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Mémento de Français 3e
Transféré par Maryse Dechoz le Nov 24, 2021

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FRANÇAIS

Pet mémeno : les principaux outls d’analyse des exes à connaîre.

Ce document sera ulisé avec proft comme un oul pour réviser les cours, sous réserve de s'y réérer très
régulièrement au cours de l'année, afn de laisser le temps à la mémoire d'assimiler et disnguer clairement (sans
mélange ni conusion!) les diérentes inormaons et rappels présentés. Il s’agit de noons techniques, n’oubliez pas
que le sens du texte à étudier est toujours le plus important. Ulisez le diconnaire au maximum pour l'orthographe
et le sens précis des mots.

Les ypes de exes


- Narratf : raconter une histoire, récit.
- Explicatf : expliquer des aits objecs et incontestables : objectvié d'une explicaton.
- Argumenatf : convaincre, persuader quelqu’un : subjectvié d'une argumenaton.
- Descriptf : décrire des lieux, des objets, des personnages : porrai physique ou moral.
Une descripon peut être mélioratve : l'objet ou le personnage décrit apparait très posis aux yeux du lecteur,
ou dépréciatve : il apparait au contraire dévalorisé, néga.

Narraton
Le narraeur est celui qui raconte. Il ne aut jamais l'assimiler à l'aueur, personne réelle, sau dans l'autobiographie.
Le narrateur, comme les personnages, sont fcs ( cton = créaon de l'imaginaon).
2 possibilités : - narraeur exerne (récit à la 3ème personne).
- narraeur inerne (récit à la 1ère personne).

Schéma narratf étudie un récit à travers le déroulemen e l'enchaînemen des événemens , des épisodes de
l'histoire entre eux ; il comprend 5 éapes :
1. siuaton initale –
2. élémen perurbaeur (ou déclencheur, problème qui se pose) –
3. péripétes (les diérentes aventures qui ont progresser l'histoire) –
4. élémen de résoluton (soluon du problème surgi au début du récit) –
5. siuaton nale .

Schéma acantel étudie un récit à travers les rapports, les liens qui unissent ou opposent les personnages ou
« actants » ; il déni donc le rôle de chaque personnage :
héros –
adjuvan (personnage qui aide le héros dans sa quête) –
opposan –
obje de la quêe (ce que cherche le héros tout au long du récit)

Le poin de vue dans le réci (on di égalemen focalisaton = qui racone?) :
3 possibilités : - poin de vue omniscien : le narrateur sait tout de l’histoire et de ses personnages.
- poin de vue exerne : on ne connaît pas les pensées des personnages, on les voit agir de l’extérieur.
- poin de vue inerne : le narrateur perçoit la scène à travers un personnage. Ce qu’il connaît de
l’histoire se limite à ce que celui-ci voit, entend ou sent. Il est au courant du passé, du présent du personnage, il
entre parois dans sa conscience. Le point de vue interne se rencontre dans les récits à la 3 ème personne. Mais tout
aussi bien dans les récits à la 1 ère personne lorsque le personnage est le narrateur).

Temps e réci, chronologie e narraton


Le récit ne respecte pas toujours la chronologie des événements racontés :
Prolepse : allusion à des événements ultérieurs, qui seront racontés plus loin dans le récit.
Analepse : retour en arrière ("ash-back").
Sommaire : résumé en quelques phrases d'une longue période de temps.
Ellipse : saut dans le temps; une période ou série d'événements est omise volontairement.
La descripton introduit une pause dans la narraon : pause descriptve = scène.
Un ee de suspense ou d'aene est parois créé.

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FRANÇAIS

RÉCIT - NARRATION
La siuaton d’énonciaton
Un énoncé désigne tout message produit par un énonciaeur , qu’il soit écri ou oral. La siuaton d’énonciaton es
donc le conexe de la producton d’un énoncé : il s’agit d’établir: Qui parle? A qui? Quand? Où? : Contexte de la
communicaon.
Certains mots sont ancrés dans la siuaton d’énonciaton , c’es à dire qu’on ne peu pas les comprendre sans le
conexe de communicaon: Exemples: Aujourd’hui, demain, hier, ici, là, je, tu, nous, vous...
D’autres mots sont coupés de la siuaton d’énonciaton, c’es à dire qu’on les comprend indépendammen du
conexe de communicaon: Exemples: Le même jour, le lendemain, la veille, au même endroit, il, ils...
Schéma de la communicaton (simplié) :

Emeeur ou locuteur ► Message ou énoncé ► Récepteur ou desnataire.

