METROLOGIE

Métrologie : science de la mesure

CHAPITREI : Fondamentaux sur la métrologie
1.1.Objectifs
Les certifications jouant un rôle non négligeable dans l’employabilité des futurs diplômés, ils
leur seront présenté un panorama des certifications informatiques
1.2.Généralités sur la mesure
1.2.1. Origine de la mesure et champ d’’applications
Le mot métrologie dérive des mots grecs métron et logos ce qui signifie l’étude ou la science
des mesures. Les origines de la mesure remontent encore plus loin que les grecs jusqu’aux
égyptiens. Ces derniers utilisaient des normes de mesure avec des étalonnages réguliers pour
s’assurer que les pierres étaient taillées à la bonne taille pour leur projet de construction.
La métrologie est utilisée dans de nombreuses industries pour faire respecter, valider et
vérifier des normes prédéfinies. L’étude de la métrologie st divisée en trois sous domaines
qui sont utilisés pour garantir l’exactitude, la fiabilité et la précision
• La métrologie appliquée technique ou industriel
Elle établit l’importance des mesures et de la maintenance du contrôle de la qualité et de
l’étalonnage des instruments ; elle couvre l’étalonnage, la maintenance et le contrôle de
qualité des instruments de mesure utilisé dans l’industrie.
• La métrologie scientifique
Encore appelé métrologie fondamentale, elle couvre l’établissement des unités de mesures,
des systèmes d’unité et des systèmes de quantité ; c’est donc la métrologie scientifique qui,
établie les normes adoptées comme grandeur définie d’une quantité physique. C’est elle qui
établit également une compréhension commune des mesures et des unités. Elle est donc
essentielle pour pouvoir atteindre les niveaux élevés de précision et de fiabilité notamment
pour les ingénieurs de précision.
• La métrologie légale
Elle fait référence aux exigences règlementaires relatives aux mesures et aux instruments de
mesure afin de protéger les consommateurs et de respecter le commerce équitable. C’est la
branche qui s’occupe des aspects réglementaires de la mesure et des instruments de mesure.

1.2.2. Domaines de la mesure

Dans le monde moderne, l’étude des mesures est un élément essentiel dans de nombreux
domaines notamment la fabrication, l’ingénierie, la science et la technologie. Certaines
entreprises se spécialisent d’ailleurs dans la métrologie. Dans ce domaine, la métrologie est
utilisée pour valider et vérifier les normes définies.

1.3. Principes généraux de management de la qualité

On ne saurait parler de la métrologie sans parler de la qualité qu’offre la norme ISO9001 qui
régit la certification du management de la qualité est basée sur 8 principes ; en plus d’être des
principes clés, pour le développement du standard canadien le plus populaire, ils sont
également des ressources utiles pour les professionnels qui cherchent à mettre en œuvre ou
améliorer un programme de management de la qualité. Les 8 principes sont les suivants
• Orientation client
• Leadership
• Implication des personnes
• Approche par processus
• Management par approche systémique (voir le système comme un tout cohérent)
• Amélioration continue
• Approche factuelle pour la prise de décision
• Relation fournisseur mutuellement bénéfique
1.4.Management de la qualité
1.4.1. Définition
La qualité occupe une place primordiale au sein de la gestion de projet ; un projet n’est pas
une simple course aux objectifs mais une manière responsable d’améliorer les performances
de l’entreprise et la satisfaction client sur le long terme. La qualité projet est la conformité par
rapport aux attentes et aux exigences définies pour le projet au départ. Ces exigences portent
sur les objectifs à atteindre mais aussi sur la manière de formuler les objectifs, sur la manière
de manager les équipes pour y arriver ou encore les modalités d’action.
- Le management de la qualité projet concerne toutes les activités de l’entreprise qui
visent à définir la politique de qualité, les objectifs et les responsabilités en matière de
qualité afin que le projet réponde aux besoins définis initialement
- L’assurance qualité projet est l’ensemble des moyens mis en place qui permettent
d’assurer et d’avoir confiance dans les niveaux de qualité final d’un projet
- La démarche qualité est un projet qui vise à mettre en place la qualité au sein de
l’entreprise c’est donc un projet en soi

