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Fiches Technique 1 Bac Version Finale'
Fiches Technique 1 Bac Version Finale'
ET DE LA FORMATION DE L'ORIENTAL
OUJDA – MAROC
1ère promotion
Module : TP de Physique
HOSNI Oussama
Chapitre 1 : Mouvement d'un solide en rotation autour d’un axe fixe ............................... 2
Activité 1 : Etude expérimentale d’un mouvement d’un point d’un solide en rotation autour d’un
axe fixe ............................................................................................................................................ 2
Activité 1 : la variation de l’énergie cinétique et le travail du poids d’un corps solide en chute
libre.................................................................................................................................................. 6
Activité 2 : La relation entre la quantité de chaleur Q reçue par un corps et sa masse. ................ 17
Activité 3 : la relation entre la quantité de chaleur Q reçue par un corps et la nature de la matière
qui constitue ce corps. ................................................................................................................... 19
PARTIE 2 : ELECTRICITE……………………………………………………………….27
Activité 3 : Conversion d'énergie électrique en énergie thermique par effet Joule. ...................... 36
PARTIE 3 : MAGNETISME……………………………………………………………….44
Activité 1 : Mise en évidence le champ magnétique crée par un conducteur circulaire (bobine
plate). ............................................................................................................................................. 53
PARTIE 4 : OPTIQUE……………………………………………………………………...67
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Chapitre 1 : Mouvement d'un solide en rotation autour d’un axe fixe
Fiche technique N° : 1
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 1 : Mouvement d’un solide en rotation autour d’un axe fixe
Partie : Mécanique Activité 1 : Etude expérimentale d’un mouvement d’un point d’un solide en rotation autour d’un axe
fixe
Objectifs :
Connaitre l’expression de la vitesse angulaire et son unité de mesure.
Connaitre la relation entre la vitesse angulaire et la vitesse linéaire.
Fil inextensible Attacher, grâce à un fil inextensible, un mobile autoporteur à un bloc métallique. L’autoporteur mobile est
Un mobile autoporteur muni d’un éclateur centrale M et un autoporteur périphérique N, et il peut effectuer un mouvement de rotation
Table à coussin d’air horizontale autour d’un axe fixe Δ verticale passant par O, le centre de symétrie du bloc métallique.
Lancer l’autoporteur et enregistrer à intervalles de temps égaux τ = 40ms, les positions successives Mi de
2
Montage :
Fig. 1 : Montage de la table à coussin d'air Fig. 2 : Table à coussin d'air avec autoporteur
Exploitation : Résultat :
Représenter sur la même figure, et avec une même échelle les vecteurs
vitesses ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑉𝑀4 et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
V𝑁4 .
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Fiche technique N° : 2
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 1 : Mouvement d’un solide en rotation autour d’un axe fixe
Objectifs :
Vérifier la relation 𝑉 = 𝑅 𝜔.
effectuer un mouvement de rotation autour d’un axe fixe Δ verticale passant par O, le centre de symétrie du bloc métallique).
4
Exploitation :
On enregistre, à l’intervalle du temps égaux ms. Les positions successives Ai du centre de gravité G de l’autoporteur. On obtient l’enregistrement
représenté dans la figure 1
L’instant ti t0 t1 t2 t3 t4 t5 t6 t7
ti) (rad)
tirad/s)
s (ti) (m)
V (ti) (m/s)
La courbe représentative de θ = f(t) est une droite affine d’équation mathématique de la forme θ = at + b, avec a est le coefficient directeur de cette droite
∆𝜽
tel que :𝒂 = . La signification physique de cette grandeur est une vitesse angulaire 𝝎𝟎 . Pour le paramètre b est l’abscisse angulaire du point A.
∆𝒕
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Chapitre 3 : Travail et énergie cinétique
Fiche technique N° : 3
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 3 : Travail et énergie cinétique
Partie : Mécanique Activité 1 : la variation de l’énergie cinétique et le travail du poids d’un corps solide en chute libre.
Objectifs :
Connaitre la relation entre la variation de l’énergie cinétique et le travail du poids d’un corps solide en chute libre.
Une règle graduée verticale, Placer la bille sous l’électroaimant, et fermer l’interrupteur K, pour maintenir la bille
fixée à son support. immobile contre l’électroaimant.
Un électroaimant monté en Positionner la cellule photoélectrique à une hauteur Hi, qui la sépare de l’électroaimant.
série avec un interrupteur K, Lorsque l’interrupteur K est ouvert la bille est lâcher sans vitesse initiale, et chute devant la
dans un montage électrique. règle graduée, en traversant la cellule photoélectrique.
Une bille d’acier de masse m
Le chronomètre numérique est commandé par la cellule photoélectrique, son fonctionnement
= 24g
se déclenche lors du passage de la partie inférieure de la bille à travers le faisceau infrarouge
émis par la cellule photoélectrique, et l’arrêt de son fonctionnement se d’éclanche, lors du
6
Une cellule photoélectrique passage de la partie supérieure de la bille à travers ce faisceau d’infrarouge, et ainsi le chronomètre mesure la durée
liée à un chronomètre Δt du passage de la bille devant la cellule photoélectrique.
numérique. Puisque les valeurs de la durée Δt, indiqué par le chronomètre sont petites, on peut utiliser la relation approximative
𝑑
𝑉= pour déterminer la vitesse instantanée de la bille à la hauteur Hi. La bille parcourt la distance d lors de son
∆𝑡
passage à travers la cellule photoélectrique et représente aussi le diamètre de la bille : d = 1,8 cm.
