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Sommaire
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1 Mouvements vibratoires
o 1.1 Degrés de liberté (ddl)
o 1.2 Causes
o 1.3 Forme, nature
o 1.4 Objet de la vibration
o 1.5 Intensité et fréquence
2 Perception des vibrations par les organismes vivants
3 Moyens d'investigations
o 3.1 Excitation d'une structure mécanique
o 3.2 Analyse vibratoire des machines tournantes
4 Vibrations indésirables
5 Vibrations en milieu professionnel
6 Conséquences sur la santé
7 Usage du terme dans le New Age
8 Notes et références
9 Voir aussi
o 9.1 Articles connexes
o 9.2 Liens externes
o 9.3 Bibliographie
Machine (immobile).
Véhicule (en déplacement, guidonnage).
Bâtiment.
Moteur.
Intensité et fréquence[modifier | modifier le code]
Selon le type et la nature de vibration, et selon le moyen de mesure, elle peut être mesurée en
amplitude (distance linéaire ou angulaire), puissance ou valeur efficace par rapport à une
référence (décibel), fréquence (hertz), etc.
une excitation vibratoire trop importante peut entraîner des dommages, tels que la rupture
par fatigue vibratoire, ou générer des nuisances sonores ;
l'analyse des vibrations d'une machine peut permettre de diagnostiquer des problèmes
d'équilibrage ou d'alignement d'arbre, ainsi que des défauts de roulements ou d'orbites.
Excitation d'une structure mécanique[modifier | modifier le code]
utilisation d'un pot vibrant pour une caractérisation vibratoire de la pièce (détermination
des fréquences de résonance), des essais de fatigue vibratoire, …
La caractérisation au pot vibrant étant surtout utilisée pour le dimensionnement ou la
qualification du matériel en laboratoire avant utilisation ;
utilisation d'un marteau de choc marteau de choc pour une analyse modale de structure, la
pièce étant excitée successivement en plusieurs points et la réaction vibratoire mesurée à
l'aide d'un capteur d'accélération (accéléromètre, vibromètre laser).
L'analyse au marteau de choc étant utilisée pour une caractérisation in situ de la structure.
L'analyse modale expérimentale (AME) permet de déterminer les déformations de la structure
en fonction de la fréquence.
La mesure de la déformée opérationnelle en fonctionnement (DOF ou ODS : Operational
Deflection Shape) permet de déterminer la déformée réelle de la structure en fonctionnement.
Des calculs par modélisation de la structure par éléments finis permettent d'évaluer les modes
propres de la structure.
Le choc au marteau permet d'exciter la structure sur toutes les fréquences (jusqu'à environ
10 kHz) avec la même énergie. Des embouts différents sont disponibles selon les fréquences à
exciter (embout mou : basses fréquences, embout dur : moyennes fréquences).
Une fois les modes propres de la structure identifiés, il s'agit soit :
Il se trouve qu’à la suite de nombreux travaux réalisés par Albert Einstein et Louis de Brogie, on accorde à tous les objets
une nature d’onde et de particule, dans les échelles microscopiques. Le duel entre ondes et particules n’est donc pas prêt de
se terminer.
Ce qui est le plus troublant, c’est que la théorie de l’un est en parfaite contradiction avec la théorie de l’autre. Il faut bien
comprendre que ces concepts ne sont pas la réalité, mais des outils mathématiques s’approchant ou plutôt représentant la
réalité. Comme tous les concepts, ils ont leurs incertitudes, leurs marges d’erreurs et la fâcheuse tendance à simplifier un peu
trop radicalement la véritable nature des choses.
Les scientifiques sont toujours à la recherche de la théorie du tout, celle qui permettra d’expliquer tous les fonctionnements
de l’univers, et quelque soit les cas de figure, dans l’infiniment grand comme dans l’infiniment petit. Ils cherchent la
formule unique, l’équation universelle, le symbole d’unification. Mais on voit bien que ce n’est pas si simple, et le duel
entre particules et ondes, en est un exemple évident.
Il est intéressant de préciser que la théorie des particules est beaucoup plus naturelle pour nous, ou disons qu’elle est
beaucoup plus facile à comprendre, car nous avons tous tendance à vouloir matérialiser nos idées sous forme d’objets
facilement manipulables, et déconnectés de la complexité environnante.
Une onde est bien plus difficile à représenter mentalement, et par nature, elle se propage,s’interconnecte et imprègne tout
son entourage. En ce sens, elle est certainement plus proche de ce que la nature a dans sa complexité et dans son infini
potentiel. En d’autres termes, accepter une théorie ondulatoire, c’est accepter que rien est isolé, et qu’il puisse exister
une interconnexion permanente entre toutes choses.
La représentation ondulatoire se rapproche plus de la nature que celle des particules
Après les travaux d’Einstein sur la relativité, une 2ème dualité va naitre ; la physique astronomique(Macroscopique) et
la physique des particules subatomique (Microscopique). On s’éloigne encore de la théorie du tout. En effet, les nouvelles
technologies permettent enfin d’expérimenter la physique de l’infiniment petit, qui était resté jusque là entièrement
théorique.
