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Projet : DEMOLITION PARTIELLE / RECONSTRUCTION DE L’ECOLE MATERNELLE DU JARDIN PARISIEN- CLAMART (92) Date : 10/08/2023
Doc : CCTP COURANTS FAIBLES Rev. : PRO-0
Réf. : I23003_PRO_0.0_CFA_CT_016_CFA_CCTP COURANTS FAIBLES_0 Auteur : INCET / AJ
Sommaire
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Projet : DEMOLITION PARTIELLE / RECONSTRUCTION DE L’ECOLE MATERNELLE DU JARDIN PARISIEN- CLAMART (92) Date : 10/08/2023
Doc : CCTP COURANTS FAIBLES Rev. : PRO-0
Réf. : I23003_PRO_0.0_CFA_CT_016_CFA_CCTP COURANTS FAIBLES_0 Auteur : INCET / AJ
L’ensemble des prestations du marché du présent corps d’état doit être réalisé selon un calendrier fixant les
phases clefs et remis lors de la soumission. Ce calendrier sera établi sur la base du planning général de
réalisation des travaux exprimé dans les pièces générales du dossier.
Le marché s’applique à tous les travaux et fournitures nécessaires pour une exécution conforme aux règles
de l’art, et à l’ensemble des règlements en vigueur à la date du CCTP. L’adjudicataire gardera une obligation
de résultat relative au fonctionnement et à la surveillance de l’ensemble pendant la durée des travaux jusqu’à
leur exécution.
Les fournitures, installations, recette et mise en exploitation des systèmes, de distribution et de tous les
accessoires s'y rapportant (même s'ils ne sont pas expressément décrits dans les documents du marché) sont
à la charge de l'entreprise du présent corps d’état, la réalisation devant être effectuée dans les règles de l'art.
L’entrepreneur s’engage à exécuter tous les travaux nécessaires à la perfection de l’ouvrage, de manière que
celui-ci, par rapport à l’état actuel des connaissances, présente tous les éléments de durée ainsi que toutes
les conditions d’achèvement nécessaires et qu’il soit en tous points conformes aux règles de l’art.
L’entrepreneur ne pourra pas de lui-même modifier les données du CCTP mais il devra signaler tous les
changements qu’il jugerait utile d’y apporter. Il fournira tous renseignements complémentaires sur tout ce qui
lui semble douteux, non conforme ou incomplet dans les pièces du présent dossier.
Faute de se conformer à ces prescriptions, il deviendra responsable de toutes les erreurs relevées en cours
d’exécution ainsi que des conséquences de toute nature qu’elles entraîneraient.
L’entrepreneur devra prendre toutes les mesures nécessaires pour éviter la dégradation de l’ouvrage dont il
est responsable jusqu’à la réception. Toute remise en état sera réalisée aux frais du présent corps d’état et
sans indemnité.
Sans objet pour le présent projet. L’ensemble des réseaux auront été dévoyé par le lot VRD.
L'Entrepreneur devra effectuer auprès des services du distributeur local d’électricité et de téléphonie les
démarches nécessaires en vue :
- d'obtenir l'approbation sur les spécifications techniques des matériels et appareillages et notamment
des dispositifs de protection électrique et mécanique ;
- d’obtenir l’emplacement du point de raccordement pour chacun des différents réseaux ;
- l’entreprise du présent corps d’état doit la fourniture, la pose et le raccordement de tous les câbles
sous fourreaux ou enterrés depuis la limite de propriété jusqu’au local informatique et sûreté.
Les frais de la totalité des travaux à réaliser dans le domaine public sont à la charge du concessionnaire. Le
lot VRD aura à sa charge les réseaux entre le bâtiment et la limite de propriété, c’est-à-dire : fouilles, sablons,
chambres de tirage, grillage avertisseur, fourniture et pose des câbles, remblais et finition à l’identique de
l’existant.
Les doubles des correspondances échangées entre l'Entreprise et les services du distributeur local seront
obligatoirement adressés au Maître d’Œuvre.
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En cas de divergence entre les plans et le cahier des charges, il appartient à l’entreprise, dans tous les cas,
de prévoir la réalisation des travaux prescrits dans les pièces écrites.
Il appartient à l’Entreprise d’établir son étude de prix en prenant en compte les contraintes définies dans le
présent CCTP, ainsi que toutes sujétions nécessaires à la bonne marche et à la sécurité de ses installations.
L’entreprise titulaire du présent corps d’état ne pourra se prévaloir d'aucune erreur ou omission susceptible
d'être relevée dans les pièces du marché pour refuser l'exécution des travaux nécessaires au parfait
achèvement des installations.
La responsabilité de l’Entreprise subsiste entièrement, tant en ce qui concerne la solidité des ouvrages, vices
ou malfaçons, qu’en ce qui concerne les accidents qui pourraient en être la conséquence pendant l’exécution
des travaux.
L’Entrepreneur sera responsable des dommages de toute nature qui pourraient résulter de l’exécution de ses
ouvrages.
L’Entrepreneur désignera dès la passation du Marché, une personne spécialement chargée du présent corps
d’état. Cette personne devra avoir toutes les compétences requises pour répondre à toutes les questions
concernant les installations et ceci, pendant la durée intégrale d’étude et d’exécution des travaux.
Le contrôle interne auquel est assujettie l'entreprise doit être réalisé à différents niveaux :
- au niveau des fournitures, quel que soit leur degré de finition, l'entrepreneur s'assurera que les
produits commandés et livrés sont conformes aux normes et aux spécifications complémentaires
éventuelles du marché ;
- au niveau du stockage, l'entrepreneur s'assurera que celles de ses fournitures qui sont sensibles aux
agressions des agents atmosphériques et aux déformations mécaniques sont convenablement
protégées ;
- au niveau de l'interface entre lot, l'entrepreneur vérifiera tant au niveau de la conception que de
l'exécution, que les ouvrages à réaliser ou exécuter par d'autres lot permettent une bonne réalisation
de ses propres prestations ;
- au niveau de la fabrication et de la mise en œuvre, le responsable des contrôles internes de
l'entreprise vérifiera que la réalisation est faite conformément aux DTU et aux règles de l'art ;
- au niveau des essais, l'entrepreneur réalisera les vérifications ou essais imposés par le DTU, aux
Règles professionnelles et les essais particuliers supplémentaires exigés par les pièces écrites ;
- chaque câble informatique ou du réseau câblé sera recetté. La recette pourra être effectuée par
l’installateur s’il possède la qualification requise et les appareils de mesure permettant de vérifier la
conformité de chaque liaison et en fournir une version informatisée infraudable. Un exemplaire papier
certifié conforme par l’entreprise sera remis à l’organisme de contrôle du maître d’ouvrage. Toute
liaison défectueuse sera refaite par les soins de l’entreprise ou à ses frais.
1.9. Autocontrôles
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- les essais de fonctionnement des circuits courants faibles conformément aux normes concernées et
aux prescriptions des constructeurs du matériel ;
- le contrôle du fonctionnement des dispositifs de déclenchement,
- les tests statiques et dynamiques pour les câbles cuivre et réflectométrie pour les câbles optiques,
- le contrôle du fonctionnement des installations tels que l’alarme incendie, systèmes C. Faibles, etc...
Tous ces essais pourront être effectués en cours d’exécution. Durant la période des travaux, l’Entreprise devra
effectuer un autocontrôle de ses installations et vérifier la bonne exécution et la conformité avec les normes
en vigueur et règles de l’Art.
L’Entreprise devra consigner par écrit les résultats de son autocontrôle et les transmettre au fur et à mesure
à l’organisme de contrôle, au BET et au maître d’ouvrage.
L’Entreprise établira des fiches d’autocontrôle pour chaque local et pour chaque réseau technique particulier.
Ces fiches sont à fournir avant la réception des locaux correspondants à la maîtrise d’œuvre. Les techniques
spécifiques concernées par la réception sont à joindre au DOE.
1.10. Essais
1.10.1. Généralités
Pendant la période s'écoulant entre l'achèvement des travaux et la réception, le fonctionnement des
installations se placé sous la responsabilité de l'Entrepreneur.