On change la hauteur Hi, en changeant la position de la cellule photoélectrique, et on refait la même expérience, en
mesurant Δt la durée du passage de la bille devant la cellule photoélectrique à la hauteur Hi.
On donne la masse de la bille : m =24g. Enregistrer les positions successives Ai du centre de gravité A de l’autoporteur.
Exploitation :
Ai A1 A2 A3 A4 A5 A6 A7
Hi (m)
Δt (.10-3s)
Vi (m.s-1)
ECi (J)
WA1→Aj (𝑃⃗)
Représenter la courbe EC = f(WA1→Aj ((𝑃⃗))), qui représente la variation de l’énergie cinétique ECi de la bille en fonction du travail de son poids WA1→Aj
((𝑃⃗)).
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Fiche technique N° : 4
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 3 : Travail et énergie cinétique
Objectifs :
Mettre en évidence l’effet du travail d’une force sur la vitesse d’un corps solide.
Vérifier le théorème de l’énergie cinétique.
Une table à coussin d’air et On incline la table à coussin d’air d’un angle α= 10° par rapport au
ses accessoires.
plan horizontal, et on réaliser le montage expérimental représenté sur
intervalles de temps égaux τ = 60 ms, les positions successives Gi du centre de gravité G de l’autoporteur.
8
Exploitation :
On obtient l’enregistrement représenté sur la figure suivante :
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Chapitre 5 : Energie mécanique d’un corps solide
Fiche technique N° : 5
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 5 : Energie mécanique d’un corps solide
Objectifs :
Vérification expérimentale de la conservation de l’énergie mécanique d’un corps solide en mouvement sans frottement.
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Manipulation 2 :
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Manipulation 2 : Mouvement de translation rectiligne d’un solide S, sur un plan incliné d’un angle α par rapport à l’horizontale.
On obtient l’enregistrement représenté sur la figure suivante :
Déterminer à chaque instant ti, la vitesse Vi = V(ti), l’énergie potentielle EPPi, et l’énergie mécanique Em de l’autoporteur.
L’instant ti t0 t1 t2 t3 t4 t5 t6 t7 t8
Xi (×10-2 m) 0 0,307 1,227 2,760 4,906 7,666 11,039 15,025 19,624
Vi (m.s-1)
ECi (J)
EPPi (J)
ECi (J)+ EPPi (J)
Représenter les courbes de variation de ECi, Eppi, et Em en fonction du temps. Avec g = 9, 81N.Kg-1.
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Fiche technique N° : 6
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 5 : Energie mécanique d’un corps solide
Objectifs :
Vérification expérimental de la non-conservation de l’énergie mécanique d’un corps solide en mouvement en présence des frottements..
Un banc à coussin d’air et ses On incline le banc à coussin d’air d’un angle α = 10° par
accessoires. rapport au plan horizontal.
On fixe la soufflerie du banc à un certain débit, pour que
le contact entre le cavalier et le banc se passe avec
frottements.
On fixe le générateur d’impulsion à τ = 60 ms, et libérer
le cavalier de masse m = 250g du haut sans vitesse initiale.
On enregistre, à intervalles de temps égaux τ = 60 ms, les
positions successives Gi du centre de gravité du cavalier.
13
Exploitation :
On obtient l’enregistrement représenté ci-dessous.
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Chapitre 7 : Energie thermique et transfert thermique
Fiche technique N° : 7
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 7 : Energie thermique et transfert thermique
Objectifs :
Thermomètre. Peser une masse m1= 200g d’eau et noter sa température initiale
θ0 ;
Chronomètre.
Allumer le chauffe ballon à la date t= 0s, date de déclenchement
Bêcher du chronomètre ;
Exploitation :
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Les valeurs mesurées du couple (Δt, m) dans le tableau ci-dessous :
t(s) 0 30 60 90 120 150 180 210 240 270 300
Δt
θ (°C)
Δθ
La courbe de variation de Δθ en fonction de Δt :
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Fiche technique N° : 8
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 7 : Energie thermique et transfert thermique
Partie : Mécanique Activité 2 : La relation entre la quantité de chaleur Q reçue par un corps et sa masse.
Objectifs :
La mise en évidence de la relation entre la quantité de chaleur Q reçue par un corps et sa masse.
Thermomètre. Peser quatre quantité de l’eau de masses respectivement m1= 100 g, m2= 200 g, m3= 300 g, et m4= 400 g ;
Chronomètre. On chauffe d’une façon régulière, les quatre quantité d’eau, et on mesure pour chaque quantités d’eau, la durée
4 Bêchers Δt nécessaire pour élever sa température de 25°C à 50°C ;
Chauffe ballon.
Un ballon.
17
Exploitation :
Les valeurs mesurées du couple (Δt, m) dans le tableau ci-dessous :
m(g) 100 200 300 400
Δt(s)
18
Fiche technique N° : 9
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 7 : Energie thermique et transfert thermique
Partie : Mécanique Activité 3 : la relation entre la quantité de chaleur Q reçue par un corps et la nature de la matière qui
constitue ce corps.
Objectifs :
La mise en évidence de la relation entre la quantité de chaleur Q reçue par un corps et la nature de la matière qui constitue ce corps.
Exploitation :
Comparer les valeurs mesurées Δteau et Δthuile et conclure.
