autre chose que: «Dites adieu à la vie!)) Chez Ibn-
Bassâm II, 76 rO, on lit en parlant d'un homme qui 183, 7 (cf. p. 435, n. 6, oii l'éditeur prononce à tort
,il consacra à
Belâdz. 144, 3, Berb. II, 41, 6 :
cet emploi une partie de ses soins.» —
C. ~'-ri r. faire entrer en ligne de compte (cf. Lane)
af. "'-',
faut lire ibid. 209, dern. 1., pour copie conforme.
saint Jean,»
d'après,
ul
J,4 -
Dans les traductions de la Bible: .~a~ 4w---%r «selon
1selon la loi» (Simonet).
imité de, Bc. &-*-~-~: ~tiÂ-P elcela
ligne de compte ce titre de vizir avec lequel il n'a revient à peu près au même,» de Sacy Chrest. I,
~jj L~~> si, Bo. — Estime, iÂ_3> qu'ils étaient d'une famille royale, Maec. II, 2849
7 a f. comme
~tj. ~> «est-ce là l'estime que vous avez pour
vous faites de moi?» Macc. I, 558,
20-22.
moi, le cas que
,»»»aJ, ~L~> chiffreur, Bc.
15. — Au XIVe
hasab, »
siècle «il a reçu un
signifiait à la Mecque qu'une personne avait
émirs de cette ville, en présence du
v.**/:>» calculateurd'observations astronomiques ,
reçu des deux Amari 595, 4, 669, 12. — Devin, Voc., Aie. (divi-
public, un turban ou une calotte. C'était une marque
de protection pour cette personne, et elle ne cessait
d'en jouir tant qu'elle restait à la Mecque, Bat. I,
:
nadero, pronostico), Macc. III, 23, 4, 1001 N. I,
;
866, 5 c'est proprement le devin qui opère en jetant
par terre des cailloux ou des noyaux, Prol. II, 177,
,
1:!.4-> lit je vous en supplie, Bc.
354. -- 13.
~y .4.
somme, Cherb. Dial. 122. — Partie, article w ~9G
arithméticien,Voc.
d'un compte, Bc.
t-~~ pensif, Bc.
et qu'il vient au contraire de l'espèce de flèches qu'on ~v—financier, Bc. - Jeton, Aie. (contante
appelle ainsi (voyez Lane). Plus tard c'est devenu para contar).
le nom d'une arbalète d'un genre particulier, qui fut
mise pour la première fois en usage par les Persans,
- *
K~<L~ comptabilité, Bc. - La cour des comptes,
,
description J. A. 1848, II, 214—5. Discrétion, circonspection, retenue, mesure, prudence,
prévoyance, réserve, Bc.
-
à contre-cœur,
o~~ un tel soupire pour une chose
qu'il n'a pas, il désire ardemment de la posséder,
pièce de vingt sous, que l'orfèvre intercale entre les
perles des boucles d'oreilles, Cherb.
1,
, L'expression s
j~~>-. 0}'
~O-S
P. Tha'âlibîLatâïf
âïf 308 b. Quant à l'orthographe et la prononciation de
~I
109, 10, semble signifier une odeur douce, suave.
° !',;-':";'
O ~«Opolypode,
- ce mot, on lit dans le man. 13 (3) qu'il signifie aussi
ce qui est le sens ordinaire de «hisl.» —
Instigatio, L. — Most vo
La farine qu'on tire du fruit du palmier nain, Bait.
;
57, 10.
.1
.ft:N'$.fJ (cf. Freytag), malheurs J.-J. Schultens rmob- 1 e. ~cr- décompter, rabattre sur une somme, dé-
Raser, Domb. 120; il donne, 105, le partie, act.dans
faire, défalquer, précompter, compter par avance et le sens de rasé, mais ce doit être le partie, pass. —
déduire, imputer, appliquer un payement à une dette, Comme verbe neutre, rabonnir, devenir meilleur, Bc.
Bc.-
feu,Voc.
Nom d'act. F*S>-
„ - et y >
'ÎA+M+S», sécher devant le IV. Savoir (Lane), et comme savoir en français,
avoir le pouvoir, l'habileté de faire quelque chose,
II sécher devant le feu, Voc.
ler, rôtir, Voc.
- Torréfier, gril-
p. e. Bidp. 276, 3 a :
f.
t
0:->'
~oJI » ~CI «je ne sais pas
V quasi-passif de la IIe forme, Voc. la magie;» Koseg. Chrest. 56, 9: ~ItÂP ~JJï* ..-j~!
I,
VII. Prol. 163, 2: Quand on prive l'homme
brusquement de toute espèce d'aliment, chose de semblable? Je puis réciter, répondis-je,
~Ixii. De Slane traduit: «alors les intestins se ferment
quelque chose qui vaut bien mieux;)) 01. Mosl. —
tout à fait.)
~"JO
~5». Le pl. ~oî dans le Voc. ~~b ~Jw«i ~0->' justifier l'espoir de quelqu'un, Berb.
rY->' Selon Haedo,
I,530,12.
a et b, la période appe-
17
lée « Asom »
commence le 25 février et dure sept ;
V croître, augmenter, renchérir, Maml.
de, Kâmil 118, 3. — En parlant d'une
C. "'="'se vanter
II, 2, 134. —
jours; on croit qu'avant et après ce temps il y aura femme qui n'est pas belle, tâcher de le. paraître
des tempêtes, et pour cette raison on ne va pas sur
mer pendant quinze jours. Dans le calendrier que
Hœst a traduit, on lit, p. 253, que le Hasúm « » X. Sous trouver bon, Bc a bien ~LLXM
~9
commence le 27 février et dure jusqu'au 4 mars.
Equinoxe, Cherb., Martin 172.
prendre une chose en bonne part, Bc.
sécheresse,
- aridité d'une terre, Auw. I, ~CIy
~0->. KCtUM .j~-s>- plante qui porte des fleurs
sec,
54, dern.
y
1.
(infecundus)
succina ~L~j~-~*
> O -«
aussi ce sens, car il donne: stirelis [c.-à- d. sterilis]
,
S * - espèce
KjuL~>. de dattes, Prax R. d. O. A. V, 212.
ennemis. Abbad. III, 85, Gl. Belâdz., Becrî 121, 10.
-
~O ~»
,.~u~~ pl. est le nom de la deuxième et de la Pour exprimer que son fils est ce qu'il a de plus -
,
~ot
sixième corde du luth, qui en a sept; voyez Aie. sous précieux et de plus cher, le père l'appelle
cuerda; c'est aussi celui de la première corde de la L5J4 1001 N. I, 12, 1. 14, p. 15, 1. 7; c'est pro.
vielle, Aie. (prima en la vivela). -
~~R~- mode de prement: le dernier reste de mon foie, de mes en-
trailles. -K~L~. Müller 49, 4af., semble
musique, Salvador 33, qui nomme aussi ~L*o ~~L~J~
signifier civil, honnête, poU; mais je ne comprends pas
54, chez Hœst 258 ~àL-o ~—.~-r~; ce dernier, ibid., comment cette expression aurait reçu ce sens, et je
serais presque tenté de croire que ikwL&Js. est un
nomme encore
~m O«.5
r--5%a
lapsus calami du copiste ou de l'éditeur, pour iû£iLÎ^J|#
en musique, le sixième son, Descr. de
X~~>.. Comme ce mot signifie, entre autres cho-
0->'
> » ~ut iitieux;T-JUA xt;pià il apprennent à lire touchent les lettres qu'ils veulent
q.
« le sait mieux
épeler, Aie. (paja para leer, puntero para senalar). —
chaque jour de mieux en mieux;»
beaucoup mieux, Bc.
0-=>',
en belle humeur,Bc ;
En Egypte, chanvre, Bait. II, 328 b (AB). ~L~~L
c'est comme on dit «être en
pointe de vin,» parce qu'on se sert du chanvre pour
qL*^V cadeau, présent, 1001 N. II, 85, 2 a f. s'égayer et pour s'enivrer. — En Egypte, avec l'ar-
ticle,gaude,herbe-à-jaunir, reseda luteola L., Bait.I,
--Cua - o toilette, Ht.
Q'L<Y est dans le Voc. «litera;» mais c'est un
En Barbarie,séné, Prax 20, Richardson Sahara I,
CI - dans Lane; l'au-
malentendu; voyez l'article qaaw^>\j
du Maghrib et qu'on emploie contre la syphilis, M.
teur du Voc. a eu en vue le pl. de ce mot, Cf.:'WlS'°.
~»orobanche caryophyllea, Bait. I,
o
, ~°> chanteuse, Gl. Mosl.
XJL~-~<
Most. v° ~a~~, 1, -.
Bait. 309 g.
s
-
~~H!
sL~i!! -,
(plante),
angélique Bc.
I,
K~-
~.LjjJt houblon, Bc.
Syrie, alyssum,
en Bait. 1.
~JJt - doradilla,
cétérac ou Bc. — Plante du -nummilaire,
(jvJlSî phyllon,
mercuriale ou foirole; Bc.
VuJLaJî
-
~~J! scrofulaire,
—
cimbalaire, Bc.
— croisette, Bc.
Bc. tj&L~~, et
non pas sous le
pl. -
Schultens, mais il aurait dû les placer sous le sing.
Celui qui
travaille dans les boucheries et qui porte le sang, les
Jls\W' — cétérac; -
epipactis, Bait. 1, 309 e. entrailles, etc., des animaux abattus au fumier, 1001
N. II, 153, 4 et 5. — Celui qui fait des cloaques,
~è.#' -
prêle ou queue-de-cheval, Bc.
~lX-*-c—/ter&edeSaint-Christophe, Actée
Voc. (factor cloace); peut-être aussi vidangeur. —
Morceau de fer en forme de faucille et taillé en pointe
à épis, Bc.
aux deux bouts, avec un manche au milieu, qui rem-
",=,,#'
—, en Egypte, heliotropium europœum, Bait. place dans le Kordofan tous les instruments aratoires;
II, 118 d (AB). — Pallenis spinosa, Prax R. d. O. A. bêche ou pelle, qui a la forme d'un petit croissant
VIII, 343. dont la partie concave offre un trou dans lequel pé-
~uiWl nètre le manche en bois de l'instrument. Le mot
— anagallis, Most. vo lj«uJl£Liî, Auw. Il, espagnol «aciche ,»
qui en dérive, signifie hachette
594, 12. On l'appelle ainsi parce que les sangsues
de carreleur, Gl. Esp. 37.
en meurent.
oJl.a.t, cochléaria, Bc.
—
-.
~EJÀJI C'est ainsi que je crois devoir lire chez :JL~ faux, faucille, Bc, Hbrt 179, Domb. 96.
Pagni MS, qui donne: Chrysanthemum Mycone, Hacist
el fegiarha, h. e. planta timoris.)) LA.#à--ecafé où l'on fume le hachich, d'Escayrac 233.
I, <L&J~ même II, 40; tabagie, Be.
— galium aparine, Bait. 309 f (AB). sens, Lane M. E.
~vX&L^ employé dans le sens d'un pl. de JL&.~
conscrits des différents districts de l'Espagne,» No-
Diw. Hodz. 121, vs. 2.
wairt Espagne 466. ~90,
l..,-. enrôlement, Nowairt
~j>& 1 enrôler, Gl. Belâdz. —Fourrer, au fig., faire
entrer dans une affaire; fourrer, insérer mal à pro.
pos; c. à mettre en jeu, mêler à l'insu dans une
C'était sous les Obaidites une véritable chasse aux affaire; mêler, comprendre dans, fourrer dans;
hommes, et quand on avait attrapé les réfractaires, {£ ~JS <3 &!L~. «fourrer son nez partout, s'insinuer
on les liait deux à deux; voyez R. N. 93 rO; dans indiscrètement partout,» Bc. — Serrer le bouton à,
ce récit on trouve ces mots:
J~~ L~~c ~AJLA au fig., presser vivement sur une chose, Bc.
VII être rassemblé (Lane), Abou'l-Waltd 615, 28.
Lt~*" IftJis». J — Ressusciter, revenir de la mort à la vie,Yoc. —
— C. p. se ranger du parti de quel- C. à se fourrer, s'immiscer dans, se mêler indiscrè-
qu'un, M. tement de quelque chose, mettre le nez, ou son nez
IV réunit., rassembler des soldats, Gl. Bayân. —
Mettre des troupes dans une place pour la défendre, ~:~-.
~CI
1 Au lieu de
dans, embouquer, entrer dans, Bc.
-, <
Aie. (guarnecer de gente). rection, on dit aussi seul, de Sacy Chrest. I,
VII s'assembler, se réunir, Gl. Djob., Abbad. I, 281, dern. vers, et ce terme, de même que son sy-
64, 2 a f. nonyme 'JLXLAJLÎI, s'emploie pour exprimer l'idée de
trouble, effroi, consternation, Maml. I, 1, 96. —
~G pl.
<J~s~ >>
J~~
armée, Aie. (real de gentos ar- _r,2,-k ~~—'~ le bureau d'administration, chargé du
madas ijSuo»).
= -
Les conscrits sont, appelés iXàiL recouvrement et de la gestion des successions dévolues
au fisc, faute d'héritiers; dérivé du verbe
sembler, réunir, parce que les biens de ceux qui dé-
ras- ,
cédaient sans laisser d'héritiers, étaient recueillis par
le trésor, Maml. II, 1, 133. — Presse, foule de per-
sonnes qui se pressent, M.
\~u&~ , celui
w ~CI1
qui meurt sans héritiers; ~~-!<~J!
voyez ce qui suit.
pl.
1 ~KXWL>.LB
, et sing. ,
> 3 P. KAmil 776, 10. — Pl.
enrôleur, recruteur, R. N. 92 r°:
dévolues au fisc, faute d'héritiers, Maml. II, 1, 133;
pour l'étymologie, voyez ce qui précède.
~O-
w CI celui qui se mêle de ce qui ne le regarde
0
\j~p~~ (comme en syriaque) = ~PU., Payne Smith
Aie. (cono) chez qui la dernière lettre de ce mot
,
est un n; ailleurs il écrit aussi n pour m, à la fin
1406. des mots.
les
°
(èo-Zàpwo-iç) croûte, plaque plus ou moins ; Jj~X~-!,
~CI
avec l'article, compliments d'usage en so-
ciété, formules de civilités, Bc.
dure qui se forme sur la peau, par la dessiccation
d'un liquide sécrété à la surface, Gl. Manç. in voce: - - o ~y proprement: respectable, vénérable, était
.~X~~<,
le titre que portaient chez les Ismaéliens les com-
mandants de province, et en particulier celui du
JJL~!!, Bait. I,6, 15, II, 56 b; aussi avec le khâ, Kouhistân, Defrémery Mémoires 225, n. 2.
p. e. Payne Smith 1029, 1030.
.*.-% 1 c. a. p. traiter quelqu'un poliment, avec respect, M. rejeton transplanté (du dattier), Prax R.
II c. a. p. parler poliment à quelqu'un, pour lui d. O. A. Y, 214.
inspirer dit respect, si tel est le sens de l'explication
1 est dans la langue vulgaire, Voc., Bc,
J
partie, civil, honnête, poli. Dans le M le n. d'act.
est respect ~(iûLp).
était le nom d'une espèce de garde aller sur les brisées de quelqu'un, Bc.
que le sultan almoravide Yousof ibn-Téchouftn forma
II c. à interpoler, Bc.
IV a dans la langue vulgaire le même sens que
la Ire, farcir, remplir, Voc. — Entonner, verser une
liqueur dans un tonneau à l'aide d'un entonnoir, Aie.
(enbudar).
j~~c" honnête, conforme à la bienséance, Bc. V c. d. a., comme la Ire, farcir, remplir, Gl.
X ~.t -. La signification de timidité (Lane) se Fragm.
trouve Yaleton où il faut prononcer ainsi. —
~VI, 11, VII s'embarquer, au fig., s'engager dans, Bc. —
Modestie, Jackson Timb. 141; décence, honnêteté Se fourrer, se couvrir d'habits chauds, Bc.
térieure, Be, M;JLJHJL* ex-
il a un extérieur
« YIIÏ c.~r' ou à, se fourrer, s'immiscer dans, se
modeste, honnête,» 1001 N. I, 67, 4 a f. — Gravité, mêler indiscrètement de quelque chose, s'y ingérer, Bc.
L&-~,~MC~a, entrailles, souvent au fig., parce
~O
£
.~jL~~t
M viscéral, Bc.
qu'on les regarde comme le siége des passions, les
organes de la sensibilité morale, p. e.
~o£ 1 C f ~m
~J&-~J
+ + (vulg. ~&.~J) hors d'oeuvre, Bc.
:
forme; Bc a en ce sens le n. d'unité ~oW a~-~-s~; c'est la prononciation grenadine pour mohxâ, le partie.
~~jL uDiD3 t-'L~ ((des vêtements ouatés, Macc. II, » pass. de la IVe forme, laquelle, dans la langue vul-
femmes~yo-
gaire, a le même sens que la Ire).
88, 13. Au fig., en parlant des
J-~L~, 1001 N. I, 6, 3
~yo*
j<~Ju!
,
ces Gl. Esp. 59. — Discours prolixe,prolixité, Maml.
I, 2, 105; cf. II c. ~q-» excepter de,Yoc.
+O+
H~~- voyez l'article qui précède.
~- et Quatremère, Maml. I, 2, 105,
III. Dans un vers, Abbad. I, 385, 8: s'ils avaient
a tâché de prouver que ce mot signifie: un parleur préservés des justes reproches que vous avez à pré-
inconsidéré, et il semble avoir ce sens dans quelques-
ou
uns des passages qu'il cite; mais dans d'autres il ne
l'a pas, car Xj~~L J~! y est le nom d'une
secte. On n'est pas d'accord sur l'origine de ce nom,
sent le droit de leur faire.»
V,s'abstenir de, non-seulement c. mais aussi
~Q*,
c. ~Ce,Voc. — Dans le Voc. elongare se, et il donne
ni sur les opinions que professait cette secte; voyez aussi cette forme sous ora.
(jàls»- chameau de trois ans, Daumas Mœurs 310 n.
Gl. Edrist. Le Voc. a '-5>-;':- sous ora; c'est
— ~s
l..Zwl> thym; serpolet, espèce de thym; ache, Bc. —
proprement de la racine ~LF
sauf le respect de la compagnie; ~Cr ~L-ÙLS»
K~L&- hors d'oeuvre, digression; cheville, tout ce
J~~J~ loin de moi l'idée que vous soyez avare; U:,L:>
~I:!UJ vous êtes incapable d'une semblable
~Cr tj~JL~-S~
qui, dans les vers, n'est que pour la mesure ou la action; ~jL~~jJ~ ~Cr u:wL> sans comparaison, expres-
rime, Bc. Pour d'autres significations, voyez sous la sion employée par civilité et par respect, lorsqu'on
racine ~&~-. indique un rapport entre deux êtres disproportionnés;
.1
~1s', L.*J--> Dieu m'en 1
préserve;m'en garde Dieu me K~&L~. ~Xâi ProL II, 360, 8, dans le sens de j~S
~&j~L ü+.iJ chez Lane, bien-être, existence agréable
préserve d'en avoir l'idée (je n'ai point commis cette
-
et commode.
la racine
Pour d'autres significations, voyez nous
moi une
semblable pensée, Bc. On dit liLiiL-s», sauf
~m
votre respect, quand on est obligé de parler de sang, 1 rogner, retrancher, ôter des extrémités (Lane);
d'ordures, d'un maquereau, d'une entremetteuse, d'une
prostituée, d'un traître, d'un juif, etc., Jackson Timb. au fig. &.~LJL->.(j~-~- rogner les ailes à quelqu'un,
315-6; aussi «quand on parle d'une femme et de lui retrancher une partie de sa puissance, Berb. I,
tout ce qui la regarde, comme étant au-dessous de 320, 6 a f., 580, dern. I., où le texte porte par er-
la dignité de l'homme, » Martin 111; ainsi on dit
reur ~j> et notre man. 1351 ijasp., lisez U-"-"yII
dans le dialecte de l'Algérie: ~3 ~U-OLC
222, 3 a f., 338, 1, 414, 4af.; Schultens cite Ispa-
-
tez: 234, 4, 242, 11, 7 af., Bat. III, 239, Macc. II,
f., 664, 5 SI., VII, 104, 9 Wüst. Mais l'explication
804, n. a (aussi dans Boul.), Berb. II, 174, 8af.,
»
de Lane: «courteous to his associates, implique l'idée 247, 4, 251, 1, 300, 8af., 334, 6 et 11, Ibn-Khal-
que àujfrls»- a dans cette locution le sens figjiré d'en- doun, man. 1350, IV, 36 ro: ~M 'iJas- ~XJU* o-i!^
tourage, tandis qu'il a son sens propre, celui d'ex-
trémité. Ce qui le prouve, ce sont des expressions
de Copenhague 81, 120. Garnison, Aie. (guarnicion de
gente), qui donne le pl. ~OLÛ>, mais chez les auteurs on
1 8
~O
trouve constamment VeAa---.. — Vulg. pour ~wl:>, M*
~&AU 1%
~àSj,
paroles»), Abd-al-wâhid 169, dern. 1., - ~y quote-part, Aie. (rata parte proporcional).
~m
K»a?su
Haiyân-Bassâm I, 49 r°, et c'est proprement: celui
~n
dont les extrémités sont fines. Chez le vulgaire L~4~"
signifie aujourd'hui
~~A-~L. signi&e qui <t
aujourd'hui~Mt d'argent, M.
~MM<!'<tfyeM<,
a peu M.—
~*
X~9.~ Lfè-"*- scarlatine (fièvre), Bc.
même mot que « réatolh), en provençal (Raynouard
0*
(j<gLsuaJ>- i gravier, Diw. Hodz. 177, vs. 8; aujour-
»
VI, 4 a) et «restrojo en espagnol, aéteule, chaume »
d'hui encore <j~L~j~a~.
O»
a ce sens en Barbarie, Hbrt
172 (Alg.), Bc (Barb.). le jugement est sain et solide, Gl. Mosl.
# ~CI ~9 formé
«
_xL>-%àa de gravier, Yoc., Bait. I, 73 a: t~T~ comprimer, presser avec violence, oppresser,
1
presser, gêner, renfermer, t'estreindre, réduire dans
des bornes, serrer, presser (Barb.), Bc.
telle est la leçon de B, et c'est la véritable; A — Modifie,
restreindre; c. à réduire à, borner, restreindre à,
XMLML.S?!.
1 ~il
Bc. — ~jJLiî ~a~. se dit quand ceux qui se trouvent
"'1" rognures de branches pour les plan-
1 couper des
dans une ville en ont fermé toutes les issues; j'ai
f,
ter, Auw. I, 305, 10, 3a — Ereinter, rompre les trouvé quelque part: une barque avec vingt pirates
reins, Aie. (derrengar, deslomar, et le partie, pass.
chrétiens était arrivée à Bone, ,
sous derrengado et deslomado). - ~vA-«n-r>-,aufig., I..,tfi..> ~tXJLJî~yas- ~Uë5
v)t« >
, ua>
»
un tuyau, Cartâs 41, 9.
mode de musique, Descr. de l'Eg. XIV, 29.
V être en peine, être embarrassé, être embarrassé
~iXuuos-.
~JUÀa---. coranique
L'expression coranique %X~3 ~ri~'ü(XI,
.4-Ïe ~(Xi de répondre, 1001 N. Bresl. VI, 323, 12.
~«o»
o restrojo). — Rognures de branches qu'on plante,
Auw. 1, 304, 4af., 305, 9 et dern. 1., 309, 4.
moisson,
~SIXAAOO l'écolte, Bc. dit: ~ibui KSb.-~ ~~-~t dans le sens de: « il éprouva
~L
un pressant besoin d'uriner, »
1001 N. II, 72, 14, et
<~~<=~e. jugement sain et solide, Gl ce verbe s'emploie isolément dans la même acception,
ibid. III, 164, 12. — S'enfermer, entrer dans une
place pour la défendre, rester, Bc. — ~(14 JL~—~'
y o
-~ ~1 éteule, chaume, Voc., qui l'explique par QIIXO£ J\obsession, état des personnes qu'on croit ob-
«
restallo;» » »
en catalan « restoll ou « rostoll est le sédées du malin esprit, Bc.
> ~CI#
VIII vérifier, Aie. (le n. d'act. averiguamiento). — j^ya^yc, suivi de ~LL~&J! ~q*, obsédé du démon, Be.
Dans le Voc. sous obsidere. -
~o
~L. oppression, état de celui qui est opprimé,
~O voyez sous III.
jLa-~J! dévolution, Roland.
- Modification, restriction d'une proposition, Bc;
,
Bc.
- ~O
5
jjka^\JL^o dévolu, Roland.
ployant le mot ~L-<-J!, il n'a pas voulu indiquer une rîèÀa-'.à- 1 ne pas vouloir mûrir (fruit), M.
~g*& -
~e-:
restriction;» ~ai^!uneparticulerestrictive,c.-à-d.
~W~Îl
-
~y*uJ, Macc. I,
ai."l
Add.
-0,
~pyas-
madurar, agraz),
besoin d'uriner,» 1001 N. II, 147, 11, et dans le 1 C. (~& r. acquérir,gagner,obtenir, se procu-
même sens J~! ~yas» al Jouas»-, ibid. I, 595, 10. rer, et aussi, avoir, Bc, M, de Jong, Bat. IV, 56,
etc.; rattraper, recouvrer, Bc. — C. à gagner, ar-
~F détresse, péril, embarras, peine d'esprit, Bc;
embarras, timidité, Badroun 273, 13.
river à, Bc. -
C. ~(J1 résulter, Bc.
le magasin (J~~L>-), emmagasiner, M.
— Mettre dans
del real).
6, etc., on emploie~JJos» seul, acquérir,
~CI
~il
.!-*a~.
constipation, Daumas V. A. 424. o'f&'>
~J< rétention d'urine, Domb. 90, Daumas V. A. 425.—
- amasser des
connaissances, étudier, p. e. Khatîb 23 r°: ~.v « v ~-:-f
~Sjjaas* coll. rA*~" raie, poisson de mer, et aussi était de ceux qui ne croient jamais avoir amassé as-
sez de connaissances;» JulaossKJI un savant, Abd-
un poisson qui tient le milieu entre la raie et le squale, al-wâhid 164, 7; Juuua^xJi ~Pl les sages, Djob. 169,
Aie. (raya pescado de los llanos, raya medio lixa).
12, 205, 2, 242, 2 af.; JuuaJg ~j-ob sans intelligence,
<3^1tas*- sorte d'oiseau, Yâcout I, 885, 14. follement, Ibn-Tofail 5, 1. 7. — Récolter, dépouiller,
jUas» ouvrier recueillir les fruits de la terre, Bc. — Recouvrer,
en sparte, nattier, Gl. Esp. 357, n. Bc. — Mettre par écrit, CalAïd 174, 19. — Placer
1, Voc.
— Calculateur,
Prol. III, 96, 13.
ou décrire une chose en un certain endroit d'un livre,
~f':b maréchal général des logis, Aie. (assentador
del real). ~®j-^. Décrire une chose de manière qu'on puisse
—
Iii-ae natte, 1001 N. Bresl. V, 5, 3 a f., où l'éd. se la figurer, Djob. 37, 18. — Compter, calculer9
Macn., I, 337, 7, a ajx*a5>. Macc. I, 231, 3 af., 232, 1, 373, 15, 374, 14, Djob.
222. 21, Mohammed ibn-HArith 325: 3 ~Di son, Be, Burton
signif. Lane sous
I,
~JL
116. Cf. pour ces deux
CI",
dénuda
G 0<- ,<I °
,
~-~< ~0.
proprement poche,jabot d'oiseau
ou
est le nom qu'on a donné à un oiseau aquatique, au
pélican ou au cormoran, à cause de la vaste poche
ment le nombre des années, Gl. Abulf. — Décrire ou
qui pend de sa mandibule inférieure, de Joug (le
raconter brièvement, en supprimant les détails (l'opposé
passage de Bait. que cite Damîrî se trouve I, 341 g);
Gl. Edrtst. — C. J p. et acc. r. procurer, J. d. S. 1871, 447. Le pl. J~~c" désigne une espèce
de
faire obtenir, ménager ; ~bLL>- ~MAC J. •> aliéner de fourrure, c.-à-d. la peau et les plumes de la poche
de cet oiseau, de Jong, Bait. 1. 1., ou bien la peau
l'esprit, rendre fou; JUMLS?. paroles insinu- et les plumes qui couvrent la poitrine et le ventre
antes, Bc. — Voyez aussi J~u~? et JuM~.
V s'emploie dans plusieurs des significations qu'a
:
la Ire arriver, venir, Abbad. I, 46, n. o. On trouve
S
~iXuu .c-~!c. Exemples chez de Jong; Rhazès dans
~gJI j-A-î-» t-~-~ «ce terrain produisait chaque mois
t~J~ ~to ~)~.r' — Au fig. le mot ~KJL
» etc., Maml. 1, 1, p. VIII; J~a~L; Lo
une
,L~<
somme de
~Q* «les droits qu'on lève sur les marchands,» I, 327, 3; pl.
J~A~t
~CI
J~
poche, jabot, signifie: la faculté de comprendre, Prol.
Berb. I, 130, 11.
segar).
nues de,)) Prol. I, 94, 12. — Ju~-~ ~-J~~JUO! ~îtÀP
xiUao, reste, rebut, pl. ~La~, Aie. (desecho). «est sans valeur, »
Prol. 1, 157, 9. — Mal criblé
<JLa~- tire-lire, vase pour serrer de l'argent ; tronc,
(grain), Aie. (grançoso lleno de granças). — Indiquer
d'une manière indirecte le mot d'un logogriphe, p. c.
pour recevoir l'argent des aumônes, Bc. dans ce logogriphe sur le nom ~Sl+c :
J~aL>. ~~L~. ou Ju~L~ pour abréger, enfin, au
boutdu compte, bref, en un mot, en définitif; J~oU~~
venez au /<M<;~-~ J~-~aL-~J~ que faut-il en
où Let ~i-z donnent ~oL», r, M. — Voyez sous la IIe
conclure? Bc. — Pl. J~-~—~, dépôt, lieu où l'on
forme.
dépose, entrepôt, Bc, magasin, Bc, Hbrt 100, Ht,
M, cf. Fleischer Gl. 88-9, Macc. I, 367, 14, J~a-S=~< receveur, Bc; employé de la douane, Bg
Maml. II, 2, 72, 1. 4, 1001 N. I, 300, II, 74, 109,
336; directeur de la douane, Burckhardt Syria 653. —
236, 416, III, 52, 78, 82, Bresl. III, 266, IV, Gouverneur d'une ville, Browne II, 251,261. —
319, Amari Dipl. 206, 8 (l'éditeur n'a pas compris
Voyez sous la IIe forme.
ce mot); dépôt de bois, Ztschr. XI, 511, n. 37;
~.U, ~e Jools» clldteau d'eau, M.
— Même pl., pri-
?O
~0>
~.l o. # Le pl. ~oî productions, Bc. - Avoil*y
,
possède de bien, Bc. — Obtention, action traille. — Chez Aie. (estrangaria de orina) strangurie
ce que l'on
d'obtenir, Bc. est «dilhaçà »
et «adilhaçà; »
je ne comprends pas
O -
à-e-yeu » est chez Aie. «papudo de
papo,) ce qui
bien ce que c'est que cet «adh ou «di.»
iibàa--
~-Il < caillou, Bc, «JliLU,
~C-,
signifie, en parlant d'oiseaux, qui a un gros jabot, pour jouer le Lane M.
et en parlant d'hommes, goitreux. E. II, 56. — Place couverte de gravier dans une
w y-
jja~~e recouvrable, Bc. — Résultat, Bc. mosquée = ~, Burton I, 295; ~-!<-~ \syos> (des
s>-
~ytn~O redoute, Bc. — Village entouré d'une mu-
1 de la terre, Bc.
X/frL:a:>- inclination, disposition, c. à, Mi'yâr 28,10.
597, 21, signifient: «la peine qu'il se donnait pour 1, 194, 3 a f. t5l4al ~L<JJ! le dialecte (corrompu)
aiguiser l'esprit de ses auditeurs. — C. »
r. citer y des villes,
—
voyez Prol. II, 270, 14 et dern. 1., 271
une chose, un témoignage, à l'appui de son asser-
tion, Notices 103, 4, Tha'âlibt Latâïf 121, 5; de Jong,
6 et 14. - ~x civilisation, Bc.
(
dans son Glossaire, n'a pas compris ce passage, et il Kj~~as~ civilisation, Bc.
':
a négligé de comparer 133, 6, où ce verbe a le
; ~J -* école, Voc., Mohammed ibn-Hârith 238:
même sens — citer, alléguer, rapporte", raconter, -
YAcout II, 391, 8.
IV. ~»^ob ~Wjtf *i>.t comparer un livre avec un — Rhumatisme, Bc (sans voyelle).
autre, Gl. Abulf. y ~y présence d'esprit, l'opposé de K~c, Maral.
V s'apprêter à, se préparer, se disposer, faire ses
II, 2, 100, Macc. I, 569, 22 et 23, Cartâs 42, 7 af.
dispositions pour c. J; se pourvoir, se fournir, Bc. —
j
Etre bien peuplé, fleurir — en parlant de personnes, - ~)F K~~L< les anges de la mort, R. N. 100 vo:
prospérer, posséder ce dont on a besoin, Gl. Edrisi.
X, au pass., être sur point de mourir, Prol. I,
le
367, 5. — Avoir des passages présents à l'esprit, de
sorte qu'on peut les citer de mémoire, Macc. I, 884,
~aj * état prospère, brillant, indiqué par la ri-
11, II, 517, 1, 520, 7. — aw!éj ~yirecueillir chesse de la parure et des vêtements, la beauté des
ses esprits, 1001 N. Bresl. VI, 199, 6. jardins, des édifices, la splendeur des festins, etc.,
j,a'n.»,avec l'article, les habitants, lès citoyens voyez Müller 8, Abd-al-wâhid 261, 2, 263, 11.
d'une ville, J. A. 1849, I, 189, 5; 1852, II, 217, 3. ~v»- rhumatismal, Bc.
w ~y~y intuitif,
étaient les savants théologiens de différentes provin- ~a®* Bc. Schultens connaissait cette
ces, que ces sultans avaient réunis dans leur capi- signif. et il en cite deux exemples.
tale, Abd-al-wâhid 144, 4 a f., 207, dern. 1. 248, , j*r>l,>. On ne dit pas seulement ~L ,r:ol->
2 a f.-249, 2; souvent chez Çalât.
(Lane) , qui a la répartie prompte, mais aussi ~yols*
~-o »
'IJSC\JS» résidence d'un prince, Abbad. I, 18, 11 z- ) Bc; de même a~UJ! ~yais- (Lane avec y),
-7---
a f.,73, n.7. — Comme titre d'honneur, Excellence, Macc. II, 633, ~6.yaÛLrépartie prompte,
sérénissime, ~J~u~ s..*'<i.>- Monsieur; Adam est ap- Bassâm III, 135 vo, 1001 N. I, 823, 10. Pour
pelé «jrfias»-, Bc; Sa Majesté, 1001 la signif. de prêt, disponible, prompt, voyez aussi
N. I, 95, 3 a f., Abbad. II, 189, n. 14; jwJà-xJ' Gl. Fragm. — T~ qui a de la présence d'es-
HjAiaiL monseigneuriser, Djob. 299, 3.
— Conversation,
Jackson Timb. 233. — Festin ou les apprêts d'un
prit, Bc. -
.;Ã"lJ' -<~J< courant du marché, le prix
j
actuel des denrées, Bc. — *->l-gyJLj comptant, en
festin, 1001 N. I, 211, 2 a f., 333, 6, 334, 12, espèces, Bc. — De bon cœur, volontiers, Bc, 1001
2
770, a f., Bresl. XI, 376, 3 a f., très-souvent dans N. I, 308, 3 a f.: r-<-J ~*HJL3ÎOÙ deL'éd.
Bâsim, mais le mot y est parfois altéré en Sysas». —
Nommé parmi les fêtes de famille, Barbier 19. — Bresl. porte V.*->1>. -
Les environs, le territoire
d'une ville, Gl. Belâdz., Selecta I, 5 a f., Freytag
: Chez les Soufis, jûuLÂJi ~'rA, le plus haut degré
de l'échelle des manifestations divines; X~L~ ~-)
la manifestation par laquelle Dieu crée les choses avec JUL~J!, Aboulf. Ann. III,
244, 2, Recherches 11,
la matière abstraite, qu'il convertit en substance par Append., p. LXXXIII, 12, LXXXIV, 11, Djaubart 30
l'adjonction de la forme; voyez de Slane Prol. III,
grande ville, capitale, résidence, Gl. BayAn, j~cL~e provisoire, rendu, ordonné
sytoLs»- par provision;
provision, ce qu'on adjuge préalablementà une partie,
en attendant le jugement définitif, Bc.
Haiyânpassim, Becrt 110, 1, Cartâs 70, 7. — Cette
partie d'une vallée qui va en pente, Burckhardt Sy- «JÂSLS? provisoirement, par provision, Bc.
ria666.
,.,IL-, semble invitation, 1001 N. Bresl. XI, 390:
II? Macc. I, 351, 17;
Boul. comme dans les
Add. et Corr.; le sens ne m'est pas clair.
; --
ble; ~OLXXM "=- chiffrer, marquer par des chif- "Walîd 291, 4;
— par ellipse de
-J~~! (mettre les
fres ~c ~(KAUZ) ~loblc .b.:> marquer, mettre une coupes devant quelqu'un) faire boire quelqu'un, 1001
empreinte, une marque sur une chose pour la dis- ;
N. Bresl. III, 309, 2 a f. — calomnier, diffamer,
tinguer; noter, faire une marque; — ~c ~Jai> Maml. II,2,247, Macc. I,586,6,613,20,829
avoir en vue une chose, avoir des vues sur une
chose, se proposer de l'obtenir; et avec ~w » ~e
21. - C. ~if p. et acc. r. remettre, faire grâce
une personne d'une contribution qu'on était en droit
«
changer de visée, de desseins; — ~& L3!^JLC ~-b-> d'exiger d'elle; aussi sans complément ~Ja «il £>
étiqueter; - ~^yi ..b-:> vitrer, garnir de vitres; — diminua le tribut qu'ils avaient à payer,) Gl. Belâdz.
~\&X-t-~!~~- apprécier, évaluer;
prêterVépaule, aider; - - LâJCJ" .il..>
£ 8|-*—Ja_s> prendre à
Deux exemples prouvent que, dans ce sens, on a
aussi construit ce verbe c. d. a., ce qui est assez
coettll, s'intéresser vivement à; — !~—!
~L
~-
@teli .b>emman-
cher, mettre un manche; — mettre
une chose à, Venchère; — .!rI.w') à ~J.> se buter à,
se mettre obstinément dans la tête, fourrer dans
yto
ikcL" 'Ë};'>
~0--' -
r. entrer dans, se mêler
C.
d'une chose, tremper, participer, être complice, Bc. —
l'esprit; — ~jl*7 à .b=> mettre sur le dos, accuser C. J p. baisser pavillon devant quelqu'un, au fig. c. ;
- ~O= Ja£>, dans un autre
de. De même J..=>.Jt sens que J p. et à r. céder, se reconnaitre ou être reconnu in-
, chez Lane, et en sous-entendant, nonpas ~M ,.~c, férieur, vaincu, Bc.
mais ~^1x5! ~JLc, mettre la selle sur le dos d'un cha- VII se baisser, Djob. 299, 8. — Diminuer en qua-
meau, seller, Gl. Belàdz. — En parlant d'une tente, lité, en valeur; Bc a le n. d'act. sous déchet. -
O
la 'coucher par terre, en arrachant les piquets qui la (~A!! .bLb.s" prostration, perte des forces, Bc, -
soutiennent, Gl. Edrisi. — En parlant d'un vaisseau, Cesser d'être présomptueux, Aie. (deshincharse).
C. J ou
-
~> sans complément, qui serait c~L&!!, «les voiles,» p. céder à l'avis de quelqu'un, Macc. I,
474, 16, Haiyân-Bassâm III, xJLL3>
y ~y îL-SUaJf
signifie caler, amener, baisser les voiles; c'est l'opposé 3 vo:
r.-
~l'expression Ja=>j ~^Lïl signifie, en parlant de vais-
seaux, partir
a
et arriver. On dit aussi ~-Il ~Ja_>
Gl. Edrisi, Amari 293, 11 (où la soi-disant
239: ,
VIII diminuer en valeur, Mohammed ibn-Hârith
eÇ,3JC-1OO
c.«tu as baissé dans mon estime.»
~jôs*
posage, travail et dépense pour poser certains
! correctionde Fleischer ne doit pas être admise).
S-jt~-JL*J! ~Ja-s* baisser pavillon, Bc. Le sens de
- ouvrages, Bc.
— xLL~>-
donner une pièce à son adversaire, dans le jeu des mise, ce qu'on met au jeu; dans une asso-
e.
échecs, que Freytag a noté, se trouve Vie de Timour ciation; — pause; — station, pause de peu de duréo:
en un* lieu; — abaissement, humiliation, Bc.
~LmyA. ..bt.6.:>
a f. — Diminuer, réduire quelque chose, en campe", Rutgers 179, 21.
retrancher une partie, p. «leurs traite- f.:. ~h.'s»,avec l'article; c'est
f ments,» Gl. BelAdz. — T. d'arithm., réduire une X. quand le créditeur
fraction, M. -
Payer (cf. Lane), 1001 N. II, 82,
8 a f.; JUt ~h> contribuer, payer les contributions,
remet au débiteur, qui paye difficilement, une partie
de la dette, v. d. Berg 114. t-
En Egypte, .un.
terre,
fonds de ~'T~ I, briser,
revenu en argent on en nature sur un au fig., comme le synonyme
fonds de terre lui-même; ces possessions ne payent mettre en fuite, Gl. Fragm. — Pousser un cheval, fe
ou le
aucune sorte d'imposition,) Descr. de l'Eg. XI, 491. faire galoper à toute bride, 1001 N. Bresl. XII, 175,
~bL~- mettant, posant, 1001 N. Bresl. IV, 32, 10; cf. dans Lane ~jui <t~i.
II se presser les uns contre les autres, Abdart 59
h.hlr>» tirer
collége,)) Bc. — Cantonné, Bc. —
à la posée, Bc.
j
~jl-<v endroit oh l'on met quelque chose; voyez la Ire en ce sens. — ~oLiJî ,..G> sécher de Vherbe, Voc.
Bc sous bobèche. - .S!
plur.
lieu de campement, V être séché (herbe),Voc.
~4b, comme' le synonyme ~gwJ, fuite, déroute,
cantonnement, Bc. Le Rutgers 165, 2
signifierpostes, lieux Berb. I, 250, 14, Haiyân 90 vO: ~s> ~JLc
a f., 171, 175, 6, me semble
où lessoldats sont placés par leurs chefs, soldats pla-
cés ou destinés à être placés dans un poste, et non
» ~4b pl. ^.it>
f ! caduc, cassé, vieux, Bc.
pas «machines de guerre, comme l'a pensé l'édi- ;
,
un an pour le cultiver Vannée suivante. Si le sol a
porté deux ans de suite, il est dit ~ÔJJ rL6, comme
au temps, au lieu, etc., Bc.
~b~. si le sol eût été refroidi par ces cultures successives.
II et V dans le Voc. sous lignum. Voyez Auw. II, 10, 2 a f. et suiv., avec la note de
VIII couper des vignes, Berb. I, 26, 13, des Clément-Mullet II, 11, n. 2.
arbres, ibid. 1. 16.
~I»A
h..:.., à la Mecque. Sur l'origine et la signif.
-
chrétiens, la religion chrétienne, Daumas V. A. 105. des quatre imâms, que Buckhardt a décrits, Gl. Djob.,
X~it~- bûche, Voc., Bc. Bat. I, 374.
VII être bien-aise, Bc. S'amuser, 1001 N. II,
—
iûLbs* chantier, magasin de bois 87, dern 1. — C. y être charmé de, se réjouir de,
en pile, Bc. Bc. — C. ~Cr prendre plaisir à, Bc, 1001 N. Bresl.
>/,n.-gu pl. ~~LL-~-~ le terrain où croissent des IX, 378, 2.
arbres dont le bois sert de bois de chauffage, bois ..t;.. part, Aie. (suerte por parte, parte), p. e.~JàiL
taillis, Ztschr. XVIII, 531. .yiUil «la dixième part,» Aie. (décima parte). —
méme , CI >
sens, Gl. Belâdz., Amari 41,
Part la faveur de, faveur, Khatib 177 ro: il était
à.
-
~G aj~<J
~SO«,
~.J.
~Ls"
~*
~t
O 4»
jfow,
pi.
et v
p.J-~
Voc.
sot, fou, Voc.
sottise, folie, Voc.
1~ 0K, Macc. I,
136, 9 et 10, 137, 7,
cf. 134, 3; de Sacy Chrest. II, 420, 4af.: quand
en plusieurs autres endroits. — ~Lm- à ma foi, par c. a. r.; Bc donne c. y r. et (sous parvenir) c. ~J r,
ma foi, expr. adv. pour affirmer; ,~ las* ~à V c. a. prendre pour concubine ~C - =-), Bait I,
Boul. ;
-,.: ~^>L> enclos, parc, Macc. 1, 689, 3 a f.; aussi dans
Fleischer veut lire ~JJiàs».
d'étoffe. Du temps de Tha'âlibî, on la fabriquait à
Naisàbour et on l'appelait JYLA4 ~--
ou oL^i-s*
j~L~~J; voyez les passages cités par de Jong, qui
s'est trompé en plaçantce mot sous la racine
~e<
ji iL barbier, Bc, Me, Roland, Prax B. d. O. Fossé, Gl. Edrtst, surtout fossé autour d'une for".
A. IX, 157. resse, Aie. (cava de fortaleza) , Cartàs 181, 10af.,
242, dern. 1., Müller 4, 1. 3. — Bassin, ré8ervoir en
~&L^o, t. d'archit., Abou'l-Waltd 619, 5, qui rem- forme de bassin, Becrt 26, 16 (= ~1)*>L). — Abreu-
ploie pour expliquer le terme hébreu
~rhl, globus, voir, Weme 53. — Cannelure, petit canal ou sillon
globulus in columnarum capitulo. creusé du haut en bas à la surface d'une colonne,
Gl. Edrtsi. — Comme n. d'act. du verbe j-<-~ fos-
l'officier qui alesoindelalitière soyage, l'action de faire des fosses, Aie. (ahoyadura,
du sultan, Maml. II, 1, 151. Au Maroc on rappelle cavazon, cavazon de vina).
~(Iv*, Hœst 153. !~à>. Le pl. ;.LA;.., Gl. Belàdz.
)\i,;. non-seulement fossoyeur, mais en général
,
celui qui creuse en terre, Gl. Belâdz., Gl. Fragm.,
jL<JL>. Le pl. aussi aL\JL~!, Voc. Ce mot, dont
,
hijo de hermano), Hbrt 29 (Alg.), Daumas V. A.
436; neveu, fils de la sœur, Aie. (sobrino hijo de
liermana); gendre, Hbrt 26 (Alg.); le fém. tante,
Belâdz. 61, dern.
hardt Nubia 215. —
1.
—
~yLsOI, ou ~t
En Nubie, un cheval, Burck-
.A~. à la fin.
— Decerpo
,
trépigner, gratter des pieds en terre (cheval),
Aie. (patear la bestia). — Sculpter, ciseler, graver,
Gl. Edrisi, Hbrt 87, Macc. 397, 14 et 15. — Voyez
;
L, ce qui est étrange
peut-être faut-il penser à decerpere virginitatem.
II dans le Voc. sous fodere.
de moule (mollusque bivalve), Bait. 1, 293
Klauenmuscltel.
Bait. I,
~Sjsls».
161, 14 et 15.
277 d.
—
Voyez Lane; aussi ";¡,jb i
b:~-
Colchicum autumnale,
Kâmil
VIII c. ~(Jvc. inivit feminam, Gl. Belâdz. mère traduit: fil tordu.
X c. d. a. ~Uu tt.R-~~! il lui demanda la permis-
sion de creuser un puits, Kâmil 90, 9. Nt~a-~, Payne Smith 1490; de Slane
pense que ce
.CIy
~ij}.> tombeau (cf. Lane), Khatib 115 vo: ^>aii, il sont des tapis couverts de dessins en relief. -
~aJJt
X~XJ! Cr~-~ ay-N-~L.
- Puisard, puits pratiqué pour ~.J#
1
voyez sous
recevoir les eaux, Bc. — Bassin, réservoir en forme ~SjUL5\*O
~O glaisière, M.
de bassin, Prax R. d. O. A. VII, 273. — Bassin,
j
vaste plaine entourée de montagnes ou de collines éle-
vées; la ville de Morzouk se trouve dans une telle =
îflri, Saadiah ps. 48. Le Voc. donne ce
«hofra,» et tout le district s'appelle ainsi, Barth I, verbe, c. ~J.=, n. d'act.jJu>- et '6y-su>-,
~CI -
sous sagio,
— Tranchée, fosse, fossé pour se couvrir lors
176.
et dans une note congregare reditus régis.
d'un siège, Bc.
IV, dans le sens de la Ire, hâter, faire dépêcher,
fosse, trou en terre, Voc., Bc (Barb.). - Macc. II, 701, 11 (cf. Add. et Corr.); Boul.alaIre.
V s'apprêter, se dresser à se lever, Hartrl 17, 1, de quelqu'un, Bidp. 259, 1.
~- - ~xiUJ Jh.g-j*
retenir
,
~d;S".
~110 II, 221, 9,
Se hâtert J. A. 1852, où Cher-
<t-jL~J «retenir sa langue, » on dit:~LLÂSAX0U
; man.; ~« ,
bonneau a eu tort de changer la leçon du
yale sens de promptitude c. ~,< se rendre en hâte
proprement: il retenait ses regards,c.-à d. il se
vers, Chroniques de la Mecque éd. Wüstenfeld, II, permettait pas de regards indiscrets.
ne
~1%
242, 5 a f., où il faut lire comme l'a observé
III défendre, garder, ~L..U, une forteresse, Bc;
de Goeje Mém. d'hist. et de géogr. orient. 1, 45, n. 2.
VII se presser, se hdter, se dépêcher ;
le n. d'act.
aussi inquiétude; se hâter de partir, Lettre à M. Flei-
protéger une personne, Bayân
Y c. y
I,
r. garder une chose, Gl. Badroun.
163, 2.
c. -
scher 51—3, Voc., Abou'l-Walid 104, 10, 241, n. a. p. épier quelqu'un, pour l'attaquer, le voler, GI.
37, 569, n. 61, Saadiah ps. 104. Maw.
)li:>,
fi ~il VII dans le Voc. sous custodire, être gardé, Merx
~jsLs- pl. en Espagne, agent de police, Voc.
Archiv l, 186, n. 2.
(sagio), Chec. 206 ro: Quand je fus arrivé à Grenade,
VIII c. ~cr- se garder de, Voc. - s!~\jj! kôy-^
U~;
observer ~L~~t ~j»L>t °
k
observer les fêtes »
;»
;
énumérés dans Lane M. E. I, 377.
,
«
~JaÂt- «garder la bienséance même expres-
sion avec l'adj. _,.ett- Il
« garder les bienséances, le
décorum, sauver les apparences ;»
mais la première
:
expression signifie aussi « conserver sa réputation,» étuis ou enveloppes, Macc. I, 403, 2, 4 a f. Je n'ai
Bc. — Etudier, Hbrt 112. — Savoir une langue, pas rencontré ce mot au sing., mais peut-être ce
Djob. 32, 10. — C. a. p. honorer, respecter, Gl. ~„O£
sing. est-il de même que le synonyme ~Xa!
Edrisi, R. N. 84 vO: on conseille à quelqu'un de ré-
pudier sa femme' qui était d'une humeur acariâtre, est du sing. - Lange, M. — Suspensoire,
j
i
mais il répond: LoiJI3 à L~X.~0. ~je la respecte à bandage pour prévenir les descentes, Bc M..
- ~vjis-
des ordres dans un village, Descr. de l'Eg. XI, 496;
Belâdz., Gl. Fragm.; aussi par ellipse ~Q^LS J: yjijis>, cadeau en argent que l'épousé
doit donner à la nouvelle mariée, avant d'ôter le
châle qu'elle porte sur la tête, Lane M. E. I, 257.
III c. a. p. traduire quelqu'un en justice, Nowairî -
~tXxc r)
commander aux vizirs du royaume » (de Slane), Berb.
V se perfectionner, Macc. 1, 494, 4:
vengez-moi de lui! 1001 N. II, 3, 6 a f., 16, 2 a f.
—
rection de.
— C. y r. connaître à fond une science, ü,s¡.> les accessoires qui accompagnent nécessairement
III, ~LL" le principal, v. d. Berg 48. — ~J
ceux qui
un art, Haiyân-Bassâm 112 vo: 'MXAOI
ont ensemble quelque différend, de Slane Prol. I,
Kjb~!, Abd-al-wâhid 133, 9, 170, 2 a f., 172, 2
et 3, 217, 6 et 7. Je crois que âowLîyJLiaJugjsyj, p. LXXV b. - ~vJUl. UOLÛ créancier, Bc.
—
.hi>
Weijers 53, 4, signifie de même: «connaître à fond
les devoirs qu'impose la dignité de prince,» car
&jL-.- garder fidélité à, Bc. - ~J!~ par, quand on
~n -
prix qu'il vaut, il faut, Bc (Barb.).
sur les monnaies, rectitude (du poids), Ztschr. l'équivalent de ~J,, de même que
I, 247, 2 a f., II, 189, 10, Irf, 5. C'est souvent
!~'ë,
de Sacy Chrest. II, M, 6, est l'équivalent de ~!:
~ss s
~N,b.. — Lçiis»- à à point nommé, au temps fixé,
semblent avoir eu un sens particulier chez les ortho-
Bc. - et Liï-s»
~JL->- ~U*, vulg. tout de bon,
doxes qui avaient à souffrir de la persécution des
sérieusement, - Ois»
Bc.
- Maghrib, bâton,
~Ui:> passablement, Hœst
à
113. Au M.
~J.:> le mahari de deux ans, Daumas Mœurs 364;
Be.
~vj4>
- Le corps de
voyez Lane M. E.
l'instrument nommé~».f
gobelets de
II,
joueur; JJ XjL>. joueur
capsule,
74. — ~.yJ! lUi.>
,
de gobelets,
ce
la graine plantes,
des Bc.
qui renferme
&ckii
~j véridique, (verax L (veridicus)). — Sévère,
on lit
s ~y
Dans l'édit., comme dans le man.de Leyde,
mais c'est sans doute une faute.
(jSL'A, compacte, serré, ferme, s'emploie aussi en
n véridique, Voc. parlant du ventre, 1001 N. I, 173, 5 (aussi dans
Boul. et Bresl.)
~*x > certificateur, Bc.
Uüi-<\A
,
— Le Soufi qui est ar-
rivé à la connaissance des grandes vérités, Macc. I,
«substance dont nous ignorons le nom en 496, 8, Prol. I, 173, 3, III, 72, 7, mon Catal. des
français,» Carette Géogr. 253. man. or. de Leyde I, 87, 3; notre man. 1515 con-
tient entre autres opuscules: ~JL~ ~~jQL~
XjuJLss. véridicité, Bc. l'art., proprement
— Avec
l'essentiel, c.-à-d. le soufisme, par opposition à en grands caractères,. 1001 N. I, 94, dern. 1.
«la connaissance de la loi» (Macc. III, 675, 13: ~^5« )
A.iüls\"o un bon soufflet, Gl. Maw.
~)-M
10 SI., Macc. I,
571, 10, II, 437, 4. «u-aJL
les Soufis, Macc. I, 568, 12. Dans un sens plus
spécial: le troisième et dernier degré du soufisme;
c'est lorsque le Soufi a trouvé Dieu en soi-même et
xJULx-4. — Dévolution, acquisition d'un
droit dévolu, Bc. — o'ola^û«$ les diplômes des ré- -
o
qu'il sait qu'il est une partie de la divinité ou Dieu compenses, Maml. I, 1, 204.
même; voyez Ztschr. XVI, 243. -XjjL<L~J!~M~, O Gr
~**L<tL$\x~t
w t méritoire, Bc.
chez les Soufis, le plus haut degré de l'échelle des w o ~y obligatoire, commandé par une loi, Vê-
manifestations divines, Prol. III, 69, 12.
.~a~R&. réel, effectif, intrinsèque,véritable, positif, tem. 174.
que, opposé à
affirmative, Bc.
— Finesse
;»
mation, légitimation, Bc. — Affirmation, t. de logi-
«
négation ~U';-> particule
d'esprit,pénétration,Macc.
un sultan, ibid. 380, 4af., des femmes, ibid. 197,
11 (où il faut prononcer ce verbe au passif).
1, 940, 16.
- vJUa^' uJL~, Ghadamès 67: «il y
a à Tripoli un medjelès thakik (d'information) qui 4Aa--.Les classes plus pauvres (chez les Arabes
«
fait l'office de juge d'instruction au criminel, et d'après de la plaine de Dhafàr) portent seulement le foutah
(pagne ou caleçon), attaché à une ceinture de cuir xlib» champ, terre labourable, Ht, Ibn-Loyon
sous
proprement tressée, ouvrage des jeunes filles bédoui- le mot qui précède, Auw. II, 25, 12, Formul d.
3 nés, et appelée akab, qui est étroitement serrée au-
••-1••'Odit
tour des reins,» Haines cité par Defrémery Mémoi- caille, Hœst 296.
res 154. °9 est tarditas
~t°* dans la 2e partie du Voc. et
/<~~a~ 1 voyez Lane; on S - O#
UL~J~,
~tlIJ KAmil dans la lre sous le M; mais sous le 'ain la Ire part.
138, 15. a
#0>
KUC > et l'étymologie montre que c'est là le mot
qu'il faut. A.lii.:> est une faute ou une mauvaise pro.
'L\A~ I se construit c. acc. r. ou c. y r., ~el &Jlc Jûis»
nonciation.
ou r4, Gl. Fragm. On trouve aussi ~tiUô .,J Job»,
Ju»L,y
Cartâs56,7 af. CYÏ,À. 1 avoir besoin d'uriner, R. N. 74 ro:
y - dolosus,
~a&- L. Xia~- bouchon, Ht.
~e
? pierre ponce, Bc.
territoire, sur lequel la tribu n'a que le droit de
jouissance, en est grevé. j~s~ ~»
droit sur les mois-
ratissure, raclure, les petites parties qu'on
la superficie de quelque corps en le sons, Roland. <~-~J~ -ràL-D-» droit sur l'emplacement
a emportées de
raclant, en le frottant, Most.: ~sUjM ~.tl~JLe~-~'
S,0 3 ~,O
uu--,A sous (:!~J~.
;
dem. 1.; échoir, en parlant d'un terme qui échoit ou
d'une lettre de change \~n~! -*£5» le temps est venu;
~-X-<=\~ voyez ~6
ijojc. ~&=>. il lui est arrivé une aventure; -.
~<
—
C.a.r.est M.
~XJLbjâ il
vint une tempête, Bc. —
tiser, parler par sentences, Bc.
<tJ~- dogma-
,
II,comme la Ire et la VIIIe, accaparer, p. e. le II c. a. faire, Voc. — C. a. p. donner à quelqu'un
sucre, Maml. II, 1, 4. le droit de souhaiter, de choisir ce qu'il veut, Gl.
Fragm. — Enseigner, instruire, Hbrt 109. — Impri-
IV même sens, de Sacy Chrest. I, 239, 8.
VIII aussi simplement emmagasiner, L (condo), mere colorem dans le Voc. — Crier ~&U
#O> !fi ~>. t
Prol. II, 125,10, Berb. II, 132, 6. — JïsA ou ~<*' "tf, comme font les non-conformistes,
~aJdi
aLiy-a.a
et 93
—
0*-5W* 1rjC--«pour la contribution dont il s'agit,»
l'astrologie et par la manière habile dont il se ser- de Sacy Chrest. I, 140, 2 a f.
vait du télescope,» Khatib 33 ro. — ~+*^ *~s>-~ con- ~,..s:.> voyez sous <-~u.
firmer un acte, de Sacy Dipl. IX, 486,10. — Rai- X~S~ manière de faire
une chose, p. e. de bâtir
sonner, se rendre raison de, Bc. )
Bat. III, 212. — Médecine (art), Bc, M. — Mora-
V être arbitraire, Prol. I, 319, 3af., 320, 6; le
tencieusement,
borer (sang), Bc. r<-eu
—
- sentencieux, 1
Bc. — Dans le Voc. sous facere et
h
n. d'act. assertion gratuite, II, 342, 3af. — S'éla-
sen-
lité, réflexion morale, et moralité, sens, but moral;
précepte, sentence, Bc; surtout au pl.
apophthegmes, maximes qui renferment une belle mo-
ralité, Gl. Badroun. — Motif, sage motif, principe,
sentences,
sous imprimere colorem. — Suivi de ~bolH, prendre Prol. I, 352, 9 et 10, II, 97, 3, 300, 14. —
Dieu pour juge, s'en référer au jugement de Dieu, X~~, chez les médecins, des pastilles de soufre de et
R. N. 72 ro: les prisonniers m'écrivirent une lettre
salpètre, M. — K~
~L lut, enduit pour boucher
les vases mis au feu, Bc, M.
» CI
philosophique, Bc, qui ne donne pas de
P
raisons, Bc.
précis,fixe, déterminé, arrêté,régulier, Bc.
est ~ailjj
~Q*
~&L-,
Gl. Edrîsî, ~0"U ~Cy--
~3->, GI.
~r# serré (les points d'un soulier), Delap.
bien Bayân. — Démêler une affaire, débrouiller, éclaircir,
91. - Suivi de ~&à déterminé, statué, fixé, et attri-
but, ce que l'on affirme ou nie d'un sujet, Bc.
dénouer, Bc. — Dans le sens de résoudre un problè-
,
humeurs, Bc. — Délayer, détremper dans un liquide,
Bc. — Broyer des couleurs, Aie. (moler colores).
Jaser, causer, babiller, Bc. —
Ce verbe seul, dans le sens de désancrer,
II (vulg.) contrefaire, imiter par contrefaçon, Aie. lever l'ancre, Bc, Hbrt 128, déployer les voiles, Hbrt
(contrahazer, le n. d'act. sous contrahazimiento, re-
medamiento, le part, sous contrahazedor), Ztschr. XX,
127. -Déteindre, se déteindre, perdre sa couleur,
il
moment, le temps, est venu;
« est l'heure de se retirer,» Bc;
ner en ridicule, et de là se moquer de quelqu'un,
dans le Voc. prœsto esse. — Kààam ~e J~-~~
Voc., Aie. (abusar, arrendar contrahazer, representar
i
contrahazer, le n. d'act. sous escarnecimiento, escar-
nio, le part. sous escarnecedor).
IV (vulg.) raconter, Voc., Aie. (novelas contar).
V (vulg.) se contrefaire, Voc., Aie. (contrahazerse).
aussi ~J,
Aie. (desencantar lo encantado). —
VI (vulg.) causer de choses et d'autres, de choses .~j~!J~s~- déboutonner, dégrafer, déboucler, Aie. (des-
indifférentes; conférer; c. ~to converser; ~<— 1>.S-L:e
~uu «ils ont eu une conversation ensemble,) Bc.
abrochar). -
D)-~ J~-~' déteindre, ôter la couleur,
Bc. — &mità ~cr J~=>., Macc. I, 384, 20, semble si-
L4L->..L4L->. contes de ma mère l'Oie, Bc.
(~.-L le style de conversation, le langage familier, Bc.
— gnifier: déposer ses armes et se déshabiller.
~CI
~J-.> -
~«jj'i contenter son désir de se venger, Gl. Belâdz. —
.lJ,J.;, ~J..> (délier et lier) administration des affaires
560, 15. ~XjL~s" ~JjiL* comme toi, Bc. — KJL<--.à- publiques; J~-~ ~Ut refuser ou donner l'absolution,
—
~LJ! lézard, Bc (Barb.); chez Domb. 66 a^LaJî
2L<---
raconteur, Bc. - ~«yft « J~>- ~U il ne
peut pas encore être venu, Bc.
~XJIJCSS- ~XJLXS>.
II, comme la Ire, deviner une énigme, Bc (sous
voyez sous
Œdipe). — Sasser, au fig., discuter, examiner, ra-
- ~G
X-x-X^s\j appeau, sorte de sifflet avec lequel on masser, Bc. — Pardonner, faire grâce, Aie. (perdo-
contrefait la voix des oiseaux pour les faire appro- &xUs~
nar por regalo), Bat. III, 33: ~aulbt ~JL-3
cher, ou pour les attirer dans quelque piège, Aie.
s~~L-j « je lui pardonne et je ne lui réclame plus
(roclamos para aves).
il
obli-
IV pardonner, absoudre, Gl. Badroun, Gl. Bayân gation that thou owest me for my milk)). — à ~Iil
« ~J! ~cr* J~-~' tu es libre de prendre telle chose, je
-serment,»
«JCjlaj ~qX;
Gl. Fragm.
délia ses sujets de leur
te permets de la prendre, Bidp. 195, 3: ~Li-. ~JlJu
~iaill
~Al:>
III,
iyuwbU»
556: «thou art absolved of responsibil-
ity with respect to it»).
.i,- ,
T. de maçon, est
M.
pot, de terre
iX-mus»
cuerpo). -
Fondre, diminuer d'embonpoint, Bc. —
S'éreinter, se donner un tour de reins (bête de som-
ou de cuivre, Hbrt 198, Ht, Savary 350, Bc (qui
semble prononcer A.l:>, puisqu'il donne le pl. ~JJLs-),
me), Bc. -
Rompre un engagement, Çalât 48 r°: 1001 N. II, 106, dern. 1., Brest. X, 456, 2 a f. -
- - ~O)
~eer ~jîU Joojîj.
- Périr, Aie. (perecer); (j~~<
Décousure, endroit décousu, Aie. (descosedura).
~Ab tribu, Marmol I, 36 d, II, 171c, 223 a
A.LsV.n «ce monde périssable,» Macc. I, 372, 12;
(heyla), Berb. I, 437, 4, II, 185, 8a f., 472, 4af.,
cf. Add. et Corr., et aussi 375, 10.
être absous de ses péchés, Bc.
- ~LL~
~cr
~liei
474, 6 a f., 490, 6 a f., etc. — La tente avec tous les
ustensiles, Ztschr. XXII, 117. — Propriété urbaine,
X, avec ~sL*yJLM, Jl, r)l..$-, regarder comme Amari MS. — Ville considérable, Werne 24, 110.
permis de violer les femmes, Gl. Bayân. — S'appro- — Absolution, Ht, absoute, absolution publique donnée
prier le bien d'autrui, quand on n'y a aucun droit, au peuple, Bc.
GI. Bayân. — C. a. p. demander pardon à quelqu'un,
demander l'absolution, solliciter de quelqu'un la re-
~M:> comme le nom d'une étoffe, un sens tres-
a,
mise de la vengeance qu'il aurait droit d'exiger, de vague, voyez Lane. Chez Edrisi c'est une étoffe de
lin, ordinairement brochée d'or, Gl. EdrisI. Dans le
Sacy Chrest. II, 150, n. 7, Gl. Fragm., de Sacy
Voc.: «purpura, cendat» (c'est cendal, chez Victor:
Chrest. II, fr, 4, Bat. I, 174, Recherches 279, 3
a f., 1K édit., où
~KjJiiJLsemble signifier
(al-Modhaffar) demanda pardon à Piedra seca pour
: «il
sorte d'étoffe de soie fort délicate, taffetas rouge fort
délié). — Dalmatique; ornements, habits sacerdotaux,
Bc. — Dais, poêle en ciel de lit, Bc.
son père,.c.-à-d. pour Almanzor, le père d'al-Mo-
analytique; — absolutoire, Bc.
dhaffar, qui avait fait emprisonner Piedra seca. Aussi
xaJULs>-
e. ~cr p., Bat. 1, 173. large pièce d'étoffe de laine brune foncée,
faiblesse, langueur, Aie. (floxedad en el dont se servent les femmes dans les parties méridio-
uales de la Haute-Egypte, et surtout au-delà d'Akhmîm. J~JL~J- résolution d'une tumeur, Bc. —Dispense,
Elles s'en enveloppent le corps, et attachent les pans
d'en haut l'un à l'autre sur chaque épaule, Lane exemption, privilège quiexempte, 1001 N. I, 417, 16:
M. E. 68-9.
:
(voyez Lane et Fleischer Gl. 79)
~Qiî
signifie aussi reconnaissant, Hbrt 234. J~L~, le
droit, était le nom d'un droit sur les marchandises,
- ~LlJaJi J~JL~' absolution' des péchés prononcée
— ~lJ1
que les négociants chrétiens devaient payer à l'em- par un prêtre, Bc.
troupeaux ;
pereur de Maroc, Charant 49. — La famille et les
9
en général propriété, Ztschr. XXII, 117. —
Usufruit, Formul. d. contr. 8 et
~J—hospice, Voc., Abdarî 45 ro (mausolée de
Nafîsa, fille d'Ali, au Caire): ~~M!.&a-bLtg~~r
«-
~M** place, Aie. (sitio por cerco de lugar). J,¡iJ'
en général orifice, ouverture, J. A. 1849, dévidoir, Bc. — (J~-~ ~KLs? Macc. I,380,17.
, a parc,
II, 273, n. 1 (où il faut lire avec notre man.
499; le nl 92 n'a pas de points). Par synecdoche,
J^Ls^wa local, qui a rapport
au lieu; - l'art.,
avec
membre viril, 1001 N. Bresl. IV, 373, dern. 374,3,8. I., le tnaître de la maison, Bc.
pèlerinage t
~ÙI&a) guide qui sert de mari nominal pendant le
voyez Burckhardt Arabia I, 359. — Men-
v^JL> mercurialis annua, Bait. I, 247 b,
373 b, AntAkt.
-
:,:t nom d'un remède indien qui ressemble
318b,
strue, t. de chimie, Bc. - Pour J<~e, industrieux, Colchicum autumnale, Bait. I, 315 c.
au
«w O>
~-~L> terrine pour traire les vaches, les brebis, etc.,
J~J~e = JJL~~e dans le sens qui, chez Lane, Aie. (ordena cabras), Domb. 92. — Pot de nuit,
- .J!
1
est le premier, et chez Freytag le second, Lane M. Domb. 92, Ht. ~y)b pot dans lequel on
-1 E. I, 272, 1001 N. II, 82, 6, 13, avec la note dans presse les olives pour en tirer rhuile, Aie. (ordena
la trad. de Lane II, 322, n. 40. — Douaire, don du azeytuna). — Vendeur de lait, Ztsclir. XI, 516. —
mari à sa femme s'il prédécède, Bc. — Vache à lait, b
Nom d'une plante décrite Bait. I, 316 (les voyelles
personne dont on tire beaucoup d'argent, de parti, Bc. dans A).
--
u*1"^ I. Traire, tirer le lait (aussi c. d. a., Gl.Abulf.), j-aJLs» aster amellus, ainsi appelé parce qu'il
comme l'esp. ordenar, mais aussi, comme ce dernier
verbe, en parlant d'olives, les presser pour en tirer
~-
~L~.
~rJ' O* ~,O O Bait. I, 277 e, 362, dern. 1.
l'huile (Victor), Aie. (ordenar como azeituna). — v.jJf» terrine pour traire
se masttwber, Bc. les vaches, les brebis, etc., Aie. (herrada o tarro para
II, P. Kâmil 106, 21. ordenar, tarro en que hordenan), Payne Smith 1274,
V s'emploie comme en français l'expression pro- Mehren 35.
verbiale: l'eau vient à la bouche, cela fait venir X~jL~e,
l'eau à la bouche, Berb. 1, 557, :
6 alsuàJt ~~JL.
S -o
en Espagne dans le sens de yJLzsV/e,
-
- -,
vulg. pour M.
o oy émulsion, potion rafraîchissante, blanche;
ou jfjtnttîl ~-, vin, Gl. Mosl. - Terrine pour traire («jJbsOO-wwo
,,
M.
'0..
(esp. balda) gros sac de serpillière Aie. (saca
saco grande).
, 0';';" Umaçon, L (limax),Voc.
Abbad. II, 159, 5,
Macc. I, 664, 18 (cf. Add.),
~,
~v ~i~s" celui qui crie, P.
O,j:>
,-
a
n. d'un.
, limaçon, Voc.
a, aussi O'J.¡->'
escalier en limaçon, Bc.
- (jonc, roseau; - espèce de canne à sucre, plutôt
,
patria relicta, ephippia excutiunt, i. e. devertunt
^Lâ)t>-et»LâJL> voyez ce qui précède.
(!,.b), et quidem ut apud te maneant »
~(x*SÎ (joai),»
l.)Li.l:> pl. ~ol jurement, serment, protestation ~(,1c
Afrique, sanglier, Jackson 34, 179, Daumas Sahara le TA) R. N. 83 rO: un homme pieux dit après
-.
260, Richardson Mor. II, 166, 183, Barth I, 16.
Aussi cochon, porc, Domb. 64, Hœst 294 (qui don-
nent ~7.j> pour sanglier), Bc (Barb.), Ht. Appliqué
par les Kabyles, comme terme injurieux, aux soldats
français, Lamping I, 56, 186, II, 7, 21, 122. ~u}j
chez Golius-Freytag est une faute.
~s» ~j»L_s> la qualité grossière du calicot de
Malte, Espina R. d. 0. A. XIII, 152.
\~!Ls>- assermenté., juré, Bc.
w- 5 J~L?~(c~ (il craignait que Dieu le ferait). — Se
iJt—Lsua, ou v^JL^9, en Espagne, sous les Omai-
yades, un employé chargé de prendre connaissance de ranger en cercle, se réunir autour de quelqiCun,Maml.
I, 2, 199, Aie. (estar en derredor). — Présider une
toutes les choses qui pouvaient intéresser le monarque
lialca, c.-à-d. une réunion d'étudiants, faire un cours,
et de le renseigner là-dessus, Gl. Esp. 175-6; mais
lekhâ. en parlant d'un professeur, voyez ma note J. A. 1869,
voyez sous \~ÂJL~~e, avec
5 CI
L~JL~~a un juré, celui qui a prêté serment, Aie.
(jurado el que juro).
UJL<=~ fédéré, Bc.
:
où l'édit. Macn. a ~Cr ~ez escolar cosa de escuela).
~&&>, KJtJL~-. Sur la signif. les armes et les cottes - Bc.
XJs^Ls» tonsure; XjfèliL barberie, art de
Mâwerdî 293, 3 a f.
de mailles (cf. Lane), voyez Gl.Abulf., Gl. Belâdz.,
~^5 ~Y.M~L]. — Boucle
raser,
~&uJL>
,CI.
petite boucle ronde, Aie. (hevilleta redonda).
d'oreilles, Bc, Lane M. E.
15. - ~jJït ZsiXs*
II, 404, 1001 N.
anneau, boucle de cheveux, Bc. —
Rouelle, tranche ronde (de veau, de saumon), dalle,
tranche de poisson, Bc. — L'armilla suspensoria de
I, 40,
~yu&Jî
~,0,
K~L> rasoir, Abou'l-Walîd 136, n. 18.
epLo-
Aboul-Walid 136, 9 (?).
bryonia dioica, Bait. 1, 278 d.
l'astrolabe, Dorn, Alf. Astr. II, 261: alhelca i. e.
;; ,,
~vJiL^ enclos, jardin entouré d'un mur, L (consi-
armella. — WiÍ.$J' ~ok) sphère armillaire, Prol. III,
105, 15 et dern. 1. — Crampon, Bg. — Réunion
d'étudiants autour d'un professeur; de là cours, suite pièces de monnaie, M.
de leçons ; aussi la salle où un homme en place
tenait des réunions, des conférences, où un professeur
donnait ses leçous, Maml. I, 2, 198-9, Aie. (lecion yCI
pj&s* ouverture d'un pont, Haiyân 102 ~vo
t'- -: Xs-!.
— Goulot, cou d'un vase, Bc. —
HjbJLSJî.
el lugar donde se lee ~xSLs-). — Un corps de troupes
espèce de sucrerie qu'on avale facilement, M.
qui entourait le prince et composait sa garde, Maml.
1,2, 200-2. — Enceinte que formaient des milliers de
chasseurs pour enfermer une multitude immense d'ani-
maux sauvages; former une telle enceinte est <—'y—~
KaJb>, Maml. I,
1,246, I,2,
197—8,1001 N. I, ajoute :
Maghrib, cuivre brûlé ou calciné, Most. in voce, qui
« on
dit que c'est un mot berbère mais c'est
une erreur, car c'est le grec ~%xhY.ôç Gl. Manç. ;;»
:
30, dern. 1. — Enceinte de circonvallatlon, ligne de
blocus, Maml. I, 2, 198; ~-\JLJ~ ~xaLs» Y.;ID investis-
sement, Bc. — Enclos, Bc. — Carrière, lice, lieu
fermé pour courir, Bc. — Maison d'asile, Maml. I,
2, 200. -- Encan, vente publique à l'enchère., Amari
Dipl. 51, 7, 76, 5, 103, dern. 1., 405, n. c; aussi
~ti5s.Uk.
II noircir, rendre noir, Voc. p. 48
<~L<~, p.337, en sont des altérations).
b a et
,,
sable, Lyon 52 (helga). plus noir, très-noir, Bayân I, 291, dern.
<~JL->-!
1.; Aie. traduit « mas escuro »
par « ahtâq,»mais il
faut lire ahlâq. »
Voc.; aussi aiiXs»-, Djob. 195, 2, Macc. II, rL-à-
«
o)»y
man. 330, 156 vo: il faisait une en
,~~h>. diarrhée, Daumas V. A. 426.
~OuUL <~~P 1001 N. III, 434, 10, où l'édit. .(1.011-F dans le man. B, l'autre a par erreur L~!~).
y
tL- songe, le pl. aussi ~L~io-, Bc, Abou'l-Waltd
Xs~L&., pl. dans le sens de A.iW> (voyez 228, n. 42. — Délire, L (deliramentum).
K;I:;- lithospermum callosum, Prax R. d. O. A. pelet d'amandes crues enfilées dans un morceau de
IV, 196.
~1 Oqui
~m y songe8, Alftya éd.
se rapporte aux songes,
gros fil, et que l'on fait cuire ensuite dans du jus
de raisin.» Dans le R. N. c'est J~~M t~<~ ~uoj
Dieterici 114, 5, 7 et 8.
~r.P
5*
indolent, Prol.
Most. in voce.
II, 359, 3 a f. - Anchusa,
e~Lo.. Thévenot 1, 495: du fromage salé qu'ils
juifs, Daumas V. A. 486.
«
(les Egyptiens) appellent dgibnhalum ;»
Coppin 221:
«gibethalum (1. gibenhalum), du fromage salé.» Le
raisiné, J. A. 1860, II, 386.
- M.
~&
vulg. dit pjJb», Anchusa, Bait. I, 278
— c. ,9-.L- confiseur, Aie. (confitero, melcochero).
M~JL> certains mots barbares que l'on prononce
avant de s'endormir, et qui amènent une vision par
laquelle on apprend ce qu'on désire savoir, Prol. I, »
clef,se donne quand on loue une maison ou une
190, 15 et suiv. chambre, 1001 N. IV, 540, 3 a f., avec la note dans
la trad. de Lane III, 668, n. 4.
~7,- nom d'une plante au Maghrib; le Gl. Manç. m ~G
.-)~JL~-, confiseur (Freytag), se trouve Bat. Il,
dit que 01y,-AL4est une plante chinoise, &.:) «1 .2e;5 283, III, 274, 1001 N. I, 56, Bc.
~«M ~CI espèce de très-grand raisin, Ztschr. XI,
.~J~JL&-
479.
~t I. ,
*u*Âi oJjb»
~CI" < être sur le point (le tomber en dé- .L>.
~m
? a y ~>
Le fém. a~JL~- espèce de datte très-douce,
Pagni 151 (où le man. porte KaHia), d'Escayrac 11,
faillance, M. Prax R. d. O. A. V, 212,ibid. N. S. 311, Burck- I,
II amincir, rendre plus mince, Voc., probablement hardt Arab. II, 212, Burton I, 384.
~ej ~5 parantiphrase,
en parlant d'une étoffe, voyez a5^L>-. H~jJls», fiel, Voc.
V devenir doux, Aie. (endulçarse). — Devenir mince, datte très-petite et qui a été nommée ainsi
XjJL~-
Voc. — Manger des sucreries, 1001 N. I, 109, 634, à cause de sa douceur extraordinaire, Burckhardt
647, Bresl. II, 188. Arab. II, 212 (heleya). Chez Burton I, 385, «hillt-
VI manger des sucreries, 1001 N. Bresl. IV, 111.
yah, » mauvaise espèce do datte.
I
— Qui tourne facilement autour du doigt (bague), M. Bresl. IX, 352, 8. &~LJ< s~Lc~ gratification quand
— Confitu-re, Bc. - Par antiphrase, fiel, Voc. — on revient sain et sauf d'un voyage, quand on relève
;
de maladie, etc. on donne alors un festin à ses amis,
Mince,Voc.—~ay> douce-amère, vigne sauvage,
1001 N. II, 93, 3, avec la note dans la trad. de
solanum, Bc. - 9 Rozet III, 239:
~CI
Le pl. fém. \::J!,.l>,
«Alouet, grand saucisson brun avec des amandes au
Lane II, 324, n. 57; Bresl. IV, 188, 2 a f. 'iyL-?-
~-bJL~
~0 r;U:i.t' o!,l>
0>
milieu; c'est de la pâte de blé au milieu de laquelle = (voyez), 1001 N. Bresl. XI,
où enferme, en la pétrissant avec la main, un cha- 344, 1.
e~L~- mode de musique, Hœst 258. — Espèce En musique, ton, Aie. (tono en la musica), accord,
Aie. (acordes consonancia). — Fer-blanc, voyez l'ar-
de datte, Niebuhr R. II, 215. ticle qui précède.
*j~~L~' confiseur, Bc. ~î~.yo<MH~ Macc. I, 403, 5.
~L~~L>- douceurs, friandises, sucreries, Bc. ~i3L> orné de pierreries (épée), Macc. I, 251, 11.
0
yjJU5> doucet, Bc. w , ~ymusicien, Voc.
J~<<
~a
gjL-<\-A mignardise; — lanternerie, fadaise, dis- ~"ul,oj ~L. (j~>-j~ narcisse jaune, Bc, mais j'ignore
cours frivole, Bc. à quelle racine appartient ce mot.
tj~J~. =
mentateur juif
~, Most. sous ce dernier mot (le com-
traduit tragacante), Bait. I, 320 e
+ ~y harnaché, richement harnaché (cheval), Aie.
~,Le:u
(cavallo enparamentado, paramentado cavallo), Notices
(Sonth. astragalus verus). XIII, 184.
y ~y
<~,~J~ (proprement « aigre-doux,» carlesîw est pour ~tiLL. (syr. IZULàà) erysimum, Payne Smith 1282.
M
le çâd) espèce de grenade, Voc. ~< II c. a. dans le Voc. sous balneare. — Laver (formé
\J~. 1 damasquiner, Bc. — ~«j. (C-~—~'
ses cheveux
de M.
V se baigner, prendre le bain d'étuve,Voc. («in
tombèrent, M.
II flatter, peindre en beau, Bc.
balneis tantum, »
et la Xe forme «ubique»), Bc et
M (V et X dans le même sens).
IV débander une arbalète, Aie. (desballestar). VII avoir la fièvre,Voc., Bc.
Y, s'orner de, ne se construit pas seulement avec VIII être chaud, Abou'l-Walid 783, 14.
y, mais aussi avec l'accus., Fleischer sur Macc. I, -1 ^yoJu~va .1
626, dern. 1., dans les Berichte 208. ~r->. r--- y comparez avec Lane le GL
Belâdz.
VIII c. y
~Lc" (cf. Lane)
s'orner de, Gl. Mosl.
aphtes, petites ulcères dans la
X certain oiseau du désert, Daumas R. d. O.
A. N. S. III, 239.
bouche; — efflorescence, éruption sur la peau, Bc.
.tt~- suie de la cheminée, Cherb. J. A. 1849, I,
~LJLS-fer-blanc, Hbrt 171 (Alg.), Ghadamès 42;
541, col. 1.
chez Ht ~&Jb>.
w rLr
XjL~- ornements, choses précieuses, Haiyân 58 vo:
ques, Pagni ~87; ~o
y
pigeons qui ont les yeux
et les pieds rouges, ainsi appelés parce qu'ils sont
tume, 1001 N. le roi ~JOûJls»«xê«changea de
I, 43, 12: w ~9~rL7
venus de Turquie, Pagni 89; pigeons blancs
»
costume. — Titre, p. e. ceux qui sont composés avec
«ad-dîn,» tels que Nour ad-din, 'Alâ ad-din, Djob. 242, avec des plumes aux pattes, ainsi appelés parce qu'ils
21. — Housse, capa-raçon, couverture de cheval, Aie. (pa- ont été apportés de pays chrétiens, Pagni 87. —
ramentos), Koseg. Chrest. 108, 11: ~M -¡:¡N" u~!(~3 ~fL^Ij <—~J semble signifier: servir de pigeons pouf
se
transporter des messages, voyez Gl. Fragm.
y * du blé
~4—> gâté par l'humidité dans un silo,
c'est peut-être plutôt harnais, tout l'équipage d'un
Daumas V. A. 255.
cheval de selle, comme dans l'Rist. du Yémen, man.,
».'>• appartenant à un pigeon, Payne Smith
1580. ~—,<—se trouve
~CI «# dans L, à la fin,
pointe de fer faisant partie de la boucle d'une cein-
parmi les noms des chevaux, storno albo.
ture, et servant à arrêter la courroie que l'on passe
dans la boucle, Aie. (hierro de cinto, rejo de cinto).
— .r>.
w7 ~sb fièvre précédé, dt frisson, Bc; —
~Xiili ~UZ 369; — ~a
fièvre tierce, Burton I, ~uz
fièvre aiguë, qui se termine en peu de temps par la
';
~0'
mort ou la guérison, Gl. Manç.; — ~XV ~UZ fièvre Muhdmi, bourbeux, fangeux, Aie. (limoso Ileno de
chaude, Gl. Manç., Voc., Bc;
-
xsuss*- ~UZ fièvre limo).
1 s'acharner, Ht.
intermittente, Bc; — iUSta fièvre continue, Bc;— II garrio dans L, murmurare dans le Voc.
~t3J
~O}
fièvre quartey Gl. Manç., Voc., Bc; - .t-=>-L~&- ocimum
r->LJt
basilicum, Bait. I, 326 g,
ùl..:s:':J' ibid. I, i
283 (AB); ibid. I,
aussi
434c:
aiAcy> fièvre précédée de frisson, Voc.; — ~_5yj~L
fièvre produite par une vive émotion, Sang.; - ~^5*
Ka*L»^o
fièvre continue, Gl. Manç., ;-
Voc. sJ~-i.M ~^5"
.~o-L~-~J! /a~~J~ ocimum basilicum; c'est ainsi
dienne, Bc; -
~çyi fièvre qui ne dure qu'un jour,
quelquefois deux ou trois jours, Gl. Manç., Voc. t'"-, souhait qu'on fait pour
~CI le succès de quel.
5
qu'il écrit
~t—1—>- grande cuve poreuse servant à rafraîchir neur de la Divinité, Aie. (ino en alabança de Dios).
010.4-- mode de musique, Hœst 258.
I, pU.^- ~t voyez -
~G
l'eau, Browne 237. —
~rLJl ~-7 lavementy
remède liquide qu'on introduit a^lS" =
<~~db&- assa fœtida, Most. sous ce dernier
mot.
par l'anus dans les intestins, L (enema [cf. Ducangel
~V
s~L~" occasion
propre, opportunité, Voc.
;.
~£,a-~:L>
au Maghrib = ,
viande choisie de l'autruche, cuite dans la
graisse de cet animal, Daumas V. A. 389.
K~Ls~ Lettre à M. Fleischer 236.
fièvre, Aie. (fiebre o calentura), surtout
J~e~
VII, 259, Colomb 49, Berb. I, 121, 437,
Ce mot ne semble pas seulement en usage en
Afrique, car Burckhardt, Syria 94, parle d'un désert
sablonneux nommé cf. 667.
celui qui fait des souhaits pour le succès
II, ~&LojÎ
~*O
~i,
~«> 0 Most. sous ce dernier mot:
*
hypericum, Prax R. d. O. A. VIII, 345,
chez Pagni Mg thamtira».
cula, Prax 1. 1. 282.
- ~L ~!> ~CI
~s
calendula ri-
de quelqu'un, Aie. (favorecedor con voto). — Témoi- * o ~y rougeole, Gl. Esp. 115; L donne: carbum
#j-4-s»
gnage, Aie. (testimonio).
Ly t<1? harangue, discours, Aie. (oracion razona- [=
ij.Jls.
carbunculus P] ~O»
\^OJ\ N-t~=~ ~ila" J<~~;
~m
y il
a aussi
sous eresipila. - Le rougeau, maladie qui
miento). attaque l'althéa, Auw. II,
à ce qu'il semble, Macc. I, 687, 17.
298, 6.
Fard, Bc. —
--
Craie rouge,
,
L'arbre <Aïy£ auquel on a donné ce nom parce qu'il
porte des fruits rouges, Burckhardt Syria 474. Le -
Soufis, a commencé le jour de la mort du Prophète,
et qui ne se complétera qu'à l'expiration de mille
pl. - ~y
pétéchies, espèce de pourpre ou taches sur
la peau dans les fièvres, Bc. — En géomancie le
~y t
ans, Prol. II, 167, dem. 1. et suiv.
< > ~ú, scatnmonée, Aie.
(escamonea medicina), Bc,
Sang., Rauwolf 54 (corrompu en Meudheudi), Most.
signe ==, M.
Zj».> caravane composée exclusivement de mulets,
Espina B. d. O. A. XIII, 150 (hamara).
~VOLu~a~, Bait. II, 27 b, 491 c, Auw. I, 640, 13,
- >
Bayân I, 313, 5, Çalât 23 ro. — Espèce d'euphorbe -
!~-<—~~ rouge-gorge, Pagni MS. — Arbousier, le
qui a les mêmes effets que la scammonée, Bait. II, même.
,
K,!j4~ dnerie, Bc. Sans voyelles, rougeur, Bc.
'è3b\Jo (cf. mon article ~aJibjLb), euphorbia lathyris,
Gl. Manç. sous le second terme. w ~O )
l.S-nj.:> rouge, Voc.
~~-<-<~
m 9 ~CI, cotonnade blanche, Ghadamès 40. ajL*=>. (les rouges) espèce de dattes, Prax R. d.
0. A. V, 212.
~j4 II &—=~J~
farder, Bc; — on dit: ~léLJ ~jê:e
~alîl
&;+£>•
« que
Dieu te rougisse la figure!» quand on dnerie, balourdise, Bc.
veut souhaiter du bien à quelqu'un d'une manière ~>>, dne, signifie buveur d'eau parmi les musul-
générale, parce que les Arabes attribuent aux cou-
leurs éclatantes, au rouge principalement, des idées mans qui ne se soucient pas beaucoup des préceptes
de joie et de bonheur, Daumas V. A. 518. — Ris- du Coran, Burton I, 130. — Sans voyelles, rougeur,
soler, rôtir pour donner une couleur rousse, rôtir, Bc. — La fin d'un siècle, Tha'âlibt Latàïf 30, dern.
205,
1.
— Machine dont on se sert pour tirer un navire
dans un port, L (pulvini [« machines, quibus naves
deducuntur et subducuntur in portum, Ducange »
6 a f.; cf. ~J4^a. Dans Antar 70, 3 a f., en parlant
~CI
~j«-g» (vulg.) rougeur, poète populaire Prol.
407, 13, où il faut lire ainsi.
III, ~•^tr- rougeur,
fardaient
- Voc. Carmin préparé, dont se
les femmes, Aie. (alconcilla).
: 8j**s> asphalte, Edrîsî, Clim. II, Sect. 5: ~siX-Pj V (pour (jA~) être torréfié,Voc.
~(jw orgueilleux, M.
m ~9#
espèce de dattes très-rouges,Pagni 151; ~L<~>. enthousiasme,
transport, Bc. — Doronicde
Syrie, Most. vo ~~J~, mais «az-Zabrâwî dit qu'il
".: p. 152 il nomme l'espèce «Hamura Bixeri. » — Cer- ignore si ce mot s'écrit avec un hâ, un khâ, ou Un
taine pierre précieuse, voyez Niebuhr B. xxxv.
S»«*M ~Y cloporte, Domb.
rf/îïw, » ibid.
r ~8\X> 66, Bc. tjwuk+o
;,
~-7 lonchophora capiomontiana Dr., Prax R. d. O.
ragoût de mouton aux tomates et aux lé.
gumes, Daumas V. A. 251 (hhamiss), Kennedy I,
A. VIII, 282. — Hypericum, Pagni MS.
101 (hamis); «sorte de fricassée de mouton fortement
ro' Sy „ > bitume de Judée, M.
~.r> vulg. pour .J"':>'
c
, épicée et acidulée par le hermès, abricot du sud sé-
jLt~" manœuvre, mauvais artiste, Bc. ché au soleil,» R. d. O. A. N. S. VII,246(hamiss).
poétique, Bc.
exaltation; — veine, génie, talents, esprit
108 e, où A a le techdîd; cf. Freytag sous .L~JL&.
pl.
~! P. Macc. I, 464, 17. — Farine, Voc. —
o ~>
,
M.
108 (lahméré). -
Sorte d'oiseau, Yâcout I, 885, 14.
-.. chez Freytag, voyez ~4.~-.
- .r>'S' Mars (planète), L (à la fin); ~c gVJÛJt
ua::<'
tjt~~=>-,
J
proprement pois chiche, a reçu le sens de
Mars, le dieu de la guerre, Bc.
pois en général, Clément-Mullet dans sa trad. d'Ibn-
m ++OS rougeâtret Bc.
~j!-t~"!
s - ~y de
la viande hachée et rissolée, 1001 N.
al-Auwâm II, 89, n. 2. -
~{ja*2*, chez le peuple
.0 -
xiL+s»- la chaleur de la colère, M.
Vansleb 101. J~-~e -
* o - ~y
)j~-~ des pois chiches qui
ont été grillés jusqu'à ce qu'ils aient reçu la couleur
jaune et brillante qui leur convient, les petits points
obscurs et le goût fin, Ztschr. XI, 520, n. 43. -
~r, j:.8 ;. âcre, piquant, Bc. {j*a—»—s»» se mangent au dessert, 1001 N.
~)torréfier,Voc.
II
~Lyé.*-% (pour va4--- Brest. I, 149, 2.
,: Bc.•
IV exalter,
comme nom d'un. du mot qui précède, serait plus les aliments mal digérés, Aie. (azedia de estomago).
—
correct) cautère, ulcère artificiel, Bc, Hist. Tun. 111: Pédérastie, 1001 N. I, 618, 7 (cf. Lane sous la IIe
forme).
Xj~-
s acidité, aigreur, Bc.
Clwy
~<~~
1 ~CI poêle où l'on brûle le cltfé, M, Burck- = a ~y
&espèceoseille, Aie. (azedera), Bc, Hbrt
(j~Lt~>-
(jiax4S»
47. de sorbet fait d'oseille, Lane
hardt Prov. 40; dans le Ztschr. XXII, 100, n. 35, M. E. I, 224. -
Nom d'une fleur jaune, Mehren 27
(sedum ou ranunculusP). — Arisarum, Rauwolf 115
(homaidt).
~1r. * ~y kouskoussou à
ja
y~-. f ~-q. gros grumeaux, Cherb.
Barth I, 339, Rohlfs 162; chez Daumas V. A. 252: 'i.:a:.GtA ~y
oseille, Aie. (azedera), Domb. 75, oseille
soupe avec des boulettes de pâte au citron; incorrec,
» chez Roland X~o-t~ï K»v-nl»:> oseille. t
sauvage, Daumas V. A. 380, Payne Smith 1306;
tement «hamza
qu'un,M.
Macc. I, 800, 8. — Espèce de grenade, Voc.
V quasi-passif de la IIe dans le sens qui précède,
Voc. J p. nourrir une haine secrète contre quel-
~'n t'->. acidité, Gl. Edrîsî, Gl. Manç. v° ~xit—>,
qui ajoute qu'on emploie ce mot au figuré en parlant
I,V c.
~JsUjs»espècedesycomore,Bait. 327b.
*
d'une odeur.
— Chose qu'on désire,
Abou'l-Walîd
234, 25. <—~ trouve chez Aie. sous «enlevar, et feu
1 se »
.:*».
dit Freytag, le mot ~~a4.:>- ou sous
Le Câmous donne en effet, comme le
la
M. Lafuente m'a écrit que ce dernier verbe peut1 se
prendre dans le sens de «enlevarse,» devenir orgueil-
leux, vain (cf. la Ve forme; même changement de
,
racine ~rx'>; mais chez Bait. 1, 326 d, II, 295 et g signification dans le verbe ~<).
— Se fdcher,7.
Me,
dans Golius, on trouve tj~~*~, oxalis corniculata, ~4
Ht. — S'affliger, Ht, 1001 N. Bresl. XI, 23,
et l'étymologie semble indiquer que cette orthographe
II faire devenir fou, Aie. (enloquecer a otro);
est la véritable; l'auteur du Câmous dit aussi que
c'est une K,=AL>. ~jiXib. ~C), ;; s'infatuer, Gl. Fragm. «!„
,atar).
; ïBresl. X, 460, 11; 89, dern. 1., 94. — Emmener, mener avec soi, Akhw
se fâcher contre quelqu'un, o. ~Q*
p., 1001 N. Bresl. IV, 184, 4, de quelque chose, c. bâr 69, 4, 1001 N. I, 74, 12. — Transporter, p,e.
r., ibid. et 1. 12, 13.
/~- t 31
rage, fureur, 1001 N. Bresl. IX, 386, 8 ellipse, transporter des marchandises, Bat. IV, 244
(éd. Macn. ~»J>^>), 12 (Macn. f.), mais en ce sens Berb. 1, 265, 7 a f. (où ~Je est au moyen de).
~Ja»
,
~CI
y
le pl. ~JU>).
-
- ? pl. s:Lii.:>
t3L..> >
fou, Aie. (loco como quiera).
üL.-.:> pièces satyriques, voyez J. A. 1839,
164, 1. 11,1849, II,
II,
à Amrolkais de monter sur le chameau sur lequel
elle était assise. Aussi en parlant d'une personnequi
251.
a un vaisseau à sa disposition, permettre à une autre
KïL~. brutalité; fatuité, impertinence; ~Jo' ~~—~-r personne d'y entrer pour faire route, Koseg. Chrest.
KSL~ en venir aux gros mots, Bc. ~U-j
-y-àrJi ~âl - nom d'un instrument de musique,
55, 13 et 14, Gl. Abulf. — Superposer;
,
4.
sur l'autre,» sans mortier, Gl. Belâdz. — Gagner,
+.s>-
f
~2 (le sommeil le
~A.
~vjjj+s*vulg. = la maladie jjjUss*, M. en parlant du sommeil, &JL
gagna,» Bidp. 280, 4. — Vexer, Djob. 306, 18:
I-folie
~l-
» ~CI sottise, radoterie, mot formé par
-»o£ Comme Abou-Amir ibn-
plaisanteriede même ~queli5y>t.
Garsia avait, dans sa Risâla, loué les (les Grecs,
les Romains, etc.), parce qu'ils avaient inventé l'a- ~jJLJ=L<J!.
- Traiter, agir avec quelqu'un de telle
:0' ,
rithmétique et la géométrie, et qu'ils s'étaient distin-
ou telle manière, Akhbâr :
123, 5 je veux ~JLt-s~
gués dans ~R~J~J!~ un de ses contradic-
teurs lui répond (man. de l'Escur. 535): ~Uîj ~&! i)&>\ ~xalc «qu'il me traite de la même manière
que les autres personnes de ma tribu» (J~—~ est le
f~
~la,.
~J~~N~
(?).
«
vulg.
Borte
= la maladie
f. : i
~Jlc &L,---- «il le traita
de manière que.»— Etre reconnaissant pour, 1001
N. IV, 482, 6 a
,
•
Smith 1303; mais la
leçon est douteuse, attendu qu'un
dict. donne JJL<~, etBar Ali éd. Hoffmann no3728 de tribut, de contribution, Mong. 241, Aghlab. 33,4,
~I
J~ >
»
Je crois que le mot syriaque, avec le k dur,
doit faire penser à o ~* (Wright).
~< I, en parlant d'une femme, porter une chose dans
-- le vagin, Bait. I, 21 b, 28, dern. 1. (seulement dans
~,. B); cf. Lane sous la VIIIe forme, que l'on trouve
un de leurs officiers, plus ils faisaient conduire do
chevaux de main sellés et enharnachés, devant lui.»
ranger, disposer, Aie. (ordenar régir). — Admettre
Amari Dipl. 193, 1. — Semettreen Mais cette expression n'a pas ce sens; elle signifie
une accusation,
marche, par ellipse, 1001 N. I, 357, 12, 461, 1 et simplement: il lui donna une mont-ure, ou, au plur.,
3, l'anonyme de Copenhague 47:
~LJt q* h* Ij des montures: Ainsi on lit chez Ibn-Badroun 246,
~j~~,< ~¿,i ~!,4>, ~.y~cLo. -
Posséder des connais-
sances;
1"'La.:\ J~-~t Nawawi 22, 7 (où ~rWi est une magnifique;» dans les Fragm. hist. Arab. 509, 4:
~iAe ~Job ~JLc*JLs» «il lui donna un mulet et un
faute),11 et 12, HaiyânBassâm III, 112 vO: ~OWI,
cheval;» ibid. 329, 4 a f.: ~)
~le ~c t <il
lui
donna des chevaux.» Un passage de Tha'âlibî, La-
cf. sous J~o.-~ — En parlant d'une rivière, grossir tâïf 132, 4af., est surtout décisif, car on y lit:
par suite des pluies,
été
M. — :\:.rlO
~J-+-> se jeter,
Berb. I, 69, 1. — C. ~¿J, conduire à, en parlant
AmariMS:
j-.:>
biffer dans le Gl. Fragm., p. 32, l'article ~-
ni dans l'un ni dans l'autre passage des Fragm., le
mot ~ïJ-*
car
moyens,)) Gl. Belâdz. — C. ~J& p. extorquer de l'ar- Fragm. — !t~<->- (J~c J~—~) sans ~LZJ> qu'on trouve
gent à quelqu'un, Tha'âlibî Latâïf 13, 11, Çalât 22 ro: quelquefois ajouté, être triste, 1001 N. Bresl. X, 141,
1. De même ~JOJIS J~->, Macc. II, 772, 19. —
,
chien quand ce dernier est attaché à cette plante,
une femme enceinte, Abbad. III, 126, n. 103, à moins
que ce ne soit la IVe forme. — C. d. acc. assujettir
à tort que de Goeje, dans le Gl. Fragm., a attaché
quelqu'un à, Bc. — L~-t~ ~JLt->- obérer, endetter, Bc.
à ce verbe l'idée de *magna cum molestia;» ce qui
— C. a p. et ~J r. obliger quelqu'un à faire quelque prouve, entre autres choses, qu'il ne faut pas le
chose,Yoc., Bc. — C. a. p. et ~& ait., exciter une
° - ~.jLc
personne contre une autre personne, Bidp. 115, 4, faire, c'est l'expression fuir à
240, 5. — C. a. p. et ~lJ1 r., laisser à quelqu'un la toutes jambes, Gl. Bayân, et J~at—~—t seul dans le
responsabilité de quelque chose, Prol. II, 219, 4. — même sens, Gl. Fragm. — Assister, aider, Çalât
Le nom d'act. a un sens qui ne m'est pas clair dans
le Formul. d. contr.; voyez ce passage sous X~=>..
III c. a. p. se jeter sur quelqu'un, Tabarî I, 42,
1 éd. Koseg. "o,la:J',. Braver la douleur, Bat. II, 299, Mo-
—
V souffrir, tolérer, permettre ou être propre à, hammed ibn-Hârith 307, en parlant d'un homme qui
Gl. Edrîsî. -~JJ.Emporter, Becrî 64, 6: ~L.-~ J~-ï~
~! ~Q* Fragm. hist. Arab. 185, 2 et 3,
l-o,
où le texte ne doit pas être changé, comme l'éditeur
Etre partial, Macc. 1, 694, 7; prendre parti pour
quelqu'un, c. ^, ibid. 1. 8, ou c. J, Mohammed ibn-
a voulu le faire dans les Add. et emend. p. 116;
corrigez aussi le Glossaire. — Se charger de faire ou
v.:aa.?
;contre quelqu'un, c.
l'exemple qui précède; aussi Macc.
comme dans
II, 15, 1.20,
— Sur l'espèce de litière nommée
voyez Lane M. E. II, 198, Burton II, 65. -
et à
- C. p. r., se reposer sur quelqu'un de
quelque affaire, Macc. I, 473, 18: comme il était
J~~LkS espèce de candélabre à six lampes,
Lane M. E. I, 244 n.
voyez
très-avare, il ne voulait pas acheter lui-même les ,4z>. agneau pascal, N.-S. Jésus-Christ,
choses dont il avait besoin, mais il
Bc. — En astr. o
est un des noms de la con-
stellation du Corbeau, Cazwînî I, 41, 4.
VII dans le Voc. sous portare.
XL,:> charge, fardeau, Ht, 1001 N. III, 4, 5 a
VIII, c. a. p.et r:.--o, emmenet., mener quelqu'un
f., 4 a f., 2 a f. Le bois se vend à la charge, qu'on
soi, Hist. des Benou-Ziyân 98 v°:
avec
, Belâdz.:
appelle hamleh, »
«
Descr. de l'Eg. XII, 461, cf. 464;
— Pouvoir supporter, Gl. chez Bc »_.<Ers» K~.<js- voie de bois, mesure de bois,
,
J.ob, enceinte. 0,.*i xLeLsx \~J~ (d'étais enceinte plat ou assiette, parce que «discus ciborum forme
,
un autre article; cf. Ducange et l'anglais desk. —
chait de son terme, » Koseg. Chrest..72, 5 a f.
Support, ce qui soutient une chose, ce sur quoi elle
- Trébuchet, petite balance pour peser l'or, 1001 N.
Bresl. II, 35, dern. 1. — Brancard, civière, M.
,
porte, Bc. — «Les hdmel sont les esclaves, ayant J~-i~e attribut; sujet, t. de logique,
été déjà la propriété d'un maître autre que les indi- Bc. — Les édifices mêmes, par opposition à la ma-
vidus faisant partie d'une et qui se sont çonnerie qui leur sert de base, Mi'yâr 23,
niâtrer, s'entêter à jouer, Bc. parc , lieu planté d'arbres, de Sacy Chrest.
II protéger, aider, favoriser, Aie. (favorecer). —
Chauffer, le four, Bc. — Animer, stimuler,
exaltery pousser à l'enthousiasme, Bc. — Baigner, Bc
III, 154; vaste enclos de jardins et de vergers, Edrisi
1*1, 8 a f. et suiv.
— Le lieu qu'habite Vobjet aimé
de Sacy Chrest. III, 154, P. Khallic. I, 62, 4 a f.
,
SI. — Chez les mystiques le ciel, parce que Dieu,
(confusion avec la racine
l'objet de leur amour, y demeure, de Slane, trad.
III être sur la défensive, Bc. — Résister, selon y
d'Ibn-Khallicân, I, 123. — Abri Bc. — Franchise,
le Gl. Mosl., mais dans le vers qui y est cité, le
verbe se trouve dans la rime. — C.~ p. plaider
droit d'asile; .c~=L asile, Bc.
-
La période pen-
dant laquelle il était défendu de se servir des eaux,
pour quelqu'un, Bc. — C. J p. prendre le parti d'un ,
— El-herna, animal inconnu en Europe,
Gl. Esp. 138.
autre, Bc. — Freytag a noté: «fugit hominum ad-
propinquationem,» signification qu'il n'a pas trouvée
dans Golius; peut être l'a-t-il empruntée à un passage
X
qui ressemble à l'aroui, voyez R. d. O. A. VII, 39.
Abou'l-Walid, 157, 9, dit qu'il faut pro-
de Baidhâwî, cité dans de Sacy Chrest. I, 340, 4,
noncer ainsi, et que cela signifie il a donc en
où III, c. a. p., signifie fuir l'approche de
quelqu'un; mais alors il s'est laissé tromper par une vue le mot Xx*£s- (voyez Lane) , comme porte l'édi-
fausse leçon, car dans ce passage il faut lire deux tion 249, 30.
,
fois la VIe forme, comme dans l'édit. Fleischer I, X~.*~-
désigne spécialement une qualité des Arabes
604, 24, au lieu de la Ille.
IV protégery défendre (cf. Lane sous la Ire),Voc., païens, à savoir l'attachement illimité aux intérêts
de la tribu à laquelle on appartient; c'est le syno-
Aie. (amparar), c. y p., Akhbâr 41, dern. 1. — Dans
le sens de chauffer c. r., Djob. 343, 4 et 5. nyme de .v»*wc et l'opposé de Haiyân 52 vO:
V s'établir dans un Wright 77, 14et 15.
VI, dans le sens ordinaire, se construit aussi c.
p., Edrîsî 11. — &;.r- ~aL~j soutenable, Bc.
VIII se fortifier, se défendre, Macc. I, 913, 3 a f.,
avec la note de Fleischer dans les Add. et Corr., tiens: l'intérêt religieux qui les unit les uns aux
autres, Ictifâ 126 v°: Mousâ dit à Julien dont il se
dre la défensede, Aie. (bolver por otro), cf. Macc.
,
II, 402, 2; plaider pour, Aie. (defender en juyzio);
,,
Amari 429, 1. — Chaleur, ardeur au propre, Edrisi
,
-- )
~*~u défendable, Bc; c. protéger, aider, favo- ay 3; au fig.,ardeur ferveur y
fougue, enthousiasme,
riser, Voc. — C. pétulance, véhémence verve,Bc; Xj~-~J! &Jt~~-! ou
se réfugier, se sauver dans; c. XA~- ~s
s'abriter, Bc; c. être (se mettre) à couvert ~Ojtîs'échauffer, se mettre en colère, Bc.
de, se garantir de, Bc, Gl. Fragm. n'est — Xjç+s» en sûreté, sans être inquiété, 1001 N.
— Diète
pas seulement rLvlali mais aussi Bresl. X, 358, 3 a f., 362, 4 et 10; dans l'éd. Maon.
~Cz,
Bc; le Voc. donne la constr. c.
—
.b'}J\' se modérer, Bc. Dans le Voc. sous calefa- %Us»- véltémence, Bc.
- —
,
cere. Etre irascible, s'emporter facilement, Akhbâr
55, 4 a f. (pour aL*~) belle-mère, Bc.
calorique, principe de la chaleur, Bc. — £jL*=>- protection, y Aie. (favor). — ajL+c*
faveur
Erésipèle, Bc ',Bc, pustules dans la bouche en sûreté, sans être inquiétéy 1001 N. IV, 321, 8 a f.,
323, 13; dans l'éd. de Bresl. K~>. J~.
— Un droit
&é--- suavité, douceur, Aie. (suavidad).
qu'on levait sur des terres ou sur des marchandises
(on l'appelait ainsi à cause de la «protection» que
l'on était censé, à ce prix, accorder aux possesseurs
de ces objets), Maml. II, 2, 129 (Quatremère semble
que ,aligna
dans le Voc. pietas, et cette forme, de mémo
(?).
;
hément ;
— fort (tabac), Bc — vif, actif, Bc, Hbrt
223. — ~-<L~LL\—>-! rudoyer, traiter, mener rude-
(letor dulce e suave, où le pl. est hunêni); en par-
lant d'un chameau, P. Macc. I, 833,
3 (excellente correction de Fleischer dans les Add.
ment, Bc. — employer le vert et
le sec, employer tous les moyens de succès, Bc. — et corr.).
Xj~L~ les soldats, l'opposé de Prol.III,273, iulJjs- sensibilité, Bc.
1, Berb. I, 1, 28, 34, 107, 186, 198, etc., Haiyân ti>u> argent, monnaie, Bc.
86 r°, Khatib 7 ro; aussi A-yoliL Berb. I, 1.
,
~~-jL->. semble être le nom d'un vêtement, 1001
,CI]!;:
-~->-t qui se défend mieux ou le mieux, plus ou CI
le plus brave, Macc. II, 402, 2.
~JL~JL~-
-5 pâte faite de pain, de beurre et de dattes
mêlés ensemble, Ztschr. XXII, 104, 11. 41.
voisins ne puissent pas y toucher, Daumas V. A. 315. machine hydraulique, parce qu'elle rend un
XjLLs=-
,
sert en Egypte, Bait. I, 304 e, 340 c. —
on bo
troëne, Bc; le
~~LX~ II danser, Bc.
osier, Bc. —
henné porte aussi le nom de troëne d'Egypte. ,.,.-- O
KJL~\JL~ danse, Bc; dans le M ce n'est pas cela,
pedica).
de chevaux, = M.
,
Ji£tJÛA. II, 56, 15,
mais selon toute ap-
J~U~~e vulg. pour M. J~e,
voyez Macc.
parence ce mot n'a jamais existé.
I hennir, Hbrt 59 (Alg.) — Etre gâté (noix), M.
S"CIJI o !~XA~
~~t o CI
\jJ~, au Maghrib, couverture ou tapis à mettre sur t'~) vulg., composé de (j~~ et Ji1,3, dès
un banc ou sur un marchepied, tapis à raies de cou- lors,Yoc.
leur, Gl. Esp. 101-2, Voc.
S.CI
O&âà. sauterelle (vivante), P. Aghânî 21, 6af.
U*"?
0,) »
seigle, dans le Most. sous le M, chezBait.
sous le khâ.
Xa~JL~. dans le M, mais son explication ne se dis-
LJNw,=",.
> O- cuivre
(j~~t~J~ jaune, laiton, Voc.(auricalculum,
cuprum, es, c.-à-d, œs) , ou cuivre mêlé d'argent,
Voc. — Monnaie de cuivre, que le sultan Hafcide
ô*o al-Mostancir fit frapper vers le milieu du XIIIe siè-
|»Sur\ terre à potier dont on fait des vases, des plats,
cle, Berb. I, 434, 10.
etc., que l'on vernit en dedans (cf. l'article qui suit),
=17
queri veut à tort changer le texte) II, 647, 5,
674, 3af.: ~, car c'est ainsi
,
qu'il faut lire
Bayân I, 265, 6 et 7, sous l'année 444 del'hégire.
0\
335d.
~,, #
(pour assa-foeticla,
~'s— (pour c^uJ^-) assa-fœtida, Bc, Bg, M, Prax
U'-~ I. i3vXâ>
ventre s'est enflé, M.
.- il a mangé tant, que son
CI,CI,
R, d. O. A. J~\JL~~-t
O la démarche d'un petit homme u^ywo,
~C«
VIII, 347. M.
II faire qu'un autre se parjure, Aie. (perjurar tj~.S' (?) de la céruse brûlée, Most, va —!L\~a-~~;
aotro). leçon de N, La (j*JSy.XÂ*w.
V. Cf. avec Lane le Gl. Fragm.
Aie. (perjurar).
- Separjurer, ,0.
<~~J .~-~ narcisse jaune, Domb. 72.
'[Y,"
~viAls»periurus(perfidus), L.
parjure,
;¡,- )
Gl. Fragm. (j&J!->.. Le pl. (jàuLs-, Voc., Aie. (culebra),Edrîst,
Clim. I,
Sect. 7: pour attirer les poissons, ils met- \*sùs>-
robinet, pièce d'un tuyau de fontaine, de
tent dans leurs filets gviaJt LAL;--, trad. d'une charte
tonneau pour écouler, Bc, M.
sicilienne apud Lello, p. 9, 19 et passim (dans des
>
-¡.¡:,: .::. la religion véritable, P. Berb. II, 289
Í. noms de lieux, serpentes), Amari MS. Le pl. (jijJLs-,
Jackson 57. — Anguille, Pagni MS. — En Espagne 7 a f.
le peuple a changé ce mot en v'";;.., que l'on trouve .J~- purus in lege dans le Voc.
dans le Voc. à côté de ~JM:>, et chez Aie. (culebra,
y&ÊUfrk 1 sentir Vaiguillon de la chair ~(M sr---~L~
y
trois fois et une fois le diminutif; pl. une fois (j&~sx,
;
deux fois (jàlÂ_=s- cf. hollejo de culcbra et rosca de
culebra). e~~ II remplir de haine, de colère ~(J^
c. a. p.
X&_«_:> bourse, Domb.
contre), Abbad. II, 117, 7, cf. III, 209, 4 a f"
83, Ht; c'est sans doute mais je crois à présent que la IIe forme est bonne,
,
le même mot que « kunshah)) chez Jackson 194 n.,
car le Voc. la donne, c. a., sous irasci.
qui traduit sac ou peau.
X~~j~. (pour Xjlu£wLs>) serpentaire (plante), Aie. V se fâcher contre, Voc.
LF. a~ simple, sans malice, Aie. (simple
(dragontia yerva).
X~j~-~- 9
C «•> feu volage,
sorte de dartre, Aie. (cule-
sin malicia).
¿;L..;..;:.. =Most. et Bait. sous ce dernier
brilla enfermedad). — XJL~J~ Xxàjy^.-,
au Maghrib, mot. — Trigonella elatior, Bait. I, 335 d, dans BS,
lézard gris, lézard de mur, Aie. (lagartija animal), A.
Bat. III, 103, Most. va ),su,w' en parlant du
scinque (seulement dans le man. N):
~J~.
de
II, en parlant de la sage-femme, frotter le palais
Venfant nouveau-né avec de l'huiled'amande
l'eau de grenade, etc., avant qu'il commence à sucer,
de ,
M. — Saigner le cheval au palais, Auw. II, 677, 7.
,
Abbâr 165, 1. <~L~ ~j.
çta.,.w Mais» sarrasin, blé noir, Bc.
ler bien, M. — (Pour tsULs^j) devenir ou être noir,Voc.
JauLs» celui qui embaume, Payne Smith 1320.
