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AU DELA DES COLONNES D'HERCULE

A NOS LECTEURS POSSIBILITÉS INDUSTRIELLES

Un ffis vieux pays neuf, le Maroc
(Correspondance spéciale)
Depuis la guerre , depuis îuzu sur-
tout , on parle beaucoup du Maroc ;
c'est la grande découverte du ving-
tième siècle, l'Eldorado, le pays neuf
par excellence, avec tout son pitto-
resque mystérieux, son attirance et
ses périls. Que connaissait-on autre-
fois du fameux empire chérifien ?
Nos ma n uels scolaires se montraient
fort réservés : ils citaient sans com-
mentaires les deux capitales, Fez et
Maroc (actuellement Marrakech) et
Tanger sur son détroit, et la carte,
pour ne pas se compromettre, lais-
sait en blanc la plus grande partie
du pays, avec la mention « régions
inconnues ».
Tout cela a bien changé. Non seu-
lement les plaines chérifiennes
m'opt-eUes plus guère de secrets,
mais sous leur vie renouvelée, sous
leur histoire des derniers siècles,
euelques sava n ts s'efforcent depuis
Le Maroc d'autrefois
Î)Iusieurs années d'évoquer et réveill-
er les souvenirs de l'antique splen-
deur romaine. Magnifique entreprise
que couronne déjà le plus encoura-
geant succès.
Les ruines romaines
Nous avons eu la bon ne fortune
villes, envahis par les Ientisques et
les palmiers nains , mais n 'attendant
que les chercheurs zélés pour racon-
ter, pierre par pierre, 1 histoire de
ces colons latins qui , pendant près
de cinq siècles, s'efforcèrent de
maintenir parmi les tribus berbères
la civilisation romaine, sa paix et sa
prospérité.
Courageusement, malgré les trop
maigres ressources accordées sans
enthousiasme, quelques savants se
sont mis au travail , soutenus et gui-»
dés par l'œuvre immense d'investi-
gations qu'à laissée le regretté M.
Michaux-Bellaire, qui passa quaran-
te années de vie marocaine à des
recherches patientes et minutieuses,
autant que désintéressées.
Volubilis
Aujourd'hui Rabat a son service
des antiquités qui ne demande qu'à
exercer la plus grande activité ; le
Maroc possède deux ou trois em-
bryons de musées, où l'on commence
à rassembler les vestiges les plus
caractéristiques des époques dispa-
rues. Enfi n Volubilis, près de Mek-
nès, est offerte à la curiosité du tou-
riste avec son forum, sa basilique
Après quelque vingt mois de travaux, la « Feuille d'avis de Neuchâtel » L'avion Millier tel qu'on le fabriquerait
prend aujourd 'hui possession de son nouvel immeuble de la rue du Temple neuf.
Dire que tout y est complètement installé , que les nouvelles machines sont toutes
à leur place , qu 'aucun détail n'a été négligé serait fort exag éré. Nos ateliers
à Sienne
La « Feuille d'avis de Neuchâtel » a
présentent encore le pittoresque aspect des maisons neuves, où l'on emménage à dit la tentative , de la commune de
la hâte les pre miers meubles. Rienne pour attirer une nouvelle in-
Cela est inévitable pour des industries qui doiv ent se transformer , renou- dustrie en finançant les expériences
veler leur outillage, en un mol se p lier à, d&"txigences souvent insoupçonnées par le de M. G.-W. Muller, ingénieur-cons-
tructeur, habitant près de Paris.
public d'aujourd 'hui , sans qu'il leur soi) possible d 'interrompre leur exploitation. Le conseil de ville de Rienne a
Si long et si compliqué que soit un tel changement , nous avons cependant donc accordé les crédits qui perm et-
décidé d'aller de l'avant dès aujourd 'hui et ce matin même les machines , toutes tront d'introduire éventuellement la
neuves, brillant de leur éclat juvénile, ont imprimé pour la première fois la « Feuille fabrication d'avions dans la ville voi-
sine.
d'avis de Neuchâ tel ».
Voici, au sujet du modèle présenté
Le [ lecteur attentif aura remarqué un léger changement dans Faspect du journal par M. G.-W. Muller, les renseigne-
qui lui est si familier. Son formai , en effet , a été quelque peu réduit. La « Feuille ments que donne le rapport du Con-
d'avis », une vénérable aïeule presque deux fois centenaire, vit-elle si peu de son seil municipal au conseil de ville :
temps qu 'elle ait pu songer à enfreindre une mode qui au contraire impose à ses « Cet appareil est un biplan cons-
lectrices de plus longues parures ? Non pas , mais une gazette ne saurait sacrifier truit presque essentiellement avec
des métaux légers. Les ailes peuvent
à une fantaisie unanim ement acceptée par la gtnt féminine. D 'autres maîtres ,
d'autres souverains nous imposent leurs lois : qu 'on les appelle nécessités techniques, être repliées au repos, ce qui permet
de remiser l'avion facilement dans
prescriptions ou ordonnances de quelque puissante administration.
son hangar. Les différents éléments
Toutefois , le lecteur s 'apercevra rapidem ent que le nouveau format est plus de construction sont conçus de telle
agréable à lire et surtout d 'un maniement plus facile que l 'ancien. On s 'en rendra sorte que leur fabrication ne néces-
compte surtout en dépliant son journal en vagon ou en tramway. Nous croyons site pas d'installation spéciale coû-
teuse et que . même produits en peti-
que tout en conservant , dans sa présentation , le caractère d'un journal de grande tes séries, ils sont économiques. Au
information, la « Feuille d'avis » d'aujourd 'hui sera appréciée de tous ceux qui
lieu du train d'atterrissage habituel,
occasionnellement ou manquant de loisirs sont obligés de " lire leur journal hors l'appareil est doté de tourillons aug-
de chez eux. mentant la sécurité à l'atterrissage et
facilitant le choix des emplacements
de contact avec le sol. On peut, à sa
Avant-hier, c'était encore Vancienne machine rotativ e qui a imprimé la guise et sans modifier en rien l'ap-
« Feuille d'avis » . terminant ainsi une carrière utile — et glorieuse. Ce fidèle ser-
pareil, munir celui-ci de flotteurs en
viteur, une machine de seize pages , montée l'année qui p récédait la guerre, en place de roues, toutefois non sans ré-
1 9 / 3 , a fonctionné tous les jours pendant près de dix-huit ans. C'est là une belle duire sa vitesse maximale et sa puis-
performance si l'on songe que jamais elle n 'a subi de graves avaries et que jour sance, comme toujours en pareil cas.
après jour , elle a imprimé le journal à la vitesse considérable de 20,000 exem-
Un dispositif assure la stabilité
plaires à l 'heure. de l'avion
Ce matin lundi, les services techniques du journal sont réinstallés et malgré »Au point de vue aérodynamique,
le peu de temps dont nous disposions , toutes les mesures ont été prises pour empê- l'appareil retrouve de lui-même sa
cher une interruption dans le fonctionnem ent de nolrç organisation. stabilité, c'est-à-dire que sans l'in-
tervention du pilote, il tend toujours
Nous nous proposons de parler de celle-ci avec plus de détail dans un prochain à revenir à sa position de vol norma-
numéro. Nos abonnés , seront certainement heureux d'apprendre comment s'imprim e le. Il acquiert cette propriété, qui li-
le journal impatiemment attendu, qui, chaque matin, leur apporte avec ses pages mite à son strict minimum le moment
d'annonces si utiles à consulter les dernières nouvelles de près et de loin. Disons- du danger et qui facilité grandement
l'apprentissage du métier de pilote,
leur sans tarder que si nous partons aujourd 'hui d'un pas décidé et marquant une en faisant agir simultanément diffé-
ardeur nouvelle, c'est dans le but toujours présent devant nous d'améliorer sans
rents courants aérodynamiques alter-
cesse cl de développer le plus ancien journal du pays , la « Feuille d'avis de' nés, connus en soi, mais utilisés jus-
Neuchâtel ». qu 'ici isolément. Le con structeur dé-
clare expressément que tous les cal-
culs relatifs à la résistance ont été
établis d'après les normes fixées pour
Un hydravion sur l'océan Innovations américaines les conditions de permis de navigabi-
lité et que les essais de résistance
tion s de construction en vigueur en
Suisse.
»I1 s'ensuit que l'avion Muller
n'est pas un appareil à records, mais
un appareil pratique (tourisme et
transport) de moyenne puissance. Sa
vitesse normale est de 140 km. à
l'heure. Sa puissance, si l'on prend
comme base les 70 CV du moteur
Muller, à quatre cylindres, permet le
transport de deux personnes et de 40
kg. de bagage sur une distance de
plus de 500 km., sans escale, accom-
pli par temps calme. Les cabines
peuvent être aménagées en torpédo
ou en limousine, sans nécessiter des
modifications dans la fabrication cou-
rante de l'appareil.
» Pour augmenter encore sa sécu-
rité pendant le vol, l'avion est muni
d'un instrument de contrôle, lequel
agissant en fonction de la puissance
donnée du moteur, limite les mouve-
ments du gouvernail de hauteur
de façon que le pil te est dans l'im-
possibilité de mettre son avion dans
une position qui exigerait une plus
grande puissance que celle fournie
instantanément par le moteur. La sé-
curité en vol est en outre soumise à
un contrôle avant le départ , grâce à
une installation qui empêche le lan-
cement du moteur aussi longtemps
que la sécurité des haubans ne sera
„
pas assurée. »
Caiactéristiques du moteur
M. Muller a également mis au point
un moteur dont voici les particula-
rités :
« Le moteur est un 4 cylindres mu-
ni d'un refroidisseur à air, avec des
soupapes suspendues dans la culasse
et un vilebrequin à 5 paliers, d'une
puissance normale de 70 CV et d'une
puissance maximale de 85 CV. La
construction du moteur est conçue
selon le principe général de dimi- [
nuer la pression spécifique des pa-
liers et la tension des matériaux en
dotant l'appareil de dimensions lar-
gement suffisantes en vue d'obtenir
un fonctionnement aussi sûr : que le
permet l'état actuel de la technique.
Outre un certain nombre de nouveau-
tés de détails, qui ont pour consé-
quence une diminution des frais de
fabrication, il est prévu une nouvelle

d'entendre récemment à Tanger une
très intéressante conférence sur les
ruines romaines au Maroc , par le
t rès actif directeur du service des
anti quités à Rabat , M. Châtelain.
Pour les Tangérois, qui vivent pour-
tant sur les ruines de l'ancienne
Tingis, capitale du Maroc romain ,
ce fut une révélation. On savait bien
que l'histoire marocaine se perd
dans la nuit des temps et a connu
bien des invasions et les boulever-
sements avant la venue des Arabes,
mais M. Châte lain a su rappeler à
la vie, avec précision , toute une
tranche du passé qui relie singuliè-
rement la neuve Afrique du nord à
notre vieille Europe.
On ne s'attendait pas à retrouver,
sous les millénaires pistes poussié-
reuses, la voie que suivaient les lé-
gions conquérantes, jalonnée de pos-
tes, de forteresses, de fermes, de
Le chef et ses complices
Le bandit Al Capone
vient d'annexer Hollywood
HOLLYWOOD, 30. — Non content
des énormes profits que lui apportent
ses entreprises illégales de Chicago,
Al. Capone a étendu son activité jus-
qu'à la capitale du cinéma, où il es-
père faire de fructueuses opérations.
« On a annoncé hier, écrit la « Chi-
cago Tribune» que le 75% des speak-
easies et des bootleggers d'Holly-
wood sont sous le contrôle d'une seu-
le bande qui , en six mois, a mis la
main dessus.»
A cuuse de ses méthodes typiques,
on croit généralement que c'est Al.
Capone qui a monté l'affaire. L'inva-
sion d'Hollywood par cette bande est
soutenue par des « gunmen » qui ont
établi dans un appartement leur
quartier général.
La mainmise sur l'alcool
Ces * gunmen », dit-on , sont divisés
dans la cité en deux groupes et ils
suggèrent , «sur un ton diplomatique»
les prix auxquels les propriétaires
des speakeasies doivent vendre leur
alcool , leur promettant en échange
aide et protection.
Leur proposition est la suivante :
« Achetez-nous votre alcool et si
vous êtes arrêtés , nou s vou s protége-
rons et vous donnerons de l'argent. Si
vous refusez , nous ouvrirons à côté
de chez vous un speakeasie à des
prix très bas et nous vous ruine-
rons . »
Ce sont là les méthodes de Capone ,
et elles réussissent à Hollywood. Le
prix de l'alcool menace de devenir
astronomique dans la cité du film , au
grand désespoir de's stars qui doivent
en acheter d'énormes quantités pour
leurs réceptions.
Le «DO X» s'envole
judiciaire, son arc de triomphe, ses qu'il a fait calculer demeurent bien commande de soupape en bain
temples, ses colonnes et ses inscrip-
tions. Les fouilles sont loin d'être
terminées, mais déjà l'ancien muni-
La police par radio au-dessous des valeurs admises pour
les matériaux en question , de sorte
que les essais de surcharge stati-
d'huile avec un rendement mécani-
que amélioré et avec un triple cir-
cuit de l'huile de graissage à refroi-
cipe de la Mauritanie tingitane a
livré quelques souvenirs précieux, pour la traversée de l'Atlantique Plus de quarante grandes villes
ques) correspondent aux prescrip- dissement continu. >
dont un chien en bronze, long de
63 cm. et haut de 35, extrêmement
La ptem.ère éta'.e l'amène américaines sont dotées d'automobi-
vivant, et une statue de Dionysos, aux canaiies les munies d'appareils récepteurs de
T. S. F. Elles patrouillent dans les
réplique de celui de Praxitèle. LISRONNE, 31 (Wolff). — L'hy- rues et permettent de gagner de pré-
Cependant si Volubilis a été si dravion géant « Do-X » a repris son cieuses minutes dans la poursuite des
bien conservée, c'est qu'elle est bien vol samedi matin , à 8 h. 05 à desti- criminels. En vingt mois, 1800 « ar-
morte avec la domination romaine, nation de Las Palmas (Canaries).
restations par radio » ont été opérées
tandis que d'autres villes continuè- Après avoir décollé de façon im- à Détroit, en moins de « 90 secondes »
rent à vivre , reconstruites sans cessepeccable, il a mis le cap sur les îles chacune en moyenne.
et se transformant lentement au Madère dans l'intention d'amérir cet Pour éviter toute erreur , les messa-
cours des siècles. En grattant un peu après-midi aux îles Canaries. Le pre- ges sont répétés trois fois. Une pa-
la terre, en fouillant sous les mai- mier moteur a été mis en marche à trouille d'Indianapolis capta , il y a
sons et dans les jardins , on _ retrouve
7 h. 19. Le deuxième quelques ins- peu de temps, le signalement de deux
ailleurs les traces de ces cinq cents tants après, à 7 h. 20. L'appareil a nègres qui venaient de piller, sous la
ans de vie romaine. levé l'ancre à 7 h. 27. Tous les mo- menace de leurs revolvers, la caisse
(A suivre.) Violette Rochedieu teurs fonctionnaient à bas régime. d'un garage. L'automobile policière
Le « Do-X » a effectué diverses évo- se trouvait tout proche ; les deux vo-
lutions sur le Tage jusqu'à ce que leurs furent arrêtés et emballés dans
ses moteurs travaillent à plein régi- le « panier à salade » avant d'avoir
Les financiers me. L'amiral Agotinho, chef de l'é- fait 500 mètres et au moment où re-
tat-major participe au voyage com- tentissait le troisième message. • Ils
malhonnêtes me passager. restèrent bouche bée en entendant
RERLIN, 1er. — L'avion géant l'appareil qui les dénonçait.