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Fiche technique N° : 10
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 7 : Energie thermique et transfert thermique
Objectifs :
Calorimètre et ses accessoires. Introduire une masse m1= 200 g d’eau dans un calorimètre
2 Thermomètres. Lorsque l’équilibre thermique s’établit entre l’eau et le
Bêcher. calorimètre, relever la température θ1 du système S1= {la masse
Chauffe ballon. m1 d’eau, calorimètre} ;
Chauffe une masse m2= 400 g d’eau. Lorsque sa température
ballon.
atteint environ 60°C, mesurer avec précision cette température θ2
et introduire immédiatement l’eau chauffée dans le calorimètre ;
A l’aide de l’agitateur, mélange doucement le contenu du
calorimètre, lorsque l’équilibre thermique s’établit entre le système S1= {la masse m1 d’eau, calorimètre} et
le système S2= {la masse m2 d’eau}, relever la température d’équilibre θe.
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Exploitation :
Donner les expressions de variation de l’énergie interne ΔU1 du système S1, ΔU2 du système S2 et ΔU du système S = {S1 ; S2}.
Etablir l’expression de la capacité calorifique du calorimètre, et déterminer sa valeur.
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Fiche technique N° : 11
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 7 : Energie thermique et transfert thermique
Objectifs :
Calorimètre et ses accessoires. Introduire une masse m1= 200 g d’eau dans un calorimètre de capacité
Deux thermomètres. thermique µC ;
Bêcher. Lorsque l’équilibre thermique s’établit entre l’eau et le calorimètre,
Chauffe ballon. relever la température θ1 du système S1= {la masse m1 d’eau,
calorimètre}
Ballon.
Chauffe un ballon contenant de l’eau, et un bloc de cuivre de masse m2=
Un bloc de cuivre. 200 g. Lorsque sa température θ2 atteint 100°C, introduire
immédiatement le bloc de cuivre chauffée dans le calorimètre.
A l’aide de l’agitateur, mélange doucement le contenu du calorimètre, lorsque l’équilibre thermique s’établit
entre le système S1= {la masse m1 d’eau, calorimètre} et le système S2= {le bloc de cuivre}, relever la
température d’équilibre θ0.
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Exploitation :
Donner les expressions de variation de l’énergie interne ΔU1 du système S1, ΔU2 du système S2 et ΔU du système S = {S1 ; S2}.
Etablir l’expression de la capacité calorifique du calorimètre, et déterminer sa valeur.
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Fiche technique N° : 12
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 7 : Energie thermique et transfert thermique
Objectifs :
Réaliser des mesures calorimétrique pour déterminer la chaleur latente de fusion de la glace sous pression atmosphérique.
Un Calorimètre de capacité µC et ses Placer un thermomètre dans un cristallisoir contenant de l’eau et quelques glaçons ;
Un cristallisoir. Verser une quantité d’eau chaude dans le calorimètre et peser l’ensemble {l’eau versée, le calorimètre}.
Des glaçons. Noter sa masse m’, et en déduire la masse m1 d’eau versée. L’eau et le calorimètre constituent le système A.
Chauffe ballon. Agiter le contenu du calorimètre, et lorsque l’équilibre thermique s’établit entre l’eau et le calorimètre,
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Un chauffe ballon. Le bloc de glace constitue le système B. Mesurer la masse de l’ensemble {SA ; SB} et en déduire la masse
m2 du bloc de glace ;
Agiter l’ensemble {SA ; SB}, attendre que l’équilibre thermique se soit établi entre le système A et le système
Exploitation :
La masse m2 du bloc de glace se transformer d’abord en une masse m2 d’eau sans variation de la température 0°C, ensuite sa température s’élevé de 0°C
à θ2.
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La quantité de chaleur QB transférée au système B est donnée par la relation : QB = m2. Lf + m2. Ceau.(θ2-0°C) ;
Lf désigne la chaleur latente de fusion de la glace, c’est la chaleur qu’il faut fournir à ce bloc de glace pour l’amener entièrement à l’état liquide, à la même
Faire le bilan des échanges de chaleur entre les deux systèmes SA et SB.
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PARTIE 2 : ELECTRICITE
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Chapitre 8 : Champ électrostatique
Fiche technique N° : 13
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 8 : Champ électrostatique
Objectifs :
Bâton de PVC. Prenons un bâton de PVC (polychlorure de vinyle) et approchons le d’une petite boule suspendue par un fil,
Boule suspendu. et on observe.
Fil.
Prenons un bâton de PVC (polychlorure de vinyle) et frottons le avec un morceau de laine, approchons-le
Laine.
Pendule électrostatique. d’une petite boule suspendue par un fil, et on observe.
On considère un pendule électrostatique, constitue par un fin fil isolant auquel est attachée une petite boule
isolante très légère. Il est accordé à un support pour qu’il puisse dévier dans tous les sens sous l’action de
forces électriques. Cette boule est chargée négativement par contact avec un autre corps chargé
négativement.
28
Exploitation :
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Fiche technique N° : 14
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 8 : Champ électrostatique
Objectifs :
La mise en évidence du champ électrostatique crée par une charge électrique ponctuelle.
Générateur de haute tension Relie le cylindre conducteur par le pole positif du générateur à
Cuve en plexiglass haute tension
Cylindre conducteur
Rince le cylindre sur la cuve en plexiglass qui contient l’huile de
Huile de paraffine
Semoule paraffine
Exploitation :
30
Suivre le déplacement des grains, préciser la forme décrite.