1.4.2. La place de la qualité dans le service

Le management de la qualité a pour but d’améliorer la performance de l’entreprise et la
satisfaction cliente ceci passe par le respect de quelques principes fondamentaux :
• Le projet doit être tourner client ou utilisateur. Dans une logique d’amélioration
continue
• Un suivi de la satisfaction client/utilisateur doit être mis en place
• La hiérarchie doit définir des orientations claires en termes de qualité
• Les objectifs du projet doivent être clairs réalisables et motivant selon le principe des objectifs
SMART (simple mesurable accessible et réalisable dans le temps)
• Les comportements au sein de l’équipe projet doivent être bienveillant et respecter les règles
d’éthiques
 • Le management de l’équipe projet doit être motivant et les membres de l’équipe doivent se
sentir concerne par les questions de qualité
• Le processus projet doit être pilote dans une logique d’amélioration permanente à travers le
suivi de l’allocation des ressources avec des indicateurs de performance et l’adoption
d’actions collectives ; chaque membre de l’équipe projet doit avoir conscience de sa place
dans le projet
• Le management de la qualité doit inclure toutes les parties prenantes au projet y compris
externes

D’autres part, ces principes fondamentaux s’accompagnent d’outils, de procédures

particulières pour garantir leur prise compte effective.
1.5.Qualité du logiciel
1.5.1. Introduction
L’information est aujourd’hui une ressource stratégique pour la plupart des entreprises dans
lesquelles de très nombreuses activités reposent sur l’exploitation d’application informatique ;
pour ces entreprises la fiabilité de leur système informatique et la qualité des logiciels utilises
sont donc cruciaux parallèlement on constate que
- La part du logiciel est aujourd’hui prépondérante dans le cout total d’un système
informatique
- La demande d’application nouvelle et de plus en plus complexe et ne cesse de croitre
- Les utilisateurs sont de plus en plus exigeants en termes de sécurité
A ce constat il faut ajouter que
• De nombreux projet en cours de développement sont abandonnés pour non-
conformité, pour retard trop important, pour dépassement budgétaire
• Les projets qui aboutissent accuse souvent un retard considérable et le cout du produit
développe est souvent bien supérieur aux prévisions il est donc nécessaire :
▪ D’accroitre la qualité du produit logiciel tant dans le domaine de la
satisfaction des clients/utilisateurs, de la fiabilité, des performances
etc… que dans le domaine contractuel, de respect des délais, du budget,
de l’environnement etc…
▪ D’accroitre la productivité et de réduire les couts non seulement de
production logicielle mais aussi de l’ensemble des activités mises en
œuvre au cours de son cycle de vie
L’utilisation d’AGL (Atelier de Génie Logiciel) outils de conception logiciel et de
développement interactif se généralisent ; elle permet d’envisager une production assistée par
ordinateur aux différentes étapes du cycle de vie du logiciel
1.5.2. Qualité du logiciel
La qualité du logiciel est définie par son aptitude à satisfaire les besoins des utilisateurs, elle
est définie par l’ANSI comme l’ensemble des attributs et caractéristiques d’un produit ou
service qui portent sur ça capacite à satisfaire des besoins donnes. On peut aussi l’apercevoir
comme l’aptitude, l’attribut, le caractère ou la propriété d’un bien ou d’un service susceptible
de faire l’objet d’une évaluation au regard de certains critères tel que l’usage a l’état normal
durant la vie du produit.
Dans le domaine du logiciel, satisfaire les besoins des utilisateurs suppose une démarche
qualité ; cette démarche prend en compte
• La qualité de son processus de développement (délais, méthode, organisation …)
• La qualité intrinsèque du produit (modularité, simplicité, …)
• La qualité du service fourni par le logiciel en exploitation
1.5.3. Assurance qualité
L’assurance qualité peut se définir comme l’ensemble des mesures, procédures et méthodes
utilisées dans le cadre du processus de développement du logiciel afin d’obtenir le niveau de
qualité souhaite ; la mise en œuvre d’une politique d’assurance qualité passe par la rédaction
d’un manuel qualité présentant toutes les procédures qui pourront ou devront être utilisées dans
le cadre de l’activité informatique de l’entreprise.
1.5.3.1. Manuel qualité d’une SSII (Société de Service et d’Ingénierie Informatique)
Une SSII est une société experte en NTI (Nouvelle Technologie de L’Information) elle peut englober
plusieurs métiers notamment le conseil, la conception et la réalisation d’outils, la maintenance ou
encore la formation ; elle a pour objectif principal d’accompagner une société cliente dans la
réalisation d’un projet son sommaire comprends entre autres les éléments suivants
- Gestion de la documentation
- Gestion des achats et des sous-traitant
- Audits et bilan de sante
- Gestion des réclamations clients
- Elaboration d’offres et services
- Gestion des missions
1.5.3.2. Procédure qualité pour la gestion des projets informatiques
Le manuel qualité est valide par un organisme indépendant de l’entreprise et qui délivre à l’entreprise
une certification ; il existe plusieurs ISO de certification