« Do-X » a envoyé à l'agence Wolff Les premiers essais faits à Dé-
le message suivant : «Le « Do-X » troit en 1921 n 'avaient pas été heu-
Trois millions perdus dans a survolé le cap Sao-Vicente (Portu- reux. La réception était très inégale,
des spéculations frauduleuses gal), à 9 heures 10. II a fallu renon- les appareils fréquemment détraqués,
RAYONNE, 31 (Havas) . — Sur cer à survoler l'île de . Madère par si bien qu'en 1927, on se disposait à
mandat délivré par le parquet de suite du brou illard. En dépit d'un fermer la station quand un simple Les funérailles de la danseuse Pavlova
Rayonne, François Diharce, conseil- vent violent , il a été décidé de met- agent, Cox, fanatique de radio, sup-
ler d'arrondissement à Saint-Jean de tre le cap directement sur les îles plia qu'on lui permît d'essayer son Uno foule d'admirateurs recueilli s vient rendre un dernier hommage
système. Il fit si bien, avec l'aide de à la grande artiste dont le cercueil couvert de flenrs
Luz, et Gaudron, industriel à Rayon- Canaries.
ne, ont été arrêtés sous l'inculpation LAS PALMAS, 1er (Wolff). — Le camarades ingénieux, qu 'un appareil fut exposé à l'église russe de Londres
de spéculation frauduleuse dans une « Do-X » est arrivé à 14 heures à Las excellent fut créé, adopté et installé
affaire de lotissement. Trois autres Palmas, ayant parcouru la distance Sur 40 voitures à Détroit.
inculpés sont eh fuite à l'étranger. de 1500 km. séparant Lisbonne de
Dans la seule région basque, trois Las Palmas, en 6 heures et demie
Le revers de la médaille ECHOS Le procès des aviateurs polonais
millions auraient été souscrits.
Encore un banquier qui se
environ. On s'apperçut bien vite que la dïf-
fus.on faite par les stations habituel-
les offrait des inconvénients. Une da-
Nous relevions la semaine derniè-
re qu'un journal français, dans un
qui avaient atterri en Ataagne
fait arrêter pour abus de Pour se venger, article sur la Suisse parlait du can- L'un est libéré , l'autre condamné
me de Chicago ayant téléphoné qu 'un pour manque de passeport
confiance cambrioleur opérait dans l'apparte- ton de Neuenbuirg.
AIX EN PROVENCE . 1er (Havas).
un domestique égorge une ment faisant face au sien , l'annonce Cela n 'est à la vérité pas pardon- OPPELN , 31 (Wolff). — Samedi
femme et deux fillettes en fut diffusée aussitôt. Et quand la nable. Mais nous savons aussi que matin ont commencé, devant le tri-
— Fernand Ronnet , banquier et di- trop souvent nous ne nous donnons bunal des échevins élargi, les déli-
recteur de la « Société provençale plus proche patrouille arriva sur les
AMSTERDAM, 31 (Havas). — A lieux , elle trouva le voleur envolé, pas la peine de protester contre les bérations du procès des aviateurs mi-
de gestion financière, commerciale et Rilthoven , près d'Utrecht, un étudiant atteintes que l'on fait subir chez litaires polonais qui avaient été for-
industrielle » qui avait déposé son javanais, rentré d'Utrecht, après mais qui avait laissé sur le couvercle nous à la langue française. Je ne sais cés d' atterrir à Orj peln le jour de la
bilan et que l'on avait récemment in- avoir passé avec succès des examens, de l'appareil de T. S. F. en pleine plus quelle statistique ind iquait in- visite du chancelier du Reich. Le
culpé d'abus de confiance, vient d'ê- trouva sa femme et ses deux jeunes marche un petit billet : « Merci de solemment sous la rubrique des can- consul général de Pologne à Reuthen
tre arrêté. m'avoir averti 1 »
filles mortes, égorgées à coups de tons romands Genf et Neuenburg. assiste à la séance.
Un conseiller général inculpé poignard. Il est probable que c'est un Ressources insoupçonnées Les deux inculnés, le sergent-major
de détournements domestique javanais qui est l'auteur *
Comme auxiliaire de la loi , la ra- A notre vieille gare, on entend Wolf et le sergent Imiela , du régi-
LONS-LE-SAUNIER , 1er (Havas). de ce crime, dont la vengance serait dio se montre particulièrement effi- crier sur les quais (et non pas sur ment d'aviation à Cracovie , sont ac-
le mobile. Le domestique a tenté de cace pour découvrir les autos volées.
— Le conseil d'administration de la s'asphyxier les perrons) des « Ohne Anthalt bis cusés d'avoir traversé la frontière
« Caisse régionale de crédit agricole» au moyen du gaz. A Dallas, on retrouva même, grâce à Riel »., Il est plus urgent de faire sans autorisation et sans être en pos-
¦
a déposé, entre les mains du procu- • '"'/rSSSSS 'ff 'fSSSfSSSSffSSSSSSSSSSSSSSSSSSson
SSSSconcours,
i plus de voitures qu 'il disparaître cette pratique intoléra- session de papiers de légitimation , ni
reur de la république, une plainte Vous trouverez...
contre Félicien Gauthier , conseiller i;n unie page :
n'en a été dérobé. Ceci n 'est pas une
galéjade, car quantité de voitures
ble que nos vétustés installations de pour eux ni pour leur appareil.
chemin de fer. OPPELN, 31 (Wolff). — Après
général , pour détournements commis portées disparues dans d'autres villes trois quarts d'heure de délibérations,
au préjudice de la caisse, se montant Les avis officiels, enchères pu- ont été retrouvées là. Un autre grand Enfin — et ceci doit particulière- le président de la cour . M. Christian,
à 500 mille francs environ. bliques, vente et achat'd'immeu- avantage de la poursuite des crimi- ment plaire aux étrangers et aux pa- a donné lecture du verdict pronon-
bles. nels par T. S. F. est que la rapidité rents qui conduisent ici leurs en- cé contre les aviateurs polonais:
Puis, c'est le tour d'un En linc page : des avertissements ne leur laisse pas fants — certains de nos taxis à qui Conformément à la réquisition du
industriel Dépêches de S heures. le temps de faire disparaître les piè- il arrive tou t de même de station- procureur, le jugement libère Imie-
PARIS. 1er (Havas) . — Un indus- En ."mie page : ces à conviction , ce qui simplifie l'ac- ner à la gare portent le mot « FREI » la, condamne par contre le sergent-
triel nommé Philippe a été arrêté et Les sports de dimanche. tion judiciaire. Il arrive même fré- sur le drapea u du taximètre. Détails, major Wolf à deux semaines de pri-
emprisonné à la Santé. Il est accusé En finie page : quemment que, l'alarme ayant été si l'on veut , mais combien signifi- son pour infraction à la loi sur les
d'escroqueries dont le montant at- A Neuchâtel ' fet dans la ré- donnée à temps, des cambriolages catifs d' une mentalité qui gagne cha- passeports. La neme est considérée^
teindrait une quinzaine de millions. gion. puissent être prévenus. que jour du terrain. "•pmm-e subie V" '" • ¦¦J—? n 'v-e. }
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possible. Des affaires qu'il poursui- défunts n'avaient subi, à aucune épo- tinément fidèles, passaient encore de ser d'un butin compromettant, avait- vraisemblance possible.
vait pour se donner l'illusion de fai- que, un dommage de cette importan- maigres ordres. Mais leur nombre al- il glissé l'enveloppe dans la premiè- La caissier accepta le. billet de mil-

L énigme vivante
-i
GEORGE TBOMBERT
CHAPITRE PREMIER
Gérard Bcaumont rentrait chez lui ,
à l'heure du déjeuner et ses pensées
n'étaient pas joyeuses. Il entendait
d'avance la voix revêche de sa belle-
soeur. Quelle sainte femme et com-
bien embêtante !
Elle allait lui dire :
— Le tapissier est encore venu
pour sa note... Il n'y a plus de char-
bon que pour deux j ours... Les sou-
liers de Mado sont percés et Jean ne
peut pas se passer d'un manteau-
Jean, cinq ans et Mado, sept ans,
étaient les enfants de Gérard et de
sa défunte femme. La belle-sœur,
Jeanne Rondil, les élevait avec un
dévouement hargneux.
Gérard songeait encore qu'il avait
deux mille francs à payer à un ami,
auquel il les avait empruntés pour
trois jours, le mois précédent II son-
geait au loyer en retard, à dix au-
tres dettes qui devenaient chaque
jour plus criardes.
Pour faire face à tout cela, il
avait, dans son portefeuille, un billet
(Reproduction autorisée par tous les
Journaux ayant un traité avec la Société
re quelque chose, toutes plus ou
moins problématiques, pas une qui
eût une chance sérieuse d'aboutir ,
surtout à brève échéance.
II aurait voulu mourir. Mais il n'é-
tait pas seul au monde. Il pensa que
s'il pouvait tirer parti de sa force
physique prodigieuse en s'engageant
dans un music-hall, ce serait une so-
lution. Mais, pour cela aussi , il fau-
drait de l'argent d'avance , et même
une assez forte somme. Or il n'avait
rien...
C'était une situation sans issue.
Il tira ses clefs de sa poche et se
mit en devoir d'ouvrir sa boite aux
lettres. Ce faisant, il se demandait ,
l'àme résignée, quelle nouvelle tuile
la poste avait bien pu lui apporter
aujourd'hui.
jaune
Une grande enveloppe
qu 'on avait eu de la peine à intro-
duire dans la boîte aux lettres l'em-
plissait presque entièrement.
Cette enveloppe , sans souscription ,
était pleine de billets de mille francs.
, Il y en avait vingt-cinq.
Gérard les compta d'un air hébété.
Machinalement, il s'assura , en jetant
un regard derrière lui qu'il était bien
seul dans l'allée et que les passants
de la rue ne regardaient pas de son
cote.
Vingt-cinq mille francs !
Evidemment, ses affaires n'étaient
pas arrangées à cause de cela.
D'où venait ce capital inattendu et
quel droit avait-il d'en faire usage ?
Aucun, sans doirtp,,,
ce. D'ailleurs, si les vingt-cinq mille
francs lui étaient réellement destinés
ils seraient accompagnés d'une lettre
ou d'un mot d'explication.
Toutes ces réflexions se présentè-
rent à Gérard Beaumont en l'espace
d'une seconde. Il fourra dans là po-*
che de son pardessus l'enveloppe et
son contenu et monta chez lui où il
s'enferma dans sa chambre.
L'enveloppe jaune , une enveloppe
commerciale ordinaire en papier so-
lide était de celles qu'on peut se
procurer dans n'importe quelle pape-
terie. Elle ne contenait rien d'autre
que les billets de banque.
L'hypothèse d'une restitution ano-
nyme se trouvant écartée, pouvait-il
s'agir d'un don ? Invraisemblable.
On ne fait pas de charité de cette
importance.
D'ailleurs, pour mauvaise que fût
la situation de Gérard Beaumont, il
se flattait que personne ne la connût,
dans le détail...
Ses déboires ne dataient que d'une
année... de la débâcle des Porto-
Nello, dans laquelle il avait perdu
tout son avoir, sottement engagé en
bloc dans cette affaire. Et, comme
un malheur n'arrive jamais seul, la
fabrique suédoise d'aciers, dont il
avait l'agence générale, s'était trou-
vée par le jeu des traités de commer-
ce et des droits de douane, mise hors
marché, en moins de trois mois. Cet-
te représentation qui suffisait, toute
seul e, à assurer largement son exis-
tence» et celle ries siens;, ne produi-
lait diminuant chaque jour.
Néanmoins, Gérard continuait à
sauver la face.
C'était un homme de trente-quatre
ans, grand, robuste et élégant d'allu-
']re et de manières. II portait depuis la
^guerre, le ruban de la Légion d'Hbn-
b'neuir et il fréquentait les milieux
'¦sportifs où il jouissait d'une enviable
2 notoriété.
II était, en effet, un boxeur et un
leveur de poids inégalé et un joueur
de tennis connu. A maintes reprises,
il avait représenté la France dans
des compétitions internationales et
dans des sports très variés. Il n'a-
vait rien du spécialiste. L'équitation,
le rowing, l'escrime, la course à pied
lui étaient également familiers.
Intelligent et spirituel, les jour-
naux spéciaux accueillaient et insé-
raient en bonne place les articles
sportifs qu'il écrivait pour eux. Mais
ils ne songeaient pas à lui offrir de
rétribution, Gérard étant considéré
comme un gentleman et comme un
très pur amateur.
C'est ainsi que, sans en faire la
confidence à personne, Gérard Beau-
mont avait lentement glissé sur la
pente qui conduit aux expédients, par
le chemin de l'impécuniosité.
D en était là et sa conscience, na-
guère intransigeante ne faisait en-
tendre nulle protestation, pendant
qu'il songeait * à s'approprier les
vingt-cinq mille francs de provenan-
ce inconnue.
Quelle DOHvait être l'origine de cet-
re boite aux lettres venue ? C'était la le francs tendu par Gérard, le froissa
supposition la plus admissible. distraitement, le plaça dans un com-
Alors, u'existait-il pas, dans un partiment sur une pile d'autres gros-
dossier ou dans le portefeuille de ses coupures et lui rendit huit cent
quelqu'un la liste des numéros des cinquante francs, le plus naturelle-
bank-notes ? ment du monde.
C'était, sinon probable, du moins Quelques minutes après, Gérard se
fort possible et Gérard se mit à retrouvait dans la rue» Malgré la
chercher le moyen le plus sûr d'é- froide bise d'automne, son front
»
changer un des gros billets contre ruisselait de sueur.
des coupures moins importantes. Il Dans les jours qui suivirent et par
hésita. des moyens différents , parmi les-
S'adresserait-il à la caisse d'une quels se plaça un voyage dans le
banque, pour demander de la mon- Midi, Gérard se démunit de dix au-
naie ? Oui, mais si les billets étaient tres billets de mille francs.
faux.... Il ne commit pas ensuite Hmpru-
Cette pensée le fit frissonner. dence de payer à caisse ouverte les
Dans sa chambre où il était re- dettes qu 'il avait accumulées. Il ne
tourné, sitôt le déjeuner fini, il exa- distribua que de maigres acomptes
mina, l'un après l'autre, les précieu- aux créanciers les plus pressants,
ses vignettes. Le grai n du papier, la
donnant l'impression que, pour ce
netteté de l'impression lui parurent faire, il se saignait aux quatre mem-
de bon aloi. Tout de même, mieux bres.
valait ne pas soumettre un de ces
Il croyait avoir toutes les raisons
billets aux doigts exercés d'un cais- possibles d'être tranquille. Cepen-
sier de banque. dant, une sourde angoisse lui res-
H opta pour un grand magasin tait.- Remords, ou pressentiment ?...
dont les nombreuses caisses, il l'a-
Un matin, le courrier apporta à
vait remarqué, étaient disposées à Gérard une lettre.
son avantage. C'étaient de véritables
cages et l'employé placé à l'inté-
rieur ne pouvait ni voir la figure
des clients, ni, par conséquent, les
reconnaître plus tard.
Il était trois heures de l'après-mi- (A SUIVBE.)
di. Une foule d'acheteurs assiégeait
les rayons.
Gérard entra et fit l'acquisition
d'un parapluie marqué cent cin-
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cltas, Neuchâtel. P 1207 N Le recteur.
Les affaires Outric
La commission parlementaire
entend de nouveau ML lï erger
PARIS, 31 (Havas). — Ce matin ,
la commission d'enquête a entendu
M. Berger , pour la quatrième fois,
sur les bons de caisse à initiales. Ses
réponses ont été une fois de plus né-
gatives. Il n'a fait que confirmer les
noms déjà identifiés.
Il a exposé les démarches qu'il a
faites avec Oustric, les 5 et 6 novem-
bre, au ministère des finances pour
obtenir le renflouement de la ban-
que. Il y a vu M. Escalier, directeur
du mouvement des fonds , chargé par
M. Paul Reynaud, de suivre l'affaire.
M. Escalier lui fit savoir, après avoir
procédé à diverses consultations tech-
niques, qu 'il n 'y avait plus rien à
faire. Selon M. Berger, il aurait suf-
fi de 8 à 10 millions pour sauvegar-
der alors les intérêts de la petite
épargne. D'après M. Berger, la plain-
te contre X aurait été faite pour sau-
ver la banque Oustric et dépister les
adversaires.
M. Raoul Péret proteste
« JIY <><: Indignation »
PARIS, 2 (Havas). — Le «Figaro»
avait déclaré que, dans l'affaire de
la Snia, l'influence du secrétariat
particulier de M. Raoul Péret avait
paru déterminante sur le ministre.