Les lignes engendrées par les particules sont-elles parallèles entre elles ou passantes par la pointe ?
Déduire que :
o La ligne de champ est la ligne qui, en chacun de ses points, est tangente au vecteur champ électrique.
o Les lignes de champ sont orienté dans le sens du vecteur champ électrique.
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Chapitre 10 : Transferts d’énergie dans un circuit électrique - Puissance électrique.
Fiche technique N° : 15
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 10 : Transferts d’énergie dans un circuit électrique - Puissance électrique.
Partie : Electricité Activité 1 : Mettre en évidence des transferts d’énergie dans un circuit.
Objectifs :
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Exploitation :
Lampe, moteur, électrolyseur sont des récepteurs électriques, d’après les questions précédentes, donner la définition d’un récepteur
Dans cette expérience on a mis en évidence les différents types de transfert d’énergie électrique fournie par le générateur :
o Au niveau de la lampe il y’a transformation de l’énergie électrique en énergie rayonnante et en énergie thermique.
o Au niveau de l’électrolyseur il y’a transformation de l’énergie électrique en énergie chimique et en énergie thermique.
o Au niveau du moteur il y’a transformation de l’énergie électrique en énergie mécanique et en énergie thermique.
33
Fiche technique N° : 16
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 10 : Transferts d’énergie dans un circuit électrique - Puissance électrique.
Objectifs :
Générateur réglable ; Sur le culot d’une lampe sont gravées, les valeurs nominales de la tension (ou de l’intensité) et de la puissance
Fils de connexion ; qui correspondent aux conditions normales d’utilisation
Une lampe ; conseillées par les constructeurs
Interrupteur ; Réaliser le montage ci-contre, comportant la lampe (6V ; 0,6 W).
Un voltmètre ; Ajuster la tension délivrée par le générateur afin que la tension UAB
34
Exploitation :
Comparer, dans chaque cas ; le produit 𝐔𝐀𝐁 × 𝐈 à la puissance nominale donnée par le constructeur.
Un dipôle ohmique alimenté sous une tension alternative reçoit une puissance P égale au produit de la tension efficace U entre ses bornes par l’intensité
𝑷= 𝑼×𝑰
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Chapitre 10 : Transferts d’énergie dans un circuit électrique – Effet Joule.
Fiche technique N° : 17
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 10 : Transferts d’énergie dans un circuit électrique – Effet Joule.
Partie : Electricité Activité 3 : Conversion d'énergie électrique en énergie thermique par effet Joule.
Objectifs :
Calorimètre (ordre de grandeur : 400 Placer une masse m (mesurée précisément) d'eau dans le calorimètre (ordre de grandeur : 400 grammes).
Installer le thermomètre, la résistance chauffante, l'agitateur et vérifier
grammes).
que l'équilibre thermique est atteint (la température est stable).
Fils de connexion Relier la résistance chauffante au générateur, qui doit rester éteint,
Un voltmètre placer le voltmètre de manière à mesurer la tension aux bornes de la
résistance.
Un ampèremètre
Après mise en route du générateur et réglage du courant à 3A, relevez
Conducteur ohmique de résistance (la régulièrement pendant 6 à 8 minutes le temps et la température.
Thermomètre
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Générateur Agiter calmement, régulièrement et constamment l'eau pour homogénéiser la température dans le
Chronomètre calorimètre.
Exploitation :
Donner l’expression de l'énergie thermique Q reçue par {l'eau+ calorimètre} en fonction de la variation de température, la masse d'eau et la valeur de
la capacité calorifique de l'eau.
Compléter le tableau suivant et tracer un graphique Energie thermique en fonction du temps.
t (min) 0 3 9 15
C)
Q (J)
Le graphique obtenu est une droite. Déterminer la valeur du coefficient directeur de la droite et le comparé avec le produit R. I².
En déduire l'expression de l’énergie électrique Eélec consommée par la résistance pendant toute l'expérience à partir de U, I et la durée Δt en seconde
déterminée par votre tableau de mesures.
L’énergie absorbée par la résistance est fourni sous forme énergie thermique c’est l’effet de joule. Donner l’expression de l’énergie dissipée par effet
joule en fonction de R, I et Δt.
Le conducteur ohmique placé dans le calorimètre transforme toute l’énergie électrique qu’il reçoit, en énergie thermique.
𝑸 = 𝑹. 𝑰𝟐 . ∆𝒕
37
Chapitre 11 : Comportement global d'un circuit électrique.
Fiche technique N° : 18
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 11 : Comportement global d'un circuit électrique.
Objectifs :
Fils de connexion
Ampèremètre
Générateur
Voltmètre
Mesurer les tensions U1, U2, U3 entre les bornes des lampes ;
Mesurer les intensités I1, I2, I3 du courant parcourus ;
38
Exploitation :
Déduire des premières mesures l’énergie électrique We(géné) fournie par le générateur au circuit pendant une minute.
Partir des deuxièmes mesures, donner la valeur des énergies électrique We (résistance 1), We (résistance 2) et We (résistance 3) reçues par chacun des
Quelle est la relation qui lie We (géné) et We (résistance 1), We (résistance 2) et We (résistance 3).
