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CHAPITRE AVIQ
Définition AVIQ : .
Administration wallonne régulant la politique d’aide et de la protection sociale en vue d’assurer une prise
en charge de qualité envers toutes personnes en besoin de soutien. Son travail vise à faciliter l’accès à la
prévention, l’information et toutes les aides et dispositifs d’accompagnement existants pour tout ce qui
touches les 3 champs de compétences depuis 30 ans (famille, santé et handicap).
C’est un grand outil de protection sociale et un instrument d’inclusion qui agrée (subside d’argent et
contrôle/conseil par l’inspecteur pédagogique) les projets : « intégration visible et concrète »
En Wallonie, 70% des institutions sont agréé par l’AVIQ, ce qui permet la confiance des familles sur la
qualité suite au fait qu’il y a le logo et l’inspecteur pédagogique.
Politique AVIQ : directivité dans les critères de gestion de l’argent à injecter dans l’agence et projets.
Philosophie AVIQ : principes que les professionnels doivent respecter pour accompagner vers
l’intégration.
Axes Directive
Proposer au max un accès aux services que peut - Tenir journalier
utiliser l’ensemble de la pop - Projet Pédagogique à jour
- Aller vers l’intégration
- Inspecteur rencontre bénéficiaires et famille
Favoriser le maintien dans le milieu de vie Désinstitutionalisation :
- ne pas créer trop d’institution dans les régions car
il faut réinsérer/inclure dans la société (ce qui est
permis par le manque de place et les catégories)
- proposer des projets encrés dans la société (ne
pas rester tjrs en institut)
Impliquer les personnes dans les décisions qui les PEI/Ecoute, montrer par :
concernent et qui ont rapport à leur avenir - réécrire projets pédagogiques pour la
compréhension des usagers
-« réunion des parents » (ex : inviter usager/famille
et expliquer les choses mises en place)
-Concept pédagogique : Intégration
-Favoriser au max qualité-écoute pour des solutions concrètes à la taille des besoins des personnes
Lieux importants de L’AVIQ :
Bureau central, Charleroi :
- administration avec inspecteur (pédagogique ; comptable ; technique - normes institutions à Namur)
- centre d’information (accès aux infos, questions – possible par internet)
- dossier centralisé (une copie des dossiers) des institutions à l’AVIQ pour le pédagogique et pour
l’économie (incendie, mauvaise co, pas de transmission de dossier, perte, …)
Commission SUB : 1x par mois, à un lieu différent, se réunit une plateforme d’écoute pour trouver des
solutions concrètes à des problèmes collectives.
Conseils consultatifs : plateformes où les gens sont autour d’une table tissent des relations concrètes.
Demander de l’argent :
- Demande par écrit envoyé à Charleroi (et intéresser les inspecteurs par la demande)
- Mettre des arguments, un motif, …
- Faire ressortir la qualité, le bien-être et l’intégration.
- L’envie de travailler le collectif et le réseau (montrer qu’il y a des institutions avec lesquels on peut
travailler, montrer nos recherches, ça permet aux bénéficiaires de bouger et de sortir de l’institution, …)
Traitement de la demande :
- Si ça les intéresse : AVIQ donne les moyens, un temps et contrôle à la fin pour faire le constat
- Si l’éval bonne : plus d’argent pour créer plus de réseau et avoir plus de résultats (sous conditions : réflexe ++)
- Si non accepté : pas assez d’argent, ou demande déjà travailler à côté, ou quota dépasser
RMQ : AVIQ n’intervient pas dans la prise en charge sauf parfois pour le matériel
Son contenu :
- objectifs concrets, réalisable, évaluable et annuels pour chacun (en respectant ses forces et besoins)
- uniquement infos susceptibles d’avoir une influence sur les apprentissages (en respectant ses
possibilités et difficultés)
But :
- construire un projet pour et avec l’enfant (et ses proches)
- une meilleure adaptation des professionnels pour l’épanouissement de l’enfant et l’intégration
- répondre de manière individualisée aux besoins éducatifs spécifiques
- aider chaque élève à définir et atteindre son projet personne
- le PAI s’écrit en collaboration avec les parents et cela est difficile à obtenir
Orientation en spécialisé
- N’importe quand sur base d’un rapport d’examens pluri précisant le type d’enseignement
- Diagnostic : T5 – pédiatre, T6 – ophtalmologue, T7 – ORL, T1 2 3 4 8 – CPMS
- examen gratuit ou remboursable à la mutuelle
- parents peuvent refuser : 1x, 2x avec preuve du bon suivi de l’enfant, 3x aide/protection de la jeunesse
- CPMS partage les infos aux professionnels, la famille en est informée (réorientation possible)
- Protéger les enfants et les familles (suite à l’arbitraire ou suite aux allocs majorés)
- Double contrôle : PMS (ou autres professionnel fait le testing) et PMSS vérifie le protocole pour assurer
le bon diagnostique. Et éviter que le diagnostique soit influencé par des connaissances.
