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GRAMMAIRE
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DE
DE LA
LANGUE FRANÇAISE
AVEC UNE PRÉFACE
PAR É. LITTRÉ
DE L'INSTITUT
TRENTE-SEPTIÈME ÉDITION
COURONNÉE PAR L'ACADÉMIE FRANÇAISE
BIBLIOTHÈQUE D'EDUCATION
J. HETZEL ET C", !8, RUE JACOB
PARIS
Droits de reproduction et de traduction réservés.
GRAMMAIRE
H 1 S TO RI QU E
DE LA
LANGUE FRANÇAISE
DU MÊME AUTEUR
FRÉDÉRIC DIEZ
PROFESSEUR OltDINAIRE A L'UNIVERSITÉ DE BONN
MEMBRE CORRESPONDANT
DE L'ACADEMIE DES INSCRIPTIONS
y'Mt/KC~j<M~;7~07'e,C~m~C.0.
DANTE. (tnfcrno, JI, l~cj
PRÉFACE
DE LA DEUXIÈME ÉDITION
H. LfTTnË.
PRÉFACE
I, M. G. rari9.
lologie. vient s'ajouter un auxiliaire précieux, la com-
paraison. C'est par la comparaison que les théories se
confirment, c'est par elle que les hypothèses se véri-
fient et, dans l'exemple que nous venons de citer, la
comparaison de l'italien et de l'espagnol alma au
français âme apporte à l'hypothèse proposée d'invin-
cibles éléments de certitude.
Armé de cette double méthode historique et com-
parative, un savant illustre de l'Allemagne, M. Fré-
déric Diez, écrivit de 1836 à 1842 la grammaire com-
parée des cinq langues filles du latin et montra
suivant quelles lois elles s'étaient formées de l'idiome
romain. S'appuyant sur les principes philologi-
ques posés par M. Diez, MM. Bartsch et Mâtzner
en Allemagne, en France, MM. Littré, Guessard,
P. Meyer, G. Paris, ont repris son œuvre pour la
langue française en particulier, et par de nombreux
travaux de détail, ont éclairci le problème de nos
origines 2.
et lui qui n'avait jamais lu (et pour cause) une ligne d'allemand, rail-
lait agréablement c les nébuleuses élucubrations des Mft'MtM;e ~M'-
maniques plaisanterie .un peu usée, mais toujours applaudie chez
nous Génin oubliait qu'un bon mot n'a jamais tenu lieu d'un argu-
ment, et qu'en matière scientifique, la question n'est pas d'avoir des
idées allemandes ou des idées françaises, mais avant tout des idées
justes.
1. Je ne citerai que deux livres tout a,fait élémentaires et dont
les nombreuses 'éditions attestent le succès en Angleterre, l'/7H-
toire do la langue anglaise, de Gleig (T~Mory o/* e)!'7<«A language,
,dans les Gleig's ~cAootMrtM),– en Allemagne, la Grammaire ?<
<or!9<M de l'allemand, par Vilmar, à l'usage des classes supérieures
des gymnases. ( ~)<<m~r<:tt<!e der <<eM<<cAen GrsmtMaMt, ZMna'eAs<
/'Sr die o&eMtett Klassen der Gymnasien, v. Dr Vilmar, 6te Auflage,
t8M. )
gnement de la grammaire comparée dans les classes
supérieures des Lycées. C'était un acheminement vers
l'étude de la langue française; cette œuvre fut détruite
par son successeur; acte d'autant plus regrettable,que
le ministère actuel, qui a cessé d'imposer l'étude du
grec et du latin à des élèves qui n'en ont que faire, qui
a créé enfin l'enseignement industriel à côté de l'en-
seignement classique, devrait fortifier d'autant celui-
ci, en introduisant l'étude des trois langues classiques
parallèlement à celle des trois littératures. Un
seul homme en France, l'honorable M. Monjean, di-
recteur du collège Chaptal, a osé introduire un cours
d'Histoire de la langue ~ra~çatse dans la classe'de
rhétorique, et cet essai a réussi; puisse cet exemple
enhardir l'Université, et la décider à répandre dans
les classes supérieures de nos lycées les résultats
incontestablement acquis à la science! Mon but serait
pleinement atteint, si ce modeste manuel de philo-
logie française pouvait, en quelque chose, hâter cette
rénovation.
t.
INTRODUCTION
HISTOIRE ET FORMATION DE LA LANGUE FRANÇAISE
INTRODUCTION
IV, 5.
2. IX. 2.
mains remarquèrent que l'oiseau, connu chez eux sous
le nom de ga~Mta, s'appelait chez les Gaulois alauda,
que l'orge fermentée, nommée en latin iythum, était
dans la langue gauloise cervisia; ils introduisirent
alorsa~auda et cervisia dans leur propre langue, et ces
nouveaux mots latins, passant. six siècles plus tard en
français, donnèrent à notre langue a~oMe~e' et cet'uozse.
Ces mots isolés et quelques autres (surtout parmi les
noms de lieux) composent toute notre dette'envers la
langue gauloise; et même, pour parler d'une ma-
nière exacte, nous n'avons rien emprunté aux Gaulois,
'puisque ces mots ne sont venus au français que par
l'intermédiaire du latin; ils ne sont point allés direc-
tement du celtique au français; mais ils ont subi une
transcriptionlatine; ces emprunts sont du reste si peu
nombreux, qu'on peut presque dire que l'influence du
celtique sur le français a été insensible.
Ainsi tandis que le fond de la nation française est
de race celtique, la langue françaisen'a conservé qu'un
nombre insignifiant de mots qui puissent être ramenés
à une origine gauloise. Fait bien étrange, et qui, mieux
encore que l'histoire politique, montre combien fut
absorbante la puissance romaine.
Le celtique venait à peine de succomber à sa dé-
faite~, que la langue latine, désormais maîtresse de
cette tradition du celtique fut ravivée au septième siècle par une im-
migration des Kymris chassés du pays de Galles. Les Bretons furent
aussi réfractaires à la conquête frankc qu'ils l'avaient été à la con-
quête romaine et ce qu'on nomme aujourd'hui patois bas-breton n'est
autre chose que l'héritier de la langue celtique. Le bas-breton a uue
littérature assez considérable (des contes, des chants populaires, des
pièces de théâtre), dont on a récemment surfait l'ancienneté, bien qu'elle
en remonte pas au delà du quatorzième siècle. Depuis mille ans, pressé
sans relâche dans son dernier refuge par la langue française comme il
l'a été, le bas-breton, on le comprend, est aujourd'hui bien loin du celte
primitif; outre que les éléments d'origine celtique ont dû se corrompre
par un usage de dix-huit siècles, ce patois a été forcé d'admettre une
foule de mots étrangers, c'est-à-dire français. Aussi beaucoup de mots
bretons offrent-ils ce singulier phénomène d'avoir presque toujours
deux synonymes, l'un ancien et d'origine celtique, l'autre plus récent,
emprunté au français, et habillé d'une terminaison celtique ainsi le
français.
sont les vieux mots d'origine celtique; les seconds (./M~, ~et'e~m~H~,
troublet, coler), qui ressemblent si fort au français, ne sont en effet
'que des mots français corrompus. Je n'aurais point insisté sur une
vérité aussi élémentaire, si au dix-huitième siècle d'aventureux esprits.
frappés de cette ressemblance, n'en avaient aussitôt conclu que les mots
comme troublet, just, coler, etc. n'étaient point des importations
françaises, mais bien l'origine même des mots français correspondants.
Le Drivant, et l'illustre La Tour d'Auvergne aussi extravagant philologue
que bon patriote, déclarèrent que la langue française venait du bas-breton.
On les eût bien étonnés en leur prouvant que c'est le contraire qui e~
vrai, que ces mots (just, ~ec~e~me~t, troublet, etc.), au lieu d'avoir
donné naissance au français, lui avaient été empruntés, et que loin
d'être du celtique primitif, ce sont des mots français corrompus et affu-
blés d'une terminaison celtique. Ces folies étymologiques que Voltaire
appelait plaisamment la celto.mttnie, amusèrent le dix'huitièmc sicctn
au dépens dés Celtomanes; ne mettant plus de bornes à leurs divaga-
tions, les Celtomanes en vinrent à affirmer que le celtique était la langue
du Paradis terrestre, qu'Adam, Eve et le premier serpent parlaient bas-
breton, Ces erreurs regrettables ont eu un autre résultat plus fâcheux
encore, celui de jeter sur les études celtiques un discrédit qu'elles ne
méritent pas,
Il en résulta dans la langue latine vulgaire une in-
vasion croissante de mots allemands, servant à dési-
gner, comme il est naturel, les choses militaires. Dans
son manuel de tactique, De re ~TnH~a~, Végèce nous
apprend que les soldats romains appelaient burgus
(bourg), un ouvrage fortiûé' c'est le même .mot que
l'allemand Bm'g~. Ainsi, près d'un siècle avant l'inva-
sion, des termes germaniques s'introduisaient déjà
dans la langue latine; cette évasion linguistique sera
bien autrement considérable, lorsque, cent ans plus
tard, l'Empire d'Occident va disparaître. Avant de
raconter l'influence qu'exerça sur la langue ce grand
événement historique, revenons à la Gaule romaine;
efforçons-nous de ressaisir les traits principaux et la
physionomie du latin, pendant les derniers siècles de
l'Empire.
Nous avons laissé~ la Gaule florissante et.prospère
moins d'un siècle après la conquête romaine. Le latin
littéraire et le latin vulgaire y poursuivaient leur mar-
che parallèle, l'un dans le peuple des villes et des
campagnes, l'autre dans l'aristocratie et la classe
moyenne. Au deuxième siècle, la plus brillante épo-
que de la Gaule romaine, pendant que le latin popu-
laire est dans l'ombre, le latin littéraire brille d'un
vif éclat; avec les écoles gauloises fleurissaient, nous
l'avons vu 3, les avocats et les rhéteurs et Juvénal ap-
l.CasteUumpMvumquodtMr~Mmvocatit."
o
2.oy.p.l9.
3. ~Oi/. ci-dessus, p. 20.
pelle la Gaule « la nourrice des avocats, nutricula
cauSMh'corMm." »
Au cinquième siècle, quelques années avant l'inva-
sion barbare, la scène a bien changé; la position res-
pective des deux idiomes est l'inverse de ce qu'elle
.était trois siècles auparavant le latin littéraire se
meurt; le latin populaire gagne rapidementdu terrain,
et cela bien avant que l'invasion de 407 ait porté à la
Gaule le dernier coup l'institution des cM~a~es, en
amenant la suppression de la bourgeoisie, porta aux
lettres et au latin littéraire une funeste atteinte. A la
fois administrateurs municipaux et percepteurs des
impôts, les curiales étaient solidairement responsa-
bles de la rentrée des taxes s'il y avait déficit ou
insuffisance, les propres biens des curiales étaient
saisis et vendus pour compléter la somme; réduits à
la misère, la plupart s'enfuirent dans les bois, ou
s'engagèrent volontairement comme esclaves.