Avant la réception par le Maître d’Œuvre, l'Entreprise devra assumer, et aura à sa charge les frais de
fonctionnement et d'entretien des installations et des équipements provisoirement mis en service pour essais
et réglages ou pour toute autre raison.
Les plans des installations techniques, les notes de calcul détaillées, les fiches techniques des appareils
installés dans le cadre des travaux, seront à fournir au maître d'ouvrage pour contrôle.
Les notes de calcul devront rappeler les hypothèses et les objectifs à respecter.
L'entreprise devra procéder, au minimum, aux essais et vérifications de fonctionnement des installations,
conformément aux dispositions suivant les modalités décrites dans le Cahier des Clauses Techniques
Générales des Marchés et les documents AQC (Agence Qualité Construction).
Immédiatement après le prononcé de la réception, les installations seront remises au Maître de l’Ouvrage, qui
en assurera dès cet instant l’exploitation.
Toutefois, l’entreprise devra assurer après réception et dès la première saison de chauffage, la présence d’un
technicien très qualifié ayant participé aux études et à la réalisation afin de mettre au courant du
fonctionnement le personnel du Maître de l’Ouvrage chargé de l’entretien et de l’exploitation des installations.
Jusqu'à la réception par le Maître d’Œuvre, l'Entreprise devra protéger les installations et équipements contre
tous dégâts pouvant être provoqués par la poussière, l'humidité, l'inondation, la corrosion ou toute autre forme
de détérioration.
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Avant réception des ouvrages par le Maître d’Œuvre, elle devra nettoyer et remettre en état les finitions
détériorées.
Elle prévoira également le remplacement de toutes les lampes ou tubes des appareils d'éclairage qui, pendant
la réalisation des travaux, servaient à l'éclairage du chantier, afin que leur durée de vie soit celle indiquée par
les constructeurs.
Il sera réalisé une séance de formation pour le personnel concerné pour chaque technique spécifique :
- l’alarme incendie ;
- le réseau VDI ;
- les systèmes de sûreté,
- etc.
La liste des participants pour chacune des techniques mises en œuvre sera établie par le responsable
d’exploitation de l’établissement, puis sera datée et visée par chacune des personnes assistant à la formation.
L’original sera remis au le responsable d’exploitation de l’établissement et des copies conformes seront
remises la maîtrise d’œuvre. Il sera fourni à chaque participant une notice explicative établie par l’entreprise.
Les installations feront l’objet d’une réception préalable de la maîtrise d’œuvre avec l’entreprise.
L’installateur aura à sa charge tout le matériel nécessaire à la réalisation des essais précédemment cités, il
devra posséder sur place : l’outillage, les appareils de contrôle et de mesure, les matériels permettant l’accès
aux faux plafonds, et le personnel nécessaire ainsi que les moyens de communication radio, il devra s’assurer
de l’accès à tous les locaux concernés par ses ouvrages par la récupération des clés ou s’assurer la présence
d’une personne ayant accès à tous les locaux.
1.14. Réception
La mise sous tension définitive sera effectuée après la remise à ENEDIS de l'attestation de conformité établie
par l'Entreprise, approuvée par le Maître d’Œuvre, et transmise à la Direction Régionale du Consuel par le
Maître d'Ouvrage.
Le Maître d'Ouvrage entrera en possession des ouvrages dès notification favorable du procès-verbal de
réception.
La recette pourra être réalisée par l’installateur s’il possède les appareils de mesure agréés permettant de
vérifier la conformité de chaque liaison ; les résultats devront alors être contrôlés par l’organisme de contrôle
du maître d’ouvrage. La recette sera réalisée aux frais de l’entreprise pour la totalité des liaisons. Toute liaison
défectueuse sera remplacée par l’entreprise, puis à nouveau recettée.
L'Entreprise doit remettre pour chaque phase du projet les documents techniques suivants, en nombre
d'exemplaires demandés dans les documents Administratifs.
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Durant cette phase de préparation, l'Entreprise présentera les échantillons des matériels.
Il sera présenté impérativement l’échantillon conforme à la spécification du CCTP et, éventuellement l’appareil
« Équivalent » approuvé.
L’entreprise doit prévoir dans son offre la présentation des appareils « IN SITU » sur demande de l’architecte.
1.16.1. Généralités
Les plans établis par l’entreprise seront répertoriés et classés suivant l'ordre du présent dossier et
comprendront :
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- Les plans généraux d'implantation réalisés pendant le chantier, qui seront remis à jour conformément
à l'exécution, ces plans comprendront impérativement l’emplacement des boîtes de raccordement
avec le repère du circuit correspondant ainsi qu’à chaque point d’utilisation ou de commande.
- Les plans de zones d’influence C. Faibles,
- Les plans d’implantation et de cheminement des câbles pour les équipements de sécurité (SSI)
conformément à l’EC4 et à l’EL2.
- Les plans d'exécution de détail,
- Les synoptiques des différentes installations de courants faibles, etc.
- Une liste des pièces de rechange.
Aucune mise en fabrication ne sera autorisée sans un visa favorable délivré par le B.E.T., le Bureau de
Contrôle et le C.S.S.I.
Tous les plans d’exécution devront être réalisés au moyen d’un logiciel informatique compatible avec REVIT
(.rvt et .ifc), AutoCAD (Format .dwg) et PDF.
À partir d'une nomenclature générale de tous les matériels précisant : marque, adresse du constructeur et
type, l’entreprise devra, pour chaque matériel :
- établir une fiche précisant en détail, modèle, type, référence du constructeur, principales
caractéristiques techniques, etc.;
- fournir les notices de fonctionnement et d’entretien des installations et matériels ;
- joindre une documentation technique et éventuellement plan du Constructeur ;
- fournir une copie des procès-verbaux d'essais et de description d'essais par un organisme Officiel en
précisant en particulier l’indice de protection (IP et IK), et la résistance au fil incandescent.
Tous les documents seront rédigés en langue française.
À la fin des travaux, l'Entreprise devra fournir au BET pour contrôle et validation un dossier de récolement
comprenant toutes les informations nécessaires au bon fonctionnement de ses installations.
Pour l’établissement du dossier d’ouvrages exécutés (DOE), les notices et nomenclatures de tout le matériel
utilisé et le dossier de maintenance, les plans, les schémas et les synoptiques de récolement seront fournis
en tirage papier et également sur support informatique, DWG sur CD ROM.
Ces documents seront fournis en un exemplaire au BET pour avis et contrôle au moins 15 jours avant la
réception des ouvrages.
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Il sera réalisé impérativement un jeu de plans spécifique à chacun des équipements et réseaux courants
faibles tels que : SSI, VDI, contrôle d’accès, alarme intrusion, interphonie etc. de façon à limiter la diffusion
des renseignements aux seuls intervenants concernés.
1.19. Garanties
1.20. DIUO
Dans le cadre de la réglementation du 26.12.1994, un D.I.U.O. doit être obligatoirement constitué par le
coordinateur S.P.S.
De ce fait, chaque entreprise doit transmettre en 3 exemplaires les DOE après visa par le BET de la maîtrise
d’œuvre. Ces éléments sont le reflet des mesures à prendre avant toute intervention afin que celle-ci se
déroule en toute sécurité en localisant l’ouvrage et son moyen d’accès. Le DIUO se compose des éléments
suivants :
- les dispositions prises pour les travaux d’intérieur avec accès aux gaines techniques ;
- les indications relatives aux locaux techniques et sanitaires mis à la disposition du personnel chargé
des travaux d’entretien, lorsque ces locaux existent ;
- le dossier de maintenance : niveau d’éclairage, règles d’entretien ;
- installation et vérification initiale des équipements électriques.