• ISO9001 : il certifie de la conception a l’après-vente

• ISO9002 : il certifie les achats et la production
• ISO9003 : il certifie les contrôles
Le manuel qualité est très général, la raison pour laquelle on rédige généralement un plan qualité
logiciel (PQL) au moment du lancement d’un nouveau projet qui précise les différents intervenants sur
le projet notamment le nom et le rôle et les procédures à appliquer dans le cadre de ce projet
particulier.
1.5.3.3. Plan qualité logiciel (PQL)
Il est un document décrivant les dispositions spécifiques prises par une entreprise pour obtenir la
qualité du produit ou service considère ; le sommaire d’un tel document comprend entre autres

• Le but du projet
• L’organisation du projet
• Les documents
• Les standards
• La qualité
• Le suivi des problèmes
 2. EVALUATION DE LA QUALITE D’UN LOGICIEL
2.1.Métrologie du logiciel
La métrologie du logiciel est un ensemble de méthode qui permettent d’évaluer la qualité du
logiciel ; elle a pour objet :
- De définir un ensemble de caractéristiques mesurables du logiciel
- De définir des méthodes d’évaluation
- De définir des outils d’évaluation notamment les analyseurs et les jeux de tests
- D’évaluer les logiciels par la mise en œuvre de ces méthodes et l’utilisation de ces
outils
2.2.Modèle d’évaluation
Le modèle d’évaluation apprécie la qualité du logiciel à travers trois composantes
• La qualité du produit (le degré de satisfaction)
• La qualité du processus
• La qualité du service rendu
On peut représenter ce modèle sous la forme d’une arborescence.

Qualité globale

Quantité du produit Quantité processus Quantité du service

Facteur Facteur Facteur

s s s

Critères Critères Critères Critères Critères Critères

Métriques Métriques Métriques Métriques Métrique Métriques

s

Un facteur est une caractéristique du logiciel du logiciel, du processus ou du service

contribuant à sa qualité telle qu’elle est ressentie par l’utilisateur.
Un critère est un attribut du logiciel par l’intermédiaire duquel un facteur peut être obtenu
c’est également une caractéristique du logiciel sur laquelle le développeur peut agir.
Une métrique est la mesure d’une propriété d’un critère.
2.3.Principaux facteurs de qualité d’un logiciel
Les principaux facteurs de qualité d’un logiciel sont les suivants :
 - Conformité au besoin
- La fiabilité
- Ergonomie
- La flexibilité
- Maintenabilité
- Intégrité
- Disponibilité
Au vu de son utilisateur, u logiciel de qualité doit donc présenter ces caractéristiques sans que
son efficacité, ses performances en pâtissent.
2.3.1. Définition des principaux facteurs de qualité d’un logiciel
Ils sont au nombre de six
• La disponibilité : c’est l’aptitude du logiciel à assurer sa fonction pendant une période
de temps donnée
• L’ergonomie : c’est l’étude scientifique de l’homme au travail sous les aspects
physiologiques, anatomiques, psychologiques et sociaux. D’une manière générale,
l’ergonomie vise l’adaptation des machines et du travail en permutant la conception
d’outils qui puissent être utilise avec le maximum de confort, d’efficacité et de
sécurité ; on considère que la convivialité, la facilite d’apprentissage pour l’utilisateur
font partis de l’ergonomie
• La fiabilité : c’est l’aptitude du logiciel à accomplir sans défaillance l’ensemble des
fonctions spécifiées et à fonctionner dans les conditions anormales sans mettre en
cause ni les informations du système ni leur cohérence
• La flexibilité : c’est le caractère d’un logiciel qui définit la facilite avec laquelle les
fonctions peuvent être ajoutées, supprimées ou modifiées dans un programme
opérationnel
• Intégrité : c’est la faculté d’un logiciel à être protège contre les aberrations ou contre
l’accès par des utilisateurs non autorises 45
• La maintenabilité : c’est le caractère d’un logiciel qui définit la facilite avec laquelle
un défaut peut être localisé, identifié et corrigé.
2.4.Principaux critères de qualité d’un logiciel
2.4.1. Définitions