Avec la destruction de la classe moyenne, les écoles
se fermèrent de toutes parts, la culture littéraire cessa
brusquement, et l'ignorance regagna bientôt tout la
.terrain qu'elle avait perdu. Dès lors l'usage du latin
littéraire, du latin écrit, de cette langue nxée par
la littérature, et qui ne vivait que par tradition, se
restreignit à l'aristocratie gallo-romaine,. poignée
d'hommes qui se transmettaient un idiome pétrifié
et immobile, destiné à périr avec eux lorsqu'ils
viendraient à 'disparaître. Cette fois encore le latin
populaire bénéficia des pertes subies par la langue
littéraire.
2
Miné par ses excès fiscaux, l'Empire se soutient
cependant quelques années encore, parla puissance
de son administration, par la force inhérente à toute
organisation régulière; mais l'heure dernière sonne
enfin les Franks les Burgondes, les Alains, les
Visigoths se précipitent sur l'Empire, et renversent
d'un souffle ce colosse aux pieds d'argile le monu-
ment que César avait élevé s'écroulait moins de cihq
siècles après lui.
Dans cette tourmente, l'administration, la justice,
l'aristocratie, les lettres disparurent et le latin litté-
raire qui en était l'organe périt avec elles comme il
était né, destiné à suivre toutes leurs vicissitudes
Le latin vulgaire s'accrut alors de tout ce que perdit
l'idiome littéraire et le supplanta entièrement. D'ail-
leurs, si nous n'avions point à cet égard tous les té-
« il
brillait encore plus; enfin, quand il employait la
« langue
latine, il s'exprimait avec plus d'élégance
« encore que dans-les autres 2. B'
Ainsi du vivant de Charlemagne, ce passage nous
le prouve, le peuple ne comprenait plus le latin, et dès
cette époque, l'Église adressait au peuple des homélies
et des instructions en français. Par un hasard heureux
et une bonne fortune pour l'histoire de notre langue,
nous avons conservé sinon un fragment de traduction
de la Bible, du moins un glossaire explicatif des mots
les plus difficiles. Ce fragment, connu sous le nom de
Gloses de Ret'chenau~, et qui remonte à 768 environ
(l'année même où Charlemagne monta sur le trône),
1. <f
Quia praeva!ebat non tantum in teutonica, scd ctium in romano
~nNKft. n
2. r. Que si vulgari, M est romans Zingua, loqueretur, omnium aimrutu
« putaretur inscius; si vero ~e!t~oMt'c~,enitcbatperfectius;si /~M, in
tf
noilaomnioabsotutius. (~c~~jtC~07'M~t;I,41C.)
H
1. P. 169 et suivantes.
2. Je ne parle point icides modincations secondaires qui furent les
tonscqucnces de la mort de notre déclinaison. On les trouvera ailleurs
aux chapitres des pronoms (p. ISO), des adjectifs (p. 171), des adverbes
(p MO).
l'ancien français à l'état analytique du français mo-
derne, a si rapidement vieilli, notre ancienne langue
et creusé entre elle et le français moderne une démar-
cation bien plus profonde que celle qui existe entre le
vieil italien et l'italien moderne.
Il serait puéril de regretter l'existence de cette décli-
naison. Utile en son temps, comme halte nécessaire de
la langue dans sa marche vers l'analyse, la demi-dé-
clinaison devait disparaître, comme avait disparu la dé-
clinaison àsix cas. Lanature ne procède jamaisparsauts
brusques, mais par des changements lents et gradués:
dans la transition du latin au français, c'est la déclinai-.
sonàdeuxcasquiaservi d'intermédiaireentrela décli-
naisonà six cas du latin classiqueet la forme moderne.
On voit unefois de plus par cet exemple que la marche
de la langue et celle de l'histoire politique sont parallè-
les. Au quatorzième siècle, l'édifice social, élevé par le
moyen âge, s'affaisse de toutes parts, l'esprit féodal est
en pleine décadence; après Philippe le Bel, Charles V
va venir, qui portera à l'indépendance des seigneurs
et du clergé un coup fatal, et préludera à la réforme
de la monarchie administrative, réforme qu'achève-
ront Louis XI, Richelieu et Louis XIV. En même
temps que la société féodale, l'ancien français se trans-
forme à son tour, pour répondre aux besoins d'une
société nouvelle. Le quatorzième siècle tout entier est
employé à ce laborieux enfantement: l'esprit analyti-
que, l'esprit moderne gagne rapidement du terrain le
français du douzième siècle possédait une déclinaison
à deux caset des dialectes; le quatorzième siècle aban-
donne les uns et les autres: c'est ainsi que débarrassée
de ses cas d'un côté, de ses dialectes de l'autre, notre
langue arrive au quinzième siècle. Le vieux français a
mis un siècle à mourir, le français moderne va mettre
un siècle à naître (le quinzième). A cette langue nou-
velle correspond une France politique nouvelle. Après
les malheurs et les hontes des Valois, l'esprit mo-
derne tend à s'organiser; la Renaissance commence
à poindre.
La langue forte et expressive de Commines est bien
près de la notre. On peut mesurer le rapide chemin
que le français a parcouru en deux siècles à la mort
de Louis.XI, la France était organisée, et la langue
moderne presque achevée.
Le seizième siècle dans ses premières années n'i-
naugure rien de nouveau, mais il assure et confirme
la langue du quinzième siècle. Le français, tel qu'il
nous apparaît dès 1535 dans le célèbre manifeste de
Calvin (l'Institution de la Religion chrétienne), est
déjà complètement mûr c'est la un excellent instru-
ment pour toutes les nuances de l'expression il semble
que notre idiome est fixé, et si la langue française était
restée dans cet état, il est clair que le dix-septième
siècle et Malherbe n'auraient rien eu à reprendre;
mais elle fut gâtée et compromise par une invasion
extravagante de mots étrangers, empruntés à l'italien,
au grec et au latin.
Les nombreuses expéditions de Charles VIII, de
Louis XII, de François 1'='- au delà des monts, le sé-
jour prolongé de nos armées en Italie, avaient rendu
l'italien très familier en France. Le brillant éclat que
jetaient les lettres et les arts dans la Péninsule sédui-
saient les esprits, en même temps que la régence de
Catherine de Médicis donnait le prestige de.la mode
à tout ce qui était italien Cette influence italienne
est toute-puissante sur la cour de François I" et
d'Henri II, et les courtisans, après l'avoir subie, veu-
lent à leur tour l'imposer à la nation. C'est alors qu'ap-
paraissent pour la première fois dans les écrits du
temps, une foule de mots jusque-là inconnus les
termes d'art militaire que notre langue avait, toujours
employés, heaume, brand, haubert, etc. sont bannis
et remplacés par les mots correspondants italiens,
que les guerres d'Italie avaient propagés dans nos
armées c'est de ce temps que datent les expressions
telles que carabine (carabina), gabion (gabbione),
escadre (scadra), parapet (parapetto), estrapade (strap-
pata), fantassin (fantaccino), infanterie (infanteria),
citadelle (cittadella), estramaçoït (stramazzone), alerte
(all'erta), embuscade (imboscata), etc. Cette manie
d'italianisme excitait justement l'indignation d'un
contemporain, Henri Estienne « D'ici à peu d'ans,
« s'écriait.il, qui ne pensera que la France.ait appris
l'art de la guerre à l'école de l'Italie, quand il verra
qu'elle n'usera que des termes italiens2? »
Tandis que Catherine de Médicis importait chez
nous les termes de cour, courtisan (cortigiano), a/dé
1. M. Littré.
2. /)<a~.C!M dM /f;;ra;! th<ft(t)tt.!e, !~r-H. [~tienne.
(affitado), carnaval (carnevale), charlatan (ciarlatano),
escorte (scorta), camériste (camerista), camë?'e)' (ca-
meriere), bou//bn (buffone), faquin (facchino), brave
(bravo), spadassin (spadaccino), carrosse (carozza),
etc. en même temps que les termes d'art nécessaires
pour exprimer les idées nouvelles, venues d'Italie
avec le Primatice et Léonard de Vinci balcon (bal-
cone), costume (costume), baldaquin (baldacchino),
cadence (cadenza), cartouche (cartuccio), etc. les
relations commerciales des deux pays laissaient dans
notre langue quelques traces telles que bilan (bilan-
cia), agio (aggio), escale (scala), banque (banca), ba~-
gueroM<e(bancorotto),etc.
Les italianiseurs, comme on les appelait au seizième
.siècle, allèrent plus loin encore, et tentèrent l'oeuvre
pernicieuse et inintelligente de remplacer, dans le lan-
gage usuel, les mots français par des mots italiens;
c est ainsi que les beaux esprits ne disaient plus suf-
/t?'e, grand revenu, la première fois, mais bas~e?',
grosse iritrade, la première volte, parce que l'italien
disait bastare, entrata, prima volta, etc.
A cette funeste exagération se joignit un autre fléau
de la langue, la manie de l'antiquité. On était alors
dans une grande ferveur pour l'antiquitéclassique dont
la découverte et la connaissance se répandaient rapi-
dement et plus d'un de ces admirateurs enthou-
siastes, dédaigneux de notre langue, aurait voulu
introduire en français toute la majesté d'expression 0t
de pensée qu'il admirait chez les anciens. L'un d'eux,
Joachim du Bellay, voulut tenter l'aventure, et ta:iça
en 1548 un manifeste célèbre intitulé Défense et 7Mus-
tra<M)~ de la Langue Française, et dans lequel il pro-
posait un plan de réforme pour créer d'un seul jet une
langue poétique, par l'importation directe des mots
grecs et latins en français Nos ancêtres, disait-il,
« nous ont laissé notre langue si pauvre et si nue,
t.Sat)y,emot'rM,If,3.
d'épuration que Malherbe avait commencé, mais en
l'exagérantau delà des bornes nécessaires, etendessé'
chant les sources vives de la langue. Ces coupures et
ces suppressions sont consacrées par le DtcftOMnat't'e c<o
McadétTue (dont la première édition paraît en 1694).
C'est un recueil par ordre alphabétique de tous les
mots admis'«par le bon usage', » hors duquel il
n'est point de salut pour tout écrivain qui aspire au
titre de pur. Si j'écrivais l'histoire de la langue fran-
çaise, au lieu d'en tracer une fugitive esquisse, ce
serait ici le lieu de retracer l'influence personnelle des
grands écrivains sur la marche de la langue, et sur sa
formation, celle de Pascal, de Bossuet, de Molière au
dix-septième siècle, de Voltaire, de Montesquieu,
de Rousseau, au dix-huitième,et l'empreinte qu'ils ont
laissée sur notre idiome.
La langue subit peu de changements au dix-huitième
siècle, et le néologisme y est à peu près insensible.
Voltaire opère quelques réformes orthographiques
(par exemple la diphthongue ai pour ût français au
lieu de françois, etc.) Tandis que des grammairiens
isolés (l'abbé Dangeau, etc. tentent, après Ramus au
seizième siècle, Expilly au dix-septième, de conformer
l'orthographe sur la prononciation, en un mot d'écrire
comme l'on parle, tentative absurde en elle-même,
puisque l'orthographe du mot résulte de son étymo-
logie, et que la changer, ce serait lui enlever ses titres
de nobiesse, -quelquesautres rêventia chimère d'une
4.
mauvais, les importations utiles, et les néologismes
funestes.