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- à la norme NF C 15-100 de décembre 2002 + mise à jour de juin 2005 + amendement n°1 d’août 2008
+ amendement n°2 de novembre 2008 + amendement n°3 de février 2010 concernant les règles
d’installations électriques à basse tension + amendement n°4 de mai 2013 et amendement n°5 de juin
2015 ;
- au guide UTE C 15-900 de mars 2006 relatif à la mise en œuvre et cohabitation des réseaux de
puissance et des réseaux de communication dans les installations des locaux d’habitation du tertiaire
et analogue ;
- à la norme NF C 48-211 de mai 2006 concernant les règles relatives aux centrales d’alarmes de
détection d'intrusion ;
- à la norme NF EN 50083-1 d’avril 1994 en vigueur relative aux règles de sécurité des réseaux de
distribution par câbles pour signaux de télévision, signaux de radiodiffusion sonore et services
interactifs ;
- au guide UTE C 15-103 de juin 2004 relatif au choix des matériels électriques (y compris les
canalisations) en fonction des influences externes ;
- au guide UTE C 15-201 de juin 2004 relatif aux installations électriques des grandes cuisines ;
- à la norme UTE C 00-201 de juin 2001 concernant les spécifications techniques d’ensemble
applicables aux réseaux distribuant par câbles des services de radiodiffusion sonore et de télévision ;
- aux séries de normes NF EN 50173 en vigueur relatives aux règles des systèmes génériques de
câblage ;
- à la norme NF EN 55022 de mars 2007 + amendement n°1 de mai 2008 relative aux limites et
méthodes de mesure des perturbations radioélectriques des appareils de traitement de l’information ;
- à la norme ISO/CEI 11801 de septembre 2002 + amendement n°1 d’avril 2008 + amendement n°2
d’avril 2010 relative au câblage générique des locaux d'utilisateurs des technologies de l’information ;
- à la norme ISO/CEI 18010 de mai 2002 + amendement n°1 de décembre 2005 relative aux
cheminements et espaces pour câblages des locaux des clients des technologies de l'information ;
- à l’arrêté du 25 juin 1980 en vigueur concernant les dispositions générales du règlement de sécurité
contre les risques d'incendie et de panique dans les établissements recevant du public (ERP) ;
- aux séries de normes NF S61-931 à NF S61-940 en vigueur concernant les règles relatives aux
systèmes de sécurité incendie et de ses équipements ;
- aux décrets 2010-1016 ; 2010-1017 et 2010-1018 du 30 août 2010 ;
- au décret n°95-1081 du 3 octobre 1995 relatif à la sécurité des personnes, des animaux et des biens
lors de l’emploi des matériels électriques destinées à être employés dans certaines limites de tension
;
- à l’arrêté du 26 février 2003 relatif aux installations de sécurité ;
- à loi n°7513-49 du 31.12.1975 et à la circulaire du 17 mars 1977 relative à l’emploi de la langue
française.
Cette liste n'est pas limitative, et pour l'ensemble des textes cités ci-dessus ou non, il sera toujours fait
l'application de la dernière édition avec mises à jour, additifs rectificatifs, etc. en vigueur à la date fixée pour la
remise des offres.
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Toutes omissions ou erreurs éventuelles relevées dans le texte du présent CCTP, en contradiction ou en
divergence avec les prescriptions des documents contractuels cités plus haut, sont complétées ou rectifiées
d'office par le texte de ces documents.
Le Cahier des Clauses Techniques Particulières a pour objet de définir les prestations à la charge de
l'entrepreneur et les spécifications techniques qu'elles doivent respecter. Les documents tous corps d’état du
dossier général de l’opération doivent être connus dans leur ensemble par le présent corps d’état.
Il est rappelé que les CCTP des travaux ont pour objet de décrire et de préciser les indications des plans
concernant les ouvrages que l'entrepreneur s'engage à réaliser à prix global forfaitaire.
L'énumération et la description des ouvrages telles qu'elles sont réalisées dans le CCTP ne présentent donc
aucun caractère limitatif. L’entreprise doit le complet et parfait achèvement de ses ouvrages, même s'il a été
omis de mentionner dans le CCTP ou sur les plans, les fournitures et accessoires indispensables à cet
achèvement et au parfait fonctionnement des installations projetées.
Les CCTP et plans du présent dossier forment un ensemble indissociable engageant globalement
l'entrepreneur. Aucune primauté automatique ne peut être conférée à un document par rapport à un autre,
chacun de ces documents étant complémentaires.
Rappel :
En cas de spécifications ou obligations différentes entre normes, prescriptions du présent cahier des charges,
CCTC et CCTP des autres corps d’état , la solution la plus complète et la plus contraignante sera d’office
adoptée dans le cadre du marché du présent corps d’état .
Toute installation, lorsqu’une norme est applicable, devra dans le cadre du marché global et forfaitaire au
minimum être à minima réalisée suivant cette dernière, même si la description correspondante n’est pas
indiquée dans le présent document.
L’entrepreneur est tenu de vérifier, avant toute exécution, les cotes et indications figurant sur les plans et
schémas et de signaler au maître d'œuvre les erreurs ou omissions qui pourraient y être constatées.
Le matériel employé sera de première qualité. Il ne sera fait usage que de matériel portant la marque de qualité
NF USE, les spécificités de ce matériel seront celles correspondant aux indices IP et IK découlant de la
réglementation, pour autant qu'un tel matériel existe.
En cas de non-existence d'une telle marque, il sera utilisé un appareillage ayant fait l'objet d'un certificat de
qualité par un organisme officiellement habilité à cet effet. La justification en sera fournie.
Avant tout début de pose ou de mise en œuvre, le matériel sera présenté monter sur panneau au Maître
d'œuvre d’exécution pour agrément au choix.
1.24. Canalisations
Les câbles de section supérieure à 35 mm² pourront être en aluminium. Au-dessous de cette section, seul le
cuivre sera admis.
Les rayons de courbure des câbles seront ceux définis par les normes.
Les câbles comporteront à leurs extrémités une étiquette de repérage. Dans les armoires et tableaux, il sera
fait emploi pour chaque départ et arrivée d'une étiquette indiquant la nature du circuit.
Les boîtes de jonction devront être accessibles et regroupées, afin de pouvoir réaliser une maintenance aisée.
À noter que les canalisations de sécurité, telle que pour la VMC, seront réalisées en câble résistant au feu
(CR1) à partir du TGBT en amont de la coupure générale, ces câbles pourront être positionnés sur le bord
extérieur du chemin de câbles à la condition que les dispositifs de fixation du câble soit du type colliers
métalliques, par exemple.
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Les câbles seront soigneusement rangés et repérés tous les 20 m en ligne droite et à chaque changement de
direction par des repères alphanumériques ou par étiquette imprimée de type Duplix de chez Legrand, Partex
ou équivalent. Tout repérage manuscrit sera refusé.
Tous les circuits devront être repérés à leur origine, jusqu'à leurs raccordements terminaux y compris les
dérivations par les dispositifs décrits ci-dessus.
Aucune contrainte mécanique ne sera tolérée au moment de leur pose. Les fixations des câbles seront
espacées de 3 m au maximum sur les chemins de câbles.
Chaque câble informatique sera recetté par l’installateur s’il possède les appareils de mesure permettant de
vérifier la conformité de chaque liaison ; les résultats pourront alors être contrôlés par l’organisme de contrôle
du maître d’ouvrage. Les câbles seront testés selon les prescriptions des normes en vigueur.
Avant leur mise en service, tous les câbles, sans exception, seront contrôlés, en particulier en ce qui concerne
la mesure des isolements et leur repérage.
Les câbles alimentant les éléments de sécurité devront être indépendants des autres canalisations. S'ils
empruntent les mêmes chemins de câbles, il sera mis en place une séparation physique.
Les câbles isolés pourront faire l'objet d'une fixation soit par colliers ou supports, soit sous fourreaux. Dans ce
cas de montage en apparent, l'entraxe des points de fixation sera au maximum :
- 0,80 m pour les conduits rigides,
- 0,60 m pour les conduits cintrables,
- 0,33 m pour les conduits souples.
Il ne sera pas toléré de boîtes de jonction sur les parcours entre les points normalement prévus pour leur
raccordement (continuité physique).
