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D’URBANISME (PDU)
DE YAOUNDÉ
RAPPORT N°1
RÈGLEMENT D’URBANISME
Version définitive
Révision du Plan Directeur d’Urbanisme (PDU) de Yaoundé
Tome 5 : Règlement d’urbanisme (version définitive)
SOMMAIRE
PRÉAMBULE .......................................................................................................................................................... 2
Chapitre 5 : Dispositions applicables à la zone de polarisation d’activités informelles à encadrer (UC) :..... 35
Chapitre 12: Dispositions applicables aux zones de grands équipements à créer (AUE) ............................ 57
Chapitre 13 : Dispositions applicables aux autres zones naturelles (N1, N2, N5 et N6)............................... 60
Chapitre 14: Dispositions applicables à la zone urbanisable à partir de 2035 (N3) ...................................... 63
ANNEXES ............................................................................................................................................................. 69
En particulier, la loi n°2004/003 du 21 avril 2004 régissant l’urbanisme au Cameroun, prescrit l’élaboration
des DPU, pour déterminer les conditions d’utilisation et de maîtrise de l’espace urbain dans une
municipalité donnée. D’après ses articles 32 et 33, le PDU fixe les orientations fondamentales de
l’aménagement d’un territoire urbain, la destination générale des sols et la programmation des
équipements. Il est élaboré pour les Communautés Urbaines et pour des groupements de
communes dont le développement nécessite une action concertée.
À côté de cette loi, le décret n°2008/0736/PM du 23 avril 2008 fixant les modalités d'élaboration et de
révision des DPU prescrit en son article 29 (alinéa 1) que la procédure de révision d'un DPU intervient au
terme de la période de validité.
2. Objectifs du PDU
Selon l’article 2 (alinéa 2) du décret n°2008/073/PM du 23 avril 2008 fixant les modalités d’élaboration et
de révision des DPU, le dossier du PDU, comme tout autre DPU au Cameroun, est constitué des
documents suivants :
- Un rapport justificatif, qui fait une synthèse analytique de la situation sur les plans
géographique, naturel, environnemental, urbain, économique, démographique, financier et
institutionnel. Il propose principalement une programmation spatio-temporelle des équipements,
une structuration du territoire et son fonctionnement ;
- Des documents graphiques, qui présentent de manière synthétique l’état des lieux des
infrastructures, des équipements, du tissu urbain et la morphologie urbaine. Sous la forme de
proposition d'aménagement, la structure urbaine, la destination générale des sols, les zones
d'extension, la localisation des principales activités, équipements et réseaux viables ;
Trois principes généraux ont guidé l’élaboration du présent règlement d’urbanisme à savoir :
l’applicabilité, la logique et la simplicité. Ces trois principes doivent permettre d’aboutir à un règlement
d’urbanisme opérationnel.
Alignement : Ligne fictive déterminant la limite sur laquelle les façades des constructions doivent être
alignées.
Aménagement paysager : Il désigne l’ensemble des activités destinées à une requalification sanitaire et
esthétique d’un espace en vue de sa valorisation. L’intervention concerne autant le traitement du sol que
la création d’espaces verts.
Centralité : La centralité qualifie la capacité d’action d’un élément central (le centre urbain, la métropole)
Coefficient d’Occupation du Sol (COS) : Indice conventionnel déterminant le nombre de mètres carrés
de plan développé hors-œuvre susceptible d’être construit par mètre carré au sol. Le COS est donc un
nombre qui, multiplié par la surface d’un terrain, en exprime la surface totale de plancher constructible
sur ce terrain.
Emprise au sol : Emprise au sol est une notion du droit de l’urbanisme désignant la projection verticale
du volume d’une construction, tous débords et surplombs inclus.
Coefficient d’Emprise au Sol (CES) : C’est le rapport entre la surface occupée par la construction et la
surface de la parcelle.
Expropriation : Elle désigne une opération tendant à priver, contre son gré un propriétaire foncier de sa
propriété, pour cause d’utilité publique. La superficie de l’emprise permet de définir le régime applicable
à une construction en fonction des seuils.
Habitat (selon l’arrêté N°009/E/2/MINDUH) : Il est un espace de vie qui comprend notamment des
habitations, des équipements collectifs, (marchés, hôpitaux, écoles, etc.) des infrastructures (voirie,
jardins publics, aires de jeux, monuments publics, etc.) et des réseaux (assainissement, eau, électricité,
téléphone, etc.).
Limite séparative : Limite qui sépare l’unité foncière des propriétés privées ou publiques voisines.
Matériaux précaires : Ils correspondent à des matériaux de récupération (tôle, carton, plastique, contre-
plaqué) qui sont caractéristiques de l’habitat précaire dans les zones non loties et d’habitat informel.
Morphologie urbaine : La morphologie urbaine désigne la forme urbaine ou son étude (Formation,
évolution, transformation, strates, structure, etc.). La morphologie urbaine est le résultat des conditions
historiques, politiques, culturelles (et notamment architecturales) dans lesquelles la ville a été créée et
s’est agrandie.
Réhabilitation : Elle consiste à rénover sans détruire et sans démolir. C’est une opération, de nature
spécifique : entreprise essentiellement urbanistique, elle poursuit parallèlement, d’une part l’effort de la
rénovation urbaine, c’est-à-dire d’amélioration des conditions de vie sociale dans le milieu urbain, et
d’autre part la tache gigantesque de la conservation du volume historique bâti et de la sauvegarde de
l’image urbaine spécifique de ces centres.
Restructuration : C’est l’ensemble d’actions d’aménagement sur des espaces bâtis de manière
anarchique, dégradés ou réalisés en secteurs anciens, destinés à l’intégration d’équipements déterminés
ou à l’amélioration du tissu urbain des agglomérations.
Servitude d’utilité publique : La servitude d'utilité publique est une contrainte imposée aux bâtiments
ou unités foncières privées ; elle garantit la pérennité, l'entretien, l'exploitation et le fonctionnement d'une
installation d'intérêt général.
Trame verte : La trame verte désigne un espace vert continu traversant tout un territoire. La trame verte
décrit un réseau d'aires naturelles et semi-naturelles stratégiquement planifiées avec différentes
caractéristiques spatiales à différents niveaux d'échelle.
Zonage : Le zonage est un outil de règlementation, d’organisation et de contrôle d'un territoire, fixant
pour différentes zones constituant celui-ci, le type et les conditions de l'utilisation du sol.
Le présent Règlement d’Urbanisme a pour objet de déterminer l’affectation dominante des sols par zone,
en précisant l’usage principal qui peut en être fait et s’il y a lieu, la nature des activités qui peuvent y être
interdites ou soumises à des conditions particulières, telles l’ouverture ou l’extension d’établissements
industriels, ainsi que les divers modes d’occupation du sol qui font l’objet d’une réglementation spécifique.
Le présent Règlement d’Urbanisme s’applique sur toute l’étendue du territoire de la Communauté Urbaine
de Yaoundé, objet du plan de zonage tel que défini en annexe, aux futures opérations d’urbanisme, aux
constructions nouvelles ainsi qu’aux modifications ou extensions des constructions existantes.
Les dispositions du règlement d’urbanisme s’appliquent aux personnes de droit public ou privé.
Le présent Règlement d’Urbanisme s’applique sans préjudice des différentes lois, décrets, règlements,
arrêtés qui définissent l’urbanisme et l’aménagement foncier au Cameroun, notamment :
1. Lois
2. Ordonnance
3. Décrets
4. Arrêtés
Le présent règlement cadre avec les précisions des règlements d’urbanisme des POS de Yaoundé.
Les règles et servitudes définies dans le présent Règlement d’Urbanisme ne peuvent faire l’objet
d’aucune dérogation à l’exception des adaptations mineures rendues nécessaires par la nature du sol, la
configuration des parcelles ou le caractère des constructions avoisinantes. Elles feront l’objet d’une
décision motivée par l’autorité compétente.
1. Certificat d’urbanisme :
- Loi n°2004/003 du 21 avril 2004 régissant l'urbanisme au Cameroun : article 52 à 64, 103 ;
- Décret n°2008/0738/PM du 23 avril 2008 portant organisation des procédures et modalités de
l’aménagement foncier : article 12 à 44 ;
- Décret n°2008/0740/PM du 23 avril 2008 fixant le régime des sanctions applicables aux
infractions aux règles d’urbanisme.
3. Permis d’implanter :
- Loi n°2004/003 du 21 avril 2004 régissant l'urbanisme au Cameroun : article 104 à 106 ;
- Décret n°2008/0739/PM du 23 avril 2008 fixant les règles d’utilisation du sol et de la construction :
article 14 à 21 ;
- Loi n°2009 / 019 du 15 décembre 2009 portant fiscalité locale : article 87 à 90 ;
- Décret n°2008/0740/PM du 23 avril 2008 fixant le régime des sanctions applicables aux
infractions aux règles d’urbanisme.
4. Permis de construire :
- Loi n°2004/003 du 21 avril 2004 régissant l'urbanisme au Cameroun : article 107 à 113 ;
- Décret n°2008/0739/PM du 23 avril 2008 fixant les règles d’utilisation du sol et de la construction :
article 22 à 34 ;
- Loi n°2009 / 019 du 15 décembre 2009 portant fiscalité locale : article 87 à 90 ;
- Décret n°2008/0740/PM du 23 avril 2008 fixant le régime des sanctions applicables aux
infractions aux règles d’urbanisme.
5. Permis de démolir :
- Loi n°2004/003 du 21 avril 2004 régissant l'urbanisme au Cameroun : article 114 à 117 ;
- Décret n°2008/0739/PM du 23 avril 2008 fixant les règles d’utilisation du sol et de la construction :
article 35 à 44.
6. Certificat de conformité :
- Loi n°2004/003 du 21 avril 2004 régissant l'urbanisme au Cameroun : article 121 à 123 ;
- Décret n°2008/0739/PM du 23 avril 2008 fixant les règles d’utilisation du sol et de la construction :
article 45 à 49 ;
- Décret n°2008/0740/PM du 23 avril 2008 fixant le régime des sanctions applicables aux
infractions aux règles d’urbanisme.
1. Sont inconstructibles, les terrains exposés à des risques naturels (inondation, érosion, éboulement,
etc.), le domaine public et les aires écologiquement protégées telles que définies par la loi n°96‐12 du
05 août 1996 relative à la gestion de l’environnement.
2. Sont impropres à l'habitat, les terrains exposés à un risque industriel ou à des nuisances graves
(pollutions industrielles, acoustiques, etc.) et ceux de nature à porter atteinte à la santé publique et à la
quiétude des populations.
3. Pour être constructibles, les parcelles de terrain devront avoir une forme géométrique de quatre ou
bien de cinq côtés et de dimensions convenables. La surface minimale des parcelles est définie pour
chaque secteur par le présent règlement.
4. Les aménagements réalisés sur un terrain ne doivent jamais faire obstacle au libre écoulement des
eaux pluviales.
5. Toute construction nouvelle ne faisant pas partie d’un lotissement doit obligatoirement être dotée d’un
dispositif d’assainissement individuel soumis au préalable à l’autorisation de l’administration. Le
dispositif doit être conçu de manière à permettre un raccordement au réseau collectif lorsqu’il sera créé.
6. Tout projet de rénovation ou de restructuration doit proposer le mode le plus approprié d’assainissement
des eaux usées en tenant compte du pouvoir épurateur du sol et de la concentration des parcelles qui
doivent être toutes assainies.
7. Tout nouveau projet de lotissement doit proposer le réseau d’assainissement collectif des eaux usées
le plus approprié en tenant compte du pouvoir épurateur du sol et de la concentration des parcelles qui
doivent être toutes assainies.
8. Tout projet de logements collectifs doit proposer un réseau d’assainissement collectif des eaux usées
avec valorisation énergétique.
9. Tout projet de lotissement, de rénovation ou de restructuration doit réserver une superficie d’au moins
30% de son programme pour la voirie et les équipements d’accompagnement obligatoires.
10. L’affectation des réserves prévues à l’article 9 ci-dessous, se fait conformément aux grilles de
répartition des équipements en vigueur.
11. Dans le cas de plusieurs programmes adjacents, l’utilisation des réserves des nouveaux projets doit
tenir compte des affectations antérieures.
Les zones de règlement spécifique sont des espaces délimités et assujettis aux dispositions des cahiers
des charges qui leurs sont applicables à l’image de l’hypercentre, des pôles d’équilibre et des centralités
secondaires. Ces zones doivent disposer de règlements destinés à régir l’organisation des sols dans les
périmètres concernés.