Lors d’un circuit des récepteurs quelconques en série (résistances, lampes, moteurs…) la tension entre les bornes de générateur est égale à la somme des
𝑼 = 𝑼𝟏 + 𝑼 𝟐 + 𝑼𝟑
39
Fiche technique N° : 19
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 11 : Comportement global d'un circuit électrique.
Objectifs :
Fils de connexion Mesurer les tensions U1, U2, U3 entre les bornes des lampes ;
Générateur
Voltmètre
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Exploitation :
Déduire des premières mesures l’énergie électrique We(géné) fournie par le générateur au circuit pendant une minute.
A partir des deuxièmes mesures, donner la valeur des énergies électrique We (lampe 1), We (lampe 2) et We (lampe 3) reçues par chacun des lampes en
une minute.
Quelle est la relation qui lie We (géné) et We (lampe 1), We (lampe 2) et We (lampe 3).
Lors d’un circuit des récepteurs quelconques en série (résistances, lampes, moteurs…) la tension entre les bornes de générateur est égale à la somme des
𝑰 = 𝑰𝟏 + 𝑰 𝟐 + 𝑰𝟑
41
Fiche technique N° : 20
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 11 : Comportement global d'un circuit électrique.
Objectifs :
Résistance.
Ampèremètre.
Voltmètre.
Fils de connexion.
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Exploitation :
Détermination de l'énergie électrique transférée en 120s par le générateur pour chacun des associations des résistances.
43
PARTIE 3 : MAGNETISME
44
Chapitre 12 : Le champ magnétique.
Fiche technique N° : 21
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 12 : Le champ magnétique.
Objectifs :
Barreau aimanté.
45
Exploitation :
Les parties de l’aimant où se fixent la limaille de fer constituent les pôles de l’aimant.
La direction des 2 extrémités de l’aimant représentent les pôles géographiques : Nord et Sud.
46
Fiche technique N° : 22
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 12 : Le champ magnétique.
Objectifs :
Aimant Placer l’aiguille aimantée sur la table horizontale, éloigné de tout objet susceptible d’interagir avec l’aiguille.
Placer l’aiguille sur la table et laisser s’orienter librement, puis approcher l’aimant de l’aiguille aimantée.
Table horizontale.
Générateur de tension.
Aiguille aimantée.
Rhéostat.
Ampèremètre.
Interrupteur K.
Fil MN.
47
Réaliser un circuit en série, disposé le fil MN horizontalement au-dessus de l’aiguille aimantée.
Exploitation :
En absence de courant électrique, la direction de fil est en parallèle à celle de l’aiguille, quand on ferme l’interrupteur K, un courant électrique passe dans
L’aiguille aimantée si elle est placée loin de tout objet qui peut influe sur son orientation, elle suit le champ magnétique de la terre, mais si on la mettre
sous l’effet de champ magnétique d’un objet ou d’un système, sa direction changera.
48
Fiche technique N° : 23
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 12 : Le champ magnétique.
Objectifs :
Aimant droit. Placer l’aimant sur une table horizontale selon une direction quelconque, puis déplacer l’aiguille aimantée
en différents points du champ magnétique crée par l’aimant.
Aimant en ‘’U’’.
A l’aide d’un Teslamètre, mesurer l’intensité du champ magnétique en différents points, pour l’aimant droit
Conducteur. aussi que pour l’aimant en ‘’U’’.
Aiguille aimantée.
Teslamètre.
49
Exploitation :
L’aiguille aimantée placée en différents points du voisinage de l’aimant prend une direction et un sens diffèrent de celui l’initial.
A l’intérieur de l’aimant en ‘’U’’, le champ magnétique est uniforme, il a la même direction, même sens et la même intensité.
Les caractéristiques du vecteur champ magnétique en un point sont donnés par une aiguille aimantée :
o Direction SN de l'aiguille ;
Si le vecteur champ magnétique garde les mêmes caractéristiques en différents points, il est dit uniforme.
50
Fiche technique N° : 24
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 12 : Le champ magnétique.
Objectifs :
Aimant droit. Saupoudrer la limaille de fer sur la plaque de verre, puis placer la plaque sur l’aimant droit.
Observer l’orientation de la limaille de fer.
Aimant en ‘’U’’.
Placer quelques aiguilles aimantées sur le spectre, et observer leurs orientations.
Limaille de fer. Répéter la même manipulation pour l’aimant en ‘’U’’.
Plaque de verre.
Aiguilles aimantées.
51
Exploitation :
En présence de l’aimant, les grains de limaille de fer se comportent comme autant d’aiguilles aimantées qui s’orientent sous l’action du champ magnétique.
L’ensemble des orientations des grains de fer constitue un spectre, ce sont les lignes de champ magnétique.
Les lignes de champ magnétique sont toujours orientées du pôle Nord magnétique vers le pôle Sud magnétique.
Les lignes de champ sont des courbes tangentes au vecteur champ magnétique en chacun de leurs points.
La ligne de champ est orientée dans le sens du champ magnétique du pôle Nord vers le pôle Sud.
52
Chapitre 13 : Le champ magnétique crée par un courant.
Fiche technique N° : 25
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 13 : Le champ magnétique crée par un courant.
Partie : Magnétisme Activité 1 : Mise en évidence le champ magnétique crée par un conducteur circulaire (bobine plate).
Objectifs :
Support de carton horizontal. Inverser le sens de courant et remettre l’aiguille au centre de la bobine.
Aiguille aimantée.
Limaille de fer.