Les raccordements, imposés par les dérivations des circuits courants faibles, seront effectués dans des
répartiteurs réservés à cet effet, et exécutés à l'aide de bornes, les bornes type « Suprem » Legrand ou
équivalent à serrage par vis pour les conducteurs jusqu’à 4 mm² sont proscrites.
Ces répartiteurs courants forts et faibles seront repérés sur les plans d'exécution et implantées aux endroits
les rendant discrets et accessibles en permanence. Sur les plans, un symbole désignera leur positionnement.
Tout câble seul ou en torons de 5 câbles maxi doit être accompagné d’un support. Les regroupements de «
torons » ou de nappes de 5 câbles permettant de déroger à cette règle sont proscrits dans la limite de 5 mètres
entre chaque nappe.
Dans tous les cas de montage en apparent, la mise en œuvre sera soignée afin de satisfaire à l'esthétique
(espacement régulier des attaches ou des colliers, niveau et verticalité des câbles et des fourreaux). Un
fourreau IRL pourra recevoir jusqu’à 3 câbles en pose « METRO ».
Dans tous les cas de montage en apparent, la mise en œuvre sera soignée afin de satisfaire à l'esthétique.
Les conduits seront fixés par attaches plastiques ou colliers bichromatés, suivant le type de conduit utilisé, à
raison d’une fixation tous les 0,60 m et de part et d’autre des boîtes de dérivation et des boîtes de changement
de direction.
Les conduits seront alors fixés par des colliers, genre RILSAN, à raison de :
- Une attache tous les 2 m pour les parcours verticaux,
- Une attache tous les 0,30 m pour les parcours horizontaux sur champ,
- Une attache de part et d’autre des dérivations ou changements de direction.
Les attaches RILSAN, après serrage, seront coupées à 2 cm au maximum après le verrou de serrage.
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Le degré coupe-feu des parois traversées sera reconstitué lors du calfeutrement, par le présent corps d’état
(NF C 15-100 §527.2).
Lorsque les parois verticales et horizontales, d'une même canalisation encastrée, ne seront pas mises en
place ensemble, toutes précautions utiles seront prises pour pouvoir effectuer le raccordement mécanique
des différents éléments du conduit, de façon à assurer la continuité de la protection mécanique des parties
encastrées et non visitables et permettre le remplacement, ainsi que le passage ultérieur de nouveaux
conducteurs (NF C 15-100 §513.2).
À cet effet, les faux plafonds à lames ainsi que les faux plafonds acoustiques doivent être considérés comme
plafonds indémontables, il s’ensuit que toutes précautions doivent être prises pour permettre le remplacement
des câbles sans démontage même partiel du faux plafond.
Les mêmes dispositions seront appliquées aux câbles CR1 à une exception qui est que les câbles fixés
directement aux parois et murs seront fixés à l’aide de colliers de même résistance mécanique et au feu que
les câbles CR1.
Les câbles sur chemins de câbles seront posés en 2 couches au maximum ; une réserve de 30% sera prévue
libre de tout câble.
Toutes les canalisations apparentes seront obligatoirement sur chemins de câbles ou dans des conduits PVC
rigides de haute densité, conformes aux normes françaises.
Les conducteurs seront, suivant leur mise en œuvre et les locaux équipés ou traversés, des séries :
- H 07 VU : pour les fils posés sous conduits,
- U1000 RO2V : pour les câbles posés en apparent dans les locaux nécessitant une protection
mécanique,
- Résistant au feu (CR1) pour les canalisations spécifiques, notamment celles alimentant des
équipements de désenfumage,
- Cordons préfabriqués en usine avec prises hermaphrodites genre WIELAND en particulier pour le
câblage des appareils d’éclairage situés dans les faux plafonds indémontables où les boîtes de
raccordement seront placées dans le faux plafond démontable des locaux voisins.
Les sections minimales de ces conducteurs seront de :
- 1,5 mm² pour l'éclairage et les télécommandes,
- 2,5 mm² pour les prises de courant,
- 4 mm² pour les boîtiers de connexion 20A,
- 6 mm² pour les boîtiers de connexion 32A.
Suivant leurs parcours, les locaux de destination, ces conducteurs seront posés, d'une manière générale :
- Sous tube IRL pour les canalisations apparentes en sous-sol technique,
- Sous tube pour les canalisations en faux plafond,
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- Sous tube inox dans les salles de classes et tous autres locaux dans lesquels les câbles seront
apparents (hors locaux techniques),
- Sur chemins de câbles dans les faux plafonds accessibles et colonnes montantes,
- Sous fourreaux ICTA pour les canalisations encastrées verticalement et dans les vides de construction
rendant leur remplacement impossible.
- Sous fourreaux ICTA pour les canalisations encastrées dans les cloisons avec garniture thermique ou
phonique,
- Sous moulures ou plinthes plastiques avec accessoires de pose tels que les embouts, les angles et
autres.
Dans le cas de câble unique, il sera toléré une fixation par collier ou attache dont le degré de résistance au
feu sera déterminé suivant les caractéristiques des câbles.
Chaque canalisation issue d’une boîte de dérivation sera équipée d’un système de repérage pour câbles, type
Duplix de chez Legrand ou équivalent.
Dans tous les cas de montage en apparent, la mise en œuvre sera soignée afin de satisfaire à l'esthétique.
La fixation des conduits, luminaires, boîtes, câbles et chemins de câbles sur une surface floquée, doit être
réalisée après la pose du revêtement sans destruction de celui-ci, à l’aide de tiges filetées, d’accessoires et
de chevilles spécifiques. En aucun cas le flocage ne devra être effectué après la pose du matériel électrique.
Les conduits seront fixés par attaches plastiques ou colliers bichromatés, suivant le type de conduit utilisé, à
raison d’une fixation tous les 0,60 m et de part et d’autre des boîtes de dérivation et des changements de
direction.
Les conduits seront alors fixés par des colliers, genre RILSAN comme pour les canalisations principales.
Les câbles ne seront pas fixés dans les faux plafonds indémontables pour permettre leur remplacement ; seuls
les fourreaux seront fixés si besoin est.
Il est interdit de faire cheminer dans un même câble, des conducteurs appartenant à des circuits différents.
Tous les circuits divisionnaires devront être repérés à leur origine, jusqu'à leurs raccordements terminaux y
compris les dérivations. Les systèmes de repérage seront en matière indélébile et inaltérable. Le repérage
manuscrit sera refusé.
Le nombre des conducteurs par conduit et le diamètre de ceux-ci seront conformes à la norme C 15-100. Il
est rappelé que chaque conduit est utilisé au maximum au 1/3 de sa section.
Toutes les précautions seront prises pour pouvoir effectuer le raccordement mécanique des différents
éléments des conduits, de façon à assurer la continuité de la protection mécanique des parties encastrées et
non visitables et permettre le remplacement, ainsi que le passage ultérieur de nouveaux conducteurs.
Les mêmes dispositions seront appliquées aux câbles CR1, cependant les fixations de ces derniers aux parois,
posséderont les mêmes caractéristiques mécaniques et de tenue au feu, que les canalisations qu’ils
supportent.
Aux fins de vérifications de la bonne exécution, le Maître d’œuvre peut demander à l’entreprise lors de la
réception, d’effectuer le remplacement jusqu’à 3 % des canalisations terminales installées.
1.24.8. Dérivations
Toutes les dérivations, quelles qu'elles soient, sont réalisées au moyen de boîtes de dérivation largement
dimensionnées prévues avec couvercles et cordon relié à la boîte. Les entrées s’effectuent par presse étoupe
ou entrée avec embouts étanche. L’indice IP de la boîte sera impérativement conservé. L’utilisation d’un
presse-étoupe ou d’un embout pour plus d’un câble est de ce fait rigoureusement interdite.
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Les boites de dérivation seront correctement et proprement fixées sur les ailes des chemins de câbles dans
les locaux et circulations sans faux-plafond. Les câblages issus des boites de dérivation seront correctement
organisés afin de conférer à la distribution un aspect esthétique : pas de croisements de câbles, câblages
fixés non « volants », etc. Toute installation apparente inesthétique sera refusée d’emblée.
