Vous êtes sur la page 1sur 9

Chapitre 5 :

Classification périodique des éléments

5.1. Introduction :
L'étude de la structure électronique des atomes permet de comprendre de manière plus
approfondie la classification périodique des éléments appelée encore classification périodique
de Mendeleïev, établie en 1869.
Le tableau périodique, reste le moyen le plus important de comparaison entre les divers
éléments chimiques. Il facilite la compréhension des groupes d’éléments, leurs propriétés
chimiques associées, et leurs structures. De plus, cette classification permet de déterminer les
formules des composés et les types de liaison unissant les atomes dans les molécules.

5.2. Classification périodique de D. Mendeleïev :


D. Mendeleiev publie un tableau périodique regroupant un grand nombre d’éléments rangés
en fonction de leur masse atomique croissant dans des cases où il a eu l’idée de laisser des
places vides, car, il pensait, à juste titre, que l’élément était encore inconnu.

5.3. Classification périodique moderne :


La classification périodique moderne se base sur le numéro atomique Z. On classe donc les
éléments par ordre croissant de Z en respectant de plus la règle de Klechkowski. La place
d’un élément dans la classification est donc directement reliée à sa configuration électronique.

5.4. Description du tableau périodique :


a) Périodes (Lignes) :
La période correspond à une couche électronique identifiée par son nombre quantique
principal noté (n). Il y’ a sept (7) périodes numérotées de n = 1 à n = 7 ou notées couches K,
L, M…
La période est donnée par le nombre quantique principal le plus élevée figurant dans la
configuration électronique.
Exemple :
*11Na : 1s22s22p63s1 → La période de Na est : 3.
*21Sc : 1s22s22p63s23p64s23d1 → La période de Sc est : 4.
b) Groupes (Colonnes) :
Les éléments d'une même colonne (groupe) ayant la même configuration électronique de la
couche externe. Il y’ a 18 groupes dont 8 en sous groupe A et 10 en sous groupe B.
Le groupe est indiqué par un chiffre romain et désigné par le nombre d’électrons situés dans
la dernière couche (ou couche de valence) ; sauf les groupes VIIIB, IB et IIB.
groupe Structure de valence
VIIIB ns2 (n-1)d6
ns2 (n-1)d7
ns2 (n-1)d8
IB ns1 (n-1)d10
IIB ns2 (n-1)d10
Rappel : I(1), II(2), III(3), IV(4), V(5), VI(6), VII(7), VIII(8), IX(9), X(10)

c) Sous-groupes :
Les groupes du tableau périodique sont devisés en deux sous-groupes : sous-groupe A et B.
*Sous-groupe A : les électrons de valence occupent les orbitales s ou p, c’est-à-dire le bloc s
ou le bloc p,
*Sous-groupe B : les électrons de la sous-couche d interviennent comme électrons de
valence, c’est-à-dire le bloc d.
Exemples :
*11Na : 1s22s22p63s1, un seul électron de valence → Na appartient au groupe IA.
*10Ne : 1s2 2s2 2p6, 8 électrons de valence → Ne appartient au groupe VIIIA.
*21Sc : 1s22s22p63s23p64s23d1, 3 électrons de valence → Sc appartient au groupe IIIB.

d) Blocs :
On peut faire apparaitre dans la classification périodique une structure en blocs correspondant
au remplissage progressif des sous-couches s, p, d et f :
*Le bloc s correspond aux colonnes 1 et 2 : éléments en ns1 et ns2
*Le bloc d possède 10 colonnes, de 3 à 12 : remplissage progressif de la sous-couche (n – 1)d,
la sous-couche ns étant saturée en ns2.
*Le bloc p correspond aux colonnes de 13 à 18 : remplissage progressif de la sous couche np,
les sous-couches (n – 1)d et ns étant saturées en (n – 1)d10 et ns2
*Le bloc f contient deux familles : remplissage des sous-couches (n-2)f
Pour le cas de l’Hélium, bien qu’appartenant au bloc s, celui-ci est placé dans le bloc p
(groupe des gaz rares).

