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15 % de la note finale
Consignes
Pour vous préparer à la table ronde, vous devez répondre à sept questions en vous
appuyant sur l’œuvre à l’étude dans un document de préparation où vous noterez les
principaux éléments et idées qui guident votre réflexion. Il n’est pas nécessaire de faire
des paragraphes complets. Vos idées peuvent se déployer par point, mais vos phrases
doivent témoigner de l’approfondissement de la réflexion.
Pour appuyer vos réflexions, sept citations (une par question répondue) doivent être
intégrées à votre document de préparation. Vous pouvez retranscrire la citation en entier
ou indiquer la référence dans le document de préparation (numéro de page, premier et
dernier mot de la citation).
3-5 pages qui doivent être présentées dans les règles de l’art (page de présentation,
double interligne, à l’ordinateur, pagination).
Durant votre temps de parole, vous devez lire quelques parties des citations que vous
aurez relevées.
Il ne sera pas possible de me le remettre après la table ronde. Vous devez donc avoir
une copie du travail de préparation que vous me remettrez et vos notes personnelles.
La table ronde devra emprunter la forme d’une discussion, et non d’une suite d’exposés
individuels. Vous devez écouter les interventions de vos collègues et réagir à leurs
réflexions en présentant les vôtres. Vous devrez parler environ 5 ou 6 minutes en tout.
Ayez votre livre à portée de main afin de pouvoir suivre les citations de vos collègues ou
pour lire vos propres citations.
Présentez-vous seulement à l’heure qui vous est assignée. Les retards ne seront pas
tolérés.
Critères d’évaluation :
clarté et cohérence des idées;
développement et approfondissement de la réflexion;
capacité d’analyse;
pertinence des extraits choisis;
maitrise et aisance de l’expression orale et intérêt suscité;
sérieux de la préparation et participation générale à la table-ronde.
1
« Le corps qu’on me prête/ est le temple de mon âme./ Qu’on me juge aux fruits/ qui tombent de mon arbre. »
(Samian, p.11)
2
« Elle pleurait le soir, la terre. Des larmes sèches pulvérisées à la moindre brise, dispersées aux quatre vents. Elle
blessait les yeux, la terre. Elle vous entrait dans le nez, elle vous entrait dans la gorge et vous étouffait, la terre. Le
jour et la nuit, pendant des mois, elle agonisa, livrant les hommes à l’oisiveté, se condamnant elle-même ainsi au
repos forcé. » (Jean-Claude Fignolé, p.53)