Les boîtes de dérivation seront identifiées par des étiquettes autocollantes sérigraphiées ou équivalent,
indiquant le repère du circuit correspondant au schéma, de plus le couvercle sera solidaire de la boîte (attaché
par un fil) de sorte qu’il ne pourra être égaré. Le repérage manuscrit est prohibé pour la totalité du projet ; le
repérage sera protégé avant les travaux de peinture.
Lors de la pose des câbles, la pénétration d’eau de condensation ou de ruissellement sera évitée par la
réalisation correcte des presses étoupes et par la confection d’une boucle ou d’une inclinaison du câble vers
le bas lors de la pénétration dans la boite.
Les raccordements, imposés par les dérivations des circuits, seront effectués dans des boîtes réservées à cet
effet, et réalisés à l'aide de bornes Wago ou équivalent pour les circuits d’éclairage et les circuits de prises de
courant d’intensité inférieure ou égale à 16A. Il pourra être fait usage de dispositifs de connexion WIELAND
dans le cas où ce principe de distribution serait adopté par l’électricien.
Par mesure de sécurité, chaque boite de dérivation ne concernera qu’un seul circuit issu d’un seul et unique
dispositif de protection.
Toutes les boîtes de dérivation seront implantées sur les plans d’exécution et DOE, elles seront de préférence
implantées au-dessus des portes d’accès au local en évitant si possible leur implantation dans les locaux.
Toutes les boîtes de dérivation seront implantées avec leur repère sur les plans d’exécution et DOE.
Chaque canalisation issue de la boîte de dérivation sera équipée d’un système de repérage pour câbles, type
Duplix de chez Legrand ou équivalent.
Il ne sera pas toléré de boîtes de jonction sur les parcours entre les points normalement prévus pour leur
raccordement (continuité physique).
Les repiquages sur les bornes de raccordement propres aux appareils terminaux sont strictement prohibés.
Seules sont autorisées les dérivations effectuées à l’aide d’accessoires prévus à cet effet du genre Wieland.
Ces boîtes seront repérées sur les plans et schémas d'exécution et implantées aux endroits les rendant
discrètes et accessibles en permanence. Sur les plans, un sigle désignera leur positionnement et le repère du
circuit correspondant.
La fourniture et la pose de la totalité des chemins de câbles C. Faibles sont dues par le présent corps d’état.
Les réseaux de chemins de câbles représentés sur les plans ainsi que leur dimensionnement constituent des
principes de cheminement des réseaux principaux. Il appartiendra à l’entreprise du présent corps d’état d’en
assurer le complément dans le cadre de son marché global et forfaitaire afin de respecter les prescriptions du
présent document en termes de mise en œuvre, de réserve disponible, etc. Toujours sur la base des
prescriptions du présent document, l’entreprise du présent corps d’état assurera la définition, la fourniture et
la mise en œuvre des chemins de câbles secondaires, ces derniers étant également réputés être inclus dans
son marché global et forfaitaire.
Il sera prévu des réseaux de chemins de câbles distincts pour les courants forts et courants faibles.
Tous les chemins de câbles seront fixés sur consoles galvanisées ou étriers à scellements. Ils seront disposés
:
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Tous les chemins de câbles auront une capacité de réserve disponible de 30% minimum.
Les câbles seront posés à plat en deux nappes horizontales maximum (ou en trèfle pour les câbles unipolaires
d’un même circuit), Cette hypothèse a été retenue pour le calcul des sections prévues dans le dossier
technique en ce qui concerne le choix du coefficient réducteur spécifié dans le tableau 52 H (NF C 15-110).
Toute autre disposition prise sur l’initiative de l’Entreprise et entraînant une augmentation de section sera
imputée financièrement à l’Entreprise et ce, quel que soit l’instant dans le déroulement des travaux auquel
l’observation lui aura été notifiée.
Le positionnement des câbles dans le chemin de câbles devra permettre la dépose de l’un quelconque d’entre
eux sans devoir intervenir sur l’ensemble de la nappe.
Tous les câbles seront fixés sur les chemins de câbles par des attaches en plastique hormis les câbles
résistant au feu qui seront fixés par des attaches dont le degré de résistance au feu sera au moins égal à celle
du câble.
Les câbles des réseaux courants faibles VDI seront impérativement fixés par des attaches « velcro », auto
agrippant Scotch 100, SES-WRAP ou équivalent, évitant tout serrage excessif sur les isolants.
La boulonnerie des chemins de câbles sera inoxydable dans les locaux à forte teneur en humidité ou dans
une atmosphère agressive. Le raccordement des dalles des chemins de câbles sera réalisé par des éclisses
en tôle perforée galvanisée et autres accessoires préconisés par le constructeur des dalles avec assemblage
par boulons.
En résumé, cette disposition est applicable pour tout chemin de câbles visible en dehors des locaux
techniques.
Les chemins de câbles seront systématiquement pourvus de couvercle au droit des traversées de cloisons
des parcours horizontaux et aux droits des traversées de dalles des parcours verticaux.
Dans ce dernier cas, ainsi que dans le cas d’alimentation d’équipement au sol, la protection mécanique sera
maintenue jusqu’à une hauteur de 2,00 m au-dessus du niveau du plancher.
Les liaisons de terre des chemins de câbles courants faibles s’effectuent par le conducteur de terre de 35 mm²
posé sur toute la longueur du chemin de câbles courants faibles sur des bornes de mise à la terre avec rondelle
bimétal MT 6-6 ou 8-6 de CES ou équivalent, à raison d’une borne laiton « genre BB8 » par élément.
Les éléments seront impérativement reliés par des éclisses boulonnées, et par l’utilisation de tresses de cuivre
ou de fers plats boulonnés pour assurer la mise à la terre par maillage des chemins de câbles courants forts
et faibles.
Toutes les mises à la terre des équipements Courants Forts, chemins de câbles, tuyauteries, etc. seront reliés
à ce conducteur.
Les chemins de câbles courants forts et les chemins de câbles faibles seront séparés d’environ 30 cm dans
les zones où ils chemineront parallèlement et se croiseront avec un angle de 90°. Il sera prévu un chemin de
câbles uniquement pour les courants faibles (voir la norme NF C 15-900).
Les chemins de câbles susceptibles de recevoir des canalisations de sécurité (câble résistant au feu) devront
comporter une cornière galvanisée à chaud, de même nature que les dalles, de façon à séparer ces câbles
des autres canalisations empruntant le même chemin de Câbles.
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Le titulaire du présent corps d’état devra tous les accessoires de fixation, tant pour les éléments suspendus
que pour les éléments posés en applique. L’emploi de tiges filetées destinées au support des chemins de
câbles est proscrit pour l’ensemble du projet.
Les écartements entre fixations des supports devront être tels que la rigidité avec le poids maximum pouvant
être mis en place à terme, ne soit jamais mise en cause (un support tous les 1,5 m).
Les changements de direction dans le plan ou en élévation seront impérativement exécutés par des éléments
préfabriqués du constructeur. Il ne sera admis aucun angle saillant faisant obstacle à la courbure des câbles
ni dans les changements de direction, ni dans les dérivations ou patte d’oie, ni dans les élargissements ou
rétrécissement.
Dans le cas de traversée de cloisons ou planchers délimitant des zones coupe-feu ou des tiers, la réservation
pour le passage des câbles et chemins de câbles devra être rebouchée par le présent corps d’état, pour
restituer le degré coupe-feu requis de la paroi à l’aide d’un produit intumescent agréé par le CSTB et les
organismes de contrôle.
Tous les chemins de câbles seront obligatoirement reliés à la terre à chacune des extrémités (bouclage), c’est-
à-dire au moins en deux points ainsi que régulièrement à l’aide de fers plats perforés galvanisés.
1.26.1. Généralités
Tous les appareillages seront installés conformément aux recommandations du constructeur.
L’appareillage encastré sera du type à fixation par vis ; les boîtes seront scellées, en particulier pour les prises
de courant, toutes les boîtes auront une profondeur de 50 mm au minimum.
