Vous êtes sur la page 1sur 19

Vibration

Pour les articles homonymes, voir Vibration (homonymie).


Cet article est une ébauche concernant la physique et les techniques, les
sciences appliquées ou latechnologie.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les
recommandations des projets correspondants.
Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion.
Une vibration est un mouvement d'oscillation autour d'une position d'équilibre stable ou
d'une trajectoire moyenne. La vibration d'un système peut être libre ou

forcée.

Sommaire
[masquer]

 1 Mouvements vibratoires
o 1.1 Degrés de liberté (ddl)
o 1.2 Causes
o 1.3 Forme, nature
o 1.4 Objet de la vibration
o 1.5 Intensité et fréquence
 2 Perception des vibrations par les organismes vivants
 3 Moyens d'investigations
o 3.1 Excitation d'une structure mécanique
o 3.2 Analyse vibratoire des machines tournantes
 4 Vibrations indésirables
 5 Vibrations en milieu professionnel
 6 Conséquences sur la santé
 7 Usage du terme dans le New Age
 8 Notes et références
 9 Voir aussi
o 9.1 Articles connexes
o 9.2 Liens externes
o 9.3 Bibliographie

Mouvements vibratoires[modifier | modifier le code]


Tout mouvement vibratoire peut être caractérisé par les caractéristiques suivantes :
Degrés de liberté (ddl)[modifier | modifier le code]
 un degré de liberté ; un degré de liberté est, en physique et en chimie, une notion indiquant
la possibilité pour un système d'évoluer dans une direction non contrainte
 deux ou plusieurs degrés de liberté ;
Une masse libre dans l'espace a naturellement 6 degrés de liberté :

 3 translations (notées Tx, Ty, Tz) ;


 3 rotations (notées Rx, Ry, Rz).
Causes[modifier | modifier le code]
On distingue les vibrations :

 naturelles (ou libres) ;


 entretenues ;
 paramétriques ;
 auto-excitées.
Forme, nature[modifier | modifier le code]
On distingue en particulier les vibrations :

 linéaires (satisfaisant le principe de superposition) ou non ;


 déterministes (la connaissance du type de vibration permet de prédire le déplacement à
n'importe quel moment) ou au contraire, aléatoires;
 périodiques (le mouvement se répète à l'identique dans le temps) ou transitoires (par
exemple: un choc)...
 sinusoïdales: il s'agit du type de vibrations périodiques le plus fréquemment rencontré.
D'autres vibrations périodiques peuvent avoir une forme en créneaux, en dents de scie, ou
une forme encore plus irrégulière (les battements du cœur en sont un exemple).
Objet de la vibration[modifier | modifier le code]

 Machine (immobile).
 Véhicule (en déplacement, guidonnage).
 Bâtiment.
 Moteur.
Intensité et fréquence[modifier | modifier le code]
Selon le type et la nature de vibration, et selon le moyen de mesure, elle peut être mesurée en
amplitude (distance linéaire ou angulaire), puissance ou valeur efficace par rapport à une
référence (décibel), fréquence (hertz), etc.

Perception des vibrations par les organismes vivants[modifier | modifier le code]


Dans un rayon de 12 mètres autour d'un émetteur de vibrations, les vers de terre remontent
spontanément en surface, ce qui a ici permis à des scientifiques de compter localiser environ
500 lombrics1
De nombreux organismes vivants sont sensibles aux vibrations grâce à des organes ou
capteurs spécialisés qui leurs permette de communiquer, de détecter des congénères,
des proies ou des prédateurs potentiels, notamment dans l'eau (chez les poissons2,mammifères
marins, crustacés, mollusques fouisseurs et autres bivalves...) ou dans l'environnement
nocturne. L'ouie est l'un des organes de perception de l'environnement vibratoire, mais
souvent la peau et l'ensemble du corps contribue aussi à cette perception. Leur instinct pousse
par exemple les vers de terre (lombriciens) à remonter en surface en cas de vibrations répétées
du sols, peut être en réponse aux tremblements de terre ou à l'approche d'un de
leurs prédateurs fouisseur tel que la taupe ou le blaireau.