e) Familles :
Les familles principales du tableau périodique :
1
* Métaux alcalins (colonne 1) : groupe IA : configuration électronique de type ns . (Li, Na, K,
Rb, Cs).
2
* Métaux alcalino-terreux (colonne 2) : groupe IIA : ns (Be, Mg, Ca, Sr, Ba, Ra).
* Halogènes (colonne 17) : groupe VIIA : ns2np5 (F, Cl, Br, I, At).
* Gaz rares (nobles) (colonne 18): groupe VIIIA : ns2np6 (He, Ne, Ar, Kr, Xe, Rn).
*Non métaux (colonne de 13 à 16) : groupes : (IIIA ; IVA ; VA ; VIA)
*Métaux de transition (colonne de 3 à 12) : groupes : (IIIB ; IVB ; VB ; VIB ; VIIB ; VIIB,
IB ; IIB), ce sont des éléments qui possèdent les orbitales (d) incomplètement remplies
*Terres rares (Métaux de transition interne), les éléments possèdent les orbitales (f) en
cours de remplissage, en effet les orbitales qui correspondent au remplissage de l’orbitale 4f
éme
on les appelle les Lanthanides (6 période), ceux qui correspondent au remplissage de
éme
l’orbitale 5f sont appelés les Actinides (7 périodes).

5.5. Evolution et périodicité des propriétés physico-chimiques des éléments :


Les propriétés chimiques d’un élément dépendent essentiellement de la configuration
électronique de la couche de valence. Etant la plus énergétique, elle contient donc les
électrons les plus réactifs.

5.5.1. Rayon atomique (ra) :


On peut définir le rayon atomique comme étant la moitié de la distance entre les centres des
deux atomes liés par une liaison simple.
• Sur une période : si Z augmente alors ra diminue
• Sur une colonne : si Z augmente alors ra augmente

5.5.2. Rayon ionique :


Un cation est chargé positivement : rcation < ratome
r(Ca+2) < r(Ca)
rLi : 0,123 nm rLi+ : 0,060 nm
rAl : 0,125 nm rAl3+ : 0,005 nm
Un anion est chargé négativement donc : rAnion> ratome
r (Cl-) > r (Cl)
rS : 0,104 nm rS2- : 0,184 nm

5.5.3. Energie d'ionisation (Ei)


C'est l'énergie qu'il faut fournir pour arracher un électron à un atome (ou à un ion) dans l'état
fondamental et à l'état gazeux.
Agaz + Ei → Agaz+ + e-
• Sur une même période : si Z augmente alors Ei augmente.
• Sur un même groupe : si Z augmente alors Ei diminue.
5.5.4. Affinité électronique (AE) :
L’affinité électronique est l’énergie libérée par la réaction de capture d’un électron par
l’atome gazeux correspondant à la réaction suivante :
Agaz + e- → Agaz- + AE (AE : énergie libérée est comptée négative par convention de signe
thermodynamique).
• Sur une même période : si Z augmente alors AE augmente.
• Sur un même groupe : si Z augmente alors AE diminue.

5.5.5. Electronégativité (χ) :


C’est une grandeur qui caractérise la capacité d’un atome à attirer les électrons vers lui lors de
la formation d’une liaison chimique avec un autre élément, c’est une grandeur relative.
A(g) + B(g) → A+(g) + B-(g), on dit que B est plus électronégative que A
• Sur une même période : si Z augmente alors χ augmente.
• Sur un même groupe : si Z augmente alors χ diminue.
Définition d’électronégativité :
a) Définition de Mulliken : l’électronégativité d’un élément est la moyenne de son affinité
électronique (AE) et de son énergie d’ionisation (Ei) (Mulliken définit l'électronégativité
comme la moyenne arithmétique entre Ei1 et AE1).
𝜒𝜒𝐴𝐴 (𝑒𝑒𝑉𝑉)= 𝑘𝑘 (𝐴𝐴E+𝐸𝐸𝑖𝑖 /2)
Avec : k : = 0,317 eV-1 pour s'accorder avec l'échelle de Pauling