Les règlements spécifiques adoptés sont intégralement applicables aux zones concernées sauf
dispositions spéciales justifiées et approuvées de l’autorité en charge de l’application du présent
règlement du PDUY-h2035. L’objectif du PDU est de conforter/orienter ces règlements spécifiques et
surtout de créer les conditions d’applicabilité desdits cahiers de charges.
Les servitudes d'utilité publique sont instituées pour garantir la pérennité, l'entretien, l'exploitation et le
fonctionnement d'un équipement public. Elles ne peuvent faire l’objet d’affectation à titre privé ou de
construction de toutes sortes, à l’exception des aménagements paysagers et touristiques.
Les règles applicables sont essentiellement des règles d’interdiction qui se formulent par une distance
minimale à observer vis-à-vis des installations.
- La chaussée ;
- Les fossés et les systèmes de drainage ;
- Les trottoirs et les accotements ;
Aucune construction n’est autorisée à moins de 20 mètres de part et d’autre des lignes de haute tension.
Il faudrait se référer aux règles prescrites par les autorités responsables de la gestion de ces zones.
La délivrance des permis de construire est conditionnée par un avis favorable desdits services.
Les textes de loi en vigueur ne faisant pas mention des servitudes relatives à l’eau, celles-ci restent à
l’appréciation de la Mairie de la ville de Yaoundé, en attendant la réalisation de l’étude spécifiant les
emprises et les hauteurs des cours d’eau, lacs et étangs2, etc.
Toute modification, démolition, reconstruction ultérieure du bati doit faire l’objet, au préalable, d’une
nouvelle demande d’autorisation de démolir, avec présentation d’un plan de modification ou d’une
autorisation spécifique des autorités compétentes pour les travaux, et ceci quel que soit le secteur ou la
zone considérée.
Dans l’ensemble des zones, les terrains à bâtir doivent être desservis par des voies publiques ou privées
permettant leur accès direct, sans qu’il ne soit nécessaire de créer une servitude de passage sur des
terrains voisins. La voie de desserte est un espace public qui doit être en bon état et permettre de
satisfaire aux exigences de sécurité.
Lorsque les voies se terminent en impasse, un dispositif permettant de faire demi-tour doit être aménagé.
Si ce dispositif n’est pas faisable, la voie en impasse ne doit pas dépasser 40 mètres de long.
Dans l’ensemble des zones, toute construction ou installation nouvelle nécessitant une alimentation en
eau doit être obligatoirement raccordée au réseau collectif de distribution d’eau potable.
2 Cette étude est l’une des mésures opérationnelles d’aménagement du PDUY-h2035 énoncées dans le Rapport Justificatif.
2. Assainissement
- Eaux usées
Toute construction ou installation doit être obligatoirement raccordée au réseau collectif d’assainissement
public.
En cas d’absence de réseau public, les eaux usées doivent être éliminées selon un dispositif
d’assainissement autonome répondant aux normes en vigueur en milieu urbain.
Toutefois, en l’absence de réseau de collecte des eaux usées ou si le réseau n’est pas établi, la
construction ou l’installation doit être assainie suivant un dispositif conforme aux normes en vigueur tout
en réservant la possibilité d’un raccordement ultérieur au réseau collectif.
- Eaux pluviales
Lorsque le réseau de drainage des eaux pluviales existe, les aménagements doivent en garantir le
fonctionnement optimal.
Toutefois, en l’absence d’un réseau de drainage des eaux pluviales, le constructeur doit réaliser sur son
terrain et à sa charge, des dispositifs appropriés et permettant l’évacuation des eaux pluviales.
- Électricité - Téléphone
Les nouvelles installations de distribution électrique et de téléphone doivent être réalisées de manière à
permettre la meilleure dissimulation possible du réseau de câbles.
Article 7. Stationnement
Le stationnement des véhicules généré par toute construction et l’usage de la parcelle doit être assuré
en dehors des emprises publiques. Ledit stationnement doit être effectué sur les propriétés privées, en
sous -sols ou en surface.
L’occupation des aires de stationnement pour tout autre usage est interdite.
Toute construction ou implantation d’activités est soumise au respect du cadre règlementaire tel que
défini par la loi n°96‐12 du 05 août 1996 portant loi cadre relative à la gestion de l’environnement ainsi
que l’ensemble des textes qui l’ont complétés ou modifiés.
Les surfaces libres de toute construction ou n’ayant pas encore fait l’objet d’aménagement, ainsi que les
Les arbres existants doivent être maintenus ou remplacés. Les nouvelles plantations doivent être
réalisées en fonction du caractère de l’espace, de sa vocation et des données techniques liées à l’écologie
du milieu. Tout abatage d’arbre dans le cadre de projets urbains et architecturaux devra être soumis à
l’autorisation de l’autorité compétente. Les espaces publics doivent être aménagés conformément aux
normes environnementales en vigueur.
Les aires de jeux et de loisirs devront être intégrées à l’espace urbain avec un traitement paysager. Un
mobilier répondant aux normes de sécurité en vigueur et adapté au contexte sera utilisé. Il sera préservé
une superficie maximale d’espace non imperméabilisé.
Toute occupation des voies, qu’elles soient publiques ou privées, à partir du moment où elles sont
ouvertes à la circulation, doit faire l’objet d’une autorisation de l’administration, délivrée à titre précaire ou
révocable et moyennant le versement d’une redevance d’usage.
Les dispositions du présent article concernent aussi les installations en surplomb de la voie publique telles
que les balcons, enseignes et galeries couvertes.
2. Permission de voirie :
Les échafaudages et les dépôts de matériaux sur la voie publique devront faire l’objet d’une permission
de voirie. Les chantiers de construction seront entourés d’une palissade continue d’une hauteur minimale
de 2 mètres. Un panneau de chantier sera installé sur la palissade et devra comporter les informations
relatives à la nature de la construction, le nom ou la raison sociale du Maitre d’ouvrage, le nom et les
coordonnées de l’entreprise en charge des travaux, la durée prévisionnelle des travaux. Les tranchées
sur la voie publique seront exécutées sous le contrôle d’un agent de l’administration.
La Communauté Urbaine de Yaoundé est compétente pour toutes les questions relatives à la conception,
et aux modifications éventuelles du présent PDU. Le Maire de la ville de Yaoundé par l’intermédiaire de
ses services est compétent pour tout ce qui concerne l’application des prescriptions et recommandations
du PDU.
La zone urbanisée (U) est constituée des sous-zones UH1, UH2, UH3, UA, UC, UI et UE qui
correspondent à la zone d’habitat planifié/administré à réhabiliter (UH1) ; la zone d’habitat non loti à
restructurer (UH2) ; la zone d’habitat précaire à rénover (UH3) ; la zone administrative existante (UA) ; la
zone industrielle existante (UI) ; polarisation d’activités informelles à encadrer (UC) et la zone de grands
équipements existants (UE).
Il s’agit de la zone d’habitat dont les lotissements ont été approuvés par l'autorité publique compétente.
Elle est dominée par les logements construits à l’initiative de particuliers sur des parcelles autorisées,
suivant des réglementations prévues à cet effet par les différents promoteurs mais aussi des cités
immobilières réalisées par la société immobilière du Cameroun (SIC). Elle se localise dans les quartiers :
Olembe II, Okolo, Emana Carrefour, Mballa II-C, Mballa VII, Mballa III-B, Mballa III-A, Mballa IV, Mballa
V, Mfandena II, Mballa II, Djoungolo III, Nlongkak II, Djoungolo IV, Mballa I, Bastos, Nlongkak I, Elig-
Essono, Ntoungou, Nkom-Kana, Tsinga, Cité verte, Mokolo, Grand Messa, Nsimeyong I, Nsimeyong II,
Ahala I, Minboman III, Emombo, Nkol-Ndongo I, Nkol-Ndongo II, Kondengui I, Etam-Bafia, Nkomo, Biteng,
Ngousso I, Ngousso II, Mfandena I, Nkol-Ebogo, Quartier Fouda, Essos, Biyem-Assi, Mendong, Elig-Effa
V, Nkolbisson.
Sont interdites, toute occupation et toute utilisation du sol aux fins d’implantation :
Nonobstant les dispositions de l’article 1 du présent chapitre et sous réserve de l’application des
dispositions légales et réglementaires spécifiques en vigueur, les occupations et utilisations des sols
suivantes peuvent être autorisées :
Les terrains ne disposant pas d’un accès sur une voie publique ou privée commune ne peuvent faire
l’objet d’aucune construction.
Les constructions doivent permettre un libre accès au réseau d’eau potable. Parallèlement, il est interdit
Aucun aménagement réalisé sur un terrain ne doit faire obstacle au libre écoulement des eaux pluviales.
En cas d’existence d’un réseau collecteur des eaux pluviales, les aménagements réalisés sur un terrain
devront être tels qu’ils garantissent l’écoulement des eaux pluviales dans ce réseau.
Les parcelles de terrain constructibles de tout lotissement doivent avoir une forme géométrique de quatre
(04) ou cinq (05) côtés et de dimensions convenables.
Pour ce qui est des terrains de la MAETUR, lorsqu’une parcelle se retrouve au niveau d’une intersection,
elle doit avoir une taille minimale de 200 m2. Dans d’autres cas, la taille minimale de la parcelle peut aller
jusqu’à 150 m2.
Article 6. Implantation des constructions par rapport aux voies publiques et privées
Les façades de toute construction à édifier en bordure de voie doivent être implantées à 5 mètres par
rapport aux voies publiques et privées.
L’ordonnancement général des constructions le long des voies doit aboutir à présenter un front de façades
continues entre deux intersections avec des voies latérales. Le bâti est édifié en limite avant de parcelle.
Toute matérialisation des limites de propriété en façade sur rue par des éléments entravant la circulation
est interdite. Tout élément de mobilier ou aménagement portant entrave à la circulation des piétons sur
les trottoirs est interdit.
L’implantation d’une construction en limite séparative peut être refusée si elle a pour effet de porter
gravement atteinte aux conditions d’habitabilités d’un immeuble voisin ou à l’aspect du paysage urbain.
Les constructions peuvent être contiguës à la limite séparative. La façade ne doit pas comporter de baies.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Lorsque des façades ou parties de façade de constructions en vis à vis sur un même terrain comportent
Lorsque les façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain ne
comportent pas de baie constituant une vue, aucune distance minimale n’est requise.
Pour les zones dont les surfaces des parcelles sont strictement inférieures à 350 m², le coefficient
d’emprise au sol est limité à un maximum de 50%. Celles dont les surfaces de parcelles sont supérieures
à 350 m² et strictement inférieures à 500 m², respecteront un coefficient d’emprise au sol au maximum
de 60%. Enfin un coefficient d’emprise au sol maximum de 65% est fixé pour les parcelles dont les
surfaces sont supérieures à 500 m².
La hauteur maximale des constructions est de 33 mètres. Cependant, la hauteur des constructions à
proximité des grands équipements stratégiques à caractère administratif, sécuritaire, diplomatique, etc.,
est limitée à 8 mètres à partir du point le plus élevé.
Les ouvrages spécifiques tels que les châteaux d’eau ou les monuments ne sont pas soumis à cette
disposition.
Toute construction devra s’intégrer harmonieusement à son environnement immédiat et se conformer aux
prescriptions en matière de forme et de matériaux. Les enseignes devront être :
- Soit intégrées dans le volume de construction et s’inscrire, dans ce cas, dans celles des bâtiments
à édifier ;
- Soit implantées sur des portiques conformément à la réglementation en vigueur.
La surface réservée pour les espaces libres et plantations dans chaque parcelle constructible varie de
35% à 50% en fonction de la surface de la parcelle concrenée, comme spécifié dans le tableau suivant :
Les espaces libres ici font référence aux espaces de circulation, parking, forage, etc. ; ils peuvent être
imperméabilisés.
Les espaces plantés ici font référence aux espaces dédiés à la verdure ; ils sont non imperméabilisables,
aucun revêtement n’y est autorisé.