53
Exploitation :
Une bobine plate parcouru par un courant électrique crée un champ magnétique dont la direction est l’axe de la bobine.
Une bobine parcourue par un courant se comporte comme un aimant, elle possède une face Nord et une face Sud.
Un conducteur parcouru par un courant engendre une interaction électromagnétique avec un aimant ou une aiguille aimantée.
54
Fiche technique N° : 26
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 13 : Le champ magnétique crée par un courant.
Objectifs :
Support de carton horizontal. Inverser le sens de courant qui passe dans le fil et observer l’orientation des aiguilles.
Aiguilles aimantées.
55
Exploitation :
Le fil parcouru par un courant d’intensité I crée un champ magnétique dont les lignes de champ sont des cercles concentriques centrés sur le fil et situé
Un conducteur parcouru par un courant engendre une interaction électromagnétique avec un aimant ou une aiguille aimantée.
56
Fiche technique N° : 27
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 13 : Le champ magnétique crée par un courant.
Partie : Magnétisme Activité 3 : Mise en évidence le champ magnétique créé par un solénoïde.
Objectifs :
Connaitre comment on détecte un champ magnétique au centre d’un solénoïde et comment on détermine ses caractéristiques.
57
Exploitation :
A l’aide d’un Teslamètre, nous allons mesurer la valeur du champ magnétique à l’intérieur du solénoïde.
On mesure B pour différentes valeurs de l’intensité du courant I :
I (A) -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5
BC(500) -6.28 -5.03 -3.77 -2.51 -1.26 0.0 1.26 2.51 3.77 5.03 6.28
BC(1000) -12.57 -10.05 -7.57 -5.03 -2.51 0.0 2.51 5.03 7.57 10.05 12.57
La courbe qui caractérise B = f(I) est une droite passante par (0,0) Donc B = KI avec K le coefficient de proportionnalité
o Le coefficient de proportionnalité ne dépend que du nombre de spires par unité de longueur.
o On mesure k ≈1,25.10-6 N/ℓ et la quantité 1,25.10-6 est indépendante de la géométrie de la bobine.
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Résultat attendue et conclusion :
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Chapitre 14 : Les forces électromagnétiques.
Fiche technique N° : 28
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 14 : Les forces électromagnétiques.
Objectifs :
Une alimentation continue L'expérience du rail de Laplace est constituée de deux rails
Un aimant en U parallèles fixes alimentés par des conducteurs et une source
Un rail de Laplace constitué de deux
continue. Le circuit est fermé par un rail mobile conducteur
rails parallèles fixes ainsi que un
barreau mobile de cuivre relié à un susceptible de rouler sur les deux rails parallèles. Le rail mobile
circuit électrique. est placé entre les branches d'un aimant en U.
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Exploitation :
o Lorsque l'on inverse le sens du courant électrique parcourant le barreau de cuivre, on constate qu'il se met en mouvement dans le sens oppose.
o Le même phénomène est observé si on retourne l'aimant en U (en inversant les pôles).
Le sens de la force de Laplace dépend donc du sens du courant électrique dans le conducteur ainsi que du sens du champ magnétique.
Remarque :
Pour déterminer le sens de la force de Laplace, on utilise la règle de la main droite. En utilisant sa main droite, on dirige le pouce dans le sens du courant,
l'index dans le sens du champ magnétique, la majeure tenue perpendiculairement aux autres doigts donne le sens de la force de Laplace.
Une portion de circuit parcourue par un courant électrique et placé dans un champ magnétique est soumise à une force électromagnétique, appelée force
de Laplace.
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Chapitre 14 : Les forces électromagnétiques.
Fiche technique N° : 29
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 14 : Les forces électromagnétiques.
Objectifs :
L’aimant et la bobine. La bobine est traversée par un courant électrique et subit donc en présence du
champ magnétique impose par l'aimant, une force de Laplace qui va la mettre en
mouvement. La membrane étant solidaire de la bobine elle sera également mise en
mouvement. Le courant étant alternatif, il change de sens régulièrement, ainsi la
force de Laplace change elle aussi de sens. La bobine et donc la membrane se
mettent à vibrer, faisant vibrer l'air ce qui produit un son.
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Fiche technique N° : 30
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 14 : Les forces électromagnétiques.
Objectifs :
Générateur de tension continue (4.5 V Relier les plaques en cuivre aux bornes d’un générateur délivrant une tension continue.
ou 6V) ; Approcher un aimant droit de la bobine : la bobine se met à tourner très rapidement (il est parfois nécessaire
Fils électriques ;
2 plaques en cuivre ;
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Exploitation :
La bobine du rotor est alimentée en courant lorsque les parties dénudées sont en contact avec les plaques en cuivre.
Les Spires constituants la bobine sont alors parcourue par un courant et plonger dans un champ magnétique créé par l'aimant permanent
Elles subissent donc des forces de Lorentz et la bobine est soumise à un couple : le rotor commence à tourner.
Résultat attendue et conclusion :
o Le rotor est constitué d’un ensemble de spires conductrices mobiles autour d’un axe (bobine) dans laquelle peut circuler un courant électrique...
Le moteur le plus simple est constitué d’un cadre rectangulaire pouvant tourner autour d’un axe. (Voir schéma ci-dessous)
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Fiche technique N° : 31
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 14 : Les forces électromagnétiques.