b) Définition de Pauling : la différence d’électronégativité entre les éléments A et B a pour

expression : �∆𝛘𝛘𝑷𝑷𝑨𝑨𝑨𝑨 � = �𝛘𝛘𝑷𝑷𝑨𝑨 − 𝛘𝛘𝑷𝑷𝑩𝑩 � = �𝑬𝑬𝑨𝑨−𝑩𝑩 − �𝑬𝑬𝑨𝑨−𝑨𝑨 . 𝑬𝑬𝑩𝑩−𝑩𝑩


Où :
EA-B, EA-A, et EB-B sont respectivement les énergies de liaison (en KJ/mol) des molécules
diatomiques A-B, A-A et B-B

c) Définition d’Allred et Rochow :


Ils ont réussi à donner une échelle universelle d’électronégativité par la définition :
L’électronégativité est la force d’attraction entre l’atome et un électron, séparé de noyau par
une distance égale au rayon covalent de l’atome :
𝜒𝜒 = (0,359. 𝑍𝑍 𝑒𝑒𝑓𝑓𝑓𝑓/ 𝑟𝑟a2) + 0,744
Zeff : charge effective
ra : rayon covalent

Rayon covalent :
Pour déterminer les rayons des atomes, on les assimile à des sphères rigides (solides).
Si dans une molécule deux atomes du même élément sont liés par une liaison covalente on
appelle rayon de covalence de l’élément la moitié de la distance entre les atomes.
La différence d’électronégativité entre les deux éléments A et B, dans la molécule où la
liaison A-B détermine la nature de la liaison chimique entre l’élément A et B.
a) covalente : si la différence d’électronégativité est faible
b) ionique : si la différence d’électronégativité est importante, on définit ainsi le caractère
ionique d’une liaison par la relation suivante :
χA − χB
(% ionique liaison A − B) = � � . 100
χA + χB
Si le pourcentage est faible donc la liaison est covalente entre A et B : dans la liaison entre C-
H : 8,69 % alors que dans le cas de NaCl : le pourcentage du caractère ionique est égale à (Na
0,9, Cl : 3) est égale à 53,83 %.
Remarques :
*les gaz rares n’ont pas d’électronégativité car leur couche de valence est saturée ils sont
considérés comme éléments inertes.
* Le fluor (F) est l’élément le plus électronégatif avec une valeur de 4,0 selon l’échelle de
Pauling alors que le francium (Fr) est le moins électronégatif avec une valeur de 0,7.

5.6. Calcul des rayons (atomique et ionique) et les énergies d’ionisation successives, par
les règles de Slater :
Calcul des rayons atomique et ionique :
À partir de la relation de rayon de Bohr, on peut calculer le rayon atomique :
rA = (𝑛𝑛2/ 𝑍𝑍𝑒𝑒𝑓𝑓𝑓𝑓).a0 avec
Zeff : charge effective déduit à partir des règles de Slater
a0 = 0,53Å (rayon de Bohr)
De même le rayon ionique est déterminé à l’aide de la même relation, en effet une fois
l’atome est ionisé on recalcule le nouveau Zeff et le nombre quantique n.
Exemple :
Pour l’atome de 3Li :
Calculons le rayon atomique de l’atome Li et le rayon ionique de l’ion Li+
Atome de Li :
On commence par la configuration électronique du lithium :
2 1 0
3Li : 1s 2s 2p
n= 2 , Z eff = Z – σ (2s)
σ (2s) = 0*0,35 + 2*0,85 =1,7 ⇒ Zeff = 3-1,7 = 1,3
r (Li) = (22 / 1,3).0,53 = 1,630 Å
r(Li) = 1,630 Å
Ion de Li+ :
+ 2 0 0
3Li : 1s 2s 2p
n= 1 , Z eff = Z – σ (1s)
σ (1s) = 1*0,30 =0,30 ⇒ Zeff = 3-0,30 = 2,7
r (Li+) = (12/2,7).0,53 = 0,196 Å
r(Li+) = 0,196 Å

