Recherche bibliographique sur la pêche

minotière

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 Table des matières
INTRODUCTION................................................................................................................................3
 Definition.......................................................................................................................................4
 Les espèces ciblées........................................................................................................................4
 Pourquoi a-t-on développé la pêche minotière ?........................................................................5
 Le processus de la production :...................................................................................................5
 Les Conséquences de la pêche minotière....................................................................................6
 Impact de la pêche minotière sur l’environnement....................................................................7
 Les alternatives à la pêche minotière..........................................................................................8
 Comment les alternatives à pêche minotière pour la production de la farine et d’huile sont –
elles perçues par les consommateurs ?..............................................................................................8
 Réglementation.............................................................................................................................8
 Solutions........................................................................................................................................9
 Aquaculture : La solution d’avenir est –elle à chercher … dans le passé ?............................11
CONCLUSION...................................................................................................................................12
BIBLIOGRAPHIE.............................................................................................................................13

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 INTRODUCTION
La pêche minotière, également connue sous le nom de pêche pélagique ou industrielle,
représente une facette cruciale de l'industrie mondiale de la pêche. Son objectif
principal est de capturer des espèces de poissons pélagiques en grandes quantités pour
les utiliser dans la production de farine et d'huile de poisson, ainsi que dans d'autres
secteurs comme l'alimentation animale et la cosmétique. Cette activité revêt une
importance économique majeure pour de nombreux pays côtiers, mais elle suscite
également des préoccupations croissantes en matière de durabilité et de gestion des
ressources marines.

Dans cette exploration de la pêche minotière, nous nous pencherons sur divers aspects
de cette pratique, notamment ses techniques, ses impacts environnementaux, ses
implications socio-économiques et les défis auxquels elle est confrontée. En examinant
une variété de sources académiques, scientifiques et institutionnelles, nous chercherons à
fournir une vue d'ensemble complète de cette activité cruciale, en mettant en lumière les
avancées récentes, les lacunes de recherche et les perspectives futures.

Au cours de cette étude, nous aborderons des questions telles que l'impact de la pêche
minotière sur les écosystèmes marins, la gestion des stocks de poissons pélagiques, les
réglementations internationales en matière de pêche, les innovations technologiques
dans le secteur, ainsi que les implications socio-économiques pour les communautés
côtières dépendantes de cette activité.

En fin de compte, cette exploration aspire à offrir une analyse approfondie et éclairée de
la pêche minotière, en mettant en lumière ses défis et ses opportunités, et en contribuant
ainsi au débat sur la manière de promouvoir une pêche plus durable et responsable dans
les années à venir.

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 LA PECHE MINOTIERE

 Definition
Pêche industrielle intensive destinée à alimenter les filières industrielles par des petits poissons
pélagiques (anchois péruvien, capelan et merlan bleu, chinchard, tacaud, sprat, lançon etc.) de
faible valeur commerciale, que l'on transformera en farines et huiles de poisson pour
l'alimentation animale en : aquaculture, aviculture, élevage porcin, autres (chat, bovins...).

 Les espèces ciblées

Les ressources halieutiques de la pêche minotière proviennent essentiellement des petits
pélagiques (Poissons fourrage) et les krills
Les Caractéristiques des petits pélagiques sont :
 Espérance de vie courte (1 – 4 ans), les populations d'anchois ne contiennent pas de
vieux géniteurs qui amortissent les variations annuelles de recrutement des larves.
Quelques années de surpêche, ou de conditions environnementales défavorables,
suffisent à liquider la biomasse en place.
 Forte fécondité, mais des larves très sensibles aux conditions du milieu : les
variations naturelles de recrutement et donc de biomasse sont élevées.
 Tendance grégaire, avec formation de bancs énormes, faciles à détecter et donc à
capturer.
 Principale source alimentaire, pour de très nombreux super-prédateurs marins
(Mammifères, oiseaux, poissons, céphalopodes)
Les principales espèces sont :

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  Pourquoi a-t-on développé la pêche minotière ?
Le développement de la pêche minotière découle directement de notre incapacité à gérer de
manière durable les stocks de poissons traditionnellement exploités, tels que le cabillaud, qui
étaient autrefois très abondants. Une analyse approfondie des données mondiales sur les captures
de poissons a révélé une diminution annuelle de 1,2 million de tonnes depuis le milieu des années
1990, malgré l'augmentation de la pression de pêche, caractérisée par l'utilisation de navires plus
puissants et plus technologiquement avancés. Face à cette diminution des captures dans le milieu
naturel et à une demande croissante en poissons, l'aquaculture a été présentée comme une solution
pour combler cet écart.