Moyens d'investigations[modifier | modifier le code]


Dans l'industrie, on s'intéresse à l'analyse vibratoire pour deux raisons :

 une excitation vibratoire trop importante peut entraîner des dommages, tels que la rupture
par fatigue vibratoire, ou générer des nuisances sonores ;
 l'analyse des vibrations d'une machine peut permettre de diagnostiquer des problèmes
d'équilibrage ou d'alignement d'arbre, ainsi que des défauts de roulements ou d'orbites.
Excitation d'une structure mécanique[modifier | modifier le code]

Analyse modale d’une portière de voiture.


Une excitation vibratoire trop importante peut être entraînée par une excitation des modes
propres (fréquences de résonance) de la structure. Une ou plusieurs sources génèrent des
vibrations sur un mode propre de vibration de la structure, l'amplitude de la vibration de la
structure est alors très supérieure à l'amplitude de l'excitation et peut donc en provoquer la
ruine par fatigue. L'expertise consiste ici à identifier les modes de vibrations de la structure.
Il existe deux méthodes pour déterminer les fréquences propres d'un système :

 utilisation d'un pot vibrant pour une caractérisation vibratoire de la pièce (détermination
des fréquences de résonance), des essais de fatigue vibratoire, …
La caractérisation au pot vibrant étant surtout utilisée pour le dimensionnement ou la
qualification du matériel en laboratoire avant utilisation ;

 utilisation d'un marteau de choc marteau de choc pour une analyse modale de structure, la
pièce étant excitée successivement en plusieurs points et la réaction vibratoire mesurée à
l'aide d'un capteur d'accélération (accéléromètre, vibromètre laser).
L'analyse au marteau de choc étant utilisée pour une caractérisation in situ de la structure.
L'analyse modale expérimentale (AME) permet de déterminer les déformations de la structure
en fonction de la fréquence.
La mesure de la déformée opérationnelle en fonctionnement (DOF ou ODS : Operational
Deflection Shape) permet de déterminer la déformée réelle de la structure en fonctionnement.
Des calculs par modélisation de la structure par éléments finis permettent d'évaluer les modes
propres de la structure.
Le choc au marteau permet d'exciter la structure sur toutes les fréquences (jusqu'à environ
10 kHz) avec la même énergie. Des embouts différents sont disponibles selon les fréquences à
exciter (embout mou : basses fréquences, embout dur : moyennes fréquences).
Une fois les modes propres de la structure identifiés, il s'agit soit :

 de décaler la fréquence d'excitation, en modifiant la source de vibration ;


 de décaler les modes propres de la structure par ajout de masse ou de raideur (la fréquence

de résonance d'un système simple étant donnée par la formule , où f est la


fréquence de résonance du système, K sa raideur et M sa masse.
La modélisation permet alors de dimensionner précisément l'ajout de masse ou de raideur sur
la structure ;