Objectifs :
2 rails en cuivre ; Considérons, à nouveau le dispositif expérimental des rails de Laplace (fiche technique N° 28) ; mais cette
Galvanomètre ; fois on retire le générateur et le remplace par un galvanomètre. Mettre la barre manuellement en mouvement
Ampèremètre ;
Interrupteur ;
Aimant en U ;
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Exploitation :
Lorsque la barre est mise en mouvement manuellement sur les rails en présence du champ magnétique, on constate que le galvanomètre détecte le passage
d'un courant électrique bien qu'aucun générateur n'est relié au circuit. Le mouvement de la barre convertie l'énergie mécanique en énergie électrique.
On dit qu'un appareil réalise un couplage électromécanique si cet appareil permet la conversion de l'énergie électrique en énergie mécanique ou vice-
versa.
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PARTIE 4 : OPTIQUE
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Chapitre 15 : Visibilité d’un objet
Fiche technique N° : 32
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 15 : Visibilité d’un objet.
Objectifs :
Une source lumineuse (Laser) ; On utilise un laser et un écran, on réalise le montage présenté dans la figure ci-dessous :
Ecran ;
Poussière de craie ;
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Exploitation :
En introduisant de la poussière de craie dans l’espace séparant la source de l’écran. Qu’observes-t-on ? Conclure.
On ne voit pas la lumière, mais seulement des « objets » à condition que ces derniers envoient de la lumière dans l’œil de l’observateur.
Les observateurs placés autour du faisceau lumineux peuvent visualiser un faisceau lumineux rectiligne.
Un objet, lumineux ou éclairé, est visible si la lumière qu'il envoie pénètre dans l’œil de l'observateur.
Pour être visible, un objet doit pouvoir envoyer de la lumière dans l’œil de l'observateur. Pour cela, l'objet peut être soit lumineux (il émit de la lumière),
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Fiche technique N° : 33
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 15 : Visibilité d’un objet.
Objectifs :
o (ii) un milieu non homogène, de l'eau contenant une solution de sucre concentré à sa base (figure ci-
dessous).
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Exploitation :
Lorsque l'on voit le faisceau laser, on observe un faisceau en ligne droite. Cette observation nous permet de modéliser le trajet de la lumière puisque : la
lumière se propage en ligne droite dans le vide et dans le tout milieu transparent homogène.
On utilise alors le modèle du rayon lumineux est une ligne orientée dans le sens de la propagation de la lumière.
Dans un milieu homogène, la lumière se propage en ligne droite (ses propriétés sont les mêmes en chaque point).
Dans un milieu hétérogène, nous savons que la lumière peut se propager en courbe.
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Fiche technique N° : 34
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 15 : Visibilité d’un objet.
Objectifs :
Une alimentation ; Placer le miroir plan sur le disque gradué comme indiqué sur le schéma.
Un disque gradué ;
Un miroir.
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Manipulation 2 : Réfraction de la lumière
Allumer la source lumineuse et la régler de manière à obtenir un pinceau lumineux le plus fin possible.
Placer la source lumineuse de telle sorte que le rayon incident arrive sur le point d’incidence I et que l’angle
d’incidence i = 20°.
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Exploitation :
Manipulation 1 :
Lorsqu’un miroir, constitué d’une vitre ou d’une surface métallique polie, reçoit un faisceau de lumière,
Le rayon émit par la source laser, à la surface métallique au point I dévie dans une direction particulière.
Manipulation 2 :
Mesurer pour différentes valeurs de l'angle d'incidence, les valeurs de l'angle réfracté. Compléter le tableau suivant :
i (en °) 0 10 20 40 60
r (en °)
Sin i 0
Sin r
𝐬𝐢𝐧 𝒊 Non défini
𝐜𝐨𝐬 𝒓
2ème loi de Descartes : l'angle de réflexion est égal à l'angle d'incidence : i=i'. Loi de la réflexion.
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Chapitre 16 : Image formée par un miroir plan.
Fiche technique N° : 35
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 16 : Image formée par un miroir plan.
Objectifs :
Miroir plan avec un support ; En visant à travers la goulotte posée sur la feuille, repérez soigneusement 3 positions de cette goulotte
permettant d’observer l’épingle par le miroir. Repérer les positions de la goulotte par deux points éloignés
Epingle ;
en numérotant les couples de points. Une fois le relevé de ces points terminés, tracer les directions
Goulotte ;
correspondantes.
Feuille de papier millimétré.
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Fiche technique N° : 36
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 16 : Image formée par un miroir plan.
1.1.1 Partie : Optique Activité 2 : Etude expérimentale des deux lois de Descartes pour la réflexion.
Objectifs :
Une vitre en verre L'expérience consiste à utiliser deux bougies identiques, dont l'une est allumée. On place celle qui est allumée d'un côté la
« vitre-miroir » et on observe alors son image dans la vitre.
d’environ 20cm*30cm
On place alors la bougie éteinte de l'autre côté de la vitre, de façon qu'elle coïncide avec l'image : la deuxième bougie
2 bougies identiques semble allumée. (Fig. 1).
Un briquet ou deux On constate alors que la position de la deuxième bougie est le symétrique orthogonal de la première par rapport au plan du
miroir. (Fig. 2).
allumettes
Un plateau tournant
(non indispensable)
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Exploitation :
Chaque rayon issu de la flamme est réfléchi suivant la loi de Snell-Descartes : il est dans le même plan et l'angle de réflexion est égale à l'angle d'incidence.