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Ainsi, lorsque les stocks de poissons nobles près des côtes ont été épuisés, les pêcheurs ont
commencé à se tourner vers des espèces plus petites et moins prisées par les consommateurs,
destinées à être transformées en farine et en huile de poisson pour l'alimentation animale, en
particulier en étendant leurs activités dans les eaux plus éloignées des pays en développement.
Cela a souvent entraîné une concurrence directe avec les pêcheries locales fournissant des
aliments essentiels aux populations locales.

Ce cycle destructeur se répercute également au sein de la pêche minotière elle-même, car après
avoir épuisé des espèces telles que les sardines et les anchois, les pêcheurs se tournent maintenant
vers de nouvelles espèces telles que les petits poissons vivant dans les profondeurs ou le krill en
Antarctique.

 Le processus de la production :
En complément des poissons fourrage, la filière recycle en proportions croissantes des produits de
Récupération provenant d'ateliers de proximité (rebuts de filetage et conserveries de poisson,
déchets d'abattoirs de volaille). Ils sont traités dans des usines spécialisées, de niveaux techniques
et d'impact des polluants variables selon la réglementation des pays producteurs, et suivant une
succession de procédés physico-chimiques de séparation solide-liquide.
Les produits issus de cette filière sont périssables, inflammables et oxydables, ce qui nécessite
l'application de méthodes de stockage et de neutralisation chimique spécifiques. En outre,
l'addition par certains pays de compléments nutritifs, antibiotiques ou vermifuges, permet de
compenser la perte en vitamines, ou d'éviter le développement de bactéries et de pathogènes.

Figure 1: Étapes de production de farine et de huile de poisson.

 Les Conséquences de la pêche minotière

La surpêche des petits poissons pélagiques, tels que les anchois, les sardines et le sprat, pose un
grave problème. Ces poissons, également connus sous le nom de poissons fourrage, occupent une
position cruciale dans la chaîne alimentaire en tant que source alimentaire principale pour de
nombreux prédateurs marins tels que le marlin, le thon et le cabillaud, ainsi que pour les oiseaux
de mer et les mammifères marins. Ils jouent également un rôle vital dans l'alimentation des
populations côtières des pays en développement, contribuant ainsi à leur sécurité alimentaire.

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La surexploitation de ces poissons en grandes quantités peut avoir des conséquences désastreuses
sur l'équilibre des écosystèmes marins et sur la subsistance des populations côtières. Tout le
processus lié à la pêche minotière, depuis la capture initiale des poissons destinés à la
consommation humaine, tels que les sardines et les anchois, jusqu'à leur utilisation finale sous
forme de farine de poisson dans les élevages aquacoles, porcins et avicoles, contrevient au Code
de conduite pour une pêche responsable établi par l'Organisation des Nations Unies pour
l'alimentation et l'agriculture (FAO).

Ce code souligne explicitement que la pêche doit contribuer à la sécurité alimentaire et

recommande de limiter la transformation en farine et huile de petits poissons pélagiques destinés
à la consommation humaine, réservant cette pratique aux espèces non consommables telles que
les lançons.

 Impact de la pêche minotière sur l’environnement

Figure 2: les objectifs et les conséquences de la pêche minotière.