 d'utiliser un absorbeur de vibration dynamique ou DLC (dispositif limitateur de


contraintes) ;
 d'isoler la structure de la source de vibration à l'aide d'un élastomère anti-vibratile
correctement dimensionné.
Des calculs par éléments finis peuvent permettre de calculer la vibration maximum admissible
sur la structure afin d'éviter un risque de ruine par fatigue vibratoire.
Analyse vibratoire des machines tournantes[modifier | modifier le code]
L'analyse vibratoire des machines tournantes est aujourd'hui très utilisée par les industriels
pour diagnostiquer des défauts sur leurs machines avant que celles-ci ne subissent un fortuit :
c'est la maintenance conditionnelle. L'identification du problème permet de mettre en place
des actions curatives comme un réglage ou le remplacement d'une pièce défectueuse avant la
ruine de la machine.
La mesure des vibrations est effectuée à l'aide d'accéléromètres instrumentés sur les paliers de
la machine (structure de la machine, et non sur la structure ou le capot de protection). On
utilise également des sondes de proximité (capteurs de déplacements inductifs ou lasers) sur
les machines à paliers lisses. Généralement, la mesure est prise dans les 3 axes.
Il peut être utile de mesurer le niveau global vitesse entre 10 et 1 000 Hz afin de pouvoir le
comparer aux normes ISO 10816 qui donnent des critères sur l'état vibratoire de la machine
pour différents types et puissances de machines. L'augmentation du niveau global vitesse en
fonction du temps peut signifier une détérioration de la machine. Ceci est un indicateur qui
donne une approximation de l'état vibratoire de la machine mais qui peut ne pas être suffisant
dans le cas de vibrations hautes fréquences.
La mesure du spectre de vibration permet d'identifier les fréquences de vibrations de la
structure et de diagnostiquer certains types de défauts tels que :
 un problème d'équilibrage se manifestant par un niveau de vibration élevé à la fréquence
de rotation de la machine. Un équilibrage permet alors de résoudre ce problème en
ajoutant de la masse sur l'arbre ou la roue pour compenser le balourd. L'équilibrage peut
se faire sur plusieurs plans ;
 un défaut d'alignement se manifestant par un niveau de vibration élevé sur les
harmoniques (multiples) de la fréquence de rotation de la machine ;
 un défaut de roulement se caractérisant par l'apparition de chocs, par une augmentation du
niveau vibratoire en haute fréquence et aux fréquences caractéristiques du roulement ;
 un défaut sur un engrenage (dents abîmées par exemple) se manifestant par un niveau
élevé aux fréquences caractéristiques de l'engrenage telles que la fréquence
d'engrènement ;
 de la cavitation sur les pompes se manifestant par une augmentation du fond du spectre et
un bruit sourd.
L'utilisation d'un top-tour permet de mesurer la vitesse de rotation.
La maintenance conditionnelle permet également de s'affranchir du système coûteux de la
maintenance systématique qui consiste à changer une pièce périodiquement, qu'elle soit usée
ou non.

Vibrations indésirables[modifier | modifier le code]


Certains objets tournant (moteurs, roues, pales de turbine, etc.) peuvent - en fonctionnement
normal, ou détérioré - générer des vibrations désagréables pour l'oreille ou l'organisme, ou
dangereuses pour la machine elle-même.
Divers moyens de mesurer ces vibrations existent.
L'idéal (quand elles ne sont pas dues à l'usure d'un moyeu ou d'une pièce) serait de pouvoir les
prévenir ou corriger « en direct ».
Dans les machines puissantes (turbines ou hélices d'avions, turbines à gaz...), les pales sont
soumises à des contraintes très importantes, du fait de leur grande vitesse et des turbulences
engendrées par la pression de l'air, le cisaillement, etc.
Des chercheurs et étudiants3 ont eu l'idée d'appliquer une fine lamelle d'un
matériau piézoélectrique (piézocéramique) sur des pales soumises à des rotations rapides. Ce
matériau se dilate ou se contracte à la demande si on le soumet à un champ électrique (c'est
l'effet piézoélectrique inverse). Il permet de contrôler les modes vibratoires des pales via le
contrôle du champ électrique appliqué au matériau (on peut aligner la fréquence du matériau
piézoélectrique sur celle de la pale, et compenser des amplitudes vibratoires non désirées). La
lamelle pourrait aussi être intégrée à l'intérieur des pales pour éviter son usure. Cette solution
n'est qu'au stade laboratoire, mais pourrait peut-être améliorer le fonctionnement, l'usure et la
consommation ou production des turbines utilisées en aéronautique, éolien, usines3...

Vibrations en milieu professionnel[modifier | modifier le code]


Les métiers présentant des risques d'exposition importante aux vibrations sont soumis en
France aux articles R. 4441-1 à R. 4447-1 issus du décret n° 2005-746 du 4 juillet 2005 du
Code du travail. Ceux-ci fixent notamment des valeurs d'exposition limite dans le cadre de
vibrations touchant l'ensemble du corps:
* Une valeur à 0,5m/s², dite valeur d’action : si cette valeur est dépassée, des mesures
techniques et organisationnelles doivent être prises afin de réduire au minimum l’exposition
* une valeur limite d’exposition (1,15 m/s²) qui ne doit jamais être dépassée.
L’employeur est tenu d’évaluer les niveaux de vibrations mécaniques auxquels les salariés
sont exposés et de mettre en œuvre des mesures de prévention visant à supprimer ou à réduire
les risques résultant de cette exposition (réduire les vibrations à la source, diminuer la
transmission des vibrations au travailleur, réduire l’effet de transmission des vibrations et
former les opérateurs).
Il existe également des valeurs pour les vibrations touchant uniquement à certaines parties du
corps, comme cela peut être le cas pour les ouvriers du bâtiment employant certains outils:
* Une valeur à 2,5m/s², dite valeur d’action : si cette valeur est dépassée, des mesures
techniques et organisationnelles doivent être prises afin de réduire au minimum l’exposition.
* une valeur limite d’exposition (5 m/s²) qui ne doit jamais être dépassée
Le Code du travail précise en outre les actions à entreprendre en cas de dépassement de ces
valeurs. De nombreuses mesures permettent en effet de réduire les vibrations auxquelles sont
soumis les opérateurs: amélioration du matériel et de ses conditions d'utilisation, formation
des salariés, mise en place d’un suivi médical…