11
VIII. Cf. avec Lane le Gl. Mosl.
= Diw. Hodz. 59, vs. 22. t~J~- mâchoire, Domb. 85, Ht; ganache, mâchoire
,
~r?A,'~ II devenir inférieure du cheval, Bc. — Bouche, Burckhardt Syria
amer comme la coloquinte, P. Mâ- 598, Bc, gueule, Bc. — Lampas, enflure au palais
«• werdi 99, 3 a f., où il faut lire ç»JlnÂ.-qJ. au lieu des animaux, Aie. (hava de bestia). — Chez Aie.
«dentera de bestias;» peut-être prend-il ,dentera»
dans un autre sens que celui d'agacement des dents,
s~J~. V, idolâtrer, Bc. — C. à r. faire le seul que donnent Nebrija, Victor et Nunez.
une chose avec beaucoup de finesse, de délicatesse,M. - O> (pour noirceur, Voc.
~~B>-.- U.;-> consonne palatale, Bc.
~11,10, dans le sens de la Ve (Lane sous la Ire
à la fin); mais peut-être faut-il lire la Ve. (Pour ~<JL~) noir, Voc.
? VII, 75, )
baleine, Bc; — poisson du Ml,«sans écailler
f
1001 N. Bresl. 3.
et dont la chair n'est pas trop agréable au goût, à
cause de sa mollesse et graisse,»Vansleb 72; c'est
Gl.Edrîsî. le poisson qui porte aussi le nom de (voyez),
y -~rj! des regards langoureux, Lettre à Seetzen III, 275; — espèce de petite perche, Guyon
Fleischer 110.
- —
scinque, Tristram 406.— ':,;,
-•-
M. 228.
VII c. r. s'adonner à une chose, s'y appliquer sorte de poisson, Yàcout I, 886, 7. \::J,,:>
saumon, Bc. ~-4~J!
- la 24e étoile de la con-
stellation des Poissons, Alf. Astron. I, 83. —
fouet, son bâton, Kâmil 220,
nom d'un poisson que décrit Becrî 106, 7-11,
:
il le menaça avec son
15, 256, 14.
~j tendresse
~.cjjm amour paternel, Bc.
; commisération; ~p
nommé Hœst 298.
>
Xj~>-. J->J!
-
u~-* I.::JJ> baleine, Bc.
Xj~>- mollet de la jambe, Domb. 86.
67,
~,
5,
coM~'&~, en poésie pour arc, Abbad. I,
- Le pl. les objets qui servent à l'usage d'un
67, III, 28.
homme, ses ustensiles, ses meubles, Maml. I, 2, 138,
interjection dont on se sert quand il fait très-froid, M. Gl. Esp."133, M, chez Bc effets, meubles, hardes,
surtout hardes, habits, Vêtem. 303, n. 1, Gl. Esp.
II pêcher, Roland. 118, 1-3. Aussi: les provisions destinées pour la
(
•
cuisine et la table du prince, Maml. I, 2,
Joyau, bijou, Aie. (joya generalmente, joyas de mu-
138. - ;.,=-
basane, peau de mouton tannée pour la reliure'
mouton, peau de mouton préparée, Bc. )
ger proprias). — Jouet d'enfant, joujou, Alc. (trebejo îjjLs» ruey Bc.
— Village (de Slane),Becrî115,8.
de ninos). — Chose, objet, Bc, Ht, Barbier. — Les
femmes employent aujourd'hui ce mot pour pantalon, pl.
ij),.=>' cordouan blanc, peau de brebis pré-
- parée, Bc.
,iM.
M. tL>-~ ~JHe « j'ai une prière à vous faire,»
Bc. — &>L>-
;
Bc. — Assez, c'est assez .e~>.Ls" «j'en ai assez,»
sans avoir atteint son but, Gl.
~houri
- > Yoc., Bc, Gl. Esp. 287. — Chez. le
Edrîsî. — zéro, homme sans crédit, Bc.
vulg. pour
le magasinqui renfermait les provisions destinées pour a~-~. morceau de terre dont le sable est blan-
la cuisine et la table du prince; <J&~ ~L~- Vofficier châtre, M.
,
préposé à la garde de ce magasin, Maml. I, 1, 162,
,
~—c'- craie blanche, Hbrt 172, R. N. 52
I, 2, 138 (sur voyez sous le \:!J).
(Daumas MS) bourses (peau des testicules), Daumas
-
\::JL;:-L> v°;
V. A. 426.
~>-L=>-. Dans les Prol. -<:JI signifie les choses
indispensables, celles d'une nécessité secondaire, craie blanche, Hbrt 172, Bc. — Tuf, teno
et celles qui sont de luxe. blanchâtre et sèche, Bc.
Haoudja, le fruit du .J.u, R. d. 0. A. XIV, 162. *
f.S.J.=;-' On a formé cet adjectif de qui,
~j~- (vulg.) se trouvant dans le besoin, P. Prol. pris substantivement, signifie la meilleure espèce de
III, 378, 3.
1 CI
va-t-en! (de Slane), P. Prol. III, 431, 8.
ô~-~. II suivre, accompagner, Aie. (seguir acompanando). j~-~a axe de l'astrolabe, voyez Gl. Esp. 164.
3L>-«plante épineuse de la famille des chénopo-
dées, très-recherchée par le chameau,» Ghadamès 331 coquille, a aussi le pl. jL--e, Mehren 35,
!t~Li=~e,
(El-Had); anabasis, Prax R. d. O. A. IV, 196, VII, et ce dernier désignait en Egypte une sorte de poids,
déterminé d'après une coquille. De ce pl. on a formé
264; cf. Richardson Sahara I, 368, d'Escayrac 577,
Barth I, 265, 313, 591. à la manière vulgaire le n. d'un. SyLsa..»; voyez
nommée Bait. II,
La
.L~-~>- est la plante Payne Smith 1131, où j-tL~ et s-tL~ sont des fau-
383 b, où il faut lire ainsi avec B (A .!~>-). o î
tes. — a.L~a sous citicula, qui est pour
j~>- suite, Aie. (seguimiento).
cisticula.
<~ VI, c. y, faire usage d'un mot dans la conver- espèce
espècede
de kouskoussou
kouskoussou blanc et fin, Clierb.
Cherb.
sation, Abdari dans le J. A. 1845, I, 407, 5. ~endroit
,
1I,
--O - où il y
.J;;'"
O
a beaucoup d'arbres appelés
n. d'un. a, hêtre Voc. (fagus); orme, Aie.
(olmo arbol); peuplier blanc, Rauwolf 58, 111.
—
-,
,
lie, noir, Ztschr. XI, 478, n. 5. Bc a
aune (arbre).
plier), Bc.
)
unsing.,
- —!—>-J!
).J'::' et
celui qui vend les litières dites -JL—~-~t
Macrîzî, article sur les marchés.
16 (lisez
•l>r),
II
a otro). —
mites,Voc.
III
474,
, 1.
Dans le sens de j>,couper, Abbad. I, 111,
GI. Bayân, Auw. I, 433, 19, 461, 14, où
12 (man. L
a f.,
de Leyde
470,
6 (lisez
jL~u),
~«presque
~L~! j~—~
vo, - Bord. extrémitéd'une
était sur le point de cessera Djob. 52, dern. 1.;
t-~ mort,» 1001 N. Bresl. IV, 37;
« presque
»
fou,» 1001 N. Macn. III,
indiquer
d'une femme qui s'occupe des dé-
, - (j~-t
tails du ménage, M. ,. (j~>- frapper de lit
verna pour son propre compte). — --L-çu-.à 3 incom-
pressible Bc. , lance dans l'obscurité, Ztschr. XXII, 160.
II troubler, Aie. (turbar). — Voler, prendre fur-
VIII jLz---i o. séparer, isoler de, de Sacy
tivement, Voc. — Se promener, Bc (Berb.), Ht, Hbrt
Chrest. I, dern. être isolé, Akhbâr 28,
j
ville, J. A. 1844, I, 387; confinium, Voc.; tenimen-
tum dans la trad. d'une charte sicil. apud Lello, p. 9 264, n. 2. — Interj., 1001 N. II, 78, 9, où Lane
et 12, et p. 19 juridiction territoriale. — Enceinte, traduit loin d'ici! Ce sens convient aussi dans les
Lello 9. — Vignoble, Aie. (pago passages Bresl. IX, 280, 281, mais non pas dans
de vinas o vinedo, vinadero lugar de vinas).
dans le sens de ~L\—> £
£ - Bresl. IX, 199, 2, où l'éd. Macn. a L.~i Dans
183, 7, 184,
=
185.contrée, district, territoire, Rutgers
KAM~
--j
la suite d'un homme, M.
en Mésopotamie, nom d'un arbre, Bait.
voyez sous jxxée. I, 275 g; leçon de A; dans B la première lettre
;, CI.
banlieue, Prax R. d. O. A. VII, 170. est un djîm.
Lri>-- voleur. Aie. (robador), Djob. 303, 20, l'a- ~<* populace, Bc; dans le M c'est un ramassis
d'hommes de différentes tribus ou de différents pays
..CI..
X~&. arrestation, détention, recommandation, op.
position & la sortie d'un prisonnier, faite à la requête
rôde autour des troupeaux, Ztschr. XXII, 160. —
de quelqu'un, Bc. — Amende pour une gageure, Bc
Voyageur, Martin 64.
)-o£
~J~~! coureur, léger à la course, Ztschr. XXII, 160.
/~L~ dans l'Agriculture nabatéenne et dans les
CI promenade, Bc (Barb.). passages qu'en a copiés Ibn-al-'Auwâm (p. e. II, 47
~j~~-~J
X~u~aJ
~CI promenade, Ht.
f. (Macn.
IVe volume de son édit. des 1001 N.; ajoutez Bresl.
178, 6, mais c'est peut-être le passif de la IIe forme.
IV, 61, 7, IX, 212, 4, 235, 2a
Macn. I, 398, 11.
II c. a. et V dans le Voc. sous aureola orti.
U:O;';',
O
II trouver, retrouver, Bc (Alep). abreuvoir; c'est un bâtiment supporté par
VII c. ~J,' se joindre à quelqu'un, lui être obéis- des colonnes de marbre; voyez Descr. de l'Eg. XVIII,
sant et fidèle, Voc.(accedere), Abd-al-wâhid 138, 4 part. 2, 339, 340. — Bassin, cuvette, baquet, Gl.
a f., Bayân I, 282, 7, Cartâs 54, 12, Berb. I, 44, Fragm., Amari 303, 2 a f. — Baignoire, Bc, Wihl
192, Gl. Bayân (le passage de Bat. qui y est cité,
47, Cout. 2 rO, en parlant des fils de Witiza: LJLâ
se trouve dans l'édit. II. 106). Chec. 217 vO: ~l-Iî*
>,
VIII c. ~J.' se joindre à, Voc.
enclos, cour; comparez avec Lane Maml.
1, 1, p. vu et suiv., et Descr. de l'Eg. XVIII, part.
Grande contrée qui a la forme d'un bassin entouréde
montagnes, Barth V, 544; bas-fond enceint de dunes,
Ghadamès 128. — Catafalque, Djob. 194, 7 = Bat.
2, 297-8: «vaste cour fermée, sur le derrière, de 1, 264; ce que chez ces voyageurs est un {joys-, est
certains groupes de maisons; on n'y passe point; les un catafalque chez Burckhardt Arab. II, 173. —
immondices y sont déposées; on y rassemble les cha- Fossé fait autour d'un arbre pour y retenir les eaux,
meaux et les animaux malades, et les plus pauvres Aie. (escava de arboles). — Carreau, couche, planche,
habitants y demeurent dans des cahutes;»
~z^ basse-cour, Bc; —~3~9—c.(J~-~ la cour du roi
~u" - dont les bords relevés facilitent la retenue des eaux
dans les irrigations,Voc., Aie. (era de ajos o cebol-
Pétaud, lieu de confusion, Bc. — Dans le Hidjâz, un las, era como quiera), Auw. I, 128, 1 et 151,33,
khan, Maml. 1, 1, p. VIII. — En Barbarie, ferme, mé- et suiv.; fosse dans laquelle on plante, p. e. la ga-
tairie, Bc, Daumas Kabylie 316, Bàrth I, 37, 47, rance, Cherb. Dial. 17. — Mesure agraire, dont la
Maltzan 150. — Cloître, Breitenbach 115 vO. — Mai- surface est de douze coudées sur quatre, Auw. I,11;*
— Nom que porte, dans le Sa'îd, la machine
son, Ten Years 365. — Château, Werne 16. — Réten- hydrau-
tion, t. de palais, réserve, Bc. — Haro, clameur pour lique appelée ~J~L~, Descr. de l'Eg. XVIII, part.
arrêter, Bc. — Tonsure, Ztschr. XVII, 390; mais 2, 543. — Outre, peau accommodée pour mettre
d'après le M c'est au contraire la touffe de cheveux l'eau, Gl. Fragm.
a < )
qu'on laisse sur le sommet de la tête ~(x#i ~t.?P le bassin, la partie inférieure du tronc
~<~~). - Pacant, manant, Bc. humain, Bc.
_bt~ -~~ I,
dans le sens de prendre soin de, se
et
construit avec ~-&, Gl. Edrisi. — C. ace. entourer
(en parlant d'une muraille qui entoure une ville), GL
~& Xh»-» ~ce x'
«au-dessus des forces, de la
C.
IV c. mettre des limites, Bc. —
~V_Jcirconscrire,
~JwCou ~*-», saisir, confisquer, Maml. I, 1, 52, de
~> Vemploi de -b~-c~ (voyez), et aussi son
salaire, M.
~UU ..bl>',
Sacy Chrest. I, If, 7. — non-seule- - et. , (petite
~Xbjy>- muraille) tas de pierres surmontéde
ment comprendre, mais aussi prendre connaissance de chiffons en forme de drapeaux sur les tombes de ma-
quelque chose, Bc. rabouts auxquels on n'élève pas de cobba, Colomb 16.
v ~j;, A--5r*
- dans le Voc. sous paryes et sous cir- -b~&. dans le Voc. custodire.
sous aALJî
—
~J?
cumdare. celui des habitants d'un endroit qui est chargé de
VI entourer, 1001 N. Bresl. II, 184, 2. lever l'impôt, de loger les étrangers, etc., M.
VII dans le Voc. sous circumdare. J:u"\:> battant (chaque partie d'une porte qui s'ouvre
VIII c. ~J p. arrêter quelqu'un, le faireprison- en deux), Gl. EdrisI. — Littoral, Gl. Edrtst. — Dans
s»+ (voyez) ou ~,WL>.,
w A~CI
le sens de ..h ~m Macc. II, 711,
~&,Lu^b'iA>î5; c.
—
626,
~UJic
~jo
~Je r. saisir, confisquer, Maml. I, 1,52.
~oï
J~!,
~jJ»?
CII
Burton II,
citadins et vil-
113, Descr.
1
d'une cobba.
~)*OÎ
plus à portée, Macc. I, 245, 5.
Xhjj.-qJ maisons (ou tentes) rangées
en cercle, M.
de l'Ego XII, 31.
> chez les traditionnaires, celui
IaA"guo, qui connaît
- C.
G«•
c
~K~~-,
comme nom d'act., protéger, Bat. I, 410.
les précautions que l'on prend pour s'as-
surer d'une personne ou d'un objet qui se trouve sous
cent mille traditions, M.
Xi~-~~ .,
la main de l'autorité, garder à vue, saisir, confisquer, mur devant la maison, M.
Maml. I, 1, 51-2, Nowairî Egypte 2
m, 127 vo: ~J~ 1 dans le Voc. sous precipitare, L in preceps
-
Le chef du bureau des biens confisqués au. profit
de
l'Etat s'appelait olkjiL ~-~, Catal. des man. or. de traduit Bargès, J. A. 1843, II, 223. — Entretenir
Leyde I, 154, 6 t. a.
— Jardin de palmiers, Burck- quelqu'un, lui fournirles choses nécessaires à sasub-
hardt Syria 662. sistance,M.
0 --
Edrlst; le précipice au midi de Santarem, qu'Edrîsî - ~O- tisserand qui fabrique des haïks, Cherb.
~J~—&.
, nomme une ~:üL> et dans lequel les Maures avaient
la coutume de précipiter les condamnés à mort, porte tisserand en coton et laine, Roland.
encore le nom d'alhâfa (Sousa, Vestigios etc., p. 47
, éd. Moura, Santa Rosa, Elucidario, V° alhanse; l'éty-
mologie que donnent ces deux auteurs est erronée). de tissu à jour, Aie. (randa).
Ajoutez:Voc., Ht, Hay 89 (où il faut lire haffeh,
;
au lieu de haffer) cf. Tobler, Nazareth in Palastina,
p. 287. — Rocher escarpé, Gl. Edrîst 290 et 388,
Voc., Berb. I, 280, 9, 306, 5a f.
(=Khatîb 114ro,
d
~OjL- faiseur de filets, Alc. (redero que las texe).
*137, 21.
~O
navette, instrument de tisserand, Macc. II,
~U et I,
dans le sens de changer, v. n.; on
dit proverbialement: ~JLs- ~Jllt, ~JlA JLU, dans le sens
~Lcf bord, rebord; >- de: j'ai perdu ou dépensé mon argent et la fortune
",:-,1.;.:{ ~XA$L
,
Guigner regarder
Guigner, regarder du de l'œil
coin de
ducoin entr'ouvert;
l'œil entr'ouvert;. — Traduire d'une langue ~(0" ou ~if) en une autre
,
~(JJ) Gl. Badroun, Gl. Belâdz.
— En parlant
d'un
~»JLA-», : bornoyer, regarder avec un seul œil pour maître et de son disciple, faire passer d'un chapitre
,pl.
aligner, Bc.
r V être tiré, aligné au cordeau, Voc.
t~ +O+
enclos
O ~«m
00
enceinte, L (claustra).
~-s~ cordeau, Voc., Aie. (plomada
para reglar),
Ic. Charrier, voiturer, Bc. — Faire dériver des eaux,
p. guigner de Vœil en regardant quel-
,
Bc.
Mettrepied
Détourner, soustraire avec fraude, Bc. —
& terre, descendre de cheval, V-.JJ' ~Oc,
quelqu'un, tourner autour du pot, user de détours
tournoyer, trigauder, sophistiquer, tergiverser, Abou-
,
Bc, M. - Transmettre, céder, faire passer sa pos-
session, ses droits à un autre, transporter, céder ju-
ridiquement, Bc. — Déléguer, assigner des fonds; c. C. a. p. désirer, rechercher Vamitié de quelqu'un, GI.
assigner, placer un payement sur un fonds; ~>. J~ a
Edrist, Macc. III, 50, 1.
— C. a. p. chercher à nuire
donner une assignation à quelqu'un sur, Bc. Dans le à quelqu'un, Gl. Edrist 291 et 388, Macc. I, 658, 16.
~W, — Chercher à gagner quelqu'un, Berb. II, 216, 11:
Fakhri 192, 7, la constr. est c. a. r. et ~Jn p.:
un autre héritier, ou
à son défaut, Bc. - ~>3 ~J
V.^ÂX^JÎ
O ~-
,
Sacy); cf. Bat. III, 436. — Transférer une cré- ciens alliés); je crois à présent que ce verbe a le
; ance (à) à (acc.) une autre personne, Bat. III, 441. même sens Bayân I, 240, 11. — C. ~c dans le Voc.
sous substituere.
au fil de l'épée,» Amari 378, 4, correction de Flei- ~Jl>. Chez les Motazelites
et chez quelques doc-
teurs de l'école acharite le terme états, dési-
Détailler, Roland. — Le sens de ce verbe ne m'est gne les universaux, de Slane Prol. III, 158, n. 1.-
Synonyme de ~JL-o, argent; le pl. richesses,
Lettre à M. Fleischer 222; ~aï ~JL>- ¡) ~lJ1 «ceux qui
~,
sont sans ressources,» Bat. IV, 273. — Pl. ~oîet
extase, Djob. 286, 21, Prol. I, 201, 1, 2 et
6, II, 164, 1, Bat. III, 211, Nowairi Egypte 2o,
<
cours prendra cette affaire, » Bc. — Ce verbe s'em-
ploieen parlant de marchandises que l'on fait sortir
~&Lïz ~if
~<jLs»
-
&>->!. Temps, disposition de l'air (Barb.),
d'un navire pour les transporter ensuite par terre, Bc; beau temps,» Hbrt 163 (Alg.).
«
Maladie grave, M.— Berceau, matrice, Prol. III,
-
ou de personnes qui quittent le navire pour continuer
leur route par terre, Gl. EdrisI. — Voyager, Abbad. 222, 13, selon de Slane; mais la comparaison de la
;
II, 162, 2 a f., III, 222, Haiyân 95 V° (bis), 98
vO. — C. ~if quitter, Berb. I, 438, dern. 1. — C.
1. 15 me fait douter de cette signification. - ~jL>
; r.
finasser, s'intriguer, ruser; c. ~& p. circonvenir, en-
jôler, pateliner c. s'efforcer, tâcher
s'ingénier, chercher dans son esprit des moyens de
; avec d'abondance, sans préparation;
livre ouvert, Bc. - ~àUi. ~o-ou
y ~os,
r-=:-.? traduire à
changer de visage,
succès, Bc. pâlir ou rougir, -
Bc. — ~31 ~IXJU ~SUs- peu à peu,
VIII, dans le sens de machiner contre quelqu'un, Tha'âlibî Latâïf 50, 4 a f. — ~WL> aussitôt que,
ne se construit pas seulement c. ~c, mais aussi c.
J p., Gl. Belâdz., Bidp. 10, 5af., 229, 10. — Dans
Bc. — ~Jl> combien (Barb.)
lorsqu'on donne le prix (Barb.), Bc. —
; JL> ~(jàL combien,
~JL> ~J,1 ~r;\)
le sens de chercher le moyen de, c. J r., Gl. Belâdz.
On dit aussi ~J
~JL~s~< « ils tâchèrent de cacher
Freytag Chrest. 52, 2. — ~JLïp. comme (Barb.), Bc. —
JLàl., comme
«machiner la perte de quelqu'un,» Bc. — C. à r.
JI..> ~(JJÏ quelquefois, Auw. I, 39, 5.
—
trouver un expédient pour, Bat. II, 331. — S'emploie
en parlant de celui qui touche l'argent d'un mandat, «s'il est homme de bien, comme en effet il l'est,»
Bc. Aussi: cependant, mais la vérité est que, P. ~e.
Y. d. Berg 124, n. 1.
~-X-c~
# • ~O dans le Voc.
sous mutare. — En parlant «ils se ressemblent en apparence, et cependant il y
d'animaux, mourir, Voc. a entre eux une différence bien grande Bc. ,» -
~jû à ~lÛ*
~"J U « il n'est pas on état de se lever,» Afrique, couverture de laine oblongue, do
igynonYM07
~pCi
- ..,Jl> coi, tranquille; ~,JI.:> J. ~.X" «se tenir barracân et de haik, Defrémery Mémoires 155, Ri-
I,
sur fait,-
coi Bc. (1. ~v5^ à en flagrant délit, chardson Central II, 151, le même, Sahara, 51,
le
90,
-
—
Bc. ~J>il ~KcLw ~j,
aussitôt, Bc, Koseg.
èJ ~^yb La n'en pouvoir plus,
433 n., II, 126, Ztschr. XII, 182, J. A. 1861, II,
370. A Constantinople on donne le nom de v^j—>,
~Jlcadresse,
Chrest. 8.
J.,l> ou ~4LO, dérivé de ~,l>,«l'état du drap, lors-
;
Bc. — lettre à un supérieur,
pétition) Bc. -
~Jlll. ~oW langage muet, gestes, re- qu'étant neuf il est couvert de poils,» à un court
~JLll. ~o il est tard (Barb.) ~U essuie-main de coton qui est velu d'un côté, Ztschr.
gards, Bc. —
~J:.JL il n'est pas tard (Barb.), Bc. - ~((jM) <~a-A.~ IV, 392. J'ignore s'il faut dériver le mot africain
..9Jl:> comment vous portez-vous? ~5Ï J. il ne a5Ls» Lo de ce terme turc, ou bien de ~-
dans le sens de
se porte pas bien (Barb.), Bc. « mouton. »
~»»cajoleur, patelineur, Bc.
~-~~ alentours,
AJJI ,«que
~Ç'
banlieue, environs, Bc. - ~.t— w, ~9rusé, astucieux,
J~j~ Aie. (artero, manero o ma.
~a111 !» c.-à-d.
t'entoure!.
que le nom de Dieu t'entoure c.-à-d. noso). — Artificiel, Aie. (artificial). — Ingénieux, Aie.
(ingenioso cosa de ingenio), surtout en parlant d'un
«que la puissance de Dieu te défende!» 1001 N. I, architecte, Aie. (engenoso para edificar). — Ingénieur,
841, dern. 1., cf. la traduction de Lane I, 327, n. 65.
— Artiste, artisan,
Aie. (engenero). Aie. (artista en
.~J~—~ garnisaire, homme
en garnison chez un oficio).
débiteur, M. alambiqué, trop subtil, trop raffiné, Bc.
~«jjLs?
—
A contre-poil, à rebours, Aie. (apelo o pelo ayuso
jjt~. ~PL, .tj~. vestige presque effacé, Gl. Edrisî.
~O
«» ~L
- En chaleur, en rut, Bc. —
JJL&- écran, Bc.
.JL.ill
~XUL-> laine de deux ou trois ans, Hœst 272.
apospelo, reves); yjjjàJ
(papa arriba, cf. Victor).
le ventre en haut, Aie.
1
pluie loin du mur, Aie. (ala de tejado).
:;!".J'
j
..1",. élastique
~O4»
« «•
~a élasticité, ressort, Bc.
changer de religion, Cartâs
J~j~J
Cartàs 12.
223, —
III c. a. et
seul,tour-
ner autour d'un sujet (deSlane), Prol. I,65, dern.1.
- ~n dans le Voc. sous conari.
bande d'oiseaux qui volent, Bc; «voir,
~&A*-- volée,
rier; salaire du voiturier, Bc. — Revirement, t. de au moment du départ pour la chasse, une haouma,
banque, Bc. - J~-s-\j ordre, cession, trans-
port d'une lettre de change, Bc. - 9.
Moyen d'échap-
réunion de corbeaux qui décrivent en l'air des cercles
concentriques, — excellent présage, signe infaillible
per à un danger, Cartâs 191, 3.
louche, Gl. Mosl., Aie. (entortadura de un ojo).
- = J,..:> » être
de succès,» Margueritte 214. — Quartier, partie d'une
ville, Bc (Barb.), Hbrt 187, Ht, Domb. 97, Prax R.
,
d. O. A. VI, 275, Cherb. Dial. 98, Bayân I, 279,
.~JL~—~-t dérlvatif, qui sert à détourner les hu- 2 a f. (corrigez le Glossaire), Macc. II, 45, 14, Car-
tàs 15, 7 et 8, 103, 15, J. A. 1843, II, 220,1.2,
> - meurs, Bc.
~i3L^,
en parlant du le tire-corde, Descr. de
l'Eg. XHI, 309.
~AJLs" absurdité, Bc.
..0
absurde, Djob. 298, 17.
v-jj—presqueeffacé (vestige), Gl.
','
~Cd
Edrisi.
oui est appelé aussi
tj~J~X:!jS; dans une troisième IV. De môme qu'on dit s^Loit à * 5 le
L^l,o
elle
confondu de toutes vos bontés, » Bc. — Le vulgaire
,
II et V dénom. de ~,l> (voyez),Voc. sous efemi-
natus.
tus; voyez
£
sous ce mot,
= ,1.:>
*
I
dans le premier sens que j'indiquerai
Payne Smith 1184 (= - iXuu^vo•).—
l'expression J-.à- 4 ,
«
Zaid lui-même, » etc., voyez
Mufassal éd. Broch 41, 5 a f. et suiv. -
; X.
Seltra Lane, qui cite Cazwtnt, la constellation dite
Aie. donne sous satiriones yerva: hay cuymêit, mais
serpentaire s'appelle ~~-~ Cette leçon se
c'est une faute ou une corruption; il faut
trouve en effet dans quelques man. de cet auteur
(voyez l'édit. de Wüstenfeld I, 33, n. o), mais d'après '-=',;J", ophrys ciliata Biv.; cette orchidée des tu-
a
d'autres Wüstenfeld (ibid., 1. 14) a fait imprimer
bercules à la racine; il ya le
tubercule vivant et le
de même chez Dom 49, Alf. Astr. I, 13: tubercule mort; selon les Arabes, le dernier frappe
venator serpentum, en arabe alhace (sic) valhaya, 41 d'impuissance celui qui en mange, tandis que le
alhoue alhaye. premier a une vertu aphrodisiaque, Prax R. d. O. A.
~}b non-seulement psylle, celui qui attire et manie VIII, 342. — ~)b ~Ls>" joubarbe ou jombarbe (plante),
les serpents, mais aussi sorcier, Hbrt 157, joueur de ;
Bc; — algue, fucus, varec, Aie. (ova que nace en
el agua) — lotier corniculé, Prax R. d. O. A. VIII, 348.
sens de ver (Golius), p. e. £ ~oLJL
gobelets, escamoteur, Bc. — Pl. catamite, Voc. ~u~, dans le
(efeminatus), Aie. (puto que padece). — ~r.#' sbJ~,
~e-
J. A. 1853, I, 347. — ~J!X~- anguille,
encyclopédie, Bc.
(^5^- II. On dit ~(j*Lxj s - quand on parle de celui serpent, voyez Niebuhr B. 167. — Aùy-** ~4> oy
qui boit à la santé d'une autre personne, en se ser.
vant de la formule ~aM «que Dieu vous donne oIa>» anguille, Bc.
une longue vie!» Aussi c. '-:-' r., souhaiter une chose
~»LÂ>. je vous en assure, en vérité, Bc. -
367—8.
— Suivi de
g)vL«jU ,
à quelqu'un, quand on boit à sa santé, Abbad. I,
-
biens meubles, Barth IV, 454 n. — Ce mot doit avoir
chez les alchimistes un sens spécial, Prol. III, 199,
2, où de Slane avoue qu'il n'en connaît pas la signi-
fication. — (j<~-~ ~Lj!~ semble désigner cinq sortes
,
Chrest.
~C
II,
<AAS»»Îpl.
1o, 3 a f.
s>
Bc, Hbrt 44.
~- ~?)' chez les médecins, voyez le II embarrasser,empêcher, Aie. (enbargar
passage du Gl. Manç. sous
Go»
<-~
—X~t~j~ sen- estorvar, _,%-e> enbaraçado, et oeupado por lugar en-
estorvar,
sualitas,Yoc., c.-à-d. (voyez Ducange) la faculté de baraçado, impedir). — Surcharger, fatiguer l'estomac,
senUr. donner une indigestion, Aie. (enpachar el estomago).
..y!~" pl. animalcule, Bc. Y être dans l'incertitude, irrésolu, Bc, êtreen
s'abrutir, Ht. suspens, Bc, Hbrt 44.
VIII être perplexe, stupeur, de Sacy Chrest. II,
Lç^°.
mo0* &JLJ,
,(8" la nuit de la vie, est chez les
11,
en
8, s'embarrasser, hésiter, Bc.
Chiites le 27 du mois de Redjeb, Bat. I, 417.
Mhhaya, eau-de-vie, Daumas V. A. 298. —~->- forme au pl. ,L~&-, Gl. Belâdz. - Dans le
Broch 70, 3.
~QÎ
y
étant;
-comme, puisque, ou que; J1
~±~=~ comme, en tant que; dès que, puisque;
(121)
~e.~-
~~c-~.
=
—L>-J!
~~>-, Most. sous (~~o. - On trouve
t
t'-~~ chez 'Aïachi, ce que Berbrugger
traduit par «une mine de verre noir,»
en ajoutant qu'il ignore ce que cela signifie.
.-~
>
est dans Bidp. 270, 4,
qui est
balance, irrésolu, chancelant, embarrassé, éperdu,
mais
en
in-
cr- en ce cas, Bc.
KA£A>- certain, Bc.
point de vue, Weijers 55, 5 des notes, cf.
~;iL:> irrésolu, Ht (chez lequel il faut lire ainsi,
195, n.354.
-
1
,/
au lieu de ~jjL>). Fainéant, Daumas V. A. 237.—
iX»N 1 c. QX; se démentir,s'écarter de son caractère, Dans le sens de réservoir, étang, le pl. }!,.:>, Berb.
Bc. — C. est dans le Voc.cavillare; mais puis- I, 413, 11 (1. 13 lisez 414, 3, II, 400, 14,
qu'il donne ~if ~c!. comme synonyme, il semble que car c'est ainsi qu'il faut lire dans ces trois passages.
c'est cfzaL--- dans le sens ordinaire, se détourner de. - Clôture, mur, Gl. Belâdz.
hameau, ibid.
-
Enclos, jardin,
II mettre de côté, M.
IV c ~QÊ dévier, écarter de la route, Bc. ji~jf
o suspension, fig. de rhétorique, Bc.
VI c. a. vulg. pour III, M. ~-~~< mode de musique, M.
.F;\.,;J jardins, l'anonyme de Copenhague 101, où 8, 542, 5. — Piller un pays, des ennemis, ravager
un pays, Lettre à M. Fleischer 33.
il est question d'une grande réjouissance:
~àl
~x> chez Chanfarâ, dans de Sacy Chrest. II, «c'est dommage de nous être donné tant de peine;»
Irv, 1, cf. 360, du t. ar., où de Sacy traduit
1. 1
NlfrU ,LA--e par: «âme sans énergie que les ténèbres
«quel dommage que je n'aie pas accepté l'orh 1001
saisissent d'effroi.»
~»étang, * étang, Diw. Hodz.
1-lodz. 190, VB.
vs. 46.
N. Bresl. IV, 328, 2 et 4.
~.ÏL~ voleur nocturne, Ztschr. XXII, 103, n.38.
4~~ I, c. à p., en parlant d'un poison, pénétrer dans
jjiup". pour~(jiy>
O (voyez),forêt. - - (voyez).
~uSuLs»
— Pour le corps, Badroun, notes, 67.
X~~- balle, Bg. II assaisonner, Bc.
;
Xj~~>. voyez sous JJSÀJLS»». UL;-- assaisQnnement, Bc.
(j~ V être en fuite, en exil, Berb. I, ~.u~~ II tisser, Hbrt 78, Bc,
598, 2.
~,pi.~L~ tramer, Bc.
(Cherb. Dial. 225), et gULs», en
|»l^ls>
zinc
~~ûL~
;
~(099) rabbin, Bc.
,
époque un vice trop commun parmi les Arabes, pour wt-i» artichaut
sauvage, plante qui sert de nour-
qu'ils se le reprochassent les uns aux autres. M. de riture aux chameaux et aux vaches, Burckhardt Sy-
Goeje m'a fait remarquer que c'est bardache, et que ria 281, 333.
~q1§L> .~j! a reçu ce sens, parce que les jeunes Turcs,
les fils des khâcâns, qu'on élevait à la cour de Bagdad, ~- synonyme de c.-à-d.: une pièce d'étoffe
servaient à satisfaire les passions infâmes des seigneurs dont les femmes se servent pour couvrir toute la tête,
de cette capitale. Cette explication est sans doute la sauf le milieu, la figure et les deux côtés de la poi-
véritable; comparez p. e. ce qu'on raconte au sujet de trine, et qui a deux trous à l'endroit des yeux, Ibn-
as-Sikkît 526. — Sisymbrium polyceraton, Bait. I,
217 b, 348 b; — ormin, Bc.
--
phrase manque dans Boul.- et l'édit. de Habicht ne
donne pas cette longue histoire.
VIe siècle de l'hégire. Ce mètre se compose de ces
pieds:
Voyez Abd-al-wâhid 213,
Abdart 25 v°, Abou-Ham- 1 e. ~J& dans le Voc. sous callidus, c. à et ~ja
ibid. sous dolosus; c. ~Jjt p. se servir de ruses A l'é-
mou 5 et 10.
gard de quelqu'un, Ztschr. XX, 509, 13.
~Us, vulg. c.s:>, II enterrer, Bc. II c. a. dans le Voc. sous callidus et dolosus.
IV cacher, céler, Gl. Fragm., Voc., Aie. (asconder, V dans le Voc. sous dolosus.
esconder). — Refuser, Aie. (negar lo pedido). VI dissimuler, Prol. 111, 265, 15.
V se cacher ou être caché, Voc., Bc, Ht, Macc. VII c. ~Jtc et j,
dans le Voc. sous callidus.
I 161, 2 (cf. Add.), Payne Smith 1530.
~-~o
o dissimulation, selon l'explication qu'on trouve
VII être caché; <~-~it ~Ue connattre le dessous
de ce mot Prol. III, 265, 2. — Hypocrisie, Bc. —
des cartes, Bc.
Goguenarderie, mauvaise plaisanterie, Bc.
VIII conserver, mettre en réserve, Gl. Fragm.
X cacher, Aie. (solapar). — Se cacher, Gl. Fragm., ~6. 7 dans le sens d'impuretés, forme au pL
Aie. (esconderse), 1001 N. Bresl. VII, 15.
jarre,
~-C# J'a"re Yoc,
V oc.
~ÔUJM, Voc. — Calliditas dans le Voc.
~h-A- .:.. hypocrite, Bc. — Goguenard, mauvais
>
»!*£ cache, lieu secret pour cacher quelque chose,
;
les de la constellation dite le Cocher, Cazwînî I, 33, 8. désir s'appelle ~çLàil, de Slane Prol. III, 265, n. 1.
~4e. Le pl. ~ÓLS' jarres, Gl. EdrisÎ.
!UL.-.e
officier que les princes tenaient dans leurs chefs-lieux
cache, lieu secret pour cacher quelque chose,
cachette, niche, réduit dans un appartement, une mai- d'arrondissement et qui était chargé d'informer le
souverain de toutes les nouvelles tant soit peu im-
son, Bc.
foui, M, Bc.
- o » pl. t~L~*,
Vulg. pour ij4-<\A, trésor en- portantes, de lui annoncer tous les étrangers qui ar-
— Trappe, piége dans un fossé, Bc. — rivaient, etc.; cette fonction était souvent remplie
-V.UitfV-JL trappe, sorte de porte au niveau du plan-
par le maître de poste; voyez les auteurs cités dans
cher, son ouverture, Bc. le Gl. Fragm., Maml. I, 2, 94, II, 2, 89, Fakhrt
passim, Nowairt Afrique 44 ro, en parlant de Temtm ~:' II cuire, faire du pain, Voc., Bc.
"':
9-*—>. !'t~>' ~J'
connaisseur, expert, Bc. (Esp.
cobre) cuivre, Inventaire: un des créanciers reçoit
- nage, Maml. I, 2, 159-161. —
i:,:::.,L»,.j-+>
voyez
-x~> ne se construit pas seulement avec ~j, mais ou de Valence ~(^Lgj), Bait. I, f;
pastilles =
181 —
aussi avec ~j., Bc. — Guide, le guide principal de la ~AUï u~~j-st (du nom dudit fruit), Sang.; — le M
«l'entente est »
au diseur, Bc.
sous ~-f-\J!
~.p boulangerie, art, métier de boulanger, Bc.
Fragm. s.~- morceau de pain, Bc. — Fournée, le con-
K~L-c"~! secte des Imâmtya, M. tenu d'un four à pain, Bc.
~y.:i- est employé par le vulg. comme n. d'act., M.
w
-A--gA avant-coureur, Bc. — Gazetier, Bc. ~p? dimin. de r~>,
O•> Gl. Belâdz.
( y s.L—~- boulangerie, art de boulanger, Aie. (pana-
j~-~-~L~, dont on a fait l'épreuve, c.-à-d. qu'on a
, trouvé bon, Prol. II, 347, 17; mais je ne sais si ce deria arte dello).
mot a aussi ce sens dans les 1001 N. Bresl. III, 385, a-j~> pain mollet, Aie. (bodigo).
,
7, où il est question de poulains.
,
<L~L~! examen, Aie. (esamen).
- Question, tor-
caduria).
montre, échantillon, Aie. (muestra de mer-
,-,)4>.
S-~-~
~¥' ,-,)4> malvaarborea, et avec mak-
ldba, malva sylvestris maior, Pagni MS.
mauve, Voc., Bc, M; une grande espèce,
qui vit fort longtemps, s'appelle X~j~ "TA~-~t M.
•JLJÉUJ* boulangerie, lieu où le pain se fait, Bc,
Payne
Smith 867. — Boulangerie, art de boulanger,
de figue, Auw. 1, 88, 4 a f.
Aie. (panaderia arte dello). — ~LItU~ ~r< paneterie,
lieu où l'on distribue le pain chez le roi, Bc.
« y boulanger, J. A. 1860, II, 371. de gelée composée de moût et de farine, compote, Bc;
del'amidon et de l'eau avec du raisiné, cuits ensemble
1 égratigner, Hbrt 36; n. d'act. <ji.L~,
* Domb.
jusqu'à la consistance d'une gelée, Bg 266. — Rap-
134. sodie, mauvais ramas de vers, de prose, Bc.
u
II égratigner, Ht.
gale, Ht. - ;
uo41> brouillon, remuant, tracassier, turbulent,
,
Bc. inconsidéré, étourdi, imprudent,
Homme M. —
(jojck. 1 c. y appliquer en guise de cataplasme, Bait. JRapsodiste <~-j~ écrivailleur, écrivassier,
mauvais écrivain, Bc.
~O «r bousillage, ouvrage mal fait, Bc.
~~J~-~e médicament qui a été mêlé ou pétri de la
raisins,aussi à la IIe forme, M. — Em- manière dont on mêle la gelée appelée Gl. Manç.
p. e. des
barrasser, rendre obscur, embrouillé, embrouiller,
;
Faire des cochonneries, Bc. — Gargouiller, Bc. — par Vautre les deux mains, en signe d'étonnement
,
En parlant d'un malade, prendre ce qui lui est nui- ou de frayeur, 1001 N. III, 475, 13; — battre,
,
sible, M. - ~JS\ manger salement, Bc. - • remuer le lit, Delap. 71; — c. heurter
JajQL £ « donner de la tête contre un mur,»
~Jn.*
droguer, donner trop de médicaments, Bc.
barboter, marcher dans la boue, patauger,
-Bc,<j~~ £
Ht. —
Bc. — Fouler, donner un apprêt aux étoffes, Bc. —
?)
Déranger (ou déchirer ses habits, 1001 N. I, 114,
<~L~ à parler mal, incorrectement, Bc. 5 (= Bresl. I, 283, 2af.). — Jeter par terre, L
~;
« brouillamini, désordre, embrouillement, remue-
ménage, dérangement de meubles, tripotage, Bc.
(elido (prosterno) ~£^3
-
sous elisus il a ~JaJàL**).
qui est pour
Blâmer, reprendre, Ale.
(castigar renir). — Se tromper, Macc. II, 115, 5 (cf.
Add. et corr.); Fleischer, dans sa note manuscrite
X~~>-
- pâté, choses mêlées, pot-pourri, mélange de sur ce passage, cite le commentaire de Maidânî sur
viandes,légumes, etc.; au fig., discours mêlés, mor-
le quatrième proverbe de la lettre Elif:
r-
s .,. ~îiX-
~°
ceaux sans ordre, salmigondis, mélanges confus de
diverses choses, Bc.
— Chaos, confusion,
courduroi
Pétaut, maison pleine de confusion où chacun com- en publiant ce texte (J. A. 1838, I, 5), a fait im-
mande, gdchis, Bc. — Imbroglio, intrigue, embarras primer la Ve forme. — Se débattre comme un animal
fâcheux, Bc. à
— Tracasserie, rapport qui tend brouil-
égorgé, Bc; —pantelant, qui palpite étendu
ler, Bc. Cochonnerie, Bc.
— sans connaissance, Bc; 1001 N. II, 33, 14, en par-
lant d'un homme qui avait été jeté dans la mer:
(j~~>. forme au pl. ~».*>{, Gl. BelAdz., Payne
Bresl. III, 356, 12 et 13, XI,
- 1
Smith 1182. Expliqué de cette manière dans le Gl.
170, 5 (où Fleischer a fait imprimer Ja~., à la Ils
forme).
1
U battre, 1001 N. Bresl. IV, 16, 10; battre à la descompostura, desalinar, desconcertar, desaparejar pof
porte, frapper, Ht. — Fouler, donner un apprêt aux desataviar, desigualar lo ygual), des fils, des ha.
étoffes, Bc. — Se tromper, Bait. II, 450 d: liXJ1)
bits, etc., Fleischer Gl. 64, Ht; J~*, en par.
lant du corbeau qui, en essayant sans trop de succès
d'imiter la démarche de la perdrix, avait presque
oublié la sienne, de sorte qu'il marchât d'une manière
embrouillée, Macc. I, 701, 14; — au fig., déconcer.
ter quelqu'un, démonter, interloquer, embarrasser,
V se remuer, Daumas V. A. 87, se dlbattre, ibid. étourdir, cauter de l'étonnement, troubler, étonner,
500, Muller 30, 7. — Se tromper, J. A. 1838, I,5,
,
intimider, Bc. — Désaccorder un instrument de mu-
sique, Aie. (desacordar en sones). — Tourner, retour-
ner, Aie. (rebolver). — Débrouiller ce qui est confondu,
mêlé, Aie. (desenbolver, desenboltura de lo enbuelto).
V dans le Voc. sous turbare; = J<-~-~,* y - Payne
(On trouve aussi ce verbe 1001 N. I, 94, 1, mais Smith 1177; perdre la carte, se troubler, se confondre,
c'est une faute; il faut y substituer -- se brouiller, se troubler en parlant, perdre contenance,
comme
dans l'éd. de Bresl. I, 240). se déconcerter, s'embrouiller, être étourdi, perdre la
tramontane, Bc, 1001 N. I, 806, 16. — Sur l'ex-
VII dans le Voc. sous percutere, sous verberare.
VIII c. à se heurter contre, 1001 N. Bresl. IV,
pression L~ O M (Freytag) voyez Fleischer Gl. 64.
VII voyez sous j-.:> VII.
101, 13. — Se débattre comme un animal égorgé, se
démener, s'agiter, Bc; ~*X.~?. pantelant, qui palpite KL,-,;» embarras, irrésolution, trouble d'esprit, Bc.
étendu sans connaissance, Bc; 1001 N. I, 39,3a f., t*~L~> turbatio dans le Voc.
II, 341, 9. — Etre en émoi, être livré à la confu-
sion, à l'anarchie (pays), Freytag Locm. 61,2, Amari xlU—'>»
dérangement, trouble, Aie. (descompostura,
445, dern. 1. enhetramiento, turbacion).
..r01. meurtrissure, contusion livide, Bc. Choc, J~*~j vertige, L (vertigo).
—
heurt d'un corps contre un autre corps, 1001 N.
Bresl. IV, 101, 13. — Apoplexie, L (apoplexia). —
engourdipar
~CI ~M~OMfdt ~Op sommeil, M.
trop de NO~tWe~,
x!i;'~- pneumonie, L (pleripleumouia (pulmonum ~c<~A~ caviar, Bc, M.
~A:t)'
vitium), mais parmi les mots qui commencent par per).
JJuif-bL*-3- bizarrerie, travers; ~aJ&c £ ~, pl. wbLs»! jarret, Ht.
<bL~M.son'e, Bc.
I,
~jS*. choisi-r, verbe que le peuple en Espagne a
~J
JallJ» dans le Voc. sous percutere, sous verberare.
fouloire, Bc.
1 CI Aie. (elegir, escojer, entrecoger;
formé de i-X—>-!,
~-tsLx~ commotion, ébranlement, Bc. y~L* eleto para dinidad (= jJL&st), escogido entre
— Anoma- muchos).
lie, Bc.
1 ,
II
I. K~jJ! Jsli» décoiffer, défaire la coiffure, Bc.
entreprendre, embarrasser, rendre perclus un
bras, Bc, M. — Déranger, mêler, embrouiller, désa-
escogimiento).
jt~J~. *L habitude du corps, son air, son
;
X~J~ ~^JljI ces expressions s'employaient dans les
premiers siècles de l'islamisme, lorsque le gouvemeur
s'appellent ainsi, la traduction de Lane des 1001 K.
I, 425-6. Aussi, avec le pl. récitation d'une
mettait aux tributaires un collier qui était fermé au -
moyen d'un sceau de plomb ou de cuivre, ou bien
lorsqu'il marquait leurs mains avec un fer chaud, Gl.
«conclure
BelAdz.
Bc;
I,
-
F
~"ri
~Lx~!.
- fermer, Kalyoubt 3, 2 a f. éd. du Caire.
Se Auw. I, 97, 4 af. — o~ ..,JL:>. Quand on lit
VIII,
en parlant du turban, dans le sens que Lane dans les 1001 N. 1, 57, 4 a f., que la bouche d'une
donne sous la Ve, Millier 25, dern. 1.
—
ri r. belle jeune fille ressemblait au ol..t)- ,..c)'L.:>, je crois
consolidation, état d'une plaie qui se cicatrise, Bc. avec Torrens que cela signifie: «petite et ronde comme
la bague de Salomon,» et que les explications pro-
j~~, empreinte du cachet, d'un sceau, estampille,
forme au plur. ~z et * ) * Bc. — Scellé, sceau
posées par Lane dans sa traduction, I, 212, n. 11,
sont erronées; — nom d'une plante, gmouillet, gre-
1
nouillet, sceau-de-Salomon, Bo; — ver noir qui res-
semble à une bague quand ses extrémités se rencon..
trent, M; — nom d'une étoile à six pointes, Lane
trad. des 1001 N. I, 212, n. 11; — la charpenteau-
dessus de la lanterne
lampes, Lane M. E.
.a~u!
CI# ~Pl
~O#
les
X4J~~>-ï
I,
ditebj-2,
— ~y
244 n.
~L 1
S -.<~-~
~.X «
trotter, Bc.
K-~>- trottade, Bc.
iê>Lè" trot, Bc.
I, 354
~Cf.
e, U
~il
mesure de capacité, qu'on appelait en Irâc ~£ loco), Aie. (tenblar la carne biva, cf. tenblor de carne
biva).
et qui portait aussi le nom de j!,:j, Gl. BelAdz. - II dans le Voc. sous tremere.
~&~.< ~eM sel gemme, Bc. VII, Payne Smith 1306-7.
i.~L 1 s'emploie aussi quand il est question d'arbres XJL:SV—g» honte, trouble causé par l'idée du dés-
fruitiers; Bait. I, 256, en parlant du sycomore: (j~J~ honneur; -
~SL~>-
confusion, honte par modestie, Bc.
cheveux en bandeau, Roland.
«ils
VI dans le Voc. sous afinitas ét sous gener, Abou'l-
~J..
w
sj~~<, au Maghrib presque toujours «J~L~ Gl. (jJxAj» tranchée, ouverture, excavation (grande
ou
petite) dans la terre, Gl. Mosl.
Esp. 172, Yoc., et le peuple y employait, au lieu de
x&X-s» écorchure, Bc; pl. r..JNj-:>, Auw. II, 25,
~SU^û, le pl. vXjL^U, Yoc., Aie., J. A. 1851, 1,57,
~8,etVoc. —Une taie d'oreiller, le linge
dern. 1., ~v.:j stigmata, L.
~L\~ voleur, Voc.
qui sert d'enveloppe àun
oreiller, Aie. (funda de al-
(j~J~~
> CI , défectueux,
Prol. III,
F
mohada), comme almohada en espagnol. 317, 4.
jJiXètt*
U~- engourdir, s'engourdir, stupéfier;
1 ~&ci;3
narcotisme, affection soporeuse, Bc.
se détordre, Bc.
of narcotique,
~\-<!~a pl. Bc.
II ~i r
f ,'stupéfactif, Bc.
~L< engourdi, Ht. —
) ~CI
- Paralytique,Voc.
VII s'engourdir, Bc. —
S'étonner, Aie. (maravil-
Il c. a. voler, prendre furtivement, Voc. larse).
détorse
(enbaçadura).
y Bc. — <Jj~. étonnement, Aie. 8, Bat. III, 98, 1001 N. I, 62, 2 a f. — C. a. p.
et y r. offrir, c.-à-d. dédier un livre à quelqu'un
j*~<~'~pLe étonné, Aie. (enbaçado maravillado, mara-
villado).
et 104, 7:
travailler, Djob. 73, dern.
comme la Ire,
1. -
C. a. p. et r.,
témoigner son respect à quelqu'un,
y
en lui offrant quelque chose, offrir un présent «
quelqu'un, Cartâs 214, 10 a f.
—
-
Exploiter une mine, Gl. Edrîsî. — ~jJ!
j»Ai>
~~->-. -~jJ! t"-~—>-,
fourrager, couper et amasser du fourrage, Bait. I, paye des soldats, nom d'un
impôt, Descr. de l'Eg. XI, 495.
M)~-> le service du roi, de l'Etat, Haiyân-Bassâm
~",'~.:',—tt-J!
~à.Réparerles routes, Martin 184. —
Conduire un chariot, Bat. II, 361. — C. a. p. don-
ner, par un acte de politesse, un témoignage de sou- ~la, &JL~\->- ~! (c.-à-d. à Valence), charge, office,
mission; en parlant d'un sujet à l'égard de son prince,
lui offrir son hommage; en parlant d'un inférieur à dignité, emploi, fonction, ministère, Bc, administra-
l'égard de son supérieur, lui donner un témoignage tion, Aie. (administracion); suivi du génitif, le poste
de respect, d'une politesse pleine de soumission, p. e. d'inspecteur de, Haiyân-Bassâm I, 10 ro: X~9L\-~
~ji r"'>-> «faire un salut de la tête,» r"'>->,r-L
K~JL~ X~L\~>- et beaucoup d'autres expressions sem-
soumission, en abaissant cinq fois sa main vers la
blables, ibid. Le service militaire, Khatîb 110 y0,ell
terre,» Maml. I, 1, 64, II, 1, 119, Psoudo-Wâkidî
éd. Hamaker 27, 8, et la note p. 57, Koseg. Chrest.
9, 1, 1001 N. I,
61, 66,11, 6, 67,
dern. 1.,68, (ju-îj-c ~uL- — Travail, Gl. Badroun, Voc., Ale.
(labor como quiera, obra el trabajo que alli se pone,
10. — C. a. p. et w r. témoigner son respect à quel-
qu'un, en lui offrant quelque chose, offrir un pré-
trabajo) Ht, Djob. 310,11, Macc.
,
135, a f., I, 2
sent à quelqu'un, Maml. II, 1, 120, Macc. I, 655, Bat. II, 321, 438, IV, 216; journée de
manœuvre, Aie. (obrada cosa por guebras, peonada
peonada obra de un dia). — Commission, dèlement,»Bc.
en cavar,
charge donnée à quelqu'un de faire quelque chose, ~-"- labourage, travail des champs, Ht (pour
Bc. - Cultiver, culture, Gl. Edrîsî, Bc, Auw. I,
251, 8. — Hommage, salutation respectueuse, Maml.
II, 1, 119, Nowairî Egypte, man. 2o, 46 ro, 51 ro, ~L\ laquais, valet, domestique, 1001 N. II, 98,
inan. 19b, 135 vo, 137 rO; c'était en Orient
~XjLL-5'
Bresl. VII, 96; fém. s servante, suivante, Bc, 1001
«il tint N. I, 704, 713. — Ouvrier, journalier, Voc., Auw.
se debout pour lui témoigner son respect,»
Ztschr. XX, 503. — Présent, cadeau, Maml. II, 1, I,530, 17, 531, 3. -(t-;J~-,
~;JJ! ~JL>- douanier, Bc.
120, Macc. I, 655, 9 (z= ~X,
1. 10), 1001 N.IV, ~L\~- vulg.
pour M.
~(gp =),
Sandoval 295. — Fossé fait
X~!<~->- pot de chambre, M (cf. l'esp. servidor, bas-
~sj sin de chaise percée).
autour d'un arbre pour y retenir les eaux, Aie. (es-
cava de arboles). — K~L~-~J suivi du génitif, à l'u- ;
jwili», en général serviteur, mais spécialement es-
sage de, Edrisi o1, 6af.; — pour prendre soin de, noir, nègre, de Slane Prol. III, 291, n. 1. —
clave
Macc. I, 236, 4: il les envoya à la rencontre des En Afrique, négresse, ibid., Barbier, concubine noire,
Lyon 289. — Ouvrier, Cartâs 89, 11.
— Archer,
H&JL~ ~J~>- ~è-i«.il offrit respectueusementune chose
au calife,» Fakhrî 389, 11.
—
(jJiAftii M~-~ li- Mouette, à la fin. - ~J! ~r.)b, serviteur de la
turgie, office, Bc. mosquée, titre que les pèlerins peuvent acheter à la
~Jlpl. ~Xj (de iCoiAi- et de la partie, pers.
Mecque, Burckhardt Arabia
bécasse, Hbrt 185. — ~yJtXJLJï
II, 76. —
~L->
J~~~L->
acolyte, clerc
~J.S, qui, jointe à un subst., sert à former le nom promu à un ordre mineur, Bc.
d'agent) domestique, Bc.
~~J~
beaucoup de commentaires, M.
min frayé, Domb. — Echéance de
- MyJ~'
six
~a-tJ?
trois
mois, de
che-
Hbrt, Barb., Daum.), pl. (Voc., Aie., Hbrt)
mois, etc., Cherb. (cf. J. A. 1850, I, 395); ~-s~
ou La~<~> (Car., Ht, Delap.), couteau, Yoc., Aie.
~-\~-i! il m'a payé le premier semestre,»
,
~¿, «
(cuchillo), Domb. 94, Daumas Mœurs 312, Y. A.
Martin 45.
92, Barbier, Ht, Hbrt 201, Delap. 57; Carette Kab.
I; 265: «Khedânut, les beaux sabres longs, droits, ~L\J?j~ se dit du magicien qui prend le démon
effilés, appelés par les Kabiles khedâma, et par les
à son service, pour un certain temps et sous certaine
Françaisfltça, du nom de la fabrique.» Ce mot,
condition, M.
qu'on trouve dans le Dict. berbère sous poignard,
O- -
appartient-il à cette langue? C'est possi-
ble; mais dans ce cas le terme a passé avec la chose ~qAs» délateur, M.
en Arabie, car en parlant de poignards, Burton, II, XJuvXλ
106, dit: *le gadaymi du Yémen et de Hadhra- amie, Mi'yâr 20, 1.
maut est presque un demi-cercle.» C'est évidemment ~-~~ (pers. t££iÂî-) peuplier blanc, de Jong, Hamza
le même mot, caril n'y a pas de racine 197, dern. 1.
3
0~<-\~J~ decuriones, L.
~<-~-~ ouvrier, Voc.
xiÀi» jet de pierre, Diw. Hodz. 54, 3 a f.
~[4-!>- esclave mâle, Carette Kab. I, 49. — Sol-
J~sL 1 scandaliser, donner du scandale, Voc., avec le
dat, J, A. 1844, I, 400.
— Concubine, Jackson 151
(kadeem), mais c'est peut-être faute
une *~L~.pour n. d'act.
0^JU>, Badroun 211, 6.
II dans le sens indiqué par Lane, mais c. à p.,
cureur, vidangeur, Bc.
Mliller L. Z. 21, 2.
~L1 cimentymortier, Hbrt 191, Bc.
III tâcher d'affaiblir, Macc. I, 240, 9.
VI ~c.cr p.
s'abstenir d'aider quelqu'un, de com- ~).:L 1 c. a. p. couler une personne, la ruiner; aussi
battre pour lui, Nowairt Espagne 477: ~JJL>u ~A_ï
VII dans le Voc. sous scandalizare. — Mollir, mettre tout en confusion, faire le diable à quatre
,
faiblir, fléchir, Aie. (afloxar en esfuerço).
X? dans Badroun 179, 6, mais la leçon est in-
fait un dégât épouvantable ;
s'emporter, faire du vacarme; Lol>Jî ~-~-~. ils Ollt,
faire raget commettre
des désordres extrêmes; remuer ciel et terre, employer
certaine. toutes sortes de moyens; -
~UUâi ~Yf> dérégler, mettre
J~X~ manque de courage, Aie. (poquedad de animo).
J3<~->- pl. ~JA3- (pour ~jJc>) craintif, Gl. Mosl.
dans le désordre; rlli;..n désajuster, désoî-gai,tl*se),,
pervertir, troubler l'ordre, Bc. - O
'—~-~ ~y';>, c. ~j.
-«
~(', en Barbarie pour ,
A3-Î prendre, Bc.
et ~(J.C, dans le Voc. sous dolosus; chez Aie. (burlar
y-
a otro, enganar apartando) ~vp"» tromper.
à Samarcand, grande dame, princesse, Gl. BelAdz. II. j»lIâÂiî ~~J~ désorganisation y Bc.
V sedétruire,
tomber en ruine, être bouleversé,
aller en mal, se gdter, dépérir, Bc.
<'t->- fém. chieur, foireux, Voc., Aie. (cagon et
» VII se détruire,Voc., cf. Payne Smith 1362.
cagona).
X ne pas se soucier de la ruine, de la destruction, M.
s)lJ--41» cloaque, Bc, sentine, Hbrt 128, chez Bc
~y';" diruta edificia, trad. d'une charte sicil. apud.
,
Lello 10.
~ibyC»ruine,masure; mais
en Algérie, notamment
chez Bc ~cj~. (~j~") comme dans Freytag Chrest. 109,12. dans la province de Constantine, on l'emploie pour
II c. a. et V dans le Voc. sous egerere. désigner une étable, parce que les locaux affectés à
cet usage sont, généralement, des dépendances de
maisons en ruines, ou en état de vétusté, Cherb. Diai.
I, 330. — <Lt-*=~ ~.-> garcinia mangostanaf Bait. I, De même chez Martin 41, qui prononce }
Of>.
~L~!~>
31 n. ~Xj
274 b, 363 c. — espèce d'alcali, Bait. ~xj_>
cour,espace à découvert enfermé de murs
I, 53b.
y
ou de bâtiments, basse-cour poulailler, Aie. (corral
~L—>
gadoue, matière. fétide, merde, Voc., Aie. lugar no tejado, corral de gallinas, gallinero donde
(camaras, estiercol de onbre, merda),M, Bc ~(pl.oîy>)
<~~6 à ~'r> merde, interj. de mépris, Bc. X->-L>-~ ~!.f>
; se crian las gallinas).
— ~.M
voyez ~.&. à - Pl. tromperie, Aie. (engafio).
arenaria media, Prax R. d. O. A. VIII, 283.
caca, Voc., Aie. (cagada, estiercol de onbre),
a^désolé y Bc.
~ioLy>
Bc, Freytag Chrest. 109, 12; ~«iU-sç. merde, perte, destruction, Ht.
interj. de mépris, Bc. — Cacade, folle entreprise, ~Jy->- vieux routier, rusé personnage, fin matois,
Bc. — Sj~~ lY:';> zr..-jj J~!e premier moutardier du
pape, homme qui se croit important, Bc. Aie. (encallecido en astucias); — un serviteur rusé,
.U-> astucieux, Aie. (siervo matrero).
merdeux, Bc.
~2ÇJ- chieur, de Jong, Bc.
o.o y est dolus dans la lre partie du Voc. et do-
lositas dans la 2de; mais comme la termin. est en em
O > dans le Voc.
~^J&A sous egerere. (esp.), je pense que ce mot signifiait rusé,
:
~s =~ merdeux, Aie. (merdoso). ~Xj voyez sous ~Y3
1 comme subst., pl. ~oi, Haiyân-Bassâm III,
s ~a
tyj~~La cour, Aie. (corral lugar no tejado).
jectif, ruiné,abandonné,
terminaison féminine, Gl. Edrîsî.
ce mot ne prend pas de (j!~-~-~ faire tourner, Voc.
1
Aie. (escarvar), Hbrt 36, Bc.
-- Gratter, égratigner,
Griffonner, écrire
~24'? masu-re, Bc, 1001 N. I, 32, 5 a f., 66, 6.
~destructeur,dévastateur, Bc.
lXoi£wo.
nar). — Oter
-
Rechercher,scruter, sonder, Aie. (escudri-
la
besace de dessus une bête de somme,
dérober, volel', piller, dévaliser, Aie. (desalforjar, cf.
Victor).
,%1.;,0 OU ~t >
espèce de caroubier dont les fruits
sont plus petits et plus doux que ceux du caroubier
II dans le Voc. sous revolvere.
X~~>- égratignure, Hbrt 36, Bc.
ce
dernier
.,
I,
-
mot, Bait.
355 d, où nos man. portent
(escudrinamiento).
Aie. (escarvadura). — Grif-
fonnage, gribouillage, Bc. — Recherche, enquête, Aie.
MS.
- <-'3*Lp-
cosse, silique, enveloppe de certains (jnu-s> est brouiller, mêler du fil, de telle
légumes, Bc.
I, 629,
Kj3-s», pl.
-
~--,
'—'~r~ ou
22;cf.Lettre à y,,¡> astucieux, P.
M. Fleischer 91-2.
Macc.
- In sorte qu'on ne puisse pas aisément le séparer, M.
*
al-wâhid 148, 4, V° (2. dirhem),
I, 256, 9; aussi c. J p. et ~if r., Abbad. II, 162, III pressurer? Gl. Bayân.
6. — C. ~J,' ou J p. et ~Cr ou ~if r., céder une chose IV voyez sous la IIe. — Porter un défunt hors
à quelqu'un, Gl. Fragm., Macc. I, 278, 4, 288, 11, de la maison, Tha'âlibî Latâïf 13, 1, 1001 N. I, 156,
1001 N. III, 187, 3 a f., Khatib 177 ro: ~q- ~JJJ~çf" 590, II, 467, Bresl. IV, 172, 180, XII, 116; avec
DJZXAj NLLct~ .L
— C. y
p. porter un défunt hors ti** ~,XÎ, R. N. 44 r°, et ensuite simplement \~-~>L
- Dépenser, Bc, Gl. Fragm. — Publier un livre,
Macc. I, 250, 8, Abdarî 111 rO; avec (y'W-Jt¿.\ ,
C. Jwc p. éclater, s'emporter en injures, blâmer avec Macc. I, 579, 4. — Ouvrir un édifice au public, Edrisi,
Clim. III, Sect. 5: ces bains étaient auparavant la
t_eU p. se montrer à quelqu'un, Tha'âlibî Latâïf 6,
5af., Djob. 32, 2. — C. ~if p. devancer quelqu'un,
Gl. Badroun. -
~&JL& '531 C --
~&m j~3) : le pouvoir lui échappa,
il le perdit, Nowairî Espagne 475: r«-I--e- -<a~'-3r~' f.,
Mohammedibn-Hârith 246:
trer, Macc. I, 911, 3 a
les habitants d'Ecija ayant demandé un cadi à l'émir,
J
compris les impôts sur les troupeaux, les produits et
d'autres choses semblables, Palgrave II, 384. — Louer,
2
(~L~ 645, a f.) sur le nom de quelqu'un, Macc. prendre à louage, Voc. (conducere), p. e. ~J
II, 646, 2. — ~G,) ^y-3-î
se faire saigner, R. N. « une
maison louée, » Mohammed ibn-Hârith 297: le
102 v°; Lo ~JJJ 7'r~
saigner quelqu'un, 1001 N. I, mari ayant déclaré qu'il ne possédait pas de maison,
240. — iiLJi3 ~J,\ &->-—>-! il le rendit tel, Auw. II,
542, 5 a f. et suiv. -C. ~if excepter, Bc. -c;r>'
Jslji Q,effacer de son souvenir, Bc. — !<~—t ~0"->'
le cadi dit au père de l'épouse: ~Q! ~\:!U X-<e!—~
X extraire, en parlant de vers, de traditions ex- ~->—>- ~jJS> ~l-o «cette charge ne lui convient pas;»
~XaLSm ~(;r> gibier de potence, pendard, Bc; ~g/—^
traites d'un livre, etc., les reproduire, Macc. I, 603,
oLeJ! ce qui est en vogue, à la mode, mon Catalogue
4 a f. et dern. 1., 613, 17, Mohammed ibn-Hârith 278:
des man. or. de Leyde I, 305, 8; j-su» ~(;r>
t ce qui convient pour un voyage de long cours,»
1001 N. Bresl. IV, 22, 9; aussi j>;Ji ~(;r> ibid. 49,
*<j
Akhbâr 103, 12, et -.>,
~ic>y> sortie, attaque faite
n.
d'Escayrac 601.
,
par les assiégés, Bc. —
Saillie, sortie impétueuse avec interruption, Bc. —
— Sortie, dure réprimande, brusquerie, emportement
(où Fleischer a mal prononcé). — Calculer,
Gl. Abulf.
à j>
contre quelqu'un, boutade, saillie, Bc. — Ressaut,
1001 N. Bresl. XII, 51, en parlant d'un écolier: avance, saillie, entablement, saillie du mur sous le
fi-•>
u.,re qui a l'esprit cultivé, Bc.
,
me semble un peu téméraire.
— Forcé, outré, Bc. — Gaillard, drôle, synonyme
af.; ~Xj
~G ~CI
?
-.-~~e les reliquats ou arriérés des agents, qu'on
de (~~J'L~, 1001 N. Bresl. IV, 141", 5 leur extorque par la bastonnade et par les tourments;
c;:;¡SWt .—j~ le bureau du produit de l'extorsion,
gaillard, un peu libre; ë;.)L:> ~r'j5 discours graveleux; Bat. III, 295, IV, 298, cf. Maml. I, 2, 58.
~CI,G 5
—..s~~ percepteur des contributions, L (exactor,
~w |*
où Fleischer n'a pas compris ce mot.
gamin, polisson, Ht.
X~>.L>- être placé
en dehors du commandement et ~!t->.~
~G«•
t. de médec., le bruit qui sort du poumon
des honneurs, et être privé d'égards et de considéra- quand il y a trop de pituite, M. — Le bruit de l'eau
tion, Prol. I, 248, 5, 334, 9; lisez de même, avec le qui coule, M.
man. d'Ibn-Bassâm, dans mon Catalogue 1, 227, 7 a f.
c'à' )grenaille,menusgrains
ministre des relations extérieures, M. O)
~(pers.
(pers. !S.)';») grenaille, menus grainsde
de mé-
mé-
tal; petit plomb pour la chasse, Bc. — Quincaillerie,
Bc, M, Descr. de l'Eg. XVIII, part. 1, 322. — Mer-
la
CZWI (jn-c. - Pressoir pour l'huile, Voc.— Sact
cerie, Bc. — Ce que le cordonnier met entre se-
melle et la doublure, M. — Contribution qui se per-
Voc. (part. 1).
Plante,Voc.
- Cicatrice, Hbrt 141 (Alg.). -
cevait sur les spectacles publics, les baladins, etc.,
Deser. de l'Eg. XII, 181. — La plus petite monnaie
a. ~JL* 5;> margelle ou mardelle, bords d'un
dans le Nedjd, Palgrave II, 179. puits, Bc, M, 1001 N. III, 46, 14. ~Jûl\ 5';->
—
,
„ ~CI
15=:">.r> quincaillier, Bc, Lane M. E. II, 17. —
Freytag) est le nom que cette pierre porte en
(cf.
Colporteur, mercier, ;
Bc
~-O5
chez Hbrt 82 ~—~\xo~, et
;
Egypte, Bait. I, 291 f; chez Belon 453 ltaraczi,
pierre dans le fiel des bœufs «Avicenne a décrit sa
c'est ainsi que prononce le vulgaire, M. vertu par le menu;» les juifs l'emploient contre la
, ~,G>
,
~CI
(pers. >Oy>),
marchand de vieille ferraille, Cherb.
petits que du plomb pour la chasse, M. ) ~P cordonnier, Bc, Prol. II, 308, 8; — savetier,
qui raccommode les vieux souliers, Aie. (remendon
J~ corumpere (in fructibus),Voc.
1 çapatero), Bc (Barb.).
II dans le Voc. sous le même mot. ).J:S\.4? Dans une charte sicil.: xiLiLi_J\ ~A'
~~>-. S.—~Li!, où l'ancienne traduction, apud Lello p. 19,
KSJ-Î J~->- espèce sauvage de la brassica
porte: «ad petram plantatam quae est quasi charas-
eruca, Bait. I, 244 b; — selon quelques auteurs =
sata.» Amari (MS) compare Ducange sous charaxare (?).
pl.
~qL^aJ (voyez), ibid. 357 b. J..>.-r>' Dans ~fi; )
—
Bait. I, 357, le man. B n'a pas l'article b, mais entre
.~L~e vase de terre, qui n'a ni anse, ni bec, M.
c et d il offre l'article .c—~~ ~—~') OÙ on lit la .~-~ O , * Cette forme vulgaire (Lane;
r
même chose que sous l'article b du man. A; moutarde
Bc:alêne, perçoir, poinçon, vilebrequin) se trouve
- espèce
turque, voyez The Athenœum de 1844, mars, p. 272.
de lepidium à larges feuilles, chez Auw. I, 472, 18, où il faut lire ainsi (et avec •
I, 357 c, qui renvoie à l'article thlaspi; mais
,
Bait. notre man. L-3~aj, au lieu de ~w^xs).
comme il ne l'a pas, c'est à
qu'il aurait dû renvoyer.
u..f> (I, 301b)
J. P rave sauvage, Bait. 1, 363 j ; leçon de D;H
~jr forer, percer, perforer, Bc. — Brocher d'or, d'ar-
1
gent, en parlant de cuir, Macc. II, 711, 8 et 11. —
Raccommoder les vieux souliers, Aie. (remendar çapatos). iOOjj préparation dépilatoire, en turc qui est
,
la transcription de ~%p7<rf*x, Devic 198, art. rusma.
II. ~jj—est quand les vers ont fait des
î ~5
Ecrit rusma: Belon 435, Coppin 240, Werne 66.
trous dans le tronc d'un arbre, M.
VII dans le Voc. sous suere (in corio).
III, (j*y>
~J? jais,
espèce de verre, Bc. — Khorz el Adi, sans lui répondre,»Bassâm 5 r°. —
petits grains de verre opaque, Lyon 152. — Pour se dit quand le bruit des coups de feu est tellement
~~->: étourdissant, qu'on ne l'entend plus, M.
les rois, dont il est question dans les
dict.,sont V dans le Voc. sous mutus.
ceux de Himyar, M.
--:-> pl. collier, Voc., Bait. II, 4c (Edrisi):
VII dans le Voc. sous mutus, devenir muet,
Saadiah ps. 39,Yepheth ben Eli sur Isaïe 53, vs. 7.
X même sens, Ahlwardt, Chalef elahmar's Qas- 9 ~&<
r,*
%-Qd;id chardon, Bc, artichaut, Gl. Esp. 85-6; mieux
side, p. 34.
(j<~> chien de fusil, Ht.
> muet,
~qL ~0
'ClJ.
<~3~->-, n. d'un. 8, pl. scardon,
-- artichaut,
P. Macc. II, 653, 22, avec la note ~:.,¡r~J ~,.J ,
de Fleischer Berichte 162, Bâsim 6: ndJULc >•°*' Gl. Esp. 85-6, Voc., Bc.
~O *
jÂCjâfc 1 paumer la gueule, donner un coup de poing
U"',r> muet, P. Kàmil 236, 7. sur le visage, Bc.
:i..w'f> mutisme, Payne Smith 1388. yo ,
M~->- vulg. pour .jo-, M.
~,
contre les vers, santoline, semencine, Bc.
~i,-c,r-
pl. U":'jL>', Dîwân d'al-Akhtal11 vo (Wright),
mare). — Raccommoder un plat cassé en y pratiquant
des trous dans lesquels on passe du fil, M.
proprementmuet, mais aussi, quand il est question d'un V et VII, avec ~JJLiuî, dans le Voc. sous existimare.
étranger, ne sachant pas parler Varabe ou le parlant ~uo:f> pierre saillante d'un mur, avec un trouau-
mal; les mamlouks de Hacam Ier, p. e., s'appelaient
quel on attache une bête de somme, M. — Petite
chaîne en or, etc., à laquelle on attache une boucle
Calâïd96,3. d'oreille,M.
qLmIJJ
~w (j~ y o 111*
ouparlant avec difficulté,Yoc. y
~Il
, ~t.S Yoc.,
boucle d'oreille, forme au pl. ~(joL3-î,
aussi muet ~UO..r>
~i ~CI ~Lx~J~
~o >
(1001 N. I, 73, 8), pl. ot, Daumas Mœurs 283, et u~~->, Formul. d. Contr. 4:
,
le nom de lieu; c'est donc proprement garde-manger,
,
dépense, lieu où l'on serre des provisions et différents
objets à l'usage de la table. Les dict. persans n'ont ~Dj~L I, dans le sens de tourner, façonner au tour des
ce mot que sous une forme corrompue, car le }.;:_),> ouvrages de bois, est assez ancien; voyez Gl. Edrîsî,
de Richardson, qu'il traduit par réfectoire, est une
de Jong. De là .b;S_H du bois qui sert aux
altération de ~ou. puisqu'iln'y a pas de suffixe
~Jjim. L'autre forme qu'il donne, tourneurs, Becrî 83, 6 et 7, et non pas «du bois
est bonne,
écorcé,» comme traduit de Slane. — Polir des pier-
le suffixe ~Lw étant l'équivalent de ~qUm.
res taillées, Bait. I, 460 f, en parlant de la malachite:
.<~!-~ &i?~., ou du verre, Ibn-Haucal (Arménie):
~"I-4 sorte de métal mélangé, | or, * argent, 76, M. — Gasconner, hâbler, Bc.
que les anciens appelaient qAfxrpoç, ~JJAsxrpov, elec- II arrondir, tourner au tour, Ht, Aie. (torneadura
trum. L donne: electrum J~JL~*X~a~~ ~-~~; elec-
,
trum (aurum et argentum) KA~->; -,
1 -- electrus X~L~. VII être façonné au tour,Yoc. adjCà ~J-r- ~1-el
* —
se mouler sur quelqu'un, Bc. — Devenir étroit, se taillées, voyez sous la Ire forme. — Charlatan, gascon,
rétrécir, Gl. Edrisi. fanfaron, hâbleur, menteur, Bc, Hbrt 250.
..b r tour,
machine pour façonner en rond le bois, * 6 A tour (de tourneur), Me.
JfOJ^•
424 (Cazw. II, 251, 4af.,
etc., J. A. 1866, II, ~L~<
KL-~Ue pl.
tour (de tourneur), Yoc., Alc.
270, 17), Me. — Hâblerie, vanterie, jactance, Hbrt (torno para tornear), Bc. — Guillotine, Bc.
charlatanisme, Bc; M: J?-~~
ML*J~
240,
~O J~~-' ~8
t• , ~CI
de forme conique, Bg, M, Bat. I, 81, 111,
J=>5-^
~-U ~q-.
380, Maml. I, 1, 122. — Dans Antar 53, 9 a f.,
P!,7e K. semble signifier: il excellait
dans les exercices chevaleresques.
~j~O—L 1
~CI) chez Hœst 309.
>
retourner à Médine), Burton II, 52.
table,car~5 -G
en cet endroit p<->'!) mais l'autre leçon est la véri-
comme ~<II' ~J:!~,~>- pierre ponce, Bc.
est
~Às-- sornettes, Prol. III, 300, 11.
*
E-.,L- (Fleischer Gl. 95).
~"i
~J~:J>- ustensiles de nulle valeur, M.
e~9 gaillard, gai, joyeux, M. — Cartes à
jouer sans valeur, M.
sJ~L VIII radoter, Bc.
X~-~- fruits d'automne, Domb. 71. ~l'intérieur
~>
G,
cotonneux du fruit de VAsclepias gi-
gantea; on s'en sert pour en emplir des matelas et
~oM*
O «. fém. 9 radoteur, rêveur, Bc, 1001 N. I, des coussins, et même pour en faire des vêtements,
143, dern. 1., Bresl. IV, 184, 3 et 11. J. A. 1853, I, 164. C'est de la mèche pour les Bé-
.J,l>,
J- Le fém. S, Aie. (borrega, cordera),lepl. s ü'.;>
douins (ytr"'j' ,.,;"
cf. Lane sous
,
~y>), et
.Jt;.-:-, M, Khallic. IV, 89, 3 Wüst., Abou'l-Walid le coton s'appelle aussi ~^5^3-, Bait. 1, 363 i,
où il
faut lire ainsi (AB; Sonth. a traduit fort mal cet
787, Saadiah ps. 114, 1001 N. Bresl. II, 325, 4;Bc article).
(mouton) le donne comme pl. de ú,)L>, et il
aussi sous brebis,. chrétiens sous un pasteur.
l'a
està
~(¥ Damas
est à G
etet aux environs de cette ville le
v«Ju-5» la seconde moisson de la dorra, Niebuhr B. nom du .Ja jj~>- (voyez), Bait. I, 357 d.
146 n., où Chattf est une faute d'impression, pour .f~L 1 c.a. et II dans le Voc. sous desipero (formé
Charîf, car la première moisson s'appelle~(CL de~lîj>, ou plutôt de
l'adj.
Lane).
JJu~
- Pain sans levain, Aie. (pan cenceno). — ~a* 5
~ci.~¡Svo fou, Voc., Aie. (atreguado loco, desvariado).
radoteur, rêveur, 1001 N. I, 718, 15.
<j~r~- I. Le n. d'act. XS—~a, dans le sens de traver-
K~~>- forme
au pl. v«JuLi>, Aie. (habla de novel- ser un pays, Ztschr. Y, 494, 5, dans celui de men-
las, novela o conseja). -
Prétention ridicule, Abdart tir, Tha'âlibî Latâïf 35, Abbâr 199,10, Prol.11, 7,
284, 5. — Faire brèche à un mur, Bc. — Percer
59 ro: olsLs» wJUax Oiiî5. -
Radoterie, Bc. —
un isthme, Prol. I, 78, 9. — Creuser un canal,
aJ~
>
Discours frivoles, sots discours, Bâsim 90: ~oyJo ~loj
Amari 211, 8; mais dit ~li -~J! ~Ô^<
on aussi
~ce ~XJlJ ~^5 &)LL-j~
- Peu, Voc. Amari 526, 3, J. A. 1852, II, 69, n. 1, «il fit
»et
(parum). creuser un canal afin d'amener les eaux de la mer
.yajy~ automnal,Voc., Bc. jusqu'àTunis.» — Couper, rogner, Auw. I, 376,4a
f. — Couler bas des navires, Bat. I, 110. — Quitter
ut;:;' conteur, Daumas Y. A. 262. l'armée, se disperser (soldats), Akhbâr 150, 8. —
>
tJ'JI.:>, pl. - # agneau, mouton, Bc, M.
, ~ü.r> déshonorer, perdre quelqu'und'honneur,
~CI
MA.f>
Bc.-~ ~O
> violation d'un lieu sacré, pourpier
~«
O -
y I, — Voyez plus
,
Bait. 363 g.
violer un asile, Bc. — »J>L*iî ~ür>' êtreau-dessus de loin,~.o -
l'ordinaire, être miraculeux (cf. Lane sous
Bat. II, 68, Baidhâwî I, 11, 1. 11. <31> seul s'em-
ploie dans le même sens, 1001 N. Bresl. IX, 392, 8
~(j>|- dans l'éd. Macn.), et dans celui de faire des
ü¿l-i»,
~S
X-Sj-3», dans le
pl. aussi -
sens de pièce d'étoffe, lambeau,
.-, Voc ~(J^j fons pannorum,
trad. d'une charte sicil. apud Lello 18. — La khirca
(vieux manteau déchiré et rapiécé) des Soufis s'ap-
chosesextraordinaires, extravagantes, déraisonnables,
Haiyân-Bassâm III, 140 vo (d'après le man. B): pelle u, 1
Athîr XII, 66, Bat. I, 126,
u,¡J
K~.L~tJ!XS~
ou K~a~J! ~r>-) R. N. 85 rO, ou ,
ibid., ou ~-xJ< UT':>'
Mong. p. cxxxi. Elle se
transmet d'un maître à son disciple, et celle que
(= aJ'L~ v_3^Li>), et chez Bc ij.)l.n ~-~' ou ~u.)b portent les novices s'appelle Mong.
,
est se désaccoutumer, se défaire d'une coutume. — ibid. Quelquefois un Soufi porte deux khircas, Khallic.
.ULJ~ ¡j¡-> quitter la voie légale, Macc. I, 131, I, 256, 4, R. N. 61 ro: ~*-^5,
ce qui in-
16; — ~déchirer, médire de quelqu'un,
>
dique que deux chaikhs de la secte lui ont légué
faire tort à la réputation de quelqu'un, Bc. — Dans
leurs khircas, leur science et leur autorité, de Slane
le sens de qui signifie cacher ou dresser une
trad. d'Ibn-Khallic. 1, 502, n. 5. Dans un passage
embuscade, M.
du Gulistan de Sadi (p. 64 éd. Semelet), le mot
II corrompre, Aie. (corronper, corronpimiento &A-~- est employé pour désigner le turban
/~j~). — Serpenter, Aie. (rodear). du Soufi. — Maillot, langes, Vêtem. 153, n. 1,
IV. ~Oo»
~ôs±\creuser un
creuser un canal pour les eaux
437, Aie. (culeros panales, pafiales para criar ninos),
2,105.
V. ~aILo ü;.s.
donner de Vargent avec profu-
sion, Fakhrî 222, 4 a f. — Couler, serpenter,Ko-
seg. Chrest. 64, 5.
,
VII être traversé, sillonné par des cours d'eau,
Gl. Edrîsî.
— Faire eau, avoir une voie d'eau
(sic, pour )
est la borda du Prophète, qui,
*£_»__;
£
(vaisseau), Bc.
-
üJ-<-Wo L\JLj, Müller 9, 3 a f.,
semble signifier: aune ville dont les maisons sont
selon les Turcs, a été emportée d'Egypte par le
sultan Selim, et qui est devenue l'oriflamme des
éparpillées)) (;= dfà-;-A ~é~t. qui suit). — Se
I, 142. — L~JJ! ~X53»
Ottomans, Burton
à
maisc'est monavisune est dans
corrompre, Gl. Edrîsî. — Etre prodigue, Gl. Djob.
—
UbLodi (j,r9t dans le Voc. sous abusio. L sciasis;
sciasis ;
mais c'est à mon avis une faute pour
~.c
VIII, traverser, passer par, se dit particulière- m
LmuJJI
(voyez), qui signifie goutte sciatique.
ment des rivières ou des ruisseaux qui traversent
un pays; mais en ce sens ce verbes'emploie aussi
¿;.f> espèce de scorie, Most. v° xcaâJl *1r>5
sans régime, couler, serpenter, Gl. Edrisi.
ser, ibid.
Creu- - leçon de Lm, N avec le hâ.
~JLj—~ fosse, Vendroit que l'on creuse en terre
~ôr
~G
cul, postérieur, Aie. (culo, rabo por el pour y mettre un corps mort, Cartâs 183, 10 a f.,
culo), Hbrt 3.
— Aqueduc, Voc. — Pourpier, Sang. où un man. porte ~Hjis».
folie,Voc.
) )
*
Y.31 brèche, Bc. — Pl. ~u~~ pièce, morceau,
j
Bidp. 4 2. — Kosegarten soupçonne que ce mot tente, dit Ibn-Batouta (II, 299, cf. III, 30), qui écrit
signifie terreur dans le passage qu'il a publié Chrest. X-S.—>, se compose de morceaux de bois, réunis
110, 1. en
forme de coupole, et sur lesquels on étend des piè.
m , > celui qui vend des pièces d'étoffe
.e-S~-~- ou lam- ces de feutre. Ecrit otfj>> (sic) Nowairi Egypte, nian
, < ~t3r:-' 2 m, 171 ro et vo, Selon le M la forme arabe est
beaux, 0'.i>, , Vêtem. 153, n. 1. XPë~.
~J
XRj-> brèche, Hbrt 145. O
9 #
(J~~t-~. (pers. (ji^ïTy>) plantain, Most. ,~<~ ~oW
~~>. ~, t. de médec., remède quipénètre dans (où le hâ est une faute), Bait. 1, 363 b.
vu
ï.Lp"
(cf. sous
pl.
les pores, comme le vinaigre, M.
la Ire forme
par ellipse pour a~btJJ<*,)~->'
et Lane), miracle, Prol. I, 165,
~oï r~ I créneler, Bc. — En médec., couper
entre une fistule et l'anus, 01. Manç. in
ce qui est
voce: c'est
10,168,13,169, 4,
11, 14,15,16,17, etc.,359,
Omettre, Gl. Fragm. — Différer, être dissemblable,
15, III, 138, 1. — Même pl. homme extraordinaire,
Gl. Fragm. — ~«Acj à ~r;:> ne Pas tenir sa promesse,
Berb. I, 129, 8. — Généreux au plus haut degré, M.
-- ~>- .:;)l:> marchandise de première qualité, Bc. M. - O- lj-.o il n'y a i-ieit à c h aiiye)- à
;
Ciseler, sculpter, ibid., Voc. Treillisser, ibid,
temps varie continuellement. — Le fém. ~o->-,
° * —
propre-
ment inexpérimenté, est chez les poètes une épithète
Canneler,ibid.~*3^, Prol.
296, 7, II,
du vin pur, parce qu'on le compare à une vierge in où de Slane traduit: un cahierd'écritures, tout froissé
tacte et sans expérience, Gl. Mosl. et usé; mais peut-être faut-il lire
X~—~
=:
1 0
Xaj—~j ,
lambeau, Aie. (raça del pano). voyez sous ~r.r> I.
o** -<—^5
:
++~O
XS-~e- bourse, Aie. (boisa, burjaca). IV — 1 percer, Gl. Abulf. T. de marine, Becrî
— Jonglerie, ~IL
113, 14:
charlatanerie, tour de passe-passe, Bc, Cartâs 65, 6;
lisezdemême, avec notre man. 1350, Berb. II, 41, ~r.Jt ~cr* ~j )
~4J ~J;J~, où de Slane
8 a f. ; Djaubarî 5 v° ~"r;.
~L~. — Dans Payne
traduit: se laisser pousser au large; mais les points
;
diacritiques sont incertains; Edrîsî, Clim. I, Sect. 6,
Smith 1493 synonyme de JbLto.— Pl. ^Ls^wo déli- ~sÂ-P
en parlant d'une île déserte: ~r*6"• '—<-j.3
ces,Yoc.
~!—<=L~
~O
t. du jeu des échecs; il y a, p. e., le
~ttl c'est lorsque chaque joueur a une seule
V être sculpté,Yoc.
tour; le oS
~uLô"^ ~.1 le /~-~ etc.; voyez
Bland dans le Journal of the R. Asiatic Society,XIII, VII, en parlant de livres, dans le sens indiqué par
30, 31. Lane, Haiyân-Bassâm I, 173 r°: )jSUt &4-- cr ~O^5
î LiaS.
~t.)
~b-~.
~O
#
# O#
~-! pénétrabilité,
(Freytag)
~O
(formé de ~*3y>).
- , <~~MeM<M~~
~CI
~.y~y.~e
Bc.
Bc.
feuilles de pa-
pier dont les marges sont rongées (par la vétusté)»
Prol.II, 281,4.
~6.
, (pers.) origanum maru, Bait.
ainsi qu'il faut lire avec A).
I, 363 e (c'est
j
fiques de la contrée, »
Pellissier 33. ~hermaphrodite, Bc.
estselon
~r;> est selon Rhazès
à
c'est lyclmitis, mais en
aster atticus;
croire
atticus
Edrîsî, c'est
:
selon d'autres
une plante
~bruyère, Aie. (breço).
~CI
*
dont ne parle ni Dioscorides ni Galien, Bait. I, 362, s-A~-~L (c'est ainsi qu'on prononçait en Espagne) jeune
où cet article, que Sonth. a confondu avec celui qui
précède, commence 1. 2 a f. — (Pers.)
Bait. I, 92 a; leçon de SD; ACEL ~rf>,
K~-> vulg. pour l4'.r>' trou rond dans unepierre,
B 'L
lapin, lapereau, L (lepusculus (lepuscellus),Voc.,
= .LJU!, Aie. (gaçapo de conejo).
o,
trou d'une aiguille, comme la forme .:".1:::"
®Ci«O»XjJ~j.~,
colossale, M.
¡:.. ~(P) espèce de gentiane, voyez J,wfr' ~e.1
.J,¡::i:. terre à potier, terre argileuse, Tha'âlibî Latâïf
vulg. pour
aux
les moucres (ceux qui 43,1,55,16,87,14, Auw. I,57, 3,7, 11,68,
louent des montures voyageurs) etles bateliers, M. 9, 79, 2 a f., Prol. III, 345, 7, Bait I, 43 b: ~iliî
~uj>. -
.JL<\iJt vwÀ<L&
Pl. ~u,j>
9 brique, Most.: vjijs>
^yJul (le man. N ajoute :~U
-
~Oj->-
~OlÍ ~pyi ~);
de son témoignage que la leçon du texte Prol. Il
56, 5, 12, 13, 15, 16, p. 57, 8, est bonne, que
oJcioS! ft,
Xj>Ii Bait. 1,246 c (passage d'Edrîsî sur
~IL
II c. a. dans le Voc. sous funis. - Voyez sous
,
d. sparteries
khezma, espèce de cordage.
=
xAÎji*
N.I,58, 1.
tulipe, Bc.
L (voyez), Domb. 72, Bc,P. 1001
~.L>
» Bc, pieu, Hbrt 144, 1001 N. Bresl.
échalas,
>, ~D
de Bagdad, Thévenot II, 101. — Une certaine somme
d'argent; «cinq Casenats, qui valent 1,200,000 écus,
qui font six millions d'or,» Monconys 186; «1200
~auji jSUJlix* ~5 ~&33aHaiyân 28 ro.
On voit bien ce que l'auteur veut dire, mais je ne
bourses qui sont trente millions de maidins, Théve- »
not I, 512; 1000 bourses, £ 5000, Lane M. E. II,
sais quelle est la traduction littérale de cette expression.
421; 6000 ~uà-ê, M. — Chambre d'une arme à feu,
t)!jà>-, Diw. Hodz. 159, 6: ~w ~xJU J—~-J Bc. — La partie supérieure de l'instrument de musi-
,Jtfr- ~m ~-~~Le
O (j~M O- ~t}.O * dont c'est une va- que appelé X~\JL<—~, Lane M. E. II, 75.
~j~-~Lù médaillier; — garde-meuble,
:i,.j..r>
- Bc;
•
riante.
*+ aussi Xj—> seul; c'est une énorme armoire dans la-
quelle on serre pendant le jour tout ce qui compose
r.¡::.. 1, en parlant d'une lettre, voyez Lane; il résulte le lit, von Kremer, Culturgeschichte des Orients I,
,
•J32;musée
que;
~Or
- ~JLtt ~1Üj>
voyez
-
~O
~oj>'
;
trésorerie, Bc.
— v-)ujà>- bibliothè- celui qui a la charge de la vaisselle d'argent, Aie.
(repostero de la plata).
~j-~x magas-inage, Bc. - Accaparement, Bc.
armoire, Domb. 94. —~CT-T^ eau con- ~Oj^u, pl. &jL-e, Abou'l-Walîd 637, 5, magasin
,
Boutique de
,
mara) — Sommellerie, Aie. (botelleria), Bc. — Ecu-
libraire, Aie. (tienda de libros). — Tente, Domb. 99. rie, Ht, Delap. 173. — Petit réservoir, Djob. 211,
- -
Sacristie, Aie. (sacristania). Avec l'art., pour
.~L*J~ ~xiîic», arsenal, magasin d'armes, Gl. Fragm.
dern. 1. — Bureau, Ht. — Trésor public, Maml. I,
1, 10, Bat. III, 262, IV, 42, 97, 120, Çalât32v°:
-l, 357:
Une certaine somme d'argent
-
(cf. ~xi^>),
~O
1001 N. ~AjuJu Khatib 186vo: ~jJIo
-
~cr
avoir le même sens dans les Selecta t"., 1. 2 a f., car
Marmol Reb. 64 : «pecheros del
c magazen del Rey)
il est impossible que ce soit le nom d'une espèce de (en Afrique). Sous les Almohades, les iXaxc
navire, comme Freytag l'a pensé; mais dans la ligne
qui précède, il faut substituer ~Jaà-wJt, « écrins, à » ou esclaves du trésor semblent avoir été un corps de
nègres qui formaient la garde du sultan et qui étaient
~vhJï, - ~\XJ~cetlÛ'.r> sacristle, Bc. &j!—>- payés par le trésor; on les trouve nommés Cartâs
au Caire. Dans qui avait été fondé
établissement,
par le calife fatimide az-Zâhir, trois mille ouvriers
fabriquaient des armes, des machines de guerre, etc.
l'armée d'Abd-al-moumin)
(jA-tbAiiwIj
:
174, dern. 1., et Holal 62 Y0 (prise de Maroc par
o*»
~~e~ H->.L~JLAO ~JL-~
Aujourd'hui Qjjs=\iî signifie
Cotait, aussi une prison, Khallic. I, 197, 7 et 8,
les cavaliers du gouvernement, Daumas Sahara 130,
avec la note dans la trad. de M. de Slane I, 388,
- s-aIaM
197, 254, Sandoval 102, 286, 321, 424, Hirsch 72,
n. 9. pharmacie, magasin de officiers et cavaliers choisis pour la rentrée des im-
médicaments, Haiyân-Bassâm I, 10 rO, parmi les em- pôts, Roland, soldats irréguliers, R. d. O. A. VI,
plois de la cour, ïUXrLj XJ!—>- X—<L\—>-.
- 132; Pellissier 152: «une tribu du makhzen, c.-à-d.
une tribu qui, moyennant certains avantages, tient
XxjL*_5î
~O
~W la bibliothèque du sultan almohade, tous ses cavaliers à la disposition permanente du gou-
Khatîb 27 ro, en parlant de l'Almohade Abou-Ya'coub : vernement. » — Impôt, contribution, Abou-Hammou
=
musée, Bc.
¿ü'ft
senor).
—
w - ) ~¿ü'?
sacristie, Aie. (sagrario).
àûwwiAiw
~yoU} chambellan, Aie. (camarero de gran
16.
sette: l54!-I, Q;L~~ ~j vjiiy3; Amari Dipl. App.,
p. 6, 1. 8, où cependant ce terme peut signifier aussi
droit de magasinage, ce que l'on paye pour le ma-
gasinage, comme traduit l'éditeur. — La cour d'un
i
prince, Aie. (corte de gran senor), Cliénier III, 165.
De là -- ~Jià le palais, Pflügl t. 69, p. 5, et
seul dans le même sens, Aie. (palacio real). —
Demeure, Aie. (estança donde alguno esta). — Le
gouvernement, Daumas Kabylie 193, Cherb. BetDial.
24, Amari Dipl. 131, 5 (où l'éditeur, p. 422, n. 17,
~Oqui garde, Diwan d'Amro'lkaïs H, vs. 17. veut à tort changer la leçon), 174, 7. — «Les tri-
— bus du gouvernement et, par extension, toutes les
Sommelier, Bc.
~!—~, et
»
dépendances de l'autorité, Daumas Kabylie p. ix. —
Q~L~. forme aussi au pl. ce terme si- .-J?~ ~^Lai les esclaves chrétiens qui sont la pro-
gnifie aussi les anges, Gl. Badroun. ~X^aâJî
— c.!}L> priété de la ville, de la communauté, Haedo 42 c.
;Ur<\o
~+ O * boîte, R. N. 100
vo: M~~L~LKj~ ZJ ~Jlïj
jjjàlXÎI ~L^xà ~L!!; dans la suite on trouve encore deux ~"y> courte honte, Bc.
fois ce mot.
~J-~O*
w ~fIII ~3" IV désarçonner, confondre dans une dispute, Yoc
ce qui a rapport au ~Qj^, c.-à-d. au tré-
Bc. — Désappointer, Bc.
sor public; Xjct-~! Jut.;;:,'jt les finances, les revenus VII troubler, Bc.
se déconcerter, se
de l'Etat, l'anonyme de Copenhague 67: iuLuUwli ~të"»
VIII dans le Voc. sous confundere alium.
lisez de même Amari 382, 8; X~-~d! ~fiW les con- ~-~L~ ignominie, honte, Abbad. II, 200, 7. Le
tributions qui ne sont pas prescrites par le Coran et
la Sonna, Cartâs 81, 6 a f. (où Tornberg, p. 111, Voc. a ~-~e
V
con fusio.
b:
:
tribus ne reçoivent pas de solde, SousaYestigios 157;
Marmol, II, 96 d, traduit «escuderos de los alcay- <~~L 1 décroître, désemplir, v. n., et se désemplir,
des;» II, 101 «escuderos de la guardia;» III, 6d: perdrey diminuer de valeur, Bc, M.
«soldados;» cavalier, Scott 68, Tristram 110, Daumas
II rendre très-vil,
Voc. — Appeler quelqu'un vil,
Mœurs 283, Barth W. 13; gendarme, Pellissier 320;
Gl. Belâdz, — Diminuer, Hbrt 123.
sorte d'agent de police qui tient le milieu entre le
gendarme et l'espion, Curé 24; cf. de-Gubern. 202, V s'avilir, devenir vil, Voc., Aie. (avellacar,
qui les compare aux sergents de ville. On écrit mais je crois qu'il faut avellacarse).
aujourd'hui ~Ls~, Hist. Tun. 136: ~JLLuî ~o
£ ~r».
,a
Le n. d'un,
dans le Voc., où ce mot
a
est écrit avec un çad. Vansleb 101 donne Chàs
,
— Ce qui appartient ~auOjr^ à la cour du melieh comme le nom de la laitue. — ~j4Jt ~y«_>
plante sauvage qui ressemble en tout à la laitue et
dont se nourrissent les bœufs, M. — .L~J! (j*~->
courtisan, Aie. (cortesano, palacianode palacio real, sonchus oleraceus, Bait. I, 211 e, 367 b, II, 570 c;
et de gran senor) ; employé,serviteurdupalais tou-
tes les personnes attachées au service du souverain
; à,
dans le dernier article, il dit que ceux qui pré-
tendent que c'est ~J sont dans l'erreur. —
portent ce nom à Maroc, Hœst 181 Ché- ^^JO
u~Cîi II,
nier III, 166.;lU3- 1
la cour, tous les gens de la dipsacus.
(j*~>, Bait. 435 c, qui soupçonne que c'est
U
écrit t~L~", comme on le fait actuellement.
CI. O + garde-magasin, magasinier, Bc.
se trouve écrit de cette manière dans le man. de
M. de Gayangos d'Ibn-Batouta, où l'édition, II, 297,
a l'autre forme, dans les notes de Tornberg sur le
,
Cartâs, p. 367, dans le Gl. Djob. -
Jet d'eau,Be
j
.—~e
* ~CI
"* enfoui, Roland.
,~.L*~ voyez deux fois sous ~àie. (Barb.), voyez encore 'sJa£>.
Gr 5
.-j~u< cabinet secret, retiré, Aie. (retraymiento o
X—w—>-
paresse, fainéantise, Aie. (haragania). -
retrete). Avarice, Hbrt 245.
(jf~j~O- déficit; diminution, Bc.
politique,finesse, Roland.
écrit ~J~L>., 1001 N. I,55, 6af. - Cais- forme aussi au pl. elApo Aie., Bc. Les
sier, payeur, Bc. fakîhs donnent ce nom à celui qui sert les tyrans,
quoiqu'il soit au reste un honnête homme, M. — de ,
~0..0 ~>
de Chosroës, royal, magnifique, Fleischer
,
Ldclte, mou, paresseux, Aie. (floxo en el animo, ha- Berichte 82 sur Macc. II, 516, 20.
perezoso). — Avare, chiche, crasseux, ladre, m .., O 9
l'agan, ~j~—j~-~-, dans le même sens, joint comme adj.
,
pince-maille, Bc, M, Hbrt 245, Me. — Méconnaissant,
ingrat, Bc. — Ingrat, stérile, Bc. — De peu de va- à gLo«>, Macc. II, 430, 13; à ~vXyiô (chant, chan-
,
leur comme le
pain et la viande, l'opposé de M. ~ai, son), Macc. II, 516, 20.
A^UAJ> insolence, L (insolentia). — Mollesse,
(floxedad en el animo).
pa- ~SjL, chez Aie. pl. dommage,
resse, Aie.
fourberie, friponnerie, Aie. (vellaqueria).
u
Aie. (dano por uso de alguna cosa), Bc, Hbrt 194,
dégât, désavantage, détriment, échec, perte, préjudice,
,y ,
_j~> vil, Aie. (astroso). sacrifice; c'est dommage, tant pis, Bc; ava-
rie, Aie. (dano recebido en la mar). — Profanation,
~.LL-~- fretin, menu poisson, Gl. Manç. v° ~ÓjU ~J
à ~L~>~, 1001 N. III, 243, 2af.,
(voyez).
Bc. —
où l'éd. de Bresl. porte: PLZn4 lA «il ne
L.w.::.- I. __5»
vulg.
}
= la plante u~->) M.
c,-)
II, 215. ^-«*3» faible, M; ruineux, qui menace ruine (édi-
fice), 1001 N. III, 423, 10: ~';&' ~bûo ~J, 0' ~3
incommodé, un peu malade, indisposé, Bc,
I. ~J!
achetant ces deux
# ~(JLcj~?. ~CyA« qui veut perdre
chaikhs?» Akhbâr 4.5, 12 et
bt~->, dans l'éd.
O.
~Vw A~
de Bresl., IX, 205,
,
..1"-'> scélératesse, Bc.
oL~s" débarrasser. Chez d'Escayrac 421 c'est kaskanit.
~0rebut,
O,
perdant, qui perd au jeu, Bc.
Q'j
t *w,f>
°
détérioration, Bc. — Avarie, Aie. (dafi-o
vecebido en la mar).
-
Perdition, état d'un homme
hors la voie du salut, dans le vice, Bc.
— Coqui-
- Diw. Hodz. 226, vs. 8.
nerie, scélératesse, Bc. (jSXâh.
sonner en frappant l'un, contre l'autre (écus,
- o
adj. formé à l'ancienne manière persane
1
,'s-"
i.
bois sec, etc., M.
1 piocher,
-,
serpent est quand il se cache sous le
pont-levis
Vêtem. 285. — Porte, Vêtem. 285. — Caisse de bois
Amari 4, 1. 5 a f., p. 5, 1. 2. — Bière ouverte,espèce
de brancard, Bc. — Petite chambre de bois, Vêtem.
285. — If (arbre), Aie. (texo arbol conocido).
fig-, souche, sot, stupide, Bc.
de vaisseau, Aie. (tilla en la nave).
affût, Bc. — 0,,-J' X~~>- arçon, Bc.
- -
t'~=' — Au
X~~>- tillae.
~J~!
-
,
pique (arme), Bc.
a
les mains du criminel dans un instrument de bois et
l'envoya à un autre endroit pour y être emprisonné.
- C. ~e r. faire une conjecturesur, M.
1001 Bresl. 322, N. XI,
f., semb le formé,
2
du
y
de même que j&~<~-~>- (voyez) ou
,
V. ~a7ji ~0". roide de froid, Bc. persan (jS-lï ~,«
camarade d'école; mais dans le »
~--
v—A-ki»,
~oS
bois, forme aussi au pl. \-jL~-~,
, Bc. — passage des 1001 N., c'est un collectif qui signifie
camarades, compagnie.
y y CI ~1;
Le pl. de même que J~—c~!, le brancard
sur lequel on porte un mort au cimetière, P. Akhbâr 1001 N. Bresl. V, 312, 7, me semble une
49, dern. 1. -
OL-,j':>Î la charpente du corps,
,,
faute pour K~jLi~->- (voyez).
les gros os, M. - ~,o£
~-L~J~~ gaïac (arbre), Bc. ~.X.
- O
-
vulg. pour M.
- ~-r-::
y
t~J~>-
T pl. ~0', ou -ou ù£
espèce de dirhem, M.
- ~c.
ou (Voc.)
jo.'N
pl.
armoire, buffet, 1001 N.
~uDI Bresl.
~L.<~~>- ou
III, 470, 9;
VII, 117,10. C'est à mon avis le pers.
~aôL> ~U-:>, dont le sens s'est modifié
te
oit
M.
djân, de Jong.
Esp.170;levulg.dit
cf. Gl. Belâdz. 33 et Gl.
M.
~yoy
pain ou biscuit en forme
de croissant, Macc. I, 675, 11 et 12.
<~-> fourmis, de Sacy Chrest. II, 364, n. 37.
~~LX~ espèce de pain préparé avec du beurre, du
£«w»:L être sensible, être aisément ému, touché, atten-
1
dri,Macc. I, 829, dern. 1.: p~~->- ~**-5 car il sucre, des amandes ou des pistaches, et qui est en
pleurait quand il entendait réciter le Coran ou des forme de croissant, Gl. Manç. in voce, où la dernière
poésies érotiques; souvent chez Djob., p. e. 154, 9, syllabe est ~e, mais c'est une faute, car c'est le
208,11. Aussi c. ~.!, x5l\a3 ¿' «être ému,
même mot que celui qui précède et celui qui suit
touché, par sa piété sincère,» Abbad. II, 157, 6.
II (dans le Yoc. sous devotio), avec ou sans (voyez), à savoir le pers. ~uU O> «biscuit; » cor-
~co£
~t~RjJ!, émouvoir, toucher, attendrir, exciter la rectement chez Payne Smith 1164.
com-
ponction du cœ'ttl', Djob. 94, dern. 1., 135, 2, 142, 7, J~JLAX~ (ces voyelles chez Djauzî, pers. ~&ili isLïo»-)
150, 6, 151, 20, 161, 9.
ü":::"':> abattement, tristesse, Abbad. I, 258, 2. biscuit, Djauzî 146 rO, Maml. I, 1, 162. Dans les
1001 N. Bresl. V, 312, 7, où l'on trouve la descrip-
,
Me, Abou'l-wa-
de la conversation,) Ouaday 64.
lîd 805, 4, épais, brutal, rude, Ht; laid, Jackson 189,
,
X4~->- témérité, fureur, Ht. Haiyân-Bassâm I, 172 ro, en parlant des piétons
~j~.~>,
?
comme en syriaque, =° -£
Payne Smith
XitÀs» grossièreté, caractère de ce qui est
1405. gros-
sier, manque de délicatesse, de civilité, Bc.
S 9,,,,,
~5 tabac à priser, Cherb. Brusquerie, Bc.
-
p^.»*»»j»r>. i
Le pl. j^«. Lu> (aussi Kâmil 274, 9) et , ,
X~~-
~~-c" dans le Voc., foramina naris. — Le museau sier , grossièreté, caractère de ce qui est gros-
manque de délicatesse, de civilité, Bc.
Brusquerie, Bc. — Barbarie, état sauvage, Bc.
-
d'un chien, Abd-al-wâhid 127, 2. — Chanfrein, de- Chez les médecins, raucité dans la gorge.
-
vant de la tête du cheval, Bc.
X-~- raucité, enrouement L (raucedo).
~A"s I. • Le Voc. donne aussi et comme w ) >
X~j~~- balourdise, Bc.
noms d'act. — Grossir, devenir gros, Bg.
grossier, stupide, Ht.
- Etre - ùN ) o ,
vulg. pour la plante dite ~ULù~-, M.
,
brutaliser, Bc. — Approcher de l'âge de la puberté,
M. — Essayer un vase, M.
V. L~~X-~ en se tenant sur ses gardes, Cartâs
IV. Les habitants de la campagne £ o~JL~J~! 172, 13; mais la leçon n'est pas certaine.
~jS~uJ!, (dont la vie est dure,» Prol. I, 160, 11. — VIII, vulg., craindre, P. Prol. III, 407, 10, où
~viyJî oA->' Lo «que le froid est rude!» P. Becrî la leçon est douteuse, mais en ce sens dans le M
67,7. sous VII, sous ^u**S> V.
VI montrer de la rudesse, l'opposé de
L,sa-1- 1 c. a. p. et ~'-;-' r. gratifier quelqu'un de quel-
Sadi Gulistan 124, éd. Semelet.
1
que chose, Becrî 18, 11. Haiyân-Bassâm I,174r°:
pl.~QU*jȔ
balourdy personne grossière, stu-
pide, Bc. Chez Djaubart ce sont les gens du peuple
,
O
qui se laissent tromper, qui sont les dupes des char- ~LçJLa(1. s~~j) où Khatîb, 51 v°, donne: ~d
des astrologues, etc.
latans
dura, gordura en cantidad; ajoutez un n à la fin pas seulement c. j p. (Lane, Bc compéter), mais
du mot arabe).
s'emploie dans presque toutes les accep-
aussi c. a. p.; Bc a
~&J! ; »n.*>
sous échoir ; ;
au>r>.-?. ~w
(j~-"
incompétent c. a. concerner, intéresser
J.r" «
de quoi vous mêlez-vous? » 1001 N. ij£>Lai> et ~L~>-, réservoir, bassin, Gl. Edrlst, Dau-
Comme
«
dénom. de ~«J
<~a>,
il entoura sa demeure
~-~~ ~CT
)
chacun d'eux prit ce qui lui tomba en partage.
? w~as ~c
~A
Le~- ~t
d'une haie de roseaux,» Gl.
Belâdz. — Au Maghrib, manquer, faire défaut, être
»-
~w,
mas Y.A. 498, Macc. III,131,8 et
est écrit par erreur avec un hd, de même que dans
notre man.). On écrit aussi X*»,..?> (voyez).— Jet
d'eau, Bc (Barb.) ~(\m>).
14 (où ce mot
le nôtre a
~LPA-c; après <j~->-, le
man. de Vienne ~qÎ
(joy?>.
ïî
y
*i-i. concernant ; »v>L*Jî
~~LaJ! «pour ce qui concerne telle chose,
s
si de plus
4.vo),
II personnaliser, appliquer des généralités à un
je dirai que;» (j*oya£ > ~Cr3 quant à; — <joyas>
~ili
pl.
I, 520, 2.
domaine
lô., 4 a f.
131, 5 et 136. —
)
pas davantage Voc. (tantum),Prol.
àûoLài ~yï,
*
1 ~r. ,en
&.è
~-
)~oli»
s'emploie, comme
le synonyme ~uab- ~J-c, quand il est question d'une
II, 232,
particulier
~~L>-, pl. en
>La_*oL>
Qj et
iLâ-îywJî
voyez sous
-
<j~~-~ ceux qui
jouissent de la protection spéciale de Dieu, 1001 N.
- ~LP
qualité de
~àûoLs» seulement,
dern.
~jJbLj L'inspecteur du
du sultan, de Sacy Chrest.
~~c",
X~L~
courtisan, Voc.
I.,
I,
~Oî
uuo^1.
•
En parlant d'une femme,
aux larges hancltes, P. Abbad. I,
II. Lane doute de l'existence de ce verbe,
~!
39, 10.
,
28 rO, 29 ro, Djob. 96,
Abdari 49 rU:
yaZJ?
2 a f., 229, 7, Macc. II, 483, 10,
2,5,
III,
~&j5, J.
à la
1%
mais
parlant
sans
198,G,
679, 23,
A. 1849
milice
,
>
p. e.
- uAJuas»
, >
libéral, généreux,Yoc.
~oî
aJ~~La-~L « et ils ont pris des habitudes louables.»
~o ~Weljers28, 1et
~-~ns~! vivant dans l'abondance, très-riche, GI. au fig., succès, victoire,
BelAdz. 95, n. 115, Abbad. I, 37, 10 et 74, n.13.
juUJ> (Freytag) se trouve aussi chez Moslim, (H. 9 ~)
çy\as> soustraction, règle
d'arithm., Hbrt 122. —
Mosl.
Imputation, déduction d'une somme sur une autre, Bc.
yf O #
une chose; quelquefois on peut traduire
X.*lo.r> procès, Formul. d. Contr. 7: deux
per-
aussi condition, Gl. Badroun, Gl. Fragm. — Bonne
action, 1001 N. IV, 695, 8 a f. (où Lane traduit:
good deed). — Mauvaise action, Aie. (malhecho). —
os
m
Au fig" succès, avantage, victoire, Cout. 46 ro: ~je .~oL~be procureur, Aie. (procurador en los pleytos).
•
uXao•
m *• ,
s?^y>.-<u,
blancs, Voc.
I. kZJjjh
en parlant d'un cheval, qui a les pieds
£
iXaa2s > flexible, Gl. Mosl.
~l!5)L:a:> nom d'un oiseau, voyez Lane. Chez Ale,
~jJÀS* II revendre détail, Aie. (regatonear, où le hâ
,
en
on trouve kâdarrây, çumaya pastor ave, c.-à-d. fresaie,
doit être un khd; cf. sous regaton). espèce de chat huant. J'ignore si c'est le même mot.
V dans le Voc. sous virere. - y
~Hjy&à-verdure, Voc., Hbrt 46 (Alg.), Ht, M.
IX, en parlant d'un homme qui jeûnait beaucoup, L-a_*2a-i> daphne oleoides, Bait. 1, 468 b dans ; le
Most. v° t*~~) c'est K.~s~-.
73,làr_ ou
p)J~
1
~ald, Macc. I, 894,
seul, qses joues devenaient
noirAtres,» signifie: son visage devenait austère, sé-
4 (cf. Add.).— ~UyAe voyez ce qui précède.
~i
* nom de la Meloukhia, Mehren 27.
vère, Abbad. II, 41, 7, 120, 2, III, 195. ^5^yûai>- des pistachier, Carette Géogr.
pommes de
yaè».
ii,0
» 0 i »
~oS
verdure, Roland.
, ~y qui
Ce n'est pas seulement le ~pl.yai*
s'emploie dans le sens de légumes, herbes potagères
259.
*to*y K~- mulatres, Palgrave I, 458; —
espèce de datte ainsi nommée parce qu'elle conserve
(Lane), mais aussi le sing. ~CI ~aAie.
(ortaliza), sa couleur verte,même quand elle est parfaitement
mûre, Burton I, 384. — 'tJjxzS- marché aux
Martin 100, Cartâs 277, 15. — Verdure, herbes,
feuilles d'arbre vertes, Bc, 1001 N. I, 60, dern. I., herbes, Burton I, 374.
66, 13, 85, 4. — Gazon, pelouse, Bc. — La plante .Ln;>- le jardinier qui prend soin du potager, Aie.
appelée ~rW, thymus serpyllum, Most. sous ce dernier (ortelano de ortaliza), Hist. des Benou-Ziyân 97 v°. —
mot. — Espèce de datte verte, Pagni 152. — Livi- Revendeur en détail, Aie. (regaton). — Le fém. 8 her-
dité, Gl. Belâdz. bière, vendeuse d'herbes, Aie. (bercera).
m 0 ~) vert,
ut*2-, Voc.
sl~~- marché aux herbes, Aie. (havacera).
