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Une partie opérative (P.O) procédant au traitement des matières d’œuvre afin d'élaborer la valeur
ajoutée ; c’est la partie mécanique du système qui effectue les opérations. Elle est constituée
d’actionneurs tels que vérins, moteurs… utilisant de l’énergie électrique, pneumatique, hydraulique...
Une partie dialogue (P.I) : est la partie interface se trouvant entre les deux faces PO et PC
Traduisant les ordres et les informations.
Une partie commande (P.C.) coordonnant la succession des actions sur la Partie Opérative avec la
finalité d'obtenir cette valeur ajoutée.
La structure simplifiée d’un ensemble automatisé peut se décomposer en trois parties essentielles :
les entrées Tout Ou Rien (TOR), parfois analogiques, destinées à fournir des informations sur l’état
du processus : fin de course, détecteur de niveau, pressostat, thermostat, etc.,
l’automate qui traite les différentes informations d’entrée afin d’élaborer les ordres,
les sorties transmettant les ordres élaborés par l’automate, aux différents actionneurs ou pré-
actionneurs : voyants, distributeurs de vérins, contacteurs de moteur...
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L’automate programmable reçoit les informations relatives à l’état du système et puis commande les pré
actionneurs suivant le programme inscrit dans sa mémoire.
A) Le processeur
Le processeur, ou unité centrale (UC), a pour rôle principal le traitement des instructions qui constituent le
programme de fonctionnement de l’application (les fonctions logiques ET, OU, les fonctions de
temporisation, de comptage, de calcul PID, etc..). Mais en dehors de cette tâche de base, il réalise également
d’autres fonctions :
Gestion des entrées/sorties.
Surveillance et diagnostic de l’automate par une série de tests lancés à la mise sous tension ou
cycliquement en cours de fonctionnement.
Dialogue avec le terminal de programmation, aussi bien pour l’écriture et la mise au point du
programme qu’en cours d’exploitation pour des réglages ou des vérifications des données.
Un ou plusieurs processeurs exécutent ces fonctions grâce à un micro logiciel préprogrammé dans une
mémoire de commande, ou mémoire système. Cette mémoire morte définit les fonctionnalités de l’automate.
Elle n’est pas accessible à l’utilisateur.
B) La mémoire
Elle est destinée au stockage des instructions qui constituent le programme de fonctionnement de
l’automatisme, ainsi que des données qui peuvent être :
Des informations susceptibles d’évoluer en cours de fonctionnement de l’application. C’est le cas
par exemple de résultats de traitements effectués par le processeur et rangés dans l’attente d’une
utilisation ultérieure. Ces données sont appelées variables internes ou mots internes.
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Des informations qui n’évoluent pas au cours de fonctionnement, mais qui peuvent en cas de besoin
être modifiées par l’utilisateur : textes à afficher, valeurs de présélection, etc.. Ce sont des mots
constants.
Les mémoires d’état des entrées/sorties, mises à jour par le processeur à chaque tour de scrutation
du programme.
Deux familles de mémoires sont utilisées dans les automates programmables :
Les mémoires vives, ou mémoires à accès aléatoire « Random Access Memory (RAM) ». Le
contenu de ces mémoires peut être lu et modifié à volonté, mais il est perdu en cas de manque de
tension (mémoire volatiles). Elles nécessitent par conséquent une sauvegarde par batterie. Les
mémoires vives sont utilisées pour l’écriture et la mise au point du programme, et pour le stockage
des données.
Les mémoires mortes sont à lecture seule, les informations ne sont pas perdues lors de la coupure de
l’alimentation des circuits. On peut citer les types suivants :
ROM « Read Only Memory » : Elle est programmée par le constructeur et son programme ne
peut être modifié.
PROM « Programmable ROM » : Elle est livrée non enregistrée par le fabricant. Lorsque
celle-ci est programmée, on ne peut pas l’effacer
EPROM « Erasable PROM » : C’est une mémoire PROM effaçable par un rayonnement
ultraviolet intense.