Le journal ajoutait que M. Péret
avait pour chef de son secrétariat
particulier sa propre fille qui avait
un compte à la banque Oustric.
M. Péret , dans une lettre adressée
au directeur du « Figaro », proteste
avec indignation contre cette infor-
mation et souligne notamment que
sa fille, alors âgée de 18 ans, était
attachée à son secrétariat personnel
sans aucun titre et que son compte
a été ouvert plus d'un an après l'in-
troduction de la Snia sur un verse-
ment de 1250 francs et qu'il n 'a ja-
mais été crédité depuis ce jour d'une
somme quelconque.
Les condamnés de Ménémen
Le principal inculpé meurt
en prison
STAMBOUL, 1er (Havas). — Cheik
Essad , chef de la secte des « Makce-
hendis », principal inculpé dans la
tentative réactionnaire de Menemen ,
qui est nonagénaire et dont la santé
déjà compromise a été aggravée par
son séjour en prison , est décédé sa-
medi matin à l'aube, immédiatement
après avoir reçu communication de
la sentence de la peine capitale ren-
due contre 37 inculpés, dont 5, en
raison de leur grand âge . verront
cette peine commuée en celle de la
détention perpétuelle.
Un second décès
ANKARA, 1er (Havas). — Un deu-
xième inculpé dans l'affaire de Me-
nemen vient de mourir. Il a succom-
bé à une crise cardiaque.
Deux élections législatives
ïomalémentaires en Franc
CERET (Pyrénées-Orientales), 2
(Havas). — Dans l'arrondissement
de Céret, ont obtenu : MM. Joseph rant de l'été, une ligne d'autobus se-
Parayre, avoué, conseiller général so- ra établie entre Paris et Berlin, à
cialiste S. F. I. O., 8531 voix, élu ; No- l'occasion de l'exposition coloniale
gares, républicain socialiste, 3816 de Paris et de l'exposition de cons-
voix ; Calas, communiste, 725 voix. truction de Berlin. Il est aussi ques-
Il s'agissait de remplacer M. Pierre tio- d'établir une communication par
Rameil. républicain socialiste élu sé- autobus de Berlin à Varsovie. De
nateur.
CLERMONT-FERRAND , 2 (Havas). avec Paris par une ligne d'autobus.
— Dans la circonscription d'Ambert,
ont obtenu : MM. Genebrier, ancien
préfet , raaical socialiste , 6304 voix,
élu. Courtâil, républicain de gauche, (BAYERIJ^fj»3 iTTJ |l T
5593 voix : Chevalier, indépendant ,
53 voix. 11 s'agissait de remplacer M.
Chassaing, élu sénateur, radical so-
cialiste.
Keviie de la presse
Les ennuis des républicains
à Washington
A côté de la lutte déclarée entre
le Sénat des Et ats-Unis et le pré-
sident Hoover au sujet des subven-
tions, il y a la question de la pro-
hibition des boissons alcooliques.
Dans la Gazette de Lausanne, M.
Maurice Muret y insiste :
Les secs ont incontestablement
subi une écrasante défaite aux élec-
tions de novembre dernier , ce qui
ne veut pas dire, du reste, que la
sécheresse soit d'ores et déjà con-
damnée ; mais le sénateur républi-
cain Fess s'est montré bien mal
avisé en choisissant ce moment pour
lier la cause de son parti et celle du
président de l'Union avec le dra-
peau de la sécheresse. Les séna-
teurs républicains, qui redoutent de
voir la prochaine élection prési-
dentielle se livrer sur la plate-forme
« prohibition ou non prohibition »,
en veulent à mort a la Maison
blanche de sa poliiique en cette
affaire. C'est , d'ailleurs, un des pro-
blèmes les plus embrouillés du mo-
ment , répétons-le, que ce problème
du 18me amendement et les per-
sonnes qui , sous l'empire d'idées
généreuses, publient sur ce sujet
des études ou tous les aspects de la
question ne sont pas envisagées fe-
raient bien de lire le rapport récent
de la « Commission on law obser-
vance and enforcement». Favorables,
en principe et par principe, au
maintien du régime sec, les mem-
bres de cette commission n 'en cons-
tatent pas moins qu 'elle entraîne de
répugnantes conséquences, entre
autres de mettre aux mains des
« classes criminelles » d'énormes
revenus évalués à 3 milliards de
dollars par an et dont elles font un
abominable usage. Le mépris des
lois qui s'insialle aux Etats-Unis ,
ce mépris à l'égard de toutes les
lois, sentiment qui a commence
avec l'inobservance systématique
de la loi Volstead , est un sentiment
blâmable et dangereux. Vraiment ,
L'Inde discute les propo-
sitions de la Table-Ronde
Les conditions du congrès
ALLAHABAD, 2 (Hav.). — Les chefs
du congrès indien se sont réunis di-
Le séisme de Goritza
Aucune maison n'est plus
debout
TIRANA, 1er (Havas). — A la
suite du séisme de Goritza, aucune
DéPêCHES DE S HEURES
maison n'est indemne. 12 autres se-
manche mati.i. Il ressort des discus-
sions que le congrès est prêt à par-
cousses, dont trois fortes, se sont
succédées. La population n'ose pas
Une luge sous un camion La grande activité da Le séisme albanais
De nouvelles secousses
ticiper aux négociations pour la paix
aux conditions déjà énoncées, c'est-
rentrer dans les maisons et reste
abritée sous des tentes, baraques et
Denx tués et deux blessés
-GLEIDORF (Westphalie), 2
l'union balkanique augmentent les dégâts
à-dire : amnistie générale des pri- abris improvisés dans les j ardins et L'idée gagne du terrain -GORITZA, 2 (Havas). — Entre 3
son..!;rs politiques, autorisation des (Wolff) . — Dimanche matin, à Mes- et 4 heures du matin , de nouvelles
places ouvertes. Les dégâts maté- chede, non loin de Gleidorf, une luge SALONIQUE , 1er. — Le conseil secousses ont causé des dégâts dans
manifestations pacifiques de boycot- riels atteindront quelques millions de la conférence balkani que s'est
tage et de violation de la loi sur la montée par quatre enfants a été at- les quartiers qui avaient été relative'-
de francs or. La commission gou- teinte par un camion automobile. réuni à Salonique pou r prendre
gabelle. vernementale fait tout son possible connaissance du compte-rendu sur ment épargnés par les précédentes
L'impression est qu'à moins que ces pour répondre aux besoi ns des si- Deux . enfants ont été tués et deux secousses. La pluie et la neige aug-
autres grièvement blessés. l'activité des délégations nationales mentent les souffrances de la popu»
conditions ne soient acceptées, il n 'y nistrés. et préparer l'ordre du jour de la
a aucun espoir d'accord. On déclare prochaine conférence qui devra se lation.
également qu'il ne sera mis fin à la réunir à Conslantinop le. Le _ com- Le gouvernement a mis à dispos!»
campagne de désobéissance civile Après 1 accident qui a coûté L'Amérique sèche muniqué officiel publié après la tion un crédit de 60,000 francs-or
que lorsque le comité exécutif le dé- pour les besoins urgents. Toute la
cidera.
la vie à Lundborg Déconverte d'une grosse installation
première séance constate que l'idée
nation albanaise a été invitée de con-
de l'union balkanique gagne promp- tribuer à l'aide aux sinistrés. Les
On demande nne sévère enquête de distillerie tement du terrain dans les peup les
Une conférence qui parait commerçants demandent la remise
devoir être Importante STOCKHOLM, 31 (Havas). — L'ac- -NEW-YORK, 2 (Havas). — Les balkani ques et que les gouverne- des paiements à courte échéance ain-
cident dans lequel le plus célèbre agents de la prohibition ont saisi ments de six Etats ba lkani ques ma-
BOMBAY, 2 (Havas). — Il est nifestent des dispositions favora- si qu 'une réduction des créances
possible que des décisions intéres- des aviateurs suédois, le capitaine hier à Elmira, dans l'Etat de New- étrangères.
Lundborg a trouvé la mort, a causé York, un matériel de distillerie éva- bles à l'œuvre et aux buts de la con-
santes pour l'avenir des Indes soient férence.
une très vive impression: La plupart lué à un million de dollars. Cinq per-
prises la semaine prochaine , Gan-
dhi a convoqué pour le 7 coura nt des journaux ont exigé une enquête sonnes ont été arrêtées. Prochaines et nombreuses Mort du duc de Vendôme
une conférence à laquelle participe- et critiquent les services de l'admi- conférences CANNES , 1er. - Le duc de Vendô.
nistration militaire. Le gouvernement me est mort dimanche matin à Can-
ront le comité exécutif du congrès, Un incendie ravage une -SALONIQUE, 2 (Havas). — La
plusieurs des hautes personnalités a nommé une commission de cinq ex- conférence du conseil de l'Union bal- nes.
déléguées à la conférence de la Ta- perts, présidée par le professeur de ville yougoslave kanique a décidé de convoquer di- Fils du duc d'Alençon , mort en
ble ron de et des représentants du droit Fehr. L'enquête portera sur les verses conférences : ouvrière, • en 18D7, petit-fils du comte d'Eu , arriè-
monde des affaires. La conférer** méthodes d'acquisition du matériel ISTIP (Yougoslavie), 1er (Havas) . Yougoslavie; communale, en Alba- re-petit-fils du duc de Nemours, fils
et sur toutes les questions se ratta- — Un incendie, qui a pris rapide- nie; banquaire et commerciale, en du roi Louis-Philippe , Philippe-Em-
doit examiner le projet de conven-
tion élaboré à Londres. chant à l'administration des servi- ment des proportions considérables a Grèce; agraire, en Bulgarie, et rap- manuel-Maximilien-Marie-Eudes , duc
La libération de Gandhi semble ces aériens. éclaté cette nuit à l'hôtel de ville. Le prochement intellectuel , en Rouma- de Vendôme et d'Alençon . était né à
avoir donné un regain d'activité aux Les journaux « Arbetet » et « Svens- feu s'est propagé aux immeubles voi- nie. Les représentants de la Bulgarie Obermais, près de Mcran . le 18 jan-
manifestations de non-coopération. ka Tagbladet » parlent d'une certai- sins. Trois de ceux-ci, où étaient ins- ont insisté pour la discussion de la vier 1872. Bailli honoraire et grand-
Gandhi a dit que la continuation ne complaisance des services aériens tallés un café-restaurant , une banque question des minorités à la prochai- croix de l'ordre de Malte , chevalier
des mesures de répression enlève envers une fabrique qui a livré l'a- et un établissement de bains, ont été ne conférence à Stamboul. de l'ordre espagnol de la Toison d'Or,
toute valeur au geste qu 'a fait le vion incriminé. Cet appareil avait en- complètement détruits. Les dégâts il avait épousé à Bruxelles, le 12 fé-
gouvernement. tre autres défauts de trop grandes sont évalués à plusieurs millions. On vrier 1890, Henriette , princesse de
vibrations, qui auraient provoqué ne signale aucune victime. Un attentat contre un direct Belgique, sœur du roi Albert.
l'accident qui a causé la mort de
Deux ministres socialistes
Lundborg. Un navire en détresse autrichien échoue
exclus de leur parti
PARIS, 31 (Havas) . — La commis- au large de Liverpool VIENNE , 1er (Wolff). — Des in- Le raid transatl antique
Une banque française connus ont fixé sur le rail gauche
du « Do-X »
sion administrative du parti socia- MARSEILLE, 1er (Havas). — Un de la ligne de chemin de fer de
liste français vient d'exclure MM. Ma- suspend ses paiements radio a été émis ce matin à 2 h. 20 l'ouest, entre Rekawinkl et Ncu- Le départ est pour aujourd'hui
rio Roustan . sénateur, et Charles Po- lengbach , un vieux raii, qui a pro-
Elle avait un nom prédestiné par une station anglaise de T. S. F., -MADRID, 2 (Havas) . — Le < Do
maret, député, entrés dans le cabinet signalant la détresse du vapeur espa- voqué le déraillement d un essieu X » a remis son départ à lundi par
Laval, malgré l'ordre du jour adop- VERNON (Eure), 2 (Havas). - de la locomotive du direct de Pas-
La banque Cercueil , dont le siège so gnol « Urihitarte », jeté à la côte dans suite du mauvais fonctionnement d'un
té par le groupe le 27 janvier. les parages de Liverpool. A 4 heures, sau. Personne n 'a été blessé et au- moteur.
cial se trouve à Mantes en Seine-et
Oise, a suspendu ses paiements. un second radio faisait connaître que cun dommage n 'a été constaté. On
n'a retrouvé aucune trace des mal-
l'« Urubitarte » était ancré. Deux pauvres vieux brûlent
ETRANGER
faiteurs. Comme le train transpor-
Trois cadavres d'alpins sont retirés Les contrats de salaires sont tait d'importantes sommes d'argent dans leur masure
destinées notamment au payement
de la neige ALLENSTEIN (Prusse orientale),
dénoncés dans la Sarre de sa'aire, on suppose que les
1er (Wolff) . — L'ancienne forge du
Plus escroc que banquier, corps BARDONNECHE, 1er. — Trois
de soldats italiens ensevelis SARREBRUCK , 1er (Havas). —
malandrins comptaient pouvoir s'en
emparer p endant le remue-ménage village de Plautzig, près d'Allenstein,
un Suisse est condamné par ont pu être retirés de la masse de Par précaution , la direction des mi- devant suivre le déraillement. qui était habitée par un indigent
neige. Les travaux de recherche con- nes domaniales françaises de la Sar- nommé Lischewski, 88 ans, et sa
défaut en France tinuent. Des soldats alpins y partici- re a dénoncé le contrat des salaires Des collisions entre femme de 77 ans, a été complète-
PARIS, 1er. — Le tribunal correc- pent avec des skieurs. La zone est en conclu avec les organisations des mi- ment détruite par un incendie du-
tionnel de Bonneville a condamné outre survolée par des aéroplanes. neurs. Des négociations pour l'élabo- communistes et nationalistes rant la nuit de samedi à dimanche.
ration d'un nouveau contrat commen- Les cadavres des deux pauvres vieux
par défaut , le Suisse Marius Colom- II rentre riche d'Amérique Le sang a de nouveau coulé ont été retrouvés sous les décom-
bey, directeur du comptoir d'escomp- ceront mardi.
pour tuer sa femme BERLIN, 2 (C. N. B.). — Au cours bres.
te de Chamonix, à six mois de pri- BARI, 1er. — Un nommé Guno, 53 d'une collision qui s'est produite en-
son. Ce financier, qui fait l'objet de ans, rentré d'Amérique où il avait Un des pionniers de tre nationalistes et communisles La police égyptienne
plusieurs plaintes, a disparu laissant beaucoup travaillé et gagné une cer- l'aviation se tue un de ces derniers a été tué.
un passif d'environ un million de taine fortune, apprit que sa femme NAGOLD (Wurtemberg, 2 (Wolff). empêche la publication
francs français. Les victimes appar- avait quitté ses sept enfants pour al- CHICAGO, 2 (Havajs). — M. Ed- — Après une réunion communiste ,
tiennent pou r la plupart à la région ler vivre avec un amant. Après une ward Heath , un des pionniers de l'a- une bagarre a éclaté entre commu- d'un journal libéral
de Chamonix, Mégève et Saint-Ger- dispute avec elle, il la tua ainsi que viation , qui avait créé un type d'a- nistes et nationaux socialistes. Des LE CAIRE, 2 (Havas) . — La poli-
vais. Un mandat d'arrêt a été décer- ses beaux-parents. vipn léger, a été tué dimanche après- coups de feu ont été tirés ; 21 natio- ce a empêché la publication d'un
né contre lui par le juge d'instruc- midi dans la banlieue de Chicago, naux socialistes ont été blessés, dont nouveau journal hebdomadaire que
tion de Bonneville. sous la triple in- Di Giovanni est fusillé l'avion qu'il montait s'étant écrasé 8 grièvement. Six communistes ont le parti libéral cherchait à publier
culpation d'abus de confiance, es- BUENOS-AYRES, 1er (Havas). - sur le sol par suite, semble-t-il, d'u- été arrêtes. La police a saisi des re- pour remplacer l'organe libéral ré-
croqueries et d'émission de chèques Le terroriste di Giovanni a été fusil ne panne de moteur. volvers et divers autres armes. cemment supprimé.
sans provision. lé.