— Vendeur de légumes, Voc., M.
~J- ~bS
~as- vendeur delégumes, Lane M. E. II, 17. - ~n.~-!. En parlant de chevaux, ((chevaux
les Arabes considèrent comme vert le cheval que nous
verts;
1
Fruitier, qui vend des fruits, Bc. appelons louvet, surtout quand il se rapproche de
!"
~~a~ vulg. pour l'oiseau ^Uas», M. l'olive un peu mAre,» Daumas Mœurs 287; — cal)
de more, Bc, Ztschr.XVIII, 324, 2 a f., 327, n. ~3--
~O*
N espèce de datte, Niebuhr R. II, 215. Pas assez cuit, Daumas V. A. 254. — Sorte d'oiseau,
-
- ~it
I»jîyja3-, Bait. II, 366, où Sonth. traduit grilner YAcout I, 885, 6. ~ycasA ~:Sr ~,J J~-& gagner, se
Lauch. rendre quelqu'un favorable, Bc. pour
~O*
»&> vendeur de légumes, M. K~X30t (voyez -
Lane), Gl. Fragm.; ~pignon,
amande de la pomme de pin, Auw. II, 613, 18;— 45, lire,aulieu de Breel.carc'estainsiqu'il
~XI car c'est ainsi qu'il
~t&. signifie ~8^ »w>^Lc, M, avec ces faut lire, au lieu de p~', Bresl. IV, 148, 11; nom
~ijyré-
vers: d'act. Macn. II, 291, dern. 1. C'est pour
~ii, de même que la racine ~.J-> est devenue ~Jii.;
comparez aussi (dans Lane sous .-h..:> I) ~-b-> et
~p,
,
etc.
II sillonner, Aie. (asulcar, sulcar hazer sulco,
le fourbir, M. ~xLZJl ~t%4 xtajeu-s»
sulcararando). — «en lui écri-
révérer, vénérer Dieu, Alc, (reverenciara Dios).
:
1 vant, il lui donna ce titre,» Macc. I, 134, 4;*lala5»»
-
L donne: eiecit
n'existe pas, et
9
C. J p. faire une révérence à quelqu'un, Bc. —
,., oS<<-<~~
F j-«î3->5 un
en ce sens m'est inconnu.
tel verbe
~*JL.t U. «en écrivant son nom, il y ajouta lesépi-
thètes honorifiques auxquelles il avait droit,» Lettre
à M. Fleischer 80, 4,cf. 1. 6 et 7. — Canneler,
VI, Saadiah ps. 10.
VII se baisser, Prol. III, 416, 15.
325, 7
creuser des cannelures sur une colonne, Bc; Prol. II,
à où de Slane
,
traduit appliquer des moulures. — En parlant d'une
e~AH~- l'action de s'agenouiller, Aie. (arrodilladura).
femme, teindre ses sourcils avec du y ~k#
(voyez), M.
- Révérence, mouvement en se baissant pour saluer, Bc.
V dans le Voc. sous lineare et sous scribere, —
Se peindre les sourcils, Bc. — C. ~=" r., J. A. 1849,
é
446, 4 a f. — v—*jJLao^ de la croix,
Macc. II,441, 11 (cf. Add.). — Sillonner, L (sulco), porte comme talisman sur différentes parties du corps,
VocBc. — t_^uy *
51Smt> grisonner, Bc.
~yO£oî
- ~* ~H.la.>
J%a3-
ou qu'on brûle, pour qu'on puisse en absorber la cendre
délayée dans certaines boissons, Daumas V. A. 132. —
(voyez Lane sous la VIIIe) se trouve p. e. Bat. I, La géomance ou géomancie (cf. Lane sous la Ire forme),
- ~iJl
-
,
qui m'a été assigné par l'envoyé de Dieu.» Chez ~0" .,U. ~¡J-aJ,
Magie, M. — Filets ou fi-
laments qui sont dans l'urine,
Aie. (hilazas que pa-
les tireurs d'arbalète, faire la ~:ib Jautographe
(voyez ce mot), rescen en el urina). ~— im-
Maml. II, l,
74. -
!<.!k\c Jai»
sa barbe commençait
à pousser, M, Macc. II, 643, 6, 1001 III, 250, N.
périal, brevet, Bc.
~S
- Sillon, L (sulcus
o
.En>»,
~- lisez
5 a f.
-
~M"J J~
ronfler, faire en dormant un
bruit de la gorge et des narines, 1001 N. I, 835,
'Voc., Aie. (sulco de arado, sulco en lo sem-
brado, ~,U t.5.,..)- *** sulco para sacar el agua),
a
14, 836, 6 a f., II, 547, 6 f., IV, 339, 8, I, Hbrt 178, Bc, Auw. I, 197, 6, 306, 4, 356, 11 et
12. - Nom d'une singulière espèce de détention,
chasser un chien,
Aie. (exe como lo dezimos al perro,
Nebrija traduit en latin exi).
kitt;
«l'emploi de
Haiyân-Bassâm
,»
de vizir,,, Haiy&n 76 vo, Haiyân-Bassâm I, 128
I,
y0.
«UaaJI £hs», Macc. I, 134, 12, Prol. I, 48, 8, ou
(1.
~Jû> pl. JoJa=> arrondissement, district , Bc; ka- xLm!! voyez sous De Sacy, Chrest. I, ~IH,2
kem ) el kott, «chef de canton, ». Fesquet
a f., 410, n. 63, a cru qu'il faut prononcer
25. -
~&
Au Caire, quartier, Lane M. E. II, 261.
que ce mot signifie proprement une place, dans le
et
i
223, 16, II, 163, 3, Becrî 172, 9, Berb. II, 84, 5,
Haiyân 29 vO: ce prince dont le règne fut rendu si
S y
~Xh:>, ne confirment pas
lification que l'on donne par honneur ;
cette opinion. — Titre, qua-
les titres de
,
Çadr ad-dîn, Chams ad-dîn, etc., sont des ..b..11.,
~-~-J jeu de la khitta, » a lieu lorsque
le Djob. 298, 10. — Je ne comprends pas bien ce que
, «
des oiseaux ont été abattus à la chasse. Voici en ce mot veut dire chez Macc. I, 884, 2af., où c'est
quoi il consiste: les tireurs se réunissent pendant la
l'opposé de ~xsuo (lisez ~Ls, avec Boul. et L, au lieu
nuit chez celui d'entre eux qui occupe une position
honorable. Il leur fait apporter des confitures, des de ')},), — Ki~ (~c
«I « ta mère est dangereuse-
friandises ou des fruits secs. Le tout est déposé au- ment malade, »
1001 N. Bresl. XII, 352, 4.
près d'un des tireurs. Celui-ci en détache successi- .;." l'astrolabe linéaire,Klial-
vement une petite portion, qui est placée au milieu
de l'enceinte, à côté des oiseaux morts. Auprès des lic. IX, 24, 4 a f.
confitures ou des friandises, on pose un vase rempli l_kus> Kxkis> ~Xxus-).
et lance, Voc. (cf Lane sous
d'eau. Les tireurs s'asseient en cercle autour des
oiseaux et des confitures. Chacun d'eux tient à la JJu;¿.. poudre, Bait. 1, 28 d: quand on brûle ce
main un nedb de balles. On en prend autant que
l'on veut, on compte les personnes présentes, et on
bois, la cendre en est ~noire LLjLixj"- , &-J~t-\—~~-X—
<-~><~=JJ (la voyelle dans B).
fait la division en proportion de leur nombre. Celui
à qui échoit la confiture, la mange, et celui qui est j,,.,,b.-> poudre avec laquelle les femmes dans les
à ses côtés boit l'eau. Quelquefois, une même per- villes se teignent les sourcils, et qui est faite ordinai-
sonne obtient deux ou trois fois une part de frian- rement de fumée d'encens, M.
dises, et une même personne boit l'eau deux ou trois ~y9
w '.:".6> linéaire, Bc.
fois; ce qui excite dans l'assemblée des ris prolongés ~lS
et une vive allégresse, Maml. II, 1, 74. ~kl écrivain, maître à écrire, Bc, Hbrt 111.
~Xh
S ):>cause, procès, Müller 2, 1. 3, 12, dern. 1. ~Lft-~-
~X une femme qui excelle dans la calligra-
—
Charge, emploi, dignité, administratwn, L (mi-
nistratio (et subministratio et ministerium),Voc.
(dignitas), Gl. Mosl., Haiyân-Bassâm I, 88 ro: ~W,
y_.t-r->
~JL~ ~X~3
et
manquent le but»).
£
1001 N. I, 590,11: L^XxxLi>
c'est toi qui es responsable du crime
~0'
II dans le Voc. sous predicare. —
fiancer, promettre en mariage, Bc.
III c. a. et ~if' et VI, dans le Voc. sous epistola.
j s->.~j~
of destroying lier).
li
de l'avoir tuée» (dans la trad. de Lane: the crime
—
Amende, lit, Sandoval 321-2, Hist. Tun. 129:
fait
*•O )
KXL>.->
le
, prône, signifie aussi un endroit où l'on
prône, c.-à-d. une mosquée, Khatib 13 v°:
~^sLLi—> (proprement: de Catay, c.-à-d., du Nord
do la Chine; la première voyelle selon Bat. IV, 294) X*~hri» seul: la prononciation de la formule du ma-
nom d'une espèce de soie; Yâcout, I, 822,nomme
:
riage par le prêtre, la bénédiction des fiançailles, de
cette étoffe parmi celles qu'on fabriquait à Tebrîz; Sacy Chrest. I, 365, 4, 6, 368. -
Dans les diplô-
Nowairî Egypte, man. 2 ~»w, 171 ro, en parlant de
la vaste tente de Berekeh-Khân ~Cr ~i mes, la formule préparatoire
~alil t\„».>,
~aJJ
suivie parfois de quelques autres mots;
ou ~IXJUJ ~Làî
,
écrivains persans, p. e. chez Mirkhond, Hist. des dailles, fiançailles, Bc, mariage, Aie. (matrimonio);
Seldjoukides, 11, 5 éd. Vullers.
— bague de fiançailles; ~'XJLJÙ-«rompre les fi-
2
pêcheur, forme au pl.
.~1?'~ (vulg. pour ^IsLs»), ançailles, renvoyer la bague,w Bc.
iilLs», Bc.
de
—
xlL>l3- une pécheresse, c.-à-d. une femme
,
(casamentero, casamentera) une est une femme
dont le métier est de s'entremettre pour assister des J~3, venir près de, Gl. Edrist (où il faut biffer
hommes qui veulent se marier, Lane M. E. I, 235.
la citation Cazwînî II, 297) 10, car au lieu de
KxLJ^vo
(voyez Lane) se trouve Diw. Hodz. 35,15.
on doit y lire et dans celui de rend-i-e visite
fiancé, , 6 - Aie. (esposo), Roland, c. J p., Bc; à quelqu'un, Mohammed ibn-Hârith 309: &.à.r- r-
fém. 8 épousée, Aie. (esposa).
r
II dans le Yoc. sous transire.
sourcils avec du poudre qui est faite ordi-
nairement de fumée d'encens, M. IV. il fit mention de lui, Akhbâr 142, 0.
«;
transeo,pretereo, preteriens qui preteriebant
(.J.!~j~
y > ..-n~J!,
, sic), transiliens (^IaL>), trans-
Ht, Delap. 24.
III, 391, 2 a f., Abdart 80 .Lx~ à tS..I..h-:>, si la leçon est bonne, doit avoir un sens
vO:
.,bw- - c. passer
près de, Gl. Edrisi, Mohammed ibn-Hârith 207:
- y
ujLwJ! (j*uL>)
Q Lv»JL>>
*
(ponton puente de madera). — Fers aux pieds, 1001
J'ai
.~JLb. eu raison de traduire ~~Laj se
loger chez quelqu'un, dans le passage du Bayân ('Arîb),
I, 171, 6 a f., et c'est à tort que j'ai rétracté cette
'àjLLai- pl.
N. Bresl. IX, 366, 9, où l'éd. Macn. a
bascule
c'est une longue piècede bois; à l'un
pour puiser de Veau;
des bouts pend
traduction dans le Gl. Edrîsî; voyez plus loin le seau, et à l'autre bout est une pièce de bois ou
une pierre pour faire le contrepoids; dans la basse
Aussi c. v p. rendre visite à quelqu'un, Mohammed latinité ciconia (voyez Ducange), en espagnol cigonal
ou cigitenal; voyez,
outre les passages cités dans le Daumas Mœurs 283 n. pour lui plaire, Ztschr.
CH.Edrisi: Voc. (ciconia putoi), Barth I, 351, III, XXII, 136. '~LbL~- par égard pour vous, Bc.
116, V, 427, Mohammed ibn-Hârith 260:
tj~a~j~JLj —
«jJjiîldP. à votre santé, Bc (Barb.).
— par t~-~
compère et par commère, par faveur, recommandation,
Bc. — à la merci de, à la discrétion de,
Bc. — A_i»l amadouer, caresser pour attirer
,
à soi, apaiser une personne irritée, choyer quelqu'un,
complaire, chercher à se raccommoder avec quelqu'un,
Bc, 1001 N. I, 334,4af., 403, 15et16, 445,6
a f., 453, 8 a f., IV, 21, 14, Bresl. XII, 361, 13;
1 - - 22. en parlant de deux personnes, L~J.?L~I Macn.
coup de monde?» Martin — Même pl., hôte, qui
est logé, Bc, Ztschr. XXII, 86, 7, 154. — Esprit; III, 225, 3. Aussi w.LL>
« »
.f'LAl présence d'esprit, Abbad. 1, 245, 1. — irritée, 1001 N. I, 451, 9.
apaiser une personne
- ~L>J~>!,
c de ou
r",5,;k'->
8. — Humeur, Bc, ;
Ht
»
«462;
J-,,' je dis en moi-même, Macc. II, 517,
la bonne
humeur,» de Sacy Chrest. I, triste, à «j—"l—s- faire compliment de condoléance à
M. — Talent poétique, Abbad. I, 297, 10. — Affec- quelqu'un sur, Bc. — prendre congé, Bc;
tion, Ht. — Disposition, sentiment à l'égard de, Bc.
Complaisance, Ht. — Souvenir, Bc;peut-être ce
«f,.U,*>• il prit congé de lui, 1001 N. I, 647,
c.-s(y
— dern. 1., II, 88, 8 et 9, 109, 6 a f., 471, 2 a f.,
mot a-t-il ce sens chez Macc. III, 751, 14, où une 477, dern. I.,
478,10, III,223, 3 et 4, 550,3.
personne qui se trouve en danger, dit en invoquant
(jJ-*~ L «souviens-toi
un saint:
de moi, viens à mon secours!» — Envie, désir, fan-
adieu, , se fâcher, se cho-
quer de,ML. — il donna spontané-
taisie, disposition, volonté, Bc, intention, Ht, M: =
U*JuLt\ u>-,j «j'ai envie de visiter Jérusalem;» ibid., de conséquence (personnage), Bc. —
.4-LaJ!~ K~! (~3~ «ayez la bonté de me donner
envie de manger un peu de viande rôtie. » — Gré,
l'encrier, la plume,» Bc.
guise, plaisir, volonté, Bc; t^5-kL> à mon gré,
an,
vieille partit pour plaire à la princesse;» III, 206, 13:
cette mule fait en un jour le trajet d'un
très-cher à crédit ce qu'il rachète aussitôt à très-vil
prix, argent comptant, Bc; cf. Gl. Esp. 316.
Mutar> jeune fille enlevée par sonamant, M. I, vulg.>-, franchir, passer au delà, Bc.
hirondelle, Cherb., Ht, Daumas V. A. 432; Y passer par une ville pour se rendre dans une
le même mot suivi de el-meqaouss, martinet (oiseau), autre, Abbad. II, 159, 12.
Cherb.
\JLb:>,
hirondelle, n. d'un. ~,Voc., Aie. (golon-
5 )
~1-~ chemin, L (callis /a.;~j~
a^Uaiî Kiul-41 lézard, Domb. 66.
»^ia£>).
,
mains, Bc. rarefacere, — Se dégarnir, se vêtir légèrement, et
II alléger, surtout iujjp., «
»
le tribut, et simple- le part, en négligé, Bc (cf. Lane), R. N. 104 r°:
ment
à payer. »
v»J»às>
«il diminua le tribut qu'ils avaient
Ceux qui jouissent d'un tel privilége s'ap-
pellent s~L~-sL-sKj! G1. Belâdz. — Eclaircir,
Ki*i-e , turban léger, M. — C.
unn p., comme la
Xe, mépriser, Haiyân-Bassâm I, 128 ro: <~)UL~
y
diminuer le nombre, Voc., Bc, Haiyân-Bassâm III,
—
Exténuer, t. de pratique, Bc. — Eviter d'incom-
moder quelqu'un par unevisite (l'opposé de « ilfut bientôt en état d'apporter un grand soulage-
II, 550,
ment au souverain dans l'expédition des affaires (de »
est J..:.:ill), Macc. 18. — lo.çw..;:;.. if ;
Slane), Berb. 1, 472, 5 a f. cf. sous la Ire forme.
—
Macc. I, 472, 10, ou
v_àiL=>,
A-Mfcâi
1
\~RA~-, partie.
dégarnir, se vêtir légère-
Rareté,Voc., Aie. (raleza). - ~L~-.>- accortise;
<::,;u..:>,
ou se ,n~J! ou amabilité, Bc; aussi
ment, et spécialement mettre des vêtements de nuit,
Vêtem, 160; ~j~~JLL!
lit nouvelle mariée ses
L~JLc
s
Lo
vêtements de nuit,
«on
»
mit à
ibid. 161.
Voc. (placencia). —
fre pas patiemment, L (inpatiens
impatient, qui ne souf-
KA~- J~Xj~ .#-).
— Chez Aie. t~aA-~ est «apitonado, » et \R-~'J pierre légère et poreuse, M; je pense que
c'est pierre ponce, comme le mot qui suit ici.
Ilapitonamiento,); tandis qu'on trouve chez Victor: ~L~>- pierre ponce, Pagni MS (kafèf); cette pierre,
apitonado como cavallo, qui appète quelque chose, qui
qui est en effet extrêmement légère, est nommée
a quelque ressentiment de ce qu'il a auparavant vu ~H~a~ \jauSi\ dans Amari 2, 1. 7.
ou goûté, furieux, furibond, transporté de désir ex-
cessif, et: apitonamiento, ressentiment, (tppétit de la \Jusu>- léger, vain, étourdi, Ht, Aie. (liviana mu-
chose auparavant goûtée, furie, transport de désir.
V être agile, Mohammed ibn-Hârith 307: Solaimân ger K~j~>); aussi j.,iiaJ' ~u~>-, Aie. (liviano onbre).
étant dangereusement malade, Hâchim lui écrivit — Adroit, Hbrt 89. — Clair, rare, peu compacte,
Voc., Aie. (adrada cosa rara, rala cosa rara). — Re-
posé, délassé, Aie. (descansada). -
\~R~>- agré-
.,--,
,
111.
..,
M; aussi
e;'}\
~ML=", Voc.,
quii a l'oreille fine, Bc. —
M. -
voleur,
x-~*-!~ JLJ>-
libli
U
..I..R:> et aussi -&—>-, Gl. Fragm.
I.
1 s'affaisser, s'écrouler, tomber, Bc, vulg. pour
le mot n'a pas de points diacritiques. uÂJwi», M.
VII se défoncer, perdre son fond, Bc. Dans les
VIIaÀ'n être faible par suite de la faim, M. 1001 N. Bresl. III, 331, 13, où il est question d'un
certer secrètement pour Berb. I, 390, 1, où il LXUL;.. II. j~JLc ~aJL~ chez Macc. I, 633, 16, si-
a ~,
digèrent, pour interpréter la Michna, un livre qu'on
VII se baisser, se coucher,Saadiah ps. 10, cf. M. u.
nomme le Talmud, tiVJù' £ ~t*~ &.15
- T. de médec., être faible (pouls); — diminuer
(fièvre), M. «
dans lequel ils supprimèrent beaucoup dé
choses que contenait la première Michna,» et ils
dans le sens de terre basse, forme an pl. ajoutèrent de leur chef de nouvelles ordonnances. En
Gl. Belâdz. parlant de l'amour, l'éteindre, et en parlant d'une
y+O$O5au
III,221.
tranquille (vie), Abbad. II, 161, 10, cf.
,
~JtjJ? ,
Baclroun 90, 15 (luth). C.
(1.
nom ~-a-~~);
- y
d'act.~,
r., en parlant de la
langue de celui qui prie, semble signifier prononcer
avec émotion un mot, p. e. le mot amelt, Djob. 95,
O
Fragm. ;
fuser, Aie. (negar lo pedido).
V se déguiser, se travestir, se masquer, Bc, GI.
incognito, Bc.
VII dans le Voc. sous abscondere. — DissÙntt-
ler, Ht,
VIII c. p. se cacher auprès de, chercher un
102, 10. — Dans le sens de palpiter
sAc.lj\r«obLJlj, refuge auprès de, Borb. I, 587, 7 a f. — Etre tout
(cœur) et dans celui de briller (éclair), le Yoc. donne à fait changé, 1001 N. I, 346, 12:
où l'éd. de Boulac porte : ¿Jl.:> et celle de Bresl.
II c. a. dans le Voc. sous fulgurare et sous cardica X se déguiser, se travestir, 1001 N. Bresl. VII,
pasio. — ~*ravaler, t. de maçonnerie,cré- 94, 2, Gl. Fragm.; le partie, qui se trouve dans les
deux premiers passages qui y sont cités (chez de
pir un mur du haut en bas, Bc. Goeje «clam aliquid fecit»), peut se traduire par
V dans le Voc. sous cardica pasio. incognito; cf. sous la Ve forme.
l3Lid:. palpitant avec violence (cœur), Weijers 24, O 5 (cf. Lane
îLaJi3- sous la Ire forme) clandestinité;
dern. 1., Abbad. II, 223, dern. 1. — Louangeur, M
furtivement; & à la dérobée; X-~jL~
en tapinois, Bc.
femme mariée, est celle qui, ayant faim le matin,
demande différents mets, R. N. 31 ro.
pl. LLM>- recoin, repli du cœur, Bc. — Man-
~Ë3L>- ciment, mortier, stuc, Bc, Hbrt 191. ?
teau Vêtem, 168, mais peut-être Ker Porter a-t-il
XAJLSLS»- grand plat (sorte de vaisselle), M, 1001 eu en vue un autre mot en écrivant«kaffia.»
N. I, 224, dern. 1. K~à~j déguisement, Bc.
X~a~e, pl. ~-~L-~L~, est
vas dans le Voc., chez
SJÀÈ> le temps entre le dernier et le premier quar- Beaussier sorte de pot et jarron (Tunis), ce qui prouve
tier de la lune, M que Dombay et la Torre ont eu raison d'écrire ainsi
et que le K~-~e de M. de Gayangos est une faute,
I, aor. i, cacher, Bc. de même que le K~s~ de Sousa; voyez Gl. Esp. 171.
De là l'esp. almofia, sorte de plat ou d'écuelle, C'est
un mot maghribin.
diteur a eu tort d'écrire ce mot avec un dhamma).
Bas-fond, terrain bas et enfoncé, M.
-
~SL ~k1L> acidité, aigreur,Voc.
1appliquer un séton, Bc.
II calfater un vaisseau, Gl. Djob. — Confire dans ",\.id. séton, petit cordon passé à travers les chairs
du vinaigre, mariner, Bc (cf. Lane) Auw. I, 22,
,
6 a f., 685, 1, 12, 688, 2 a f., Ztschr. XI, 520. pour faire couler les humeurs, Bc. -
JJLjtJ~ ~JJuS.
ou ~JJmJ! j. JJL~- aliénation de Vesprit, démence, Bc,
IV c. y, dans le sens d'omettre (Lane), est fré-
de Sacy Chrest. II, lo, 9. — U J~L~ pendant que,
quent, p. e. Aghânt 39, 5, Macc. I, 341, 14, et ce
verbe a au fond le même sens chez Khallic. I, 37, Bat. I, 309.
:
13 SI. Jamais je n'ai rencontré un homme plus poli: ~U->- cellulaire (partie du
corps, membrane),
quand je sortais de chez lui, il ne disait jamais:
«
Page, donnez-lui la main!» mais « Page, sortez : ~JJL> , dans le sens de fente, forme au pl. JJL>,
Bc.
i
Lgj, ce qui signifie, je crois: «.Je lui dis à plusieurs Epingle, Gl. Esp. 114. — «Les khelal sont des
reprises que c'était une expression insolite; cependant broches avec boucles qui servent à tenir le baïk sur
il ne manquait jamais de s'en servir,» et non pas, les épaules des femmes, »
Prax 28 n. cf. le même ;
comme traduit de Slane (1, 72): ,1 look on this R. d. 0. A. VI, 339. — Dans le sens de cure-dent,
expression as free from alloy, and (though he uttered
ce mot forme le pl. en ot, Bc. On dit
»
L'expression ~i~?. ) J~L~, 1001 N. I,
it), he will not be the poorer.
P..i34 signifie: «,ils n'ont rien omis de ce qu'ils
avaient à faire,y Gl. Belâdz. — Déparer,rendre
~C) 334, 11, dans le même sens que
ibid. I, 346, 13, ou simple-
ment J~-~ JLao I, 548, 13, IV, 61, 3, «il devint
moins beau, Macc. I, 171, 2 a f.
V c. a. et entrelacer de, Abbad. III, 43, 10,
y »
aussi mince qu'un cure-dent. — Séton, petit cordon
passé à travers les chairs pour faire couler les humeurs,
Bassâm III, 2 ro (où le pronom se rapporte à «ses
M. — Fausset, brochette pour boucher, Bc. — Les ordu-
poésiesB): ~e
.f>,t (~j LgJJLiiû.
- S'épingler, res entre les doigts dupied, Niebuhr B. p. XXXIlI, — Jour
Daumas V. A. 184.
naigre,Voc., Bc
- S'aigrir, tourner
(cf. Schultens dans
au
Freytag),
(en) vi-
Auw.
odorant, Sang., qui cependant n'indique pas de voyelles.
£
ÏLWL > aigreur, rapports que causent quelquefois
II, 420, 15, 20. les aliments mal digérés, Aie. (ahito con azedia, azc-
dia de estomago, azedura). — Nom d'un mets
~J> jus de limon, Chec. 198 v°.
- s-~-*~~ J-6. ou
A), 140 d.
1 ,."
XUL^Ui* robe, Bc (Barb.), tunique,
,
1, 223. Couper la digue
pl. ~oî,aufig., déception, tromperie, Gl. de ce canal pour l'inondation périodique du Nil,
Fragm. 1.
s'appelle ~JL~ J-.s', Koseg. Chrest. 121, 4.
scher 63.
~croc
touchers pour
— L
,
~Ls" charmant, enchanteur, Lettre
: fallacia ~'L>~ ïJuiXé*.
à M. Flei-
~~jLsL I,
; j'ignore
orner une
G o>
~JL~*. L donne: salisvator ~.)L~
femme
-
Un tel mot
et si salis-
,
compacte, plus meuble, plus légère, quand on l'a- taupe ~(iAJL^uI), M. — t~JL~- persévérer dans le bien ;
meublit au moyen de la charrue, etc., afin que les
Aie. (perseverar en bien).
;
plantes puissent y prendre racine. Le partie. point
serré, Bait. I, 30 f: ~(Xolic, 71 f: ~La&! II se construit avec deux accus., laisser quelqu'un
~J!
I,
aJL^OLs^x '4 x. — Raréfier, Voc., Prol.
155, 14: On a constaté que la chaleur dilate l'air
perpétuellement dans un endroit, Athîr X, 402: ~sjJo
,
~vjî xJic - On emploie le nom d'act. (joj.Li>
> 609, M, Bat. III, 411, 412, 427, IV, 159, Inven-
là où
nous mettrions un adverbe, p. e. Bidp. 138, taire: L~L~ ~&' o~'-~~ u~L~?. O* !Sfio'" t<~3~
«
dern.1.: celui qui attend des hommes la récompense
du bien qu'il fait, mérite d'être désappointé, car il
:
ibid. l'héritier a été mis en possession de tous les
se trompe ~alîl
~-~LJJ~Jtu~.L> «en ceci, que
ses actions sont tout à fait pour un autre que pour constr. c. a. et Arracher, 1001 N. II, 25, 16:
~Q*. —
Dieu» (explication de Weijers). — Se sauver, faire
son salut, Bc. -
~-~jLc ~aï (j~'> retirer son
enjeu, sortir d'une affaire sans perte, Bc. — Expirer,
~&j Q* LojtJI Bresl. IV, 320, 2: il trouva
dans son filet le cadavre d'un chien, sLe.~ iu>aU — £
aufig.,finir, être fini, Bc, Delap. 92, 94; <j~L>- ou C. a. r. et ~0" p. tirer de quelqu/un l'argent qu'il
L*~L>~ c'en est fait, tout est fini, Bc; ij^L3- c'est doit, Bc ~(aJi>
MA vab), de Sacy Chrest. II, 182,
,
:
12 ~aJU L^o^Li- 13--,11 «ils voulaient la lui arracher.» ~s.H (j*a.Ls>
se revancher, rendre
— la pareille, Bc.
— C. -l-.-s1.
~J.'
p., U ce qui ressort à mon (jq-I—>• arrêter un compte, le régler, Bc. —
esprit, Auw. I, 227, 6. — C. J p. appartenir à,
J. A. 1843, II, 222,6 a f.: o^>) ou*13- ~uL> (j~JL~ redressement, action de redresser des
~fi—«le
: ists- se faire justice; &jL---
(1.
u
~LJ1
satisfaction, se satisfaire soi-même, tirer raison d'une
468 » A *>• AÎ Berb. 1, 69, 4.
Aussi c. ~J.'- offensc, tirer vengeance;
el venger quel-
p., Formul. d. contr. 2:
,
ài *-.2.5 ~&&>
,
Hbrt 148. ~cJ-> u-:'2L.> réparation, satisfaction
extrêmement grave s'est accompli.»— C. venir au-
près de, de même que la Ire, Abbad. III, 209, cf.
Macc. I, 403, 11 et Gl. Abulf. — C. J p. avoir le
d'une injure, etc., Bc.
-avantageux, -
~àLo (j~L>- franchise, 15c.
&~L>- ~wrY ~<.> Js chacun sait ce qui lui est
pouvoir de faire quelque chose contre quelqu'un, Bad- Bc.
y>
roun 131, 11. (JOJLP- amitié, Bc.
X. De même qu'on dit ~&maJ ~~JL~-~<! dans le *-A£>bL_s>
purgatoire, Voc. — Restes, Voc.; mais
sens indiqué par Lane, on dit ~ajJjvAJ &.»n. dans la lre partie X~~L~>.
Berb. I, 92, 12 et 13, et ~~-s~.! seul, Mohammed
~xobL> résumé, M, de Sacy Chrest,
ibn-Hârith 231, Haiyân 95 r°, Haiyân-Bassâm I, II, Vf, dern.
128 vo, Weijers 20, 11, Berb. I, 39, 1, 60, 5af.,
364, 11. -Arracher, Berb. I, 68, 14. — Recouvrer,
1.: ~xo^Lr>
695, 18. — T. do médec., quintessence,
Macc. I, 485, 2 a f., 11,
M. Ami
Koseg. Chrest. 78, 3, Khatîb 67 vo:
~J*JJ~~[J ~L<~ (j~~LsX~!.
- -
&~bL=~
Recouvrer, se fairepayer
une dette, un tribut, Bat. III, 437, Amari 385, 5 a f.,
chement ,
intime, Berb. I, 162, 9. — ~SJSÏ.nettement, fran-
Bc.
(joblî- corroyeur, Alc, (çurrador de cueros).
—
1
exclusivement à, Haiyân 64 rO: les Mowallads ayant 360, Haiyân-Bassâm III, 141 ro.
été presque extirpés, Séville appartint désormais aux ~u-J~-- échappatoire, expédient, issue, porte de
derrière, faux-fuyant, subterfuge, Bc. — T. de rhé-
tor., dans le sens de ~j~JL~j
- < (cf. Freytag, et Mehren,
(j~L>- est proprement le nom d'act. de la Ire forme ; ;
Die Rhetorik der Araber, 145), la transition d'un
mais employé comme nom d'act., ce mot a quelque- poème quand le poète passe de l'introduction au sujet
fois le sens du nom d'act. de la IIe forme. On l'em- de sa pièce, Ztschr. XX, 592, n. 4.
ami,Voc.
~'-vo ami, Voc,
va-L-<vo, chez les chrétiens, rédempteur (J. C.),
y
l'argent d'une manière licite ou illicite. — Faire lemal,
Mohammed ibn-Hârith 273-4: quand ce personnage
,
fut devenu «bLail il dit à ses subordonnés:
Hbrt 148, M. — Rond, franc, sincère; gaillard,
hardi,éveillé; leste, peu délicat sur les convenan-
ces; ingambe,Bc.
fluoLku (les voyelles d'après B de Bait. II, 491 e)
comme adj., <~JL~~-L! ~—tL~~J~ les Intriguer, Ht. — De même qu'on dit: Jrt I r>
jardins qui appartiennent au domaine particulier du
sultan, Gl. Bayân 13, 2 a f. — Comme subst., le
~piiM (voyez Lane), on dit: -Lw,)t JJiJî
- - ',hL:>
«ils firent naître du désordre, ils suscitèrent des dis-
domaine particulier du sultan, Gl. Bayân, Macc. I,
9, 3;
130, 245, a f., III, 436, 22, Mi'yâr 10, 1 (où sensions, entre les princes,» Abbad. I, 224, 10. —
il faut lire ainsi voyez Müller 63), Khatîb, man. de C. ~,&L<<jJ!(jJjL>! £ ~JaL> «il fit entrer dans son
l'Esc., article sur )-j,56 ~e J-.oÿ-A: lorsque Yousof harem des femmes de différentes races, Abbad. 1,»
ibn-Téchoufîn se fut emparé de Grenade, ~Le~a piXï 245, 9. — C. à s'occuper d'un art chimérique, p. e.
-jO~ I.
sultan, Becrî
;
cer, assortir différentes couleurs, Aie. (matizar en la
pintura les radicaux sont chez lui ktl, mais c'est
~Joli- par transposition, car le synonyme qu'il donne
«uài £ ~>3
° il
;
lui tordit le cou, Koseg. Chrest. 87, 8.
VII être mêlé, Voc. dans un passage des Prol.
chez de Sacy Chrest. I, 39, 6, mais l'édit. (I, 404)
est ~yCc. I, et sous mezclar il a JjL> 1 et <z II).
a la VIIIe forme.
II, absolument, mettre tout en désordre, Abd-al- VIII s'embrouiller, Bidp. 271, 4 (en mêlant les
— En parlant d'un malade, mangerou
wâhid 27, 16. deux manières de marcher; cf. la note). — Etre d'une
— Aussi en parlant
boire ce qui est nuisible, M. origine suspecte (propriétés), Becrî 166, 10, 169, 11.
£
d'un malade, &-A&S JaJLs> délirer, M.
— Etre
— C. C
contracter, former des liaisons, fréquenter,
changeant, variable, faire tantôt ceci, tantôt cela,
avoir un fréquent commerce avec, Bc. -
-bM—X—=>!
:
Haiyân-Bassâm III, ~5v° JajJUsti! pT
Jj, car tan-
~fSLÊiJt
(cf. Lane) crépuscule, Voc.
tôt il s'adonnait à la dévotion et à l'étude, tantôt -
JaJLs> discours frivole, vains discours, M. — ~Jais»
;
au plaisir et au vin; cf. Fakhri 283, 4 af. aussi en
parlant de la manière de s'habiller, Fakhrt 306, 2.
~.bM pêle-mêle, Bc.
Chez Macc. II, 159, 2, JauuJLiîLJt est acquérir de JJ..> (voyez la première signif. chez Lane) doit
III, .IjU?~e du vin vieux dans lequel
se traduire par substance, ingrédient, M, Masoudi on a mis du
moûty Aie. (remostado vino). -
Jb^JLs? t~>~.
qui
y
a les sourcils joints, Aie. (cejunto).
~XL pot pourri, mélange de viandes, légumes
..r>' Bat. IV, 41, 199, 1001 N. II, 131,3: etc., Bc, mélange de lentilles, de riz (ou de borghol,
voyez) et de pois chiches, M; au fig.,discoursmê-
un miroir fait -bbL>î ~q* «de différentes substances.»
— Sorte, espèce, Ictifâ 127 vo: un miroir que Târic
trouva à Tolède ^aïLacj )L>el ~JsbLM Cr BjJtXo oôtf.
;
lés, morceaux sansordre; salmigondis, mélange con-
fus de diverses choses pastiche, tableau rempli d'imi-
tations; composition mêlée, Bc.
— Mets
~gSI.
froid,
composé de plusieurs ingrédients, Bait.
—
.i~L-s"~ les quatre humeurs (le chaud, le
l'humide et le sec), Prol. III, 198, 11. —
I, ^0
~i~L~Ue
~LL I. Le
n. ,
compagnon, camarade,Voc.
d'act.Abbad. II, 158, n. 15.—
Déboîter,disloquer un os, démettre, Bc, Gl. Manç.:
~c, ù" --
r CI j.~ ël> O
,
o ~JL>~e- ijjü ù"
Abcès, apostème, Aie. (postema). — ~JaL
~J!. On dit aussi y4J'&>' 1001 N.I,
,
mêle, p. e. hommes et femmes réunis, M. 642,
¡bJ-:>
G
E. II,
de fèves, de riz, d'oignons, etc., Lane M.
282.
de Lane, I, 617, n. 69. — Desceller, détacher ce
qui est scellé en plâtre, Bc. — Peler p. e. des
graines de sésame, c~JL~JH Bait. 1, 444 c.
,
;;hl:> mélange, mixtion, Aie. (mezcladura, mezcla);
VIII.
être
5
Lane et Beaussier.
cr*
exilé,Abou'l-Walîd 392,
être enlevé à sa patrie,
34. 62,dern. 1.
& hémiplexie, M. 8«
~JL~e déhanché, disloqué; -
dandin, sans con-
tenance, dégingandé, Bc. — Paralytique, Hbrt 39.
t)\.i> paralysie, Hbrt 39, Ht.
y6 -
yy 6
c~JL~e fou, gai, badin, gaillard, Bc.
.tJL>, vieux, usé, forme au pl. ^JLi» ou ~JLs~ (cf.
viande de mouton, coupée par morceaux; on la lave, dans le Voc. (transire) c. ~J-c, Cout. 12 vo: ~ûLètè
on la sale, on la fait tremper dans l'huile, puis
on l'expose aux ardeurs du soleil qui la durcit
J~L& l5.)t, ~~aJL->. Traverser la mer, Cout. 8 vO:
comme du bois; ordinairement on s'en sert seule-
ment comme ressource dans un cas pressé ou quand
on est en expédition, Daumas V. A. 165, 252. Se-
ils quittèrent l'Espagne ~%e ~,dot !,-â-L>", Chez
Aie. dans le sens de la Ille: contredire, contrarier
-
Ion Cherbonneau (dans le J. A. 1850, 64), quiII;
a consulté un cuisinier tunisien, c'est une certaine
quantité de morceaux de bœuf coupés menus, que
(contradezir, contrariar); - tT*~~ s_âL> manquerde
&?
w
,
~t~j
~ZIUL
~(1'8
J,t ~-~L~J!
qu'il faut lire; dans le man.
~Nl\
a
Dédommager,Yoc. (c. ~-&), Aie. (reconpensar). —
Satisfaire, payer, Aie. (satisfazer por la deuda). — VI, avec UbLJi, dans le Voc. sous abusio.
Venger, se satisfaire soi-meme, Aie. (vengar; le partie.
sous vengador; le n. d'act. sous emienda satisfacion).
VII être dédommagé, recouvrer ceque l'on
— Multiplièr, Aie. (multiplicar). — Hériter, imiter Yoc., Aie. (cobrar lo perdido).
ses parents dans leurs vertus ou leurs vices, Bc. — VIII, dans le sens de différer, avoir une opinion
Tromper l'attente, l'opinion, l'espérance de quelqu'un,
,
Tha'Alibî éd. Cool 39, 10. Aussi ~~J; ~og.
«les pluies trompèrent l'espérance des terres) diffère sur l'origine desKhozâ'ites, à savoir s'ils ap-
(il n'y eut point de pluie), Müller 27. — Mentir, Bc.
partiennent aux Ma'addites ou bien auxYéménites,»
:
V, t. de procéd., manquer à comparaître, à se trou- Gl. Abulf. — Se confondre, se mêler, Abbad. III,
ver à l'assignation donnée en justice, Formul. d. contr. 136, 7 a f., en parlant de deux cavaliers qui étaient
à côté l'un de l'autrew )
~LLc! ce qui
de médec., digestion lente et difficile, Gl. Manç. in pas si elles étaient de lui ou d'un autre, Abd-al-wâ-
hid 219, 9. — C. ~Jsx: p. résister à, faire opposition
voce: QUaiiiit ~e~aJL!!~«~a~~ wULjM~—>.LX~ wâliiOt
à, Gl. Fragm. — C.
iSS}y>L£ j\j. — Rester inerte (de Slane), Prol.
p., comme la Ve forme,
rester en arrière de, ne pas suivre quelqu'un, Gl. Fragm.
III, 137, 7. Le nom d'act. paresse, nonchalance, X. Freytag a eu tort d'attribuer le sens de site
céder à
~,
~O®
~VJL>.
~J,t
l'actif, car c'est
gnifie aussi devenir calife, Gl. Belàdz.
~,
CI -
On dit ~.Li~-
,,
- O>
3
on lui lia les
primée par
n. 50. —
~^1,
a
si de Sacy a raison, Chrest.
y
—
~oblii iLt
la liqueur parfumée que l'on extrait des fleurs du
saule égyptien Notices XIII, 177, 1001 N. I, 68.
II,
La controverse, la dispute qui a pour objet
des points de foi, HAdjt Khalfa III, 169, Abd-al-
460,
.1
II 9
c. a. et y
sous
cJ~<).
- 0 #
opposé
tirer
du
- \~L~m ~-~Leu
malade,
membre
t.
l'assignation, Bc. — Parfait, Roland. — \_ÂJLS^ J<j~~
sentier qui raccourcit le chemin qu'on a à faire, petit
chemin de traverse, L (j'ai donné son texte sous
t de médec.,
médec.P le côté
duquel on saigne pour at-
vers lui les mauvaises humeurs; ainsi, quand
l'œil droit est chassieux, la main gauche, de laquelle
— Aie. a cette forme sous sossacar, et le nom d'act.
sous sossacamiento, qu'il traduit aussi par à J".>J
~~-J!. Chez Nebrija ce verbe sossacar est seduco,
chez Victor soustraire, séduire, débaucher, mais je ne
comprends pas comment
IV. De même que Lï.-L- *
aurait reçu ce sens.
est suivi de w, on dit
<~aJL~-~ lo, combien vous êtes digne de trouver (cf.
on saigne en ce cas, est ~&JL~! wJLfUî, M. —
~<u<~J!~ <~L~
1
pied-cratouette (plante), Delphinium, Bc.
V se former (pierres, etc.), Prol. III, 194, 6.
—
K~Ls~ défaut, manquement à une assignation, Bc. Croître spontanément, sans être semé (voyez un exem-
— Abolition d'une loi, Aie. (quitamiento de ley). ple sous la Ire forme), ce qui au fond est la même
~J~b~>!
= LJ~L~ (voyez) la controverse, Macc. I, signification. — C. y se former, p. e. sur un mo-
607, 1.
.,
vjd*s?. Ce terme sert à désigner deux traditions
qui semblent se contredire, mais qui peuvent se con-
cilier, de Slane Prol. II,484. — Les arbres frui-
~v3L £ Î
s'était formé sur de tels
IXAL^UJIJ
;» ibid.
modèles 2 a f.:
«il s'était formé le caractère
en s'appropriant toutes les habitudes honnêtes, toutes
~JiS
,
"",CI., 11: ~<-0% se forma en apprenant
v^JLsîUwwe. L donne ce mot sous suffectus, qui
l'équitation et en étudiant les belles-lettres;» cf. 1,
signifie, selon Ducange: qui pro alio substituitur, et 113, 3. Aussi s'approprier une qualité, Mohammed
9*Q~Oy Le
il a aussi: procuratores ..j~JL~~e. terme procu-
rator s'emploie également pour lieutenant, substitut; ~il ot HjiÀs». — Avoir des manières agda-
mais il signifie aussi agent, inspecteur, intendant, etc., bles, douces, polies, Macc. III, 680, 7, Ibn-Abdal-
et le b. lat. almostalaf, l'esp. almotalafe, etc., dont
j'ai traité Gl. Esp. 175-7, en les dérivant de ~aJL~j~e
avec le ha, pourraient bien être les avec
le khâ, de L. Dans ce cas le ~JL.~9 d'Ibn-Haucal
(81, 2) deviendrait aussi V^ÂJLS^.
/4*sL I. ~vJ&>, être vieux,
se dit aussi en parlant d'un
arbre, Auw.
notre -
Mosl.,man.).
I, 511, 5 (où il faut lire \Jd~>~ avec
—~(j^* être
renaître,Alc.
après un autre
fait,otra
(nacer
~(j^>i
vez);
Aie. (hecho ser), Gl.
- naître
Juu), Aie. (nacer sobre otro que
par ellipse pour *LJ~
~E « c'est quand
on se conforme entièrement aux volontés de son
de sorte que, sur son commandement, on se jette
chaikh,
dans l'eau, on
sacrifie
sa fortune,
etc.; voyez le Ca- ü"j.>.
<tJI'
+ (j":L:>
+ ~,J O +
0-'
a encore un autre sens
tal. des man. or. de Leyde V, 31. — Etre usé, Cartàs que celui que Lane a donné, car cette expression
22 13 a f., 25, 10 a f. (lisez ainsi), 38, 8 a f., 40, 7. signifie aussi: celui qui ne vaut pa8 grand'chose, GL
Se mettre en colère, s'emporter, Bc, M. Edrist, Fragm. hist. Arab. 126, 3 a f., Djob. 69, 13.
- \j-
VII être créé, Voc., Payne Smith 1274. Dans un vers chez Macc. II, 496, 14: ~f-g-j
0
~^j\<L, quantité de personnes, d'animaux, Nowairt
0UI-Z- ~lxX-Â_c« ils ne jouissent parmi nous d'aucune
considération.»
~üf>
y
aromate, Bc. — Le mot valencien haloch,
qui semble dérivé de ce mot arabe, désigne le bu-
pleurum; voyez Gl. Esp. 284.
.jp\4» uni, poli, lisse, fém. ~ij, Abou'l-Walîd 227, ~s1—r>. Burton II, 67: «khalik ma el Badu,
.1CI.
8, en parlant de la peau de la taupe, comme rypz* friendly with the Bédouins, is a favourite saying
(voyez). — Dans le sens d'usé, on fait usage. du among this people, and means that you are no greasy
/!~
y
ou ~0li>. En parlant d'un excellent guide,
~e;1=>
lf-<\o usé, Burckhardt Prov. 18. -
d'une colonne dans la mosquée de Médine; elle a reçu
<~!JL~~! nom
ü':L>t ~Lx~! ceil flairait les différentes na-
tures de la route,» Djob. 115, 15. — Bile, au fig., ce nom parce qu'ayant été souillée, elle a été frot-
colère, vivacité; ~w.:> ~F se mettre en colère; ~XjiLb tée avec le parfum nommé ~üf->,
y Burton I, 322.
/4~>- vivacité, humeur, boutade, caprice, orage, re-
proches, emportement, Bc.
~¿ naturel, qui est tel que la nature Va fait,
~~&L>
naissance, bonnes ou mauvaises qualités avec
lesquelles on est né, Bc. produit
— Ce qui est un
de la nature (l'opposé de factice), Ztschr. XX, 501, ~(Jolj .p (au lieu de ~3-St lisez ~X-L-à,pétrole)', le
504; ÏOUAO ~¡)', yo! .;.. «est-ce naturel ou factice?»
Bc.
être
-créé,Yoc.,
Proportion,
Bc,
Aie. (proporcion). — Créature,
p. e. en parlant d'un très-grand
poisson, ~Kàjyà XJUus-, «une magnifique créature,»
1001 N. Bresl. IV, 324, 3, 12, 325, 13.
(jtt-x-jlil. Le sens de ce mot étant certain par ces
m FI:-
Lf ) einporté,
impétueux, violent, Bc.
passages, je crois qu'il faut aussi le lui attribuer dans
^5-ilaJô» colère (adj.), emporté,violent, Bc. Becrt 111, 7 a f.: ~ue4 X~ ~cr- j.-~-!~
j
~ltip !!.L~ Q* oj~~>-, où de Slane traduit «pierres Waltd dit en expliquant ~D'iyva (112, 5): K~-~jJL~.
de taille.» — Usé (vêtement), Bc. — Uni, poli, lisse,
Payne Smith 1276, en parlant de la peau de la taupe 0l^uL>
0-- 1 ~L~i~
", ,
(cf. \JiJ.»; Becrt159, 8: ~UT où Quatre-
mère traduit «poli,» et de Slane «moelleux au toucher.»
~u (pers.~,origan)
##
a
-
dans
-
le Voc. les voyelles
serpolet, Bc.
t.~ML I,
dans le sens d'avoir de quelqu'un une audience
1 rompre, Voc. particulière, se construit aussi c. a. p., AghânÎ dans
II Voc. sous rumpere. de Sacy Chrest. II, 419, 1: &X~\&~ iujJli» oij |;
~i ~MA* OA
~«J~. La leçon est bonne; elle
P
KJu~aJL~ chaudron, Hbrt 198. se
trouve aussi dans l'édit. de Boulac, IX, 176, 8, et
déguenillé, Bc.
l'As&s donne également cette construction: <~JLs~!
0.
t.*À--- comme nom d'une espèce d'arbre, voyez la note
de Manger sur la Vie de Timour, 1, 468-9, et Frâhn,
Ibn-Foszlan, 107 et suiv., 252—3. Wild, 93, atteste de, p. e. des commodités de la vie,Macc. I, 138, 11
des connaissances nécessaires, Berb. I, 518, 13.
able ,
que le bois de cet arbre a une odeur forte et agré-
et qu'on en fait des chapelets (« olle lingue[?],
welches die Tiircken nennen Callengue, davon wer- à l'abri de, Macc. II, 406,
—
C. ~0" se détacher de, Berb. I, 52, 5. — C. ~o-, être
16: ~lko
den ihre wolriechende Pater nostergemacht, wenn L~-a-JLJ!
Q* « n'est pas à l'abri de la critique.» —
man dieses Holtz in der Hand erwarmen lest, so reucht yJO - avoir son temps libre, n'avoir point d'oc.
jL->-
die Hand ein ganze Stund starck darnach»).. On fait cupation obligée, Gl. Fragm., Becrt 120, 6 a f. C. ~Ct,
aussi des tables de ce bois, 1001 N. Bresl. V, 99: être délivré de, Abbad. I, 283, n. 133. C. J être
~~Lt~,fsJJL~~tSJ~Le, et une autre orthographe du
mot est ~b
1001 N. Macn. I, 537, II, 258. —
En Espagne et chez Bc, bruyère (e-rica), Bait. I,
libre pour, Bidp. 197, 3: la femme fut remplie de
joie en pensant que son mari partirait, L~:>-~ ~J..
~IÇJLXJLJ-« et
qu'elle serait libre pour (recevoir) son
278 b, 380 b; chez Aie. (breço) ~gô3-. — M: J~-S~ amant;» Abbad. I, 324, 7 a f.: iUbjJs
~'GtLgXJLo~&J! -,Lr-.5 J~.t.X~ ~J3 L\ju
~jJL~- fait -du appeléYie II laisser, quitter, ne pas emporter, oublier, Bc.
bois de l'arbre
— Laisser, léguer, transmettre, faire passer à ses
de Timour I, 468, 5. — Ayant la couleur du bois enfants, Bc. — Se défaire d'une chose, la vendre,
de Varbre appelé gJL.Ls> (cette couleur est mêlée de
:
de deux couleurs, et ~sJUL-> signifie, selon le Dict.
turc de Kieffer et Bianchi « de deux couleurs, blanc
et noir, cheval de cette nuance. »
C'est donc peut-
~iiVJ q Aï.13 je ne laisserai pas passer un jour sans
vous
«
écrire1»Bc;~ ~JL->. laissez-le écrire,»
être: une fourrure de deux couleurs, blanc et noir,
1001 N. I, 94, 1, dans le sens de permettre de, Gl.
et ce qui confirme cette manière de voir, c'est qu'Abou'l- Fragm.; euL- laissez-moi, laissez-moi tranquille, Bc;
1
r
Cf'
i1
.,
de Sacy
vers que
tt
laissez! c'est assez, Bc. C. a. p. et
~'3~'
ljS-£>
a
ne me parlez pas de, Macc. II, 264, 21,
Chrest. I, A.:
cr r. UaL>
Cr c'est assez parler de cela, Bc. On dit
sous
III, 210, 9: ~&
titude, Bc.
C.
C.
:
-(j*Llî ~JjJL*
liXuu
fi
O II#' J-:>
> (trad. de Lane:
keep far from me). — ~JLjJ~>' sois attentif! 1001
N. II, 108, 2 a f. (dans la trad. de Lane be mind-
fui). On dit aussi
a~~-
~J*jJL
J.>
S
:
faire attention à, voyez
tenir en haleine, en incer-
tenir auberge pour
tout le monde, Macc. II, 635, 16, où un poète écrit à
une dame 0 vous qui avez un millier d'amis et d'amants,
,, )o-,
Bc J~-; ~J>. Dans un sens obscène, 1001 N. Bresl. ~~L~! ~L\~ de parler ainsi!
«cessez ? — ~> ~if
J..:>
III, 272, 1 et 2. — C. a. r. et j p. laisser, céder mettre à l'écart, écarter, Bc. — JûLju»bL> ~opiniâtrer,
une chose à quelqu'un, Bc, CH. Fragm. — Epargner
une chose, l'employer avec réserve, Bc.
e.tikjJaju
— Faire, rendre opiniâtre, obstiner, Bc.
je vous en prie, Bc.
-
~)u~)L~ alît degrâce,
mon père. »
«
— Dans le sens de
,
LiViè'Jo (Jjî i~* ,., 1..:,., je vous ferai récompenser par
l\j>î prendre, rete-
a f. On dit aussi y :a-i
» o * ~C.E
ajL->-! il lui accorda un
nir, 1001 N. Bresl. IX, 219, dans un récit dont le
entretien secret, Akhbâr 72, 4, 128, 7. —1 ('i oS
..;."
elle les laissa seuls, Gl. Fragm., où la citation, 76,
L."U
11, a été oubliée. — Evacuer une place, une forte-
ou xiLiij
I, 441:
-s
Belâdz., Abd-al-wâhid 14, 6 a f. —
J-:>, laisser faire quelqu'un,
il consulta ses ministres &X.*I.-^* à
de fuera). — C. a. p. et
Macc. II, 290, 1. — C3~~ ~cr-
r. priver quelqu'un de,
yy*
dépourvoir, dé-
garnir de ce qui est nécessaire, Bc. — Décocher une
flèche, tirer de l'arc, Aie. (desfrechar arco, deslatar
;
Y c. être privé, spolié de, Djob. 345, 2 a f.
•w»
nemi effectuer son débarquement ou de s'y opposer»
— ~C-O* se priver de, refuser, ne pas accepter,
J~ I, 601,
restez !
(de Slane), et ensuite:
1001 N. Bresl.
«restez auprès de moi»
cr* j~L~ !,l..:>"
IX, 316: Ci.;.u
-
~L>
Macc. 3 a f.: cet homme pieux ULsaJL*
r
uJjlN (3àJS £ 1-t (car c'est ainsi qu'il faut lire
avec l'éd. de Boul.), ce qui signifie, comme la suite
o*
~11 L à
sous la VIIe.
af.:
1 e. de bonnes qualités, n'ayant aucune connaissance
d'unlivre, d'une science, Prol. III, 220, 13 (où de
Slane veut à tort changer la leçon), 264, 12, Berb.
1, 433, 5, II, 93, 5 (où il faut ,
au lieu ~lire
aJL~ (1.ytb(?M
favorable, L (oportunitas
sollicitude, Ht.
oO o -
— Opportunité, occasion
C.L<,Ol Inquiétude,
,
y?1>LJ ruche, pl. oL13- dans un vers, 1001 N.
f»U3- brifeur, grand mangeur, Bc.
III, 226, 2 a f., mais l'éd. de Bresl., IX, 379, dern. 1.,
rédaction, dans laquelle on trouve le pl.
rl.S
or.
idée, Barbier.
a une autre
ordinaire, ~li^>.
JI..> ayant certain vice dans le cou (cheval), Auw. ~(J~*-~ Il
~j~J~ôL~L (gr.) chamédrysy Bc, Payne Smith
- )L~
1449.
synonyme de
r. t,
~4"
—
t. de jurisprud., mise en possession, v. d.
est le
d'un promontoire à l'autre,. en
.L~L~L (pers.) espèce
F 1, 289i,
de pierre, santalum; voyez Bait.
394 b et les dict. persans.
."CI
„ *O *
~G-
sous la racine ~^JLd>)
1 (cf.
c_
déboîter, disloquer,
démantibuler, Bc. V se moisir, Voc.
- O
II se disloquer, se démantibuler, Bc. O-»
mousse, moisissure, Aie. (lapa, moho de pan
eJL.~ déhanché;
— dandin, sans contenance,
Bc. o vino)
X-~~>'
-
Putréfaction, Aie. (podrecimiento).
mousse, moisissure, Aie. (moho de arbol
o fuente).
~,
~O dans le Voe, = sac,
sac. G«d/
b-
wolf» gaté, Roland.
~L-;~L~<, forme moderne de a^L^U, musette, ) 6.
sac -to-t--<\o moisijYoc., Aie. (mohoso). — Pourri,
Aie. (podrido).
qu'on suspend à la tête d'un cheval pour le faire
manger; — panetière, petit sac où les bergers met- I, en parlant d'un vase, etc., est quand son
tent leur pain, Bc. odeur est devenue mauvaise, M.
jt-~L<j>-
j >
~iJ~~XAJ~L
<
chélidoine, Bc. voyez sur cette plante Bait. I, 394 c.
,
1 se
r*~- 1 brifer, manger avidement, friper, manger gou-
(afloxar en el esfuerço), Cartâs 158, 4: LJNWt JL~
lûment, Bc. — vibLJî r--
1 - a':jJ ~.-eà il estallé ex- U.gL'5 ~i\Àc; s'abattre, perdre courage, se décourager,
plorer le pays, M. Bc; s'engourdir, Bc.
II penser, croire, juger, Bc (Barb.),Voc. (existi- II éteindre, Voc.
mare = Cherb. Dial. 29, penser, réfléchir, IV décourager, engourdir l'esprit, le courage, Bc.
deviner, Ht, Martin 43, Domb. 128; j~-~ ~-c cr- V et VII s'éteindre,Yoc.
étourdiment, Roland.
V dans le Voc. sous existimare.
~>-
5> découl'agement, engourdissement, Bc.
,
«Xot>.qjJUî <-~L>- de couleur mate, d'une couleur
~w.. 5J s
jt~>' pl. j~<~' cru, Voc.(crudus) (pour ~rL».
qui n'a point d'éclat, si Wright (dans les Add.) a
r->'& t>
w CI. <:
il dort beaucoup, M.
lant d'une femme qui ne digère pas bien (X*as^Jî
-
En par- eu raison de lire ainsi chez Macc. I, 91, 8. L'édit.
de Boulac a vX«l>, comme dans le texte.
on
~ditxli* M. ~L II pétrir, Domb. 122, Ht. - p.
— C. tromper
~uU
quelqu'un, lui jouer un tour, 1001 N. Bresl. IX, 362,
3; Aie. (tranpa por engano) a le nom d'act. champignon à la racine d'une plante, M.
médec., poudre de fleurs avec du sucre, p. e.
- t.s. ~do
son maître, abandonner son parti, Maml. I, 1, 206, ~>~L>- pdtissier, Bc (Eg.).
M, Macc. II, 571, dern. 1., Fakhrî 389, dern. 1.,
390, 1 et 3, 1001 N. I, 76, 6af., Nowairî Afrique voyez sous la IIe forme. — T. de médec.
laisser tremper des substances, qu'on veut distilkr
embrasser le parti de quelqu'un, Maml. I, 1, 207: dans un liquide, afin qu'elles lui communiquent leur,
quintain; m y Macc.
celui qui le fait est un tj<*~J~,
~3^43-vineux, qui sent le vin, qui en a la cou-
II, 517, dern. 1. — Cultiver une terre en se réser-
leur, Bc. — Au Maghrib, brun, brun foncé, brun
~qui tire le noir, Lettre à M. Fleischer 166, Auw. vant le cinquième de la récolte, Cherb. C.
sur
~-~ ~j-~~ v-:..>
O
II, 323, 10, Bait. II, 203 b: ~-<-:>
~r. 1 CI fièvre qui revient tous les cinq jours, Gl.
calcaire noire, Lettre ibid. — En Afrique, mulâtre, ibid. Becrites, celui des Abd-al-càis et celui des Benou-
j\. r> mouchoir, p. e. un mouchoir dont on se Temim; cf. plus bas ~J<~->.. — Certaine partie d'une
-
~m.tr>
~w
~LÇ".-1
G*
Sahara 55, Richardson Sahara I, 275, Tristram 6,
140, 203, Prax R. d. O. A. VI, 356. Chez Ber-
\",1,.--,¿-
(formé de (jvw.é.r», vulg. pour
>
J~-P!
de grains de verre, Burckhardt Nubia 269.
~J~ (j~-~ (sic), l.:.:Jy,"Jiquinquagenitas, PayneSmith 1313.
nom qu'on donne aux Zaidites doronic, mais Zahrâwî avoue qu'il ignore
du Yémen, parce qu'ils prétendent que leur secte est si ce mot doit s'écrire avec un M, un khâou un
,
la cinquième parmi les sectes orthodoxes (qui ne sont djîm, Most. Vo C"*,b)a.
~pl. -.1,
qu'au nombre de quatre), Burckhardt Arabia I, 432.
CI ~pl. t..JHL..> petite main,
mai1t, Aie.
~Alc. (manezilla)
(manezilla),
~U"A' ~.t.
corps, d'armée, de même que
portion
(j**•o£*- (voyez). Au Maroc un tel corps se compose
t
^y-> O
C'est à tort que les voyageurs européens
donnent le nom d'el-kltamsîn à la période d'environ
de 500 hommes, car Hœst, 184, atteste qu'un cAïd
commande un corps de 500 hommes, et un pacha une
cinquante jours, qui, en Egypte, commence en avril division de 2500 hommes, qu'on appelle chams chantés
et continue pendant le mois de mai, car les Arabes (cinq
l'appellent constamment ce qui est le plur.
~1
- O- 5 main,
X.t.~-
1
Voc.
vulgaire de 6
(j~~—>-, Lane M. E. II, 281 n. Cette figuredecinqanglest
de cinq angles, Aie.
~Ale. (figura de
saison commence, à proprement parler, le jour qui
cinco angulos).
suit immédiatement celui de Pâques, et finit à la
Pentecôte, de sorte qu'elle comprend 49 jours. Elle U*U3-, pl. ~Ul1» (Ouaday 716)
ou K.<. (Cherb.
est très-malsaine, par suite des vents du sud très-
chauds qui soufflent pendant ce temps voyez Lane
1. 1. et I, 3, Coppin 354 (qui écrit assez bien: le
; 1
Dial. 57), mercenaire à cinquième, travailleur aucin-
quième, celui qui, pour prix de son travail, a droit
108. - ,
Cammessin), Thévenot I, 519, Bruce I, 95 n., Burck-
hardt Nubia 315, d'Escayrac 29, R. d. 0. A. VI,
ol,ixmt de Sacy Chrest. I, 1A, 1, est
au cinquième de la récolte, semences prélevées, tan-
dis que le maitre prend le reste, Ouaday 716, San-
doval 229 n., 271, 321, Daumas Mœurs 21, Carteron
280, et voyez surtout R. d. O. A. VI, 67 et suiv.
?
Ordinairement on traduit ce mot par fermier ou mé-
le nom que les Arabes donnent à la partie corres-
tayer (Me, Ht), mais Duvemois (R. d. O. A. N. S. VI,
pondante du calendrier juif, et dont le dernier jour
s'appelle
vulgaire
~-~J!, Lane M. E. II, 281 n. — Le pl.
dont il a été question plus haut,
~j~t-~t CI.,
298) observe avec raison que cette traduction est inexacte.
,
signifie aussi Pentecôte, Hbrt 154. 9 OÎ
(j~~-c- PSI
chez les Almohades, les cinquante compagnons du
- mistiches nouveaux, afin d'en développer la pensée
ou de la modifier. Le premier mot est fréquent; le
fondateur de cette secte et leurs descendants; ils for- second se trouve p. e. Prol. III, 361, 14.
,
a « >
ment la seconde hiérarchie, la première étant celle ~t~L< voyez ce qui précède. — Espèce de rhythme,
des dix, Abd-al-wâhid 135, 6, 139, 3 a f. et dern.
1., 246, 15, 248, 4
de Copenhague 17.
a f., etc., ÇalAt 73 vo, l'anonyme
-0.
plt Pentecôte, Hbrt 154.
j
rhythmeégal ou dactylique chez les Grecs, Descr.de
l'Eg. XIV 186. — Figure magique qui contient vingt-
cinq petits carrés, M. — Grande machine de ferpour
* ~fi. s soulever des fardeaux, M.
~t_r». la cinquième secte, c.-à-d. la -
cinquième secte orthodoxe (cf. sous v—
nom qu'on donne aujourd'hui au Beni-Mzab, Daumas
t ~*), est le
~K£
fi'Lé.f> estafilade, Bc. -w
ville
I,
(Jâ+âfc
~xûuels»,
= .~L&J< ,
à Jérusalem et dans le voisinage de cette
dentelaire de Ceylan, Bait.
347 d (mal traduit par Sontheimer).
~S#
~O'
Amincir, rendre plus mince, Yoc. pour 4»-;->I, M.
J~c" velouté, surface, intérieur de l'estomac,
p
V dans le Voc. sous atenuare. des
;
(joL»3-. Le Voc. a
comme l'équivalent de
y o..,1£
~e .J)
de ce dernier terme chez Lane sous
~J~o~-t->- sous atenuare et
voyez l'explication
~:Ao IV.
intestins, etc., semblable à du velours, Bc; M:
*1*3-
-0 - O
= les poils d'une étoffe, Gl. Fragm.
Manç. in voce; voyez Lane sous la Ire forme.
— Très-grande étourderie, tomber dans le malheur
LÇ dans le sens de (voyea Lane sous
,
w 0
ce dernier mot), 1001 N. IV, 260, 3, dans la ~,~L<-> muqueux, Bc.
~1
description d'une belle jeune fille: X,»»*»Ur» ,-Jai;
même 272, 6 a f. L'éd. de Bresl. (X, 232, 260)
porte ~juwUj>, mais c'est une faute.
< w y y (pourK~~-~e,
K~4-~L< y
~o- de
;
Bc, Hbrt 20 (Syrie), 1001 N. Bresl. IY, 358, 9.—
1
1001 N. Bresl. XI, 106, 2: ~4J J~
doit avoir une signification qui m'est inconnue
4-..Jl
~LgJji. .lJ.>t, (dans un sens obscène). C'estpeut-être
~LeZi 4.
panne, étoffe de soie, de fil, de laine,
etc., dont les poils sont longs, Bc. — Le mot que
pour ~CI > et qu'il
Freytag a prononcé J~-~L~ a expliqué, sur
«proV sensu transitivo, proprie calcavit, l'autorité de Reiske, par œquabïliter carnosus et pill-
hinc invasit, insiluit, et peragravit,» Gl. Mosl. o ~i
guis, est on le trouve dans un vers de la
-b.>, à Tâïffigue, Bat. I, 359. Hamâsa, 556, 1, où le scoliaste explique ainsi l'ori-
Ivulg. II
= &, p. e.
dans le Voc. sous claudicare.
j~-:>, M.
Dans le Kâmil, 414, 7, où ce vers est cité sans la
w,
copulative, c'est J~-~~e.
5 » )
~)~-~< voyez ce qui précède. — De moyenne sta-
Il est dans le Voc. c. a. abreviare, et dans la note
,
ture Voc.
succingere, vel congregare ad unam partem servas; ., ~CI.1 pl. ot tapis de coton velu, Bat. IV, 233,
XJL~~
Payne Smith 1504.
aussi succingere (vel abreviare). — Nettoyer, Aie.
(desenbargar, desenbaraçar, le n. d'act.
; 4~
desen-
bargo por alimpiamiento, desenbaraço) ramoner, Aie.
.J~L
~;; CI ,
KxJÛJcwe amarante ; œillet d'Inde; tagétès (plante),Bc.
Bait.
L
V dans le Voc. sous existimare; penser, réfléchir, Ht.
,1
l, 71b,
,
sureau, hièble (Bc), est ~aL..> dans B de
et chez Aie. (yezgo); chez ce dernier
— Asphodèle, doit se prononcer
~Golius-Freytag;
~l'a lesetdeuxman.
fait avec raison, .1.~0G
non pasduMost.comme chez
-
ainsi, comme Lane
,
sens; dans la langue classique c'est ~j^>). l:!1,;yt 06- + ~0<
aine, Bc. la mer Rouge, de la lon-
¡:::-IJ..:::. (coutelas) poisson dans
J~L.
V.A.188.
O«.) liqueur
J~-'La~ tirée de la civette, Daumas V. A. 172.
~à G# -
l'article qui suit.
I.!:.. :.:.
- doux,
suave, P. Abbâr
~rUI; aussi en parlant d'une odeur, Bait.
177, 15: JL~
~y «
tt~-!t<~JL~
*
~O
vin grec, Aie. (vino greco). - La plante
I, 167c: du chanvre, Mong. p. cxxxiv b.
(j~X~L 1 être capot, honteux, Bc. pourceau, Voc.; cf. Lane sous u-t>t et plus loin (jo^^
ijmXï&a tâteur, irrésolu, Bc. v- *- sournois, Bc.
1)
£
0$vXÂ faire des fondrières, des ravins, dans la terre
1
~j~L~. Le pl. ~J«J~~J!, les planètes. C'est peut.
(torrent), Aie. (abarrancar). être ce mot qu'Aie, a en vue, lorsqu'il traduit (senal
,j">";">
« O # ravin, vallée (Lane TA), Gl. Edrtst, Gl. de la palma) les lignes de la paume de la main par
Fragm., Voc. (vallis), M, trad. d'une charte sicil. apud
Lello 9 et passim, Becrî 63, Athîr VIII, 412, 3 a f.,
Bait. 11, 602 b, Macc. 1, 91, 2, Amari 440, 6 et 9,
Auw. I, 261,
—
3,
Müller L. Z. 13,
3 (où l'éditeur change à tort la leçon), 1001 N. Bresl.
.0..
Torrent, L (torrens (j..N.>, 0,
Runce
U~~L.
y, S~ et par hunce. On sait que la chi.
~ujao
romancie avait de grands rapports avec l'astrologie.
>0 visage difforme, Domb. 84.
1
— Egout, Pellissier 53, Cherb. Dial. 204. est chez Aie. (lechon) „
~L=», pl. (jojUi-,
(jiXOk. 1 mais ailleurs (marrano por cochino de ano, pucrco)
c. a. p. ébranler quelqu'un dans sa résolu-
tion, M. il donne, après le même sing., le pl. (jwuûLo». Chez
II quasi-pass. de I, M. Domb. 64 ~ls>.
Si-
Cf. LJH"';'>'
Ji.:::. IV pourrir, , - yo
se pourrir, Bc (Barb.). en Syrie ~aJJ> (M), ordinairement doigt aurieu-
(,.5f1:- espèce de datte, Niebuhr R. II, 215. laire, petit doigt, a chez Aie. (dedo del coraçon),
.AtL qui prononce
* le sens de doigt du milieu (cf.
1 rendre gras à lard, Bc.
Lane). Les Orientaux, lorsqu'ils comptent au moyen
II devenir gras à lard, Bc. des jointures des doigts, expriment le nombre un en
O
..r-l.t:- espèce de poisson, Burckhardt Syria 166. — baissant le doigt auriculaire (cf. Macc. II, 405, 13).
C'est ce qui explique ces vers qui ont été composés
Ouverture pratiquée dans un barrage par la force des
sur le second fils de Yousofibn-Téchoufîn et qu'on
eaux, affouillement, Cherb. C (Bou Saada). — ..r-'F. trouve dans le Holal, 32 rO:
sLM capivert, animal amphibie, Bc.
O^G-
-JjJL~- porcher, gardeur de cochons, Aie. (porquero
o porquerizo).
a—t-JL De là aussi l'expression, qu'on trouve chez Lane,
a le même sens que -j.ULc~, écrouelles,
# O
— Moyeu, partie de la roue dans laquelle entre l'es- bâr 238, 3, Macc. II, 292, 17; aussi ~&_aJLc
sieu, Aie. (maça de carreta).
~~;.J~" une des deux espèces de nuymphœa lotus
(~~L~), Bait. 1, 141 c (AB).
scrofuleux, Bc.
U"-%. V reculer, Voc.
12. Une autre expression, qui semble avoir un sens
VII entrer,Voc.
analogue, est: j~L~~t~JL ~JJLcaàJt ~j,
~w\ju
9 (ïLx*JL_i>
1
danslédit. est une faute; le man. a la
Macc. II, 594, 14. — ~», pl. petite bou-
Yoc.
1
; procido
L donne :
et sous promis il a ~JaU xJL~-.
>» 0 £;
faire la révérence bien bas, Macc. I, 253, 18,
7, à quelqu'un, c. J p., ibid. 255, 1, c. ~do'p.,
sous adclinis
— S'humilier devant
~-Uy
VI quereller, disputer (c. ~£—«), chamailler, se
se
chamailler, Bc, Hbrt 241, M, 1001 N. Bresl. IV, 140,
f.:Liils^
,
LcojLbj^
~5UIj
~U,-A
ne coulait plus de sa gueule.
(j-'->gosier, L (gula).
L\-j~~~ty
ce qui signifie que l'eau
-
a~L~- ou ~cF défilé,
VÀÂS.. II et et VII, c. dans le Voc. sous gorge, passage étroit entre des rochers, Berbrugger 6,
~J.t, ~J,\,
c. a.
inclinare. Colomb 54, 55, 57, Martin 20, Carteron 328, Carette
Géogr. 134. — 4-~-~ certaine maladie des enfants,
~R~JL~- et xâjuLi>, peut-être4 Palgrave II, 33, qui soupçonne que c'est les aphthes.
au Maghrib et c'est
~(j^* stranguria, L.
un mot d'origine berbère, peau d'agneau; — manteau —
de laine ou de poil de chèvre, Gl. Esp. 263—4. ~&Lî3- un bois, Pellissier 65, 70. — lX-JÎ XJLâ-s»
-~sA~ thlaspi, Bc. carpe,poignet,Bc.
~LJL-~ (proprement n. d'act. de la Ille forme)
~L~. 1 ronfler, Bc, Mehren 27.
ÙJJSL_à3> querelle, chamaillist Bc, 1001 N. III, 431, 15; le
gros nez, nez ridicule par son énormité,
Cherb.
~JO
~-&JL~J
~jÀJLsi®
;-
ronflement, Bc.
M dit qu'on l'emploie dans le sens d'un n. d'act. de
la VIe forme.
XSUL~" querelle, dispute, démêlé, rixe, brouillerie,
qui a un nez énorme,
éitoi-me, Cherb.
Bc, Hbrt 241.
Yoc., Aie.
- Poissonnerie, marché au poisson,
(pescaderia donde los venden).
(j<*JLJL~- pl. uw.:U> bupreste (insecte), Bc, Man. S -3
KâLz-,:, - morve, maladie des chevaux, Aie. (muermo
de bestia).
üllJ., pl. yJtjûUj» et ~Aju~—>', angine, Bc; les
~L~->, pl. lt.w.!1.:> Khatib 77 vo, escarbot, Bc;
médecins disent oi-0^3-, M. — Pêcheur (cf,,Lane),
caléoptère, Daumas V. A. 432. — Paraphe du cadi
malékite; signature, Roland. et le pl. )~-&LJL~-
(pour (jyslJLi^vJsy*) poissonnerie,
~~L> arbousier, R. d. 0. A. N. S. V, 226. marché au poisson, Voc.
- S) <
ej'W> vulg. pour ej\.;.:>, M.
mufle, extrémité du museau, Domb.65, Bc (Barb.).
AÏtl^ doit avoir eu le sens de carcan, collier d'or,
I. a~tt~JLJ! mettre le pavillon sens dessus de perles,etc" car le sicilien hannaca, qui en dérive,
dessous ~(L^**Xj), en signe de deuil, M. signifie cela. On le trouve chez Abela, Descrittione
II- uuïjîiii ~L~ exposer les cocons à la chaleur di Malta, p. 258, qui le traduit par «monile. M. de »
du soleil ou à la vapeur de l'eau bouillante, pour Goeje m'a fait remarquer qu'on rencontre ce mot chez
faire mourir les vers des coques, M. — îIÏSJÎ vJLis» Mokaddast 396, n. g.
remuer la terre et en couvrir les racines des concom-
bres,M.
III quereller, disputer, gronder, Bc, Hbrt
c. a. p.
241, Antar 5, 1. II, 1001 N. Bresl. IV, 78, 10.
•
UU'^H U (pour <«JLà^U) pl. \~uU~ potence, Voc. - Mœurs 337, Sandoval 294, 321, 324. — Maître d'école
Wild 184, où on lit aussi: «Die Imam Hotscha, die
Le pl. défilés Miller L. Z. 12, dom. I.,l'ano- ihnen in den Kirchen vorbeten.»
~X~.t~~ riche négociant (voyez Meninski), Aman
Dipl.212, 2.
agonisant, avoir le râle de la mort, Gl. Belâdz.
XaJL^Uo collier de clous de girofle, Daumas Mœurs épouvantable, Aie. (espantable cosa).
304, V. A. 173. — Potence, Bat. I, 182, où il faut ~wJ~L/b~/<ï~, Mehren 27.
lire comme dans la note (cf. sJLL^U).
1. '= «:
pour c.~-~, qu'on emploie aussi, mais
teâ;-e qui jette sa gourme (cheval), Daumas V. A.
189 (mekhangui). rarement, être timbré, fou, M.
3. ur
, po
~JL-~L~. L: lemures (umbresuggillatorum [lisez Xj~" vertigo, caprice, fantaisie, grain de folie, Bc.
strangulatorum] nocturne) ~= Le der-
nier mot est écrit distinctement, mais je ne sais qu'on
même sens, M.
-o
~0.»' ~U"') tête timbrée, Bc.
faire.
~-~b<
y6 écervelé, Bc.
wL:S\o crierie, gronderie, Bc.
o t. de médec., angine, M. —
(~"r~
t. de médec., convulsions causées par suppression de
règles, M, J. A. 1853, I, 350, où il faut corriger
la traduction. Ks-~->-, en Espagne, creuset, Abou'l-Walîd 313,2.
.s.nf~ sorcellerie, art surnaturel; se dit aussi d'une
.- ~_Cl- ë;!'-:> faim, mot ancien et classique, mais très-
rare; voyez Khallic. VII, 37, 4 a f., 2 a f.
invention merveilleuse, Cherb. ~O 9
&>~~Le bien mis, Bc (Barb.). Je soupçonne que
~.? I c. a. deliciari,voc. ce mot est dérivé de K~-~>-, et que, par conséquent,
il signifie proprement: habillé comme un monsieur.
II c. y et ~jj, Yoc. sous deliciari.
.Jt..i:i>
~et le sultan des Ottomans, Maml.
2b:
I, 1, 67.
,
~U3- chose honteuse, dans le
sens de sodomie, P.
Thi'âlibi Latâïf 63, 12; dans celui de commerce illi-
cite avec une femme, 1001 N. I, 698, 7, Bresl.III,
L J~>-~ Auw. I, 338, 23, 24, est, selon Clément-Mullet,
279, où une femme dit:
~Uil '—~-'3
J~L~~ ~jJ~
(~ ^âjusm, mais le vulgaire prononce brugnon. D'après Bait. I, 167 c, s'appelle
le
O
en Egypte que l'on trouve aussi nommé Most.
(VO ~t">, voyelles dans N) et 1001 N. Bresl. X, 215;
mais selon Auw. I, 339, 4, cette dernière est une
~Uii Bordel,Yoc. —
autre espèce. t,.J1, Auw. I, 338, 2 a f,
L~!~L, ~x* t,.Jl
est marchand,pl. ~oî (M),
dans les 1001 N., le synonyme de j~
— Ecrivain,
négociant
est
est, selon Clément-Mullet, la pêche ordinaire,
la meilleure espèce, Djauzt 143 vo, En outre
ÛJUiâ
secrétaire, Haedo 16 b, Daumas Kabylie 265, 286, je trouve nommés 1001 N. IV, 251,
et j,UJLe t
porte en cet endroit
ibid. I, 56, mais l'éd. de Boulac
et celle de Bresl. j,~L~. —
et dans la tradition d'Omar, citée par Lane,
lire t5-Fragm.—C.
~lire~Gl. - Gl. Fragm. C, ~Cr,
ilfaut
d'act.
à
~cr», n.
En Syrie ce mot ne signifie pas pêche, comme en
Egypte et dans d'autres pays, mais prune, Bc, Hbrt craindre, Voc., Macc. II, 232, 3. — Baigner
52. - 4A>Jl la prune de Fours, dont les grains
sont très-rafraîchissants, Burckhardt Syria 45, semble
dans son sang, 1001 N. Bresl. XII, 135, 2 a f.:
~mù ~-~
s'il ne faut pas lire r..JD,s:" qui
z
~j<J~!
cormier, cf. sous nux Persica, forme de ce verbe).
Pagni MS.
II rendre doux, perméable, Auw. I, 40, 8 (lisez
vasistas, petite partie mobile d'une porte,
~L>~~L, que je avec notre man. cf. 1. 16), 41, 14. —Dans
d'une fenêtre, Bc. — L'expression
trouve chez Beert 62, 8, 76, 17, Khatib 103 vo,
semble signifier au premier abord, comme l'a cru
le Yoc. sous mugire. - Epouvanter, J:,)'), );-:> Voc. —
.L~*~
»
~jjà* t
et ~g),>
à savoir celui de
faiblesse,. Gl. Manç. Vo .t—>.
»
-
: l.
,1
ij;-iY vache en chaleur, Aie. (torionda vaca
ordures, Amari 432, 2 a f., cf. 233, 5. — Sorte
d'oiseau, Yâcout I, 885, 12.
af. J que se para).
pl.
S*
-
1001 Bresl. X, 305, 2
~y
~(c~> est, selon Seetzen
Soetzon IV, 35, une
,
abréviation de %ap67ri<ncoiroç, «vicaire d'un évêque à
.s"
L>~>-, dans le sens de
J
O+
(voyez), drap.
était devenu synonyme de voleur, trompeur, etc.; I, au fig., parcourir un pays, Kosog. Chrest
voyez Gl. Fragm. 19.
,:.
II être empalé, M; ~le i empalement, Bc.
(plus loin, 6, 3: L!.~JL VJAJLS>\). On dit aussi
proprement àu^Lïail ~«uu,3 (j»L>«s'enfoncer dans le
» ,
désert de l'erreur, de Sacy Chrest. II, ~1a dern. ~1
im.
lJN VIII s'approprier, Bc. et &iiil ~~-s>- L.>="L:>, en parlant d'un chirurgien,
«pénétrer (avec le scalpel) dans les intestins d'un
tj~~L V avoir des soupçons, soupçonner, Bc, Hbrt malade» (proprement d'une maladie), Abbad. 1, 57,
241. — M explique ~aJoo I..,/Ñj.s par yu»uo-l 5 je ne 4 a f. Aussi J~J~! ~lb ~j. ija\=> « s'enfoncer dans
l'obscurité de la nuit,» P. 1001 N. I,
vois pas bien en quel sens il prend ce mot. 21, 7, et
ci*.* rubania feei, Prax R. d. 0. A. VIII, 281. ~,«s'enfoncer
~VI,I dans la nuit pour se
rendre vers,» c.-à-d. partir pendant la nuit, Berb. II,
318, 12. — ~xipc ~-%(j~L—>- être trempé, baignéde
sueur, Bc. — Manier, pétrir, fouler, secouer, Ale,
CL~*~. <~X~f> ~^5 papier brouillard, Bc. (sovajar; cf. Victor).
5>
C~LX~ (pers. g)J^>, dimin. de (doux), avec IIremuer ~sLiî l'eau, l'agiter et la troubler, Bc
le pl. arabe en ot) sucreries, friandises, bonbons, (Barb.); troubler, Voc., Aie. (enturviar, turvar lo
: 1001 N. I,
57, 4. ~y
mesmo que turbar; (j~-~e turbio lo mesmo quetur-
~jLA~!~~ =: bado). — Chez Aie. baratar, que Victor explique
farine de troisième qualité mêlée de
par: changer, troquer, trafiquer, prendre et emprun-
son, Bc. ter argent à gros intérêt pour payer,une dette quiest
2~~!'Uk~ aussi X~L~~-, ménagère, celle qui a soin
;
à moindre Nunez: prendre ou donner une chose pour
du ménage, 1001 N. 1, 58 et souvent dans la suite un prix inférieur à la valeur réelle; -
vendre très-
cher à crédit ce qu'on rachète aussitôt à très-vilprix,
de ce récit. Ce mot est d'origine persane: ~úNLS'
(voyez), dont ~"W est le féminin, est pour
argent comptant, Aie. (mohatrar); -
chez Aie. tra-
fagar; Victor: trafiquer, brouillasser, brouiller, em-
et le premier mot est selon M. Vullers, que j'ai con-
brouiller, prendre argent d'unepersonnepourenpayer
sulté, ~L~~ ou éuOSf «palais,» C'est donc propre-
» »
ment « dame du palais, ou « majordome, si ce mot
;
une autre — escroquer, emprunter sans intention de
rendre, Aie. (trampear).
pouvait s'employer pour désigner une femme. V devenir trouble, Voc., Aie. (enturviarse).
~3L~-~J~ (pers. de proprement: chambre du VII. ~L~JL.; guéable, Bc.
palais) semble armoire ou cabinet, 1001 N, I, 68, u:"!":>' Aie. donne kaguâd pour botarse el color,
6af. se déteindre, en parlant d'une couleur. Je soupçonne
(J~~ III
113, 10.
considérer, examiner, peser, Koseg. Chrest.
que c'est un quadrilittère, formé d'un verbe trilittere
par l'insertion d'un élif de prolongation entre la
deuxième et la troisième radicale. Ces verbes expri-
- ,u-a.,.> = u~!~3 t5aà, Most. sous cederniermot; ment le passage d'un état à un autre, etc.; ils ré-
pondent aux couleurs, et on pourrait les considérer
= y
papyrus Bait. I, 127 b. — Osier, Bc (<jo^s>). comme une altération de la IXe forme des
verbes
trilittères; voyez Cherbonneau dans le J. A. 1855,
~petit-eux trembleur, ~craintif timide, méti-
Il 557, qui en donne quantité, p. e. (pLe, blanchir,
,
)1.> rougir, 0l*S>, maigrir, vieillir.
culeux, Bc, poltron, Hbrt 228.
XaJ~~J épouvantait, intimidation, Bc.
1.:0-:> gué;haut-fond, place où la mer est peu
vi/u>>iL à ~!<j=cL~, dangers; dans le passage Bat. I, 19, où
profonde, Bc. — Dérivé de UL--:'
~t~" troubler, rendretrouble,Yoc. — Mohatra, XaL~ pl. ojL^wo danger, Bc, Abbad. III, 166,
Ale. (mohatra).
w O- escroc, Aie. (tranposo).
~- théorie, Bc.
u~-~ V accepter des présents, Macc. II, 709,
6.
[~L>- trouble, Martin 33.
~- fin danseur, Lane M. E. I,
~foncé (urine),
» 1 Martin 146.
w
.C~~ préposé à
260.
Varpentage et à la subdivision des
~L<~<. Le pl. (jM-~L.~ (voyez Lane) aussi dans
propriétés, Descr. de l'Eg. XI, 480, XII, 67, Fes-
,
le Voc. et chez Aie. (vado).
quet 25 (cf. Lane TA). — Jardinier, M, qui a le
pl. xl~, 1001 N. I, 145, 5,8, 298, 3, 633, 7 a f.,
-
même
l
~bySf
II, 424, 9.
,
~_bj3-
636, 5af., 877,4, etc., II, 241, III, 171, IV, 255,
2 a f. Chez Bait. II, 182 c je trouve jardiniers :
, =. rameau etc., 1001 N.
s
I,
I. Craindre que quelquefois sans ~0', P. Abd-al-
116, 5.
b.
prince épuiserait ses trésors.» — Etre infesté par des —
~CX^>).
~i-
166, 8
- ~les
brigands (route), Cartâs 165, 8 a f.: l3"w1 ~jL~;
a f.
brigandages sur les routes, ibid.
X~!~>'
- le salaire du.
O <•succuslycii, Bait.
~—3-
jardinier,
400
comme le nom d'une drogue, Deser. de l'Eg.
I, 4c,
Ml
XII,
9
II c. d.
a. empêcher quelqu'un par la peur de faire 137. ft~-~ ~>3jx. pyxacanthe, lycium, Bc.
une chose, Gl. Fragm. — Menacer, Domb. 128. o>
~3>e qui ressemble à son oncle maternel, M.
~—>- la crainte de Dieu, P. Khallic. I, 672, 11
SI. -
Avec l'art., la partie de la route qui n'estpas
sûre, qui est infestée par des brigands, l'opposé de voyez sous
0~!, Djob. 303, 20; ~ourlait j, «les dangers
que présentait le ehemîn,» Bat. I, 19.
1--97;*
peureux, poltron, Aie. (medroso, pavoroso
être infidèle (épouse), 1001 N. I,
U~-A~
905, 8. - Trahir
medroso) Bc, Roland, Hbrt 228, Burckhardt Nubia son maître, Koseg. Chrest. 109, 4. —
,
241, Daumas V. A. 102, Hist. des Benou-Ziyân 100 trahir son serment, Bc. -
C. a. p. déceler, découvrir
une personne cachée, Bc. - J~~<J!
malver-
JhAAjwJV—
V. A. 99; cf.
Aujourd'hui voler, Cherb. C, Daumas
14 SI. : ~XlD" ~cU, pour indique,,
une très-grande blancheur, m'est obscure; l'explication
qu'en a proposée M. de Slane (trad. I, 33) et d'après
laquelle ~dûl signifierait «l'œil,» me semble inad-
missible.
tent le nom de
signe, Ht.
ou
— Hémistiche d'un de ces poèmes 'qui por-
M. — Grain de beauté,
prouver que ce terme ne vient pas du pers. vAijlA>
mais qu'il appartient à la langue des Turcs orientaux.
— Au Liban, celui qui est au-dessous de l'émir, mais
5
au dessus du riiia, qui à son tour est au-dessus du
^13"**I le propriétaire d'un khan ou caravansérail, chaikh, M.
1001 N. Bresl. II, 251, 11; dans la lre partie du 1 être faible, 1001 N. Bresl. III, 245, 6:
,
Voc. stabularius, mais «stabulum» signifie aussi chez
»
lui «caravansérail, car le premier mot par lequel porte
II évacuer, Yoc.
il le traduit dans la 2de partie est
5S frère)
K~jL~- soie blanche, Prax R. d. 0. A. V, 19, et III (dérivé de O, fraterniser, Bc.
aussi soie de couleur, le même, ibid., IX, 218. IV évacuer, Voc. — L donne: aditullo~
yo«o
*L-i.. aubergiste, Bc.
.0. , mais il faut lire car il a aussi: exinanio
Xj~- trahison; K~->- ~—iw guet-apens, Bc.
?
b:.3!":> piperie, tromperie au jeu, fourberie, Bc.
— Imprévu, Ht.
VI (même dériv. que la IIIe) fraterniser, Bc.
îiyà> (pour Hj3-\) fraternité, Bc.
,
Bc.
infidèle, a chez Bc le pl. ti--. — Mé- jarret, Aie. (corva de la pierna). -
t~-~~LJ~
subgronde, séveronde, saillie d'un toit sur la rue,
chant, pervers, Aie. (maldadoso). — Voleur, Yoc.,
Aie. (socarren del tejado).
Martin 114, Daumas V. A. 101. ~QU3- maraudeurs,
- , ait
Cherb. Dial. 194. Il se peut que le pl. QI*-î»
vulg. pour dimin. de ~t', M.
qui exprime la joie chez le vulgaire, M.
-
Interj.
massif,Alc. (maciço).
*
juifs de Khaibar passaient pour l'être, M (sous -7. )-
,
~~L~ sorcier, Hbrt 157. VI, en parlant de deux ou de plusieurs personnes,
avoir l'option, v. d. Berg 65.
~~j~. I. v^oalt ~Ce ~VJL> il a manqué son coup, Bc;
r., Voc. VII dans le Voc. sous eligere.
c. ~cr
II c. a. et ~Jkfc détacher quelqu'un du parti de, VIII. )\:J.S::. ~AUIdans le sens de ~gLi .,jjt
,CI ,
V dans le Yoc. sous frustrare.
)
étaient considérés par les musulmans comme les pre-
0' ;::> 3, «nous permettez-vous de,» de Sacy Chrest.
miers en rang parmi les juifs et ils jouissaient de
certains privilèges. C'est ce qu'on voit par un passa-
II, 348, 5 a f. - , j<5 O
veut dire chez les
jurisconsultes qu'une chose n'est pas permise; exem-
ge de Khallic. IX, 12, 1. 13. Il raconte que, lorsque
le calife Fatimide al-Hâkim publia en 402 H. une
foule d'ordonnances humiliantes. et
vexatoires relatives
•
ple sous L\~>-. -
éjsp-j,
je
~—«quel
~aln w
—i:-~ merci, vous
remercie, rép. Bc.
aux chrétiens et aux juifs, il en excepta les Khai-
barîs (l'ordre des mots dans l'éd. de Boulac: ~e.LnJL~
est votre nom, s'il vous plaîtP » Bc. — ~aM il .r~
y a longtemps, Domb. 109,Bc, p. e. L ~agi J-A—r>
1S..r?4Jl est meilleur que dans l'éd. de g)lJLÀwà «il y a longtemps que je ne vous ai vu,»
,
Wüstenfeid. Bc (Barb.). — ~aAM~-xi» buplèvrum ou oreille-de-lièvre,
Slane, qui n'a pas reconnu dans
M. de
khayâbira le pl. de khaibarî a eu la malheureuse
idée de proposer une autre leçon, qui serait inad-
missible; voyez sa trad. III, 454, n. 5). Le petit
article d'Ale. (qui a aussi «yahûdi» et «izrailî» pour
~S. o!
..JJ', pimprenelle, voyez sous '~S!.
les blés, Cartâs 231, 9.
la peste, Jackson 54, 273.
-
«judio») prouve que même vers la fin du XVe siècle
les Khaibarîs formaient
encore une classe à part parmi a-~->~ voyez sous la Xe forme.
- "jA~ ou
(optio) a le
est
pl.
-
la grâce de Dieu,» Bc.
Gl. Mosl. -
dans le Voc. (viola).
la forme de la giroflée, Bait. I, 169
-
b: 17-P)
à
Ayant
j-~-'
ti~~Le sorte de poisson, Yâcout
chez Cazwtnt c'est
, C
.L*-ï->-~. ~~L~-~< la doctrine
I, 886, 7;
des élections,
qui
,
.: Norfolk plover). - £>!c
,^Lûi spontané, volontaire, arbitraire, Bc.
.L~>. Aux explications données par Lane, il faut
On ne dit pas seulement.Lx-~L ~J! mais
ajouter que )~ est le nom sous lequel on aussi ~j.Lx-~~<~J! «je vous offre l'alternative, je
- t~ ,)~
chez Auw. I, 248, 6; dans notre man. le mot est
,
cosa, lapa de vino, moho de arbol o fuente).
-A-"- bienfaisant, qui aime à faire, qui fait du
ij~~L I. L..JNW>dans le sens de JL~! ë:Ilif
bien, bienveillant, affable; — bienfaisant (chose), qui est vulgaire pour M.
soulage, Bc. II diminuer, amoindrir, endommager, M ((j>o&)«
,
faire cela,» Bc.
w CI
à.*à chose, action indifférente, Bc. —
Camelot; moire, Bc; Belon 451: «camelot ou Mon-
cayar;» Rauwolf, 98, 216, nomme parmi les étoffes:
V transformer,Voc.
sagette, glaïeul, flèche
,
qui cite Richardson et Meninski, et qui compare
l'anglais mohair, l'ital. mocajardo ou mucajardo.
w #9 volontaire, qui sert volontairement dans les
troupes, Bc.
treillis, grosse toile à faire des sacs, Bc; toile à
tente et qui sert aussi à faire les sacs, Descr. de
l'Eg. XII, 446; «les Arabes du désert portent le
nom d'Arabes Kheych, ou Arabes des tentes:
kheyclt
,
, J=~
~L~
Esp. 132-3. — bracelet, Voc. — Cha-
13 et suiv., Khallic. VII, 66, 14 et suiv. — Espèce
d'étoffe de soie fabriquée à Damiette et dont on fait
pelet, grains enfilés, Aie. (sartal de cuentas). — Petit
des voiles noirs à l'usage des femmes, Descr. de l'Eg. bijou de peu de prix, Aie. (joyel). — sllijfJr»-^~=»
XVII, 223. cordeau, la petite corde dont se servent les maçons
n. d'un. du mot qui précède, un morceau
de canevas, Gl. Esp. 342 n., Fleischer Gl. 71, 1. G,
pour tracer des lignes droites, Voc.
ges, Auw. II, 533, 9. — io
- >
fran-
Jaxc» courant d'eau,
R. N. 58 rO: je partis pour la Mecque ~X~~>- £ filet d'eau, source, Aie. (corriente venaje de agua). —
Pl. ,*-r> vrilles, des pousses en spirale avec les-
quelles la vigne et d'autres plantes s'attachent aux
corps qui sont près delles, Auw. II, 577, 2 a f.:
sac, Hbrt 75, grand sac de crinpourlapaille, etc., 1
Bc, grand sac de poil de chèvre, qui contient juste-
-kiAS»
KjJaljusyJî XL^xJ! le muscle couturier, Bc.
forme aussi au pl. Q!h*-r>, Bc, M, 1001
O «*
N. I, 21, 2;
'-~L~s~Jj de fil
voyez aussi plus loin. * - Q,
en aiguille, d'un bout à l'autre, par VIII, 347.
*> verbena nodiflora L., Prax R. d. O. A.
infibulée (fille), Burckhardt Nubia 296-7, figures plates, ou bien des marionnettes, qu'on fait
d'Escayrac 403. remuer derrière un morceau de toile blanche, à l'om.
voyez Bc sous
JaAi>.
0 bre de la clarté de plusieurs chandelles; la lct¡¡. -
I c. aller à, convenir, être juste à, assortir
terne magique, Lettre à M. Fleischer 180. -
et s'assortir, Bc. qui contrefait les gestes d'autres personnes, bouf.
fon, Aie. (momo contrahezedor).
II faire penser, faire croire, Abbad. I, 39, 2,
p. faire accroire à quelqu'un, Becri ~L~>- équitation, Bc.
82, n. 52; c. — Un tour d'adresse,Maml.
101, 14. Effaroucher, épouvanter, Ht.
—
J~—>- I,1,153.
—
~L~>- imaginaire,idéal, fantastique, chimérique,
(_-a—!! manier bien un cheval, Bc; le M l'explique Be.
Belâdz. — J~-~-53
-o
(l«re sign. chez Fr.), le pl. ~L~-!
se représenter, Bc; — se comme
forger des chimères, se mettre des chimères en tête, I,
nom d'une tribu, Berb. 15, 3.
se faire des fantômes, des illusions, Beaussier, 1001 J~~t
,
- 1 imagination inventive, Gl. Abulf.
N. Bresl. IV, 158, 8, 168, 12.
— C. p. avoir
des soupçons au sujet de quelqu'un, Macc. II, 60, 13. ww
.JL~-~ imaginaire, Bc.
—
i
S'effaroucher, Ht. — Désirer, Aie. (antojar
antojo apetito J~-~-), antojadizo ~)<~-<=~a).
w Devenir - se tirent de Vimagination (de Slane), Prol. III, 112, 2.
o pour lS.r;?>o-
ou ~—j~->, giroflée, Gl. Esp. 98.
~L~>. s:'Il:.:Si lS':';;' il marche d'une manière
or-
10. -
C. a. p., Berb. I, 405,
crainte les fit renoncer à leur
résultat, Millier
10:
projet.
~L~-
129,
la
d'une telle étoffe, ibid. — Pur (eau), M. — Flegme ~.A--- transcription du grec dans la trad.
>
de Dioscorides, chame ou came, genre de coquilles
bivalves, de Sacy Chrest. I, 148, 2, où leman. porte
ce que l'éditeur veut changer en
l'èta doit avoir été rendu par i long.
mais
b, fém. loS.), pour , ça,Be. <~ père nourricier,Voc., Aie. (ayo o amo, amo que
cria, criador; il écrit: did, didd, didd et dêde). —
*
I c. r. faire assidûment une chose, Voc., Car- Papa, nom que les enfants donnent à leur père,
tas 231, 6 a f. Aie. (taita padre de los ninos).
à Ghadamès, père, Richardson Sahara I,
271. — Titre d'honneur parmi les Berbers, Berb. II,
pressant à faire que de, Fleischer Gl. 52. Un peu
autrement chez Bc: ,cR~ & Lo
«
je n'eus pas d'autre moyen que de le prendre sur
mes épaules;» t,-i" ,<-~) «il fal-
-
<—'~
a cette leçon, au lieu du de l'éd. de Leyde. pertuis, hypericum, aussi ~'3!~. A Bagdad on
L?~-~
3 broyait ses graines, qui sont amères, et on les jetait
étoffe fine de soie et de coton, rayée de di-
dans le vin de dattes, afin de le rendre plus fort
verses couleurs, qui se fabrique à Damas, Descr. de et plus odorant, Most. in voce, Bait. I, 409 b et c,
l'Ego XIV, 144 (de Sacy). Auw. I, 326, 4 et suiv. — Le vin de dattes dans
lequel on a infusé les graines du millepertuis, Auw.
I, 326, 16.
Iaa*oλ>
arbre en Perse qui produit de la gomme,
,
ISLyotj, Bait. II, 134 d.
231, où le man. de Gayangos porte
C)la vulg. pour oreille, duel L?'-~
la darse; c'est une altération de l'ital. darsena,
qui vient de l'arabe XclJLo Gl. Esp. 206, n. 1.
espèce
bétoine, Bc.
, ).
le même mot.
(sous
~~AC.t~
cannelle,Bc,Edrîsî, Clim. I, Sect. 6 ((~~L~). w
15..),t) chantre (proprement: celui qui chante les
La véritable s'appelle (jyail Bait. 1, 404 e. psaumes de David), EdrisÎ, Clim. V, Sect. 1, où les
Cf. l'article qui précède. - Aloès, L (aloen vel aloes). 0;',,),1..)
sont nommés avec les prêtres, les moines et
,UU,ta poivre long, Bc, Edrîsî, Clim. I, Sect. 6 les diacres.
8^3 ta (Daumas arbre et fruit, que l'on pétrit en
MS)
~~t'ô dauphin (poisson), Bc. galette et qui, séché au soleil, a, dit-on, goût de
viande, Daumas Sahara 332 (daoudaoua); Richardson
= '~-!, Most. sous ce dernier mot; dans Central 1, 296: «doua doua, round black balls of a
Bait. A Q^Iax_âî^>; c'est une altération de dracontia, vegetable composition, eaten with various dishes as
voyez Bait. II, 446. seasoning; it is very abundant in Soudan;» beaucoup
..j1-3 (pers.), en Syrie, macis, Bait. I, 137 a, 409 e,
de détails chez Prax 23 (daoudoua) et chez le même
dans la R. d. O. A. VIII, 6 n.
*
II, 147, 2af. accoucheuse, sage-femme, Bc, Hbrt 27, M, Paync
la
L4 espèce d'origan marum, Bait. II, 503. Smith 1575, Lane M. E. I, 244. — ~L~ en~~,
parlant d'une femme mariée, est celle qui reçoit
chaque jour la visite d'une autre femme et qui s'ex-
—j~.!ô (La)ou '-~t~ cuse en disant: c'est ma nourrice, ou c'est matante,
(N) virga pastoris, Most. vo R. N. 31 ro.
voyez sous
(:)t&XÏ.t3
c.
(pers. de £lv> et de ) fourneau, J. A. 1849,
1 c.
n,
<a£
~J~tô
ta, pour ,
273, n. 1.
celui-là, Bc (Eg.).
~, lézard, chez Freytag, est pour
ours, au fig., ours, animal, homme stupide,
voyez automate, personne stupide, balourd, benêt, bête,
brute, butor, oison, Bc. — Le fém.
-
, ourse, forme
au pl.
phibie, Bc. —
1
Be. — O w lamantin, animal am-
ÿ..),
nom d'un. 8, vers qu'on
trouve sur les roses, Alc. (gusano de rosas).
(envoyés par Dieu, ils ne viennent que lorsque Dieu
le veut). — Chez le vulgaire, qui prononce (sans
yî.v Comparez avec Lane ce passage de Burck- techdîd) ou ~,
soit monture en général, soit âne en
hardt Syria 476: « We travelled over a wide, slightly particulier, M. -
- -~J!
O
baleine, Voc.
ascending plain of deep sand, called El Debbe, a
WO>
name given by the Towara Bedouins to severalother insecte, Bc, Hbrt 70.
»
sandy districts of the same kind. — (Turc) descente,
II exprimer sa penséeavecélégance, Macc. II,
hernie; >?' qui a une descente, Bc. 362, 17.
= flacon, bouteille, M. V s'orner de vêtements de soie de différentes cou-
leurs, Lettre à M. Fleischer 58-9. — Au fig., c.
~L-j~ Vaction d'aiguiser un couteau, Aie. (amola-
p., orner son esprit en communiquant à un autre les
dura de cuchillo). — Pointe d'un couteau, Cherb. traditions que l'on connaît soi-même, et en apprenant
(~Lj)).
— Mentha sylvestris,
Bait. I, 411 d. de lui celles qu'on ne connaît pas, Fleischer sur Macc.
1, 507, 3 a f. Berichte 193, Lettre à M. Fleischer
reptile, Bc,Hbrt 68, mais c'est un collec-
58-9; cf. ~tj~.
e ,
tif,reptiles, Auw. I,
601, 15, 602, 5 a f., 603, 5,
Voc.
9, 16, 680, 7 (lisez ainsi), 681, 11 (lisez ainsi) ,
Payne Smith 1264, 1279; — serpents,"Werne 6.
X->-L~ fabrique de
,
-.
r-,Ç' fabricant de Voc.
V_JCL>reptile, Hbrt 68; I-JLOouV—JIJ^ seul,
dans le Voc. purpura (cendat). — Au fig.,
sauterelles rampantes, Payne Smith 1115.
C'était une espèce de tour, où se plaçaient
des soldats destinés à attaquer les murailles d'une -nière- brillante.» — S'emploie, de même que X~-L~
place; cette machine avait quelquefois quatre étages, en parlant des veines dans le bois et dans les pier-
le premier de bois, le second de plomb, le troisième res dures, Gl. Edrîsî.
de fer, et le quatrième de cuivre; elle était posée
x>Lo^, au fig., le poème que quelqu'un a composé,
sur des chariots, Mong. 284 b. — Nom d'une pièce
qu'on a ajoutée, dans le grand jeu des échecs, à Prol. III, 357, 10. — Pureté, élégance de style,
celles du jeu des échecs ordinaire, Vie de Timour II,
798, dern. 1. Chaque camp en avait deux qui mar-
chaient d'abord comme le roi, mais qui, plus tard,
sautaient comme les cavaliers, van der Linde, Ge-
schichte des Schachspiels, I, 109. — Boulette de vi-
ande crue, M. — (14.-*'Si AJIJ^ serpentin, tuyau d'étain
ou de cuivre étamé qui va en spirale depuis le cha-
X->-L~\J!.
- Voyez l'article qui précède.
,
gement. barbe-de-bouc (plante); scorsonère, Bc.
vers, Bg.
compas, est pour -UàLo (voyez).
~(~ô I, en parlant d'un petit enfant, marcher à quatre S-j~ toux, coqueluche, Aie. (pechuguera).
pattes, marcher sur les pieds et sur les mains, M.— postérité, Amari MS: cela sera obligatoire
Trépigner, Bc.
&àJ4a
* - O-
-
C. à balbutier, hésiter à, Ht.
allait en Sicile
tintamarre, Cherb. (qui écrit incorrectement et le nord, Amari MS.
II,
c , étourdi, écervelé, Ht.
vjlXjAx
(C~\J! Jj~,
Bc, Hbrt 79.
bosse, élevure par suite de contusion, Bc.
c-
en Sicile septentrional, Gregor. 36, 10:
où ce mot ne peut pas signifier »oc-
cidental,» car ~~L!! est nommé dans la ligne suivan-
jouer aux
16. — échecs, Macc.
3 a f., et simplement -jUL\X~ en ce sens, 481,
Exploiter une mine, Edrisi, Clim. II, Sect.
I, 480,
5:3
5.— pl. c
te; lisez de même Gregor. 40, 6.
bourdon, grosse mouche, frelon, L
(fucus), Aie. (tavarro especie de abispa), Bc, M, 1001
sur le dos par la selle (bête de somme), avoir au dos régime de nourriture, M, Muller S. B. 1863, II, 11,
9--
des ulcères causés par le frottement de la selle, dern. 1., 17, n. 4, pour û5 ftr,À';, comme on trouve
Aie. (matarse la bestia). Cette signif. conviendrait chez Bc. — Traitement (l'une maladie, M:
mieux à la Ve forme qu'à la IIe, et me fondant sur
le Voc., qui les donne toutes deux sous pustula, mais
en indiquant que la IIe se construit avec l'accus., je (Dérivé de9,, lavement, elystère, M. - *-c
serais tenté de penser que la véritable signification
de cette dernière est: blesser une bête de somme au j-ovAj,ou ~, est: la science qui
—
en-
dos, lui causer des ulcères au dos, en parlant de la seigne ce qu'il faut observer dans une demeure pour
selle. y loger convenablement une famille, les parents et
V s'arranger, accommoder ses propres affaires, avi- les enfants, les maîtres et les domestiques, M.
H-ojJ»'
ser à ce que l'on aura à faire, Bc. — Voyez sous statut, ordonnance, Aie. (estatuto o orde-
la IIe forme, à la fin. nacion).
LjiXXmmq
X. à rebours, Berb. I, 486, 2: ~~u~~-t administratif; économique, Bc.
~-L~. ~Jd! t. de médec., tisane, eau dans
flèche dans le dos, Kâmil 337, 3. laquelle on a fait bouillir certaines substances pour
pl. j\jô écueil, Bc. en composer un breuvage que le malade doit prendre
plusieurs fois par jour, comme l'eau d'orge, M. —
.CI- ficelle, Ht. s~J~! S~-~, t. de médec., scammonée qu'on a -l'ôtle
dans un morceau de pâte ou dans une pomme, afin
,
de détruire ses qualités nuisibles, M; cf. Dodonœus (J~~,
n. d'un. 9, gravois, menus débris de murs
698 b. démolis, Bc, M.
w ,- chez les moines, celui que consulte le géné- (j:~ros,M.
ral de l'ordre, M. — Patron d'une barque, M. — iLù-iù fourré, M.
Ingénieur, Descr. deFEg. XVI, 48. — Motte, petit morceau de terre
détaché, Bc.
,t—jJ~a infortuné, malheureux, 1001 N. IV, 185,
y,
f.
(j~~ bagatelles, babioles, Aie. (baratijas).
3 a
mail,massue.
iitail, iiictssite, Bc. ciron, très-petit insecte, Bc.
s-j~*• poing et
coup de poing, Domb. 87, Cherb., ressemblance du son on l'ajoute à ,
n'existe pas à vrai dire, mais à cause de la
et l'on dit
a
lit, Daumas V. A. 295.
senecio, Prax R. d. O. A. VIII, 280.
,c.juJ) sorte d'étoffe fabriquée en Arménie, Bat. I,
163; mais la leçon n'est pas certaine, voyez note
p. 433.
xj!~!~ ~-jJ! dans le sens de tout
1
,
de Habicht sur le IIIe volume de ecn éd. des 1001
o,
le monde, Gloss.
~LxJ!.
Si
Aie. (torvisco
le nom d'une herbe avec laquelle on teint le maro- brugger 92 (debbara).
quin en jaune. les laines sont séparées des peaux par
K-icet
etKm. 3>
X*~~ noirceur,Voc. la chaux, aux tanneries, elles s'appellent deblaghia»
(plante) = fH!;.), Payne Smith 860. (sic), Godard I, 210.
massue casse-tête, longue d'environ deux Xt-b~
tannerie, Bc, M.
pieds et terminée par une tête revêtue de fer, qui ,,ci
1.Cà."-,plus fortifiant, Bait. I, 164 a: 3
a environ trois pouces de diamètre, Ouaday 111; cf.
Maml. II, 1, 137;
— massue incrustée de nacre et
de coquillages que les négresses tournent sept fois
autour de la tête des femmes malades pour les guérir,
jarre du tanneur, Descr. de l'Eg.
XII, 473.
Cherb. —jjwj—jlXJIj
par contrainte, Bc. — c~jL<. Aie. donne: sahornado de sudor, madbok.
Epingle, Bc, Hbrt 82, M, Ht, Barbier.
Ce terme esp. signifie (voyez surtout Victor): celui
5»o5
tj~~ noir, Voc. , qui, par suite d'un échauffement ou d'une longue
marche, s'est écorché en suant les pieds ou la partie ~O*
fj~jjjô, anneau, Hœst 120, semble une altération de
du corps entre lescuisses; et comme —~
ne con-
viendrait en aucune manière, je pense qu'Aie, a con- ~jJue~ (pour ~gJLo).
fondu ici comme ailleurs le t
et le ~t; cf. le passage
~II ?
d'Auw. que j'ai cité sous I.
ramperf Bc.
~OuJu gluant, Bc; poisser, salir avec quelque chose ~L à présent, Bc (Barb.); peut-être pour ~*£ , (voyez),
de gluant, Bc.
~&a et rampant, bas, vil, Bc.
~*u4-.) pipeaux, branches enduites de glu pour pren-
Lt.!L\~Jô (A; de même dans B, mais
~OO
sans points)
dre les petits oiseaux, Bc. — Sébestier, Bait. II, 4b. d'un légume indien, Bait. I, 410 c.
nom
et II piétiner, remuer
les pieds, faire du bruit avec les pieds, Bc, Cherb.,
le synonyme, et dans le Calendr. 62, 4, comme
nom de la pluie qui tombe vers le 10 juin.
le
,
II abriter, Aie. (abrigar).
Bc. — 1 ~sLcjJt remplir une boîte en pressant, IV faire disparaître, effacer, Abbad. I, 38, 10.
en serrant avec force, M. ~~! -
terrassa, il le jeta de force par terre, M.
(J~c
&-~-j~ il le
V s'abriter, Aie. (abrigarse).
X~j~ piétinement, Cherb., bruit des pieds de .~j~-
~JO
figues précoces, aussi Jo
M.
per-
sonnes qui sautent, courent, trépignement, trémousse- ~f5
.î-.Xï«abri, Aie. (abrigo).
~Oo-
ment, tracas, Bc; dans le M (j~SJ! q* ~c.
'~j~ comme épithète d'un chameau, 1001 N. Bresl.
perdrix, Bait. I, 414 b. — Grive, Bc (Alep),
,,
XII, 224, 3 a f. Hbrt184(Alg.).
— Pinson, Bc. — ama-
1 c. a. p. ennuyer quelqu'un et lui procurer la ma- rante, Bait. I, 415c (mal traduit par Sonth.).
ladie dite
-
~O
~XJUÂJî,
M. ~^L>0. <~ *
dinde, Bc, Roland, Pagni MS;
,c,.. pl. 1
:i.lp anneau, bague sans chaton, Bc, Hbrt aussi <~)~, Pagni MS.— \joy>I ~.L>~ bécasse,
22, Lane M. E. II, 407. — Virole, petit cercle de
métal autour du manche, Bc.
.CI' pl., carafe (gallina ciega ave), ~W.!
~ev' -Hbrt 184. ~J-
.s:U'plongeon, oiseau aquatique, Aie. (somorgujon ave); -
~XJbk> ou bouteille, Voc. (fiala). —
(Esp. dobla) pl. ~tj&bo double (monnaie), chartes gre-
nadines.
foulque, poule d'eau, Bc. — ~S - ~nommés
û
~o
y Calendr. 59, 2. — ~LOJ ~FjJ! ~L>~, nom d'une
mitraille, Cherb.
capitation que chaque juif au-dessus de treize ans
..Jb~ (esp. doblon) doublon (monnaie), Bc, M. paye annuellement dans l'empire du Maroc et qui
-y Le Gl. Manç., après avoir donné la signif.
ZkAàa.
s'élève à quatre francs. Autrefois les juifs payaient
ce tribut en nature, en donnant une poule avec ses
de ce mot dans la langue classique,ajoute qu'il
poulets, Grâberg 219.
désigne chez les médecins: un ulcère dont le pus est
ichoreux, à quelque endroit du corps qu'il se trouve; —L>.~
celui quiprend soin despoules, Aie. (galli-
dans L apostema. — Anxiété, tristesse, Voc. nero que cura las gallinas, pollero que los cura).
~v ~9 *
<' OLe pl. ~Juà, Mufassal éd. Broch
Brooh 174, t~ô 1.
(j~L~~,
1 c. a., II et VII dans le Yoc. nous pugnus.
ou~os
V devenir Mudéjar (voyez ,.—>~\<e), Gl. Esp. 322;
dans le Voc. sous tributum. fj~~<3 I, ~J~>~, fourrer, faire entrer
aor. a, n. d'act.