Les modalisaeurs : tout mot qui exprime une appréciaon, un jugement de valeur du locuteur (celui qui parle) sur la
portée son énoncé : ex : Je crois qu’il peut réussir/ Je pense / J’arme / Il semble que /Peut-être, sans doute,
certainement, ranchement/ à mon avis, à dire vrai...

Le exe
Inerexualié: un texte ait réérence à un autre texte par allusion ou citaon directe.
Explicie: ce qui est clairement dit dans un texte. / Implicie: ce qui est sous-entendu dans un texte/ présupposé: Ex:
Ferme la porte!: implicite: la porte est ouverte.
Paraexe: ensemble des indicaons ournies autour du texte lui-même (nom de l’auteur, date de publicaon, tre,
chapeau introducteur, notes, préace, posace, annexes, index, sommaire...).
La ypographie: désigne le type de caractère choisi pour un texte (italique, gras, souligné, Times New Roman...) mais
aussi la mise en page et la ponctuaon.
Auobiographie : aueur= narraeur=personnage principal. L’autobiographie suppose toujours un va-et-vient entre le
passé et le présent de l’écriture, entre un narrateur adulte qui s’observe et se juge lui-même étant enant.
L’autobiographie ne suppose pas toujours la vérité, mais revendique la sincérité. Récit rétrospec en prose qu’une
personne réelle ait de sa propre existence, lorsqu’elle met l’accent sur sa vie individuelle, en parculier sur l’histoire
de sa personnalité.
Mise en abyme : procédé qui consiste à aire apparaître au cœur même d’une œuvre liéraire ou picturale (photo,
peinture) sa propre représentaon en « miniature » : ex : le théâtre dans le théâtre : une pièce est jouée dans la
pièce, certains acteurs sont spectateurs d’une pièce seconde. La mise en abyme are l’aenon sur un thème
essenel de l’œuvre ou souligne l’aspect fc de l’œuvre en démontant ses mécanismes.

Les onaliés (ou regisres): ils renden compe de l'ee produi sur le leceur ou recherché par l'aueur.
Réalisme (aire vrai),
merveilleux (dans le conte de ée ; pacte de non-réalité),
fanastque (hésitaon constante entre explicaon raonnelle et irraonnelle, sans résoluon),
érange (événement inexplicable qui trouve une explicaon raonnelle à la fn),
science-cton (dans le utur),
comique (rire),
humoristque (sourire),
ragique (crainte, pié, pleurs),
pahétque (qui inspire de la pié),
lyrique (expression de senments personnels orts),
dramatque (grande tension),
ironique (dire/ écrire le contraire de ce que l’on veut aire comprendre en s’assurant la complicité du lecteur),
satrique (moque + crique),
parodique (imitaon à visée comique et crique d’un texte modèle),
emphatque (ton très ou trop grandiose, grandiloquent)...

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FRANÇAIS

Figures de syle ou de rhéorique


- Comparaison (on rapproche un comparé d’un comparant avec un oul de comparaison: comme, tel, semblable à,
ainsi que, pareil à...)
- Méaphore: (on rapproche un comparé d’un comparant sans oul de comparaison). La métaphore onconne par
rapprochement / déplacement / transert d’éléments hétérogènes.
- Personnicaton (on traite comme un être humain un objet, une idée, un animal, un végétal) l’inverse de la
personnifcaon est l’animalisaon ou la réifcaon (traiter un être humain en animal ou en objet).
- Anthèse (dans un passage assez long) ou oxymore (dans une expression brève): fgure de style qui consiste à
rapprocher des éléments normalement opposés ou contradictoires. Exemple: «Le soleil noir»: oxymore.
- Gradaton : succession de termes de plus en plus orts/ de plus en plus longs.
- Hyperbole: exagéraon; Exemple: des torrents de larmes, des rivières de sang.
- Antphrase: (fgure qui signale la présence de l’ironie): dire le contraire de ce que l’on veut aire comprendre)
Exemple: «ne travaille pas, tu réussiras!»
- Périphrase : groupe de mots remplaçant un seul mot; Exemples: «la langue de Molière» est une périphrase pour «le
rançais»; «la planète bleue» est une périphrase pour «la Terre».