Je rangerai dans la première classe les quinze ou
vingt mille mots que les besoins scientifiques ou in-
dustriels de notre temps ont introduits dans la langue
(photographie, gazomètre, télégraphie, etc.) à des
idées nouvelles il fallait des mots nouveaux; il en est
de même (dans une certaine mesure) des importations
de mots étrangers que les fusions des peuples et les
relations internationales de plus en plus fréquentes
ont amenées parmi nous. C'est la langue anglaise qui
en fournit la plus grande part; soit en termes de politi-
que, d'économie politique (budget, jury, dt'awbach,
warrant, bill, convicts, etc.), de jeux (sport, turf,
jockey, dandy, festival, clown, groom, steeple-chase,
boxe, w/ust, touriste, cottage, square, tilbury, do-
gue, etc.), d'industrie (drainage, tender, wagon, rail,
(Mmie~ ballast, express, doc/ stock, etc.), sans
parler des termes de marine.
A côté de ces néologismes, qui forment une langue à
part dans la langue elle-même, néologismes nécessai-
res, puisqu'ils expriment des idées nouvelles, il y a les
mauvais néologismes, ceux qui expriment les idées an-
1. M. G. Paris.
langue française avait été fixée à un certain moment,
et que les bons exemples sont renfermés dans un cer-
tain cercle d'années « hors duquel il ~t/ a rien qui ne
soit, ou dans l'imperfection de ce qui commence ou
dans la corruption de ce qui finit.» La philologie a
montré combien il est faux de dire qu'une langue peut
être fixée; elle change incessamment avec la société
il est regrettable que nous ne parlions plus le langage
des contemporains de Louis XIV; mais il serait puéril
d'aller au delà, et de tenter de ressusciter cette langue,
pour l'appliquer au besoin de la vie moderne ce pas-
tiche ou ce calque servile ne serait qu'un stérile passe-
temps des lettrés; le peuple (et c'est après tout pour
lui que la langue est faite) n'apprendrait point cette
langue d'une autre génération, car il ne saurait y re-
trouver le moule habituel de ses pensées. Ceux qui
souhaitent pareille tentative méconnaissent les lois
vraies des langues; ils oublient que la langue est un
instrument destiné à rendre toutes les idées d'une
société, que, pour exprimer les nouvelles idées de
chaque génération, il faut sans cesse ajouter à l'instru-
ment des cordes nouvelles; que d'ailleurs vouloir fixer
une langue à tel ou tel siècle, essayer de conformer à
ce type la langue des siècles suivants, c'est la rendre
immobile; or, qu'est-ce que la vie, sinon le change-
ment, et la mort, sinon l'immobilité? Les lan-
gues sont comme les plantes; l'action du temps sur
elles est irréparable on ne peut pas plus faire re-
tourner une langue en arrière, qu'on ne peut ramener
le chêne à l'état d'arbuste.-Il faut renoncer à l'espé-
rance de posséder la perfection; elle ne nous appar-
tient pas C'est qu'en aucune chose, peut-être, il
<t
<c
n'est donné à l'homme d'arriver au but; sa gloire
« est d'y marcher', »
.11
1. J'ai démontré cette loi dans un travail spécial (DU ~o~e des uo~e~e~
atines atones dans les langues t'omanes, Leipzig, 1866), auquel je
lemande la permission de reuvoyer le lecteur
existait dans le latin classique avait disparu longtemps,
avant la chute de l'Empire, du latin populaire; où le
premier disait a~a6as<er, coagùMre. capù~or, /!sM-
<a<o)', vetcrànus, ~ùMr~MS,popâMres, etc., le second
supprimait l'atone brève immédiatement placée de-
vant la tonique, et disait albister, coag~are, caplator,
fistlator, vetranus, teglarius, poplares, etc*. Lorsque
le latin populaire se transforma en français, il était
naturel que celui-ci ne connût pas la voyelle brève,
puisqu'elle n'existait plus dans le mot latin.
IV. Conclusion
1. Page 61.
septième siècle ni au dix-huitième, mais reprit au dix-
neuvième avec une énergie nouvelle pour des causes
multiples que nous avons étudiées.
Ces mots, qui sont comme une langue à part dans la
langue, sont plus nombreux que les bons et vieux
mots, et beaucoup d'entre eux ont déjà passé des livres
dans le langage commun.
Or, au point de vue de la science philologique, un
idiome est d'autant plus beau qu'il est plus régulier,
c'est-à-dire que les lois qui président à sa formation
sont plus rigoureusement observées. Sur le fonds ré-
gulier et logique de la langue populaire, les mots sa-
vants, qui violent la loi de l'accent, sont des taches fâ-
cheuses, des irrégularitésrégrettables; ils détruisent la
belle ordonnance, et l'harmonieuse analogie de l'en-
semble. Non point qu'il faille rayer ces mots de notre
dictionnaire « il serait ridicule et puéril de vouloir re-
venir aujourd'hui sur un fait accompli, et de tenter de
proscrire les mots d'origine savante qui violent la loi
de l'accent; mais il est permis de regretter que leur in-
troduction dans la langue ait troublé la netteté de son
courant et détruit le bel organisme d'après lequel elle
s'était construite'. » Aussi la langue du dix-sep-
tième siècle, qui contient moins de mots savants que
la nôtre, est-elle, aux yeux du philologue, plus régu-
lière, plus. analogique, et partant plus belle que celle
de 1867. En vertu du même principe, la langue du
treizième siècle, qui en contient moins encore, est,
CHAPITRE I
Voyelles simples
1. La catégorie des longues par position comprend, outre les mots tels
que fortis, urna; etc., qui ont naturellement les deux consonnes, les
mots tels que periclum, articlus, pon're, contraction: de ~eri'ctf~KHt, <!)'M-
culus, ponere. Nous avons déjà expliqué ce phénomène (voyez page 74),
tandis que le latin littéraire disait viridis, tabula, ordcMtMM, pônere,
~d6ï~Mm, angttlus, pd~M~, le latin populaire dans les mots qui
sont tous accentués sur l'antépénultième, supprimait la pénultième
brève et disait utfd~, MMa, ordetMm, p<m'r~, ~taMum, aK~ttm, pf~-
tus, d'où le français vert, table, oracle, pondre, étable, angle, poste,
etc. Cette chute de l'avant-dernière voyelle (tabK)a amenait la ren-
contre de deux consonnes (tabla), et dès lors on peut légitimement ran-
ger les voyelles ainsi accentuéesdans les voyellesdcposition. C'est
ce que nous ferons dans le, cours de ce livre Nous aurions dû à la
pour procéder méthodiquement et embrasser tous les
cas, au paradigme suivant
0.
Cette lettre vient du latin o
I. Soit d'un o accentué bref, sch6la (école) long
par nature, pômum (pomme) long par position,
fôrtis (fort).
II. Soit d'un o atone bref, obedH'e (obéir), long
par nature, donare (donner), long par position,
conducere (conduire) t.
A.
Cette lettre vient du latin a, c, i.
I. D'un A originaire
Soit d'un a accentué chambre (caméra), âne (âsi-
nus), cage (câvea); voyage (viâticum), sauvage (sil-
vaticus); car (quare), avare (avarus;– flamme (nam
ma), char (eârrus), arbre (ârbor), ange (angélus).
Soit d'un A atone salut (salùtem), avare (avarus),
parer (parâre), panier (panarium), savon (sap6nem),
asperge (asparagus), carré (quadrâtus).
ligueur remplacer partout les formes classiques par les formes popu-
aires; nous ne l'avons point fait pour ne pas dérouter l'esprit du
ecteur. En tout ):as, où se trouvent des mots tels que tabula, pënerc,
pôsitus, il faudra toujours lire et prononçer <a6'<s, pdn'r~ ~<h'<tu,
etc.
1. Pour éviter d'inutiles paroles, nous ne répéterons plus les mots
brefs, longs par nature, longs par position; nous nous bornerons a
séparer ces trois catégories par des tirets; le lecteur est averti une fois
pour toutes.
II. D'un originaire:
1" accen~Më lucarne (lucërna), lézard (lacérta);
20 atone Mayenne (Meduâna), parchemin (pergamé-
num), marchand (merca.ntem).
III. D'un icriginaire:
l" accentué langue (lingua), sangle (ctuglum),
sans (sine)
2" atone balance (btlâncem), calandre (cylindrus),
Angoulême (Iculfsma) ;-sanglot (stngùttus), Sancerre,
(Sincérra), paresse (pigritia), sanglier (stugulâris),
sauvage, vieux fr. salvage (stivaticus').
E.
1. Le lecteur a remarqué que j'accentue tous les mots latins, je l'ai cru
nécessaire, la place et l'importance de l'accent latin n'étant pas assez
connues chez nous.
Soit d'un A atone chenil (canile), parchemin (per-
gaménum) hermine (armënia).
III.D'unioriginaire:
Soit d'un i accentué trèfle (trifolium), sec (siccus),
ferme (firmus), cep (cippus), mèche (myxa), crête
(crzsta), Angoulême (Icultsma).
Soit d'un i atone.- mener (minare), menu (minùtus),
béton (bttùmen); devin (divinus), déluge (dtiu-
vium).
IV. D'une Prosthèse (voir ci-dessous, p. 432).
I.
Cette lettre vient du latin i, c, c.
1. D'un originaire:
Soit d'un i accentué sourcil (supercilium); ami
(amicus), ép~ (spica), épine (spina), ouïr (au[d]ire).
Soit d'un i atone lier (ligâre), image (imaginem),
ciguë (ctcùta~.
II. D'un E originaire
Soit d'un E accentue dix (décem), mi (médius),
hermine (Arménia); cire (céra), merci (mercédem),
tapis (tapëtum), six (séx), église (ecclésia), Venise (Ve-
nétia, Alise (Alésia), –tvre (ébrius).
Soit d'un E atone timon (temônem).
III. D'un c
Il serait inexact de dire que le c latin devienent i
français, ou plus généralement qu'une consonne de-
vient voyelle mais on a observé que la double con-
sonne et (factus, tractus), se change en français en i<
(fait, trait), sous l'influence de la voyelle précédente
traclare (trader}, factus (fait), étroit (stric<us), tectum
(toit), biscoctus (biscuit), lait (lactem), duit (ductus
réduit, conduit, produit, sédu:~ etc.). lit (lectum),
fruit (fructum), laitue (lactuca), voiture (vectura),
Potiers (Pictavi), pectorale (poitrail), droit, (Bas-lat.
Driclus de directus ~). Lorsque le et n'est point en
latin précédé d'une voyelle, cette double consonne se
change simplement en t punc~um (point), sanctum
(saint), unctum (oint).
0
Cette lettre vient du latin o, u, au,
I. D'un 0 originaire
Soit d'un o acceHfMé nom (nômen), raison (ratiô-
nem), pondre (pônere).
Soit d'un o a tone: obéir (obedfre), honneur (honôrem).
II. D'un u originaire
Acce~uë nombre (nûmerus), ongle (ûngula),
ponce (pùmicem), noces (nùptiœ).
savants tels que jMct (stric-
1. On ne doit tenir aucun compte des mots
tus), réduction, protection, etc. J'ai donne dans l'Intro-
<n<<Kcit'oK,
duction de ce livre les motifs de cette exclusion.
2. La forme /))';c<!M pour Directus est fréquente dans les textes latins
partir du cinquième siècle, et finit même par remplacer entièrement
cette dernière.
Atone ortie (urtica).