En reflet à la dualité Particules/Ondes, va naître deux nouvelles théories ; La théorie des Cordes(Partisante des ondes
subatomiques) et la mécanique Quantique (Partisante des particules subatomiques).
Mais plus on s’approche de l’infiniment petit, plus on s’aperçoit que notre monde n’est pas se que l’on croit, et qu’il est
finalement bien éloigné de ce que la science officielle nous a appris.
La mécanique Quantique en est un parfait exemple. La vitesse de la lumière n’est plus une limite, les liens de causes à effet
ne sont plus respectés, et par une simple observation, on conditionne le résultat d’une expérience. On croit rêver, pourtant
ce n’est pas de la science fiction, c’est notre nouvelle réalité.
Enchevêtrement des relations ondulatoires à tous les niveaux de la réalité
On pourrait presque dire que la matière est de la lumière ou de l’énergie appauvrit, ayant une fréquence plus basse. Cela
rejoint sans équivoque certaines sagesses bouddhistes qui affirment que tout est vibration, et que l’illumination se trouve à
la fois dans les hautes fréquences de l’univers, et dans notre être.
Sommes-nous enfin, en train de découvrir que les ondes vibratoires existent à tous les niveauxfractals de la matière visible
et invisible ? La théorie des cordes dit même que les ondes forment la matière, et qu’ondes et matières sont la même entité.
En extrapolant, la seule différence qu’il existe entre la matière, l’énergie, la lumière et une onde, c’est sa fréquence, sa
vibration.
Cela sous-entend également que la matière émet des ondes à tous les niveaux de sa structure, se déployant dans toutes les
directions, à la rencontre d’un réseau de communication universelle, de l’infiniment petit vers l’infiniment grand, et
inversement ; le fameux réseau Akashique des anciens.
Cet océan de vibrations, ou champs Akashique assure la cohérence de l’univers tout entier
A un niveau subatomique, ces ondes vont permettre une relation entre les atomes et les molécules, assurant une sorte
de cohérence de la matière.
A une échelle intermédiaire, les objets et les êtres vivants vont produire des ondes de formes, descorps énergétiques ou
éthériques. Les planètes elles-mêmes vont produire des courants énergétiques et des flux telluriques, qui permettront de
s’interconnecter avec les ondes cosmiques.
A une échelle macroscopique, ses flux puissants vont assurer la cohésion des systèmes stellaires, des galaxies et finalement
de l’univers tout entier.
Notre corps est sensible à cet océan d’énergie et de vibrations
Et si notre esprit était capable d’informer la matière par l’intermédiaire de ces ondes ?
La réalité ne serait qu’un océan de vibrations interconnectées en permanence, à tous les niveaux de la création.
***
La science a façonné le monde moderne que nous connaissons aujourd’hui, mais nous pouvons légitimement nous poser la
question de savoir si elle n’a pas également contribué à conditionner et à enfermer notre façon de penser, volontairement
ou pas d’ailleurs.
En ce sens, on pourrait assez facilement comparer la science à une religion, où les règles établies sont sacrées et difficiles à
remettre en cause, sans être exclus voir bannis de la communauté officielle du rationalisme et du cartésien.
Malheureusement, d’innombrables fondements scientifiques sont dépendant des limites que la mécanique quantique a balayé
du jour au lendemain.
En d’autres termes, les principales fondations de l’extraordinaire édifice mathématique qui régissait jusqu’à aujourd’hui
notre compréhension de la réalité, est en train de s’écrouler et est à reconstruire entièrement.
Quoi qu’il en soit, le décor est ancré dans nos consciences collectives depuis le début du 19ème siècle, et les structures de
nos raisonnements logiques sont extrêmement délicates et complexesà remettre en cause.
La virtualité de la matière
La conception qui représente le plus l’aboutissement de notre monde moderne est sans conteste ladescription atomique de la
matière, une véritable vénération divine de l’Atome.
Les premiers à défendre cette théorie Atomiste sont deux philosophes de la Grèce antique, Leucippe et Démocrite. Atome
vient de l’ancien Grec « Atomos » qui signifiait : « qui ne peut être divisé« . Cette traduction résume assez bien l’origine
des racines de notre vision atomique du monde, un ensemble de minuscules billes indivisibles, qui composent l’ensemble de
la matière et donc l’ensemble de la réalité.
Atome vient de l’ancien Grec « Atomos » qui signifiait : « qui ne peut être divisé »
Par extension, cette approche nous a naturellement amené à une vision complètement éclatée, segmentée et simplifiée de
notre univers.
En effet, la science a montré que finalement l’atome est divisible, qu’il existe des particules encore plus petites dans sa
composition, et elle s’est empressée d’affirmer qu’il s’agissait des éléments les plus petits. Or, grâce à la mécanique
quantique, on trouve des éléments toujours plus petits, jusqu’à déboucher sur un « flou quantique« , c’est à dire de douter
de l’existence physique des particules subatomiques et même de l’atome lui-même.