Ils seront décrits dans les différents chapitres concernés du présent CCTP.
D’une manière générale un soin particulier sera apporté par l’entreprise lors de la pose de l’appareillage, afin
que les appareils voisins soient correctement alignés, de niveau et avec le plastron ou plaque de fermeture
correctement appliquée sur le support. Dans les locaux aveugles, l’appareillage sera du type lumineux.
L’appareillage de commande : interrupteur et va et vient auront une intensité d’utilisation possible de 10A sur
circuits équipés de luminaires fluorescents.
Les commandes d’éclairage des salles comprenant plus de 50 personnes devront être inaccessibles au public
afin d’empêcher toute extinction totale de l’éclairage par le public.
L’appareillage de commande d’éclairage des locaux sans éclairage naturel sera équipé d’un voyant.
Selon l’article BT 22, dans les locaux et emplacements de travail à risques particulier de choc électrique,
indiquer par étiquettes gravées, la valeur et la nature du courant disponible au niveau des bornes universelles,
Les prises téléphoniques et informatiques sont décrites dans le chapitre paragraphe VDI.
L’alimentation des récepteurs des autres corps d’état sur coupure de proximité genre BECS s’effectuera
impérativement avec des interrupteurs étanches coupant tous les conducteurs actifs et comprenant une borne
de terre. Ces dispositifs seront fournis et posés par le présent corps d’état à proximité immédiate des
équipements concernés. L’implantation des équipements est à définir par le présent corps d’état sur la base
de sa consultation des pièces et plans des autres corps d’état.
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Les locaux classés à risque moyen ou important, comporteront un bloc de balisage. Les matériels et
appareillage respecteront un indice de protection IP41 IK07. Les boîtes de connexion et les coffrets satisferont
à l’essai au fil incandescent 960°C.
La continuité entre les canalisations et les boîtes d'encastrement sera assurée par des éléments de
raccordement adaptés.
Les prises de courant seront avec terre et du type à éclipse. Elles comporteront tous une collerette de
protection afin de répondre à la norme NF C 61-303, additif 3.
Dans tous les locaux aveugles et les circulations, il sera fait usage d'interrupteurs ou boutons poussoirs
lumineux.
Afin d‘assurer l’isolation phonique entre les locaux, il devra être tenu compte des prescriptions ci-après :
- de part et d’autre d’un mur séparatif, les prises de courant ou tout autre appareillage ne pourront se
faire face, leur entraxe devra être supérieur à l’épaisseur du mur, plus cinq centimètres au minimum,
- les boîtiers recevant l’appareillage électrique ne devront pas dépasser la mi-épaisseur des parois,
planchers ou murs.
L'emploi de douilles non enfermées dans des appareils conçus à cet effet est interdit.
Toute canalisation encastrée doit être terminée par une boîte de connexion.
1.28. Raccordement
Le raccordement aux appareils sera réalisé soit directement à l'intérieur de l'appareil sur les bornes
spécialement prévues par le Constructeur, soit par l'intermédiaire d'une boîte de raccordement équipée de
bornes de raccordement lorsque l'appareil est livré avec un cordon.
Le pontage d'appareil à appareil est strictement interdit, sauf pour les cas indiqués par la norme NF C 15-100.
L'entrepreneur du présent corps d’état devra réaliser la mise à la terre de toutes les masses métalliques (liste
non limitative) :
- Canalisations de branchement eau égout,
- Huisseries et menuiseries métalliques,
- Canalisations métalliques diverses,
- Installations téléphoniques,
- Appareils d'éclairage,
- Répartiteurs VDI,
- Faux plafonds, ...
- Salles d’eau (toutes les parties métalliques en particulier les huisseries de porte et de fenêtre, les
siphons, les canalisations, gaines CVC, etc.,
- Etc.
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L’ensemble sera relié au circuit général de terre. La continuité des masses sera assurée par tresse en cuivre.
Les locaux à risque BE2 devront être équipés d’un éclairage de sécurité. De plus, les installations électriques
de ces locaux devront être protégées par des dispositifs différentiels 300mA.
De plus, conformément à l’article 422.1 de la NF C 15-100, ces locaux ne doivent pas être traversés par des
canalisations autres que celles nécessaires à la commande et à l’alimentation des appareils qui y sont installés
sauf si :
- Elles n’alimentent pas des installations de sécurité ;
- Elles sont convenablement protégées contre les surcharges et les court-circuits par des dispositifs
situés à l’origine de ces circuits ;
- Elles ne comportent aucune connexion sur les parcours sauf si elles utilisent des boîtes conformes à
la NF EN 60-695 satisfaisant à l’essai au fil incandescent de 960°C ;
- Les luminaires doivent être de degré IP6X minimum si le local présente un risque d’accumulation de
poussières sur les luminaires.
- Les matériels électriques (appareillages, coffrets, …) auront un IP5X minimum si l’ambiance est
poussiéreuse.
Les installations de l’office de réchauffage devront être réalisées conformément à l’UTE C 15-201 de juin 2004
(coupure générale, indices de protection du matériel électrique suivant la hauteur, …).
La sécurité dans les interventions d'exploitation et de maintenance des installations électriques passe
nécessairement par un repérage minutieux des équipements constituant l'installation. Cet aspect ne doit pas
être négligé mais être au contraire l'objet d'une attention particulière. Le présent corps d’état doit donc procéder
au repérage de la totalité des équipements qu'il installe et des armoires qu'il alimente en énergie mais dont la
réalisation ne lui incombe pas.
Sont à repérer pour les équipements installés par le présent corps d’état :
- toute enveloppe contenant du matériel électrique ou des connexions : répartiteurs, armoires, centrales
courants faibles, boîtes de dérivations.
Est à porter sur chaque enveloppe :
- le repère électrique conforme à celui du plan,
- l'origine de l'alimentation y compris pour les boîtes de dérivation.
Doivent être repérés :
- tout câble BT et courant faible. Est à porter sur tout câble le repère électrique conforme à celui du plan
: à chaque extrémité, aux changements significatifs de plans, aux changements significatifs de
direction, tous les 20 m environ en ligne droite.
- les chemins de câbles généraux. Est à porter sur chemin de câbles la désignation des réseaux
supportés, (courants forts, courants faibles) : à chaque dérivation et entre dérivation, tous les 25m, si
celles-ci sont distantes de plus de 25 m.
Les étiquettes seront à standardiser par type d’équipement et seront fixées par vis à l'exclusion de tout autre
moyen.
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L'origine est fixée au niveau de la chambre de tirage France Télécom/Orange en voirie la plus proche. Ensuite,
les différentes arrivées concessionnaires Télécoms devront arriver dans le local informatique dédié situé en
rez-de-jardin. Distributions électriques
Les chemins de câbles courant faibles seront distant des chemins de câbles courants forts d’au moins 30 cm
que ce soit en parcours vertical ou horizontal.
Pour les courants faibles, les chemins de câbles seront réalisés en tôle perforées à bords roulés et nervurés
de largeur variant de 50 à 500 mm sur une hauteur minimum de 50 mm de type BRX de marque GEWISS ou
équivalent, couleur au choix de l’architecte.
La largeur et la hauteur des différents chemins de câble seront déterminées afin d’obtenir une réserve de 20%
sur chaque parcours une fois les installations terminées.
En distribution principale, les câbles seront disposés sur 2 nappes au maximum et seront attachés par des
colliers aux chemins de câbles au maximum tous les 40 cm.
Des interconnections entre les chemins de câbles seront à prévoir tous les 15 ml et à chaque changement de
direction.
L’ensemble du support doit être relié au réseau de terre. Les connections de mise à la terre seront aussi
courtes que possible.
L’ensemble des supports devra être relié tous les 50 m maximum avec des connections aussi courtes que
possible, (voir les figures ci-dessous).