La zone UH2 correspond à des espaces bâtis de manière anarchique, nécessitant un ensemble d’actions
de restructuration en vue d’intégrer des équipements déterminés ou d’améliorer le tissu urbain. Cette
zone nécessite une densification selon les densités minimales réglementaires établies. Elle est repérable
dans les quartiers : Mballa II, Mballa I, Elig-Essono, Centre Commercial, Okolo, Nkolondom I, Nkolondom
II, Nkolondom III, Nyom I, Olembe I, Ndjon'Assi, Oban (Emma Centre), Mballa III-B, Mballa III-E, Mballa
III-C, Emana Carrefour, Djoungolo I, Mballa II, Madagascar, Mokolo, Ekoudou, Tsinga, Nkom-Kana, Ecole
de Police, Ntoungou, Nsimeyong 1, Ahala 1, Efoulan, Nlong Mvolye, Obobogo, Nsam, Melen 2 - Centre
Administratif, Ahala 2, Nsimeyong 3, Dakar, Nsimeyong 2, Mvan-Nord, Ndamvout, Messame-Ndongo,
Odza, Mvog-Mbi, Ekoumdoum, Awae, Nkomo, Biteng, Mimboman 1, Etam-Bafia, Mvan-Sud, Ekie,
Kondengui 3, Kondengui 2, Mimboman 3, Abomé, Nkol-Messeng, Ngousso 1, Mvog Ebanda, Ngousso-
Ntem, Ngoulmekong, Essassalakok, Abom, Ngona, Simbock, Mendong, Eba'a (Mvog-Betsi), Biyem Assi,
Etoug Ebe II, Etoug Ebe I, Elig Effa VI, Oyom-Abang, Nkolbisson, Nkolafeme, Minkoameyos, Nkolso.
Sont interdites, toute occupation et toute utilisation du sol aux fins d’implantation :
Toutes les activités présentant des risques d’incendie, d’explosion, d’émission de fumées polluantes et
de nuisances susceptibles de porter atteinte à la sécurité des personnes et des biens, ne peuvent être
exercées dans cette zone.
Nonobstant les dispositions de l’article 1 du présent chapitre et sous réserve de l’application des
dispositions légales et réglementaires spécifiques en vigueur, les occupations et utilisations des sols
suivantes peuvent être autorisées :
Les terrains ne disposant pas d’un accès sur une voie publique ou privée commune ne peuvent faire
l’objet d’aucune construction.
Les constructions doivent permettre un libre accès au réseau d’eau potable ; Parallèlement, il est interdit
d’occuper par des constructions, l’emprise des réseaux et dispositifs électriques ainsi que des réseaux
de communication (téléphonie, fibre optique) et d’en obstruer ou d’en gêner l’accès.
Aucun aménagement réalisé sur un terrain ne doit faire obstacle au libre écoulement des eaux pluviales.
En cas d’existence d’un réseau collecteur des eaux pluviales, les aménagements réalisés sur un terrain
devront être tels qu’ils garantissent l’écoulement des eaux pluviales dans ce réseau.
Les parcelles de terrain constructibles de tout lotissement doivent avoir une forme géométrique de quatre
(04) ou cinq (05) côtés de dimension considérables.
Pour ce qui est des terrains de la MAETUR, lorsqu’une parcelle se retrouve au niveau d’une intersection,
elle doit avoir une taille minimale de 200 m2. Dans d’autres cas, la taille minimale de la parcelle peut aller
jusqu’à 150 m2.
Article 6. Implantation des constructions par rapport aux voies publiques et privées
Les façades de toute construction à édifier en bordure de voie doivent être implantées à 5 mètres par
rapport aux voies publiques et privées.
L’ordonnancement général des constructions le long des voies doit aboutir à présenter un front de façades
continues entre deux intersections avec des voies latérales. Le bâti est édifié en limite avant de parcelle.
Toute matérialisation des limites de propriété en façade sur rue par des éléments entravant la circulation
est interdite. Tout élément de mobilier ou aménagement portant entrave à la circulation des piétons sur
les trottoirs est interdit.
L’implantation d’une construction en limite séparative peut être refusée si elle a pour effet de porter
gravement atteinte aux conditions d’habitabilités d’un immeuble voisin ou à l’aspect du paysage urbain.
Les constructions peuvent être contiguës à la limite séparative. La façade ne doit pas comporter de baies.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Lorsque des façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain comportent
des baies constituant l’éclairement premier de pièces principales, elles doivent être édifiées de manière
que la distance qui les sépare soit égale à un minimum de 3 mètres.
Lorsque les façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain ne
comportent pas de baie constituant une vue, aucune distance minimale n’est requise.
Pour les zones dont les surfaces des parcelles sont strictement inférieures à 350 m², le coefficient
d’emprise au sol est limité à un maximum de 50%. Celles dont les surfaces des parcelles sont supérieures
à 350 m² et strictement inférieures à 500 m² respecteront un coefficient d’emprise au sol au maximum de
60%. Enfin un coefficient d’emprise au sol maximum de 65% est fixé pour les parcelles dont les surfaces
sont supérieures à 500 m².
La hauteur maximale des constructions dans cette zone est définie à 33 mètres. Cependant, la hauteur
des constructions à proximité des grands équipements stratégiques à caractère administratif, sécuritaire,
diplomatique, etc., est limitée à 8 mètres à partir du point le plus élevé.
Les ouvrages spécifiques tels que les châteaux d’eau ou les monuments ne sont pas soumis à cette
disposition.
Toute construction devra s’intégrer harmonieusement à son environnement immédiat et se conformer aux
prescriptions en matière de forme et de matériaux. Les enseignes devront être :
- Soit intégrées dans le volume de construction et s’inscrire, dans ce cas, dans celles des bâtiments
à édifier ;
- Soit implantées sur des portiques conformément à la réglementation en vigueur.
Les espaces libres ici font référence aux espaces de circulation, parking, forage, etc. ; ils peuvent être
imperméabilisés.
Les espaces plantés ici font référence aux espaces dédiés à la verdure ; ils sont non imperméabilisables,
aucun revêtement n’y est autorisé.
La zone UH3 correspond à des secteurs urbains insalubres, défectueux, ou inadaptés, nécessitant la
démolition totale ou partielle en vue d’y implanter des constructions nouvelles dans une logique de
densification. Elle est localisée dans les quartiers : Mballa III-A, Mfandena II, Nlongkak II, Etoa Meki,
Djoungolo I, Djoungolo III, Djoungolo IV, Nlongkak I, Djoungolo II, Mballa V, Mballa IV, Mballa VI, Cite
Verte, Madagascar, Mokolo, Grand-Messa, Ekoudou, Tsinga, Nkom-Kana, Messa Carriere, Oliga, Ecole
de Police, Nsimeyong I, Obili, Ngoa-Ekele I, Nlong Mvolye, Olezoa, Ndamvout, Mvog-Mbi, Kondengui I,
Mimboman I,Etam-Bafia, Nkol-Ndongo II, Emombo,Nkol-Ndongo I, Nkol-Ebogo, Quartier Fouda, Mvog-
Ada, Melen IV C, Nkol Bikok I, Nkol Bikok II, Melen III, Melen VI, Melen IX, Melen VII-A, Melen VIIB,
Melen I, Melen V, Melen IV, Elig Effa I, Elig Effa II, Elig Effa V, Elig Effa VI, Elig Effa IV, Elig Effa VII,
Oyom-Abang, Etetak.
Sont interdites, toute occupation et toute utilisation du sol aux fins d’implantation :
Toutes les activités présentant des risques d’incendie, d’explosion, d’émission de fumées polluantes et
de nuisances susceptibles de porter atteinte à la sécurité des personnes et des biens ne peuvent être
exercées dans cette zone.
Nonobstant les dispositions de l’article 1 du présent chapitre et sous réserve de l’application des
dispositions légales et réglementaires spécifiques en vigueur, les occupations et utilisations des sols
suivantes peuvent être autorisées :
Les terrains ne disposant pas d’un accès sur une voie publique ou privée commune ne peuvent faire
l’objet d’aucune construction.
Les constructions doivent permettre un libre accès au réseau d’eau potable ; Parallèlement, il est interdit
d’occuper par des constructions, l’emprise des réseaux et dispositifs électriques ainsi que des réseaux
de communication (téléphonie, fibre optique) et d’en obstruer ou d’en gêner l’accès.
Aucun aménagement réalisé sur un terrain ne doit faire obstacle au libre écoulement des eaux pluviales.
En cas d’existence d’un réseau collecteur des eaux pluviales, les aménagements réalisés sur un terrain
devront être tels qu’ils garantissent l’écoulement des eaux pluviales dans ce réseau.
Les parcelles de terrain constructibles de tout lotissement doivent avoir une forme géométrique de quatre
(04) ou cinq (05) côtés de dimensions convenables.
Pour ce qui est des terrains de la MAETUR, lorsqu’une parcelle se retrouve au niveau d’une intersection,
elle doit avoir une taille minimale de 200 m2. Dans d’autres cas, la taille minimale de la parcelle peut aller
jusqu’à 150 m2.
Les façades de toute construction à édifier en bordure de voie doivent être implantées à 5 mètres par
rapport aux voies publiques et privées.
L’ordonnancement général des constructions le long des voies doit aboutir à présenter un front de façades
continues entre deux intersections avec des voies latérales. Le bâti est édifié en limite avant de parcelle.
Toute matérialisation des limites de propriété en façade sur rue par des éléments entravant la circulation
est interdite. Tout élément de mobilier ou aménagement portant entrave à la circulation des piétons sur
les trottoirs est interdit.
Les constructions peuvent être contiguës à la limite séparative. La façade ne doit pas comporter de baies.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Lorsque des façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain comportent
des baies constituant l’éclairement premier de pièces principales, elles doivent être édifiées de manière
que la distance qui les sépare soit égale au minimum à 3 mètres.
Lorsque les façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain ne
comportent pas de baie constituant une vue, aucune distance minimale n’est requise.
La hauteur maximale des constructions dans cette zone est définie à 33 mètres. Cependant, la hauteur
des constructions à proximité des grands équipements stratégiques à caractère administratif, sécuritaire,
Les ouvrages spécifiques tels que les châteaux d’eau ou les monuments ne sont pas soumis à cette
disposition.
Toute construction devra s’intégrer harmonieusement dans son environnement immédiat et se conformer
aux prescriptions en matière de forme et de matériaux. Les enseignes devront être :
- Soit intégrées dans le volume de construction et s’inscrire, dans ce cas, dans celles des bâtiments
à édifier ;
- Soit implantées sur des portiques conformément à la réglementation en vigueur.
Le stationnement des véhicules doit être assuré en dehors des emprises publiques, sur les propriétés
privées, en sous-sols ou en surface.
Unités d’habitation 1 place / 100 m2 de plancher construit avec un minimum d'une place
par logement
Établissement recevant du public 1 place / 25 m2 de plancher construit
La surface réservée pour les espaces libres et plantations dans chaque parcelle constructible varie de
35% à 50% en fonction de la surface de la parcelle concrenée, comme spécifié dans le tableau suivant :
Les espaces libres ici font référence aux espaces de circulation, parking, forage, etc. ; ils peuvent être
imperméabilisés.
Les espaces plantés ici font référence aux espaces dédiés à la verdure ; ils non imperméabilisables,
aucun revêtement n’y est autorisé.
La zone administrative comprend les bâtiments administratifs publics ou parapublics dont le voisinage
n’est pas indéniable pour l’habitation, les logements de fonctions. Elle est localisée dans les quartiers :
Tsinga Village, Oban, Mballa I, Mballa II, Bastos, Ecole de Police, Centre Commercial, Djoungolo I,
Nlongkak I, Tsinga, Nkom-Kana, Ntoungou, Grand-Messa, Melen II- Centre Administratif, Olezoa,
Efoulan, Ekounou, Mvog Ada, Biyem- Assi, Melen V, Melen I, Elig- Effa V.
Elle doit être viabilisée en fonction des besoins de l’Administration domaniale et communale.
- Des constructions à usage d’habitation sauf celles liées au fonctionnement des services
administratifs (logements d’astreintes) ;
- Des établissements dits dangereux, insalubres ou incommodes figurant sur la liste annexée au
décret n° 76/372 de la 2/9/1976 portante réglementation de ces établissements ;
- Des dépôts d’hydrocarbures, sauf ceux qui sont liés strictement au service des usages
automobiles, parking et station-service ;
- Des terrains de camping et de caravaning ;
- D’ouverture et l’exploitation des carrières ;
- Des affouillements et exhaussement des sols qui ne sont pas nécessaires aux travaux de
construction.
Nonobstant les dispositions de l’article 1 du présent chapitre et sous réserve de l’application des
dispositions légales et réglementaires spécifiques en vigueur, les occupations et utilisations des sols
suivantes peuvent être autorisées :
- Les habitations des particuliers à condition qu’elles respectent les dispositions du présent
règlement ;
- Les postes de peinture et les dépôts d’hydrocarbures lorsqu’ils constituent l’annexe fonctionnelle
d’un garage pour automobiles ou d’une station-service. Des dispositions particulières doivent
alors être prises pour limiter les risques d’incendie et en éviter la propagation ;
- Les établissements culturels, sociaux et les aires de jeux ;
- Les établissements ouverts au public, après autorisation préalable et à condition qu’ils
Les terrains ne disposant pas d’un accès sur une voie publique ou privée commune ne peuvent faire
l’objet d’aucune construction.
