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V-Cinquième Partie : La culture des céréales

5.1. Choix du système de culture


Le système de culture c’est la manière dont sont combinées les éléments des unités de
produits finaux ; c-à-d la combinaison de la production entre les cultures en fonction des
objectifs visées. Le choix du système de culture est étroitement lié à un certain nombre de
facteurs internes (SAU, matériel existant, main d’œuvre, disponibilité de l’eau pour
irrigation, ..), facteurs externes (le milieu est principalement le climat, …) et socio-
économiques (marchés, écoulements,...).
Le système de culture des céréales en Algérie est essentiellement de deux types :

- Le système traditionnel:
C’est le secteur des petits privés ; qui sont des propriétés dont la superficie est restreinte. On
trouve essentiellement le système, jachère blé. La jachère est de type pâturée qui reste un
moyen d’infestation en "mauvaises-herbes" ; les techniques culturales sont très simplifiées
et la lutte contre les adventices se fait surtout manuellement, l’utilisation de lutte chimique
n’existe pas et pas d’engraissement.

- Le système mixte:
C’est l’association entre la céréaliculture et l’élevage ; donc, il faut un certain mode de
conduite qui implique la présence de cultures et la technique culturale. Cette conduite va
dépendre de certains facteurs et des objectifs de production. Dans ce système, on trouve
que certain facteurs sont mieux utilisé, notamment l’épandage d’engrais et lutte chimique.

5.2. Variétés cultivées en Algérie


* Blé dur: Oued Zenati, Bidi 17, Mohamed Ben Béchir, Gloire de Mongolfier, Hedba 3,
Montpellier, Polinicum. Et Variétés précoces: Waha, Mexicali, Zenati B x Flaminguo, INRAT
69, Capeitti, ACSAD 65.
* Blé tendre : Mahon Demias, Anza (ne sont plus produites). Florence aurore, Siété Ceroses,
Hidab (HD1220), Anza, Srampelli, Acsad 59.
* Orge: Tichedrette, Saïda, Plaisant, Barberousse, Jaidore, Expersse, Acsad105.
* Avoine: Avon, Prévision.
* Triticale: Claircale.

5.3 Zones de culture


- Plaines littorales et sub-littorales (> 600 mm): Alger, Bejaia, Annaba, Guelma,…
- Plaines intérieures: Ain-Temouchent, Relizène, Ech-Chlef, Tlemcen,…
- Hautes Plaines Telliennes (400 et 600 mm): Sidi-bel-abbes, Saïda, Tiaret, Tissemssilte,
Bouira, Sétif, Oum-el-Bouagui, Constantine,…
- Zone Aride (< 350 mm) : Tébessa, Khanchela, Batna, Sétif, M’sila, Ksar-El-Boukhari,
Souguer,
5.4. Exigences Agronomiques
5.4.1. Nature du sol
Tous les sols ne conviennent pas à la céréaliculture et certains mêmes jouent un rôle
limitant.
a. Sols peu profonds: ces sols présentent des croûtes calcaires et semelles de labour et ceux-
ci ne sont pas favorables au système racinaire de la céréale qui peut atteindre 20-40 cm. En
présence de croûtes de semelle, on fait un sous soulage croisé en conditions sèches pour
pouvoir exploiter ce sol.
b. Sols perméables et caillouteux: se sont des sols légers, sableux ; ont une faible capacité
de rétention en eau et encrage les racines. On peut améliorer la rétention d’eau par la
matière organique.
c. Sols Salés: la salinité des sols influe réduit la fertilité du pollen, donc réduction de
fécondation et on peut aboutir à la coulure.
d. Choix des variétés en fonction de type de sol.
Pour les variétés exigeantes on leur offre des sols riches et profonds, ex.: pour le blé tendre
(Florence Aurore, Sieté ceros), blé dur (Oued Zenati, Bidi 17, vitron).
Les variétés rustiques leur suffisent un sol pas très profond, pauvre et léger ex.: blé tendre
(Mahon Demias, anza) et blé dur (Hedba 3, MBB).
L’orge s’accommode de terre légère, peu profonde et même ayant un sous sol calcaire.
L’avoine est très peu exigeante en sol, mais les meilleurs rendements pour avoine sont
obtenus sur sols profonds et riches ; sur limon du plateau.