~>~.
~0. ~Q^Xii ~pi
yois
seul, les Mudéjares dans une affaire, glisser, insinuer, Bc, M.
a +,
~o=^)- VII s'ingérer, se fourrer, Bc, M, Bàsim 112:~S_â3««
(voyez
~or** est employé par Saadiah dans le sens de
l'hébreu ~|£j, blé, Merx Archiv I, 51, n. 2.
jul^O. XJL^XJ ~*VJL-ùcarrefour, l'endroit où se
^jà^.0 II rejeter un livre, en nier l'autorité, l'exacti-
croisent deux ou plusieurs chemins ou rues, Aie. tude, Macc. II, 52, 17.
(encruzijado).
pluie, Diw. Hodz. 125, vs. 5. — Pigeon
Macc.
mergo.
1 faire des jardins, Macc.
I, 533,15. — La I, 304, 18. — Pétrir,
y ~oS
sous dimergo et
Cr-w - ,
J-A,
d'où vient l'esp. Mudéjar, désigne celui IIIvoyez Diw. Hodz. 215, vs. 8.
(le musulman) auquel on (le vainqueur chrétien) a
VI chez al-Fâkiht (Wright).
donné la permission dé rester là où il est, à la con-
rla*Il ,~! =
dition qu'il paye un tribut; c'était le terme par lequel VII V, Saadiah ps. 36, 62.
je-'-a II, descendre, aller en pente, Bc. traduit ulcère en pince au boulet.
~VjjfXs^ùcalade, terrain en pente, descente, Bc.
~fi -
yw-sO, î
dauphin, ù -
chez Niebuhr B. 168;
\j»—.>v>
selon Djaubart 8 v°, ce poisson portait ce nom à
~sL<~ L Pour
VpilJt
commerce, liaisons, rapports que les
personnes ont les unes avec les autres, M.
entrer par une porte, on trouve
Cartâs 38, 7 et 8. — Etreprofond (bles-
sure), Aie. (entrar hondo la herida). - ~i)=0
<L~L s'insinuer dans l'esprit de quelqu'un,enjôler, Bc.
~XJLj ~e. —
8 : il cherchait à s'emparer de Cordouo
«en courtisant les citoyens de cette
~U! XitAA 6,
où la trad. porte: «les peintures
—
Vulg
do
de son mari, »
de Sacy Chrest. II, ~A1, 2. — C. ~c ses édifiees, tracées avec de la couleur d'azur.» -
1
p., en parlant du temps (cf. Fr. et Lane), p. e. Macc. ~(jwLsJî ^j-o J<->o! dans le Voc. diseminare,
sous dans
:::'Jf
Je
le sens, à ce qu'il parait, de ydJLÎt ~j
~e,
180, 13. — C. p. en faire accroire, tromper, Bc. qui précède, et de (jJjLÎt tl-.à ~l5j-^, qui suit (avec
- C. ~J.-s: r. consentir à, Amari 511, 9. — C. ~LU »
«concitare dans une note), exciter les hommes le,
r. s'approprier une chose, Macc. I, 417, 8: iLssu^o
,,}!.
uns contre les autres. — ~O)l; Joi Lj^ J~*~~ consul-
ter ensemble sur quelqu'un, Voc.
et j. r. arracher une chose à quelqu'un, l'en priver, V c. ~e p. prier, demander par grâce, Bc, 1001
N. I, 18, 6 a f., 38, 13, 271, 5, 8, Bresl. II, 160,
Bidp. 269, 2. On emploie même J-:>..), dans le s
~i
7, prier quelqu'un ~(J^) de ),
~(qI £ Macn. II, 691,
sens de iX-3-î,
- être arraché, volé, Cartâs 39, 3 a f.: s
9, ~(04), Bresl. II, 80, 12; le M donne cette expli-
1.
el seno).
III.~JJJÙ- ~q*
UL>b
,
II mettre, cacher dans son sein, Aie. (meter en
«nous commençâmes à
soupçonner un peu l'origine de ce pain» (nous com-
mençâmes à douter s'il était bien et si, par
conséquent, il nous était permis d'en manger), R. N.
83 vO. — C. a. p. parler avec quelqu'un pour lui
conseiller une chose, etc., Khatib 91 v°: lorsqu'il fut
venu à la cour de son cousin pour lui rendre l'hom-
p. prier, supplier, comme la Ve, 1001 N. II, 688,
15, III, 80, 11, Bresl. XI, 396, 6.
VII dans le Voc. sous introducere; se perdre dans
la foule, L..JNU-J' ~tp-à Berb. I, 3, 1. 8,
une autre tribu, ibid. 22, 10.
J<->-~,
o »
Gl. Edrisi.
dans,
-
? *
~~—>J~J! les personnes qui sont dans
Vintimité d'un prince, ses confidents, son entourage,
,
l'heure du déjeuner, Mohammed ibn-Hàrith 330: ~0'"
et ~AiLw. ~àdisO
s'emploie isolément dans
Le mot
1
sous
le même sens, Gl. Edrîsî, Berb. I, 508, 3 a f. (Tu- Xlc"!~ semble signifier embarras, affaire fâcheuse
-
I, 558, 1: siUb>b ju O-
~LuJLc
518, 9, Abou-Hammou 80: ~qÎ iJ>. ta)d
chez Macc. 4-W!,
~L~! ~gLJl.
0" KJL>-~. Dans le Voc. familia.
à O ~S .c-JLs-~ intérieur, interne, Bc.
Holal 12 rO, en parlant de Yousof ibn-
~> -oï
,)3v>î entrant plus, Mufassal éd. Broch 188, dern.
1.
- Plus apte à entrer,Abou'l-Walîd 350, 26. -
Chantant mieux, 1001 N. Bresl. VII, 95: sjuu.
,, ~4M JJ-~ ~J~, où l'éd. Macn. (II, 97) a 0--=>'
J~—P"~
Maml.
la consommation du mariage; — la noce,
I,2,23. ~et sous la Ire forme du verbe.
J~>-~ protégé, celui qui est sous la protection d'un J~>\
, O« pl. J~>~tX<„ entrée, occasion, ouverture, Bc.
autre (cf. Lane), p. e. L ~jL-j~->-~, Burton II,
être trompé
~&,Lu
par quelqu'un,
~L>~ le priant de (de Slane),
1001 N. Bresl.
JL>0 ~A
- .j o t.~!~
• ~III
I. (jj-yi ~(Jo:
*
,.y~~> chasser ou faire mourir les
(j~LjJ! celui qui excite les hommes les uns contre les
punaises par la fumée, les asphyxier, Gl. Fragm.;
autres, Voc. — ~)£
Payne Smith 1554.
~! jLi>0 millepieds, scolopendre,
s #
+ my
mais j.e crois qu'il faut prononcer ~^>0 voyez Lane ;
sous la IIe forme à la fin.
J~ Xi~~jd! XJUJ~! la ville intérieure, la cité, V fumer, jeter de la fumée, Abou'l-Walîd 552, 34.
oy oy millet, Voc.
KJL~3 = ~^=0, X demander qu'il (un bienfait) soit grand, Amari
< o» bouffée, Dipl. 14, 2af.
~»LiO
fumée, Hbrt 197 ~(juLiO),
XJ«
masse de
fumée, Bc; fumées, vapeurs qui s'élèvent au cer- pl.
natte fine dont on couvre la muraille
,
:,veau, Bc.
y**.!ht,
batteur de pavé, Bc.
tant: hie panem oleo frictum reperies illi persimilem,
, quotidie venditur copia etc. — » F
qui apud Romanos melleus dici solet. Huius maxima
.jL~-~ chique,
tabac à mâcher, Bc. — Dans l'Asie Mineure, de-
1001 N. Bresl.
332, 1;
Habicht traduit dans son Glossaire orné de perles;
I,
.-!~ , cheminée, M.
de BEL, et l'ordre alphabétique semble montrer
qu'elle est la véritable; AD Jwôjt.3, H ~Jwôt^to.
cheminée,Yoc. — Maisonnette fortement
doronic, Bc.
échauffée au moyen d'un four, où la chaleur et la
fumée font éclore les œufs des vers à soie, Bg ~uy 1 étudier, ~ifaJ' y).),
, -- Abbad. l, 201, 14, et l'on
718, M.
trouve le n. d'act. en ce sens, ibid. 203, n. 39,
~q30oo.tiLr* saur (hareng), et .—>-~~e -
cheminée,Domb.
KJ!->~e pl. -
seul hareng saur ou fumé, Bc.
~-O*» cheminée, Domb. 80, Bc, Hbrt
.:.
C*
~(^*3^ III mitonner, dorloter, cajoler, Bc.
IV rendre abondant, donner en abondance, Gl. Belâdz., II instruire, enseigner, Khatîb 29 v°:~
~,,CÏ 5'
.,' Abbad. I, 243, 9, Calâïd 54, 3 a f. Y)a3 (où la bonne leçon £*^3 se trouve dans
~,;. L»J;Ou ;
»Jub chez Macc., qui cite ce pas-
Voilà donc le mot dont les Espagnols ont fait adarve,
sage III, 202, L—~—~J~-j.
— Cette forme, c. a., se terme qui signifie dans leur langue Vespace qui règne
trouve dans le Yoc. sous porta, où on lit dans une dans le haut des murailles, et sur lequel s'élèvent les
note: quando claudit vicum. C'est donc: fermer les créneaux, et par extension muraille d'enceinte. Chan-
nortes du quartier.— Barricader, Freytag Chrest. gez par conséquent ce que j'ai dit Gl. Esp.41—43.
— A Constantine, une cour intérieure qui commu-
nique avec la rue par une allée ou ruelle fermée à
>
bité aujourd'hui par le commandant supérieur de la
~JL>- ~E;-e <~~aj ~-c s-'
Les barricades rempla-
province, contient plusieurs corps de bâtiments, for-
çaient les murailles quand une ville n'en avait pas,
mant un quartier distinct et séparé du reste de la
Freytag Locm. 61, 5 a f., où il y a un mot que
ville avec laquelle il ne communique que par une
l'éditeur n'a pu lire: ~, ~JJ !,.b, ,; seule avenue, fermée autrefois à ses deux extrémités;
aussi les indigènes l'ont-ils appelé derb, Cherb.
,,
-
~yW barricades, Berb. II, 56, 1. — Labyrinthe,
V c. ~Jwc r. s'exercer à, Bc, quelque part chez L (lauerintus). — Synonyme de ~jlîî, traces, d'Escay-
rac 594. — Mesure d'eau courante, Gregor. 44; «le
mot darbo dans cette signification a été conservé
struire sous la direction de quelqu'un dans un art, dans le système métrique de la Sicile jusqu'à nos
rr~-~'-~L\-t jours,» Amari MS.
une science, Meursinge 21, 2 a f.: à
,
~.CI
— Le nom d'act., suivi de
~j., connaissance, ~Kba, non-seulement long usage, mais aussi expé-
rience, connaissance des choses, acquise par un long
usage,Edrîsî ~11A, 9, Khatib 64 vo: il l'envoya
En Espagne on donnait le nom de
"'="'),).
n comme ambassadeur auprès du roi de Castille,
~KU,
aux Ports, c.-à-d. aux défilés des Pyrénées par les-
quels on se rend d'Espagne en France, Macc. I,
145, 4 et 5, 209, 17, 223, 9: V5>^
~OjJi, 227, 15. Par extension, les Pyrénées. Aussi
la chaîne de montagnes qui s'appelle la Sierra de
Les f)~t~ en Espagne étaient proprement
Guadarrama, Akhbâr 38, 8; pour la distinguer des
Pyrénées, on l'appelle ~v-jyAiî, la seconde chaîne ceux qui gardaient les portes,
~O
«,
des rues ou quartiers,
de montagnes, 62, 6, car s'emploie aussi dans
que l'on fermait à la tombée de la nuit. Il y avait
le sens de chaîne de montagnes, p. e. Macc. I, 92,
13: comme il n'y a pas de ~ya entre les musul- dans chaque rue un yGc..) armé; muni d'un flambeau
mans et les chrétiens, ils se font continuellement la et accompagné d'un chien, il devait veiller à la sû-
guerre. - Route, grande route, M: of.'v.1 ~~X!~!~ reté des habitants; voyez Macc.
X~ d'une
I, 135, 10.
boutique. Quand la porte d'une bouti-
dans les exemples cités Maml. II, 1, 147 (où l'ex- que est partagée en deux, dans le sens de la largeur,
a
plication de Quatremère, chemin étroit,» ne con-
chacune de ces deux parties s'appelle K~ M (K~<~
vient pas), Aboulfeda Géogr. 119, 3 af., Macc. II,
709, 9, Ztschr. XI, 494, XXII, 75, 3, 120. En -
Espagne. Abou'l-Walîd 222, 25-27, dit ceci:
leure espèce est faite de bois, la plus ordinaire de
terre cuite. L'extrémité la plus large est formée par
~Wjlj pl. ~14Y soldat qui une peau sonore, l'autre est ouverte. Voyez Lane
sert dans les expéditions M. E. II, 88, Lyon 63, Ten Years 28, Cherb., Dau-
contre les Grecs, Gl. Maw. mas Kabylie 401, Ouaday 60, 367, 396, Pallme 40
Carteron 494, R. d. O. A. XIII, 155, Niebuhr R. I,
CI.
VÇijJû' politesse, élégance de manières, Macc. II,
175, Descr. de l'Eg. XIII, 528. — àL-5j—ijô litière
516, 2.
véhicule, Domb. 97 ~(ta), Ht; cage en bois dans la-
K~j.JCt,
1 O # suivi de ~AâJo lo, cul-de-sac y Bc. quelle on transporte, le jour des noces, une jeune
w , , instructeur, qui montre l'exercice, Bc.
fiancée de la maison paternelle à la maison eonju-
~.J~e
gale, Cherb.
iôjA» matelas, Bc (Barb.); chez Hœst 266 ~MJUA;
c'est pour ., ,
~ajwOox. iULy> tambourin, M, 1001 N.
~-
I, 244 (de même
dans l'éd. de Bresl. II, 240).
~Lj.t~J!
A ~vuoJî espèce de raisins secs, qui sont
'CI
j~-Jt.~ balustrade, garde-fou composé de balustres, longs et extrêmement gros; ils tirent leur nom d'un
pl.
galerie de bois, balcon, Aie. (varandas), Ht, Paulmier.
C'est une altération de .j-jL~.
sonniers, Cherb.
fers que l'on met aux pieds des pri-
endroit appelé Dirbal, M.
~-- vêtement usé, Domb. 83.
X~ grande bourse remplie d'argent, qu'on envoie
scellée d'un endroit à un autre, M.
(rpxirêÇiov) balustrade, garde-fou, rampe, L\~J.~
~O+o
(pers.) barre pour fermer la porte d'une boutique;
balustrade à hauteur d'appui, Bc, Bg, Me, Ztsehr.
le vulgaire dit M; le persan a aussi cette
XI, 501, XXIII, 275, n. 1, Abou'l-Walîd 544, 21, ,
dernière forme.
,
.CI ,
(pers. ~(jvo j$S)
,F)..>..A trapu, gros et court, M.
,
~0-
(_J^o pl. ,j~L3 verrou, Bc, Hbrt 193; barre pour sortir du nid; au fig., en parlant d'un jeune homme
fermer une porte, Bc. ou d'une jeune fille, quitter la maison où l'on a été
élevé, Berb. w ,
I, 641, 1. On dit aussi ~(J*—c
~* ~0'" c;:;).)
gloire, prééminence, souveraineté, Cherb.
~, Prol. I, 20, 15 et 16. — v-jIjlXJî ,3
9 O est expliqué
~KXjjO. J~>-Xx~~ piétinement de chevaux, 1001 n. d'act. ~s/»' par ~¥ et signi-
N. II, -
156, 8. r~j~X~~ charivari, bruit confus fierait, selon Quatremère, Maml. II, 2, 222 à la fin,
j'ai écrit rapidement le livre; mais je crois que c'est
,
de chaudrons,
avec cris,
lors du deuxième mariage
d'une veuve âgée parmi le peuple, Bc. — ~e-Ui aXjjO j'ai lu rapidement le livre, car chez Ht F.,.)a est lire
cascade, Bc. couramment. — aL.;..,aJ' ~g, ë;;)¡) fredonner, faire des
*
;
fredons en chantant, Bc cf. Lane sous la IVe forme.
II graduer, diviser, augmenter par degrés, Bc. —
1 pl. tambourin, Bc, Hbrt 98 (Alg.). La meil- Indiquer les degrés d'une chose, Auw. I, 100, 3.-
~.J~JLj
~t.J~J!
ou gUjOûJlj, de même que <~-~<~-f ~(~& ou
~j>ar K->~0. Le pl. ~.: a gradins, bancs au-dessus les
degrés, graduellement, petit à petit,
Gl. Edrist, Bc. L'opposé est ~E4 0')
tout à coup, uns des autres, Bc. — Selon Lane quatre minutes
c'est donc ainsi qu'il faudrait entendre ce mot dans
f
Gl. Bayân. — Bâtir en guise d'escalier, bâtir en éta-
les exemples cités Maml. II, 2, 216-7, où Quatre-
gest disposer en gradins, Gl. Edrisi, Becrî 31, 12; mère traduit un petit espace de temps, une minute;
,
e >
Y4 une porte par laquelle on entre après avoir
~J~9 cependant Bc donne aussi instant, moment. — Harpe,
monté quelques marches, Cartâs 38, 9, 46, 5; cf. pierre d'attente qui sort d'un mur, Gl. Esp. 41. —
138, 6 a f. Suivi de ~sL-J! lancer à l'eau, Autob. 213 ro:
~^Jô' :
17 LaL-i!L.%*..$^lâli
9
V se promener, Calâïd 57,
*» ~w
progrès, Hbrt 116. -
Etre formé en escalier, Prol. III, 405, 7. — S'ag-
glomérer (de Slane), Prol. I, 82, 11; dans le Voc.
sous atrahere.
VIII dans le Voc. sous plicare.
~m
~ry (chez Ht pl. de *>>»>)escalier,
francolin, Bc.
escalier, Domb. 90.
X c. a. attirer. Voc.(atrahere), en parlant de ceux .,J,> dans le Yoc. sous plicare. — Ce mot doit
-,
qui attirent l'ennemi dans une embuscade,Macc. II, 749,3. avoir signifié au Maghrib cardeur ou foulon, car
^>-1y Il
pl.
))
0 .:;,
-o ~, vulg.
vul g
<;').)' et —.<~-S! S
~°
~(:.,.),
~I, exp1iq
M, ué par Lane, forme au
expliqué
signifie un écrivain qui
transcrivait les actes auxquels le genre de papier
nommé était consacré, Maml. I, 1, 175, II, 2,
Bait. I, 466 b dit sous
: )Ji ¥
mot —
:^JuOyelii.
de ~Boul. x-a_s L>-~; dans l'éd. de Bresl., II,
238:
Auw. I, 24, 11, II, 103, 9 (lisez ainsi).
aui — A Constantine, cinq mi-
~gJI
nutes, Martin 196. espèce de poème = K~u~o,y ~Iz
Descr. de l'Eg.
III,
- O- J~j~J~
o«
Bc.
r
trouve une observation ou glose insérée par un des
premiers rapporteurs, soit Compagnon, soit Tâbi', et
- ~c), lie, forme
~^5^0, au pl. Lgai,„ a,Voc., Aie. (hez).
cela dans le but d'éclaircir une expression ou defixer
- PoisonyBc.
le sens d'un mot, de Slane Prol. II, 483. — ~r~~ - CI~> S~L~ (esp.) dorade (poisson), Aie. (dorada pescado).
+ ~O> pl.
et xjs-jtA-*, - 1 l'incluse, la lettre enfermée
~t—O rouler, faire avancer en tournant,Yoc., Aie.
1
~-- O ? epistola (celula
dans une autre lettre,Yoc. (àL^*A-<o (rodar, rodar otra cosa). — Précipiter, jeter de haut
(1. cedula) que ponitur in literis sicut anima), Autob. en bas, Aie. (derribar despenando, despenar o despe-
pitar). — Faire du bruit, Cherb. C.
II se précipiter, Aie. (derribarse).
X><J~ ~*JLb ~, Macc. III, 68, 2, Amari Dipl. 26, ,CI.
2 a f.; Wright (dans Macc. I, 236, 2 a f.) a eu tort y..))..), en Egypte, la plante épineuse qu'on nomme
aussi ~J'J*, man. 13 (3).
, ,. O «» qui a un autre sens; voyez ce
de prononcer ~K:?» XjJ~L)
divertissement des nègres accompagné de danse
~"CI Y
mot; dans les man. on trouve aussi K->-.L\-~ (Autob. et de musique, Cherb. C, Maltzan 35.
240 vo, Mohammed ibn-Hârith 252) et ~~-~ (Çalât
- F'
)'?.) 1 parsemery Ht, M.
68 va). ~-~-A—!—~~vers qui contient un mot
II être parsemé, M.
divisé entre les deux hémistiches, M.
~8# )
escalier de pierre, Burton II, 202.
(;)..)..A Sen-
tier en escalier, Bat. I, 298. — La jachère dans la-
-
««•
~)0)0
O
dans les traductions de la Bible tri-
bulus, Thesaurus de Gesenius 356 a, Merx Archiv
= y
quelle on a cultivé des légumes l'année précédente,
I, 177, n. 2.
-
„ circonférence inférieure en terre
)0)~pl.yy
,
Auw. II, 11, 4 a f.; j'ignore si Banqueri et Clément- ),,)),,) (dans
Mullet ont eu raison de donner au mot ces voyelles. les demeures), Ouaday 268.
- Clerc, L (clericus), Edrîsî, Clim.
ILXÂJSijJbsÉ"QUAM-AJI
Sect. 5 (Jé- III, ~&—, dans le Diyâr-Becr, la plante épineuse
~>. -
rusalem):
Cheveux sur le front des femmes, Bc,
qu'on nomme aussi ~Jj—*, Bait. II, 501 c; leçon de
BEHKS; A L
~tc;c,
+ écrit )t,>ja
~O Il dans L, dans
- ~G Polygone, M.
-, S, pl. ~3)
le Voc.
et dans le Gl. Manç. (v~~L~mJ! ~OW),
(nom d'un.
O
~Odisait o
le peuple en Espagne pour ~'<~~ 0 Foin, Hbrt 179. — Phelipea lutea, Prax R. d. O. A.
-:
VIII, 182. — u~!~ ou ~C U, ~J<~-~, un jeu
~(—Voc. Aie.
et
(fraxinus) avec le pl. avec deux fois douze petites pierres ou coquilles de
;
deux couleurs différentes sur un damier. L'art du jeu
est d'empêcher son contre-joueur de placer trois de
ses pièces les unes immédiatement après les autres,
r-:.,.) I, ~504 grondel., mwr- aux coins opposés des carreaux, Bg 513; cf. M, Car-
comme teron 416, 456, 479; chez Niebuhr R. I, 166 U>,jg,>
i
murer entrer ses dents, Payne Smith 1515. jubUil et selon le M (sous le <3) c'est le nom
* ? sphérique, Ouaday 336.
~*0
~jujyX* ~O
moderne du jeu qui s'appelle proprement ~^3.
~j).) VII, , c. v_j être mis en possession de, de Sacy Chrest. batteur en grange, qui bat le blé, Aie. (batido(r)
,
II, 230, 4.
~o- pl. >>
suture, jointure des os du crâne dont
de mies), Bc (suivi de ^éJiSi). -
Broyeur, Aie. (ma-
jador); broyeur de couleurs, Aie. (moledor de colo-
~j)">
les inégalités s'engrènent, Bc, Gl. Manç. in voce: res). — Dans le Voc. sous studere.
(jj~y3
~O
dogue, Bc.
de particularités dans M. ~L.~ est un mot berbère; on trouve aussi (j<~j.~
~(j^jô I, n. d'act. ,
'ILU.)\XA
L (conculcatio), fouler
aussi
Bait. 1, 19 c, ou
~L-j~ ,
comme porte le man. B,
I,
aux pieds, Voc.(conculcare), Auw. I, 65, 17, 18
(lisez lJ"I)0,
~)015
au lieu de lJ"I,0), 80, 4 (J~-->-.%), R.
et
drias j Bait. b; les voyageurs écrivent
225
driâs, dries. Nommé comme un purgatif, mais
qui serait un poison pour les habitants des villes,
Prol. I, 164, 8; petite plante qui est un poison,
Carette Géogr. 160; plante funeste aux chameaux
~^5^»- gsx-coj), et ensuite: au ~~- ~JLe~Uï-s.
et qui a l'apparence d'un jeune pied de carotte, R.
Piler, broyer, écraser, Voc., Aie. (majar con
— d. O. A. VII, 286. Thapsia, Most. sous ce dernier
maça o maço, majar con majadero, moler, quebrar
desmenuzando). — Dévaster, ravager un pays, Akhbâr
110, 2 a f.
II fouler, marcher dessus, Voc., Aie. (cocear hol- le man. B ajoute qu'on trouve cette plante près de
lar, hollar, holladura ~J<~-J~—J, pisar con pies, re- Fez et qu'elle ressemble au ~#J^), Pagni MS. Selon
hollar). heurter, Aie. (trompillar), le Dr. Guyon, apud Berbrugger206, cf. 311, c'est
— Broncher, se
contre, ~Jsc, Edrisi, Clim. III, Sect. 5: le fond de le silphion des Grecs, le serpitium des Romains; chez
ces navires est plat et peu profond, afin qu'ils puis- Barth W. 468—9, c'est aussi silphion. Voyez encore
sent supporter beaucoup de charge ~J-c lY')r..>..:.i ;), Prax R. d. O. A. VIII, 281, Hamilton 27.
uN.J'" ft:':"'
OLAÊJL\JÎ,
,
~#O S ~CI
<j~~< herse, Ht. titre que porte une partie du ~Dîwân
O
K~<~~ chaire, charge de professeur, Bc. — En d'Abou-'l-Alâ parce que les poèmes dont elle se
Perse c'était ce qu'on appelle au Maghrib une iûjij compose contiennent principalement la description ~ilc
(voyez), c.-à-d. une université religieuse et une au- la cotte de mailles; voyez Rieu, De Abul-Alœ vita
berge gratuite qui a beaucoup d'analogie avec le
et carminibus, p. 62 et suiv.
monastère du moyen Age, Bat. II, 29, 30, 32. —
En Espagne ce mot ne signifiait pas collège, car il ~5ay au Maghrib, le grand voile ou manteau
n'yen avait pas, l'enseignement étant donné dans qu'on appelle aussi izâr, Vêtem. 177.
les mosquées (Ibn-Sa'id apud Macc. I, 136, 6), mais
bibliothèque, Aie. (libreria de originales). C'est donc ~cKo celui qui porte une cotte de mailles, ~Haiyân-
peut-être ainsi qu'il faut traduire chez Khatîb 131 ~yO,
où on lit que Ridhwân, le hâdjib (+ 760), fonda
la première madrasa à Grenade, et chez Macc. III,
656, où l'on trouve que le sultan donna, à titre de
wacf, un exemplaire de l'Ihâta, par Ibn-al-Khatîb,
~ë;0
160
~! x - (dans le man. B
w)
à une des madrasas de la même ville; mais il se ~«•
Kzija. Aux détails que j'ai donnés Vêtem. 177-
peut aussi que, dans ces deux passages, ce terme 181 et à ceux qu'on trouve chez Lane, on peut
signifie réellement collége, car on peut en avoir fondé ajouter ceci: c'était un vêtement arabe, comme le
,
après l'époque où écrivait Ibn-Sa'id. — Aire, place
:
pour battre le grain Auw. 1, 32, 5 X-s-iM&-~-:~
~s.W était un vêtement persan; voyez une anecdote
chez Mehren, Die Rhetorik der Araber, p. 122; l'ex-
plication du passage d'Ibn-Khallicân, que j'ai donnée
p. 178, est donc la véritable. — Le sens d'epomls,
~Jt~~tô
w ~+O+
_)3 foin,
= , académique, Bc. ~T
r
d'Afrique ont ce mot, puisque Me donne pour bouline
! et ~L~.
~ü >O
(pers.) fil d'archal, Hœst 270. ~-O
c.J~e. ~.)'-~ le plus noble de sa tribu,
Kitâb al-alfâdh, man. 1070, 16 vo.
~Cj~ II admonéter, exhorter, Aie. (apercebir amonestar).
;;., en parlant d'un cheval, couvert d'une cotte
t)..M,
VIII, au fig., se protéger, de Slane Prol. I,
p. LXXIV b. demailles,Bat.III, 231; mais chez Aie. pj'-~ ~iff
~(ea excellente espèce de laiton qui tire son nom est (cavallo de la brida,» et chez Victor on trouve:
cavallo de brida o saltador, un cheval qui manie bien,
de la province de Dara, dans l'empire de Maroc,
Marmol III, 5 b. qui saute bien haut, qui va par haut — \&!< ~*
Kï.,a cuirasse, Ht.
qui porte un morion,armé d'un casque, Alc. (enca- — Raie; ce poisson a été nommé
pacetado). ainsi parce qu'il ressemble jusqu'à un certain point à
1 CI chez les juifs, vêtement de lin que le un bouclier, Pagni 70. — Raquette du figuier de Bar-
yr-jV-vc,
~1
barie, Cherb. — Battant, chacun des deux côtés d'une
grand pontife portait dans le tabernacle, M. porte, 1001 N. I, 57, 12 et 15 (= Bresl. I, 150,
12), Bresl. IV, 25, 3. Dans ce dernier passage, l'éd.
i
VII voyez ;t-)a VII. de Macn. (III, 28) et celle de Boul. portent ~Ls-~?,
~U.0 1 c. a. dans le Voc. sous pigrescere, tardare. Kia1
ce qui est pour ~xSjO, altération de et l'on serait
II être lent, paresseux,Yoc. tenté de lire partout ~xjjO, que Bc et le M donnent
~»o> (aussi '°5 biset, espèce de pigeon, tour- en ce sens, si le témoignage formel d'un Egyptien
~c.~
terelle Bc., ne s'y opposait. Ce témoignage se trouve chez de
:
XJL~
.GI >
paresse, Voc. du mot est,
Sacy, Abdallatif 385, où on lit
«
Le sens propre
suivant M. Michel Sabbagh, le
guichet pratiqué dans un des deux battants 0\j.:J,;¡)
~,t~a paresseux, Voc.
d'une porte cochère;» cf. aussi ce que Lane donne
~~,ô II c. a. p. renvoyer, congédier, chasser, M en dernier lieu.
~(wyoty.
~,â,c ayant la forme d'un bouclier, Djob. 177, 6.
patronage, Ht. <~.L) celui qui fait des boucliers, Aie. (escudero
X~ aigwillon, pointe, alêne; Ht. - Altération de
que hace escudos). — Pl. ~JLmantelet pour se
~Xâu>,dans le sens de battant d'une porte, dans celui
mettre à couvert dans l'attaque des places, Aie.
de contrevent, volet, etc., Gl. Esp. 48-9, M. Com-
~sous
parez (manta para combatir).
?
~S
- Voyez ce qui suit ici.
~W?
L'explication de
~O-»
Golius est confirmée par celle
~<3l>° (abréviation de j-yâî^o), en Syrie, pêche, Bc,
,~L); il ajoute qu'on dit
y
Hbrt 52; le M prononce
t
que donne Bat. 1, 95.
Gs-> 1001
- !
~c-,
aussi m—!.~ et que la meilleure espèce est ~jifi5
marsouin, Bc, dauphin; voyez sous
N. I, 651, 5, IV, 674, 3.
~c~
~CS
5
~Jt-!~ voyez ce qui précède.
~~j~ 1 cacher, Martin 136.
~~L)
~*,0
* doit avoir
II couvrir d'un bouclier, prendre un bouclier, le un sens qui m'est inconnu 1001
passer au bras, Voc. (avec le ~ti)), Aie. (adaragar,
enbraçar como paves, escudar; le partie, pass. adara- ~Aj~-t
G - pavesade, toile
gado, broquelado, escudado; le n. d'act. enbraçadura ou étoffe qu'on tendait en
como de paves). — Protéger, Bc (Barb.), Ht, abri- dehors autour des bords d'une galère, le jour d'un
, Bc (Barb.), mettre à l'abri, défendre, Ht; ~)'-\~
ter
à l'abri, Ht, en embuscade, Bc (Barb.); se protéger,
l'anonyme de Copenhague 37 (attaque d'une place):
Daumas V. A. 167. 1
~O
~~LBtô pl. ,
combat, pour dérober aux ennemis la vue de ce qui
se faisait, de ce qui se passait sur le pont, Aie.
(pavesada de armados).
,
E. I, 14, le même dans sa trad. des 1001 N. I, dit aussi Z.;Un.,tb malade une mu.
212, n. 12, Fesquet 108, 1001 N. II, 104, 8. ladie, médicamenter, Auw. I, 326, 2 a f., Bait. I,
""-TlUUli
~ô
,JLS~ dit le vulgaire pour
~*UIJ ^JLAAAJIJ
à
y
en parlant d'une plante: elle se dessèche
Auw. I, 86, 15. — Suivi
faire ses préparatifs, Bc. — C. y r. faire
~.J
de
,
~M)"J
II c. a. et à
ajouter Voc., Aie. (anadir mas,
hinchir lo que falta).
de la garde de, p. e.
-~obLJI
C. d. a. charger quelqu'un
Maml. I, 1, 170.
promptement une chose, Mohammed ibn-Hârith 308:
Solaimân est à l'agonie, j~~! ~J,\ ..jLz-<J6
«écrivez donc promptement à l'émir!» — C. a. p. et
4j
- C. a. p. et ~*-»r. rendre quelqu'un responsable des
conséquences d'une affaire ~(el *—vi>—^ x t
1 > y r. envoyer promptement une chose à quelqu'un,
«jôto), M.
c¡,!Õ
IIIsubvenir, pourvoir, suffire à; —~3t
; pourvoir,
donner ordre à quelque chose obvier, prendre les pré-
cautions nécessaires pour empêcher un accident, Bc,
VII dans le Yoc. sous atingere.
X. Dans le sens de réparer une omission, une
faute, Bc n'a pas seulement la constr. c. a., mais
~~Q>
djXi
28 rO, 38 v". — %,,,z ~juJic on lui reproche une
pagu
i -1
(= propago) (j~~ JJ.1a'~CI)
~*ùy> utilité,
I,
247, 6 et 7. — Recommencer ses
dénonciations (de Slane), Berb. I, 301, 8.
profit, intérêt,
Relation des voyages,
9
éd. Reinaud, II, 100, 11: « Maintenant, nous croyons
j\g-7^'*.;
-
duit prendre.
l'éditeur (Vespro 591, 1. 4) tra-
C. q* obvier, parer à, se prémunir,
devoir te renvoyer sa tête, ~&~~- & LU ~dua jt,
se précautionner;
+ ~! «iJyXî parer à, pourvoir, donner donnée par ce lexicographe est loin d'être claire). —
~cc
ordre à quelque chose, Bc; aussi ~~!, Bc.
~qUâ0 la garantie (cf. Lane), Relation des Voya-
ges, éd. Reinaud, II, 36, 4: <Quand un navire ar-
VI, chez Bc OJIJ-3 et ~^jt, comme dans la lan- rive du dehors, les agents du gouvernement chinois
so
taines ij»
garantissent pour un espace de six mois.
t
font livrer les marchandises, les serrent dans cer-
~maisons, £0$, et les
~Lxx~ ~!~~ M.
signifie la garantie
cipales : ~'—~~
,
;
n'a compris ce passage. Chez les Malékites '~L\J! seul
on en compte deux espèces prin-
la garantie des vices de la chose,
c&fjiXJLwf
O ~0 des
Khatib 35 vO.
*
suppléments d'auteurs, de livres,
;!;-àlD O o)
M~4~ secte des Naddjârtya; voyez Chahras-
tânî 62 et suiv., M.
S ~o+
~L~ô. En persan siîJy signifie cour devant un palais,
vestibule,portique, porte, etc. On lit Maml. 1, 2, 44:
jJôlï ~iJôô a-L* L-j!~ Pour arriver dans ce palais, on entre d'abord dans
a été payée en notre présence «
un édifice I$IÍ),,)placé sur un pont établi au-dessus de
Lf')'-'.
Le mot ~y3, pris isolément, a aussi le sens de
277, 8: yaJiJi
la rivière.» Le pl. est ~0^0, 1001 N. Bresl. III,
responsabilité (chez Lane ~JJI qI+âo), 1001 N. Bresl. par Freytag (I, ~Pa, 8 et f., 2 a f. de la 2e éd.),
XI, 329, 6. Chez les Hanifites I:!}f.,'-,H est: quand
l'acheteur reçoit du vendeur un gage. du prix qu'il a
~KxJU3L*Jt
- CI~£ ou seul (aussi Fakhrî 167,
12), désigne le sultan des Mogols.
payé, de peur de revendication de la chose vendue,
J. A. 1840, I, 382-3.
Pl. ~û*Ç ~!
le soin que l'on
~~b~ô
volante, en parlant d'une fusée, J. A. 1849,
,
—
prend d'une personne ou d'une chose, la surveillance II, 319, n., 1. 9, 324, n., 1. 2; chez Bc fusée volante.
que l'on exerce, Maml. I, 1, 169, Selecta or, 5, ~v—^1rouler,
Macc. I, 654, 15 (cf. Add.), 1001 N. III, 416, 443; v. a., M; cf. Yià.
cf.Prol. I, 176, 12: ~~! udLsu, où de 1 rouler, v. a., mais on dit plus ordinairement
Cr
Slane traduit: ((afin d'échapper à la force qui la re- M.
tient (dans le monde sensible).» Police, ordre établi II rouler, t. de marine, être agité par les vagues, Bc.
~, ;
pour la sûreté, la tranquillité d'une ville, Bc; jkAJL*
1001 N. II, 101, 9, où Lane traduit chiefof
v_<L_jjî
the ivatch les sont nommés parmi les (j~ = ~'0' 'CI'
lupins, Payne Smith 1016.
!.JN.Aji
lequel on bat la grosse caisse, Descr. de l'Eg. XIII, 527. XSyAjà ~(Hpofiàhcv) espèce de navire, Fleischer Gl. 71.
~!
).ciS
moral, Roland.
,.t~ pl. cm,a. autre forme du mot qui précède,
~O
connaissance, l'exercice de cette faculté par
,
Abou'l-Walid 606, n. 35.
~A
laquelle l'âme connaît et distingue les objets, 1001
N. I, 395, 10. — Débet, reliquat, déficit d'un compte,
Aie. (alcance
en la cuenta, alcançamiento).
~n.d'un.»,pl. t. de médec., tumeur«
dures sur le corps, qui proviennent ordinairement de Ghadamès 40. Je soupçonne que c'est et que
l'atrabile, comme dans la lèpre, M, cf. sous 8,Dca.
ce mot désigne une étoffe à figures rondes, qui
.~-~~P R. N. 15 rO: il mourut parce qu'il avait
; etchez res-
,
semblent aux. dirhems .CI, ~9
voyez Lane
la Ire forme.
P&jXA.»SyXAp\j<2> de Vargent monnayé, par
op-
en Afrique, Aristida pungens, Tristram 301, position à un payement en nature, Gl. Belâdz.
-
Desor 23, Cherb. C; sparta alata, Ghadamès 288,
mais aristida pungens 330; stipa barbata Desf., Prax
R. d. O. A. VIII, 281, Daumas V. A. 382, n. 1;
arthratherum pungens, Colomb 23.
j~ voyez plus haut à5la.
-
Renard, Ht. I, 473, 5: .JL\X~~
des dirhems,
i
Orné de figures rondes qui ressemblent aux dirhems
P. Macc. II, 559, 12. — Ayant la forme d'un
dirliem, c.-à-d. rond (cf. Lane sous la Ire forme)
Bait. I, 71 f: ~t ~!~cyiô
~JJLO
X~
~; cf. Auw,,
3. -
Brillant comme
P. Macc. III, 27, 4 a f.: ~Q-JS*
,
~sj.ô doronic, Bc.
~> ~-~!
~O
viLôjj», dans le Yoc. ,~ C'est une
espèce de tapis jaune et vert, à poil court, Djawâlîkî
i:S').) écran, Bc.
68. — Comme nom d'un vêtement, c'est dans le Voc.
»
«diploys, espatles, et diplois, ~à/7rÂoif.?, est chez Du-
cange lœna duplicata, surtout doublé; espatla (espatlla)
est la forme catalane de l'esp. espalda, et signifie, ~ZjZjà
o <0 (pers. s.)
t"** mendier, Macc. I, 135, 3 af.;
comme ce dernier: 1°épaule, 2° la partie de l'ha- dans le Voc. mendier est -O -
s.—b, cf. sous le ~Js.
billementqui répond à l'épaule. Chez Aie. (vestidura —
remendada) c'est un vêtement rapiécé, et en ce sens Cachotterie, manière mystérieuse d'agir, de parler, Bc.
u M.
)
aussi
est aussi K~.h.{t. .0,.- ~o
(La) (N), doronic, Most.: on en trouve
~-~J'<~ se trouve dans M à l'article X~- (emplâtre vé- deux espèces: le Khorâsttnî, qui est le meilleur, et
sicatoire) et semble signifier taffetas, car il dit que le Châmî, qui porte aussi le nom de et celui
de lY"L.>; mais Zahrâwî avoue qu'il ignore si ce
dernier mot doit s'écrire avec le ha, le kha ou le
&6à,-u; sous ~\JL~ ~JjL\~ (voyez) il écrit ce mot djîm, et il ajoute que c'est la fleur du grenadier qui
avec un hâ. croît dans les jardins; le véritable ~J~~, toutefois,
est le ~>.
Cf. Bait. l, 417 b. Dans le Gl. Manç.
~< II, dans l'Inde, un créancier
locution ~01«
voyez ibid. 412.
ô ~ti
attaqua son débi-
teur, Bat. III, 411, 412, ce qui semble dérivé de la
-»o # ~oî
au Caire, valait trois ~j?jôf Cherchez sous ~^<3 les mots qu'on ne trouve pas
sous cette racine.
Macc. I, 694, 9;
nommé Khallic. YIII, 21, 1, Ztschr.
XX, 498. — A Maroc on avait le j-~-~ qui II,
comme la IVe, faire savoir, Voc. — Filer, en
valait huit maravedis, et le _ejt^o ~,a qui en valait parlant d'un navire, Roland.
quatre, Torres 83. — Drehem, étoffe soie et coton, III. Lane a noté et expliqué l'expression if
r,q On trouve dans le Cartâs, 155, 14: le roi ~L~* par transposition pour C,>~i, voyez Lane
chrétien, lorsqu'il eut appris que le sultan s'était
sous ce dernier mot à la fin, ou
8
voyez Gl.
Belâdz. 44; mais les articles d'Ale. que cite de Goeje
il
,
8u>bb}
N_w_p_~, tâcha de capter lés bonnes
c.-à-d. «
grâces du sultan, afin d'écarter le péril qui le me- ne se rapportent pas a ce mot, mais à ~c"p Perche
naçait ainsi que ses états.» — ?SjJL:> '-.5)'" capter les des marins, Descr.de l'Eg. XIV, 240 (medreh). Je
bonnes grâces de quelqu'un, Bc. — (jJjJI \.5}" lou- crois avec Lane que ce mot a aussi ce sens dans les
voyer, ménager, ne pas heurter les esprits, Bc. — 1001 N. II, 116, 2 a f., et non pas celui de «boute-
Chercher à se raccommoder avec quelqu'un, Bc. —
hors,» que lui attribue de Goeje.
Gouverner, soigner, avoir soin de (p. e. d'un
ulWy
t.,ràl
enfant), Bc, Gl. Fragm., p. e. ËJLW3 LEYAI
~1 auôLo «je saurai bien avoir soin de mes af- chez Bc, de même que «yjoo, mé-
faires et arriver à mes fins.» On emploie 15}..) seul nagement, égard, précaution; c'est posséder Part de
dans le même sens, ibid. — Celer, cacher, c. ~cy-e> traiter les hommes avec ménagement, avec égard, de
Bc, c. j~-~., Ztschr. XI, 679, 7. Dans les 1001 N. manière à ne point offenser, à ne point déplaire,
dans l'expression tif}l.M, ~J.Lc jJ, citée dans le Gl.
entendre Abriter
G -» ;
pallier plâtrer, ; ~-
Fragm. — Ménage, économie, Bc.
,
si grave, si terrible, ou si admirable, qu'on ne peut
,
M. de Goeje, dans les Verslagen en mededeelingen
s'en former une idée, p. e. Macc. I, 130, 2 a f.:
der kon. akademie van wetenschappen, Ilde Reeks, V,
~^JLxs (cf.
~L^j
Add.), Müller 10, 2 a
36,
6. f. :
Enparlantd'unhomme admirable,
J~J~ ~KJL> 72, le dérive du pers. ~CIy
voleur, nom qui convient
parfaitement à cette sorte de vagabonds.
~Macc. I, 744, 11, 866, 10. Ontrouveaussi ~Le
dans le sens de: qu'en savez-vous? Prol. II, 181, XIII, 707, n. 2.
3 a f. et suiv.
V dans le Voc. sous docere.
(turc & bride, guides, rênes, Bc.
VI c. a. p. dans le sens de la Ille, Gl. Fragm.,
(-fia suffire, Ht.
si la leçon est bonne.
(JAH^C.
chez
- Ce verbe signifie en effet, comme on trouve
qui toutefois n'allègue pas d'autorité,
Freytag,
~J<~u~ ruse, intrigue, cabale, Gl. Fragm. — Comme
~rW'.
~iu ~Lx-a-J!
5-~,
Berb. 1, 626, ~3
605, dern. 1.; — Berb.
:(j*
I, 503,
~(JL
12:
manigance, menée, Bc, M; le pl. (j~L-~ pratiques,
sourdes menées, Bc.
t-"t:3. Ce serpent est Eryx iaculus des
l' natura-
listes, Ztschr. für âgypt. Sprache u. Alt., mai 1868,
p. 55.
texte a été corrigé dans la trad.). Aussi c. J p. et X~<L~ elystère,Voc.
LM-,-
e *
ace. r., Macc. II, 726, 12: L.
L..JN>-:!"'>pl. ~J<~J~ espion, Voc., Aie. (espia). —
Voleur qui se sert d'une échelle pour voler, Aie. (la-
1
9, M (cf. Freytag no 3). dron escalador).
II exciter, instiguer, Mohammed ibn-Hârith 264: ~—* (ainsi dans le Voc.,mais sans explication)
~C,
e
dard, Aie. (dardo) qui donne le pl. comme
si le mot venait d'une racine ~Lri.A (cf. sur ces cor-
~>
- *
~O Q*
~wù JJu (leçon de B); sous le nom de
2, 239 et suiv. Le mot signifie aussi trône, t.,rzma.
ibid. 237. — Tapis, si M. de Slane a bien rendu le J~J!
iUXwAXJt on entend tous les légumes qui vien-
passage qu'il cite dans sa trad. de Khallic. III, 126,
I, 155k;
2 a f. - Synonyme de u*JL^o
O - dans
le sens de salle
nent sans culture,
le mot semble donc formé de
Bait.
dans le sens de
où un professeur donne ses leçons, ou bien où l'on
discute des questions littéraires ou scientifiques, Kha- désert, et en persan .e~~-
~O signifie en effet sauvage,
tîb 30 ru: *-«uJUu ~<j~~ J~ Calâïd qui n'est pas cultivé. Chez Auw. I, 136, 5,
-y
est expliqué par épinards.
59, 15:
XjJûmS pl. ~L«~ ctwier, Gl. Edrisi.
O-
.LX~, t. de musique, touche, Bc, Descr. de l'Eg.
Puissance, autorité, voyez Maml. II, 2, 236. — XIII, 253 n.; voyez Ztschr. IV, 248.
Partie, au jeu, surtout une partie d'échecs, Athîr - y o-
~J~ju~ô
~w
(pers.) voyez sur cette espèce de melon Bait.
VII, 116, 15, 1001 N. I, 375, 14, Bresl. I, 246,
6 et 7, XII, 140, 7. Aussi un tour de lutte, 1001
I, 149 a, où il faut lire ainsi, et 420 c, où AB
portent par erreur bà"*Ama.
N. I, 364, 13 et 16, 365, 10, 12 et 16. — Echi-
:
quier; Quatremère (Maml. II, 2, 239) a attribué ce ~•#
~O
(pers. * ~O
+
xJûmO) pilon, Gl. Manç. in voce (où ~*
j*
sens au mot dans l'hémistiche c.~w\~ à ~&L41
(Khallic. VII, 109, 7 Wüst.), où il signifie
plutôt, comme dans l'hémistiche cité par Lane, par-
est une faute), Bait. I, 491:
—
vU nom d'un jeu, M. — La pompe, l'appa-
reil qui accompagne le souverain ou son ministre,
la 2e il a l'autre signif. — Languette, aiguille de ba-
lance, Aie. (fiel de labalança, fiel del mesmo peso).
++ o -
Maml. II, 2, 236, Fakhrî 353, 7, les grands, les ~X~~ (pers.) scie à main, 1001 N. III, 426, 2 (de
courtisans qui accompagnent un prince, Fleischer Gl. même dans l'éd. de Bresl.).
— Un plat; Fleischer, Gl. 13, a eu tort de dire
13.
yo+
e&t,"»--a
que ce mot n'a jamais ce sens; Quatremère (Maml. sorte d'étoffe de soie, qui tire son nom de
U) 2, 238--9) en a donné plusieurs exemples, et la ville de Dastowà dans l'Ahwâz; voyez le Lobb
Bat. (I, 187) atteste que les plats portent ce nom à
Ba'albec; Fakhrt 131, 11: ~pAl
~à- cr XJUA
Jflà
— Bol dans lequel on sert à boire, Fleischer
al-lobàb avec le supplément; Edrisi: à Damas l'on
fabrique L^ûLo^ - ~9- jj." ;}. vW» o* c
ffrxwS Voc.
gras,
les quatre man., mais il faut lire Lx~; le même,
a
~XAL*>
m 1 ~y
fjurtXo
onctuosité, Bc.
(Freytag) aussi Abou'l-Walid 704, 16.
gras, fertile (terre), L (uber (fertilis, ha-
yo ~y
i-q-Xmtb règle, Abou'l-Walid 357,22.J~J~jt)-*-~ for- bundans) ).
mulaire, Bc. — Congé, Freytag Chrest. 124, 4: LLMI3 ~JL~~ô
~il CI*
-- (pers. jL*JLw3,
o O serviette, mouchoir) mouehoir
1. iab4 SjyiMéà ./L-aJt
— Dans le sens de rayé de rouge et de jaune, dont les Arabes du désert
permission, Abou'l-Walîd 689, n. 13; ~«Ju à VjyLwô et les Wahabis se couvrent la tête, Defrémery Mé-
libre, indépendant, Bc. — Signe, indice, Chec. 189 moires 155, Bg 802.
L
aux deux bouts et servant à
173,1.
~•» =
~O—
~/e~X~ô • >~a ~O bracelet, Ztschr. XIII, 707, n. 2.
recevoir le ~vJULu
- (voyez
~O
ce mot), J. A. 1841, I, 588.
jmtb I.
- , O-
KAMIXmaX
~j ,
àuMtXwiXJIj en cachette, secrètement, Bc.
,
les pliant d'abord plusieurs fois, puis on y pratiquait
une incision qui servait à faire passer par tous les
plis un lacs ou une bandelette de parchemin dont II frotter
une chose contre une autre et la fracas-
-
les bouts étaient arrêtés sous le sceau.» , ser, Aie. (fresar uno con otro), notamment en parlant
de fèves, etc., Voc., Aie. (fresar havas; le part. pass.
uTma pi.~~, vulg. pour clou, M. fresada cosa).
~J— filet fait de sparte, Gl. Esp. 44. V dans le Voc. sous fresare.
O d'une plante, œgylops ovata, X&L> contusion, meurtrissure, Bc.
Sontheimer Bait. I, 461 d (à corriger la traduction
,
espagnoles
, de
ÂiiiLUuJ
fresa.
Bc; — succulent, Bc; — moelleux, rempli de moelle, Bc. ~gL&s pour t,lfÑ)..) (voyez), J.A. 1849, II, 270, n. L
*"0a(peu.
* J~&~) , - Rebut,
,
» substance
» ~© Aie. (serrania tierra montanesa).
osseuse que les chirur- tagnes
~CI
~~w~ fatras, amas confus;
->
\~J~ des paperasses,
tuellement au pacage, sans retourner à Vécuriependant
la nuit, car~jL&> est la prononciation adoucie
voyez ce mot.
de
Bc; d'après le M —£ signifie ce qu'on
~J~wô (pers.) ennemi, Bc, M.
laisse traîner, ce qu'on ne serre point.
,t~t~~ a II
1
écarbouiller, écraser; - meurtrir, Bc. ~Cr c. a. r. se servir
~r.
lepremier d'un habit ou d'antre
chose; quelques-uns disent .*y&~, M.
~'a est une prononciation adoucie de ~yi*», voyez sous
CY",W pl. ~&!3'3 don, Payne Smith 957.
~J.
aor. o, n. d'act.
I, ~rfU' -a est quand une «
yXià est une prononciation adoucie de L~>-, voyez sous
--»
II laisser paître un cheval où il veut, M. — Laisser L&~~o<,Voc.
1
de côté, laisser à l'abandon, planter là, Bc; synonyme
0.. rot, Voc., Aie. (regueldo, où il faut lire
N~-~3
de ~è—ï, Ztschr. XXII, 162, Laisser traîner
M. — dexue, au lieu de dexne), M. — Monceau de pierres
une chose, Bc. — Renvoyer, mettre à la porte, Bc, et de cailloux, qu'un fleuve, quand il s'enfle,jettesur
~.)
j'envoyer, expulser, chasser, Hbrt 115, M, p. e. ~—
«donner congé à un domestique,» Bc. —
Rendre la liberté à un prisonnier, M.
la rive, M.
O*
'ûjiiJ, en Afrique, métairie, hameau, village, Domb. III vexer, M.
-
99, Cherb., Jackson Timb. 90, Grâberg 36, Booms Kj!c~ naturel badin, caractère enjoué, de Sacy Chrest.
:
20 n. « Quelques douars forment la dachera ou com- !H, I, 2.
mune, quelques communes la tribu.» Fraction de L-ye-%Za 1
c. ~c chercher, Bc.
yy
~yào, mais ordinairement —~t~e
a
« «.
tribu, Daumas Kabylie 48. Le pl. est chez Cherb.
(comme <~->-~-~- de
(~
1 c. a. r. mettre en boule, M. — Bouchonner,
chiffonner, Bc.
~>~, extase, etc.), Prol. I, 67, 16, 222,13, 273,
-
->O»
XifccJ grimace, mauvais pli; indisposition, ma-
1, II, 234, 13, 237, 1 et 10, deux man. dans le ladie légère, Bc.
Cartâs 195, 2 a f., Hist. Tun. 129: ~J~a
lo
XJ~e~ boule,M.
l5}', et plus loin le sing. âj-ùO, ou ^A*»tvXo, Berb.
II, 193, 3 a f. Comparez plus haut l'article
dont ce mot est une altération.
#, .0<il', rond, formant
J~c~e
massé, trapu, vigoureux, Bc.
une boule, Bc, M; ra- -
pl.(Voc.)etjjLÂS
3 il , , (Bc), au Maghrib, (formé
pour
O -
'À&SUO = ~KacLo.
;
et
«cicdela, cicendela.» Un tel mot n'existe pas; Ra.
phelengius a lu ou corrigé cimbalum mais ce dernier
jjù>!eO voyez aj~-c<~. mot se trouve une demi-colonne plus loin.
~0;W'
1
~W Ka~&3
-»G*>
O sorte de petit oiseau, M.
-E&>-Ca 1 secouer, ébranler,Voc., Cherb. C, qui donne
~CI 10
l'exemple c~\cL\~ ((maison qui n'est pas solide.» i&S-ô 1 frotter le linge en le lavant, Bc. — Au fig.
Dissipo, L. rompre, exercer, dresser, dégourdir, façonner une
II être secoué, ébranlé,Voc., être ébranlé sur sa personne, Bc.
base, Cherb. C. II fripery chiffonner, gâter, Bc.
III c. a. r. s'appliquer à £ ~oro,
(«uJi u~)~)tM.
iiXco
O«- mêlée, combat
corps à corps entre plusieurs
sL
~-r-> grossier (homme), M.
- 9» - hommes, Bc.
c.>
HjXi3 et », >
~byo — ^_sx>, Gl. Fragm. Voyez du reste ~s
iiketa s
ou X~&~ chemin frayé, M.
sous le dzâl, car dans cette racine le peuple a sub-
5 ~1, c,
stitué cette lettre, et ensuite le zd, au ddl. <!!~-c<~< S
habit usé et sale, M.
tumeur dure sous la peau (K-J.J~J!
~*a\j).,r..>petite ~(3
~Bja*_ao-JI), M, Pallme 118, 120: durore,
II. Le peuple en Espagne employait cette
au lieu de la Ire, car le Voc. traduit fulcire par la
forme
abcès au cou. Sous le dzdl le M donne encore le pl. IIe forme, et non pas par la première; Aie. donne
jijs*3, en ajoutant que quelques-uns disent ~ypico.
aussi (estribadura) r.-lxi
0-
et (estribadora cosa) ~Fi
w >
> ~CI
- se crispent, ou qui est couvert de chassie.
(jwjxOwo méprisé, M.
~G
~-b orobanche cariophyllea, Bait. I, 420 e (AB). >
yfr.Ȏr. # chassieux, Voc.
,
p. intenter, commencer une action, un procès contre,
déclarèrent pour»). Dans le sens de x-**—à-À-i ~1cO et le n. d'act. demande, action en justice, Bc. —
(Freytag), vouloir se faire reconnaîtrepoursouverain, Adorer Dieu, Aie. (adorar con palabras). — C. J p.
de Sacy Chrest. I, ov,
on trouve aussi
~S
6. — yL=:-IJ
<
~KHJÔ ,11 LcO,
>
proprement : «
il fut appelé (par
se vouer à quelqu'un, le reconnaître pour son patron,
pour son maître, en parlant d'un jeune homme lors-
qu'il faisait sa première partie de chasse, et qu'il
avait tué d'un coup d'arbalète une pièce de gibier,
Dieu) (Dieu l'appela à lui) et il obéit,» signifie il
mourut de mort naturelle, Tha'âlibt Latâïf 85, 13 Maml. II, 1, 75.
(même texte chez Badroun 301, 3). — Citer quelqu'un X, dans le sens d'appeler quelqu'un, le faire venir
devant le juge, Voc., Aie. (requerir que hagan justi- en sa présence, aussi c. ~-..j p., Bidp. 5, 1, Macc. II,
cia); dans le Formul. d. contr. 7, la construction est 332, 11. — C. a. r. se faire apporter une chose,
c. J p. (vulg. pour l'accus.) et ».»n..g»
~J,'; Maml. I, 1, 13, 1. 3 des notes. — C. a. r. et ~qip.
,
mités,» Macc. III, 138, 4 a f. (cf. Lane sous ~crS).
~°*
prendre parti pour, c. J, se déclarer pour, combattre
— Dans des phrases comme ~-~JJ
~o¥
và^Jjû'i
pour, ou quelque chose de semblable. En voici quel-
la constr. c. au lieu de J, qu'improuvent lespu-
ques exemples: Haiyân 50 ro: qLLiL#JI <~jJ~
~«
ristes (voyez Lane), se trouve Berb. I, 141, 2 a f.,
170, 8 a f.
VIII, dans le sens de réclamer, revendiquer, se
•tyssuait; Cout. 19 vo:
~IgJLo
~iuJîXlb»lb ~~t
b>cjJJ «le sultan Hacam espérait que
les habitants de Tolède seraient bien disposés pour
maudire, de
K~&~ écho, Bc.
prophétiser..
cations: invocation, épigramme, action de bénir, de
+ +
SXùùsS-à teigne, Cherb.
talion devant le juge, Voc., Aie. (citacion a tercero
£Xfc> 1 chatouiller, Gl. Manç. in voce, Delap. 165.—
«JUlilj Aj'"S\' )'u!;' çX-Lô pincer les cordes d'un instru-
ment,Bc.
témoins que je prends à partie Mensa Solaimân et II être chatouilleux, Bc.
que je le cite au tribunal de l'envoyé de Dieu :»
dans X..&-VcJ>, t. de médec., est lorsqu'un
-
tard, toutefois, il y eut un festin encore plus splen-
dide et auquel on appliqua le même nom: c'était ce- et en Syrie, droit, direct, Hbrt 41, Bc, M; directe-
lui que le calife Motawakkil donna à Bercowâzâ à ment; franchement, en vérité, aussi ~.t.)-\J!, ~-c~JL,
l'occasion de la circoncision de son fils Mo'tazz. Voyez la vérité; voyez le Gloss. de Habicht sur le IVe vo-
Tha'âlibî Latâïf72—75. lume de son édit. des 1001 N. et Fleischer Gl. 91.
>
« <~&~~JLJ!
~~c~. .La dans le sens de: tous les
nobles prétendaient à l'empire, Abbad. 1, 51, 7 et 8. 3
1 barque, L (barca, carina (parva navis),
- Citation devant le juge, Aie. (citacion a juyzio,
enplazamiento); plainte, procès, cause, Bc, Hbrt211;
(j#*—x-èJ
w ,31
caupilus).Dans le Voc. yaAêtX
~(&~~ <~c~L~
..o;¡
plaideur, Bc; ~Lt~\J! à--Oil Akhbâr ~za IV. ~LoJoi il fait obscur (se dit après
95, 3, de même que ~!~jJ! ~Pl, ibid. 94, 2 a f., le coucher du soleil), M.
les plaignants. — Affaire, Bc. — Orgueil, jactance,
VII bouillir, L (bullio, ebullio).
Voc. — Vocation, inclination pour un état, Bc. —
Dans la R. d.
O. A. XV, 117 on trouve ces signifi- 4-..Pà se mettre en route pendant l'obscurité
M.
au commencement
de la nuit; quelques-uns disent V dans le Voc. sous porta.
~Ut) pl. ~U_da ais, planche de bois, bardeau, petit
ais, douvey planche, tableau, Bc, Hbrt 191, M, Ztschr.
1
1
1
XI, 478, n. 5; comme t. de relieur, les ~Uà,> sont
~c. livre, Payne Smith 1462: ~lxLs* .l.;¡5
->
~5 z-> pl. ~ot barque, Voc. Dans L
~* les cartons d'un
~J 1 c. a. p. se glisser vers, se couler doucement et ~u¡). Le pl. u!:¡)t, Aie. (sous pandero), et ~UUa,
sans être aperçu, Ztschr. XXII, 124. — S'envenimer
(blessure), aussi à la IVe forme, M. Voc., Saadiah ps. 81, 149, 150.
IV voyez I. ,
~Kba en Espagne ~Xâo, pl. %-U,> et \Jl;¡J, Gl. Esp.
haine couverte (rZ.X.JUI A-ilJl), M, perfidie, 49,Voc., planche, Gl. Esp. 48, bardeau, petit ais,
Bc. — Battant d'une porte, Gl. Esp. 49, L (valbe,
c.-à-d. valvæ). — Porte, Gl. Esp. 49, Voc. — Porte
~idcjj ~sjCo, Abbad. I, 54, 5, dol, tromperie, Bc.
posée horizontalement sur une ouverture, à rez-de-
~c~. a-j-wwJi J~e~ mal intentionné, Abbad. III, 89, chaussée, c.-à-d. trappe, Gl. Esp. 49. — Contrevent,
2 a f.
volet, Gl. Esp. 49.
Echafaudage, Ht.
-- Page d'un livre, Ht.
Gouvernail, Gl. Esp. 49, M. —
— ~~-s
buisson, touffe d'arbrisseaux, hallier, taillis,
~KU,> ~iuoLaJî damier, Bc.
Bc, 1001 N. Bresl. VI, 338, 339.
LJ~L) un penchant, Roland.
JjiJ.
, i3y=^ ~~JLS ~q^Ls il nourrit de la haine, M.
à
\_ÂSk\<Q, en parlant d'une étoffe, est ~&~~ ~t.,W l,..
- ~~&~
J~E~
iJu-£u>
> -
~4-s~ sa blessure s'envenimera vite, M.
Abbad.
1
j
II tenir chaud, chauffer, échauffer,réchauffer, Aie.
aperçu, Ztschr. XXII, 124. (escallentar), Bc. — Se chauffer, Ht.
I*i-3 III. <~-~- iUcÎJuo contraction, réduction de deux III. Caussin de Perceval, Essai sur l'hist. des
syllabes en une, Bc. Arabes, etc., III, 367: «La nuit vint, et avec elle
VII dans le Voc. sous introducere (verbum in verbo, un froid piquant. Le crieur de Khâlid proclama dans
vel literam in litera); souvent chez Abou'l-Walîd, le camp un ordre ainsi conçu: ~~-j~ ~JLs!<3. Ces
p. e. 128, 140, 409.
~017 faces, ailes-de-pigeon, cheveux qui expressions, suivant la différence des dialectes, pou-
~», n pl. vaient signifier, «.Tuez vos prisonniers,» ou, «Vêtez-
~-„
tombent sur les tempes, Aie. (aladar). les chaudement.» Elles furent interprétées dans le
>ú
1 c. M.
~3
premier sens.» C'est aussi le seul que donne Lane.
~~j. bain, Aie.
étuve de bain Alc. (sudadero
(audadero
,
euphorbier, arbrisseau de Mauritanie, Jackson
81 et Timb. 74, Grâberg 33, Davidson 167. Apte- en el bano lugar).
ranthes jussomania, Daumas V. A. 383. Chez Guyon, F$U,> casaque des Bédouines, Bg 803 (dèffé).
185, 211, c'est le fruit du ~j-ÁJ (nitraria tridentata).
~(~~ murmure, Bc.
~L3 promptement, Bc (Barb.).
~Kàa
qL_a-9^,
qLôJ>
Cl
U,
vulg. pour
et ~b ~lit j'ai
Ui
"-" M -
grande chemise en bouracan noir, Vêtem. 183.
tiède, Hbrt 163;
chaud (j'ai une chaleur con.
*
II ~~(& p. protéger,Voc., qui a aussi cette forme venable); ~ioLii j.::-.J «j'ai les pieds chauds,» Bc.
c.
sous tinpanum et sous porta; jouer du ~Ûà, Saadiah
~9 tiède, Domb. 108, Hbrt 163. Voyez ce qui
M.
I, I, 395, 7, 516, 6, 518, 5 a f., 620, 7: ~çsi Lr.
rLe C7--li1-IU3cr 41, 598, 9,
etc. Se mettre
en marche, Fragm. hist. Arab. 152, 9: il resta en
-
,'0-'CI.,
',; Défré ou difrey, plante aquatique qui se rappro-
che du riz, voyez Ouaday 685.
-;Ya? voyez sous
<~~-!! ~jkXj.
- Pousser son cheval, le faire galoper
ro: on me dit qu'il était mort, v>^Jbt= £ Mecque reçoit cette contribution
~iJUL»«juLl«3t leçondeACD;B—Comme;
~&;~~ - 492,14et15,
I, 375,
Envoyer, Berb. 10: ~jiAà
v. n., pousser, v. n. (bouture), en parlant de l'ac-
~uaio yt 516, 4, 519, croissement qui a lieu dans les arbres et dans les
plantes, Auw. I, 180, 8, 202, 4. — S'écrier, Coût. mencer raconter des histoires, Badroun 273, 3 a L
&
»
d'une seule voix. — Dans le sens de la IIIe,différer,
15. -
inextinguible, Bc.
payable, Bc. — ~;
— Quasi-passif de la Ire, être donné, Voc., Djob. 293,
~y&Jae soif
tarder, Gl. Fragm., si la leçon est bonne.
III quelqu'un, voyez un exem- X, à peu près dans le sens de la Ire, repousser,
c. a. p. contredire
écarter, Abd-al-wàhid 193, dern. 1., Baidhàwt II, 48,
ple tiré du R. N. sous la Ire forme. — C. a. p. et
y r. signifie évidemment envoyer, remettre, Berb. II, 21, Macc. I, 273, 2 a f., Haiyân-Bassâm I, 7 v° :
-
,
Celui qui charge, qui attaque avec impétuosité, Aie.
(cometedor). — Contribuable, payant, payeur, Bc.
~~a~
VII répandre, c. w, Cartâs 34, 8. jeter
Ficher, enfoncer un pieu, Bc, 1001 N. I, 21, 3. —
Vancre, 1001 N. II, 30. — Battre, v.
,
>- répandant n., éprouver un mouvement d'agitation, Bc. — Ta-
de la pluie, Tahmân (Wright).
touer, Bc, Lane M. E. II, 121.
à,.àa. Dans le Voc. le nom du laurier-rose est écrit t. de musique, jouer, Bc. — C. £ saisir, prendre -
C. ~J.t. toucher,
--., .0.
,CI, et ~U-ua.
~KJb3
tout d'un coup avec vigueur, Bc; -
raccrocher, ar-
rêter et inviter les passants à entrer; se dit des
I
~O"1 enfouir des brins qu'on recouche, Auw. I, 410, femmes publiques, Bc. — &Lol*U
—~t monnayer, Bc.
~da fabriquer de la fausse monnaie, Bc.
20; cf. 411, 7, où il faut lire avec notre man.:
II affiner le lin, le chanvre, Bc. — Raffiner,
..c. inhumation, sépulture, Bc. subtiliser, Bc; Khatib 55 vo: KcUaojjojlU ~pi Cr
~~KJ
o,~a~- S -
sacramentum, L.
~~- ,
XJu~ mets composé de viande, de choux et d'é-
oyaiît
i,
<3 ~ï'-X-t. Voyez aussi plus bas sous ~L\J.
o,
piceries,Gl. Esp. 43. — L donne: propositio~£—£>5 -- >Quintessencier, Bc (lisez ainsi, au lieu de ~J~).
C. r. passer par l'alambic, discuter avec soin,
KJu~~, ce qui est étrange. éplucher, examiner avec soin, regarder de près; c.
~où:; fossoyeur, Voc., Aie. (enterrador de muertos). ~~& p. scruter la conduite de quelqu'un, tenir quel-
qu'un sur la sellette, lui faire subir des questions,
~aillS, t.
d'agriculteur, pierre cachée sous le sol, Bc. — Enfariner, poudrer de farine, Aie. (enharinar).
r
dé là le proverbe~&x*Jty** £i
sur laquelle se brise parfois le soc de la charrue;
cetteexpression,
.Fr; quede
qÔAH cette expression, que de
V s'enfariner, Aie. (enharinarse).
VII. ~cx4 v-iLJt«on frappe à la porte,» Voc.,
Jong n'a pu expliquer, se trouve chez Tha'âlibt La-
Bc. —C. à se cogner, se heurter contre, Bc.
tâif127, dern. 1., mais il, faut y lire avec le man.
X être étroit (chemin), Gl. Belâdz. - Etre facile
, à porter (chose), ibid.
• «dans
( ;
laquelle les figures se cachent et se montrent.»
II s'agit du damas tantôt on en voit les figures (les
fleurs, etc.) tantôt on ne les voit pas.
,
tatouage, Lane M. E. I, 56.— o5j5~jS>
mouvement, manière de battre la mesure, Bc.
~~(3
- <3.)
;
ja 11\ pulsation, battement du pouls,
^•4i\\ nom du 16emètre,
~"Jjo
ce vers:
e
Leyde
M. —
*seseprononçait
~Ü.)
ceaux; on dit
I,
enen Espagne ~^jy>,
prononçait
et
155, 5, 1001 N.
Au lieu de
p M.
~za
JJ.16WI
~m* Voc.,
~'-\J<~-t-c",
a
—
p
comme dans
Voc.~ Aie.
Alc.
jt-~&~
poussière de charbon, Bc, Catal. des man. or. de
I; 114;
Bc. — ~ja
lorsque le. pied
on dit ~Jp
poMMM~
-
fièvre hectique, on
..,ja pulsatif,
menu,Bc.
.~L5j farine,
Bc.
,,
se compose ordinairement de sel
et depoivre, Lane M. E. I, 200. "',
ett3a)
<dj~><~U ,
ce qui explique des passages comme ceux-ci: 1001
\Ju3ù, farine, a
409, 1.
dans le Voc. le pl. OLJLÏO. —
/~3<~J! est chez les médecins le troisième intestin, M.
?
~iLÏS
coup, Bc. Peut-être ce mot a-t-il ce sens ,
oL-a-3i\_j finesse d'esprit, Macc. I, 940, 16. -
dans l'expression, qui est devenue proverbiale:~*_Sv> Exactitude; mA&~ ~JLXJ exactement; précision,
.tLR.wJL S ~J~KjX-à, 1001 N. II, 400,. 6.
Dans ce cas il faudrait traduire: «coup pour coup,
scrupule; /~St~Xj minutieusement; OLAÏJÛLJIJ stricte-
ment; ~J!~S(~jd~ ~J-c étroitement, à la rigueur, aupied
si j'avais fait davantage, le porteur d'eau en aurait
de la lettre; /~SJ~J~ J~c régulièrement ;
~vJuSJG*
fait de même.» A l'endroit cité, l'origine de cette
expression est racontée. Dans l'éd. de Bresl. VIII, ,
~XàLJt
à purisme, défaut de celui qui affecte trop la
sont dans des vaisseaux de cuivre ou d'étain, que fusil, Ht (chez Domb. et Bc avec le ê).
l'on a enfoncés à force de coups ou de chutes, les pilon, Bc. — Macque, instrument propre à
~XSJuo
[JéjSJh]
»
redresser et débossuer ). — Tatouage, M. ~U.)
mélange de curcuma, de poivre, de clou de
- briser le chanvre, Bc. — Sonnette, Payne Smith
girofle, de cannelle, de carvi et de cumin, avec le-
quel on assaisonne les tripes de bélier, M. ~UX-£
1561. -
Petit flacon, M.
Ua
—
un objet très-élégant, M.
/&SL\~ sagace, pénétrant, Roland. - Régulier, ri-
~ci' ceci est
£
gide, scrupuleux, strict, formaliste, Bc. — (jj3*Xo
~!Ua ;
exactitude ~ôJs- ~~XS littéralité, attachement puriste,
~aJàl\ Bc.-—Docteur
puriste,Bc. quiappuye
Docteurqui appuyélespreuves
les preuves
scrupuleux à la lettre en traduisant, Bc; application, y1',8, sur
du de nouvelles preuves, de Slane Prol.
attention, Ht.
— Pureté de dessin, Bc. ua ~-.à-
semble signifier un petit travail, 1001 N. IV, 618, 9: I, 196, n. 1.
~* « «J
~8 boulette,
~fLJLSA-* boulette,
d'oignon et de persil, Bc.
petite boule de chair hachée,
~«w)
; porte au moyen d'une ¡¡J"> (voyez), M.
~^j^Xabœuf (nommé ainsi parce que les musulmans, VII c. ~ja toucher, Bc.
au lieu de le châtrer, écrasent ses testicules entre
deux morceaux de bois), Hoèst 293, Gr&berg 124.
~G
~j5v> pl. barre pour fermer une porte, Bc, M;
~olia 1 aL-;a, pl. (JbSSô] c'est ainsi qu'on trouvele mot
~QsJ, M. 1
ducat écrit dans des chartes grenadines; Aie. (ducado -
de oro) a ducât.
~j~ 1 c. (J>x: chercher avec le plus grand soin, M.
ainsi dans Lm; N ~j\
-
%.>M3 1 frapper à une porte, Bc ~(v-jLJî à), Cherb. B,
Ht, Delap. 50. — En parlant de vers à soie, devenir s. CI podagra, L.
,
i,l.Û¡,) c.-A-d., faible et maigre, M.
t
~*St
'ôjïJ sorte de fermeture de bois que l'on met aux
portes et qui s'ouvre sans clef, espèce de loquet, M;
9 ~O)
~O
est une onomatopée dont on se sert pour
~cj,J ~J,J c'est le ~—. de la langue classique, M sous ce der-
exprimer le bruit qu'on fait en frappant à une porte. ~sy
nier mot, où il écrit '6jéô.
De là le vers qui a passé en proverbe: -*0+
8js5u> baisser les yeux, regarder en bas, M.
pl. _7.é.'3*t,3aappui, étai, soutien, Hbrt 194.
ce qui signifie: mille personnes doivent frapper suc-
cessivement à la porte et attendre qu'on ouvre, mais
personne ne doit trouver la porte ouverte et entrer à
l'improviste, M. (Burckhardt Prov. no 1: ,~-\~ v_âJt
~gLJlc ~fblw ~"ï) A thousand raps at the door, but no
«
sàlute or invitation from within. »
This is said of a
juwâfkX+Jt voyez sous ~Lrab VI.
person's fruitless endeavours to become intimate with ~O
+ ~*> +
(j~~*~ 1 frapper, heurter des cornes, Aie. (topar to-
another). On dit aussi par allusion à ce proverbe:
~jgg"i
petando con cuerno).
a
:
~Sj, en parlantde vers à soie, faible et mai-
gre,M. 0 ~f.J,
UZA.àëa echiochilon fruticosum Desf., Prax R. d. O. A.
~OuiXSj coupqueVonfrappe à la porte, Roland. VIII, 282.
raffiné; c'est ainsi qu'il faut lire 1001 ~Pa.
N. Bresl. VII, 282, 1, car est la réduplication
J-—s3, nom d'un. S. Dans la langue classique,la
de ^3, qui signifie à la IIe forme raffiner (Bc), et plus mauvaise espèce du palmier et de ses fruits, et
l'éd. Macn. porte jjHa ,
~s, ? qui
a le même sens. chez Pagni, 151, je trouve aussi que ce terme dé-
signe la plus mauvaise espèce de dattes. Mais au-
~jM 1 barricader, Ht.— Toucher, Bc, M. jourd'hui il désigne au contraire «le roi des dattiers»
— Heurter,
(d'Escayrac 10), et les dattes de la première qualité
Me. -
C. a. p. ou !~H->-s~ choquer, fâcher, M.
II est chez Aie. aporcar (le n. d'act. aporcadura),
(Richardson Mor. II, 285, le même Sahara I, 423,
Pellissier 149, Dunant 89), appelées en France mus"
et ce verbe signifie selon Victor; faire des sillonsen cades (Espina R. d. O. A. XIII, 156). Espèces: 1°
une terre, la labourer et assillonner, couvrir des
herbes sous1 lé rayon, et selon Nunez: buter, enchaus- KUa, la meilleure de toutes, Cherb., Tristram 79,
8er les plantes pour les faire blanchir, — Retenir,
Carotte Géogr.196, 224 (qui a l'article avant le
second mot), Pagni 149 (aussi avec l'art.) qui dit mas, en parlant d'un maçon, ~yfcJUt gb placer les
qu'elles sont sèches, rondes, dures, et qu'elles fondent
dans la bouche comme du sucre. L'origine du nom
est expliquée par Prax, R. d. O. A. V, 212 n., de
IL ~J~~ à,
pierres les une8 sur les autres, entre les poutres, M.
pour
g\h&a,
on dit aussi euà'a,
cette manière:«Noura est une sainte musulmane passer le lacet (W) dans la coulisse du pantalon, M.
enterrée à El-Harihira, village dépendant de Tougourt. VII être caché,Voc.
Les Arabes racontent que cette dame ayant fait ses
ablutions pour la prière, un dattier naquit sur le & jouer des gobelets, Ztschr. XX, 487, 2 a t,
appelées deglet-nour. 2°
lieu ainsi arrosé. Ses dattes, de l'espèce degla, furent
XiS~, longues, sèches
et très-dures, Pagni 149, d'Escayrac 11. 3°~LjJ>
507, 1, Macc. II, 146, dem. 1., 179, 4, III, 23,1. 30.
~J:) plancher,
p. e.: il combla les puits
J~-~Ljf~
,
cayrac 11. 5°iL&jie
Prax 1. 1.
Gl. Djob.
~KU,>, Prax 1. 1.
~çfià 1
quelqu'un, M.
~BJutlf
~rïa y pl.
„ y et ~m3a,
~o ,
c. a p., à Damas, donner un coup de poing à
~oS
bouche, Voc., Aie. (boca);
le creux de l'estomac, Aie. (boca de esto-
sous abscondere.
~1* Abou'l-Walîd 779, 19. — Pl. ot
baguette de fusil, refouloir, Domb. 80, Bc (chez Ht
tuyau du chandelier où l'on met la chandelle, Aie. avec le ^). -
Aiguille à passer, grande aiguille dont
(mechero de candil);.~jJ! ~v-iLxJ jeu de mots, Alc. on se sert pour passer le lacet ~(&Xj) dans 'la coulisse
CL*-, •a >/O)
(juego de palabras).
I
quantité de miel ou de lait aigre, Bat. IV, 434.
~j
- _Cl.-
1 exciter des querelles, M.
a
cacher, Voc. (abscondere) ;
glisser, couler adroi-
tement, p. e. un soporifique dans un aliment que va
-K--
258, 3 a ;
f. cf. J.
pl. gjS\4ô petite jarre, Bc, 1001 N. II,
«>
ol
..,
,
f~~ 1
-
- - ~o# housse,Ht.
~éjSù
m. signifie
~«db
voyez ~jïô.
~Jia
== XSO&à, Koseg. Chrest.
!,
(Lane), je n'ose-
1001
où en quelque lieu, quelquefois à force de coups de
pied., Aie. (atestar, calcar recalcar, costrenir estribar
costribar, enbutir otra vez, recalcar, recalcar acoce.
ando, tupir. recalcando; chez lui la dernière lettre
est un n, qui, dans son livre, est souvent à la place
du m, à la fin des mots).
V. Le nom d'act. Vaction de faire entrer, etc.
ce qui précède), Aie. (recalcadura).
,
~w,
~qLÎo banc, le pl. aussi ~oî,Voc. — Un gros
quartier de pierre, Gl. Esp. 46; ce que j'y ai dit
est confirmé par L, qui donne ~J~~ sous pavimen-
tum. Abdarî, 38 vo, se sert de ce mot, comme Ibn-
(cf.
ble, M.
o pl. (j~~,
o> qui a la vue fai- pour lui montrer le chemin, aussi c. y p., Abdan
18 ro: à Tunis je rencontrais souvent des personnes
, j
Auw. I, 33, 6. — C.
1
y se diriger d'aprù,
parlant d'une haute montagne, qu'on voit de très-
loin et qui sert de guide aux voyageurs, ~Sv*' ~t
Becrt 46, ~JiAamI se diriger
d'après les étoiles, les prendre pour guides dans son
voyage, Djob. 70, 18 et 19, Edrist, Clim. II, Sect.
~e
p. e. en
,
d'Antar publié par Koseg. Chrest. 93, 5, où l'édit.
de Caussin porte Jos. — Flatter, Ht. — La signif. sion signifie aussi chercher à connaître l'avenir par
he favoured with, or conferred, a gift, est peut-être l'inspection des astres, Abbad. II, 197, 4. — (jjUûwt
le ~utz que le Voc. a sous tradere..
II choyer, veiller avec grand soin à la conserva-
~All' ~J.s: dans le Voc. sous diriger e,
mais sans expli-
;
tion d'une personne, Bc — flatter, caresser, Bc, gâter
cation.
~r., Lo que!
son enfant, Bc, Hbrt 28. — Vendre à l'encan, Voc., combien! Bc.
Aie. (almonedear, publicar bienes), 1001 N. II, 109, ~xjS (à Damas X-~~)
pl. ~J cafetière en cuivre
9, c. (_~c r., ibid. III, 78, 6 a f. — Etre ~3Îa cen- étamé, Ztschr. XXII, 100, n. 35, cf. p. 143.
sal, courtier, Amari Dipl. 76, 5.
K!..!;
IV c. ~c p. prendre des libertés avec quelqu'un, Vhabitude ou le droit d'agir sans façons avec
agir avec lui sans façons, en user familièrement avec ~(Je) quelqu'un, Fleischer Gl. 53.
lui, Fleischer Gl. 53, Nowairî Espagne 469: ~uJLe~t y mines et manières affectées pour
.1 ~t
~Ji,> minauderies
Abbad. I, ~z.,
322, 2 a f., je crois devoir lire ~iuwLo,
903, 1, cf. II, 470, 7 (aussi
1001 N. I, 837, 6: elle dit: vi>ôî — Orgueil,
~aAJîj
a
iJftàm
~0^*>,
démonstratif, indicatif, Bc.
symptomatique, Bc.
proprement censal, courtier (commissaire-pri-
Werne 33, deléb, Barth V, 682.
y&lxta
(turc ~&Ij ~, capitaine de cavalerie légère)
pl. ~XxâUI) cavalier, Ztschr. XI, 481, 494.
8eur, Prax B. d. O. A. VI, 350 et ailleurs), signifie
quelquefois marchand; (jioUXM ~t:.,u ~,
Cartâs
~.1 y --
gladiolus Byzantinus, Bait. I, 26 c, 423 b,
123, 5 a f.; fripier, revendeur de vieux habits, The glafeul, Bc (avec le o).
adventures of Hajji Baba, t. I, chap. 17; marchand
de vieilles étoffes et friperies, Descr. de l'Eg. XVIII,
part. 2, 421; marchand d'esclaves, Barth II, 393; ~,ajba cabale, intrigue, menée, M.
J~~L~ ~Jmaquignon, revendeur de chevaux, qui
JisXA qui court (cheval), Diwan d'Amrolkaïs ~FV
les troque, etc., Bc; ~uaa&J 3'-ia libraire, L (biblio-
pola). — Un crieur qui annonce et décrit les objets vs. 9.
qui ont été perdus, M. — Panier de sparte, Aie. (fis- ~-J~ ~(uia); aussi baisser
cal de esparto). 1 c. a. r. baisser, abaisser
~K comme v. n., p. e. en parlant d'une femme If"*9*
courtière, Lane IL E. I, 236; port. adela,
fripière. ~^Jju «sa beauté diminue,» IL
~6>
ijj~ Jbfijh long tarbouch qui
de la
}O
~jj~,
tête jusqu'au cou, M.
(jp~).
I,
~G *
~J<~JJ~~, chez la secte des Sab'tya, feindre d'être
~x-x— ~? ~\JL~!! ?
sandia, cf. Gl. Esp. 339; dans le Calendr. 83 ~jwl
où l'ancienne trad. porte: adulaha, et
est sandia), appelé aussi de Palestine, et selon Zah-
râwt, de Syrie. Aie., Shaw (I, 217) et Domb. (71)
prononcent dillâ'; d'autres: dellâ', delâa, etc. Selon
Richardson (Central II, 87), ces melons sont petits
et amers; Hœst, au contraire, les loue (p. 309), et
Jackson (Timb. 114) atteste que l'espèce qu'il nomme
»
«dilla Seed Billa, est extrêmement douce.
~Ls J~s>-!. -
C. ~Je p. chercher à tromper quel-
qu'un, Abbad. I, 57, 7, Gl. Mosl., 1001 N. ni, 416, c~J!~ alouette, Bc, Hbrt 67.
1.
ou de
-Se déguiser, feindre, Bc. --.:. Couvrir de chaume
dis, Cherb. Dial. 72 n.
~-~J~
w w ûî chez Freyt., si la leçon chez
=. .~J~t
Macc. I, 727, 15, est bonne (Boul. j.1jjj u*'~)'
III d'act.Gl.Badroun.
V
se déguiser, Bc.
c. ~(c p. tromper, M (sous ..Jaj V). ~uÀ-lS, et
~wâta I. Le IV,enparlantd'un
n. toit, avoir
- I,unen. fente
d'act.
Vaction de lisser (comme, M:. et-IV, en parlant d'un toit, avoir une fent4
~U«Ji fraude, Voc., Àlc. (falsedad). par où passe l'eau, M.
ï~J~, fraude, forme pl. ~j~~ Voc. bonnet rouge en forme de saC, dont le bout
au >
~v-à-W, fém. ilâ3«S,
~j
retombe en arrière (en usage chez les Maronites), Bg.
pl. ayant le nezplat, Voc.
~J~e.
y ~CI
~*
à la plante
Le vulgaire donne le nom de ~Jj~i! (AB)
dite~Js, parce qu'elle est luisante
0
et que ses fleurs sont lisses, Bait. II, 383 b.
<*j~~
est chez Aie. (golfin)
~rlS, coll., n.
d'unité S, ramiers, pigeons sauvages,
\—&ï~
répandre, verser un liquide, M, 1001 N.
1 I, 47, Aie. (çurana paloma, paloma torcaza, torquaza), Bc
4, III, 445, 11, 643, 13. Auw. I, 122, 13, où Banqueri n'aurait pas dû ehan.
y
VII. ~üL..w ~O
<~jU~! il se démit la cuisse, Becrî
127, 15. — Etre répandu, versé (liquide), M.
vJLÎo. Non-seulement belette, mais aussi fourrure
.0",
~J ,.
ger la leçon, qui se trouve aussi dans notre man.
pl. rjl;a- roue à auges d'un moulin à eau,
Aie. (rodezno de molino). Ce mot me semble une
altération de <-<~ô.
~gJî ~iT t~-aJ:!~ (Sontheimer n'a rien compris à cet ~Q}—ta ~(SÔXOÙV)(jJ~~ nom d'une voile dans les
pl.
article). — Comme nom d'un vêtement: dans le Voc. navires du moyen âge; voyez Gl. Djob. et Ducango
vodalum.
~(jflS,
, :.' pl. ~~!,
~c,15
vestimentum religiosi. — (Syr. 0 ~"v
~VaU?)
;
dero para polir), M.
K~l~e même sens, M.
Bresl.
en deux ;
III, 278, 8 et 9, doit signifier il la coupa
mais je ne puis expliquer l'origine de
cette expression, et j'ignore si la leçon est bonne.
~L~~eô
J,!,J¡) alouette huppée, Casiri I, 319 b. dame-jeanne, grosse bouteille, Bc; elle con-
~3 fabricant de seaux, Domb. 102.
~J'¡)
dans le
Verseau (signe du zodiaque), Dorn 56 n.
pl.
pi. *
cUmatite, Bc. — Le sens de varice, dilatation d'une
veine (Freyt.), est aussi dans Bc et dans M. — Le
les courroies des étriers, 1001 N. Broal.
pur L (inlibatus ) ~jAà et ses formes, souvent pour ~yô; cette incorrection
se trouve presque constamment dans l'édition que M.
de Slane a donnée de l'Hist. des Berb.; voyez Lettre
prêtre, L (poderis). à Fleischer 143; le M a noté:
M. V vulg. pour
~;A,>
~c p. I, ~yô V.
1 c. se précipiter sur, 1001 N. 81, dern.
1.
— Lisser, unir du fil, le rendre égal, en ôter les ~II.xJLc -,-Ai il lui gdta la chose, Hoog-
inégalités, M. - C-
*Je±m ~gwO
écrire très-droit, M. vliet 49, 13, cf. 70, n. 57. — Dissiper, prodiguer,
gaspiller, Voc., Aie. (despender mucho, desperdiciar,
III c. a. entrer dans, Diw. Hodz. 267, 12.
VII c. M se familiariser avec des personnes, Bc. ;
disipar bienes, gastar en mal le n. d'act. desperdi-
ciadllra, desperdicio, dissipacion de bienes; le part.
~<', Le Voc. donne sous litera l'expression ~.b.>
Cf w-
act. desperdiciàdor, dissipador; le part. pass. desper-
- ~CI
~) diciado).
gwstXo, mais sans l'expliquer.
V êtredétruit, ruiné,Bayân I, 206, 16. — Dé-
Ksy'~t mets composé de beignets ~(gJJu*\) con-
cassés et de dattes également concassées, avec du
beurre, de la graisse ou de l'huile, Pagni 153.
périr, s'affaiblir, se ruiner, Bc. - Etre dissipé, gas-
pillé, Voc.
dissipation, action de dissiper son bien,Voo. est, entre autres choses, la prison d'Etat. En arabe
Xd;Aa (semble formé du roman dama; cf. fr. da- le sens est aussi 1° prison, cachot; y^olv>, Hbrt 214
meret, esp. damerfa, ital. damerino) demoiselle, fille
d'une famille honnête, Bc.
Becrî 182, 10, R. N. 54 ro: j~X~~ ~\J!
Hbrt 214, Ht, Hist. Tun. 128: (jJ-4-;~ à ~-a-~!
outils de fer) instrument en fer ou en cuivre,
dont se servent les cordonniers pour aplatir et pour
lisser le cuir, Cherb. cet endroit est appelé ~j<~e.
- Mais on entend aussi
en général sous ces termes: 20 un édifice public. Dans
s—j~- la saison de la crue du Nil, Lane M. E. la collection arabe des canons (man. de l'Escurial),
II,33. le mot capitole est expliqué par ^olll (j~!. Dans
Lg,.&.AJJI
l'Hist. Tun. 94, on lit que les datvâmîs d'al-Moham-
les cultures dans des terres basses, quand medîya étaient une maison de plaisance d'un dey do
le Nil commence à croître, Descr. de l'Eg. XVII, Tunis. En outre c'est: voûte, édifice voûté, par con-
17, 81. séquent 30 bains, thermes, (j~L~~, comme dîmôs dans
l'hébr. rabbin, (voyez Buxtorf), Cazwini II, 344, 4
~yAj toile de coton assez grossière, qu'on fabrique a f., Berb. II, 136, 6 a f. 40 réservoir, Edrisi Ili-4,
en Nubie; les habitants de ce pays s'en font des
chemises, etc., et elle leur sert aussi de monnaie,
,
li*1a dern. 1., où il dit qu'à Alexandrie les eaux du
,
Nil passent sous les voûtes des maisons et que des
Burckhardt Nubia 216, d'Escayrac 415. datvâmîs y sont contigus les uns aux autres; les
~1,3 (selon M du turc Lo qui, dit-il, signifie paroles de Léon, 675, expliquent fort bien ce pas-
bât de cheval (?)), pl. habit qui va jusqu'à sage, car il dit en parlant d'Alexandrie: « Cuique
fere civitatis domui, ingens cisterna concamerata,
mi-corps et que l'on met sur ses autres habits, M. crassisque innitens columnis et fornicibus substructa
w,
L9,AD,> vulg. = * ~yo1
~c-~j, avec la négation, per-
est: in quas exundans Nilus per aquœductum — —
sonne, M.
tr'Aa 1 se trouve 1001 N. Bresl. IV, 275, 4, dans le
sens de fouler des raisins pour en faire sortir le jus, XJL-kXlî (dans le man. par orreur: (j<~a~\J! k,lU"
mais je crois devoir lire U.-ma, qui a ce sens. — ~uj~~). Au figuré, ces mots désignent un endroit
C. a. p. tuer clandestinement, assassiner, M. — Cuire, où l'on se cache (voyez Freytag); ainsi dâmous si-
Mehren 28. gnifie grotte où les moineaux se retirent pendant la
-
~O
jjwwpO pl. (voûte y Cherb.; voyez ~j~ nuit, Pagni 99. En Afrique on donne aussi aujour-
d'hui le nom de dâmous à une meule de foin ou de
paille (Dict. berb. sous meule), probablement parce
qu'elle a la forme d'une voûte. — A mon sens, la
soi-disant racine arabe y*—«O, qui exprime l'idée de
~îûmo, être éteint (œil), Abou'l-Waltd 308,
, ~CI n.58. cacher, couvrir, être obscur, etc., a été formée de ces
~~L~ ~M pain cuit, Mehren mots, parce qu'une voûte cache, couvre, est obscure,
28.
etc.
)
(j~t.i~voyez l'article qui précède. — Taxation
avant d'imposer un impôt, Bg (vo impôt). Au Liban,
nom d'un tribut fixe, invariable, M. Dans l'hébreu
retrouve aussi dans d'autres langues sémitiques (l'hé- rabbinique,dîmôs signifie, entre autres choses, t»»"#"
breu rabbinique a ~D1D':, chez Buxtorf paries, murus, rium publicum, tributum, quod ad fiscum pertinet,
strues, sériés structurœ), sont à mon avis, de même
voyez Buxtorf, no6 et 7; c'est de nouveau to àyfiotrisv-
que d'autres parmi ceux qui précèdent, d'origine
grecque, et viennent de ~àyfiâirtov. L'adjectif àyftdnoç Doumasi, étoffe en lin, de Tombouctou, Daumas
signifie appartenant au peuple, à l'Etat, et ~rè ^{JUVIOV Sahara 301.
;¡'
tX~J~' , fêve8
~30 bouillies, Me, Burckhardt Arabia j«Ic. a. p. tourner, troubler la cervelle à quelqu'un,
I, 58, Burton I, 178, avec du vinaigre, du sel et troubler son esprit, sa raison, Ztschr. XX, 510, 10. —
de l'huile, M. Ce mot a la même origine grecque, li^L-3 ~L-Aa se dit de celui qui, en rendant le bien
comme le prouvent ces paroles de Lane, M. E. I, pour le mal, fait qu'un autre soit confus et honteux,
«jM^oJoo M. — Briser, Auw. II, 5, 1. 12: Y.*1,> ~UI, un
200: ~Jji, or beans, similar to our horse-
instrument qui sert à casser les mottes d'un champ.
beans, slowly boiled, during a whole night, in an
earthen vessel, buried, ail but the neck, in the hot — (Formé de ~Xà
~O
a,
- voyez)
marquer un esclave ou
ashes of an oven or a bath, and having the mouth un animal avec un fer chaud, M; timbrer, marquer
,
closely stopped.» d'un timbre, Bc.
de la Ire forme, pleurer, ~àuwJO) QIS Cartàs , c~o~ II. JÎzUj ~tL.wJ' \iyJiA4 il tombe une petite pluie, M.
43, 13. Dans le même sens, ou dans celui de lar- ~~9~
e 1,
sot, imbécile, niais, Domb. 108, Ht.
mes, 1001 N. Boul. I, 19, 4: lo ~gLJ Jyb gVJLtt t!:~~0ô
~&J I appuyer, Ht.
~-j, la leçon est bonne; celle
uè;ju,> ~~-:>~~, si
qu'on trouve dans l'éd. Macn. (I, 40, 5) ne présente <~e3 = ~MUO neige, Diw&n ~d'al..Akh.l 15 to
aucun sens.—- Larmoiement considérable et continuel, (Wright).
~Gl. Manç. in voce, J. A. 1853, I, 342, Sang.
£•*>*« plein de larmes, éploré, larmoyant, fondant apostumer, se former en apostème, Bc; dans le
II
en larmes, Aie. (lagrimosa cosa). Voc. o. a. ulcerare (bestta)*
III c. a. gulrir une blessure, Berb. II, 371, 5.
Y apo8tumer, se former en apostème, abcéder, Bc; UgÂ/Oj Lt~~<~ à (lisez ainsi, au lieu de Leqbe.Aa5);
dans le Voc. 1. 1.
Macc. II, 204, 3. — Le territoire d'une ville, MamI.
VII abcéder, venir à suppuration, Bc; dans le II, 1, 215. — Limite, confins, si la trad. finis,
~Yoe.LL
charte sicil. apud Lello 23, est bonne.
~VIU abcéder, Bc.
O > Bc, ~0U>, M,
cor, durillon auxpieds,cal,
- ~CI
KU,>1 pl. ~jLo
1 ulcère y
tumeur, abcès, Ht. — Dans
le Voc. carpentaria, c.-à-d. charpenterie, l'art de tra-
callosité, Bc, M.
lière à l'Afrique;
- Mouton «d'une espèce particu-
ils n'ont point de laine, mais un
vailler le bois, car ce mot est traduit aussi par ij)l:FJ; poil très-ras; leur queue très-grosse et très-large
~O peut avoir
je ne comprends pas comment &JLo traine à terre; on les appelle el a'deman; leur chair
mais
ce sens.
est très-estimée, »
Daumas Sahara 136. Becrî, 171,
s
y abcès, bouton,
6-8, parle de ces animaux, qu'il nomme (jfcL»oCJ|
~XJL/O furoncle, pustule, charbon, àuôl*>Jî, mais son traducteur, M. de Slane, à en ju.
apostème, Bc. ger par sa note sur ce passage, ne connaissait pas
~XJLo furoncle, abcès, Domb. 88, Daumas V. A. 425. le sens de cette expression. Ce mouton a été décrit
aussi par Léon, 753 (adimain) et par MarmoJ, 1, 28a
~o-4 II engraisser, fumer une terre, Becrî 18, 10; (Adim Mayn), 31 (Demniet), mais ce dernier s'est
trompé en disant que c'est une sorte de vache. —
w ~o
XJuO.il ~iûyJî estla terre près d'endroits habités et à
laquelle s'est mêlé le fumier des bestiaux, Auw. I, -
~O
J~!.-~<! qLo espèce de lapin, Shaw II, 105, Bruce
91, 4 a f. et suiv.; lisez de même, avec notre man., I, 241; ces voyageurs disent que ces mots signifient
318, 2.
« agneau d'Israël, » mais qu'ils ignorent pourquoi on
IV, continuer à faire une chose sans interruption, a donné ce nom à cet animal.
se construit communément c. ~teU, Gl. Fragm., Voc., <) (esp.
~qLxiJ» ~->
timon ou turc ~oA'.) gouvernail, Hbrt
de Sacy Chrest. I, 152, dem. 1.
-
O
sentir en lui, Bc. < ~O
>
gVâÂe £ L,5A,> vous êtes respon-
~gJî UA, 31 L~L~ (j'ai corrigé plusieurs fautes dans sable de ma vie, Koseg. Chrest. 100, 8. -
ce texte); ibid. 9 (division d'un héritage entre une
veuve et son fils): 4,¡.,o..) ~L-% à ~J~L s-*-*a-~
là Aie
un
versémon
versé tela
monsangtCairawânî,
sang, Cairawàni, man.
na"-
1193, p. 620. J~J! S - ~J!
ceux qui pour-
suivent la réparation de Vhomicide intentionnel, Cai-
rawâni 620. — En parlant de jeunes filles, P. Ha.
mâsa 573, 13 (= Koseg. Chrest. 47, 13):
j-telles
y
ra ~bb tuent les hommes sans qu'elles
Te- tiglium. Selon l'auteur du Most., c'est ce qu'on ap"
aient une vengeance à exercer sur eux,J) comme
brtzt explique ces mots. — ~ù'jj vXic mù jr. uem pelle en espagnol «JLjjl—k, c.-à-d. tartago, mot que
il fit son possible pour engager un tel à mettre son Victor traduit par les cinq doigts Notre-Dame, et
prisonnier à mort, Haiyân-Bassâm I, 174 vO. — De
~iii »
Nunez par catapuce, épurge. Puis il ajoute que c'est
même que le traducteur, j'ignore quelle a été la le mais selon Bait. c'est une erreur. Enfin
pensée de l'auteur de l'Akhbâr, quand il dit, 56, 10,
:
en parlant de Cornai! ~L~! ra
~-*~~~J~~!J~~- on trouve dans N seul que c'est louait comme
chez Bait. (AB), mais sous ~E}? on lit dans les deux
- ~iûxJI meurtres et blessures, Cairawânî 620. — man. que E}';> est le LXJJ.
, Nowairi
~jj~ 7 O+ Espagne 454, est la prison sou-
terraine pour les criminels d'Etat du premier ordre, ~CI 0
OjAio et s~j~~ vaurien, Mehren 28.
palgrave I, 397. — JMXJÎ ~yL$9' les condamnés à
mort, 1001 N. I, 250. — J~-~ jO !,-:iL-o ils ~c ,J~X~ -
- ~O
1 user d'épargne, être d'une épargne sordide,
moururent tous à la
fois, Djob. 311, 3, Macc. II,
766, 17, Freytag Chrest. 135, 15. — «-AX_J L-~., Bc. (formé de ~uui>).
Berb. II, 488, 11, dans le sens de l'expression or- - ~O-
KSL\J'3 épargne, Bc.
dinaire ~LaJ~j ~LS? (avec le dzâl) ; mais quoique cette ij(30v3
II pendre,
r
descendre trop bas, Bc, M.
leçon se trouve aussi dans notre man. 1350, je crois v5wXiu>esplanade, Barth I, 177;promenade, lieu où
que c'est une faute. - ~-JLJLJ! ~fô sang-de-dragon l'on se promène, ibid. V, 440.
(substance résineuse), Bait.
u!c.i'> grain
~I
-
I, 426 b. ~JL&~J!
~çô
Smith 1554.
Ù) (syr. OOymillepiedSy scolopendre, Payne
OtfrILX—S•
.L\3~
OtiXx•X* avalé, qui pend un peu en bas,pendant, Bc.
gazouiller, Daumas V. A. 72; préluder, Bc;
~Lcù>(sing.)
sang, Bc. chanter, surtout en parlant du chant des marins, Voc.
sanguinolent,Yoc. — Carillonner sur les cloches, Aie. (repicar con cam-
~w. 1
.c-~)-\~ sanguinolent,Yoc.
panas).
yunque).
--
Battre sur l'enclume, Aie. (herir en la
Se lamenter, M.
~X-ÂXJJ
- - ~CI, pl. QL>!—iô
„ le chant des marinsyVoc. —
1
~H oe-
Le pl. OU,",,, de Sacy Chrest. I, 111, 10. Lamentations, M.
~01,..
espèce de poisson, 1001 N. IV, 507, dern.
1., mais Lane, dans sa trad., pense que c'est un mot
je ne ressemble pas à un tel, M. forgé.
,
113, 13: les narcisses couvraient la vallée comme de
~t*- dinars.
V dans le Voc. sous maculosus.
~O-
~&' le résidu de la cire, M.
Dennedsje, nom d'une herbe qui vient naturelle-
s~j~ chardonnerety Bc.
~J,
(l'abrégé de Berlin omet le mot en question), l'ano- (j~jj phelypée, Jacquot 80.
nyme de Copenhague 114: Ké.Wl cl3 ~J~~ (dans la rime = L).31-Y sale) tas ~d1ordures,
Kj<~c jjjp, charte grenadine de 888 H.: ~&;-4 Lt-43
versicules chez Shaw I, 28.
;
plus anciens trahissent une imitation servile de la mon-
naie des Fatimides plus tard, sous le pontificat d'In-
nocent IV, la fabrication de cette monnaie s'arrête devant
cule pour se tirer d'embarras, Bc.
(esp.)
o ~y
pl. JwJauS collet de charrue, Aie. (dental
la réprobation du clergé et les menaces d'excommunica-
tion. A partir de cette époque, le besant arabisé, sans del arado).
perdre le type originaire, se transforme. et e o-
traduit en .J\i3Jô. Léon 329 (à Fez): «Ubi puero dentes adven-
langue arabe diverses formules chrétiennes. Voyez La-
voix, Monnaies à légendes arabes, frappées en Syrie par tare vident, convivium a parentibus paratur, itidem
les Croisés, qui estime qu'on peut faire honneur de l'in- pueris, quod Latino vocabulo dentillare vocant.»
vention de ces pièces aux Vénitiens; il cite à ce propos
~-NJ~ II rendre malade, Voc.
différentes chartes qui prouvent que ces habiles trafi-
quants avaient un atelier monétaire à Tyr et à Saint- V quasi-passif de la Ile, Voc.
Jean d'Acre. — Espèce d'ornement,voyez Djob. 238, a J~3ô3 dauphin, marsouin, souffleur, Domb. 69, Roland.
f., où il est question d'ornements en or,*U, grands com-
,
~clis
me la main. — ~jLJUi pimprenelle^ voyez sous v_àJî.
^Là-jA (3^1—i-jO ~üJ' carreau, signe du jeu de
%-jU%b 1 manger goulument et avec excès, bâfrer,Voc.,
- ~Juj,
cartes, Bc.
~CI,,,
aujjlxA} plante inconnue au Maghrib,» Gl. Manç.;
Aie. (glotonear, golosear).
~vJUi> et ~(j^>, mourir de froid,
de la femme, devenir amoureux de, M.
M.
aor.
-
a,
c.
n. d'act.
Bait. 1, 467 c (où il faut lire avec A ~1 est aussi II c. a. faire manger goulument,Voc.
dans l'ineertitude. V = I, Voc.
~Z, )
}..>w:a truité, marqué de petites taches rousses, Bc; ~(ya gloutonnerie, L (a gula).
~XSivJ gloutonnerie, L (glubie).
a glouton, goulu, gourmand, celui qui dépense
sonargent pour acheter des friandises, Voc., Aie.
«riche}dans
CI'
~Le riche; dans
LôtXft est nommé plus loin
le le R.
B. N. 58 un ut
J.;'
^=>^1, mais il faut
Cr
~0"
5) ,
(gloton, goloso, gastador en golosinas).
~LJ~ même sens, Voc. lire ~Lu~, «' ,
car on trouve ensuite: J~c Lulxjj fJLiij
;
~y* L lL>, aussi Yoc., et se conjugue quelque- ; qui invitent les amies de l'épou-
OLJIoM les femmes
fois, même chez de bons auteurs, comme un verbe sée à l'accompagner au bain et à prendre part à un
-pte
dont la dernière radicale est C, Bidp. 188, 12 et 14. festin qu'on donne à cette occasion, Lane M. E. I, 245.
II avilir, dénigrer, Ht (il donne la Ire, mais c'est
(Eg.), ceci (Eg.), cela (Eg.), celui-ci (Eg.); ~tia .)41
~1 r
~?ja ce
sans doute une erreur). — Courir, galoper, Ht.
aujourd'hui; ~If¡)-1 ~O bout du com ~!S->y Juu
UU ,o!
àal accorder
accordei- à qitelqu'uil,
quelqu'un un
après tout, Bc. — u,> interj. dont on se sert pour
entretien secret, Koseg. Chrest.99, 7 et 8. — C. y faire marcher ~(;:-J) un cheval, M.
O «•>
1
~NA
t temps noir, triste LôiAii il gèle,»
« (~c-~ épicurien, Voc.
Bc; ~LôjJi «il fait sale,» Delap. 40. — ~J:!~-~~ ~tjjtj~~—~ô (La; N >). Ce mot, qui est peut-être d'ori-
~UkxJî ~~-S~ «quelle heure »
Bc. — L-xJkxJf
est-il?
beaucoup, abondamment; aussi tout, Gl. Esp. 50.
gine grecque, se trouve dans le Most., où il est ex-
pliqué de cette manière: «Il est de plusieurs sortes.
Ainsi il y en a une qu'on fait de marcassite. On
absent, distrait, effaré, Bc. place la marcassite dans un four et on la fait cuire
« ~C*
> pendant un certain nombre de jours, comme on fait
U3L4,> est dans L canopicus, qui doit alors avoir
avec la pierre à chaux, jusqu'à ce qu'elle ait pris la
un autre sens qu'égyptien, le seul que donne Ducange. couleur de la rubrique. On le fait aussi de mine de
cuivre. Enfin, il y en a une troisième sorte qu'on waiyad Imâd-ed-dtn, et un autre au Caire, dont al-
ne trouve qu'à Chypre, où on la tire d'un puits, Melic aç-Çâlih avait été le fondateur en 745, Macrîzî
-* 9
après quoi on la brûle.»
II, 212, et suiv. éd. Boul.
X~'J~e
, , cause de confusion, d'embarras, GI. Most.
, dans un vers (j~-~~,
U.-Oa, V
pl. Lmt-o,>, du sable - ,0 -
fj~&~ô (chez Freytag) peut se traduire par conter des
dans lequel on enfonce jusqu'à la cheville du pied, fleurettes, et devrait se trouver Aghâni 71, 5 a f.
Gl. Edrisi. —
-~\-~J! ~Lr-Oi brisées, t. de chasse, 0,
iLJ*—£
branches rompues, éparses, servant d'indices, Bc. où on lit deux fois ce qui est une faute,
~j*~3, en parlant de sable, dans lequel on enfonce pour X~aF~.
jusqu'à la cheville du pied, Gl. Edrîsî. ~(ea 1opprimer, car L donne: oppressus (3e;;-%A3
~SO buisson, Cherb., qui ajoute: «On appelle - S'emploie au passif en parlant d'un animal mort,
p. e. d'un cerf ou d'un âne, qui est porté par deux
une nuit très-obscure- XJL~, une obscurité im- hommes au moyen d'une perche qu'on a passée entre
o o,
pénétrable comme un buisson.» ses pieds, après les avoir liés les uns aux autres,
(j*i£ o
du sable dans lequel on enfonce jusqu'à la
cheville du pied, Gl. Edrisi.
,
(j«L-~ fouleur, qui foule le raisin, Bc (semble ~^UiL. C'estM. Wright qui a fait observer à
M. de Goeje, que, dans ce passage, ce verbe doit
~(JUJLS).
pour
avoir ce sens, et que c'est un dénominatif de
étonner (comme la IVe), Bc.
1 5 , dans le
dont le pl. sens de vectes, a été noté
IV atterrer, ruiner, accabler, affliger, Bc. par Golius, qui cite Exode XXV, 14, où ce mot
VII s'étonner, rester stupéfait, Bc, Hbrt 100, 227, désigne en effet les barres dont on se servait pour
1001 N. I, 95. — Frémir, Hbrt 228. porter l'arche. (En ce sens, comme l'a noté J.-J.
O - étonnement, Schultens, il se trouve aussi dans d'autres passages
iUïJO surprise, trouble, éblouissement,
de la trad. ar. de la Bible, p. e. 1 Rois VIII, 7).
consternation, stupeur, souleur, peur, saisissement, Bc. M. Wright remarque encore que ce mot se trouve
O
On dit, p. e., KJ~~ J~jdU, Badroun 273, 8, Va- aussi dans Abou'l-Walîd, 81, n. 27, 367, n. 16, et que
Payne Smith, 827, donne également ~019 et le pl.
leton t., 12 (cf. 20, n. 4 et Fàkihat al-kholafâ 211,
.ï~O dans le sens de vectis.
10, 15 et 18), ce qui signifie que celui qui entre
chez un personnage considérable ou chez une dame, ~*
IV. L a repressit f-»5 (j^^*
~-o5
-
Dans L afficio
éprouve une émotion, un certain trouble, un certain J CE
1
(il donne constamment un fatha à la lre per-
embarras. Mais ce mot se prend aussi dans le sens
de consternation, grand?peur, terreur panique, p. e. sonne de l'aor. de la IVe forme). — Comprimer les
Haiyân-Bassâm I, 31 ro: X~P~ ~&LOIq, ~# ~/, pieds d'un criminel entre deux pièces de bois (.;¡;>j),
et cette peur extrême eut pour effet que, pour ne
pas être massacrés, ils se jetèrent dans le fleuve,
où ils se noyèrent; cf. Mûller L. Z. 25, 5 a f. —
5 -1 X~P~J! à Damas, Catal.
X.M~ &¡)',
des man. or. de Leyde pas ~ü,g}. — Rendre rauque, enroué, Yoc.
1, 155, 7; ce mot a peut-être le même sens que VII s'enrouer, Yoc.
K~j~ (voyez). CI
u¡;¡) 9,
pl. ~(3ea voyez sous la Ire forme.
K~P<3 (cf. ~ZzU,> à la fin) désigne une sorte d'é- ~O
« mortificatio, L.
UUAAJ
difice splendide, peut-être un portique. Il y en avait
un à Hama, qui avait été bâti par al-Melic al-Mo- ,J~ rauque,
9 enroué, Yoc.
v-..;¡r---
~-1
II
V être empêché, M.
s.
c. a. p. empêcher ~(aSjx), M.
*
(pers.~&+£ - édifice rond
+ 0>0)
sur le sommet du-
y•sa,> finesse, subtilité, sagacité, Gl. Edrisi, quel les adorateurs du feuplacent les cadavres de leurs
Gl. Fragm.
coreligionnaires, Hamza Ispahânt 46, 11: ) U";-iJ',
..La~ subst. un savant, Gl. Badroun; — adj. fin,
L'origine de ce mot a été indiquée par Fleischer
subtil, sagace, Berb. I, 180, 12, Macc. III, 22, 6, dans Gersdorf's Repertorium 1839, p. 435.
jt~o malicieux, malin, Cartâs 150, 2, où Alphonse
est appelé r-,.PXJI ~UjWi (dans la rime); cf.
Fils, Voc.
Idissiper
~e.<j%1
P,3 1 bien,, M. — Consumer (maladie), M.
dissiper son bien
chez Lane.
reai.?ai
, 0LAa-- cheval cap de more, d'un
CI:¡;:
VII tomber en consomption, dépérir, M. poil rouan, dont la tête et les extrémités sont noi-
itflSO fièvre hectique ou consomptive, Sang. res; j?~! .;+>' bai-brun; t..>, JLXï\ alezan brûlé, Bc.
— Mulet noir, Aie. (mohino animal; cf. Victor). —
chez Bc constamment, selon l'usage égyptien (cf. Le pl.
Le estestsouvent
souvent uneépithète qu'on joint au
une
Fleischer Gl. 14), pour ~,j—Sô et ses dérivés; voyez mot «malheurs,» ~^o^J. — Substantivement,
sous cette dernière racine. le pl. fers, chaînes, Abbad. I, 68, 4; — navi-
~jj, forêt, n'est pas une faute, comme Freytag res, galères, Abbad. I, 61, 2.
l'a cru; voyez Merx Archiv I, 52, n. 1. — (Pers.
~jJo) timbale, Maml. I, 1,
(pers.) laurier, Auw.
de laurier, Most. in
I, 245, 8.
voce, Bait. II, 228 b.
-- L'arbre
Graines
,
173, où l'on trouve aussi
appelé [joAj-z., ou bien une espèce de ~jOu», Zahrâwî
~CI proprement
~JJIPÔ vestibule; de
bule, Bc. — Chambre, salle, Maml.
là, au fig.,. préam-
I, 1, 191, ou
1cité dans le Most.
I, n. d'act.
~Il
~C?-,
et ,
vernir, Gl. Edrisi. —
Peindre, Gl. Edrisi, Voc., Djob. 195, 14. — Enjôler,
peut-être plutôt antichambre, comme chez Lane. — cajoler, Bc.
Lorsqu'il s'agit d'un campement, la partie antérieure III
c. a. p. être indulgent pour ceux qu'on aime
des tentes, ou la première tente, celle où le sultan ou qui occupent un rang élevé, conniver avec eux,
se tenait d'ordinaire pour donner ses audiences. Et conniver au mal qu'ils font (cf. le Tarifât dans Frey-
surtout dans les expéditions militaires, qui exigeaient ,
au plus haut point la célérité, on se contentait sou-
tag sous ~XJLPkXs), Macc. I, 468, 7, en parlant d'un
vent de placer cette tente unique, sans y joindre
cette suite de tentes de différents genres, qui accom-
pagnent ordinairement la résidence du souverain,,
Maml. I, 1, 190.