Exemple de continuité électrique et mise à la terre d’un support commun communication et énergie de moins
de 50 m
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Exemple de continuité électrique et mise à la terre d’un support commun communication et énergie de plus
de 50 m
Exemple de continuité électrique et mise à la terre d’un support communication et d’un support énergie de
moins de 50 m
Exemple de continuité électrique et mise à la terre d’un support communication et d’un support énergie de
plus de 50 m
Les conduits devront être fixés au maximum tous les 80 cm par des supports appropriés. Pour les
changements de directions, ils devront être réalisés par des angles ou tés proposés par le fabricant.
Il sera également accepté, dans les faux-plafond, une distribution sous forme de toron de moins de 5 câbles
directement fixée au plafond par des supports appropriés au maximum tous les 40 cm.
2.2.5. Goulottes
Dans les bureaux, la distribution des postes de travail se fera sous goulotte. La fourniture et pose de la goulotte
est au lot CFO. Ainsi, l’entreprise du présent lot devra communiquer les besoins en goulotte en lot CFO ainsi
que les sections nécessaires.
2.3.1. Principe
Le bâtiment sera équipé de deux précâblage VDI, physiquement indépendant, de catégorie 6a classe EA des
baies informatiques aux prises terminales, de marque SOCAMONT, EXCEL ou équivalent, pour l’informatique
et un second pour la sûreté (contrôle d’accès, vidéoprotection, intrusion, GTB, ...).
L’origine de l’installation sera les arrivées du téléphone et de la fibre optique prévues au niveau du local
informatique situé au R+1 du bâtiment.
L’installation devra être entièrement réalisée avec du matériel du même fabricant, des baies informatiques aux
prises terminales en passant par le câblage.
Les composants actifs, pour la partie informatique, ne sont pas prévus au programme. Ils seront fournis et
posés par le client.
Pour le réseau sûreté, il sera prévu une baie dédiée située également dans le local Sûreté en sous-sol. Il sera
prévu une rocade entre le répartiteur général SR1 et la baie Sûreté.
Les différentes prises terminales seront câblées en étoile depuis le répartiteur général, le sus-répartiteur ou la
baie sûreté en liaison cuivre multipaires de catégorie 6a 10G Base-T.
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- Porte avant : une seule porte ou deux demi-portes en verre sécurité verrouillables par serrure à clé –
ouverture à 180°
- Porte arrière : métallique nid d’abeilles avec serrure
- Panneaux latéraux amovibles
- 4 montants 19’’ avec marquage en U
- 4 roulettes
- 4 pieds
- 20 vis M6 et M20 écrous cages carrés
- Indice de protection : IP20
- Chemins de câbles de type treillis soudé sur les deux côtés en partie arrière de la baie, pour le
cheminement des câbles
- Éléments passe cordons 1 U entre chaque panneau ou équipement actif disposé dans la baie
- Socle doté d'une trappe d'ouverture suffisante pour le passage de l'ensemble des câbles
- Bloc de 8 prises protégées par disjoncteur différentiel (installé dans le TGBT) et alimenté sous tube
pour le branchement des équipements actifs, installé sur les montants 19’’ en partie arrière à mi-
hauteur
- Kit de mise à la masse.
Note : Il sera à prévoir une alimentation électrique 25A (bandeau de prises avec arrivée électrique de 25A).
La réserve de la baie devra être de 30% minimum.
Les panneaux optiques sont équipés de tiroirs 19’’ coulissant à l’intérieur desquels il sera possible d’entreposer
une réserve de fibres optiques.
La face avant des panneaux optiques est équipée pour l’installation de coupleurs SC-duplex. Les panneaux
doivent disposer d’un gestionnaire de fibres afin qu’une réserve d’un mètre puisse y être lovée. L’entrée des
câbles optiques se situe à l’arrière des panneaux, et ceux-ci seront munis de presse étoupes pour câbles afin
d’éviter toute traction.
Des bandeaux passe-câbles à anneaux destinés au cheminement et à l’organisation des cordons de brassage
sont intercalés entre les panneaux de prises RJ45, à raison de 1 pour 2.
L’arrivée des câblages dans les baies s’effectuera par le dessus de celles-ci, au travers de découpes
protégées dans les chemins de câbles. Le cheminement des câbles à l’intérieur des baies sera réalisé soit par
guides à anneaux placés sur les deux faces latérales de la baie, soit en chemin de câbles de type treillis
soudées dont on s’assurera que ses ailes ne gênent l’intégration d’étagères ou d’équipements actifs rackables.
Note : La baie doit être en mesure d’accueillir des commutateurs mesurant 0,5 m de profondeur tout en laissant
un espace suffisant à l’arrière de la baie pour faire passer et brancher/débrancher les câbles d’alimentation
(et autres en fonction des modèles).
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Note : Il sera à prévoir une alimentation électrique 25A (bandeau de prises avec arrivée électrique de 25A).
2.3.6. Sous-répartiteurs
Le Sous-Répartiteur SR2 comprendra notamment les connexions ainsi que les emplacements des futurs
équipements actifs des installations VDI. Il sera ainsi équipé de :
- De panneaux optiques (connecteurs SC APC) pour les rocades informatiques et autres courants
faibles ;
- Des panneaux de 24 ports RJ45 de catégorie 6a 10G maximum sur 1U, de marque EXCEL ou
équivalent, avec un code couleur suivant selon leur utilisation :
o Bleu Distribution horizontale VDI ;
o Rouge Distribution horizontale autres courants faibles ;
o Vert Distribution Verticale (Rocades Informatiques).
- Emplacement pour ajout de tiroirs optiques ;
- Emplacement libre pour ajout d’équipements actifs (autocommutateur, switch, …) ;
- D’étagères sur 1U ;
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Projet : DEMOLITION PARTIELLE / RECONSTRUCTION DE L’ECOLE MATERNELLE DU JARDIN PARISIEN- CLAMART (92) Date : 10/08/2023
Doc : CCTP COURANTS FAIBLES Rev. : PRO-0
Réf. : I23003_PRO_0.0_CFA_CT_016_CFA_CCTP COURANTS FAIBLES_0 Auteur : INCET / AJ
Note : Il sera à prévoir une alimentation électrique 25A (bandeau de prises avec arrivée électrique de 25A).
2.3.7. Rocades
Il sera à prévoir des rocades, en étoile, en fibre optique monomode 12 brins 50/125 OS1/OS2 pour
l’informatique et les autres courants faibles , les connecteurs devront être de type SC APC entre les baies
SR1 et SR2.
Il sera également à prévoir une rocade entre le SR1 et le coffret sûreté de 4 câbles 4 paires catégorie 6a
S/FTP 700 MHz et d'impédance caractéristique de 100 Ohms, à confirmer par la DSI de Clamart, à raison de :
- Une prise RJ45 pour la connexion de l’UTL sur le réseau
- Une prise RJ45 pour la connexion d’un PC portable
- Une prise RJ45 pour connecteur l’alarme intrusion
Les câbles seront de catégorie 7 de type S/FTP 600 MHz et d'impédance caractéristique de 100 Ohms. Ils
seront non-propagateurs de la flamme, sans halogène (LSZH) et conformes aux spécifications normalisées
de la catégorie présentée dans les prescriptions VDI du présent chapitre.
Note :
La couleur du câble ne devra pas être de couleur orange afin d’éviter de les confondre avec des câbles
CFO de type CR1.
Les cheminements les plus courts possibles sont adoptés entre les prises terminales et leur sous-répartiteur
tenant de manière à ce qu'aucune liaison n'excède la longueur de 90 mètres.
Dans la mesure du possible, aucune liaison ne traverse un local qu’elle ne distribue pas. Chaque câble de
liaison terminale est repéré, au tenant et à l’aboutissant, à chaque changement significatif de direction au
cours de son cheminement ainsi que dans les colonnes montantes ou placards techniques.
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La distribution étant prévue d’être « banalisée », les prises terminales pourront être affectées à la téléphonie
ou à l’informatique. Elles seront identiques et composées de connecteurs RJ45 blindés à 360° conformes à la
catégorie 6a 10G Base-T. Les connecteurs seront montés sur appareillage au module 45 x 45 mm, seront
équipés de contacts auto-dénudants et permettront la reprise d'écran à 360°. Les prises seront modulaires et
devront permettre l’utilisation d’adaptateurs.