Poésie
- Alliératon: répéon d’un son consonne.
- Assonance: répéon d’un son voyelle.
- Rimes: - Suivies ou plates (AABB...) / Croisées (ABAB) / Embrassées (ABBA).
Les rimes peuvent être éminines (dernière lere= e muet) ou masculines (autres cas).
- Vers (une ligne d’un poème): alexandrin (12 syllabes), décasyllabe (10), ocosyllabe (8).
- Srophes (groupes de vers séparés par un blanc): disque (2), erce (3), quarain (4), quinle (5), sizain (6), dizain
(10).
- Césure: pause rythmique dans un vers.
- Hémistche: moié d’un vers.
- Figures de syle : comparaison, méaphore, personnicaton, anaphore, énumératon, etc.

Tout d'abord, il aut lire plusieurs fois un poème, et en dégager les idées principales (de quoi ça parle?)
Il aut ensuite savoir analyser la forme e les gures de syle, car cela est nécessaire pour juster vore
inerpréaton du poème (ce que vous en avez compris).*

*Cee méhode es valable pour ou ype de exe.

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ARGUMENTATION
Vocabulaire de l’argumenaton. Argumener, c’es s’eorcer de convaincre, de persuader.
- Thèse : idée générale, point de vue présenté ou déendu par quelqu’un. ( Anthèse: version contraire à la thèse).
Ex : Thèse : l’école est ule / Anthèse : l’école ne sert à rien.
- Argumen: idée plus précise qui vient appuyer une thèse déendue. (Une thèse s’appuie sur plusieurs arguments).
L’argument peut être ratonnel (il ait appel à la raison, à la logique, au bon sens) ou aectf (il joue sur les
senments des lecteurs/ récepteurs.) On parle d’argumen d’auorié lorsqu’on ait appel à une personne (écrivain,
spécialiste d’une discipline donnée) qui partage la même thèse pour prouver que ce que l’on arme est vrai.
- Exemples: plus ils sont précis, meilleurs ils sont. Tirés de l’actualité, de la liérature, de l’art, de la culture en
général, de l’expérience, les exemples illustrent et prouvent l’argument présenté.
- Clichés, séréoypes, lieux communs : idées ou opinions très répandues généralement admises comme des
évidences, des banalités.
- Paradoxes : idées contraires, en contradicon avec l’opinion commune. Idées contradictoires en apparence.
- Réfuaton: démontrer que les arguments de l’adversaire sont aux. (Tu prétends que...mais...).
- Concession: accepter une pare des arguments de l’adversaire. (Tu as raison de dire que...mais...).
- Queston rhéorique : ausse queson, qui conent implicitement sa réponse et oriente donc le jugement de
l’interlocuteur. Ex : N’est-il pas meilleur pour vous de travailler pour réussir ?
- Syllogisme : méthode de raisonnement en trois étapes qui soulignent ortement l’enchainement logique :
armaon ► cause ►conséquence .
Ex : Tous les hommes sont mortels (armaon ou postulat de départ),
Or, Socrate est un homme (cause- évidence, rée de l 'armaon),
Donc Socrate est mortel (conséquence, déducon).

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QUELQUES REPÈRES

Epoque
Mouvemens / Courans liéraires Quelques grands noms
hisorique
Romans de Chevalerie / Courtoisie Chréen de Troyes, Marie de France, François Villon.
Moyen-âge
Fabliaux Rutebeu.
Humanisme Rabelais, Montaigne.
Renaissance
Poètes de la Pléiade Du Bellay, Ronsard.
Baroque / Préciosité La Fontaine, Boileau, Pascal.
XVIIème
Théâtre / Classicisme Molière, Racine, Corneille.
Philosophies des Lumières Voltaire, Montesquieu, Diderot, Rousseau, Descartes.
XVIIIème
Libernage Laclos.
Romansme / Parnasse Lamarne, Chateaubriand, Hugo, Gauthier, Baudelaire.
XIXème Réalisme / Naturalisme Nerval, Balzac, Zola, Flaubert, Maupassant, Stendhal.
Symbolisme / Décadence Verlaine, Rimbaud, Mallarmé.
Surréalisme / Existenalisme Proust, Gide, Apollinaire, Breton, Aragon, Eluard.
Liérature engagée Giraudoux, Sartre, Beauvoir, Camus, Malraux.
XXème
Oulipo Queneau, Prévert.
Nouveau Roman Sarraute, Simon, Robbe-Grillet, Duras.