• La cohérence traduit l’état du logiciel tel que les conventions préétablies ont été
respectées.
• La complétude traduit l’état du logiciel tel que toutes les exigences spécifiées sont
réalisées.
• La compréhensibilité traduit la facilite avec laquelle un programme peut être compris
à la lecture de son code source.
• Le contrôle des accès traduit l’existence de dispositifs permettant une protection
contre les accès non autorises.
• La modularité traduit l’aptitude d’un logiciel à être structure en composant ou module
indépendant ; évaluer la modularité revient à juger de la pertinence de la fonction de
chaque module et de ces interactions avec les autres modules.
 • La protection des accès traduit l’existence de dispositif destinés à protéger le code et
les données contre toute dégradation.
• La simplicité traduit la caractéristique d’un logiciel qui exprime la manière dont sont
implémentées ces différentes fonctions et qui représente la difficulté que peut
rencontrer un individu pour analyser et comprendre un programme
2.4.2. Exercice
Une SSI doit fournir à un client un logiciel spécifique de gestion commerciale ; pour juger de
la qualité de ce logiciel on a retenu les facteurs ou critères suivants
- Elaboration et scenario de tests (1)
- Efficacité (2)
- Prototypage (3)
- Prix de vente (4)
- Respect des délais de conception réalisation (5)
- Respect du budget conception réalisation (6)
- Formation des utilisateurs (7)
- Qualité de la documentation (8)
- Délais d’intervention pour maintenance (9)
- Utilisation d’un AGL (10)
- Efficacité d’une intervention de maintenance (11)
- Organisation et gestion des ressources en matériels et personnels (12)
- Utilisation des méthodes de conception et de développement des SI (13)
- Conformité des procédures au plan d’assurance qualité (14)
-
Questions
1. Placer les critères de qualité du logiciel en
• Caractéristiques de qualité du produit en développement tel qu’elle peuvent être
perçues par le client
• Caractéristiques de qualité du processus de la production du logiciel notamment les
facteurs et critères de qualité interne à la SSII
• Caractéristiques de qualité du produit en exploitation telles que perçues par le client
Produit en développement Processus de la production Produit en exploitation
(2), (8) (1), (3), (5), (6), (10), (12), (2), (4), (7), (8), (9), (11)
(13), (14)