5.4.2. Techniques culturales.


Opérations qui commencent avant semis et se poursuivent jusqu’à la récolte:
5.4.2.1. Travail du sol.
Il dépend essentiellement du précédent cultural et du climat ; ex.: légumineuses (légumes
secs), fourrages, jachère.
* Sur jachère quand on veut faire blé, on fait:
- Un labour en hiver à partir du mois de décembre à l’aide d’une charrue à disque, à socs ou
chisel, avec une profondeur de 25-30 cm.
- A partir du mois de mars, on fait une reprise de labour en utilisant un chisel, canadien ou
cultivateur à une profondeur qui n’excède pas les 15 cm.
- A partir du mois de Mai, on procède aux façons superficielles par cover-crop ou cultivateur
de 8 à 10 cm de profondeur, le nombre de passages dépend de l’infestation de la parcelle en
adventices.
- A partir de septembre, on procède à la préparation de lit de semence, on utilisera
pulvérisateur ou cover-crop et juste avant semis, on fait passer la herse, à un profondeur qui
n’excède pas le 8 cm.
- Après semis, on passe un rouleau en conditions sèches.
* Sur fourrages:
- Après la vesce-avoine, on effectue un labour de 20 cm de profondeur en avril-mai à la
charrue ou chisel en sol sec,
- En mai-juin, on fait un recroisement au cover-crop ou cultivateur pour destruction des
adventices et pour réduire la taille des mottes,
- Et on ne touche plus au sol jusqu’aux premières pluies d’automne, un deuxième
recroisement au cover-crop ou cultivateur.
- Après semis, on passe un rouleau en conditions sèches.

Le profil cultural recherché par le labour et la préparation du sol:


 Des mottes assez petites: en surface, les mottes ne doivent pas dépasser 2 à 3 cm de
diamètre.
 Terre fine et mottes: faire des mottes en sols battants,
 Horizon rappuyé: horizon rappuyé (retassé), mais pas tassé. Les fissures favorisent la
pénétration des racines et la circulation de l’eau.

5.4.2.2. Semis.
Opération très importante et présente deux aspects: (date et dose de semis):
a. Date de semis:
Dépend de la variété et du climat. Des variétés tardives et précoces.
On sème au premier les variétés tardives (caractérisés par cycle long) et après on sèmera les
variétés précoces (caractérisés par cycle court).
On conseillera de ne pas semer trop tôt les variétés précoces à cause de gelées tardives,
elles peuvent provoquer la coulure des fleurs. De ne pas semer trop tard les variétés tardives
de crainte de l’échaudage, provoqué surtout par le sirocco.
Les dates de semis varient donc en fonction de la zone et de type de variété:

Variétés tardives Variétés précoces


Zones littorales et sub-littorales 20 octobre ou 10 Novembre 1 Novembre ou 20 Novembre
Hauts Plateaux 25 Octobre ou 30 Novembre 10 Décembre ou 15 Décembre

Il est très dangereux de semer en automne si le temps est sec ; pour cela le semis se fait en
générale de 15 novembre jusqu’à décembre et actuellement on ne respecte pas les variétés
et les zones. Il faut éviter de semer trop tard surtout les variétés tardives.

