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<<<£«^i. Document à diffusion restreinte


Rapport technique
RP/1979-80/4/7.6/05

Campagnes înternationales pour


la préservation et la sauvegarde
du patrimoine culturel de l'humanité

estau ation de la g ande k losquée


de Kai ouan

par Georges Duval

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de série : FMR/CC/CH/80/172

Paris, 1980
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TUNISIE

RESTAURATION DE IA
GRANDE MOSQUEE DE
KAIROUAN

par Georges Duval

Rapport établi à l'intention du


Gouvernement de la Tunisie par
l'Organisa-bion des Nations Unies
pour l'éducation, la science e-fc
la culture (Unesco)

UNESCO
Rapport, technique
RP71979-80/4/7. 6/05
^R/CC/GH/80/172(Duval)
le 31 octobre 1980
© Unesco 1980
Printed in France
(i)

Avant-Propos

A la demande du Gouvernement tunisien, M. Georges Duval,


consultant de l'Unesco, a été dépêché en Tunisie, au titre
du Programme ordinaire de l'Organisation pour 1979-1980, aux
fins d'examiner la situation de la Grande Mosquée de Kairouan
et de proposer des méthodes- de restauration propres à assurer
la stabilité définitive de l'édifice.

La mission a été effectuée du jeudi 22 mars au me.rcredi


28 mars 1979,

Le consultant de l'Unesco, dés-ire. remercier de son


accueil tout d'abord M. le Ministre de l'information et
des affaires culturelles qui a bien voulu l'e recevoir?
et M. Ibrahim CHABBOUH, Directeur du Ministère de l ' in-formation
et des affaires culturelles qui, aussi bien à Tunis qu'à
Kairouan, m'a fait le point des problèmes posées, à mis
a sa disposition la documentation nécessaire et lui a permis
de consulter les archives conservées par son administration.

Sur place, le consultant a rencontré M. Hassen JELLITI,


M. Aziz TRABELSI et leurs collaborateurs qui ont également
tout mis en oeuvre pour faciliter sa mission.

IÏ tienf par ailleurs a souligner l ''excellent travail


r'êalisê . à la Grande Mosquée,, la conscience et la prudence
avec lesquelles sont prises les. . décisions de restauration
qui s'imposent.

II. remercie également M. A. POLLISSE Chef de Section


Outre-Mer Etranger, au. bureau Vêritas qui a bien voulu lui
communiquer le résultat de l'expertise faite en 1962 et
M. DOCHLER, ingénieur à la Socotec, qui l'a aidé de ses
conseils pour le calcul des dilations des dalles en béton armé
de la salle- de prières.
(ii)

SOMMAIRE
Page
l RAPPEL HISTORIQUE ET ARCHEOLOGIQUE l.

II ETUDE DE LASTRUCTURE DE L'EDIFICE 7.

7.
A - Etat ancien

B - Modifications récentes de la structure 11.

ancienne

111 ETAT ACTUEL DE L'EDIFICE ET DES- 16.


CRIPTION DES DESORDRES CONSTATES

A - Façades extérieures 16.


19.
B - Galeries et salle de prières
19.
C. - Terrasses et coupoles
D - Minaret 20.

IV CAUSES DES DESORDRES ET PROPOSITION


DE CONSOLIDATION 21.

21.
A - Façades extérieures
24.
B - Galeries et salle de prières

C - Terrasses et coupoles 34.


34.
D - Minaret

V CONCLUSIONS 36.

BIBLIOGRAPHIE 37

ANNEXES

42.
l. Expertise et rapport du Bureau Véritas - 1962
48
2. Calculs de l'Architecte DONATI " 1968
Travaux de l'Architecte DONATI - 1969
68
3.
4. Sondages sur les terrasses - 1978 78
-1-

RAPPEL HISTORIQUE ET ARCHEOLOGIQUE

La Grande Mosquée, dite aussi Djamâ Sidi Oqba est le plus ancien
lieu de prière du Maghreb. Elle fut en effet fondée par ÇqbaIbn Nafii,
en même temps que la ville, en 671 (an 50 de l'Hégire au momen-t où
il recherchait, en rase campagne, un camp (signification du mot
Qayrawân) à égale distance de la côte menacée par les armées de By-
zance et de la montagne tenue par les Berbères, afin d'assurer la
conquête d'Ifrigiye, l'ancienne province romaine et bizantine d'Afrique,
l'actuelle Tunisie.

Détruite par les Berbères de Kasailaa vers 688 elle fu-t. rebâtie par
Hassan Ben Nomane vers 695, agrandie par le calife omeyyade Hichâm
et à nouveau reconstruite en 774 par Yazid Ibn Hâtim.

La mosquée que nous voyons aujourd'hui résulte de la reconstruction


de ce dernier sanctuaire effectuée en deux temps : en 836 sous la
direction de l'^mir Aghlabide Ziyadet Allah 1°, en 862-863 sous l'émir
Abou Ibrahim Ahmad. L'édifice fut ensuite plusieurs fois restauré et
remanié : en 1025, en 1249, en 1294, en 1618, à la fin du XIX ° siècle,
au début du XX° siècle puis de 1969 à 1972.

Georges Marçais la présente ainsi : la "Grande Mosquée de Kairouan


est un édifice complexe, conforme au type primitif de Médine par
l'ampleur de sa cour, au plan basilical par l'ordonnance des nefs ;
les supports, le tracé des arcs et les couvertures en terrasse y rap-
pellent l'Egypte , la ppsitiori et laforme^dùmijiarftt évoquent la Syrie ,
l'anatomie des coupoles est mésopotamienne, et le décor trahit l'in-
tervention de sculpteurs locaux, d'atelier s jadis chrétiens.
Création complexe, mais non disparate, dont la complexité ne se ré-
vêle qu'à t'analyse, la Grande Mosquée de Kairouan, rude et un peu
barbare dans le détail, est d'une noblesse de proportions, d'une r obus -
tesse de lignes qui s'imposent au souvenir"
-2-

Créée pour la prière commune du vendredi, la Grande Mosquée se


présente sous la forme d'un vaste quadrilatère irrégulier de 185 m
de longueur et de 80 m de largeur ; elle est entourée de hauts murs
renforcés de contreforts et est essentiellement composée d'une
vaste cour bordée sur trois de ses cotes par des portiques (l).
Construits sous l'émir Abou Ahmad au IX ° siècle puis sous les Hal-
siècle, ils furent remaniés par les Turcs
cides à la fin du XIII0

notamment à l'Ouest au XVII° et au XVIII0 siècle. Le minaret, cons.

truit vers 836, occupe le milieu du côté Nord.

(l) Quelques salles annexes : salles d'ablutions, bibliothèques,


chambre de l'iman, réserves et dépôts complètent la
composition.
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Le côté Sud de la cour est occupé par un quatrième portique élevé
au IX° siècle servant d'accès à La salle de prières (l)

Au premier abord celle-ci offre le ma.gnifique spectacle d'une "forêt


de colonnes (2) en marbre ou en porphyre comportant dix sept nefs
dirigées dans le sens de la profondeur_-_ces colonnes _sont, surmon~
tées de chapiteaux romains Pro'
venant de l'antique Hadrumète ou même de Carthage, et byzantins
qui en font un véritable musée.

La salle de prières est divisée en deux par une nef médiane plus
large que les autres, perpendiculaire à la façade et flanquée de co-
lonnes jumelées ; une nef de même largeur, perpendiculaire a. la
première, longe le mur du fond et termine ainsi cette composition
en T. La rencontre de ces deux nefs dégage un espace assez vaste,
surmonté d'une coupole côtelée sur trompes en coquilles (recons-
truite en 836 par Ziyadet Allah la), où sont implantés le Mihrab et
Le Mimbar.

Le Mihrab, sorte d'abside avec cul de four en bois recouvert d'un


enduit épais avec décor de rinceaux, de feuilles et de grappes de
raisin datant probablement du IX° siècle, est entouré de cent trente
admirables plaques de faience à reflets métalliques importées de
Bagdad au IX° siècle. Le fond de l'abside est décoré de panneaux de
marbre sculpté.

Le Mimbar, ou chaire à prêcher, est un admirable travail du IX'


siècle en panneaux de bois sculpté et ajoure.

A côté du Mimbar, la Masouka, clôture de bois tourné et sculpté fut


aménagée en 1022 par le Ziride El Mo'izz pour lui permettre d'assis.
ter à la prière publique.

(l) Une travée voûtée en berceau et deux autres ont reçu des voûtes
d'arête
(2) Leur nombre approche de cinq cents en comptant celles des par -
tiques.
-5-

Cette description sommaire étant faite, il semble opportun de reve-


nir sur le parti ésotérique et architectural qui a déterminé la concep-
tion d'un monument d'une façon qui, comme il a été dit précédemment,
l'e'i' II
s'im ose au souvenir".

Par son aspect extérieur, i.1 s'agit d'une forteresse ne comportant pas
de fa ades telles que nous l'entendons aujourd'hui. Par contre et par
le jeu de ses fa ades intérieures, nous sommes en présence d'une ar-
chitecture introvertie qui isole un espace intérieur du monde environ-
nant (l), et qui ne peut pas ne pas rappeler les monastères occiden-
taux. que nous connaissons et qui en tout cas relève de la même dé -
marche : espace clos, espace réservé, espace privilégié, espace
par là même sanctifié relevant d'une certaine volonté de silence et
de recueillement. Il faut signaler, en outre, dans le cas particulier
du monde musulman, le minaret qui joue un rôle de communication
entre cet intérieur précédemment défini et le nionde extérieur :
communication par l'appel à la prière à double sens, primordiale et
qui refusant, dans une certaine mesure, les influences extérieures,
prétend au contraire les diriger.

Cela dit pour l'épiderme ou l'enveloppe, l'essentiel est ailleurs :


dans la composition à. la fois simple et complexe, au premier abord
semble-t-il , du programme de la mosquée.

Sri effet, issue de la basilique chrétienne et de la tradition de la


maison du Prophète à MédÏne, la mosquée procède d'un plan qui a. pour
point fort le mihrab. Il indique en effet non seulement la direction de
la Mecque mais synabolise surtout la présence physique du Prophète
à cet endroit. Il justifie ainsi la décoration exception. nelle qui l'ac-

(l) espace qui obéit, peut être par hasard étant donné les retouches
successives mais on ne peut pas toujours croire au hasard, par
son plan au nombre d'or : largeur 78 m longueur 125. 20 et 127. 60
soit une moyenne de 126. 40 (78 x 1. 62 = 126. 30)
-6-

compagne et la présence de la demi-coupole, forme symbolique du


dôme céleste, qui magnifie l'espace ainsi créé, espace complété par
celui formé par une autre coupole implantée en avant du mihrab et
très richement ornée elle aussi.

Résumé ainsi, le parti architectural aboutit à une succession d'"amers'


particulièrement perceptible par ce peuple initialement nomade, que
ponctuent d'abord la coupole établie en avant du mihrab, celle im-
plantée à l'abord de la grande nef et le minaret. Admirable et pro-
fonde disposition qui, à Kairouan, indique au peuple priant la voie
mystique menant à la Mecque.
-7-

ETUDE DE LA STRUCTURE DE L'EDIFICE

A - ETAT ANCIEN.

Les supports de la salle de prières et des galeries sont constitués


d'un mur périphérique épais épaulé par de puissants contreforts, et
par des colonnes reposant sur des fondations reliées par des lon-
grines en maçonnerie formant une sorte de gril (photographie p. 8) .
Ces colonnes reçoivent des chapiteaux antiques surmontés d'une
surabaque en bois ou en pierre et d'une imposte en maçonnerie. Ces
impostes sont reliées entre elles par des arcs outrepassés brisés et
étaient maintenues en place par des tirants de bois horizontaux. Ces

arcs sont surmontés de murs en maçonnerie de moellons recouverts


d'un enduit sur lequel reposait le plafond formant plancher de la
terrasse.