—
Corridor, allée, passage entre
deux murs parallèles, Bc, M.
— Souterrain,
Martin
42; cave, Aie. (bodega, cueva); fossa dans le Voc.
(aussi avec le sin), mot qu'il prend sans doute dans
xA*21,1
Dipl.
IV c. à
-
2.
Berb.
r. conniver
II, 58, 9, 99, 3 a f., Amari
et
1 .1
~.L-~J!, et elle porte encore un troisième nom, qui O
est écrit de différentes manières
Bait. (1.1.); ADH portent ~iX&If
cXiuit (sic), E J~i!.
-
>
dans les man. de
L AJuLit, B
~&à laudanum, Bc.
~X~~ (pers. ~*iso)
- malachite, Bait. I, 460 f.
— Selon
quelques-uns, jaspe, Bait. II, 603 a. — Emeri, Bc.
- ~<$ vernis; c'est celui dont se servent les VII être abasourdi, stupéfait, 1001 N. Bresl. I
310, 9.
peintres, ~y^Qt Dlso j», et qui se prépare avec la
sandaraque et la graine de lin, Gl. Manç. t*?-~~ - Sa
stupéfaction, Bc.
- > cervelle, Bc.
-
,.~;~.Lj ~<3, huile de nard, est
un médicament composé, qu'on nomme ainsi d'après
~a3 alarme, épouvante subite, Bc.
éperdu, Bc.
une de ses substances, Gl. Manç. — ~q—^ X - ::.. - * O -
chandelle, Bc. 0jS>* II être abasourdi, stuPéfait, Aie. (le n. d'act.
- tedehun atronamiento). — Délirer, Aie. (desvariar, le
~&JLSOcouche, enduit, Bc.
n. d'act. tedehun desvario como locura).
m graisseux, Bc; oléagineux, M. — ~£+& ~G•>> , abasourdi,
stupéfait, Aie. (atronado). —
chandelle, Bc.
(enbarnizadura).
~a (pour t
Qui délire, Aie. (desvariado).
petit-lait, Bc.
~—
Edrisi.
>
,,e,> onguent, Uniment, M.
oléagineux, Auw. I, 70, dem. 1. - Enduit,
limiey Bc.
t0,;
cond hystricatio, ichtyosis cornea, Alibert. — s-t,> ~g3^
(ital. doge) doge, le chef de la république de
5
,
~C, mal vénérien, Bc. — ~ela. Le Voc. a Venise, et celui de la république de Gênes, Amari
Dipl. Gloss.
sous fornicari:
(j:!~~-~J!
s;T';
sous coytus:
-
veté, lubricité, le bélier étant considéré comme un
animal très-lascif, peut être comparée à <~-j'-\J!
(la maladie du loup, c.-à-d. la faim). — ~,> II. Verbe actif, faire
un feuillage touffu, épais, Calâïd 217, 6:
en sorte qu'une branche ait
~c5a ~CJW
,
faim canine, Bc. — '~i~J! goutte, Bc, Hbrt 34.
~ela
* \:!UJ.
-
11, 10, où on lit que y,.il est à peu près la
Emonder, tailler les branches, Auw. I,
-
,
même chose que .~JLa-Xj!. Verbe neutre, recevoir
et ~L\!~ (composé de vulg. pour écritoire,
ou avoir un feuillage touffu, épais, en parlant d'un
et du pers.
proprementporte-écritoire), pl. Xj.~!~. arbre ou d'une branche, Bait. I, 408: l'aspalatheres-
Sous la dynastie des Mamlouks on donnait ce titre à
des personnages qui avaient la fonction de faire ar-
èl>0"; Khatîb68,enparlantdesHafcites:
river à leur destination les lettres émanées du sultan, ~v—fuoij ~É)3 ~o! Khatib 68, en parlant des Hafeites:
de lui faire parvenir les placets, et d'introduire les
ambassadeurs et autres personnes aux audiences, Maml. Weijers 26, 4 (= Calâïd 83, 15), où il faut lire et
I, 1, 118, Prol. II, 10, dern. 1. et suiv.
<->3^ 1 s'user; usé, Bc.
cf. sous ~rèe II; la seconde phrase signifie: son âge
IIuser, ressemblait alors à une branche qui a un feuillage
:
Bc.
-
~-~~ô
, , deux, et de l'arabe
(composé du pers. ,¡,),
touffu, c.-à-d. il était dans la vigueur de l'âge; Macc.
~cmu ,
distique),pl. ot, Bâsim 35, quatrain, en arabe 1, 482, dern. 1. ~U ~v.*,«une branche qui
n'avait pas encore un feuillage épais.» De là
t#ljj, parce que le doubait, qui est d'origine persane, feuillage épais, Djob. 303, 18, en parlant d'un grand
mais que les Arabes ont imité, se compose de quatre
hémistiches. Il est de trois sortes: 1° tous les hé-
mistiches riment; 2° trois hémistiches riment, le 1er, V avoir un feuillage touffu, épais, Bait. I, 5 b:
le 2e et le 4e, et alors on l'appelle y,
t
boiteux; ~!
3° les quatre hémistiches riment, mais la rime doit 83 b,
169 b, 229 e, 278 b, 422 c, Auw. I, 87, 11,
être *°*
~yj~ (voyez), c.-à-d. qu'avant la lettre qui 234, 8.
forme la rime, il doit se trouver un f, un ,, ou un VII s'étendre,
< ~\JU».ÏA
comme dit le Men
,
~CI
citant les vers d'Ibn-ar-Roumî qu'on trouve aussi chez
Un doubait ¡,)'.f-A ou augmenté, doublé, se com- Macc. 1, 533.
,
pose de huit hémistiches, dont le 1er, le 3e et le 7e ~çpù branches, Bait. I, 30 f: ~JJ! ~.Ue j&.
riment ensemble, de même que le 2e, le 4e, le 6eet
-•#
~X groupe d'arbres, Berb. I, 413, 9.
le 8e. Voyez J. A. 1839, II, 163, dern. 1. et suiv.,
Freytag, Arab. Verskunst, 441 et suiv. ,
~>oE
,
fém. ~tL..:>,¡) ayant beaucoup de branches,
~H.
t?
~t,
:
Bait. I, 27 o, dans A: ~UuLà cL~y3 ~0.3, tandis que
B donne ~Fbjb o'J, au lieu de ~Ls"
s.•ys-
££v\*.
1
L: cavu8 ~<-~'
être étourdi, Bc, Ht. — Avoir mal au cœur,
avoir envie de vomir, Bc. — Se tromper, Cherb. Dial. 57.
IIétourdir, Bc, Ht, abasourdir, Bc. — Entêter,
Sang., Bc, cf. gyiît ~uc»
~JL&!!
-
~>5a mal de cœwr, Bc.
~a3a sous e-rï-31
Macn.
0. ~ef~e, 1001 N. Bresl. VITI, 319, où
~L->.~
a
<9
~pV et
—~L~e
~, -
dans le Gl. Manç. (Vo ~L-j~)
~— nausée, et -
~!j~ - mousse (plante), Ht.
envie de vomir, Bc.
~>> 1 e. faire la ronde de plusieurs châteaux, R. N.
~a3tb II produire des vers, Aie. (gusanear a otro).
Y s'emploie en parlant de vers qui naissent dans
curent-ils échangé deux paroles, qu'il» etc., Abd-al- 6 a f., III, 130, 4, Bresl. IV, 309, 6, XII, 296, 10,
wâhid 201, 4. — Arriver, en parlant d'un événement,
U à ~! Ztschr. XXII, 75, dern. 1. -
~M );¡) mettre le bain
)
~"- i
Koseg. Chrest. 112, dern. 1.:
~AI, Macc. I, 241, 3 af., autre exemple sous
la Xe forme. —
~«UiL le bain est en action, en
en action, en train, c.-à-d. mettre en mouvement les
courants d'eau chaude et d'eau froide, 1001 N. IV,
478, 6 a f. — Prendre dans des rets, dans des filets.
train, c.-à-d. on a mis en mouvement les courants Aie. (enredar en redes). — Retarder quelqu'un, Aie.
d'eau chaude et d'eau froide, 1001 N. IV, 479, dern.
1. -
parlant de l'Espagne :~o,b
Rester, demeurer dans un certain état, p. e. en
«elle resta en proie
à la famine pendant les années 88, 89 et 90,» Akh-
(engorrar a otro, où il écrit par erreur la Ve forme,
retardar a otro, où il a correctement la IIe). —
Suivi d'un nom d'action, se mettre à quelque chose,
bâr 8, 1. 8, avec ma note. Le Voc. sous tar.- a s'en occuper, 1001 N. IV, 473, 2 a f.: çllii .~J~s
dare. — C. y ou
~J;;' servir,Yoc.
—
~L.5 tout ~Lçxà il se mit à les teindre,» 478, 9: ~&AS
~*-U
J
4 ro:
«des matelas brodés tout autour, ~J'Jü ~Ui', de sigla- ~KcL* );'-' monter
U, p. e. opinions, Bc. — une montre, Bc.
ton de Bagdad.» Dans le même sens
IV c. a. et ~Cy-z écarter, 1001 N. I, 57, 13:
I
quel ils sont assis; c'est l'échanson qui le fait, et
dans le deuxième c'est tout autour). ~X9l.,.. ~J
caracoler, Bc. — ~gjda ~jla se détourner, prendre un
- c'est pour cette raison qu'on l'appelle ~L*J!
chemin plus long que le chemin ordinaire, Bc. (Voyez ou seul, Abbad. I, 41, 9, 46, 1, 90, n. 94.
plus haut cette expression dans un autre sens). —
j»bl£5îJiô périphraser, Bc. — C. ~to se ranger sous
~— Jîjbîgouverner, régir les affaires publi-
la bannière de quelqu'un, Bc. — ~s-53 ~)la prendre en ques, administrer un Etat, Abbad. I, 46, 10 et 11;
grippe, en vouloir à quelqu'un, Bc. — J'ignore ce
que ce verbe signifie chez Ibn-al-Khatîb 134 vO: ~Lio
cf. plus loin ~e. - Xijbtlî X~)~~- ~j\ù\ il a rempli
les fonctionsd'aide, Bc. — T. de mer, XÂAsu» -)lai
ou ~LSjA revirer, tourner d'un autre côté, Bc, Bec-
faire at- ri 20, 16. — Faire qu'une chose ait lieu, qu'elle
~}.), aor. i (vulg. pour ~j\ù\), ~Jc ~âjb )t'-'
arrive, Cartâs 272, 5: il fut proclamé sultan ~SjbL
tention à, tenir la main à, soigner, faire exécuter,
veiller à; <~~—!L soyez attentif, prenez garde à &-î!. grâce aux efforts des» etc.
~-A-~ <-'LjL~ «
vous, Bc. (Tornberg, p. 345, n. 9, veut à tort changer la le-
II tourner, façonner au tour, Aie. (tomeada cosa çon); Akhbâr 8, 6, en parlant de Sisebert et Op-
al torno s-
~J^VA-A).
— Aller. autour, Aie. (rodear). —
Faire la ronde, 1001 N. II, 32, 7 a Tournoyer, f. - principalement qui causèrent la déroute de Roderic.»
- Mettre en action, entrain; ainsi on dit: jutMO+Jt
errer pà et là, 1001 N. I, 31, 11. - XJL=~ );.) faire
dans le sens de: faire commencer le travail dans un
lemoulinet, tourner rapidement sur soi-même, Bc. — atelier de teinture, 1001 N. IV, 473, 6 a f. — Par
Se trouver autour, Aie. (estar en derredor).
— T. de ellipse, pour ~.re' à cL~t ~}¡), (cf. Lane sous la IIe),
mer, virer, 1001 N. IV, 316, 3 a f.; chez Bc ~);¡) réfléchir à une affaire, Akhbâr 73, 9: Ulai à ~J)' ~Jb
«je
(cf. chez Lane .;A'j' ~J-a
»
, »
n'ai pas cessé d'y réfléchir. — C. a. p. et ~j
Abbad. I, 223, 6:
une ruse, etc., contre quelqu'un, Gl. Mosl. ~< - Aie. (ronda lugar por rondar). En
astron., l'espace de temps dans lequel un point quel-
-
~c ~AÎUsurveiller, Bc. — ~-j~!..t~! séduire l'esprit
conque du ciel fait une révolution complète autour de
adopter ses opinions, Bc. — 1»Kjd.a.c
de quelqu'un, tourner la tête à quelqu'un, lui faire
la terre. Le daur d'une planète, c'est son orbite ou
le temps qui s'écoule depuis qu'elle part d'un point
,
manier l'esprit de, mener quelqu'un, Bc.
du ciel jusqu'à ce qu'elle revienne au même point
V pirouetter, Hbrt 99. — Se retourner, prendre de Slane Prol. I, 248, n. 3. — En astrol., ,..!.aJ!~J'.)'
d'autres mesures, Bc. — Tarder, Voc., Aie. (engor-
rar o tardarse, retardarse); être différé au surlen- ou O'jO' a,>=, la révolution ou le retour de la con-
jonction, Prol. II, 187, 2 (corrigé dans la trad.).
demain, Aie. (trasmanana differirse).
Chez les Druzes les périodes, signifie le temps
-
VII se tourner, se retourner, se tourner dans un
;
autre sens — rebrousser chemin; — tourner, se mou-
voir à droite ou à gauche; — se mettre à, Bc.
auquel les autres religions ont été en vigueur, de Sacy
Chrest. II, AV, dern. 1., 250, n. 87. — Cercle vicieux,
faux raisonnement où l'on donne pour preuve ce qu'il
;
X, en parlant d'une décision, d'un jugement,
faut d'abord prouver, pétition de principe, Bc.
—
Tour, Bc, 1001 N. I, 178, 5 a f.; ~~-J! ~^5^ et
I:!J.J'.) ~J c'est votre touret ),'-', ~)',) tour ~«
s Le pl. j£jv> dans le Formul. d.contr.
~Jô. 7. — tour, Bc. — X~J?~*J! ~)',) accès, Bc, cf. M; q_a_'1
Salle, Gl. Edrist, Fakhrt 375, 14, Berb. II, 153,4, X~-~~J! ~J',) «c'est aujourd'hui jour d'accès, Bc. » -
479, 3 et 5, 1001 N. I, 373, 7 (lisez ainsi avec
l'éd. Boul.), 374, 3 a f. — Au pl. la partie princi-
Fois, p. e. 1
V-JIAKJÎ ~OLS «j'ai lu le livre une fois,»
M. — Temps limité pour arroser, dans les endroits
pale du palais, celle qu'occupent l'empereur et le où l'eau d'arrosage appartient au commun, Gl. Esp.
harem, Lempriere 198 (douhar). — Case, chacun des
carrés d'un échiquier, etc., Lane M. E. II, 60. —
47.
tie,
-jeu,~XJvoie d'eau, deux seaux, Bc. — Par-
Bc. — Strophe, couplet, en parlant d'une
g.«htîl ~jSù Vendroit où l'on vendait des fruits, Fakhrî mowachaha ou d'un zadjal, Bc, Freytag Arab. Vers-
kunst 418, Descr. de l'Eg. XIV, 208, Ztschr. XXII,
299, 7. — ~xoLii ~)b, chez les princes, la salle de
106 n., M. Dans l'édit. de Maccarî qui a paru à Bou-
réception pour les grands, Prol. II, 102, 11; ~}¡)
,
lac, les strophes sont indiquées par le mot ),'-'. Ainsi
~&«AWI la salle de réception pour le peuple, Prol. II, dans la pièce qu'on trouve dans l'éd. de Leyde I,
14, 6, 102, 11, Koseg. Chrest. 107, 4 et 14; chez 310 et 311, les lignes 18 et 19 constituent le ~F;
Ibn-al-Athtr, VII, 16, 1, il est question du trésor à la ligne 20 commence le premier et au-dessus
publie qui se trouvait dans cette dernière salle. Mais de toutes les autres strophes l'éd. de Boul. a ce mot,
~KAWI ~j\Ù peut signifier aussi la maison de ville; Aie.
au lieu des chiffres que M. Wright a fait imprimer.
-
(ayuntamiento) donne K_x!c seul en ce sens.
~KCLLO, ou XclÂAûjt, ou
~AJtJuail,
~CI;;
,
~CI
ou Xitz
~j\à
maison de
construction, fabrique, mais surtout pour la construc-
— Ronde, chanson de
Etage, Bc, R. N. 69
table, Bc. — KJL~J! ~pô, pl.
)oî, roue d'une charrette, Aie. (rueda de carreta).
VO
-
(construction d'un caçr): l..J:
tion de tout ce qui est nécessaire à l'équipement et
Varmement des vaisseaux, arsenal, Gl. Esp. 205-6.
tion sur la ,
10. — En musique, AghAnt 8, 4:
«on a composé sur ces
paroles un grand nombre d'airs. »
— Dans l'opéra-
certains nombres au moyen des-
quels on se guide en faisant le tirage des lettres dont
les mots de la réponse doivent se composer, de Slane
Prol. I, 248, n. 3. — )'¡,) espèce de lis eau-
vage, gladiolus Byzantinus, Bait. I, 464 i (AB), II,
tique (animal), l'opposé de <j~, voyez nous
'-'))¡)
7. —e
~, CI. suivi de
Aie. (chibital de cabrones). -
étable
~o~~e pour
~;
moineau domestique, Sang., Bg; aussi
'-'.J''-' seul, passereau, moineau, Bc, Yâcout I, 885,
voyez sous le premier mot.
jpOMr les boucs,
o£
379 a. — Comme prépos., autour, Voc.; j~J~, à gne l'hirondelle ou un autre oiseau.
l'entour, Ht. w claustral, conventuel, Bc.
Lglia
O, Le pl. »»
j)-;~ Voc., s.~, de • Sacy Dipl. IX, S
iÿ:;:!¡,) conventualité, état d'un couvent, Bc.
469, 12, «—;~,
du pl.
, de Sacy Chrest.
o!^L—»v>,
I, 182, n. 62, pl.
Gl. Belâdz. — Cimetière, L (cimi-
ù'),¡,) l'action de se tourner, Aie. (bolvimiento).
Révolution, retour d'un astre au point de son départ,
-
terium). -
Bercail, bergerie, Payne Smith 1464. —
Taverne, cabaret, Voc.
Bc.. — Procession, cérémonie religieuse, Bc.
attention, précaution, soin, Bc.
bercail, bergerie, Payne Smith 1464. — Mai-
colportage, Bc. - ii},..) girouette, Bc.
sonnette, M. — ~j**~J< soleil (fleur), Roland. — ayj~ cellule, chambre, petit appartement, Bat. II,
U)I,U v*jiJ jeu d'enfants, Mehren 27. u~s" nom d'une prison à
, ,
56, 297, 438. —
+ * circonvolution, Bc. — Spire, un tour de spi-
rale, Bc. — Caracole, mouvement en rond ou demi-
rond que l'on fait faire à un cheval, Bc. — Tour,
mouvement en rond ou autrement, Bc. — Tour, pro-
X-.r. ,
Cordoue, Cout. 23 rO, et 36 ro tout court.
au Maghrib, au lieu du dimin. 'ây-jjJ».
Chez Domb. 91 A.:I:r:!,¡,), domuncula. Aie., qui écrit
menade;
—
Tour;
«faire un tour de promenade,» Bc.
à mon tour, Burckhardt Prov. no56,
Abou'l-Waîd 453, 28. — Tournée, voyage en plu-
~, donne ;a-Jf étable pour les boucs (chi-
bital de cabrones). Chez Jackson, Plate 11, dwaria
sieurs endroits, voyage annuel et périodique, Bc. — est un pavillon contigu au palais de l'empereur. A
Virevolte, tour et retour, Bc. — Détour,Bc, Ztschr. Tomboctou les duarias sont des édifices dont chacun
XVIII, 526; a~-*-~ a^5L> U
«nous avons fait un comprend deux chambres; ils se trouvent à l'entrée
long détour, »
Bc. — RU-JUI à ij),,-, circonlocution, des maisons et servent à recevoir les visites, Jackson
périphrase, Bc. — Procession, cérémonie religieuse 253. Dans un autre livre (Timb. 230), ce voyageur
conduite en ordre par des prêtres, Bc. — PK, tour- dit que dwaria est un appartement qui n'a que trois
nure d'une affaire, Bc. — Accès de fièvre, Ztschr. murs, le quatrième côté étant ouvert et porté par
,
XI, 486. — Passe-passe, filouterie, tour d'adresse, des colonnes. Dans le Voyage pour la Rédempt., 154,
Bc. — Volée de la balle au jeu de paume, Aie. (bo- on trouve que doirie est la chambre où le roi se lave.
lea de pelota, cf. Victor). — Roue, Aie. (rueda qual-
errant, rôdeur, Bc; Richardson Sahara II, 96:
quiera)
quiera). J~~-
1-
- 9 t. de mer, retour pris avec
une cordepour l'empêcher de filer, J. A. 1841, I, 589. —
«What's that fellow douioar (i. e. go about seeking).»
— Batteur de pavé, oisif, vagabond, Bc. — Coureur,
— En Eg., à présent,
Comme prépos., autour, Voc.
pour une seule fois, surtout, Burckhardt Prov. no 56. qui va et vient, jeune libertin, vagabond; ,;¡,)
M. guenipe, coureuse, prostituée, Bc. — Colporteur, Bc.
vulg. pour
'âjj.i boussole, Niebuhr R. II, 197, J. A. 1841,1, 589.
- Pl. p,t,¡,) campement de Bédouins, dont les tentes
sont rangées en cercle avec les troupeaux au milieu.
Sj—~ Ce mot, qui est aujourd'huid'un si fréquent usage
arrondissement, banlieue, Bc, M, Ztschr.
en Afrique, se trouve déjà, comme je l'ai observé
XXII, 75, 1, 115. Gl. Esp. 47, chez Edrisi et chez Ibn-Batouta. On le
rencontre aussi dans le Voc. (mansio), chez Abdart
w
'-.5.J'¡,) circulaire; - périodique; — alternatif, Bc. 5 v° et chez l'anonyme de Copenhague 106 (lisez
w >
\.51;'¡,)) formé de ~, pl. de ta (maison), domes- ainsi), 114. Bc donne ~,
sans techdtd, avec le pl.
j\yï\9 sous vdlage. — Bercail, bergerie, Payne Smith murs d'une chambre, 1001 N. Bresl. I, 118, 5. —
1464. — gond d'une porte, Payne Smith La garde d'un prince, M, Haiyân-Bassâm I, 10 ~:
1204. — ~J<~!~J~ ,;';¡,) héliotrope, soleil ou tournesol, ajylOj ifiXÂz-, 10 v°: ce prince avait fait de grands
Bc. — ),;¡,) tourbillon, tournant, Bc. honneurs a quelques cavaliers berbères, <~U~
pl.
, cabaretier, Voc.
(dans les trois premières signif.
11 rO (deux fois), 114 v° (deux fois),Cartâs 140,7,
159, 20. On l'appelle ainsi, parce qu'elle entoure
habituellement le souverain, Cartâs 158, 3 af.:
,
qu'on trouvera ici) rondeur, Aie. (redondez). — Fi-
gure sans angles, Aie. (figura sin angulos). — Roue,
poulie, Voc., Aie. (rodaja instrumento para rodar). — Cartâs 141,, 4. — ;',¡,) de troupes com-
.5 corps
y4J'if},.) gond d'une porte, Payne Smith 1204. — posé de Turcs, 1001 N. I, 498, 12 et 13; cf. 487,
Petite pièce de terre, presque aussi large que longue,
M. — Je ne sais pas bien quel sens il faut attribuer
8 et 9, où ce corps est appelé LJ-!31 ~j~c.
auxiliaire du makhzen, Roland. - -
Milice
tt—~J~J!, comme
coll., Abbad. I, 323, 1, ou Recherches II,
App. p. xxv, 2, proprement rôdeurs; c'étaient des
soldats qui faisaient des razzias, se livraient au bri-
gandage et commettaient toutes sortes de crimes. Au
15};'-' espèce de grenade, Auw. I,
273, 14. XIe siècle ils étaient le fléau de l'Espagne, comme
les routiers ou Brabançons étaient plus tard le fléau
périodique, Bc. — Bordure, ce qui borde,
Bc, bord, p. e. d'un casque, Koseg. Chrest. 68, 5 a
f., d'une chemise, 1001 N. Bresl. III, 186, d'un ca-
de la France.
on dit
-
~~jJ! « il
L'occasion de nuire à quelqu'un;
épia les occasions de lui
nuire,» ou «de secouer son joug,» Bat. I, 354, III,
JusijjiJu ~,
paraçon, Nowairi Egypte, man. 2 o, 116 v°:
d'un rideau, 1001 N. II, 222, 3;
cadre, sorte de bordure de bois, autour d'un tableau,
48, Berb. I, 552, 3 a f., 650, 4. — Biens., revenus;
— w.à .,;-l',¡,) les sofas qui se trouvent le long des lin dont une bête de somme fait tourner la meule,Bc.
espèce de mortier, Ztschr. XI, 515. .ô
-
1 accorder un instrument de musique, M.
Mettre en ordre, arranger, M, qui dit à tort que ce
-
iiV-va échanson la IVe forme). — Gou-
(cf. sous
verbe est d'origine persane; il est d'origine turque:
verneur, d'Escayrac 437 (et sous la IVe forme), préfet- ù)'¡,) ordre, méthode; accord, concert; le verbe
commandant d'une place, Fesquet 203, gouverneur ou oignit que
dans les deux signif. a dans l'arabe moderne.
préfet, auquel est confiée Vadministration agricole, le >
l'action d'accorder un instrument, M.
même 25, cf. M. - r%>.A le trésorier en chef
de la mosquée de Médine, Burton I, 324, 356. (J~~ 1 violer 1
un territoire, L-10 Bc, Abd-al-wâbid
.J~~.1 vers 205, 15, Edrtsi ~,
3 af. (corrigez le Glosa.), Becrî
dans lequel le dernier mot du premier
hémistiche appartient en partie au second, M. —
143, 5: r-:':..r> lJH'¡). — C. marcher sur c.
p. marcher sur le ventre, terrasser, vaincre, Bc.
;
voyez sous le premier mot. II se disputer, Ht.
iS;'M jeu d'enfants, Mehren 35.
VII être violé (territoire), Bc.
a~J~a cette partie du sol qui est plus basse que le .CI.
X—»«jvX C'est quand un certain nombre d'hommes
reste et sur laquelle tourne la porte quand on l'ouvre
et qu'on la ferme, M.
; se couchent à plat ventre par terre, et qu'un chaikh,
à cheval, passe au pas sur eux tous; voyez LaneM.
s~J~e
- tente ronde, Maml. I, 1, 192, 1001 N. I, E. II, 221 et suiv., Ouaday 700. -)L.Ll - tus-
400, 2 a f. — Coussin rond et couvert de velours silage, ou pas-d'âne, plante bonne contre la toux, Bc.
,
ou de cuir brodé, Lane trad. des 1001 N. II, 399, LJH';'; enchanteur, Roland.
n. 10, 1001 N. Macn. I, 107, 2 a f. (où l'éd. de
X~O, t. de tisserand, la pédale du métier, M.
Bresl., I, 271, a a~X-~, car c'est ainsi qu'il faut lire),
266, 3 a f., II, 163, dern. 1., IV, 278, 8 et suiv., Le pl. ot, Bg, Maml. II, 2, 13.
Bresl. III, 269, 11, X, 389, 1 (où l'éd. Macn. a
K~~L~
Bg. — Sole (poisson), Pagni MS.
SJs^). Dans Macn. IV, 255, 4, ce mot semble avoir
=:
le peuple en Espagne
dans
,
3 a f., Fleischer sur Macc. I, 901, 18 Berichte 266;
aussi c. d. a., Fleischer ibid.;remplacer quelqu'un,
, y
petit lait, Hbrt 12, est
dans les deux
man. du Most., chez Chec. 195 vo et chez Bc. Comme
par, y, un autre, Berb. I,
12,1.11,71,
V, au passif, être commenté, Renan Averroès 438,
\.,~j~
9.
(pers. t lait
L~J)
lait caillé,
caillé de Jong.
ainsi qu'il faut lire.
VI régner chacun à son tour, Haiyân-Bassâm I,
mées ,
destinée à contenir différentes espèces d'huiles parfu-
Macc. l, 655, 3af., 656, 4 (cf. Add.). -
— C. a. faire un fréquent usage de; àl'exemple cité
V
<J~ô (~) panais, pastenade, Aie. (çanahoria sil-
par Freytag on peut ajouter: de Sacy Chrest. II,
~,
a ~).
2; en parlant de vers, les réciter, les chanter
vestre); cf. le mot qui suit.
, CI.
Ce que de notre temps on appelle ainsi, IgJô^LXju.
— conférer, parler ensemble
OjicXJï
«
est la semence de la carotte sauvage,» Bait. I, 464h d'une affaire; ~c<~MJ~L~j concerter une entre-
(Vélif est dans nos deux man.); Most., où le juif a prise avec, Bc.
noté:«daucus, semilla de çanahoria montesina; dau- » VIII arriver, avoir lieu, Amari Dipl. Gloss.
cus creticus, carotte sauvage, Bg 846.
ces (Eg.), ceux-ci; le tiers et le
quart, tout le monde; «prendre
= iuria), M.
de toutes mains, »
Bc.
tour, Roland, M (£.- ^i).
les choses qui lui appartenaient, M.
Dans L: sors
voyez sous la Ire forme, Macc.
). -sSli\ô J~-! il prit
— &Y~~a
, CI — -
III, 677, 8:
Tour,
~X-~~
fj:f'}iJ'
-
à X!~JJ! «celui dont c'était le tour.»
4.*--.LAa
,
rO: le professeur me promit de lire avec moi
£ J~e~; «employer des machines pour l'arrosement des cannes,
Çahib de Bokhârî
le Çahîh Bokhàri J~J! _;2el ~L>~ puis,
Plùl§,
pour les presser et pour convertir le kand en sucre,»
d'être privés de Maml. II, 1, 3. — Ce verbe est employé d'une ma-
comme les disciples se plaignaient
nière étrange 1001 N. Bresl. XI, 20, dern. 1.:
leurs leçons, le professeur leur dit: cet homme est
notre hôte; attendez donc jusqu'à ce qu'il ait terminé
pour il semble qu'il faut traduire: «quatre
83 vO (deux fois), 85 ro. Aussi la leçon qu'un disci- jeunes filles auxquelles il donna des leçons, de sorte
x_35Jv_é-J!.
— Dans les endroits où l'eau d'arrosage
iCJjiXxJjcXJî
- Hlij
- un împôt qu'on levait sur tous
appartient au commun, le temps qui s'écoule entre le ceux qui, soit pour Virrigation des terres, soit pour
commencement et la fin de l'arrosage, chaque champ le dévidage de la soie, soit pour la fabrication du
en ayant eu successivement sa part, Gl. Esp. 50. — sucre et autres objets, employaient les machines
Troupeau de gros bétail appartenant à différents par- Maml. II, 1, 2 et suiv.
ticuliers, que
mène paître un homme payé. par la
communauté, Gl. Esp. 50, troupeau, Daumas V. A.
~-~~,
y ~-~~,
proprement roue hydraulique, s'em-
ploie aussi en parlant d'autres espèces de roues; roue
349, 368 (doula). — Non-seulement le temps pendant
lequel règne un sultan, mais aussi le temps pendant en général, Bc; — roue d'une horloge, Maml. II,
1, 3, M; — roue à auges d'un moulin à eau, Aie.
,
lequel un vizir est en charge, Haiyân 5 ro, où sont
(rodezno de molino, où l'on trouve f-33ay ce qui me
énumérés les vizirs du sultan Abdallàh:
;
semble une altération de <-^3^0 — espèce de rouet
pour nettoyer le coton, Bc, machine à filer le coton,
;
Macc. III, 64, 8 a f. le temps pendant Bc; — rouet, dévidoir, Maml. II, 1, 3; — machine
lequel un cadi exerce ses fonctions, Mohammed ibn- pour fabriquer le sucre, ibid.; — le pl. instruments
Hârith passim, Khatîb 18 vO. — Avec l'art. le sul- mathémathiques, Ztschr. XVIII, 326, 7. — Endroit
tan, Berb. I, 491, 1, 541, 1, 1001 N. IV, 230, 3. où il y a un ou plusieurs De là: le terrain
— Comme titre d'honneur qui se donne à un prince, qui est arrosé par une roue hydraulique, Maml. 1.L; —
«son altesse notre maitre,» Tha'âlibî Latâïf y¡),'-'
3, 5 a f. — Gouverneur, Niebuhr R. I, 275, 284, atelier, Descr. de l'Eg. XVIII, part. 2, 137;
etc. — Dans l'Inde ce mot signifie en effet palan- filature de soie, ibid. 382; .~&!~ <j~L~j Y"fJ,'-' l'en-
quin (cf. Freytag àla fin), Bat. III, 304, 386, 415, droit où l'on blanchit le coton, ibid. 383; laboratoire,
IV, 73, 146, 169, 188. — A Damas, pl. cafe-~, Bc; 1001 N. IV, 476, 8 a f., où Lane traduit work-
shop. Je crois que dans les 1001 N. Bresl. II, 129,
tière en cuivre étamé (= ~),
Ztschr. XXII, 143, 5, les mots <-<~~c'-L~ j-~ signifient il avait un
cf. 100, n. 35, M. atelier ou une fabrique, et non pas «c'était un homme
yjày* dépensier, qui aime trop la dépense; J~->~ sensé,» comme Habicht traduit dans son Glossaire,
milord, homme riche, Bc. car l'ivrogne dont il est question dans ce récit ne se
comporte nullement en homme sensé. — Tour, ar- ,L>J-4.Ab tétanos,Bc. a
moire ronde tournant sur un pivot, buffet, armoire
pour le linge, la vaisselle, etc., Be, armoire, Ht, it)33 1.
énorme armoire dans laquelle on serre pendant le du fr. damne?).
aor. ~, ~,
damner, maudire, Ut (formé
a
Détour, subtilité, ruse, tour, Bc, M. —
y w
un tel est expéditif, M. Lane), Bidp. 21, 4 a f.: au liLX-eJLJ' -
*<
«les choses les moins importantes que je
ayant un mouvement de rotation, Maml. II,
vous ai dites, suffisent déjà pour un homme tel que
1,3. (aussi intelligent que) vous;» Macc. I, 135, 3: le
<~-J~L\-~ celui qui avait la fonction de mettre en boucher n'ose pas vendre sa viande ai L Q5«AJ
,
raison avec le fruit du palmier nain, tubérosité arti- au bout du compte, Bc; — 1001 N. Il,
ficielle un peu en arrière de l'oreille, bosse du courage, 323, 3 a f., où Lane traduit: « therefore seize him;»
Ouaday 58, 631. mais cette traduction ne me semble pas appropriée à
l'ensemble du passage, et je traduirais plutôt: (faites
dans leYoc.: «palma (qui operatur),» c.-à-d.,
avec lui ce que vous voudrez, ce que vous jugerez
je pense : celui qui tresse les feuilles du palmier nain. convenable, »
comme on dit J~;.-X
Chrest. 80, 5 a f.
Koseg.
I
ser par tous les plis un lacs ou une bandelette de donne d'après le TA: Writers [of accounts or
parchemin dont les bouts étaient arrêtés sous le sceau reckonings]. On trouve le pl. en ce sens chez El-
du chef du bureau. Ce dîwân a existé jusque vers
le milieu du règne des Abbâsides. Voyez le Fakhrî
~,
130, Prol. II, 56, Tha'âlibî Latâïf 12. — o~-"~
«
o~-!~) Ten Years 40, 174,
;
Khallic. IX, 38, 10.
Khallic. VII, 64, 8, où M. de Slane observe (trad. où ce mot est écrit dugganeer.
III, 90, n. 1): «Je suis porté à croire que c'était Scribœ, Elmac. p. 145, 204, » chez Frey-
le même bureau que le dîwân ar-rawâtib, où tous les
tag, doit être biffé, car un tel mot n'existe pas. Dans
traitements étaient réglés et payés.» — les deux passage d'Elmacin on trouve fy~~, qui est
voyez sous le dernier mot. -r'j*~ CISOJI le gou-
vernement du calife de Bagdad, et, du temps de Sa-
le pl. de dans le premier (voyez plus haut)
il signifie les employés dans les bureaux de l'admi-
ladin, le calife lui-même; voyez l'Index sur le Ille
—
nistration, et dans le second (1. 6) il a sa significa-
volume de la trad. angl. de Khallic. — rt~!~
tion ordinaire de bureaux du gouvernement.
voyez sous III. - ~À~~!
+ t*)~-~ voyez sous le y,
.t~~ (cf. Lane) est réellement en usage, Macc. II,
second mot. voyez sous le second
mot. — Kj~JLjtJ! .j~L\J! les recueils de traditions,
de renseignements historiques,d'explications du texte célèbre, renommé, en parlant d'une forte-
coranique, de notes philologiques, de poésies et de no- resse, Rutgers 154, 8 a f., cf. 156.
tions de tout genre enseignées dans les écoles, de Slane KJ~-\-~ est chez Aie. décrétale, loi (décrétai ley).
Prol. II, 406, n. 3. — Grand édifice où l'on paye Probablement ce mot a reçu ce sens, parce que le
les droits de douane (cf. Gl. Esp. 47), où logent les grand et célèbre recueil des dispositions de la loi,
marchands étrangers, principalement les marchands
e
composé par Sahnoun, porte le titre de KJ~X~J!.
chrétiens, et qui sert en même temps d'entrepôt pour
leurs marchandises et de bourse, de lieu oit ils traitent Lt~J~
d'affaires, Djob. 306, 9 (à Saint-Jean-d'Acre): «on
O
(turc ~) flotte, escadre, M.
nous conduisit vers le dîwân, qui est un khân (cara-
vansérai) destiné à servir de logement à la caravane
1. 15 il dit
;»
que les négociants y déposèrent leurs ba- (~~ô
gages et qu'ils s'installèrent dans la partie supérieure
de l'édifice; Clénart fol. III vo: «Poteram agere in
fj~~ô
nare,
I.
sorte de poisson, Yâcout I, 886, 3.
lit:
,
— Dans la Relation des voyages
-t3,)j4 aocbLi:
cilagineuses. Ordinairement on dit Q^LÇ>UL> ;t-~'-~,
II, 34, 6, où il est question d'une espèce de trom-
Gl. Manç.
pette dont se servent les Chinois, on
oLuuyiait Reinaud traduit: «on l'enduit de la ~J~LJô les fruits du lycium, quand ils ne sont pas
même manière que les autres objets qui nous vien- encore mars; mais selon Abou-Hanîfa, ce mot dé-
nent de Chine.» Quatremère, en parlant de ce pas- signe le bois tendre de cet arbrisseau, Most. vo
sage dans le J. d. S. 1846, p. 523, dit d'abord que (la bonne leçon dans N).
ce mot signifie couleur, vern-is, comme (Pocpfiâxov et (iïtâxovoç) diacre,
,
Assyrium venenum chez Virgile; mais ensuite (p. 524) Fleischer Gl. 106; Aie. a diâ.
il veut lire 0LPi. Je n'oserais pas changer la leçon. cono, pl. diaeonitn, sous diacono, et dîaconâdo sous
diaconado.
.—
X-x_2=vJï (AB) gentiane, Bait. I, 464 e. —
t~~Ljô (AB) d'un électuaire dans lequel il entre
panacée que préparaient les moines chré- , de l'opium, nom
opiat; il est de deux sortes, simple ou
tiens de Mequinez, Jackson 128. — .L~J! composé, Bait. I, 467 b, où le man. A porte: ÎL^LJLXJÎ
terme qu'on trouve chez Bait. I, 129 c, mais que je
ne suis pas en état d'expliquer. — g)u»wQ espèce mais le mot (queSon th. avait aussi devant les
yeux) n'est pas dans B.
de sucrerie ou confiture; pour la préparer on fait
bouillir le hachîch desséché et réduit en poussière
dans une faible quantité d'eau que l'on remplace par
~~sbô (~)
(Compostelle).
diacres, Edrisi, Clim. V, Sect. 1
(escrivanias, tintero) Bc. — Pipe, tuyau avec un v-JVXj*} 1reconnaître les lieux, les observer, les remar-
,
godet pour fumer le tabac, Bc. quer, Bc, Merx Archiv I, 40, 173.
~oU54>, o**~
20, (M) (cf. Freytag 17 a, 75 b; pers. ~U«u>> fesse-mathieu, usurier, Bc. ,"
~C)4 »Jup) pl. Kp'4à.,> sentinelle posée sur une hauteur, K~- endroit
0 +O où croît le jonctVoc.
Merx Archiv I,
173. — Inspecteur de marchandises LijixiLwJô (grec) dyssenterie, Bc.
aux douanes, Bc. — Chez Payne Smith 1516, la
forme syriaque du latin trïbunus est expliquée par (j~J~ III troquer, Bc (Barb.), Hbrt
^(jjuo.— pilote, M. — Espèce de "'¡).s ~yioO (turc) frêne, Bc.
104 (Barb.).
coq de jardiny
espèce de poule que Thévenot trouva dans le Delta,
et qu'il décrit longuement, II,
j
sorte d'oiseau, Y&cout
francolin, Gl. Manç. vo
I,
-. 885, 9.
17. —
1
- -~j~J! ~ê-jà
donnant des fetwas, je me conforme à celle du sul.
tan» (celle d'Abou-Hanifa). Puis la même idée est
exprimée en ces termes: V-APLXÇ ~ut
bL~J<~
..y-t~ sanctuaire, p. e. la Ca'ba était le ~Q-O des
(pers.) le mois de mars, Auw. I, 477, 17, 484,
2, 664, 8, 665, 12. Notre man. remplace ce mot anciens Arabes, Gl. Abulf. — Idole, objet de pas-
sion, Bc. — En parlant d'un cheval, ^A>JÎ ~,
,
par Lr)lA ou (jijLo.
doux, docile, comme on dit en allemand «ein from-
,.y;~ n. d'act. X-j~JLtS,
1 - Abbad. III, 83. C. re- - y mes Pferd,» Formul. d. contr. 2: &J!jJ! ~jo^b .#'
359, 2 a f.: ~cj4
connaître, admettre une chose comme vraie,Prol. I,
et par con- ment dernier, Hbrt 149, Cartâs 2, 1. 9.
~«lit v-jLxi'
séquent, s'y soumettre, Aboulfeda Ann. 314, 10:
~~j~ Li" L5-àl «je ne les
I, religieux, Bc.
,
..jbL) (esp.) doyen, Aie. (dean dignidad eclesiastica).
combats qu'afin qu'ils reconnaissent la décision du
livre de Dieu et s'y soumettent.» ~XeUaJIj xl se KjLj~. oliLcXJî ce qu'on dit ou fait par respect
soumettre à quelqu'un, Khaldoun Tomberg 9, 1. 7;
aussi ~Q^LSKCLLU Berb. II, 127, 7 a f., 273, 7; pour la religion, voyez sous X.*«JS».
- Secte religieuse,
v^îywûu)) T-~ ~Q-JJO. - Au lieu de l'expression ..-jt~e religieux, pieux, Lettre à M. Fleischer 183.
cri,-x-.A même sens, Hbrt 147.
y y
proverbiale O,.x.¡ ~QOAJ W', un poète a dit par in-
~QLOWO devitos
ùtXiW', dans L; corrigez devotus.
version: QJIAJ Badroun 59, 8, et notes
p. 47. ~JL~t~ pl. àouuîijwo créancier, Bc.
II
endetter, charger de dettes, Aie. (adeudar), Bc. .t~Jô
l'argent, Hbrt (pers. J»_JJ>) pinus Indica, comme traduit
— Prêter de 104.
V employée d'une manière étrange dans Meursinge Sontheimer, Bait. I, 464 et comme on trouve dans j,
fv, 3, où il est question d'un mufti qui était un les dict. persans.
, descendant d'AIL Ce personnage avait coutume de
~J~JtXJ! les Templiers, Amari 345, 2 f.
< dire: «Je suis de la secte des Zaidites, mais en a
~cjîà. Sous de cetero le Voc. donne les expressions: ~Cr dâlj n. d'un. B, Voc., Gl. Edrisi 353; ~L<~j! ~XJbJ
dans le Voc. cinomia, musca asini; — cinomia VjJ**
Maghrib, chacal, Gl. Esp. 45, et aussi en Asie, car I. sJiiiL ~j'3 enrouer, Bc.
Belon 362, 446, atteste qu'adil (faute d'impression VII dans le Voc. sous decollare. — ~&AJI>
pour adib) est une bête entre loup et chien, et la
description qu'il en donne prouve qu'il s'agit du cha-
s'égosiller, Bc.
*
- iCSyo ~guÂif s'enrouer, Bc.
Lq--p
w
« = Payne Smith 1324.
cal. — loup-marin (poisson), Bc. y
-,~j~ esquinancie, Aie. (esquinancia).
~xo3, deuxième signif. chez Lane, pl. ~-~3, Kâ-
, X~j3 = K-.P.3, Payne Smith 1386.
,
1
mil 469, 2. — Croup, nom vulgaire de l'espèce d'an- ~JL<
9-
gine qui attaque les enfants et que les médecins ap- autel, Voc., Hbrt 160.
pellent K~J, M. victime
eF Ht.
~àuïjô aigrette, houppe, P. Bat. I, 57: e-:s}', »9 -
—~j~~, suivi de t~j~J!, enroué, Bc. .,
I. ~J—A3
avec le n. d'act. -
~jl—*3 dans le Voc.
'.,
de là vient que, lorsqu'on menace de tuer un homme
de manière que personne ne sache ce qu'il est devenu,
gibier, Bc. -
QJ-LJÎ ~jjp décolorer, Bc. ~JoJ
pocheter, porter dans sa poche pendant quelque
-
temps, Bc.
M.
—
(~\*g.~tjL~J! taffetas vésicatoire, emplâtre , ~Jaôï ruiner sa puissance, Berb.
IV, au fig., !fro'
,
plutôt provisions de bouche, voyez Rutgers 160, 13
,
~Julô langoureux; }:U «un doux regard, re-
et la note p. 162. — Relique, ce qui reste d'un
gard langoureux,» Bc. — Pliant, docile, Bc. saint, Bc. — Ornement qu'on porte au cou et qui con-
v- tient une relique; mais on applique aussi ce mot à un
~JuolXj, t. de tailleur de pierres, tailler une pierre, M. tel ornement quand il ne contient pas de relique, M.
~JyL flétri, fané, Voc. - Phthisique, Yoc. - saints, qui,
~aJJî chez les Soufis, est une certaine classe
J~ flétri, fané, Aie. par transposition,
de de même que les reliques, ont le pou-
voir de détourner les calamités, M. — Amorce,
marchito, mustia cosa, cedicio cosa lacia, lacio); qui
poudre dans le bassinet du fusil, Bc, J. A. 1849,
peut être fané, flétri, Aie. (marchitable cosa). —
Maigre,Yoc. — Phthisique,Yoc. II, 310, n. 1, cf. 1001 N. I, 3 a f.;
171,
partie creuse d'une arme à feu,
s-jLp>jJ< bassinet, où
est l'amorce, Bc. -
s~>-L\J! adoptif, Bc.
s.L>-~ caisse profonde faite du bois du peuplier noir,
~ubJ dévorante (sauterelle), BurckhardtSyria 238, Ztschr. XI, 478, n. 5.
Bg703. "¡->J' schœnanthum. Quand on bâtit des maisons
- a
à la Mecque, on mêle cette plante au mortier,
°
j..:>J. De même qu'on dit LeL---3 «<~jLe (Lane), Burckhardt Arabia II, 414 n.
: ~,J;J (ou
on dit
~aJLxï) ~<~~J~ ~~JL~
a
il tâcha d'exer- -r>AA poire à poudre, Bc.
cer sur lui sa vengeance, » Gl. Mosl. ~jà II c. a. et ~c saupoudrer de la viande ou des pois-
signif. de ce verbe est fort étrange. veuve de son frère, Payne Smith 1542.
H, dans le sens de la Ire, reponere, tesaurizare, ~})J poudre, poussière, Bc (Barb.); sable, poudre
Voc. — Munir, pourvoir du nécessaire pour la dé-
fense ou la nourriture, Bc; approvisionner, Hbrt pour l'écriture, Ht, Delap. 114.
(vertigo). 1
- ~a' vertige, L
3
au-dessus du coude, Ouaday 337, cf. 344.
peut ajouter ~.j.~ que donne le GI. Manç. •• I.
~i)S ~&
9
fondre en larmes, pleurer,
Il mesurer,Voc., Macc. 124, 3 a f. l, verser des larmes, Bc, P. Macc. I, 283, 1, 1001 N.
IV. Pour exprimer l'idée de: ils firent un grand I, 87, 4 a f. (lisez ainsi).
carnage des ennemis, on dit: JSLaJ J~LJLJ! !,-c)J', IV c.
a. LruOi ~cJjôï il laissa ses yeux verser des
Haiyân 46 ro, ou JJ~L Akhbâr 9, 2. larmes, P. Macc. II, 91, 16, cf. Add. et Fleischer
Berichte 275.
~e J. aJL5\££ Î ~E-,,3 les mâchoires du chien du fu-
sil, Domb. 81.
K~<~ puissance, Amari Dipl. 113, 3. J-x.J-i..il ^3 gui (plante), Bait. I, 180c,
471 c (lisez ainsi avec A; dans B cet article manque).
e!<J. Le duel est ~.531 dans le Voc. (brachium,
~ü.¿J fientant (oiseau); ce mot se trouve dans un
ulna). Le pl. est aussi ~K-jc^ôî, Bc. — Chez le vul-
vers chez de Sacy Chrest. I,
146, 4, où l'éditeur a
gaire, main, M. — Bras de mer,Abou'l-Walîd 360,
1. — Comme nom d'une mesure: ^lXJLj ~é!)J pic,
mesure turque de 25 pouces
~cL6
coudée, Bc. — ;
écheveau, fil, soie, etc., pliés et repliés, Bc. —
prononce
après (car -
~o>3, qu'il a pris dans le sens de ~uja; mais
est une faute d'impres-
sion), il faut un adj. et non pas un subst.
Tigre de chou, de laitue, Aie. (penca de berça o lechuga),
— ., c,e et ~)S 1 se rouiller, Voc.
Auw. II, 162, 6, 163, 3, 4.
branches des vignes qu'on ne coupe
sont les
pas et qui portent II, dans le sens de la IVe, e~ ~^3,
répandre
des larmes, comme il faut lire chez Macc. II, 81, 22,
les raisins, voyez sous .-). — Proprement: pièce de
bois en forme de bras, Djob. 145, 6, traverse, Djob. ainsi que l'a observé Fleischer Berichte 165. — Rouiller,
101,1,152,11,13 et 19, 215, 4, produire de la rouille, Voc.
Prol. II, 320,
8, où l'on trouve le pl. du pl. o!cj3t. Le pl. les IV vanner, Voc. (à la p. 10 ticterare doit être
pièces de bois ou bâtons qui soutiennent la toile d'un changé en triturare), Aie. (despajar el trigo). — Se
palanquin, Djob. 63, 11. — u.;w, rouiller, Voc., Aie. oriniento, dezluzido).
peau de la 6J (L5j->-4
,
jambe, qui, dans. les outres, sert de goulot, Aie. V dans le Voc. sous pulverizare.
(pielgo de odre).
—
brassards, Hbrt VII être vanné, Voc.
133.
—
Astr.~wJÛCJtgî^3
nom d'une étoile, Amari rouille, L (aurigine, urigo),Voc., Aie. (orin
117, dern. 1.
— En Algérie, plateau, de même que de hierro). — Grande fourche à deux fourchons, Alc.
en berbère, signifie bras et plateau, Carette (horcajo palo de dos braços).
8;J, écrit
mon.),
Bc; — (~<L&
, Auw.
sous
~Kel
~X«À,hS;
~jjjô
— ~CeaA
Y
mil, millet,
~v-Jleô
voyez B~e~.
scélérat, pl.~,
Ul
j?, car ils exer->
de Sacy Chrest.
, Khatib 163
Gl. Fragm. p. 27, et usz3,
&SjCÔJJ
Mu-
^-X-r.ltrrî .(e~!.
O - crJt
a!tL\-~ pl. ~~L\~J! cheville d'un instrument à cor- ~,puanteur, forme au pl. ~^IsuM, Mi'yâr 7, 1.
~C.33 (A) ou tjàii (BS) rue sauvage, Bait. I, 472b.
des, Gl. Mosl.
~jlô queue; u'.J.;Sù' ~Jiô> réséda
'*y
z-;Lvàa — sauvage, Cherb.
s'il faut lire ainsi chez Khallic. IX, 106, 1 (cf.
p. et ~q* r. dans un vers chez Weijers 41, 7, cf. la pistachier mâle, Auw. I, 267, 19, (jOiiî ~Jéô figuier
note p. 140, n. 225. mâle, figuier sauvage, caprifiguier, Auw. I, 419, 10
VI conférer ensemble sur c. a., p. e. gJuaJî «sur et 11. Ordinairement le mot ~jLjTo seul désigne ce
la paix ? Gl. BelAdz., ~(Jjfcîi, Aghânt 56, 9 et 10. Le dernier arbre et son fruit, L (caprificus, erienos (sic»,
Voc., Aie. (cabrahigo, arbol y fruta) , trad. d'une
Voc. donne sous
sermon, Djob. 150, 16, 151, 14. — Pl. billet, VII dans le Voe. sous vilipendere. — S'avilir, se
dégrader, Aie. (envilecerse).
bulletin, Bc, Hbrt 107, M; acte, rescrit, émané du ,. Le Voc., sous mansuetus, donne le fém. S.
~J,JJ.
prince, Maml. 1, 1, 188; passeport, Burton 1, 18 n.,
rf
dans M -6319 L3j; billet d'exportation, Pellissier — Dromadaire, Gl. Mosl., Ztschr. XXII, 75, 3, 120.
324, Crist. e Barb. 50, Blaquiere II, 266; certificat — Mépris, Nowairî Espagne 454, en parlant des re-
belles de Cordoue que Hacam Ier avait vaincus: ~Z.:?
que recevaient les esclaves chrétiens quand ils avaient
,
jour des morts, Hbrt 154.
meaux, Ztschr. XXII, 120.
~~<~j commémoratif; Bc.
~'Hft'.xi pl. ft".xi mémorial,Yoc.
vjiiô bon, fin, très-exercé (oreille), Müller 31, 4,
* prédicateur,Valeton ft", 12. — Synonyme
~t\-~ >
^S.
en parlant du gibier: ^«141 ~UiJJ
de le nomenclateur, sorte de chambellan, Bat.
v«JUj\5
= ~0J3, tranchant, en parlant de la pointe
ii
II, 346 (cf. 363).
d'une lance, P. Abbad. I, 59, 8.
yiJ^o génitoires, Bc; testicules, Voc., Aie. (cojon).
J~X~c!~' — Se rendre,
jurer sa foi
V, proprement se blâmer soi-même, c.-à-d. avoir
(jûLalXj&sl>), M.
III, 179,Mohammedibn-
se soumettre, Aie.
(darse el
vencido, someterse a otro ser sugeto), Cartâs 244,
483
4--*jSH
n.
des Berb. ce mot est souvent écrit avec un dâl, mais
l'éditeur a corrigé cette faute dans sa traduction, n4
LgjfAÔJJ* ~x-uî.
— Jurer sa foi, M.
Bait. II, 272 b.
Gay., Prax R. d. A.
- 0.u,;-<\,n ~-J~ reseda duriœna
VIII,
279. Selon Bait. I,
VII dans le Voc. sous vituperare. 473 e (fort mal traduit par Sonth.), la plante qui
porte ce nom dans l'est de l'Espagne est une autre
X. Autre exemple de la dernière sign. chez Frey-
~t-~J! rT~ que celle qu'on appelle ainsi en Ifrîkiya et en Syrie.
tag et Lane: Haiyân 67 rO: ~—?'3
- J~-~! ~,
- ~°•
Bait. I, 81 a, 472 c, (cauda equina,
, =
licet a nostra diversa,» Pagni MS. yU..>'
-
~àoô est X—~~ chez Bc (clientelle) et chez Roland, ~~j<~XJ! K-«w<u hypocistis, Most. sous le dernier mot de
-
espèce de sauterelle, Casiri I, 320 a, avec
ou ,~-~'3 sur mon âme, en conscience, sur ma
conscience, en vérité, sur mon honneur, sur ma pa-
role, ma foi; (~-''-~3tF~(~) J~
ma foi, je vous
jure, Bc. — ~L~\-~ & dessein, Bc (Barb.), exprès,
le dâl, et le man. a en effet
que c'est une faute.
~-Ù , mais je crois
,
devoir, avoir des dettes, Bc; M: o:t'-' .!i.MJ J,
en castillan on dit denton.
improbité, Bc. iUÀiî
ne m'est pas clair.
K-j~L\-J<
- ~~x~~t, Macc.
s~J~
interjection, «3
<~~jd!
I. Le n. d'act.
• °
a
-63 fi, fi donc! 1001 N.
~J'3, Gl. Manç.: yS>
L^as ^"1.
~~9~ Nowairi Espagne 457:
15, 7. De même:
XcL
15, II, 91, 2, ~.,à3 sUÀj 327, dern. v_sa3»j\ ~jus ~'<-\! L.-o, dans le sens de: «ce qui ne
l., sauver à grand'peine sa vie, se sauver d'un dan-
ger, chercher son salut dans la fuite. Dans l'Hist. peut être décrit,» Berb. II, 45, 4a f. - ~&JLc
échapper A, Macc. I, 241, 6: ~jUe vJoJo - Xj^JUaU Li
~(::-A être d'accord avec, Berb. I, 608, 16, II,
— C.
«une récompense ne peut lui échappera nous ne 165, 3.
pouvons manquer de lui donner une réeompense.
Sortir du camp pour aller faire ses nécessités, n. d'act.
- S,.-eà pl. ~olécu d'or, pièce ffor, Bc, Hbrt 103,
<-~A~< (voyez Lane). On trouve: ~làt. ùLJ, 1001 N. Bresl. IV, 323 et suiv., IX, 200, XI, 14
chartes grenadines: (j~i~-> ~^-^<3 XJ&Lij (gastos.
«•aAXM ~v5 vSjuI &>lJL o!J, Koseg. Chrest. 141, 3a f., frais), (c~3 xiLlb^S ~v_^3 (la monnaie d'or nom.
et ~J~t lXJc-jI, Berb. I, 607, 5a f. — S'étendre, mée castellano et enrique). - ;j~t!, <~-~
oe
platine,
en parlant de la réputation que quelqu'un se fait, Bc. - ~j! ~J («l'or du pauvre») grains de
Aghlab. 16, 10. — Avoir Vintention de, former le lâïd 118, 9: si vous cessez de faire cela, /~J! oL).j
Aboulfeda Géogr. 119, 5 a f., Cartâs 12, 3 a f., disposition et aptitude naturelle, par opposition aux
Liber Josuse 14 éd. Juynboll. ~oîjOt ou connaissances qu'on acquiert par l'étude,
Y dans le Voc. sous obliviscere.
Abd-al-wâhid 172, 6 a f., Khatib 18 YO: <~J~ ~gàj*
VII s'étonner, s'émerveiller, rester stupéfait, s'éba-
hir, s'extasier, tomber des nues; le n. d'act. stupeur,
engourdissement, suspension du sentiment et du mou- toute son âme, entièrement, Abbad. I, 58, 3: u*+kkA
vement, Bc; 1001 N. I, 42, 13. olJxIiîvj. - f
&-ï;à-à en particulier, à part,
j, ?
extasié, Bc. séparément des autres, de Sacy Chrest. I, 335, 1 et
~L~L\j! extatique, Bc. 2: ils se séparèrent donc d'avec eux, ~r*J ~JLjt->~
plà.à KeleD gulki ~j~L~ «et eurent leurs synago-
~L~ II »
,
s'étonner, rester stupéfait, M. gues et leurs prêtres en particulier. ~-~J~j ~r'àâ
—
indépendant, Bc, Gl. Edrisi 373; isolé, Gl. Edrisi 1.1.;
mais aussi en parlant d'une ville ou d'un marché,
~C?a et C?3 idée; ,.JJ! à ou llsô existant dans considérable, ainsi que otiÂJf ibid.Le mot ot3
semble avoir le sens de nombre, quantité, dans ce
Vidée, idéal, Prol. II, 52, 15, 53, 1, 10. — ~J-c
passage dEdrisi, Clim. I, Sect. 8: à t.<.~
~\:?J par cœur, de mémoire, Bc, Hbrt 112.
V1
XS.~~aJ! ^3 voyez sous ~\JJt - w
1.:.:J4> JH ,J =
»
«son caractère est égal, Bc. — &:iià Q* de son chef,
~J'r), Bait. I, 474 d. - = ~t(~& ~JLj: ^3 [clX-i.,
de lui-même, de son propre mouvement, Bc, Macc.
Bait. I, 474 f.
—
£
V AJLS ~33 triphyllon, Bait. I, 237, 21, 252, 5, II, 340, 18. — .,,¡n ~otJ. Cette
I, 474 h. — ~j3 5«3 est le nom de plusieurs expression est employée d'une manière remarquable
plantes, à savoir: des deux espèces du trèfle, de la dans Hoogvliet 49, 4 a f., mais il faut y corriger
psoralea bituminosa (lisez XjL<~- avec le man. 13 (3)), le texte et la traduction (p. 71, 5). Ecrivant à un
de la luzerne, et d'une sorte de satyrion, Bait. I, vizir dont il était fort mécontent et qu'il avait des-
474 g.
— ~& (~
~33 duodenum, le premier des
)
privé dans ce que vous avez fait pour le mien. —
~C. \::J'J moi, le moi humain, Bc. —
~OjlJf. Cette expression se trouve Bait. I, 179, où
~otà » de sorbet,Bâsim 78: Kjj~ ~-S (sic) Ï5-J5O0
Sontheimer traduit le véritable point de côté. — ~oîô V ~r.. se fondre, Aie. (le n. d'act. derreti-
là
~L~J~ pleurésie, point de cyté, Gl. Manç. — ~.olJ miento).
L,7â--1--11
armillœ, nom d'un instrument astronomique
inventé par Ptolémée, Alf. Astron. II, 1 (lisez « det »
ttLy3 fusibilité, Bc.
- T. de médec., exténúation,
~L~~,
pour « der» ).
~— oî3,
?&T
en Espagne, lonicera
dépérissement; de
~~t~ en marmelade, en morceaux, trop cuit,
M.
Bc.
periclymenon, Bait.
W C)
~M.~!!
I, 120 c. - ~\X&\ otè hépatite,
v
~V Dans la 2e partie du Yoc. on trouve "O -)
Bc. — ~oî3 ne désigne pas seulement la con-
ainsi que le verbe C c. a. et la IIe forme de ce
stellation nommée Cassiopée, mais aussi globe céleste, verbe, sous incompositus, qui a dans ce livre le sens
Dom 65, 142 b, Alf. Astron. I, 153: «ell ordena-
miento dell espera â que dizen en arâviguo vet (1. det) d'indisposé, malade. Dans la lre partie, (VojA-* est
alcorcy, que quier tanto dezir cuemo la espera que maigre, phthisique, mais dans la 2e c'est le mot
165, 8 et suiv. (j**—â-J-Ji est l'opposé de \.::JtJ troupeau de bœufs,Yoc., de chevaux, Abbad.
~,-,;j
iXxit; le premier terme y désigne les sentiments d'a- II, 161, 2, de moutons, L (obile).
mour, de tendresse, d'amitié, et le second les choses CXJIÔ berger, Berb. I, 3, 1. 9. SiAÂJt JL>J!
—
palpables que l'un donne à l'autre et qui peuvent être
une preuve d'amitié, mais qui ne le sont pas tou-
la garde d'un prince, Abbad. I, 243, 9.
jours. — ~(AAJÎ voyez ce qui précède immédiate- ¡),LÀA crèche, mangeoire des bœufs, etc., est chez
~, ~J~e,
ment. Dans le sens ordinaire de richesses, on dit Bc avec le dâl, qu'il traduit aussi par be-
amour de soi, désir de sa conservation, Bc. - ~ZÀS> (grec) dyssenterie, Chec. 183 r", 203 vo.
~oîÀJI amabilité, Bc.
— Le pl.
~~J! ,33ib I. Le
les personnes n. d'act. ù\;;J dans le Voc. —
~&3j 01J
de condition, les gens de qualité, M.
&»4*t»à ~dl3 sentir ce
se connaître, se juger soi-même;
t53;3, t. de philos., intelligible
par soi-même, Prol. que l'on est; ~>-3. ~3'~-t Lo il n'a pas de tact, il
II, 371, 11. ~peî-sonnellement, Bc. ne s'aperçoit pas qu'il fait des impertinences, Bc.
~^<5 (Daumas MS) miel, Daumas V. A. 488.
~juotô, suivi de xjjLSwq, identité, Bc.
~y_v53 savoir-vivre; un ,j~J!
jt-"~c est un homme
<—~<~ 1 être en fusion, en parlant des vapeurs qui s'élè- qui manque de savoir-vivre, 1001 N. IV) 594, 7,
vent dans les déserts lorsque la chaleur est excessive, 12, 621, 3. — Essai, petite portion d'une chose à
P. de Sacy Chrest. II, Ifl, dern. 1. — En parlant manger, qui sert à juger du reste, Aie. (muestra de
d'un homme qui a reçu quantité de coups à la tête, cosa de corner).
~gyJkH
o* vlâS J, 1001 N. I, 63, 11. — isj-ù ,,=",iJ KS!y3 dégustation, essai, Bc.
brdler de désir, Djob. 330, 14, Calàïd 193, 10. — ~ü';J dans le Voc. sous gustare.
trouve: ~y,4,
De même qu'on dit: ~lsjb VJJLXJ ~Q^IS (Freytag), on
Djob. 203, 21.
UutiXJt gustation, Bc.
olsfiXo (pl.) mets, Payne Smith 1496.
qui sert de basse dans les instruments de musique,
îûjtJulXLcoÂJt deltoïde (muscle), Bo. Ale. (cuerda de arriba o bordon).
de musique, Salvador 30; voyez aussi mon
-
~JoÂJî
- mode
article
celle-là, Voc.
<~j~. - U"}J' ~J3 prêlej queue-de-cheval, «mais qui
diffère de la nôtre,» Pagni MS. — ~jaaJî J~;J ré-
J~;3. £
au bas de cet écrit, Bc. — Dans le seda duriœna Gay., Prax R. d. O. A. VIII, 279.
sens de queue d'un manteau, d'une robe, etc., au
£ .,Jl.:!J' ~JJ=>-
«J~-;~. 0-Clt
- > (~J~! » t ~yqui
<~-!'-\~9 a les oreilles lâches et
fig., ~LyaJt se livrer entièrement au plai-
sir, R. N. 58 vO. -
A Malte, jupon de toile ou de
coton blanc, porté par les paysannes, Vêtem. 187. —
pendantes, Aie. (encapotado de orejas, cf. Victor).
* ~L\<<
~O^O
(jvJUstit , renfrogné, rechigné, qui regarde fière-
CI.
Ligne de pêcheur, aussi J~)~
0.
~CyA ~Ja^>, Aie. (sedal ment quelqu'un en fronçant les sourcils, Aie. (enca-
para pescar). — Bourdon, la corde la plus groses potado en los ojos, cf. Victor).
~*\j
la lettre râ.Par allusion à la forme de cette lettre, la partie supérieure d'un alambic, Auw. II, 393, 6.
ce mot désigne ce qui est courbe, P. Macc. 1, 454, — Le balanus, la tête du membre viril, Aie. (rez-
milla del genital miembro). Chez Macc. II, 634, 5,
3, cf. Fleischer dans les Add. et Berichte 188, P.
Macc. I, 530, 19, cf. FI. dans les Add. — Saumon,
~t Most.
ou
N =
nom d'une étoffe qui se fabriquait
ves, dont chacun est un lJH'J' Gl. BelAdz., Beert 13,
~-oS ~yJj
7, Burckhardt Nubia 292. Un .-+>' est un esclave
à Naisâbour, Lettre à M. Fleischer 29. abyssin, Ztschr. XVI, 674. Aussi en parlant de plan-
~1 (pour ~gôL^îj) fenouil, Mehren 28. tes potagères, dont chacune est un ~yJj, p. e. ~U"'J
~O)~y
<-~~ ~()1 un chou, Aie. (llanta de berça o col), ~(jJ.
~&! une rave, Hbrt 48, r->-Î ~y*\j un ail, ibid., et
~.L&J! ~L~J!, Bait. I, 488 b. ~CI> ~(j
enfin en parlant d'autres objets, p. e. cye-->. Un
i1
U-Y
II voyez "LIN') II. fromage, Hbrt 11. — Ce qu'il y a de plus reculé,
éloigné. En parlant du temps et des choses qui ont
III c. a.dans le Voc. sous principari. de la durée, la fin, le terme. En parlant d'autres
V voyez V. choses, bout, extrémité, fond, ce qu'il y a de plus
VI dans le Voc. sous principari.
éloigné de l'entrée, p. e. I-JLAJLJI ~y**^«le bas des
~el
~LJH) commencement, principe, origine (cf. Lane) , robes,» vJu^LiJî (j~L~& «à l'extrémité de la route,»
p. e. ~b U yuLÎÏ
~jÍ LM1«la pauvreté est l'origine de t3\s.;J' lY"'J £ «au bout de la rue,» ~J
~LMI l'ex-
«
tous les maux,» Bidp. 171, 8, cf. 243, 10.
— La trémité de la montagne» (ailleurs: le sommet), Gl.
première place, de Sacy Chrest. II, 188, 3 a f.: Edrtst; de Jong, Djob. 234, 17, 278, 1 ~(var.ji>\).
OlbW, ~-A-~ ~yJj ~U"'A «prendre séance à la fut de la colonne, Aie.
— Base, ce qui soutient le
première place à gauche du sultan.» — Chapiteau, (basa de poste), Djob. 88, 13, 99, 18, Macc. II,
156,
2. — L'arbre ou mdt d'une tente, à ce qu'il semble, fais un souhait !» (et non pas eherche,» comme
!
25, 26, 568. — ~L tout à fait (Freytag), Prol. II,
52, 16. — ~gare Bc. — (,wi-à(_ml) troc pour
troc, l'un pour l'autre, Bc; Meidânî dit de même
(j«'~—j. Le sens est donc: ô mon Dieu, je serai
content si je fais mon salut comme le commun des
sous l'expressionproverbiale~<5^: \-~i3j hommes, je ne désire pas de faveur spéciale. (Les
courses de chevaux, auxquelles a pensé de Slane dans
sa trad., I, 48, n. 5, n'ont rien à faire avec cette
ce texte parce qu'il a été cité d'une manière inexacte
par Reiske Aboulf. II, 334; cf. l'édit. de Freytag I,
482), et je pense que Ü"fl ~Lyt) signifie proprement:
une pièce de bétail pour une pièce de bétail, p. e.:
Pierre demande à Paul un mouton, et Paul lui ré-
locution). Enfin on se sert aussi de cette expression
pour dire: sans rien gagner et sans rien perdre; cf.
le Fâïk dans le Gl. Mosl. p. LXIII, 8 a f. ~Oy: ~JLaj
,
pond: je vous le donnerai, mais donnez-moi un autre t-0 ~"ijj
w SjJi ~ice
,5*0 isVju ~Sjjt. En ce sens elle se trouve dans
à votre tour; nous troquerons. Cette expression,
toutefois, a reçu un sens un peu différent, car on ce vers que cite Meidâni I, 482:
l'emploie pour indiquer l'égalité, la parité, et en
parlant de deux personnes qui sont d'un mérite égal,
on dit qu'elles sont ~L,.iAinsi on lit que les Le second hémistiche, qui est aussi devenu prover-
habitants de Damas demandèrent au théologien an- bial (Meidâni I, 537), est emprunté à un poème
NasAt de leur communiquer quelques-uns des )jL.=b d'Amralkais (Diwan ~rr, vs. 9 Slane, avec s~-j~-~?.
de Moâwia, c.-à-d. des traditions qui montreraient pour et le vers signifie: Laissez-moi vous
que ce prince était d'un mérite supérieur. Indigné quitter sans avoir rien gagné et rien perdu; j'aurai
de cette demande, car Moâwia avait toujours été assez gagné si je retourne sain et sauf auprès des
d'une orthodoxie suspecte, ce théologien leur répon- miens. Allusion à ce vers chez Bîrounî 19, 11. —
~a—en parlant de personnes et de choses, sui
iuris, qui n'obéit pas à un autre, qui ne dépend ~pas-
tj
,
C'est ainsi que ces paroles sont données par Ibn- d'un autre,indépendant, à part, sui generis, GI.
Khallicân (I, 29, 4 a f. SI., I, 37, 5 Wüst.); chez
Abou-'l-mahâsin, II, 198, 2, et Yâeout IV, 777, 18, Fragm., D..m aune science sui generisy Prol.
II, 400, n. 1. 3, m, 113, 4, Gl. Manç. VO ~(jzuâU:
c'est un tremblement qui précède la fièvre, mais
Aboulfeda, Ann. II, 330, 3: ~0' x_j2L*_xi quelquefois il n'est pas suivi de fièvre, et alors c'est
uL(car
~lo
,
.~c, Hist. Joetanidarum 104, 7, en ce sens. —
L~
U,*1;3 t/
~Lrl) ~Li-m à
,
fleur, au niveau, Bc. —
oui-dà, avec plaisir, volontiers,Bc
~J-c
la seconde expression 1001 N. I, 60, 2 af. — ~o-A
et
; Ké-w5 têtière, partie de la bride, Bc.
~9miy ~L
~aS)3 CJL-u
du nez, Hbrt 2. -
~JL-L-L! ~y»îj l'étoile qui est au M i) grand,
«~3h principal,important; ~*
-
~!
KA~~
~IJJJ
le couvercle du carquois,Gl. Fragm. —
murène, Ztschr. für âgypt. Sprache u. Alt.,
Le.-à Le pl. LjM~. chez Bc.— Docteur, Bc.
Supérieur de tous les Soufis, ou le plus distingué par
-
(Ji~~ ~î
- ~CI ~ywîj carduncellus ceru- son mérite entre tous les Soufis du Hidjdz, de Sacy
1866, p. 55 et 83. —
Chrest. I, 451, n.17. — Dans l'Inde, le mohtesib,
leus Prax R. d. 0. A. «VIII,280. ~a31>-3 ~L"l -
~y«ij Bat. III, 184. — Dans le royaume de Grenade
diète, régime de nourriture, Voe. — v»â-x->oJtu^ji tétaient
Si
les parents du premier Ibn-al-Ahmar,
en Ifrtkiya, ocimum minimum, Gl. Manç.v°~- Frol. I, 298, 17. — A Médine .s:1..w,)' sont les moëd-
dzins, Burton I, 358. — Chez les Samaritains tj~J!
était le grand prêtre, de Sacy Chrest. 1, 335,
-
cuentas)..
~o",
un pain de sucre, Bc. — ~(j
~JSL ~(j«L capital, principal, Bc.
en Espagne, onopordon acanthium, Bait. I,
~s£
70 b. — QjjLxaJi ~(jJj = ~J,\ ~~SU,voyez ce dernier M. de Slane (trad. de Khallic. I, 55, n. 1) a cru
terme. -
de même ~JLj! ~y*L
~yJj source, Bc; aussi )~~J! U~~)! M;
«la source du »
fleuve, Bat. II,
d'abord que cela signifie Vemploi de professeur en
chef et celui d'imam; mais trouvant plus tard chez
87, cf. Descr. de l'Eg. XI, 341. — ~J&!
~_c.15.~yJj
vipé-
rine, ou langue de bouc, échium, Bc. J~-S ~Lri clou - il a pensé (trad. IV, 398, n. 1) que ~QjjJI
:
Ju~t est plutôt l'emploi de chef -de la secte orthodoxe
ou
de girofle, Hbrt 18. — iX&jUty*^ spina alba, Bait.
ii
I, 536c. — (jMJL£ Lr1g cathédrale, Bc. — Ju ~~yJ> à laquelle on appartient, et que ~UJJ; ~KMLJ signifiait
peut-être, dans le langage de l'école, l'emploidepre-
(aujourd'hui JL~)
~07
prix coûtant, le prix qu'une chose mier cadi. Chez les auteurs maghribins je n'ai pas
a coûté, Ztschr. XI, 506, 1001 N. Bresl. III, 264, trouvé ces expressions. — Amirauté, état et office
13. — ~J ~tmôle, jetée, Ht. — ~KàY ~y*.^ lieute- d'amiral, Aie. (almirantadgo). — Art nautique, na-
nant, grade au-dessous de capitaine, Bc. — ~Li) 'ui4l vigation, Edrtst, Clim. III, Sect. 5: ~LgJuo J~>~\j
espèce d'orchis, Bait. II, 491 e. — ~I« chanvre
bâtard ou galéopsis, Bc.
—
<~ ~6ue celui qui a le
titre de ~cAid, mais qui n'en exerce pas les fonctions, d'évêque, Aie. (obispado).
Li doctoral, Bc. — Souverain, Bc. sons du pl., dont l'une est persane, QUIXJIJ, l'autre
(JM-JJ arabe, of. Ce serait donc proprement pulsi,propulsi
capitaine, commandant d'un navire; — Lp,.jg ,
c.-à-d., par l'eau.
~uudî capitaine du port; ~LMi lamaneur, pilote
pour l'entrée d'un port; —
—
yiLx-it ~!<~h
~O
Chez Ibn-al-Athîr ~JL~~;
, (pers.) pl. ~ZjùLs>j.
surinten-
dant Bc. est le nom d'un quartier de Bagdad, et chez Edrîsî
(j~!< capitaine de vaisseau, Gl. Esp. 199. — Ami- celui d'un quartier de Lorca; voyez Gl. Edrisi p. 309.
raljAie. (almirante). Thévenot, II, 124, nomme les «Rahdars, garde-che-
Ao ~< mins »sur les frontières de la Perse et aussi de cha-
LJH".r-A subordonné, Hist. des Benou-Ziyân 98 rO:
que khanlik ou province, ((pour tenir les chemins
sûrs.» Mais N~L~. a peut-être un autre sens; serait-
ce = Xj~L~., que je donne sous ù..>.$J)?
;
~^Lwîj aunée, Bc.
O >
ViiAi^Uwî^
~t~~!~ la meilleure espèce du ccij-J Most. sous ~,
(pers.) antimoine, J. A. 1861,1,33; chez Bc ce dernier mot, Zf.4 ~P La, ^JL^Uî N.
-.1 O )Ji -
cinabre natif, Burckhardt Syria rhubarbe (Lane 1185b), Most., Bait. 478,Bc, I,
487; -
cuivre brûlé,
ou calciné, avec le soufre et
un peu de sel marin, Sang., Bait. I, 508 b.
Gl. Manç.: la meilleure est la chinoise, puis la per-
sane; la syrienne est mauvaise et ne doit pas être
~»
~voyez
voyez &~t.. jûwfj.
employée. <-~-~) rhapontic, Bc.
~ôt,Y, ~J~ Le chaikh Mohammed, surnommé
M G-
ar-Râ-
c. ~& ou y, avoir
de, Payne Smith 1573;
wendî, c.-à-d. le vendeur de rhubarbe, était un pauvre
lisez de même, au lieu de la VIe, 1314.
Ëi,
~Xâij homme à Damas, qui s'est rendu célèbre par ses plai-
~M douceur de caractère, Be.
Bc. santeries piquantes et effrontées, car il reprochait sa
U';.J bénin, clément, Bc. pauvreté à la Providence. Son surnom est devenu
proverbial: on le donne à tous ceux qui lui ressem-
otjt.V_JLL5^J^ est un titre qu'on donne à blent, M (sous ~ô^j).
la mère du calife, Djob. 224, 17.
sbjÀj menthe, Most vo £Â*i.
~f1I.
~151,. d'act. ~LD de Sacy Chrest. I, ~hl, 5af.
Le n. alact.
&.
;
— Dans le Coran, suivant les interprètes de ce livre,
savoir, quand il est question de Dieu de même Bidp.
~OÎj. ~«»
w
Voyez sur les étoiles qu'on nomme ~L-~-J!,
Cazwint I, 39, 5. visum est ei en latin, p. e. ~àJuH- jUr.î ~CY, et même
*
~~r). ~pij être accoutumé à, Prol. I, 255, dern. 1., 256, 11. approuver, permettre, consentir à, Gl. Edrîsî. —
oUlioôt. oli^îooî.j chez Payne Smith 1549, va-t-il si tard?» (j'ignore pourquoi l'éditeur a fait
ou
semble- signifier, à en - juger par les gloses, les che-
.1
imprimer ~t.Sii), comme on dit à ~j ~lo, Weijers 31,
, ~m cjj te, et
villes dont la roue d'un moulin est dentée. M. Vul-
2, Nowairî Espagne 477: ~UAJ
lers, que j'ai consulté parce que ce terme me semblait
d'origine persane, est d'avis que la première forme
est la bonne, et c'est le partie, a'~-3L
- ~O du ~t,r.
~Myoçx. --
Bienexaminer,Bat.III,46~:||
C.
verbe
que pass.
pousser en avant, avec deux terminai-
~;*èo
~J~J! ~(t' ~j ~L. ~JLc
~a
« as-tu bien axa-
miné ce qui arrivera s'ils se joignent à luiP» — Dé-
libérery
.l!.# ~i,
tenir conseil, Gl. Edrtsî. — L.el-) ~—'~ j'ai ~blj «j!£ ~yrJ' «ils trouvèrent que ce projet
imaginé, trouvé un expédient, Koseg. Chrest. 100, 8 était bon.» —Dans le fikh (théologie et jurisprudence),
et 9. — L~(~~ ~CI ~J.'
admirer, Bc. — ~aJjû 15'; Si la déduction analogique (cf. Lane). Les docteurs de
l'Irâc, qui possédaient peu de traditions, enfirentun
«avez-vous jamais vu quelque chose de pareil? De » <^j3l
même: ~XLJJî a.\P'-A-~ 15.Ti ~Le «avez-vous jamais
grand usage; aussi les nomma-t-on ,-:-,ls9'
~~J!. Le chef de cette école fut Abou-Hantfa. Dans
vu une nuit aussi belle? » et ~&à
~o^L> L
~C.;ï Lo, où le Hidjâz au contraire, Mâlik ibn-Anas et ach-Châfi'î,
avec leurs disciples, étaient les gens de la tradition,
~L.est =
"Ji
~U5, Gl. Fragm. - (~j, 15,r;\,
<, , ~Lj,
< ~,s 15.J..:.i
-
et les Dhâhirites, qui condamnaiententièrement l'em-
>g£
(pour <.~j!~), ~.9 b, 1.5'; b. Ces expres- P ploi de la déduction analogique, l'étaient encore da-
sions s'emploient dans la langue vulgaire, p. e. sou- vantage; voyez Prol. III, 2 et suiv. Les décisions
vent dans les 1001 N., Antar 34, 10, comme des ad- des anciens docteurs de l'Irâc, qui étaient fondées sur
verbes exclamatifs. Elles indiquent une interrogation; la déduction analogique et qu'on avait rassemblées,
à laquelle est joint le plus souvent un désir, p. e. : formaient une science sui generis, appelée <e!—!!,
)~>-j-!~-~ 1.5.r; ~«ah! quand est-ce qu'il reviendra ? Macc. I, 622, 12: âJ \J::¡;b ~<! à ~1~qI^,623,
,
(et puisse-t-il revenir bientôt), » ~-s'T. ~Cyï ~U>' ~Là
~JL~~ ~Ui ~aJJt «ô fils de mon frère, quand est-ce
que Dieu nous réunira? (et puisse-t-il nous réunir cijji £_JI—bj. Il faut
bientôt), »
Caussin Gramm. ar. vulg. § 330, Fleischer encore observer que le mot
Gl. 76.
f^
- f-
L donne: an (nurnquid) )-<~
,
i ergone (num-
~Cyl, dans la bouche des Mâlikites, des Chàfiïtes et
des Hanbalites, désigne quelque chose de plus que le
quid) ~\,
~t
estne
~0^3 ~Ui,
1)35 ~^9
num (numquid) l.Sfi, P, 1
qui est proprement la déduction ana-
, .,
putasne LÔLj'l^ ~Lew, et le Yoc.
a ~-t sous nunquid ; terme
logique. Ils accusaient les docteurs hanifites de pous-
ils ont donc le dhamma sur le comme dans le o,
,
Fakhrî, probablement d'après le man., 371, 7 et 8: ser beaucoup trop loin leur prédilection pour le kiyds,
et de sacrifier l'autorité du Coran, de la Sonna et
des anciens imâms à leur propre jugement, ~Ci à la
spéculation; voyez Khallic. I, 272, 7, avec la note
de M. de Slane dans la trad. I, 534, n. 1.
~S^--Dans -
~<J!
le Cartâs, 114, 15, on lit que le
Mahdi donna le premier rang dans sa hiérarchie aux
I
~0' ~ôj&f «que je voudrais savoir
IV, faire voir, montrer; au lieu de la constr. or- supposer qu'il donnait ses ordres sous la forme de
dinaire c. d. a., on trouve c. a. r. et <3p. dans Bidp. conseils, afin de ne pas blesser leur susceptibilité. —
140, 1: ~J, ~J~J
~L! 1 1. ~qU5 ~< amnistie,
p. e. ~A4-~JJ .~Le~~
» -
«accorder une amnistie, Bc. ~<^5^, aussi~çl et
Y. C ~~L;)
consulter, délibérer avec, Voc. (copte voyez Ztsehr. für iigypt. Sprache u. Alt.,
~psli;
VIII examiner, Prol. III, 228, 8. 1868, p. 55, 83) espèce de saumon; il y en a de
<3^.o-^5^ coram dans le Voc. —
~IBY, ~le.
Idée,pro- grands, qui pèsent quelquefois trois livres, et de pe-
tits,qui sont d'un blanc brillant, avec l'extrémité de
jet; ~1 lo ,-,'';' «votre idée me platt,j'adopte
~JLSà la queue rouge; ce sont ces derniers que les habi-
'Votre plan,» Cartâs 6, 1. 7; surtout bonne idée,sage tants du Caire salent et qu'ils nomment ~j^0; voyez
lés auteurs cités dans le Gl. Edrisi; chez Bc sar-
dine. — Transcription de l'espagnol rey (roi), Bat.
III, 318; cf. Windus 75. — Transcription de l'indien
raïa ou rddja (roi), Bat. III, 318; ailleurs, IV, 58,
Gl. Edrtst; — écrit x,pour1
284, 1, cf. Fleischer Berichte 297; — dans le Voc.
et chez Aie. (espejo) ~L*, < ~01::
, pl. ~X^ot;
,
P. Macc. Il
,
o
ce pl. se trouve
ej, et dans un man. ~CI; dans le Mesàlik al-abçâr ,
aussi chez AboWl-Walid 796, 13: Xj~! Q'ji*vnyn
(Notices XIII, 219) ~yi. ~nxi
~jylj.
Dans les courses de chevaux on plantait un
drapeau, un étendard, aubout de la lice. De là
vient que jut, est le synonyme de ~XJIC, le bout de
la carrière, p. e. Bassâm III, 1 vO: Cordoue était
,
~,J!,
~4,)" :
Au souhait
~L~,
SIXAJLM A~JL-J «bonne nuit,» ~jA miroitier,
~C-5j
.J~
Bc.
on répond: Bc. w
,
elle signifie donc chez lui manifestement.
nombre de personnages qu'on trouve énumérés chez
~Eo. j..hJ'
-
~& fi
~O ~ci,. idée, Bc.
<3!jA. Bat. III, 432-3. Voyez sur y)~.) dans le sens de
~it)
~CA (index), aussi
)
~Lge, dans l'astrolabe, le pe- ~"J ou
fém.~X-jj, ~Kb, Lettre à M. Floischer
Fleischer 65,
tit fil qu'on attache au grand et qui se meut en ~XJUC& ~jjlï ~uj «un homme de plu-
partant du centre; --
aiguille qui ressemble à une
p. e.
me,»
me,))
~Il
*
==
««.cecelui
*9
quicroit
lui qui crOIt une chose,»
c ose,»
t-r~ lU.,;
aiguille de montre; en latin ~ostensot\ index, cal- ~y)
culator, petite éminence dans le zodiaque, entre le
Capricorne et le Sagittaire, nommée aussi ~L,.l lSf4
«belle dame,» etc. - ~<!.-<\~J!
~y)
créancier,Voc.
« l'indicateur de la tête du Capricorne,» Dorn;
elmuri, Alf. Astr. II, 235. extases, les Soufis, Macc. III, 675, 24. - ~1..
~aJ! ~-Y)
~IWO
~alyo, miroir, est du genre commun chez Edrisi, ~a) peut-être, Bc, Hoogvliet 137, 2 a f. et
149, n. 180, Badroun 201, dern. 1., etc.; il paraît
il est trop fier pour vivre dans l'oisiveté et
ô
LML.;JL «
que, Prol. II, 378, dern. 1. —
L.-i""; ce serait fort
bien, à la bonne heure, P. Khallie. I, 385, 2 SI.
pour être à charge à ses concitoyens ;» Abd-al-wâhid
~~J!
y yf ~OA ~y}'
~O 140, 16: ~.c~t&LL-~!(je respecte trop
~Y.J. le rob du soleil, c.-à-d. qui se
mes paroles pour parler de ces choses ;a ibid. 142,
fait par l'action seule de cet astre (sans employer le
feu); on le nomme aussi ~L~. y.J" rob au julep;
16: !~~! ~s
~y-c VjOJii ~Loj «il
pensa que cet homme
c'est le meilleur de tous les robs; voyez Auw. II, avait trop de mérite pour n'être que vizir.»
412, 12 et suiv.
ii-Ij itoitrrice,
~ili-Oj, dans
~-o, (~J!,
= !Là Diw. Hodz. 34, vs.
commentaire p. 35, Mufassal 48, 9.
4, et le
).
Y4 Le -eL~J! -j.bej est monté d'une seule corde, ~t I- Vulg. <,\~ c. a. gagner,
acquérir, obtenir, Aie.
le~v_jLj de deux, Descr. de l'Eg. XIII, 356.
(gnnar, impetrar, impetrar sacrificando, le part. pass.
j ~t'?) recevoir une solde, Aie.
6t-àl
ganada cosa), p. e.
\-~j.. Epithète de la gazelle (voyez Lane) , P.
(ganar sueldo), L..t-:i ~acquérir du renom, Aie.
Macc. II,
209, 3, 210, 2 a f.; = gazelle, dans de (acaudalar nombre), ~L X~- ~JJI ~goj « le dirhem
Slane Prol. I, p. xxxix, vs. 8. — Dans le sens de » :
en gagna cinq, c.-à-d. ce qui avait coûté un dirhem
en rapporta cinq, 1001 N. I, 229, 2, où l'éd. de
~cî
- ~-A-~
beau-fils, le pl. <-'Lt.! chez Ale. (hijastro).
J~J~J!
_**
le Malurus de Numidie, Tristram 396. —
Bresl. (II, 193) porte: X~~- .LujJ!<~j~-~. Obtenir
les faveurs d'une femme, P. Prol. III,413,6 le ;
veronica hederœfolia L, Prax R. d. Voc. traduit un peu crûment ~,n.
d'act. ~gi^,
O. A. VIII, 279.
par deflorare. — Prendre, enlever une chose à (~)
îUaji^ belle-mère, seconde femme du père,Voc. quelqu'un, 1001 N. I, 382, 14: ~CSj* ~U* rX--5;:5*1.
~b. joueur
~Lj.
de rebâb, Voc.
i
transcendant, Prol. III, 347, 5 et 8. —
Devin, Ale. (sage casi divino). — K.,3b X.*X2»- provi-
dence,, Bc. — XjôliJt sympathie, 1001 N. Bresl.
II c. a. dans le Voc. sous lucrari.
III prêter à intérêt, Bc. — Agioter,
~j<, gain, forme au pl.
~o
,
P. Abbâr 205, 10.
~I °
III, 86,demêmeque j.LJ<
III, 339,
<3
-,
~v-jyo.
10.
«c'est une contrée où il y a beaucoup de bêtes sau- teurs donnent aussi une autre leçon, à savoir ~~Lj.
vages, » de Sacy Chrest. II, 436, dern. 1. (voyez).
confiture, conserve, Bc. > ,c.fi
~giji plus lucratif, Abbad. I, 172, 9.
1 e.
y et ~cr- Comparez pour l'usage de ce verbe ~<. pl. ~profit, Gl. Edrîst.
Berb. II, 139,10(lisez~Uiiavecnotreman.1350,
,
c}l.t', dans le sens du part. act., celui qui gagne,
obtient, Aie. (impetrador ganador). — Prospère, Roland. au lieu de ~UI); c. ~^1, Freytag Chrest. 98, 8 a f.
J.
K~< intérêt, Bc.
a
dine: UOy}f fc-à-Â") ce qu'on traduirait en espagnol
Kâmous), et forme au pl. voc. par: «un sayo para el rapaz.» — Petit garçon qui
sert les messes dans un couvent de moines, Aie. (mo-
Y";?f dodu, potelé, Bc, 1001 N. l, 361, 1, II, nazillo de clerigos, le dimin. monazillo de monjes).
250,7, IV, 91, 6, 208, 6 f.
a
C'est I,
s_CI.
dans le Yémen que le solanum porte ce
499, n. 1.
préservatifs contre le feu, Ztschr. XX,
,
~JlJ 1 toucher quelqu'un ~«A-o de
III, 349, 1. 9 - paroisse, Voc.
~(ja-ij —
~L~aJ! l)':U..; le quartier
> soufflet, instrument pour souffier, Domb. 95, qu'habitent les prostituées, Aie. (mancebia puteria,
Ht; chez Cherb. ~t, pl. soufflet de cheminée; puteria).
Enduire, Mong. 368 b, 369 a. Munir de (j~j~j, lier et délier, refuser ou donner l'absolu-
~Jo-Jj
—
tion, Bc. — Panser, appliquer sur une plaie les re-
de préservatifs contre le feu, Ztschr. XX, 499; en mèdes nécessaires à sa guérison, R. N. 48 vO: comme
ce sens c'est aussi proprement enduire. — yva-AUjù*
~~O! dresser des embuscades, J. A. 1848, II, 195,
il s'était blessé en tombant, ~&j ~3
~< ~L~c'
— Arrêter, Hbrt211. — Jeter l'ancre, mouiller, Bc. —
n. 2.
Ensorceler (cf. sous ~Jajj), duper, tromper, Ztschr. XX,
V. Dans le sens d'attendre le Voc. (expectare)
491, n. 1, en parlant d'un homme qui se donnait
donne la constr. c. ~utr- — Différer une chose, la
remettre à un autre temps, Aie. (sobreseer), c. a.,
,
attendre quelqu'un dans une embuscade, faire senti-
nette,attendre,guetter;~(jfAjbJt
~j{j~J! ~Ja-Jj voler sur les grands chemins Bc. —
C. ~t.A p. convenir, faire une convention, Bc, Voc.
~8J ~Ja^
,
s'embusquer;
prince, équiper à ses frais un corps de cavalerie, qui
a ses écuries dans le voisinage du palais, J~-&
~jAaajf, et qui est toujours prêt à exécuter les ordres
(pascisci), 1001 N. Bresl. IX, 331 (= ~Juu ~ULi-:i' du prince, Nowairi Espagne 453, 456, Ibn-Khaldoun,
Macn. III, 204), de Sacy Dipl. IX, 486, 12: £*+=> man. IV, 7, Abbad. 1, 243, 8, Berb. 1, 395, 13, cf.
.b
»
vers un tel; &.*-<<-~-~t '!
~CA tSxAjj U «tout ce à quoi il s'engagera en-
«vous vous entendez
Akhbâr 129, 3 a f. — Avoir des lions, des éléphants,
etc., dans sa ménagerie, Fakhri 27, 6 a f.
avec lui,» ;
Bc ~t::'
~1 ..b~) concerter une entreprise
ia'Le3 ttb-,.
~Ja-Jj pl. entraves, Bc. —
Pl. traité,
avec, Bc; cf. de Sacy Dipl. XI, 9, 3: convention entre souverains, Voc.(pactum), Cartâs
juolyfj ~(5, ibid. 10, 5: ijI.ÜL..U, Kj~~«~\-~ 245, 9, Holal 32 Vo: ~L
(~A-~~ de Sacy Dipl.
IX, 486, 11; le pl. aussi conditions d'un traité, de
- ~-)
l'argent que cette vente avait rapporté, 1001 N. —
Bresl.IV, 93. -19-5 ensorcellement, Aie. (ligadura de
II dans le Voc. sous ligare. hechizos).
III c. a. 1., Gl. Belâdz. -
Xl-~ pl.~Ja'uj
+ lien, ligature, Aie. (reatadura, aussi
II, 590,
Sacy Dipl. XI,9, 8:
17. — S'engager, s'obliger, promettre, de
£-3$ Le «ce à
quoi il s'est engagé,»ibid., 1. 13: J~J!Ja-*—tJ ~Lo
&,U-4 ~cr' ~sJLe .~<~-L! «ce à quoi le susdit ambas-
619, 24 et 25, qui a le pl. -Uq,. Spécialement, en
parlant d'étoffes, une balle, 1001 N. III, 177, 8,
sadeur s'est engagé, tant pour lui que pour ses com-
mettants. »C. J p. et r., Çalât 24 vO: W*.JÀ^
v ~ôyu Q* J..s' ~rAi ..s.>, Richardson Central II, 237:
~ioôy M U ~el ils s'engagèrent envers lui à la même he also stated that twelve rubtas of raw silk sold
« «
chose à laquelle il s'était engagé envers eux, 48 r°: » for,» etc. — Coiffure en forme de turban, Bc; on
~'flù Jaxiy. C.
c
p. Voc. (pascisci); c. p. et ~e C appelle ainsi l'ensemble de la coiffure des dames, Descr.
de l'Eg. XVIII, part. 1, 113, Lane M. E. I, 59, II,
r., Abbad. II, 27, 6: ~J ~M ~J-~~
A
, p,il >J. ,x33
396. — Conjuration, complot, Ht.
(»4»LSJI;
cf. plus bas ~JaU-jjî. — C. j s'astreindre à, ~Jbbj, dans le sens de lien, pl. ~ot,Voc.
- — Même
Abdari 52 vo, en parlant des Mecquois: L~-jL~°!
pl. bande, long morceau d'étoffe, Bc, cf. GI., Esp.
, ,
XAISL cabale, complot, ligue, Bc. à la prière publique, qui se fait une heure et demie
~JsLjj dans le Voc. ~Jal—^ après le coucher du soleil, s'appelle le dernier mara-
sous ligare. — ~vJLjj-b
but, selon Ten Years 15. — Espèce d'oiseau de nuit,
voleur de grand chemin, Bc.
Ten Years 166.
comme copule, mot qui joint l'attribut ~j!-~ermite, Aie. (ermitano), Ht. — Marabout,
au sujet, Macc. II, 521, 10.
~KW5, pl. -Uàl5;, Gl. Belâdz., guet à cheval, troupe
Bc, les voyageurs passim. — Saint, Ht. « On dit que
la cigogne est Mrabt, c.-à-d. sainte, Pagni 62.
de cavalerie chargée de faire le guet pendant la nuit, ~~-.J! (poisson saint) agus, galeus, Pagni MS.
o.,,-b-?'.rl\ étaient à Médine les descendants des sol-
-
R. N. 103 ro (celui qui parle traverse la ville pen-
dats turcs, qui formaient la garnison de cette ville,
dant la nuit, pour se rendre à sa demeure): ~0^-4-9 Burckhardt Arabia II, 279.
O enchaînement, Bc.
~Jsuïji, obliga-
,
— Engagement,
tion, promesse, Bc.
Edrisi Un endroit où l'on vit retiré du ~E..j 1 galoper (cheval), M.
v, 3. —
~11
monde et où l'on se livre à des œuvres de dévotion, II croiser, mettre à quatre marches une étoffe, Bc.
® pourrait aussi traduire le plur. par maisons; c'est
- >t» -I»O croiser ses jambes, Martin 79; ~A-x-s qu'il a le sens général d'imneubles, que donne le
~!jJ» s'asseoir lesjambes croisées, comme les tailleurs, Voc. En Sicile, ~pijl £jJl, Gregor. 34, 6 et 7,
Bc. -
Comme la Ire, s'approprierlaquatrièmepartie
des possessions d'un peuple qu'on a vaincu, Aie. (cuar-
Gregor. 36, 5, les terres appartenant
tear quitar el quarto). C'est ce que firent les Almo- )~
au domaine. — £J-ii la terre habitable, Bc.—
hades lorsqu'ils s'emparèrent de l'Espagne, voyez le ~«y! la tribu à laquelle on appartient, les contribules,
Cartâs 122, 4 a f., où on lit que Xerez se soumit à Ztschr. XXII, 119. — Rondelet, qui a un peu trop
la domination de ces conquérants, et que, pour ré- d'embonpoint, Bc.
•ijâfA
-
~0UC.*JLj vulg. pour ~qUCIL ~jj,,M. ton, aussi ijLk:, souvent dans le R. N. — Im-
pôt sur l'industrie, impôt du quart, qui se perçoit
III. Dans les 1001 N. Boul. I,
373, on lit: il
sur toutes les boutiques louées au commerce de détail
crut que le mieux serait de rester chez le jardinier et sur les professions industrielles, Pellissier 322-3.
:
\ju\yjaJoLc ~^*-35; il lui demande donc:
~^0 ~J~Lc. Lane traduit devenir son aide pour un
~J-9>
,
dans le Cordofan, les femmes des Hassanin aient une
on serait plutôt porté à croire que le sens est: tra- nuit sur quatre à donner à leurs amants ou aux
vailler sous lui pendant la saison nommée ~E&j cepen- voyageurs: c'est ce qu'on appelle le roub (quart),»
d'Escayrac 294. — «Rbà'a-el-moudjib, le quart de
dant il est difficile de choisir entre ces deux expli- cercle horodictique, instrument d'une grande simpli-
cations, et dans l'éd. Macn. (I, 877) on lit: ~J
deou
cité, dont on fait usage pour connaître l'heure par
»
la hauteur du soleil, Berbrugger 260.
r:;\.r-A m'est obscur. — Galoper, Bc (Alg.), Ht, De- ~CJI1' Au o y -'
~a*ij. lieu
lap. 150. 4
~if;
1 coffret du Coran, qu'on emploie dans le sens d'exem-
quartier d'une ville (Freytag vicus, mais sans plaire du Coran, Djob. 298, 8 (= Bat. I, 245),
~ioyo
, Abd-al-wâhid208,dern. :~l\_ï5
1.
Macc. II, 641, 11, Khatîb, man. del'Escurial, article
,
en trente
toriœ, ibid. 18, «voyez aussi Abela apud Burmannus, m
uex-à) espèce de petit vaisseau en Chine, où cha-
Thes. antiq. Siciliæ, t. XV, p. 74. Plusieurs Raba à
^JLxx-i,
Malte,» Amari
Malte,» Amari MS., Amari 31, 4 f.: ~z
a f.: ~JoiaAj que vaisseau était suivi de trois autres: le
K
18:,
-
m w
celui du tiers, et le ,~Ut, celui du
moyen, le
;Ar:. (1. ~£Jj) au, 37, dern. 1., 42, 12: ~cL
~(
qui suit les quarante premiers jours après les funé-
seul, levendredi
uÜ:J:.J' éclaire,
doit être changé en fd).
Aie. (yerva de golondrina, où le bâ
railles, Lane M. E. II, 343. — (~ ~co carême,
~KcLj société, compagnie, Cherb. Bc. -
riage,
~J~J.~!
Lane M. E.
~jyj le quarantième
II, 305.
jour après le ma-
ax;Lj^ la quatrième partie des possessions d'un peuple
qu'on a vaincu, et que le vainqueur s'approprie, voyez
i
rv les
quarante jours les plus froids de l'hi.
sous la IIe forme. ver, le cœur de l'hiver, synonyme de ~-~U! vXLaJM
6;.:--,;, dans l'Arabe orientale, la protection qu'on (voyez sous ~JwJ), Bait. II, 34, en parlant du scinque
achète d'un Bédouin, Burton II, 113. — Danthonia
forskali, Daumas V. A. 382.
,,0. cadran, Aie. (cuadrante de astrologia).
~K",
~g! pi. ~-~U semaine de quatre jours, Gl. Manç.
~~&Lj~ quaternaire, nombre de quatre unités, Bc.
J.
a f., où
francs, Gl. Djob., Amari Storia II, 457-8; cf. Ab- et carrée d'un
iJLj~~J!. En Egypte le robâ'î valait un demi-dînâr, roc, qui peut servir de banc, Koseg. Chrest. 143,5:
car on lit dans les 1001 N. Bresl. II, 155, 11:
selon Pellissier 367, 64 rebaias (sic) font un r en espagnol tarbea. — Assemblage de boutiques dans
un emplacement rond ou carré, ou bien sur une seule
(voyez). — Sept et demi, Aie. (siete y medio).
L'espèce la plus délicate des beignets qui portent le
- ligne, Delaporte dans le J. A. 1830, I, 320, Cartâs
:i
26, 7. On emploie K*.Aà dans le même sens, Cartâs
s_àjLîa5, Bait. 41, 12, où il faut lire avec notre man.
nom de II, 309 a, d'après Ibn-Djazla:
~'jiJt.
Cadran, Aie. (cuadrante de astrologia).
Dj
azla en donne la recette sous
- - ~VN
Bc.
—
Quartier de la lune, Auw. I, 223, 7. — Cadastre,
05-A-A niveau, instrument pour
te*-à.) printanier, vernal, Bc.
connaître si un plan est horizontal, etc., Aie.
~gl-jj jardinier, Domb. 103. (nivel).
~o.
iùuUjS voyez sous xAà *~Ci* et ~0-
sous (;t:!¡¡. du Marocp mais~oUjjIb ne peut pas signifier «à
tl;-A prairie, Bc.
- Pièce d'étoffe, Hœst 269. cheval, »
et le mot ~SI
(car c'est ainsi qu'il faut
~,0 ciseau, Voc. écrire) indique justement le contraire: ils étaient à
~e
~)#JJ~!
~#0^ ~o
vulg. pour ~<).
pied, l'ennemi leur ayant enlevé leurs chevaux.
) ~;A#
~O
tl,r'. Le pl. expliqué par ~.)ji ,-,c;J'
~- l'endroit où l'on passe le printemps, P. Prol.
CI
5" *
~r:J¡A.
t»
tAfiJ) de moyenne stature, Voc., Formul.
III, 369,
~>o+
~.1. pl.
.,
13.
- ciseau, Voc., Domb. 96, Ht.
Vendroit où Von passe le printemps,P. Koseg.
&.IZA
d. contr. 1, en parlant d'une esclave: ~K"; de ~iXaJI
Chrest. 144, 6.
même en parlant d'une mule, X-xla^t X,»..)J-A (pour
~jôoLôiî), ibid.
bonpoint, Bc.
--
Rondelet, qui a un peu trop d'em-
~jA pierre taillée en carré qui
gluOj. En portugais arrebique, arrabique, rebique
sert d'assise aux. autres, Aie. (sillar piedra). — Salle
ou chambre de compagnie, ordinairement carrée, Aie. signifie rouge, fard.
(cuadra de casa). — Aussi, à ce qu'il semble, comme
<t.~J et àutOji', assemblage de boutiques dans un em- ~t II produire sa' tige (herbe) (Victor), pousser des
placement rond ou carré, ou bien sur une seule ligne, rejetons (Nunez), Aie. (tallecer yerva); pousser des
-3
boutons, des fleurs, pour la seconde fois,Aie. (echar
las plantas otra vez). labour, façon donnée
198 (Syrie).
laire (8 X 8
-= Le jeu des échecs indien quadrangu-
64 cases), van der Linde, Geschichte
à la terre, Aie. (cohechazon de barbecho).
~J. Voyez sur cette plante Bait. I, 489c; Vansleb,
des Schachspiels 108. — X~r~ ~xWî le grand jeu
I, 99, 333 (rabl): «herbe odoriférante et huileuse, qui
des échecs arabe quadrangulaire (10 X 10 100 cases), = croit sur lesmontagnes et dont l'odeur est semblable
ibid. — Quatrain, c.-à-d. quand on ajoute à chaque à celle de la menthe; les Arabes la mangent avec
,
hémistiche d'un ancien poème trois hémistiches nou- plaisir. »
veaux, afin d'en développer la pensée ou de la mo- pierraille, gravier, Aie. (caxcajo arena con
difier, de Slane Prol. III, 405, n. 3. — « Corail
mrabba, gros échantillon, pour parures,» Prax 28. piedras).
,.
~mm3 quartier de pierre, Cartâs 31, 14 et 19. —
*
(joji", t. de médec., enflure, comme celle qui est
Salle ou chambre de compagnie, ordinairement carrée, produite par l'hydropisie, M.
t
0' (esp. rabano) rapistre, raphanistre, Aie. (ra-
j-*i\5 ~-~JLiî. partie d'une ville, Veth,
— Quartier,
Lobb al-lobâb, Supplément p. 84. — Cédule, patente,
Maml. I, 1, 161, 203, nommée ainsi à cause de sa
&Jb!t
;
vano silvestre) raifort qui a plusieurs racines, radis
fendu (Victor), Aie. (ravano gagisco o magisco).
~j
forme carrée, car on trouve ibid. 219.
— Espèce de fichu carré que les femmes portaient sur
la têtey R. N. 94 vo, en parlant d'un homme qui
1.
t 0.
t~j.
t~~ ~,
Dans le sens de monter on ne dit pas seulement
(Lane) (en place de ~obj), mais aussi 0_-
et
était très-simple dans son habillement: J~ 4e..C)We dans celui de croître le ~u>. du Càmous est bon
y
J'ignore quel il faut
attribuer à ce mot dans (cf. Lane), tandis que ue.,oi
«. appartient à un dialecte,
sens
un passage publié dans le J. A. 1852, II, 213, 5 a f., Gl.Mosl.
où il est question des Merinides qui avaient été battus
II;élever,cultiver, au fig. ~JUi" ~!! X~ j~,
y.",a,tt M. Cherbonneau traduit (ibid. 226): les Beni- dans lesens de: il a formé une union durable, de
Merin s'étaient dispersés à cheval dans la« direction Sacy Dipl. IX, 486, 8. — L: demulcet J~ (~J~-
III prêter à usure, Bc, M. Aie. (mocedad). — Enfant, garçon et aussi jeune fille
IV, dans le sens d'augmenter et de surpasser, e. pl. ~jj, Aie. (moço de pequefia edad, nino o nifia)
j.r.,de Joug; dans le dernier sens aussi de Sacy
Chrest. I, 252, 1, Abbad. I, 46, 5, Badroun 173, 5, Domb. 77* (infans). Dans les Extraits du Roman d'An.
J~ J~ Gl. Edrisi. -
~O)
LL~J!! M ':i' ~3' - Ragoût de mouton aux œufs et
par ellipse pour ~L^âXj le aux tomates, Daumas V. A. 251.
C. vp. et ~if r. croire quelqu'un trop grand pour, ~Kjb-f0. éducationy Bc.
éducation,
Mace. II, 110, 14. — Prêter à usure, Aie. (dar a ~y
logro). ~& éducation, le temps où l'on reçoit son éduca-
~1—ij.
tion, jeunesse, Autob. 231 vo: ~Cr ~àuOo ~&JLS à
Aux expressions données par Lane il faut
ajouter ~iXJ? ~L., -çL.;Jl ~b. ~(=KxxjwuJI
chez Lane)
~bj
et li"jiJ' Ljj, sur lesquelles on peut consulter v. d.
Berg 94-5. man. a les voyelles que j'ai données), Prol. I, 332,
s~, n.82), 9,334, 4, II,
248,14,260, dern.1., 261, Berb. 2,
myriade (Abou'l-Walîd 659, n.63, 661,
2
I, 547, a f., 586, 5 a f., 597, dern.L, II, 151,8,
a le pl. o!, ibid. 662, 1. 1001 N. II, 68: ~&LL «tjy»
«il le fit élever
Kaj^.*^>5yaai\ ~oLoj les belles servantes qu'on dans un souterrain.» — Confiture, a chez Bc le pl.
<~~-~; électuaire, Voc.
élève dans le palais (de Slane), Berb. I, 483, 11 a f.
- S ~O i
Tumeur dans la K-j~-jt.!, qui provient de l'enflure
un souterrain,» 1001 N. Bresl. VII, 46, 47.
d'uneblessure au pied; elle produit une fièvre vio-
lente et cause de la douleur quand on la touche, M. sb!~ intérêt, profit qu'on retire de l'argent prête,
— Tumeur sous l'aisselle, qui provient d'une blessure Payne Smith 1449.
à la main, M.
~iubj éducation, Bc. 3~-
"0.,,
1 c. a. et II dans le Voc. sous scabies (in canibus).
eLa~! ;
dans ce dernier passage, l'éditeur, M.
Wright, a changé ".:,Ji en wwùyJt, mais tous les
man. et l'éd. de Boulac s'y opposent. — Jeunesse,
II établir, installer, placer, mettre, p. e. des ouvriers
dans (J.) un certain endroit, des navires dans ~(v—»)
port, des soldats dans une embuscade, une tribu sur
une terre, mais surtout des soldats dans une place,
Gl. Belâdz., Gl. Fragm., Abd-al-wâhid 47, 6 a f.,
Cartàs 222, 3, 231, dern. 1., Berb. I, 502, 4; ~<-;
lin
à
~fjtjk ~&ja «il plaça auprès de lui des gardes,» soit
pour lui faire honneur, soit pour l'empêcher de fuir,
Berb. I, 491, 12, 567, 6, 572, 5, Khattb 132 ro. —
;
sans doute soldat-douanier chargé de veiller la sû-
reté de la route et de percevoir le péage cf. l'artiole
qui précède.
C. a. L mettre garnison dans une place, Khattb 131 ~I gardien d'un certain nombre de silos, voyez
diger, Bc. — Assigner un traitement
(L.;-ïl,) à (J)
V s'établir, se fixer, Hbrt 45; ~J ~tJNWI ~-~-t n. 2, 1001 N. I, 30, 7. Suivi de «IfcSâJt, prestimo-
nie, fonds ou revenu affecté à l'entretien d'un ecclé-
jjUj'L* chacunse plaça suivant son rang,» Bc.
Etre assigné (traitement, salaire), Voc., 1001 N. Bresl.
- ,
siastique sans qu'il y ait érection en titre de béné-
fice, Aie. (prestamo o prestamera). Prébende, Aie.
IX, 195. — Exemple de ~XjJLc ~8
<~-t—j (voyez Lane) (racion de yglesia); ~-~j~ t~~Lo prébendé, qui jouit
dans de Sacy Chrest. I, ~lût", 8. - Remplir des em-
d'une prébende, Aie. (racionero que la tiene). — ~ths
~~<-t!J! condamner à l'amende, Aie. (multar penar en
plois, Khattb 19
<5
vO: ~&&Lm<-~-'~ ~J.'
w ,
gwiiy. - Régler dinero). — Même pl. rente foncière, rente quiprovient
d'une terre, Aie. (encenso o renta de hazienda, en-
du papier, Aie. (reglar papel o otra cosa).
censo de tierra, renta, renta trayda). — Même pl.
~sJ^ réunion de 60 ou 100 silos rapprochés les uns ration, pitance, Voc. (porcio, et dans la note ratio),
des autres, et confiés à la surveillance d'un gardien, Aie. (racion de palacio), Bc, Maml. I, 1, 161,162,
~I** 1001 N. I, 113, 2 a f. ~-t~J! ~Yi-L la portion
—
Cherb., Pellissier 135.
du Coran qu'on doit lire chaque jour, Berb. I, 303,
»A,- 'ij~O) proprement degré de mérite, mérite, Calâïd 10 a f. Le pl. yujt^ les prières et les louanges de
118, 6. - Station (pour la poste), Bat. III, 95. — Dieu que les fakirs ou moines sont obligés de réciter
certains jours et à de certaines heures, de Sacy Chrest.
les stations de la lune, 1001 N. Bresl. XI, 120.
-L'endroit
Garnison, Rutgers 197, et 6 200 et suiv. — AxJL~y-b~-&~-tL~);; ceux qui le font s'appellent
où
sont postés des
soldats chargés de veiller
à la sûreté de la route. Ces soldats devaient aussi
~3~J< ~,Khallic. I,
611, 2 SI.: le prince fai-
sait distribuer, dans les deux villes saintes, de l'ar-
lever les droits d'entrée ou de passage établis sur les
marchandises; pour cette raison ce terme a reçu le gent <-~!~ ~vV/d <~L~~ ~J,. «aux indigents et
sens de péage, droit pour lepassage, Gl. Esp. 335-8;
dans le Yoe.pedagium et leuda. — Commandement, aux moines.»
de Sacy Chrest. II, 178, 5 a f. — Discipline, Ht. ~XÂâlj
rang, de Sacy Dipl. IX, 493, 13.
~,
« ~M
que le Voc. donne sous pedagium, signifiait
» statut,ordonnance,règlement, Aie. (estatuto
~O
~.-j
I
o ordenaoion), Bo. — Gouvernement, Aie. (governa-
cion). — Clergé, l'ordre ecclésiastique, Voe. (ordo
500, 6 a f. — Dans l'Inde, ou
les honneurs, les insignes d'un émir; ce sont des
~1
religionie), Aie. (elerizia orden). — ~~JjX~ médiocre- drapeaux, des timbales, des trompettes et autres in.
-
~V^r1 «
ment (ni trop, ni trop peu), Ale. (modianamente).
~O ~jac incontinence, Aie. (incontinencia)
et parmi
les adverbes (incontinente); — injuste, Aie. (injusta
struments. de musique, Bat. III, 106, 110, 180,230
417. — Tour, rang successif; en valencien martava
a ce sens. — En algèbre, puissance, J. A. 1834,1
436, Prol. III, 97, 10. — Pension, Hbrt 222; chez
éosa).
mente).
- t~Aj—t ~Uq irrégulièrement, Aie. (itrigular-
les auteurs c'est ~uôy qui a ce sens. — Groupe de
~O
traits de plume, qui, selon les points diacritiques et
systématique,
« ~O* Bc. — ~j~jy-f ~vXXc nombre
les voyelles qu'on ajoute, donne tel ou tel nom, Y&.