b. Dose de semis:
Dépend d’abord de la semence et de l’état de lit de semence:
* La semence: elle doit avoir une bonne faculté germinative.
* La dose de semis dépend de la préparation du lit de semence s’il est très motteux, il faudra
augmenter la dose de semis. Salissement élevé = augmentation de la dose de semis.
* Date de semis: un semis tardif diminue le nombre de talles, donc pour pallier à ceux-ci, on
augmente la dose de semis.
* Poids de 1000 grains: est lié à sa taille ; pour une variété à gros grain, on augmente la dose
de semis et au contraire une variété à petits grains on diminue la dose de semis. Donc si on
utilise des petits grains, on doit diminuer la dose jusqu’à 90 kg/ ha.
Exemple. Poids de 1000 grains pour la variété A = 30 g et pour la variété B = 50 g. En
supposant que la faculté germinative est de 100 %. On veut obtenir un peuplement de 300
plants/ m2. Calculer la quantité de grain/ ha ? 2°) Si Faculté germinative = 95 % ?
* Variété: pour une variété a bon tallage, on doit diminue la dose de semis (100 à 110 kg/
ha). Par contre, une variété qui talle peu, on doit augmenter la dose (120 à 140 kg/ ha).

Mode de semis:
- semis à la volée: on préconise d’augmenter la dose. Il est utilisé pour terrains
accidentés, dans les petites parcelles et dans le sol trop humide. Après ce type de semis,
on effectue un hersage.
- Semis en lignes: on aura un peuplement plus régulier, en espacement et en
profondeur en fonction de la zone et du travail du sol.
- Densité de semis: selon les potentialités pédoclimatiques de la zone de production.
- Zone à 600 mm de pluies: densité de peuplement = 300 à 350 grains/ m2,
- Zone de 400 à 600 mm: densité de peuplement = 250 à 300 grains/ m2,
- Zone à < 400 mm: densité de peuplement = 200 à 250 grains /m2.

5.4.2.3. L’Eau.
La zone de culture des céréales est entre l’isohyètes 600 mm du nord et 400 mm du sud. Le
blé a besoin au minimum 400 mm, si on a moins on dira que la céréaliculture est aléatoire.
On va irriguer à certains stades de la plante ; c’est une irrigation de complément qui aura
lieu que si on a des moyens et de l’eau disponible.
Si on irrigue au moment de la montaison le rendement sera faible, par contre, si on irrigue
au moment de la montaison à l’épiaison et au niveau de grossissement du grain, les
rendements augmentent fortement (travaux de Mme Meckliche).
Les besoins sont très importants surtout en période reproductrice, il sera un facteur limitant.
- Chez le blé tendre: les besoins les plus importants (période critique) ce sont les 20 jours qui
précèdent l’épiaison et au moment de pallier hydrique.
- Le blé dur: besoins assez faibles jusqu'au tallage et sont importants de la montaison à la
floraison et après la floraison le blé dur devient résistant à la sécheresse et aux températures
élevées. Les variétés de blé dur sont résistantes à l’échaudage.
- L’orge: les besoins sont assez importants au début développement et deviennent faibles au
cours de cycle ; il est résistant à la sècheresse.
- Avoine: en générales les variétés s’adaptent bien aux conditions de sècheresses; les besoins
en eau sont faibles et c’est le cas des variétés algériennes, ex.: Avena sativa (besoins
élevées) et Avena byzontina (besoins faibles, trouvées en Algérie).
5.4.2.4. Eléments fertilisants.
a. Azote:
L’azote après l’eau est un facteur indispensable aux céréales et très limitant chez le blé. C’est
un facteur déterminant des rendements, il a trois effets:
- Accroît la masse végétative par le nombre de talles ;
- Accroit le nombre épillets fertiles et ainsi ;
- Il augmente le poids de 1000 grains.
La fertilisation azotée dépend:
- De l’azote libre de la matière organique,
- Du précédent cultural (légumineuses...),
- De la variété: il existe des variétés résistantes en azote et ceux en rapport avec leur
hauteur, ex.: variétés à paille courte qui ne versent pas d’où on augmente les doses.
- Disponibilité en eau: en conditions sèches les besoins en azote sont plus faibles. L’azote n’a
pas toujours des effets favorables ; on fait augmenter la taille des organes en diminuant le
système racinaire (mauvais encrage des racines) et la plante sera soumise à la sécheresse.
- L’Excès d’azote provoque la verse physiologique (pietin-verse), en augmentant la masse
végétative: le nombre de talles augmente, pieds en formes de touffe et un peuplement
dense donc diminution de la photosynthèse et par voie de conséquence des glucides qui est
dû par la compétition de la lumière et ceci entraîne un déséquilibre entre protides et
glucides. Donc, déséquilibre en alimentation carbonée et protéique. On a migration des
glucides vers le haut au entres nœuds qui seront solides et par contre les entres nœuds bas
(de la base) seront faibles en glucides et ne sont plus rigides et la tige se pli. Donc verse
caulinaire (qui se développe sur tige d’une plante), accentuée par le vent (verse mécanique).
L’apport d’azote doit être fractionné : au semis, au tallage et épiaison, pour améliorer le
poids de 1000 grains et le taux de protéines (réseau RéQuaBlé de Sétif).