Ce plancher (dessin n° III) était composé de poutres en bois de cèdre


portant de mur à mur et dont les extrémités étaient soulagées par des
corbeaux. Des solives disposées perpendiculairement et portant de
poutre à poutre supportaient le plafond de bois. Celui-ci recevait les
divers éléments composant la. terrasse :

-un lit de briques hourdées à ta chaux

-une forme en argile d'épaisseur ^variant de 22 à 60 cm avec une


moyenne générale de 4l cm
-deux lits de briques superposés hoùrdées au mortier de chaux
- une chape au mortier de chaux grasse
- un badigeon de chaux périodiquement renouvelé.
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III

PLAFOND ETAT ANCIEN


-11-

Les trois premiers composants assurent l'isolation thermique indis-


pensable, les deux derniers assurent l'étancheité. Il faut remarquer
par ailleurs que la forme d'argile n'est pas continue mais laisse ap-
paraître les murets délimitant les travées intérieures de la salle de
prières et des galeries.

En plus de cette structure relativement simple, la grande mosquée


comporte un certain nombre de coupoles :
- quatre, correspondant à la salle de prières : une à chacune des ex-
trémités de la grande nef (mihrab et narthex), une marquant cha-
cune des deux entrées latérales

- une cinquième coupole de dimensions plus modestes, signale l'en-


trée principale située à l'angle Nord de la galerie Ouest

La plus intéressante est celle qui a été élevée en avant du mihrab ; il


s'agit d'une coupole côtelée sur trompes en coquille. La calotte, creu-
s ée de vingt quatre cannelures, repose sur un tambour circulaire per-
ce de huit fenêtres entre lesquelles s'interposent seize niches grou-
pées deux par deux. A l'extérieur, le dôme côtelé repose sur un mas-
sif octogonal aux pans légèrement concaves. La base carrée est ornée
de niches.

Au milieu de la galerie Nord s'élève le minaret ; haut de 35 mètres


il comporte trois étages de plan carré en retrait les uns sur les autres
et bordés de parapets crénelés. Le dernier étage estcouronné d'une
coupole certainement postérieure (fin XIIIa siècle) à la construction
initiale.

B - MODIFICATIONS RECENTES DE LA STRUCTURE ANCIENNE.

l 899 Exécution du dallage des galeries et réfection du pla


-fond de la grande nef
-12-

Vers 1920 Remplacement des tirants en bois posés entre les


impostes surmontant les chapiteaux par des tirants
métalliques traversant ces mêmes impostes

de 1968 à. 1970 Restauration générale dirigée, par l'architecte Donati ,


décidée à la suite d'un affaissement du dallage de la

salle de prières dû à des infiltrations d'eau et à des


désordres dans les murs Nord et Ouest.
Ces travaux avaient pour objet la réfection totale des
terrasses de la salle de prières (à l'exception de la
grande nef) et des galeries.
Ils furent réalisés de la façon suivant : (Annexe 4)
l - démontage de l'étancheité, des formes en argile
et du plafond en bois
2 - établissement d'un plancher^ en_betpn armé entre
hour dis-creux

3 - mise en place d'un isolant thermique par panneaux


de liège de 5 cm d'épaisseur
4 - exécution :

- d'une forme de pente (pente 1, 5 %) en béton


légèrement armé par un grillage (avec incorpo-
ration de déchets de marc d'oli'ves)
- d'une étancheité asphalte coulé, composée de
deux couches de 2 cm d'épaisseur

-d'une couche de sable

- d'une forme de protection en mortier de chaux


(pente 3 %)
- d'un enduit de chaux grasse
-13-

5 - remontage de l'ancien plafond profondément mo-


difié (voir dessin V).
Les poutres étant vissées sur des fers plats 14x60
mis en place dans les chaînages en béton armé au
moment du coulage, laissant ainsi un vide d'air
entre le dessus du plancher en bois et en dessous
du plancher en béton armé
6 - suppression des tirants métalliques.

Ces travaux furent complétés par des reprises des fondations des ma-
çonneries extérieures l par le décrépissage de
certains parements extérieurs (murs et coupoles) et par le rejointoie-
ment de ces mêmes parties de l'édifice. L'abaissement du niveau du
sol extérieur fut également entrepris notamment au droit de la façade
Ouest,
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TERRASSES IV
ETAT ACTUEL
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PLAFOND ETAT ACTUEL


-16-

ETAT ACTUEL DB L'EDIFICE ET


DESCRIPTION DSS DSSOSDHSS CONSTATSS

DESCRIPTION DES DESORDRES CONSTATES.

A - FAÇADESEXTERIEURES.

a) FAÇADE EST EN PARTANT DE L'ANGLE NORD-EST

En général on constate des fissures peu importantes mais un défaut


de rejointoiement qui sera à reprendre pour les glacis des contre -
forts.

Porte l sur la cralerie.

La colonne située à gauche de la porte est maintenue en place par des


calages en briques et mortier.
Fissures importantes dans la pile de droite.

Porte 2 sur la cralerie.

Cette porte a été entièrement démontée et remontée en 1961-62.


Fissure qui se poursuit dans le glacis.

Porte 3 sur la cralerie.

Fissure au dessus et à gauche de l'arc


Bombement des parois à droite de l'arc

Porte 4 sur la salle de rières

Les deux contreforts situés à droite de la porte ont été reconstruits.


Fissure dans le massif gauche (l à 2 mm) dans toute l'épaisseur de
la maçonnerie due probablement à un tassement.

b) FAÇADESUD.

Façade entièrement restaurée ; quelques travaux de rejointoiement


sont cependant nécessaires
-1T-

Porte au droit du mihrab ; _ cette porte a été


remontée en I960. Il existe malgré tout une fissure verticale impor-
tante partant de la base de la colonne de droite, suivant l'arc et se
poursuivant jusque dans les maçonneries supérieures.

e) FAÇADEOUEST

C'est sur cette façade que les désordres les plus importants peuv^ent^
être observés notamment dans sa partie Nord.
De nombreuses fissures apparaissent ; elles concernent plus parti-
culièrement les contreforts et les portes. Des témoins ont été posés
en 1974 et sont datés en général du 27. 8. 74.

An le Sud-Est

Certains travaux de rejointoiement sont nécessaires particulièrement


en ce qui concerne les glacis ; quelques fissures apparaissent à partir
du glacis mais ne semblent pas se poursuivre dans les maçonneries
situées en dessous.

Contrefort situé à l'an le Sud-Est de la orte 4. (

On remarque une fissure importante partant de la base jusqu'au fafte.


Elle provient du fait que les deux parties constituant le contrefort n'ont
aucune liaison entre elles.

Porte 4 sur la salle de rières

Les chaînages en bois situés à la partie inférieure de la coupole


semblent être dans un état de vétusté avancé et ne remplissent plus
leur fonction ; ils n'existent d'ailleurs que perpendiculairement à la

façade.
Il en résulte des fissures verticales importantes entre le contrefort
primitif et le portique.
-18-

Ma onneries entre les ortes 4 et 3.

Contreforts dont la partie inférieure a été reprise en 1967.

Porte 3 sur la cralerie

Contrefort situé à droite fissuré.

Ma onneries entre les ortes 3 et 2

Restaurée en 1967. Des témoins ont été posés le 26. 8. 1974 ; un témoin
est fissuré d'environ l cm, la fissure elle-même ayant une largeur de
2 à 3 cm. Il s'agit d'une fissure verticale accompagnée d'un gonfle-
ment des parements. Il faut remarquer par ailleurs que l'étaiement -
provisoire en place est très insuffisant et devra être renforcé

Des témoins non datés ont été mis en place dans le courant du mois
de Mars 1979 ; ils sont intacts.

Porte 2 sur la craierie

Chaînage en bois non protégé ; on remarque également des manques


de maçonnerie au droit des chafnages perpendiculaires à. la façade.

Porte l sur la cralerie

Sur la façade Nord de la pile située à gauche de la porte, deux fis -


sures importantes l'une à l'angle (témoin non daté intact) l'autre à
0 m 50 de l'angle (témoin non daté contourné par une fissure de l'or
dre de 0, 5 m/m.

Contrefort à la suite.

Fissures importantes.

Contrefort à l'ancrle Nord-Ouest

Fissure entre la face Sud et le mur. Deux témoins datés du 27. 8 74

sont fissurés d'environ l m/m.


-19-

d) FAÇADE NORD.

Entre les premier et deuxième contreforts à. partir de l'angle Nord-


Ouest les parements de briques sont très dégradés. Ce désordre est
dû à la présence de deux gargouilles.
Un phénomène analogue est visible entre la niche et le troisième
contrefort à la suite.

B - GALERIES ET SALLE DE PRIERES.

Des mouvements dus aux aléas du chantier de 1969 ou à. la dilatation


des dalles ont provoqué, au niveau des chapiteaux de la salle de
prières . des éclatements qui les^ont_alteres_.
C'est pour ces raisons que certains chapiteaux i
sont fissurés et que l'on peut craindre la chute pr o chaine d ' un e e r tain_
nombre de leurs éléments. M. JELLITI m'a présenté
un certain nombre de motifs sculptés qui auraient été ainsi recueil
lis.

C - TERRASSES ET COUPOLES.

L'examen des terrasses permet de constater


un certain nombre de fissures, en général peu impor tante s_,_au droit
des relevés des ressauts ou

des chêne aux

Il semble qu'elles soient dues au retrait et colmatées par les badi-


geons appliqués annuellement ; elles ne provoquent pas d'infiltrations.
Par contre, les désordres affectant les coupoles sont beaucoup plus
sérieux. 'Deux cas sont à considérer : la coupole en pierre édifiée au
dessus du mihrab et les coupoles en briques.

La coupqle_e. n pierre édifiée au dessus du mihrab.


ne pose pas de problèmes au point de vue stabilité et
résistance du matériau ; il est cependant indispensable de remédier
aux fissurations relativement innportantes de son parement.
-20-

.
Les quatre coupoles en briques qui ponctuent l'entrée de la grande nef
les entrées latérales de la salle de prières

et l'entrée principale correspondant


à la galerie Ouest ) présentent une usure du matériau
et des joints qui est inquiétante et à laquelle on doit, à bref délai,
porter remède.

D - MINARET.

Au droit des retraits des deux derniers niveaux on constate un décol-

lement des merlans. Des fissures apparaissent sur la galerie de


circulation. Les étalements provisoires mis très justement en place
devront être renforcés et solidarisés les uns aux autres.

Des fissures apparaissent dans la coupole et les maçonneries qui la


reçoivent.
Le constat des désordres étant ainsi établi il convient d'en étudier les
causes et de proposer les remèdes qu'il convient d'y apporter. C'est
l'objet du chapitre suivant.
-21-

CAUSES DES DSSORDBES__3T


PKOPOSITION DS CONSOLIDÂTÎOH
Comme dans le chapitre précédent chacune des parties spécifiques
du monument ;

A - façades extérieures
B - galeries et salle de prières
C - terrasses et coupoles
D - minaret

sera étudiée séparément ; on déterminera pour chacune d'elles les


causes des désordres et les consolidations qui peuvent être proposées.

A - FAÇADESEXTERIEURES.

Deux désordres principaux apparaissent dès le premier abord :

-les fissures

- la détérioration de certains parements.