Conséquences sur la santé[modifier | modifier le code]


Dans le cadre des vibrations touchant à l'ensemble du corps, les conséquences sont
principalement des troubles musculo-squelettiques: lombalgies, hernies discales... Les
vibrations concernant uniquement les membres supérieurs peuvent également entraîner des
problèmes au niveau des articulations des poignets ou des coudes, un syndrome de Raynaud
(problème de circulation sanguine dans les extrémités) ou des troubles neurologiques
(diminution de la sensation du toucher, de chaud et de froid, voire perte de dextérité et de la
capacité à saisir les objets aisément).

Usage du terme dans le New Age[modifier | modifier le code]


Au XXe siècle, la notion de vibration est utilisée dans divers courants du New Age,
généralement associée à « bonne » ou « mauvaise » (voir Good Vibrations des Beach Boys),
pour désigner des phénomènes ambiants (là où le langage commun dirait : « il y a une bonne
ambiance ici » ou « cette personne ne me plaît pas », l'adepte du New Age dira « il y a de
bonnes vibrations ici » ou « cette personne émet de mauvaises vibrations ») ou encore la
nature de l'univers (cosmos est le terme préféré) avec lequel l'individu pourrait « entrer
en résonance4 ». Le mot onde est parfois utilisé dans le même sens.

Tout n’est qu’énergie et vibrations !


En physique, il existe deux théories qui se confrontent depuis le XVII siècle, au sujet de l’identité intrinsèque de la lumière.
Certain affirme qu’elle est composée d’entités corpusculaires, autrement dit d’un flot de particules que l’on
nomme Photon, et d’autres sont de fervents défenseurs du fait que la lumière soit plutôt constituée d’ondes.
La lumière est-elle corpusculaire ou ondulatoire ?

Il se trouve qu’à la suite de nombreux travaux réalisés par Albert Einstein et Louis de Brogie, on accorde à tous les objets
une nature d’onde et de particule, dans les échelles microscopiques. Le duel entre ondes et particules n’est donc pas prêt de
se terminer.

Mais comment une entité peut être à la fois onde et particule ?

Ce qui est le plus troublant, c’est que la théorie de l’un est en parfaite contradiction avec la théorie de l’autre. Il faut bien
comprendre que ces concepts ne sont pas la réalité, mais des outils mathématiques s’approchant ou plutôt représentant la
réalité. Comme tous les concepts, ils ont leurs incertitudes, leurs marges d’erreurs et la fâcheuse tendance à simplifier un peu
trop radicalement la véritable nature des choses.

(Voir Article : La nature, notre déesse à tous)


Ces théories ne sont pas la réalité, mais des outils mathématiques représentant la réalité

Les scientifiques sont toujours à la recherche de la théorie du tout, celle qui permettra d’expliquer tous les fonctionnements
de l’univers, et quelque soit les cas de figure, dans l’infiniment grand comme dans l’infiniment petit. Ils cherchent la
formule unique, l’équation universelle, le symbole d’unification. Mais on voit bien que ce n’est pas si simple, et le duel
entre particules et ondes, en est un exemple évident.

Il est intéressant de préciser que la théorie des particules est beaucoup plus naturelle pour nous, ou disons qu’elle est
beaucoup plus facile à comprendre, car nous avons tous tendance à vouloir matérialiser nos idées sous forme d’objets
facilement manipulables, et déconnectés de la complexité environnante.