b. La fumure phospho-potassique:
Elle améliore l’équilibre nutritif et rend le blé plus résistant à la sècheresse:
- Il permet une bonne migration des protéines vers les grains,
- il améliore la fécondation lorsque les conditions sont humides et froides,
On apporte le phosphore et le potassium avant le semis. La fertilisation de céréales va être
dépendue tout d’abord des variétés, de la disponibilité en eau, du précédent cultural et de la
richesse du sol.

5.4. 2.5. Les ennemis des céréales.


5.4.2.5.1. Mauvaises herbes.
Les pertes causées par les mauvaises herbes sont très importantes 20 à 50 % de rendement
et de la production nationale sont perdues par les mauvaises herbes, surtout par les
messicoles.
"Mauvaises-herbes"/ Adventices: plantes qui n’ont pas été cultivées et qu’ils ont des effets
directes ou indirectes sur les cultures.
- Effet directes: une compétition avec la culture en place et elle diminue la qualité de
récolte. La compétition se fait sur l’eau, éléments nutritifs, la lumière et l’espace.
Diminution du nombre d’épillets fertiles car on a eu diminution des épis.
- Effet indirecte: les "mauvaises-herbes" peuvent être un foyer de certains
déprédateurs et parasites et peuvent aussi être réserves de toxines, on parlera:
D’allelopathie: sécrétion de substance par une espèce toxique donnée pour une autre
espèce.
On dit que les mauvaises-herbes gênent la récolte ; grain du blé sec et grain de mauvaises-
herbes vertes → gênent la récolte et déprécie la récolte.

Certaines espèces en Algérie:


1- au moment du tallage: Fumeterre, Ravenelle, Moutarde de champs, Coquelicot (pousse
en sol calcaire) Oxalis… gênent le tallage et déprécie la qualité du récolte.
2- Au moment de la montaison: Luzerus, Mélilot, Coquelicot, Vesces, Gesses,
3- Après épiaison: Chrysanthème: dangereuse après épiaison, Folle-Avoine: concurrence la
céréale de la montaison à la floraison, Faux Fenouil: si la densité est très élevée on a une
concurrence poussée qui diminue le rendement.
4- Brome et Phalaris: poussent en même temps que les céréales, et le brome se présente
sous forme de touffe ; il envahie la culture et déprécie la récolte et gène le nettoyage des
semences.

b. Lutte contre les mauvaises herbes: deux luttes :


1. Lutte mécanique: On essaye:
- de réduire l’effet de compétition: il faut augmenter l’agressivité de la culture en place que
les mauvaises-herbes, en augmentant la dose de semis et en doit décaler la date de semis
pour réduire la compétition.
- réduire l’infestation des "mauvaises-herbes": pour avoir moins de grains de mauvaises-
herbes et ainsi des semences propres (triées) et respecter le mode de conduite du précèdent
cultural ; notion de cultures nettoyantes et salissantes.
Cultures salissantes: laissent la parcelle sale après la récolte,
Culture nettoyante: laissent la parcelle propre après la récolte.
Ex.: Vesce avoine: Si on récolte avant formation de graine ; la culture est nettoyante,
Si on récolte après formation de graines ; la culture est salissante.
Betterave: culture nettoyante ; plante sarclée mais s’il y’a défaut de sarclage: on aura une
poussée et maturation des MH et la plante devient salissante.
Jachère travaillée est nettoyante,
Jachère fauchée ou pâturée est salissante.