Pour matérialiser ou tout simplement pour donner un sens à notre réalité, nous avons besoin de concrétiser des objets, de les
isoler et d’en faire des expériences répétitives, pour prouver leur universalité.
Or, il faut bien prendre conscience que ces objets sont virtuels, un ensemble de constructions mathématiques complexes, qui
à force d’être disséqués, n’existent plus et conduisent à des aberrations logiques que nous ne comprenons plus.
En ce sens, il n’y a pas réellement de frontière nette et précise entre deux atomes, ni entre une particule subatomique et
son environnement d’ailleurs.
Le flou Quantique – L’effacement des frontières physiques
Mieux encore, nous savons que les cellules du corps se renouvellent constamment. Leur durée de vie est de seulement 3 à
4 semaines pour les cellules de la peau. Ce qui signifie que tous les mois cent pour cent des cellules de notre peau
sont renouvelés. Au sens atomique, nous ne sommes plus les mêmes personnes tous les dix ans, et pourtant physiquement,
rien ne semble changer.
Pour l’atome c’est la même chose, mais à une échelle beaucoup plus rapide, car tous les éléments qui le « composent »
(sachant que le terme n’est certainement pas approprié) sont en perpétuel mouvement. Pourtant, la durée de vie d’un atome
serait quasiment éternelle. Mais de quoi parlons-nous, d’un objet ou d’un concept virtuel qui se renouvelle et qui n’est pas
la même entité d’une seconde à l’autre. C’est en quelque sorte la fréquence et la persistance qui constitue lastabilité du
phénomène.
De plus, peut-on réellement envisager d’étudier un élément d’une façon isolé sans tenir compte de son environnement,
surtout si on arrivait à prouver que l’environnement et l’élément ne forme qu’une seule et même chose ?
Les cellules du corps se renouvellent constamment formant ainsi la stabilité du corps
En fait, les dernières révélations scientifiques mises en évidence par la mécanique quantique ont tout simplement amené
la théorie Atomiste (sur laquelle notre monde moderne est construit) à une impasse, ou du moins, elle ne suffit plus, seule, à
expliquer la richesse de la réalité.
Même si tout cela ne paraît pas avoir de conséquence sur notre vie matérielle de tous les jours, elle en a énormément
sur l’évolution de notre conscience collective et spirituelle.
Il y a un peu plus d’une dizaine d’années, les chercheurs ont découvert qu’il existait un lien permanent entre deux
particules ayant été séparé, et ceux à n’importe quelle distance. Ce lien d’harmonie entre les deux entités, que les
scientifiques appels « Intrication Quantique », est instantané, que les particules soient séparées de quelques kilomètres ou
de plusieurs millions d’années lumière. Un changement d’état de l’une, affecte immédiatement l’autre. Les scientifiques
ont bien été obligés d’admettre que la communication entre elles dépassent de très loin la vitesse de la lumière, au point de
se demander si la notion de vitesse est adéquate, et si cette liaison n’existe pas dans un autre espace-temps.
En extrapolant à peine, et en tenant compte que toute la matière était réunit dans une seule entité subatomique, juste avant
le Bigbang (si on en croit cette théorie), on peut logiquement envisager que toutes les particules subatomiques de l’univers
soient reliées par ce lien quantique.
Pratiquement toutes les religions ou mouvement spirituels parlent de ce lien universel entre les êtres et les choses inanimées.
Toutes les particules subatomiques de l’univers seraient reliées par un lien quantique
Quoi qu’il en soit, cette prise de conscience d’une interaction au-delà de la matière ne peut pas nous laisser indifférent, et
changera forcément notre façon de nous comporter vis à vis d’autrui et de notre environnement naturel, comme l’atome l’a
fait sur notre vision du monde moderne.
Nos problèmes d’environnement sont liés inévitablement à notre façon individuelle et segmenté de voir le monde.
Une autre notion extrêmement cartésienne est sérieusement mise à mal par les dernières découvertes faites en mécanique
quantique : C’est la causalité.
La cause précède toujours l’effet et il n’existe pas d’effet sans cause. De plus, personne ne contredira le fait qu’un effet se
produira même si nous ne somme pas présent pour le voir.
Dans une expérience faite par Thomas Young, on comprend que le résultat ne se comporte pas comme il le devrait. Le
simple fait d’observer modifie le résultat. Cela suggère que temps que nous n’observons pas, les résultats sont
encore potentiels et superposés dans un flou quantique, correspondant à ce qu’on appel une fonction d’onde. La cause ne
précède plus l’effet et tous les effets possibles existent tous en même temps. Dès que nous observons, un choix se créer et le
résultat correspond à un comportement de particule, la fonction d’onde s’écroule.
Le pouvoir de l’intention
L’esprit pourrait donc influencer la matière. Cette constatation n’est finalement pas si surprenante.
Si nous acceptons qu’il existe un lien quantique entre les êtres et les choses, et que l’esprit joue un rôle dans le substrat
subatomique de la matière qui constitue notre entourage, alors nous comprenons mieux le pouvoir des intentions de notre
esprit sur notre environnement et sur autrui.
Pouvoir des intentions de notre esprit sur notre environnement et sur autrui