L'Europe en autobus Les sports ve très réussie. La course de fonds
Carnet du jour
Nouvelles suisses
de samedi a été courue dans une nei-
VA: OVIE, 1er. — Dans le cou- ge un peu humide dans le fond de
SKI notre vallon , mais excellente sur les
hauteurs du parcours. Théâtre : Après la rafle.
Atteint par le rapide, Les concours de Sainte-Croix étéLes manifestations de dimanche ont Apollo : Accusée... levez-vous.
suivies par un très nombreux pu- Palace : L'incendie du grand opéra.
un aiguilleur est tué Samedi et dimanche, à Sainte- blic. Bien que coïncidant avec le Pour une Donne
GENEVE, 2. — Un aiguilleur, Paul Croix , par un temps superbe, avec grand concours de Sainte-Croix, qui
cette façon, Varsovie serait re^'ée
Noverraz, en remplacement à Sati- un grand concours de spectateurs, enleva certes quelques inscriptions
se sont disputé les concours de ski intéressantes, de belles performances
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gi.;-, a été atteint dimanche entre du Jura , qui réunissent les meilleurs ont été réalisées. MOBcnH?, CONFORTAB 'E , CHAUFFÉE
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skieurs des clubs jurassiens. Voici Honneur aux consciencieux organi-
nève-Bo. deaux. Son cadavre a été les premiers résultats : sateurs et aux vaillants coureurs. Garage HirondeSSe S.A.
retrouvé à 120 mètres du point du
COURSE DE FOND. — Seniors I 15, Rue rî'i Vart&"e s'ervïce de nuit
choc. Il était horriblement déchi- Classement général : L
queté. Le malheureux, qui était âgé ( parcours 18 km.) : 1. René Accola,
J de 38 ans, avait voulu se garer d'un
1. GaiUe Emile, Travers ; 2. Borel
la Chaux-de-Fonds, 1 h. 16' 37" ; 2. Emile, Couvet ; 3. Jeanneret Augus- Emissions radiophoniques
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jrss^ asWM train de marchandises qui croisait Adrien Chatelan, Bienne, 1 h. 23' te, Travers ; 4. Jeanneret Pierre, d'aujourd'hui lundi
I L l apide et qu'il n'avait pas entendu 24". — Seniors II : 1. Bené Favre, (Extrait du Journal < Le Radio »)
arriver. Il laisse une femme et deux Bienne, 1 h. ?4' 55" ; 2. Achille Fa- Travers ; 5. Zimmermann Marti n ,
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III : 1. William Gaillard , Sainte- 7. Thiébaud James, Travers ; 8.
Kohler Marcel, Bullet ; 9. Gaillard Concert. 16 h. 50, Pour les enfants 19 h.
Croix , 1 h. 24' 46" ; 2. Fritz Peter, Alfred, 02 , Musique variée. 20 h. et 20 h. 15, Or-
Un side-car contre un réverbère la Chaux-de-Fonds 1 h. 27' 01". Bullet ; 10. Jeanneret Ber- chestre de la Suisse romande. 22 h. 10,
deux blessés Interclubs. — 1. Ski-Club, Bien- nard , Travers. < Chronique littéraire.
GENEVE, 1er. — Sur la route de ne, 4 h. 14' 34" ; 2. Sainte-Croix ; Nous publierons demain les ré- Zurich : 12 h. 33 et 13 h., Orchestre
sultats détaillés. de la station. 16 h., Concert. 19 h. 33,
quand on a lu ce rapport officiel, Vern ier (Genève), un side-car, piloté 3. Brassus. Causerie. 21 h., Piano.
on ne peut se défendre de croire par M. F. Martin , 42 ans, Vaudois, Juniors (Parcours 8 km.) : Ju- Berne : 15 h. 56, Heure de l'observatoi-
que la prohibition n'a pas été cette accompagné de son beau-fils, M. Cor- niors A : 1. Paul Peter, la Chaux- I»e deuxième avion-ski re de Neuchâtel. 16 h. et 22 h. 25, Con-
cert. 19 h., Causerie musicale. 19 h. 80,
institution moralisatrice préconisée box , a été, probablement par suite de de-Fonds, 35' 19" ; 2. André Cattin , de Saint-Cergues Conférence.
par ses partisans de la première la trop grande vitesse, projeté contre St-Imier, 35' 33". — Juniors B : 1.
Cette épreuve disputée dimanche Munich : 16 h. 25, Concert. 19 h. 80,
heure. un réverbère dont le fût a été arra- Peter-Balmer, Bienne, 21' 17" ; 2. Orchestre de la station. 21 h. 20, Musi-
ché. M. Martin a été grièvement bles- Willy Bernath, la Chaux-de-Fonds, a eu un plein succès. Le capitaine que de chambre.
21' 37". Weber avait lancé le matin , dans le LaiiKenberg : 17 h. et 20 h. 05, Concert.
L 'alliance Macdonald- sé à la tête. Son compagnon s'en tire secteur réservé au concours , 52 ban- Berlin : 16 h. 30 et 21 h. 10, Concert.
avec des blessures légères. SAUTS. — Seniors 1: 1. Albert derolles. Le jury a décidé , malgré 19 h., Orchestre. 20 h. 30, Variétés.
Lloyd George M. Bianchi n'est pas encore Leuba, Sainte-Croix, 335,1 p. ; 2. le brouillard , de donner le départ Londres (Programme national) : 13 h..
Arnold Buhler, Sainte-Croix, 321,1 aux coureurs. Orgue. 14 h. 15, Orchestre. 17 h. 15, Con-
De Figaro : hors de danger p. ; 3. Bené Morard , Sainte-Croix , cert. 19 h. 40 . Sonates de Beethoven. 20
Les gros insuccès qu'a rempor- ZURICH, 1er. — L'état du consul 304,7 p. — Seniors II : 1. Jean Las- Concours de patrouilles : 1. Ski- h. 45 , Vaudeville.
Vienne : 15 h. 20, Orchestre. 19 h. 35,
tés le gouvernement travailliste en général d'Italie, M. Bianchi, doit être sueur, Sainte-Croix, 330,8 p. ; 2. Da- Club Arzier, 11 banderolles ; 2. La Concert. 20 h., Théâtre.
politique étrangère, son échec com- considéré comme satisfaisant. Le pa- vid Reymond, le Brassus, 263,4 p. Persévérance, Genève , 8 ; 3. Eclai- Paris : 13 h., Causerie médicale. 13 h.
plet dans la lutte contre le chômage tient n'est cependant pas encore hors Juniors A : Will y Hauswirtn, reurs, Sainl-Cergues, 4 ; 4. L'Arolle, 30 , 16 h. 45, 21 h ., 21 h. 45 et 22 h. 30,
et le développement de la crise éco- de danger. Les médecins font remar- Sainte-Croix, 273,6 p. ; 2. André Genève, 2 ; 5. Ski-Club, Saint-Cer- Concert. 20 h.. Chronique cinématogra-
phique. 20 h. 10, Causerie sur Baudelaire.
nomique ont amené, en Grande- quer que des complications tardives Cattin , la Chaux-de-Fonds, 269,4 p. gues, 2 ; 6. L'aviron , Nyon , 1. Milan : 12 h. 15, 19 h. 30 et 20 h. 30,
Bretagne, un revirement d'opinion. peuvent encore se produire. ¦
^ Juniors B. : 1. Francis Reymond , Musique variée. 21 h., Concert. 22 h., Co-
Concours de la garnison médie.
A divers indices — notamment de Sainte-Croix , 295,1 p. ; 2. Emile Ga- de Saint-Maurice
nombreuses élections partielles — Un instituteur qui va mal ! cond, Sainte-Croix, 290,9 p. — Rome : 17 h. 30, Piano. 20 h. 40, Opé-
on a constaté que le Labour Party Le tribunal cantonal de Soleure a Meilleur saut: Jean Lassueur, Sain- Samedi ont eu lieu à Bretaye les rette.
avait perdu des voix au profit des condamné, pour escroquerie, faux et te-Croix, 114 p Plus long saut : concours de patrouilles de la garni-
Arnold Buhler, Sainte-Croix, 56 son de Saint-Maurice; qui se sont
Finance - Commerce - Industrie
conservateurs. Il est probable que de faillite frauduleuse, Edouard Die-
nouvelles élections seraient favora- poldswiller, instituteur à Derendin- mètres. disputés par un beau temps. Voici
bles à M. Stanley Baldwin. gen , à 2 ans et demi de prison et à les meilleurs résultats :
Or le parti libéral , et notamment 3 ans de p?rte des droits civiques. Le concours de Couvet Elite : 1. Garde des forts, Dailly, Bourse de Genève du 31 janvier
M. Lloyd George, qui ne peuvent Diepoldswiller avait réussi à obte- 1 h. 22' 35" ; 2. Gr. can. Ids 9, 1 h. Les chaires seuls Indiquent œs prix faits
guère espérer redevenir les maîtres nir d'une trentaine de personnes des (Corr.) Réussir un concours de 26' 20" ; 3. Gr. art. auto 1, 1 h. 28' m =• prix moyen entre offre et demande
de la situation , préfèrent subir un prêts en donnant de fausses indica- skis en notre région est certes chose 35" ; 4. Gr. art. fort. 2, 1 h. 33' 17"; d - demande o = offre
cabinet travailliste qu'ils ont la tions, il a commis des faux en écri- malaisée : Grâce aux efforts persévé- 5. Garde des forts Dailly, 1 h. 40' ACTIONS OBLIGATIOHo
rants de notre « Ski-Club » nouveau- 13". Banq. Hat Suisse 615.— 4 '/i" .Ri, 1827 —.—
chance de pouvoir contrôler, que de tures et a gaspillé en peu de temps d Esc. . 790.—
voir le retour des conservateurs qui environ 90 mille francs. né et aussi aux conditions atmosphé- Landwehr : 1. Bat. inf. mont. 105, Conutoir
Crédit Suisse. . .
3'/. Rente suisso —.—
! 3 •/, Différé pn — m
les étoufferaient complètement. riques très favorables, nous venons 1 h. 32' 45" ; 2. Bat. inf. mont. 105, Soc. de Banque S. 854.50 3 '/, On. féd. A. K. 96.— m
Cambriolage manque d'assister à une manifestation sporti- 1 h. 33' 34". Union fh. nenfV. - — .M Chem. Fco Suisse 4 i à . —
Alors, direz-vou s, cette situation Gin. él. Genève B. 485.— 3 •/. Jouqne-Eclé. ' " '
immorale peut se prolonger encore GENEVE, 31. — Des inconnus ont Franco-Suis.élec 506.— 3 '/> »/o JuraSIm. 92.50
longtemps ? Evidemment, tant que pénétré cette nuit sans effraction » » priv. 533.— 3»/ 0 Oen. è Ma 119.— ex
le pacte diabolique conclu entre dans les bureaux des ateliers métal-
WÊÊÊÊÊ..^mCaméu $onure —man ""' 50 *»/» G:nev .1B99 — • —
Mot r Colcmbus .
Ital.-Arçent. tlec. 260.— 3°/ 0 Frlb. 1903 —• —
M. Macdonald et M. Lloyd George lurgiques des Charmilles. Ils se sont Royal Dutch . . . u-4.— 7»/ 0 Bel ge. . . .1157.50 m
durera , il n'y a pas de raisons pour attaqués à un coffre-fort qui toute-
¦MONSIEUR
Indus, gène», ga: 765.— 5»/ 0 V. Gan. 1919 —.—
qu'elle ait une fin. Les conservateurs fois a résisté de sorte que les ma- H Dès mercredi 4- février Gai Ma'seille . . —•— 4«/„ Lausanne. . —.—
LE FOX !
peuvent, sans répit , multiplier leurs landrins ont dû repartir les mains Eaux lyon. raplt — .— 5"/ « Bolivla Ray 178.— m
assauts. A moins que le libéral et le vides. Mines Bor. ordon.
folls charbonna .
662.50 m
W
Danube Save. . . 65.75
7 °/oCh. Franç.2B
travailliste soient vomis par leurs Un acte de probité fri'»" '" c '70/ o Ch. f. Marorll42 .50 m
propres partis , on risqu e de voir, ROMONT, 30. — Les enfants de M.
Nestlé 685.50 1»/0 Par.-Orléam
en Angleterre, M. Macdonald diri- Placide Morel, à Mézières, trouvèrent naoutch-uc S.fln. 19.75 I» 0 Argent céd. 71 _
ger les affaires publiques et M. l'autre jour un portefeuille contenant S -lOO °/ 0 parlant français Allumet. suéd. B 2b,. - Cr. f. d'Eq. 1903 W—
Hlsp'nobons6»/o 365.—
Lloyd George tirer les ficelles dans 200 francs en billets de banque. Le I Dans le rôle principal : André Lguet ex-vedette de la Comédie française '. 1
I* > fnlls c. bon. 494. —
les coulisses de Downing Street. père fit insérer une annonce à ce su- I avec Barbara Léonard et Georges Davis. Film parlant dépeignant le M Sauf Espagne 52.70 (—40 ), tous les 13
j et dans l'un des journaux de Ro- Hfl romantique Canada français, la vie des trappeurs et de la police montée. M changes sont en hausse notable : 28
I Ce film compte parmi les divertissements les plus saillants de la saison 9 (+ 1K). 25.13»/» (+l '/a ) . 5.17 ( </ „),
Manv fia lato malaise, congestions, mont. Le propriétaire vient d'être gjfi Le Cinéma des « Champs Elysées » à Paris, appartenant au « Petit ] 72.13 % (+2 /< , ) , 27.09 (+2), 2081!^ (++ 6 Q),
illdUA 116 ICir palpitations sont sou- identifié. C'est un citoyen de Man- MM Parisien » vient de faire l'ouverture de sa salle avec « Monsieur Le Fox » JK 123 ( + 11 K ) . 72.70 (+2 '/ ,) . 15.30 (+ 1 2)
vent la suite de pesanteur d'estomac que ies qui s'était rendu à la foire de Bo- I dont la brillante carrière continue actuellement. 138.57 >/, ( + 13%), 138.33 .% (+8 ^) .
combat l'emploi des pilules suisses du rnent 138.35 (+ 10). Bourse animée sur 52 ac-
pharmacien Rien. Brandt. La botte Fr 2.- pour rencontrer M. Morel avec tions cotées : 27 en hausse et seuiem<>nt
en vente dans toutes les pharmacies. lequel il avait une affaire à traiter. i en baisse.
 Samt-Gall-Arbon 2-1 ; Frauenfeld- supériorité db.s locaux est manifes- Coneordia bat Young-Boys que le gardien, firent une excellente
Le championnat suisse de football Amriswil 4-2 ; Winterthur-Schaff- te, aussi la défense montagnarde ,
house 4-4 ; Romanshorn-Bulach 4'0; continuellement sur les dents, ne
Rruhl-Voltheim renvoyé. peut empêcher Beiner, puis de Stu der
3à2
partie.
Racine : Vuilleumier; Henchoz,
Gervaz; Ronza , Zehnder , Burkhardt;
Les surprises continuent. de Strasser, Le terrain , rendu lourd et glissant
Classement 1er groupe :¦ Bluer s^ir centre marquer Lehmann, Abriani, Joseph, Grettler,
Stars 11 m., 13 p. ; Zurich 11 m ,* (¦deuxi;|iuts. par le soleil, oblige lés joueurs à Gutknècht,
13 p. ; Oarlikon 9 m., 12 p. ; Badea; i SJaïgjré ce score imposant , Etoile. des efforts considérables. Néanmoins, Lausanne ; Maurer ; Poli, Guibart ;
EN SUISSE ROMANDE I En deuxième ligue 9 m., 11 pu ; Lugano 8 m., . 9 , p.*; n?eo garde pas moins le jeu ouvert les moments palpitants ne manquè- Hunziker, Hart, Fivaz; Donizetti,
Suisse romande. —- Servette Young-Fellpws 8 m„ 7 p. ; Bellinzo-^ et ,,(*herchera en vain à mettre les rent pas, grâce à l'élan dont firent Rank , Ruosch, Struppler, Boschi.