Calcul de l’énergie d’ionisation :


L’énergie d’un électron sur un orbital est donnée par la relation :
E𝑛𝑛𝑖𝑖= −13,6.𝑍𝑍eff2 / 𝑛𝑛𝑖𝑖2
ni : nombre quantique caractéristique de l’électron i
L’énergie totale est égale à la somme des énergies :
E = ΣE𝑛𝑛𝑖𝑖 avec : E1𝑠𝑠<E2𝑠𝑠<E2𝑃𝑃<E3𝑠𝑠<E3𝑝𝑝………..

Énergie d’ionisation successive :


On peut arracher successivement plusieurs électrons à un atome donné, il se forme ainsi des
ions portant des charges positives de plus en plus grandes : A+, A2+, A3+, ……etc
Exemple 1:
Pour l’atome de lithium Li :

*Calcul de E(Li) :
2 1
3Li : 1s 2s
E(Li) = 2 E(1s) + 1 E(2s)
Z eff, 1s = Z – σ (1s) = 3 – (1*0,3) = 2,7
E(1s) = (-13,6 /12)*(2,7)2 = -99,14 eV
Z eff,2s = Z – σ (2s) = 3- (2*0,85) = 3 - 1,7 = 1,3
E(2s) = (-13,6 /22)*(1,3)2 = -5,746 eV
Donc : E(Li) = 2 (-99,14) + 1 (-5,746) = - 204,026 eV

*Calcul de E(Li+) :
+ 2
3Li : 1s
E(Li+) = 2 E(1s)
Z eff, 1s = Z – σ (1s) = 3 – (1*0,3) = 2,7
E(1s) = (-13,6 /12)*(2,7)2 = -99,14 eV
Donc : E(Li+) = 2 (-99,14) = - 198,28 eV

*Calcul de E(Li2+) :
2+ 1
3Li : 1s Li2+ est un ion hydrogénoide
E(Li2+) = (-13,6/n2) *Z2 = (-13,6 /12)*(3)2 = -122,4 eV

*Calcul de E(Li3+) :
E(Li3+) = 0 eV
Calcul des : Ei :
*1ère ionisation :
Li → Li+ + 1e-
Ei1 = E(Li+) – E(Li) = - 198,28 + 204,026 = 5,746 eV
*2ème ionisation :
Li+ → Li2+ + 1e-
Ei2 = E(Li2+) – E(Li+) = -122,4 + 198,28 = 75,88 eV
*3ème ionisation :
Li2+ → Li3+ + 1e-
Ei3 = E(Li3+) – E(Li2+) = 0 + 122,4 = 122,4 eV

Exemple 2 : calculer la première énergie d’ionisation de l’atome de carbone


2 2 2r
6C : 1s 2s 2p
+ 2 2 1
6C : 1s 2s 2p
E(C) = 2E1𝑠𝑠 + (2+2) E2𝑠𝑠2𝑝𝑝 E(C+) = 2E1𝑠𝑠 +(2+1) E2𝑠𝑠2𝑝𝑝+
Ei = E(C+) - E(C)
Ei = [2E1𝑠𝑠 +(2+1) E2𝑠𝑠2𝑝𝑝+] – [2E1𝑠𝑠 + (2+2) E2𝑠𝑠2𝑝𝑝]
Ei = 3 E2𝑠𝑠2𝑝𝑝 + - 4 E2𝑠𝑠2𝑝𝑝

Calcul de la constante d’écran :