Il semble bien, dans le premier cas, que les fissures constatées ont
pour origine principale des fondations hétérogènes : Les murs d'origint
fondés à une certaine profondeur ont été renforcés plus tard par des
contreforts dont la fondation a été établie au dessus de la fondation
initiale et ainsi de suite (plan n° VI).

Circonstance aggravante les reprises de fondations entreprises il y a


quelques années n'ont concerné que le rempart périphérique primitif.
Les tassements différentiels intervenus par ta suite ont aggravé les
désordres initiaux. C'est ainsi que des murs plus ou moins récem-
ment consolidés présentent de nouveaux désordres(l). Il convient
donc de reprendre l'ensemble des fondations relatives à. un élément
important de la composition. Je pense notamment à la porte 4 de la
façade Est dont les fondations n'ont été consolidées qu'à 50 %.

(l) G. Marçais signalait déjà dans son manuel d'Art Musulman "un
sol sujet aux tassements".
-22-

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-24-

Leur reprise totale doit être réalisée ; il en est de même pour les
édicules ponctuant la muraille périphérique (plan n° VI). Plus dé -
licat est le problème des fondations situées à l'intérieur de l'édifice ;
l'intervention de l'Architecte DONATI a en effet eu lieu à la suite de
désordres dus à des effondrements de fondation situés à. l'intérieur

de la salle de prières. Nous ne sommes pas à l'abri de semblables


circonstances ; il est impensable d'en courir à nouveau le risque.

C'est pour cette raison qu'il convient, avant toute intervention, de


connaftre d'une façon précise le sous-sol intéressé par l'édixice. Il
n'a été l'objet jusqu'ici que de sondages partiels ou limités en profon-
deur ; il est indispensable qu'une véritable et définitive campagne de
reconnaissance de sols soit entreprise au plus tôt. C'est la condition
essentielle d'une étude sérieuse permettant de déterminer la technique
des travaux de reprises en sous-oeuvre (élargissement des semelles,
puits ou pieux) qui seront certainement nécessaires.

B - GALERIES ET SALLE DE PRIERES.

Les désordres précédemment décrits peuvent avoir deux origines :


une surcharge excessive au niveau de la liaison colonne-chapiteau
ou un décentrement des charges dû à la dilatation de la dalle en béton
armé.

Cette constatation nous amène à étudier les descentes de charge inté-

ressaut les colonnes, les sections des chapiteaux les plus chargés et
les dilatations des dalles en béton armé.
-25-

DESCENTE DE CHARGES DE LA COLONNE LA PLUS CHARGEE


RECEVANT QUATRE ARCS.

A - Cha iteau en marbre.


T

(1. 40 + 0. 36) 1. 60 = 0 m3 0866


2

x 2. 5 d'ép. 0. 173

B - Suraba ue en bois.

0. 60 x 0. 60 xO. 10 = 0 m3 036
x 0. 9 d'ép. 0. 032

C - Im oste en ma onnerie de ierre.

0. 60 xO. 60 x 0. 50 = 0 m3 180
x 2. 2 d'ép. 0. 396

D - -l - Arc en ma onnerie de ierre.

Z. 20 x 0. 55 x 0. 55 = 0 m3 665

(2. 20 x 1. 20) 0. 55 =0 m3 726


2 l m3 391
x 2. 2 d'ép. 3. 060

D - 2-3-4 -Arcs en ma onnerie de ierre.

(2. 20 x l. 20) 0. 55 = Q m3 726


2 !' ' .- '';1;,, ';. '....
x3 =:2;i2ï3!ÎT8:

x 2. 2 d'ep. 4. 791

E- l - Muret en ma onnerie de ierre.

2. 50 x 3. 00 x 0. 55 = 4 m3 125
x 2. 2 d'ép. 9. 075
-26-

E - 2 - Muret en maçonnerie de ierre.


T
2. 50 x 1. 75x 0. 55 = 2 m3 406
x 2. 2 d'ép. 5. 293

E - 3 - Muret enma onnerie de ierre.

2. 50 x 1. 65x 0. 55 = 2 m3 269
x 2. 2 d'ép. 4. 491

E - 4 - Muret en maçonnerie de terre.

2. 5. 0 x 2. 00 xO. 55 = 2 m3 750
x 2. 2 d'ép. 6. 100

F - Plancher en béton armé avec hourdis


creux.

Surface :

4. 30 x 4. 00 = 17. 20
x 0. 20 = 3 m3 440

x 2. 00 d'ép. moyenne 6. 880

G - Forme isolation étancheité et rotection.

Surface : 17. 20

x 0. 10 = l m3 720

x 0. 15 d'éo. 2. 580

H - Plafond bois.

Surface : 17. 20
x 0. 10 = l m3 720

x 0. 9 d'ép. l. 548
T

TOTAL : 26. 892


-27-

DESCENTE DE CHARGE D'UNE COLONNE


RECEVANT DEUX ARCS. T

A' - Cha iteau en marbre. 0. 173

B - Suraba ue en bois. 0. 032

C - Im os te en ma onnerie de ierre. 0. 286

D - Arcs en ma onnerie de ierre.

2. 20 x 0. 55 x 0. 55 = 0 m3 665

2 (2. 20^-1. 20)x0. 55^^452


2 m3 117
x 2. 2 d'ép. 4. 657

E - Muret en ma onnerie de ierre.

4. 20 x 2. 40x 0. 55 = 5 m3 540
x 2. 20 d'ép. 12. 188

F - Plancher en béton armé avec hourdis


creux. 6. 880

G - Forme isolation êtancheité et rotection 2. 580

H - Plafond bois 1. 580


T
TOTAL : . 28. 376
g) (v ) 3 d n oo

A J iU

IJSJ
--J
.
\11

l
00
eu
l
l
ro
Vu
l

COUPE (G ®

io ia

x
l
co
0
l

Pl

DESCENTE DE CHARGE
x
-31-

SECTION DES CHAPITEAUX.

Cha iteau 8 10 coté salle de rières de droite.

Circonférence 91 = 2 T) R

R ^ 14
Surface = -77 R6 = 3. 14x1. 96
=615 cm2

soit pour une charge de 28 T . une pression de 46 Kg/cm2 env.


Section base cha iteau courant.

Circonférence 34

Surface = TJ R2 = 3. l4x (17)2


= 917 cm2

soit pour une charge de 28 T. une ression de 30 K cm2 env.


r 37 T. une ression de 40 K cm2 env.

A ces charges, déjà excessives, s'ajoutent deux facteurs qui peuvent


aggraver la situation :
- le porte à faux qui, déplaçant le centre des pressions, provoque
ainsi des pressions plus fortes sur une partie de la section
-32-

la mauvaise liaison entre éléments superposés (colonne et chapiteau,


chapiteau et surabaque) par suite d'une mauvaise répartition du mor
tier de pose ou des feuilles de plomb interposées

^ ».

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La section peut ainsi être réduite dans une importante proportion et


les contraintes augmentées d'ime façon dangereuse. Des effets de
poinçonnement pourraient encore aggraver cette situation.

Etant donné qu'il ne peut être question de rétablir la verticalité des


colonnes, l'équilibre actuel devra être maintenu en l'état par le ré-
tablissement des tirants en bois , disposition d'origine qui n'aurait
jamais dû être abandonnée.

Cette opération devra être précédée d'une vérification par sondages


des liaisons colonne-chapiteau et chapiteau-surabaque. Pour ce faire
les deux arcs correspondant à la colonne choisie seront mis sur cin-
très et un chevalement établi au droit de l'imposte. La surabaque et
le chapiteau pourront être aisément déposés et les joints examinés.
Si des manques apparaissent une vérification générale devra être
entreprise.
-33-

ETUDE DE LA DALLE EN BETON ARME.

L'examen des plans et surtout des coupes longitudinales et transver-


sales fait apparaître le souci d'aménager des joints de dilatation.
Malheureusement la conception en est mauvaise : joints en bai'onnette,
joints horizontaux qui ne pourraient fonctionner que dans la mesure
ou des dispositifs spéciaux visant à réduire les frottements (plaques
de Téflon par exemple) auraient été mis en place. Les résultats des
sondages effectués en Juin et Juillet 78 sur la dalle de la salle de
prières ont révélé que les joints de dilatation prévus initialement
n'avaient pas été exécutés. Il en résulte que Le plancher ae comporte
comme une plaque monolithique d'environ 46 mètres sur 70 mètres
et que les efforts résultant des déformations induites par les phéno-
mènes thermiques sont transmises aux appuis.

Il importe de définir les variations dimensionnelles de ces dalles ;


compte tenu du site et de la présence d'un isolant on peut admettre
un écart de température de l'ordre de 60° C. On suppose par ailleurs
que les déformations dues au retrait et à la température sont assi-
milables à. des variations relatives uniformes des dimensions. Ce
déplacement théorique peut atteindre 23 m/m pour une '. longueur de
46 mètres et 35 m/m pour une longueur de 70 mètres. On peut ce-
pendant admettre que l'effet de retrait peut, depuis longtemps, être
négligé et ne tenir compte que de la dilatation;
L = 46, 00 m Al = f6. x 103x6xl0~4=13. 8 m/m

L = 70. 00 m Al= 70x103 x6 x 10~4 = 21. 00 m/m


2
-34-

Ces variations linéaires qui ne sont pas négligeables ne peuvent ce -


pendant être la cause des désordres et des fissurations des murs péri-
phériques ; elles ont par contre une influence certaine sur les fis^u-
rations que l'on constate dans certains chapiteaux et à la partie supé-
rieure de certaines colonnes. C'est pour cette raison que le rétablis-
sèment des tirants en bois conseillé ci-dessus semble d'autant plus
indispensable.

C - TERRASSES ET COUPOLES.

D - MINARET.

Les parements des remparts extérieurs, l'épiderme des coupoles


autres que celle du mihrab, celui des deux derniers étages du minaret,
édifiés en briques et sa coupole, posent un délicat problème de res-
tauration.

Leur parement de briques était à l'origine recouvert d'un enduit au


mortier de chaux qui recevait annuellement un badigeon de chaux et
constituait ainsi une excellente protection contre les agents extérieurs,
à la fois au point de vue thermique et au point de vue humidité.

Pour des raisons esthétiques certainement justifiées et pour corres-


pondre à notre sensibilité moderne, des enduits ont été récemment
grattés et les maçonneries de briques ocrées, simplement rejointoyées
ont été ainsi remises au jour. Si l'aspect coloré en est agréable, il ap-
parait maintenant que la conservation de ces maçonneries est grave-
ment compromise. Il s'agit en effet de briques insuffisamment cuites
donc peu résistantes aux effets conjugués du soleil et de la pluie et qui
ne peuvent rester ainsi exposées sans dommage ; cette situation cri-
tique pour les maçonneries verticales est alarmante pour les glacis
des contreforts.
-35-

Deux solutions peuvent être envisagées :

- Réenduire ces maçonneries au mortier de chaux, comme elles


l'étaient à l'origine, en sachant bien qu'un badigeon sera néces-
saire annuellement ou presque.

- Appliquer des produits hydrofuges appropriés à la maçonnerie de


briques, compte tenu des conditions climatiques spécifiques à
Kairouan ; la durée de cette application, relativement coûteuse,
étant probablement limitée à cinq ans.
Des études en laboratoire et des essais in situ seront indispen-
sables.

Une décision, à ce sujet ne pourra être prise qu'après examen des


divers facteurs : aspect, coût immédiat, coût d'entretien.
-36-

CONCLUSIONS

De l'étude des divers désordres que nous venons d'énumérer, un cer-


tain nombre de travaux ont été envisagés ; il convient d'en reprendre
l'énumération dans l'ordre chronologique :

l - FONDATIONS.