Une onde est bien plus difficile à représenter mentalement, et par nature, elle se propage,s’interconnecte et imprègne tout
son entourage. En ce sens, elle est certainement plus proche de ce que la nature a dans sa complexité et dans son infini
potentiel. En d’autres termes, accepter une théorie ondulatoire, c’est accepter que rien est isolé, et qu’il puisse exister
une interconnexion permanente entre toutes choses.
La représentation ondulatoire se rapproche plus de la nature que celle des particules

Après les travaux d’Einstein sur la relativité, une 2ème dualité va naitre ; la physique astronomique(Macroscopique) et
la physique des particules subatomique (Microscopique). On s’éloigne encore de la théorie du tout. En effet, les nouvelles
technologies permettent enfin d’expérimenter la physique de l’infiniment petit, qui était resté jusque là entièrement
théorique.

En reflet à la dualité Particules/Ondes, va naître deux nouvelles théories ; La théorie des Cordes(Partisante des ondes
subatomiques) et la mécanique Quantique (Partisante des particules subatomiques).

Mais plus on s’approche de l’infiniment petit, plus on s’aperçoit que notre monde n’est pas se que l’on croit, et qu’il est
finalement bien éloigné de ce que la science officielle nous a appris.

La mécanique Quantique en est un parfait exemple. La vitesse de la lumière n’est plus une limite, les liens de causes à effet
ne sont plus respectés, et par une simple observation, on conditionne le résultat d’une expérience. On croit rêver, pourtant
ce n’est pas de la science fiction, c’est notre nouvelle réalité.
Enchevêtrement des relations ondulatoires à tous les niveaux de la réalité

(Voir article : Quand la science rejoint le paranormal)


(Voir article : Déformation du temps)
Cependant, on sent bien les limites de l’utilisation de la théorie des particules dans des échelles subatomiques, se qui rend la
théorie des cordes fort intéressante à étudier, se rapprochant peut être un peu plus de la représentation de la nature. Elle
explique que tout les éléments de l’univers, à une échelle subatomique, sont composés de cordes d’énergie, ou de
vibrations, résonants sur une fréquence particulière. Si on change une de ces fréquences, on modifie la structure
élémentaire de la matière. En d’autre terme, la maîtrise de ces fréquences offre la maîtrise sur la matière et l’énergie qui
nous entoure.
Représentation de la théorie des Cordes

On pourrait presque dire que la matière est de la lumière ou de l’énergie appauvrit, ayant une fréquence plus basse. Cela
rejoint sans équivoque certaines sagesses bouddhistes qui affirment que tout est vibration, et que l’illumination se trouve à
la fois dans les hautes fréquences de l’univers, et dans notre être.

Sommes-nous enfin, en train de découvrir que les ondes vibratoires existent à tous les niveauxfractals de la matière visible
et invisible ? La théorie des cordes dit même que les ondes forment la matière, et qu’ondes et matières sont la même entité.
En extrapolant, la seule différence qu’il existe entre la matière, l’énergie, la lumière et une onde, c’est sa fréquence, sa
vibration.

Cela sous-entend également que la matière émet des ondes à tous les niveaux de sa structure, se déployant dans toutes les
directions, à la rencontre d’un réseau de communication universelle, de l’infiniment petit vers l’infiniment grand, et
inversement ; le fameux réseau Akashique des anciens.
Cet océan de vibrations, ou champs Akashique assure la cohérence de l’univers tout entier

A un niveau subatomique, ces ondes vont permettre une relation entre les atomes et les molécules, assurant une sorte
de cohérence de la matière.

A une échelle intermédiaire, les objets et les êtres vivants vont produire des ondes de formes, descorps énergétiques ou
éthériques. Les planètes elles-mêmes vont produire des courants énergétiques et des flux telluriques, qui permettront de
s’interconnecter avec les ondes cosmiques.

A une échelle macroscopique, ses flux puissants vont assurer la cohésion des systèmes stellaires, des galaxies et finalement
de l’univers tout entier.
Notre corps est sensible à cet océan d’énergie et de vibrations

Et si notre esprit était capable de capter ces ondes ?

Et si notre esprit était lui-même une partie de ces ondes ?

Et si notre esprit était capable d’informer la matière par l’intermédiaire de ces ondes ?

La réalité ne serait qu’un océan de vibrations interconnectées en permanence, à tous les niveaux de la création.