𝜎𝜎 (2s2p) = 3*0,35 + 2*0,85 = 2,75
Zeff, 2s2p = 6 - 2,75 = 3,25
E2𝑠𝑠2𝑝𝑝 = −13,6*3,252 / 22 = - 35,912 eV
𝜎𝜎(2s2p) = 2*0,35 + 2*0,85 = 2,4
Zeff, 2s2p = 6 - 2,4 = 3,6
E2𝑠𝑠2𝑝𝑝+ = −13,6*3,62 / 22 = - 44,064 eV
E = 3 E2𝑠𝑠2𝑝𝑝 + - 4 E2𝑠𝑠2𝑝𝑝
Ei = 3*(-44,064) – 4*(-35,912)
Ei1 (C) = 11,456 eV
La première énergie d’ionisation de l’atome de carbone E1i (C) = 11,456 eV. La valeur
expérimentale de la première énergie d’ionisation de l’atome de carbone E1i =11,2 eV.

Exercice 1 :
L’atome d’étain (Sn) possède dans son état fondamental deux électrons sur la sous-couche
5p.
1. Donner sa structure électronique, son numéro atomique ainsi que le nombre d’électrons de
valence.
2. Fait-il partie des métaux de transition ? Pourquoi ?

Corrigé :
1. Structure électronique :
Sn : 1s22s22p63s23p64s23d104p65s24d105p2
L’atome d’étain (Sn) possède 4 électrons de valence et son numéro atomique est 50.
2. L’étain ne fait pas partie des métaux de transition car la sous couche (4d) est remplie.
Exercice 2 :
Soit les éléments 29Cu, 35Br, 42Mo et 54Xe.
1. Donner les structures electroniques de ces éléments.
2. Situer ces éléments dans le tableau périodique.
3. Quels sont parmi ces éléments, ceux de transitions ?
4. Quel est l’élément inerte chimiquement, indiquer sa structure externe.
5. Attribuer en expliquant les valeurs des énergies de première ionisation (Ei) et des
électronégativités (En) des éléments suivants : Cu, Br et Mo.
Ei (eV) 7.7 11.8 7.2
En 1.9 2.8 1.8
6. Un élément appartient à la sixième période et au groupe IVB. Quelle est sa structure
électronique. Donner son numéro atomique

Corrigé :
1. Structures électroniques :
2 2 6 2 6 2 9
29Cu : 1s 2s 2p 3s 3p 4s 3d 4s13d10
2 2 6 2 6 2 10 5
35Br : 1s 2s 2p 3s 3p 4s 3d 4p
2 2 6 2 6 2 10 6 2 4
42Mo : 1s 2s 2p 3s 3p 4s 3d 4p 5s 4d 5s14d5
2 2 6 2 6 2 10 6 2 10 6
54Xe : 1s 2s 2p 3s 3p 4s 3d 4p 5s 4d 5p

2.
Elément période groupe
29Cu 4 IB
35Br 4 VIIA
42Mo 5 VIB
54Xe 5 VIIIA

3. Les éléments de transition sont : 29Cu, et, 42Mo car ils ont la sous couche (d) incomplète.
4. L’élément inerte chimiquement est un élément ayant toutes les sous couches saturées en
électrons. Donc : le xénon (54Xe) est l’élément inerte (gaz rare).
Sa structure externe est : 5s24d105p6
5. Ei(Br) > Ei(Cu) > Ei(Mo) ; et ; χ (Br) > χ (Cu) > χ (Mo)
Ei χ
Mo 7.2 1.8
Cu 7.7 1.9
Br 11.8 2.8

6. L’élément appartient à la 6ème période, donc : n = 6


Et au groupe IVB, donc : il possède 4 électrons dans la sous couche externe
La structure de sa couche externe (couche de valence) est : 6s24f145d2
D’où la configuration électronique est : 1s22s22p63s23p64s23d104p65s24d105p26s24f145d2
Son numéro atomique est : Z = 72 ; et ; l’élément est : 72Hf

Vous aimerez peut-être aussi