EEPROM « Electrically EPROM » : C’est une mémoire PROM programmable plusieurs fois
et effaçable électriquement.
Mémoire Flash : C’est une mémoire EEPROM rapide en programmation. L’utilisateur peut
effacer un bloc de cases ou toute la mémoire.
Remarque : La capacité mémoire se donne en mots de 8 BITS (Binary Digits) ou octets.
Exemple: Soit une mémoire de 8 Koctets = 8 x 1024 x 8 = 65 536 BITS. Cette mémoire peut
contenir 65 536 informations binaires.
2) Les interfaces entrées/sorties :
Les entrées/sorties TOR (Tout ou Rien) assurent l’intégration directe de l’automate dans son environnement
industriel en réalisant la liaison entre le processeur et le processus. Elles ont toutes, de base, une double
fonction :
Une fonction d’interface pour la réception et la mise en forme de signaux provenant de l’extérieur
(capteurs, boutons poussoirs, etc.) et pour l’émission de signaux vers l’extérieur (commande de pré-
actionneurs, de voyants de signalisation, etc.).
2.1) Les interfaces entrées
Lors de l’activation d’une entrée de l’automate, l’interface d’entrée envoie un « 0 » logique à l’unité de
traitement et un « 1 » logique lors de l’ouverture du contact du capteur (entrée non actionnée).
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2.3) Le Bus
C’est un ensemble de conducteurs qui réalisent la liaison entre les différents éléments de l’automate. Dans
un automate modulaire, il se présente sous forme d’un circuit imprimé situé au fond du bac et supporte des
connecteurs sur lesquels viennent s’enficher les différents modules : processeur, extension mémoire,
interfaces et coupleurs.
Le bus est organisé en plusieurs sous-ensembles destinés chacun à véhiculer un type bien défini
d’informations :
Bus de données.
Bus d’adresses.
Bus de contrôle pour les signaux de service tels que tops de synchronisation, sens des échanges,
contrôle de validité des échanges, etc..
Bus de distribution des tensions issues du bloc d’alimentation.
2.4) Alimentation
Elle élabore à partir d’un réseau 220 V en courant alternatif, ou d’une source 24 V en courant continu, les
tensions internes distribuées aux modules de l’automate.
Afin d’assurer le niveau de sûreté requis, elle comporte des dispositifs de détection de baisse ou de coupure
de la tension réseau, et de surveillance des tensions internes. En cas de défaut, ces dispositifs peuvent lancer
une procédure prioritaire de sauvegarde.
Les schémas de principe et raccordement sont, respectivement, illustrés par la figure 6 et la figure 7.
LES COMPACTS
SIEMENS CROUZET SCHNEIDER SIEMENS MOELLER
LOGO MILLENIUM ZELIO S7-1200 PS4
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LES MODULAIRES
SCHNEIDER MOELLER SIEMENS
MODICON M340 S7-1500
4) TSX-micro de Télémécanique
4.1) Présentation
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Pour augmenter la productivité des processus, on emploie des automates programmables qui sont montés en
réseaux et qui peuvent communiquer avec les réseaux informatiques tels que Ethernet ou Internet; il s'agit
des NTIC (nouvelles technologies information et de communication).
Pour effectuer la gestion des automatismes, il faut établir la communication entre tous les niveaux de
production (figure 17) :
- au niveau du poste automatique de production avec le réseau AS-i ;
- par îlots de production, par exemple le réseau MODBUS ;
- de l'ensemble des îlots reliés au réseau informatique avec Ethernet.
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Exemple
Échange de bits: 248 E/S en 5 ms.
Autres types de réseaux: Interbus, Profibus, CANopen, Device Net, Control Net.
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Par exemple, pour adresser la 5ème entrée du DCY en partant de la gauche, on définit l’adresse suivante :
I0.4 indique une adresse de type entrée, 0, l’adresse d’octet et 4, l’adresse de bit. Les adresses
d’octet et de bit sont toujours séparées par un point.