Les constructions doivent permettre un libre accès au réseau d’eau potable. Parallèlement, il est interdit
d’occuper par des constructions, l’emprise des réseaux et dispositifs électriques ainsi que des réseaux
de communication (téléphonie, fibre optique) et d’en obstruer ou d’en gêner l’accès.
Tout aménagement réalisé sur un terrain ne doit jamais faire obstacle au libre écoulement des eaux
pluviales. En cas d’existence d’un réseau collecteur des eaux pluviales, les aménagements réalisés sur
un terrain devront être tels qu’ils garantissent l’écoulement des eaux pluviales dans ce réseau.
Les parcelles de terrain constructibles de tout lotissement doivent avoir une forme géométrique de quatre
(04) ou cinq (05) côtés de dimensions convenables.
Article 6. Implantation des constructions par rapport aux voies publiques et privées
Les façades de toute construction à édifier en bordure de voie doivent être implantées à 5 mètres par
rapport aux voies publiques et privées.
L’ordonnancement général des constructions le long des voies doit aboutir à présenter un front de façades
continues entre deux intersections avec des voies latérales. Le bâti est édifié en limite avant de parcelle.
Toute matérialisation des limites de propriété en façade sur rue par des éléments entravant la circulation
est interdite. Tout élément de mobilier ou aménagement portant entrave à la circulation des piétons sur
les trottoirs est interdit.
L’implantation d’une construction en limite séparative peut être refusée si elle a pour effet de porter
gravement atteinte aux conditions d’habitabilité d’un immeuble voisin ou à l’aspect du paysage urbain.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Lorsque des façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain comportent
des baies constituant l’éclairement premier de pièces principales, elles doivent être édifiées de manière
que la distance qui les sépare soit égale à un minimum de 3 mètres.
Lorsque les façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain ne
comportent pas de baie constituant une vue, aucune distance minimale n’est requise.
Pour les zones dont les surfaces des parcelles sont strictement inférieures à 350 m², le coefficient
d’emprise au sol est limité à un maximum de 50%. Celles dont les surfaces des parcelles sont supérieures
à 350 m² et strictement inférieures à 500 m² respecteront un coefficient d’emprise au sol au maximum de
60%. Enfin un coefficient d’emprise au sol maximum de 65% est fixé pour les parcelles dont les surfaces
sont supérieures à 500 m².
La hauteur maximale des constructions dans cette zone n’est pas définie. Cependant, la hauteur des
constructions à proximité des grands équipements stratégiques à caractère administratif, sécuritaire,
diplomatique, etc., est limitée à 8 mètres à partir du point le plus élevé.
Les ouvrages spécifiques tels que les châteaux d’eau ou les monuments ne sont pas soumis à cette
disposition.
Toute construction devra s’intégrer harmonieusement dans son environnement immédiat et se conformer
aux prescriptions en matière de forme et de matériaux. Les enseignes devront être :
- Soit intégrées dans le volume de construction et s’inscrire, dans ce cas, dans celles des bâtiments
à édifier ;
- Soit implantées sur des portiques conformément à la règlementation en vigueur.
Le stationnement des véhicules doit être assuré en dehors des emprises publiques, sur les propriétés
privées, en sous-sols ou en surface.
Pour les espaces libres et plantations dans chaque parcelle constructible, voir tableau suivant :
Les espaces libres ici font référence aux espaces de circulation, parking, forage, etc. ; ils peuvent être
imperméabilisés.
Les espaces plantés ici font référence aux espaces dédiés à la verdure ; ils sont non imperméabilisables,
aucun revêtement n’y est autorisé.
La zone UC correspond à des îlots limitrophes des grands axes urbains (primaires) présentant un
caractère commercial marqué par un paysage urbain mixte (habitation et commerce). Il s’agit pour le
règlement de reconnaitre le potentiel commercial de ces rues et d’encadrer leur dynamique de
construction afin d’obtenir une cohérence de la morphologie urbaine.
Il s’agit également du domaine public du chemin de fer, dont la réglementation du présent PDU préconise,
pour toute occupation, de se conformer à la loi no 74/10 du 16 juillet 1974 relative à la police et à la
sécurité des chemins de fer.
La zone de grands axes se localise dans les quartiers : Centre commercial, Nlongkak I, Nlongkak II,
Djoungolo III, Djoungolo IV, Mballa II, Mballa III-A, Mballa III-B, Emana Carrefour, Mballa III-C, Mballa III-
E, Oban, Ekombité, Nyom I, Nyom II, Olembe I, Olembe II, Ndjon’Assi, Nkolondom I, Nkolondom III, Elig-
Essono, Nkolmbong, Mokolo, Madagascar, Nkom-Kana, Citer Verte, Ntoungou, Messa Carrière, Melen
2- Centre Administratif, Olezoa, Dakar, Nlong Mvolye, Obili, Nsimeyong I, Nsimeyong II, Ahala I, Ahala II,
Etoa, Afanoyoa I, Afanoyoa II, Afanoyoa III, Nkolfon, Nkolmesseng I, Mekoumbou II, Mimboman III,
Emombo, Nkol-Ndongo I, Nkol-Ndongo II, Ndamvout, Kondengui I, Ekounou, Biteng, Nkomo, Awae,
Ekoumdoum, Mvan-Nord, Mvan- Sud, Odza, Abomé, Toutouli, Meyo, Nkolnkondi, Ngousso I, Ngousso II,
Mvog Ebanda, Nkol-Messeng, Essassalakok, Nkol-Ebogo, Essos, Mvog- Ada, Simbock, Mendong, Etoug
Ebe I, Biyem Assi, Etoug Ebe II, Melen IVC, Eba’a, Melen VI, Melen VIIB, Nkol Bikok I, Elig Effa IV, Elig
Effa V, Nkolso, Oyom-Abang, Etetak, Nkolafeme, Minkoameyos.
- Des établissements dits dangereux, insalubres ou incommodes figurants sur la liste annexée au
décret n° 76 /372 de la 02/09/1976 portante réglementation de ces établissements ;
- Des dépôts d’hydrocarbures, sauf ceux qui sont liés strictement au service des usages
automobiles, parking et station-service ;
- Des terrains de camping et caravaning ;
- D’ouverture de l’exploitation de carrières ;
- D’affouillements/exhaussements des sols qui ne sont pas nécessaires aux travaux de
construction.
Toutes les activités présentant des risques d’incendie, d’explosion, d’émission de fumées polluantes et
Nonobstant les dispositions de l’article 1 du présent chapitre et sous réserve de l’application des
dispositions légales et réglementaires spécifiques en vigueur, les occupations et utilisations du sol
suivantes peuvent être autorisées :
- Les constructions à usage d’habitation à condition qu’elles respectent les dispositions du présent
règlement ;
- Les postes de peinture et dépôts d’hydrocarbures lorsqu’ils constituent l’annexe fonctionnelle
d’un garage pour automobile ou d’une station-services. Des dispositions particulières doivent
alors être prises pour limiter les risques d’incendie et en éviter la propagation ;
- Les établissements culturels, sociaux, les aires de jeux et services liés à l’habitation ;
- Les constructions à usage de commerce, d’artisanat et leurs annexes ;
- Les établissements ouverts au public, après autorisation préalable et à condition qu’ils ne créent
ni contrainte en matière de sécurité pour les accès, ni gêne pour le voisinage.
Les terrains ne disposant pas d’un accès sur une voie publique ou privée commune ne peuvent faire
l’objet d’aucune construction.
Les constructions doivent permettre un libre accès au réseau d’eau potable. Parallèlement, il est interdit
d’occuper par des constructions, l’emprise des réseaux et dispositifs électriques ainsi que des réseaux
de communication (téléphonie, fibre optique) et d’en obstruer ou d’en gêner l’accès.
Tout aménagement réalisé sur un terrain ne doit jamais faire obstacle au libre écoulement des eaux
pluviales. En cas d’existence d’un réseau collecteur des eaux pluviales, les aménagements réalisés sur
un terrain devront être tels qu’ils garantissent l’écoulement des eaux pluviales dans ce réseau.
Les parcelles de terrain constructibles de tout lotissement doivent avoir une forme géométrique de quatre
(04) ou cinq (05) côtés de dimensions convenables.
L’ordonnancement général des constructions le long des voies doit aboutir à présenter un front de façades
continues entre deux intersections avec des voies latérales.
Le bâti est édifié en limite avant de parcelle. Toute matérialisation des limites de propriété en façade sur
rue par des éléments entravant la circulation est interdite.
Tout élément de mobilier ou aménagement portant entrave à la circulation des piétons sur les trottoirs est
interdit.
Les constructions peuvent être contiguës à la limite séparative. La façade ne doit pas comporter de baies.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Lorsque des façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain comportent
des baies constituant l’éclairement premier de pièces principales, elles doivent être édifiées de manière
que la distance qui les sépare soit égale à 3 mètres au moins.
Lorsque les façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain ne
comportent pas de baie constituant une vue, aucune distance minimale n’est requise.
Les ouvrages spécifiques tels que les châteaux d’eau ou les monuments ne sont pas soumis à cette
disposition.
- Soit intégrées dans le volume de construction et s’inscrire, dans ce cas, dans celles des bâtiments
à édifier ;
- Soit implantées sur des portiques conformément à la règlementation en vigueur.
Le stationnement des véhicules doit être assuré en dehors des emprises publiques, sur les propriétés
privées, en sous-sols ou en surface.
Une surface doit être réservée pour les espaces libres et plantations dans chaque parcelle
constructible comme suit :
Les espaces libres ici font référence aux espaces de circulation, parking, forage, etc. ; ils peuvent être
imperméabilisés.
Les espaces plantés ici font référence aux espaces dédiés à la verdure ; ils sont non imperméabilisables,
aucun revêtement n’y est autorisé.
Il s’agit d’une zone dévolue aux équipements et unités industrielles et aux activités de manutention
existantes. Elle est localisée dans les quartiers : Okolo, Nsam, Mvan-Nord, Mvan-Sud et Ndamvout.
Sont interdites, toute occupation et toute utilisation du sol aux fins d’implantation :
- Des bâtiments à usage d’habitation et leurs annexes, à l’exception des logements de fonction ;
- Des bâtiments à usage de commerce et leurs annexes.
Les terrains ne disposant pas d’un accès sur une voie publique ou privée commune ne peuvent faire
l’objet d’aucune construction.
Les passages destinés à desservir les cours intérieures devront avoir une largeur minimale de 4 mètres.
Le déversement des eaux usées sur la voie publique est interdit. Il est interdit d’occuper par des
constructions, l’emprise des réseaux et dispositifs électriques ainsi que des réseaux de communication
(téléphonie, fibre optique) et d’en obstruer ou d’en gêner l’accès ;
Aucun aménagement réalisé sur un terrain ne doit faire obstacle au libre écoulement des eaux pluviales.
En cas d’existence d’un réseau collecteur des eaux pluviales, les aménagements réalisés sur un terrain
devront être tels qu’ils garantissent l’écoulement des eaux pluviales dans ce réseau.
Les parcelles de terrain constructibles de tout lotissement doivent avoir une forme géométrique de quatre
(04) ou cinq (05) côtés de dimensions convenables.
Article 6. Implantation des constructions par rapport aux voies publiques et privées
Les façades de toute construction à édifier en bordure de voie doivent être implantées à un minimum de
10 mètres par rapport aux voies publiques et privées.
L’ordonnancement général des constructions le long des voies doit aboutir à présenter un front de façades
continues entre deux intersections avec des voies latérales.
Toute matérialisation des limites de propriété en façade sur rue par des éléments entravant la circulation
est interdite.
Tout élément de mobilier ou aménagement portant entrave à la circulation des piétons sur les trottoirs est
interdit.
L’implantation d’une construction en limite séparative peut être refusée si elle a pour effet de porter
gravement atteinte aux conditions d’habitabilité d’un immeuble voisin ou à l’aspect du paysage urbain.
Les constructions peuvent être contiguës à la limite séparative. La façade ne doit pas comporter de baies.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Lorsque des façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain comportent
des baies constituant l’éclairement premier de pièces principales, elles doivent être édifiées de manière
Lorsque les façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain ne
comportent pas de baie constituant une vue, aucune distance minimale n’est requise.