III. D'unAu originaire:
Accentue or (aurum), trésor (thesaurus), chose
(causa), clore (claudere).
Atone oser (* ausâre), Orléans (Aureliani).
IV. D'un N originaire
Dans un certain nombre de mots tels que époux
(sponsus), couvent (convéntus), Coutances (Constan-
tia), moutier (au treizième siècle moustier, au dixième
monstier, du latin monastérium), coûter (vieux' fr.
couster, du latin constare), l'u français provient
d'un n latin originaire.
Voyelles composées
AI
El
Cette voyelle composée vient du latin E, i.
I. D'un E
Soit d'un E accentué veine (véna), plein (picnus),
frein (frénum), haleine (haléna), Reims (Rëmi).
Soit d'un E atone seigneur (seniôrem).
II. D'uni: setng(stgnum),tetgne(ttnea),setn
(sinus).
01
Cette voyelle composée provient
Soit de l'attraction réciproque des voyelles o et i,
séparées en latin par une consonne: histoire (historia),
poison (potionem), témot'n (testimônium).
Soit d'un E long avoine (avéna), soir (sérus), crois
(crédo), toile (téla), voile (vélum), hoir (heres), etc.
Soit d'un i voie (via), soif (sitis), poil (pilus),
poivre (piper), pois (ptsum), foi (Hdes), poire
(pirum), etc.
UI
Cette voyelle composée vient du latin o puis (post),
cuir (côrium), muid (môdius), huître (ostrea), huis
(ostium)', cmre (côquere), hui (hodiè)', Le Puy (Po-
dium). Dans quelques autres cas, elle est le résultat
d'une attraction des voyelles latines u et i séparées par
une consonne juin (junïus), aiguiser (* acutiare).
EU, ŒU
ou
I. D'un o
Soit d'un o accentue couple (côpuia), nous (nos),
vous (vos), roue (rota).
Soit d'un o atone couleur (colôrem), fourmi (for-
mica), moulin (molinum), souloir (solére), douleur
(dolôrem), couronne (corôna).
II.D'unu.
Soit d'un u accentué coupe (cupa,), outre (uter),
Adour (Aturis), coude (cubitus), four (furnus), ours
(ursus), tour (turris), sourd (surdus).
Soit d'un u atone gouverner gubernârë), couver
(cubare), Angottlême (Iculfsma).
III. D'un L.
Ou n'est dans ce cas qu'unadoucissementde la forme
latine ol, ul: mou (mollis), cou (collem), écouter (vieux
fï'. escolter, lat. auscultare), poudre (pu~verem), soufre
(su~phur), pouce (pônicem), coupable (cu!pa.bilis).
IE,IEU
CHAPITRE H
0.1
ORIGINE DES CONSONNES FRANÇAISES
g,j.
j
b,v.
b, V. g, j,
i~ d,z(s).
d, Z (s).
(S~. g
§°
1, m, n, r
p.f.f. (((,k,c)ch.ch. t,s(x).
(Y).
SECTION T
6tI
LL
MM
NN
RR
I. D'un originaire
TR
Labiales (p,&[ph],u,w,)
p
Dulatinp:
7tn<ta! pain (panis), pré (pratum).
Mëdïan. couple (côpula), étouppe (stuppa), sapin
(sapinus).
Final Loup (lupus), champ (campus), cep (cip-
pus).
B
Z.
X.
Du latin x, s, c.
I. D'un x originaire six (sex), soixante (sexaginta).
II. D'un s originaire deux (duos), toux (tussis),
époux (sponsus), roux (russus), oiseux (otiosus), vineux
(vinosus).
c originaire:dix (decem), voix (vocem), noix
111. D'un
(nucem), aix (pacem), chaux (calcem), faux (falcem)
J.
Du latin j, g, t.
I. D'un originaire
7~tHa< Jean (Johaunes), jeûne (;'ejunium), jeune
(jùvenis).
MëdtatT. parjure (per/urium).
II. D'un G jouir (gaudere), jumeau (gemellus),
jaune (~âlbinus), Anjou (Andegavi).
III. D'un i Jérusalem (H!erosolyma),~our (diur-
num), Jérôme (Hieronymus),goujon (gobionem), Dijon
Dibionem). Sur le changement de i en j, voyez p. 115.
SECTION IV
C.
§ t. C dur.
2. c doux.
Q.
CH.
Du latin h; c dur, q, v, n
I. D'un G originaire
7m<ïa< gencive (gingiva), géant (gigantem), geindre
(gémere).
Medt'aTt .large (largus).
II. Des diphtongues ta, io ea, eo.
j
Chez les Romains, l'i et le n'avaient à l'origine
qu'un seul et même son Quintilien nous l'affirme,
et cette indécision a longtemps persisté dans l'écriture
les anciens manuscrits comme les livres imprimés
jusqu'au milieu du dix-septième siècle confondent l'i et
le j, et ce n'est qu'en 1750 que l'Académie reçut le j
dans son dictionnaire comme une lettre nouvelle.
C'est ainsi que l't latin a pu dans certains cas de-
j
venir en français (ou g doux, ce qui est la même
chose); TJieroso~t/ma, simia, diumMS, ~mdëmia, ont
donné Jérusalem, singe, jour, ~e~da~ge, preuve évi-
dente que le peuple prononçait Hjeroso~ma, Stmja,
djumus, "umdemja. Ceci posé, on voit clairement
comment pipionem, tibia, rabies, D~btû~em, dilu-
mum, cambiare*, abbremare, sontdevenus respective-
ment pigeon, tige, rage, Dijon, déjuge, changer, abré-
ger, etc. Il s'est opéré dans ces mots deux transforma-
tions successives 1" le changement de l't en j, ou
comme disent les Allemands, la conso~?u/tca<ton de
l't.'ptpton.em, tibia, ra&tes.Dtbzot~e~ït,diluvium, cam-
biare, abbreuiare ont été prononcés ptp~'ottem, tibja,
rabjes, Dibjonem, diluvjum, cambjare, abbrejare.
2<' Ce changement de l'i en j, amène la rencontreet le
Du latin/t, f.
I. D'un H originaire homme (hôminem), hier (heri).
hui (hodiè, dans aujom'd'huz).
II.'D'un F: hors (foris), hormis (foris-missum).
Habler ne vient point directement du latin. mais de
l'espagnol hab~ar (fabula.ri)', et ne remonte qu'au
seizième siècle.
II
en
1. L'f latmsuivt
au commencement des mots: /'H&M/aj't, ou /&
d'une voyelle, devient toujours espagtio),
a donne A~&r
comme offert, /'tt6a, formica ont donné les mots espagnols /<a<;<'r,
/i.iO)'Mi;)MM.
7.
CHAPITRE 1
SECTION 1
Voyelles accentuées.
Voyelles atones.
CHAPITRE II
SECTION 1
SECTION Iï
Dentales (t, d, z, s).
S, Z, X
Gutturates(c,ch,ch,q,h).
J
Voir p. 1H.
II
Voir p. 117.
Cette lettre tombe souvent au commencement des
mots /~abëre (avoir), homo (on), hora (or), hôrdeum
(orge), oui (vieux fr. oïl, latin ho[c]-illud).
SECTION IV
Labia]es(p,!),f,p~t;)
F, Ph
Voir p. 107.
V
De la transposition on métathèse.
II
CHAPITRE 1
§ 1. Voyelles.
§2. Consonnes.
CHAPITRE II
CHAPITRE III
CHAPITRE 1
CHAPITRE II
i. Pa~es 1M-)2I.
'<abanus, et on les nomme alors consonnes médianes,
ou bien elles sont suivies d'une autre consonne
comme b dans submtssum ce sont les consonnes
non-médianes.
CHAPITRE 111
PROSODIE
2. Accent grammatical.
§ 4. Accent provincial.
DÉCLINAISON
SECTION ï
Substantif
§i.Cas.
SINGULIER.
rdsa muru-s murs pasfo)' pâtre'
rôse
rose
)'ôsam muru-m– mur pasMrem pasteur
PLURIEL.
rasa rosés
mûri mur pasMres pasteurs
t'osas mup'os murs pasMres pasteurs
SiXGCLIER. PLURIEL.
mals (malus) mal (mali)
mal (malum) mals (malos)
SINGULIER. PLURIEL.
maus (malus) mal (mali)
mal (matum) maus (malos)
abbas–abbe, dbbatem–a.bbe
y'Hco–fauc, /atc(inem–faucon
M'ro–icrre, !a<)'()'!em–[arron
serpcns–serpe serpëntem–serpent
<n/ans enfe, tn/'antem enfant etc.
§.3. Nombres.
i.Littr<S,n.3a7.
et La Fontaine la gen.( trotte-menue. /hT.c6h'c a été
employé au singulier pendant tout le moyen-âge, et
plus tard par Voltaire, Montesquieu et Chateaubriand.
Il en est de même du mot pleurs: Bossuet disait en-
core, comme au dix-septième siècle: le pleur éternel.
SECTION tl
Article
StN&ULIEK.
Mascu!tn. Féminin.
Sujet: ~;t-)i.i. Illa-la.
Régime: Illum-le. Illam-la.
PLURIEL.
MtMCuHn. Féminin.
Sujet: /;ii-ti. Illa 1
les.
Régime; Illos-les. Illas
On disait, en distinguant soigneusement le régime
du sujet
I. rage M.
les (illas). Telle est l'origine de notre article mo-
derne'.
Combiné avec les prépositions de, à, en, l'article
masculin a donné en vieux français
SiN&ULiER del (de le), al (a lé), enl (en le),
qui sont devenus respectivement del, deu, dit, al,
au, par l'adoucissement de en
u (voyez ci-dessus
,p. 99). Enl a disparu du français moderne.
PnjniEL dels (de les), als (à les), es (en les),
-dels et a!s sont devenus des et aux. Quant à la com-
binaison es (en les), elle a disparu de notre langue,
non sans laisser quelques traces, telles que math'e-ès-
arts, docteur-ès-sctences, ès-ma~ns, Saint Pten'e ès-
liens, etc.
Adjectif
CHAPITRE 1
ADJECTIFS QUALIFICATIFS
§l.CasRtnombres.
SINGULIER.
Sujet: bon-tts=bon-s
Régime bon-um=bon.
PLURIEL. w
Sujet: bon-i=bon
Régime bon-os=bon-s.
I.roj/.pasesliC-ISS.
{2. 2. Genres.
NOMS DE NOMBRES
i. Nombres cardinaux.
Unus et Duo, déclinables en latin, suivirent dans
notre ancienne langue les mêmes vicissitudes que les
substantifs et les adjectifs qualificatifs. Ils eurent,
comme eux, deux cas jusqu'à la fin du treizième siècle
SECTION IV
Pronoms.
PRONOMS PERSONNELS
1. jWo: (mî), toi (tibi), soi (sibi), étaient au onzième siècle mi,.ti,
si. C'est par l'adjonction du safnxe'ot a cette forme ancienne qu'ont
été formés les pronoms possessifs mt'-en, ti-en, si-en. Tout au
contraire de l'usage moderne, les pronoms possessifs étaient suivis,
au moyen âge, de l'objet possédé on disait le mien frère, la miotMe
terre, un tien vassal, etc. Celte règle disparut au quatorzième siècle
il nous en reste quë!ques traces dans les expressions suivantes tt?t
mien cousin, le tien propre, une sienne tante, etc.