Première lifru e
Forward 2-6 ; Carouge - Rençns, 3 no 5 m., 6 p. ; Seehach, lOïm^ .O p.; bois dé Scnnëider e'n danger. preuve les deux équipes. Pendant les
I.e premier derby local se 0 ; Jonction - Nyon 3-1 ; Villeneuve Juventus 9 m., 4 p. ; Lucerne 1 m., i Cinq; -minutes; '. ;àpres ^ ; la reprise, pi'éntîères minutés; Concordia, s'im-
termine ù l'ava ntage du l.an- Vevey, 0 - 2 ; La Tour - Montre.ux 2 p. ; Uster 2¦ m., 2 p. ¦¦-:;¦ Dietikon Bienne avaîf déjà àugmeul è son sco™ pose h ettemèht et à plusieurs , re-
saune-Sports. — I riîxmrir est renvoyé ; Concordia - Etoile 1 - 0 3 m., 1 p. ? ':•:¦ • • *' ¦ ' ¦¦ ~.: - re dé âéu^ buts. Lé .premier réalise prises on croit que ces efforts abou- Le football à l'étranger
eu ^AeHeuse posture. Etoile a Fleurier-Stade renvoyé ; Btacing-Fri Classement lime groupe. : Schaff- par ' 2îe$n,. lé secij cd sur ; penalty, tlroot à un " but. Là défense adverse LE SAMEDI ANGLAIS
été nettement battu pur Bien- bourg, renvoyé ? Couvet '- Central house 11 m., 16 p. ; Fraûenfeld 10 transformé, par Blyser. ', ¦ „ .. . ^ejstà son affaire.; ' '; ' ; ' _ ;
n «v renvoyé. ' ' ¦
-
. . . ' ' rà .,:l4":*i,; Wintexthàur 10 mï il3
; Enfin, à; là' , vingtième , minuté, sur ! I Sut échappées de Cfhris.téu Pùlver, Championnat Ire division : Arse-
^ nal \y Birmingham. 1-1. Aston Villa -
points ; TQSS 9 m.,j 12 p- ; Romafis- cbrnlw tiré par; Glasspi^, Hejlig re- seul en face dé, lui, sort de . ses bois, Middlesbrough 8--Ï.
Lausanne doit être particulièrement ' '
S à t -^ A Fribourg, Monthey bat CLASSEMEN T 1er GBQ VPB • '
] jprénd; j le la; tête et bat Schneider, mais à xiinq mét rés dés J&uts, ^mler- Blackburi» Re-
h,oBn 11 m.* 1 1,p. ;: SaintGall 10 tiap '
Fribourg S à 1. — A Bienne , Bienne Matchea Buts Rélégat. 8 p. '; Arbon ' 10 m.v ?• p;•%•> Welthéin* , n * reste' encore ' quelqu'ès minutes gauçhe .shoote à côté! d^ potéau. Le? vers .- Leieester renvoyé, BJackpool?
bat Etoile 7 à 1. 9' m.i J 5'p; i i"Bfiih.M0 m.ï 5' p. î -Am« sà '» j ouer *
; alor .s,v aue le pubUç. çr>jn; visitencs, «près un tâtonnement pro- Sunderland, 3-1. Chelsea - Liverpool
Lausanne dit être particulièrement Club» a. G. N. P. P. C. Pt» J. P. 3
riswit J m:;' 4 -p . ;' BuTactr2 viaft pn anence à; Se retirer, , . Studer , réussît' Je' longé, parviennent à créer plusieurs 2-2. Grimsby Tovvn - Manchester
septième but. ;' ., ' . ' '"., ' " ' . " .. .
fier du résultat obtenu hier ; un Montreux 8 7 1 0 35 14 15 1 2
échec» à l'occasion d' un premier con- Servette 10 6 1 3 81 17 13 3 4 , | Chez:. Bienne ,' toute \ l'équipe . ;a situations ^-
dangereuses.; sur une , pas Lnited 3-0. Huddersfield - Leeds
s'e de Volery, reprise par le centre- United 3-0. Manchester City - Der-
tact avec son rival local lui eut été Forward 8 5 0 3 17 13 10 1 2 fourni un beau jeu , mais plus spé- avant , Young Boys réussit le premier, by County 4-3. Newcastle - Bolton
particulièrement pénible. Le gros bé- La Tour
néfice de la journée résulte dans les Carouge
8 3 3 2 22 13 9 1 0
9 4
Les quarts de Anales cialemen,t la ligne, d'attaque. : but à la 30me minute. Le:gardien de Wanderers 4-0. Portsm outh - Shef-
Bans W< iç$tà çhaùx-de-fr>nniex\ Concordia , gêné: par ses coéquipiers, field United 2-3. Sheffield Wednes-
i 4 22 23 9 2 4
deux points acquis et qui doivent
augmenter l'assurance de Lausanne Villeneuve 9 1 3 5 10 18 5 2 2 de la Coupe suisse ce fut faible ; seul Probst , par son est impuissant à bloquer, la balle. day - West Ham 5-3.
travail , ainsi que Regazzoni , Heilig Cinq minutes plus tard , Young Boys EN ITALIE
pendant Iç second tour. Renens 10 2 1 7 15 34 5 3 1 et Matzi nger, ressortirent du lot. marque à nouveau , sur coup franc,
La victoire de Monthey est d'au- N yon 10 1 3 6 15 34 5 3 0 Championnat : Pro Patria - Am-
Grasshoppers, Lugano, tiré de 30 mètres. La balle, bien brosiana 1-1. Bologna - Pro Vexcelli
tant plus extraordinaire qu 'elle a été Jonction 3 2 — 1 8 8 4 3. 6
Urania et Chaux-de-Fonds
Grasshopners bat Biue-Star$ placée, frappe la barre, rebondit de- 3-0. Modena - Lazio 2-0. Juventus -
acquise sur le terrain de l'adversai- VeveySporfe 3 1 1 1 3 5 3 3 3
re ; or Fribourg, chez lui, est parti- C.A.ft.6enève 2 — 2 — 3 3 2 2 2 disputeront les demi-finale a l à 2 vant les pieds d'un Bernois qui la Livorno 4-1. Genova - Triestina 1-0.
pousse dans les filets.
culièrement tenace et les meilleurs : Mi-temps 2 à 1 Milan - Casal e 4-0. Alessandria - To-
Concordia ne s'avoue pas vaincu ;
ont déjà eu l'occasion d'en ' faire l'ex- Match»» Buts IMMgt Un sérieux échec de Cttnto* Six mille . spectateurs sout pré- bien conduites, ses attaques l'amè- rino 1-1. Roma - Brescia 3-0. Napo-
périence. Les locaux ont dû avoir Clubs nal. — hn revanche de CSi'ass- sents ; M. Pasehoud fonctionne com- li- Legnano 2-1.
hoppei's. — ' dîranges n'a pu me 1 arbitre. Ce fut pour Grasahop- nent souvent devant les buts adver-
J. G. N. P.P. C. Pts J. P.
hier une défaillance inexplicable, qui EN BELGIQUE
risque de leur porter un gros préju- Stade 7 S 0 2 35 14 10 1 Q résister à ï.nsano. pers l'occasion d'une belle revan- ses ; trop lent , Weber ne sait pas
dice. C'est en effet bien mal com- Gh.-de-Fonda 7 4 Q a 18 11 8 1 2 che, '
qui n apparut pas. nettement profiter des passes reçues des ailiers. Championnat : Royal Antwerp -
A Genève, Urania bat Cantonal
mencer le second tour que de. perdre Fribourg 7 3 2 2 11 15 8 — — 8 à 0 — A Zurich, Grashoppers bat au début, car Blue^SLars, pendant La ligne d'avants de Young Boys, Tubantia 5-1. Beerschot - Liersche S.
.
chez soi, contre Monthey. Concordia 8 4 0 4 13 13 8 1 2 Blue-Stars 7 à 2. — A Granges , Lu* lesr 20, première* minutes, dirigea les soutenue d'une façon aificace par Fas- K. 3-1. Daring Bruxelles - Berçhem
Quant à Bienne il a joué avec un Sylva Sports 7 3 1 823 20 7 opérations. sou surtout, en constitue le point 3-0, Union Saint-Gilloise -F. C 3vu-
gano bat Granges 4 à 1. fort. geois 1-4. C. S. Brugeois - Racing Ma-
tel entrain qu 'Etoile en a été totale- Couvet 7 3 1 3 13 24 7 Grasshoppers a le kick-off ; un
ment surclassé. Voilà les Biennois, à Lausanne, 7 1 2 4 13 2 5 4 Lausanne ayant battu Urania et corner tiré, par Adam est dégagé, A la reprise, Concordia se porte lines 2-0 F. C. Malines - Standard
égalité de points avec Carouge et 1 0 Cantonal ayant eu raison de Lau- puis Gobet attaque par la droite et immédiatement devant les bois ber- Liège 2-1, R. C, Montegnée - Ander-
Chaux-de-Fonds , mais avec un match Etoile 7 1 2 4 7 12 4 1 0 sanne, les Neuchâtelois étaient en centre, mais Springer tire à côté. nois. Laube à l'aile droite, tire au lecht 3-1. %¦
de plus à leur actif. Etoile fait un Racing 11 5 2 2 1 2 droit d'espérer , pour le moins, un; Un essai d'Abegglen III est dégagé but , Pulver sort et manque la balle,
EN FRANCE
bien mauvais début au second tour. Flenrier 1 1— — 2 1 2 1 2 résultat honorable à l'occasion de Ce par le gardien, A Ja Urne minuta, mais personne n'est là. A la 5me mi-
Matcries Buta Bjjjjgt Central 1 — — 4 2 5— 10 match décisif. Il n 'en fut rien , hélas! s,ur centre de Gobe t, Sprlnger s'é- nute enfin , les locaux obtiennent leur Championnat de Paris : Racing-
et Cantonal a été battu par un score ' chappe et bat Pasche. bix minutes premier but , sur centre repris par Cluh - Stade Français 4-3. U . S. Suis-
Clubs J. G. N. P.P. C. Pis J. P. Suisse centrale : C. S. Bienne- qui en dit long sur les moyens dont plus tard, Xam égalise, sur passe de l'inter-droit. Ce succès transforme se - Red Star/Olympique 0-4. Club
Urania 10 7 2 1 39 8 16 2 2 Young-Boys 1-4 ; Nidau-Berne, ren- dispose Urania. Ajoutons que si Kra- Fauguel. Dès lors Grasshoppers sera toute l'équipe qui, dès lors, prati- Français - C. A, XlVme 8-2. C, A. S.
Carouge 10 7 1 2 30 14 15 2 4 voyé ; Olten-AIhchwil 4-3 ; 01d T mer et Sekoulitsch ne figuraient nettement supérieur. Schlegel, en que un jeu plaisant et réussit à déso- G, - C, A. Paris 4-5. „ .,
Boys-Tavannes, renvoyé i Liestal- pas daus l'équipe genevoise, la ligne plongeant, retient un bel essai d'A- rienter les visiteurs. Partant à l'atta-
Ch-dg Fonds 10 7 1 2 32 12 15 2 2 Bâfe 3-0.
Bienne 11 7 4 3 35 16 15 3 8 d'attaque était singulièrement ren- begglen 111. que, Weber évite demis et arrières,
Classement 1er groupe. : Boujean par Ross, de retour de Pa-
Servette 10 5 0 5 26 20 10 2 2 8 m., 15 p.; Nidau 10 m., 12 p. ; forcée ris,
Blue Stars attaque à son tour et seul en face de Pulver, il n'a aucune
i'.i' Pasche dégage une balle dangereuse peine à le battre pour la seconde fois BOBSLEIGH
Etoile 9 3 1 5 13 28 7 l u Young-Boys 11 m., 12 p. ; Kickers A Zurich, Grasshoppers a vengé de Gobet. Fauguel centre à ras du à la 15me minute.
Cantonal 11 2 3 6 14 28 7 3 2 8 m., 11 p. ; Madretsch 10 m., 10 p.; l'échec que lui avait infligé Blue- sol, le ^gardien est pris de vitesse I>e championnat du monde
Lausanne 11 3 1 7 11 25 7 3 4 Victoria 9 m., 9 p. ; Bienne 11 m., Stars en championnat. Cette -revan* par Adam , qui n'a aucune peine à Sept minutes plus tard , Rriîchler
récidive de la même façon ; Je gar- Le championnat du monde de
Fribourg 9 0 2 7 9 42 2 1 0 7 p ; Minerva 2 m., 4 p. ; Cercle des che était prévue, mais on pensait marquer ; il y a 21 minutes que dien bernois, espérant parer le dan- bobsleigh à Oberhof (Allemagne ) a
Monthey 3 1 0 2 5 15 2 3 2 Sports 10 m., 2 p. ; Berne 1 m., généralement que BJue-Stars ne se-, l'on joue. Un but obtenu par Xam
Q p. ; Granges 2 m., 0 p. • mais inutile- commencé samedi avec une partici-
Racing 2 Q 0 2 6 14 0 2 0 rait battu que de peu, alors que sonj est annulé pour offside. Avant le re- ger, va à sa rencontre, pation de dix bobs. Les Luxembour-
Classement lime groupe r Lîestal adversaire lui a infligé, une sévères pos1; Grassi tire, au but, le gardien ment. Ce troisième but est suivi d'u- geois ont été éliminés au cours" de
11 m., 16 p. ; Olten 8 m., 15 p. ; De* -dèfaite— .—,» . ne attaque générale de Yoùng Boys ;
EN SUISSE CENTRALE lémont 10 m., 10 p.; Nordstern 9 —.-, ,—, concède un corner qui ne donne
Fasson et Grietisch surtout font l'im-
la première cqurse. t-W
^
'"Lugàhô s'est distingué à Granges
Première ligne m., 9 p. ; Old-Boys 8 m., 8 p. ; en gagnant de haute main ce match rien* Dès le début de la reprise, Abeg- possible pour égaliser, mais les lo-
La première équipe d'Allemagne
Alîschwil 10 m., 8 p. ; Tavannes 3 a battu le record de la piste avec
Une belle victoire ri".Varan. décisif , ce .qui lui vaudra l'honneur glen III shoote fortement ; fa balte caux se tiennent sur leur garde et 1' 52"8.
— Young Boys battu à Baie. m., 4 p. ; Bâte 9 m., 3 p, ; V. f. R. do disputer les demi-finales, qui frise, le poteau, ne laissent rien passer. Pendant les
— ï,e match Soleure-Old Boys 4 m., J p. ; Birsfelden 2 m., 0 p. Voici le classement, après Tes
nous promettent de belles parties. La défense de Blue Stars est dé- dernières minutes la fatigue se fait deux premières courses : 1. Allema-
a été renvoyé. Suisse orientale : Seebach-Baden Dans sa formation actuell e, Granges bordée. Adam se replie et marque sentir des deux côtés, aussi n'est-ce
A Lucern e, Aarau bat Lucerne 4 à 3-3 ; Juventus-Zuri ch 1-1 ; Lugano- ne pouvait faire mieux, car Lugano le No 3. A la douzième minute de plus à une partie bien coordonnée, gne I, 3' 48"5 ; 2. Suisse I, 3' 51"3;
1. — A Bâle, Concordia bat Young Blue-Stars 8-1 ; Uster - Bellinzone possède aujourd'hui un onze redou- belles combinaisons entre les inters, mais à des actions isolées et peu dan- 3. Allemagne II, 3* 51"7; 4. Autriche
Boys 3 à 2. se terminent par un shoot fou- gereuses que nous ' assistons- .. II , 3' 52"9; 5. Autriche I, 3' 54"8 ; 6.
13-3 ; Lucerne-Oerlikon renvoyé ; table. Suisse II, 3" 55"9.
