Analyse du livre Juste la Fin du monde du prologue la scène 4 par Carla Dominault

"Quels avantages offrent le théâtre à qui veut "peindre les Hommes, étudier la nature humaine?"

Prologue : dans ce prologue, on nous montre la nature humaine qui mène un combat du
début à la fin d’une vie, comme nous dans ce prologue puisqu’il y a l’utilisation d’une
répétition avec le « malgré tout » qui ramène à un retournement de situation, on voit qu’il
décide de mener un combat contre la mort en revenant dans sa famille, on peut donc
peindre les Hommes de façon héroïques

Scène 1 : après l’utilisation d’une métaphore avec « on dirait un épagneul » la mère prend la
parole pour apaiser la situation, mais pas pour saluer Louis, ce qui montre que la nature
humaine ne fait pas forcément preuve de politesse envers les autres

Scène 2 : dans cette scène, on remarque l’utilisation d’un chiasme « je ne sais pas, quoi
d’autres ; ils ont deux années de différences, deux années les sépares ; Qu’est-ce que je
pourrais ajouter ? »la mère ne se souvient plus, elle hésite ou elle n’ose pas exprimer le fait
que son fils ressemble à Louis, on peut donc étudier la nature humaine en montrant avec ces
phrases qu’il y a une difficulté de dire ce que l’on pense et une difficulté de communication.

Scène 3 : on remarque une anaphore avec « tu as dû » puisque cet extrait montre bien qu’on
peut étudier la nature humaine, car elle est consciente des choses négatives et positives et
qu’elle sait se mettre à la place des autres pour comprendre ce qu’ils ont vécu

Scène 4 : dans cet extrait, on nous montre que la nature humaine est compliquée à
comprendre et qu’elle peut être agressive, on le voit de « Le dimanche » à « Elle allait
parler » on voit qu'Antoine est un parasite et veut empêcher sa mère de raconter son
histoire avec l’utilisation du point d’exclamation au « Maman ! » qui montre l’agacement et
l’énervement de ce personnage.