- pose de témoins au plâtre, datés, à chacune des fissures existantes


- en cas d'aggravation des mouvements dus à l'insuffisance des fon-
dations, (apparition de nouvelles fissures ou augmentation des fis-
sures actuelles) mise en place immédiate de batteries d'étais
- campagne générale de reconnaissance de sol, en périphérie et à
l'intérieur de la salle de prières

- après étude des résultats de la campagne de reconnaissance de sols


reprise des 'fondations anciennes qui se seront avérées insuffisantes
- injections de mortier de chaux à l'intérieur des murs et des contre -
forts (et non démontage et remontage)
- éventuellement, et cette décision ne pourra être prise qu'après un
assez long temps suivant la reprise des fondations, solidarisation
murs-contreforts par forages, mise en place d'aiguilles en acier
et coulis de mortier chaux-ciment

- reprise des fissures et rejointoiement au mortier de chaux


II - VERIFICATIONDES LIAISONS COLONNE-CHAPITEAUet
CHAPITEAU-SURABAQUE.

- mise sur cintre des arcs

- établissement d'un chevalement au droit de l'imposte


- examen des joints et reprises éventuelles

III - RESTAURATION DES MURS EXTERIEURS ET DES COUPOLES.

- enduit au mortier de chaux ou application de produits hydrofuges.


-37-

BIBLIOGRAPHIE

DOCUMENTS CONSULTES.

A - OUVRAGES PUBLIES.

- R. ARNALVEZ et La Science Arabe in "La Science Antique


L. MASSIGNON et Médiévale"- P V F, Paris 1957

- françois BENOIT L'Architecture : l'Orient Médiéval et Mo-


derne - H. Laurens, Paris 1912

- Marc BERGE Les Arabes - Editions Lidis Paris 1978

- Auguste CHOISY Histoire de l'Architecture T. II. - Lib. G.


Baranger, Paris 1943
- Emile DERMENGHEM M. ahomet et la Tradition Islamique -
Editions du Seuil, Paris 1955

- Ernst DIEZ L'Art de l'Islam - Payât Paris

- Elie FAURE Histoire de i'Art - Oeuvres complètes T. l.


L'Ame Islamique ou de l'érotisnae à l'abs-
traction - Oeuvres complètes T. III -
Pauvert 1964

- Louis GARDET L'Islam : religion et cominunauté - Descleefc


de Brouwer, Paris 1967

- Guide bleu Tunisie - Hachette Paris 1977

- Histoire de l'Art T. l - le Monde non chrétien - Encyclopédie


de la Pléiade, Gallimard, Paris 1961

- Georges MARCAIS Manuel d'Art Musulman - Picard, Paris l'


L'Art Musulman in. "l'Art des origines à nos
jours" - Larousse, Paris 1932
Les villes d'Art célèbres : Tunis et Kairouar
Henri Laurens, Paris 1937
L'Art de l'Islam - La.rousse, Paris 1946
L'Art Musulman in "Histoire générale de
L'Art"- Flammarion, Paris 1950

- A. PAPADOPOULO L'Islam et l'Art Musulman - Editions d'Art


L. Mazenod, Paris 1976 ;,
- Edouard PERROY Histoire générale des civilisations
T. III - Le Moyen Age - L'expansion de
l'Orient et la naissance de la civilisation
occidentale - Presses Universitaires de
France, Paris 1955

- P. PLANAT Encyclopédie de l'Architecture et de la Cons


traction - Desjardins, Paris
Vol. V Art. Arch. Musulmane
Vol. lArt. Arabe et Arch. Religieuse
-38-

- Frithjof SCHUON Comprendre l'Islam - Le Seuil, Paris 1976


- Paul SEBAG La Grande Mosquée de Kairouan - Deipire,
Paris 1963

- Janine SOURDEL Thomine - L'Islam in "Histoire de l'Art"


Encyclopédie de la Pléiade Gallimard,
Paris 1961

- P. et J. SOURDEL La Civilisation de l'Islam classique -


Artaud, Paris 1968

- G. E. VARLAN L'Etanchéitédans la construction - Eyrolles


Paris 1964

- Michel ZERAFFA Tunisie - Petite Planète - Le Seuil,


Paris 1978.

B - DOCUMENTS GRAPHIQUES.

RELEVES 64

Salle de rières .

- Cou e A-B per endicuiairè 0. 02 p. m.


dressée parHassen JELLITI et. îvIASSINE
- Cou e C-D transversale 0. 02 p. m.
dressée parHassen JELLITI et MASSINE

Grande Mos uée

- Plan des terrasses 0. 01 p. m.


Relevé et dessins parHassen JELLITI
avec indication des niveaux

- Plan d'ensemble

Relevé Hassen JELLITI


Dir. R. GIZDULICHArchitecte
avec indication de la reprise des fondations

PROJET DE DEMOLITIONET RECONSTRUCTION


DU MUR EXTERIEUR. 0. 02 p. m.
R. GIZDULICH 7- 1966
-39-

RELEVES 66.

- Relevé de la muraille de la salle de prières :


coupe 0. 02 p. m. 9. 1966
par DONATI, R. GIZDULICH, R. A MABRY
SALLE DE PRIERES
PROJET
par DONA.TI-JERVIS
Hors numérotation : plan de repérage
Octobre 1967

- Tranche 27 Coupe logitudinale de la nef P.


vers le mur 15 0. 05 p. m.
" Coupe longitudinale de la nef Q.
vers le mur 16 0. 05 p. m.
Poutres 14, 15, 16, 17, 18
coupe transversale sur les
nefs P Q R S 0. 05 p. m.
" Détails exécution sur les
murs 14, 15, 16, 17 0. 10 p. m.

Novembre 1967

- Tranche 27 Coupe longitudinale de la nef R


vers le mur 17 0. 05 p. m.

Octobre 1968

Plan des terrasses 0. 01 p. m.


Coupes longitudinales* 0. 02 p. m.
Coupes transversales O. OZp. rn.
D étails étancheité 0. l 0 p. m.

Juillet 1969
- Projet d'exécution pour le reinontage des consoles des
nouveaux plafonds.
Détails.
-40-

FERRAILLACE.

- Plan de ferrailla e - salle de prières

par DONATI JERVIS Architectes

- Tranche 32 Poutres 14, 15, 16, 17 . Mars 68

- Tranche 3 Poutres 14, 15, 16, 17 8 Mai 68

- Tranche 5 Poutres 11, 12, 13, 14 10 Juillet 68

" Poutres 14, 15, 16, 17 sans date


Il
" Poutres 11, 12, 13, 14
r
Il-, 12', 13', 14'

RELEVES 70.

- Coupes
0. 02 p. m.
Juin 70
par GHOZZI SALE M

RELEVES 72

- Coupes sur les murs périphériques de


la salle de prières montrant le détail
des matériaux employés 0. 05 p. m.
Janvier 72
Dessin par Jelliti HASSEN

RELEVES 74

- Coupes de la muraille extérieure du


portique Sud-Ouest 0. 02 p. m.

Dessin par TRABELSI AZAR Sept. 74

RELEVES ET SONDAGES.

Salle de rières

- Plan des terrasses 0. 01 p. m. Juin 78


avec indication des sondages
0. 02 p. m, Juillet 78
- Coupe A. A
0. 02 p. m. Juillet 78
- Coupe B. B
0. 20 p. m. Juillet 78
- Sondages 7 et 9
-bl-

C - DOCUMENTS ECRITS

Documents écrits remis.

- Ra ort du Bureau Véritas - 1962

- Notes de calculs de l'Architecte DONATI

17 feuilles dactylographiées , numérotées de l à 17 concernent


im certain nombre de piliers ou rrurs non répertoriés.
Annexe l

1962 - EXPERTISE ET RAPPORT DU BUREAU VERITAS


-h3-

OBJET: CCI. D. n°2T. 26l -KAIROUAN GRANDE MOSQUE-Expertise

Monsieur l'Ingênieur Principal,

Nous avons l'honneur de vous faire connaître q. u'à la


suite de votre le-btre du 6 février 1362, nous nous sommes rendus
à KAIROUAN le 1er mars où, en compagnie de Monsieur MARACCHI,
Ingénieur de Sousse, nous avons visité la Salle de priëres de
la Grande Mosquée de KAIROUAIî.

Au cours de cette visite nous avons- constaté que le pied.


de voûte reposant sur une colonne comporte un faux aplomb
de l'ordre ds 12 a 15 cm, ceci à partir de la hauteur de la
-voûte; la partie pleine de la maçonnerie ne comporte aucun
faux aplomb.

A notre avis, pour remédier a ces â. ésorâ. res, il y a


lieu de procéder. aux réparations de la façon suivante:

l°. -Etayer et contre-venter les arc avoisinants;


2°. -Démolir la partie de maçonnerie en faux-aplom'b ;
3 . -Remettre la colonne à son emplacement exact,
4 . -Refaire la. maçonnerie au mortier de eimen-b;
1). °. -Régler les d. iffêrents tendeurs.

Nous ne voyons pas l'utilité â. e placer une poutre en


béton armé, d'autant plus q. ue la partie de la mç. connerie
où serait encastrée ladite poutre,.. n'est; . pas à . â.émolir.

Tous ces renseigae. iaents vous son-fc cLonnêes d. âns le


cadre des conditions générales:du BUREAU VERTTAS et des
clauses par-biculiêres du Sei-vice . C. G. T. de cette Ins-titution.

Ve-uill&z, agréer , Monsieur. . 1 ' Ing:éni. eur PriûGiFàl,


l* expression de: nos s.enfiments dis'ti:nguês.

L'INGENIEUR DU BUREAU VERITAS

G. BRUGNES
-44-

SECRETARIAT D'ETAT AUX TRAVAUX


PUBLICS ET A L'HABITAT

ARRONDISSEMENT DE SOUSSE
VILLE DE KAIROUAN

REMISE EN ETAT DE LA GRANDE MOSQUEE


"OKBA IBN NAFAA"

PROCES VERBAL DE REUNION ET DE CONSTATATIONS

Sur Instructions de Monsieur l'Ingénieur Principal Chef de


l ' Arrona. issem. en-b cLe Sousse, une réunion s'est tenue à la Sub-
di-vision de Kairouan le JEUDI 19 JUILLET 1962 à 10 Heures.
But de la réunion: Cette réunion a pour but d'examiner les
éléments nécessaires a, l'élaboration d'un programme des travaux
de remise en état de la grande mosquée de Kairouan. Cette réunion
est suivie d'une visite détaillée des lieux afin de relever les
défections existantes pour envisager les réfections conséq.uentes ,
leur mode d'exêcution ainsi que le coût global des tra'vau. x.

Etaient isrêsen-fcs: MM. Tounekti, Ingénieur SubdiTisioanaire de


Kairouan.
Morana, Représentant le Bureau Veritas
Chinkov, Architecte de l'Arrondissement
de Sousse.
Marrakichi, Chargé de la SubdiTision des
Bâtiments Civils Sousse.

A'bsent: Mr. Chebbi Représentant du Ser-vice


Archéologiq. ue.
La Séance ou-verte. Mr. Tounekti fait un exposé sur les
discussions qui eurent lieu au Gouvernorat de Kairouan et auxq. uelles
avaient pris part Monsieur le" Secrétaire d'Stat aux travaux publics
et a l'habi-fcat. Monsieur .ZEIÎAIDT Ingénieur en Chef des Ponts et
Chaussées, Chef des Services du Bâtiment, de l'Urbanisme, Monsieur
le Gouverneur de Kairouan et Monsieur l'Ingénieur Principal Chef
de l'Arrondissement de Sousse.