Les genres liéraires


Genres Réci Poésie Théâre
Roman, nouvelle, conte, biographie, Fable (récit + morale), blason, Comédie, tragédie,
autobiographie, journal inme, ballade, sonnet (2 quatrains + 2 drame, tragi-comédie,
Quelques sous- lere, récit épistolaire (=récit par tercets), poème en prose, comédie-ballet...
genres leres)... calligramme...

Sous-genres du roman / de la nouvelle : policier, Distncton du programme : poésie


antasque, d’amour, d’aventures, réaliste, historique, lyrique / poésie engagée.
de science-fcon, psychologique, de ormaon, de
chevalerie, picaresque, à thèse, euve, de mœurs,
euilleton, à clés ...

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GRAMMAIRE
Les ypes de phrases
- Déclaratve : déclarer, armer.
- Exclamatve : !
- Inerrogatve : ?, inversion sujet-verbe.
- Impératve : ordre, pas de pronom personnel.

Les formes de phrases


- Armatve .
- Négatve : négaon double : ne...pas, ne...rien, ne...plus, ne...jamais / négaon restricve : ne...que.
- Phrase neure : ex : Les résultats de l'examen seront connus aujourd'hui / Phrase emphatque, qui met en valeur un
élément par détachement : ex : C'est aujourd'hui que les résultats seront connus.
- Phrase personnelle : Un train passe toutes les heures. / Phrase impersonnelle : Il passe un train toutes les heures .

Genre des mos: Masculin ou féminin.


Nombre des mos: Singulier ou pluriel.

La naure des mos (= classe grammatcale des mos)


Elle ne change jamais pour un même mot: noms communs (appelés également subsantfs) ou noms propres ,
verbes, adjectfs, pronoms (personnels, possessis, démonstras...), déerminans, adverbes (invariables:
joyeusement, ortement, très, jamais, toujours, dessus, dessous, bien, mal, avec...), prépositons (de, à, dans, sur,
pour, par, sous, sans, entre, parmi, durant, après, avant, avec, contre, vers, à parr de, au-delà de, au-dessus de, à
droite de...etc.), conjonctons ( de coordinaton ou de subordinaton).

Déerminan e Pronom (=Naure)


Une disncon ondamentale : un déerminan ne peut pas onconner seul : il forme avec un nom un Groupe
Nominal (GN) ; à l'inverse, le pronom remplace à lui seul un groupe nominal déjà évoqué dans un texte ou
clairement idenfé (les pronoms sont parois appelés substuts du GN, puisqu'ils le remplacent).
- Pronoms personnels suje : je, tu, il, on, nous, vous, ils, elles. / Pronom impersonnel : on.
- Pronoms possessifs : le mien / la mienne / le en/ le sien/ le nôtre/ le vôtre / le leur...
- Pronoms démonsratfs : celui, celle, ceux, celles (+ci ; +là), ce, ceci, cela, ça).
- Pronoms relatfs (qui introduisent une proposion subordonnée relave ; ils remplacent un antécédent présent
dans la proposion principale ; ils sont également ulisés comme pronoms inerrogatfs dans les quesons, sau
dont): qui, que, quoi, dont, où, lequel, laquelle, lesquels, duquel, auquel...etc.
- Pronoms indénis : nul, personne, rien, aucun, pas un, quelqu'un, quelque chose, n'importe qui, n'importe quoi,
qui/quoi que ce soit, quelques uns, plusieurs, certains, beaucoup, peu, la plupart, tout, tous, chacun, le même,
l'autre, autrui, autre chose, tel...
- Deux pronoms adverbiaux ou adverbes pronominaux : en / y :
- « en » remplace un Complément Indirect introduit par « de » : Il mange des rites= Il en mange.
- « y » remplace un Complément Indirect introduit par « à » : Il va au collège= Il y va.
______________________________________________
- Déerminans ou artcles dénis : le, la, les, l' + Nom.
- Déerminans ou artcles indénis: un, une, de + Nom.
- Déerminans ou artcles parttfs : du pain, de la tarte, de l'eau....
- Déerminans ou adjectfs possessifs: mon, ma, mes, nos, vos, leur + Nom.
- Déerminans ou adjectfs démonsratfs: ce, ces, cet, cee + Nom (+ci ; +là).
- Déerminans ou adjectfs indénis : quelques, certains, plusieurs, quelque, aucun, tel + Nom.