La série des surprises causées par droyan t de Trell o, qui réussit ain-
Dimanche, l'équipe suisse Feier-
Lucerne est brusquement interrom-
pue ; Aarau a fourni hier un effort
si le quatrième but. Trois minutes
plus tard, le même joueur, en mar- Lausanne bat Racing 3 à I abend-Odenmatt, qui semblait avoir
méritoire dont il peut être fier. Ce
ne doit pas être facile, en effet , de
battre si nettement chez lui, un ad-
Comptes rendus des matcEtes elle un cinquième, sur coup franc
tiré à vingt mètres. nois,
Ce match, le premier derby lausan- toutes
s'est joué devant une nombreu- battu
BJue-Stars enfin tente une atta- ses affluence, sur un terrain recou- troisième manche en 1' 50" 7fl0, a
les chances ô"e succès, ayant
le record de la piste dans la
versaire de la valeur de Lucerne. que qui se termine en corner, mais vert d'une forte couche de neige qui fait une chute et a ainsi perdu tou-
G. S., malgré deux remplaçants, a. Pasche ne se laisse pas surprendre.
Concordia a droit aux remercie-
ments de ses collègues bâlois. La dé-
U. 6. S, bat Cantonal 8 à 0 fourni une partie remarquable.. Là Le No 6 est le résultat de belles a quelque peu nui à la qualité du jeu. final de cette épreuve : 1, Allemagne
tes ses chances. Voici le classement
Mi-temps 5 à 0 victoire de Cantonal sur Lausanne .a combi n aisons entre Xam et Adam Néanmoins le match a été sévèrement II, 7' 34" 2/ 10; 2. Allemagne I, 7' 35"
faite pour le moins inattendue de
Young Boys, consolide en effet sin- Décidément les Neuchâtelois n'ont stimulé l'équipe et tous les joueurs d'abord ; le ballon parvient à Fau- disputé » 3/10; 3. Autriche II, 7' 38" 1/10; 4.
gulièrement la place de leaders, pas de. chance à Genève et la sévère ont travaillé. guel qui le passe à Trellu ; Schle- Lausanne a bien mérité sa victoire, Autri che I, T 41" 1/10; 5. Suisse II,
qu'occupent avec le même nombre de défaite que vient de leur infliger U. Malgré ce lourd handicap, ' les Neu- grâce surtout à la meilleure facture T 40" 3/10; 6. Suisse I, 7' 50" 1/10.
gel est battu. Dès lors Gobeît joue-
points et de matches joués Nordstern G. S. est là pour le confirmer. châtelois ne se découragent pas et ra arrière mais il n'empêchera pas de son j eu. On peut toutefois repro-
et Bâle. Concordia dont la situation La défaite provient de la défense attaquent dès la reprise durant cinq Xam de clore la série en marquant cher à cette équipe, à ses avant en
paraissait désespérée l'an dernier, qui est beaucoup trop lente et hési- minutes. , ' .ï' • un septième but. Déjà le public se particulier, de trop fignoler devant PATINAGE
montre au second tour une énergie tante devant une attaque aussi forte U. G- S. se reprend et sera . sup èy retire, lorsque Rey, inter-gauc-e le but et d'abuser du dribbling. tes championnats d'Europe
toute nouvelle, que celle d'Urania. Feutz en parti- rieu.r durant toute la . secondé rai-., ajou te de la tête, un second but à Lausanne a surtout tait un excellent
culier, n 'a pas jo ué comme il l'aurail temps. Syrvet, qui fût aujourd'hui début. Gela lui valut un but fait pour dames et couples se sont ter-
Matches Buts Béli at l'actif de son club.
fait habituellement. Facchinetti et merveilleux, ajoute à la 8me inlhute
j Grasshoppers : Pasche ; Minelli, après quinze minutes de jeu par Do- minés sur le stade de Saint-Moritz,
Clubs J. O. N. P. P. C. Pti i. P. Kehrli sont trop nerveux et ne un sixième but. , ,. " Weiter II ; Weiler I, Neuenschwan- nizetti, son ailier droit , sur un mau- en présence d' une foule nombreuse.
Nordstern 11 8 0 3 33 11 16 3 4 jouent pas avec la réflexion de leurs Trois minutes après Wolfram; fait der, Regamey ; Adam , Abegglen M vais renvoi de Vuilleumier. Il avait Les deux titres ont été remportés
Bain 1 1 7 2 2 28 13 16 3 3 vis-à-vis. foui ; l'arbitre accorde penalty. Zyla , ef lIL Grassi, Fauguel. ju sque là tenu en haleine la défen- pour le championnat pour dames
Young Boys 11 6 2 3 24 15 14 3 4 La ligne de demis, très travailleu- tire dans les mains de Peut/,, mais,; ] Blue Stars .•¦ Schlegel ; Bill , Suter ; se de l'adversaire, par des attaques par la championne du monde, Mlle
Aarau 10 6 1 3 24 21 13 2 2 se, a eu une tâche très ingrate ; con- celui-ci s'étant ,. déplacé, le penalty . Kaes , ~Havenitseh, Rigo ; Malischke, bien ordonnées, la plupart par Rank , Hennjç, Norvège, et pour celui pour
coup les par
tinuellement à l'ouvrage , elle a don- est donné à nouveau et transferp é' Rey, < ; Springer, Kaspar, Gobet .
Granges 10 4 1 5 26 35 9 2 1 né néanmoins à ses avants des bal- par le même joueur. son nouvel inter-droit, un joueur al- p ions hongroislesMlle précédents cham-
Organista et M.
j,., lemand qui a fait à Lausanne des ,
Berne 10 2 3 5 17 16 l 2 1 les qui eussent pu être plus judicieu- Dès lors les violets, sentant Ja ylç>. Szalay. Mlle Hennje a déclaré
Concordia 10 3 1 6 15 32 7 2 4 sement employées. toire acquise, ne poussent plus ; lés; Lugano bat Granges 4 à I débuts prometteurs. Ce joueur rem- qu'elle a - f a i t la meilleure épreuve
laçait Lombardet blessé . depuis le depuis qu 'elle fait àii patinage. "
Old Boys 10 3 1 6 11 25 7 2 2 A 2 h. 30, sous les ordres de M. avants blancs:',tentent par , échappées , ! Disputée devant quatre mille §imanche précédent.
Ruoff , qui a bien arbitré, les deux et quelques j olies descentes de sau- spj otaUurSi cette partie vit nw su- t : Voici les résultats exacts : -.•'¦.;
Soleure 10 1 3 6 12 19 5 2 1 I Racing, à Ta suite d'une belle réaç-
Lueernfi 3 1 1 1 5 6 3 3 3 équipes se présentent comme suit : . ver l'honneur,' sans
¦ -pouvoir j ; pàrvej-- . pêriprité > constante , des Te.ssinp.is , tfon; marquait le seul but en sa fa- j Championnat d'Europe poiir da*
Cantonal J Feutz ; Kehrli , Facchi- rur. - <¦
, *'- ' - ' :¦•' !' ' C' , V & ~ l> h- plus rapides et. meUleurs techni- veur : par : l'entremise de Lehinann, mes: li.MHe Sonia Honnie , Norvège,
Bach Stars 2 0 1 1 2 4 1 2 1 netti
; Wolfram , Schick, Gutmânh . '•, Cfest au . contraire Stalder); à'-Jà" cien? -' que, " leurs .-adversaires. - Ce qui expédia la 1 balle dan s : le coîn 359,97 points ; 2. Mlle Burger , Au-
EN SUISSE ORIENTALE Siems, Bossi , Heess, Presch, Scham- 2Qme'mihiite, quj ajoute un 8mç; et mâ|ch. fut ', "disput^,.sijr „un terrain droit des filets après avoir dribblé triche, 338.29 p. ; 3. Mlle Holovsky;
choula. dernier but sur faute de Feutz,' SOT ¦ U? î ifçlatjvë rhérit bon, sous les ordres adversaires. Autriche, 282,20 p. ; 4. Mlle Hulthènj
Première ligue U. G. S. : Nicollin ; Bovy, Wieder- mal a propos, . • " V de M. Banggfter' .d.e; ¦la, .Cb,ausTde: deux î Ce but, d'excellente Tacture , eut le Suède, 302,11 p.
Xiocarno, une Cois encore, se kehr ; Loiçhot, Schaden , Berchten ; dànlonâl à tout prix veut taarquer :Fonds, ^"-w» '-: •' ' ¦ ^ Championnat d'Europe pour cou-
don d'encourager Racing; qui conser -
distingue. — Wohlen en est à Prod'hem, Syrvet, Zyla, Ross, Stal- et, malheureusement trop tard •; ^9$ "j Lugaj i®:: Maspoji 5. Bosco* Bassi ; va un- avantage territorial jus qu'à la p les : i: Mlle Organista et M. Szà-
s» troisième défaite. der. collin a; l'occasion 66 ' . reïtèhir quel-*-; , Orte)ïi,. . . GUardoivi,, , . Lombardini ; fîtv 'rf/»
¦ l*i narti«
i "> i i u . *.T1 nt'il X^iw^i^ \ vvio^x!' lay, Hongrie, 10,73 p. ; 2. Mlle Rot-
mÂn\a"¦ r>^iitc
A Locarno, Locarno bat Zurich U. G. S. remplace Papastratidè? ques' essafe dangereux. ¦¦' - '-%, ;Finlî, Xaprini, , Co^ta, Stuezepeggeç, Un ¦Mi* uw in
second but si
+i VV, *
Gutknècht, son al- ter et M. Szollas, Hongrie, 10,30 p.
3 à 0. — à wohlen , Young Fellows blessé et Kramer toujours suspendu. . La 'fin survient alors que Cahtftnar Amaçip. : , ': ç iter gauche, n'avait été en position
bat Wohlen 3 à L Il n'est pas un spectateur qui du- attaque encore, . !*? Q i1
: fa ng es Liéc)iti ; Fûri ^ Ru;off ; d'offsidei. Et ce but, U l'aurait bien
A la suite de ce nouvel échec, Zu- ran t les vingt premières minutes eut Chez les Genevois, la ligne de der ' Fa^riacht;, Chiesà,. VuiUerriin ; Het- mérité, car, pour être tout à fait HOCKEY SUR GLACE
rich peut abandonner toute préten- supposé que le score serait aussi bru- mis a été l'artisan de. la victoire , La Hj l; Dubois* Highetti , . Schréiber, A Zurich
tion à jouer un rôle en vue en cours tal. En effet , les. blancs (Cantonal) délensé s'est vaillamment comportée Gerber: ' , . ... ;' . ....;. ' ; ,„ ¦ ' 1 équitable, le score aurait du. être deà
du présent championnat ; seul Lu- dirigent les opérations et sont cons- également, Les avants, bien , «eryis ! Si ' Granges n'a pas brillé aujour- trois buts à 2. Le Lausanne eut, .4, Zurich : Académiciens (Zu-
gano pourra encore inquiéter Blue tamment dans le camp violet. par Ross ont été très réalisateurs., j,: ¦ d'huî , Lugano a certainement fait notre avis,les le tort de se replier dans nch)-Nuremberg 3-2. Club des Pa-
Stars pour la seconde place. La bel- U. G. S. flotte visiblement et rien Cantonal s'est découragé et eût mèl ; une de ses plus belles parties. son camp, demis notamment, pen- tineu rs (ZuricbJ-Nuremberg 5-1.
le tenue de Locarno mérite une ne lui réussit. Peu à peu les Eeaux- rite un score qui eût pu se traduirp ; D'eniblèe les Tessinois se- par- dant les vingt dernières minutes de A Gstaad
fois de plus, une mention spéciale. Yivîens trouvent leur forme et Ross, par 6 à 2. ¦¦¦ ¦,-•; ; r :. lent à l'assaut des buts de Liechtl. ce. match. Etait-ce de la fatique ou
On ne saurait en dire autant de emmèn e sa lign e d'attaque par de sa- Il manque dans cette équipe une •,A la douzième minute , sur coup les, Lausannois voulurent-ils plutôt A Gstaad : Roo&çy mixte bal
Wohle n qui enregistre son troisiè- vants déplacements. tête de ligne et elle pourra alors lut- franc , Sturzeneger réussit le pre- conserver le gain des deux points? Grasshoppers 5-2,
me échec consécutif. Il semble bien Le résultat ne se fait pas attendre ter avec les meilleurs. mier, but. Il y eut peut-être de l'un et de l'au-
que la première ligue est nettement et à la 25me minute, Zyla , sur centre ; Granges ne se décourage pas pour tre de ces deux éléments dans la tac- HIPPISME
au-dessus des moyens de l'ancien de Stalder , marque à bout portant. autant et procède lui aussi à quel- tique que les Lausannois adoptèrent
club de promotion. Le succès de Deux minutes après Stalder, sur fau- Bienne bai Etoile 7 à l ques attaques ; sur l'une de celles- et qui faillit leur coûter la victoire. Une victoire suisse
Young Feflows lui permet de rejoin- te de Feutz , réussit un deuxième but. Quoique le terrain soit recouvert ci, Dubois met les équipes à éga- Le mérite du Racing est de ne à Saint-Moritz
dre Lugano au classement, avec un Le temps de remettre en jeu et Syr- d'une légère couche de neige, le lité. * • s'être ja mais découragé, même quand Les courses internationales ont eu
match en plus il est vrai. vet en ajoute un troisième, follement temps est propice à un match de I Lugano quoique supérieur n'ob- toutes les apparences furent contre lieu devant 4000 personnes environ.
Matches Buts Hjfégat applaudi. football ; un public, estimé à deux tiendra son second but qu'à la 37me lui. Ses hommes sont athlétiquènïent Dans la course de haies pour offi-
Cinq minutes plus tard, Schick fait mille cinq cents personnes , entouré minute par son centre avant Costa. mieux entraînés que ceux du Lau- ciers, la Suisse a remporté la victoire
Clgbs J, Q. N. P.P.C. Pt» J. P.
un foui Involontaire, devant le carré les barrières, quand M. Wutrich sif- Au début de la seconde partie, sanne. H faut féliciter le gardien , grâce au It-col, Gerber.
Orasshoppers 11 10 0 1 51 14 20 3 6 de réparation. Zyla le lire en force et fle le coup d'envoi, le jeu s'équilibre, mais peu a peu Henchoz en arrière, les trois demis Voici les meilleurs résultats : Prix
Blue Stars 10 8 0 2 31 17 16 2 4 marque le No 4, malgré une belle dé- Bienne ; Schneider ; Blaser, Beur les Soleurois faiblissent devant la et- Lehinann eh avant , qui furen t les de l'Engadinc (course plate gentle-
Zurich 11 5 2 4 25 24 12 3 2 tente de Feutz. Puis Hoess manque chat ; Thalmann, Imhof, Hirt ; Von rapidité . de leurs adversaire s. La meilleurs éléments de cette équipe. men , 1400 m.): 1er Red Dragon, mon-
Lugano 9 5 1 3 33 12 11 1 2 un but tout fait. Kaenel, Beiner, Strasser, Zecfa, Stu- défense ne parvient plus à endiguer Si le Lausanne joua avec plus de té par Grœbel. Prix des Grisons (trot
Y. Fellows 10 5 i 4 33 24 11 2 2 Plusieurs corners sont concédés à (1er * t •' les attaques répétées des avants ad- cran qu'à l'ordinaire , il le fit sur- attelé, 2000 m.): 1er Manteuffel, dri-
Brûhl 10 3 2 5 -23 26 8 2 4 Cantonal, mais la défense locale ren- Probst, Etoile :¦ Gerber ; Treyball, Aydt ; verses. Fink, sur coup franc, réus- tout remarquer par la bonne facture vé par Roch. Prix Sils-Maria (Ski-jô-
voie tout. U. G. S. revient et Stalder Regazzani , Kurth ; Glasson., sit le numéro trois ; Caprini quel- de son jeu. Il avait enfi n une ligne ring, 1900 m.) : 1er Ludwig, avec Vic-
Winterlhour l t 2 3 6 11 43 7 3 2 marquera le 5me but peu avant la Heilig, Matzinger , Gil j ^en, Barbem ques Instants ! plus tard , marque le d'attaque qui possède le sens do l'of- tor Torlani. Prix de Bâle (course int.