La hauteur maximale des constructions dans cette zone n’est pas définie. Cependant, la hauteur des
constructions à proximité des grands équipements stratégiques à caractère sécuritaire, diplomatique, etc.
est limitée à 8 mètres à partir du point le plus élevé. Les ouvrages spécifiques tels que les châteaux d’eau
ou les monuments ne sont pas soumis à cette disposition.
Sans objet.
Article 12. Stationnement
Le stationnement des véhicules doit être assuré en dehors des emprises publiques, sur les propriétés
privées, en sous-sols ou en surface.
Une surface de 50% doit être réservée pour les espaces libres et plantations dans chaque parcelle
constructible :
Les espaces libres ici font référence aux espaces de circulation, parking, forage, etc. ; ils peuvent être
imperméabilisés.
Les espaces plantés ici font référence aux espaces dédiés à la verdure ; ils sont non imperméabilisables,
aucun revêtement n’y est autorisé.
La zone de grands équipements existants (UE) se localise à : Olembe II, Mballa III-A, Mballa III-C ; Etoa
Meki, Djoungolo I, Centre Commercial, Tsinga Village, Nlongkaka I, Grand-Messa, Ecole de Police,
Tsinga, Nkom-Kana, Ntoungou, Melen 2-Centre Administratif, Olezoa, Efoulan, Nlong Mvolye, Ngoa-
Ekele II, Ngoa-Ekele I, Biteng, Ekounou, Ndamvout, Mvan-Nord, Ngousso II, Ngona, Nkol-Ebogo,
Mfandena I, Ngousso 1, Nkol-Messeng, Essassalakok, Mvog Ebanda, Quartier Fouda, Simbock, Biyem-
Assi, Melen VI, Melen IX, Melen VII-A, Melen III, Melen I, Elig Effa I, Nkol Bikok I, Eba’a, Nkolbisson,
Minkoameyos.
- Des dépôts d’hydrocarbures, sauf ceux qui sont liés strictement au service des usages
automobiles, parking et station-services ;
- D’ouverture de l’exploitation de carrières ;
- D’affouillements et d’exhaussements des sols qui ne sont pas destinés aux travaux de
construction ;
- De logements, hormis les logements de fonction liés aux activités et aux équipements de la zone.
- De dépôts de ferrailles, matériaux et combustibles solides ou liquides.
Sans Objet.
Article 3. Conditions d’accès et desserte en voirie
Les terrains ne disposant pas d’un accès sur une voie publique ou privée commune ne peuvent faire
l’objet d’aucune construction.
Les constructions doivent permettre un libre accès au réseau d’eau potable. Parallèlement, il est interdit
d’occuper par des constructions, l’emprise des réseaux et dispositifs électriques ainsi que des réseaux
de communication (téléphonie, fibre optique) et d’en obstruer ou d’en gêner l’accès.
Tout aménagement réalisé sur un terrain ne doit jamais faire obstacle au libre écoulement des eaux
Les parcelles de terrain constructibles de tout lotissement doivent avoir une forme géométrique de quatre
(04) ou cinq (05) côtés de dimensions convenables.
Article 6. Implantation des constructions par rapport aux voies publiques et privées
Les constructions doivent être implantées en retrait minimal de 10 mètres par rapport à l’alignement des
voies.
L’implantation d’une construction en limite séparative peut être refusée si elle a pour effet de porter
gravement atteinte aux conditions d’habitabilité d’un immeuble voisin ou à l’aspect du paysage urbain.
Les constructions peuvent être contiguës à la limite séparative. La façade ne doit pas comporter de baies.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Lorsque des façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain comportent
des baies constituant l’éclairement premier de pièces principales, elles doivent être édifiées de manière
que la distance qui les sépare soit égale à 3 mètres au moins.
Pour les zones dont les surfaces des parcelles sont strictement inférieures à 350 m², le coefficient
d’emprise au sol est limité à un maximum de 50%. Celles dont les surfaces des parcelles sont supérieures
à 350 m² et strictement inférieures à 500 m² respecteront un coefficient d’emprise au sol au maximum de
60%. Enfin un coefficient d’emprise au sol maximum de 65% est fixé pour les parcelles dont les surfaces
sont supérieures à 500 m².
La hauteur maximale des constructions dans cette zone n’est pas définie. Cependant, la hauteur des
constructions à proximité des grands équipements stratégiques à caractère administratif, sécuritaire,
diplomatique, etc. est limitée à 8 mètres à partir du point le plus élevé.
- Soit intégrées dans le volume de construction et s’inscrire, dans ce cas, dans celles des bâtiments
à édifier ;
- Soit implantées sur des portiques conformément à la réglementation en vigueur.
Le stationnement des véhicules doit être assuré en dehors des emprises publiques, sur les propriétés
privées, en sous-sols ou en surface.
Les aires de livraison et de dépôts, ainsi que leurs accès, doivent être réalisés conformément aux regles
de l’art.
Pour les espaces libres et plantations dans chaque parcelle constructible, voir tableau suivant :
Les espaces libres ici font référence aux espaces de circulation, parking, forage, etc. ; ils peuvent être
imperméabilisés.
Les espaces plantés ici font référence aux espaces dédiés à la verdure ; ils sont non imperméabilisables,
aucun revêtement n’y est autorisé.
La zone d’habitat à créer (AUH) représente l’espace d'extension de l’habitat de façon progressive d’ici
2035. La forme d’habitation y est semi-rurale et les activités du secteur primaire y demeurent importantes.
Le processus d’urbanisation de ces zones doit se faire selon les normes actuelles d’aménagement qui
consistent à faire approuver les plans de lotissements et d’aménagement les terrains avant toute
occupation.
Elle se localise dans les quartiers : Nkolondom III, Nkolondom II, Nyom II, Olembe I, Olembe II, Okolo,
Nkolmbong, Oliga, Etoa, Afanoyoa I, Afanoyoa II, Afanoyoa III, Afanoyoa IV, Nkolfon, Nkolmesseng I,
Mekoumbou II, Minkan, Tououli, Meyo, Messame-Ndongo, Abom, Ngona, Ngoulmekong, Ngousso-Ntem,
Nkolnkondi, Eba’a, Etoug Ebe II, Mendong, simbock, Nkolso, Nkolbisson, Nkalafeme, Minkoameyos.
En dehors des habitations existantes au moment de l’approbation du présent règlement, tout type
d’aménagement ou de construction moderne y est interdit.
Tout type d’activité en dehors de celles qui se déroulent au moment de l’approbation du présent règlement
y est interdit.
Nonobstant les dispositions de l’article 1 du présent chapitre et sous réserve de l’autorisation d’occupation
particulière délivrée par les autorités compétentes, les occupations et utilisations des sols suivantes
peuvent être autorisées :
- Les constructions à usage d’habitation à condition qu’elles respectent les dispositions du présent
règlement ;
- Les poste de peinture et de dépôts d’hydrocarbures lorsqu’ils constituent l’annexe fonctionnelle
d’un garage pour automobile ou d’une station-service. Des dispositions particulières doivent alors
être prises pour limiter les risques d’incendie et en éviter la propagation ;
- Les établissements culturels, sociaux, les aires de jeux et services liés à l’habitation ;
Les terrains ne disposant pas d’un accès sur une voie publique ou privée commune ne peuvent faire
l’objet d’aucune construction.
Les constructions doivent permettre un libre accès au réseau d’eau potable. Parallèlement, il est interdit
d’occuper par des constructions, l’emprise des réseaux et dispositifs électriques ainsi que des réseaux
de communication (téléphonie, fibre optique) et d’en obstruer ou d’en gêner l’accès.
Le drainage des eaux pluviales doit se faire par des collecteurs maçonnés.
Aucun aménagement réalisé sur un terrain ne doit faire obstacle au libre écoulement des eaux pluviales.
En cas d’existence d’un réseau collecteur des eaux pluviales, les aménagements réalisés sur un terrain
devront être tels qu’ils garantissent l’écoulement des eaux pluviales dans ce réseau.
Le programme minimum de tout projet d’aménagement, doit s’inscrire dans une contenance superficielle
minimale de 5000 m² avec un rendement maximum de vingt-cinq (25) lots.
Les parcelles de terrain constructibles de tout lotissement doivent avoir une forme géométrique de quatre
(04) côtés et d’au moins deux angles droits.
Pour ce qui est des terrains de la MAETUR, lorsqu’une parcelle se retrouve au niveau d’une intersection,
elle doit avoir une taille minimale de 200 m2. Dans d’autres cas, la taille minimale de la parcelle peut aller
jusqu’à 150 m2.
Article 6. Implantation des constructions par rapport aux voies publiques et privées
Les façades de toute construction à édifier en bordure de voie doivent être implantées à 5 mètres par
L’ordonnancement général des constructions le long des voies doit aboutir à présenter un front de façades
continues entre deux intersections avec des voies latérales. Le bâti est édifié en limite avant de parcelle.
Toute matérialisation des limites de propriété en façade sur rue par des éléments entravant la circulation
est interdite. Tout élément de mobilier ou aménagement portant entrave à la circulation des piétons sur
les trottoirs est interdit.
L’implantation d’une construction en limite séparative peut être refusée si elle a pour effet de porter
gravement atteinte aux conditions d’habitabilité d’un immeuble voisin ou à l’aspect du paysage urbain
Les constructions peuvent être contiguës à la limite séparative. La façade ne doit pas comporter de baies.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Lorsque des façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain comportent
des baies constituant l’éclairement premier de pièces principales, elles doivent être édifiées de manière
que la distance qui les sépare soit égale à un minimum de 3 mètres.
Lorsque les façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain ne
comportent pas de baie constituant une vue, aucune distance minimale n’est requise.
Pour les zones dont les surfaces des parcelles sont strictement inférieures à 350 m², le coefficient
d’emprise au sol est limité à un maximum de 50%. Celles dont les surfaces de parcelles sont supérieures
à 350 m² et strictement inférieures à 500 m², respecteront un coefficient d’emprise au sol au maximum
de 60%. Enfin un coefficient d’emprise au sol maximum de 65% est fixé pour les parcelles dont les
surfaces sont supérieures à 500 m².
La hauteur maximale des constructions dans cette zone est définie à 15 mètres. Cependant, la hauteur
des constructions à proximité des grands équipements stratégiques à caractère administratif, sécuritaire,
diplomatique, etc. est limitée à 8 mètres à partir du point le plus élevé.
Les ouvrages spécifiques tels que les châteaux d’eau ou les monuments ne sont pas soumis à cette
Toute construction devra s’intégrer harmonieusement à son environnement immédiat et se conformer aux
prescriptions en matière de forme et de matériaux. Les enseignes devront être :
- Soit intégrées dans le volume de construction et s’inscrire, dans ce cas, dans celles des bâtiments
à édifier ;
- Soit implantées sur des portiques conformément à la réglementation en vigueur.
Le stationnement des véhicules doit être assuré en dehors des emprises publiques, sur les propriétés
privées, en sous-sols ou en surface.
Les plans de lotissements dans cette zone doivent prévoir des aires de stationnement à une distance
maximale de 300 mètres des logements.
La surface réservée pour les espaces libres et plantations dans chaque parcelle constructible varie de
35% à 50% en fonction de la surface de la parcelle concernée, comme spécifié dans le tableau suivant :
Les espaces libres ici font référence aux espaces de circulation, parking, forage, etc. ; ils peuvent être
imperméabilisés.
Les espaces plantés ici font référence aux espaces dédiés à la verdure ; ils sont non imperméabilisables,
aucun revêtement n’y est autorisé.
La zone AUA correspond aux espaces qui constituent des réserves pour des aménagements futurs
particuliers. Elle est localisée à Afanoyoa 3.
Nonobstant les dispositions de l’article 1 du présent chapitre et sous réserve de l’autorisation d’occupation
particulière délivrée par les autorités compétentes, les occupations et utilisations des sols suivantes
peuvent être autorisées :
- Les maisons d’habitation des particuliers à condition qu’elles respectent les dispositions du
présent règlement ;
- Les postes de peinture et les dépôts d’hydrocarbures lorsqu’ils constituent l’annexe fonctionnelle
d’un garage pour automobiles ou d’une station-service. Des dispositions particulières doivent
alors être prises pour limiter les risques d’incendie et en éviter la propagation ;
- Les établissements culturels, sociaux et les aires de jeux ;
- Les établissements ouverts au public, après autorisation préalable et à condition qu’ils
n’apportent aucune contrainte en matière de sécurité pour les accès et aucune gêne pour le
voisinage.