Au-delà du monde physique

***

La façon dont la science a segmenté notre vision du monde

La science a façonné le monde moderne que nous connaissons aujourd’hui, mais nous pouvons légitimement nous poser la
question de savoir si elle n’a pas également contribué à conditionner et à enfermer notre façon de penser, volontairement
ou pas d’ailleurs.

En ce sens, on pourrait assez facilement comparer la science à une religion, où les règles établies sont sacrées et difficiles à
remettre en cause, sans être exclus voir bannis de la communauté officielle du rationalisme et du cartésien.

Science et spiritualité, un rapprochement inévitable


Il y a à peine un an, il était inconcevable d’imaginer que la vitesse de la lumière pouvait être dépassée (sauf dans les films
de sciences fiction). Or, l’arrivée des recherches en Mécanique Quantique a démontré que c’était tout à fait possible, et
même si la science l’a reconnue timidement mais officiellement en début 2012, elle est extrêmement retissant à remettre en
cause toutes les connaissances qui sont liées à cette révélation.

Malheureusement, d’innombrables fondements scientifiques sont dépendant des limites que la mécanique quantique a balayé
du jour au lendemain.

En d’autres termes, les principales fondations de l’extraordinaire édifice mathématique qui régissait jusqu’à aujourd’hui
notre compréhension de la réalité, est en train de s’écrouler et est à reconstruire entièrement.

Quoi qu’il en soit, le décor est ancré dans nos consciences collectives depuis le début du 19ème siècle, et les structures de
nos raisonnements logiques sont extrêmement délicates et complexesà remettre en cause.

La virtualité de la matière

La virtualité de la matière et des modèles scientifiques

La conception qui représente le plus l’aboutissement de notre monde moderne est sans conteste ladescription atomique de la
matière, une véritable vénération divine de l’Atome.

Les premiers à défendre cette théorie Atomiste sont deux philosophes de la Grèce antique, Leucippe et Démocrite. Atome
vient de l’ancien Grec « Atomos » qui signifiait : « qui ne peut être divisé« . Cette traduction résume assez bien l’origine
des racines de notre vision atomique du monde, un ensemble de minuscules billes indivisibles, qui composent l’ensemble de
la matière et donc l’ensemble de la réalité.

Atome vient de l’ancien Grec « Atomos » qui signifiait : « qui ne peut être divisé »

Par extension, cette approche nous a naturellement amené à une vision complètement éclatée, segmentée et simplifiée de
notre univers.

En effet, la science a montré que finalement l’atome est divisible, qu’il existe des particules encore plus petites dans sa
composition, et elle s’est empressée d’affirmer qu’il s’agissait des éléments les plus petits. Or, grâce à la mécanique
quantique, on trouve des éléments toujours plus petits, jusqu’à déboucher sur un « flou quantique« , c’est à dire de douter
de l’existence physique des particules subatomiques et même de l’atome lui-même.

Pour matérialiser ou tout simplement pour donner un sens à notre réalité, nous avons besoin de concrétiser des objets, de les
isoler et d’en faire des expériences répétitives, pour prouver leur universalité.

Or, il faut bien prendre conscience que ces objets sont virtuels, un ensemble de constructions mathématiques complexes, qui
à force d’être disséqués, n’existent plus et conduisent à des aberrations logiques que nous ne comprenons plus.

En ce sens, il n’y a pas réellement de frontière nette et précise entre deux atomes, ni entre une particule subatomique et
son environnement d’ailleurs.
Le flou Quantique – L’effacement des frontières physiques

Mieux encore, nous savons que les cellules du corps se renouvellent constamment. Leur durée de vie est de seulement 3 à
4 semaines pour les cellules de la peau. Ce qui signifie que tous les mois cent pour cent des cellules de notre peau
sont renouvelés. Au sens atomique, nous ne sommes plus les mêmes personnes tous les dix ans, et pourtant physiquement,
rien ne semble changer.

Nous vieillissons car nos cellules ne se renouvellent plus assez vite.