2. 7~o~ a aussi donne eux, qui était els au treizième siècle, et plus
anciennement i~.
10.
que nous disons, par une faute étrange, mo~ qui lis,
toiqui chantes, lui qui vient, mettant ainsi le régime
à la place du sujet, l'ancien français disait correc-
tement je qui lis (ego qui lego), tu qui chantes (tu qui
contas), il qui vient (ille qui venit), etc. C'est seu-
lement à partir du quatorzième siècle que s'obscurcit
la distinction du sujet et du régime et que la confu-
sion commence; nous n'avons plus aujourd'hui de
forme spéciale pour le sujet, puisque dans certains
cas nous le rendons je, tu, il, dans d'autres par moï,
toi, lui. Un débris de l'ancien usage est resté dans
la formule de pratique Je, soussigné, déclare.
Bien que la formation des pronoms personnels
n'offre aucune dimculté, nous dirons quelques mots
de leur origine et de leur développement
1° JE et ego qui semblent si fort éloignes l'un de
l'autre, ne sont qu'un seul et même mot. Je est jo
dans les textes du treizième siècle, Villehardouin, par
exemple; au dixième siècle, il est io, et nous ne
trouvons plus que la forme eo dans les fameux ser-
ments de 842: eo sa~arat cest meon /radre R'aWo (ego
salvàbo eccistum meum fratrem Karolum). E(g)o a
perdu g et est devenu eo, comme li(g)o est devenu lie,
ne(g)o nie, 'ni(g)ella, nielle, </t(g)aM<em, géant, etc.
Quant au changement de eo en io, les exemples en
sont fort nombreux ~o est devenu jocommeDi-
~io~em est devenu Dijon, et gobionem, goujon. Sur
le changement très régulier de i en j (voir page 115).
1. Cette forme ent est restée dans le mot MMMMt, qui vient du latin
~K~C.
2. Dans les Serments de 842 t'n )it<~a~'K[MscO)t<s to<«)!~c;<y
nun << iv <)' a, c'est-à-dire en latin du temps « <H tm~am adjutam
coM~N Z.H~o);t'cuM non illi ibi ero. 9
CHAPITRE II
PRONOMS POSSESSIFS
SINGULIER.
Sujet: Meus-mis, mea-ma
Régime ]Ileum-mon, meam-ma.
PLURIEL.
Sujet: lllei-mi, meae-me
Régime: Meos-mes, meas-mes*.
Au quatorzième siècle la déclinaison s'effaça (pour
des causes que nous avons exposées ailleurs), et les
sujets mis (meus), mi (mei), me (meœ), disparurent,
cédant la place au régime mon (meum), ma (meam),
mes (meos).
A côté de ce changement nécessaire et régulier, se
produisit au quatorzième siècle une perturbation gros-
sière l'ancien français, à l'imitation du latin, avait un
pronom distinct pour chaque genre; mon (meum) était
exclusivement réservé pour le masculin, ma (meam)
pour le féminin; devant les substantifs féminins qui
commençaient par une voyelle, ma devenait m',
comme l'article la devenait l'; on disait m'espérance
pour ma espérance, comme on dit ~espérance pour la
a
l'oreille d'un homme du douzième siècle l'aurait été
M
d'entendre mon espérance. Seulement remarquons
« que la logique
grammaticaleestpourlui,etquenous
n'avons pour nous quelasanctionbrutaledel'usage.
« A qui remonte vers l'antiquité, la logique gram-
« maticale se montre de plus en plus sûre et exacte;
cc ce qui ne veut pas dire qu'une langue qui, en che-
« minant, fait nécessairement des pertes de ce
côté,
« ne puisse les compenser et au
delà par d'autres qua-
« lités. Ce qui ne veut pas dire non
plus que je pro-
teste contre l'usage actuel et qu'en grammairien
« inexorable je désire qu'on efface le
solécisme et
« qu'on restitue l'ancienne régularité 2.
PRONOMS DÉMONSTRATIFS
CHAPITRE IV
PRONOMS RELATIFS
CHAPITRE V.
PRONOMS INDÉFINIS.
CONJUGAISON
Préliminaires
1.etc.
as,
«< ait, ions, tes, aient représentent eu français le latin a~M,
~atme, je croi, je voi, je tien. Au quatorzième siècle
s'introduisit l'habitude irrationnelle (puisqu'elle n'est
point fondée sur l'étymologie) d'ajouter un s à la
première personne et de dire je viens, je tiens, je
vois. On trouve encore dans Corneille, dans Molière,
dans La Fontaine, et dans Racine la forme correcte
je croi, je voi, je tien, et Voltaire disait au dix-hui-
tième siècle
La mort a respecté ces jours que je te doi
(Alzire, 11, 2.)
11.
SECTION 1
Verbes auxiliaires.
CHAPITRE I
ËTKE
1. On trouvera peut-être que j'ai trop insiste et trop cité pour prou-
ver qu'être et esscre sont un seul et même mot. J'ai voulu réfuter
dcnnitivement une erreur très-répandue et qu'on trouve reproduite
partout, savoir qu'être vient du tatiu stare. Comment stare eùt-il
pu devenir être puisqu'en latin l'accent est sur sta (~are). D'ailleurs
comment stare s'accorderait-il avec le provençal esser, l'italien essere,
l'espagnol et le portugais ~er ? Enûn on sait d'une manière précise
que stare a donne en français e~er, et il n'a pu donner autre chose.
On dit ester eu justice (stare in justitia). Ester est encore demeuré dans
quelques composés, tels que rester (re-stare); arr~cr, en vieux fran-
çais arrester (adrc-stare).
2. M. Littré (/<. t< h langue française, II, 201), et après Id
l'ancien français en possédait un second, tirédirecte-
ment du latin: j~referam), tu ères (eras), il ert
(erat), etc. Cette forme disparut au quatorzième
siècle.
VI. PASSÉ DËFtxi. Du temps correspondant en
latin.
Fus, en ancien français fui (fui), fus, vieux fran-
çais /T.(is (fuisti), fût (fuit), /umes (fuimu& l'ac-
cent circonflexe dans ce motest une erreur du seizième
siècle et une faute contre l'étymologie), y&tcs, an-
cien français fustes (fuistis), –t.tre?it (fuerunt).
VII. FUTUR ET CONDITIONNEL.
Serai, ancien français esscrat. Notre futur étant une
composition de l'infinitif du verbe et de l'auxiliaire
avoir (enmcrat, amare habeo), Esserai représente
essere-habeo (esser-ai).
Il en est de même du conditionnel serais qui, au
douzième siècle, était esserais. Sur la formation du
conditionnel, voyez p. 187.
VHf. SUBJONCTIF PRÉSENT. Du temps correspon-
dant en latin.
Sois, ancien français soi (sim), sois (sis), -soit
(sit), soient (sint). Les formes soyons, sot/e~
viennent de Sta?Ttus, Stâ~ts, et non desh~us, sifts (qui
n'auraient pu donner que so~ns, soiz).
CHAPITRE II
AVOIR
SECTION U
SECTION III
PREMIÈRE
CONJUGAISON.
"CONJUGAISON.
I
DEUXIÈME CONJUGAISON.
CONJUGAISON.
INDICATIF PRÉSENT.
–.0o –e
o –M
–h –ss –.isc.o.e~e-o–is
–is –eo –s
–sst
–M
–atamas
–M
–et,ee –Mit
–s
–tt –itissons
~t
–M
ome~~ 0119 imus ans cmus ons
–atis –M –itis –M –issez –etis –cz
–ant –eut –iunt –eut –issent –ont –ent
IMPARFAIT.
_abam –eM,ofc,ais–iébam
–ais –iebas
–oi'e,ais
–ais
–isc-cbam –issais
–iss-ais
–ebam
–ebas
–o~,ais
–ais
–abas
_ubat –ait –iebat –ait –iss-ait –chat –ait
abamns ions iebàmas ions iss-ions cbamns ions
_aba.tis –iez .–iebàtis –iez –iss-iez –ubatis –iez
–abant –.aient !–iebant –aient –iss-aieut –cbant –aient
PARFAIT.
–avi `
–at –ivi –<,isis –Mi –t.is
–avisti –as –ivisti –isis n
–cvisti –isis
–avit
avimus
–at,aa
âmes
–ivit
ivimus
–itïmes
it
n
o –cvit –itîmes
it
n evimua
avistis a~~e~, aies ivistis ites H evistis ïtcs
averunt. erent iverunt iront overunt iront
–cm
–es
–et
–emns
–etia
–e
–M
–c<,ee
–MM
–iez
–iam
–iaa
–iat
–iamns
–iatis
–c
SUBJONCTIF PRÉSENT.
e
–es
–et,ee
–MM
–iez
–isc-am –isse
–isses
–isse
–issions
–eam
–eas
–eat
–camas
· –cc
–M
–e~c
–MM
e
–issiez –eatis –iez
cnt ent iant ent issent eant ent
IMPARFAIT.
avissem a~~e, as ivissem isse n
H H evissem isse
avisses asses ivisses isscs evisses isscs
–avisset –<m<,at –ivisset –~t,itit
ivissémus issions
')
niJi
n
H –evisset –it
it
avisscmus assions H 0 evisscmus issions
avissétis assicz ivissetis issiez n evissétis issiez
–avisscnt –assent –ivissent –issent o –evissent –issent
IMPERATJF.
Remarques.
I. INDICATIF PRÉSENT.
C'est à tort qu'on ajoute s à la première per-
sonne (dans la deuxième' et la troisième conju-
gaison), pars, rends. Cettre lettre, contraire à l'étymc-
logie (video, réddo), n'existait point dans l'ancien
français, qui disait je rend, je voi, conservant avec
raison la lettre s pour caractériser la deuxième per-
sonne du singulier, tu rends (reddis), tu vois
(vides).
Sur l'origine de cet s à la première personne du
singulier, voir ce qui a été dit plus haut (p. 188).
Le t caractéristique de la troisième personne du sin-
gulier, amat, videt, legit, audit, persista dans
l'ancien français, auT:ei', il voit, il Ii~, il ouït. Par
une de ces inconséquences dont notre langue n'offre
que trop d'exemples, ce t étymologique disparut de la
première conjugaison (il aime), tandis qu'il persistait
dans les autres (il lit, voit, ouït).
La première personne du pluriel amam/MS était à
l'origine non pas aim-ons, mais a~m-omcs. Plus tard,
toutes ces désinences en ornes s'assourdirent en.ons,
et le seul débris qui en soit resté dans la langue mo-
derne est sommes (sumus), qui aurait dû faire sons,
comme aim-omes fait aim-ons.
La troisième conjugaison latine (légère), avait fortes
la première et la deuxième personne du pluriel <egî-
mus, légitis, qui auraient, dit donner ~mes, lites, et
non ~tsôns, h'séz, qui sont des formes faibles. C'est à
tort qu'on a accentué la terminaison et prononcé !e~ï-
mus, legitis, qui dès lors ont donné lisons, lisez. Di-
tes (dfci'tis), et faites (facitis), qui apparaissent comme
des exceptions dans notre conjugaison moderne, sont
au contraire très régulièrementformés. Notre ancienne
langue avait aussi forte la première personne du plu-
riel de ces mêmes verbes, dîmes (dicimus), au lieu de
disons, et /atmes (facimus), au lieu de ymsons.