Article 3. Conditions d’accès et desserte en voirie
Les terrains ne disposant pas d’un accès sur une voie publique ou privée commune ne peuvent faire
l’objet d’aucune construction.
Tout aménagement réalisé sur un terrain ne doit jamais faire obstacle au libre écoulement des eaux
pluviales. En cas d’existence d’un réseau collecteur des eaux pluviales, les aménagements réalisés sur
un terrain devront être tels qu’ils garantissent l’écoulement des eaux pluviales dans ce réseau.
Les parcelles de terrain constructibles de tout lotissement doivent avoir une forme géométrique de quatre
Article 6. Implantation des constructions par rapport aux voies publiques et privées
Les façades de toute construction à édifier en bordure de voie doivent être implantées à 5 mètres par
rapport aux voies publiques et privées.
L’ordonnancement général des constructions le long des voies doit aboutir à présenter un front de façades
continues entre deux intersections avec des voies latérales. Le bâti est édifié en limite avant de parcelle.
Toute matérialisation des limites de propriété en façade sur rue par des éléments entravant la circulation
est interdite. Tout élément de mobilier ou aménagement portant entrave à la circulation des piétons sur
les trottoirs est interdit.
L’implantation d’une construction en limite séparative peut être refusée si elle a pour effet de porter
gravement atteinte aux conditions d’habitabilité d’un immeuble voisin ou à l’aspect du paysage urbain.
Les constructions peuvent être contiguës à la limite séparative. La façade ne doit pas comporter de baies.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Lorsque des façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain comportent
des baies constituant l’éclairement premier de pièces principales, elles doivent être édifiées de manière
que la distance qui les sépare soit égale à un minimum de 3 mètres.
Lorsque les façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain ne
comportent pas de baie constituant une vue, aucune distance minimale n’est requise.
Sans objet.
Toute construction devra s’intégrer harmonieusement dans son environnement immédiat et se conformer
aux prescriptions en matière de forme et de matériaux. Les enseignes devront être :
Le stationnement des véhicules doit être assuré en dehors des emprises publiques, sur les propriétés
privées, en sous-sols ou en surface.
Une surface de 50% doit être réservée pour les espaces libres et plantations dans chaque parcelle
constructible :
Les espaces plantés ici font référence aux espaces dédiés à la verdure ; ils sont non imperméabilisables,
aucun revêtement n’y est autorisé.
Il s’agit d’une zone projetée pour les centres d’affaires et les marchés. Elle est localisée dans les
quartiers : Nkolmbong, Afanoyoa 3, Meyo, Minkoameyos.
Il est interdit d’occuper par des constructions, l’emprise des réseaux et dispositifs électriques ainsi que
des réseaux de communication (téléphonie, fibre optique) et d’en obstruer ou d’en gêner l’accès.
Aucun aménagement réalisé sur un terrain ne doit faire obstacle au libre écoulement des eaux pluviales.
En cas d’existence d’un réseau collecteur des eaux pluviales, les aménagements réalisés sur un terrain
devront être tels qu’ils garantissent l’écoulement des eaux pluviales dans ce réseau.
Article 6. Implantation des constructions par rapport aux voies publiques et privées
Les façades de toute construction à édifier en bordure de voie doivent être implantées à 5 mètres par
L’ordonnancement général des constructions le long des voies doit aboutir à présenter un front de façades
continues entre deux intersections avec des voies latérales.
Toute matérialisation des limites de propriété en façade sur rue par des éléments entravant la circulation
est interdite.
Tout élément de mobilier ou aménagement portant entrave à la circulation des piétons sur les trottoirs est
interdit.
Les constructions peuvent être contiguës à la limite séparative. La façade ne doit pas comporter de baies.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Lorsque des façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain comportent
des baies constituant l’éclairement premier de pièces principales, elles doivent être édifiées de manière
que la distance qui les sépare soit au moins égale à un minimum de 3 mètres.
Lorsque les façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain ne
comportent pas de baie constituant une vue, aucune distance minimale n’est requise.
Pour les zones dont les surfaces des parcelles sont strictement inférieures à 350 m², le coefficient
d’emprise au sol est limité à un maximum de 50%. Celles dont les surfaces des parcelles sont supérieures
à 350 m² et strictement inférieures à 500 m² respecteront un coefficient d’emprise au sol au maximum de
60%. Enfin un coefficient d’emprise au sol maximum de 65% est fixé pour les parcelles dont les surfaces
sont supérieures à 500 m².
Sans objet.
- Soit intégrées dans le volume de construction et s’inscrire, dans ce cas, dans celles des bâtiments
à édifier ;
- Soit implantées sur des portiques conformément à la réglementation en vigueur.
Une grande aire de stationnement doit être aménagée pour chaque marché ou centre commercial, en
respectant le minimum d’une place de stationnement pour 25m2 de plancher construit.
Les espaces libres ici font référence aux espaces de circulation, parking, forage, etc. ; ils peuvent être
imperméabilisés.
Les espaces plantés ici font référence aux espaces dédiés à la verdure ; ils sont non
imperméabilisables, aucun revêtement n’y est autorisé.
Il s’agit d’une zone projetée pour les équipements, les unités industrielles et les activités de manutention.
Elle se localise dans les quartiers : Okolo, Nkolmbong, Nkolondom II, Nkolfon, Minkan, Nkolnkondi.
Nonobstant les dispositions de l’article 1 du présent chapitre et sous réserve de l’autorisation d’occupation
particulière délivrée par les autorités compétentes, les occupations et utilisations des sols suivantes
peuvent être autorisées :
Les terrains ne disposant pas d’un accès sur une voie publique ou privée commune ne peuvent faire
l’objet d’aucune construction.
Les passages destinés à desservir les cours intérieures devront avoir une largeur minimale de 4 mètres.
Il est interdit d’occuper par des constructions, l’emprise des réseaux et dispositifs électriques ainsi que
des réseaux de communication (téléphonie, fibre optique) et d’en obstruer ou d’en gêner l’accès.
Tout aménagement réalisé sur un terrain ne doit jamais faire obstacle au libre écoulement des eaux
pluviales. En cas d’existence d’un réseau collecteur des eaux pluviales, les aménagements réalisés sur
un terrain devront être tels qu’ils garantissent l’écoulement des eaux pluviales dans ce réseau.
Les parcelles de terrain constructibles de tout lotissement doivent avoir une forme géométrique de quatre
(04) côtés et d’au moins deux angles droits.
Article 6. Implantation des constructions par rapport aux voies publiques et privées
Les façades de toute construction à édifier en bordure de voie doivent être implantées à un minimum de
10 mètres par rapport aux voies publiques et privées.
L’ordonnancement général des constructions le long des voies doit aboutir à présenter un front de façades
continues entre deux intersections avec des voies latérales.
Toute matérialisation des limites de propriété en façade sur rue par des éléments entravant la circulation
est interdite.
Tout élément de mobilier ou aménagement portant entrave à la circulation des piétons sur les trottoirs est
interdit.
L’implantation d’une construction en limite séparative peut être refusée si elle a pour effet de porter
gravement atteinte aux conditions d’habitabilité d’un immeuble voisin ou à l’aspect du paysage urbain.
Les constructions peuvent être contiguës à la limite séparative. La façade ne doit pas comporter de baies.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Lorsque des façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain comportent
des baies constituant l’éclairement premier de pièces principales, elles doivent être édifiées de manière
que la distance qui les sépare soit au moins égale à 3 mètres.
Lorsque les façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain ne
comportent pas de baie constituant une vue, aucune distance minimale n’est requise.
La hauteur maximale des constructions dans cette zone n’est pas définie. Cependant, la hauteur des
Les ouvrages spécifiques tels que les châteaux d’eau ou les monuments ne sont pas soumis à cette
disposition.
Les espaces libres ici font référence aux espaces de circulation, parking, forage, etc. ; ils peuvent être
imperméabilisés.
Les espaces plantés ici font référence aux espaces dédiés à la verdure ; ils sont non
imperméabilisables, aucun revêtement n’y est autorisé.
La zone de grands équipements projetés (AUE) se localise à : Nkolmbong, Nyom II, Olembe II, Ngoa-
Ekele II, Etoa, Afanoyoa IV, Mekoumbou II, Mekoumbou I, Nkolnkondi, Ngoulmekong, Minkoameyos.
Sans objet.
Les terrains ne disposant pas d’un accès sur une voie publique ou privée commune ne peuvent faire
l’objet d’aucune construction.
Les constructions doivent permettre un libre accès au réseau d’eau potable. Parallèlement, il est interdit
d’occuper par des constructions, l’emprise des réseaux et dispositifs électriques ainsi que des réseaux
de communication (téléphonie, fibre optique) et d’en obstruer ou d’en gêner l’accès.
Aucun aménagement réalisé sur un terrain ne doit faire obstacle au libre écoulement des eaux pluviales.
En cas d’existence d’un réseau collecteur des eaux pluviales, les aménagements réalisés sur un terrain
devront être tels qu’ils garantissent l’écoulement des eaux pluviales dans ce réseau.
Les parcelles de terrain constructibles de tout lotissement doivent avoir une forme géométrique de quatre
(04) côtés et d’au moins deux angles droits.
Article 6. Implantation des constructions par rapport aux voies publiques et privées
Les constructions doivent être implantées en retrait minimal de 10 mètres par rapport à l’alignement des
voies.
L’implantation d’une construction en limite séparative peut être refusée si elle a pour effet de porter
gravement atteinte aux conditions d’habitabilité d’un immeuble voisin ou à l’aspect du paysage urbain.
Les constructions peuvent être contiguës à la limite séparative. La façade ne doit pas comporter de baies.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Lorsque des façades ou parties de façades de constructions en vis à vis sur un même terrain comportent
des baies constituant l’éclairement premier de pièces principales, elles doivent être édifiées de manière
que la distance qui les sépare soit au moins égale à un minimum de 3 mètres.
Sans object.
Toute construction devra s’intégrer harmonieusement à son environnement immédiat et se conformer aux
prescriptions en matière de forme et de matériaux. Les enseignes devront être :
- Soit intégrées dans le volume de construction et s’inscrire, dans ce cas, dans celles des bâtiments
à édifier ;
- Soit implantées sur des portiques conformément à la réglementation en vigueur.
Le stationnement des véhicules doit être assuré en dehors des emprises publiques, sur les propriétés
privées, en sous-sols ou en surface.
Les aires de livraison et de dépôts, ainsi que leur accès doivent être réalisés conformément à la
réglementation en la matière.
Une surface de 40% doit être réservée pour les espaces libres et plantations dans chaque parcelle
constructible :
Les espaces plantés ici font référence aux espaces dédiés à la verdure ; ils sont non
imperméabilisables, aucun revêtement n’y est autorisé.
La zone naturelle N2 renvoie à la zone naturelle à restaurer dans les quartiers : Nkolondom I, Nkolondom
III, Messa Carriere, Oliga, Ecole de Police, Febe, Efoulan, Nlong Mvolye, Melen 2 - Centre Administratif,
Afanoyoa 2, Etoa, Odza, Ekoumdoum, Awae, Nkomo, Biteng, Mimboman 1, Mimboman 3, Meyo, Minkan,
Nkol-Messeng, Ngousso 1, Mvog Ebanda, Ngoulmekong, Nkolnkondi, Essassalakok, Abom, Ngona,
Simbock, Etoug-Ebe II, Etetak, Nkolafeme, Minkoameyos.
La zone naturelle N5 est l’ensemble constitué de parcs urbains, des jardins publics, et autres espaces
verts aménagés existants. Elle se localise dans les quartiers : Emana Carrefour, Mballa III-B, Basts,
Nlongkak II, Nlongkak I, Djoungolo III, Djoungolo IV, Djoungolo II, Centre Commercial, Nkom-Kana,
Madagascar, Grand Messa, Melen 2 - Centre Administratif, Nlong Mvolye, Mvog-Mbi, Quartier Fouda,
Nkol-Ebogo, Mendong, Nkolso, Oyom-Abang, Nkolbisson.