.0.-
ordinal, Bc.
~wûy pl. ~-'!~ estrade, Ale. (estrado).
cout III, 286, 7, synonyme de ~XÂjjS, cf. V, 33.
*
dey augmenta l'amiée de mille hommes X~L~. Cartâs 34, 4; pl. ~G ~"e i gond, Ht.
pitance, Macc. 1, 373, 1, charte grenadine: ~vuyo & ~HjAJj = ~xLwjj araignée, Yoc.
~K~a.&!!
~ei 1 brouter, manger sur place les végétaux, Bc.
U
~m
+y —
~uûy gouverneur, Aie. (governador, regidor). Etre en repos, Cherb. Dial. 12.
- O les sièges dans l'antichambre des
1J::-1.;-A. II = IV laisser paître les chameaux en liberté;
califes abbdsides, où ceux qui se présentaient pour au fig. en parlant de vers satiriques, Gl. Moal. —
l'àudienee s'asseyaient chacun selon son rang. C'est Entraver, mettre des entraves, Voc. (conpedire).
un usage établi par Mançour. De Jong. — Estrade V quasi-passif de la IIe, Voc.
formée de matelas ou coussins, Aie. (estrado de al-
~3GÏ
mohadas), p. e. lY",¡aJ' iôJyo, M. — Siège de pierre ~(:?)- pl. <-J.!
un pieu auquel on attache une bête,
ou de bois en forme de banc (recouvert de tapis); Aie. (estaca para atar bestia). — Entraves, Cherb.,
banc, Bc. — Trône, Aie. (trono del rey, sillareal). Martin 130. — Espèce d'arbre dont on fait du char-
bon, Daumas Sahara 226, Carette Géogr. 137.
— Lit nuptial, Aie. (talamo de novios). — Salle,
Gl. Edrîsî, Macc. I, 251, 3. — Assemblée, réunion, SsjCij
~-O- entraves,Voc.
société, Gl. Edrisi. — Poste, lieu où un soldat, un
< pl. ~&ji ~>
C'e
entraves, Voc.
,
officier est placé par son chef, Haiyân 3 r°: le sul- ~^Ljj
tan était inquiet à cause du général ibn-abi-Othmân e.Lt. et ~j!< dans le Voc. sous conpedire.
<-t~a paissant sans se disperser, Ztsehr. XXII, 135.
~XXJ-A
= Diw. Hodz. 149, 3 a f.
Ajtjwo licou, Gl. Esp. 159, 160.
~toy 1
CI'
~j-.àJ.J' pl. ~oi et J~-sL-t,, en Espagne, espèce de coiffai
faite en forme de réseau, Aie. (alvanega de red,ca-
pillejo de muger, randa). Je crois avec M. Simonet
que c'est, comme
J~
dans L, une altération dulat. ;Ou) pluie,
%:.% Voo.
retiolum, dimin. de rete.
IV, dans le sens de la Ire, Voe. (sous lamentari),
J.:i) II psalmodier, Bc, Hbrt 155; dans le Yoo. legere chanter les louanges d'un défunt sur son corps, Ale.
(endechar) , pleurer un défunt, Aie. (llorar a los.
cum cantu; — chanter, Hbrt 155, chanter dans les
églises, Bc; — chanter, en parlant de la cigale, des muertos).
« ~y <~JLx~. VIII dans le Voc. sous lamentari.
insectes, Bc. — L: depromit J.:i.F'
Y dans le Voc. sous legere cum cantu.
i~h élégiaque, Bc.
~_CI,araignée,
~àJLij Aie. (arana).
~° élégie, chant funèbre à la louange d'un
jûJL'Jj labour de bonne coordination à raies rappro- mort, Aie. (elegia como endecha, elegiaca cosa deste
~I.
chées, Auw. II, 11, 1.11, 38, 3 a f. cantar).
.0.,
~XJuJj araignée, Voc., Aie. (arana), M, aujourd'hui ~"t"*
~jyU 0, M.
vulg. pour ~ijlJf'
en Afrique
~iJuJj, Domb. 67, Ht; chez Jackson 185: ~ïs jeter des pierres à quelqu'un, Bc.
ertella b'hairiearaignée venimeuse. VIII c. être stupéfait, Voc.
o ~1>phalange
ibLjJij (sorte d'araignée), Bc; — taren- K-:?-)
agitation, branle, fracas, tumulte, tempête r
tule, Bc. — Quant à la plante qui porte ce nom, trouble, sédition, calamité, Bc, Abbad. I, 58, 7,.
voyez Bait. 1, 490 b. 135, n. 369, II, 17, 2, Cout. 41 v°: yaaJl ,3 ~U
~jGj chantre, Bc, Nowairi Espagne 479: ~J3 ~0'" 4), Haiyân-Bassâm I, 172 rO: ~iLs».
7» ~CI
~&& ~A*
~1
~Joyo chanteur dans l'église, chantre, Hbrt 155.
''3~J
V être paresseux, Voc.
.>
~Ojj)
paresseux, Yoc.
I
~fi
Cazwînî l'avant-dern. lettre est un hâ.
IV. il-i'vjiLioo
~êJ] II pluviner, pleuvoir à petites gouttes, bruiner, Aie. (~->t. (~>-J~ '—~j~! forte
caravane qui partait du
(lloviznar).
Caire pour la Mecque au mois de Redjeb, Bat. IV, 324.
~Oj.
~w* Le Voc. X~ ~w# *
a sous vetula, et
d;,
~S#
pl.
~ol, balbus. ~^•2^ I. ~L" ~,s il trouva bon de faire une chosey
CA*4*
O > file pacha trouva bon de
i rebâtir la
, ~O )
,
Tille d'Imrân dans le district dal-Boun. Je crois prépondérant, Bc, comme ~g—;100
Ê.,.--.-. 1001 ~lq. N.
que Weijers (voyez ibid. 151) a eu raison de pronon-
eer et de traduire de cette manière, et que Rutgers
(161 à la fin) s'est trompé en changeant les voyelles
j
IV, 247, 7: ~e -O..eUi à t~—j<. Aussi comme
excellent,élégant, 1001 N. I, 44, 5 a f.:
et la traduction de son collègue. Aussi avec <~~-J
p., Rutgers 168, 14, où il faut prononcer:
~&a £ K~-Ls~. ~JJmJ! Cartâs 119, 8 a f. (lisez
ainsi), semble signifier proprement: la prépondérance
de la faculté intellectuelle sur les autres facultés de
Il c. ~tri mettre deux ou plusieurs choses, ou opi-
nions, ou personnes en balance, les examiner en les
comparant, Amari 18, 11, Prol. II, 279, 2 a f. et
l'âme, et ~!
r M>.L>.,- Macc. I, 195, 14, la
pré-
pondérance de la modération, de la clémence, de l'in.
ouiv., III, 2, 2, Haiyân 11 ro: j*ZLJî ~tm. &~i~>.-t ~à dulgence. Le mot K-s"L>. seul s'emploie, soit dans
.b.>4J',. — C. a. et ~c~rc/~rc~' une personne, une le sens de sagesse, sagacité, Abbâr 169, 2, 239, 9,
ehose à une autre, Voc., Bc, Macc. I, 596, 16, 805, mon Catalogue des man. or. de Leyde I, 227, 14:
2, II, 58, 2, Vie de Saladin 219, Abdart 14 vo:
question: faut-il faire le pèlerinage de la Mecque l5'}'" Macc. 545, 21, Recherches II, App.
II,
lorsque les routes ne sont pas sûres? ~~JH O'li, p. LUI, 4 a f., soit dans celui de modération, indul.
d'enfant, tapecu, bascule, Bc. — Berceau suspendu, vrai que cette manière de prononcer est bonne; ce-
espèce de hamac, Bc, Hbrt 27. pendant j'ose affirmer que l'autre l'est aussi. Ce qui
le prouve, c'est qu'on lit dans l'excellent man. d'Ibn-
Abdalmelic, 2 v°, après une digression: )~->~, avec
s~>-, boisson faite de fromage et de dattes, Barth
toutes les voyelles et avec ~gjo. Chez Ibn-al-Khatîb,
V, 702.
69 v°, on trouve après une digression: ~\&- "l,,:,.
ce qui met l'usage du prétérit hors de doute. Com-
~—>~. ~yf** tremble, espèce de peuplier,
Bc. En poésie (;,'ft.J seul s'emploie en ce sens, Macc.
~e
j<~>-., comme adj., sale, Gl. Bayân, Bar Ali éd.
Hoffmann nos 4268 et 5804, Payne Smith 1485, 1490. (TA) 1038 a, à la fin. — C. ~JJ p. se* fier à, accor-
der sa confiance à, Gl. Fragm. — C. ~J,t embrasser
~(j~o~!
~O-circonspection,prudence, Aie. (atino, tiento
atinar, tinoyendo une religion, une doctrine, Gl. Badroun. Aussi c.
para haziendo; ~s-j* ~^Li
~L desa- ~J,' p. embrasser la doctrine, la secte de quelqu'un,
~;:i
o
~.ù
tinado; ~ili desatino).
- _.TZà
U.A>- de niveau, R. N. 65 ro, où le Chiïte 'Obaidallàh dit:
~t
Aie. (niveladamente).
garten avait
garten avait écrit
éerit ~-J* ,.
Dans son édition du Kitâb al-aghânî (23, 17), Kose-
,
«)
~*~~ ~>-< fléchir les genoux, Yoc. — C. se
départir, se désister, Bc. —
défaut, Bc. — C.
C. se corriger d'un
laisser un écrit inachevé,
Q~>~ - lit, Beert 73, 6af., Mohammed
,au
485, 2af., on dit:
bien en menosmal).— se dédire., Bc.
(Lane),
entêter, détourner, dissuader, Bc. - bleuir, — C.~ se convertir, changer de mœurs, Bc. —
cr ~&-~ r:::f'J' il lui redemanda l'objet qu'il
rendre bleu, Bc. - iUlail rompre les fiançail- lui avait prêté, Gl. Badroun. — Restituer, Gl. Abulk
une rivière,forme au pl.
y-f-j
,
dans le sens de barrage, barrière qui ferme
Berb. II,
K<->~Jt la doctrine du retour; selon quel-
ques mystiques, le monde reprendra son premier état
quand une certaine période de temps sera écoulée,
194, 11.
Lj~X~t
je vous y
prononce %—>.~<, *•
je m'en rapporte à ma dernière lettre,
renvoie, » Bc. — Au Maghrib, où l'on
,
Aie. (tornadura medida de tierra; cienvebras do tierra
ijOj\ ae x—>-—~ K—jU) cinq pas cinq huitièmes, ou
et tout ce qui s'y est déjà passé aura lieu de nou- huit coudées un tiers, Maml. II, 1, 277, à Sfax six
veau, de Slane Prol. II, 196, n. 5.
tinuation après l'interruption, Bc. --
Reprise, con-
Réintégration,
mètres carrés, Espina R. d. O. A. XIII, 150, cinq
ares vingt centiares, Clément-Mullet II, 50, n. 2, cf.
Bc. - Reconciliatio,L,~ c'est réconcilia-
xSlâl;
tion dans le sens que les Catholiques attachent à ce
Lerchundi, Rudimentos del arabe vulgar que se habla
en el imperio de Marruecos, p. 378, n. 1 («es un
terme: l'acte solennel par lequel un hérétique est cuadrado que tiene 64 canas cuadradas, ô bien 384
réuni à l'Eglise, et absous des censures qu'il avait kalas cuadradas»). C'est de ce mot que dérive le
encourues; cf. sous Uu," — Réaction, action d'un terme grenadin marjal, qui désigne la neuvième par-
tie d'une fanega de terrain (Banqueri II, 109, n. *);
1
S
corps frappé sur celui qui le frappe, Bc. — Réaction,
au fig., vengeance, Bc. — Contre-révolution, Bc.
»
- il faut l'ajouter au Gl. Esp. A Grenade on avait une
i
compétence, du ressort, des médecins, il faut s'en
rapporter là-dessus aux médecins; eW à ~-?'~
alarme, alerte, épouvante, sursaut, tressaiW
£sc>-j
388, XII, 411. — Uo::-) palpitation, Bc. "",t,,'J' cerfeuil, corne de cerf, Bc. — J\.;iJ'
qIâ=>-j tremblotant, Bc. Vansleb 101: «roïet gassal ou pied de cerf, dit ainsi
à cause que ses feuilles sont tout à fait semblables
alarme, Bc; \~o.U fausses alarmes, Gl. au pied de cet animal; est huileux.» Je pense que
Fragm.; \U ~~c~La alarmiste, Bc; \~Â~>~!jA~
perturbateur, qui cause des troubles, turbulent, Bc.
ce terme doit être corrigé comme je l'ai fait.
-3~! J.::.) et (j~JL~ (A), chez le vulgaire en
-
~La~ centaurée, Prax R. d. O. A. VIII, 281.
Espagne, salsola fruticosa, Bait. I, 492 f. -
~~a~ IV décharger, Voc. (exhonerare).
— Soumettre(?),
pied-de-chat (plante), Bc.
(plante dangereuse), Bc. —
-pied-<Valou-
patte d'oie
,
J~->~—f seul a ce sens (apearse). C J ou p. en que ~-\j~ est le nabîdz proprement dit; voyez
l'honneur de quelqu'un, ce qui est un signe de sou- Lettre à M. Fleischer 196. — retour-
mission, Gl. Fragm. ner dès qu'on est arrivé et avant qu'on se soit assis, M.
VIII descendre de cheval, mettre pied à' terre,Voc. J->-y Le pl. ~->-. signifie des hommes distingués
— Baisser la tête,Voc. — Décharger,Voc. - JL~
;
par leur savoir et leur piété, Djob. 45, 7. Chez les
en parlant de mots radicaux, l'opposé de Soufis les hommes distingués par leur avancement dans
Berb. II, 7, 4 a f.
la vie spirituelle, Prol. III, 63, 1, Ztschr. XVI,
J~>-. pied d'une montagne, M. ligne, 236, n. 4. — Dans le R. N. 94 rO: ~jLc
— Jambage,
barre d'une lettre ou autre chose, Bc. — Pilastre
-
; - JL.:::-f',
c.-à-d. « il
était de ses
et les saints, 1001 N. IV, 689,
.!I!J\ Dieu
amis.»
, pl. du pl. Gl. Edrisi; Haiyân 102 v0:1^aî3 2 a f., 694, 2 a f., avec la note dans la trad. de
Lane III,
729, n. 17. — JÙl=?-) L.
«il se mêla de ce qui ne le regardait pas,» Bat. IV,
e J<->.
358. -
\j~-;J~- tous les rapporteurs dont les
Voc., Gl. Djob., Gl. Mosl.
(plante), Bc. —
-
pied-de-veau,
J~<~!
plante,
pied-de-lion noms sont cités dans les isnâds, de Slane Prol. II,
483; aussi JL>~! seul, Macc. I, 492, 11: Lj~u
Arum, Bc. - t. de maçon, le côté in- JL~~ ~~J~-tj, 501, 3 a f. — Le pl. ~L>~ les
férieur d'une pierre, M. -
uJ-lSù\ ,3*—pied-de-
chèvre, levier de fer, dont une des extrémités est
personnages haut placés, les grands de l'empire, de
Slane Prol. II, 18, n. 2, cf. J. A. 1869, H, 158-9,
faite en pied de chèvre, Domb. 95. -
X~.L>jJ! J-~'o
en Ifrikiya, camomille à fleurs blanches, Bait. I, 106 b.
Amari 328, 7 a f. - ,0 .1
.~Lc- femmelette, homme
le
fantassin (cf. Lane), Cartâs 149, 2 a f.,
mais notre man. porte J~—>-~ qui est le mot ordi- qu'il était en état de prédire l'avenir,» Berb. II,
naire. — Brave, homme de cœur; -P~\J!
héros de son siècle, »
412, 5. ~)«~ firent des conjectures
Bc. diverses sur,» Gl. Bayân, Gl. Djob., Berb. I, 527,4.
J~>.!,. Les gardes d'un prince s'appellent KJL->-~ II dans le Voc. sous lapidare. — Faire des con-
jectures, Gl. Belâdz.
kyJJtXJl, Haiyân-Bassâm I, 114 vo, ou simplement
V dans le Voc. sous lapidare.
KjL>jJ!, ibid. 11 ro, en parlant d'un calife: (jM-w-j
VIII dans le Voc. sous lapidare.
,
raisin, Aie. (grumo de uvas); dans le
J~o~j chaussure, soulier, sandale, M, Mehren25,
Aie. (gajo de uvas, grumito de uvas) donne aussi
1001 N. I,87,11,14 et 16, synonyme de
<-~~,
0.,
J~~e,, qui est une transposition du dimin. J~~->~.
1. 8, Bresl. XII, 368, 3, où l'éd. Macn. (III, 187)
a
~)o~. Le pl. P. Kàmil 315, 11, cf. 1. 15.
dans le sens d'homme d'une dme virile
(Reiske chez Freytag), Abbad. I, 225, 1.
&jo>j ,
.J->~ Elœodendron Argan, Bait. II, 443.
Bc:~
avec la note de Fleischer Berichte 248.
V, dans le sens de prier, c. a. p., 1001 N. I, 595,
«
rendre un service.» — Réclamer, implorer avec in-
stance, Bc. — Se recommander, Bc.
je vous prie de me
o
A. 190.
G >
yo *
plat, pas creux (assiette), M.
VIII c. a. p. mettre sa confiance dans quelqu'un, L~~j I. Au fig., comme nous disons « la-
(jM~,
Prol. III, 415, 2 a f., 416, 5. — Se confier en Dieu,
»
ver une tache, une injure, un outrage, Abbad. III,
Aie. (confiar en Dios). — Donner de la confiance, de
l'espoir, Aie. (afuziar).
113. -
.<~~—!~
pleurer, Bc.
laver ses pécltés, au fig., les
~les
X espérer, 1001 N.
autres édit.).
9 #/1'
I, 305, 11 (aussi dans les
1
Edrtsi. VIII se laver, Abou'l-Walîd 261, 23.
Confiance,1 u:ob;o cloaca, L.
ce que l'on espère, Gl. Fragm. —
~JL~
~J~-JL-e «j'ai une prière à vous faire;» L:::-)
instance, sollicitation pressante, prière instante,
ressemblait au de Merw, Tha'âlibt Latâïf 129,3.
,
Y quasi-passif de la IIe, dans le 1er sens que j'ai la charge d'un chameau, cinq quintaux, d'Es-
donné, Voc. — C. u
p. bien accueillir, Bc, Roland, cayrac 574, 579. — Marchandises, 1001 N. Bresl.II,
°*
1001 N. I, 15, 5. 170, 2 a f. — Chameau (cf. Lane 1054 a), Hamâsa
X c.
421, 12 a f., Abbad. II,
157, 6. — Troupeau, pl.
p. bien accueillir, Bc.
was>j.o) j~L&JL~«il les accueillit fort bien,»
L (grex, obile; sous tous les deux
synon.), Aie. (hato). — Bergerie, L (caulis
comme
Akhbâr 69, 8.
Voc. — Maison hors d'une ville, terre, métairie, ha-
X*~. place, lieu public entouré de bâtiments, Voc., meau, Gl. Esp. 328. — Les ingrédients d'uncuisinier,
Aie. (plaça lugar donde no ay cosas), Bc, Ht, Hbrt la viande, l'huile, la graisse, etc., 1001 N. I, 202,
15, Bresl. II, ,
W«
127, dern. 1. —
== J-.>J.A,
signification latine et sicilienne d'étable, on plutôt de
bâtiment rural pour les pâtres,» Amari MS.
f~-t VIII
«o«~A~!
K~ ,
dans le Voc. sous misereri.
,
choléra-morbus, Burton
A.>i'
I,
Vattaque la plus grave du
367. — K '- ma
:LL~,
„ de même que J~-=>~, selle de dromadaire,
foi, je vous jure, en vérité, Bc.
j
Ztschr. XII, 182. — De même que J~—>~, bagage; O
.~<~ clémence, miséricorde, Voc., Abbad. II, 76.
dans le récit qu'on trouve chez Macc. I, 555, 15,
Mohammed ibn-Hârith, 235, a VèL-L-,>. au lieu de 9- humain, sensible à la pitié, Bc.
J~-.. - De même que chameau, Abdari 59 rO:
il y avait encore à la Mecque beaucoup de pèlerins,
Aj~-t. Le pl. tL..:>.J dans le Voc.
environ quatre mille (il les compte par cha- suivi de ~t~~! libéra, prière pour
meaux). les morts, Bc.
Xi~-. voyage, dans le sens de relation d'un voyage, >
p~-r~ melon, Cherb., espèce particulière de me-
M. - Journée; une de cheval
est 35 milles lons qui se vendent à Constantine,
«
* Martin 104.
d'Angleterre, une :i..L:» ordinaire est 30 milles, et (_Stt) 1 moudre, Bc, Ht. — Aiguiser, Ht,
Jackson 22 (erhella).
Hbrt 84; repasser un rasoir, Delap. 77.
.J~-<- charogne, cadavre de bête, Voc.
~c". L~-. est dans leYoc. - <L~J~
déménagement, transport des meubles d'un
logis à l'autre, Bc. — Bagage, Aie. (repuesto, ropa
ou
pierre à repasser, Domb. 94; chez Ht seul, pl. 1
qualquiera), Haiyân-Bassâm III, 141 vo: iV—^
15'L,;).
-
En médecine, nom d'une maladie de l'uté-
1845, II, 318, 3 a f. (j~s~ et Lge.>D meunier, Voc., Domb. 103, Hbrt
chamelier, Tha'âlibt Latâïf 15, 11. — Coll. 74, Ht, J. A. 1844, I, 413.
Kilâs^ nomades, Bédouins, Gl. Esp. 331.
XJcolonne de monde, Roland.
xllss-j sorte de selle dont l'assiette est
concave, le .!~>..- ambleur, cheval qui l'amble, cheval d'al-
va
dossier large et haut, le pommeau élevé, mais échan-
lure, bidet qui va l'amble; O',.:>.J' X-JW&WOamble,
cré de sa base à son sommet, Daumas Mœurs 364
traquenard, Bc; cj!~~) amble, Ouaday 457.
(rahhala).
j~&~j marche, Prol. III, 428, dern. 1.
-L;-D meunier, Aie. (molinero).
— Qui doit être
moulu, Aie. (molinera cosa para moler).
290, 13.
l'endroit vers lequel on se retire, P. KAmil
meule y Bc.
- O- est mandra, dans l'anc. trad. latine d'une
bà.:>..ro 1 c. a. p. tomber sur quelqu'un et le frapper, M. —.
charte sicilienne apud Lello 11, 12, 17, «dans la V. n. baisser la tête ou se baisser, M.
petite pluie jfcLfcjJI), M; il ne faut ceux qui avaient le soin et la garde des meubles
pas confondre ce mot avec (voyez), avalasse, on-
Maml. I,
1, 162.
dée, averse, et dans les 1001 N. Bresl. IX, 348, 2, CI
(pour housse, Bc.
il faut substituer à-
t.demaçon,voyezsous t"¡:') II mollir, manquer
ment, Bc.
de force, céder trop aisé.
Le pl. t,,»'
1001 N. Bresl. IV, 79, dern.
1. Condor, le plus grand des oiseaux, Bc.— ~-A-~~ <~~-. mollesse, excès d'indulgence, Bc.
'iLjè-jJù
grand fauconnier, 1001 N. I, 30, 3 a f. —
Char, chariot, L, qui donne: currus
2
quadriga <j~~t, zinc, Cherb.
ci
caparaçonner;
richement harnaché, Bc.
(pers.) meubles, Maml. I,
.Lns" cheval
1, 253. — Pl.
trop
de toute sorte de violence, Bidp. 117, 2, Khatîb
;
iu^vJî C~') ophite ou serpentin, Bc.
— Marbrier, L
(latomus (cesor lapidum) il a deux fois ce mot avec
O -
~->. lâche (ventre), trop libre, Bc.
~jt-iP-Jîlambrissage, Bc.
~—L.~j
',G-.J mollesse, qualité de ce qui est mou, Bc.
O >
L~) chevelu, Bc.
;;., pendant (moustache), •r/-* lent, tardif, Aie. (espacioso como perezoso).
(~-~ M.
1.
maladie de la vigne qui semble avoir une
grande analogie avec l'oïdium, Auw. I, 593, 21 et suiv.;
cf. Clément-Mullet I, 557, n.
Bc. — ReM.
w
V, dans le sens de fréquenter, visiter souvent
, itérative-
aussi c. ~^X: p., Bc. aâIZA fréquent; aaixà
ment, Bc. — Aller souvent à la selle, avoir la di-
arrhée, Payne Smith 1442. — C. Je p. insister
auprès de quelqu'un, Akhbâr 128, 2 a f., 148, 4.
C. ~B p. avoir des soins bienfaisants pour quelqu'un,
-
~àj L Le n. d'act. ala , dans cette expression prover- Bc. — C. J p. s'adresser à quelqu'un, de Sacy
Chrest. II, If, 6 et 7. — Hésiter, Ht, Berb. I, 449
2af., 503, 8, II, 133, 2 a f.: ~LoLtL>aA-aJi à ajyj-
«ami au prêter, ennemi au rendre,» Bc. — Conju- «il hésita quelques jours s'il le ferait arrêter
ou
rer, * au fig., détourner par prudence, Bc. — Rétrac- non,» c. 210, 7, 520, 7,
U.-Jy J-~! sL~~ ~à
ter, désavouer ce qu'on avait dit, Bidp. 17, 4. — ~A.:ÍJ-A«ne sachant si cet homme était mort ou vi-
Remettre un membre disloqué, Gl. Badroun. — Re- vant, » Djob. 142, 15, 325, 15 ~(511 ~yu).Hé~
mettre en grâce, Aie. (restituyr a la gracia). — *)
seul et à ~Lc ~ùj réagir, en parlant d'un corps qui
agit sur celui dont il vient d'éprouver l'action, Bc.
siter à croire, Prol. III, 290, 11. -
~ùàjï ~J, en
jurisprudence, se dit quand il y a plusieurs opinions
sur un fetwâ, v. d. Berg 6, n. 2. — Résister,
— Vomir, Voc. — T. de jurisprudence, redhibere,
v. d. Berg 74, n. 1;
~Xxàà a rédhibition,action pour Domb. 129.
VI se rendre mutuellement les otages, Gl. Belâdz.
faire casser la vente d'une chose défectueuse, Bc. —
VIII c.~Crz être repoussé,séparé de, Abbad. I,
Suivi de l'acc. et de J..Sù' ~qC, pervertere veritatem, 65, 3. — Réfléchir, v. n., rejaillir, être renvoyé (lu-
Yoc. — ~Ojj ~9 irrévocable, Bc. - ~~r*
~J.' ~'? ~r-U mière), Bc. — Se ralentir, se relâcher dans le bien,
rien ne les arrêta jusqu'à ce qu'ils arrivèrent à,
R.
-
N. 93 ro. — V. n. retourner, Fakhrî 68, 4, 1001 N.
f.
I, 67, 3a — V. n. reculer, et ~0^
rejeter sur ses compagnons, J. A. 1849, II, 324, n.,
se
Aie. (afloxar en el bien).
en mal).
tA-~Llî J~j.! ou ~^JLlî
changer en bien ou en mal, Aie. (convertir en bien,
~w)
pouvoirs extraordinaires s'appelait ~J! ~&-L~, Re-
<'~LJ!~JLc, rendre le salut, R. N. 58 e: .~JLj~-9
cherches I, 284, n. 2 de la lire édit. — Le pl.
r
~) des machines de guerre, J. A. 1869, II, 212.
— ~~T~ ~L~PL On appelait ainsi
ayez-en bien soin, Bc en Palestine ceux
(Barb.). - ~(jsau L ~J<~L
une tradition par une autre, Gl. Belâdz. —
~(jiaiu ae ~Oj compléter
C.
dont les ancêtres, après avoir quitté leurs terres par
crainte des musulmans, y étaient retournés à la con-
dition qu'ils leur payeraient le tribut qu'ils avaient
p. défendre, Bc. — C. ~-c r. dissuader; ~q-cOj payé auparavant aux Byzantins, Gl. Belâdz. — :Pl.;:-
convertir, faire changer de mal en bien, ~ùj ~Léi environ,Yoc.
Bc. — G. à critiquer, Abdart 90 ro: &,.,Lo )
~ijSj
refus, Bc. — Son, partie grossière du blé,
-
~LUW.
— C.
J p. répliquer, répondre, Bc.
Bc. Fois;
Gl. Bayân. — Pl. ~J, ondée, ~x
S~J~ & «pour la première fois,»
~a^> Alc.
(nuvada de Iluvia); de mème~jUi ala,, ondées, Rut- ~N
malignité, méchanceté, noirceur; ~-~!
immoralité, Bc.
gers 164, 11, ce que l'éditeur, p. 170, 1. 1 etsuiv.,
révocatoire, Bc.
et dans la 1re - ~Ua
le
II peigner
chanvre,
>
—~\j.
les cheveux, Voc. — Serancer, peigner
le
pl. <~-!~!~
lin, Voc., Aie. (rastrillar lino).
,. peigne, Voc. —
Bateau pour net-
toyer le grain sur l'aire, Voc.(rastrum), Aie. (rastro
para arastrar pajas; sous le t, après trocha o rastro:
rastro de paja o yerva). Saadiah (de Fez) (dans
.c~., chez les Khâridjites, celui qui connaît la Abou'l-Waltd 800, 12) dit à propos du mot "p'îS^p,
que Gesenius explique par «instrumentum quoddam
vérité, la doctrine véritable, mais qui la cache, c.-à-d. rusticum tres cuspides habens, probabiliter furca tri-
celui qui est Khâridjite, mais qui n'ose l'avouer, Kâ- dens, qua fœnum, mergites, stercus similesque res
mil 573, 1. prehendere et tractare solent: » ,'y~! ~*Lî,.~te.. ~aJî
~,>A retour,Voc. — Refrain, Bc, Ztschr. XXII, d'une certaine manière, man. de Leyde d'Ibnal-Au-
106 n. wâm, 119 vo; dans l'édition (I, 509) il manque plus
de neuf pages.
crucifier tous à la fois,» Gl. Bayân. — Usufruit, IV brider, réprimer,Voc. (refrenare).
Macc. II,
672, dern. 1., où Fleischer, dans les Add., VIII être rejeté, repoussé, Haiyân 89 rO: v_jss-
cite les Ta'rîfât p. 150 éd. Flügel.
>
ô~-~ une tradition provenant d'un rapporteur dont
l'autorité est faible, et qui contredit une autre tra-
dition digne de foi, de Slane Prol. II, 484.
Abou'l-Walid 222, 29.
nistre, Bc.
Le pl. Lé,>' dans le Voc. - Funeste, si-
B VIII être y
fou Gl. Badroun. marécageux, en y jetant du sable, des décombres
etc., Amari 616, 7 (lisez ~r.5), dern. 1., un terrain,
II,c. a., dans le sens de la IVe, faire monter que couvre l'eau, le conquérir sur la mer, .;>-:J\ ~",
quelqu'un derrière soi sur une bête de somme, Voc. Becrt 30, 9, 14. — Encombrer, embarrasser de dé-
(trosar). combres, Bc, Edrîsî ~11, 4 a f. — Ensevelir sous des
YI. ~Jc ~~,X~ ~f-wt dénomination qu'on emploie décombres, Roland Dial. 564. — Aplatir la terre avec
les pieds, la battre avec la hie, Aie. (pisar con pi.
pour désigner plusieurs peuples, Prol. I, 152, 18.
~otSj rideau, Hbrt 204 (Alg.). son), Gl. Bayân p. 30, où l'on trouve: ~-jJL&
s~ajj. lieutenant, Berb. I, 67, 70,
72, 77, etc. — wtyUt, ce qui est la constr. ordinaire, mais aussi:
*
\~;J~! bracelet de pied, Hbrt 22 (Alg.).
> + celui qui est monté derrière un autre
,
blable à celui du rouet, M.
il y a 8~ôOj,c.-à-d., un I, un j ou un ~Lq avant la
II faire iulôj (voyez), Voc.
lettre qui forme la rime, J. A. 1839, II, 164, 4, un fuseau,
165, 9. — Un 05<3-<o ~t-.~ est un quintain dont 0'j. Le pl. au fig., en parlant de fleura
délicates, qui semblent tissues de filoselle, ou spécia-
le quatrième vers a une autre rime que celui qui lement de leurs étamines, auxquelles le zéphyr ar-
précède et celui qui suit, M. rache des parfums, Fleischer Berichte 243 sur Macc.
I, 719, 7 a f.
~XJtôj
_,CI.
pl. Cy».4ala le fuseau de fer dont se sert le
KSj~. pl. perche, gaule, Aie. (percha, varal
,
fileur de laine Voc. (tornum), Aie. (torno de hilar),
I
:
vara grande). Descr. de l'Eg. XVIII, part. 2, 380.
Maml.combler, Bc (Barb.) l'embouchure d'une rivière, ~I ingrat, Voc.
prostituer, avilir sa dignité, son talent, Bc; — dit d'un malade qui est encore trop faible
1 se
— ~ë:~Jj
détremper, ôter l'énergie de l'âme, Bc; — rabattre, pour se lever, ou de celui qui s'est beaucoup fatigué
abaisser, réprimer l'orgueil, Bc. en marchant, M.
V dans le Voc. sous deteriorare et sous malus; (~t, n. d'un. Aie. donne: abispon [dans les dict.:
S.
s'avilir, se dégrader, se ravaler, Bc. frelon, guêpe], raçtâbala, coll. raçtabal. Je pense que
VI faire, dire des polissonneries; c. ~itl p. tenir c'est un mot composé et contracté. Raç me semble
une conduite indécente, être grossier, malhonnête en-
;
96 vO: avant de commencer sa leçon, un professeur
Kï!~ portion (certaine quantité d'aliments), Payne
voulait attendre l'arrivée d'un de ses disciples,mais
Smith 1498.
comme il attendait en vain, quelqu'un lui récita un
Les raisins qui portent ce nom sont petits,
vers dont le second hémistiche était: à XeL~ ~e
blancs et à très-petits pépins, Burton I, 387. — Lis ,>-,Yi alors le professeur dit: ~K-4 ~r
blanc, et ~H!t*~~!
O) (cf. Gl.Fragm.) l'huile qu'on ~~—~. On voit qu'au lieu de rizma,
on dit aussi
en tire, Bait. I, 432 d, 488 f; mais selon l'auteur
du Gl. Manç., ~à),, est huile dejasmin, qu'on appelle rozma. — Rôle des contributions, M.
aussi ~j)t) vjuij. Il ajoute que l'origine de ce mot, X~ voyez l'article qui précède. — Grosse, douze
qu'on emploie, dit-il, en parlant de raisins, deverre douzaines, Bc.
et de toile de lin, lui est inconnue.
1 S
nom d'une étoffe de lin, synonyme de X~~j)
KjuLe..
~iUljy
rôle des contributions, M; cf.
pilon, Cherb.
AJÔLJWJ.
~Ajjjj
est aujourd'hui: une espèce de lucarne, qu'on
ouvre quand on va ôter la poussière, et qu'on re-
ferme quand la besogne est achevée, M.
II réunir
des rames de papier, Gl. Esp. 334.
Envelopper, Martin 120.
- ~Ojf pl. ~ojV gourdin ou aiguillon, Payne Smith
1151.
VIII dans le Voc. sous farcire.
r «
~2wliy
xJt~
,0 pl. (composé des mots pers. ~j'J' jour, et ~MU, livre)
ballot, Gl. Esp. 333. — Paquet ou
almanach; — contrôle, registre de vérification d'un
faisceauquelconque, p. e. faisceau de fouets ou cra- rôle, d'un registre, Bc.
<~j.. O"CI'
(composé du mot qui précède et de l'affixe
~f asphodèle, voyez sous (jJyàl. — Poudre pour
colle, Descr. de l'Eg. XII, 130 (risrâs).
turc) contrôleur, Bc.
J.~L~. P est chez les Arabes (~oytil ~IAâê) l'espèce de gelée,
~L'
~,pour~A, infortuné, Voc., Ibn-Hazm, Traité qui s'appelle en Orient gJylls, et au Maghrib ~KÔJJLO,
Gl. Manç. vo -~-Hs.
sur l'amour, 101 vo.
Gl. Mosl.
~< II construire, Yoc.
~U#j 1 voyez
~"t II, dans le Voc. sous epistola, signifie écrire des
~) pl. ~U, mine (~~*~)! Gl. Mosl.
lettres officielles en prose libre, c.-à-d. sans rimes,
II causatif de I, M sous ou avec peu de rimes, selon la définition qu'on trouve
Prol. III, 324, 12; mais c'est aussi souvent écrire
IV faire descendre une corde dans un puits, 1001 des lettres officielles en prose rimée; cf. Abbad. I,
N. Bresl. VI, 288, 11. 6, n. 23, Gl. Bayân, Haiyàn 35 vo, Berb. I; 429,
2 a f., 445, 2, 541, 7 a f. De là
Y =
1 déposer, laisser, former un dépôt (en parlant
d'écrire de ces lettres, Berb. I, 430, 12.
le talent
de liquides); <~~JL<) féculent, chargé de lie, Bc. IV.Envoyer chercher un tel est ~OD ~,.—c ~JJ
On trouve YY"')(cf. Golius, Lane) dans le (cf. sur cet emploi de ~if ma Lettre à M. Fleischer
t~j~.
Gl. Manç. (sous le mot même et sous v_si*j"), où on
lit que c'est proprement un n. d'act. puis: ; ~&_
38), Haiyân-Bassâm
~!. ae KzLe-- ~if'
1, 10 r° : .~L
30 v°. — Lancer, débucher une
~\Xé ~CJ43
#
W
-
O>
ÎU/obUwj
soutane, habit long des prêtres, Bc.
w ""-:¡rA,
,r.)4 ~M.ZA, Khatib 52 vO: jJ
/*> ~C)w
synonyme de ~X-xbLc, Aie. (signatura de baxo). —
!
Apostille qu'on écrit sur le dos d'un billet et dans
,
sur un registre, un rôle, Abbad. I, 37, 10, 74, n. laquelle on énonce le montant de la somme qu'on a
14, 427, 3 a f., 428, 3, Macc. II, 589, 3, Cartâs touchée, Bat. II, 91. — Acte, note officielle, Ht,
44, 2 a f., Berb. I, 501, 6, Khatîb 33 ro:
y f-»1.!jiLi (5,
Calaid 64, 14 Ghadamès 19, dern. 1., J. A. 1843, II, 223,1851,
I, 62, 12, 1852, II, 213, 2 a f., Macc. II, 352,
,
L. là: obtenir un emploi, Abbad. I, 7,
— De
2 a f., III, 438, 8, de Sacy Dipl. IX, 486, 10.
—
Mot, parole. Après avoir donné la définition des ter-
n. 23, Berb. I, 548, 5 a f.,
Khatîb 64 v": ~J., ~U5
+
~Z- m ~O «»
mes ~Xx+y et l'auteur du Gl. Manç. ajoute:
6 a
~1
porter
f.:
~yA» «qui
le titre d;, Abbad. I, 221, 4: ~3)^4 O,.w.:;)',
Haiyân-Bassâm I, 106 v°:
(jvaflî'uU
-
Charme, Vansleb 414.
~IXÂC.
— Auspice,
M portait le titre de câtib,» -,
a, jj-à-j).
L (auspicuum (sic) L~n-t! f-**,» ~Z
-
Croquis
esquisse, ébauche, dessin, plan figuratif, Bc, Hbrt
,
le surnom de
,
JrtA—a Djob. 243, 1, 329, 1. - C.
96, Aie. (debuxo en escorte; f—*») ~)~-~ figura de
traços), Djob. 197, 1. — Canevas, dessein, plan
d'un ouvrage, Bc. — Projet, Bc. — Compartiment,
~,\& p.être posté quelque part pour garder un prison-
dessin, partie disposée symétriquement avec d'autres,
nier, 1001 N. Bresl. IX, 228, 12. — Etre consacré Bc. — Linéament, trait, Bc, Djob. 39, 10; ainsi
>
prêtre, Bc, M; ~d" r.:51 prendre les ordres, Bc,
„
linéaments, traits, Abbad. I, 244, 2 a f., 267, n.
ZJ ofi
être ordonné prêtre, Hbrt 155; lJ""W
donné diacre, Bc.
~^,»
~o
écriture, Djob. 106, 2. — ~-~'j-S' pour ~t-.J
, ~Il3 Mace. I, 550, 14 et dern. 1., Prol. III,
être or- 49. — Caractère, marque, empreinte, Bc.
— Bor-
dure, Djob. 81, 9 et 12, 181, 13, 193, dern. 1.,
229, 20, Macc. II, 439, 19. — Costume, Soyoutî
dans de Sacy Chrest. II, 267, 11: ~suaiiif .e~S ~f,
260, 14. — Description, Yoc. — Scénographie, t. de Martin 117. — Usage, coutume, de Sacy Chrest. I,
mathém., représentation en perspective, Bc. — 275, Vêtem. 387, 8 a f.; ~aXJUit ~çy") les usages de
~f- la cour, de la royauté, de Sacy Chrest. II, 183,
~<i ~cosmogt'apMe;aL.wJ,
~CI
~LoÂil uranographie, Bc. — 4 a f., Berb. I, 557, 6 a f., 598, 9 a f. et 3 a f.,
--
Inscription, Djob. 107, 17. — Trait, ligne tracée II, 246, 9,Nowairî Espagne 462-3: K-î-àl ~rUt
avec la plume, Bc, Prol. II, 338, 2, Berb. I, 654,
,
L~j~. .rAilD X~L<~!. De même Berb. I, 631, 5af.:
5, Macc. I, 364, 5. — Lettre d'un dictionnaire, Gl.
«pour se conformer au cérémonial prescrit, il fit,»
~-t-~ etc.). On dit SJ-CAJI quand la reconnaissance
(cet article &j-:5-P manque dans notre man.).
d'un souverain se borne à le nommer dans la khotba,
du Gl.
— Article d'un dictionnaire, voyez le passage Berb. I, 568, 3. 'L'expression ~L-jw, ~rUi signifie se
Manç. qui précède, Bait. I, 155 m: Lpl-= <~-S~ conformer à une coutume, de Sacy Chrest. II, 183,
4 a f., Tha'âlibî Latâïf 13: Abdalmelic ibn-Merwân
fut le premier qui fit graver des lettres arabes sur
-
4, 2 éd. Hammer.
Inaugural, Bc.
~C-
*
JLOUWJ inventaire
— Scénographique,
,
nairement remplir provisoirement un emploi, Berb. I, dition de celui qui est gardé, Fleischer Gl. 16;con-
518, dern. 1., 532, 7 a f., 536, 1; mais .t-~ ~AÎ~! signe, punition militaire, défense de sortir;
~xi 574, 10, semble simplement: «il remplit .t~w~! ~ca^ mettre à la consigne, aux arrêts,Bc;
au-
près de lui le poste de hâdjîb,» comme 576, 5, où cf. Macc. I, 693, 1, Meursinge 26, 16, Rutgers
de Slane traduit toutefois «.vice-chambellan ;n
cf. II,
18, 9, 19, 1.
J
189, 14. — wuwJcJ! ~— planche à dessiner, Amari
III, ~iUjJiU*man. B 9O
pj-*Mwo, en parlant d'une lettre, est celle qu'on
Macc. 767, 19:
dans Khattb 39 ~ro: 1
Lu ~r-}' rl;'; ((il remplit
écrit, mais qu'on ne prononce presque pas, Fleischer
Gl. 12. — Broché, broché d'or, Vêtem. 378, n. 5.
—
pendant peu de temps le poste de secrétaire à Gre- ~Pl.* »Mi\ et r--\.J", commandement, ordre d'un
nade,» 78 rO: XJIAXJI ~L*-AJLX, Autob. 217 ro: prince, surtout ordre écrit, Fleischer Gl. 16, M,Hbrt
Je fis accompagner l'émir par mon frère ~r-}f 'JâiLs-, 205, Bat. 199, Berb. I, 631, 6 a f., II, 535,
III,
où de Slane (Prol. I, p. XLVII) traduit avec raison: 8. <-~~Jb r>-.;A lettre de congé, passe-port, Autob.
tque je chargeai de remplir, par intérim, les de-
voirs de cette charge.» — Demeure,domicile, Macc.
215 rO, 2 a f. -
Chez Ibn-Khaldoun le sens du mot
r-wt.;A varie. On trouve Prol. II, 295, 3 a f.: ri.1 i
I, 363, 5. — District, province, Antar 52, 1: ~I xxcyàJS les préceptes de la loi, Berb. II, 485, 5 a f.:
~~L-~~! .4-~~-~ les préceptes de l'islamisme. Mais il
— Inauguration, Bc. — Ordination, Bc. — Dans un signifie aussi: les honneurs d'usage, Prol. II, 295, 13,
,
,,1'. Berb. I, 398, 16 et 17, II, 113, 14 et 15, 497, 1.
sens très-vague, presque dans celui de .,-0', Khatib
~G
» r-\;-o
t~jLtJ! les usages de la cour, Berb. II, 142, 3
,,
d'une sorte d'étoffe, Holal 9 vo: ~olJÎ
L~t-!!
~LMtj nom
~(y*
ï.à
II,
; telle est la leçon des trois man.;
711, 4, on trouve qLoJI.
~a.à ~t4 'èLàj giboulée, Bc.
petitepluie, pluie douce, Aboul-Walid783,32.
chez Macc.,
~sy (esp. rocin) pl.
(j&L~ la saison des pluies, Ouaday 285.
~Cj") ~-~L~. bidet, petit cheval,
~âLwj goutte; — pluie, de Jong. — Arrosoir, Bc.
Aie. (haca pequeno cavallo).
.~L. '-'F\ c~ Payne Smith 1013.
LqIl'eL:)*
*1»(jiy*»
fiala,
~Là
IV. Dans le sens de mouiller, jeter l'ancre, on dit
,
1 ~O
-flacon d'argent à goulot étroit et long, avec bou-
:
aussi Nowairî Espagne 438, .c-~~ chon percé de plusieurs trous, Bc.
v_3LLi^s=\Xî,Hœst 187, et seul, Fleischer Gl. 19,
de Sacy Chrest. II, 56, 7, Djob. passim. — Jeter le
6
-
filet, Edrîsî, Clim. VI, Sect. ~tJ' >LAMJI ~0 --
*~Uij,
au fig., adonis, très-beau garçon, Bo.
~L&tj pl. ~L&. faon, Bc.
iCCxyio). — Tirer un vaisseau de Veau, Aie. (naves
sacar del agua). — Lester un vaisseau, Aie. (alastrar I
la nave,lastrar la nave). (esp. raspa) plane (outil), Ht.
~9O t.
de mer,
~u5m~;, poul-ie, J. A. 1841, I,
~mer, poulie,
~ancre,Yoc.,Gl. Djob.,
1,
Djob., Hbrt 128.
588. sous ~KjyH. Ecrit Bat. II, 366. M: <bti?XX~!t
m
~XjLmj* ancre, Bc, Hbrt 128. !
oL;,:j;,.¿ gale, Voc.
(*3~t la casse, Laurus Cassia, Sang. 1 s'infiltrer, passer comme par un filtre, Bc,
Hbrt 174.
1.4
~Lmj
~poudrer ;(jir,
I. Le n. d'act. (jàLàj, dans le Yoc.
— C.
~c sau-
et Je ~ULxJo ~IJÑ) enfariner;
~J-c ~p.> ~iuJ t.,./Ñ) paner, couvrir une viande de pain
~O-.
~II. &M*sà gàjsejustifier,Weyers
Wei)ers 42,
KM*Ài ~gwiij se préparer à
2 a f. des
s~J!
j
Souvent aussi, dans un sens plus large:
les grands fonctionnaires les notables, Berb. II, 166,
11, 234, 6 (où il faut lire ainsi avec notre man.
35. — Filet d'eau, Abdari 17 vo (Tunis): ~XAÏLJI ~Q
~t"
~r,>
d'esprit, connaissance, exercice de la
justesse
faculté de distinguer les objets, raison, son juste
Prol. I, 239, 8 (où la trad. de M. de Slane n'est emploi, bon sens, sens, faculté de comprendre les
pas exacte). — C. ~J,\ s'élever à un emploi, une di- choses et d'en bien juger, Bc. — On dit ~Jà ~uUr,
~uJ4,
en parlant d'un prince qui régnait sans avoir
des droits au trône, Haiyân-Bassâm I, 192 v°. —
Attraper un rhume, s'enrhumer, Bc, Hbrt 35. 1
~jjkI couler,
cf. II,
Prol.
la trad.
III, 411, 14, où il faut lire
~yoy
gouttes de pluie, Barth V, 676. I, 277, Ztschr. XX, 506, dern. 1., 507, 1. iiïL&ja
doucement, délicatement, Bc. — Fourche à troispoin-
-
(j&~ ceinture ornée de perles, M.
tes, Gl. Esp. 201,Abou'l-Walîd 636, n. 1.
~VwÀ^ IV faire sucer, Abbad. I, 45, 7. ~e
~lGG)patère en bois peint, Beaussier, Roland.
liat.t) (aussi £&M<^) ~J~, Most. sous ce der-
=
af.:
~Kivwj baiser,
Abbad. II, 137, 8, Macc. I, 428, 5.
- Gorgée, 1001 N. III, 446, ~6 Xilwjvy"*
crois que dans l'édit. de Bresl. IX, 247, 1, il faut
nier mot.
ajouter le verbe ~V/*" et lire: ~Xa Xi-.A V-J^—il, au grive, Hbrt 184.
lieu de ~dL~<J~e. Je pense qu'il faut lire de même, érésipèle, Bc.
,
250, 4: ~XSJMJ~&;.A V_JJÂÛ au lieu de ~&".D ~x;A y.;fN.
~XiUij espèce de mets composé de millet et de lait, ~,< (autre prononciation de ~j**^) 1 tracer, Aie. (debuxar-
Barth III, 525. traçando), Roland. — Marquer, mettre une empreinte,
v_iLÎrj celui qui mâche et avale une marque sur une chose pour la distinguer, L
avec force et avec (signo (designo vel significo), Aie. (asinar, consi-
bruit, de manière à être entendu des voisins, Daumas gnar, imprimir, notar, senalar, X-~jj~e ~kcai plata
V. A. 314. marcada), Bc (Barb.), Daumas V. A. 115, Auw. I,
474, 20, 21, II, 225, 3; — marquer avec un fer
~<.PJ 1 ne se construit pas seulement c. a. p. et ~V_J chaud, Voc., Aie. (herrar ganado, herrar otra cosa,
~.0, ~&_SP.
de la flèche, mais aussi c. d. a., L~.-~.-~ senalar con huego); — \~JL~! ~p-*»)se signet., faire
Macc. II, 198, 15. — Ficher, Delap. 9, ficher,jeter,
-
le signe de la croix, Bc. — Sceller, Aie. (sellar).
Roland, ficher,planter, Ht. — Toucher, atteindre le VIII dans le Voc. sous signare.
~°et
,
but, en parlant d'une flèche, Gl. Djob., Khatib 68 rO:
~0,
r4--J' ~-a-~3, ~pjïj L donne ces articles: astericus ~'Y
~il
~& ~cro
~Il - ~CI- -1 1001 N. I, 674, 2 af.: KAUr-5 f*~)3
vJLàO jîUdl. - Sauter, bondir, Voc., Aie. (brincar).
I,
caracter ~Cde, signum (vel signaculum)
un
Aie. (impressor, sellador).
«. fer chaud, Aie. (hierro para herrar);
^JOAOJA nivelé,
"J I. ~,~~-~Jt
Aie. (nivelado al plomo).
N. III, 202, 203, dern. 1., IV, 667, 2: Lt-~c J..uJ Astronome, et, ce qui au moyen âge était souvent
iX-Adp 713, 7 a f., Bresl. III, 364, 2; M: la même chose, astrologue, Abbad. II, 60, 11.
- poste de soldats-douaniers chargés de veiller
à la sûreté de la route et de recevoir le péage, Becrî
19, 6 a f., en parlant d'Ain az-Zaitouna: \X*oyoLfoJLc
obscur dans un passage chez Valeton àoJbjî ~L~J. — De là: péage, droit pour le pas-
45
5 a f., où
on lit que le vizir du calife Mo'tadhid écrivit à Ahmed sage, Macc. I, 130, n. f, R. N. 74 vo, où un saint dit à
ibn-Touloun: o a £ cff.;
w
- s~~LjCJ! -
,
et dans celui de Saint-Pétersbourg (voyez p. 105). Ouoj-» observatoire, Bc. O^OjC.
Weijers (p. 67, n. 2) veut prononcer t3u5"3,1; mais à ma vue, en ma présence, Voc.
l'explication qu'il propose n'est nullement satisfaisante, Vargent que le locataire d'une boutique qui
et je crois qu'il serait téméraire de s'écarter des appartient à une fondation pieuse, dépense, avec la
permission du directeur de cette fondation, pour l'en-
man. A mon avis pl. a ici le même
sens que
JL.-AO.,
,
plus loin, signifie: un poste de soldats-douaniers char- qu'il a le droit de la revendiquer, Ztschr. VIII, 347 n.
gés de veiller à la sûreté de la route et de percevoir
le péage, et de là péage, droit pour le passage. Le J-AO-4 celui qui fait le guet (au haut du beffroi),
vizir recommande donc au gouverneur de ne pas pres- Ul. Edrîsî. — Lion, Gl. Mosl.
surer les voyageurs en exigeant d'eux des péages trop
considérables, et de se rappeler que Dieu voit toutes jjo~o
* affât, t. de vénerie, lieu où l'on se cache, Bc.
(luceo), promicat, rutilo (luceo));cf. II allaiter, donner à téter, nourrir, Yoc., Aie. (aman-
tamiento Bc, Hbrt 27, Payne Smith 1608,1609.
II paver, Voc.
V être pavé, Voc.
E:-e.) , nourrisson, au pl. ~L~, Bc; pl. tL..:o.¿,
-
\-~M~•* massif (de maçonnerie), Bc. — Pl.
0, poète, Bc.
chaussée, c.-à-d. levée qu'on fait au bord d'une rivière, eL-~t nourrisson, Aie. (mamanton o mamon, cf.
X*SIAOJ s~~JULS
à
« y 0.,. était dans les filatures do soie, la petite machine
cette famille. On disait aussi par ellipse iLxJUsJjt, Hodz. 251, vs. 22.
Gl. Fragm. (les deux passages d'Imrânî qu'on y trouve f*.io-) VIII. J'ignore si cette forme existo réellement,
cités, avaient aussi été notés par J.-J. Schultens), mais je trouve chez Ibn-Haiyân, 50 r°: j~~aj~
Khallic. I, 155, 17 SI., cf. 1. 19. XasLoj épithète
—
du vin, c.-à- d., qui vient > Gl.
de r\;;:..91 xJLOJ, Mosl.
splendeur, éclat, Meliren 25; cf. sous la 1 (esp. redoma) bouteille de verre, fiole,
Domb. 91.
Ire forme.
j p. et y r. autoriser à, permettre de, Bc.
0110-)-
II, —
<f!~
(_çabj 1 c.
je vous en prie, Bc.
.*;Lc. nom d'une étoffe, Macc.
le Holal t'3~) (voyez).
711, 14; dans
II employer la formule Maml. l, 2,
de
il faut lire ainsi, avec le man. de Leyde, au lieu
15, Macc. I, 257, 20, cf. Macc. II, 703, 22, où il V c. employer la formule maml.
est aussi question de soldats: J~JLJ! à r-lu
I, 2, 112.
VI c. J p. être d'accord pour.donner le comman-
~~D.
..,..,
dement, la souveraineté à quelqu'un, Tha'âlibt Latàïf pl. dans la 2e partie du Voc., dans
la lre, herse; semble le latin rutabulum, rotabulum,
qui peut bien avoir eu ce sens en Espagne.
gLe~!; aussi c. p., \yo\ji, Akhbâr 5,2 et 3.
X c. a. p. contenter quelqu'un, Abbad. I, 173, 8. 1 foisonner, abonder, Bc.
je vous conjure au nom de ..b;-h;-A commun, qui se trouve en abondance, à
la douzaine, très-commun, Bc.
Dieu, Bc. — £
^5^XÀ vous me plaisez, Akh-
qui contente plus, Gl. Maw. livre, monnaie de compte, Aie. (libramoneda).
*»L»toLa de gré à. gré, à l'amiable, Bc. pinte, Bait. II, a
102 (passage d'Edrisi):
,-:",bJ II. ~-~) rafraîchir le
sang, le rendre plus
calme par les remèdes, Bc. — "":-,,b) rafraîchir L5uL) nom d'une plante, Daumas V. A. 380.
° !
le sang, au fig., faire plaisir, calmer les inquiétudes, Bc.
V s'imprégnerd'humidité, Bc.
G pain mollet, Aie. (mollete pan
muelle). — .L.LjtJ~ w*»bj se laissant facilement con-
~,
impôt sur la soie à Grenade; dérivé de
livre, parce qu'on levait huit maravédis sur
chaque livre, Gl. Esp. 350.
,
ter la page (Wright). E. II, 282.
O A-
I. &:b „ ,
6X-5 monter sur ses ergots, élever la rafraîchissement,recouvrement des forces, Bc.
voix avec chaleur, Bc.
II tonner, Yoc. — Faire trembler, Yoc. — Mena-
X
etc., est l'araméen et signifie pro-
~,
129, 153, 5 a f., 209, 10 a f., 223, 8, 263, 6; on (J~~t I, aor. a, frétiller, s'agiter vivement, trémousser
trouve souvent dans l'édit. et aussi dans notre
man. On a cru que ce mot signifie proprement les
et se trémousser, se remuer d'un mouvement vif et
irrégulier, grouiller et se grouiller, fourmiller, se
tonnantes; mais quoique cette opinion soit fort spé- remuer (aor. o), Bc.
cieuse, je pense toutefois que, dans l'origine, ce
n'est rien autre chose qu'une transposition de a~!.h,
m
qui a absolument la même signification, car dans le de sang,» Cartâs 213, 6af. —
- 7 i: Dorrat al-ghauwâs 19.
Voc. machina est aj!—& (qu'il écrit incorrectement N0.AàQ
1 rafraîchir
les inquiétudes, Bc.
le sang, au fig., faire plaisir, calmer
-trg ~-e~P nom d'une plante ou d'unremède,
'/Le.-ty rafraîchissement, recouvrement des forces, Bait. II, 504 d; leçon de B (texte) EKLS; B (marge)
Bc. — Fleur, fraîcheur, velouté, lustre, Bc.
f # simple, qui se laisse facilement tromper, Macc. ~J<JJ~ ~~), crocodilium Dioso. (III, 10), Bait
I, 135, 2. — Variable, incertain, sujet à varier, en U,253b.
parlant du temps (cf. Lane à la fin), Tha- • £
'âlibî LatAïf 113, 3 a f. .~t-,* (cf. Lane) bétail, car Bo donne
J~,J! sous parquer.
411
1
b: J~JL~ ae
-
s'emploie aussi en parlant d'abeilles, Bait. II,
«les
abeilles qui butinent»
quelqu'un, p. e.
honor dans le Voc., considération, égard pour
déférence, condescendance;.;hL:>
votre considération;»
égards, Bc. —
sur les fleurs. —
.—J! e (~.
laisser manger les blés Démangeaison, Bc, M. — Cancer, Bc.
par les chevaux, Cartâs 203,5,3 2 — Dé- af., a f. J-<-~J! bardane, glouteron (plante), Bc ;
vorer (cf. 1001 N. I, 32, 2af.), consumer, détruire,
rongery au fig., consumer, miner peu à peu, Bc. — cf. Most. v° ~tJa.~5.
;
ae rogner, Bc.—Démanger, p. e. vaine pdture, terres dont la pâture est libre,
j)L-&—t<(la main me démange,» Bc, M. où tous les habitants d'une commune peuvent con-
— Passer
Vautomne, Aie. (otonar tener otono), mais peut-être duire leurs bestiaux, Aie. (dehesa concegil). — Lieu
,
faut-il traduire mener paître le bétail dans certains où l'on mène paître le bétail pendant l'hiver, Aie.
(estremadura, mot qu'il traduit aussi par J<—s"Lj~,
sjs>\ 0'
lieux pendant l'automne; cf. sous
sJLjiX-AaJt (~-j Lo «VOUS avez observé
1
ce
tandis que ce dernier estencore chez lui enverna-
dero, lequel a le sens que j'ai donné).
qu'un ami doit observer à l'égard de son ami, c.-à-d., » en parlant d'un traité, qui doit être observé,
vous avez agi comme il sied à un ami, R. N. 63 ro.
Amari Dipl. 231, 7. Mais 4cjtl 5 «•£ C~*~ chez
— Dans le même sens que * Û (Lane), Macc. II, 211, 1, est une expression singulière et je
on dit àL*0j_5> ai J5, de Jong. — C. a. p. honorer,
avoir des égards pour quelqu'un,Voc. (honorare), ne sais pas trop bien ce qu'elle veut dire. La leçon
semble certaine; j'ai déjà dit que je l'ai trouvée dans
Calâïd 56, 3. — et aussi .!I.Ïwo
cinq man., et elle est aussi dans l'édit. de Boulac.
il lui en sut gré, Maml. l, 2, 134.
Peut-être faut-il traduire qui mérite d'être honoré,
II faire paître, Voc.
III
c. a. p. avoir de la condescendance pour quel-
mais comparez l'article qui suit.
tégé, Gl. Edrîsî.
- pro-
qu'un, déférer, céder, Bc. — C. a. p. faire bon mar- > excellent,parfait, Aie. (estremada cosa). Je
ché à quelqu'un, lui vendre à un prix modique, ac-
ne vois pas comment le partie, de la IIIe forme de
commoder, traiter bien un acheteur, Bc. - peut avoir reçu ce sens, mais Aie. écrit murâây,
être reconnaissant, Bc.
- «JSLÈ»- complaire, avoir
Y
ce qui ne peut guère être autre chose. Peut-être
des égards pour quelqu'un, entretenir l'amitié de quel- a-t-il eu en vue et s'il en est ainsi, l'emploi
qu'un, ménager quelqu'un dont on a besoin;, de ce terme chez Macc. (voyez plus haut) serait ex-
(3 Sji3L> avoir de la condescendance pour quel-
pliqué.
qu'un, Bc. — =
1 paître l'herbe? voyez Gl. Mosl.
So
pastinaca sativa, Bait. 1,3, dern. (pour ,
h!CL*) suivi de J, à cause de, Voc.
1., 77 b, 497 c (AB). — verveine, Bc (qui s—~C. I c. p. désirer, rechercher l'alliance de quel..
écrit Bait. I, 75 b, 122 h, 498 b, II, qu'un, Bidp.23, 1: >4^1«aJI
— O. p.
chercher à apaiser la colère de quelqu'un, Badroun 1
4.
tU£j voyez l'article qui précède.
— va*Jo à
102, rechercher une fille en ma- avidité, Payne Smith 1613.
riage, Bc. — C. à s'intéresser à, prendre intérêt à,
embrasser les intérêts de, prendre à cœur, Bc. — C. iwOLCjji \o.Ã> boîte aux hosties, Aie. (osti-
a. p. et à r. prier, supplier quelqu'un de faire une ario donde se guardan).
chose, Aie. (suplicar), Becrî 112: —
-
I
J celui qui prie beaucoup, Aie. (rezador).
C. p., dans le même sens que c. p., Abbad. I,
~L~J~ Curieux, qui a l'envie de savoir, d'apprendre, Bc.
67, 12 et n.w, Çalàt 22 v°:
>
\-~e..< excitant plus le désir, Gl. Maw.
)
dans le sens de Le fém. ravaudeuse, remplisseuse, qui
-
Désapprouvé, haï,
Calendr. 39, dern. 1. — Sonchus tnaritimus, Prax R.
raccommode des dentelles, Bc.
I, f, 499
I, 499 e. - ~A!! iS..ë, sélénite, Bait.
Dial. 27. — Lever, hausser, Bc (Barb.). — Hisser,
144 d. arborer, Hbrt 129. — Lever l'ancre, Hbrt 128 (Alg.).
I, n. d'act. \~a~., être ému, Mehren 28. - Même — Lever,
ôter, retirer, Bc (Barb.), lever, porter,
emporter, Ht, porter, Hbrt 88 (Barb.), ôter, emporter,
n. d'act., devenir aigre (lait), ibid. Hbrt 195 (Barb.), Cherb. Dial. 93:
corniche, ornement en saillie au-dessous d'un t^lXo «lorsque vous viendrez prendre, cher-
plafond, Bc. — Etagère, rayon, tablette, serre-papiers, cher vos arbres.»
tablettes en compartiments, Bc. — Claie de roseaux, VIII c. et dans le Voc. sous sustentare.
Aie. (canizo de canas, çarzo de vergas, çarzo de ca- 0
nas);~-3~) des claies d'osier ou des planches sur les- a peut-être le même sens que (lre signif.
quelles reposent les ruches, Auw. II, 721, 7, avec chez Lane) dans les 1001 N. Bresl. XII, 136, 4:
la note de Clément-Mullet II, 2, 257. — > > Cr
bande, troupe d'oiseaux, Aie. (vanda de aves).
Voyez aussi Payne Smith 1101.
- pl. iXjlàj soutien, Yoc. (sustentamentum).
;
.CI., dimin. de M. verbe, doit avoir un sens particulier quand il est
IV coudre, rentraire, Aie. (surzir question d'un joueur de gobelets, Macc. II, 179, 12.
o coser).
VIII dans le Voc. sous resarcire. - Palpiter, Ht. — banderlesyeux, Bc.
II décrire du cercles dans la airs (oiseau), Payne ~àuaâj les Râfidhites, Nowairt Afrique 36 vo: j
~*x
Smith 1443.
~ôj-i;
# ~O*feston, guirlande,
voyez Gl. Edrlst 370, 2
a f. et suiv.
oljîj auvent, petit toit en saillie, Bc, M.
~u, j) pl- bandeau
1o..ÎI.:S:)l;) qui couvre les yeux, Bo.
~b.
~I®*dans le Voc. sous abücere.
••
~XiLâj
~CI,friandises X=bl Voyez sur l'origine du nom de cette secte
qu'on sert avant l'entrée du Ra-
madhAn, Mehren 28. I, 357, 14 et suiv.
Prol.
~tire-d'aile
> ~O* y battement d'aile prompt et vi- ~~asL renégat, Hbrt 157.
goureux, Bc. ~L~î les Râfidhites,Bat. I, 130, 1001 N. Bresl.
(J~< régimber, ruer, au fig. résister, Bc. — Comme
1 VII, 63. Bc. (hérétique) donne ce mot comme le pl.
v. a. pousser un cheval, ou peut-être comme v. n.
courir, Gl. Fragm. — Fouler aux pieds, Hbrt 140. — de ~~as!..
Pétrir, Daumas V. A. 319. — Etre assis sur ses fon-
i
rcZ 1exalter, vanter, Bc. — C. a. p. témoigner de l'esti-
dements (édifice), M.
me à quelqu'un, Gl. Badroun, R. N. 84 v°:
~CI-d'un
~Lmè) pont, sttpport, ce sur quoi le pont pose «udfijAib le ~jts-;~~L~~-~e J~aj,
Valeton f",
des deux côtés, M. 4 a f.. Cette expression, comme je l'ai observé dans
~y*—pâles le Gl. Badroun, signifie proprement faire asseoir
légères coupées en petits morceaux,
quelqu'un à la place d'honneur, et elle est l'équiva-
baignant dans le beurre avec des dattes pilées; le tout
mélangé avec du sucre, Daumas V. A. 252, 409.
lent de ~&Jl=s?r:!), ou ~~J-s~ eJ" Aussi c. %-1 p., R.
O
Comme efferre en latin, porter un défunt au
tombeau
et l'enterrer, Koseg. Chrest. 44, 11. — Conserver,
(J>a3j (pour (JMÎJ) 1
ruer, Bc, 1001 N. III, 12, 3af.; garder, mettre en réserve, en cave (Lane TA), voyez
c. a. donner un coup de pied contre, 1001 N. I, 38, les exemples que j'ai donnés dans le J. A. 1869, II,
dern. 1., 85, dern. 1.
165, Gl. Badroun, Gl. Edrîsî, Gl. Mosl., Bidp. 240,
II régimber, ruer, au fig. résister, Bc. 3 a f., reponere dans le Voc., R. N. 96 Vo (où le
second ~£-5) a ce sens et où le pronom dans L^*^>
'jôàj 1 abjurer, Hbrt 157. - Récuser, rejeter un juge, se rapporte aux livres que cet homme avait copiés):
des témoins, Bc. - ~O elle
~(jàXJL <~~j~. a confu, Hbrt
26 (Alg.). ~IgJU U:L¡.a m2:àli à; déposer, laisser une chose
V ltre de la secte des Rdfidhites, Macc. I, 799, 4.
en quelque endroit, R. N. 86 vO: Ayant acheté des
VIII dans le Voc. sous abiicere. habits très-simples, je les déposai ~(L^JL*>) chez un
IX, en parlant d'une fleur, se déployer en sortant çL->—vo; j'arrivais alors avec des habits riches, que
de son calice, Abd-al-wâhid 116, 15.
~et j'ôtais dans la boutique de cet homme ~LuJ! ~'3
Lïai, attachement très-fort à une secte, accompagné
d'une grande aversion pour d'autres sectes, M. —
«iXifc 1. — Quand il s'agit de
traditions,
Grande propreté dans les habits, etc., M. voyez Lane 1122 a; cf. Maco. I, 220, 7: ~S~
1Vjp» à aussi quand il est question de
~<s)JU; juge, accuser quelqu'un auprès de, Freytag Ohrest.
variantes dans une tradition, comme dans l'exemple
c. d. a., que
j'y ai notée aussi, elle me paraît étrange
et douteuse. — Partir, se mettre en route, voyez plus j-~!
oS
SI
QIEj-1.M»,
QLLLLMJI
~vij
, ou
(Lane 1122 b), Voc. (apellare). — ç-ij
à, présenter une requête
au sultan, Gl. Belâdz., Ibn-Abdalmelic 156 v°: ~¥.aM
loin sous ~&wij È). - sJiyGà on continuait à
,
le reconnaître pour calife, Abbad. I, 250, 4, en par-
>,;3
C. a. et ~do' présenter une chose ou une personne à
~O ,<JL!!~-3
quelqu'un (cf. Lane 1122 a), Abd-al-wâhid 212, 13: au moyen d'une requête, 281: .~-~-J
>O9:
Ayant été désigné par mes concitoyens pour porter
la parole devant le sultan,
!i*~
«on me pré-
«on
&Aàxx-:i jjyoa» -
~vXÎviiAjtâj, HaiyAn 51 v°:
~O
k) 1
çjji
senta à ce prince;» 101, ~JUJI t:-5.
Aussi c. J, au lieu de ~, Ibn-Loyon 4 v°: -9. déclara lui avoir payé telle somme, Tha'âlibî Latâïf
): il
~gj\. De là dédier un livre à quelqu'un. Dans la suite
du passage que je viens de citer, on lit: ~J L.9>jJ,
de quelqu'un, Macc. I, 566, 14.
~KL ~Ls~
- (j«jL-~\-<J< !<-J.
yL.;,:.j(.H, ce qui semble indiquer une dédicace, et ~çij lever la séance, Bc. ë)
(chez les Dru-
~o)l; vXi LUtf' a ce sens chez Bassâm I, 201 vo.
a t ~>3
al-wàhid 134, 5 a f. — ~lvz> O ~1 ej
déclarer son
~*aJ la chose se présenta à ses yeux, il
la vit de loin (cf. sous la Ire forme à la fin), 01.
esclave libre, Formul. d. contr. 2: ~-~~ «J~& ~(jP^ Belâdz.
«
verres de dessus la table, Abd-al-wâhid 218, 9. —
1
Lr-J.*"* \ja*a£ demanda qu'on lui présentât
les placets de ceux qui avaient des réclamations
faire, Maml. 1,1, 236. — S'enorgueillir, se vanter
à
retirer d'une affaire, s'en laver les mains, se déchar-
ger de toute responsabilité, de tout reproche, Bc;— L (iactans n~~jtX~ £iyU*wo).
'~J~ 9~\; ~e,, enlever, dter une chose à quelqu'un, f- hauteur,
J
~£—3j ~oî
colline, Kâmil 607, 12. — Pl. tl;)
Ibn-al-Athtr, Commentaire sur le poème d'Ibn-Abdoun,
276:
~4
~LI
moisson, récolte, Mohammed ibn-Hârith
Y.
Aiguiser, rendre plus subtil, subtiliser, Bc.
~HcH. délicatesse, finesse, raffinement, subtilité, Bc, t,:f\;ro, chez le vulgaire en Espagne, xanthium
rwse, finesse, Hbrt 245 (Eg.). strumarium, Bait. II, 382 b; il dit que cette plante
X<~. ce que l'on conserve, garde, ce que l'on met porte ce nom parce qu'elle s'attache aux habits de
ceux qui la touchent.
en réserve, en cave, Gl. Mosl. £JLSy~O
est chez Aie. encarnadura, mais c'est une
~X sorciers (le nom dérive du chaikh Rifâ'a),
faute d'impression; il faut lire encaramadura; ce n.
Ouaday 702; cf. Ztschr. XX, 491 (mangeurs de ser- d'act. a donc son sens ordinaire.
— Pl. ~oî talent
pents et de charbons ardents). supérieur, Fakhrt 365, 3: L~J~~JLj~ ~SJ ~010' à cj4u
s
~J5. celui qui fait remonter jusqu'au Prophète des
traditions dont on ignore la filiation, si M. de Slane
~mO
~cLaj~!r<MCCM~OM, fête des chrétiens, Bc.
a bien expliqué le passage Prol. II, 154, 4. — Dans ~~&Laj.<
le Voc. sous elevare. ~.CI' ascensionnel, Bc.
~-., I, 229,
~10 pl. L< assiette (vaisselle plate), cf. Tha'â-
excellent, très-beau, superfin, Macc.
dern. 1.
— ~MuLjy X-JLJt-j, J. A. 1849, I, 194, 5,
libî Latâïf 74, 11 (où l'éditeur a changé à tort la
leçon des man.) avec Bat. III, 378. — Buffet, dres-
soir, armoire pour la vaisselle, L (arca),Voc. (reser-
vatorium), Aie. (almario, aparador, vasar), M, étagère,
Delap. 163, Martin 120, tableHe, planche pour mettre
de même qu'on dit en ce sens ~Jlc
JLC).
—
J
semble signifier: une mule avec une selle très-haute,
(voyez sous
#«»
Avantageux, présomptueux, Bc.
~4
quelque chose dessus, Bc (Barb.), tablette en bois,
Ht. — Peut-être ce mot a-t-il l'un des deux sens
J. Le pl.
(!~0, » canaille, Gl. Fragm.
qui précèdent dans ce vers qu'on trouve chez Ibn-
al-Abbâr 71, 4: ~C" 1 c. y ou & soutenir un homme fatigué, Voc.
~)~>~
III xj'uiL convoyer, Bc. — Accompagner le
Le poète semble avoir voulu dire: «Si les hommes
chant, Bc. — C. a. p. et y r. donner gracieusement
n'avaient pas été dans l'abondance, les dons de mon
frère auraient été pour eux des assiettes toujours à quoiqu'un la permission de faire une chose, Re-
pleines,» ou bTcn « des buffets bien garnis ;»
mais cherches 174, 7 de la 1re édit.: ~L
~ii.1 L5jbyl ;W
dans ce cas, 1 expression dont il s'est servi n'est pas
trop logique. — Chez Aie. ce mot signifie aussi
«tablado como ventana.» Faut-il traduire fenêtre?— V e~~-~< marc/ter lentement, Lettre à M. Flei-
£-3^-* carnaval, Hbrt 153; aussi
0 ~5
~-Sr-~ seul, acher 117. — C. y
r. ménager une chose, ne l'em-
ployer qu'avec réserve, l'épargner, P. Calâïd 54, 7:
ibid., Bc; dans M e1r'il.
e.,J;';'
,
,)CI-
semble avoir le sens de ~, fin, pré- Chercher son profit, Djob. 323, dern. 1.
deux dans les 1001 N. Bresl. IV, 360, 13: c:Jl.::-l.::-j VIII s'approvisionner, Cartàs 242, 11 a f. - C.
~3~. -~)-~r~ ~JUj~«9
semble signifier: une ruelle
fermée à ses deux bouts, ou peut-être une impasse,
a. r. se servir d'un objet en guise de
~Ss-<~
~CI c.-à-d.
sur laquelle ouvrent plusieurs maisons. Les habitants de coussin sur lequel on appuie le coude, Berb. I,
de ces maisons la possèdent en commun, et aucun 291, 10. — Accepter desprésents corrupteurs, Thàà-
d'entre eux ne peut apporter un changement à l'ex- libt Latâïf 112, 7, cf. l'article de M. Defrémery sur
térieur de sa demeure sans le consentement des au- cette publication, p. 18 du tirage à part.
tres. Voyez les passages cités dans le Gl. Maw. — X chercher son profit, Djob. 220, 7.
~*O
~)L6L&JVargent qu'un voyageur paye à un Bédouin VIII comme synonyme des verbes (y^i) .;+!"
Payne Smith 1628.
jpour obtenir 8a protection, Burton II, 113.
.oS
~0,
~jJ} .ot
thi), 0"
fém. *33,
(pour ayant les oreilles mol
yjiLtfby Le pl. vJL-ij, Diw. Hodz. 30, 4 a L —
les, mollasses, au propre en parlant d'un âne, au fig.
~O#
~Ju^ jtMt une démarche lente, Abd-al-wàhid 249, 16, en parlant d'un homme, M.
Macc.
-
II, 272, 9. - ~~jJ~
~O*
semble
,
~xïi' vol (nuée d'oiseaux), Roland. prospera cosa, rico), et ~luàji richesse, Djob. 38, 19.
~XSibjlessiens,
ceux qui sont de son parti, Bc. — Laisser tranquille, Tha'âlibt éd. Cool no 86, eu
(même texte) Valeton M, dern. 1.
~-a-jL~yJt, chez les Soufis, la tête sur les
appuyer V s'enrichir ou être riche, Voc. (sous ditare), Ale.
genoux, Bat. I,
37; mais je crois qu'il faut lire (enriquecerse, abondar).
avec le man. de M. de Gayangos, voyez sous ~6.
~tèj s
tJs\jy
~vJy> II. = Edrtst, Clim. VI, Sect. 1.
~!SU;
(s'il faut écrire ainsi ce mot qui chez Aie.
~*
G,. \J~!-~< denrées, vivres, Bat. I, 69, etc.,
~-Xs-je.
est rafêh et refêh) abondance, prospérité, richesse,
Djob. passim, et très-souvent chez d'autres auteurs. Aie. (abondamiento, hazienda o riqueza, prosperidad,
coude ou
— Cette partie de l'armure qui couvre le riqueza).
le bras, 1001 N.Bresl. IX, 260, dern. 1. — Dossier ,0. espèce de danse guerrière, décrite par Bur-
K~s.
du lit, chantourné, pièce du lit entre le dossier et
ton II, 247.
le chevet, Aie. (cabecera de cama).
y~c£ «us,, Gl. EdrisI.
et
G ~S
~Ot ~ja1 comparatif de
vjuyo celui qui a le superflu, M.
, -0..-
~JL~ dossier du lit, chantourné, pièce du lit en-
~t Le n. d'act. auOjfdans le Voc.
~i-e le dossier et le chevet, Aie. (cabecera de cama). ~iLôj reprise, raccommodage à l'aiguille, Bc.
assortiment, Bc.
XJM~-< ~m
~J.J I, en parlant de plantes, s'étioler; on dit olxiîî vJS;
~uujy présent corrupteur, Haiyân-Bassâm I, 10 rO:
ceux qui obtinrent ces emplois ~a~S ~6 -
\~jt~ , Bc. C. ~if r. être trop faible pour, n'être
pas en état de, Gl. Fragm.; il faut lire de même
« l&Lu* LgjOn trouve ,*y-'~ et ~Oiàjy réunis
dans un vers cité par Hamaker, Spec. Catal. 33, 1,
:
Defrémery (voyez sous la VIIIe forme).
--O? M, et
~Oiâjyo, , ,0, CI~JI lieux d'aisànces, latrines,
a~J~~o
ment c. J, mais aussi c. ~,
Abbad. I, 419, 13 et
Fleiseher GI. 92,Payne Smith 1442. 17. Le Voc. donne également sous conpati ~0.- S"
IV.
(dolar). — Attendrir, toucher, émouvoir, Bc. — Rendre
perplexe,Voc.
~A
ils préparèrent des tnets fins, ex-
quis, Haiyân-Bassâm I, 23 rU. — Chercher à atten-
~très'pur (vin), Gl. Mosl. — Celui qui sub-
drir quelqu'un, Haiyân-Bassâm III, 143 ro: ~vJLo ;, grenadine, car ordinairement il rend de cette façon
la forme ~L-~t-s; mais ce qui s'y oppose, c'est qu'il
,,
donne ~S. comme le plur. — Helianthemum sessili-
V devenir plus mince, Voc. (sous atenuare), Gl. florum, Colomb 22. - (jiax-xJile blanc de
l'œuf,Voc. (albugo ovi) , Edrtsî ~IF, 12 (l'explication
donnée dans le Gloss. sur cet auteur n'est pas la vé-
~~j.J~JLj. — Etre perplexe, à Vétroit, Yoc. —
tt-i-e
Subtiliser, rendre subtil, délié Aie. (sotilizar, le parti
act. sotilizador). — C. J p. chercher à émouvoir, à at-
tendrir quelqu'un, Abd-al-wâhid 89, 12.
- iCyilJL
~o
-
mot.
-
ritable, car elle est en contradiction avec le Voc.).
') ou
(jSr-âJI vJLaJSj
.,
voyez sous le second
se trouve dans le Yoc. sous
,
duYoc. indurare (?). ~aiusj semble signifier exhortation qui attendrit les
~ï.. 0\; ~w
yjzj parchemin vierge, la peau préparée auditeurs dans ce passage du R. N. 51 ro: à..te.
despetits chevreaux ou agneaux mort-nés, Aie. (par-
gamino virgen). -
Carte, plusieurs papiers collés,
)
carton, Bc. ~UU.) est I,
un nom de métier (Macc., 304, 4,
,
~yjiy petit tambourin, Lane M. E. II, 84, Descr. nomme
nomme le
~jiaJ)àCordoue)
le~-. ma qui a plu-
à Cordoue), mais is
,
de l'Eg. XIII, 512. sieurs acceptions, car il signifie: fabricant deparche-
min,Voc.; pafissier, Hbrt 75; -planeur, Déscr.
S
~-s.. L'expression ~Xïyîdésigne:
oS
les hommes —
de l'Eg. XVI, 462, n. 1.
;
pieux et sensibles, qui sont aisément touchés, qui
pleurent facilement R. N. 83 vO: ~j~Jt_s~ ^1*3»! ~aÎ3
n. d'un. s, pâtisserie, Hbrt 75,
~e pour faciliter la
M.
*,
X-çsL/s, mais ordinairement
,
prononciation, t. de médec. formé de pl. de
~.-~, sorte de mélancolie, qui a pour effet que le
malade s'imagine des choses impossibles et absurdes,
g-yoil. — .~-~Kï. vue perçante, subtile, Alc. (agu- p. e. qu'il est d'argile et qu'il doit éviter le contact
doza de la vista). — X~~L~- des murailles afin de ne pas se casser, M.
~XjSjvoyez sous le second
mot. ~QyiaJuJî est
~oN"1 S-
l'équivalent de iLJs_Jî J!
3 OS
~S)
~X—ïj, pl.OLïj,?
en Sicile, est l'italien rocca, qui
signifie forteresse, château, car dans la traduction
d'une charte sicilienne, ~XÏ, est rendu par rocca et
~li&j (plante), sou8çiuô.
par castellum. Ce terme a le même sens dans les voyez
passages d'Edrisi cités dans le Glossaire sur cet au-
teur p. 308, où il a été mal expliqué; cf. Amari
(fip%iç ;
selon Vullers) = tA-jjiî <~.a.>, Bait. I,
Append. 5 et 6. 499 h; leçon de Boul. et de Vullers; AB ~UmàU
~m
w servile, Bc. Sontheimer LMIS), U~~)'
~-" explorateur, courrier, Margueritte 239.
,
1 coucher en joue, viser à quelque chose pour v-ilàj
l'obtenir, Bc. — Calomnier, Aie. (caluniar). H~!j culot, dernier éclos d'une couvée, Bc.
II garder, surveiller un prisonnier, Abbad. II, 118, ,,:.,;;;;.p voyez
2af., Djob. 36, 2, Bayân II, 301, 15. Le Voc. a
cette forme sous sagio (agent de police). — Faire v_* „*-
monticule, Daumas Mœurs 394 (qui a con-
une certaine incision à la branche pour l'insertion, fondu ce mot avec ce qui lui a fait ajouter:
quand on greffe les arbres, voyez sous «dont l'aspect rappelle la forme d'un navire»), Barth
I, 88, Berb. II, 113, 4.
IV. Cf. avec Lane le Gl. Mosl.
~~Jtj-~ l'avenir,Voc.
V être sur ses gardes, de Sacy Chrest. II, 3
et 6, vf, 4, Macc. I,138, 11. — C. J p. surveiller, I1 s'étendre de son long, Bc, Nowairi
se coucher, Nowairî
épier, 1001 N. I, 76, 5 a f. Le Voc. a cette forme man. 273, p. 638: .!Io..J'
étable
puercos).
'-'IS),
à.
~) I chantet-
269
c, II, 512 c.
«Etant toutes assemblées pour faire les cérémonies
et lamentations, qu'elles appellent Raquase, elles se
mettent en une salle, ou en une cour, et quelquefois
en un lieu éminent et spacieux hors la maison, et
se disposent toutes en rond, comme si elles voulaient
danser sans se tenir les mains. Après quoi une
vieille femme, qui est louée pour ce badinage, se
barbouille de noir la face, la poitrine, les mains et
les bras avec le noir de leurs poêles et marmites; et
à son imitation les femmes du défunt, leurs sœurs
et filles se noircissent do même, toutes échevelées,
n'ayant rien que leurs chemises qui sont ouvertes
jusques au nombril. Cette vieille noircie se met au
milieu de la danse, et commence à dire toutes les
prouesses et actions de remarque du défunt en forme
de litanie, et à chacune elle fait une pause, pendant
que les autres répètent avec un air funeste et lugu-
• -
, , bre, dansant d'un pas égal. Les parentes qui se sont
elgrillo, grillar cantar el grillo). Commencer à
barbouillées de noir, se frappent la poitrine et les
„o
mourir, Aie. (començar a morir). joues avec les paumes des mains, tant qu'elles ont
-
~,pitié Payne Smith 1222. - = "':;,f?
Oo^-.'Oo, les joues toutes bouffies, et continuent cette cérémo-
nie de danse sans intervalle, jusques à ce qu'on porte
Gl. Mosl.
le corps au tombeau.»
sang, P. 3lace.
des flots de saitg, Macc. X~a-A-a. pl. ~J~e~ levier, Aie. (palanca
para sopa-
II, 381, 18. — Marc, ce qui reste des substances
bouillies, Bc. — Eau basse dans la mer, M. lancar).
Kï~Js.
- petit morceau d'un tissu ou d'une lame, M. pl. (j~s~, au Maghrib, courrier qui porte
les lettres, poste, ou qui conduit les voyageurs, mes-
) anneau que
lY"J-:;,, portent au bras,
les femmes
sager, Voc.* Aie. (correo que lleva cartas, enbaxa-
dor faraute, mandado a quien se dize, mcnsajero,
Hœst 120, mais je ne sais si ce mot est écrit cor- portero de cartas), Domb. 104, Bc (Barb.), Hœst 278,
rectement. Grâberg 158, Richardson Morocco I, 135, Sandoval
~jJa. (voyez), courrier. 311, Daumas Mœurs 264, Macc. I, 557, 9 et 10, où
pour
on lit que ce mot est maghribin et qu'en Orient on
dit ~, Çalât 5 ro, 5 v(), 10 r°, Khatîb 120 v°,
Ztschr. XVIII, 567. L'auteur du Dict. berb., Carette,
seaux, YAcout I, 885, 9 et 10. Géogr. 178, et Barth, V, 488, écrivent ce mot avec
5
(j~-sJ.~L~j. basilic, Aie. (basilisco). le sîn. Chez Mohammed ibn-Hârith c'est 242,
~nom
~nomd'uneétoffe, d'une étoffe, Formul. d. contr. 4:
255; dans le premier passage on trouve la même
anecdote que chez Macc. I, 557, cité plus haut. —
Compagnon maçon, qui travaille sous la direction d'un
maître maçon, Nowairî Espagne 468: la ville d'az-
{JG-'j 1 ~->L~. sourciller, remuer le sourcil, Bc, 1001 Zahrâ, quand on eut commencé à la bâtir, fut ache-
N. II, 426, 15.
vée en douze ans par mille maîtres maçons,
VI danser, 1001 N. I, 54, 11.
larmes, «oUac à «elles
— En parlant de
roulaient dans
ses yeux,» 1001 N. Bresl. III, 345, 1.
LjL~
chez Bc et dans M X-cL-~-J!
- Balancier de pendule, Ht,
— Aiguille de
- valse; — contre-danse, Bc; — Roger 265: montre, Ht, Delap. 44, Roland Dial. 596. -
voIS)
XASIVMJ) dltmte, pièce du ressort d'une arme à fleurs, P. Macc. I, 928, 13. — Proprement pièce
feu, pour le faire partir, Bc. — Partie d'un moulin petit morceau d'étoffe qu'on met à un habit pour le,
produisant du bruit par le mouvement de la meule, raccommoder lorsqu'il est troué; au fig., ce qu'on dit
Mehren 28.-
- Bal, Ht. -
Signet d'un livre, Domb. 78, Cherb.
Sorte de poisson, Yâcout I, 886, 9.
ou fait pour cacher quelque chose, de même qu'une
~,
pièce cache le trou d'un habit, M. — Pl. « t. de
air de danse, chanson de danse, Khattb 38 jardinage en Espagne, écusson; ~«, morceau d'étoffe,
exprime bien la forme de l'écusson,» Clément-Mullet
I, 437, n. 1; Auw. I, 19, 7, 8, 9, 243, 3 a f., 434,
dont il s'agit se trouve aussi chez Macc. II, 554, 21. 1, 436, dern. 1 (lisez ainsi dans tous ces passages),
459, 3, 490, 3, 6, etc. — Au lieu de ~s
II cf. Lane; le part. pass. tacheté, Bc; Most. v° échiquier, on emploie aussi ~, seul, Macc. II, 745,
6. X<3J! les pièces de l'échiquier, Müller 25.
1 subir l'action du ,
hallucination du désert;
;
beau, Voc. voyez à ce sujet une dissertation de d'Escayrac dans
la R. d. O. A. N. S. II, 287 et suiv.
inverecundia, Voc., fatuité, impertinence, Bc,
effronterie, Ibn-Sa'îd cité dans le Tohfat al-'arous,
IV c.~ quitter
(lisez ainsi avec notre
à la hâte, Berb. II, 341, 5
AJdS}', ~Lt-~L l'a- man. 1350).
inan. 330, 158 v°:
necdote qu'on y trouve confirme pleinement cette ac- voyez sous la Ire forme.
ception; «dans le passage de Hariri: <~\j~ U
xci.i Xi)7^- * ~,
les commentateurs expli- 1 coudre ,
Voc. — Broder, Gl. Esp. 320, 329. —
Chiffrer, Hbrt 122. — Avec ou sans t. de ~,
,
médecine vétérinaire, appliquer des pointes de feu,
M. — Plaisanterie effrontée, hardie jusqu'à- l'impu- Auw. II, 654, dans les notes 10 a f., 655, 3 a f.,
dern. 1., 662, 9, 13.
VIII dans le Voc. sous suere.
Khatîb, man. de Paris, 112 vo: ~, Le pl. <4-~ signes tracés, Prol. III, 242, 3
y..)-;)' Xcls^5 vers dans un poème popu-
laire Prol. III, 411, 4 et 5, qu'il faut lire ainsi, a f.; ornements, figures, Macc. I, 367, 7. — Pl.
comme je l'ai dit dans le J. A. 1869, II, 203: chiffre, Bc, Hbrt 122, M. — - 0 et
~-J! arithmétique, Hbrt 122. — Nom d'une plante,
et traduire: ,Comment ne serions-nous pas joyeux, voyez sous K-~s..
quand il n'y a pas de bel endroit sur lequel nous -
morceau de peau de poisson collé sur une
ne puissions laisser errer nos yeux» (ceci peut ser- partie du luth et du cânoun, Lane M. E. II, 78, cf.
vir à corriger ce que j'ai dit dans le J. A.). — Pa-
81, Descr. de l'Eg. XIII, 228, M. — Noms de plan-
tes: fumaria agraria; Koniga tnaritima; erodium
moschatum; erodium malacoides erodium guttatum;
~pour
~, , 'tJiij
pl. pour dans toutes ses significations,
(aussi raguem), Prax R. d. O. A. VIII, 280, 282.
~; couturier, Voc. — Brodeur, L (polimitarius),
à savoir: chiffon, haillon, guenille, Yoc., Aie. (trapo);
,
311, tapis Ducange
~A-~. L: remediutn .c",.
£5-*. XJOJJLA rayé, L (polimuta (cf. chez
polymitus), iaguintina (que Scaliger a considéré comme
>
ravaudeur, Aie. (remendon). — Savetier, Ale.
<J6.<<
une altération de hyacinthina; c'est alors un adjectif
(remendon çapatero). employé substantivement; cf. lœna hyacinthina chez
).
~,
.o.
suivi de voilerie, lieu où l'on rac-
commode les voiles, Bc. — Patelinage, Bc.
Perse)
jL~t, pl. et J~<S<,
grappe de raisin, Voc., voyez JLt->~.
(armar çancadilla); — XjU.£ 8
Jj
~S~, proprement ex-
?
!
le pistachier mâle Telle est la leçon de posé à l'infamie, a le double sens de portant le bon-
notre man. dans Auw. I, 267, dern. 1., où l'édit. net en forme pyramidale qu'on met sur la tête de
porte certains criminels (encoroçado) et Rattaché à la po-
(almagrar).
teindre avec la terre appelée rubrique
Par ellipse on emploie seul dans ces
voyez sous
acceptions: mettre, cacher dans le sein (meter en cl
~,comme ~» .eS-~ chez seno; plus haut sans ellipse); — intercaler un jour
1.
(entreponer ;
dia)
— lester un navire (lastrar la navo).
Lane, Gl. Fragm.
quelquefois, mais
- En
Espagne cette forme avait
à ce qu'il semble, le sens
rarement — T. de mer, comme et XJL~~J~ faire
approcher un navire du rivage (p. o. en parlant de
,
de jeter, mettre, etc., qu'y avait la IVe (voyez), car
le Voc.(proicere) donne
classique) comme le synonyme de
O CI.
, (~j5. dans la langue
~, et J£iiJ
Kj'U^ «
~),
matelots, J~~L.—!!
croire que
!,.-!)) et y jeter l'ancre
Gl. Belâdz., de Jong. Je serais tenté de
comme terme de mer, est proprement
a jeter l'ancre, et que le substantif a été retranché,
est chez Aie. pendaison (enpicotadura). S'il en est ainsi, co verbe se construit fort bien avec
II. *-~-~ luirapporta, et avec mais alors il faut admettre aussi que
on raconta que,
les Arabes ont oublié l'origine de cette signification,
- ~, il lui donna un poste plus
8^5iLs. -
Gl. Fragm. dS^jXa
puisque, pour exprimer que des navires sont à l'an-
élevé, Haiyân 4 vO: T. de
mathém., élever un nombre. à, une puissance supérieu-
cre, ils disent oi--J\ et tS"J..J! oùli ce qui
revient à dire qu'à strictement parler l'expression
;
re, M.
0^
~subjuguer(sujuzgar)
subjuguer ; ,s
attacher à la potence (enpicotar);
(sujuzgar);~ prix
mis par un acheteur, un enchérisseur (postura en pre-
-
1
pl. ~,) celui qui monte, Abbad. I, 119,
ajouter un
devient 10, 10, 100, 100, 1000, M.
n. 256.
zéro à un nombre, en sorte que
meut;
v£Vj essentiel;
<~~! principal;
à essentielle-
&U
t~ y cavalgadura de muger, cavalgador de
«mon principal repas est le souper,» Bc. muger), M, d'un garçon, Aie. (hazerlo el honbre al
otro) , Macc. III, 23, 17:
pierres qu'on range les unes sur les autres,
les
comme lorsqu'on pose les fondements d'un édifice, M.
~l
"i.J') (vieux allemand rocco, aujourd'hui Spinnrocken, — Se joint à des noms d'act. ou des subst. pour
exprimer l'idée propre à ces derniers, p. e.
csp. rucca, pg. roca, ital. rocca), pl. (Aie., Voc.),
)
vilis dans le Voc. — -~'~-A-~ dégoûté,
5 a f. —
II,
Appliquer un fer au pied du cheval, Auw.
:
difficile, délicat, Bc. — <~L~ style faible,
lâche, languissant, Bc. como quiera, enxerir de escudete; le part. act. en-
1 xeridor como quiera, enxeridor de escudete; le part.
~L3. vilitas dans le Voc., Macc. II, 514,
ibid.
4 a f.,
1, 18, etc., Calendr. 20, 3; cf. —
pass. enxerida cosa), Bc, Bait. II, 521, Auw. I, 14,
Fabriquer
<~Lj X-tL~-J~
~J, et plus loin (dans un sens défavorable), M:
cf.~àla
m
t54..) mode de musique, Descr. de l'Eg. XIV, 23:
Y c. ae consister, être composé, formé de, Bc,
de Sacy Chrest. I, AI, 4 a f. — Augmenter, s'augmen-
~e.~>
coup de genou, Domb. 90.
,
C — .jL~. cortége, cavalcade, Khatîb 41 r°: ,c~L&x
X faire monter à cheval, Berb. II, 267, 9, 332,
6, 385, 2 a f. (où il faut prononcer le verbe au
passif); faire de quelqu'un un cavalier, Berb. II, 246,
6 a f. — Prendre et entretenir à son service une
troupe de cavalerie,Berb. I, 521, 1, 547, 11, II,
91, 3, 99, 3, 145, 6 a f., 345, 7, 359, 3 a f., 412,
13, Aghlab. 64, 5, Macc. I, 333, 19. — C. a. p.
,
se trouve dans le man.
étrier, le pl.
de silla). L'expression
oi, Bc, et Aie. (estribo
[S***» 1001 N. III,
214, 5 a f., ne peut signifier rien autre chose que:
être sur les talons, presser, suivre de près, Ztschr. «il marcha à côté de l'étrier de sa mère, comme »
XXII, 116. Lane traduit aussi («he walked by her stirrup»),
~, pl. du pl. t~k~H, Diw. Hodz. 201, 1, ca- c.-à-d., à côté de la monture de sa mère. On ne
peut pas traduire: dans son cortège (voyez plus loin),
ravane; «laréunion des pèlerins du Maghreb pour
car il n'est question dans ce passage que d'unemère
aller à la Mecque, »
Ouaday 546; «the rakb is a et de son fils. L'expression signi-
dromedary Caravan, in which each person carries fie être dansUne continuelle, une grande agitation,
only bis saddle-bags,» Burton II, 50; Klmtîb 24 r° voyez sous r". Au fig., le point d'où l'on prend soit
(où il est question d'une grande peste) : ~j.LL>~~>--> départ, Berb. I, 73, 5, 80, 3 a f., 81, 2; les pas-
sages II, 104, 11, 112, 2, prouvent que c'est pro-
prement étrier. Aussi point d'appui, Gl. Esp. 203—4.
de la caravane, Daumas Sahara 299. — Cortége, ca- De là poutre perpendiculaire qui sert de point d'appui
valcade, Khatib 45 vO: J,Lh.l.v.J\ Ouu. au toit, ibid. -
~~J!~oLo écuyer (comme
et dl))), Macc. I, 605, 13, Koseg. Chrest. 111, 4,
— Du temps d'Ibn-az-Zobair on donnait le nom de
~—~J~ à dix chefs des Arabes de Syrie, qu'on trouve
nommés Aghânî 17, 6af. et suiv., et dont an-No'mân
où l'éditeur a fait imprimer à tort ~-~. -
LJN;sJ\
pl. selle
~yoï
y ». Jdbt
Voc. Les expressions iuulc~
*<'t
le même sens
*
mulets avec des selles très-hautes, comme on dit dans
LZ (voyez sous Je). — Tire-pied,
*
Cherb. — Cortège, cavalcade, Rutgers 201, Koseg.
Chrest. 89, 9, 90, 4, Berb. I, 317, dern. I., Müller
,y ,
sont montées sur des mulets, Voyage
of Capt. 108 (racabia).
~yLf (Daumas MB) coureur, Daumas Y. A. 386.
suivi de
chevaux, Bc.
fortheBed.
:
Le mot Ui aurait donc le sens de point de départ, greffe en écusson, 469, 4. ar-
l'essentiel; mais j'avoue que cette étymologie me pa- bres greffés, Auw. I, 191, 17. — Dans un sens qui
-;-.ï
»
raît peu probable. — Ecuyer, Torres 316: «il y a m'est inconnu, Inventaire: 11 e,.Jl ~cr-"
aussi à la cour d'autres gentilshommes comme ordi-
naires, ou de la garde à cheval, qu'on nomme Ri-
K~~—t
1 O 40 charpente, structure du
corps, d'un ou-
queues, qui sont de l'étrier du roi ou écuyers, et
;»Maml. 1,1,132 :
2
ont leurs chevaux dans son écurie vrage, Bc. — Greffe, spécialement greffe en écusson,
«Macrizi nomme parmi les fonctionnaires attachés aux Aie. (enxerto como quiera, enxerto lo que se en-
qui porte
1426. —
s
écuries du sultan
~À-j~, dans
— Courrier, celui
dépêches, Fakhri 363, 1, Payne Smith
l'Inde, épée suspendue à
xiere, enxerto de escudete). — ~L~~J plaisante-
ries, facéties,Macc. II, 108, ~CJ*
Jl ..,Ai'
— L'embouchure d'une pipe, ibid.
dam.r', danslesensdenavire,est
Amari 340, 1 (cf. annot. crit.), 347,
fémininchez
sens de navire, est féminin
—
chez
2. » A
éj*jA indéterminé, irrésolu, Bc.
Cartâs 39,6a f. :
\.,¿f.>, ibid. 1. 15, Macc.
<-~L
I,
.1L:>,
124, dern.
1J.kJ}
M. Tornberg (p. 55, n. 9) a eu tort de préférer la
I.,
où
~jA pl. «
=L.j.e)» Descr. de l'Eg. XIV, 126.
3.S>Lftil5
200: ~XxXftiij
Bon (cheval), Daumas V. A. 184. — En Egypte et soit la IIe, comme Quatremère l'a pensé puisqu'il a
en Syrie, soulier en maroquin rouge, Vêtem. 191 ajouté le techdîd, car on trouve fi 9 dans le sens
Bc, Bg, Hbrt 21, Hamilton 13, Darfour p. LX, M. de: étant à l'ancre (galère), qui au fond est le même,
.L~ batelier, marinier, matelot, marin, Bc, Ht, dans Amari 340, 5 et 6.
III. Le n. d'act. semble avoir le sens de combats
II, 415,
,
1001 N. 2 a f.
d'avant-postes chez Rutgers 183, 4:t~JLL~ p-jr—
\::.J4£; fi
^,-OJ
crimes, forfaits, Khatîb 72 v°: ,
J~J~L-<&~
,
g-O-
1) piqûre, Aie. (punçadura). —
l'expression ~43J «commettre un crime.» épée longue et étroite qui ne sert qu'à percer, Aie.
(estoque). — Coup depoing, Domb. 90. — Pause, Bc.
X.
jhXj~ = ~-j~.
man., Maml.
,
les poutres, etc., dont Fauteur a parlé précédemment,
;J.jJ!; cf. 637, 5. — <~'v~ relais de poste, et par suite amas de bois, etc., pour servir de rem-
part contre l'eau, c.-à-d. digue.
Notices XIII, 209, Maml. II, 2, 88. Aussi en par-
lant de la poste aux pigeons, Maml. II, 2, 117:
«Ces pigeons ont des relais .l'fi
dont chacun est,
(jj~e
C pl. , au Maghrib, saucisse, andouille,
à l'égard de l'autre, à la distance de trois relais de
la poste aux chevaux, ou plus. Aussitôt que l'oiseau boudin, Voc., Aie. (longaniza) Me, GL Manç. VO
,
arrive au relais qui lui est destiné, on prend la let-
tre, que l'on attache sur un autre pigeon,D — Rési-
dence d'un gouverneur, M. — Reposoir, autel provi- o
F:.f-:.<;Ut, Aie. (morcilla). C'est peut-être une altéra-
Boire où le Saint-Sacrement s'arrête lors d'une pro-
cession, Bc. — Appui, ou point d'appui, centre du tion du grec ~ggil; xpêxç, qui a le même sens.
mouvement, Bc. — Point, endroit fixe, Bc. — L~~t
;
t~~jJ! moyeu, partie de la roue dans laquelle entre 1 galoper, Hbrt 183.
S'agiter, en parlant de
—
l'essieu, Bc. - ~£j* sillet, t. de luthier, mor-
voyez sous —
coureur, léger à la course, Bc. — Courriel.,
Celui qui donne des coups de
pied, Voc., Aie. (acoceador, coceador el que tira
coces).— L donne: velites CJ.iOti)t.
~[ja&j coureur, léger à la course, Bc.
fier digue, car je crois que le sujet de J~c~ est
que le pronom dans u.jl;e s'y rapporte également, et
que le sujet de ~ü? est Abd-al-moumin (.il fit cou-
s:Ltt,
6 I. L'expression que Freytag a notée et qu'il a
trouvée chez Maccart (voyez l'édition de Leyde I,
per la digue»). Je suppose que )If«A est un nom de
lieu, comme on en forme quand ces noms appartien- 799, 2), '9%a-tr*3
«
~O G» O» >
ne signifie pas,
»
comme il l'a cru, «scorti causa conclave adit, mais
elle s'emploie en parlant d'un garçon qui se prête
aux désirs d'un pédéraste, selon l'explication donnée
sous angulus; cf.
placer, mettre à sa place, Bc. — C. a. dans le Voc
w«r >
Lerchundi (arrinconar).
mettre, jeter dans un coin
,
par Maccari, ou plutôt par Ibn-Bassâm qu'il cite;
a~JLs".
C III. ~do' È.U5, Abbad. II, 162, 7, semble
comparez ce que j'ai dit sous 1 - On dit dans le
même sens ~jjJd t::!p, Macc. 1, 798, 2 a f. signifier il me garantit une chose par écrit. — Le
II dans le Voc. sous inclinare. n. d'act. signifie peut-être confiance, ou quelque chose
° génuflexion, le pl. dans Bc. Cf
~Kid., de semblable, dans Amari Dipl. 116, 2 a f.: rx-k.63
~0'
~-M.. Selon le man. A de Bait. 1, 123 b, on donne
,
en Syrie le nom de \~&~-~ au ~-< .~1
ou cyclamen.
~O
7
~.J5)
mer a
O7
et ~a3.. Le man. B porte y
Je crois que cette leçon est bonne, car Bg, 846,
traduit aussi cyclamen hederœfolium par r-:':.r" ),.>:,
et Sonthei-
de même que Freytag sous ~ràA
et Bc sous cyclamen; mais ce dernier a peut-être
IV remercier, renvoyer, destituer, Bc.
V c. J et ~J.' dans le Voc. sous angulus.
VIII est dans le Voc. = 1 c. ~J,t, accedere.
c. vU
X c. J p. se cacher à quelqu'un dans un coin,
~v5,
>
1001 N. Bresl. III, 84, dern.
~O9
suivi Freytag. ~d'J' 1., comme (~s~!
85, 5.
~.,Vj III
c. a. marcher sur une robe qui traîne, Dîwân O>
des Hodzailites, man., fol. 149 v°: ~cf), proprement coin, de là golfe, Amari 21, 6:
Cj~ ~&3 car c'est ainsi qu'il faut lire
r~ JoJsjù'
Bc. ~—
avec les man.; l'éditeur a omis par mégarde le mot
a
est
, pl. ~bJSj
Voc. — (Vulg.) poireau ou porreau, K&mil 498, 13 coin, Daumas Sahara 260. — (Sans voyelles)
et 14. réforme, congé donné à un invalide, Bc.
~O pl. ~Ml; m ~O
y
i
chevalet l'espade
sur lequel on donne Vespade anguleux, Yoc.
~Q> petite tablette dans le coin d'une chambre, M.
au chanvre, Aie. (cayallillo de espadador). iuLaSj
14Il1 ) < ~oCtrès-porté
VI engraisser, prendre de l'embonpoint, Abou'l- vers, à, J. A. 1852, II, 215, 6 af.
III, 370,
(corrigé dans la trad.), 1001 N. I, II se réduire en cendres, M.
prol. 12
,
730. — Dans la langue du moyen âge, ce mot, de V dans le Voc. sous incinerare.
HSXAJ ophthalmie, Bc.
même que ~M.), ne signifie pas, comme dans la lan-
-
(~~e. ophthalmique, Bc.
gue classique, «corde vieille et usée,» mais simple-
~J,
ment corde, Hbrt 79, Berb. I, 541, 4, Mi'yâr 13, ", cendre, a dans le Voc. les pi.<jL-<e. et
1 (lisez
r.31
(sic, pour
~rV!>,
~W)
M),
câble, Hbrt 128, Voc. qui a
pl. ~rA sous nauta.
9 ~bS
~ScX—— Espèce de ver? Auw.
M
JLAJ**
voyez l'article qui précède.
A
cadre, châssis, Ht. — Métier de tisserand,
Voc., Bat. IV, 391. — ~M (lèvre etc.) a le pl. rÇ,
01. Mosl.
Most. sous ce dernier mot.
SL>LO^cendre,
Payne Smith 1435. — (Esp. armada)
flotte, de Slane Prol. II, 37, n. 4.
CcLi) cendré, couleur de cendre, gris cendré, Bc,
gris, Ht, Delap. 149. — &.eaLA, Bohémiens, Maml.
I, 2, 5.
caroxilon articulatum, Colomb 27, cf. Bait. LA factorcineris,
sLofactor cineris, voc.
Voc.
I, 505 c. HiAxyo pain cuit sous la cendre, Aie. (pan cozido
so la ceniza).
~tmA j))—~ ou cyclamen ~Le-< salaudy sale, malpropre, Bc.
~gvOj. Selon le Most., le
porte ce nom en Syrie (leçon de N; La g*-*;)* Le ~an 1 caréner, radouber, réparer la carène d'un bAti-
nom syrien que donne Ibn-al-Baitâr est tout autre; ment, Bc.
~03,
voyez sous \~Mt. &I.A. réparation, Hbrt 194.
:)
ie,-»4 1galoper, courir ventre à terre (cf. Lane), Bc, 0,
Voyez sur cette plante Bait. 1, 505 d, qui
r'1A).
Ht; lisez ainsi 1001 N. Bresl. III, 386, 8. dit que c'est carthame sauvage. Selon le Most. (vo
II est lanceare dans le Voc. Xj~~; ~XJôb, mais seulement dans N), c'est pourpier.
c. a.
Prax, R. d. O. A. VIII, 281, donne chenopodium
V dans le Voc. sous lanceare.
murale L.
ej- galop, Hbrt
~O
183, Bc.
~fAJ 1 indiquer indirectement, à mots couverts, l'opposé
O)
~Ê.4 ~tA), la lance de Dieu, nom donné par
~alîi
Omar à Coufa, parce que les habitants de cette ville de ~eo, Macc. I, 604, 7; de là SjyAjAHIAJUOS, un
étaient, pour ainsi dire, des armes contre les enne- poème où des personnes ou des choses sont indiquées
mis de Dieu, Ztschr. V, 180; — cette expression a à. mots couverts, Macc. I, 608, 12. On dit de même
.tJL~~ ~pl.QLAWW®ya le sens de chair (~~t II sabler, couvrir de sable, Bc répandre du sable
~Jjuo. Le ;
d'agneau et se trouve construit comme un masc. sing. sur l'écriture, avec de l'écriture, ou avec ~(Jvt de
la personne pour laquelle on répand le sable, Maml.
dans les 1001 N. Bresl. XII, 91, 5: J~J~ Ol.w.A)t II, 2, 165, Hbrt 112; c. a. do l'écriture, M.
,
(j<~—~L bac, Burckhardt Nubia 47, 314, qui le IV. Lane n'a pas la construction ~!-J! ~a- ~J-o)
décrit. ~aUt" Djob. 188, 9, 207, 20.
LjmAD,radeau, 1001 III, V devenir veuf ou veuve, Aie. (biudar), M; J~e-j
N. 352. ~e
~irî) y 0. i, -
• 1, avec ~Q-oti!, ciller, fermer les yeux, les pau- veuvage, Bc. — Dans le Voc. sous arenare. J~e—t,
pières, et les rouvrir tout de suite, cligner lesyeux, remuer les épaules comme si l'on marchait dans du
sable, est l'un des deux pas pour les trois premières
Dans un
Dans un poème
poème populaire
populaire O comme n.
courses autour de la Ca'ba, Burton II, 191.
C
J..AyJ~eJ! (le sable) la vaste plaine de sable qui
d'act., Ztschr. XII, 341. s'étend à l'orient de l'Egypte vers l'Arabie et la Pa-
lestine, Maml. I, 1, 20. — La pierre, l'amas de
~O**
O clin d'oeil, Bc. sable et de gravier qui se forme en pierre dans les
L>L,o)l même sens, Beaussier, Daumas V. A. 185 eins, dans la vessie, etc., Gl. Manç. v° ..L~J~!
(œurmach).
*• 0 3
~A-<X~ .L~J!
G
pl. ~ot le mâle de la baleine, Voc., qui a cete — chez Aie. (faron para las na-
~JWOJsignifie
(masculus cete); semble bien le latin masculus, ves) fanal, grosse lanterne de vaisseau, et aussi (nau-
chel de nave) nocher, pilote. Il écrit râmal.
mais j est plus difficile à expliquer.
~QIMJ de la cendre dans laquelle il y a encore un
~SO
~KL,5
K~L<t
-
veuvage, M.
Le. sablonneux, Bc.
-
— Géomantique, Bc.
poudrier, botte qui contient la poudre pour
mettre sur l'écriture fraîche, Bc. — Sablier, sorte
auteur, 1, 273, 20 et suiv., le mot en question dé-
riverait de ~Ii-, voyage, parce que cette espèce de
grenade était venue d'un autre pays, une sœur d'Ab-
dérame Ier, qui se trouvait en Orient, la lui ayant
envoyée. Ahmed ibn-Faradj, dans un vers que cite
Macc. I, 305, 20, fait allusion à la même étymolo-
gie, mais elle me parait peu probable; — ce"izjlp
d'horloge, Bc, Domb. 92, Hbrt 256, Daumas V. A. lisez '-5.}.wJ' et voyez ce qui précède; ~<Jm!< est
—
- t~J!
246.
Lff
j
~"15
J..-o)
u mode de musique, Hœst
veuve, Voc. — Veuf, et
258.
«~o5veuve, M.
~xLojî
dans notre man.
mot; - ~*w ?
~CI
y
~L\ai!;
Auw. I, 273, 15, aussi
J~SLJ!, de Murcie et couleur de rubis, Bat. IV, 366
voyez sous ce
»»<^lî
,
,,,1ô
àULojî veuvage, Voc.
; (à Malaga), qui dit qu'elles n'ont leurs pareilles dans
aucun autre pays du monde; — J,.-t, est ~-~~J!
J~o~ sorte d'oiseau, Yâcout I, 885, 18.
dans notre man. (qui porte ~JI; r'
8JyJ,). — OI.Jt
sablonneux, Ht, Aie. (j-AJ..A ,
w. ,
j.o.;-A piedra
arenisca). — Terre sablonneuse, Aie. (tierra arenisca).
— Grenu, liquide figé en grains, p. e. J---c 273, 19, 280, 14 et 15. — ~(vî ..,,-
~L\J< balauste, fleur du grenadier sauvage, Auw. I,
)
J~e~~a morceau de porphyre employé par les cor-
donniers pour affiler le tranchet, Cherb.
~rCI?*
~XJ~t (esp. remolque) remorque, cordage, Bc (Barb.).
* ~Sî cadenas, Roland.
KjL~
A CI3
S
(esp. remolcar) remorquer, Bc (Barb.).
'~LJ!J~nbe.
l'épaule, Bc.
- \~JL~J! ~àLilo. acromion, le haut de
on
I, 305; — est dans notre
..0' ~q&
Maml. I, 2, 168-9, où l'on trouve aussi: c5'J:!
(sic); — ~e cf. Cartàs 23, 7, grenades dont
l'accusait d'entretenir une intrigue avec
les grains sont carrés, nommées d'après Safr ibn- une' femme. » — C. p. et u
r. remettre une chose
'Obaid al-Kilà'i, qui était un contemporain d'Abdé- à quelqu'un, p. e. iXJIaUj ~juJI ~UA) «il lui remit les
rame 1er et qui en avait planté le premier dans son clefs de la ville,r c.-à-d. il le mt en possession de la
oL..;-J'
-ville. Au fig., ~aJuJUû; auJl te) se livrer entièrement tête de, faire trop d'avances, Bc. — !SLo) le
à quelqu'un, n'agir que
I, 258, 7, 294, n. 209. fc-Jî
d'après ses conseils, Abbad.
«il lui aban-
malheur Va poursuivi, accablé, Koseg. Chrest. 85, 2 a f.
Il parait que c'est par ellipse; on peut sous-entendre
donna ses affaires,» Abbàr, man., 62 vu. C. -
commander, être élevé au-dessus, dominer, être plus
haut, donner sur, avoir vue sur, Bc. — C. Je et p.
~P~JL (cf. Lane 1162 a, au milieu). - ~)L~L 1Sl..;
ï
a. r. v_â-Jb£ ~AJL& grever, charger d'un impôt,
imposer des contributions, Bc, Nowairî Afrique 18
calomnier, Bc. — ~bUj.