II. IMPARFAIT.
.4&am devint en français suivant les dialectes (et en
allant du midi au nord) ève, oie, eie, oue. C'est ainsi
qu'amabam était en dialecte bourguignonam-éue, en
dialecte de l'Iie-de-France ou français a'o~e, en dia-
III. PARFAIT.
Cat~âuz, caH~auit, caK~auïmMS, ont donné réguliè-
rement chantai, chanta, chantâmes. Chantas, chan-
V. SUBJONCTIF PRÉSENT.
Le t qui existait en latin à la troisième personne du
singulier, am-et, dôrm-t'a~, yëdd-af,etc. et qui a
disparu en français aime, donne, t'e?~e, etc. exis-
VI. IMPARFAIT.
Ici, comme au parfait de l'indicatif (§ III), la
forme française vient de la forme contracte latine
atm-asse ne vient point d'am-autssem, mais d'am-
asser.
VII. IMPÉRATIF.
La deuxième personne du singulier est formée sur
l'impératif latin, ama (aim-e), /m-t ~8ni-s), etc.
Les autres personnes sont ordinairement emprun-
tées à l'indicatif.
VIII. INFINITIF PRÉSENT.
Aux détails donnés dans la section II, ajoutons que
quelques infinitifs latins en ëre (forts par conséquent),
ont donné en ancien français des infinitifs forts, et
en français moderne ces infinitifs faibles. Ainsi cur-
rerc, quœrerc, /rëmere, réméré, tmprtmfîre, ont
donné en vieux français courre', guerre, yrcïn.drc,
gcmdro, empret~d?'e, et en français moderne courtr,
Quërï)', /'rëmM', ~ë?Tnr, ùnpruner; lesformes modernes
proviennent comme on le voit d'un déplacement fautif
de l'accent latin.
X. PARTICIPE PASSÉ.
Tous les participes passés des verbes dits réguliers
sont faibles a~m-é (am-atus), nn-i (/tH-itus), etc.
Le petit nombre de participes forts qui existe en fran-
çais moderne appartient exclusivement aux verbes
irréguliers.
A l'origine, tous les participer passés qui étaient
forts en latin, avaient conservé chez nous la forme
forte ainsi ueitdre (vénd-ere) avait pour participe vent
(véndîtus), et non pas vend-u. Plus tard on affaiblit
ces participes forts en leur adjoignant la finale u qui
était la marque du participe faible dans la troisième
conjugaison.–Ces formes fortes disparurent alors de
la conjugaison, en tant que participes passés, mais
SECTION Il
Dérivation
CHAPITRE I
1. ESTER.
Usité seulement à l'infinitif, dans quelques formules
j udiciaires ester en jugement (poursuivre un procès,
intenter une action). « La femme ne peut ester en
jugement sans l'autorisation de son mari (article 215
du code Napoléon, » Ce verbe qui vient du latin stare
(cf. ci-dessus, p. 193), est resté en composition dans
Contra-stare (contraster), Re-stare (rester), ~4d)'e-sta?'e
(ar)'ete)', vieux français arrester), et dans les participes
constant (con-stare), distant (di-stare), instant, non-
obstant (in-stare), ob-stare). Le participe passé esté
(status) a été emprunté par le verbe être et contracté
en été. (Voyez ci-dessus, p. 192.)
1. Les verbes qui sont aujourd'hui défectifs avaient dans l'an-
cicnne langue tous leurs temps et toutes leurs personnes aussi la
qualité de défecttf n'est-elle pas un véritable élément de classification
c'est la un accident /~<o?'~Me qui frappe des verbes de toutes les
conjugaisons.
2-TissEnetTiSTRE.
Ces deux mots viennent l'un et l'autre de <cx~'e.' la
forme forte tistre (téxëre), qui était celle de l'ancien
français, a disparu, mais en laissant son participe tissu
(qui vient de tistre), commerendu de rendre. La forme
faible tisser (téxëre), qui est une violation à la loi de
l'accent latin, et un mot moderne, a prévalu, tout en
adoptant le participe passé de la forme forte.
3. FAILLIR.
Les trois premières personnes du singulier, je faux,
lit faux, il faut, sont presque tombées en désuétude,
et nous devons le regretter: elles sont restées dans
les expressions le cœur me/aut,–au bout de l'aune
faut.le drap, c'est-à-dire au bout de l'aune finit, man-
que le drap (toutes choses ont leur fin).
Le futur et le conditionnel /aud?'a! faudrais, sont
également oubliés, et tendent à être remplacés par
les composés faillir-ai /'a!<H?'-aM. C'est ainsi qu'on
commence à dire « je ne faillirai point à mon de-
voir, » pour « je ne faudrai point à mon devoir ».
4. FÉRIR.
Du latin ferire, frapper. II est resté dans l'expression
sans coup férir « d'Harcourt prit Turin sans coup
férir. ') L'ancienne langue conjuguait complètement
/crt'r, et disait à l'indicatif présent je fier (fério), tu'i
fiers (féris),il /!e)-t (fërif), etc. à l'imparfait/ë?'ats
9. BRAIRE.
N'est usité (dit l'Académie) qu'à l'infinitif, et aux
troisièmes personnes du présent de l'indicatif (brait
braient), du (futur braira, ôraù'o?~), du conditionne
(brairait, bratrate~). M. Littré trouve avec raison que
cet arrêt de l'Académie est trop sévère, et propose-
d'employer toutes les formes du verbe, qui existaient
en vieux français (il brayait, il a brait, etc.). Braù'e,
qui vient du bas-latin bragire (dont l'origine est obs-
cure), avait dans notre ancienne langue le sens gé-
néral de crier, s'appliquant aussi bien à l'homme
qu'aux animaux, et c'est tardivement que ce sens
s'est limité au cri de l'âne.
10. FRIRE.
Du latin /?'t~ere. Ce verbe possède encore tous ses
temps (fris, frirai, frit, etc.), sauf l'imparfait /rtaM,
le participe /Want, le subjonctif /ne, et les trois per-
sonnes du pluriel de l'indicatif présent, /rïons, /)'tc~,
yrtâtent (comme rire fait rtons, riez, etc.). Toutes
ces formes existaient en vieux français.
[1. CLORE.
Du latin ca!udere; le vieux français c!orre, possédait
encore le d (sur le changement dr=rr voyez p. 127).
C!os, clorai: vieux français closais, closant.- Les
composés sont éclore (vieux français, es-clore de ex.
claudere), enclore (inclaudere), et l'ancien français
fors-clore (foris claudere). Le latin claudere devenu
cludere dans exc!udcre,conc!udere,rec!udefe,adonné
sous cette forme le français cxc<Mre,co~chtre,recoure
(dont nous avons conservé le participe passé reclus,
recluse).
12. SOUDRE.
Ancien français soldre, du latin sôluere, comme
moudre du latin mô!ere. Le participe p. était sous. Les
composés absoudre (ab-solvere), dissoudre (dis-sol-
vere), résoudre (re-solvere), font de même au parti-
cipe ab-sous, cHs-sous; résous a fait place à résolu,
mais il est resté dans l'expression brouillard résous
en phtie. (Acad.)-
13. SOURDRE. -<
Du latin surgere. Le participe fort, source (nous
l'avons vu p. 213), est resté comme substantif, et a
pour composé ressource.
t4. TRAIRE.
Du latin tràhere. Ce mot avait dans notre ancienne
langue le sens du mot latin, et ce n'est que tar-
divement qu'on en a restreint l'usage à l'action de
tirer le lait. Composés abs~au'e (abs-t.), e~h'aire
(ex-t.),sous<)'aM'e(subtus-tr.).L'anciennelangueavait
en outre porh'aù'e (pro-tr.), re<?'at're (re-t.), attraire
(ad-t.), dont les participes nous ont donné les sub-
stantifs portratt, retrait, retraite, et l'adjectif at-
<)'a~a?it.
15. PAITKE.
Vieux français paMh'e, du latin pâsco'c. Le participe
pu est resté en langage de fauconnerie (un faucon qui
a pu), et dans le composé repu (!'cpa!tre).
16. SOULOIR.
Du latin solérc. Ce verbe qui avait tous ses temps
dans notre ancienne langue, est usité aeulement à la
troisième personne de l'imparfait de l'indicatif: il sou-
lait, c'est-à-dire avait coutume. La Fontaine disait
dans son épitaphe:
14. FALLOIR.
Sur ce mot venant de fallcre, et ayant la même ori
gine que faillir dont il ne diffère que par la conju-
gaison, voyez p. 2t7.1.
18. CHALom.
Du latin caMre. Il n'est plus employé qu'à la troi-
sième personne du singulier du présent de l'indicatif:
il ne m'en chaut, il ne m'importe pas, cela ne me
soucie pas on le trouve encore dans La Fontaine, Mo-
lière et Pascal: « Soit de bond, soit de volée que
nous en chaut-il, pourvu que nous prenions la ville de
gloire (le paradis). » [Proumcîates. Lettre IX.]' Dans
l'ancienne langue, chaloir avait tous ses temps (chalait,
chatut, chaudrai, chaille, chalu).
49. CHOIR.
En vieux français chéoir, et plus anciennement
chaer, caer et cader, du latin cadere, faussement ac-
centué encadë?'e(commenousl'avonsvup.202).Iln'est
guère employé qu'à l'infinitif. L'ancienne langue le
conjuguait en entier (chois, chéais, cherrai, chut,
créant, chu). Le dix-septième siècle employait encore
le futur cherrai: Tirez la chevillette, et la bobinette
cherra)) (PERRAULT),–le prétérit chut; «Cet insolent
chut du ciel en terre (BOSSUET. Dëtnon. Il, 2), –le
participe passé chu:
20. SEOIR.
Vieux français seoir, et plus anciennement sedeir
latin sedere. Les participes séant (sedentem), sissise
(situs, sita), sont encore employés. Composés
asseoù'(ad-sedere),?'asseoM'etsurseot)'(super-sedere).
Bien-séant, mal-séant.
CHAPITRE II
VERBES ANOMAUX
5. MOURIR.
Du latin morire, qui de verbe déponent, a pris la
forme active pour passer en français, comme nous
l'avons vu page 185.
5. VIVRE.
Du latin vivere. Le parfait vécus, vieux français
vescus, vesqui est singulièrement anormal.
7. BOIRE.
Vieux français boivre, du latin bibére.
8. VOIR.
Ancien- français véoir (Yi[djëre), forme qui montre
m:cux la puissance de l'accent latin, et la chute de la
13.
consonne médiane d. On trouve même dans les textes
français du onzième siècle la forme ueden'.
l.e futur était en vieux français ~ou'-at, et cette
forme préférable à uen\M est restée dans les com-
posés pour-voirai, prë-~ou'at, etc. Il semble de
prime abord que vis (vidisti), curies (vidimus), vîtes
(vidistis), visse (vidissem), violent la loi de persis-
tance de l'accent latin; il n'en est rien, comme le prou-
vent les formes de l'ancien français ~ëzs vi(d)isti,
~ëtmes vi(d)imus, véistes vi(d)istis, véisse vi(d)is-
sem, etc. Il en est de même de tms (tenuisti),
vins (venisti), tinsse, umsse, qui ne sont point des
exceptions à la règle de l'accent tonique, mais les con-
tractions des formes régulières du vieux français tous
(tenuisti), venis (venisti), tenisse (tenuissem), M?usse
(venissem).