La zone naturelle N6 regroupe l’ensemble des aménagements paysagers projetés sous forme de parcs
urbains, jardins publics, etc. à travers la ville. Elle se localise dans les quartiers : Mballa II, Mballa III-A,
Mballa I, Mfandena II, Bastos, Nlongkak II, Okolo, Nyom II, Nkolondom I, Nkolondom II, Nkolondom III,
Ekombitié, Nyom I, Olembe I, Ndjon'Assi, Olembe II, Nkolmbong, Oban (Emma Centre), Mballa III-B,
Mballa VII, Mballa III-E, Mballa III-C, Emana Carrefour, Djoungolo III, Djoungolo IV, Nlongkak I, Djoungolo
II, Mballa VI, Mballa II, Tsinga Village, Madagascar, Mokolo, Grand-Messa, Tsinga, Nkom-Kana, Messa
Carriere, Febe, Ntoungou,Nsimeyong 1, Obili, Ahala 1, Ngoa-Ekele 1, Efoulan, Obobogo, Nsam,
Nkolmesseng 1, Afanoyoa 1, Afanoyoa 3, Afanoyoa 4, Afanoyoa 2, Nkolfon, Mekoumbou 2, Ntouessong,
Mekoumbou 1, Etoa, Ahala 2, Nsimeyong 3, Olezoa, Dakar, Nsimeyong 2, Ngoa-Ekele 2; Mvan-Nord,
Ndamvout, Messame-Ndongo, Odza, Mvog-Mbi, Ekoumdoum, Awae, Nkomo, Ekounou, Biteng,
Kondengui 1, Mimboman 1, Etam-Bafia, Nkol-Ndongo 2, Mvan-Sud, Ekie, Emombo, Kondengui 3,
Kondengui 2, Mimboman 3, Meyo, Toutouli, Minkan; Quartier Fouda, Ngousso 2, Nkol-Messeng, Nkol-
Ebogo, Ngousso 1, Mvog Ebanda, Mfandena 1, Ngousso-Ntem, Ngoulmekong, Nkolnkondi,
Sont interdits :
Sans objet.
Sans objet.
Les parcelles de terrain constructibles de tout lotissement doivent avoir une forme géométrique de quatre
(04) côtés et au moins deux angles droits. La surface minimale d’un terrain constructible est de 1 000 m2.
Article 6. Implantation des constructions par rapport aux voies publiques et privées
Les façades de toute construction à édifier en bordure de voie doivent être implantées à 5 mètres par
rapport aux voies publiques et privées.
Sans objet.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Sans objet.
Sans objet.
Toute construction dans cette zone doit être en rez-de-chaussée. Les ouvrages spécifiques tels que les
châteaux d’eau ou les monuments ne sont pas soumis à cette disposition.
Sans objet.
Une aire de stationnement doit être réservée avec au minimum une place pour 100m2 d’aménagement.
Le stationnement des véhicules correspondant aux besoins des constructions doit être réalisé en dehors
des emprises publiques. Toute aire de stationnement devra être conçue de manière à limiter
l’imperméabilisation des sols.
Sans objet.
La zone urbanisable à partir de 2035 (N3) est localisée dans les quartiers : Nyom II, Nkolondom I,
Nkolondom II, Nkolondom III, Olembe II, Nkolnkondi, Mekoumbou 1, Mekoumbou 2, Ntouessong.
Toute construction publique ou privée en matériaux précaires ou définitifs est strictement interdite dans
cette zone conformément aux dispositions de la loi N°94/01 du 20 janvier 1994 portant régime des forêts,
de la faune et de la pêche et de la loi N° 96/12 du 05 août 1996 portant loi-cadre relative à la gestion de
l'environnement. Des dispositions dérogatoires peuvent être émises avec l’accord du Ministère en charge
de l’environnement.
Nonobstant les dispositions de l’article 1 du présent chapitre et sous réserve de l’autorisation d’occupation
particulière délivrée par les autorités compétentes, les occupations et utilisations des sols suivantes
peuvent être autorisées :
- Les travaux d’aménagement destinés à faciliter l’accessibilité et la mise en valeur des sites ainsi
que les équipements de sécurité nécessaires ;
- Les constructions et aménagements destinés aux aménagements agricoles et maraichères ;
- La réalisation d’infrastructures publiques nécessaires aux services urbains ;
- Les aménagements destinés aux parcours sportifs et de détente (sanitaires, local d’accueil,
installation et équipements du parcours sportif) ;
- La réalisation de locaux annexes aux aménagements paysagers à condition qu’ils ne portent pas
atteinte à la qualité paysagère des sites.
Sans objet.
Sans objet.
Les parcelles de terrain constructibles de tout lotissement doivent avoir une forme géométrique de quatre
(04) côtés et au moins deux angles droits. La surface minimale d’un terrain constructible est de 1 500 m2.
Les façades de toute construction à édifier en bordure de voie doivent être implantées à 5 mètres par
rapport aux voies publiques et privées.
Toute matérialisation des limites de propriété en façade sur rue par des éléments entravant la circulation
est interdite. Tout élément de mobilier ou aménagement portant entrave à la circulation des piétons sur
les trottoirs est interdit.
Sans objet.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Sans objet.
Sans objet.
Toute construction dans cette zone doit avoir au maximum 9 mètres de hauteur. Les ouvrages spécifiques
tels que les châteaux d’eau ou les monuments ne sont pas soumis à cette disposition.
Sans objet.
Une aire de stationnement doit être réservée avec au minimum une place pour 100m 2 d’aménagement.
Le stationnement des véhicules correspondant aux besoins des constructions doit être réalisé en dehors
des emprises publiques. Toute aire de stationnement devra être conçue de manière à limiter
l’imperméabilisation des sols.
Sans objet.
La zone naturelle N4 correspond à la zone non aedificandi dans les quartiers : Olemebe II, Okolo, Mballa
III-E, Mballa IV, Mballa V, Mfandena II, Djoungolo I, Oban (Emma Centre), Mballa II, bastos, Nlongkak II,
Djoungolo III, Djoungolo IV, Mballa II, Mballa VI, Mballa III-A, Mballa III-B, Mballa VII, Mballa II-C, Mokolo,
Madagaskar, Nkom-Kana, Obili, Ngoa-Ekele 2, Nsimeyong 1, Efoulan, Nsimeyong 2, Nsimeyong 3, Ahala
2, Olezoa, Dakar, Efoulan, Nsam, Obobogo, Nsimeyong 3, Ahala 2, Etoa, Nkolfon, Emombo, Kodengui
1, Kodengui 2, Kodengui 3, Nkol-Ndongo 1, Nkol-Ndongo 2, Biteng, Mvan-Sud, Mvog-Ebanda,
Essassalakok, Ngousso 1, Essos, Mvog-Ada, Awae, Ekounou, Ekie, Mvog-Mbi, Etam-Bafia, Quartier
Fouda, Eba'a (Mvog-Betsi), Etoug Ebe II, Nkolso.
Toute construction publique ou privée en matériaux précaires ou définitifs est strictement interdite au
niveau des zones non aedificandi sauf disposition spéciale justifiée du Ministère en charge de
l’environnement et de l’autorité en charge de l’application du présent Plan Directeur d’Urbanisme,
conformément aux dispositions de la loi N°94/01 du 20 janvier 1994 portant régime des forêts, de la faune
et de la pêche et de la loi N°96/12 du 05 août 1996 portant loi-cadre relative à la gestion de
l'environnement.
- Les travaux d’aménagement destinés à faciliter l’accessibilité et la mise en valeur des sites ainsi
que les équipements de sécurité éventuellement nécessaires ;
- Les constructions et aménagements à usage agricole et maraichère nécessitant une proximité
immédiate ;
- Les travaux de réalisation d’infrastructures ou d’ouvrages publics nécessaires au bon
fonctionnement des services et des réseaux publics ;
- Les travaux de construction d’installations nécessaires à l’exploitation de parcours sportifs et de
détente (sanitaires, local d’accueil, installation et équipements du parcours sportif) ;
- Les travaux de construction de locaux annexes aux aménagements paysagers à condition qu’ils
ne portent pas atteinte à la qualité paysagère des sites.
Sans objet.
Sans objet.
Article 6. Implantation des constructions par rapport aux voies publiques et privées
Sans objet.
Sans objet.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Toute construction publique ou privée en matériaux précaires ou définitifs est strictement interdite au
niveau des plans d’eau sauf disposition spéciale justifiée du Ministère en charge de l’environnement et
de l’autorité en charge de l’application du présent Plan Directeur d’Urbanisme, conformément aux
dispositions de la loi N°94/01 du 20 janvier 1994 portant régime des forêts, de la faune et de la pêche et
de la loi N° 96/12 du 05 août 1996 portant loi-cadre relative à la gestion de l'environnement.
Nonobstant les dispositions de l’article 1 du présent chapitre et sous réserve de l’autorisation d’occupation
particulière délivrée par les autorités compétentes, les occupations et utilisations des sols suivantes
peuvent être autorisées :
- Les travaux d’aménagement destinés à faciliter l’accessibilité et la mise en valeur des sites ainsi
que les équipements de sécurité éventuellement nécessaires ;
- Les constructions et aménagements à usage agricole et maraichère nécessitant une proximité
immédiate ;
- Les travaux de réalisation d’infrastructures ou d’ouvrages publics nécessaires au bon
fonctionnement des services et des réseaux publics ;
- Les travaux de construction d’installations nécessaires à l’exploitation du parcours sportif et de
détente (sanitaires, local d’accueil, installation et équipements du parcours sportif) ;
- Les travaux de construction de locaux annexes aux aménagements paysagers à condition qu’ils
ne portent pas atteinte à la qualité paysagère des sites.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Article 6. Implantation des constructions par rapport aux voies publiques et privées
Sans objet.
Sans objet.
Article 8. Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur la même propriété
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
UH1 Olembe II, Okolo, Emana Carrefour, Mballa II-C, Mballa VII, 1977,88 250 m2 33 m, sauf à 10 50% <350 ; 5m NA 30% <350 ; 20% <350 ;
Mballa III-B, Mballa III-A, Mballa IV, Mballa V, Mfandena II, Mballa et
Mballa II, Djoungolo III, Nlongkak II, Djoungolo IV, Mballa I, MAETUR équipements 60% 20% 20%
Bastos, Nlongkak I, Elig-Essono ; Ntoungou, Nkom-Kana, 150 m2, stratégiques
Zone d’habitat [350-500 [; [350 -500 [; [350 -500 [;
planifié/administré
Tsinga, Cite verte, Mokolo, Grand Messa; Nsimeyong I, 200 m2 minimum de
Nsimeyong II, Ahala I; Minboman III, Emombo, Nkol-Ndongo 8 mètres au 65% [500+ [ 3m 20% [500+[ 15% [500+[
à réhabiliter dessus du
I, Nkol-Ndongo II, Kodengui I, Etam-Bafia, Nkomo, Biteng;
Ngousso I, Ngousso II, Mfandena I, Nkol-Ebogo, Quartier niveau le plus
Fouda, Essos; Biyem-Assi, Mendong, Elig-Effa V; élevé
Nkolbisson.