On dit vîJlo^
-reur;
XjçLaji à surprendre, abuser, induire en er-
~Le,5
,
06x;.r- ~Cr; dans la suite: Assaillir, attaquer, Aie. (acometer). — BrigCtJl{lel.,
-lui C. à p.desservir quelqu'un, lui nuire, voler sur les grands chemins, Aie. (robar saltcando),
médire de
x-aJLc
auprès de ses supérieurs, Bc. — ^A^
ou porter un défi à quelqu'un, avec oL^Jail & (saltear a alguno).
faire honte, faire rougir, Aie. (envergonçar).
-
^l*il j. ~o.!
Bc. — X~~L~J~ *lj-; .c-~ il fit tirer les canons YI. ~Xcllait t~~r' se soumettre, Akhbâr 28, 6.
— xcaâJîj
pour annoncer son heureux retour, 1001 N. II, 117.
-Ze,3jl ~^AJ semble
signifier dorer et argenter, 1001 N. IV, 300; l'éd.
Dans le même sons t-~Ls
— C. ~vXIambitionner, Berb.
~a~,
I, 636,
115,2af.
dern. 1.: ,~<'~
,
—
lancer, Calâïd 53, 10. — Eblouir, c. ~%-j, Djob. 85,
~BSUM biais e.J exposer unrendre
enfant, le laisser dans
~-~
la rue, Bc. - ~XcLb ^A^ obéissance, prêter 2: telxà
y ~L<M'~b .~j-' O
mais dans les autres
obéissance à, Bc. - ~cabaler, former des passages de cet auteur, 153, 16, 270, 7, 296, 3,
la constr. est avec l'accus., .Leu~ et M. Wright
cabales, semer la zizanie; .-JL&J! ~3 brouiller les
a fait imprimer de même 90, 4, 144, 3, où le man.
cartes, désunir, causer des divisions; ~(jvj àuLXftiî LeA porte ~^La; cf. Macc. 1, 241, 10 (corrigé dans ma
brouiller deux personnes, les mettre en mauvaise in- Lettre à M. Fleischer 31). — C. ~J,t ambitionner,
;
telligence <~~j ..UL~J! ~LeAj aliéner le cœur, désunir,
diviser, semer la discorde; aussi trà ^Aj commettre,
Macc. I, 261, 2af., de même que la VIe.
S
~^Aj avortement, fausse couche, Aie. (abortadura,
brouiller deux personnes, Bc. - &4---zU^Aj amaigrir, movedura de muger).
devenir maigre, Bc. — ~& &.,iu
-
,.Aj se jeter à la ii+Aj Vaction de débander une machine à lancer des
pierres, Aie. (desarmadura de trabuco). — Attaque
imprévue, surprise, Aie. (rebato). t.à*1.) noix de Madagascar, Bc.
~xLeJ réimpoBition, reJet, réimposition de ceux qui ~j~~o»
t ~>
vulg. pour~u-o-y,M.
payent les non-valeurs, Bc.
~tjjtj portion de blé ramassé, qu'on bat de temps
en temps,
Mehren 28. ~0" vertige,
~XjsÛJ Auw. II, 222, 13.
y nom d'un corps c.i
arbalétrier, Voc. — ~L~< ~iiUt)
~rli II c. a. mouiller (pluie), M.
*
de cavalerie en Espagne, Nowairi Egypte, man. 2o, Y être mouillé (par la pluie), M.
-1
a.
~SÛ«
.—~—~ tare, la partie des marchandises que l'on
rejette, c.-à-d. les barils, pots, etc., qui les contien-
nent; le poids de ces barils, etc., que l'on déduit
~ o- Le pl.
~Uü). ~, ~of
Bassàm III, 2 ro: — J..;
quand on pèse les marchandises, Gl. Esp. 313.
l~,
~Qr".U' LsoUï ^L-uwt*°~5oC -
1 résonner, retentir, renvoyer le son, Bc, 1001 N.
~fj ~X&j~
~,,CI, est amenitas dans le Voc., de même que \.JÚ;;.
0
I, 63, 16.
II c. a. chanter, Yoc.
V dans le Voc. sous cantare. — = I, II et IV, 0,
~gUj li (pers.
pl. vîJjij ~,
couleur), en Egypte, ar-
pousser des cris plaintifs, Gl. Mosl. moiries, bannière, marque distinctive, Maml. I, 1, 2,
~O
son ou chant plaintif, Abbad. I, 130, n. 336, I, 2, 153, II, 1, 14. — (Esp. arenque, ital. aringa)
III, 23.
hareng, Hbrt 69, chez Bc ~KJU
~Xjj
chant, Voc. — Résonnance, retentissement, Bc.
— Pompe, style relevé, Bc.
~Ci, n, n. d'act. aussi rUji, et V fredonner, Gl. Mosl.
~L sonnant, sonore, résonnant, Bc, Diw. Hodz. s Q~o
- ==
~r-3) .JjX~,
- r-3)«• j-~r~ chez 'Alcama dans The
216, vs. 17. Divans of the six poets ed. by Ahlwardt, p. 113.
.tj~O cadence, harmonie d'un vers, d'une période, Bc.
~X nom d'un mets, M. K~jj O* récitatif, M.
J<::--J,)
<»«
1 o. a. dans
.,.0.-
(jÃd).
le Voc. sous flere et vagire, de ~.F' g&j orpiment; j?\ ) réalgal; jlàit e.0j,
Maghrib, réalgal ou réalgar, arsenic rouge, Gl. Esp,
au
v
même que 332, M, Bait. II, 57 h, 568 c, venenum dans leYoc.
U flere, vagire, Voc. — Deq instruments de musique,
Notices XIII, 188.
%; i craindre, se construit réellement c. ~Cr, comme
X-~ turbatio dans le Voc.
Lane l'a supposé, Voc. X~ pl. of des instruments de musique, Noti.
, Cf. semble signifier la crainte
~X de Dieu chez Macc. ces XIII, 188.
I, 376, 13. — K~~
m K~
9 bon gré mal gré, Abbad. U<~~t II être arrogant; c. ~c morguer, braver, Bc.
n, 97, 10. Kjj~. arrogance, morgue, Bc.
~Y = <~~<, Saadiah ps. 54. II >
0*9 moinillon, Bc. c. p. se moquer de, M.
i—AAJ?.
Xjt~J~ raillerie, moquerie offensante, M.
~V^tj. Le pl. yt.95, Payne Smith 1589. — Her-
mite, Aie. (ermitano). — Le fém.pl.
Xj~LP. signifie selon Mokaddest, 30, dern.
deurs d'étoffes de lin et de coton. On l'employait aussi
1., ven-
;
monastique, Bc. — Mets composé de viande, ~tM LLui. ^JuJ! ~JLj Ui.
On trouve aussi dans
ae
d'oignons (ou, ce qui vaut mieux, de suc d'oignons), ce livre, 29 vo, K&lPJi comme le nom d'un quartier
de miel, d'eau rose et de coriandre, avec beaucoup à CairawAn. L'origine de ce mot m'est inconnue;
de safran et un peu d'amandes cuites, Chec. 196 rO. quand on pense à 5^JLÂ>, a.~L-~, etc., on
O" serait tenté de le considérer comme le pl. du persan
t-~~-J menace, Bc. mais ce terme ne signifie rien autre chose
t.yt~t II prendre l'habit, le voile, se faire religieux, que «guide.»
religieuse, Bc.
~Kz.e religion, état religieux, Do;Payne Smith 1589. J~j~e/!<M~Me, mou, mollasse, Bc.
~01
M _CI. monastique, Bc. ~j&j I,
dans le sens donné par Freytag, 1001 N. II,
0' religieuses (cf. Freytag), Voc.
~ouL^j ;
250, 7 a f. c. a. p. inivit mulierem, ibid. IV, 525, 2 a f.
~»cénobitique,
- °' monacal, Bc.
~u-l&j II
c. a. faire trembler, Yoc.
,
II effrayer, épouvanter, Bc. ~oLwLçjjt se trouve Maml. I, 1, 135, où Quatre-
IV danser, Bat. II, 34, 1001 N. I, 302, 4 a f. mère traduit bandes.
(= 7 a f.), 303, 1, Bresl. 'VII, 317, 9, Bâsim ~uù&j
II former, Aie. (formar).
o# dans le Yoc. aussi
\jaPjy 0 3.,a
L>ag5, pl. manière,
i,,
~,ee poussière. On dit Xxà e ,«
quand
il se fut élevé des tourbillons de poussière à cause
façon, forme, Voc. (modus), Aie. (manera, (j~a~
~yoS
~Lf£Loj Cr en
Q* alguna manera, forma o manera, formafornift
~j.
i.ÜPJ ~u.
un ferme appui, M.
IO# :t\.::- le cavalier est venu à l'am-
.CI' expliqué
\JLS>JA
289, 1.
i„ oS fou, sot, Diw. Hodz.
par (<j~->~
e. p
(LÀ®*")» M.
ble
frais, ~P. «pain J)
frais, Meh-
-,<3 »
Kxmoulin à bras qui sert à broyer le grain,
ren28. .,
fugare. .t
H* Werne 55, d'Escayrac 408, 417, 425. Chez Pallme
6))
,<•> expliqué par (j+>
~U! -s Q»,
1/ être fou, 28 c'est la cabane dans laquelle on broye le grain.
~,
s~~J~ hypothéquer, donner pour hypothè-
armée qui comptait à peu près vingt mille combat- ,
que
1 J-;.r-
III
Bc.
&-*-u,
tants;» de même dans l'expression que Lane donne quelqu'un en otage à une troi-
c. d. a. donner
et dans celle que sième personne, Abbad. I, 223, 7; chez Macc. II,
en dernier lieu
264, 11 (cf. Add.) simplement donner une chose à
l'on trouve dans le Gl. Belâdz. YO quelqu'un.
proprement: «on approcha de lui pendant le combat ,? IV hypothéquer, Aie. (ipotecar).
c.-à-d. on l'entoura, on le cerna de toutes parts. La VI. ~-& LA.A ..y~~-f gager que, parier, Bc (en
seule signif. que donne Freytag, et que Lane donne parlant d'une seule personne). — En parlant de plu-
aussi en premier lieu, approcher de Vâge de puberté, sieurs personnes, c. à, disputer sur, Freytag Chrest.
., il ~-X~~
est une façon de parler elliptique, pour jJbaJt 35, 5 (cf. 1. 8).
VIII c.
se rendre garant de, répondre de,
Macc. I, 645, 5. — C. J dans le Voc.: obligare (obli-
IV être sur le point d'atteindre, d'attraper en che- gare ad pacem faciendam). — Exécute (?),
Aie. (ese-
min, de joindre la personne qu'on poursuit, Gl. Mosl., cutar).
Macc. II, 509, 15. — Suspecter, Berb. I, 416, 7af.:
X prendre en gage, p. e. en parlant d'un agent
bi
JtjOtj „> «JcftÊU» £ (J^j1
«on suspecta sa foi et on de police qui, lorsqu'une pièce de bétail a causé du
dommage, la prend en gage jusqu'à ce que son maître
l'accusa d'incrédulité;» cf. Lane sous ~XP~t, et plus ait payé l'amende, Aie. (prender por pena, cf. Vic-
s -, Voc. — Cerner, en- tor). — Donner en gage, Voc. (pignorare alium)
— Mettre en fuite,
loin (jf-Pj-
a
,
tourer (?), L (indagine J\.;J.}). Abd-al-wàhid 100, 3 a f. (part. pass.).
V et VIII dans le Voc. sous fugare. 0, hypothèque, chose hypothéquée, Aie. (ipoteca
t*3~)
G
été mal expliqué dans le Gl. Belâdz.;
voyez Lane et Weil dans les Heidelb. Jahrb.1867,
prenda de rayzes), Bc. — Pl. ~*))-~) otage, Bc.
Enjeu, mise au jeu, Bc; .L
~wuti «jouer pour de
-
no 1, p. 8. — Soupçon, croyance désavantageuse, l'argent,» de Sacy Chrest. I, ~toi, 7 a f.
Haiyân-Bassâm I, 107 ro: j~iaj *jfcS=0Li ~bLà
O!.jl' gageure, pari, Bc.
~La SurtoutXJLJJ) expression qui£
homme est suspecte, mais qui a reçu le sens d'in-
crédulité, Mace. II, 264, 2: f8»
s'emploie proprement quand la foi, l'orthodoxie d'un
< <
avez des commissions à me donner, disposez de
moi,»Bc.
*K"P..i pl. ~o; otage? Bc; ~L~J! corps de trou- ~Kj bourbier, Bc.
>
X~J~ hypothécaire, qui a droit d'hypo- J41.}) 1 affiner, rendre plus pur un métal, Bc.
~(Jjs* ~iJ
thèque, Bc. U~L~, suivi de WU41, affinage, action d'affiner,
~,01 J mCr~ «AaS celui qui est en vie (l'op-
de purifier les métaux, Bc; dans un ouvrage arabe
dont je ne puis consulter le texte, on trouve un pas.
posé de «défant»), Müller 11. — Solide, p. e. en sage que M. Behrnauer (J. A. 1861, 1, 33) a traduit
parlant d'un fondement ou d'un argument, M. ainsi: «Il y a des hommes qui teignent l'argent
»o »
0)-~—~. Lane n'a pas bien compris l'expression d'une teinture dont le corps ne se dissout qu'après la
1
proverbiale:
y a temps pour tout, Bc.
prenda).
oo
car elle signifie: il
fonte dans le creuset ~((jol^SI). »
893.
6 CI.
j-2j>tranquille (Freytag, Lane TA); dans le pas- ~ô,) V
être fumé (terre), Auw. II, 6, 19, où il faut
sage Djob. 316, 1: ~jS>$
~L~!
1.
~iiy&j
/O grandesomme d'argent, M.
1 soude, Burckhardt Nubia 419.
,
Xj!~. haquenée, jument qui va l'amble, Bc.
II débiter, vendre, Bc. — En parlant de la mon-
~Sj > mode de musique, Descr. de l'Eg. XTV, 23, naie, Vaccepter comme ayant cours, Gl. Belâdz. —
du nom de la ville ~LÏ;JL, c.-à-d. Edesse ou Orfa; il Avancer, faire aller plus vite, Bc. - Expédier, dé-
—
de
attire les djinns, M. O
pêeher, hâter l'exécution de, Bc. va vite,Bc
~(formé
« _Cl-
~<.j (formé de
1 aller famble
pa~t~e (cheval),
(cheval) , aussi (Kasraouan); dans le Voc. ce verbe, avec J., est aussi
~_) 15^.) festinare; le M l'explique par et cite ces vers:
M, Ibn-al-Athîr chez ad-Damtrt: 14-4
? WJ<.y~
V w#
~—~~
(ruypontigo).
(esp.) rhapontic, grande centaurée, Aie.
— £à>&-\ faire quelque chose avant quel-
qu'un, Bc (Kasraouan).
~va V Le Voc. a
se coaguler, Bc.
.,3
sous lac, car
V être valable (vente), Gl. Fragm. — En parlant
de la monnaie, l'accepter comme ayant cours, Gl.Be-
dans la langue vulgaire la seconde lettre de cette
lâdz. -C. à
dans le Voc. sous festinare.
racine est un yd.
« >
sorte d'oiseau, YAcout I, 885, 13, chez Caz- &>.3) aller vite, M.
wtnt avec le d. débit, vente, Be.
J ~0'S}S RUJUI la langue ordinaire, vulgaire,
Tantâwt dans Ztsehr. Kunde VII, 197.
couche, M. — S'en aller, M. — Rendre
* fim
aigre,Voo,
délasser, rafratchir, rétablir par le repos,
gïïjt sur les monnaies, ayant cours, Ztsohr.IX, reposer, procurer du repos; JLJt tranquilliser;
333; ~vyu» ga\j »d'aprèsle cours fixé par le U4 e..j.,pallier, guérir en apparence, Bc. — Se
courber (bois), M.
tribunal de commerce,» Ztschr. XVII, 390. — De
même qu'on emploie ce mot en parlant d'une mar- III. J'J~t commencer le combat dans la soirée,
chandise (d'un bon débit, de bonne défaite), on l'em- Badroun 141, 5 (1. ^S^UL>).
nloie en parlant d'un métier, 1001 N. IV, 466, 4 a IV c. a. p. et ~ae délivrer quelqu'un de, de Jong.
(impôt), Bc. 0. ~—U
&.UAJU"
ceptible se reposer, se remettre, se délasser, Gl.
~j O- débit, vente, Bc.
—
Fragm. — Donner des chameaux (ace.) à quelqu'un
(cf. Lane à la fin), Berb. II, 230, 11, 267, 13: ~rlit
,
;LçjJi ~Q*.
—
IJs^m AAe gaiement (au milieu du corps), en parlant d'une
- .J! faire, à
cher un délassement dans une chose, Abbad. 1. 1., GI.
13, 146,* 7. ~r;;) Ventour des ar- Fragm. — C. ~ae r. chercher à soulager sa douleur,
bres, des découverts ou déchaussements, opération qui
s'appelle
546, 2 a f.,
~t., I, 518,
II,
Auw.
— Comme causatif de
s'en aller,» M, ~~<~L
et
t<~
107, 3. — C. a.
2 a f., 545, 2 a f.,
~if alléger,Voc.
dans le sens de «partir,
~aL %-&Ul il
a con-
cœur, Berb.
~jyoÂitt &' &;.a
II, 27,
~f,
2 a f. :
Abbad. 1. 1.; c. ~Cr r. et Il p., en déclarant à quel-
qu'un les sujets de douleur que l'on a, décharger son
jJ-~!
et wi r., Abbad. I, 67,
c. 11 p.
14, ~~Ls à en déclarant les sujets de plainte qu'on
c
~do' 1-Tz.1
- Guérirt se y ; J.-J.
Schultems a noté
remettre
~aXa
~S
Q* ~,
reprendre sa santé
mais par ellipse le «
il
H~J. On dit: ~~X&-~
alla à la rencontre de l'ennemi
";,%a
pour (obtenir)
~J.'
jf.
l'une
des deux délivrances,» e.-à-d., bien résolu de vaincre
verbe seul a le même sens, Voc., Aie. (convalecer
ou de mourir, Berb. 1, 241, 9 et 10, II, 50, 6af.
de doleneia), Bc, Abd-al-wàhid 209, 3 a f. S'en- - — Aisance, facilité, Bc. — Récréation, divertissement
plaisir, Aie. (desenhado (ef. Victor), espaciosa
rhumer Hbrt 35 (Alg.), Ht. cosa
bonne odeur,parfum, Lettre à M. Fleischer 103. para holgar(= ï..:::-})"holgança (de même), holgura)
:
Abbad. I, 170, 7 (cf. III, 31), II, 7, 1. 7 (l'expli-
~çpj. ma chère âme (expression de ten-
W cation de ce passage que j'ai donnée III, 87, n'est
— Esprit, t. de chimie, fluide très-
dresse), Bc. pas la bonne; je crois à présent que le sens est:
subtil, Bc, M. — Gaz, Bc. — Quintessence, Bc. — il ne prenait pas plaisir aux réunions où l'on buvait,
«
Chez les alchimistes, la pierre philosophale, Prol. III, ni aux chansons qu'on y faisait entendre,» c.-à-d., il
192, 8. — Canon d'un fusil, Burton II, 104. —
~Lo^j
~C') marcassite, Burckhardt Nubia 271.
~HjjJL oxygène, Bc.
«~~-Uj<
—
~L~!!—.~ sens,
~r;')
signification,
~&--5) qui a la tête près du bonnet,
- Haiyân-Bassâm
&X~~ ~.JLL
1, 46 r°
s'y enivrait, mais en conservant sa sombre humeur),
b *>
M.
— dit ~c~Lo un homme de plaisir, Bat. III,
qui s'irrite aisément, Bc. — ~>3t J<-~ faire semblant, 76,
un voyage d'agrément, Abbad. II, 223, 1,
feindre de, Bc; dans le Voc. ~M J~J.? - 'ÂS>AJ ~çJoy* un lieu d'amusement, Macc. II, 305, 21
~c'}' endurant, M. - ~XJL3 lâcheté, manque de
(lisez avec Boul. ~&--Ii ~iuà ~Lo,~*îlî).
— Partie de plai-
courage, Aie. (poquedad de animo). — c:'}' s~~h>. ~q*, ~CI' ~=
sir, calâïd 174, 8 ~(=X>jâ), 328, 16. — Respiration,
1001 N. III, 10, 9 et ailleurs (Lane traduit: «induced Aie. (respiracion). — Opportunité, temps, occasion
by the sweetness of lifeb) pour conserver sa vie. propre, favorable, Aie. (oportunidad, x>-Li oportuna-
~£-4, est quelquefois masc., comme dans Koseg. mente). — Guérison, recouvrement de la santé, Aie.
*
(convalecimiento en dolencia, mejoria de dolencia),
Chrest. 89, 4 a L et chez le Pseudo-Wâkidî. Le pl.
Bat. III, 188. — Poignée, contenu de la main, Gl.
du pl. ~i ~&s
est ~5
dans le dialecte des Benou-
o ~- L\j~! II,
Asad, Gl. Manç. in voce. Le pl. ~.5 devient par Leontice Leontopetalum, Bait. 534 f.
~9
abréviation ~ti, (comme le sing.), Fleischer sur Macc. - >
<~aL~u! K&.!. (le plaisir du gosier), familièrement
Xc~L seul, espèce de confiture, Burton II, 280, M. —
II, 533, 3 Berichte 87. — Evaporation, Bat. IV, 381:
«ils remplissent leurs outres d'eau et y cousent tout jlLèUt 'isAj la planche sur laquelle le boulanger range
autour des tapis grossiers U
par crainte de les pains quand il les met au aufour,-c
four,M.M.1 —e3
» — Rhumatisme, Daumas V. A. 425.—
l'évaporation.
= J~-*-~ (certaine maladie des yeux), Lane sous ce (planta). — :i>') .c~e aller aux commodités, Voc.;
dernier mot, Auw. II, 582, 2a f. - Xj~J! t":')'
-by!! cf. :i>')' ~ouo (voyez sous le premier mot) latrines.
vapeurs, maladie de nerfs, mélancolie, Bc. —
1 ~os le choléra, Burton I, 367, Daumas V. A. 426.
jà^o>Jl
X-c~ Je ne sais que penser de ce passage de
—
~vXaXI~gjj le vertige, Djob. 295, 13.
d'Arvieux, III, 255: «Ils campent sur le sommet des
— Sur les termes collines, qu'ils appellent Rouhha, c.-à-d., bel air.»
K. odeur (bonne ou mauvaise), Voc. (odor
« ~O* ma-
lus), Aie. (olor como quiera, olores de cosas secas,
,
olores de unguentos liquidos), odeur,
aussi au fig., réputation, Bo.
~sJty, suivi de
parfum, Bc;
.L~-J!
509 d.
I,
seulest
A. 1839,
-»
la plume qui trace cette écriture, laquelle, selon
m y spirituel,Be. - Gazeux, Bc. l'explication de Torrens (trad. des 1001 N.), est
ce qui est une faute. Torres 86: «des escarpins opère dans l'âme, Bc; ~v-Aij-XJtXuu3L-s»5j«l'esprit
qu'ils appellent reyas.» Jackson 138: les Rayahat
d'un astre,»Berb. I, 287. — Incorporalité, spiri-
ou pantoufles rouges» des femmes de Maroc (cf. 152). tualité, Bc. — Religion, état des personnes engagées
Dunant 201: «rihïéa, petites pantoufles de dessous
par des vœux dans un ordre religieux, Aie. (religion;
en peau.» Chez Prax, R. d. O. A. VI, 349, rahia;
chez Bg, sous chausson, ~,-5u (en Barbarie).
l'article qui précède) cabale,artprétendudecommer-
.L<=u. basilic (plante); les poètes y comparent la
barbe qui naît sur la joue, J. A. 1839, I, 173.— cer avec les esprits, Ztschr. XX, 486, 488, 8.
-
.~L~u.
~0. odoriférant. De là: épithète d'une espèce
de myrte qui a une très-bonne odeur, Voc., Auw.
~e:
Asciekrihân, «ou l'origan aimable,» Vansleb 100.—
Au Maghrib et ailleurs, myrte, Gl. Esp. 199, Voc.,
f.,
I, 248, 2a 249, 4, 1001 N. 56, 14; devin I,
1
M. Dans les Prol. III, 395, dern. 1.:
pur et qui a une odeur aromatique, Gl. Esp. 331;
aussi substantivement, Bait. 1, 509
- ~trI ~0^9
t :.
origanum maru, Bait.
basilic giroflé, Sang.
I,
- j~L~J!
283 i. — ~JsLSJ
qu'on trouve dans de Sacy Chrest. I, 462: L.,.j'}
aj J~t
et où de Sacy
traduit une plus grande liberté pour agir; mais on
~&>ijA chambre haute où l'on prend l'air, Abou'l.
peut conserver la signification ordinaire que Lane a
indiquée sous Walid 645, 22.
- ~zhy# jou-
,
~ctdJ pl. ~ot corde d'une tente, M.
jou d'enfant, Meliren 28.
l'opposé
,
~S*9
C-1-4 reposé
de
, Ale. (reposado)., — Dégagé libre
«pressé, serré,» Auw. I, 471, 4
K-f>.Lj. fenêtre, Aie. (ventana la tabla, rayAha), etailleurs.
alighthole
or window); cf.
II,
—
Hœst 265 (riaha), Jackson 191 (reehâha,
~lfatulence,
619, 16 et 20 (ajoutez deux fois l'article).
Auw.
~m*
y
chasseur de mouches, Aie. (mosqueador).
~tieifatueux, qui cause des flatuosités, venteux,
Bc. — Chez Daumas V. A. 315 on trouve: merihh
~e~Lj~ pl. ~oî soufflet, coup du plat de la main, le convive qui trempe son pain dans le plat pour
eu
~L<~. puiser la sauce.
Aie. (bofetada); chez Beaussier
.—~L-t.. C'est ainsi que quelques auteurs, p. e.
retour, Ztschr. XXII, 158, 5, 1001 N. Bresl.
Djauzi 143 ro, appellent une espèce de camphre, que
d'autres nomment (voyez). Selon Antâkt, elle
IX, 250, 2 a f. — Van (pour nettoyer le grain),
t
que Kmeriohheu» chez Daumas V. A. 191, qui a une
-'
y
iLsUj
Gl. Esp. 155.
rant d'air, Cherb. Dial. 132. — ~enrhumé Aie.
„
~4P
&*!>) 1 e. a. dans le Voc. sous spaciari. - Spiritua-
-
(romadizado).
lisery donner un sens pieux, Bc.
~Il
comme on prononce aujourd'hui,
~r;!.to, ,,' mieux II se récréer, égayer l'esprit, Voe.
parc, enceinte où Von met les chameaux, Ht; l'espace
vide au milieu du douar, Daumas Mœurs 61, 62, o>,.? mystique, Bc.
J. A. 1851, I, 83, n. 14. — Synonyme de ~Jj-—
lieu de repos pour le voyageur, Ztschr. XXII, 121. picorer, butiner, Bc.
1
Aor. i vulg. pour ~<3^1, vouloir, Bc.
y
vivacité, activité, Gl. Mosl.
III. C;',.,¡J'.;-A' Loa3l, «son père tâcha de lui
~C't: pl. ventilateur, Gl. Esp. 342 n., Most. persuader de se marier,» 1001 N. I, 824, dern. 1. —
~(Vo ~Xjp,
—~<-<e instrument
en parlant du poumon: udiiÏÏ C,.ro ~jJ>s. - gUitf' ~Jot 1001 N. I, 365, 8, semble signi-
de musique dont les Coptes se ser- fier: vous avez tourné mes désirs vers. — Dans le sens
vent dans leurs églises; c'est un disque en argent et de chercher à séduire on dit aussi ~LÇMJU ~eL~
quelquefois en vermeil, autour duquel sont attachés Beert 124, 3a et f.,
seul, avec l'accus., 1001 N.
des grelots, Desor. de l'Eg. XIII, 553. I, 275, 2.
o. **0m
IV se construit aussi sans ~0" si la leçon est bonne ma.b) voyez sous
1 0.. 1".P0..
J--n lex4e. ~,Ji, où
dans Rutgers 164, 7 a f.: ItfÔuu
l'éditeur soupçonne qu'il faut ajouter ~al. — Dans les
~}
excellentes explications de Lane, l'objet de ce verbe
est une chose, mais quelquefois c'est aussi une per- 9
;
(pers.) calendrier, Bc, M.
~«JUtalty
sonne. Ainsi on trouve souvent dans le R. N.
(J~~ II (pour ~(jJj), proprement décapiter, couper les
v° on lit:
et 104 vo ~IL ~JJ"
~UUii ~-, U!~~t H ~w graines du millet ou d'autres plantes, Yoc. — Bou-
tonner (rose), Auw. I, 624, 4, 6, 643, 12, 644, 20,
~M<
c'est aussi vouloir posséder quelqu'un, l'avoir chez II, 105, 4 a f.; sous L)»I) on trouvera la signifiea-
soi, jouir de sa présence, Macc. II, 278, 12, ou vou- tion de bouton de rose.
XX, 510, 1.
0. AXjjj
J~t~.
Bc.
loir posséder une femme, jouir de ses faveurs, Ztschr.
cavallo).
dans A).
= ~aU'
gris-clair (cheval), Aie. (rucio como
~L. picorée, Bc. LJN';; celui qui coupe les graines du millet ou d'au-
'âoLi^ expédition pour chercher des pdturages, Lane tres plantes, Yoc.
M. E. II, 140.
., ~s*,
y
(j^y° (pour ~lJN'f) pointu, Bc. — Pour distinguer
~!—~ endroit où l'on peut la lettre fâ de «sa sœur,» le cdf, on l'appelle ~iW;
faire tout ce que l'on
veut, Abbad. I, 120, n. 268. Avec des noms d'act., XJWWJ-H,Bait. I, 132 a, 357 d, 533C.
endroit où l'on peut admirer ou se réjouir tant qu'on
veut, Djob. 212, 20, 215, 16.
~LUT5flèche,
~CI ~Il Voc.
~«•O
J~—~ cure-oreille, Auw. I, 641, 10. - Poutrelle ~X~t = %e,*Lwi, cuivre brûlé
O # , 1
ou calciné, voyez
sous ~J~~JL~ Bait. I, 508 b, II, 102 a, 551 a et b.
,
(poutre divisée en deux ou en quatre parties), Prax
R. d. O. A. V, 214 (merôud).
~Juy>
~ildisciple, Pachalik 200 n., Macc. II, 748, 15. K-~—« nom d'une plante, Bait. II, 186 e (AB),
les Soufis, &j~U ~cr ~<<Jd!, ou celui qui a détaché = ~>.) Most. sous ce dernier mot.
son cœur de tout excepté de Dieu, ou celui qui con-
nait la volonté de Dieu, M. Abou-'l-Câsim Ahmed
~L)l
signifie en persan objets lumineux, brillants,
ibn-al-Hosainibn-Casî, un Soufi espagnol et un des et s'applique à des collyres composés qui donnent
premiers chefs qui profitèrent de la chute imminente beaucoup d'éclat aux yeux, Sang.
de l'empire almoravide pour prendre les armes et se
déclarer indépendants, donna à ses partisans le nom ~d°*j I. &.jt3~0. ~{jo\j cultiver
son esprit, Badroun p. 77
de ~J~M, Abbâr 199, 13, Prol. I,
286, 15, 287)2
des notes. — Y"Dà,. ~ysupporter, p. e. de&
(lisez ainsi et voyez la trad.); Ibn-al-Khatib, 25 v°,
nomme parmi les écrits d'Abou-'l-Motarrifibn-'Amîra: privations, Berb. I, 237, 4 a f. — C. a. p. et ~LIr- r.
se disputèrent le pouvoir,
Se concerter, conférer ensemble
, de
~S>
ce qui entraine dans le péché et mérite le blâme; à,
VIII c. j et y s'exercer,Yoc., Bassâm III, 98 fermer la porte au sommeil et à éviter la fréquenta-
tion du monde, de Slane Prol. l, 217, n. 2., Les
~SF~O
>
~yU: LKXJ^QJ ÎCX*** (de son art) '-~-L ~j. u~~)!) Hai- dévots qui s'imposent ces mortifications s'appellent
yân-Bassâm I, 41 v°: dans la logique il contredit oLoLijJî j.9>\; voyez Prol. I,
162,15, cf. 2af., 190,
14, cf. 191, 1, II, 372, 14 et suiv., Macc. I, 568,
12, 897, 13, Bat. IV, 36, 40. Les moines entendent
— Se livrer à des exercices de piété, Macc. III, 679,
sous iutoLjjJt: passer plusieurs jours dans la solitude,
dern.1. pendant lesquels on se voue à des pratiques de dé-
1fD;;
~O~ votion particulières. Chez les magiciens c'est: passer
Khatib :^là
comme sing., ja-rdin, note de Weijers 85, n.
73. — Parterre, carreau ou compartiment de fletws,
~Paris. où Macc. I, 639, 8,
plusieurs jours dans la solitude, pendant lesquels ils
mortifient leur chair et invoquent les démons par des
formules et des fumigations. LJN}rJ' :i.ICY) est ceci:
le magicien vit pendant quarante jours dans la soli-
relâche, repos; xco!j* posément, Bc. tude; il ne prend chaque jour d'autre nourriture qu'un
~lLk;;.Le pl. du pl. oLtoLj, Gl. Edrîsî. Cette
partie de la mosquée de Médine qui se trouve entre
- petit pain avec des raisins secs; il récite ses formu-
les et fait ses fumigations jusqu'au quarantième jour;
le tombeau de Mahomet et la chaire (cf. la tradition alors des fantômes épouvantables lui apparaissent; il
chez Lane 1187 b), Bat. I, 262, 263, Burton I, 296, ne s'en soucie pas, mais enfin il voit une épousée
300. — Mausolée, Voc. (cimiterium (tumulus magnus), très-belle et superbement parée, qui se met
0,
(Mong. p. CLXIX) s'est trompé lorsqu'il a cru que ce M, mouvements par lesquels on exerce le corps, Prol.
mot n'a reçu ce sens qu'en passant dans la langue
persane. — Parterre, carreau ou compartiment de fleurs, II, 336, 2 a f. et suiv., 337, 10, Most.: tfZi.MJI ~t-3
Prol. III, 391, 15; le pl. du pl. o'utoLjj, Auw. I,
154, 8. -
En astr. &-~o~J~, le jardin du ciel, est
cette partie du ciel où les étoiles sont si petites qu'on
ne les voit pas; voyez Alf. Astron. V, 176, où il
.LjJ~ ~«•
W
-
,.-:"",¡,Q.¡.H,. O
X~abJ< ~r1-* gymnastique; -
~u ,
qui est ,proprement le pl. de est
mener, Bc. — X~LJ! XiuJlà philosophie morale, Aie.
(moral filosofia). — Aise, commodité, aisance, Ht. —
devenu un sing., non-seulement dans la langue parlée,
(jn.t.t~ X~aL!.coM~a~sceMCC, M.
mais aussi dans les livres, jardin, Gl. Esp. 201, Prol.
III, 417, 3 a f., Khatîb 100 vO: ~Jd&àu ~lç ~cL. ~mathématique;ouytoLjJt les matité.
à ~i*
matiques, Bc.
- Moral ,
— Gymnastique, Bc. — Pratique,
Bc.
Aie. (moral cosa de eostumbres); UY-i-à
ue4:) celui qui s'occupe de philosophie morale, Aie.
tan s'était mis en campagne: ~ê), ij ~C)
(moral filosofo).
~^jr facile, doux, complaisant, de Sacy Chrest. II
Dans le Voc. sous deviare. — Dans le Voc.
sous spuma.
I,v1,10. III. ~XclhJL .LitJL~J! t)
chercher à tromper le
~b
~, moral,
Lyr-.J:;e Aie. (moral cosa de costumbres). sultan par une feinte soumission, Berb. II, 28, 6:
~Il ~C1expérience, Haiyân-Bassâm III, 10 ro: ~13
,
«le oalme n'est pas encore rétabli,» Bo. — ~Cr %jl
~\{*ac se défâcher, Bo. — Calmer, apaiser, adoucir,Ht.
-- II
couler, passer à travers une étoffé, Bo.
sans commettre
un péché (de Slane), Prol. II, 200, 14. — ~ilti ~J'}
lâcher de l'eau, pisser, 1001 N. II, 24, 7, Bresl.III,
302, 1.
XA~<
a
KS~wwe(KS~ chez Aie.),
214, 13 et 14.
~xjûdéjeuner,
~*O*
S ~,
M.
1001 N. Bresl.
,.
V dans le Voc. sous tectum. — ~d3fj et ~(Jf achète .JLj-J! Q* U~~JL-~, «une certaine quantité
prendre un très-légerdéjeuner, M. d'olives;» mais alors le mot ;G,.ro n'a pas de sens,
~di) pl. ~ot couche, se dit des choses mises par lit,
et en outre il ne peut pas être question d'olives,
d'abord parce que la dame en achète plus tard chez
lit, couche d'une chose étendue sur une autre, Bc.
,
\3ijj corne,le pl. aussi AJS^Î Voc.
un autre marchand, du moins selon l'édit. de Bres-
lau, 148, 12, ensuite parce qu'ici il doit s'agir de
vin. En effet, la dame se procure tout ce qu'il faut
£\3j rideau, rideau de lit, Aie. (cortina o corre-
pour préparer un festin, où le vin, dont il n'est
dor, corredor de cama).
150, 20, Bat. II, 424. --
Dais, pavillon, Macc. I,
Salle, salon, Bc, chambre,
pas parlé dans les autres emplettes qu'elle fait, ne
peut pas manquer, et la circonstance qu'elle achète
au centre, Hbrt 192. — Cloître (où se trouvent des la ~XSjijA chez un chrétien fait supposer aussi qu'il
Bc donne le pl.
avec cour au milieu. ~—
milliers de fakirs)., synonyme de ~JsLj, Bat. II, 4;
ois',) en ce sens, cloître, galeries
les stoïciens
(c'est la traduction littérale du terme grec, car ~0',.)
s'agit de vin, la vente de cette liqueur étant dé-
fendue aux musulmans. Cette opinion est confirmée
par l'édition des deux cents premières Nuits qui a
paru à Calcutta,en 1814 (voyez t. I, 154, 7), et
répond à ~GTOX, portique, galerie), Prol. III, 90, 8 où il n'est fait aucune mention d'olives, mais bien
(l'auteur confond ces philosophes avec les péripatéti- de deux ~V-^.A-HA ou bouteilles (voyez sous "="¡-N')
ciens), Müller 52, 10.
~KSI.arcade, Bc.
— Netteté, au fig., Bc. — Paix,
silence, calme,sang-froid, sérénité, Bc. — Loisir;
~Adtjj doucement, à loisir, à tête reposée; ë~XS!~ £
«remplies' de vin pur.» Il faut donc traduire les
mots X~Xj. 'i.!'r' par une bouteille couleur d'olive,
une bouteille noire verdâtre, car l'adjectif
réellement ce sens (voyez Lane et Beaussier). Il
s'ensuit que l'éditeur de Boulac n'a pas compris le
k
a
JL II se hâter, Ht.
C)té), ,
au Maroc, les toiles dites rouenneries (de
Rouen en France), Hœst 269.
0.
J',.r-. Aie. (abotonado) donne «marguâl,» pl. tn,
juLijU rouina, farine de blé grillé qu'on détrempe
dans le sens de boutonné, ce qui est assez étrange. dans Veau pour la manger, Beaussier; souvent chez
~'t'} 1 se
construit c. a. p.,
~M désirer de quelqu'un
~01
les voyageurs.
Lfii3) mode de musique, Hœst 258.
qu'il fasse une chose, Badroun 304, 7; ~gUi5 g, ~&AIU
il chercha à lui persuader une chose, ibid. 294, 12. L5àl3).Dans l'Inventaire je crois devoir lire 4
J,',i', au lieu de J~L Il y a des tanneries à Rouen.
M. de Slane traduit : «ils ont à subir bien des humi- ~~t. Le terme ~,rhubarbe chinoise, est altéré
liations. » —
~J '~!~~CI, ~;
y
«on ne peut lui chez Aie. (ruibarbo) en ravdeeêni.
reprocher ni lenteur ni précipitation,» Abbad. I, 51,
2 a f. L53J 1 comprendre, concevoir, Hbrt 223.
II remplir d'eau, de Sacy Chrest. I, 224, 3: ~UJLà
~r'J rum, esprit tiré du sucre, Bc.
w ,~
.c~). «Le melon roumy» à Sfax, Ouaday 580,
sert Bc. — Dans le sens qui chez Lane est le der-
- -
,
604. Sorte d'oiseau, Yâcout I, 885, 15. Les nier, ce verbe ne se construit pas seulement c. à,
s ,
Arabes d'Espagne donnaient le nom de K-~-~,. mais aussi c. a., Abbad. I, 109, n. 197; le Voc. a
aux
aussi sous previdere: c. a. et c. ~,3. — Montrer, Bc;
jeunes filles chrétiennes qui, ayant été prises à la ~»oS ~,c£
c'est pour qui est pour ~i^jl, et ce dernier est
guerre, étaient devenues leurs esclaves et qui avaient
,
embrassé l'islamisme. Elles recevaient d'autres noms pour ~j\.
~c&f
que les Mauresques, et chacune d'elles portait celui IV satiavit potu aliquem, c. d. a., Gl. Mosl. —
de Romia comme une espèce de surnom. Ces ren-
seignements se trouvent dans un passage intéressant
de Hernando de Baeza apud Müller L. Z. 63-5.
Ils expliquent pourquoi X~
se trouve dans le Voc.
trer, Bc ; c'est
pour e
Dire, faire des contes, Aie. (novelas contar). — Mon-
CI'E
qui est pour ~SoS et ce
verbe a proprement le sens de montrer dans ces ex-
sous captivus. Comparez aussi chec. 187 v°, où on pressions, qu'on trouve chez Bc: obJaiî tracer
lit que quelqu'un s'aperçut de cette manière de la
td
~ywu». il a donné un bon tour à ra~<Mfe;M~—;~~
ti&U-o je te rangerai à ton devoir
Dieu nous garde d'unpareil malheur1
V. Lane a supposé avec raison que cette forme
;
le chemin, au fig., donner l'exemple; &:?>l ~,ai eleji
~"Ï~aUs
medusa,
~iu^.
dans A).
(~~
,
çl3)
II,
21,Burckhardt Nubia 284, Pallme 157,
Deser. de l'Eg. XVIII, part. 2, 388 (rayyeh). —
M.
~?J! médusa,Bait. I,
1, Bait. 508 e (le techdîd
~i
~Ç'1
—
II, 31, 6,
~jLO) ~-*~~e
Hiat. Tun. 96, Haiyân
,
X-j~. prédiction, Akhbâr 50, 2 (lisez ainsi avec
~Yi louche, équivoque, Bc.
le man.), 51, 5, 54, 2 a f.
~é~~, fesse-mathieu, usurier, Bc.
narratif Bc. ~~L~J. rhubarbe groseille (Rheum Ribes), Most. in
voce,
~b~, fém. S, Saadiah ps. 52, pl.~q5, ps. 92. Bait. I,
508 c. — Groseille et groseillier, Hbrt 52
—
~iuLîi, en parlant d'une terre, où il y a beaucoup d'eau; (Eg.), Bg 873.
lisez ainsi chez Auw. I, 138, 12. u*-~j espèce
3~ porte-crosse de l'imâm, Roland. de Rhamnus, Bait. II, 521 b: — «H
:
*
~i431 gelée blanche, Bc (Barb.), Domb. 54. qu'il faut lire; dans B le mot est sans points; dans
~-~t
> O
(esp.) raiponce, espèce de petit navet, Aie. A c'est t~*~. Bat. III, 150, 276, 383, nomme un
(ruyponce). arbuste, ~ôyty, dont les fleurs, qui portent le même
~~J'L). (turc) contre-amiral, Bc.
nom, sont de couleur blanche; les traducteurs soup-
çonnent que c'est ~Jwaj (~~L jasminum zambac.
~—~-~ 1 C. a. p. voir de quelqu'un ce qui inspire des X-J.~
~~iJ. dans le Yémen, fruit séché d'une plante, qui,
,
soupçons et ce qu'on désapprouve, M.
lorsqu'on le remue dans de l'eau froide, donne une
~1
'., II c. a. ponere alium in dubio, Voc.
— C. a. et
écume qui ressemble au savon; on s'en sert pour
y conscienciare, Yoc.
laver les vêtements et les métaux, Niebuhr B. xxxxi.
V c. y et ~a-
dans le Voc. sous conscienciare.
VIII, douter de, se construit aussi avec l'accus., résine,Payne Smith 933.
Abbad. III, 37, 4 et n. c (cf. sous la Xe). — C. a.
~t/ ~-;,r 0"
~—~t 1 se construit aussi c. ~if p., -*-~J! &-JL& ~ôi^,
désapprouver Gl. Mosl.
Gl. Belâdz., et c. a. p., Gl. Mosl.
:
X,
douter de, soupçonner, se construit aussi, de
même que la VIIIe (voyez), c. a. p., Gl. Fragm., et (j~< p., en parlant d'une maladie, amaigrir
1 c. a.
certain
~uOj scrupule, restes de
la discussion,
Bc. —
l'explication,Bc.—
~vuJl J~, ~W)' les ,
doute, de difficultés après
in-
individus
- Se remplumer, au fig., rétablir ses affaires, sa
santé, Bc, M. — Peindre ou sculpter des arabesques
qui représentent des plumes, Gl. Edrist. — Plumer,
Ht. — C. ~r' agiter la queue, Daumas V. A. 49Q.
V commencer à avoir des plumes ,à
se couvrir de
plumes, en parlant des oiseaux, L (plumesco) Voc., , ~X~é. J'ai critiqué ailleurs (Vêtem. 192-3) l'ex-
Aie. (enplumecerse, encanonarse las aves). plication que Freytag a donnée, dans son Dict., du
~0<>
.j!i~. grains d'agate qui viennent de Bombay et passage de Hariri, p. 254. Il a tâché de la justifier
dont on se sert jusque dans l'intérieur de l'Afrique, dans son Einleitung in das Studium der Arab. Spra*
Burckhardt Arabia I, 70, et Nubia 269, 270, 285, che, p. 308; mais, comme tant d'autres choses qui
cf. Ouaday 334. se trouvent dans ce livre, ce qu'il y dit ne mérite
spécialement plumes d'autruche,Davdson pas une réfutation sérieuse, et M. Lane a suivi,
comme je l'avais fait moi-même, l'explication donnée
112. - d'un
~Lj \J*4j duvet, menue plume, Bc. - En par le scoliaste. Elle est confirmée par un vers sur
, parlant
—OjJL
on appelle Flossfeder), Bait. I, 245 c: ai
poisson, nageoires (qu'en allemand aussi
a) U.À.J
fanon, barbes de baleine,
les Almoravides et leur litham, qu'on trouve chez
Nowairî, Afrique 50 vo
~°
Bc. — Le fer de la flèche, Ouaday 436.
»
~u*—-
les cils des paupières, M. Dans ce vers islajj signifie aussi une pièce d'étoffe de
laine dont on se sert en guise de turban; comparez,
~aigrette,
Lane M. E. II, 79, 82;
sorte de panache, Bc. — Plectrum,
~L~-j. le plectrum,
s'il est de plume d'aigle, Descr. de l'Eg. XIII, 228.
p. e., Ouaday 516: «Le Toubou avait le lithâm sur
la face, c.-à-d. qu'une partie de l'étoffe de son tur-
ban était ramenée, par le bout, du côté de la figure,
-l'argent, Lane
Aigrette de diamants enchâssés dans de l'or ou de dont elle faisait le tour deux ou trois fois d'avant
,
E. II, 401;
M. ->-
;,:::'Ÿ:J aigrette, en arrière, de manière à ne laisser apercevoir abso-
-
,
léger bouquet de pierres précieuses, Bc.
rais d'une roue, Aie. (rays de rueda). - -
Rayon,
Nom d'une
lument que les yeux.»
,
maladie interne des mulets, qui ressemble à celle
t?.:J I. ~Laxilj il le frappa avec un bâton, M.
t
M. Simonet m'écrit qu'il a trouvé ce mot chez des
u.
v_j.— «Dans l'Egypte, et surtout chez les chré-
médecins arabes-espagnols, notamment chez Ibn-Wâfid,
dans le sens de fistule lacrymale, et il l'identifie avec tiens, l'Egypte inférieure, attendu que cette partie
l'esp. rixa (rija), qui a le même sens. Cette obser- présente les plaines les plus vastes et les plus fertiles.
vation est très-juste; les paroles d'Ibn-Wâfid sont Mais chez la plupart des historiens et des géogra-
(man. de l'Escurial no 828): "",Lo,,)\ à ~oLJJ ~£ili .s:',.) phes, les campagnes, et surtout les campagnes qui
1 s'étendent sur les deux rives du Nil, et qui consti-
et je trouve aussi ce terme tuent la seule partie fertile de l'Egypte,» Maml. II,
dans le Traité de médecine d'Ibn-al-Khatîb, man. 331 2, 209. «En Afrique, les contrées qui bordent la
(1), qui le signale comme un mot vulgaire, 19 rO:
mer; il sert aussi de nom propre à cette partie du
royaume actuel de Maroc qui s'étend depuis Tetouan
jusqu'au Molouia,» de Slane trad. de l'Hist. des Berb.
le creux de l'estomac, Martin 146. - I, p. ci. — Le nord, Werne 101. — Bord d'une
rivière, Auw. I, 400, 7, où il faut lire avec notre
~&b< épithète d'une sorte de pomme, Chec. 198
man. ibid. 1. 12 (même observation): L~~Laj~
savon, L, qui a:
~s.,
isopo OjAwlêj
> ~eel
Isopo et
~yt- sont des altérations de sapo; l'autre forme, ~q^jLo,
est rircdY.
~m
~.5m,a
~X~~ 1
V^A-AJLJ<_ £->
Gl.Manç.L'expression
se trouve aussi dans Bait. II, 104 b,
ques, dont les uns se rapportent aux sphères célestes,
et les autres aux éléments, aux choses sublunaires,
aux êtres spirituels, aux événements de tout genre
et aux connaissances diverses. On s'en sert pour pré-
~i.,
~.)"jA terrible, rempli de terreur, Çalât 26 rO: ~UJi
M. E.
sur
~OLane
396, Berbrugger 78 (K^jjjif
-
©
ce
cf. chez «
~^jLc).
tableau, Marmol
Ce mot
I,
~ft) dans un sens spécial, voyez y*^j-
63 c, et non pas comme chez Le Blanc II, 177:
«zairagia, enchanteurs qui conjurent les tempêtes,
diahps.22et32.
.j.13) pour l'hébreu ~fUN#, rugissements, cris, Saa- bruines, grêles et les autres météores qui portent
dommage aux fruits.»
'—~ II friser,
crêper, boucler les cheveux, Aie. (encres-
par hazer crespo, encrespar los cabellos; le part. pass.
crespa cosade cabellos); — hérisser, dresser les cheveux,
Aie. (erizar; le part. pass. erizada cosa); — friser, rele-
~j\yj_JL» de force, Bc (Barb.). — _)IjJ4 «g,,.»
ver le poil du drap, Aie. (frisar pano); le part. pass.
émailler, Bc (altération de -.L>-JL). à contre-poil, à rebrousse poil, Aie. (pelo arriba).
,
<.)'. II,
nom d'un arbre, Becri 54, 3 a f., Macc. 685, V. Le n. d'act. frisure, l'action de friser, et l'ef-
9, Cartâs 64, 16, Berb. I, 164, 10, II, 44, 4. Ibn- fet de cette action, Aie. (encrespadura).
al-Baitâr ne semble pas avoir connu cet arbre; il dit, ~y) chez Freytag doit être changé en ~y) (voyez).
I, 515 b,
que, selon quelques-uns, c'est le
~m
7
mot ~my ,, chez Aie. (natura
membre viril, le pl. ~yqàj
~«-jj,
que Sontheimer traduit par frêne. Dans le Voc., qui
de macho), Bc,X-~< dans le
chezBc,
donne le n. d'un. ~ij, c'est térébinthe, etchez Bc et
Hbrt 55 hêtre; mais tous ceux qui ont été en Algé-
de macho),~yb-chez
~.-s~J! Mentula
-
Voc. — ~yj
~\-jj
rie attestent que c'est une espèce de chêne à feuilles marina, Pagni 70; il faut prononcer
,
caduques et dont le gland n'est jamais employé; ce mot avec le dhamma, comme il le fait, et non pas
avec le kesra, comme chez Freytag, car Pagni dit
voyez de Slane sur Becrî et Berb., Carteron 201, R.
d. O. A. VI, 222, N. S. III, 228, IV, 286, Carette que les Arabes donnent à la Mentula marina le même
Kab. I, 163, 166, 167, 168, 186, 223, Cherb. Dial. 79. nom peu honnête que lui donnent les Latins. — ~"r'>
'J>.a
ou~_lbaleinas,au celui
~M
1
LJk}tj pl.
~=.>k Maghribde
membre autre
unla sensque
baleine, Bc. — que
~v—^
en Barbarie, moineau, Bc (Barb.),
Hbrt 66 (Alg.), Roland, Daumas V. A. 102, Tristram ou ~v a au Maghrib un autre sens que celui que
393 (Spanish sparrow, passer salicarius); corrompu
Lane donne sous l'un et l'autre de ces mots, à savoir
en bsuise chez Pagni 99; dans Pagni MS c'est bsuix. celui de hypocistis, Most. sous le dernier mot de la
~-~J~~'j (Daumas MS) espèce de graminée, Daumas V. lettre a, ~u:~Jo dans le Gl. Manç. sous ce dernier
A. 383. mot et chez Bait. II, 158 a, que Bg 855 traduit
~Pl.(Prol.
ment 111,
(Prol. 1843 aussi par hypocistis. Dans le man. N du Most. cette
ment
pl. III, 184, 3, 191, 6), propre-
(tableau circulaire de l'univers),
espèce de tableau dont on attribue l'invention à un
plante est nommée aussi ~ijoph ~vj, ce qui est l'équi-
valent de lP')'J' jj
chez A. R. 173. Chez ce dernier
auteur la première lettre de ~cy) v) est par erreur
Soufi maghribin de la fin du VIe siècle de l'hégire,
un rd, et le M donne fort mal, sous ~-Sj-b,
nommé Abou-'I-AbbAs, de Ceuta. Il a la forme d'un
grand cercle qui renferme d'autres cercles concentri-
~VHH) proprement raisins secs, ensuite tous les Dioscorides en indique plusieurs espèces sous le nom
d'alcyon, àhKVQViov, V, 136, que la version arabe
fruits secs à l'exception des dattes, Bait. I, 515 e.
Espèces de raisins secs: t5A4, 1001 »
rend parzébed al-bahr, Clément-Mullet II, 2, Ho
7;
écume salée qui s'attache en forme
~ud?, Tha'âlibt Latâïf 119, 2 et suiv., Djauzt 147
de laine aux herbes et aux roseaux durant la séche-
V; ~&, ~O.J
Sang.; Macc. I, 123, ~a>
resse, Bait. I, 519 b. ~J'))~ - aphronitre,. Bc.
(d'Almunecar), ibid. — Espèce de vin ou de sorbet,
fait de raisins secs, Lane M. E. I, 134 n., 224. Dans - j»g-M Bait. 1, 144 f, 499 d.
»»X—^ sélénite,
—
le Yoc. vinum de perases, mais je crois devoir cor- Aujourd'hui pour ~.)Gj, civette, Cherb.
:
riger de pasas.
— Espèce de conserve enivrante, Lane
M. E. I, 224 n., faite de raisins noirs qu'on fait cuire,
~t)
1 ~O#beurre frais, Hœst 108, Constant, Bilder
aus Algier p. 190, Bc. 1.
Léon 434 (deux fois). — J"*-~~ ~V-A*) staphisaigre, O+
herbeaux poux, Most. vo LJN'i' '—~) Gl. Manç. vo
}<~\j..
~4 aJ~. ~ft:-
6~>.à- ~UJ4- ~if sans succès, Freytag Chrest.
U:Jo*A, Bait. I, 281 c, 517 b. Bc donne '—~) J~ 114, 8.
Nt~j. civette, Voc., ~biXjJI ~J:;,p, Cartâs 64,
en ce sens, mais c'est peut-être une faute. 16.
.)
~09 de )
~b
,
(-.,%qj)
à
w
frisure en manière de crêpe, Ale. (crespa de couleur de crème en parlant de
-.-ti
X-~ju. LgJ-Ȉ
~G
> porcelaine, Tha'âlibî Latâïf 127, 2 a f. — Substan-
cabellos). — Flocon de laine, aussi
Aie. (flueco de la lana). — X~ r,
^,X.~CI à contre- tivement: un vase fait de cette sorte de porcelaine
(cf. l'article qui suit); mais dans le seul passage où
poil, Aie. (pospelo).
je trouve ce mot, Rutgers 169, 9, il semble désigner
~~j. de couleur de mare (proprement de raisin une certaine mesure pour les grains.
sec), violet foncé, Aie. (morado color eseuro). K—!'~-j. pl. <~~L. (~~b., en trois syllabes, dans
~&-5
~Yj t L, chez qui la forme
~9#oS
~Jutàt est constamment un vers chez de Sacy Chrest. I, ~11a, 4, est une li-
O
donne: birrus X-3~
~Juusi, 1 u*~~ >o»As!«S
~,â ~Y) Le mot t cence poétique) est proprement un adj. fém. qui si-
gnifie de couleur de crème, en parlant de porcelaine
,M~J—~ semble indiquer que birrus doit se prendre
(voyez l'article qui précède), mais s'emploie substan-
dans son acception ordinaire (cf. Ducange), sorte de
vêtement; mais je ne connais ni ~yji ni ~ï.S en ce r tivement pour désigner un vase fait de cette sorte de
porcelaine. Tasse, écuelle (de porcelaine), Hbrt 202,
sens. écuelle (en terre) assiette, plat, Bc, pour le lait,
,
Mehren 28, espèce de terrine, Descr. de l'Eg. XVIII,
part. 2, 416, Gloss. de Habicht sur le t. II de son
~t disait le peuple en Espagnepour (voyez). édit. des 1001 N., note de Rutgers 173, Abou'l-Wa-
lid 640, n. 38, Ibn-al-Athtr, Commentaire sur le poème
Aussi dans la lre partie du Yoc., mais sans explica-
tion. d'Ibn-Abdoun, man. Gayangos, 138 v°: v_àJi ~X-JL-*
C!,., v=~41
*j
~>01
~Z olivier sauvage, Gl. Esp. 32; zebou-
dja dans Daumas Y. A. 118.
f)~~
Le n. d'un. 9 dans le Yoc.
est le nom d'une bête féroce dans un passage
VII être taillé, émondé, Voc.
de Nowairt, man. 273, p. 638, où on lit que l'animal
~O
+ cri
~jij de guerre, Diw. Hodz. 92, 4 a f. (= 167, 5):
~;
CI.
- est engendré du al;.;?) et de la lionne.
nommé -74.à
~-
expliqué par ~s~Lj~, qui a souvent ce sens.
909
~w)
,~-j.(.~-~?) disait le
9uêl>e> Ibn-Loyon
> ~CI' 19 vo: ~1 f»
vulgaire en Espagne pour composé d'avelines pilées, de pain râpé et de miel.»
En Afrique ce terme a depuis longtemps perdu sa
première lettre, car on y dit fy-!~ ou ~xâjjj. Léon
562: «farinœ massam aquâ optime coctam in alio
wj—j.
serpe, Aie. (hocino para chapodàr arboles), quodam vase pistillo quodam agunt, atque oleo aut
Domb. 95. carnium iure madidam vorant potius quam edunt:
~'CI'
~jyJij voyez l'article -*j.. cibum hune Besin vocant; »
cf. 572. Richardson Sa-
hara I, 61: «The ordinary food of the people is
~;;j
<«- M (sous ~y^j).
~*
serpe, bazeen, a sort of boiled flour pudding, with a little
~jijA
pl. ~jùjA serpe, serpette, faucille,Voc. (poda- high-seasoned herbal sauce, and sometimes a little
oil or mutton fat poured on. It is generally made
dora, faix), Aie. (cazcorvo, hoeino para lena; ce of barley-meal,but sometimes flour. This is the supper
cazcorvo, qu'on ne connaît plus en Espagne, a cer- and principal meal of the day;» cf. 277-8; le même
tainement eu le sens de serpe, serpette; dans la Co-
lombie il signifie cagneux (voyez Cuervo, Apunta- Central I, 71, 308. Cherb. C: ~K,%A bouillie faite
ciones crfticas sobre el lenguaje bogotano, p. 344,
avec de la farine, du beurre et du sucre (Tunis).»
2e édit.); c'est un sens figuré, qui s'explique aisé- Voyez aussi Marmol II, 241 c,
285 a, 305 c, Pagni
ment par la forme de cet instrument; l'étymologie 45, 121, Hamilton 172, Lyon 21, 22, etc., 49, 50 j
est: caput curvum), exemple sous ~JljyJs. — Cognée, Pananti II, 31, Blaquiere II, 40n., Ten Years78,
hache, Hodgson 85 (axe). 89, 105, Della Cella 8, Testa 7, R. d. O. A. V, 16,
.,.,fI
pl. j*\jA serpe,
.y.àja serpette, Aie. (hoce podadera), Barth I, 24, 44, 112.
2af:
~JwJ
1 bafouer, Ht. (de Slane), II, 190, 7a f.,
428, 12, 489, 10. Il se
II,
engraisser, fumer la terre, Voc., Aie. (esterco- construit avec Prol. I, 36,
lar el canpo), Bc, n'est peut-être pas classique (Lane), ~~Le, Berb. I, 511, 5, 605, 4. L'expression..,~.
mais se trouve souvent chez les auteurs du moyen .Ls ~-c signifie aussi donner des embarras à quel-
âge, p. e. Abd-al-wâhid 23, 3 (= Macc. II, 68, 1), qu'un, Berb. I, 527, 4, 643, 3, 644, 2, II, 468,
Auw. I,
6, 3 a f., 14, 20, etc. f.
9, 494, 3, 518, 7 et 7a Dans deux passages elle
n'est pas claire, Berb. I, 517, 11: J~>L\j
IV même sens, Aie. (estercolar el canpo).
o
~Xij.
forme au pl.
fumier, Voc.
,, et jL' Voc., Auw. passim;
la première forme Edrisi, Clim. II, Sect. 6, la se-
conde de Sacy Chrest. I, 242, 8, Mi'yâr 6, 3 a f.
,
et 526, 5 a :
f. il y avait entre eux deux
-lo*"-
bien fortifié, Rutgers 187, 1
— Tombereau, sorte de charrette, Bc. je ne le trouve pas dans les dict. de cette langue, et
~th 1 c. a. dans le Voc. sous baburius (sot). — Trom-
je dirais plutôt: de l'ital. sbandito, proprement un
banni, un exilé; bandito, qui signifie la même chose,
per, Bc (Barb.).
* -O* pl. t..tG,. sottise,Voc.
X~Jb. a reçu le sens de bandit, brigand. -
Célibataire,
II achalander, donner des chalands, Bc; cf. étranger et dont ils ne connaissaientpas bien la signif.
véritable.
~O"J(Daumas MS) rétribution que reçoivent les ca-
valiers après une expédition,Daumas Mœurs320 (zebeun). <~J~t = J~~L., Most. sous ce dernier mot.
I,. semble dans
sembledansleVoc.le Voc. donner un coup de poing, la quantité, mais sur l'accent, et l'on emploie dif-
puisqu'il a ce verbe sous pugnus. férents mètres. On en a composé, non-seulement en
II émailler, recouvrir des faïences d'un enduit vi- Espagne, mais aussi en Egypte. Voyez J. A. 1839,
II, 164, 1849, II, 249, Freytag, Darstellung der
treux, GI. Edrisi, Gl. Esp. 177, n. 1, Auw. I, 684,
Arab. Verskunst 459, Macc. I, 312 (cf. Fleischer
Berichte 182), II, 431, etc., Halbat al-comait, chap.
,
?
h,
—. (sic) pl.
» vin fait de figues, Voc. 0. celebris (de camela), chez Freytag, est
~L>~ un
1 ..,
w9
~S!~ et
pl. poing, Voc.
verre. Djob. 275, 19 nomme les espèces
-
~A~-.. J~e-J!
Bc. Cf.sous àlafin. I tJ.:» ensablement, amas de sable,
n.82.
)
(Saturne) en alchimie plomb, Abbad. I, 88,
A-~.-~. Le pl. (~ Berb. I, 82, 2 a f.
t
y
épithète d'un nuage, employée aussi sub- ~pS-j-A- suivi, qui attire beaucoup de monde, Be.
stantivement, Wright 81, 4 a f., à peu près l'équi- --)
~y» affluence, Bc.
valent de 1^*2* selon l'éditeur. concours
~t II glisser en bas ,
XL~s~. endroit où l'on glisse en bas, M.
foule, affluence, Bc.
4~
~t) I. ~-m t) il pleut à verse, M.— Baisser le dos
glisser doucement, en parlant de cho-
1 couler, (cheval), M.
,
ses solides, glisser, Bc, M. — Couler, dire douce-
ment, adroitement, Bc. — Glisser, être glissant, Bc.
avalasse, ondée, averse; lisez ainsi
-
petite, Kali crassulœ minoris foliist Sang. - pl.
j~ >
sous ponderosus: ~ü.)j
~ijpj. Le Voc. donne f3ous
O
J.)p ~3'~?* j~j, pot pour conserve chez Aie. (bote de conserva),
est une altération de ~jty - sjj £l>- il vint en per-
-oï
,
sonne
pl.
M.
iJi
~0^1 ambidextre, Bc. ~Jj boulet d'un cheval, jointure au-dessus
du paturon, Bc.
,;- 1 voyez sous
2
~jy
— Lacer, couvrir sa femelle (par- })) tirant, cordon qui sert à ouvrir et fermer,
Bc. - Bois qui sert à lier l'une à l'autre les brides
de devant sur le bât du chameau, Prax R. d. O. A.
V, 221.
II boutonner, M. — Bourgeonner,
jeter des bour- (syr. selon Bait.) blette, ou selon d'autres
geons J Macc. II, 432, 3. — Pour^o, stridere, Voc. pourpiery Bait. I, 529 e.
V se boutonner, mettre ses boutons, Bc. — Bour- ~jjA tirant, cordon qui sert à ouvrir et fermer, Bc.
geonner, Bc. ijjA
«*> ~y
voyez i)jjA.
2
VII voyez sous w<•)
en parlant de satin, 1001 N. I, 132, 5, si
,
jS
(pers. et or). )) sequin, Bc.
~);jAP
la .leçon est bonne (dans l'éd. de Presl. 1, 332, 1,
Le pl. aussi Voc., P. Abd-al-wàhid 106,
.,
par
Ijjjx, par contraction
les agrafes qui en
~,
~s.>
une serviette, formant,
attachaient
les côtés, une
de portefeuille ou de bourse, Maml. I, 1, 219.
imposteur, charlatan, faux marabout, Cherb.
sorte
HJ II changer
dans idées, Cherb.
les
)j
,
souvent d'avis, n'avoir aucune fixité
t~J.
y
rue longue et étroite, M. jA - ~041"
de panpanos).
~y
couvert de pampres, Ale. (panpanoso lleno
iUjjx une enceinte faite de câbles et de filets pour
L~
prendre des thons, Gl. Edrisi, Gl. Esp. 150.
O pl. ~-~!-~1 gouttière, tuyau, Bc, Bg, Me, fond avec le ~,
~ztii sorte d'oiseau que l'auteur du
mais qui est plus grand, Man.
",:-,WU" con-
~^<3,
Bat. II, 264,
III,
-CI..
•îy
;
~~L. question d'un oiseau qui apprend à répéter quelques
qui avale souvent ou beaucoup, Yoc.
cotte de mailles, Bc. — Défilé étroit, M. mots, p. e. Macc. I, 232, 7, Holal 69 r°: ~Cjl (5ààl3
Lj,
sens, les Arabes n'ont pas pensé à l'étourneau, mais
112; mais on entendait aussi sous ce mot une mai-
ordinaire ;
son de détention d'un rang plus élevé que la prison
celui qu'on y renfermait n'y demeurait pas
longtemps; il était bientôt ou tué ou mis en liberté,
à la grive, Gl. Edrisi, Bait. 1, 493 c (passage d'Edrisi),
en parlant du marbre: *
~31 ~Li ~JL-< ~ald ~lo L;.,-,
de Sacy Chrest. Il, 178, dern. 1., Maml. I, 1, 14, ~gJl 1001 N. III, 584, 10,
Yie de Saladin 198, 14. Cf. l'article qui suit, car IV, 315, 2, Bresl. X, 259, 13, 321,2 Roux, af.-
c'est le même mot écrit d'une autre manière. de Jong van Rodenburg 126: «Ce couple de lions
~~-.)L~~j appartenait à l'espèce rousse ordinaire: el-zarzoeri.»
(même origine) arsenal, 1001 N. Bresl. IX,
115, 2 a f. — Prison pour des personnes d'un cer-
- «ya_jul! est un moulin à huile près du-
quel se trouvent beaucoup de J')))' Ils portent les
tain rang (cf. l'article qui précède), 1001 N. Bresl. olives dans leurs nids, mais il en tombe; on les ras-
XI, 272, 1, Vie de Saladin 189, 15, où ce mot
I
semble et on en fait de l'huile, M.
n'a pas le sens d'arsenal, comme on lit chez Frey-
tag (ce lexicographe cite aussi p. 175 de ce livre, Xj.,
S ~)&.j
pour ~4)5 mulepommelée, 1001 N.
où toutefois on ne trouve pas ce terme).
— Sorte IV, 186, 3.
de tente, à ce qu'il semble, 1001 N. Bresl. IV, 285,
S) cf. XII, préface, p. 94.
— Sorte de soie fine salir, Roland. - Voyez (jjjy-
~u«j J}j, tremblement deterre, Ale. ~*JU^. M*!~ ~v;je les semailles,
(terremoto). la saison durant
, pour
-- grive, Voc. (ef. il.)
119
~Jj» pl. tyjj laquelle on ensemence les terres, Domb. 56. ~j?n„ -
|
geance, race; — pépinière, réunion de jeunes gens
Di-.)- cave, Bo. d'hommes destinés à, Bc. — Pour la chasse au san.,
~JJ))), glier les meilleurs chiens sont «what they call sereet
pour ~jijjjy êtourneau, Mo. — Grive, Pagni MS. telt, or the third race of greyhounds, whieh is a
~tj
,
* ~'CI- ~-t »
very strong dog, Jackson Timb. 245; il parait que
~YO,
petit Uzard, Cherb., Pagni 23. Cf. ~ïJj^Ajy c'est K~JLt ~!«. - <j~A~~ ~Koy Ononis antiquorum,
Bait. II, 93 f.
(jM^lyyo^it ~_yS>~&~<. ~((jia*iaiL OJ_pà ~-~j tout ce qui croît
— Le buis indien sans être semé, M.
Bait. l, 312. X—&L. pl. terre labourable, est d'un emploi
~êJ) I. Mfaire du bien, Bc; M»».> ~xjl* c.. très-commun, Gl. Edrîsî. (Biffez ce mot dans le Gloss.
il lui fit du bien, 1001 N. I, 139, 16 (= Bresl. I, de M. de Jong, car dans le passage qu'il cite c'est
346: \';'.J*A ~UA J.c), Bresl. II, 253, 5; ~Ojydt ~t)j
F
le n. d'act. que Lane a noté et dont on trouve
semer des bienfaits, Bc.
~à1
des exemples dans le Gl. Edrisi). — Semence, Aie.
II spargere dans le
germe au dehors, Bc. —
Voc. — Germer, pousser le
la
(simiente). — ~{Ji^
a bélier, Aie. (murueco car-
,
Dans le sens d'arbres ou fleurs, 1001 N. I, 236, 10,
— Plantagey. plantes de can-
576, 3, II, 599, 2 a f.
nes à sucre, de tabac, etc., Bc.
S
~Xsijj forme au pl. car c'est ainsi qu'il faut techdîd dans A).
de quelque endroit, Aie. (sangradera de suleo). ~tssib) os naviculaire, Gl. Manç.: rkmil ~£^
(jjsji) (zerouk') le lever du soleil, «ainsi appelé parce
qu'il lance alors ses premiers rayons,» Prax R. d. O.
A. VII, 152; chez Roland ~j<~&J) ~-~
~,.
o lever du ~),&s
~uil bleu. L'emploi de ce mot dans le sens de
soleil.
~.! ~C«>
vipère des pyramides, echis carinata1 de Jong
noir n'est pas un néologisme, comme on serait tenté
de croire quand on consulte Lane, car le ~U)jl était
van Rodenburg 234, Shaw I, 269, Poiret I, 285. déjà la couleur du deuil sous les Abbâsides, Gl. Fragm.,
~*y
X-ïL. coll. matière fécale, Voc.
~5
C'est pour et l'on sait que sous cette dynastie les vêtements de
~y
X3!~. deuil étaient noirs. — Gris (cheval), Bc, Martin 98,
Daumas Mœurs 288: ,Chevaux bleus; les Arabes ap-
- ~J» la
KÏ~ couleur bleue, Yoc. pellent bleu le cheval gris étourneau foncé.) — Se
)
"-' ~(lo
tû4)j' Les Mowallads assaisonnent ce mets, non trouve deux fois, comme nom d'un oiseau (cf. Lane),
i
dans la liste de Yâcout, I, 885, 6 et 14. — Lapis-
pas avec du lait, mais avec du vinaigre ou du su-
mac, et ils lui donnent aussi le nom de úN>-U,
~&-
M.
Lazuli, Pagni MS. -
~3))~ eryngium montanum,
tam cœruleum quam viride, Pagni MS (luzërak). —
— Mélange de terre et de chaux, dont on enduit les
terrasses des maisons, M. la mer, Daumas Mœurs 301; — Herynga ame-
thysta, nommée ainsi à cause de sa couleur bleue,
dans le sens que donne Lane d'après le TA,
aussi dans le passage que cite Freytag et qui l'a em- de Jong van Rodonburg 258.
barrassé; voyez Gildemoister, Catal. des man. or. de
Bonn, p. 39. — Celui qui lance le naphte, Maml. II,
,jj\)j-A pl. fitlehe, Voc. Je soupçonne que
~w
~»Ui et
y
2, 148, Mong. 134 b, J. A. 1848, II,
est chez Aie. aguatocho, que Victor
~jOU' ~(31»
200. -
Jackson 191 a eu en vue le même mot, en écrivant
zerag et en l'expliquant par flèche.
~.-< grisâtre, Bc.
traduit par siphon, bout de tuyau, tuyau de fontaine,
et Nunez par grosse pompe pour les incendies.
~Kïij tuyau,
~a<
Maml. II,
2, 147, Gl. Edrisi; ouver-
titre en forme de tuyau, pratiquée dans une muraille
pour donner du jour à un escalier, Gl. Edrîsî; le tube
; ~&Jj= (j)}-* ~O javelot,
voyez un exemple sous
dans ce passage Ibn-al-Khatîb (53 v°) a
~.-~ décrit par Burton I, 230. «
Kz\jy>.
e Kabyle pré-
avec lequel on lançait le naphte (cf. Lane), Maml. 1. 1., vient toujours son ennemi, et voilà comment il le
J. A. 1848, II, 196, n. 3; seringue, Chec. 207 vo: fait: le gage de la paix entre deux tribus consiste
dans l'échange d'un objet quelconque, d'un fusil, d'un
appelle le mezrag :
bâton, d'un moule à balles, etc. C'est ce que l'on
la lance. Tout porte à croire
qu'avant l'invention des armes à feu, le dépôt d'une
lance étaiteffectivement le symbole de trève et de
- ~my
N. Bresl. VIII, 288, 3 a f. L'expression ~3LU X-ï!.- bonne amitié. Quand une des deux tribus veut rompre
signifie selon Aie. escarnidor de agua et hurta agua le traité, son chef renvoie simplement le mezrag, et
o escarnecedor. Victor traduit le premier terme par: la guerre se trouve déclarée,» Daumas Kabylie 35. —
«horloge d'eau, chantepleure; selon quelques-uns, ar- jA rayons du soleil, Ht.
rosoir,. et le second par ,ehantepleure, arrosoir.»
Dans Amari 568, 4 a f., c'est jet d'eau, synonyme de Q
Le pl.
~«M ~Il porteur de lance, Maml. II, 2, 147.
~—~ hallebardier, lancier, Bc, Hist. Tun. 136: ~(*3' 1 fratldare, Voc. — Casser, destituer, Ht.
~jb.J~
1 une ombellifère, Prax R. d. O. A. VIII, 284.
çon de
emboucher, mettre dans la bouche, Aie. (enbooar).
~0
~r))' thymélée, garou, trentonel, Most. vo ~jlj!; le-
La, N ~^1.
espèce de disque en métal sur lequel étaient repré- O ~J
Freytag d'après le Diw. Hodz. doit être
~r;jA chez
sentés les constellations et les principaux cercles de
~*)0#
voyez l'édit. 24, 1-4.
«» f
changé en r,lf';
la sphère, et avec lequel on se livrait à des opéra-
tions astronomiques. Il a été inventé par un astro-
nome arabe-espagnol du XIe siècle, Abou-Ishâc Ibrâ-
~G+ ~J'
en Egypte, souliers des feinmes,
femmes, Bg. Cf. ~CI
~»o
him ibn-Yahyâ an-Naccâch, surnommé Ibn-az-Zarkéla, !<t~~t.
dénomination dont on fit, au moyen âge, Arzakhel.
~yo*
voyez
XjjAjjm. Elléborine, Bc. -
Voyez Reinaud Géogr. d'Aboulféda p. en et les au- ~bY)j ~pi--Mjj ver de terre, Cherb.
teurs qu'il cite, Catal. des man. or. de Leyde III,
96-7. 1 ~7O
~X.
petit lézard, tarentule, Shaw I, 268; dans le
~IjjJenEspagnepourLGl.
Gl Esp. 365,
365.
coronopus,
~)OO
Bait. 1, 530 c.
525 b, article que Sontheimer a traduit d'une manière
ridicule, comme je l'ai montré Ztschr. XXIII, 194.
Chez Rauwolf 112 c'est une espèce de saule. Ail-
<«~tt (aram. ~lip-D, gr. ~trvptxov, chez Pline syricum, leurs, 116, ce voyageur parle d'une herbe qu'il nomme
peut-être du pers. ~;.,o—.
!
,
couleur de feu, ou bien
zarneb melchi. Elle est d'une bonne odeur, à racines
longues et blanches. Ses feuilles sont à peu près
~~Xe"
de o,s») j
couleur d'or)
céruse rouge, minium, Gl. comme celles de la coriandre, et la plante ressem-
Edrisi 312—3, 388, Gl. Esp. 225. Ce que j'y ai dit ble assez à la troisième espèce du Daucus de Dios-
corides. On en exporte les racines, dont on se
est confirmé par ces paroles que M. Simonet a trou-
sert contre le mal de dos, etc. Chez Bc ~—« est
v-^ÎUî
f
vées dans le man. 1729 de l'Escurial: chardon à cent têtes, panicaut. Selon Ibn al-Djezzâr
,
~v-ôjj est ce qu'on nomme en espagnol ~a^Ji, c.-à-d.
~'t&j; helecho, fougère.
1 c. a. p.
presser, pousser (XL*AO3 &jub~ M.
~4;)
j
II c. p. chercher à tromper quelqu'un par des = ~oLôjjzédoaire, Sang., Bc.
paroles qui le rendent inquiet, M. '~L3.. = Payne Smith 1157.
VII quasi-passif de I, M. olxijj sorte de poisson à coquille, Burckhardt Syria
~Mjj l'action de 501, 532.
presser, M.
~iMjj broder, Hbrt 83, broder d'argent, M. — Orner, ~~tt 1 e. a. dans le Voc. sous auripimentum.
1001 ~lî. II, 46, 3, 168, 13. guôjj (avec
ces voyelles dans le Voc. et chez Aie.)
~tJiSjj l'art de broder, 1001 N. IV, 300, 10. ~-~j
•
— pl. orpiment, Voc., Aie. (jalde color, oropimi-
K4.dj,) confusion dans le discours, M. ento o jalde). — Dépilatoire, Aie. (cnplasto para ar-
U&~- broderie, Hbrt 83.
rancar pelos, unguento para arrancar pelos).
brodeur, Hbrt 83. ~1 * ° arsenical, Bc.
(pers.)
..J
h)
529d(AB).
~T,,
= ~Lrhubarbe groseille (Rheum Ri-
bu), Bait. 1, 530 f (lisez ainsi).
t5-)->jjjj blette, ou selon d'autres Coronopus, Bait.
o
(enputecer a otra). X-!~< derisu., exprobratio, susurratio, L.
II se
>prostituer, Aie. (enputecerse).
~G~j!..
pl. prostituée, Aie. (carcavera puta,
~wOjJ
objet de mépris, Akhbâr 146, 13.
*C
9*4- laissant couler dans sa bouche le li-
1 boire en son nom à Ziryâb, le célèbre musicien d'Abdérame II
et l'inventeur de plusieurs plats qui conservèrent son
quide qui sort du bec d'un vase qu'on élève dans l'air; ~X-xJULxJt
M. nom; cf. Macc. II, 88, 2:
~~tj
onditaussi
-bJ))
"",.CI..
lancer un bâton dans les jambes d'un lièvre ~JjJ 1 donner un coup avec le creux de la main sur le
1
chignon, Voc. (colafizare), Khatib 186 ro: ~to ~aI~o
talendes grecques, Cherb. C; cf.
faire grossièrement, Bc.
—
(terme de chasse); au fig., renvoyer quelqu'un aux
Barbouiller,
:ik')j
<..&..
bâton long de deux pieds et de trois pouces
en circonférence, dont le bout est garni de fer ou
de cuivre; c'est l'arme de ceux qui n'ont pas de fu-
sil, Shaw I, 335, Jackson 32, 62; cf.
~Lu~ = at.,>bj, Payne Smith 1114. Au lieu de ~,
le man. Gayangos a ~ra33; l'autre
leçon se trouve dans le man. de Berlin, qui a (le
~\5)) 1 c- V faire honte à, Macc. II, 799, 8, Haiyân- plus, à la fin do ce petit poème, le vers:
Bassâm I, 173 rO, où il faut lire: 15}}' oiLtl
XSJL^Ij qui fait honte à la création,
« »
Aussi c. ~Jji On voit que ce Hasan était un qIXSUO,~O
un de ces
Macc. II, 181, 11 (où l'éd. de Boul. a la IVe forme)
plagipatidœ ou souffre-gourrnades, qui recevaient vo-
c. y et à deridere dans le Voc.
IV — C.
"'="'
lontiers des soufflets, pourvu qu'on leur donnât en
faire mépriser, de Sacy Chrest. II, ff,9, Hoogvliet même temps un beau cadeau; aussi trouve-t-on cette
46, 3 a f., 53, 3, Abbad. I, 62, 9, 392, 3, Macc. note sur la marge du man. de Berlin: a<~-~ ~JLL-t
II, 583, 8 (ces exemples lèvent le doute de Lane
1229 c,
1. 8—10); faire honte à quelqu'un, lui eau- I, 273, 4 a f., on lit que cette partie des CinhAdja
ser de la honte, Weijers 40, 10, Mûller 10, 9; aussi qui habitaient près d'Azemmor étaient connus sous le
sobriquet ~dejjJtX.f>L «les Cinhâdja souffre- yfèmmbatelage, Bc.
~jAfijS
gourmades,* «à cause des humiliations et des ava- »
~C*
j~f~ bateleur, escamoteur, joueur de gobelets, jon-
nies qu'ils avaient à subir.»
VIIquasi-pass. de la Ire forme, Voc. gleur, Be, Hbrt 89, M.
~Sjj
pl. ~jj coup avec le creux de la main sur le nom ~,0'
d'une étoffe de laine, Deser. de l'Eg.
chignon, Voc., Aie. (pescoçada herida de pescueço), XII, 141. — Sarrau de laine brune, ouvert depuis
Domb. 90 (ictus vola in occipite). le cou jusqu'à la ceinture et ayant les manches lar-
ges, que les hommes du peuple portent en Egypte,
) ~SJ celui qui donne fréquemment ces coups, Voc. surtout en hiver, Lane M. E. I, 44, Burton I, 16,
~u)jA
~«t
~Jûj, n.
dans le Voc. sous colafizare.
d'un, du pers.
m ~m
9 1
~<->-,
Cherb. B.
,
marcher avec prétention" Roland; ~«';;j, et plus
souvent ~#o# se balancer, se dandiner en marchant,»
les habitants de Damas donnent ce nom au fruit du VII marcher précipitation, ou bien fuir pré-
avec
t
dans M: sorte de ),;Cj à petits fruits. cipitamment, vers, ~JJ, J, ou en quittant, ~if' Abbad.
~)'rj;
I, 272, n. 79, Fakhrî 363, 6, Cartàs 94, 2, Haiy&n
O
« ~O*
~-~t le fruit de l'olivier sauvage, Bait. II, 183 b (dans
mes man. les points sont mal placés), Ibn-Loyon 14 ~,J <~ ~~Lj (peut-être mieux Aussi
ro, en parlant de cet arbre: g~~ ~-*3'
quittet ~c.13e» Haiyân-Bassâm I, 121 vo: q* ~jL<-~
~j 1 = J~z-. (voyez). ~— C. p. tromper, M. quitta son royaume de Grenade pour retourner en
.e.a) tromperie, M. Afrique). Le n. d'act. impétuosité, p. e. en parlant
de l'eau, Gl. Edrtst, Djob. 237, 5; cf. 1001 N. Bresl. «Azarola, Zaror Serap. c. 109, ubi interpres vertit
XI, 240, 3. — Passer et repasser, comme fait une Sorba, »Pagni MS, azerole, petite cerise rouge et
sentinelle, Macc. I, 245, 17. — C. ~q» être chassé, acide, Be (azerole vient de l'esp. acerola, qui est
expulsé de, Yoc. — C. J p. entrer dans les intérêts une légère altération du terme arabe), Prax R. d. O.
de quelqu'un, agir avec empressement en faveur de A. VIII, 280. Selon Burckhardt Syria 275, c'est
au
quelqu'un, Abbad. I, 247, 4 a f. — C. ~lt désirer, Liban tun arbre qui porte un fruit comme une petite
Macc. I, 174, 15. - ?J:..bL> ~c il ne savait plus pomme, très-agréable au goût et auquel les habitants
~O* Ailleurs,
de Damas donnent le nom de v-jj-*.cj.» 569,
ce qu'il disait, il était hors de lui, 1001 N. I, 816, il dit que ce fruit est comme une petite cerise et
qu'il a beaucoup de la saveur de la fraise.
~jiaubépine,
J,..).cj -
~j ~aM MMe,Pagni
Pagni M8 (oxyacantha);aussi
MS(oxyacantha); aussi .)'r~
v.
a.
chasser, expulser, Berb. I, 26, 14.
seul, Roger 202: «zarour, qui est nostre Aubespin;»
h 1 devenir blond, blondir, Bg. - ~-) parlant
en j
Joj-Ï.y ~y(de) eLJL<e
- le fruit de Vaubépine,Aie,
;
jij-zj
de la couleur de la peau, plus que blanc, Prol. I,
-
,i.
(majuela fruta de cierta yerva). ~O
~J~j! .J'rj, eu
152, 5; de Slane: tirer sur le blafard.
II
h
écourter les cheveux, Bc.
au lieu de L'éd. Macn. a en cet endroit ~9) (escaramujo o gavança, gavanço rosal silvestre).
,
qui a le même sens; cf. sous ~-1-. ~-g
£
~.J-C)'
sans queue, 1001 N. IV, 513, 10 a f. (cf.
~.r:), en parlant d'un chameau, me semble pour 514, 2). — Blond, Bg (Barb.), blond ardent, roux,
~_j&5, ombrageux
~Sjléj
; cf. Gl. Belâdz., Gl.
),
~j
— LJN.i..n ~M
que les femmes portent sur le cou, Bc.
,
crlnière, Bc.
8ja£j (même origine que ~îsjzj, 2e signif.) prostituée, ~y
o ~y
~-~r~} ~js., jujube,
n. d'un. g, pour Aie. (açofaifa).
Vêtem. 258, 5.
~-&!. pour .,rk>, qui est pour vaurien, filou,
~a, Ux5JI ). tabac à priser(vulg.), Bc; c'est
~w là
pl. Khatib 29 j~~; ~âl ~jj -b~c. pour -b~jt~, M.
Vo:
j
des 1001
~a»
IX,277, Lj, celle de Macn., III, 461, a Cherb. -ï~i~, chez Daumas V. A. 431 «zaataute;»
~jSkà L; même observation pour Bresl. aussi -b~i.D. chez Beaussier.
~yaA IX, 290
et Macn. III, 468. housser, nettoyer avec le houssoir, Bc.
1
même sens, 1001 N. Bresl. IX, 284, 2 a f., ~'silc-j houssoir, balai de branches, de plumes, Bc.
,
~U-c-- qui s'ennuie, ennuyé, Hbrt 229, Bc; ~NJLx
~O
vJiSj
p
appeler quelqu'un, Bc, c. J p., M.
1
~juJLc uicj
C. ~-&
il lui cria, en parlant d'un homme
- qui est de mauvaise humeur contre quelqu'un, Bc.
qui est en colère, 1001 N. I, 74, 2, Koseg. Chrest. ~rz i. Le Voc. a le n. d'act. K~L&.
sous aserere, iactan-
86, 3 a f. Ce dernier passage se trouve aussi dans
cia et baro. — X~L~J! littér. l'événement final
les Extraits du Roman d'Antar 6, où on lit ~s ~(jC),
lui parla en paroles ambiguës, c.-à-d., il ne savait
de même que dans notre man. 1541. — S'emploie en
parlant du cri de la chouette et du corbeau, 1001 pas quel serait l'événement final, Abbad. I, 223,
dern. 1., cf. III, 84. — Dans le sens de promettre,
N. I,
47, 2 a f. -
~(3^^ ~Oicj sonner la trompette,
cf. Gl. Fragm.; y
Ñ ~r=j il lui promit de, Berb. II,
Hbrt 97; ^.aJLâJî ~A&. signal de trompette, Ztschr.
XVIII, 527. Dans les 1001 N. Macn. I, 166, 9: 314, 3 a f., 487, 5. — Faire des bravades, des rodo-
J~o~iL ~jlàii ~Q-g.nj, mais dans l'éd. de Bresl., II, montades, Aie. (bravear). — Vanter, Aie. (ensalçar
alabando), c. r., Berb. I, 392, 2 af,: M-jji .,,-Z'f,
y
v^jJLxXiL «il a vanté la doctrine de la trinité.»
frayeur, chez les chevaux, ressemble beaucoup au ~0. ~l' oO-> cjcjw «afin que la chose eût
~l5)r
caractère rétif. L'animal s'arrête tout à coup, sans l'apparence d'une délibération régulière, » Gl. Fragm.
vouloir avancer, et quand on l'incite il tourne sur -
t~-~T-~
~O vanité, ostentation, Aie. (vanagloriosa-
lui-même, » Auw. II, 539, ,
et suiv. — v-acj
2 a f. ,
~J, — avec
~> dans Lane); ~gJî ~AJt ~Jjjjj" 4-;=ft ~)J
mente) (cf.~rcj
n. d'act. »'*j>rj, être laid, difforme,Yoc., Aie. (le «elle avait coutume de dire avec une certaine osten-
part. act. diforme cosa fea, fea cosa, fiera cosa).
II enlaidir, défigurer,déformer, rendre difforme,
tation, que,» etc., Koseg. Chrest. 92, 6. Imagi-
i car, par exemple, Ht.
-
Yoc., Aie. (afear, desconponer). nation, Ht.
~O-
- ~Ltsj
V quasi-pass. de la IIe forme dans le sens qui précède. ~"ei- X~=~ orgueilleusement, Ale, (soberviamente).
~;;Lz-
~->> 40 aqua fetens in inferno,Yoc. ) ~>
,~e< fanfaronnade, Aie. (habla de sobervias).
X;~. laideur, difformité,
fiereza, cf. feamente).
Aie. (diformidad, fealdad,
D ~CI.
en Afrique, derrière, cul, Cherb. (Alg.) ; — queue,
~-
r"!!>• L~&~
par exemple, Ht.
Bc (Barb.), Ht, Delap. 150. lwr_lja contes, fables, Prol. I, 18, 5, Berb.
~J I, chez les Bédouins être stupéfait, dans les villes I, 25,13. - En astrol. (avec ces voyelles, ou bien
)
~O
rejA?), le promisseur, c.-à-d. la planète qui tient le
se fâcher, Ztschr. XII, Dans le dernier sens
146.
M, 1001 N. I, 229, 13. second lieu dans le zodiaque selon l'ordre des signes,
— C. ~Cr s'ennuyer de, se
dégoûter de, se fatiguer de, Bc, Hbrt 229, M, 1001 de Slane Prol. II, 219, n.1.
Cf-i - prendre haleine; après une courte pause elles répètent
., ce tremblement; voyez pour plus de détails Ztschr.
~*v
JIÙU. fou, sot, Yoc.
XXII, 97, n. 24. Burton, II, 184, écrit
mais en ajoutant qu'en Egypte on dit ordinairement
KAjuL~, Berb. I, 576, 6.
Kj~-c. Le pl. est ~~jl~., Burton 1. 1., Lane M. E.
~—~t II c. a., Voc. sous pilus.
I, 245, 1001 N. I, 353, 8, II, 67, 8. A Damas
V dans le Voc. sous pilus.
up ~.1
fl, Ztschr.
~Xiytij,
Y
Ztfjchr. 1. 1., chez BeXhwfjj.
chez Be Lepl.j )
Le pl.
~-~c. soies, poil de cochon, Domb. 65.
» >>
forme au pl. '—~~ Aie. (vello de pelos so-
Bc, Ztschr. XI, 508, n. 34. Aussi
Bresl. III, 168, 2 a f.
JaJL~, 1001 N.
y
Ke-C. susurrus,L.
~-e. pl. c,;Lë) pauvre, Bc (Maroc), pauvre hère, ~u-C. et II dans le Voc. sous pugnus.
Beaussier. Le sobriquet que les musulmans donnaient
au sultan de Grenade que les Espagnols appelaient Bo-
1
~oot
~JY), pl. et jte-il
- poing, Yoc.
abdil el Chico (le Petit), à savoir El Zogoybi, terme qui, ~<
d'après Marmol (Reb. 15b), signifie lepetit malheureux falsifier,sophistiquer, ~~<-\J! altérer la monnaie,
1
billonner, Bc, Ht, M, Ztschr. XX, 495, 509, 5,
(el desventuradillo), le pauvre homme, le triste homme, le
pauvre hère, semble le diminutif de ce mot.
-
y velu, Aie. (encabellado, peloso, velloso destos
1001 N. Bresl. IV, 139.
àk-.Djï
- ~aJuuu J bigler, Bc.
~LAcy« VI et tricher, tromper au jeu, Bc.
pelos, velludo de mucho vello).
~ù—È-j tricherie,
Bc. — Grande pierre ronde d'un
pressoir, qui tourne sur son pivot et qui sert à presser
~!tX~
~G
> les olives, les raisins secs, etc., M.
~j~-j—~ beurnous noir, Roland. C'est à
~~c. adulteratus chez Freytag, est ~Ji), M.
Mascara, ville de la province d'Oran, qu'on fait ces
beaux beumous, Daumas Y. A. 229. J~-c. fém. 8 brave, vaillant, courageux, Gl. Esp.
359, Voc.(strenuus).
i et ,^Lcj
-Te. w -- ~G
«> braque
ou brac, chien de chasse
.CI'
U.è-- bravoure, vaillance, courage, Gl. Esp. 359.
«••>
~ic. falsificateur, fabricateur de fausse monnaie,
~1
à oreilles pendantes, chien couchant, Bc, M.
vulg. pour -oto, y M.
petit,
ja it , petit
Bc, Mehren 29;
268, 8.
~ivJLêj tricheurs, 1001 N. Bresl. V,
~,) 1 pousser les cris de joie nommés lU,;i:j (voyez), ~~JLc. sophistiqueur; - tricheur, trompeur au
1001 N. I, 885, 7, III, 332, 5. Chez Cherb. B:
jeu, Bc.
;
pousser des cris de joie en se frappant les .lèvres avec
la main.
254, dern.
On dit aussi ~JaJLc., 1001 N. Bresl.
1., et ~Jaàij, Bc.
III,
~)0>
~J#) garçon d'auberge, Müller 50,
geonneau, a chez Bc les pl. J~Lc. et
dernier aussi chez Mehren 29.
2 a f.
~IL ;
—
Pi.
le
~# O* ) o-
) ~«ol fém. ~~Lc. O)
X—~.-c. le cri de joie que les femmes poussent à
l'oecasion de la circoncision d'un garçon, des noces
d'une fille, du retour du maître de la maison, etc.
pl. J~~,
,~c.<
~CI,
pl. Ju~. bigle, Bc.
cf'}l, barbacane, ouver-
suivi de
En le poussant, elles font un tremblement, dans les ture dans les murailles, Bc; Burton, I, 374, dit que
tons les plus aigus, sur la syllabe li, et elles le font les murailles de Médine «are provided with mazghal
durer aussi longtemps que la voix le permet sans (or mqtras) long loopholes.»
CI.
~Lc tricheur, Bc. sert à soutenir une voûte, un balcon, etc., M. —
~t ~Q>
têtard, Cherb.
Subgronde, 8éveronde, saillie dun toit sur la ruet IL
~Jj> puanteur, Abou'l-Waltd 403, 16, 606, 16. -
~bU) voyez Ojê).
sots discours, M.
~c-A^j plante de couleur jaune, Mehren 29. x
gouliafre, glouton malpropre, Bc. — Sjâj£a&
~ibéidans la traduction de la Bible pour l'hébreu QM, alun, alun cristallisé, Bc.
colère, Merx Archiv I,
189, n. 4, Saadiah ps. 78, O* éruption d'un volcan, Amari 136, dem. 1.,
~i;Jj
vs. 49.
~*O
~jJSy pl. ~Lc. collier, Yoc.
137 1.1.—Comme
137, - ,
comme graisse, saleté, 1001 N. Bresl.
II, 182, 4; — saleté, parole sale, vilenie, paroles
injurieuses et basses, obscénité, Bc.
j
l£ I, aor. ~Ixjj,
c. <3 plaire, Voc. (aussi uto).
~.La.
chez Freytag d'après le Diw. Hodz. est dans
ïL-jL-Êj (berb.)
javelot, zagaie, lance, aujourd'hui l'édit. 71, 12.
baïonnette, Gl. Esp. 223, Voc.(venabulum). «Le mi-
nistre de la Guerre, Saheb-el-Zaghaïa (Porteur de la
lance ou sagaie),» Dunant 64. .,
jujube,
.-0
est un mot andalous (d'où l'esp.
azofaifa), Bait. I, 535 c; lisez ainsi avec notre man.
dans Auw. I, 263, 15.
Jj bourdonnement d'oreilles, Daumas V. A. 425. ~JaSj V
c. '":' et Je être arrogant, Voc.
multitude du peuple, etc., en mar-
~Xsj processiony
O
che, Bc, procession en l'honneur d'un nouveau marié, ~JaSj arrogance, jactance, Voc.
d'un garçon qui vient d'être circoncis, etc., M, Ibn- JcLe. arrogant,Voc.
Iyâs 349: wàâjjîj u~~ ~UJ! ~qUciL*JI fi';
— une ronde
(pendant la nuit), Maml. 192. — l,1,
Forte réprimande, M. O danseur, Voc.
Z,0,
v_îlij == J~c-t, espèce d'outarde, Poiret I, 267.
~cf)
partie).
(saltator, seulement dans la lre
-à
Niebuhr R. II, 203. - u;,33 colophane, Bc.
les ulcères et contre la lèpre.
XjLs. comedia, L.
<~.
~:) huile de cade, Bc.
,
Ce verbe s'emploie en parlant de l'éruption d'un
.La. comicus, L, baladin, Daumas V. A. 102, 451;
volcan, Amari 136, 3 a f. et dern. 1., 159, 8, 9 et 10. chanteur de cantiques, Roland.
Bc.
II engraisser, rendre sale, crasseux, graisserf salir,
— Faire gras, manger gras, Bc, Hbrt 153, M
•
-
Le Yoc. a li>3j
1.
o
O O «))
üj
sous pascua, mais je soup-
çonne que cela appartient au mot paser qui suit, et
(sous ~»i3).
— Gargoter, manger, boire sans
propreté, alors ce verbe a son sens ordinaire, 1re signif. chez
— Parler gras, Bc.
Bc. Freytag et Lane. — Se becqueter, se caresser avec le
V s'engraisser, devenir crasseux, Bc. — Puer, Payne bec, comme font les pigeons, 1001 N. I, 871, 11 :
Smith 1146. ~rLJl jj j.::.:A *4 S &.Zieâ, 111, 580, 8, IV, 265,
O
~J>J, t. de maçon, pierre ou poutre en saillie, qui 5, 266, 3 a f. - Pousser, faire entrer par force,
Bc; ~rLeM dj mettre la bride à un cheval, Koseg. Ztschr. für âgypt. Sprache und Alt. 1868, p. 55 et
-. Chrest. 68, 2 a f. — p~Lj ~d) coudoyer, Bc. — 83, 1001 N. Bresl. IV, 320, 328; lisez de mémoYâ-
cout I, 886, 10, et Cazwtnt II, 120, 1.
Bourrer, porter des coups, Bc.
,
'CI',
~ü"}j y.,rwJ'), M.
II boire, Aie. (bever del todo) si c'est ce verbe canal étroit (sJLwaJ)
,
qu'il a en vue. m
XZwiZâ* nom d'une plante à Cairawân, décrite par Bait.
e
•
~0) pour petite outre à mettre du vin. Chez I, 536 (il l'épelle).
Aie. la voyelle est a, comme dans le mot
qui en dérive; dans la lre partie du Voc.~
jj.
,
esp. zaque,
dans ~aIïj
cot, bâton, Bc.
gourdin, bâton, rondin, gros bâton rond, tri-
la 2de seulement
-- CI
XLuS} sac ~(oAc), M.
Le pl. du pl. olslsj, Payne Smith 1147. —
.,
KJLa. jabot, poche membraneuse des oiseaux,
~t3)' ,âma.-Aascitique, Bc.
M.
~a-Jsj
becquée, ce qu'un oiseau porte à ses petits,
;
,
r3) bec, pointe ~AjAs- r-') coin, outil de fer pour
ce qu'il leur donne à la fois, Bc. — Poussée, action fendre, Bc. — M. de Slane veut lire ainsi dans les
de pousser, Bc.
Prol. 1, 324, 2, et il pense que c'est l'équivalent de
,,bj. Par plaisanterie, en parlant du vin, K-~j~ ~.1
pâte de beurre et de dattes.
j!~, «qui a une outre pour demeure,» Gl. Mosl. — ~çyiy
Sur l'arbre dont Freytag et Lane parlent en
~-»
~(5} $:Üi.w.:.w' ascite, hydropisie du bas-ventre, Bc, Gl.
premier lieu, voyez Bait. 1, 535 d. Le vulgaire dit
Manç. sous le premier mot, Bait. I, 73 a, II, 548 a,
Payne Smith 1147, calendr. 111, 7: J!. proverbialement ~j~K~aJ,
~vww ,.c;, )
en parlant de celui qui
a mangé quelque chose dont il ce trouve mal. On
~,xLj). rue.
vie), L. —
Le pl. aussi ot, -
uxl , Bc. Bivium (due
Quartier d'une ville,Yoc. (vicus), azkak
emploie aussi cette expression au figuré. En outre
el Ihoud, quartier des juifs, Daumas Sahara 61. — on donne le nom de r-",;J'lLt-SÛ à un morceau de
pain trempé dans de l'huile et sur lequel on a mar-
5s
~jLoI Kï.! les tuyaux des étuves, Gl. Manç. v° uiuLb: motté quelques paroles inintelligibles. On le donne
à avaler à celui qui est soupçonné d'un vol, et c'est
une ordalie, car on croit généralement que si cet
homme est réellement coupable, il ne peut pas ava-
~iy iixïls; Ko.W expression triviale, basse, Bc. ler ce morceau de pain, sans compter que, dans ce
iLjOuSj et :'::,R:,~j). chardonneret, Bc, Hbrt 67; le cas, il n'ose pas se soumettre à cette épreuve, M. —
Sur l'autre arbre voyez Bait. 1, 454 b, 536 b, d'Ar-
dernier aussi linote, Bc.
vieux II, 188, où on lit: «ils sont garnis d'épines
jïj 1 craquer comme des souliers neufs, craqueter, comme nos acacias, et ressemblent assez à des buis-
crier, rendre un son aigre par la frottement, Bc. sons. Ils portent des fruits comme de grosses prunes,
- O- gazouillement dont le noyau est comme un petit melon à côtes re-
XSjï} des oiseaux, Ht. — Bruit que levées. On le concasse, et on tire de son amande
font des souliers neufs quand on marche, une plume
dont le bec est trop long quand on écrit, etc. cra-
quement, Bc.
, une huile, qui est une espèce de baume parfaitement
bon pour les plaies et pour les humeurs froides,
contractions de nerfs et rhumatismes.»
J'J-')
(31 #
oiseau qu'on voit souvent dans la Haute-
v—giÀSj, s'il faut transcrire ainsi le mot qui chez Aie.
Egypte et qui est toujours autour du crocodile,parce
qu'il se nourrit, dit-on, des restes de la viande qu'il est zoqnôq, pl. Œ-.VlSj, tout nu, Aie. (desnudo en
trouve entre ses dents, Vansleb 78, Burckhardt Nubia
23. — Ichneumon, petit quadrupède, Bc. cueros).
~yo* espèce
~J,j) de carpe, ou bien les petits du JUï, -'? et ~^2} I, n. d'act. jij,
~Sc"
t5ïj - > (non pas
6i. et iLij
—• -
*15),
ou Synodontis Schal, Seetzen III, 496, IV, 516, comme chez Freytag), chanter, en parlant du coq et
aussi en parlant d'autres oiseaux, Gl. Fragm., Becrt
139, dern. 1.
; pl.ot, IpLaJjS ~JaS l$Ju3 ~t~-~j La.
- Acquitter un pré-
,
~y et jJ5j (syr. bdton, Payne
Smith 1152. venu, Ht, absoudre, Hbrt 213.
~Sbj, aumône. A MAlli
sj\jij crieur, Daumas Y. A. 168. on appelait ainsi la somme
d'argent que le sultan distribuait chaque année, la
coq; K~S~ poule; pl. comm. Gl. Fragm. 270 nuit du mois de Ramadhân, au juge, au prédi-
~;
« 9
hibiscus sabdariffa L., Prax R. d. O. A. VIII,
cateur et aux jurisconsultes, Bat. IV, 402. — Droit
d'entrée sur les marchandises, Djob. 35, 18 et dern.
283, Richardson Morocco II, 275: «sgougou, semence 1., 59, 18, 60, 4, 5 et 6, Bat. I, 112, cf. II, 374,
qui ressemble à la semence séchée des pommes. Les Macc. I, 728, 21, Browne I, 86.
Arabes la mangent avec du miel, en plongeant leurs
doigts d'abord dans le miel, et ensuite dans la se-
Jjjpur (blé), Mi'yâr 25, 9, (puits), ibid. 29,4.
mence.» — Sgugu, pinus maritima, Pagni MS; sgogno,
— Pour ~ia, exquis, suave; X~! (~~3 odorifé-
pignons du pin, Espina R. d. O. A. XIII, 155.
~J)
rant, Bc; le compar.~Sji,
~,as
de Sacy Chrest. I, V", 6.
I, aor. o, n. d'act. XSj, c. a. p. affliger, Diw. Hodz.
46, 2 a f. — Tromper, en parlant du vendeur qui
~poura$Ûo,
parfum du vin, Bc.
suavité; ~J! bouquet,
trompe l'acheteur, M. — Ruer, Bc (Barb.).
II chatouiller, Hbrt 113.
~y dans la religion chrétienne, absolution,
-0 pl. ~—~ grand sac pour les grains, la Hbrt 154, Ht. — Lettres de créance, Aie. (creencia
por cartas).
farine, Bc, 1001 N. IV, 487. 1. — Au fig., vache, ~& ~Ss««
femme trop grasse, Bc. L: beneplacitum LS'j-4'
Ducange donne ce
mot en deux sens: 1° venia et consensus, benevo-
/e~t* (Daumas MS) va-nu-pieds, Daumas V. A. 102. lentia, favor, 20 desiderium, optatum, vel etiam de-
eretum.
~HjSj
~lS I. aor. i, en Barbarie, crier, Bc (Barb.), Hbrt10
nombril, M.
(AIg.) Semble pour
N-~, mot maghribin, hypocrites, comme l'expli-
~-~Lj.. K-jk-~~ UàLt humeur qui Mem. hist. esp. VI, 116. — Glaire, humeur visqueuse,
découle du nez
Bc; (jva,»»N glaire, quand il
le blanc de Vœuf
dans les rhumes de cerveau, Bc.
n'est pas cuit, M. — Dans le sens de bateau, barque,
IIexaminer les monnaies si elles sont bonnes, R. N. ce mot ne s'employait, je crois, que sur le Tigre.
En effet, dans le passage du Tazytn al-aswâc, publié Farabe-persan '-~3)~, lapis-lazuli) carreaux de faïence
par Kosegarten (Chrest. 23, 13), il est question d'une colorés et vernis, Aie. (azulejo), Macc. II, 717, 10
barque sur cette rivière, de même que chez Ibn- Bat. I, 415, II, 130, 225, Cartàs 273, 10 a f. (où
Badroun 277, 7, où l'on trouve le pl. ~o^. En il faut -lire ainsi avec d'autres man.), Prol. II, 233
Egypte (et aussi dans d'autres pays musulmans, à en 2af., Berb. II, 350, 2, Léon 157: ,Omnes porticus
juger par les fautes des man. d'Ibn-Badroun) il est omnesque adeo convexitates ex lapide depicto vitreo-)
inconnu, car l'éditeur égyptien du Tazyin al-aswâc que compositi sunt, apud illos Ezzulleia dici solet
dit dans une note sur le passage cité (p. 258): ~ap cuiusmodi adhue apud Hispanos in usu est,» Prax)
R. d. O. A. VI, 297: «Les potiers fabriquent des car-
fbbCJt. Dans les 1001 N. Macn. IV, 359, 8af., où reaux vernis appelés zelis, qui sont employés pour le
carrelage et le revêtement des murs dans l'intérieur
l'on trouve le même récit, le mot en question a aussi
des maisons. Ces carreaux sont divisés diagonalement
été remplacé par ~XJLaâ**.
par deux couleurs, l'une blanche, l'autre noire,»
~yj.
~G
S-
(de j) (voyez sous la Ire forme) avec la ter-
minaison esp. ero) fornicateur, Voc.
Jackson 119 (ezzulia). Le n. d'un. 8, Aie.; le pl.
Ht,Roland 576, Godard I,
-
215. Dans le Voc.avec
~i
~vPj pl. YJI- homme
ambulant; — coureur, qui va
et vient, jeune libertin, vagabond; — bandit; —
le techdîd, ~(î/,
C~1)
;
n. d'un. if, later aussi avec le tech-
dîd, comme la mesure l'indique, dans les vers chez
hagard; — désespéré, furieux, forcené, Bc. Lafuente, Inscripciones de Granada, 179, 182;Cherb.
~ji endroit glissant,
~%l
,
Diw. Hodz. 50, 2 a f.
a le pl. avec le techdîd, ~-~. Ce mot est corrompu
~JjJtys même sens, Diw. Hodz. 217, vs. 20. dans les 1001 N. I, 268:
402,17.
w ~CI,' même
.—~J. sens, Macc. I, 124, 5.
&.L.-.- J:5PréParateur, vendeur de Macc. II, —~. espèce de barque, Becrt 26, 9, cinq fois chez
Macrîzî I,
178, 26-28 (comme l'a observé M. De-
frémery dans le J. A. de 1869). De là le port. azur-
K-~-~ (le teehdîd dans Chec.). Voyez sur cette racha ou zurracha, qui désigne une barque dont on
pâtisserie: Gl. Manç. in voce, Chec. 192 rO, Bait. I, se sert sur le Douro, et que l'on fait voguer au moyen
536 e, J. A. 1860, II, 371—2, Daumas Y. A. 253,
Maltzan 130; Bc a: beignet, gâteau feuilleté au miel
et aux amandes. En disant que ce mot signifie aussi:
:
de deux rames en la gouvernant avec une troisième.
Il parait que c'est proprement une barque qui glisse
sur l'eau.
«sorte de fruit employé en pâtisserie,» M. Sanguinetti fait ou orné
~gwJj--a
(azulejado,
de carreaux de faïence, Aie.
s'est laissé induire en erreur par Sontheimer. losado de azulejos, ~-JjA suelo de
~KjuJ. même sens, Bc. azulejos).
l,
en Barbarie, tromper, Hbrt 246 (Barb.), Ro- «»*
~(is *
~*9
chansons dont les paroles sont en partie dé-
land, Cherb. Dial. 57. clinées ou conjuguées d'après les règles de la gram-
-
maire, tandis que d'autres ne le sont pas, J. A. 1839,
XA~-J.j tromperie, Roland.
II, 164, 11 et 12, où il faut lire Kjujux, cf. 1849,
g*.Jjj ~?"'
tromperie, Hbrt 246.
II, 249. C'est proprement: de deux couleurs, comme
~tb V être visqueux, gluant, tenace, Bait. II, 151, en ~Ofi
les ~jJ. ou carreaux de faïence.
~y
-
Xt-saJ~ vulg. pour hIâ^OLm, tortue, M.
ij graisse,
~c;;
~CI,)
graisse, Cherb.
Cherb.
noisette, aveline, Domb. 71.
gpsAjt (tranacription de l'esp. azulejo, qui est formé
~Jh
de azul, lequel est à son tour une altération de 1 v, n. trembler (terre), Ale. (hundirse la tierra),
~iûîj pl.
Bc. — Faire chanceler, glisser, Ictifà 127 vo: ~J)X~ amphore, Bc, cruche, Hbrt 198,jarre
qui renferme la provision d'eau, à l'usage des gran-
des maisons (le ~j-jj sert à l'usage du peuple) zelah
belady se font dans le pays [en Egypte] et sont en
;
K. II, 324, 2 a f. ;
terre rouge comme les zîr zelah moghraby viennent
J~J. calamité, Gl. Mosl. de Barbarie et sont de couleur blanche. Sont d'une
forme arrondie et sans cou, et ont une large ouver-
l,
aor. o, avaler, Bc, M, 1001 N. Bresl. VII, ture, Descr. de l'Eg. XII, 473; 1001 N. II, 177, 4
282, 4 (Macn. ~LXj<); ibid. 304, 5 a f. lisez 4-b-J),
au lieu de ~4lb}; Bâsim 82: cy^Liiî ~J Mm4 Jib
II
c. a. p. dépouiller quelqu'un de tous ses habits,
le mettre tout nu, M. pl. vagabond, Aie. (mestenco o mostren-
V être tout nu, M.
un
I, 693,
~C"I-
7
misérable, un homme de néant, 1001 N.
a f., 694, 4. Aussi comme coll., canaille,
1..5
~-'t
r' homard, Bc.
,
boutoir de sanglier, groin, Bc. ~u.Jj, dans le sens de coquille, a le pl. ou coll.
1 avaler, M.
~,_&I. Bait. II, 110 c. — En Syrie
..lj est sortede
II dans le Voc. sous rancidus. poids, déterminé d'après une coquille, Payne Smith
V dans le Voc. sous rancidus; — se corrompre, 1131.
~tôt
- J,' Si
I,
x- ~Lxï ~rk\ J-x-à L\->} Recherches Append. p.
se putréfier, Haiyân 34 v°:
LVII, n. 1.
-
, ~t ~<J-j
jo Dire ou faire des bouffonne-
K~ écuelle, plat, Domb. 92. — Fonts baptismauz,
ries, afin de manger aux frais d'autrui, Aie. (tru-
hanear por corner). Chez Aie. aussi: echar el cuervo, trad. des canons, man. de l'Escur. (Simonet). — ~;
et peut-être cette expression a-t-elle le même sens, ~dl^JL-Li,au Maghrib, Cotyledon Umbilicus, Bait. II,
mais Nebrija l'explique par turpiter quœro, et Victor
330 b (AB).
par faire une quête et levée de deniers pour cause
déshonnête. ~~J.
~Il
odeur de laine ou de drap brûlé, rous8i, Cherb.
:: , tête de mouton bouillie et assaisonnéeavecdu
~|*Jj
plume
I.
à J) tailler un morceau de bois comme
écrire, M.
une
vinaigre, du sel et de l'ail, Doumas V. A. 251.
~KJ ~s, V, en parlant d'un cavalier, est ~k.r;,
~S
descendre
mesure de capacité qui contenait huit modd de cheval et aller à pied, M.
du Prophète, Beort 151, 3 a f.
'0 - écharde, petit éclat de bois qui est entré
~5-A
» 0'£
pl. r'jJ'
~*
= ,.- idole, Saadiah ps. 115
rlèo, pour
Q'a~, Aboull-Walid 234, n. 7.
~C"
dans la chair, M. — Greffe, ente, M.
~r-Jj
~->
et i£-!!
~J~ et , voyez sous S
1 glisser à dessein pour s'amuser, Bat. man. 157
~«X+ij la personne; on dit K-~-~
quand on li
~*
~LiaA Be a sous
Bc a «en Syrieon
homme:«enSyrie
sous homme: on se sert quel- sesert
seul, sorte de dyssenterie qui provient d'une surabon-
quefois du mot ~Kl., pl. r"j);» il a encore: rS:)., du
dance de phlegme dans l'estomac et les intestins, et
sing. ~A—1!.;,gens, domestiques mâles, gens de pied,»
,
dont le symptôme est qu'on rend les aliments tels qu'on
les a pris, Chec. 208 vo, 202 vo, Bait. I, 79 a, L et ((Kl. pl. piéton.» Pour infanterie Ht a ltJj,,
>
(diarria «Lauxîit(JM;) Payne Smith 838, M, J. A. ~et Hbrt 138 lW) et K.
1853, I, 346, lienterie, voyez sous X~!..