Pour adresser la 3ème sortie, par exemple, on définit l’adresse suivante :
Q0.2 Q indique une adresse de type Sortie, 0, l’adresse d’octet et 2, l’adresse de bit. Les adresses
d’octet et de bit sont toujours séparées par un point.
Remarque : L’adresse du bit de la dixième sortie est un 1 car la numérotation commence à zéro.
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6) GRAFCET
6.1) Définition
Le GRAFCET (GRAphe Fonctionnel de Commande par Etapes et Transitions)
ou SFC (Sequential Fonction Chart) est un outil graphique qui décrit les différents comportements de
l'évolution d'un automatisme et établit une correspondance à caractère séquentiel et combinatoire entre :
Les ENTREES, c'est-à-dire les transferts d'informations de la Partie Opérative vers la Partie
Commande,
Les SORTIES, transferts d'informations de la Partie Commande vers la Partie Opérative.
C'est un outil graphique puissant, directement exploitable, car c'est aussi un langage pour la plupart
des API existants sur le marché. Lorsque le mot GRAFCET (en lettre capitale) est utilisé, il fait référence à
l'outil de modélisation. Lorsque le mot grafcet est écrit en minuscule, il fait alors référence à un
modèle obtenu à l'aide des règles du GRAFCET. (Exemple : J'ai utilisé le GRAFCET pour concevoir cette
machine, jette un coup d'œil sur le grafcet de sécurité et dit moi ce que tu pense)
Le GRAFCET comprend :
Le point de vue, caractérisant le point de vue selon lequel un observateur s'implique dans le
fonctionnement du système pour en donner une description. On distingue trois points de vue :
o Un point de vue système,
o Un point de vue Partie Opérative,
o Un point de vue Partie Commande.
La spécifications, caractérisant la nature des spécifications techniques auxquelles doit satisfaire la
Partie Commande. On distingue trois groupes de spécifications :
o Spécifications fonctionnelles,
o Spécifications technologiques,
o Spécifications opérationnelles.
La finesse, caractérisant le niveau de détail dans la description du fonctionnement, d'un niveau
global (ou macro-représentation) jusqu'au niveau de détail complet où toutes les actions et
informations élémentaires sont prises en compte.
6.3.1) Etape
Une étape symbolise un état ou une partie de l'état du système automatisé. L'étape possède deux états
possibles : active représentée par un jeton dans l'étape ou inactive. L'étape i, représentée par un carré repéré
numériquement, possède ainsi une variable d'état, appelée variable d'étape Xi. Cette variable est une variable
booléenne valant 1 si l'étape est active, 0 sinon.
La situation initiale d'un système automatisé est indiquée par une étape dite étape initiale et représentée par
un carré double.
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6.3.3) Transition
Une transition indique la possibilité d'évolution qui existe entre deux étapes et donc la succession de deux
activités dans la partie opérative. Lors de son franchissement, elle va permettre l'évolution du système. A
chaque transition est associée une condition logique appelée réceptivité qui exprime la condition nécessaire
pour passer d'une étape à une autre.
La réceptivité qui est une information d'entrée qui est fournie par :
Remarque: Si la réceptivité n'est pas précisée, alors cela signifie qu'elle est toujours vraie. (=1)
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L'ordre est émis, de façon continue, tant que l'étape, à laquelle il est associé, est active.
b) Actions conditionnelles:
Une action conditionnelle n'est exécutée que si l'étape associée est active et si la condition associée est
vraie. Elles peuvent être décomposées en 2 cas particuliers:
b.1 - Action conditionnelle simple : Type C
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Exemple : "t /x6/ 5s" : prendra la valeur logique1, 5s après la dernière activation de l'étape 6.
c) Action maintenue sur plusieurs étapes:
Afin de maintenir la continuité d'une action sur plusieurs étapes, il est possible de répéter l'ordre continu
relatif à cette action, dans toutes les étapes concernées ou d'utiliser une description sous forme de séquences
simultanées (Les séquences simultanées seront traitées ultérieurement).
d) Action mémorisée :
Le maintien d'un ordre, sur la durée d'activation de plusieurs étapes consécutives, peut également être obtenu
par la mémorisation de l'action, obtenue par l'utilisation d'une fonction auxiliaire appelée fonction mémoire.