La pêche minotière, en raison de son caractère industriel et de la grande quantité de poissons

capturés, peut avoir un impact environnemental significatif. Voici quelques-uns des
principaux aspects de cet impact :

 Surexploitation des stocks de poissons : La pêche minotière cible souvent des

espèces de poissons pélagiques en grande quantité. Une exploitation excessive de ces
stocks peut entraîner un déclin des populations de poissons, perturbant ainsi les
écosystèmes marins et menaçant la biodiversité.
 Capture accessoire : En plus des espèces ciblées, la pêche minotière peut également
capturer des espèces non désirées, connues sous le nom de prises accessoires. Cela
peut inclure des espèces menacées, des juvéniles ou d'autres espèces non

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 commerciales, ce qui peut avoir des implications graves pour la diversité biologique
marine.
 Impact sur les écosystèmes marins : Les techniques de pêche minotière, telles que
l'utilisation de grands filets de pêche, peuvent endommager les habitats marins fragiles
tels que les récifs coralliens, les herbiers marins et d'autres écosystèmes sensibles.
Cela peut entraîner une dégradation de l'habitat et une perturbation des chaînes
alimentaires locales.
 Émissions de gaz à effet de serre : Les navires de pêche minotière, souvent de
grande taille et fonctionnant sur de longues distances, peuvent émettre des quantités
importantes de gaz à effet de serre, contribuant ainsi au changement climatique. Cela
est principalement dû à l'utilisation de carburants fossiles pour propulser les navires.
 Déchets et pollution : Les opérations de pêche minotière génèrent également des
déchets, notamment des filets perdus ou abandonnés en mer, ainsi que des déchets
plastiques provenant des équipements de pêche. Ces déchets peuvent contaminer les
écosystèmes marins et nuire à la faune marine.

 Les alternatives à la pêche minotière

Les alternatives à la pêche minotière pour la production de farine et d'huile de poisson
comprennent l'utilisation de matières premières végétales, telles que le soja importé du Brésil
ou le tournesol. Ces matières premières végétales peuvent remplacer les farines et les huiles
de poisson dans l'alimentation aquacole. Une autre alternative prometteuse est la production
d'huiles riches en oméga-3 à partir de micro-algues, qui peuvent être utilisées non seulement
pour l'alimentation aquacole, mais aussi pour la cosmétique et la pharmacie.

 Comment les alternatives à pêche minotière pour la production de la

farine et d’huile sont –elles perçues par les consommateurs ?

Les alternatives à la pêche minotière pour la production de farine et d'huile de poisson sont
perçues différemment par les consommateurs. Certaines personnes peuvent être favorables à
l'utilisation de matières premières végétales comme le soja ou le tournesol, car elles sont
considérées comme plus durables et moins nocives pour l'environnement. D'autres peuvent
préférer l'utilisation de micro-algues, qui sont une source renouvelable de nutriments et
peuvent être produites de manière plus respectueuse de l'environnement.
Cependant, il est important de noter que les alternatives à la pêche minotière peuvent avoir
un impact sur la qualité des produits finaux. Par exemple, les farines et huiles de poisson sont
riches en oméga-3, qui est essentiels pour la santé humaine et animale. Les alternatives
végétales ou à base de micro-algues peuvent ne pas offrir les mêmes avantages nutritionnels,
ce qui peut être un inconvénient pour certains consommateurs.

 Réglementation

Les réglementations spécifiques sur la pêche minotière varient d'un pays à l'autre et peuvent
être influencées par divers facteurs tels que les objectifs de conservation des ressources

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marines, les préoccupations environnementales, les pratiques de pêche durables et les intérêts
économiques des industries de la pêche et de l'aquaculture.
Cependant, on note certains aspects généraux communs de la réglementation de la pêche
minotière et qui peuvent être présents dans différentes régions du monde :
 Quotas de pêche : Les autorités de gestion des pêches peuvent mettre en place des
quotas de pêche pour limiter la quantité de poissons pouvant être capturée à des fins de
transformation en farine de poisson. Ces quotas peuvent être basés sur des évaluations
scientifiques des stocks de poissons afin d'assurer une exploitation durable.
 Taille minimale et restrictions de capture : Des règles sur la taille minimale des
poissons capturés peuvent être établies pour protéger les populations de poissons en
âge de se reproduire. De plus, certaines espèces de poissons peuvent être soumises à
des restrictions de capture ou à des périodes de fermeture de la pêche pendant les
périodes de reproduction.
 Réglementation des engins de pêche : Les types d'engins de pêche autorisés peuvent
être réglementés pour minimiser les prises accessoires et réduire les impacts sur
l'environnement marin.
 Surveillance et contrôle : Des mesures de surveillance et de contrôle peuvent être
mises en place pour garantir le respect des règles et des quotas établis. Cela peut
inclure la surveillance par satellite, les inspections en mer et à quai, ainsi que des
sanctions en cas de non-conformité.
 Certification et labels : Dans certains cas, des programmes de certification et des
labels peuvent être mis en place pour promouvoir la pêche minotière durable et
garantir que les produits proviennent de sources responsables.