K~ voyez l'article qui précède.
~Ouj glissant, Bc. - Visqueux, gluant, Fleischer w hautbois, forme au pl. ~oi,Voc. (fistula).
Gl. 97—8.
Cet instrument est décrit Prol. II, 353, 14 et suiv.
~glissade, glissement, Bc. liente-
rie sorte de dévoiement, Bc.
—
UyLu ~i.)
X-<e~-J. pl. r-:.)., groin, museau de cochon, Ale.
(hocico como de puerco), Mehren 29; — trompe, mu-
X_3"^ sorte de bitume fait
avec de la chaux, de
l'huile, des étoupes, Aie. (azulaque); cf. Gl.Esp.229. seau de l'éléphant, Bc, Hbrt 63.
~'CI,
~çyJj* bouture, M.
inconstabilis, L.
~X-JsSj. 4-!~; dans le Voc. (vo labi). ~Xj. sorte de poisson, Yâeout I, 886, 6; dans les
Le pl. — man.
~J de Cazwînî les variantes £*r>j et gJj.
Glissoire, endroit pour glisser, Bc. — Pl. \~a—!~ et
mjJ~ glacis, Çalât 46 ro: ~v!?-^ OufcîjJî -X ~c~t
homme sans aveu, vagabond, Bc.
~-J"(?) les glands de l'espèce de chêne qui s'appelle
~Lg-JLC, Cartâs 138, 6af., où il faut lire (cf. p. 186,
(J*.g-J, en grec (j«~-~ (voyez), c.-à-d. ~nplvog. C'est
n. 1
)".-J-S (ou
de la trad. et p. 422 des notes): mJ~J! ~L.3
177, 12 af.: ~oL ..5 3 ainsi que ce mot est écrit dans A de Bait. I, 183 d,
iPjy-o. — ,-Õ:.;Ut ~XJ tuyau, le canal d'un privé
lettre sans point; Sonth. Boul.
et aussi dans B, excepté que ce dernier a la troisième
CI;¡'
~Kiuij pl. vJLJ^.Sous /<~-J'~ on entend 1 réparer, p. e. un mur, Voc., Cartâs 22, 16, 100,
quatre larges bandes de coton qui entourent les ma- 9 a f. — Rétrécir, un habit, M.
— Contracter
les
telas,lesdraps, etc., du lit de l'enfant, afin de le lèvres, M. — Supporter, souffrir, endurer,Voc. (sus-
rendre plus doux, M. tinere (penam vel laborem», Aie. (sufrir, suffrible 0
soffrida coaa
~L.., Mohammed
-,
~fjj. ~(^ci). —Enregistrer, n. d'act.
ibn-Hàrith 237: j»j-JwajLXJI
~f)
.re',
et
~fLjJt, dans Khallie.
Fakhrt, 347, 7, pUjit
Mas'oudt (cité Maml. I, 2, 66), ~KA
X, 72,
jp, et 6 a f., et dans le
dans le Tenbth de
et
K~<, c.-à-d. le bureau où l'on tient ce registre, le
bureau des finances. Aussi dans le Tenbth: ~MyS\
,
de recette et de dépense. Dans les auteurs les plus iUpfî, que les Omaiyades n'avaient pas eus; le sens
anciens c'est le registre du Dtwâu ou bureau des
finances, qui renfermait tous les détails du service de ce mot est que chaque diwAn a son IA-,:) r
aAL4.
des recettes et dépenses; cf. Mâwerdî 369, 2 a f.:
~~j~~ car c'est ainsi qu'il (les bureaux, jusque-là. réunis, furent donc séparés,
faut lire, au lieu de ~MI.), comme M. Enger a fait et chacun d'entre eux reçut son chef Epécial), Ma-
imprimer. Dans Belâdz. 464, 8, on trouve crîzî I, 99, dern. 1. Bout.: ~jJL~~ 01-q.-Ja
mith), Lyon 50 (zumeda), Hornemann 8 (simite),
oLL>~! ),;.,- Quant au <L<-~ <~L~ de Djob., Jackson 135 (zimeta), Denham 1,166 (zoumita), Nie.
dans le sens de )IJJI ~rl.,oj' je crois , que, bien qu'il buhr R. II, 355 n., Davidson 76, 198, Barth I, 230
désigne le même personnage, il a cependant une 286. C'est un mot berbère, zoummitah dans le Vo-
autre origine: c'est, à mon sens, le fonctionnaire qui cabulaire de Venture (trad. franç. de Hornemann, II,
tient le registre des femmes du sérail. Au reste, on 437), azamittah (ou.au), asamotan aux Canaries, voyez
se servait aussi du mot floj seul dans le sens d'eu-' Jackson Timb. 379, 381.
nuque principal du sérail, comme dans le Fâkihat
al-kholafâ 64 et dans les 1001 N. Bresl. VII, 28, 6
~(jplg ~rLorJ' = ~>L~
dans l'éd. Macn. II, est falco haliœtusy comme Sontheimer (Bait. I
51). — Obligation, billet de reconnaissance d'une dette, 537 b) traduit avec raison; voyez Casiri I, 319 b, 2af.
Voc. (cautio; cf. Ducange, cautio, nu 1). — Une
pièce de bois qui sert à en lier ou assujettir d'autres, ~¡A) 1 emboucher (cor, trompette) se construit c. ~y, Be,
Gl. Esp. 251.
ou c. à,
, Voc. - Chanter, L (cano j~~
> <~wJJL~!)'~w
jbourdonnementy Ht, Payne Smith 1132. — cf. sous ~J*\J. - £
gronder, Bc. — Dans le sens
C.
Souffert, Aie. (suffrido).
~Xxlxj
de remplir une outre, c. y, R. N. 102 v°:~
registre, livre de comptes, Hbrt 100.
~.-<eL~. soldat inscrit sur la liste de l'armée, Bat. VII dans le Voc. sous fistula.
III, 188, 193, IV, 47. ..;.A) pl. ~)chalumeau,flageolet, hautboisy trom-
pette, Aie. (instrumento para taner), Ht, Bc, M, Desor.
jûuoUj Vemploi du zimâm, e.-à-d. de Veunuqueprin- de l'Eg. XIII, 393, Lane M. E. II, 86, Maml. I,
cipal du sérail, Maml. I, 2, 65. 1, 173, Berb. I, 440, 1001 N. II,32. Comme coll.
Rutgers 153, 1, où la note de Weijers est erronée,
~rlJj dans le Voc. <*Lx.~—;~
sous sustinere. —
vent violentyYoc.
ainsi qu'il résulte de 199, dern. 1. -
)'û,'
instrument à quatre cordes, Aie. (instrumento de quatro
~MLe.
ruban avec lequel les femmes attachent le ca- cuerdas). — r^7~^ ~KJÏ instrument de musique, en
général, Aie. (organo qualquiera instrumento). —
y
leçon au-dessous, du genou M. — Cordon d'une bourse,
—!j-~-~ .;-A) boutoir de sanglier, groin, Bc.
etc., M. — ~j-AJ
liste, ~QlLiLwJi liseron ou liset (plante), Bc.
—
~L&!! ~yij
1 Martin 136.
clef d'un pays, place forte sur les frontières,
(»j—^
clochette (fleur), Bc.
-
.,roj\ ~as? 1001 N. Bresl. VII,
43, où l'éd. Macn. (II, 66) porte ~jJLjtfà.
Bc, de Sacy Chrest. II, v, 1. — Pl. ~ot collier,Voc. 15 espèce de plumes d'autruche, Jackson 63 (zumar).
'CI.
^yAjA la
première corde du luth, Aie. (cuerda de ,
~HjLoj avec le dhamma, pour ~s.~La) (cf. Lane sous
laud primera). — Mode de musique, Salvador 30;
peut-être faut-il lire de même, au lieu
Hœst 258.
de,
chez
ce
.).A),
dernier mot), se trouve Voc., Aie. (çanpona, pl.
Bc (pipeau; sans voyelles: flageolet, clarinette,
musette), Lane M. E. II, 89, 90, 117, Niebuhr R.I,
174. — Par allusion à cet instr. de musique, ce mot
roteries ;
Dans Ouaday 334 on trouve soumyt parmi les ver-
Prax 28: «zamata maçouri (peint de couleurs
éclatantes), prismes réguliers de diverses couleurs.»
est devenu un terme d'anatomie. Aie. a: «gargavero,
zummâra, pl. zummâr,» c.-à-d. gorge, gosier, outra-
chée-artère, canal communiquant du larynx aux bron-
A-x-x—xj, en Afrique, pâte faite d'orge ou de fro- ches, et servant au passage de l'air pendant l'aspi-
ment torréfié et moulu. «Mon Mohammed,» dit Ri- ration et l'expiration. Il a aussi: «ervero del vientre
O, ) , **'•> del animal, zumârat al êynew (je ne puis pas expli-
chardson (Sahara I, 72), récrivait ~*JLp (j---)
quer le second mot), et Victor donne: «ervera por
mais ordinairement on dit zameetah. »
Cf. le même donde tragamos, l'herbière ou l'herberie, le gosier ou
Central I, 215, 308 (zumeetah), Windus 37 (zum- la poche en laquelle se met ce que l'on avale; ilest
.1ao5- 1 décamper,
s'enfuir, Bo, M. — Glisser, en par-
• -plus propre aux
bêtes; il gosso, dove va quello,que
gli uccelli mangiano.» — Lel-11 ~alismaplantago, lant d'une bague qui glisse du doigt, M.
Bait. I, 537 d, II, 513 b. ~j^bLov expeditus dans le Voe.
~!. forme au pl. s-~., Gl. Esp. 364; ce que j'y
~tfj III c. ~t aller vers, ÇalAt 47 vo: XxLLs? ~J,
ai dit est confirmé par L, qui donne: epitalamium
rs;j'.Çl;.¿, et de même sous salpista. — Nom d'un
, ,
50
.~e-~) mode de musique, Hœst 258, maispeut-être ~t I. Biffez dans Freytag la signif. ira exarsit c. ~q*
faut-il lire r.,AjA (voyez). p.; dans le passage des 1001 N. qu'il cite, il faut
lire le verbe, ~Jg» (voyez), au lieu duquel on trouve
~j~. dans le Voc. = émeraude. aussi ~(JA) dans d'autres passages de l'éd. de Breslau.
— S'échapper, échapper, Ht,
XAJL~
~Cr
~w
~)jA) l c. huer, honnir, Ht. M.
~riAJ 1marmotter des prières, des passages du Coran, .:~~t II imprégner, incruster, Maml. II, 2, 307.— ~)m.
Amari 184, 13. - ~Lr_jestquand
Boire de Veau de Zemzem, J. A.
<~JLJ! rendre
1858, II, 597.
l'échanson boit dans la coupe
- juste, M.
un habit étroit, de sorte qu'il est bien
; de
avant la présenter
à celui qui l'aime ainsi un vers d'unzadjal est conçu
termes:
O.
isL®} bien juste (habit), M.
en ces
s'emploie pour désigner ce qui est très-court;
}~0,5-G,-S
II. L: strido fT~r*~ ~JJUiijî. on dit proverbialement: ~eJ! >
~J,.b ,.~, M.
ton II, A la
Mecque (~'T~r!!
120. D' qui est le
avec le J~~!, M.
II entrer en campagne, Daumas V. A. 156.
chef des moëzzins, Bat. l, 377, 390. y)woj et~JoUj chameaux de
,
W - somme, Ztschr. XXII, 118.
~j-'j vase en cuir destiné à contenir de l'eau, KL_a^. ,Zemelet-Zohr (la petite dune de Zohr),»
petite bouteille de cuir, bidon, petite outre, Descr. de
Ghadamès 134.
l'Eg. XVIII, part. 2, 388, d'Escayrac 425, 610, Fes-
quet 132, Burckhardt Nubia 281, Burton I, 24. fém. 8, avec le pl. J..¡"'5, Gl. Mosl. — Pl.
.- oie, Voc.
û pl. rjIA-
X~-~. ~S-UA)camarade,collègue, Bc. — Voyez J~<~.
) a
xjLje- «veut dire entourage; c'est une réunion
X~-~. pl. <.L~ groin, hure, Cherb. de
tentes qui forment la garde d'un chef arabe et qui travailler le bois et la pierre; ordinairement on dit
sont à son service,» Martin 132; «douâr ou village ~Ajy en retranchant l'élif, M.
composé de tentes, où réside un eâid d'un rang su- J~-< pl. ot cheval de bàt, cheval de labour, rosse
périeur avec les principaux de sa tribu,» Afgest. Il, haridellè, Ale. (cavallo arrocinado).
274 et ailleurs; — escorte, Ht; — «vaste propriété
appartenant à l'Etat, pourvue d'une maison do com- 1 glisser, Ht; JoLoj* glissant, M.
~/iWj.
J
mandement pour le logement des officiers, d'écuries
assez spacieuses pour recevoir les chevaux d'un esca- glissant, M.
dron de cavalerie, et sur laquelle sont plantées les
tentes arabes des spahis appartenant à l'escadron, ~al) 1 enflammer la colère; piquant, offensant r
qui vivent là en famille,» Curé 49; — en parlant
de l'Algérie sous la domination turque: «zmala, pl.
choquant, Bc. -
0") envenimer une plaie, Bc.
IV. Pour exprimer que quelqu'un a une maladie
zmoul, colonies formées de familles empruntées à di-
>
verses tribus qui venaient s'établir sur des terres ap- chronique, on dit (JO)' ~au ~aji, p. e- Berb. II, 219,
partenant au domaine, soit par droit de confiscation,
soit par droit de Yacance,» R. d. O. A. XI, 98; —
«les terres du beylick sont quelquefois concédées à On trouve ~KÂA(:Y.)t dans Berb. I, 488, dern. 1., mais
des gendarmes arabes (zmoul),» Dareste 87 (ce sont notre man. 1351 porte ~&à. — C. ~if et ~Cr absentan
les terres qu'il appelle ainsi). Cf. Carotte Kab. I, (tardare multum sine uxore) dans le Voc.
59, 228, pl. ~Jyo; 201, 204, 465,11,265. Chez Qua-
tromère, J. d. S. 1818, p. 39, il y a de la confusion. Crj*'
~0") le temps de la crue du Nil, Amari
c — Chez les Touàreg, voile qui cache la figure, Prax
616, n. 8 (la même leçon dans le man. de Leyde
16, Carotte Géogr. 110 (Touareg): «Dans le costume
de voyage, on substitue au turban une longue pièce
159).
tiens), Hbrt 154.
-
XJ~e.! ~a* les Quatre-Temps (chez les chré-
d'étoffe bleu foncé, lustrée par un apprêt gommeux, ~0") languissant, Voc.
auquel le sable ne s'attache pas. Cette pièce, d'en-
.~JL<. temporel, Bc.
viron 15 centimètres de largeur, porte le nom de
zmala. Elle s'enroule à plat sur le front; et, après ~cr.:6 maior natus, L.
c plusieurs tours qui ont pour objet de l'y assujettir,
~XÎLAJ langueur, Yoc.
elle descend en spirale sur le nez, sur la bouche,
couvrant tout le visage, qu'elle soustrait à l'action «j.X-A-iUjxJLe maladie chronique, Abbad. 1,
du sable et du vent.) — Selon Tristram 7, le tur-
ban noir des juifs porte à Alger le nom de zemla; 250,6.
cf.
chez Beaussier
~Jwoj
KJLe..
j-~~
O *
1
bandit, Bc;
d'une aiguière, M. -O
~.! s'emploie en parlant d'un cheval, (jwjâii ~L!»
J~e!. pl. J-~~ cheval de bât, cheval de labour, ù-fr0}j&ï j1001 N. II, 8, dern. i.
rosse, haridelle, Yoc.(roncinus), Aie. (albardon ca- jïjÇAj forme au pl. ~oî,Voc.
vallo, cavallo arrocinado, rocin).
(
<JLt<.
charge entière ou grande de chameau, Burck- ~j I, n. d'act. ~QJ, bourdonner, Bc, Hbrt 70.
m +0+
hardt Nubia 267. — Bagage, Bat. II, 128, comme le grain du ~mDa (voyez), car on lit dans Il'
adzembles en valencien.
~QJ
,
Most. sous ce dernier mot : ~zj ---
~A~* ~*
,)~.tciseau de graveur, Hbrt 87. — T. de ma- ~~<~~-' ~L -uize. (N -!?'S) ~QuO ~O1**
» -
çon et de charpentier, instrument en fer qui sert à ~Qjil ; mais dans N les voyelles sont ..j~.
.j~j; bourdonnement, Bc.
3) =
Bc;cf.~djyày
ressort, Bo. - Arquebuse, — mousquet,
pl. t'y-!~ jarre à
deux anses, Ale. (jarro
con dos asas). Il paratt que c'est l'esp. zalona, sur '0. (borb.),
l'origine duquel on peut consulter Gl. Esp. 362-3. (:, n. d'un. 8, olivier sauvage, Gl. Esp.32
,
Voc., qui a le pl. aA-àU- — Espèce de dard; chez
< petite gargoulette à fond étroit
Chez Cherb.: «iÜ,.,..J)
et dont le ventre est muni d'une espèce de robinet.» Aie. (j~~JL~ 'isfykix est sacalina garrocha.
Goulot, Roland. &jyJÀy 1 -
1
— pl. ~ot arbalète; voyez J. A. 1848, II, 211 et
j
w 9 stoïcien, de la secte de Zenon, Bc.
M.
L.Çjy.. suiv., où on lit entre autres choses:«Suivant l'histo-
rien des patriarches d'Alexandrie, le zenbourek était
1
e;
;L~tP espèce de légume, Bait. 1, 540 leçon de
une flèche de l'épaisseur du pouce, de la longueur
d'une coudée, qui avait quatre faces; la pointe de la
tC..!ti.%àj ressort, loquet, Ht, Cf. ~Ji*
flèche était en fer, et des plumes en rendaient le vol
plus sûr. Partout où ce trait tombait, il transperçait;
~jûj 1 se fâcher, il traversait quelquefois du même coup deux hommes
placés l'un derrière l'autre, perçant à la fois la cui-
.J. (le Voc. a pour guêpe) signifie aussi
,
rasse et l'habillement du soldat; il allait ensuite se
planter en terre; il pénétrait même dans la pierre
des murailles.» Cf. Quatremère Mong. 285-6, qui
~:). - ~),Jj clitoris, Bc, Cherb. (chez Niebuhr B.
76 siinbula), 1001 N. I, 63, 9, long clitoris, M.
pense que ce mot signifie proprement «la petite guêpe,»
du bruit que produisait la corde au moment où on dé-
- > ,oc,-> t. de tailleur de pierre, est ~Cr ~».U cochait la flèche. Depuis la découverte des armes à
feu, ce mot désigne un petit canon portatif que l'on
place sur le dos d'un chameau, Mong. 1. 1., J. A. 1.1.
,,CI'
tîSjxij et 1850, I, 237. Cf. <~)JL~.
,
ressort, morceau de métal qui réagit contre la
pression, Bc, d'une montre, M; — détente, pièce du ~F (berb.), n. d'un. 8, cédrat, espèce de citron, Gl.
ressort d'une arme à feu, pour le faire partir, Bc. Esp.363.
Cf. On dit au fig.: r.JoiÛ' «iLôj ~qUs, c.-à-d.,
il donne à leurs pensées la direction qu'il veut, M. ~- » +5
'CI.
pour guêpe, Hbrt 71.
Jaxij 1 bourgeonner, Ht.
~Y. frelon, guêpe, Bc, Hbrt 71. — Pl. kv-àU-
~so. (= ~g*"°) pl. ~gP)cinbalum,Voc.,petitescym-
brocoli, sorte de chou d'Italie, ou rejetons de choux, Bc.
bales en cuivre de six centimètres de diamètre, dont
I,en parlant d'une aiguière, être si pleine que se servent les aveugles pour accompagner leurs chants,
l'eau s'échappe du bec, M. Cherb. J. A. 1849, I, 543, qui donne beaucoup de
~-~ Selon Bait. II, 71 a, on donnait de son temps
détails.
à Damas ce nom à une espèce de lis sauvage, mais sorte d'oiseau, Yâcout I, 885, 8. K~-~~
les bohémiens, Caussin de Perceval, Gramm. ar.
-
improprement, car il désigne en vérité lejasmin blanc.
Hbrt vulg. 161.
— Lis, Bc, Ht, qui a le n. d'un., lis blanc,
50; — ~M'r> w) lis jacinthe, Bc; —~ytoî ~vJuJ) ~gj\yA jb
instrument de percussion qui ressemble
lis jaune, Bc; -(j~>jJ! ~OûJj lis narcisse, Bc. —
au tambour de basque, mais qui est sans peau, Aie.
Eau claire,Yoc. — Pour ~t), vif-argent,Voc.;
#
(sonagas o sonageros).
aussi dans le Gl. Manç. v° JyJw(JH"b > à moins que -t—~ s'appelle aussi
ce ne soit une faute de copiste.
petit ornement que les femmes portent dans
~Xîujj
~Lx~
~jJH<
J~
Vaunée ou ~L&Jt ~\}~A
J~,
Most v° ~J), Auw. II, 313, 4, et
les tresses, au-dessus des dtn&rs, M. Bait. I, 540 b.
~Kftnom
< - d'une plante qui porte aussi celui
de ~L~< ~JJW, Bait. II,
~#
245 c. signifie en esp. que foyer de cheminée, de cuisino
— Avant-bras;
JA~~!~j~~ J~ ~,^1 ~W)radius, os de l'avant-bras;
vXijil le bras et l'avant-bras, Bc.
~leu: 1 (dénom. de e. a. rouiller, donner à un -Le pl. ~Oji; menottes, 1001 N. Bresl. XII, 331, 9.
objet la couleur vert clair du cuivre oxydé à l'air, Yoc.
(viridis); -
se moisir et prendre une teinte verte, ~JJ.
~J'J.
fusil, briquet, Bc.
- Cherb. C. - (Dénom. de -~\j.) enchaîner, Bc, M. rhythme guerrier; c'est le mode que les
Arabes africains emploient de préférence pour chan-
:: II se rouiller, Aie. (orinar con orin). — Etre en-
chaîné, M. ter les exploits de leurs guerriers, Cherb.
~j~A~~ y+o
= cinabre y
Voc., Aie. (bermillon); écrit
ainsi, mais sans voyelles, dans les deux man. du
~-\.î!j. fabriquant de briquets,Domb. 104.
nis Souk el-Zenaïdia, bazar des Armuriers , Prax
A Tu-
R.
: Most. et dans A de Bait. I, 554 (où B a l'autre d. O. A. VI, 279.
forme).
+
~\J~J~>U.
-- enAfrique pour ,.L~J->-, sésame, Domb. 73, Ht. Tezenndikhy rhume de cerveau, Daumas V. A. 425.
sorte d'olive longue, Aie. (lechin azeytuna, cf. ~~j. 1 c. a. dans le Voc. sous hereticus.
Victor). — Eau quidécoule des olives amoncelées, OutAi} celui qui
ne respecte pas ce qu'il doit res-
Aie. (alpaechin, lisez alpechin). pecter et qui manque à l'amitié, M.
; -,
II c. a. rendre rance,Yoc.
rance, Bc.
V rancir, devenir rance, Voc.
~e-à-
- Rancir,
ordurier, celuiqui dit et fait des choses sa-
devenir
excutere ignem) fogar (ef. p. xxxiii), et hogar ne ~J.J. pour ~j-!j} tremblement de terre, Domb. 54.
~jji: pl. ~Jsyjj, en Egypte, calotte, Vêtem. 198, Defré- his lap;» tXLJt, ~«ÂP ~J-a ~lJLaJ|«le Nil nous
Mémoires 326, 1001 N. Bresl. IX, 249, 9, 260, retient-il dans cette ville?» nous empèche-t-il d'en
: mery
/~i
4af.,261,3.
~xLaJj pl. -,
~IfxJj
courroie, Aie. (correa de cuero). —
8e
sortirP 1001 N., Bresl. X, 450, 9.
— C~r;
gêner, Bc. — V. n. être acculé, s'acculer,
,,-,
1 c. a. dans le Voc. sous strenuus. II acculer, Ht. — C. a. dans le Voc. sous inve-
II devenir très-brave, très-vaillant, Voc., Beaussier. recundus.
vaillant,Beaussier.
~.LL-5. pl. j
~)lWj magnifique, Domb. 108.
B
— Pl. t~ brave,
M.
parce
~LW-
W
,
- que, ~e
ment des gens remuants et amateurs de troubles,»
Mong. 226, avec des exemples.
-
vJUj} pl. ~Lt. impudent, Yoc.
~XSIij impudence,
~UUŸ;
Kb~~-j
~itiijj.
xlAiaij membre viril, Hœst 137. C'est ~~-< dru, touffu, pressé, serré, Bc.
une altération
O
du mot berb. J.~JL~~-!, qui - a le même sens. ~/*j 1 e. à p. regarder fixement, et ordinairement en
~L&~~
suivi de ~ufl, colère, M. <
groin, Domb. 66.
J'!,
ataviado).
~.{¥j I,
suivi de
aor.
jijiS-, même sens, la Torre.
çbaCjjtt
(fr.) zinc,
=
pULyî,
M.
M.
,
qui est de l'invention de Habicht, et dont on ne pour-
rait pas former le pl. \::J',w) qu'on trouve dans les
Le~ du M, qu'il explique, d'une ma-
,
M.
1001 N.
pied du mur, mettre hors d'état de reculer, presser, (~X-~
nière assez ridicule, par <-~!~! ~-~L~!
approcher contre, resserrer un prisonnier, des assié-
~«JJUo, n'est autre chose que le X^JU- de Freytag.
gés, serrer, mettre près à près, relancer, poursuivre
jusque dans le dernier asile, Bc, M; au-oas» à ~ajuj, dônt il n'a pas compris l'explication latine. '-, ,
1001 N. II,111, 3, Lane: the held him tightly in ~!. voleur, filou,
,
- 09
Xixij beignet, crépe, pâte, Bo. 728, 6 af. Chez Be se dégoûter de, dans le Yoc.
.1 0.. très-riche,
C(turc) à haïr. — C. à désirer la possession de, GI. Fragm c. •
opulent, M. les deux exemples qui y sont cités, sont décisif.
~•'
= (>;,o, ~Co,
dans le Voc.sous astutus. — Pl. rU)S" ~sXPy dégoût de l'étude, Bc.
idole, Abou'l-Waltd 234, n. 7. - ~et
<MC~~MC, Bc.
~4^, fém. i, pl. ~D5
(Voc.) et (Voc., Aie.), a~L-P. frugalité, austérité de mœurs, Bc.
adultérin, batard, L (adulterinus, notais), Voc., Aie. épithète d'une espèce de dattes, Niebuhr
(hornezino hijo de puta).
~S#9
~_hA ,.,'1Ñ
##vin batard, vin doux, vin cuit, du vin
qui est de raisins séchés au soleil, Ale. (vino bastardo;
j'ai suivi Victor).
~-S-
s
R.
~j&/fj 1
II,
pour
215.
j\jouJj,rugir, n. d'act.
tàs 120, 15, 190, dern. 1.; cf.
d'act.~Sj> et ~-3, Car.
sous
-;.~p
~O
~flij* pl. rusé?
rusVoc.
£ Voc.
,
II le Yoc. sous lucere. — Fletwir, Bc.
c. a. dans
~J*b
- ~11
** * * ; IL
jJt>j
~e
est quand le teneur de livres
est proprement un subst. persan qui signifie pro-
marque d'un astérisque le nom de chaque débiteur, M.
tection, mais qui s'emploie aussi comme une interjec- IV briller, avoir de l'éclat, Koseg. Chrest. 94, 6
tion; c'est ce qui a lieu dans les 1001 N. I, 370, 8,
où un jeune homme, en voyant une belle dame ornée
- ,s
a f.: j-~~ L~~>. sL_itol <~-ï;. — Etre abondants
>
,j
d'une précieuse ceinture, s'éerie: q* ~16ko ~Jb
~jPj. Pl. ~jfiPj,Bc, M. Pl. Pl.-01-1 pour~^A$>^t,
~jLÎj-Jt,
1
«gardez-moi, gardez-moi de cette ceinture!» Weijers
L'édit. de Boulac porte: jlijJî ~lke ~Cr «b~ 44, 1, 148, n. 244 (où ce savant s'est trompé
M:
disant que c'est un pl. de y-o«
et ~o,1001 N.
y en
&jA
~•O- mauvais lieu, maison de débauche, Gl. Mosl.
collectif sing.,
Hbrt 215 (Alg.).
pl.I-
eau de fleur d'orange, Bc; )l;J', employé comme un
~o£
i munition, Bc.
224. — —
pseudoacorus; — baccharis, Bait. I, 544b; — Plante,
au fig., jeune personne, Bc; — Au fig., commencement
iris —
-
provisions de voyage, Ztschr. XXII, 120.
%-.jL.0j
d'une chose, M; — Fleur, ornement, p. e. ~^ls
~e-e- >4»
L'arabe n'a pas cette racine, mais L donne: .*~<=~J!, il est l'ornement de la réunion par sa con-
~O innitus [pour hinnitus] ~MOfMw,
equorum, écrit versation agréable, M; — Lumignon, le boût de la
distinctement. On pourrait soupçonner que l'auteur chandelle qui brûle, Bc, 1001 N. III, 278: J»JLS-J
a mal entendu le
mot~* mais je ne le crois pas,
> ~#oS
car sous innio il a J~o!. Prol. III, 199, 4. — Le pl. pl. fleurette,
ca-
t\ avec
I,
£
s'abstenir de, ne se construit pas seulement
et ~if' mais aussi avec ~cr, Macc. II, 96, 5,
jolerie, Bc. — Le pl. ~ot—palme, dessin au bout
d'un châle, en forme de branche de palmier, Bc.—
-~-~J~ .?) signifie selon quelques-uns mangostan, et
et (constr. moderne) avec l'accus.: L~J! ~O&j se re-
tirer du monde, Bc, 1001 N. I, 510, 4 et 10; <~
selon d'autres lichen, Bait. I, 545 — c.
.~<~J! ~Jj>R
IAÂXJIoliXJ
immortelle, Bc. -
v*JL«jLXJ!lfeur de farine, Bc. -
mener une vie austère, Bc. De même ~Ci primevère, ~—chrysanthe-
- ~J
Bc.
~il
avec l'accus.: <J'~J~ SJULXAJ ~Le~A-*—~ 1001, N. I, mum, Bc. _r-03 chèvre-feuille, Bc. — ~j-Pj
~J~J~~!! phalange (plante), Bc. -
(jvô'L&_£ Jt ~j- les brillantes, Weijers44, 1, 149, n. 244. — Au fig.,
digitale, Bc. -
"J."ll' ~3j> marguerite, Bc. — ~gilt
flores salis, Most., Bait. I, 544 c. -
~L~jJ! ~JP.
brillanty en parlant du caractère, des qualités d'une
~—VjK épi-
- personne, Weijers 43, 6, 147, n. 239.
flores œris, Most., Bait. 1, 545 b, où AB ont Uipi
—.iuJ^xjuûw! wAjJUoit ou
ou fleurde Constan-
thète de Fatime, la fille du Prophète. Burton I, 315,
remarque ceci: «Burckhardt traduit ~S'?J partbright
tinople ou de Jérusalem, croix-de-Jérusalem, Bc. —
)";;' !t.grenadille, fleur de la Passion, Bc. —
cy^JULN pensée (fleur), Bc. — p!t~~ mélange~9
s blooming Fatimah.» Je crois que c'est le sens litté-
ral de l'épithète; mais appliquée à Fatime, elle si-
gnifie virginem ~rxxxrxftyvtx nescientem, car on sup-
,
une cuve, M. — ~S-P. ~yi chacal, M. donnent à la mère du Seigneur. La virginité perpé-
~e-
_SJ>:
- collectif comme .J), Floischer sur Macc. II, tuelle de Fatime, même après qu'elle fut devenue
mère, est un dogme de l'islamisme orthodoxe.»
581, 7 Berichte 107.
~enen
~CI, alchimie
alchimie,
le cuivre, I, 88, n. 82.
Abbad. 1,
~-o6
Lg?ji fleuriste, Bc.
lfeuraison, lforaison, Bc.
en Egypte et en Syrie, épithète d'une
,
~*« parterre ? Dans Auw. I, 392, 8:
espèce de pêche; voyez sous CI
-r^>" et sous ~jla.
S ~>
—
de fleurs
l{.la*- , ~J,
ce qui signifie, je crois: «cette
deleznarse, desvarar, escolarse), Müller 29, 3 et 4;
cf. Gl. Mosl. — Etouffer, respirer avec peine, Bc. —
~-,
~cr-
S'exaspérer, Bc. — Se rebuter, se dégoûter de, Bc,
jeune fille est belle comme ~,i>,»
5 c.-à-d.,
~Ci à-d
~7-~r 1 1 c.- .) comme
Fatime, la fille du Prophète.
~!;
où ~estvulg.pour -~, et et ~ej , le chant
dans l'éd. de Breslau des 1001 N., où
c. ~q*
ce verbe est altéré constamment en ~owj, IV, 121,
9, 376, 1. Ailleurs, IX, 285, 3 a f.: (1. ~&) ~(JAj
des matelots,
des matelots, pour
pour (cf.
cf. sous la Ire forme)
forme). "r'4J' ~c %-À3l5 ,il
se rebuta d'attendre à la porte.»
tens, qui cite le Diw. Hodz.; c'estdans l'édit. 188, mais aussi de Mo'tacim; voyez Gl. Fragm..
vs. 39.
, - Lieu
~101
U¡;j-A n. d'act. de la lre forme (voyez).
glissant, Voc., Aie. (deleznadero).
~\j}j = ~làjj, Payne Smith 994, si ce n'est pas une
faute.
Leli,car
~«, carc'est
e'eBtainsi queporte
ainsique porte le man., expliqué ordures, Ht, Daumas Sahara 260, V. A. 133;
~ioojj
~\J&jA vétilleur
Diw. Hodz. 289, 2.
vétilleux, qui fait des difficul-
ou
tés,(ouvrage) plein de petites difficultés, Bc.
.t --0
1 (formé de ~J-
~&J' voyez)
~,£ être
d'une femme mariée; en parlant de la femme on dit
Vamant
~KejA
ladero).
lieuglissant, Voc., Aie. (deslizadero, resba- &x43j , M (sous ~crJ)'
~+y
~v&pj* glissé, coulé, écoulé, Aie. (deslizado).
t~ II,Abd-al-wâhid
marier, donner en mariage à, se construit aussi
7, 3, et c. ~t7A, Bc; — c. a. et
c.
~N*~ J
p. flatter quelqu'un jusqu'à ce qu'on l'ait
1 c.
en son pouvoir, M. pour son fils dans la famille - d'un personnage géné-
~le-j IV c. d. a. dégoûter quelqu'un de, Abou'l-Walid reux et d'une naissance illustre,» de Sacy Chrest. II,
782, 18. 474, 9 a f.; — ~«Lo ~cr- 4=:-;) il la maria en payant
Vpuer, Payne Smith 1491. lui-même la dot, Gl. Abulf. — Epouser, prendre en
r-P)
~G ~K_4—S'j
~O
- mariage, Gl. Badroun, Gl. Djob., Haiyân-Bassâm I,
et puanteur, Gl. Manç. in voce, qui
O -- ~Oo.»
donne <t—~~ comme n. d'act. et comme subst.;
~X. puanteur et vent piquant, M.
~O goût sauvagin, Bc.
IV c. d. a. ~aJJb donner sa fille à quelqu'un, Bc.
gras, Voc. VI s'apparier, Auw. II, 435, 16.
- 1
K~U~ graisse,Yoc.
s'animer, prendre de l'éclat, Be.
dans le sens de mépriser, dont Lane n'a pas rencon-
— Se trouve ou vitriol jaune, Most. in voce, ou selon d'autres,
vitriol vert ou sulfate de fer, Bait. I, 510.
le
:i::-,j ,
deux boutures, Auw. 1, 189, 2, où il faut ajouter
comme on trouve dans notre man., après
e.¡iJ' (cf. 193, 10-12).
de l'échange pour l'égaliser; — U.).)') ou /~JCt
raffinement; — '~3~~ à l'excès, singulièrement, trop, Bc.
,
~o"-! ~-O
K. est la forme qu'on emploie en Algérie pour
> ~ù^jA peau, d'habitude tout entière, d'un chevreau
~Ci ~o*
mais au pl. on dit ~<;")" Couple, paire, Ht. — ou d'un agneau, tannée et teinte en rouge, que l'on
porte en sautoir derrière le dos et qui renferme les
Paire de bœufs, et de là étendue de terrain qu'une
provisions de voyage, Colomb 18, Carette Géogr. 180,
paire de bœufs peut labourer en une saison, 25 ar-
Prax R. d. O. A. V, 211; — peau de boue servant
pents, Roland, de 7 à 8 hectares, Dareste 84, mais
d'outre, et souvent même de coussin aux gens de la
la zouidja «varie considérablement en étendue, R. d. » campagne, J. A. 1852, II, 509; — peau de chèvre
0. A. VI, 71, cf. Xn, 393.
dans laquelle les marchands conservent la poudre
~>.e»S
mariable, Bc. d'or, Prax 12; — panetière de berger, Voc. (casi-
-
dile), Aie. (çurron); — petit sac à café, Bc. Dans
1; le Formul. d. Contr. 4 on trouve un pl. ~bJ—~e:
deaux qu'on apporte -au -tombeau d'un- saint, à une
zàwia, ou.aux marabouts, Daumas Sahara 233, Ka-
bylie 66, Mœurs 312, 328, Carette Kab. I, 230
Jacquot 295, R. d. O. A. N. S. XII, 398. -
~oui
xLy~ visitation, fête de la visite faite par la sainte
Vierge à sainte Elisabeth, Bc.
~'1-. Ceux qui venaient à la cour des califes pour
jt~t l,)'J,
visiter des lieux saints par dévotiolt, aller en
pèlerinage, Bc, Hbrt 152. — Faire cadeau, Mehren recevoir des cadeaux ou demander des faveurs, étaient
28. — ~,D) s'engorger, se boucher, se remplir, Bc. nommés mais
2 >
comme ce terme signifie aussi
II falsifier, «mendiants,» le Barmécide Khâlid le changea en
supposer, produire une pièce fausse,
Bc, falsifier, altérer, Ht, ~IASH
n-Bass
~oWif ~55
*y
~),yo ~Lx
~m
y
Fakhri 185, 5.
cialement celui qui fait
— Pèlerin, Bc, Hbrt 152, spé-
le pèlerinage de Médine, Bur-
«
fausse lettre, » Bc, Haiyâ àm III, 140 ro:
r° : ~^)JLJ ton 1, 293.
; .-
~'âjjijU^ûLxJî x_j^>L-g..w ~53 déclarer comme témoin jjjjj~t)< contrefaçon, falsification,
ce qu'on ne sait pas, ou ie contraire de ce qu'on sait,
M. — Astreindre, forcer, Ht.
« pl. ol
Bc.
-
w ~G
M. de Khanikof traduit (p. 365):«Voyant que j'ai
~C)53 jugulaire, Bc.
de la chaleur dans le cœur, il (le médecin) me dit:
w ~1
faux (témoignage), Abou'l-Walid 350, 16. Prépare une tisane de tes larmes,» avec cette obser-
a~L-~ pèlerinage, Bc, Hbrt 152, Khallic. I, 481,
:
vation aDans les notes du Touhfet autographié on
Prophète, Burckhardt Arabia II, 138, Burton 1,293. II, 435, Abou-Hammou 81. «C'était, pour ainsi dire,
un vizirat en petit» (Ibn-Khaldoun). A Grenade,
~ï)
iiJ'Y est le subst. ornatus dans le Voc. comme nous l'apprend Hemando de Baeza (dans Mill-
1er L. Z. 64, 6 a f., 71, 3 a f., 83, 1 et 13 et suiv.),
~a la dignité de mizwâr (voyez), de chef, l'ano-
CI
?
voyez considération. Du temps de Léon l'Africain et de
Marmol, le premier dignitaire à Tunis était le ;
iX&Jwo
qui signifie premier, et dont on a retranché le second était le ~tnizwdr, qui avait le commande-
l'élif initial qui est le caractère du sing. masc., Bros- ment des troupes; voyez Léon 565, Marmol II, 244d.
A Fez c'était le lieutenant du vizir et souvent il
selard dans le J. A. 1851, I, 84; le Dict. berb. tra-
commandait l'armée, Marmol II, 99 b. A Tlemcen
duit premier par },j-A.,) (damezouar). On l'emploie c'était le premier personnage de l'Etat après le sou-
dans le sens de chef et il est à peu près l'équivalent verain. Les Benou-Ziyânqui y régnaient et qui avaient
,
nieuwste berigten, Utrecht 1836, p. 95). — Chevalet,
supplice, Bc. (cf. 467 c), où Sonth. donne echinophora tenuifolia
~y avec un signe de doute. Dans le Most., dont le man.
~J» cervelle, Bc, Hbrt 1.
on lit: «Quelques-uns disent que c'est
farder, Bc.
La porte
le hennd, et d'autres que c'est le ~;
mais il n'en
II se farder, Bc. est pas ainsi; c'est L~e
~o
~p>à» (ce qui n'est pas clair).
~ut 1 châtrer un chameau, Beaussier.
Cf. Payne Smith 1146.
-
II
effacer de son cœur, Aie. (raer del coraçon). —
Se désaccoutumer, Aie. (desabituarse). — Oter mm ca-
a
Escamoter, Bc.
inconstant, M.
denas, Aie. (candado quitar).
III c. a. asiduare dans le Voc.; a->e«un"
~*j
- ~0.
1 c. p. tromper quelqu'un en lui vendant du
pluie continuelle,» Mi'yâr 24, 2 a f. — Observer,
cf. ~.¿).
~8:ri1" ~t ; ~Cr, Tantâwî dans Ztschr. Kunde
Vj&UôS
Lane 1272 a,
~K-Uij pl.
y
~ht
,
1. 17
~oS
x-L-bb, M; il explique aussi ~Jj-
et suiv.) par X»»Ehrll
(et
~, ,
- Supporter, souffrir, endurer, L (tolérât
3jîj-35
~J , tolerantia
lon, Bc; jus, Ht. — La quantité d'eau qu'on verse
chaque fois sur la pâte ou sur du linge qu'on lave ;
(pour ~cy*Laj) ^^aoLSj,
i
aussi fois, p. e. cJ.:A') ~Di ~Lo,) Ji': .u;"<d'ai lavé le
y*$bLaaULq^v3Ua £»^). -
La signification de traiter
un malade, dont Lane n'a pas trouvé d'exemple, est
linge une ou deux fois,» M.
~<. c. a. sous visitare. On dit aussi ~Licyc ~3~, trai- ~Ka(Çwvîî) ceinture, Fleischer Gl. 71.
iLl?! .c~~ ~b çfïji à Alep, du froment mal réussi, p. e. celui
ter une maladie, Chec. 209 rO: ~~â3
qui, peu de temps après les semailles, a souffert de
pluies trop abondantes, Niebuhr B. 151. On dit aussi
IV élaguer, retrancher d'un écrit les choses inuti- M.
les,Bc.
V se dérober, Aboul-Walid 231, 24. ~-3j? poisson du Nil, de bon goût, sans arêtes et sans
~,j prise, Ht. écailles; il est charnu et sa queue est rouge, Seetzen
X~!<3 oUS.
III, 498.
~uJtj. L: inmobilitas
~';j,
en parlant du soleil; la définition de Frey- ~-53>j IV. l£xiL>- ~G~! elle m'attira à côté d'elle, 1001
,
faite par le vulgaire, Ibn-Loyon 34 rO: r)~;—~~ C. ~J.' accedere,Voc.
—
JI,,¡J' Mb~! <u~w-t~. Dans le Voc. zizania est ~ol,.¿
£ cubiculum, L; c'est pour iu^ly
iu]•
et Domb. 60 alopecurus 0,.tj et ~,v, Beaussier K~, proprement angle, et de là, comme ~ycovlx
I,
et aux tolbas qui viennent faire ou perfectionner leurs O )
études; enfin, d'une autre habitation où l'on reçoit
121, n. 25, on le trouve =
~nnai et ~LJL-s\-~, par
conséquent endroit usé d'un habit. — Chez Aie. buche,
les mendiants et les voyageurs; quelquefois encore
c.-à-d. jabot, poche que les oiseaux ont sous la gorge,
d'un cimetière destiné aux personnes pieuses qui au-
et ventricule de quadrupède.
raient sollicité la faveur de reposer près du marabout.
++Q+
La zaouia est tout ensemble une université religieuse et II dans le Voc. sous argentum vivum. C'est
et une auberge gratuite: sous ces deux points de doncpour~
vue, elle offre, avec le monastère du moyen âge,
une multitude d'analogies.» Ibn-Batouta, II, 437, dit pour
~vif-argent,Voc., M.
aussi: (1;le monastère, chez les Grecs, correspond à
la zâwia des musulmans.» — Equerre, instrument, huiler, Bc, M, Auw. I, 685, 5:
II ~-j~
Bc,
:.,
M. ~uÂc ~~-'jj.
-
Vernir, Aie. (le part. pass. barnizado).
~13jA anguleux, Bait. I, 4 a: ~"jA ~IféL*, 9b.
-
,
y~T~~ ~-~—*j mettre de l'huile dans la lampe, M.
~JUU
voyez sous
r- ~xle.
~e
~131
R. d. O. A. XIII, 81.
«quand tu écartes ton voile,» M. - ijj,.f" ~ç}) faire
~90*
.Xj.. Le pl. ~CM+ dans le Voc.
~<110
- Graines de ses besoins, Bc.
myrte, Aie. (grano de arrayhan). — (j~~t
~oY*) ca- II régler du papier, M.
;
mélée, olivier nain, Bc, Bait. 1, 556 c. O
- -
~oi4)
les galles de fucus, Pellissier 107. — ,j!!*.*J~. f)~-X-~
et itJlXJî n~—') olivier sauvage, Bait. 1, 556 b.
-
CC~) olives mûres, Gl. Manç. vu ~eUi .JL.!..
s:Ll' ~Qyjj olives qui ne sont pas mares et que l'on
met en saumure, Most. et Gl. Man?. in voce. Ces
-
IV. ~~<J< ~-!.<
cer avec un grattoir, L (eradit
J'i-A-Ji ~0-010 effacer de la mémoire, Bc.
interpositio X>!.!;~'-\S~<.
—
jj
déflorer, dépuceler, Bc.
tion, Bc.
~oî procession, Bc. - ~ïj ~b- déflora-
,
Le pl. est ~)1* chez Cherb., qui dit que ce
mot signifie grande cruche à fond très-étroit et munie
;
de deux petites anses il donne aussi le dimin. ~s-j.
sn °°s •f,
à savoir voir Dieu, voyez Macc. I, 584, 10
et 16 (il renvoie à 583, 15 et 16), par allusion à ces
paroles du Coran, X, 27:
.!-t. pl. \::J'
Macc. I, 893, 1 et 2. - excessivement, 1001 espèce d'arc; il cite, entre autres passages, celui-ci,
N. III, 196; ~ad «malgré son extrême qui est emprunté au continuateur d'Elmacin: js
petitesse, » Bc. — Portail d'église, Aie. (portada de
yglesia). — Portique, Aie. (portai para passear). —
Avec l'article, nom d'une porte d'une mosquée à Da-
~*b. Ici il est donc question d'une machine de
I, 720, 3, guerre dans laquelle étaient réunis trois djarkh, c.-à-d.
mas, Macc. cf. 1. 5. — M~L. ou
carnosité, excroissance charnue, Bc;
chez le cheval, voyez Auw. II, 655, 5.
sjLt. ches,
trois arbalètes avec lesquelles on lançait, soit des flè-
soit le naphte. lbn-Khaldoun, Berb. II, 321,
13, parle, sous l'année 1298, d'un engin énorme,
~u\j^, avec l'art., Vaugmentation du loyer, ce qu'il construit par plusieurs ingénieurs et un grand nombre
d'ouvriers, et qu'on appelait )L:,}' (j^j—^a portée
faut payer en sus de l'ancien prix, Macc. I, 602, 5
en était extraordinaire, et il était si grand, qu'il fal-
et 8. — <Jj~, Abd-al-wâhid 261, 13, et lait onze mulets pour le transporter. Cette machine
~vil, Bat. IV, 300, outre. prodigieuse était, à ce qu'il semble, une réunion de
'atAjfj apophyse, saillie sur un os; suivi de X»*ti.r,
quantité d'arbalètes, une arbalète-monstre. (La leçon
du texte est aussi dans le man. de Madrid et dans
exostose, tumeur osseuse; suivi de Xx*s>, fongus, ex- l'éd. de Boulac; notre man. 1350 semble porter ~j~~u,
croissance charnue, Bc. Grosseur qui se montre au au lieu de (j~~).
point de jonction du canon et des péronnés, aux pieds N~j-j le costume des dames quand elles se pro-
de devant et à ceux de derrière, en français le suros,
mènent ou qu'elles vont à âne, Lane M. E. I, 61,
Auw. II, 654, 6 et suiv. — tA-jJjj-Jl ~,J autruche,
Descr. de l'Eg. XVIII, part. 1, 114.
Diwan d'Amro'lkaïs fô, vs. 6.
—L-J.
..)'fo enchère, mise, surenchère, Bc. «signifie on persan: un plat de cumin; mais
~tAjj* le convive qui emporte la nourriture chez lui, aujourd'hui [XIIIe. siècle] c'est un mets composé de
Daumas V. A. 314 (mezid). sucre, d'amandes et de vinaigre,» Gl. Manç. Chez
~>0 Ibn-al-Djauzi, 145 v°, X~-L~, comme dans les 1001
né, Bc (Barb.), Roland.
~àyjjA N. I, 217, dern. 1., 224, dern. 1., cf. Bresl. II, 180,
~e o>
II, af. 6-8.
**
et 274.
ambitieux, de Sacy Chrest. 1v, 5
b
Bc, Bg, Me, Hbrt 71, Bait. I, 555 (lisez ainsi avec
B), II, 128 d (même remarque). D'après le M c'est ~(}:U II. Dans l'éd. de Bat., I, 37, on lit que vJuiyJt.
une onomatopée, et il ajoute que le peuple dit ordi- est un terme technique des Soufis qui signifie appuyer
nairement ~jA>. la tête sur les genoux. Dans le man. de M. de Gayan-
~éj-lj pl. ~j-MD), en Barbarie, mamelle, téton, Bc gos (6 vO) c'est m~j-xJ!, et je crois que cette leçon
est la véritable, car plus loin (9 v°) on rencontre
(Barb.), Hbrt 3 (Alg.), Ht, R. Jehouda b. Koreich,
,
encore trois fois le verbe (jh-rf)» suivi des mots: «et
j
éd. Barges et Goldberg, p. 105, 1. 12, où les édi- releva la tête.» L'édition, p. 64, a Liïzj, « il poussa
teurs remarquent: ((M'" est melitense zeiza, italicum
un cri;* mais l'action d'appuyer la tête sur les ge-
zizza, i. e. mamma, et arab. vernac. ~ny
noux convient mieux à l'ensemble du récit, et un
~)G copiste aurait changé difficilement le verbe
(),;), en Barbarie, muet, Domb. 107, Bc. qui
,.tI. est fort connu, en ~JUj. On conçoit fort bien, au
(de Kl'KvQ°Ç), mot dont on se sert à Damas, contraire, qu'ayant oublié l'explication donnée par
espèce de ~t~*-e<1.> qui
ne porte pas de fruits, Bait. 1,
556 d, II, 233 e; jujubier, Bc; c'est lejujubier blanc,
nique ~.r
l'auteur, quelques pages auparavant, du terme tech-
il n'ait pas compris le verbe <~J!-~ et
qu'il y ait substitué ~<je).
voyez Dodonseus 1356 b; Rauwolf, qui donne aussi
le nom arabe, 112, 276, a vu cet arbrisseau à Alep =
~êJ corneille, Bc, Hbrt 67.
II,
,~~j~~La
M.
à ~Uij s'habiller avec une extrême re- 1001 N. I,
170, 7. — Le cri d'une porte qui tourne
sur ses gonds, M.
au fig., en parlant d'autres choses que de ~*3^ dé (pour jouer), Bc, Hbrt 90.
monnaies, déclarer, prouver qu'une assertion, une opi-
racleur, mauvais joueur de violon, Bc.
nion, une preuve, un témoignage sont faux, aussi
c. a. p., Djob. 169, 6, Prol. I, 3, dem. 1., 44, 1, II orner
fautive):o
en rond, 1001 N. Bresl. (j'ai noté IV,
61, 14, II, 395, 2, III, 215, dern. 1., Macc. III,
201, 14, Ibn-Abdalmelic 131 v°: ~J-c ~X_ ~OW
227, mais cette citation est
~JL, où l'éd. Macn. porte X-~—~. - Aller et
venir plusieurs fois, M.
~jyjiM ~JoLc J..::-;3' ~v parlerdésavantageusement de
quelqu'un, M. J~-j. castagnettes, Ht, cette espèce de crotales que
~ôtj voyez v»Ju^.
o-
Von fait résonner en les agitant seulement, Descr. de
~0..du tarbouch, bande l'Eg. XIII, 495.
~Uyj cousue autour du tarbouch
pour le préserver de la saleté; on dit ordinairement ~(ji) vulg. pour ~0j5, M.
1
~oîj, M.
II décorer une ville de tapis, d'ornements de tout
~015
\~H-t. pl. ~U")! bordure, bande, garniture mise au genre, et de tout ce qui annonce des réjouissances
bas d'une robe; — queue traînante d'une robe, Aie. publiques, Maml. I, 1, 29; Bc a ~kXLJî illumi-
(cortapisa, haldas, rabo de vestidura; sous halduda
(1. haldada, comme chez Nebrija) cosa con haldas, il ner, faire des illuminations. - ~CT*) pavoiser,
,
comme adj. (cf. Lane), joli, beau, Mo, Ten Hj~JLj~, suivi de ~J~~e~J~,
~y
~CI.. cigale,
Hbrt 71 (Alg.).
Years 366, Richardson Sahara 1, 134, II, 184, qI—î).avarie., Ht.
Jackson 189, Prol. III, 430, 3 a f., où il faut lire
~y8 plus beau, lisez ainsi Auw.
sans article, avec l'éd. de Boulac et notre man. cy.s.:>' I, 221, 22.
1350, 1001 N. III, 436, 4af., Bresl. XII, 137, 4a yv-jji*est chez Aie. «cobre de bestias;» Victor ex-
f., où Fleischer (Vorwort, p. 19, 1. 1) veut à tort
changer la leçon, Ztschr. XXII, 74, 7. — Bon, Ri- plique ce terme par étable à bœufs, chevaux ou
II,
136,285, Lyon 316.— autres bêtes; chez Nufiez «cobre» seul est: corde où
chardson Sahara I, 134,
~çyjj doigt annulaire ,
et doigt du milieu, Aie. (dedo del coraçon).
Aie. (dedo del auillo),
sont attachés des chevaux, des mulets, etc., à la
suite l'un de l'autre.
cheval sellé et couvert d'une housse, Aie. (pa.
~o:SJA
~%-U arc-en-ciel, Cherb. (Constantine et ramentado cavallo, cf. Victor).
~.-t.. 0:':>
<)
Tunis). ~aJJt 0-:':> a-t-il le mêmesens? voyez le pas- ~M*
~&jA, barbier, est en usage en Orient, mais non
sage du Formul. d. contr. que j'ai publié sous ~à II.
pas en Barbarie, Prax R. d. O. A. IX, 157. En Es-
~lesfêtesde toute espèce qui ont lieu dans les pagne on l'employait en ce sens, Voc., Macc. II, 328,
occasions solennelles, Maml. I, 1, 29. — —~L*J! ~KJb. 5 et 6, et on le trouve aussi chez Ht.
grande tenue (de Slane), Berb. II, 267, 9. — liD':A' ~b~,
XJojitsont, en termes de médecine, les maladies des
fém. 9, beau, Bc (Barb.), Hbrt 7 (Alg.), Domb.
cheveux, des ongles et de la peau, M. 107, Jackson 185.
~s>
~(jjw abréviation de oU**) demande, Bc. et Yousof; voyez Defrémery, Mémoire sur les émirs
al-oméra, p. 4 et 5.
~JLW voyez sous ..JS.A.
~ÏaLw
—~~, ~L~, ~3.~L~ (= ~uaL.) uni, simple, sans ornement; sjLw
(pers.), mandragore; les vélin, papier sans vergeure, Bc.
deux dernières formes Bait. II, 3e, ou avec le chîn, .!.~ôL~< suc noir et sans odeur, qui provient des raci-
au lieu du stn (l'une et l'autre lettre en persan), I, nes de certains arbres, notamment du grandlentisque.
492 a, II, 595 (AB). La première forme dans le Most., On le mêle aux parfumeries et en Oman il sert à
mais avec le râ, au lieu du zd, comme dans quel- teindre le bois, Most. in voce, Bait. II, 2b, Gl. Manç.
ques man. de Bait. et chez Ibn-al-Djezzâr, et Bg donne G-
Le dernier, qui écrit incorrectement ajouto
~~jL~ (ital. sabuco = sambuco) sureau, vjSjJu* premiers auteurs, ce mot serait persan et signifierait
«arbores sabuci ,» trad. d'une charte sicilienne apud « le costume
»
noir des cadis, car, dit le Most., « le
costume des cadis est noir en Perse, et dans la lan-
Lello 10.
gue de ce pays, >Lw signifie «noir,» et0 'J"
ales ca-
~j~~ epithète pour une espèce de caroubier, Bait. I, dis.»» C'est inexact; les mots persans qu'ils ont en
355 a (AB). ~BLUW. Au reste, Rauwolf, 127, s'est
vue sont
~~L~J!
corps de cavaliers qui devait son nom à Abou- trompé en pensant que le terme en question désigne
's-sàdj Divdâd, père des célèbres Mohammed al-Afchtn une espèce d'algue.
~IjL. , 465, de Sacy Dipl. XI, 42, 4. — C. a. p. demander
~jGl. Abulf.
s'emploie comme l*x*>
~J j~-~ Kde tous les
~isili', p. e.
rois,»
à quelqu'un comment il se porte, Agh&nt 35, 7. —
Demander conseil, Aie. (demandar consejo). — De-
mander, quêter, mendier, demander l'aumône, Bc; c.
a. p., Bat. II, 157. — Mendier, fig., rechercher avec
bassesse, Bc. — Interroger, c. ~Q* de la personne qu'on
~Lw séraphin, Bc. interroge et ~if de la personne au sujet de laquelle
~(esp.sarda)sortede petit poisson de mer qui on prend des informations, Macc. II, 225, 11: ~i\J»
ressemble aux anguilles, Domb. 68. ~éJkG. ~ôyuJi ,
~w.., 1 vi>JLw,
et dans les Add. ce passage
: ~X1 ~if
~Cr
L~ parmi les présentsdesGénois,Nowairî, Egypte
r:
~~J~J~) des 1001 N. .f?'u:.n ~q-»
ei*JL»»3.
— Prier
J).:r L~j~L~. pour quelqu'un, intercéder pour lui, se construit c. à,
2 n, 33 ro, nomme R. N. 70 rO, dans une prière adressée au Prophète:
u
~L* limaçon,Most. v°
gJjwt, J. A. 1861,
- J~«~
~jjUs ~alil * ~5035
eWLow
~<w.~ sorte de bois qui ressemble à l'ébène, Bait. I, sion), qu'un juge donne à un autre pour faire une
instruction, etc., Bc.
8b, où A porte LSLMAJUWet B
M ~t) questionneur, Bc.
~Jj!~<
cf. dans les dict. sous
r-illw cendrée, petit plomb de chasse, Cherb. JJL~. Ceux qui venaient à la cour des califes pour
~L5;£
~CI
LM recevoir des cadeaux ou demander des faveurs, étaient
J
(turc). C;.è»U 0L-?- chagrin, espèce de cuir, Bc.
• ; )
nommés~ mais comme ce terme signifie aussi.
*
~JL
I, demander une chose à quelqu'un, se construit «mendiants,» le Barmécide Khâlid le changea en ~w)
sahamân,
sahamân, ~,' yas*,» d'où il résulte
résulte que le mot
VII être blâmé, Yoc.
a été altéré en J,L.+.l-w. Je crois retrouver ce
mot chez Aie. Il donne çamâma, pl. çamâm, sous cause, Bc (Barb.).
ensordadera; ce dernier mot signifie sagette, sorte
d'herbe qui vient dans les endroits humides, et plus les jours de la semaine, M.
souvent dans les ruisseaux; on en fait des sièges de -- O>
Chez Aie. «respeto» est K~.=>- ou
-- je
chaises. Je pense que c'est une légère altération de
suppose qu'il a pensé à des expressions comme
ou n. d'un.
A~L~ «par égard pour vous.» — Introducteur, Fragm.
(pers.) Asplenium Ruta muraria et Adianthum hist. Arab. 271, 4: quelqu'un ayant demandé la per-
mission d'entrer à toute heure chez le calife al-Mahdî,
Capillus Veneris, Bait. II, 3 d, où il faut lire ainsi,
Most. v° .L~~Lu!~ (même faute). celui-ci lui accorda sa demande, «~L~
B.:!l",.,
(pers. *-»lM*), en style de chancellerie, ombre, pro-
tection, puissance, M. T-A-~! '—~~ «c'est vous qui avez été mon
introducteur auprès de l'émir.» — Lane donne ce mot
1 c. a. p. chez le vulgaire aussi médire d'un
dans le sens d'alliance, union par mariage. Le pl.
absent, M.
vJ—«—*"1 désigne aussi des personnes, et au premier
abord on serait tenté de croire qu'il signifie alliés,
dans le sens de: ,Dieu a donné ce sultan aux mu- ceux qui sont joints à un autre par affittUé; mais je
qu'il a un sens plus large et qu'il signifie les traduire effets, comme dans le passage des 1.001 N.
ai-
crois
entoura d'une personne, ceux qui vivent dans sa fa- que cite Freytag). — Le pL ylewi affaires, Roland,
miliarité. oui forment sa société intime: exemples:
sJ~!, J. A. 1843, II, 218, 3 a t.:
i
\.::.I.J+W semaine, 1001 N. Bresl. 6 a f.: écrit ce mot avec un 'ain, mais
-
cantique, Bc; air gai et d'une
cartes, Bc.
- w «) mesure à trois temps assez vive, que chantent les
^i'uw léthargique,Bc; cf. fakths, Descr. de l'Eg. XIY, 209. — L'appel dit
moëddzin à minuit, M. — Chez les chrétiens, mati-
*
let, rosaire, Bc, Hbrt 156, Macc. I, p. c, 5 a f.,
X-~v~t est une espèce de tunique portée par les
mères de famille; elle se compose de deux pièces w , ) sont mauvaises), 1001
2 a f. (où les voyelles X-~~<
d'étoffe cousues ensemble, avec des manches qui n'ont
N. Bresl. VII, 16, 5.
pas plus qu'un empan de longueur, Ibn-as-Sikkit 524.
des terres, Bc, Auw. I, 405, 6,
II engraisser
Le vulgaire dit à J~>~ dans le II,327, dern. 1., 328, 1; dans d'autres passages (le
cet auteur ce verbe est altéré; lisez donc I, 317, 11
sens de 15¡)l.¡, M; c'est donc comme le ~~jJ!~, au lieu de g. du man. de l'Escurial;
j.'blXJi de la langue classique. — 5 - avoir notre man. porte ~*~~J~; de même 326, 1, 405, 7
un sentiment comme si l'on tombait saisi de frayeur, (notre man. et il a correctement ) aU
M. — Couler; on dit (jx~! £"-*-*'} M. — lieu de Cf. l'article qui suit.
Parer un trait, un coup, l'empêcher en y opposant marécage, Bc. — Engrais, terreau, fumier
quelque chose qui l'arrête, Antar 47, 13, 67, 7 a f. pourri et réduit en terre, Bc; *sebakh,espèce d'en-
II faire nager, Gl. Belâdz. grais ;ce sont les cendres et les poussières qu'on tire
comme une
~!!, Most.
3:~
signer
w
:
,
des anciennes habitations, et qui renferment beaucoup
de salpêtre,» Descr. de l'Eg. XII, 279; ailleurs,
XVIII, part. 2, 402, on trouve sebdkh, et ce mot
est écrit en effet
iL£Um* et
espè
vo
chez Auw. I,
selqu'onappelle
desol qu'onappelle aussi
aussit-U
~,Bait.II, 531 e (AB), semble dé-
du sel tel qu'on en tire des plaines, marécages
ou lacs salés qu'on nomme
o
(voyez); Edrîsî
II,
engrais, voyez sous
X~-L~w pl.
=
nommé
y
O ,
OjAjmmo
cheveux, Bc.
-t~J!
l.:)b:.w.+""
ja.j~~<
-
,
i.
-
II friser,
<-<~~
maigre. M.
x
«L^Um
O pipe, Bc (Barb.).
comme le pl. de
cotte de mailles, dans ce vers que cite Nowairt, Afri-
que 50 vo, et qui suit immédiatement celui que j'ai
0-
donné sous xiajj:
,
-<~~J{,
laversion
Jong van Rodenburg, 113, on trouve zoebia, fosse
Sprachen, p. 16. — Ceinture (de cuir), 1001 N. Bresl.
aux lions.
,O-
,
Wl
hjlllu cordonnier, Bc (Barb.), qui l'écrit des Sep-
avec
leçâd. tante, Bc.
y>
-~bL~
O W (esp.) cordonnier, Aie. (çapatero). ct~ le septième jour
après le commencement de la
maladie de quelqu'un, ou bien après sa mort, M.
J?L-~w vulg. pour M.
d:L;.w léonin, Bc.
J„o£ pl.
Ja~
m*- O
J.i*~! dans le Voc. sous capillus.
«esclave dont la taille est de sept empans
Le partie., en parlant d'une fuite, précipitée,
mesurés depuis la cheville jusqu'à l'extrémité inférieure
HaiyAn 20 rO: ILLÏAAWWO ~-t~ de l'oreille. Au-dessous de six empans, ils diminuent
de valeur, de même au-dessus de sept, parce qu'alors,
,
%*-~ I. L a ce verbe sous capio, je ne vois pas pour- étant hommes faits, ils no peuvent plus être employés
quoi. — C. a. p. troubler, déconcerter, interdire, M.
au service des harems,» Ouaday 632, cf. d'Escayrac
II faire sept fois le tour de la Ca'ba, Gl. Badroun. 506. — Heptagone, Aie. (figura de siete angulos), M. —
X être fasciné par le lion, Margueritte 312.
<~*j~. <~~J!, par ellipse pour OIJ^I
Qui a sept lettres (mot), M.
-En parlant des poèmes
(Macc. dits oW',.t" composé de sept hémistiches dont les trois
I, 885, 17), les sept w4i3j ou oîijï
I, 562, 2, 567, 17 et 19, 843, 14, 870,
du Coran, Macc.
6. —
;
premiers et le septième ont la même rime on l'appelle
(poisson), Aie. (lobo marino ~poscado). traditionnaires,HâdjiKhal. III, 574, Macc. II, 769,12.
(~~<
m y , climatérique,
epithym, Bait. II, 5 b (A). — ..yJ~! cuscuta se dit de chaque septième an-
epithymum, Bait. II, 4e. née de la vie humaine, Bc.
,oE
-5
AJUW*. X~~J~, par ellipse ~pour (Macc. K~t-L~M cahier de sept feuilles, par extension, toute
I, 834, 1), les oïtji (du Coran) des sept docteurs, sorte de cahier, Bc.
Macc. I, 490, 8, 828, 1. e~J~ - espèce de «jL~ septième. Le septième jour après le mariage,
t
dattes qui portent ce nom parce qu'elles sont si lon-
gues que sept d'entre elles font une coudée, Pagni
~m~}
2a
f.),
qu'on appelle c~-"~ (Lane, 1001 N.
(Lane) et ~LJ<
II, 374,
(1001 N. Bresl.
150. — <* millepieds, scolopendre, Payne V, 91, 3 a f.), le mari et la femme donnent une fête,
chacun de son côté; mais les gens riches en donnent une
Smith 1554, Cy.,ao, dans M 970 b.
chaque jour pendant la première semaine du mariago
-
iudUvwJt
nom d'une secte parmi les Chiïtes outrés ; (Lane M. E. II, 305 n.), et l'on a appliqué impropre-
x
ment le nom de U""rJ' aux sept premiers jours et plus loin le cadi dit: Lit
du mariage. C'est ce qui résulte d'un passage de Mac-
carî qui dit en parlant d'al-Modhaffar, I, 277, 1:
»
Los jours de son règne furent autant de fêtes. Ce prévention, préoccupation de l'esprit; J,.-*
«
règne dura sept ans et on leur donna le nom de
E?LI'lil, par allusion au U"rJ\ On trouve de
oujmo prévenu, préoccupé, Bc.
-)- „ «
J'ignore pour-
O
quoi L a ce verbe sous conprimit (oû-*u$ f~!)'
même dans un passage d'Ibn-Batouta, I, 175, qui a
embarrassé les éditeurs, que le pieux Adham, au lieu II c. a. dans le Voc. sous precedere. —
de coucher avec la fille du sultan, qu'il avait épou- couper la parole à quelqu'un, M.
sée à contre-cœur, se retirait chaque nuit dans un III. Au lieu de la constr. c. a., on trouve aussi
coin de la chambre pour y faire sa prière, qu'il con-
tinuait jusqu'au matin, et qu'il agissait de la sorte la constr. c. Gl. Abulf. cy-.à il y a
durant ~L<~ «toutes les nuits de la première des courses de chevaux, Djob. 291, 1. — C. a. p.
semaine du mariage,» car c'est ainsi qu'il faut lire, et r. disputer une chose à quelqu'un, Bc.
avec trois man., au lieu (le t::.":J'N, comme porte
- -
VII quasi-pass. de la Ire, Voc. (precedere).
célèbre, Voc. (octave, aussi e~),
) Aie. (ochavas o
/e~j~J! parler inconsidérément, M. Pisgei-
ochavario).
dans sa culotte, M.
e~~! septénaire, espace de sept ans de la vie de
X prévenir, préoccuper l'esprit de quelqu'un,Bc.
l'homme, Bc. — Octave, Yoc., voyez sous à la fin.
,.1 une tente du roi quand il est en voyage. On
,
Z t. de mathém., heptagone; quand les côtés l'a nommée ainsi parce qu'elle le précède car
ne sont pas égaux, on dit c~Lc~X~w M.
— il la trouve préparée à l'endroit où il va passer la
Chez le .~JC~ carré magique qui comprend 49
nuit, sans qu'il ait besoin d'attendrel'arrivée de celle
petits carrés; on l'appelle aussi Ka.,-w à KA.&. sous laquelle il a passé la nuit précédente; voyez
et L..f4-.j' M. En poésie, er j~-~s,
Khallic. X, 94, 2, 6-8.
;
M voyez sous Jo.- II. KitXMIavance, espace de chemin que l'on a devant
çyJLS* effrayé
par le lion; chez le vulgaireeffrayé quelqu'un, Bc.
.Lj~
en général, M. concours pour un prix, Bc. — Brabium, L,
~Jetrouve Je trouve
jurieux dans Bâsim 59: g-*-**1 4
comme un terme in-
L~)T~ 4
c.-à-d. victoriœ prœmium (Ducange).
~L~< celui qui devance les
autres à la course, Voc.,
Abbad. I, 66, 8. — Celui qui apporte le premier la
,
nouvelle de l'arrivée de la caravane de Syrie, Burck-
<jL~< chez les médecins, sueur abondante, Gl. Manç. hardt Arabia II, 32.
invoce. oui**. obLwJt j..a; rétroagir, avoir un effet ré-
,
Leyde, I, 227, 7
,
a f. (cf. Y, 165).
supposer, penser, croire que,
- 0' (J+M, mort fort longtemps après ce précepteur, l'un s'appelle
/~L*J!, et l'autre, m~~U!, M. — ~As~U~~JuL~J~
dans le sens de
Mohammed ibn-Hârith 319: « Combien coûte ce man- se dit des cheveux d'une femme quand elle les coupe
de telle sorte qu'ils soient courts sur le front, et que
teau?» demanda le cadi. «Il vous reviendra à dix
peu à peu ils deviennent plus longs en retombant sur
dînârs,» répondit l'autre; <JLt-t ait - le dos, M.
-
Abd-al-wâhid 177, 4, Khatîb 21 vo: - 1 -- -7
14 et 16, sont ceux qui avaient été les premiers à
adopter l'islamisme. Ce qui le prouve, c'est qu'on ren-
contre aussi cette expression chez les Almohades,qui .0> Jj~,',. Dans leCatal.desman.or.deLeyde
aimaient à se modeler sur les premiers musulmans I, 227, 7af., signifiedeshommes distiu-
et qui les imitaient jusque dans leur langage, car gués ou renommés. — Dans un autre sens Abbad. I
221, 11: Ayant écarté ses collègues, xaSiLMU
Athîr, X, 406, 3 ,,
a f., ou AJUL-A comme on lit chez
Nowairî, Afrique) désignait, comme l'atteste Ibn-
«il devint seul maître et se fraya un
chemin au trône.» — Dans l'Ouest de l'Algérie, terre
sabega, terre possédée collectivement par une tribu,
Khaldoun: ceux qui s'étaient déclarés pour le Mahdî
qui ne peut s'aliéner, Beaussier, Dareste 83: sabega,
avant que sa domination fût bien établie, c.-àd., avant
dans la province d'Oran, territoire sur lequel la tribu
la prise de la ville de Maroc; voyez Berb. I, 358,
5 a f. et suiv., cf. 269, 6 et suiv. Les tribus qui
services qu'Ali a rendus autrefois au Prophète,» Ma- V. J~-~L mettre une corde autour d'un far-
soudî IV, 428 (cf. Fragm. hist. Arab., Préface p. v), deau et le soulever avec la main, M.
souvent ,.3 Bat. III, 15, Abd-al-wâ- VII. (!~~J-t forgeable, Bc.
-
Quasi-passif de la
hid 89, 15: Quand Ibn-Ammâr se fut mis à pleurer, Ire forme, dans le sens figuré que Lane indique à la
fin de son article sur celle-ci, Prol. III, 404, 2 a f.
Se réjouir,Voc. (gaudere).
-
«
connaître, Abbad. I, 223, 11: un homme dela cam-
,
323, 3, Khatib 68 VO:
vre le bassinet des armes à feu portatives, et contre
laquelle donne la pierre qui est au chien, Domb. 79.
* u4L.U
« « espèce d'urinal, tuyau qu'on met
entre les cuisses d'un enfant au berceau, et qui abou- VII dans le Voe. sous coperire et sous fluere. -;
tit à un pot, M. Se plier, s'accommoder, céder, Bc.
JuL_~y, suivi de <J~-;L\-~
(lama de hierro).
~Crt lame de fer. Aie. X,
la guerre sainte, Gl.
J~-~
O# JL~t
Bayàn.
avec ~=j42, chercher la mort ~àll Jtxx*» Jo
ti~-~-~ = SSJ^A (chez Lane), comme porte un — Maladie de Fœil (cf. Lane) , anévrisme des vais-
seaux de I'oeily Bc, pannicule, Sang.
autre man., Abou'l-Walid 620, 29. &JUa«
~CI..
sorte de blouse ample et flottante, que les
~L~-~~ étuvée, viande, poisson, cuits de certaine femmes en Egypte mettent quand elles sortent, mais
manière; *L-4.-~- ~<
compote, ragoût de pigeons; par-dessus laquelle se met encore la habara, Vêtem.
~~L<.~< restaurant, consommé très-succulent,prçssis 199, Ouaday 395.
(le viandes, Bc. ~K" moustache; du pl. Jla—**
on a formé, comme
~y
y
d'un sing., les pl. J~j~ -06 Fleischer
et xJLjwi,
,rJ"J:NW I, J~~, c. a. p., insulter, outra- sur Macc.
aor. o, n. d'act.
ger, M. — Laisser pendre les cheveux, M
O-
(= IV); II, 816, 9 Berichte 202. -
T. de charpentier, lime
fine dont on se sert pour faire des dents à une scie,
cf.
M. ~—&Ljm le courant d'un fleuve, M.
de
II, donner quelque chose à quelqu'un pour l'amour
Dieu, gratuitement, se construit aussi c. a. r. et
~J! maïs (Tunis), R. d. O. A.
262 n. — ~J—àiî J)-~ chiendent, Ht, phalaris, Prax
VII,
~c p., Voc. (vo elemosina), Çalât 70 ro: ~JLc
R. d. O. A. VIII, 281. — Behrnauer, dans le J. A.
l^>5ywu Spécialement: donner gratuitement 1861, I,16, traduit saboul par carouge doux; mais
à boire à celui qui a soif, Ztschr. XI, 513, Lane M.
-,
je ne sais si ce passage a été bien rendu.
chose gratuitement ,
E. II, 23. Voyez encore sur la signif. accorder une
Vabandonner gratuitement à l'usage
du public (c. J), Maml. 1, 1, 230, I, 2, 72. Dans
~Juçaam. anus etpénis, ou anus et cunnus,
Gl. Manç.:C~ ~lXJI
9 U~L~t
~O
* ~La
~y»
: -
quelques-uns des passages qui y sont cités on trouve
M. — aL..w.Â,n~Joyow les menstrues, M. Motif, Bidp.
employé ce verbe d'une manière fort remarquable,
240, 9: ~XyyM ~&mi! ~& ~id J~o. «il
lui fournit un
~c. ~}W ~0yr',Iz vil ouvrit à motif pour lui ôter la vie;» raison pour blâmer ou
tout le monde l'entrée de la maison auguste;»
p.
punir, Coran IX, 92: J~-~ CI ~)
0" (j~~-~~J~ L ~Le,
w
c;:,-'\ll , !.,
J~~J< «l'action
;»
de rendre les chemins libres
j* £ j?Uj> ~ULo*
c.-à-d., comme dit Baidhâwt:
J~*~ '~X~-tbM Jj; de là le proverbe moderne:
jJUJie ~(Jvc~l.
pour le pèlerinage &***"
~Jmçmm..-j~", U.J
K~o.L<M dans
«nous livrâmes, de toute manière, leurs remparts à expliqué par M; ~tiu
la mort;» ~4e
J~~-' ~?-~
o~-~-& «ces
femmes en sortant avaient pour but de prostituer leur
énigme dont le mot est ~Jwy®:
corps.» — Employer (P),
Aie. (enplear). — Frayer
une route, Payne Smith 954.
~CI
IV. ~ytj~J! ~vJLhJ, laisser pendre les mains sur
~a
expliqué par ~&JLc ~Jd\ 1 - ~Jatài ~0' LâLjx^
il nous sied d'agir ainsi, M. — J~~J! ~JU^>*
les côtéspendant la prière, est un usage propre à la
,
les chameaux qui, dans une caravane, sont destinés
secte de Mâlic et aussi à celle des Ràfidhites, Bat.
à porter les traînards, Abdart 46 ro: les cavaliers
II, 352-3. sont en avant et en arrière de la caravane pour ra-
V être donné gratuitement ~fil Voc. masser les traînards, ~J~~ J~~J! JL-.::- ~mm>
r
~ALAMO
~LfrJLc.
~(oLbW')
—
~sUA _>,P
entrevues avec toi, Hamâsa688, 15; ~sjSi\ ~v!*^
~0j>
~y3> ~-J*JI
-LéJI3,
~ï
«avec lequel il
278, 10, avec la
ObjIaJÎ J.Dans le sens de fontaine publique,
tuite,Macrîzî écrit eU J~j~, mais ordinairement
;
dit sebîl tout court, Maml. 1. 1. chez Burckhardt
:
gra-
on
nez pas cela pour une plaisanterie Bc. » - blé de Turquie, Damnas
il le laissa faire, 1001 N. I, 3, 1. ~&L ¿.'
il lui accorda sa demande, Haiyân 39 ro: ~~JLj~!
- ~L Sahara 295.
à deux
- K~*~ et au Maroc, poignard
tranchants, Domb. 81.
XJIIAW fontaine, Bc, Barbier, réservoir de fonda-
tion pieuse, Prax R. d. O. A. VI, 291, réservoir pu.
il laissa partir, Freytag Chrest. 57, 12.
le ~J,'
~L~t~JL>- il passa son chemin, Bc, 1001 N. I, 65,
- blic, Roland, Hbrt 186 (Alg.), grande fontaine avec
bassins et abreuvoirs, Pellissier 60, 61, ÇUI X-~L~
,
10. Aussi ~&"l t_~-~ Macc. I, 317, 2 a f. — dans le J. A. 1852, II, 222, 9, Hist.Tun. 81: ce
~N.n J~t~. Dans les 1001 N. 1, 64, 1, le portefaix
qui a reçu des coups et qui craint d'en recevoir de
- sultan fit construire .J~j~ <~LXJL~w. Le -
pl. ~JoLLl flacons, Cherb. Dial. 140.
nouveau, s'écrie: ~Lxj~ t~*~) d'à**" C'est
comme nous dirions: Mon cou et mes épaules vont JoLw public, commun, à l'usage de tous, Gl. Maw,
souffrir (encore une fois) le martyre. Dans un autre
ou, comme disent quelques—uns,~J
passage, Bresl. IX, 266, 12, les paroles: à ~";)\~JLu
~mkAe ~ààli doivent signifier: « Je vous conjure long bâton à deux branches, dont on se sert pour
au nom de Dieu, s'écria-t-il, de me dire,» car l'éd. arracher de loin les épines, M.
Macn. porte en cet endroit: .titc~! pjSi\ ~J.s: ~JLJü m , f
celui qui, à la guerre, se dévoue à une
229:~H,
~J,F 0" - J~~J! pour ~aAK J~~) Bat. II, 46: mort presque certaine, en se chargeant d'une entre-
prise désespérée, Berbrugger 112. C'est, je crois, par
~,
De là J~-~-j~J~ gratuitement, pro Deo, Maml. I, 1,
)
ellipse, pour~&JWWJO
~ci
cf. plus haut la Xe forme.
obl^wo) semble avoir le
,
avec d'autres exemples, Djob. 186, 4, 188, 9. On (pour m ~M
sens
dit aussi J~~J~\~J~9, «une école gratuite,» et de
même sans article, J~*-~J! ~,un
écrivain gra-
de religieuses, nonnes, dans le Cartâs 237, 3, car
tuit ,» Maml. 1. ~1.,QLs» Djob. 259, 4. Enfin
le mot s'emploie par catachrèse dans le sens de fon- musulmans, l'auteur
<~~L~L~~ s.Lw..ùt,.
~Cr ~a_j lo
t,f""}
— Celui qui distribue Veau d'un
dit:
en parlant de la prise d'un château chrétien par les
J~L~
appelle ainsi en Syrie,» Ztschr. XI, 512, n.38. Cf.
BayAn II, 252, 13: J3-UXJ
(cf. ~QLM*).
)
y mademoiselle, Bc.
envahir, Ht.
£ ~}oS
sont appelés ~X~jd! ~PS, ibid. 1. 22. C. - et ~-&
se mettre à l'abri par — contre, Prol. III, 145, 15. —
y
~LçAm 1
-
qu'ils ont voulu parler. Haiyàn que j'ai publié dans mon Introd. au Bayân,
~JuJm. )l!i.-
Dieu! Grand Dieu! Miséricorde! Bc. 89, 11, mais la leçon m'est suspecte.
~S
t. de musique, chanter d'une manière
5
douce et plaintive, M.
hurtos, de siervos).
épithète de Dieu [comme '-\~Lw II c. a. dans le Voc. sous adorare.
~JîLm exclamation
VI dans Tabart, mais j'ai négligé de noter la
quand une femme est en danger de laisser voir son
page (Wright).
visage par accident, ou quand un animal menace de
tomber, Burton II, 128. ~\-:~~ jji,
comme en syriaque, graine de car-
damome, Payne Smith 1159.
~0, pl.
50
~Q5 et
j*jumwo, celui qui a une position
»v>L^Um
a dans le Voc. le pl. ~<>-<, dans Bat.,
,
I, 73, JoL~ ~(oî, IV, 422), et dans les 1001 N.,
honorable, Maml. II, 2, 32. — Un homme qui, par
esprit d'humilité, se dérobe à la vue des hommes, en I, 622, 1, ~>L~. En Egypte les chefs des diffé-
se réfugiant dans une retraite, ou se livrant à toute rents ordres de derviches portent le titre de t~s~Lc
l'austérité des pratiques de la vie religieuse, ibid. 31,
S~L~UM ou possesseur du tapis à prier du fondateur
Abd-al-wâhid 12, 7 a f., 209, 1. — Celui qui n'a
nécessaire, M. de l'ordre, Lane M. E. I, 366-7.
que le
>O ~CI
1 mosquée, est employé à différentes repri-
a.~*~, à Tunis et à Tripoli, maïs, ainsi appelé
parce que son épi est comparable à une femme voilée, ses comme un fém. dans le Cartâs 25, 18 et suiv. —
Pagni 31, Prax R. d. O. A. VII, 262, VIII, 345. Endroit en plein air où l'on fait la prière, Browne
I, 27.
~j4 1 relâcher dans un port, Roland.
~< II attiser le feu, Voc. ~Wl
, - laÂàII
~0 ~< ligne d'une strophe, Ztschr. XXII,
K<~~ 306, 10, 449, 2 a f.
159, 2. nom de
~y ,
la
K~L~M prison dans laquelle on jetait ceux qui avaient allumé
prose rimée, Kâmil 596, 16.
la colère du prince, 1001 N. IV, 720, 4 a f. — A
~V—II. ~JH ~-
comme à la IVe forme, la Fez il y avait le ~jy-k-j) r~~) Berb. II, 557, 13,
nuit a étendu ses voiles, Gl. Fragm. — Border, orner ou le J-.*ji comme on lit dans l'édit. de
le bord avec une frange, Bc. Boulac; je ne puis expliquer ni l'une ni l'autre leçon.
t
~t &o~M~ Bc, Ht, bord, ruban,
ul.:;;\.w pl. ~&~~
II. On trouve la constr. c. ~e dans Mohammed
frange pour border, parement, Bc, frange, Bc, Hbrt
204, Maml. II, 2, 70, 1. 3 du texte arabe.
-11*
le Voc. a ce verbe sous privilegium. — Enregistrer,
vérifier, Bc, vérifier, avérer, Ht. — C. souhaiter
malheur à (de Slane), Prol. III, 331, 4 a f. (après la bataille de Bedr); l'auteur aurait dû cm-
~CI
J~L~ -
~O*
J~s~ dur? Gl. Badroun. ployer la prép. ~J.', comme on lit ~jJL&!! ~J.'
pl. J~>-L~j pièce d'un procès, Aie. (escri- chez Ibn-Hichâm 455, 10.
N. II, 106: L~oL~" ~cr- !~JL~-
-
Tirer, retirer, Bc, 1001
«elle tira
tura contra otro, proceso en el pleyto). un poignard de sa ceinture.» KJU+JM s-. il tint
l'épée, Fleischer Gl. 21, M. Par ellipse le verbe seul
s'emploie dans le même sens, dégainer, Bc, Hbrt 134,
) ~OÎ
j*-f~. ~L-ju^o répandant plus
9 ~O
+
de larmes, 1001 N. I, 48, 7 a f. = Bresl. I, 128, 13, où il n'est
P. Abd-al-wàhid 173, 14. pas nécessaire d'ajouter le pronom, comme le veut M.
I
Fleischer. Ce verbe s'emploie aussi en parlant d'une
<L~~J! style coulant, M. Soyoutî a appliqué ce masse, bien qu'elle n'ait pas de fourreau, 1001 N.1,
nom aux passages dans la prose rimée qui forment
des vers, sans que l'auteur l'ait voulu; voyez Mehren III, 229, 5, IV, 169, 4af. On dit encore: <-~-~
Rhetorik 170. ~fi cr ~sLe tirer de l'eau d'un puits, Bc, et le verbe
encastrer, Gl. Edrtsi. — Semble signifier tour-
;
seul pomper, épuiser avec la pompe, Bc ël..la,\t
~M-~J! «l'orfévre tire l'or, l'argent, les étend, les
ner ~(w*Î5 dans l'éd. Macn.) dans les 1001 N. Bresl. allonge en fils déliés,» M. —Remorquer, traîner un
VII, 143, 5, mais la leçon me parait altérée. vaisseau par le moyen d'un ou plusieurs autres, Bc.
-
:
II ~sliî dans le Voc. sous incarcerare. L~~a <~-<=~ touer. faire avancer un navire en
VII être jetéenprison, Voc., Amari Dipl. App. 3, 1.
tirant un câble d'un point fixe, Bc. -
X*ojujJ ~<
~& tirer une lettre de change sur, Bc, M. — Eleva
~CI Le pl. du pl. ~Ziu Abou-Hammou 84:
) > ~>
quelqu'un (ace.) au-dessus ~(J^) d'un autre, Macc. Ili
..y-s~j~.
~L<=~. ~L~u~ $.',,) épispastique (médicament), qui C. d. a. métamorphoser quelqu'un en, 1001 N. I, 13,
2:~L~jJ~< ~U~t~, 51, 13 et15.—Faire
attire les humeurs, Bc. — eu-.Ji à ~U"'w! AJLS=U«
~u*
y «.
,
raccrocheuse, fille qui raccroche les passants, Bc. le repas appelé dans le mois de Bamadhân. La
L\.JIS=Uw
= )')1.:::- (voyez); c'est un ~x5L*sdans le sens forme de versification appelée ta17 lit-on dans le
d'un X~*à~, M. f.
J. A. 1839, II, 165, 2a et suiv., a été inventée
par les habitants de Bagdad, du temps de la dynastie
t-~-\~<. s~!! <~e un endroit d'où vient l'air,
Sorte de bdton,
des Abbâsides, pour le sahour dans le mois de Ra-
le vent, comme le M. — que madhân, et elle a reçu ce nom parce que les chan-
Burton, I, 230, décrit fort au long. Peut-être le
pl. <_A=»L«WQa-t-il ce sens dans le J. A. 1849, II,
teurs se disaient: ~U^s ~1^3. C'était, je crois,
le vers par lequel ils commençaient leur poème; je
270, n. 1, 1. 5 (= ~uLâ 1. 3).
z «
J
prononce: + O*O ~Lji, *9 et je traduis: «Allons,
<-~-s=\ nuageux, nébuleux, Aie. (nublado, nublosa
cosa). «. ~y Dans la
faisons le sahour, allons!» (cf. sous ~Loo).
X~ CI filière, outil d'acier pour filer les mé- langue vulgaire la Ire forme était donc l'équivalent
de la Ve dans la langue classique.
taux, Bc.
il, en parlant du moëddzin, annoncer, dans le mois
I scindere dans la 1re partie du Voc. de Ramadhdn, le temps où Von peut faire le repa&
w *) * ~90~ flûte champêtre, cltalumeau, M.
appelé sahour, Djob. 145, 2, 7 et 11; cf. ~w«. iii^Uw« — Du lait
qu'on fait cailler avec de la présure, et qu'on rend
IV. JwJii! ~\j~! la nuit est très-avancée, le jour
doux avec du sucre, M.
est prêt à paraître, Bc. — Dans le sens de la Ire,
ensorceler, Voc., Aie. (enhechizar, hechizar,ligarcon a.~L*~ chez Freytag doit être biffé. Dans le pas.
hechizos).
sage qu'il cite (de Sacy Chrest. I, t*f, 7) et qui est
VII être ensorcelé, Voc., Alc. (hechizarse); ..<=\jM<JLe tiré du Fakhrt, il faut substituer un khd au hâ;
enchanté, Bc. c'est le pl. de s~L~ - (voyez) dans le sens de bouffon.
- ~G
les paroles que prononce le moëddzin M. Ahlwardt, dans son édition du Fakhri (383, 2),
~fS'- au lever
~r,Z a donné la bonne leçon.
de l'aurore, Fakhri 278, 1; le pl. ^LSÏUWI, Abd-al-
wâhid 68, 9, Recherches I, Append. p. LXI, 1. — ~&~~ I. Le n. d'act. - O-
\~S-~e,
Diwan d'Amro'lkaïs
Sahr, repas du matin, Ouaday 718; ce serait pour fo, vs. 8. — Foudroyer, au fig., ruiner, renverser,
,
sahar, qui serait à son tour pour sahour N. III, 196, 7: '(j->LU, WL=>L.w..H 4fu».
..CI, ~-O- rosée, M "oJ>)U' ~~L'.J!~, où Lane traduit: «ruin and de-
ij..s..- = ~aP sous ~r
struction.))
magique, Bc.
~O*
VII. Les chrétiens disent au fig. (j-'wJ\
WAJLAJI
en Espagne, gelée blanche, Abou'l-Walid
= àjku3 M.
792, 19. (Jpce
O«
qui est pulvérisé, Auw. I,102,21:
,0
« , , , , Ztschr. XI, 519.
ft:-<:vN = jy&u»,
S.L~M jonglerie, Payne Smith 1387.
~XiLsu* danse, voyez Ztschr. XXII, 105, n. 45.
~0 # > le l'aurore, P. Macc.
a.~-<=~ temps fin peu avant O >
:iSL>", endroit usé d'unhabit, Abou'l-Walîd121, n. 25.
II, 74, 21.
a.L~~< .L<~. Macc. I, 231,
12: ~'S -T-LL.Z3 1.
voyez a.L~~!. ~iuJs ce qui semble signifier qui n'avait pas été
M-tL<=~
a.L~ pl.
orage, Cherb.
coffre-fort, Bc, M; c'est un
pilé, égrugé.
XR~-<-\~ tribade, Bc.
j,
très-grand coffre d'environ trois pieds en carré, Bur-
ton I, 121, cf. Richardson Central I, 298, Lane M.
E. II, 199. Comme ce mot n'a aucun rapport avec
la racine je soupçonne que c'est une corrup- III
broyeur, Bc.
,
tion de qui est pour 8^130 (voyez).
magicien, a
magicien,
~CI chezBclepl.
a chez Bc le pl. ~-=~.
VI débarquer, Berb. I, 464, 13.
,
En Espagne, lieu sur
chez Aie. c'est enyemadero
traduit aussi par -
la côte où l'on mène
paître le bétailpendant Vhiver, à ce qu'il semble, car
»
et «estremadura,» qu'il
Siroco très-fort, Rohlfs 37.,
4 a f., où le texte est malheureusement altéré.
le Voc. custodia (P).
~XjL^Um. On
— Dans
,
~riverain, Bc. hébreu qui signifie toiles d'araignée.
w
~~i>~,
<0
salep, Bc, Bg, est une corruption moderne
~tr 1. ~iill ~gwuw
pleuvoir, Bc.
,
Bc: y a~j~ imposer à quelqu'un une chose fâcheuse
«o < O
~t
-
ii 1
Ht.
tout ce dont on se moque, M; un homme
ridicule et dont on se moque, Gl. Esp. 305, Antar
37, 1, cocasse, ridicule, gille, niais, godiche, godi-
et pétrifier, voyez sous J~-~~ut.
passer, Bc.
- Ecraser, sur.
chony niais, grotesque, jouet, personne dont on se II c. a. et VI dans le Voc. sous irasci.
moque, dont on se joue, marmouset, petit garçon, Xt~~
petit homme mal fait, Bc. — Bouffon, baladin, far- monstre, animal qui a une conformation
contraire à l'ordre de la nature, et monstre, ce qui
ceur, déjà au XIIe siècle, Gl. Esp. 305; le pl., or-
est extrêmement laid, Bc. Cf. l'article qui suit, à la fin.
dinairement -s-L~, est ii.,r>l-A dans Cazwtnt II, 128, *
JJ.>-<\-A proprement frappé de la colère diviue,
11, et dans de Sacy Chrest. I, ~t*f, 7, où il faut et de là maudit, Aie. (maldicha cosa), Roland, Dau-
substituer un khâ au hd; la bonne leçon est dans mas V. A. 101. Le verbe ~-~~, dans le sens de
l'édition du Fakhri qu'a donnée M. Ahlwardt (383, maudire, se trouve dans le Dict. berb. Un effet de
2). — Farce, faribole, pantalonnade, bouffonnerie, la malédiction divine, c'est que ceux qui l'ont
Bc. — Bagatelle, sornette, Bc. — Mascarade;~ courue sont pétrifiés (cf. Lane), et propre- en-
J~
merie, Bc.
moqueur, Bc.
des pétrifiés.» En effet, ce dernier voyageur nous
apprend que, d'après la légende, «un puissant chef
~b~ (le sing. n'est pas en usage) colifichet, Bc.
arabe voulant épouser sa propre sœur, toute la noce
a été pétrifiée.» Oubliant l'origine de cette signif.,
~;:; )
ySW,o. Au Maroc les .-~~e
~w sont des serviteurs le peuple a employé le verbe dans le sens de
qui portent les ordres du sultan d'un endroit à l'autre changer en, métamorphoser en, avec l'accus., p. e.
et qui lui fournissent des renseignements,Hœst 181-2.
On trouve aussi ce mot dans le man. d'Ibn-Batouta
~s£
que possède M. de Gayangos, 214 r°: ..-j~L«~~
fin le verbe seul se prend dans le sens de pétrifier,
«uJLc«il
qui précède, se chauffer.
ce qui revient à dire : ~« chaud, récent;
Buvez, aimez, c'est la sagesse,
Car tout le reste est vanité. le lui a rendu tout chaud, » Bc. —Poivré, qui a
agneau, 0 -
1001 N. II, 177, 2 a f.
été payé cher, Bc.
.L.~=~ qui a la fièvre, Bc, Hbrt 36.
Jo3~< (pers.) jasmin, Most.t>.é..4 (dans N le
Vo
~u#, chaud, Voc., Ht, Richardson Sahara I,
hâ est une faute, et La porte à tort Js^Là^u*).
~f II
85. - Fortifiant,
~CIr ?
stimulant, Jackson 55, 154, 1. 1.
noircir, dans le sens de salir, Prol. I, 421, 2 a f.: un peu chaud, Mehren 29.
tr.:.=S\.w
drôle, facétieux, farceur, boute-en-train, homme de yeux, 1001 N. Bresl. XII, 203, 12, et ~c~.
plaisir qui excite les autres, plaisant, qui fait rire, apaiser sa faim, Bat. III, 29, Ibn-Tofail 178, 6 a f.
-,
et: celui qui cherche à faire rire; ,.y.<~~e
mot, Bc. — Farce, Bc.
bon- Se dédommager, Bc.
place de, Bc. —
—
C. C. ~Ce représenter, tenir la
dégoûter de, faire qu'on ne
trouve plus à son goût; Uà;Jl ~t< dégoûter, ôter le
- + O+
XJL^U** lieu oit l'on attiédit l'eau, Aie. (entibia- goût, l'appétit, Bc. En ce sens ce verbe s'écrit aussi
dero). - Bassinoire,chauffe-lit, Aie. (callentador para
O-
avec le ~yj, ce que M. Fleischer (1001 N. XII, Préface,
p. 91) croit plus correct.
cama, escalentador). — Suivi de i-r-L-,-U chaufferette,Bc.
II mettre en bon ordre,
p. e. les affaires du royaume,
~j;~~
et
largiri. — Dans l'expression ~if ,cj~&3 ~,
I. La constr. c. J-c dans le .Voc. sous Valeton 11, 4 a f.; dans une note sur ce passage (31,
n. 4) Weijers cite Aboulfedâ Ann. I, 362, dern. 1., et
à
0"
on emploie le
n. d'act. ~L<~<, qui appartient pro-
II, 38, 8. C'est repœrare dans le Voc.
t-jL~-~! régler
~\jJ~j
un compte, M. — Enclore, p. e. une
-
prement Bidp. 114, 2: ~if A~! ~a^Ls^. - vigne, Voc. — Passer, souffrir, tolérer, Aie. (pas-
sarse suffrirso). Si ce verbe s'emploie en ce sens,
~~M< c.
s
~J-c se tourner vers, Gl. Mosl.
c'est par ellipse, pour lUI..tJ.N ou "';..;6; cf. sous
II rendre libéral,Yoc., Koseg. Chrest. 53, 2: l'amour
la Ire forme. - y
~*^5^ ~Ll-c ~,
que le Voc. a sous
victus, signifie sans doute apaiser sa faim; cf. sous
11:
IV comme verbe d'admiration, Koseg. Chrest. 131, la Ire forme. — Apprécier, priser, évaluer, Aie. (le
~W ~5: i*,
5: Li~,,-
~0*+t* 1
~«
a aussi le nom d'act.
qu'elle
~r) lo «qu'elle était libérale1»
libérale!»
«A***,
et se construit avec
n. -d'act. apodamiento, apreciadura).
V être enclos (vigne),Voc.
VIII c. ~a- se dégoûter de, 1001 N. Bresl. IV, 52,
,
~aj<*n
pense que ~** est bon aussi, et dans le passage al-
téré de Macc. II, 520, 1: M
~au ~é-Jv* ~l..A ~'?'"
dans le Yoc.
The Bashaw
-after
Lit de repos, canapé, Ten Years 151:
his dinner always retires to his
«
où j'avais proposé delire z
il voit une double couch or sedda,* cf. 152 (on prononce donc a'~
~s..
eu
g)
leçon: Juw. A son avis ~Ou et ~< sont synonymes, Barbarie), R. N. 101 vO: «A—x_*_w_j—A <AJij
(1. ~ïf") ~Kt * ~') ® ~JaS ~& > (l. \.Ji.;s\wlJ'i'); 9
~eL. azyme, qui est sans levain, L (azimus ~+.6b
« e
eLM). tVJolj, voyez Payne
en racontant le meurtre d'Alp-Arslân,les chroniqueurs — Comme synonyme de
(Athtr X, 49, 2 a f., 50, 3 et 4, Aboulf. Ann. III, Smith 1043.
224, 4, cf. la note p. 692) emploient ce mot comme le
synonyme de .F..J"'N' Au fig., rang, dignité (xaJJJ! —~< 1
~),carondit:~ à ~O"jj ~yJL>,M. ~Ñy
différer, remettre à un autre temps, M. — ~exm
q* ..r''j' ôter une chose de son esprit, M.
Par extension, Vendroit où se trouve le lit de repos,
chambre à coucher, Ten Years 252: «Before the sedda,
III c. a. p. et y
r. faire attendre quelque chose
à quelqu'un, M.
where the couch or bed is for sleeping,» 143: «Four
of these rooms are called sedas and serve for bed- .)4>-ffl
IV étourdir, troubler la raison, Aboul-Walid 549,
chambers,D cf. 150. — Le mimbar ou chaire du khatîb
n. 78, Saadiah ps. 60, Bait. II, 116 a (passage d'Edrtst):
ou prédicateur dans la mosquée, M. — Chaire depro-
fesseur, Fakhri 39, 9: les professeurs étaient assis ~015 .ClI5. ~J~!~-~J~t
~t
~1131
sans doute, Gl.Belâdz. d'une espèce différente de celle qu'on a dans les en-
virons de Tunis, son fruit étant plus gros et son
s<3~<~-~ pl. ~!j~~ bouchon (pour une bouteille), parfum plus exquis, quoique peu sucré, et dans une
tape, Bc, Hbrt 202. note le traducteur, M. A. Rousseau, remarque: lLe
!<~ jujubier lotos, Ziziphus lotus de Desfontaines; c'est
tampon, bouchon, Bc.
M # obstructif, opilatif, Bc, M. — En Espagne,
»
un des lotos des anciens Lotophages; après quoi il
,
OiXmwo cite ce passage du Vocab. d'hist. naturelle par le
titre que portait le juge dans les petites villes, Macc. docteur Lager: «Le sedra est un arbrisseau qui ne
s'élève qu'à une hauteur de quatre à cinq pieds et
I, 134, 16.
dont les rameaux, irréguliers et tortueux, sont ornés
>O
massif, l'opposé de creux, Payne Smith d'épines et de feuilles alternes, petites, obtuses et à
1483. — En géomancie, nom d'une figure, l'opposée trois nervures longitudinales. A une petite fleur d'un
de celle qu'on nomme M. blanc pâle, succède un fruit globuleux que les indi-
gènes appellent un nebek, d'une couleur brun-clair et
okXMÔI, t. de médec., obstruction, M. bon à manger;" cf. Shaw I, 222. Barth, V, 681,
nomme siddret el hoë parmi les arbres. — Les feuilles
de certaine espèce de sidr, dont on se sert en guise
II sextupler, répéter six fois, Bc; réciter six fois en parlant d'une longuemaladie,
d'une longue maladie, p. e. XJL&~iiu
le Coran, R. N. 76 :~LxJta
r° ~kJLaJ y y-»:», ~«j
ca^vXm, Lettre à M. Fleischer 219.
&qI Jîà\ (j*"~-! ~gbLw tapis, car le Voc. traduit matalafium (mar-
O 7
UmX-w était à Nacour le nom d'une mesure de ~G«• et
fega) par ~CtL. et il a aussi le premier
-
~cibLw,
par
O
capacité qui contenait la moitié d'une ~Xûajo, Becrî mot sous tapetum, avec matalaf dans une note. Je
91, 13, c.-à-d. (voyez ce dernier mot) six quintaux.
*
~Jt~~
M esclave qui a la taille de six empans, me-
crois que c'est le mot persan ~<OLw (en arabe ~am
ou avec le ddl), qui signifie simple, sans ornements
surés du bout inférieur de l'oreille jusqu'au talon,
ou d'une seule couleur, et que cet adjectif a été em-
Ouaday 43, Richardson Central II, 202—3, d'Escay-
ployé substantivement pour désigner un tapis uni.
rac 506, Barth III, 339, esclave au-dessus de onze
et au..dessous de quatorze ou quinze ans, Burckhardt
Nubia 290. — De six pieds (vers), comme dans le
iLJtA-** banquette, banc rembourré, canapé, long
mètre ar-redjez, M. — Voyez sous M*
Lr Le pl. Abou'l-Walîd 693, n. 4.
siège à dossier, Bc, Lane trad. des 1001 N. II, 242,
n. 113. Il se peut que ce mot ait ce sens dans les
O#
U*ukX«u, t. d'astrol., sextil (aspect), Bc, Prol. I, 1001 N. I, 58, 10, II, 22, 11, IV, 518, 8 a f.,
524, 12,car dans les deux derniers passages l'éd.
204, 14, 1001N. Bresl. II, 227. de Breslau (V, 99, 110) le remplace par ~j-ty* (dans
(j«~t,
~ft-
t. de mathém., hexagone; quand les côtés le second passage elle porte, III, 294, ~oUL
~^aaoULo^, au lieu de o"&\*«). C'est au reste le même
ne sont pas égaux, on dit c~L~o!X-X-~ ~,J" M. —
£*~:.£
Chez le .~j~X~ ~Pl, carré magique qui comprend 36 mot que ~u&u* chez Freytag et Lane.
)«
~q»
M; voyez sous ~_W* II. — Corde, cordeau, cordon,
Alc. (cordel, dogal). II ~xm4u dégoûter, ôter le goût, l'appétit, Bc.
~rj- anorexie, dégoût des aliments, dégoût, man-
1w
9, que de goût, d'appétit, Bc.
- s'emploie J~j~
1 1 (voyez) en parlant
comme
d'une chose qu'on remarque sur l'horizon et qui res- ~pourpiUi, sodomie, Gl. Fragm.
;
!<~<~< ourdissage, Voc. (ordicio), Aie. (ordienbre
sura, gracia en hablar, gracia como quiera, donayre;
de tela, ordidura de tela). — Laine fine, qui sert X-JL's
pour faire la chaîne, Aie. (estanbre de lana).
.-j~ graciosamente desdon, desgracia en
0 >
~~X~~e bienfait, Gl. Fragm. — Droit dyarrosage
hablar; 1 -..JI desdonado), Khattb 71 vo: q*
pendant un certain nombre de jours, voyez Gl. Esp.
175: «Tetbessem be drafa, ou tetlok es-serr bel ou-
168—9.
« -
kiya,» Hhâlima-la Douce sourit avec délicatesse,
suivi de ~,galéga
ou galec, rue de chèvre,
et c'est par onces qu'elle lâche les gracieusetés. — »
Bc, qui l'écrit avec le dâl. — K~!j~< rue, Hœst 310 (ddl). Plaisir, Aie. (gozo onesto o deleyte), avec le pl.
L&~<~<
= .ju~Ls prassium fœtidum,
)
}'fN' -
Bouffonnerie,arlequinade, Aie. (truhaneria).
dernier mot.
Most. sous ce
- ~L~(Serr nommé parmi les plantes, Carette Géogr. 137.
IV. y i
— Au pass., faire festin, L (epulor).
il lui prédit secrètement que, Hist.
guet, mot pour se reconnaître, Bc.
déranger quelqu'un, l'importuner, le détourner de ses
affaires, Bc.
-
s
Xmaâj
L~-~~
il lui garda secrètement rancune à flancs d'un animal, Aie. (ijarres de ani-
Ili-.lm les
cause de cela, Khatib 44 vo; Macc. en copiant ce mal). — Le poil des parties honteuses, Voc. (pecten
passage (II, 209, 8) omet ~; Renan Averroès 439, 'i'
= — lJD) cotylédon ou nombril de Vénus,
rie,e et
tifié par Aie., qui a ':-. dans le sens de «bouffonne-
dans celui de «bouffon.» Le pl. serait
si la leçon est bonne chez Khatîb 136 ro:
9 9 cloaque, Voc.
pl. Y,.;-w
en Espagne, au lieu de
On prononçait ainsi
<-~, car l'espagnol a azarbe.
) y-j-f s'emploie aussi en parlant d'une troupe d'hom-
gracioso como quiera, salada cosa graciosa), Daumas J~ Freytag traduit «de chevaux,» et Lane «de
V. A. 123. — Plaisant, gai, joyeux, Aie. (plazentera chevaux ou de cavaliers;» il faut traduire de cava-
cosa, plazentero a otros). — Bouffon, jongleur, Aie. liers, car chez Aie. c'est «tropa de gente,» et aussL
(truhan). aile d'une armée (ala de batalla), voyez aussi l'arti-
cle qui précède. On voit que ce mot a même reçu ils la font servir à l'éclairage dans les lampes, Bat.
un sens plus large, celui de troupe d'hommes armés, IV, 393. — Brûler de l'huile, Cartâs 38, 3 a f.
de soldats. — Séquelle, nombre de gens qui se sui- VIIêtresellé,Voc.
vent, ou attachés au même parti, t. de mépris, Bc. VIII jeter des flammes, luire, Payne Smith 909.
- gjfcanal,
Ribambelle, longue suite, kyrielle, Bc.
En esp. azarja signifie espèce de tour pour
Gl. EdrisI. la soie crue. J'ignore si r,-;.wjl s'emploie dans cette
curures, ordures d'un égout, d'une mtire
qui ont été curés, Bc. M.—
acception. — J',;--l' les fonds d'un pantalon,
sorte de verroterie, Burckhardt Nu-
t~.t.~ = .w!i
prassium fœtidum, Most. sous
bia 269.
—Lj~. lÙLd..1t
ce dernier mot. ver luisant, Bc; chez Hbrt 72
~jL!.-~ cureur, qui cure, qui nettoie, exécuteur S
Jbt&!~ et
chez Bc, mandragore chez
-Pagni60;
Y;
MS; mais on donne
est lychnis
(maître) des basses oeuvres, vidangeur, Bc.
ce nom à plusieurs plantes, voyez Bait. II, 14 f et
celui qui fait des cloaques,Voc. suiv., et Sontheimer II, 605, n. 2 et suiv.
"c"fNP est nommé par Edrisi parmi les produits
= gjuwfjyo argyritej Most. sous ce dernier
de la Chine, Clim. I, Sect. 6: -.~-j~J~ \:!u,
mot.
y;':'; cloaque, Bcrb. II, 150, 8. — Chemin sou-
terrain, Berb. II, 367, 7 a f. l:?!,¡- farcin (maladie), Bc; dans le M x>!y* (pers.)
-+ canal souterrain, Djob. 278, 17 et 19.
r
\~jy~JLA
-
y;--i.A endroit où l'eau s'écoule, Gl. BelAdz. surjet, espèce de couture, Bc.
ce qui précède.
- Voyez
I.-3<JLJ~-to*~ portant une cotte de mailles, An- ~>L~ espèce de poire, en forme de lampe (Clé-
tar2,1.7.
II d'un vêtement quelconque, Vêtem.
ment-Mullet), Auw. I, 260, 8.
c. a. se revêtir
***-T" nom d'une plante, Bait. II, 132 a; leçon
CI
314, 2 a f. Au fig., se couvrir du de BHL; AE avec le hd.
nom de quelqu'un, tirer vanité de la qualité d'ami sellier,
sellier,Be, Ztochr. XI, 484.
Bc, M, Ztschr.
ou d'ennemi de quelqu'un, Gl. Mosl. — Se troubler, X~>-~
a y sellerie, travail,
ne savoir que faire, M.
commerce du sellier, Bc.
1 9
wjtyffl clef, Domb. 92.
de Lane confirme indirectement cette opinion, non Becrî 26, 15, où de Slane traduit la décharge.
pas sous ce verbe, mais bien sous 0;"
avec le djîm y
;
~tournée voyage en plusieurs endroits, voyage
(1343 b).
annuel et périodique. .ju!
"i..>f"" campagne, suite
II. Dans le sens d'envoyer quelqu'un, ce verbe se d'opérations militaires pendant l'année ou moins, Bc.
construit de la même manière que (voyez Lane
sous ce dernier mot), c.-à-d. qu'on emploie l'accus.
quand il s'agit de quelqu'un qui se laisse envoyer, et la
prép. y
(Fragm. hist. Arab. 94, 7 et 13) quand il est j
loup
2, vs. ,
3
•J
cf.
le pl. r;';:, (cf. Lane) Diw. Hodz.
le comment, p. 3.
dans le sens d'un nom d'act. de la IIe forme,
seul, dans le sens de faire des incursions, Cartâs ,di--:>i Liberté, Ht, Abbad. I, 400,
—
202, 6: u';bl - C. envoyer comme n. 17, l'opposé d'emprisonnement, Weijers 20, 2af. :
gouverneur d'une province, Akhbâr 22, 7: J-c.c>;-
(j«J<~J~ -Mettre un prisonnier en liberté, Abbad.
I, 400, n. 17, Aie. (librar como quiera, soltar de
La permission de partir, donnée à un hôte, Calâïd 57,10:
I
- * adroit, leste, habile, Aie. (suelto
cosa diestra). sa maison, où il se met à l'abri de la chaleur; voyez
Niebuhr R. II, 279, Buckingham II, 192,210, Ker
r crier
lJwO créer comme un perdu, de toute sa Porter II, 261. — Chemin souterrain, M; chez No-
force, Bc. C'est pour wairt, Espagne 443, il est question d'un sirdâb qui
se trouvait à l'extrémité de la prison et qui condui-
sait au Guadalquivir; les prisonniers passaient par ce
tard, fusée volante, Bc, M, Reinaud F. G. 35,n.1, chemin souterrain pour aller se laver, etc. De même
J. A. 1849, II, 319, n., 1. 9,11, 12, etc., 1850, I, 257. chez Bat. I, 264, où il faut traduire: &Cette allée
souterraine était le chemin que suivait» etc.
,
ce mot par filix. Bc l'a aussi sous fougère ;
t~A.-~. Reiske (voyez Freytag) a eu raison de traduire j\àj.Mé
Gl. Manç.: (pers.) général, chefd'armée, Rutgers 130,6. Dans
le M l'explication: « (turc) ~,»
«Jlaà4 est la plante appelée Maghrib ~J~~--~J!~
au
est fausse.
et qu'on nomme en espagnol K~-~JM(~-~X~Jb;w a
xjJùjj* généralat, Rutgers 165,3a f.
mais il faut lire
1)
comme on trouve (PTparyyoc) général grec, Berb. 1, 148, 4 af.,
:
dans le Most., car c'est l'esp. helecho; ce dernier ajoute Aghlab. 73, 5, 3af., Amari 175, 4, Gregor. 38.
«A Cordoue on couvre des feuilles de cette plante les
paniers de raisins dans la saison où les vignes ont II, en parlant de la poussière, former un voile
perdu les leurs.»
épais, une espèce de ü.,)'.NI, 1001 N. III, 294, 6 af.
IIcribler le grain, Aie. (çarandar); ce verbe est dais (au-dessus d'un trône), 1001 N. I, 555,
formé de JL3.~ (voyez); dans le Voc. c'est --C.
,
VII être lu rapidement, Voc.
~, suivi de -
,
du sultan, Macc. I, 317, 21, Berb. II, 253, 9. —
pour
J~~t (voyez).
sardine, Pagni MS.
a~!-~ espèce de poisson, man. de l'Escurial 888,
n°5(Simonet).
sj~t~t, t. de cordonnier, bande de cuir dont on
enceinte de murailles, Berb. II, 323, 7:
de fossés, Berb. II, 160,
au fig.: wtiXjJt
:
Par extension, camp, 1001 N. III, 313, 2. — Par
allusion à l'enceinte de toile dont il a été question,
12 J~~<~~
Ibn-Tofail 169,
4af., 194, 7, pour exprimer que les peines l'entou-
rent de tous côtés. — Chambre à' coucher. Dans les
se sert pour les sandales, etc., M. 1001 N. I, 559, 10, on lit que, la nuit venue, les
#1CI., brouillard, eunuques ouvrirent les portes du sorddic, et que l'épou-
!k~~ M.
Il.
sée y entra; il parait que c'est le synonyme de siya"
crible à grands trous, comme - « (voyez), M. 1. 12. Lane traduit «the inner apartment,» et Richard-
son, dans son Dict. persan, donne le même sens pour Bc,J.A.
!.TIN. mot doit désigner aussi un animal de
— Ce frénésie Bc, J. A. 1853,
frénésie, l,
I, 341. Dans
, le
la peau duquel on fabriquait des fourrures, des tapis
et des gants. Voyez Macc. I, 230, 9, où Ibn-Khal- Gl. Manç. on lit, sous le que rl.w,fN est la forme
persane, et 1W.IM la
rl-"pw- forme arabe; c'est, ajoute-t-il
0.
rwy».A frénétique, Bc.
(voyez); chez Aie. c'est duisant ce terme, j'ai suivi Victor). Le Dict. berb.
1
H, 197,IV, 149, man. de l'Escurial 888, no 5, M. ..<b~M II s'étonner, s'émerveiller, Aie. (maravillarse
UuJyM
1 sardine, Bc. mucho).