Pour l’atome c’est la même chose, mais à une échelle beaucoup plus rapide, car tous les éléments qui le « composent »
(sachant que le terme n’est certainement pas approprié) sont en perpétuel mouvement. Pourtant, la durée de vie d’un atome
serait quasiment éternelle. Mais de quoi parlons-nous, d’un objet ou d’un concept virtuel qui se renouvelle et qui n’est pas
la même entité d’une seconde à l’autre. C’est en quelque sorte la fréquence et la persistance qui constitue lastabilité du
phénomène.

De plus, peut-on réellement envisager d’étudier un élément d’une façon isolé sans tenir compte de son environnement,
surtout si on arrivait à prouver que l’environnement et l’élément ne forme qu’une seule et même chose ?
Les cellules du corps se renouvellent constamment formant ainsi la stabilité du corps

En fait, les dernières révélations scientifiques mises en évidence par la mécanique quantique ont tout simplement amené
la théorie Atomiste (sur laquelle notre monde moderne est construit) à une impasse, ou du moins, elle ne suffit plus, seule, à
expliquer la richesse de la réalité.

L’intrication et le lien Quantique

Même si tout cela ne paraît pas avoir de conséquence sur notre vie matérielle de tous les jours, elle en a énormément
sur l’évolution de notre conscience collective et spirituelle.

Il y a un peu plus d’une dizaine d’années, les chercheurs ont découvert qu’il existait un lien permanent entre deux
particules ayant été séparé, et ceux à n’importe quelle distance. Ce lien d’harmonie entre les deux entités, que les
scientifiques appels « Intrication Quantique », est instantané, que les particules soient séparées de quelques kilomètres ou
de plusieurs millions d’années lumière. Un changement d’état de l’une, affecte immédiatement l’autre. Les scientifiques
ont bien été obligés d’admettre que la communication entre elles dépassent de très loin la vitesse de la lumière, au point de
se demander si la notion de vitesse est adéquate, et si cette liaison n’existe pas dans un autre espace-temps.

En extrapolant à peine, et en tenant compte que toute la matière était réunit dans une seule entité subatomique, juste avant
le Bigbang (si on en croit cette théorie), on peut logiquement envisager que toutes les particules subatomiques de l’univers
soient reliées par ce lien quantique.

Pratiquement toutes les religions ou mouvement spirituels parlent de ce lien universel entre les êtres et les choses inanimées.
Toutes les particules subatomiques de l’univers seraient reliées par un lien quantique

La science serait-elle en train de rejoindre timidement la spiritualité ?

Quoi qu’il en soit, cette prise de conscience d’une interaction au-delà de la matière ne peut pas nous laisser indifférent, et
changera forcément notre façon de nous comporter vis à vis d’autrui et de notre environnement naturel, comme l’atome l’a
fait sur notre vision du monde moderne.

Nos problèmes d’environnement sont liés inévitablement à notre façon individuelle et segmenté de voir le monde.

La potentialité de la réalité superposée, mise à mal de la


causalité

Une autre notion extrêmement cartésienne est sérieusement mise à mal par les dernières découvertes faites en mécanique
quantique : C’est la causalité.

La cause précède toujours l’effet et il n’existe pas d’effet sans cause. De plus, personne ne contredira le fait qu’un effet se
produira même si nous ne somme pas présent pour le voir.

Curieusement, il semblerait que même cette notion de causalité serait à revoir.

Dans une expérience faite par Thomas Young, on comprend que le résultat ne se comporte pas comme il le devrait. Le
simple fait d’observer modifie le résultat. Cela suggère que temps que nous n’observons pas, les résultats sont
encore potentiels et superposés dans un flou quantique, correspondant à ce qu’on appel une fonction d’onde. La cause ne
précède plus l’effet et tous les effets possibles existent tous en même temps. Dès que nous observons, un choix se créer et le
résultat correspond à un comportement de particule, la fonction d’onde s’écroule.

Le pouvoir de l’intention

L’esprit pourrait donc influencer la matière. Cette constatation n’est finalement pas si surprenante.
Si nous acceptons qu’il existe un lien quantique entre les êtres et les choses, et que l’esprit joue un rôle dans le substrat
subatomique de la matière qui constitue notre entourage, alors nous comprenons mieux le pouvoir des intentions de notre
esprit sur notre environnement et sur autrui.

Pouvoir des intentions de notre esprit sur notre environnement et sur autrui

Vous aimerez peut-être aussi