* Faux semis:
Après avoir préparé le lit de semence et la poussée des mauvaises-herbes, on fera passer les
outils des façons superficiels pour réduire les M. herbes.
On utilise des instruments à dents pour les cultures à rhizomes comme chien dent en
conditions sèches.

* Enfouissement des graines: à une forte profondeur, mais certaines plantes peuvent
germées, ex.: folle-avoine.

2. Lutte chimique:
On utilise des produits herbicides ou désherbants. Le choix du produit dépend de :
- l’adventice à combattre,
- de la plante qui est cultivée,
- du moment de la lutte,
- des conditions du milieu.
Illoxon B: actif sur la folle-avoine (monocotylédone) et les dicotylédones annuelles et on
l’applique de stade trois feuilles à la fin tallage.
Suffixe double action: actif sur la folle-avoine (monocotylédone) et les dicotylédones
annuelles et on l’applique de stade trois feuilles de fin tallage au début montaison.
2- 4 D: actif sur les dicotylédones annuelles de la période plein tallage à la fin tallage.

2.5.2. Les déprédateurs.


12 % de dégâts sont causés par les déprédateurs.
a. Insectes:
- Punaise des céréales (Alea Germani): attaque le grain ; déprécie la qualité de la récolte
(grain punaisé), le blé impropre qui ne peut pas être commercialisé.
- Criquet pèlerin: pour détruire les larves, on brûle les cultures. Etroitement surveiller.
- Vers blancs: Rhizotrogus, on doit faucher et retourner le sol, sa prolifération est due à la
suppression de la jachère.
b. Oiseaux:
Moineaux et Etourneaux: nuisibles au semis et maturation essentiellement à la récolte.
c. Ravageurs:
S’attaquent au semis et à la récolte.

5.4.6. Récolte.
Il faut récolter en bonnes conditions et avec une bonne moissonneuse-batteuse ; récolté à
maturité et un grain sec (H° de 12 – 15 %). Selon les variétés, on commencera par les
variétés précoces et on termine par variétés tardives afin de ne pas avoir égrenage. Il faut
bien régler les M batteuses pour éviter les pertes considérables (estimées à 30 %).

Synthèse.
* L’élaboration du rendement se fait tout au long de développement de la plante et ceux-ci à
chaque stade.
Le rendement est la combinaison d’un certain nombre de paramètres appelé composantes
du rendement: Le peuplement:
- Nombre de pieds/ m2,
- Nombre d’épis/ pied = Nombre d’épis/ m2,
- Nombre d’épillets/ épi,
- Nombre de grains/ épillet = Nombre de grains/ épi,
- Poids du grain (gr) donc,

* Action du milieu et de techniques culturales sur les composantes.

Composantes de rendement Effets favorables Effets défavorables


Nombre de pied / m2 - lit de semence, - Mauvaises faculté germinative,
- Profondeur du semis, - Sécheresse précoce,
- doses de semis
Nombre d’épis / pied - Profondeur de semis (3–4 cm) - Semis tardive,
- bonne alimentation en N et P - déficit hydrique
Nombre de grains / épi - bonne alimentation en eau, - déficit hydrique,
- bon équilibre nutritif : N - gelée tardive = coulure,
- Mauvaises herbes
Poids du grains - eau, - échaudage,
- réserves - Parasites et M herbes.
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Varlet-Grancher et Pluchard, 1986

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