Rôle ES
- changer la vision de cette enseignement spé : petite classe, professionnel gratuit, transport gratuits, …
- passer les infos : utilise du concrets comme des supports faciles (vidéos, recevoir les parents et les
laisser poser des questions sur un article, inviter un jeune sortant d’une école comme ça,…)
- mettre de l’affectif pour convaincre plus facilement
- collaborer avec les enseignants, …
- important de connaitre le PMS (= service de première ligne : met un nom sur le pblm) : renvoi vers des
services de deuxième ligne si nécessaire (qui met en œuvre). Les enfants sont à l’école où il y a le PMS. Si
dans l’institution, il n’y a pas d’assistante sociale et de psychologue, on peut prendre contact avec le PMS
pour bénéficier de ces aides gratuit ement pour l’enfants.
Il est lié au scolaire d’où son nom : trouble d’apprentissage ou instrumentaux. Et ils sont innés.
Dysfonctionnement du cerveau :
- tous nos faits et gestes partent du cerveau (mouvement, parole, écoute, gestes, écriture), c’est le centre
des commandes avec des milliards de neurones communiquant entre eux pour mener les actions. Le
cerveau est divisé en zones ayant chacun une fonction (frontal – attention, …).
- trouble DYS est un dysfonctionnement a une zone précise du cerveau qui impacte/perturbe les
apprentissages. L’intelligence reste complète.
Dyslexie :
-plus fréquent (6-8%)
- avoir du mal à lire, écrire et à comprendre
- rééducation : logopèdes/orthophonistes/psychomotriciens
- circuit cérébral : de l’œil, à la rétine, au nerf optique (qui scanne le mot), à l’aire primaire visuelle du
cerveau, à la zone de reconnaissance des lettres pour trouver le sens (chemin : neurone)
- voies décodages : phonologie (lettre en son, biblio sonore) et lexicale/graphème (photo du mot, biblio
mental)
- problèmes : différencier les lettres miroirs, assemblage phonique difficile, mots écrient différemment de
l’écriture
Dyspraxie :
- 5% des enfants en défaut de coordination des gestes (donc difficulté d’écriture)
- très fatiguant car demande bcq d’attention (même pour geste automatique) = motricité fine permanent
- circuit cérébral : lobe frontal (obj), au lobe pariétal (fixe), au lobe frontal (envoie), à la moelle épinière,
aux muscles
Situation double tâche : concentration sur deux choses ce qui est difficile, surtout pour les DYS qui
ont une dysfonctionnement dans une des zones (ex : écriture pour dysorthographie + écouter la prof).
C’est la saturation d’attention et donc cognitif
Adaptation scolaire : PIA, ordinateur, police différente, temps supplémentaire, casque qui lit, … si trop
lourd alors il y a les écoles spécilaisées (peu décoré pour éviter de perturber, aide à avancer et
comprendre)
Définitions :
Trouble cognitif neuro-développemental qui crée :
Dyslexie : trouble au langage écrit (de lire et apprendre à lire, à orthographier)
Dysphasie : trouble au langage oral (prononcer et syntaxe)
Dysgraphie : trouble à le graphisme (coordonner et conduire le trait)
Dyscalculie : trouble au langage des nombres/chiffres (compréhension, représentation quantitative au
niveau des chiffres écrits)
Dyspraxie : trouble au niveau de l’organisation du gestes (coordination des gestes)
5 points commun entre les DYS : trouble neuro-développement, trouble cognitif, handicap invisible,
tout un problème avec la représentation mentale, déficience intellectuel normal, enseignement de type 8
si trouble sévère
- centré sur la personne (se focaliser sur la personne plus que sur le diagnostic tout en le prenant en
compte)
-adaptation au niveau matériel et temporel pour l’aider
- stratégie de compensation : proposer des activités appuyant sur les points forts
Définition
- difficultés liées au cognitif (inattention, impulsivité), émotionnel (impatiente), social, psychomoteur
- trouble déficitaire de l'attention/hyperactivité (TDA/H) comme un trouble chronique caractérisé par un
niveau excessif d'inattention, d'impulsivité et d'hyperactivité par rapport aux enfants d'un même niveau
développemental.
- diagnostic : IMC, pedo-psy, … n’est jamais sur à 100%, on évite de le faire trop vite et sous la pression
Prise en charge
- simulation du système nerveux central démontre une efficacité (moins crises, plus serein) mais
importante effets secondaires (insomnie, nausée, …)
- les parents ont parfois du mal à nouer une relation avec leur enfant avec douceur et bienveillance ce qui
peut accentuer des traits de problème et impacter le contexte familial
- important de travailler les émotions, les interactions positives avec l’enfants, la valorisation de lui-même
et de travailler avec les parents
Le sport, la solution ?
- le sport pour l’épuiser, non. Ça augmente la fatigue physique et ils ont plus de mal à se concentrer et à
être stable.
- le sport comme lieu d’épanouissement, oui. Ça favorise le social, la régulation corporelle, le respect des
règles, canalise l’énergie, … . Mais cela doit être à son goût, dans ses intérêts.
-hyperactivité n’est pas un trop plein d’énergie mais une grande fatigue.
En tant qu’ES :
- aide à trouver un endroit où il va se sentir bien et sera bien perçu pour développer sa tendance
actualisant. Si elle est motivée, c’est un moteur positif.
- trouver des adaptations : assise pneu, être devant ou derrière, être près d’un élève calme, …