UH2 Mballa II, Mballa I, Elig-Essono, Centre Commercial, Okolo, 7285,23 250 m2 33 m, sauf à 10 50% <350 ; 5m NA 30% <350 ; 20% <350 ;
Nkolondom I, Nkolondom II, Nkolondom III, Nyom I, Olembe Mballa et
I, Ndjon'Assi, Oban (Emma Centre), Mballa III-B, Mballa III- MAETUR équipements 60% 20% 20%
E, Mballa III-C, Emana Carrefour, Djoungolo I, Mballa II ; 150 m2, stratégiques [350-500 [; [350 -500 [; [350 -500 [;
Madagascar, Mokolo, Ekoudou, Tsinga, Nkom-Kana, Ecole 200 m2
de Police, Ntoungou ; Nsimeyong 1, Ahala 1, Efoulan, Nlong 8 mètres au 65% [500+ [ 20% [500+ [ 15% [500+ [
Mvolye, Obobogo, Nsam, Melen 2 - Centre Administratif, dessus du
Zone d’habitat niveau le plus
Ahala 2, Nsimeyong 3, Dakar, Nsimeyong 2; Mvan-Nord, minimum de
non loti à élevé
Ndamvout, Messame-Ndongo, Odza, Mvog-Mbi, 3m
restructurer
Ekoumdoum, Awae, Nkomo, Biteng, Mimboman 1, Etam-
Bafia, Mvan-Sud, Ekie, Kondengui 3, Kondengui 2,
Mimboman 3, Abomé; Nkol-Messeng, Ngousso 1, Mvog
Ebanda, Ngousso-Ntem, Ngoulmekong, Essassalakok,
Zone Abom, Ngona; Simbock, Mendong, Eba'a (Mvog-Betsi),
Zone
urbanisée Biyem Assi, Etoug Ebe II, Etoug Ebe I, Elig Effa VI; Oyom-
urbaine
(U) Abang, Nkolbisson, Nkolafeme, Minkoameyos, Nkolso
UH3 Mballa III-A, Mfandena II, Nlongkak II, Etoa Meki, Djoungolo 1204,22 250 m2 33 m ; sauf à 10 50% <350 ; 5m NA 30% <350 ; 20% <350 ;
I, Djoungolo III, Djoungolo IV, Nlongkak I, Djoungolo II, Mballa et
Mballa V, Mballa IV, Mballa VI ; Cite Verte, Madagascar, MAETUR équipements 60% 20% 20%
Mokolo, Grand-Messa, Ekoudou, Tsinga, Nkom-Kana, 150 m2, stratégiques [350-500 [; [350 -500 [; [350 -500 [;
Zone d’habitat
Messa Carriere, Oliga, Ecole de Police ; Nsimeyong I, Obili, 200 m2
Ngoa-Ekele I, Nlong Mvolye, Olezoa; Ndamvout, Mvog-Mbi, 8 mètres au 65% [500+ [ minimum de 20% [500+ [ 15% [500+ [
précaire à dessus du
Kondengui I, Mimboman I, Etam-Bafia, Nkol-Ndongo II, 3m
rénover niveau le plus
Emombo, Nkol-Ndongo I; Nkol-Ebogo, Quartier Fouda,
Mvog-Ada; Melen IV C, Nkol Bikok I, Nkol Bikok II, Melen III, élevé
Melen VI, Melen IX, Melen VII-A, Melen VIIB, Melen I, Melen
V, Melen IV, Elig Effa I, Elig Effa II, Elig Effa V, Elig Effa VI,
Elig Effa IV, Elig Effa VII; Oyom-Abang, Etetak ;
UA Tsinga Village, Oban, Mballa I, Mballa II, Bastos, Ecole de 587,50 250 m2 NA sauf à 12 50% <350 ; 5m NA 30% <350 ; 20% <350 ;
Police, Centre Commercial, Djoungolo I, Nlongkak I ; Tsinga, Mballa et
Nkom-Kana, Ntoungou, Grand-Messa ; Melen II- Centre équipements 60% 20% 20%
Zone
Administratif, Olezoa, Efoulan; Ekounou; Mvog Ada; Biyem- stratégiques 8 [350-500 [; minimum de [350 -500 [; [350 -500 [;
administrative
Assi, Melen V, Melen I, Elig- Effa V. mètres au 3m
existante
dessus du 65% [500+ [ 20% [500+ [ 15% [500+ [
niveau le plus
élevé
Polarisation UC Centre commercial, Nlongkak I, Nlongkak II, Djoungolo III, 5840,69 250 m2 33 m, sauf à 12 50% <350 ; 5m NA
minimum de
30% <350 ; 20% <350 ;
d’activités Djoungolo IV, Mballa II, Mballa III-A, Mballa III-B, Emana Mballa et
informelles à Carrefour, Mballa III-C, Mballa III-E, Oban, Ekombité, Nyom équipements 60% 3m 20% 20%
encadrer I, Nyom II, Olembe I, Olembe II, Ndjon’Assi, Nkolondom I, stratégiques
Nkolondom III, Elig-Essono, Nkolmbong ; Mokolo, [350-500 [; [350 -500 [; [350 -500 [;
Madagascar, Nkom-Kana, Citer Verte, Ntoungou, Messa 8 mètres au
dessus du 65% [500+ [ 20% [500+ [ 15% [500+ [
Carrière ; Melen 2- Centre Administratif, Olezoa, Dakar,
Nlong Mvolye, Obili, Nsimeyong I, Nsimeyong II, Ahala I, niveau le plus
Ahala II, Etoa, Afanoyoa I, Afanoyoa II, Afanoyoa III, élevé
Nkolfon, Nkolmesseng I, Mekoumbou II ; Mimboman III,
Emombo, Nkol-Ndongo I, Nkol-Ndongo II, Ndamvout,
Kondengui I, Ekounou, Biteng, Nkomo, Awae, Ekoumdoum,
Mvan-Nord, Mvan- Sud, Odza, Abomé, Toutouli, Meyo ;
Nkolnkondi, Ngousso I, Ngousso II, Mvog Ebanda, Nkol-
Messeng, Essassalakok, Nkol-Ebogo, Essos, Mvog- Ada ;
Simbock, Mendong, Etoug Ebe I, Biyem Assi, Etoug Ebe II,
Melen IVC, Eba’a, Melen VI, Melen VIIB, Nkol Bikok I, Elig
Effa IV, Elig Effa V ; Nkolso, Oyom-Abang, Etetak,
Nkolafeme, Minkoameyos.
UI Okolo ; Nsam ; Mvan-Nord, Mvan-Sud, Ndamvout. 265,45 1 500 m2 NA sauf à 0,5 50% 10 m NA 30% 20%
Mballa et
équipements
Zone industrielle stratégiques minimum de
existante 8 mètres au 3m
dessus du
niveau le plus
élevé
UE Olembe II, Mballa III-A, Mballa III-C ; Etoa Meki, Djoungolo I, 961,55 NA NA sauf à 3,6 50% <350 ; 10 m NA 30% <350 ; 20% <350 ;
Centre Commercial, Tsingo Village, Nlongkaka I ; Grand- Mballa et
Messa, Ecole de Police, Tsinga, Nkom-Kana, Ntoungou ; équipements 60% 20% 20%
Melen 2-Centre Administratif, Olezoa, Efoulan, Nlong stratégiques [350-500 [; [350 -500 [; [350 -500 [;
Zone de grands
Mvolye, Ngoa-Ekele II, Ngoa-Ekele I; Biteng, Ekounou, minimum de
équipements 8 mètres au
Ndamvout, Mvan-Nord ; Ngousso II, Ngona, Nkol-Ebogo, 65% [500+ [ 3m 20% [500+ [ 15% [500+ [
existants dessus du
Mfandena I, Ngousso 1, Nkol-Messeng, Essassalakok,
Mvog Ebanda, Quartier Fouda ; Simbock, Biyem-Assi, niveau le plus
Melen VI, Melen IX, Melen VII-A, Melen III, Melen I, Elig Effa élevé
I, Nkol Bikok I, Eba’a; Nkolbisson, Minkoameyos ;
AUH Nkolondom III, Nkolondom II, Nyom II, Olembe I, Olembe II, 3984,18 250 m2 15 m, sauf à 3,6 50% <350 ; 5m NA 30% <350 ; 20% <350 ;
Okolo, Nkolmbong; Oliga; Etoa, Afanoyoa I, Afanoyoa II, Mballa et
Afanoyoa III, Afanoyoa IV, Nkolfon, Nkolmesseng I, MAETUR équipements 60% 20% 20%
Zone d’habitat à Mekoumbou II; Minkan, Tououli, Meyo, Messame-Ndongo; 150 m2, stratégiques minimum de
[350-500 [; [350 -500 [; [350 -500 [;
créer Abom, Ngona, Ngoulmekong, Ngousso-Ntem, Nkolnkondi; 200 m2 3m
Eba’a, Etoug Ebe II, Mendong, simbock; Nkolso,Nkolbisson, 8 mètres au 65% [500+ [ 20% [500+[ 15% [500+[
Nkalafeme,Minkoameyos. dessus du
Zone à niveau le plus
urbaniser élevé
(AU)
AUA Afanoyoa 3. 99,06 800 m2 NA, sauf à 12 50% 5m NA 30% 20%
proximité
Zone d’équipements
minimum de
administrative à stratégiques
3m
créer
8 mètres au
dessus du
niveau le plus
élevé
AUC Nkolmbong ; Afanoyoa 3 ; Meyo ; Minkoameyos. 113,38 NA NA 12 50% <350 ; 5m NA 30% <350 ; 20% <350 ;
60% 20% 20%
Zone
minimum de
commerciale à [350-500 [; [350 -500 [; [350 -500 [;
3m
créer
65% [500+ [ 20% [500+ [ 15% [500+ [
AUI Okolo, Nkolmbong, Nkolondom II; Nkolfon; Minkan ; 544,17 1 500 m2 NA sauf à 0,5 50% 5m NA 30% 20%
Nkolnkondi. Mballa et
équipements
Zone industrielle stratégiques minimum de
à créer 8 mètres au 3m
dessus du
niveau le plus
élevé
Zone de grand AUE Nkolmbong, Nyom II, Olembe II; Ngoa-Ekele II, Etoa, 326,28 NA NA 3,6 60% 10m minimum de
minimum de
20% 20%
équipement à Mekoumbou II, Afanoyoa IV, Mekoumbou I; Nkolnkondi, 4m
3m
créer Ngoulmekong ; Minkoameyos.
N2 Nkolondom I, Nkolondom III ; Messa Carriere, Oliga, Ecole 5531,20 1 000 m2 RDC 0,2 NA 5m NA NA NA
de Police, Febe ; Efoulan, Nlong Mvolye, Melen 2 - Centre
Administratif, Afanoyoa 2, Etoa ; Odza, Ekoumdoum, Awae,
Zone naturelle à
Nkomo, Biteng, Mimboman 1, Mimboman 3, Meyo, Minkan ; NA
restaurer
Nkol-Messeng, Ngousso 1, Mvog Ebanda, Ngoulmekong,
Nkolnkondi, Essassalakok, Abom, Ngona ; Simbock, Etoug-
Ebe II; Etetak, Nkolafeme, Minkoameyos
Zone urbanisable N3 Nyom II, Nkolondom I, Nkolondom II, Nkolondom III, Olembe 1338,09 1 500 m2 9m 0,2 NA 5m NA NA NA
NA
à partir de 2035 II; Nkolnkondi; Mekoumbou 1, Mekoumbou 2, Ntouessong.
Zone N5 Emana Carrefour, Mballa III-B, Basts, Nlongkak II, Nlongkak 38,76 1 000 m2 RDC 0,2 NA 5m NA NA NA
d’aménagement I, Djoungolo III, Djoungolo IV, Djoungolo II, Centre
Commercial ; Nkom-Kana, Madagascar, Grand Messa ; NA
paysager
existante Melen 2 - Centre Administratif, Nlong Mvolye; Mvog-Mbi;
Quartier Fouda, Nkol-Ebogo; Mendong; Nkolso, Oyom-
Abang, Nkolbisson.
N6 Mballa II, Mballa III-A, Mballa I, Mfandena II, Bastos, 2621,49 1 000 m2 RDC 0,2 NA 5m NA NA NA
Nlongkak II, Okolo, Nyom II, Nkolondom I, Nkolondom II,
Nkolondom III, Ekombitié, Nyom I, Olembe I, Ndjon'Assi,
Olembe II, Nkolmbong, Oban (Emma Centre), Mballa III-B,
Mballa VII, Mballa III-E, Mballa III-C, Emana Carrefour,
Djoungolo III, Djoungolo IV, Nlongkak I, Djoungolo II, Mballa
VI, Mballa II, Tsinga Village ; Madagascar, Mokolo, Grand-
Messa, Tsinga, Nkom-Kana, Messa Carriere, Febe,
Ntoungou; Nsimeyong 1, Obili, Ahala 1, Ngoa-Ekele 1,
Efoulan, Obobogo, Nsam, Nkolmesseng 1, Afanoyoa 1,
Afanoyoa 3, Afanoyoa 4, Afanoyoa 2, Nkolfon, Mekoumbou
Zone 2, Ntouessong, Mekoumbou 1, Etoa, Ahala 2, Nsimeyong 3,
d’aménagement Olezoa, Dakar, Nsimeyong 2, Ngoa-Ekele 2; Mvan-Nord, NA
paysager à créer Ndamvout, Messame-Ndongo, Odza, Mvog-Mbi,
Ekoumdoum, Awae, Nkomo, Ekounou, Biteng, Kondengui 1,
Mimboman 1, Etam-Bafia, Nkol-Ndongo 2, Mvan-Sud, Ekie,
Emombo, Kondengui 3, Kondengui 2, Mimboman 3, Meyo,
Toutouli, Minkan; Quartier Fouda, Ngousso 2, Nkol-
Messeng, Nkol-Ebogo, Ngousso 1, Mvog Ebanda, Mfandena
1, Ngousso-Ntem, Ngoulmekong, Nkolnkondi,
Essassalakok, Abom; Simbock, Mendong, Eba'a (Mvog-
Betsi), Melen IV C, Biyem Assi, Etoug Ebe II, Etoug Ebe I,
Melen 7B, Melen IV, Melen III, Elig Effa II, Elig Effa VI, Elig
Effa V, Elig Effa IV, Nkol Bikok I; Oyom-Abang, Nkolbisson,
Nkolafeme, Minkoameyos, Nkolso.