Conjonctons (=Naure)
- Conjonctons de coordinaton: mais, ou, et, donc, or, ni, car : elles servent à relier (coordonner) des mots ou
groupes de mots de même nature.
- Conjonctons de subordinaton: que, parce que, pour que, lorsque, pourvu que, quoique, bien que (+subj.), avant
que (+subj.), après que (+ind.), comme, quand, si, etc. Elles relient une proposion subordonnée à une proposion
principale.

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La foncton des mos


Le verbe (à la ois nature et oncon) est le cœur de la phrase.
Verbes d’éa : être, sembler, paraître, demeurer, devenir, rester...
Verbes pronominaux : se soucier, se laver, se réveiller, se mere, se regarder : ils ulisent dans leur conjugaison les
pronoms rééchis (me, m', te, t', se, s', nous, vous, se, s').
L'ordre des mots dans la phrase rançaise (déclarave) est tradionnellement celui-ci :Sujet – Verbe –
Complément(s).
La foncton d'un mo ou groupe de mos varie selon la place e le rôle du mo dans la phrase:
- Suje. Idenfable au moyen du détachement : « c'est... qui ».
- Verbe.
- Complémen d’Obje Direc (complément essentel : ni déplaçable, ni supprimable ; complète le verbe
directement; répond à la queson quoi ou qui derrière le verbe) (Ex: il mange des rites; il voit la mer)
- Complémen d’Obje Indirec (complément essentel : ni déplaçable, ni supprimable ; complète le verbe par
l’intermédiaire d’une préposion; répond à la queson de qui/ de quoi/ à qui / à quoi. Ex: il parle de ses examens/ il
rappelle à ses élèves de réviser)
- Aribu : du suje ou du COD : l'aribut renvoie au sujet ou au COD par l'intermédiaire d'un verbe d'état : ex : Il est
un élève sérieux (un élève sérieux = il) / il devient un élève sérieux. / Aribut du COD : il croit cet élève intelligent / il
le croit intelligent.
- Complémen Circonsanciel (de temps, de lieu, de manière, de moyen, de but, de cause, de comparaison, de
conséquence, de concession, de condion...) ; on peut toujours les supprimer ou les déplacer.
- Complémen du nom (un nom complète un autre nom par l'intermédiaire d'une préposion) Ex: la maison de mes
parents.
- Complémen d'agen (uniquement à la voix passive : ex : La souris est mangée par le chat)
Pour les adjectfs, trois oncons possibles: épihèe (collé contre le nom qu’il qualife ; supprimable/ devant le
nom : antéposé ; derrière le nom : postposé), aribu (séparé par un verbe d’état ; ne peut être supprimé), apposé
(séparé par une virgule).

Les expansions du Groupe Nominal (=Foncton)


- L'adjectf épihèe : un élève sérieux .
- Le complémen du nom (CDN) : un élève sérieux de la classe .
- La propositon subordonnée relatve (PSR) : un élève qui travaille réussira son examen.