En Afrique :
Le secteur de la pêche minotière en Afrique est en développement continue en termes de
volumes et de valeurs des captures, cependant, il connait un retard remarquable au niveau de
la législation sans que cela ne soit pris en compte de manière explicite dans les statistiques
nationales.
Le fait que l’Afrique de l’Ouest soit devenue le théâtre principal de la pêche minotière
mondiale, s’explique non seulement par un renforcement des contrôles et la mise en place de
politiques de quotas de prélèvements au Pérou, mais également parce que la corruption et le
manque de moyens de surveillance – humains et financiers – rendent plus facile le
développement de ce genre d’activités dans les eaux africaines. Il est très facile pour un
industriel de s’y rendre, d’y extraire des quantités astronomiques de poissons de façon plus ou
moins légale, moyennant quelques bakchichs.

Les raisons de ce retard :

 Manque de moyens :
 Surveillance et application des réglementations insuffisantes.
 Capacités techniques et scientifiques limitées.
 Manque de coordination :

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  Fragmentation des efforts de gestion entre les pays.
 Absence de données fiables sur les stocks de poissons.
 Conflits d’intérêts :
 Pression des pêcheurs et des industries de la pêche.
 Corruption et manque de transparence.

 Solutions
a) Pour maintenir une pêche minotière (Gestion des pêches)
 Perfectionner le suivi et partage des informations halieutiques (Institutions et agences
scientifiques)
 Contrôle des zones de pêche (ZEE; eaux internationales…)
 Respect des recommandations émis par les agences scientifiques officielles (CIEM,
EUROSTAT, FAO, etc…)
 Reconnaître l’importance de la biodiversité dans l’équilibre et le fonctionnement des
écosystèmes
 Améliorer la politique de gestion des pêches (changer de paradigme: RMD-financier
Écosystémique)
 Proscrire le gaspillage des produits de la mer
b) Pour faire face à la surexploitation
 Diminuer notre demande en poissons carnivores d’élevage (saumon, bar, cabillaud
etc.), en porcs et en volailles.
 Utiliser les poissons sauvages consommables (anchois, sardines etc.) pour la
consommation directe et non pour la transformation en farine et en huile.
 Interdire la certification "pêche durable" pour la pêche minotière.
 Mettre au point des solutions circulaires telles que la culture d'insectes pour nourrir
les animaux d’élevage. Cela permettrait, en outre, une meilleure gestion des déchets
et de la production de protéines.
 L'UE doit devenir un modèle en refusant de réduire du poisson sauvage pour nourrir
des animaux d’élevage. Une loi interdisant l'utilisation de farine de poisson dans
l'alimentation animale devrait être promulguée.
 Réglementation et gestion durable des ressources : Mettre en place des quotas de
capture, des périodes de fermeture saisonnière, des tailles minimales de capture et
d'autres mesures de régulation pour garantir une exploitation durable des populations
de poissons.

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  Surveillance et contrôle : Renforcer les efforts de surveillance pour garantir le respect
des réglementations et lutter contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée
(INN).
 Utilisation de techniques de pêche sélectives : Encourager l'utilisation de méthodes de
pêche plus sélectives qui réduisent les prises accessoires et minimisent les dommages
aux écosystèmes marins. Cela peut inclure l'utilisation de filets à mailles sélectives, de
dispositifs de séparation des espèces et d'autres innovations technologiques.
 Protection des zones sensibles : Établir des aires marines protégées (AMP) et des
zones de gestion marine pour protéger les habitats sensibles et les populations de
poissons vulnérables.
 Encouragement à la recherche et au développement durable : Investir dans la
recherche et le développement de technologies et de pratiques plus durables pour la
pêche minotière, telles que l'aquaculture durable, les alternatives à la farine de poisson
et l'utilisation de sources de protéines alternatives dans l'alimentation animale.