9. MouvoiR.
Le latin ]-)i.ouere avait donné à l'origine la forme
mouue}', encore usité dans les provinces du centre de
la France, au lieu de moMuon'.
10. SAVOIR.
Ancien français saver, du latin sapére. Cette forme
sauo' donna le futur saver-ai qui, contracté plus tard
en saurai, devinj, au quatorzième siècle saurai, comme
/tabe?-e a donné aucr-at, puis avrai, et atf.t'at.
11. VALOIR.
Du latin valere. Le participe présent uat~ant est
resté comme adjectif.
12. ÉCRIRE.
Le vieux français escrivre conservait le b final du
latin scribere. Toutes les formes anomales, telles
qu'écrivons (scribemus), écrivais (scribébam), sont
étymologiques et proviennent des formes correspon-
dantes en latin. Les composés sont décrire, circon-
scrn'e, preso'ù'e, proscnfe, souscrire, tt'a~scnre.
)3.NAiTRE.
'Le latin vulgaire tranforma, comme on l'a, vu, p. 185,
les verbes déponents en verbes actifs; nasci devint
ndscere, qui donna naître, comme pdscere avait donné
paître. La forme barbare nascivi donna l'ancien
français ~as~Ut's, aujourd'hui na~rns.
Verbes en ut)'e'.
14.
Dutrc (ducere). Sur ce modèle, il faut compter
conduire, cléduire, induire, réduire, traduire, pro-
duire, introduire, cuire (côquere), nuire (nôcerc),
!utre (lucëre), et les composés de sh'uù'e (struere)
construtre, instruire, détruire (destruire).
15. Verbes en ndre.
Les verbes en ndre et dans lesquels le d n'appar-
tient point au radical latine par exemple cctKdrc (cin-
gere), rejettent ce d au présent de l'indicatif (ceins,
ceint, ceignons, etc.), et ont un participe passé fort,
1. Tous ces verbes ont le parfait faible, ce qui nous empêche de les
ranger parmi les verbes irréguliers.
2. Ainsi le d de fc/tf/rc (t'cdderc), appartient au latiu celui de ccNtc/)'<]
(cingëre), ne lui appartient point.
ceint (cînctus), qui garde le t latin. Sur ce modèle
se conjuguent cteindre (extinguere), ëh'emdre (strin-
gere), contraindre (constringere), astreindre (astrin-
gere), restreindre (restringére), feindre (ûngerë),
en/'remdre (infringere), perdre (pingere), p~amdrc
(plangere), teindre (tingere), atteindre (attingere),
joindre (jungere), conjoindre, disjoindre, enjoin-
~c, –omdre (ùngere), poindre (pungere), ëpremdre
(exprimere), emp)'emd!'e (imprimerel, geindre' (ge-
mcre).
PARTIE III
PARTICULES
SECTION Ï
Adverbes
CHAPITRE I
ADVERBES DE LIEU
ADVERBES DE TEMPS
1. On voit combien le mot hora sous l!t forme ore, or, est fréquent
d~ns nos locutions advcrbiables or, !0fx (l'ore), alors (!t l'ore), «M-
ormn~ (des ore mais), dorénarant (d'ore en avant), encore (anc
ore), etc.
français Jà ne le ferai mats, c'est-à-dire Dès à
présent, je ne le ferai plus.
SOUVENT (de submde, qui avait le même sens dans
le latin populaire sur le changement de indè (ent)
cf. p. d75.
Et tandis, il m'envoie
Faire office vers vous de douleur et de joie.
CHAPITRE III
ADVERBES DE MANIÈRE
ADVEhBES D'INTENSITÉ
Pis (pe;us).
CHAPITRE 1
CHAPITRE III
CHAPITRE IV
i. ch]Y.. in. Mo
CHEZ, vieux français chez.La locution latine in ca.sa
devint dans notre ancienne langue en chez; on disait
au treizième siècle est chez Gautier (est in casa
Walterii). La préposition en disparut au quatorzième
siècle, et l'on dit comme aujourd'hui il est chez
Gautier.
FAUTE, du substantif de même forme.
Vis-A-vis (visus ad visum). Vis veut dire visage
dans notre ancienne langue uzs-à-Uts signifie litté-
ralement face à /'ace.
MALCrRË, vieux français mal gré, de mal (malum',
et de gré (gratum). Ma~-grë est donc synonyme de
Tttauuais gré.
A CAUSE DE, A COTE DE, formés à l'aide des sub-
stantifs cause et côté.
CHAPITRE VI
CHAPITRE VIII
SECTION III
Conjonctions
CONJONCTIONS SIMPLES
CONJONCTIONS COMPOSÉES
CHAPITRE III
LOCUTIONS CONJONCTIVES
SECTION IV
Interjections
SECTION t
Composition
CHAPITRE II
CHAPITRE 111
COMPOSITION DE PHRASES
CHAPITRE VI
F.3MPOSITION DES PARTICULES
§ t. Particules prépositionnelles
IN (fr.
en, em)
Ensemble (vieux français ensemle, latin in-simul),
PRO. (fr.
por, pOMr)
Poursuivre, pourchasser, portrait (protractus).
RE.–(fr.rë,re,r'):
Réduire (reducere), répondre (responderc), recueillir
(recolligere), etc. Composés nouveaux rebuter
(but), rehausser (haut), réunir (un), rajeunir (jeune),
renverser (envers), de ré-chef, etc.
RETRO. (fr. rtere)
Dans notre ancienne langue, retro donna rtO'e
(comme pe~ra a donné pierre); cette forme a persisté
dans am'ere (ad-retro), préfixe qu'on retrouve dans les
composés tels qu'arr~ére-oan, arrière-boutique, ar-
rtere-neueu, etc.Rëtroactt/, rétrocession, etc.
sont tous des mots modernes.
Bis.–(fr.M,M:
Bévue (le sens originaire de ce mot est double-vue)..
La forme savante est bis biscuit (&ts-coctus), bis- °
NON.–(fr. non).
Nonpareil, nonchaloir (ce verbe qui nous est resté
dans le participe présent, noncha~an~, est un compose
du verbe chaloir que nous avons étudié aiHeurs').
IN.–(fr.en):
Enfant (in-fantem). La forme savante est m inu-
tile.tndëcis.
Dérivation
CHAPITRE I
CHAPITRE II
SUFFIXES NOMINAUX
calcarium,.
1 Forme savante aire
calcaire, etc.
scolaire (scolaris), séculaire (sfecuts)'~
forme française eût été ëe, comme on Je voit par cas-
cade (caballicata) et c/teuauc~ëe, estrade et estrée
(strata) escapade (de l'ital. scappata) et échappée
ASTER. (fr. âtre).
Ce suffixe qui ajoute à la racine une idée de dépré-
ciation, a donné en français de. nombreux dérives
inconnus à la langue latine bellâtre, douceâtre,
gentillâtre, opinia<re, marâ~'e, parâtre, etc.
ACEM. (fr. ai).
Veracem (vrat),ni[d]acem (niais); etc. La forme
savante est ace tenace, rapace, vivace, etc.
ELA.– (fr. elle).
Chandelle (candéla), querc~e (queréla), tute~e (tu-
te~a), etc.
ELIS. (fr. el; al).
Cruel (cru[d]élis), féa! (fi[d]élis).
ELLUS. (fr. el, eau).
Jumeau (geméllus), beau (bé~us), etc.
ENSis. (fr. ois, ais, is).
Lés dérivés latins tels que /'orertSM, hortensis, ne-
morensis, etc.
n'ont rien donné au français, etnotre
langue n'a employé ce suffixe que pour les mots de
formation nouvelle courtois, bou)-geo!'s, matois, har-
nois, marquis, etc. Nomspropres:0rléaha!'s, (Aurc-
lianénsis), Carthaginois (Carthaginiénsis); etc.
SUFFIXES \ERBA~
ARE(fr.e)').
Chancèle, grommèle, harcèle,
TfARE (fr.
ccr, ser).
Formes particulières au latin vulgaire tracer (trac-
tiare), sucer (such'aré); chasser (capHare).
1. On a vu. p. )47, que tous les déponents eut pris dans le 6ns
latiu la forme ttctive.
§ 2. Suffixes verbaux atones
Ico.–(fr.che,ge).
Juge (jfidtco), mâche (mâstfco), venge (véndico),
ronge (rûmïgo), charge (cârr'tco), etc.
La forme savante est ique.' revendique (revéndico),
masUgue (masKco).
ERE. (fr. re).
Sourdre (sùrgére), moudre (m61gre)jtord)'e(t6rque)'e).
ardre (ârdere). Ce verbe qui signifiait brûler en vieux
français est resté dans ardent et ardeur).
Io.
Disparaît en français dépouille (despôlio).
ULO. (fr. le).
Mou~e (modù!o), comble (cûmù!o), tremble (tré-
mù!o), trouble (tùrbùlo).
Ac-ù!o devient aille'(tiraille, criaille, etc.)
.fc-tUo devient ille, fouille (fodicùlo), sautille,
tortille, etc.
Uc-ùte devient ou~!e, chatout!!o, bredout~e,
barbout~e, etc.
CHAPITRE IV
DHIINUTJFS
FJft
rç
LISTE
Fr. français.
Vieux-fr. ou v. /)'. vieux-français.
v. ou uot/. voyez
c/ comparez.
l. ou lat. latin.
it. italien.
esp. espagnol.
u°. ou s. u°. sub verbo
TABLE DES MATIÈRES
PREFACE.
PnËfACEdetaZ'edition. m
i
INTRODUCTION.
LIVRE PREMIER.
PARTIE I.
Permutalioii des Lettres.
Labiates.
CBAp.
§1. <0t
§3.Den~tes.
§2.
atones.
Section Voyellestoniquesenlatin.
Section 2. Voyelles
tonique.
§ t. Voyelles précédant la
US
120
120
tonique.
§ 2. Voyelles suivant la
latines. 121
CHAp. 11.
§1.Liquides.
Histoire des Consonnes
Dentales.)?
)2Ï
123
§2.
§3.
S4.
Gutturales.
Labiales. 128
)29
PARTIE 11.
Transposition, Addition, Soustraction.
SECTION I. Transposition des Lettres.
Consonnes.
Voyelles.
131
§ i. 131
Prosthèse.
SECTION II. Addition des
§2.
Lettres. 132
132
CHAP.
CHAP.
i.
11.
Epenthëse.
Épithèse. 132
134
CHAP. ni.
Lettres.
Aphérèse.
SECTIONIII. Soustraction des
135
135
i35
Voyelles.
CHAP. t.
CHAP. 11. Syncope 136
!<.
CHAF.in.Apocope.§2.Consonnes. 136
1:6
138
PARTIE III.
Prosodie.
i. Accent tonique.
grammatical. i40
54.
2. Accent
3. Accent
4. Accent
oratoire.
provincial.
141
141
142
LIVRE SECOND.
SECTION I.
t.Cas. Déclinaison.
Substantif.
§2.Genres.
Article.
5
63.Nombres.
)4:
146
!56
SECTION
SECTION
II.
III. Adjectif.
~d)ec<t/s<juatt/tca<&
Nombres.
t5S
160
163
Genres.