Au cours' de ces discussions, il a été arrêté ce qui suit:


l". -Constitution d'une Commission composée ainsi:
- un architecte des T. P. (Mr. Chinkov)'
- le Bureau Véritas (Mr. Morana)
- Le Service Archêologiq. ue (Mr . Chebbi)
2 . -Le Travail de la Commission.
La Commission doit se réunir et préparer un procès-verbal
des constatations tel qu'il est défini ci-dessus au paragraphe
"But de la Réunion".
Après cela la discussion est ouverte entre l®a membr8s de la _45.
présente réunion qui arrâteat las différents stades de l'Opération
comme suit:

I°- Une Copie-du Présent Procès-verbal sera remise à chacun des


membres d@ la Cofflffliasioa»

2°- Au Vu des constata-tions qui y son-fc enregistrées,


-Mr Chinko? fouraira un rappor-t Architectural
-Mr Morana fournira un rapport Techaique
-îir Chebtii fournira ua rapport Archéologiq. ue .

3°- Au TU de ces rappor'bs, l'Ingénieur Principal Chef de


l'Arroadissement de Sousse désigaera le Service "ui sera chargé d'établir
l'estimation des travausc et lezir exécution éveatuelle.

Monsieur Tounekti fait remarque-r que le dossier complet de tous


les éléments' ci-dessus spécifiés doit être près s.vant le 12 AOUT 1962
date à partir de Ip. quelle il doit être préseatè à Monsieur le Présiden-fc
de la République lors de sa viai-be à Kairouan pour les fStes du Moulsd*

Le Commencement dea -bravauz a'in-ter-Tiendra dono qu'après


avis de l'autorité supérieure et au delà du 13. 8. 1962.
La Eéuaion est levée à IIh, 30 MM ChiakoT, Moraaa et Ms.rrakichi
se readent à la Mosquée où ils ont procédé aire cona-tatatioas suivante 34
, 7^- SALLE BE PRIEE3
I°- Un Arc du 2° Rang à partir de l'Queat at à l'a.ïs de rentrés
ouest se trouve en faux aplomb de I5CT eaviroa(c9t arc a
fait l'objet du rapport Téritas en date du 8-3-1962 a0 133).

2°- Sa plus ds cet arc, les trois rangées ae trouvan't do.as^la


moitié nord, de 1s mosauee prèsenient le même défaut plus
ou moiaa acàentuéa vers l'Oùeat.

3°- Toujours dîias cet-Se partie le mur as-trème Ouest présenta un


faux aplomb de 65o" mesure prise estérieurement. Les
contreforts es-fcerieurs ont subi le mâms mou-Temsnt aur une
hauteur de 7m.

4°- La majeure partis des Sommiers en 'bois aat défectueusea. Ces


sommiers d'où part la naissance des arcs sont fendillés e-fc pourriss
ce qui a provoque le déssquiliïre dea arca*

5°- Au droit du Hihrab l'arc est supportaat la coapole présenta une


large fissure* La colonae oontre l9 mur sud sur laquelle repose
cet arc est en faux aElomb vara le sud, aa plinthe est Ïrisée.

6°- Apar-birdu. Miîira'ba'tenallaatvBral'Est tout le mur porteur


présentQ ur .çea'bre'Ters l'in'fcsrieur de la mosquée*Cet-te
proémineûoe eat de 50co eiivirons par rapport au nu du mur
au plancher'hairt.. : ,: : :
7°- Les plafond& en bois sont constituss par des poutrelles, des
planches dea calssona et consoles recongti+uôs à diffQrea'fees
époques avec. d&a profils varies* Aç-tuellenien't plusieurs parties
sont de nouveau à réfëctioaner.
8°- Tous les -fciraa-fca qui à l'origine devaisa-t Stre eu boia ont
été remplacés par d'autrea en acier à l'exception de la rangée
extrême Sud»
Certaias tirants en acier présentent uue flèche*
9°- Les enduits boursouflés se sont décollés en plusieurs endroits*
-1+6-
les
I°- Toutea'Ll)lrte3 sont en mauvais états pourriss et déformées., LQS
renforcements qu'elles ont reçues a différentea époques soût
.

très mal exécutes.

/7T. - GA-LSBJE DE LA COUR


I°-Galerie Bs-tî Cette galerie présente sur Pr®s(^ola^totalitë_de
î^'ioagueur'uû"fauc" aplomb vers l'Ouegt: il s'agit des arcades
sar cour dont les colonnes ont penché et seul un arc a suivi
le mouvement»

Les piliers en maçonnerie adossés aux coloanea sont


souvan-fc fissurés dont ua sur deiuî côtés.
Après sondage il est consta-fcé que ces piliers sont
exécutes en maçonnerie de pierre de taille de sections très
variées "avec un remplissage iEtérisur coQsti-tué par ua ïétoa de
tou-fc venant au mortier de chaux et plâtre.

Plafonds en bois en mauvais éta-fc*

2°- Galerie Ouest

Les plafonds en bois son^; pourris e-fc une travée a môme


cède .
Tous les tirants sont en bois*
Les enduits et le plafond de la pièce exis-fcsata au fond
de ce-tte galerie... -sûiLta reprendre en-fcièrement.
3°-PIECE ATTENANTS AU MINARET:Ce-tte pièce qui semole t-il^doi-t;
Servir de petit musée et où des -fcravau.z de rsprisea sont
en cours comporte des tirants en bois entièrement
pourris.

L-, lumière y est insuffisants.


/7~T- SXTÛBISUB:
I°- La façade Sud Comporte à sa base at sur une hauteur àaJ- à
2m, 00 par rapport au aiTreau de la chaussés un remblai formant
un large 'banc.

Ce remblai semble avoir e-té ezécuté à use époque


ultérieure à celle fie la ooûs-tructioB de la Mcaquee propre-
men-t dite.

Les sondages sxécutés oa-fc permis de oOQs-tater la


présence'de'fombes e-fc vie le remblai est très tendre donc pas
.

très ancien*

11 n'a aucun effet de consolidation ou de soutènement


sur les murs de la mosquée,

Mêmes observa-fciona pour les remblais f ormaat bancs


ea-bre les con-fcreforta de la façade Ouest*
2°- rentrée Sud est cachée par un ajout recentra ciel ouvert
comportant un W. C. e-t sans aucune valeur architectural ni
Archéologique.

3 °- Les enduits extérieurs qvi± w sont pas ds 1 IOI'iSln®dela


mosquée sont d'zme mauvaise exscu-tion, il oomportea-t des
'bours ouf leurs n+. tombent en ulusieurs endroits.
-b7-

4»- La niche Sihreb qui est presque enterrée par le remblai attenant
à lu façade Sud.

L«humidité causée par ce remblai a provoqué^la_détériora-


tion "dea'éiemeats décoratifs iatérieura de la niche.
5°- L'entrée Principale de la façade Ouest comporte^un arc décolle
du~mur;'les-30amierg recevant cet arc sont entièrement pourris. '
6»- Les mSQuiseries extérieures comportent^use pein^ à l «huile
bÏeu^'ou~vQr-be~qui n'est de l'origiae de la mosiiuée.

L'Architecte de l'Arroadissec^nt L'Adjoiût Techai'-iue Principal


chargé de la Subdivision des B. C.

L. CHINK07 S. HÂBSAKICHI

Le Bureau Véri-t&a

MOEAITA
Aunexe 2

1968 - CALCULS DE L'ARCHITECTE DONATI


49 -

VEBIFICATION DB LA STABILITS DB LA SSCT30N AD DBSSCS


ro caipirsâu,

Ot* ace d»« colaaaaa a. 4, 40


L* vr de la aef a, 3,S<}
01ai«aatoB« d» la «action aar
le ch&pita . flâxâO

Polda du Toit. T « al(t, 40 x 3, 80) x 500 Sg/al . Kg S^ÏSO


-lî Poid* d< la .aça A (au de .a< d an»)
0
1 A . -<0, M x 2, 00 x 4, 40) s 2400 a - ïg li«aaff
ï»id» d« l» aaçoanTit A*
A* ..<i<o, se s O, TO x 4, 40) x &<ao Jt(/ . Kg 4. l4é
Polda de l» açooBTi* B<»B*n l« »rc», il<
& aa tri gl»)
- <»(l/I x 0, S8 x 2, 30 x 4, 40)a Xg/m -îg 8. e»
laida toiAl au d»aaaa da eAapiUau -Xg M. îîâ
A
A e-a« d» l'aacaatridit^ du mr ll <ffark .. eonp»- A'aa
. flart a»rn»l d» oonpraoloa S *i d'un «o ai fldflM <aa* i
<
/
N. T+A + À' * B« ÎEg 38. âlO
(t-tf (.
a
S1 . (A .». T)» * A*»' +Bg -s, -lfl<a dtat. «.. da< c<atn»
'\
&'»l2 gr t4 d» A, A', B da « n
A' t . 4 A» gr&vitA d« l» Metàa
au da oh ^t< .
B l i
l

! M - 20. 1BO ï 18 + 4*140 a 12 + 3. 290 x 4 . â2fl. fl00 .- 49, 700 + 3a, lSO
\. - 408, âCO

0l l . . M/N . tOS. âfiO / 32. 810 - lâ, â ça > S /« . 9,3
l» Mata» d» pwlon «t i l'exfri'anr <fa» cantr»! d(i rt:
Sx? - stL. ai&ss
0-- . - a/2 - * » M/a - ia, A 13,3
3x l» x b
b - 80

0 2 x 32. 010
CB
<r- 32. 810/1398 33, 2 ï<ç
3 ï ia, S » 80
fl(
-iaa* <3: . 10 Sg/caq . Un lo^ -1 d< . <<nrlt4 pM er
.. l»'iaçoaaTi» :. -
a^« la» Xg/ca^ t i-auilft» aaitalr» fée'arii.i
.

:s'>^-... ' ,. :. . ;1-;' ' ~' - pourrb.


<3-'<CT;- : ; . .'
l» tlan d* IAB »BB<rle «ad** da oà p4t«au »<*
ta** . la.
Iadtc»tlo d* ro <a*

La ndwwwat du aur porta t l'eliniaat. ioa du "oiwnt, Fléchi*


pnwqurf par l'we«oiriBAt4 da potd*, La, MCAAB» «^ to « ai
. f fort d» coBpr««aloB
<t *0<t
(7, . N {n. . 33, 810, aflx M . 9, T X< oa^ < 0"".
Il
le rad nt da r porU l . II l tiaa da l» Mctloa»

«f^. ^:ÎQ
50 -

YStiriCATION DE LA STABILIT3 02 LA SISCTION AU D2SSC


CO CajLPITBJUT
w a. 4^tû
l y <i< i e »*3,»
l<n« l* «étina d« a .
d «mi» da ch»çi-t ca. SAaSS

Poid4 du toit T - l(4, -Wa3, 80> a ISOOlg/al .<^ 3. 370


Paida d l» a«conn ri» A (aa. d>»a s d» l* an)
A " c(0, S4a4, 40xa,0») a 24^0 îg/aa «SgLl^SOO
fs
Pald d l* osa ri» B (4»A»«t« f ^is^ili \ w ^riasafîa
0 B . e^l/2a0té4«4, 40xa, 98)ia40<» / »ïf T. 080

Ta l du pot . da e itaaa X<« 37. 2SQ


\
À e _<. d» l'»xc»a*rist-fe4 da amr l. <ffort . eo» "
d* isï/fort aanaal d* pr» <laa 3 ei <t'aa i fl. M
S- T* A^ B - K< 27. 230
M-(A* T) x a+Bx g a . 8ca diataw d a e»a*rt -.
S. . 4 ça d» grarltrf A «4 B
daacaatr» d» grayltrf < l» ««tio
A
d*»w« da eSiaplUaa»
3
y - a. 170 x 8 + T. 080 x 4 - lââ. 300 + 23. 300 - 190. 300 Xa<a.
N
a?
« . SI/H . 180. 300/27. 250 . T . < M/<S- 9o
0
l< eaatn de pna l, a .r» à l'iatari.nr da aoyM cantr»!
d'i rrtia.