Saint-Gall 10 3 0 7 12 29 6 2 0 mi-temps. A la cinquième minute . déjà,' les quatrième et dernier but. fensive ; Rank , ainsi que Bosch i et de haies pour officiers) : 1er Zig-zag,
Locaino 3 2 0 1 5 2 4 3 4 Les commentaires vont leur train ; Biennois ouvrent le score. Peu après, À. ùoter encore qu 'un p enalty ac- Dq rilzetti, les deux ailiers. Les demis monté par le It-col. Gerber, Prix de
Chiasso
Wohlen
10 1 1 8 11 31 3 2 0 le résultat n 'est pas conforme à l'al- un coup franc permet à Blaser de cordé à Lugano fut tire dans les furent me illeurs en défe
3 0 0 3 4 17 0 3 0 lure du jeu. Il faut reconnaître qu 'U. battre Gerber une d?uxi.mè fo is. La mains de Liechti r n r S' ii'' zop(> <??"r . «'fo rm"*, rt 1"S r'-M'»: (,-,.•'• "•. '- ..'V,"
^' vé OT.'CP Zurich (course plaie 1400 . m.) : 1er
: Surwnlir, monté par R8h1,
S5r«^SSSS O ¦¦ ¦ ¦ ¦ -m. ,i
' —
A NE UCHA TEL ET DANS LA RÉGION
]La iuont<m§£iie
sons la neige
A la Chaux-du-.uilicu, au
•tcuil de la c Sibérie ncucha-
teloise >
(Corr.) Après tant d'années où
nous n 'avions plus reçu que la por-
tion congrue de neige, notre h a u t vil-
lage (1082 m.) a retrouvé l'aspect hi-
vernal caractéristique d'autrefois , à
la grande joie de ceux qui détestent
les demi-mesures. Il faut sonder as-
sez loin dans le temps passé pour
découvrir des précédents. Il ne s'en
produit guère qu 'un par décennie, au
dire des anciens de par chez nous ;
au besoin , les vieux almanachs vien-
nent corriger les infidélités des mé-
moires et ces documents ramènent
aux justes proportions les choses de
jadis que l'on a tendance à s'exagé-
rer.
. Les fortes chutes de ces jours , et
qui ne paraissent pas en voie de ces-
ser, nous font revivre des scènes
bien pittoresques et dont les habi-
tants « du Bas » n 'ont qu 'une vague
idée. Il faut voir passer , sur les rou-
tes cantonales, le grand triangle à
huit ou dix chevaux, l'équipe qui
compte jusqu 'à une vingtaine de
«pelleurs» et les jeu nes filles en pan-
talons et bandes molletières. Mais le
grand événement de la journée est
le passage de l'autobus, quand pas-
sage il y a, ce qui ne fut pas le cas
dans la journée de jeudi. Le car
postal est, pour notre contrée , le seul
lien officiel circulant sur nos rou-
tes et son arrivée est commentée
avec l'Intérêt qu 'on devine. Malgré
les prouesses des chauffeurs experts
de l'administration, le retard se
compte parfois , pour la première
course, par heures.
Auprès des maisons, des mon-
ceaux de neige déblayée s'accumu-
lent car il faut lutter sans répit con-
tre l'élément envahisseur. Chacun
s'astreint, jusqu 'à trois ou quatre fois
par jour à manier avec entrain pel-
les et balais ; malgré l'énergique
combat, la neige nous a « gagnés »
et les logements des rez-de-chaussée
n 'ont pour tout horizon qu 'une crê-
te frangée d'une blancheur relative.
Plus moyen d'épier ce qui se passe
à l'extérieur, ce qui prive certaines
personnes âgées (et jeunes aussi)
d'une grande source de distraction.
Les montagnes que les cantonniers
et leurs aides édifient au bord des
routes atteignent déjà une telle hau-
teur qu 'en certains points on n 'aper-
çoit plus que le « fin bout » d'un po-
teau indicateur. Après chaque chute
de neige, donc chaque matin, les ha-
bitants des fermes isolées se trou-
vent bloqués et les écoliers accep-
tent bon gré mal gré, un petit con-
gé forcé.
On ne saurait passer sous silence
la résurrection de l'antique traîneau
postal qui fut tiré de son oubli pour
effectuer avec un seul cheval, les
courses que l'autobus n 'a pu assurer,
malgré les 70 CV. du nouveau car al-
pin qui a été mis récemment en cir-
p .nlation entre le Locle et Travers.
Et pourtant, a h montagne, on
préfère ces bons hivers aux saisons
avares de neige et généreuses en
pluie. « Ça fait robuste » entend-on
dire par ici. Et les prophètes du lieu
son t heureux de voir que les circons-
tances ont confirmé leurs pensées.
« Les gentianes étaient hautes, di-
saient-ils, nou s aurons beaucoup de
neige ». Pourquoi ? Je n 'en sais trop
rien mais je me garderais bien de
mettre en doute cette vérité. Il y a
dans la nature tant de rapports mys-
térieux qui dépassent notre entende-
ment. Les skieurs ont certainement
tous remarqué que les tiges dessé-
chées des gentianes jaunes dépassent
toujours la couche de neige, que cel-
le-ci soit forte ou mince. Je pense
que cela est une condition vitale de
la niante et que sa prescience l'a-
vertit secrètement en automne de se
hausser autant qu'elle peut.
A la Chaux-de-Fonds
et dans la région
Après les détails et les chiffres
que nous avons donnés déjà sur le
déblaiement de la neige à la Chaux-
de-Fonds, voici quelques notes en-
core.
,/ Les travaux publics occupent 187
chômeurs au déblaiement de la nei-
ge en ville, plus une septantaine
d'hommes, engagés réguliers. On es-
time à quatre ou cinq mille francs
par jour, la dépense occasion n ée par
ces' travaux. Une prestation de 1800
francs aux chômeurs est comptée
dans ces chiffres.
Sur le « podium », les machines à
fondre la neige, venues de Finlande,
ont fait leur réapparition.
- La route de la Vue-des-Alpes a été
ouverte par des triangles. En raison
de la faible largeur du chemin ainsi
frayé et des amoncellements de nei-
ge, la circulation n 'est presque pas
possible pour les véhicules. C'est
avec beaucoup de peine qu 'une auto
arriverait à traverser le col. L'épais-
seur de la neige varie suivant les
endroits. On estime la hauteur maxi-
male à trois mètres. En revanche,
les endroits mieux abrités ne sont re-
couverts que d'un mètre de neige.
La neige est également tombée
abondamment sur tout le plateau
franc-montagnard. Par suite des «me-
nées », la circulation est interrom-
pue. Il a fallu traîner le triangle sur
toutes les routes. Par places, la cou-
che de neige atteint 1 mètre 50.
jLa date de la votation sur la
proportionnelle au Conseil
d'Etat
Le « Neuchâtelois » dit que la vota-
tion sur la proportionnelle au Con-
seil d'Etat coïncidera vraisemblable-
ment avec la votation fédérale des
14 et 15 mars sur la double révision
constitutionnelle.
«¦
PAYERXE
bienfaisant d'un bon citoyen, d' un
Décès de M. Henri Guiger homme qui s'était donné, avec un ad-
A Ouchy, où il s'était retiré en mirable désintéressement, à une tâ-
1926, est décédé, dans sa 89me an- che absorbante, à un devoir quotidien
née, un homme bien connu à Payer- qui lui était devenu une source de
ne , M. Henri Guiger-Clément. joie.
Né à Payerne, le 25 décembre 1842,
M. Henri Guiger avait pris une vive
part à la vie politique et sociale de
Payerne. Au militaire, il était parve-
nu au grade de capitaine d'infanterie; nouvelle canalisation. Toutes les eaux
il avait participé à l'occupation des sales, les . immondices représentant
frontières en 1870-71 et présidé plu- un maximum de 175 litres seconde ,
sieurs reunions de vétérans.
iront désormais directement dans
Mais il est un domaine où Henri l'Aar. Il n 'est cependant pas possi-
Guiger devait faire preuve particu- ble que ces égoûts puissent être éta-
lièrement de ses qualités de cœur et blis, par une pente naturelle, jus-
d'intelligence. A 22 ans , il entrait au qu 'au dessous des écluses de l'Aar.
comité de l'infirmerie qui venait de Le niveau du lac rend l'établisse-
se foncier à Payerne. Pendant 60 ans, ment d'une usine de pompage néces-
il se donna tout entier à cette œuvre; saire. On envisage la mise en marche
a y a n t pris la succession du Dr Neiss de trois pomnes, deux d'une force de
comme directeur de l'infirmerie de la 6 HP. et l'autre de 40 HP. En cas de
Broyé, il fit de cet établissement un' besoin , toutes les pompes seront mi-
hôpital modèle. En 1926, M. ' Guiger ses automatiquement en action. Le
se retirait à Lausanne. Mais il était coût de l'énergie nécessaire ast de-
resté attaché' à sa chère infirmerie visé à 8000 fr. environ par année.
et en novembre dernier il vint enco- L'exécution du projet exige un crédit
re assister à la vente annuelle. .. de 2 millions.
DANS LE MONDE DE L'HORLOGERIE
La querelle du chablonnage
Apres avoir esquisse sommaire-
ment, pour nos lecteurs, l'objet du
gros débat en cours, nous avons pu-
blié une lettre d'un fabricant, expo-
sant quelques arguments défavora-
bles à une suppression immédiate et
totale du chablonnage.
Nous avons l'avantage de donner
ci-dessous, en contre-partie, une let-
tre du leader même du comité inter-
cantonal contre le chablonnage.
A la ré daction de la ^Feuille d 'avis»
de et à Neuchâtel.
Messieurs,
Vous avez fait paraître quelques
articles sous le titre « Dans le mon-
de de l 'horlogerie et la querelle du
chablonnage ». Me permettez-vous
d'y ré pondre comme suit :
Votre numéro du 27 courant con-
tient particulièrement
une lettre
d 'un fabricant d'horlogerie que je
dois remercier sincèrement pour sa
collaboration involontaire à la lutte
entreprise contre le chablonnage.
Au cours des conférences qui ont
eu_ lieu , il a été précisément démon-
tré , que dans tous les pays , le na-
tionalisme économi que cherchait à
remp lacer les produits manufactu-
rés à l'étranger par des produits ma-
nufacturés à l'intérieur du p a y s . Le
Japon a p lus que tout autre appli-
qué cette méthode et votre corres-
pondant établit d' une manière évi-
dente que ceux qui ont f avorisé Fin-
troduction de l'industrie horlogère
au Japon ont travaillé contre les in-
térêts suisses.
Les Japonais ont p u , grâce aux
chablons achetés en Suisse , former
une main-d' œuvre et bien que les
chablons continuent à être exportés
au Japon , autant que les Japonais
en désirent , il s 'est trouvé un In-
dustriel jap onais qui a établi une fa-
brique d 'ébauches dans laquelle il
produit , d 'après votre correspon-
dant , 30 ,000 pièces par mois.
N 'est-il pas inévitable que cette
fabri que , ou d'autres , se dévelop-
pent pour fabriquer davantage d 'é-
bauches et que dans un avenir de
2 ou 3 ans, les fabri ques d 'ébauches
japonaises équi p é e s , grâce à nos
procédés suisses et grâce aux délais
que nous leur aurons accordé en les
ravitaillan t constamment de ce qu'ils
ne peuvent pas faire chez eux, ob-
tiendront de leur gouvernement des
droits d 'entrée sur les ébauches aus-
si élevés que ceux qu'ils ont obte-
nus sur les montres. Dans 2 ou 3
ans, les Suisses n 'enverront p lus ,
ni fournitures , ni chablons , ni mon-
tres , puisque durant le délai accor-
dé à l 'industrie japonaise , celle-ci se
sera équi pée et le marché d 'Extrê-
me-Orient sera peut-être comp lète-
ment perdu. Le Jap on vend déjà
des montres en Chine meilleur mar-
ché que les prix suisses.
Le f ait que malgré l 'envol de tous
les chablons qui pouvaient être dé-
sirés par l'industrie japona ise, une
fabri que s 'est équi p ée pour la fabri-
cation de 1'ébiuche est la meilleure
oreuve que l 'exportation des cha-
blons ne maintient pas en Suisse la
f o urniture de ces chablons, mais
oermet à l'étranger de . f o r m e r une
main-d 'œuvre. ...
Dès que cette main d 'œuvre est
s uf f i s a m m e n t - abondante , elle lui
permet de créer une fabrique d 'é-
bauches, éventuellement dix , et à
ce jour-là, les Suisses n'enverront
p lus ni ébauches , ni chablons, ni
fournitures.
Le bruit de la création, au Japon ,
d 'une nouvelle fabrique d 'ébauches
par des Suisses semble se confir-
mer. C'est une preuve de plus que
le chablonnage n 'empêche pas _ le
développement de la fabricat ion
étrangère mais , au contraire, lui ai-
de à f o r m e r la main d 'œuvre né-
cessaire .
C'est la raison pour laquelle nous
réclamons la suppression totale du
chablonnage à destination de tous
les pays , sachant bien que l 'indus-
trie jap onaise, par exemp le , après
une période , plus ou moins longue ,
de tâtonnement et de d i f f i c u l t é s ,
pourr a peut-être fabriquer chez elle
tout ce qu 'il lui faut pour fa ire des
montres.
La suppression des chablons et
fo urnitures privera immédiatement
les fabriques de matériel encore in-
dispensable et pourr a peut -être ar-
rêter, du moins ralentir, le dévelop-
pement de la fabri cation indigène
qui se poursuivrait , sans cela, avec
toutes les f a c i l i t é s possibles.
Je comprends parfaitement que
ceux qui vivent de l' exportation des
chablons, au Japon , ne puis sent pas
comprendre ce qui précède et pu is-
i-fcUlLLfc L» r t . V lù L»i W t U C H A i t L
Henri Guiger laissera le souvenir
BIENNE
Deux millions pour une
nouvelle canalisation
La ville de Bienne doit établir une
¦' ¦-. '
sent candidement recommander le
chablonnage. Il n'est pire sourd...
Il est regrettable que l 'Industrie
horlogère suisse n'ait pas réalisé
p lus vite la gravité du danger que
lui faisait courir le chablonnage ,
non seulement à destination du Ja-
pon , mais à destination de tous les
pays.
Veuillez agréer , Monsieur le ré-
dacteur , l 'assurance de ma considé-
ration distinguée.
Jean DEGOUMOIS.
Récentes informations
Le comité intercantonal contre le
chablonnage a donné sa conférence
à Tavannes le 30 janvier devant 600
auditeurs qui ont manifesté, en levant
la main , leur approbation à une ré-
solution réclamant l'abolition immé-
diate du chablonnage.
L'assemblée était présidée par le
maire, M. Schupp. Le député Schlap-
pach, après avoir félicité les orateurs,
a préconisé l'intervention de l'Etat,
demandant : « Pourquoi ne pren-
drions-nous pas exemple sur les pay-
sans qui sont allés manifester à
Bern e ? »
* • *
Le comité répétera sa conférence
mardi 3 février à la Neuveville.
On a disserté, ces jours, de l'in-
fluence des modifications de tarif
douanier sur le chablonnage en Al-
lemagne.
Un membre du comité intercanto-
nal a affirmé avec force que le trai-
té conclu avec l'Allemagne pour en-
trer en vigueur le 1er janvier 1927,
avait « lubrifié » le chablonnage.
Les chablons sont taxés, comme
« pièces détachées » à raison de 200
marks par 100 kg., ce qui fait moins
de deux centimes pour l'ensemble
des fournitures nécessaires à un
mouvement. .'
Ce même tarif est appliqué, sans
modification, depuis 1922.
Les montres sont bien plus forte-
ment taxées. Nous avons déjà dit
que cette différence des droits d'en-
trée avaient été, pour bien des pays,
la cause du chablonnage.
Mais jetons un coup d'œil sur les
changements du tarif allemand (en
marks) :
_ 1922 1927 1929
Mqntres bracelets or .... 6 4 3
Montres de poche or .... 6 8 7
Montres argent 3 2.75 2.50
Montres métal 2 2 1.80
Chablons (100 kg.) ... 200 200 200
On voit que l'économie de droits
d'entrée par le chablonnage n 'a pas
augmenté entre 1922 et 1927 et qu'el-
le a diminué entre 1927 et 1929.
On peut tout au plus déplorer que
les négociations de 1926 n 'aient pas
abouti à entraver le chablonnage,
mais on ne peut guère admettre
qu'elles en aient augmenté les avanta-
ges.
Qu'aurait-on dit de nos négocia-
teurs, s'ils avaient demandé à l'étran-
ger d'augmenter certains postes de
son tarif ? H. F.