Cette fonction pourra être décrite par un GRAFCET
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Si les deux conditions a et d sont à 1 simultanément, les étapes 2 et 4 vont devenir actives simultanément,
situation non voulue par le concepteur. Donc elles doivent être des conditions exclusives
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6.5.4) Parallélisme entre deux ou plusieurs séquences (ou séquences simultanées divergence
convergence en ET) :
Au contraire de l'aiguillage où ne peut se dérouler qu'une seule activité à la fois, On dit qu'on se trouve en
présence d'un parallélisme structurel, si plusieurs activités indépendantes pouvant se dérouler en parallèle.
Le début d'une divergence en ET et la fin d'une convergence en ET d'un parallélisme structurel sont
représentés par deux traits parallèles.
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Si « SET » = 1, Q = 1
Si « RESET » = 1, Q = 0
Si les deux = 1 : 2 cas :
Priorité à l’activation -> Q = 1
Priorité à la désactivation -> Q =
0
X1=
b) Soit en testant l’état repos de toutes les mémoires d’étape suivantes, pour venir alors
systématiquement enclencher la mémoire X1, comme le montre le schéma suivant :
X1=
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b) Bloc compteur
6) Niveaux de GRAFCET :
a-GRAFCET niveau 1 : il définit le cycle à réaliser sans tenir compte des solutions technologiques,
c’est une représentation fonctionnelle du cahier des charges.
b- GRAFCET niveau 2 :en plus des exigences fonctionnelles cette représentation tient compte du
coté technologique des organes utilisés (boutons poussoirs, capteurs…).
a) Mémoire d’étape
Afin de respecter les règles d’évolution du GRAFCET, chaque étape peut être matérialisée par une mémoire
du type marche prioritaire possédant une structure de la forme
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Fonctionnement : Un chariot se déplace sur un rail et permet, en se positionnant au-dessus d’une cuve, de
nettoyer des pièces contenues dans un panier en le trempant dans un bac de dégraissage
Cycle détaillé :
_ Quand le chariot est en haut à gauche et que l’on appuie sur le départ du cycle (dcy), le chariot va au-
dessus du bac de graissage.
_ Le panier descend alors dans se bac ou on laisse 30 secondes.
_ Après cette attente, le panier remonte.
_ Après cela le chariot va jusqu’à l’extrême droite où il sera déchargé.
_ Quand le déchargement est terminé, le système revient à sa disposition de départ.
Remarque : Le chargement et le déchargement du panier s’effectuent manuellement, puis validé par des BP
« S1 » et « S2 ».
Travail demandé :
1)Donner la liste des entrées et sorties selon le tableau ci-dessous en citant les adresses correspondantes
(suivant votre API.
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Exercice 03 (OU) :
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Le malaxeur étudié est un système utilisé dans des usines de produits agro-alimentaires. Il décrit le processus
de traitement d’un produit liquide assurant le dosage d’une certaine quantité du liquide pour la porter à une
température donnée θ0 (°c). Le système est réalisé autour de :
Il s’agit d’un système utilisé dans les usines de production des boissons liquides. Il décrit une partie du
processus assurant les fonctions de remplissage et de bouchage des bouteilles.