2.5.Méthodes et outils de mesure

Il existe plusieurs méthodes et outils permettant d’effectuer des mesures sur la qualité d’un
logiciel, de son processus de développement ou du service rendu. Les principales méthodes
sont les suivantes
• Les audits
• Les essais
Les principaux outils sont les outils de scrutation de programme ou de réseau.
Evaluer un programme c’est se demander si la structure logique est correcte et si ça
documentation est complète ; il faut donc mettre sur pieds une méthode de cotation permettant
l’évaluation de la qualité cohérente d’un examinateur a l’autre ; cette cotation doit également
permettre la comparaison avec un modelé idéal. Pour détecter les défauts on peut faire les
analyses statistiques notamment par relecture de code, examen de la documentation encore
appelé audit, inspection et revue. On peut également faire les analyses dynamiques ;
notamment à travers des tests et essais de programmes ; le principe est de disposer d’un outil
permettant une évaluation quantifiée, mais il existe aussi des outils permettant de scruter la
structure logique des programmes ; il s’agit une fois les mesures faites, de les agréger pour
calculer le niveau de qualité du logiciel.
2.6.Processus d’évaluation de la qualité du logiciel
Considérons les valeurs prises par les mesures suivantes :
• Commentaires
• Nom de variable
• Nombre de si imbriqué
• Nombre de lignes par module au cours de la phase numéro quatre (4) du cycle de vie
du logiciel X
2.6.1. Mesures
Les valeurs des métriques sont obtenues conformément au tableau suivant
Code métrique Valeur lue Tranche Valeur
métriqu
e
Commentaires 10/100 X>= 20%= > 2 1
10% <= X <20% =>1
X<10% => 0
Nombre de SI imbriques 3 X<=3 => 2 X>5 => 0 2
3 < X<= 5 => 1
Nom des variables Incompréhensible Incompréhensible => 0 0
Moyen => 1
Simple => 2
Nombre de lignes par 63 X<= 50 =>2 1
modules 50<X<=100 =>1
X>100 =>0

N° Mes Code métrique N° Phase Valeur

1 Commentaires 4 1
2 Nombre de SI imbriques 4 2
3 Nom des variables 4 0
 4 Nombre de lignes par 4 1
modules

2.6.2. Les critères

L’évaluation des critères pour cette phase s’effectue avec les coefficients suivants
Nom du critère Code métrique Phase Coefficients
Commentaires 4 0,7
Auto documentation Nombre de SI imbriqués 4 0,3

Nombre de SI imbriqués 4 0,4

Simplicité Nombre de ligne/module 4 0,4
Commentaires 4 0,2

2.6.3. Les facteurs

L’évaluation des facteurs pour cette phase s’effectue avec les coefficients suivants
Nom du facteurs Nom critère Phase Coef
Maintenabilité Auto documentation 4 0,3
Simplicité 4 0,7
Fiabilité Simplicité 4 1

2.6.4. Questions
1. Représente l’arborescence de cette méthode d’évaluation
2. Calculer la valeur de chaque critère
3. Calculer la valeur de chaque facteur
4. Calculer la valeur de la qualité totale du logiciel X pour la phase 4
5. Calculer la valeur maximale possible de la qualité totale du logiciel X pour la
phase 4
CHAPITRE 3 : CERTIFICATION INFORMATIQUE
3. Certification infirmities
3.1.Introduction
Les certifications informatiques peuvent ouvrir de nombreuses portes tout au long de la
carrière d’un informaticien. Les recruteurs et les gestionnaires d’embauche ont tendance à
consulter la section certifications d’un CV. Ils veulent en effet des candidats possédant des
connaissances à jour et des certifications informatique leur montrent rapidement la maitrise
d’une technologie ou d’une pratique particulière.
Que l’on soit un diplôme récent ou un spécialiste chevronné de la technologie, préparer et
obtenir une certification est un moyen d’élargir son ensemble de compétence, d’impressionner
des employeurs potentiels et de se démarquer de la foule.
3.2.Certifications les plus précieuses
Les certifications informatiques les plus demandées par les entreprises sérieuses sont les
suivantes :
• CDT : Professionnel Certifie de données
• PCSSI : Professionnel Certifie de la Sécurité des SI
• EICC : Expert Inter réseau Certifie Cisco
• Associe Réseau Certifie Cisco (CCNA)
• Professionnel de Réseau Certifie Cisco (CCNP)
• Auditeurs Certifie des Systèmes d’Informations (CISA)
• CompTIA A+
• Associe Technologique Microsoft (MTA)
• Professionnel en Gestion de Projet (PMP)
• Professionnel certifie Oracle (OCP)
• Cycle de Vie et Déploiement de Développement Certifie Salesforce
• Scrum Master Certifie (SMC)
• Architecte de Solutions Certifiée (AWS)
• Pirate Ethique Certifie (CEH)
• Certification Mondiale d’assurance de l’information (GIAC)