BANQUE CANTONALE NEUCHATELOISE
Téléphone 15.20
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Madrid 52.25 53.25
Amsterdam .... 207.90 208.10
Vienne 72.60 72.70
Budapest 90.17 90.37
Prague 15.26 15.36
Stockholm 138.40 138.60
Buenos-Ayres .. 1.56 1.60
Ces cours sont donnés à titre Indicatif
et sans engagement.
Ce soir, 20 heures
Chapelle de la Stadtmission
RÉUNION DE CONTINUATION
Un réveil en Angleterre
par M. E. Lanz
Ce soir, à 20 b. K
AU TEMPLE DU BAS
CONFÉRENCE J0UHAUX
Chacun est cordialement invité
-- ¦'
Madame
Je
fait part à
naissances
sais en qui J al cru.
Bose Nicholas Henriod
ses parents, amis et con-
du décès de
Madame et Monsieur Denis Gretil-
lat-Gretillat et leurs e n f a n t s ; Mada-
me et Monsieur Samuel Mairet-Gre-
tillat . leurs e n f a n t s et petit-fils, à
Coffrane ; Madame veuve Rachcl
Monsieur Franz NICHOLAS
Peçon-Gretillal et sa fille , à la
L'affaire Gumand son cher époux, frère, beau-frère,
Chaux-de-Fonds ; Monsieur et Ma-
dame Robert Grelillat-Bichsel et
Statuant sur la requête des oncle, cousin et parent, que Dieu a leurs e n f a n t s, à Coffrane ; Monsieur
héritiers Pernod, M. C. Du- repris à Lui le 31 décembre à 9 h. et Madame Charles Gretillat-Dupas-
Pasquier, président de la du soir. quier et leurs enfants, aux Hauts-
Cour d'assises, a décidé que Neuchâtel, le 2 février 1931. Geneveys ; Mademoiselle Jeanne
ceux-ci ne pourraient pas se (Faubourg du Crèt 1) Gretillat ; Monsieur et Madame Jules
porter partie civile au procès Gretilla. -Chérix et leur e n f a n t , à
(ïninand. Prière de ne pas faire de visites.
Boudry ; Madame et Monsieur Hen-
L'enterrement aura lieu sans suite.
ri Laurent Gretillat et leurs e n f a n t s,
Cet avis tient lieu de lettre de faire part.
A la Banque cantonale à Gorgier ; Madame et Monsieur
Daniel Jacot-Gretillat et leurs en-
Un nouveau directeur Le soir étant venu, lo Maître fants, à Coffrane ; les familles veuve
à la succursale dit : « Passons sur l'autro rivo. » N u m a Gretillat , Oscar L'E p lattenier ,
de la Chaux-de-Fonds Jean-Pierre Besson , William Gretil-
Monsieu r César Bonjour ; lat , et les e n f a n t s de feu Madame
Le directeur actuel, M. A. Béguin, Monsieur et Madame René Bon-
démissionnaire pour l'automne pro- Leiser, ainsi que les familles paren-
jour-Schleppy et leur:, enfants : Ré- tes et alliées , ont la profonde dou-
chain, sera remplacé par M. Pierre
Amez-Droz, fils de feu le Dr Amez- my, Gaston et Noël ; leur de faire part à leurs amis et
Mademoiselle Yvonne Bonjour ; connaissances de la perte qu'ila
Droz, de la Chaux-de-Fonds. Monsieur Georges Bonjour ; v i e n n e n t d'é prouver en la personne
LA CHAUX - DE - FONDS Monsieur Max Bonjour ; de
Mademoiselle Nelly Bonjour, à Li-
Deux ouvriers tombent d'un
toit
gnières ; Monsieur John GRETILLAT
Les familles parentes et alliées,
Deux ouvriers couvreurs travail- ont le chagrin de faire part à leur cher et bien-aimé père, beau-
laient samedi à 15 heures, au déblaie- leurs amis et connaissances du dé- père, grand-p ère et arrière-grand-
ment de la neige sur le toit du col- part de leur très chère épouse, mè- p ère , beau-frère , oncle et parent ,
lège primaire. Soudain , l'un des deux re, grand'mère, sœur, belle-sœur, que Dieu a repris à Lui aujourd'hui
hommes glissa, entraînant dans sa d i m a n c h e , dans sa 83me année,
tante et cousine,
'
chute son camarade, qui le retenait après une pénible maladie supportée
Madame avec résignation.
depuis une lucarne avec une corde.
Les deux hommes sont tombés d'une César BONJOUR-GAUCHAT Coffran e, le 1er février 1931.
hauteur de 15 mètres. Le premier n 'a
que des blessures sans gravité, tan- que Dieu a reprise à Lui dans sa Pèro saint, garde en ton nom
71me année, vendredi 30 janvier tous ceux que Tu m'as donnés.
dis que celui qui tenait la corde souf- Jean XVII , 11.
1931.
fre de très graves blessures internes. Heureux ceux qui procurent la
Il a été conduit à l'hôpital. On ne L'ensevelissement a eu lieu à Li- paix , car ils seront appelés en-
peut encore se prononcer sur son gnières, le dimanche 1er février, à fants do Dieu.
état. 13 heures et demie. Matth. V. 9.
Lignières , ce 30 janvier 1931. L'ensevelissement, auquel ils sont
LA VILLE
On ne touchera pas priés d'assister, aura lieu à Coffra-
ne , mardi 3 février, à 13 h. 30.
Cet avis tient lieu de lettre de faire part.
Les enfants, petits-enfants et ar-
rière-petits-enfants Je feu Alexan-
t
Renversée par une auto
dre Benoit-Combremont, à Couvet ,
Samedi, à 11 h. 25, une fillette de Saint-Aubin et Bevaix ;
3 ans, a été renversée par une auto,
Les enfants , petits-enfants et ar-
à la rue du Seyon , au moment où rière-petits-enfants de feu Henri
elle traversait la chaussée en cou-
BeiTuex-Combremont, à Genève et
rant. Monsieur le docteur et Madame
Boudry,
Elle fut transportée dans une phar- ont le chagri n de faire part du
Paul Ruitgers et leur fille, à Monta-
macie où elle reçut les premiers na ; Mademoiselle Maria Ruttgers ;
décès de leur chère tante et grand' Monsieur et Madame Rodol phe Rutt-
soins. On constata que la victime por- tant e,
tait une légère blessure au front et Mademoiselle gers et leurs filles, à Turin, les
familles parentes et alliées ont la
au nez.
Grâce à la vitesse très modérée de Elise COMBREMONT profonde douleur de faire part du
l'automobiliste, la petite imprudente décès de leur cher p ère et grand-
que Dieu a rappelée à Lui, dans sa
l'a échappé belle. 97me année, le 31 janvier 1931,
p ère,
Soirées de Belles-lettres après une courte maladie. Monsieur Joseph RUTTGERS
Bevaix, le 31 janvier 1931.
(Comm.) Belles-Lettres interrom- survenu le 31 jan vier 1931, muni
pan t pour un temps son cycle de Venez à moi . vous tous qui des sacrements de l'Eglise.
conférences va donner les 2, 4 et 7 Gtes travaillés et chargés, et je
février au théâtre de Neuchâtel, ses vous soulagerai. Matth. XI , 28. L'enterrement, sans suite, > aura
lieu dans la plus stricte intimité.
soirées théâtrales dont l'esprit est L'ensevelissement aura lieu à
suffisamment connu du pu blic pour Un service funèbre sera célébré le
Cortaillod , le mardi 3 février 1931,
qu'il soit inutile d'en faire dès main- à 13 h. 30. 2 février, à 10 h. 15, à l'Eglise ca-
tholique.
tenant l'éloge. Rendez-vous vers l ancien cime-
Au programme figurent : « La far- tière.
ce des joyeuses commères » de Sha-
Cet avis tient liou de lettre de faire J'ai le regret d'annoncer au Ré-
kespeare dans la nouvelle adapta-
part. g iment d 'Infanterie 8 le décès du
tion de l'écrivain romand Bené-Louis
Piachaud, le « Bang des vaches » Major Ernest RUCHTI
qui célébrera les fastes de l'an 1930; Madame Léon DuPasquier ; Made- vétérinaire à l 'E. M. R. I. 8
enfi n les « Bouc-de Feq », petite fan- moiselle Germaine DuPasquier, ain-
taisie sans prétention. si que les employés du Home, ont la survenu le 31 jan vier, des suites d'un
profonde douleur de faire part de la accident de cheval.
mort de leur chère amie, Le Cdt R. I. 8 :
Monsieur Timothée Stàhli-Grand-
L/t-Colonel DuPasquier
Mougin et ses enfants, à Neuchâtel;
Mesdemoiselles Eveline et Madeleine
Madame Edouard PERRET
directrice du Home
Stahli , à Cormondrèche ; Monsieur
Seth Stâhli-Bourquin, à Neuchâtel ; que Dieu a reprise à Lui, samedi 31 Bulleti n météorologique - Février
Mademoiselle Marguerite Stahli , à janvier, après une courte maladie.
Cormondrèche ; Monsieu r et Mada- OBSERVATOIRE DE NEUCHATEL
me Fritz Stâhli-Frère et leurs en- L'incinération aura lieu lundi 2
fé vrier, à 3 heures. Culte à 2 a. 30 Température en u
fants, à Couvet; Mademoiselle degrés centig. 2 » S
rue Louis-Favre. Vent Etat
Aglaée Stahli , à Cormondrèche ; Ma- au Home, 1, ï | s dominant du
dame et Monsieur Ferdinand Ger-
s ë |
Quoi qu'il en soit, mon âme se Q S E fB S o '" .jpi
à Mont- repose en Dieu, c'est de Lui que S- = « S E S Dlrec etforce C,BI
ber-Stàhli et leur enfant , s s s
vient la délivrance. Ps. LXII, 1-2. |"
mollin ; Madame et Monsieur Henri
Junod-Stahli et leurs e n f an t s , à Li- Il l II ^
— — i— 31 0.8J-1.9 4. ;t8.8 N. -E faible nuair.
gnières ; Madame et Monsieur
Monsieur et Madame Paul Javet- 2 -0.4K.1 2.0 ; 16.1 2.0| "ar. ia;b:e ,
Edouard Stâhli-Stahli et leurs en- Chautems et leurs enfants : Edith ,
fants, à Montmollin ; Monsieur et Rémy et Charles, ainsi que les famil- 31. Neige fine pondant la nuit.
Madame Etienne Stàhli-Stûbi , à Cor- les alliées, ont la douleur de faire 1er février. Neige fine à partir do
21 heures.
mondrèche ; Madame , et Monsieu r part à leurs amis et connaissances, 2 février , 7 h. 30 :
Mathie, en France ; Monsieur Mar- du départ pour le ciel de leur cher Temp.: —0.2. Vent: N.-O. Ciel: Couv.
cel Matile , à Saint-Imier, ainsi que
petit
les familles Reymond , Bolle, Stahli, Haut, moyenne pour Neuchâtel: 719.5 mm.
Paul Hauteur du baromètre réduite à zéro.
Jeanneret , Redard , Muller, et famil-
les alliées, font part du délogement ^ "" T ^ m™
enlevé à leur affection , dimanche ma- Janv.-Fév. 28
de tin 1er février, à l'âge de 20 mois. 29 30 31 t 2
Madame veuve Fritz STAHLI Laissez venir à mol les petits mmi
735 'g-
née Estelle FATTON enfants.
~-
leur très chère mère, belle-mere, Lugnorre, ce 1er février 1931. 730
grand' mère, belle-sœur, tante, cou- L'ensevelissement aura lieu à Lu-
725 j^~
sine et amie, que le Seigneur a re- gnorre, le mardi 3 février, à 2 heures
prise à Lui , aujourd'hui , à 14 heu- de l'après-midi.
720 ¦=-
res et demie, après une longue et
p énible maladie supportée avec ré-
Monsieur et Madame Paul Hauert 715 S~
signation, dans sa 80me année.
et leurs enfants, à Renens ;
Cormondrèche, le 31 janvier 1931. Monsieur et Madame Albert 710 =-
Et Dieu essuiera toute larme Hauert et leurs enfants, à Neuchâ- 705 ^j-
de leurs yeux, et la mort ne sera tel ;
plus ; et il n'y aura plus ni deuil ,
. ni cri, ni travail ; car co qui était Wavre,
auparavant sera passé.
Mademoiselle Adeline Hauert, à
700 = I I I
ainsi que toutes les familles pa- Niveau du lac : 1 février , 429.86.
Apoc. XXI. 4. rentes et alliées, ont le profond
s » 2 février, 429.85.
L'enterrement aura lieu mardi 3 chagrin de faire part à leurs amis
février, à 13 h. 30. et connaissances du décès de Temps probable pour aujourd'hui
Domicile mortuaire : Grande Rue leur chère et regrettée mère, bel- Très nuageux, nouvelles précipita-
No 23. le-mère, grand'mère, sœur, belle-
tions.
Cet avis tient lieu de lettre de faire part. sœur, tante et parente,
Madame Marie HAUERT
Madame Marie Schôpfer ; Monsieur
Bulletin météorologique des CF. F.
qu 'il a plu à Dieu de reprendre à 2 février à 6 h. 30
et Madame Henri Schôpfer-Marrer et
Lui samedi 31 janvier , dans sa
leurs enfants, à Cressier; Madame Jo- g 2 Observations n„„
74me année, après une courte ma-
séphine Schôpfer ; Monsieur Joseph ladie. | faites «ix gana g*£
1 TEMPS El VENT
Schôpfer ; Monsieur Adolphe Schôp-
Le soir étant venu, le Maître
fer ; ' Monsieur Edouard Schôpfer ; dit : « Passons sur l'au tre rive. » 200 Bâle -j- l Couvert Calme
543 Berne .... — l
Mademoiselle Marie-Thérèse Schôp- L'ensevelissement, auquel ils sont » »
fer, ainsi que les familles parentes
537 Colre .... — 4 » »
priés d' assister, aura lieu à Cornaux , 1543 Davos .... — M Nuageux »
et alliées à Prez , Onnens, Neruz (Fri- mardi 3 février. 632 Fribourg . — ] Couvert »
bourg), Wunnewyl, Grandfey, Pen-
394 Genève .. -j- i Pluie prb. »
sier . Lure (France), ont la profonde Domicile mortuaire : Wavre. Dé- 475 Glarls ... Neige »
0
douleur de faire part à leurs amis part à 13 h. 30. 1109 Gôschenen — ;-* Nuageux »
et connaissances de la perte cruelle 566 Interlaken 0 Neige »
995 Ch.-de-Fds Q Couvert »
qu'ils viennent d'éprouver en la per-
450 Lausanne -J- %
sonne de Pompes funèbres générales S. fl. 208
276
Locarno ..
Lugano ..
0
»
Tr. b. tps
»
»
fl »
Monsieur Alfred SCHOPFER 3
L WASSERFALLEK 439 Lucerne .. -f- 2 Couvert • »
leur cher époux, père, grand-père,
398
462
Montreux
Neuchâtel
4- 2 »
»
»
»
frère, oncle, neveu et cousin, décédé
dans sa 60me année, après une lon-
CERCUEILS 505
672
Ragatz . . .
St-Gall ..
+ 1
— 3
— t
»
Nébuleux
»
»
gueet cruelle maladie supportée
avec courage et résignation , muni
TRANSPO RTS 1856
407
St-Morltz
Schaffh "»
— 22
— 2
Tr - b - tps
Neige
>
>
des saints sacrements de l'Eglise. INCINÉRATION 537
562
Slerre ....
Thoune
— 3
fl
Nuageux
»
>
>
L'enterrement aura lieu mard i
3 février à 9 heures.
389 Vevey .... -\- g Couvert »
609 Zermatt . — \\ Tr. b. tps »
Landeron, le 2 février 1931. 410 Zurich ... -f i Couvert »
R. I. P.
Cet avis tient Ueu de lettre de faire part. Seyon 19 • Tèté^h. 1C3 1MPH TMF.RIE CENTRALE ET DE LA
***rr9mVTZ&9F!KKBW *9Vr~^'rer^TJ*^XXTrvr *r7rrv,rrr-- ::iILI.E D'AVIS DE NEUCHATEL S. A