GHAP. t. 163
5). Cas et 163
!2. t64
§3.Adjectifspris substantivement.)65
dest~oiHcation. t66
64. Degrés
CHAp.n.~omsdeJVomt)res.
1. Cardinaux.
Ordinaux.
168
Pronoms.
Nombres 168
2. Nombres t70.
IV.
SECTION
CHAF.i. Pronoms
csAr.);. Pronoms
Personnels.
Possessifs.
172
173
176
CHAp.nr.Pronoms Démonstratifs. 178
CHAp.tv. Pronoms Relatifs
CHAp.v. Pronoms Indéfinis. 179
180
PARTIE II.
Être.
tt.AcOi)'
SECTION I. Verbes
CHAf.
MAP.
i.
Conjugaison.
Préliminaires.
Auxiliaires. t84
190
191
t9o
SECTION n.
SECTION in.
SECTION IV. Verbes
Temps.
Classification des Verbes. Conjugaisons.
Irréguiiers.
Formation des
198
203
214
SECTION V. Verbes DéfeTtifs. Verbes anomaux.
i.VerbesDéfectifs. 215
CHAp.
CHAp. n. Verbes Anomaux. 216
223
PARTIE 111.
faWtCu!es.
SECTION ï. Adverbes.
Lieu. 229
CHAP.
CIIAP. Temps.
i. Adverbes de
Manière.
n. Adverbes de
231
232
CHAP.
CHAp. d'Intensité.
ni. Adverbes de
iv. Adverbes
236
237
II. Prépositions.
CHAP. Négation.
v. Adverbes d'Affirmation et de 240
m. Conjonctions.
SECTION 243
SECTION
SECTION IV. Interjections. 249
252
LIVRE TROISIÈME.
Formation des mots.
SECTION I. Composition. 257
CHAP.
CHAp. u. Noms.
Composés.
i. De l'Accentuation des
Composition des
Adjectifs.
258
260
CHAp.
CBAP.
ni.
iv.
v.
Verbes.
Composition des
Composition des
Phrases.
Composition des
262
263
CHAp.
ciiAp. vi. Composition des Particules.
t. Particules Prépositionnelles.
263
264
S 264
{ 2. Particules Qualitatives. 270
3. Particules Quantitatives.
Négatives.
§
U.DenMtion.
5 4. Particules
271
27t
SECTION
CHAp.is Accentuation de Dérivés. 272
27?
MAP. Nominaux.
latin.
ii. Suffixes
Suffixes
latin.
{t. accentués en
S2. Suffixes atones en
CHAp.m.SuffixesVerbaux.
CBAp. iv.
atone:
accentues.
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(Jean).Arithmétique
MACÉ
Nièces.
jeunes Filles de Quinnebasset.
du Grand-Papa.
*)~Contesdu Petit-Château.
v.
v.
v.
v.
1
1
1
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*~Histoired'uneBouchcedePain.
*~Les Serviteurs de l'estomac.
iv.
vivons.
1 y.
MACRY (commandant) .~Géographie physique 1 v
~(Le Monde ou nous t v
/tfCt)~rM~cT'crre<'<~e~~r;
MAYNE-REiD.Wiih'amte!ous3e. iv.
*Les jeunes Esclaves
*)~t-eDe5ertd'eau.
1 v.
tv-
*Les Exploits des jeunes Boêrs
*)~LesChasseursdeGirafes.) v.
*LesNaufragcsde)'HedeBornëo. 1 v.
*~LaSmurperdue.
*LcsP)antcursdetaJama!que. 1
1
v.
v.
*~LcsdeuxFiHesduSquaHer.<v.
*LesjeuncsVoyagcurs.v. v.
d'or.
~LejHobinsonsdeTerreferme. 1 v.
MULLER
perdue.
Le Chef au
*La Montagne
*LaTcrrcde Feu.
*Les Chasseurs de Chevelures. 1 v.
bracelet
%LepetitLoupdemcr.
LesEmigrantsduTranswaa). -<v.
(Eugène).Jeunesse des Hommes ce!&bre?.
'Mora~ecnactionpart'histoire.<v.
1
1
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v.
1 v.
< Y.
v.
v.
NootERfCh.).
*~LesAnimauxceiebres.<v.
Contes<;hoisis.2v.
NOEL (Eugène). ~(LaViedesDeurs. 1 v.
PARV)LLE(de). UnHabitant.deiaphnèt.eMars. 1v.
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Mer. Ruisseau'
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StEBECKER(Ëdouard).Histoiredet'A)sace. 1 v.
S)LVA(de). Le Livre de Maurice
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t v.
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StMONtrf.K(HistoiredciaTerre. <Y.
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(o~fr~g'eco!<roHHC).tv.
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cotfronKe).
*~Maroussia (o!;)'r~~
v.
géftéra! vvv.
1 v.
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Cousins.v.
1
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STAIIL et LERMONT
*)acketJanc.iv.
*La petite Rosé, ses six Tantes et ses sept
STAHLetMuLLER.t.enouveauRobinsonsuiSËe.tv
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&MM.ŒduUw~<v.
DuRA!<fD(Hip.).
(J.).
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Iv.
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(E.).
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parisiennes.
Histoire
~Conférences
de la
v.
(Le Livre des
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.)!(LaLcctureen action.
3 25)
1
2
v.
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MACAU[.AY.HistoireetCritique.
MtCK~wiczs (Adam).. Histoire la Potogne.
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1 v.
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(A.).
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*Rhétorique nouvelle
v.
1
1
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RounN(F.).)~Histoirenaturei)e.
tLa Grammaire de la Lecture à haute voix.
PETIT
SAYOUs.){(ConseiisàuneMere. 1
1
v.
v.
StJSANE Cavalerie.
STEVENSON.)~L'Heau
(générai). Histoire
Histoiredet'Artiiierie. de la
1 v.
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TmERS.);(HistoiredeLaw. 1 v,
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(couronnés par l'Académie française)
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1
v.
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Iv.
1
1
v.
v.
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(illustré).
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*~L'Abandonne(i))ustré). 1
1
v.
v.
*~LcSecretdet'!ie(inustrë).v.
*~LePaysdesFourrurcs.2
*~Vingt miHc lieues les Mers (cour.).
en SOjours.
v. 2
*~LeTour du Mondesous
*%UncVi))cnô~ante. v. 1
1 v.
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(iHustré). v. 2
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*)XL!n ans 2
de quinze
v.
(i)!ustré)
2
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Chine.
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*7~LaMaisonàYapeur(itiustre).
L'Ëco!cdesRobinsons.
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1
2
2
1
v.
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*L'Ëtoi)cduSud.
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*MathiasSandorf.
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1 v.
Robur-ie-Conquerant. 3
1
v.
v.
*Un
(iHustré).
France.
Billet de
*)j):Nord contre Sud )
Nom.2v.
*Le Chemin de
Famille sans
~tCësarCascabe!
Sans dessus dessous
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Le Nouveau Roman comique
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Saint-Juan (De), t La Cuisine pratique. 1
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Regamey. ~Le Japon pi-atique. 1 vol.
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Carteron. ~Introduction à l'étude des beaux-arts. 1
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)mRR(aLPHOHSE).
( )
Chènevis.
Fées de la Mer..
Les Fées
Les Mer..
Réunis. ~.9 il-
'ustraUonspar
LORENTZ. I 1J
La Vie des Fleura..
MOEL (EUGENE)
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Réunis. <25
MMBRUYSSEL.Les Clients d'un
vieux Poirier. ~B~~
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SEUtM
Bouton.
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Marco et Tonino..
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BRÉHAT (DE) ~Aventures de Charlot. 26 illustra-
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EEUttt.
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KAEMPFEN La Tasse à Thé. 49 iltustrations par
Worms
(). A.).
1
REÏ ~Travailleurs et Malfaiteurs mi- o
crosoopiquea. 78 iltustrations par
MATTHtS 1 0
VAN BRUYSSEL Histoire d'un Aquarium et de ses
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MMËZE (0~). *La Gileppe. (Les Infortunes d'une
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tions par
ERtMtRD.);(La Plante. illustrations. j 300
1 x
x»
par FROMENT.
Livre d'un Père. illustrations
LAPRADE (W. DE). X~Le 44
<<<t'jtc<t<Mmi<rftnf<M< 1 ))
(aHDRE).L'Héritier de Robinson. illus-
LAURIE
trations par BENRTT. 1
26
Rtou.
*La Montagne perdue. 26 illustra-
tions par
*La Terre de Feu. 26 illustrations
1 x
1 »
·
par
tions par RtOU.
*Les jeunes Esclaves. 26 illustra-
'~Lea Planteurs de la Jamaïque.
26 illustrations par FËRAT.
1
i t
1
MULLER (EUGÊME) *Les Animaux célèbres. 26 illustra-
tions par GKOt'FHOY 1 ))
TEMPLE (OU). ~Communication et transmission
de la pensée et de la voix.
Rtûu.
150 illustrations par Do TEMPLE.. 1 »
VERNE (JULES).)~Cinq semaines en Ballon. 80 illus-
trations par 1 e
TABLE ALPHABÉTIQUE
Par Noms d'Auteurs
A Cham.
Chamfort. 20
M
F'tammanon(C.).iI
Favier
Fteury-Lacoste.3:
Château. 3t Font-R<iM)t(<te).)<
9B
Albiot
Atdrich.7, 32 Charras
P~~[~
2s
A~one.5,
Am.yot.<
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34 ChMO).t9,<s
ChMfTour.
Fo) <1
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1; G
21
M
Audovnaud Courten(fie).3t
33Ga'sbcrg.
Austin. i3 Crémieux. tGavarn't.2t.
Gaudry: 21
31 3t
B-([.ueie).
B Gayo!CourtOM-(J<rard.M1
Gennevray. 3t
Crëtin-[.emaire.t3~3i 31
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Sf
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30
M
Badin.S,
BaiMitres.
Rat'herct.
Barbot.
15.
M
25
M Cana. D
Dariy(Ph.). ~Gobin.
'Go6tho.
Gcnncvr~yG.9,t3,16
G'!nin.t3,i6,S3.3t
3(~GeotTroy.M, !t
Basset.
BMtide.
Baude.tt.33
3t
25
3t
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DaudetfA.).s,
DecourccHo.S!(Lady).6
~Gournot.
Dcmanot.3<~Gouzy.7t't6
Dolahante
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Cordon
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M
Becker.M. !i jD'Ennery.
Df!qu<t.7. !GO!~n(L.).M,M-
'Gr!ttfi6ny(d<)).at
31
Be)!amt (Ed.).
B<doHière(dota).<3
DMchan<:)(Paut). 'Gramonttde).
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B!in<'d~t.S. t: 95
Desnoyers 9, ~Gt'andviHe.i.')5
'Grntiotet.
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Berthet.M
Bertin.i3 Dickens
Berlhoud
netaiHo.
Bentzoa(Th.)'t,t3,tS,:5 Dessove
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'Grimardi2.t6.i9. 3t.
*Guettier.
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Guy.30 1~ 30
Bienon.13 Mnoe.3' 29
Biart(L.)..7,6,i9,t5,M
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Bois9onna8(M'=').8,<5
Bouchot.
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Mortimerd'Ocagne.29,32 Sand(G.).t3.SS
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