En prolongeant « en arrière » les rayons réfléchis, que ceux-ci semblent provenir d'un point unique, symétrique du point source S par rapport au miroir.
L’expérience met en évidence le fait que l’objet B et son image B’ sont symétriques par rapport à la vitre (miroir), la lumière de la flamme semble provenir
de la bougie éteinte placée de façon symétrique car la bougie éteinte coïncide avec l'image de la bougie allumée. L'observateur qui place son œil dans le
faisceau réfléchi, reçoit donc de la lumière qui lui semble provenir de ce point.
Tous les rayons issus de B semblent provenir de B’ après réflexion sur le miroir.
L’image et l’objet sont symétriques par rapport au plan du miroir : Ils sont de même taille.
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Fiche technique N° : 37
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 16 : Image formée par un miroir plan.
Objectifs :
Miroir Plan Placez le miroir au centre d’une des extrémités d’une feuille de papier. Repérez par un trait la position de
Un écran percé d’un trou Placez votre œil derrière un écran percé d’un trou. Repérez la position de votre œil sur la feuille (on la note
Déplacez un crayon le plus mince possible et verticalement devant le miroir jusqu’à ce que son image soit
Repérez et marquez différentes positions du crayon sur la feuille réalisant la condition précédente faites de
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Exploitation :
Pour déterminer le champ de vision d'un observateur placé devant un miroir plan, on procède de la manière suivante :
o On trace deux droites ayant pour origine l'image de l'observateur et passant par les extrémités du miroir.
Le champ d'un miroir est la portion de l'espace qu'un Observateur voit dans un miroir.
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Chapitre 17 : Images formées par une lentille mince convergente.
Fiche technique N° : 38
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 17 : Images formées par une lentille mince convergente.
Objectifs :
Source lumineuse ; A l’aide du toucher, on compare les lentilles selon l’épaisseur de leurs bords.
Ecran blanches ; A l’aide d’une source lumineuse, on éclaire chacune de ces lentilles (Fig.2)
Règle.
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Exploitation :
Classification géométrique
Classification physique
Après avoir traversé la lentille à bords minces les rayons lumineux se rejoignent (convergent) en un point. Cette lentille s'appelle lentille convergente
Après avoir traversé la lentille à bords épais les rayons lumineux s'écartent (divergent). Cette lentille s'appelle lentille divergente.
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Fiche technique N° : 39
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 17 : Images formées par une lentille mince convergente.
blanche + un
condenseur intégré à la
lanterne
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1 lentille convergente Manipulation 2 :
Placer l’objet P, intégré à la source lumineuse, sur le banc optique à la graduation 0. Toutes les distances seront mesurées
de distance focale
en mètres. Placer la lentille à la graduation 20 cm, telle que la distance objet-lentille soit p = 0,2 m. Installer l’écran sur
+100 mm
le banc. Vérifier que la hauteur h de l’objet est 0,03 m (voir montage ci-dessous).
1 Ecran blanc
Exploitation :
Manipulation 1 : Vérification de la formule de conjugaison
- Déplacer l’écran de façon à obtenir une image nette de l’objet. Noter la valeur de la distance lentille-écran soit p’ dans le tableau ci-dessous.
p (cm) p’ (m) 1 1 1 1 1
+
𝑝 𝑝′ 𝑝 𝑝′ 𝑓
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1 1 1
Conclusion : On peut maintenant répondre à la problématique 𝑝 + 𝑝′ = 𝑓
Attention !! On attribue le signe moins " –" à γ si l'image et l'objet sont de sens contraires et un signe plus " + " si l'image et l'objet sont dans le même sens.
Donc dans cette expérience, γ sera ...................
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Fiche technique N° : 40
Niveau : 1ère année BAC S. Exp / S. Math Chapitre 17 : Images formées par une lentille convergente.
Objectifs : Déterminer les caractéristiques d’une image formée par une lentille convergente.
convergentes
Manipulation 2 :
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Exploitation :
Manipulation 1 : Etude des rayons caractéristiques
Tout rayon lumineux passant par le centre optique O d'une lentille ne subit aucune déviation.
Tout rayon lumineux arrivant parallèlement à l'axe optique émerge de la lentille en passant par le foyer image, point de l'axe optique noté F'. La distance
Tout rayon lumineux passant par le foyer objet, point de l'axe optique noté F, émerge de la lentille parallèlement à cet axe.
Conclusion : La lentille convergente est caractérisée par son centre optique O et ses deux foyers F et F'.
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Manipulation 2 : Construction graphique de l’image
Sous certaines conditions (conditions de GAUSS), l'image d'un objet plan perpendiculaire à l'axe optique, donnée par une lentille mince convergente, est
Pour obtenir l’image A’B’ d’un objet plan AB perpendiculaire à l’axe optique (A étant sur l’axe et B hors de l’axe) donnée par une lentille mince convergente :
On trace trois rayons incidents particuliers (deux suffisent en pratique, le troisième servant de vérification) issus de B ;
On trace les rayons émergents correspondants qui se coupent effectivement ou non au point B’, image de B donnée par la lentille ;
On construit A’, projection orthogonale de B’ sur l’axe optique : A’ est l’image de A et A’B’ est l’image de AB donnée par la lentille.
Les trois rayons incidents particuliers sont : rayon passant par le centre optique, un rayon passant par le foyer objet, un rayon parallèle à l’axe optique.
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