 Aquaculture : La solution d’avenir est –elle à chercher …

dans le passé ?
L'aquaculture industrielle de poissons carnivores,
nécessitant des farines de poissons sauvages et posant les
problèmes environnementaux les plus nombreux et
sévères, connaît une croissance très rapide. Or ces
pratiques ne sont pas durables, des solutions de rechange
doivent donc être développées d'urgence. En premier lieu,
nous pourrions nous inspirer de l'aquaculture qui s'est
développée en Chine il y a des milliers d'années et que nous appelons aujourd'hui
"aquaculture multi-trophique intégrée". Ce terme complexe cache un programme agricole
vertueux par lequel les poissons se nourrissent des déchets de l’agriculture (par exemple dans
les étangs et les rizières), fertilisant eux-mêmes les plantes en libérant des nutriments. Les
programmes d'aquaculture multi-trophique intégrée couplés à d’autres initiatives, par exemple
la fabrication de farines protéinées à partir d’insectes plutôt que de poissons, pourraient
donner naissance à un système de recyclage entièrement bénéfique, permettant d'éliminer la
présence de poissons fourrage dans les farines, sans les remplacer par d'autres sources
problématiques de protéines et de matières grasses (soja, huile de palme). Parmi les exemples
les plus intéressants figurent les fermes qui utilisent le sang récupéré dans les abattoirs ou les

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déchets organiques de la grande distribution pour nourrir les larves d'insectes qui sont ensuite
transformées en aliments pour animaux.

CONCLUSION

En conclusion, ce rapport bibliographique sur la pêche minotière met en lumière

l'importance de cette pratique dans l'industrie de la pêche. À travers une analyse
approfondie des différentes études et recherches disponibles, nous avons pu explorer les
aspects économiques, environnementaux et sociaux de la pêche minotière.

La transition vers des pratiques durables est impérative pour la pêche minotière, afin de
garantir la préservation des ressources marines et de la biodiversité. Une gestion efficace
des stocks est essentielle pour éviter la surexploitation et maintenir l'équilibre des
écosystèmes marins.

Il est primordial d'évaluer et de réduire l'impact environnemental de la pêche minotière,

en mettant l'accent sur la protection des habitats marins sensibles et la réduction des
prises accessoires. L'innovation technologique peut jouer un rôle clé dans l'amélioration
de l'efficacité de la pêche tout en minimisant son empreinte écologique.

La gestion responsable des déchets et la lutte contre la pollution liée à la pêche minotière
sont des aspects cruciaux pour préserver la santé des océans et des écosystèmes marins.
La collaboration entre les acteurs de l'industrie, les gouvernements et les organisations
internationales est indispensable pour mettre en œuvre des politiques de gestion des
pêcheries minotières efficaces et durables.

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En conclusion, la pêche minotière doit évoluer vers des pratiques plus durables,
intégrant des considérations environnementales, sociales et économiques pour assurer sa
viabilité à long terme et contribuer à la préservation des océans et des ressources
marines pour les générations futures.

BIBLIOGRAPHIE

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https://www.pdm-seafoodmag.com/lactualite/farine-et-huile-de-poisson-indispensables-
mais-remplacables/
https://www.greenpeace.org/static/planet4-africa-stateless/2021/05/a69ef97c-nourrir-le-
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Géographie, économie, société 2023/4 (Vol. 25), pages 515 à 535

https://aquaculture-aquablog.blogspot.com/2018/02/ue-peche-minotiere-farine-huile
https://www.20minutes.fr/planete/824626-20111116-elevage-poisson-solution-nourrir-
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https://www.humanite.fr/societe/surpeche/frederic-le-manach-la-peche-minotiere-nest-ni-
controlee-ni-vraiment-reglementee-797026

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