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Le déclenchement de la chaîne d’embouteillage se fait par action sur l’interrupteur Dcy. Le moteur ‘
Avance Tapis : M ’ tourne d’un pas jusqu’à l’action du capteur ‘ Tapis en position : TP ’. Une
bouteille est alors présente à chacun des postes P1 et P2. Les opérations de remplissage et de
bouchage s’effectueront simultanément sur les deux bouteilles :
- Le remplissage se fera en deux étapes :
Ouverture de l’électrovanne EV ;
Fermeture de EV après le remplissage de la bouteille. Le capteur ‘Bouteille remplie : BR’ permettra
de contrôler le niveau de remplissage des bouteilles.
- Le bouchage se fera en deux étapes :
Descente du vérin presseur V ;
Remonte du vérin V après l’enfoncement du bouchon.
Il est à noter que le cycle ne recommencera que si les deux opérations de remplissage et de bouchage sont
achevées.
Exercie07: « et »
On considère une machine de production des pièces pliées et poinçonnées décrite ci-dessous avec
chargement et déchargement automatique :
Le système est commandé par deux boutons poussoirs respectivement le départ cycle (DCY) et arrêt (RAZ)
composé par deux postes:
Poste de pliage par descente et monté de la
tige vérin V 1
Poste de poinçonnage par descente et
monté de la tige vérin V 2
Poste d’évacuation puis remplissage de
pièces assurées par deux vérins (vérin V3
et vérin V4).
Cahier de charge de la machine :
Le système se trouvant en position initiale, l’appui
sur le bouton de « départ cycle » ordonne
simultanément l’évacuation puis remplissage ; le
pliage et le poinçonnage des pièces se trouvant sur
le plateau.
Une fois les trois actions terminées. Le
système ordonne la rotation du plateau et
le système recommence le même cycle
jusqu’à l’arrêt.
Une fois le poinçon revenu en position haute, attente d’un nouveau « départ cycle ».
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Fonctionnement : A l’impulsion sur START le convoyeur avance la bande jusqu’à une distance D en mm
qui correspond à la consigne saisie et à la fin d’avance, un vérin actionne la coupe de tôle par descente et
montée du couteau et le système recommence le cycle jusqu’à il atteint le nombre n puis il vient à son état de
repos. L’arrêt de production est assuré par un bouton poussoir STOP qui permet : La remonter du couteau ;
L’arrêt du moteur ; La remise à zéro du compteur.
2-1 On demande de convertir le cahier de charge du fonctionnement de la tête d’usinage par les GRAFCET
de point de vue PO et PC GRAFCET de point de vue PO
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A la mise sous tension la partie commande démarrage les deux convoyeurs et à l’arrivée d’une pièce devant
le capteur S1 le système effectue le cycle suivant :
Le vérin A poussé la pièce jusqu’à l’action sur S3,
Simultanément la tige du vérin A se recule et la tige du vérin B pousse la pièce vers le tapis
d’évacuation,
A l’action sur le capteur S5 la tige du vérin B se recule,
A l’action sur le capteur S4 le système revient à son état de repos,
Le système recommence le cycle à chaque présence d’une pièce devant le capteur S1.
Le bouton poussoir STOP permet d’arrêter le système par remise à zéro de tout le système.
1-1 chaque convoyeur est entrainé par un moteur asynchrone triphasé et commandé par l’API On demande
de compléter le circuit de puissance relatif à la commande d’un moteur en tenant compte de sécurité du
moteur contre les surcharges mécaniques.
1-2 Les vérins A et B sont de types double effets et commandé par un distributeur pneumatique 4/2 on
demande de compléter le circuit puissance pour commander le vérin A par un API :
On demande de compléter les convexions de l’API avec les entrées/sorties du système, sachant que
l’alimentation intégrée de l’API est utilisé uniquement pour l’alimentation des entrées.
2-1 On demande de convertir le cahier de charge par un GRAFCET de point de vue PO et déduire le
GRAFCET de point de vue PC.
2-2 Convertir les étapes du GRAFCET par un programme en langage LADER.
2-3 Convertir les actions des étapes par un programme en langage LADER.
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