La phrase
La phrase simple ne comporte qu’un seul verbe conjugué, la phrase complexe comporte plusieurs verbes
conjugués. Il y a auan de propositons dans une phrase complexe que de verbes conjugués . Une proposion est
un « morceau » de phrase complexe qui comporte un verbe conjugué et peut être propositon principale,
propositon subordonnée ou propositon indépendane.
- Phrase nominale (ou non-verbale) : phrase sans verbe conjugué: il peut y avoir un verbe à l’infni dans la phrase
nominale (eet produit: pas d’acon, donc immobilité, lenteur, ralenssement, eet de « tableau »)
Succession de verbes conjugués: eet de rapidité : Ex : Il se lève, marche, court, vole.
- Enumératon («eet de liste», virgules, accumulaon) / Juxapositon (on place les éléments les uns à côté des
autres, sans mots-liens ; présence de virgule(s)). / Coordinaton (voir conjoncon de coordinaon ; on relie des mots
ou des groupes de même nature)
- Subordinaton: une propositon subordonnée dépend d’une propositon principale.
Exemple: Les élèves qui apprennent leurs leçons voient leurs résultats augmenter. « qui apprennent leurs leçons »
est une propositon subordonnée relatve (car introduite par le pronom rela « qui ») qui dépend de la proposion
principale « les élèves [...] voient leurs résultats augmenter ».
Exemple : Le proesseur pense que les élèves sont capables de réussir. « que les élèves sont capables de réussir » est
une propositon subordonnée conjonctve (car introduite par la conjoncon de subordinaon « que ») qui dépend
et complète la proposion principale « le proesseur pense ». « Que » n’est pas ici pronom rela, car il n’a pas
d’antécédent.

Les degrés de signicaton de l’adjectf qualicatf


- Degré zéro : un bon élève.
- Comparatf : d’égalié (aussi beau), de supériorié (plus beau / meilleur), d’infériorié (moins beau).
- Superlatf : relatf (le plus beau de tous / le moins beau), absolu (très grand / extrêmement grand).

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Les conneceurs (mos qui relien)


- Les conneceurs spato-emporels siuen l'acton dans l’espace (ici, là, là-bas, devant, derrière, dessus...) e dans
le emps (simulanéié : aujourd’hui, maintenant… / anériorié : hier, d’abord, auparavant, la veille… / posériorié :
demain, alors, ensuite, puis, plus tard, le lendemain...).
- Les conneceurs logiques :
d’additon (on ajoute: et, de plus, en outre...),
d’oppositon (mais, cependant, malgré, bien que, même si, pourtant...),
de cause (en raison de, suite à, parce que, puisque...),
de conséquence (donc, car, c’est pourquoi...).
- Les présenatfs : voici / voilà / c’est / ce sont / il y a / Il est...

Les paroles rapporées


- Discours (on di parfois syle) direc : paroles rapportées telle qu’elles ont été prononcées; présence d’un verbe
introducteur de paroles (dire, répondre, armer...), de guillemets et de rets. Lorsque le verbe de parole est inséré
dans les paroles rapportées, on parle de proposion incise (entre virgules, avec inversion du sujet et du verbe:
Exemple: « Tu réussiras, dit le proesseur, si tu travailles davantage»)
- Discours indirec: les paroles sont placées sous la dépendance du verbe de parole; aenon à la concordance des
temps, aux changements de pronoms...
Exemple: Le proesseur demande à l’élève s’il pense avoir réussi / Le proesseur demanda à l’élève s’il pensait avoir
réussi.
- Discours Indirec Libre: les paroles sont rapportées comme au discours indirect, mais elles ne sont pas sous la
dépendance directe d’un verbe de parole. Le DIL permet souvent l’expression d’un jugement du narrateur sur son
personnage. Ex : « Il le disait clairement. Ils étaient capables de réussir, à condion de travailler. »

CONJUGAISON
Voir l'ensemble des fches de conjugaison pour tous les détails.
Le condionnel est un mode. Il se conjugue au présent et au passé.
Temps composés (auxiliaire être ou avoir +
Temps simples (un seul mo)
partcipe passé)
Je travaille J’apprends J’ai travaillé
Présen Passé composé
Il travaille Il apprend Il a travaillé
Je travaillais J’apprenais J’avais travaillé
Imparfai Plus-que-parfai
Il travaillait Il apprenait Il avait travaillé
Je travaillai J’appris J’eus travaillé
Passé simple Passé anérieur
Il travailla Il apprit Il eut travaillé
Je travaillerai J’apprendrai J’aurai travaillé
Fuur Fuur anérieur
Il travaillera Il apprendra Il aura travaillé
Je travaillerais J’apprendrais J’aurais travaillé
Conditonnel présen Conditonnel passé
Il travaillerait Il apprendrait Il aurait travaillé

Voix (Conjugaison)
Voix actve: le chat mange la souris.
Voix passive: la souris est mangée par le chat; «est mangée»=présent passi (et non pas passé composé); «par le
chat»: complémen d’agen (CA) ou complément du verbe passi .

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