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Le droit d’Asile permet aux personnes se sentant en danger dans leurs pays de se réfugier dans des

pays où ils seront protégés. Ce droit est inscrit dans la déclarations universelle des droits de
l’homme établie en 1948, puis internationalement reconnu par la Convention de Genève en 1951
dont je parlerais d’ici peu.

En fonction des pays, obtenir le droit d’Asile peut être plus ou moins compliqué. En France, pour
obtenir le droit d’asile, il faut d’abord déposer un dossier à la préfecture en prouvant qu’on est
réellement persécuté , mais moins d’une personne sur 4 arrive à vraiment obtenir ce droit.

Quand on obtient le droit d’asile, on devient réfugié et on obtient une carte de résident qui permet à
tout réfugier de travailler.

Parmi les demandeurs d’asile, il y a deux types de catégories de personnes.

Les réfugiés qui ont vu leur demande d’asile accepté par la préfecture et qui ont leur carte de
résident.

Puis, il y a aussi les personnes sous protections subsidiaires. Alors qu’est ce que la protection
subsidiaire ? Cette protection s’applique lorsqu’un demandeur d’asile voit sa demande refusé par la
préfecture mais qu’il a quand même des motifs sérieux qui indiquent qu’il est en danger dans son
pays, néanmoins la protection subsidiaire ne protège que durant 4 ans

Maintenant je vais revenir sur la Convention de Genève qui, comme dis précédemment, reconnaît
la déclaration universelle des droits de l’homme.

La convention de Genève permet de limiter les dégâts que provoque la guerre via 4 conventions en
établissant une distinction claire entre les soldats et ceux qui ne participent pas ou plus aux
hostilités.

La première des Conventions de Genève consiste en la protection des soldats malades ou blessés en
déclarant que tout soldat malades ou blessés doit être traités convenablement, recueilli et soigné
dans des établissements spécialisés comme des hôpitaux par le personnel de santé et que les morts
soient récupérés. Elle exige aussi que le personnel de santé soit protégé.

La deuxième convention est identique à la première convention mais elle s’étend aux soldats
maritimes.

La troisième convention nous dis que les prisonniers de guerres doivent être traités humainement,
nourri et soigné ainsi que logé sérieusement jusqu’à la fin des hostilités où ils devront être relâché
sans délai.

La quatrième et dernière convention, celle qui nous intéressera le plus, protège les civils, qui
doivent être protégés, nourri soigné et logé par la puissance occupante, des protections
supplémentaires sont attribués prioritairement aux femmes et aux enfants.

En effet, la quatrième convention fais appel à la déclaration universelle des droits de l’homme qui
stipule que le droit d’asile doit permettre aux civils en dangers de se sentir en sécurité.

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