G" ° N/n +y/^ ^-2 - S42M - 1. IM eaq


l . bh /8 - .13x?il2'/3 . S. l.îo
.

(T . ïï7. 210, 3. 150 + IM..100 / î^. l.W . A, /} + s,,.}


-a»
.
+. T . 15 3 : ça ' ' ' ' " ' ' . . . '
N'
wArat CTo - 10 ^ ioa aaitain d» . ^CTri^t
j j
ï9 l*... v»n* . ..-
0'^^. <3« - 120 Sg/ç Baion aaitair* de .^carit*
<^<<T:

l etioo d» la n«ç pl< an d* dg abapi ^


tra»atllA m d««aa d eondAUon» d *^aarit4,
3a41&afctaai d* ro «^

o.«-t ÎA ndn^ae <n* {ta. aar -A. l'alisAaatloa dg eouM^


Mtebi» »a* pnniqïJ par l ' «uefl^. lc^ti d»» poldA. ls
L-.Ï »<tflilon eat «oaala.» Maleacat k M effort non *
C'»- 3 /rS. - £ 2Ï. 2iSO / 3. 130 - 8,3 Xa/caa < <T,
20
.

l n<lM««a«at du anr por k 1& ilt i«, d< la i«cti


51 -

PIL l s as x. lis - lia

P l LI BR 118
dit wlo . 4, 3<
lar r *. l» M/ » 2, 10
ioa< d* la ««tlon aur 1« ehttpi
en. aa a ao

Pold» du Toit T . !,(8, 10 x 4, 30) x SOO S^ 4. 520


Pold d* l» . o rit A ( d«fu» d»d a)
A . ac< 0, 88 x 4, 30 x l, 5l) a S4W no . 10, 380
Pola l» . *aa ri* B (. atre l»< »rc«, 4 l un tri l«)
<1/3 x0, 88 x 4, 30 x 8, »7)ï 14M e . 10. l a

Poid* toial au d» du eliapi . l 84, 92B

A e&uae d» l'MEMBtrieita du aur l'effort M eoapo . d'an a/fart


aoraal d« wpr» ioa N »t d'ga . at fl<cAta<«at S
}< - T -r A* S 34. 980

U- (T* A) +B * . 13 di<t da eaotn d ararltrf A <^ d B


g . 10 da e«n*r» A» ar&Ti^ d* l» UOB aar l»
ehapif

y - l4. â00 r 13 * 103128 x 10 - 182. 500 * 101. 200 - 293. 700 Kg. e
. . M/» - 2S3. 780/24. 920 - 11, 3 N> 38/9 . 11 ea
la e«atn d* ?n aiou . <t à lt*xtéri«<»r du Boyau central d'i rtla

2 x?
G- - a -h/2 - 4> - 38/a - 11,3 . 21, à ea
3 x ax i»
b - 80 ça

y - H-l^ao a 24. ^/"oo - 13, 2 K,/


.
otan* <3^ . 10 Xg/c foaloa aait*ln «rfcarlK paur l* a oBn»ria
^ >^
<3^« ISO Sg/c q t»oaloa ttnltain d» «<carit< paar l* bol*
<3'<îT;
l» eUoBd»l»*g<»nu*Fta»u<t<* du eti pit* et la fala

ladicationa d» ro se't

I.e r8dfea*nwat dit inir ^rt< ^ l'eliai tian da aon<a* fKeiîiaaao* pnroqtii
par l» caatriciU da polda. L* MC.UOU «t -nniat » .tal . ffori aora l d»
eonpr< Ion*

<3p- M ,^. -23+980 / SâxflO . 6, 3 lî</caq <' O"»


!. r«d i n* du aur port* l» . ^abill tloa d* lii .. ctioa
52 -

P l LI Bas an. 118 - 119

P l LI SR3 M. 119 dl«t*ac« col» . 4^30


lary»ur IA naf 3, 33
dla<n*ia S» la ti»« fld A flO

Paida da toit T - l( 3, 35 x 4, 30) x 500 : l - Sg 7. 200


Paida de l» a o ri» A ( »u daa uj» d«a »rca)t
A - ac(0, 82 a 3, 53 a. 4, 30) x S400 Xa/nc - Sg 2l«380
Poida dt l» a ri» ana, «lail4 i an *rl*asl«)t
B - .<<l/2 x 0, » 2 2, 97 x 4, 30) x 2400 Sg/sw . Sî 9, 200
Patd tôt l u & jki n ^.. TOO

K- t+ A+ B - S< 3T, 700


M . (T+ A.). » .*. 3. g » . 13 ea dl<**»c«* i* e*8*n d gy»rlt^ d< X .^ 3
S. & da eaairy. (!. yvita dn atïna aa"*
dMdua da . t-t

M - aS. SOO x 13 + 9. 3902 8- 371. 000 x 95. ^0 . 4âa.289 2^.


» . M/M - t 428. 2BO / 37, 700 - 11,4 a* > 80/0 . 10
l» onntr» d« pr» «ion . t à l ' aaWriaur A»-aojMt ooatr»! d't rti*

<3- - 2x7 ? « ï^. ar. 700


3 x ai h a. St/a- * - <»/2 - ll^A . IS^â
s» » ao

c'- 3, _J ^°°^ . 3Ï. TOO/13. 750 - 22, 3 X42;/<;aq


x là, 3 x â0

aoiantî3, » 10 SC^/eaq t<» iaa aait.itir». 4 i .«icgri'fc^ psnr l*.


G- ><S-,
<3. » la X^/caq t« ioa aaitair» d» »*<nirit* da batn»
<3 <^,
la aeatioa da la a*çonaerl» au de<«ua du a&Aptt^au a t bl»

ladlcation d* ro . et

. L* rs^rsaae at da aar por-t* ai Iftfl ttoa da nt MrfcAia

da à l'<XMatr*flitA da pald*. L» .«ction aat. !<» au . »ul «/fort d< e taa<

<7p- S/0. - 37. 700 /W a SOt . 10, 5 &g/ca


53 -

vsaincATioN DB LA STABILITB DB LA SBCTTO AO osssos ixj

ITSW.
Dis d<» e*î* .
» ! . 4, 30
L <. la Mf 3, 80
tt d< l» . . nr !. a pl
ça* M x aa

Poid» tait T - 1(S»30 x 4, 30) a SOO X$/nl . Sg s«ia»


d» l* aaçeanari» A <M de.» d«< arc»)
A . .<<<», as » 2, 83 x 4, 30) a 8480 k« 1S. SBO
Pttida d« la aaç. S (tbtr« l . are il4 a tri ^)
B i Ba<l/ x 0, flaafi, 84x4, 30) x 2400 ï . Sg T. 4SO
n
t

N Pold» . ur l» oiio d< dll ch»pit«aa Sg 30. 880

A e»u< d« l'BXcantricltrf du aar l' /fort M aoapo d'^ia


. ff*rt aoraal de co«pr»«loa N et d'iia --at fl^«fai aa* li t

Jkf B-r T . X< 30. 980


( T * Jl) + Bg t » . 18ca dl d» e*a^f-4. . fïWfi.^
g . a oa ^ A. du o«ni»< d* grsïi^Ï
la *ieti« dea du afcaçà-ttaa

M- 23, afl0 a 10 .». T. 820 x 8 - 2Sa, )SM + 40. ÎOO - 2?î»300 Sg ea


. - y/N . 2Î9. 300 / 30. 880 -S < &</& . 9,3
l» t-»a*r» A» pra ifioa . <t à l * ta*, ri» » 4tt attyaa e *raA
d'ia»r-t.i<.

G- . H/^2 +K n-bxh-SôxâO* 3.
. 240 eaq
g - btoa/6 - «) x 5â^/8 - 31. 400
G" - 30,3âo/a, ado + 279. 300/31, 400 . 9, 2 .». S, 9 . 18, 1 Sy/CE-
. lo<a* «3. - 10 lan anltsir» d» tévurt^é
a la naçoas*ris
a- ><=T. s; -la» ï^/ t» loa aaitair» d» . 4cari*^
pour l» bei»
a- ^CT.

la tion le la Bttçonaert* »a d» du ffbapl art


i la

ladicatiua d< n ect

l* yaAw» at da nar porf k It<llniaatifla A* Uo-trt Fliebi»»


<aa* prBvoqu^ par l*»xcen'trioi*< . poid»,!.» Matioo .<* i
M* . l effort aoràaà da eaapnaaiaa

Or . S/^l« 30. 980/3. 300 - 9, 2 Ks/caq < <3-o


la redra«a<aant da nnr pnrtj » la . t&tollit&iioa la

!0, 0«.
54 -

YSRiyiU. TIUN DE U, STABILITa OS LA SSCT10N AJU DSSSOS CO CSAPITSAO

Dtâ s«laaa*« 4,»


iaj^ vr a*/ a, ao
«i ni* . «C't*»
du e A a 80 x S8

Poida d» hit T - al(4, 30 x 3, 90) x SÔO Sg/al Xg &»40<


Polda da la a&ço ri» A (»u deaw d<* an»)
A, - afl(0, flft x 1,89 x 4, 30) x 3MÔX^/aa Sg 10. 900
?oIda d» l» aço ri» B (eoir» 1«« a/ï , wstall^ &
an tri agi»)
»N 7. 3CO
n B- (l/ » 0, 38 S 2, 71 s 4, 30)a2400 Sg/aa
r
ol ta t in d«a »hAplt* ar. îôé

A. a « d» l'uo riait» d« aur l'tffarfc e ço il'iia


»ffart nara*! d* t»<a loa S .t d'ua at dî^eùif Mt
S . ?+ A^ B - 27. 100 Xg

yî (T * A)A+ Bç »» « 8 sa diataae*» 4<a eaatr»» d< ^rayi-fe^


. 8 ça 4». A, . !. & d< cenir» d» gravièrf
d ctiaa aa d» aad du ohaçtt»«a.
A
. i». aoï a * T. aoo a s . iia,soo -f «. aofl » ifla, i»o sg«
&
. ît /s» . laa. wo/ST. iûo - a e < 5</a - 9, 3 e
1« « atra d* praaaloa a<* & l'iata*i< 4a aoyaa c<at, ral
<' <t* rtia.
).
.

0'
e- - 3/-n. .» M/^r rî- sa T sa . 3, 25û
ï - bha/»- S8 x SSa~/9 . 30. 170
<3-. 2T. 100/3<>25<1 f 182. dM , 30, 170 -3, 4 + S, 3 . 1257 Sût/.-
Miaa* O'a . 10 ï^/caq t«nai<a '»a*t*ir» da .^.or'i't^
pour l a»i|»asTi*

it <3'><:r* 0^- 128 X</ q 7»n»ioa ttattaln d» ^wriW


G- -<;O'»' POUF l< fcsia
LA. «action de la murri aa d« efaapit^» *
i t»blr<

IaJdl<»^*<^a. de rg eci

L* eadr»«a«a»ct du aur purl» t l'allaàarti ioa da itoneat Zléafai*-

-nt. pn»»'»qo< par l'axcantrt-elU d»a pold.»» La «ectii»» . à


aa wul offort a»îa»l d» e<isipT»*«ioa

<3p- N/F2 . 27. 100/3. 2SO . 3j4 < a.


^a sur __^ -
l* r»dn at *'?'""** "iIJ" psrta l» at&bilia&tloa d< la «tioa.

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56 -

VEIIIFICAT30N OS LA STABILIT3 T5S LA SSC730N AU 3SSSCS 00 CaATITS&ïî

04.3 e* a Ao e a»4t40
I: . . la a»f. s^.:3^sa
*io à» I»; laa «
ii <aa* da ohnyifu «SSriO
Poid» toit. T - .1(4, 40 x 3,AO) x 6Q& Sg/al . 2« 8.400
Foida d« la naçoaaarla A (aa daaiiua d*s tu-ca)
A i »a<8,as s a, a a 4, 40) x 240Û SS/BW - S< 13. 000
Pold l» ftçonaarl» S (tfa-C-M- IAA srca, alall>< à an
irlangl<Ï
B- o<l/t a 0, aS3(4,4Qaa, fla) x ^Wïf/ws . K^ 7, ®8

Tôt l da paida .ar l* .» tlaa aa 4 » 4a x iî*a X^ 2S.080

A e d< l'txctntriai-tA da » l'»f fart 40». d'ïa »ffart


" coapr«aioa N at d'aa. anunni ?l<i<iiàa*aa* a

S - T+ A -f B. îg. 29. 080

y- ^T+ A.) x&* Bxg & a 13 diataa d«< catstr^A d* gra^


à . 8.. rit4 ^ À vl, 3, .ds. wn-tr»-
A graylta d» IA «et-ioa Aa. deairoa. da ehapi-taaa.

& M - 21. 400 a 1S + 7. 830x8 - 3âl. û00- + 81. 500 « 382. 5<» ïg e .

. - U/S» . 38a«a00/28. û80 . 13 sa > SB/fl . 9 sa


l» ja-M-» de pr»<alon .i*t à l'tatari»ay da aoy<u» saatral
d* i r-tl».

7 . t . 29«ù50 àç
- :rH ' l/t a- h/a- « - 5ô/3 - 13 - 14,5
b - 30

<y .1JL29'1M -- . 29. 100/1380 . 21,S X</eaq


3 x 14, &3 »0

f i#a* <?» . 10 X</&at| BSAiaa aaifcair» de arfcurité pour


IA auiqonaari»
<3- >C7. <:3'» . 120 Sg/ca^ t<'«»iou natt*ir» da i^evriïé pour
CT <OJ<, U b«la.

"MCtloa d r l» naça ri< aa d*< la ch&piU . «*.


la àaàl .
Indlcailoa* î-s ri ec^

L» r^r^a atda-aaesar & l'iliataatloa da irfc. f34chl»-


aaat da à l^axctntricit^ dfr» polda< L» «ectlan . »<» n»<iala* i 00
effort aansaA d* coapr«siaa i

0'- H/n 89. 1ÛQ/3,300 - &^S Sat/CtBq < <7-,


la r»dy»»-»ai du aar par-t» la . t«kbiliaaAifla d la Mctloa,

2.0
57 -

VERinCATIUN DB LA STABILITE D8 LA SECTION AD DBSSDS OS


»> CHAPITSAU.
Dl* d«a ool* B»4, ae
L d< là a<f 3,80
d ai» d* l» dtloa A»
d»» a da cfaapi c»«aSx«

Poid» da toit T - (4, 80 x 3, 80) x SOO X«/«l . ag 8, S80


PolA» d l» . s-;2 rie A (u» d«<aa» d»* an»)
A * <s<o, aaxa, aoa4, so) a 3. 400 as»ae -ï< la.
Poida d« l aaçoanTi» B (entr» le» arc (M< il^ - -
.. ifi la)
B - .d(l/2 x 0, 3aï2, 73x 4, SO) a 2400Xg/ao .Xg 8. 080
tôt. ïg. 28. TSO
A »"" d» l'exceatrialti da «r l.. ffart M eoapo- d'na
. ffort noraal de coapraa ioa . ^ d'au Uoaeat Flrfcfal a*
- T-r A+ a . Xg 29, T 20
-(A*T)xa+Bxg »- l4ca dlatanof d a caatn
A » . a ça d« grariti d» A»t B dn
e»utr» d* d l» <stioa sa dao » d«
5 ehapi te

M «3l. 830 ï 14 + 8. 0SO » 8 . Wl. TOO +44. â0fl - 366. 5<W S

. - y/N - 380, 500, 28. 720 . 12?5 ça > SS/S -


la castra da praa»ion <.* à l' i r do My»aa eentr l
d' la<rti«,
2 xP
G-
3 38 U
x 1/b ? » aa, T2o sg
a» Ir/2- s - Sa/2-13, 5 . 14 ça
& . 80 en-

2 x 39. 720
s-H4;'lr'l,--A--
G-- 23-, S^ ta
. ol*at o. - 10 / àoa aaàiair» d» arfcorlti panr
la .agffn-^i
0 >.<J.
<î ^ a.' <3» . 120 Sg/aaq Woaion aaàta^n d «rfrtritrf pour
!. bai*,

la . fftloa d» la . . ri» au dwaa» du cîiaplteaa n* .. t -


paa atabl

îadic *1«« d« n M*.

U ndyaawa* A» m? pert* & l*»tlalaatiaa da irt 71tfebi»-


. t, pffBTWin^ par l»wc<ntrlcitrf du poiA
0' . S/ft- 29. 700/3. 300 - 9 i^/cu«^ < G'«
l* ndnaaenaat du aur porta la »tAbill* iba <. l» .ectta
58 -

ysniFICATION DE LA STABILITB DB LA SBCÎ30N AD D2SSUS


DO CaAÎITSAU
Otrtani »«loaa«a a. 4, 40
largi»w li» ïs»t .. 3y3<
dl .wi< d» l* «e.tton à* swf«
sa de» . -an chapiteaa ea. 5432fi

?oid< du toit T . 1(4, 40x3,80) X ISfltlXg l -Zg S,370


Polda d» la onuaria À (aa daaao . l'arc)
A .. .c(0tfl4x4, 40i3,0'») x 2*ÛQXg/na -Sali.800
id d» l* . rl« B (tntrti le» . lail< SI a» triasiglt
K
0
B- fl^l/2a9»S4ï4, 40x2, 98)x2400 !tg/ c-Xg T.080
^
/i. Total da iàs dt^aaa du chaçit^aa X«. 27. 2SO

A eauai» d* l'»ac»atrlci't4 du .nr l'.f fort .« coapçw


d''ai^frort aoraal d» e pnaaisc » «t d'aa aoaeaiâ fl« ^
S-T+A+B . S< 2T. 2SO
.
<À +T)x»*. Bxg »»8 diaiaace» da» a<o-fe
^ . 4 da grarlt^ da A. »t B
daucaatr» d» graTit4 d» la ae<U
»a d«a A» <iisçi'ti*aa»

Te . 20. 170 x 3 * T. flâO l 4 . lâa<S» * a, 300 . 190. 300 ïgça.

N . . a/3 - 190.300/37. 230 . 7 ça < a</< . 9ca


9*
a
l* Mntn d» pr -aioa .<* à riaurtaur du aoyaa eantral
d'inertie.

l ! G" . s/h + y,/» n . M 2» - i. no caq


T - bh /8 - ^3x512/6 . 28. 1-TO
0~ « 27. 2.10/3. 1.'% * IW.^00 / ;ïi. lfi0 - a, S <. 8,.-i
îO
'*. (T . ÎS' a ' e, ' ' ' ... '.,
N-
aalen-t CTg lu /
tonsio aaitain d» <*wriK
l* aa»rla
<r><3-. 0-; isa ion uaitair» d» «^oorl
O'<<3-. dll

la t tion d» la »^ ri» «a dm» da: abapi «i


t ail l* aa Acaaa» d»» nc«titléa» d» «rfcariU.
iBdieatlan, ^» ro <e^
\1-

A.M^ U n4r uetwai da-oM ., yl^ & l'<Italwtlaa dï îifla«Bt


tïSebi a»» proTo'çaA par l ' esteflldciclti des paidâ. L»
aaiio» ft«t toealw ^iileaeut & aa «ffarti aftTBAâ.
i-^.4^^!
.

Op N /n - XytîT-îtâi 2T. 2SO / 3, 1» . 8 9 îf/ewi «r.


-<«2.o l rwtn awnt du nur porf i l» * i tloa d» la .. c1i*B
59 -

P l LI SB N. 81 YÎSIFICATION DB LA SACOffitESIS DANS LA SSCTI6S AO


BaSSUS DU CSAriTSAff
* l ». *»a
Aaalyw d eh t ,,
di
, __... i* ^ *!
l<a* d* I» »»» r l« <
? «xûé

TBi* t T . nl(4, ® x 3, 90) » 500 3t</al Kg. 8. 480


/ AA . 0(0, 5^ x 3, 80 x4, Sî. if. sao
(au d» r» ^aa are*)
B . BB< l/atO, ûdx4, 30afl, 4T)x3. 400Kg/ . <«. T, 180
( . atr« l»a <un<, l Id a trlaaal»)
Tat*l a Polda d« e pifaa a ïg. 33, 900

k « l'»zMQtràcit< d» r l'. f fort a co - d'aa


»tîsr% raal d< ». »^ d»iia a» a-t flrf<»hi M
0
î
"+ T - Xg.32*900
(A4-T) a a+ Bï 3 » . Sem diA da «irty» da
^ . a ea srwi A »t 3 (iti
a«* d», srsTlt^ îa
ctlfttt aa. d<« a da eàtçi .
y . 2a«7so x a * T. isa x S . 2ÛiS,S<H) .». 3S, T<M1 . 233, 399 Igw,

« - /N - 338. 600/32. 800 . T, 3aa < Sfl/e<i9, 3fl-


l* wnir« pr»a ioa. <.* & l'iflA Tiaar do My- e»aAr&l
d'i rtia.
A
5 a- - s/n + M/» -^ - iç M X 60- eaq 3, 3CO
S - bh*/^ - fi0aâ6;2'/î - 31<3a
<T - 38. 800/3, 380 + 338. 800, 31«3d0 S- 9,a *. 7,7
G" - 17, 5 Xg/cia
. oleat ^ - 10 / a» anltaln
. E a^otsaarl*
a- ^ G-, <Jo - la Ig/cas ^ lan anifln d . dcwtt^
^ «T, du bol*
s.
<r la aection de aaço Fl» <l<i dn fffa pitaaa .trw U*
i»(
au deaaaa d» l» ..en»!t^,

ladieatlaa d« n «t

L* 4n* 4a aar parf t r<l natioa da tSBn t 71<<ftt»-


. . t *a pn ^J»a>l'fl"te»aU-ieà*<4<«p<»ld,, La. w>eti»B<i^
!.. .. ai a* » ua «ffort. tor»^.. d<i eonîura-îaa
%-S/n oi^. 32. 800/3. 380 . 9, â î</ca< < <r. < G.1
L* n nt a* d»» aar porU à l .t»blli .tiw d« l» » eti<a,

. '2.0
60 -

PI L l ÎSS »i. IS3 - 124

»<»h. l/ao

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61 -

L^-LLf-^«£.-Jîï-. 2f2-;-12î
?I L l SR 3». 123
dlataao» d<» aolo ; 4 30
l»rg»ur d» I» Mf . 8, 10
di-aale»< d« l» ..«,ia i fld x 00

Pold» du toit T - . l(8, l00x 4, 30) x 500 Xg/nl - Xg 4. 520


Poid* d» l* . . -ri» A (aa deaaoa d«» »rc<) ,
A- <0, fl3 x l, 4fl x 4, »)ï 2400 KS/BO - Kg 9. 340
Poid* de l*
o rie B («atr» l« »rc», aiailé & an trl*agï<)
B . (1/2 s 0, 00 x 8, S3 a 4, 30)xa400 ne . )^ ?. a40
Poid< d» l» C ( »u da«u< di < eh it»w)
eÀ <a, d3 x o, ao j 0, M) x 2400 /aa X< 480

?oid» t»t«I u» d«au< du efa*pit, «»a X< 23, 160

N«T*A4-Bi. C«Xg 221M


M-(A +T) »*Bg+Ce » - 12 ea diataacea e»atr«< d* grwit^ d»
g - 8 en A, B, C du e«atr<» d» grarlK d» l» MB on
e . 2 en - d*<»xi» la efaapl
M- 13. 360 x 12 . 7. 840 xâ ^4 0 x 3- 1M. 100 . 32. 300 ^ 920 - 229. 300 ^
< - M/5» - 228. 000 / 22. 180 - 10, 3 ça < 3<t/S - 11 e
l» < ntn de pr» »ioa . «. à riaKriMr da aoyw Mntnl d'ia. rti*
<^« N/Û+M/ï tn-bxh-80x8fl« 3, 9fl0 cas
» . bhi/Q . 00 x 363/d - 4d. 000
Q-- 2a, i9o/3. 3<» + 229. aoo/^a. aoo . 3, 0 + a, i . 10, 7 b/e a
.
oi. nt <T, -la iig/caq Knalon uaifin d« arfewltrf pour l» . ona»
a- à o-, <î"^- 128 Xg/caq Kaaioa ualtAin da .rfcarit4 pour 1« bol,»
Q;>V
l* . «tloo d* l* oamrla a t »a llaiU d» l» wriu.
62 -

PILIERS NN. 123 - 124

PI LI sa ?». 124
di<t dM lo 4, 30
l LC l* j, », 38
di aaien» l* »<»etl» ea 58 x 30

?oida da toit T- i»i(âa?iaxaza.?, 38 x 4, 3ï) x 500 Sg/al - Kg 7. 200


Polda d» l* aaço arl» A (»a «au» d»a »re») «
JL - .a(a, 82 x 3, 30 x 4, 30) x 2400 Xç/ac . Kg -?1. 100
Poid d,* l» ri» B (*nér» !.. »rea, a>A»iall< à an tri»a<l4)«

B . «(1/2 x 0, W x 2, 49 x 4, 30)s S400 ^/ e - K» 7. 700


Poid< d< la ri C (*B d* du ch»plt. »*a) t
e. (o, sa x 0, 80 x U, 44) x 2100 Xg/ac '.'3 "sa

Polda tot*l <ur l* eii&piti»»» S^ 38. 355

N- T+À+B+C<Kg38. 3M

ri (T + JL). a * B. î +C. o - 17 e
b - 10
o . 2

U . SaSÇO ï 17 + T. 700 a; 10* 3Sflx S- 4âl. â00 * T7. 000 .r TIO . 40. 200 Xg
s . y/s . 488. aoo/aô.3sa . 13, 7 ea > S8/8 . 9,3
1« c*ntr» d* pra«aiao <. * à l'«at<riaar A* aoyan eaatr-kl d<laarti<.

2x7
^ ? - 38. 353
3x a 2 i>
u - B/2 -<». Sd/3 - 13, 7 - 14,3
b - 80 e

2s 36. 3SO
38. 353/1278 . 28, à X^/c g
3j 14, 3 x 80

»oiea*G', « 10 kg/caq toaaioa ani^*in d* »^e rit^ poar l» ,


. <:î*'. la S^/caq Wnaion aalt. »ls<i ct« .^oarii^ pour l* bal
0<<3-,
la. ctioa d* l* aaçoan rit »a de tta< da eh»git«»a ..* laatabl»
Indic*AioB« d» oro-(sa*

L» redreaaewat du aàr porlx» à l'eli a&'tioa da at fléchi<a*at


dû à l'exc^ntticitrf da paida» L* tactioa ei-^ .a a<» w a l .ffort dt coapr»
e?, - }< /n. . 38. 3sa / (iftico - sa. asô /s. aeo - io, s s«/c q
0

».?. »-

";A
.
^'
»oppB <»B- TBI ynb f-^of

-"^" p p, «î rç^»a^y -d ^paoj^.. \

WTÏT^nB^ MB^, »p«o» n»I^»p«nd


»Td »»T . n , , " ^ ^^^ ^ ^^ ^ ^
« ^ t'»»»*,
'^s < "s
«T A« ny
t^^itsy ^ s^y», î«n <ia, ^ . , ^ Çtg . ,^
ynop » >y

saa çi( . OOTX 03 s t ^n»


oe»-*6s *^ ~ s>
no^j a, x -e w*
.n
d 2 S,
-T» 'BI p ' ^16 «raid »i
?» » l f» » >T *p ap . ao»r^p. n

f rôaoi p u, an jood . 1^^- »î . p »pTo<i %


00*62 »3t - d
/»2 0081 x <00<î x I x 06*01) w <

»«/ÏS 0081 - X
Off'T .
06*01 . « q
.
KITWSA n iins
n sa zûd^r.c witsss n aa NoiirouraaA

- £9 -
64 -

VEairiCATION DE LÀ S5CTÎOS O'.IÎTOI DB LA WRULL3


SUB LS TfiaiiAIS,

h - 10, 90

» ^ 1, 50

-n" y . 1800 Xg/r<

f » M (10, 90 x 1?50 x l, &ç) » tSOO Sg/m


P - Kg 29. 430

P Poidt d« la aaralll» posr na aàir» <î laagiar

. .dlataae» du eantr» d< ?r»»*lffa d« l'ax'&rrf i^


l* pla* eouprlaee da la s«tlon
. » . 2a eat.
f Sï? -(
'»ia» 3 x a l OU
.

s . Lî-12il52 9, 3 S</caq
1n*»- a x ao xioo

<t fc dona^

<3» - a»â x«/ . T» ioa »aiî*in a da ïewrlW


i& du t*rrala
G ^ cr
.
^^K r .*
0
»>
a'
l» ctioa du Krraia «t w in i aa» fcw loa pi
ir»ad* 4«alA t^ ioa d« a^uri L» aaralll* ;
»..ftoadn p*4 n» . peid . sss^w.
fort* qui lui -at &ddoa<4*.

J'"-< o.<»2 a 5Lt^<n


-t. &S

A : 5<3
65 -

»
YBRIFICATION DJS LASSCTSON D'ACTCI re LA uua sa
LS N

?»ida la raill» l . U

Uar. A * « (1, 18 a 1, 00 x 7, aï) x ISOOt^/sa . Î^Bftî


. 3ff(, Kar. B - ac (1, 30 x 1, 00 x 3, 31) x ISOOÏs/ne - TÎ30
«*« ? ' ' ' - «g e. 22130
» r» «lao .f f Wt; de Ka
il / Aa 'ïi^t
Il l y M «^ ii **
// d» grwiW jL d» caaw
// , 4^gmiï<'4" S* « <*f».
sw t *.n-s»îàé ""
y . îaooo x 40

Ifl
- aoo. ooo ig,
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. - S/ir . <00. ,32.ISO «. CT'ea Me<fltricl-b4
e - 27 u, ^>120/S
l<* eaatM .î» pw<«iaa tnur» iïar» do
aoyaa a<atr»^ 4*t rti«»

a 'TTT xl/loa '*- 12}^ - 27 a 3i


2 x 22. 150 44».<»»:
5' t . *, S. Sç/eaq
3x 33 x 100 a. saa

<t*at doaarf G*. 3, a &</c»q » twioii itattain


«u- le terrain
.

C- >C-»
la terrain w. ï à ' la mptu .

VEaiNCATîBS B3 LA SBCÎÎO» . OS LA BoaAiïLa AO smâso-


BS LA SAIHlGBîT-t*

Mar. A* . .e(l, 0& z 1, 00 x », 25) x^SOOXs/m « <I1. S<»»


2 aP
^ ~H- ' l/laa 33 ea

c'r' î^ ^TtOO * ». W<AIOO ^ S,96 ks/^-^


0
pour TérltfrT la aiabilit4 d» tftwrtlaa 11 faa*
s.
v<rlft»» l»<3t, t.»aiiloa uiaitAAr» <b raptgn d*
l» mnilla» p^r d«< . «.. ta «M» tts eiiaapiaa, »t
+-îrt-ai l» confroaUr »vw l* <3'k dl«x<ni
^1^
f. XO l
66 -

^
co a? s s-r

reaiyiCATiu '~os &A sîscTioii B'APÎTJI os LA acaAau sua LI


TsaaAiï. S

Pold de la aorallle avr l a* d» looyfar »


^ Uur. A . a<<!,00 x 1, 00 z 1, 92) ï 1. 800 Sg/îaa - 2^, 3. 4)38
ÏO
îfar. B . a<s(l, l5 s 1, 00 a 3, lo) x 1. 800 Sg/ac . K^lfl. SOO
A i-tar. C - n«<l, 20 x l, 00; a 3, 30) l 1.500 Ss/iac . Kg. 8, 220
Total 7 - 2&»4afi,

,\
P S« l» a&, 480 tffoà^ l d» <a pr«ai»a
\
\ Al »* Ba b ata fl4<hla»tui*
\
\ / » ï 4d », ti » d'$at^ac<rf.dx» d*.-^rwri-
'\ si W 4» A «t 3 da «sa <. d» gr&vlli. ii
'l ^ . 2â ea
(La l »«c*i<iw»a«I» i^rrsia.
\ .. l'/
^1 " - 3. 4â8 a 4d +18. â00 x a» 1»^ -fsa&uso» -

l^'
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.l Wr \3* G . 28. 480 /128<»e * 325. 300/îtO. OOO' - 3, 50 +2, 30 -
<i,
0'. 4 70 '' . etantax dtooarf '?'. 2, 253^
taa»lo»-aa^-<sîra de- »«snri~tâ
anr l» tarr&ia

ï» tamla . a'fe au l d» là^ raptar*..

a
vaaincATioît i»usscîi<»'os LA yîmA2tL2 AD MIVÎAU ça
e LÀ BAÎigUfiîTS.
r A. . ae(l, &8ati0ïl^;l, 92)x 1^300 k^/ae . « Sg. a»460
0
0
N
y«r&*'-ac<l,133l,06a6, 9&)al. â00îg/ae - S^» IS.^ÎSB.
Tot^l T* - Ss* Ifi.-OlO
M«P' » SA. OO<1 Xg «ffor» i»raal d eoaçr»<»iaa
y^<
4Jka &' .». B» a .fi* ^ 36 ça
tt.-" ia
M. 3, «a»x so + îa. aax ï 15 .
§
N
a . to3, soo * îse^oi» « 29i«aoo s< ea*
. . y/x - asi. âoo , 15, 000 i^-ni < î^'/<'î -2-0 t-«-
'- s/fî *u/t- n . 123 x 100 . 12. QÏ»®
«.rwk» f . l<}0tl20"/6 .a4^.0CO
G"'- ld. O<W/l3. 80<}-»291. 300/240. 000
50
^- -<,a»- s'1- l, aa *. 1, 22 . a, s7 «uià*» po^r ^. '^ ^|i'' o rr
67 -
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P l LI SRS NX, lia - 119

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Annexe 3

1969 - TRAVAUX DE L'ARCHITECTE DONATI


... 69-
-70-
-Ti-
-72-
-T3-
-74-
-75-

^ s.
-T6-
-77-
-T8- Annexe b

1978 - SONDAGES SUR LES TERRASSES


-79-
-80-

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