Les prises terminales des postes V.D.I. devront être des prises RJ45 issues des mêmes gammes
d’appareillage décrites au chapitre « Appareillages » du CCTP Courants forts.
Les postes V.D.I. seront défini suivant le protocole du cahier des charges de la DSI de la ville de Clamart pour
:
- L’ensemble des points d’accès informatique dans les postes de travail,
- L’ensemble des points de distribution pour Wifi et DECT
- L’ensemble des prises R45 dédiées aux usages spécifiques,
- L’ensemble des prises RJ45 dédiées aux caméras,
Autres points spécifiques :
- Wifi (point d’accès Wifi au plafond) :
- Prises RJ45 dédiées ;
Une connexion ainsi qu’un serveur seront prévus au projet. Le serveur aura une configuration contemporaine
au moment de la consultation des entreprises.
Note : Il n’est pas prévu la fourniture et pose de bornes Wifi et/ou DECT.
- Câbles HDMI :
o Longueur de 10 à 15 m
o Certifié 1080p/60
o AWG 24 ou 26
o Contacts Or
o Blindage
o Débit minimum : 10 Gbps
o Certification 1.4.
- Câbles USB :
o Longueur de 10 à 15 m
o Connecteurs : USB-A mâle vers USB-A mâle
o Câble USB 2.0
o Conducteurs : 4 conducteurs en cuivre OFC plaqué argent, section : 24 AWG / 0,2 mm²
o Fiches moulées
o Contacts : or plaqué 24K
o Isolation : Composilex 2
Note : Les longueurs maximales pour chaque type de rallonge devront être respectées. De plus, la fourniture
et pose du vidéoprojecteur ou TNI n’est pas prévu au présent lot.
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Les applications de vidéosurveillance, sûreté, téléphonie, informatique… étant sensibles, un certain nombre
de mesures sont à prévoir (et à intégrer au référentiel technique) pour leur intégration sur le câblage multimédia
d’un établissement :
- Utilisation de cordons de brassage verrouillables,
- Utilisation de cordons de brassage de couleur pour dissocier les réseaux,
- Séparation des réseaux « actifs » (gestion technique, sécurité sûreté, vidéo surveillance, téléphonie,
informatique…),
- Alimentation électrique ondulée voire secourue des équipements.
Chaque baie dispose de son propre fil de terre relié à point central de mise à la terre dans le local. Les
connexions sérielles dans chaque baie de distribution ne sont pas autorisées sauf si les faces des panneaux
de brassage sont conductrices.
La résistance en courant continu totale vers la terre ne peut être supérieure à 1 Ohm et la différence de tension
entre une baie de distribution et toutes les autres baies de distribution dans le même bâtiment ne peut
dépasser 1 Volt R.M.S.
Toutes les goulottes métalliques destinées au câblage de données doivent être posées conformément aux
directives de la norme EN 50174.
Les cordons de brassage seront de type : cordons droits RJ45/RJ45 écrantés de 4 paires, catégorie 6a, de 1
ou 2 mètres en fonction des besoins, pour le brassage dans le local répartiteur.
Ils seront provisionnés sur la base de 100% du nombre de points d’accès installées.
Les cordons permettant l’interconnexion des équipements actifs de réseau informatique fournis dans le cadre
du projet (Sûreté).
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Ensuite, elle devra transmettre en fin de travaux un carnet de recettes de toutes les prises et fibres au Maître
d’œuvre ainsi qu’à la Maîtrise d’Ouvrage.
Les tests cuivre concernent la totalité des liaisons terminales de nature informatiques ou téléphoniques.
Chaque « chaîne de liaison » telle qu’elle est définie par la norme sera testée du cordon utilisateur inclus au
cordon de brassage inclus.
Chaque fiche de test fera au minimum ressortir les informations suivantes, d’après la norme ISO 11801 PL2
Classe EA (liste non exhaustive) :
- Numérotation de la prise,
- Positionnement de la prise sur le bandeau,
- Mesure de la longueur,
- Mesure du retard,
- Mesure de la paradiaphonie,
- Mesure de l'affaiblissement,
- Mesure de l'ACR,
- Mesure de l'impédance,
- Contrôle de continuité,
- Absence de croisement,
- Isolement entre paires et entre le drain,
- Polarité,
- etc…
Chaque fibre testée, conformément à la norme ISO 14763-3 édition 2014, fera l’objet d’une fiche spécifique,
sur support papier et sur support CDROM.
2.4. Téléphonie
2.4.1. Lignes
Aucune ligne téléphonique analogique ne sera prévue sur ce projet. Il sera à prévoir des lignes optiques pour,
à minima :
- Le téléphone de secours
- La télésurveillance de l’ascenseur
- Le transmetteur de l’alarme intrusion
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- Le webserveur de la GTB
Les lignes analogiques n’existent plus, ce poste téléphonique de secours sera raccordé soit à
l’autocommutateur du collège (non prévu au présent marché) ou une box opérateurs (box opérateur non prévu
au présent marché). Dans les deux cas, il sera à prévoir une alimentation secourue assurant une autonomie
minimum de 60 minutes (alimentation secourue non prévue au présent lot et au marché).
2.5.1. Présentation
Le bâtiment est considéré comme un ERP de type R de 4ème catégorie.
Par conséquent, l’installation de sécurité incendie sera assuré par un S.S.I. (Système de Sécurité Incendie)
de catégorie E, au sens propre de la norme NF S 61-931, associé à un équipement de sécurité incendie de
type 2b.
Note : Le cahier des charges établi par le coordinateur SSI prime sur le présent CCTP en cas de discordance.
Le bâtiment sera décomposé en zones de mise en sécurité (ZS) et en zones de détection (ZD).
2.5.4. Fonctions
Les fonctions commandées dans chaque zone de mise en sécurité seront :
- Fonction « Évacuation » :
o sera déclenchée par :
• Action sur les Déclencheurs Manuels (D.M.) implantés et circulation chaque issue
vers l’extérieur ;
• Action directe sur le Bloc Autonome d’Alarme Sonore (B.A.A.S.) type Pr : passage à
l’état « d’alarme générale » suite au déroulement du processus d’alarme après action
sur un DM ou par action directe sur l commande d’évacuation générale du B.A.A.S
Pr ;
o assurera :
• la commande des Blocs Autonomes d’Alarme Sonore (B.A.A.S.) type Sa d'alarme
générale ;
• la commande des Blocs Autonomes d’Alarme Lumineux (B.A.A.L.) type Sa dans les
sanitaires, les salles de propreté et les vestiaires ;
• le déverrouillage des issues de secours asservies au contrôle d’accès ;
Note :
Le signal d’alarme devra être audible en tout point de l’établissement.
- Fonction « Compartimentage » :
o sera déclenchée par :
• Action sur les Déclencheurs Manuels (D.M.) implantés et circulation chaque issue
vers l’extérieur en rez-de-chaussée et à proximité de chaque cage d’escalier pour les
autres niveaux (y compris en sous-sol) ;
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- Fonction « Désenfumage » :
o La commande du désenfumage des escaliers sera assuré par action manuelle sur un DCM
(Dispositif de Commande Manuelle) conforme à la NF S 61-938 et marqué NF.
Il sera prévu des dispositifs sonores autonomes de type B.A.A.S. émettant un son conforme à la norme NF S
32-001, audible en tout point de l’établissement.
De plus, le signal d’alarme sera renforcé par des flashs lumineux dans tous les sanitaires y compris les
sanitaires PMR.
Les commandes des fonctions de compartimentage seront réalisées par les déclencheurs manuels.
Les portes de recoupement des circulations horizontales seront commandées par zones de compartimentage.
Les blocs portes certifiés et estampillés NF selon la norme NF S 61-937, seront équipés de maintiens
magnétiques, alimentés par manque tension, en 48 Vcc.
Toutes les portes d’une même zone de compartimentage devront être télécommandées à partir de la même
fonction.
Dans la salle polyvalente, les Blocs Autonomes d’Alarmes Sonores seront avec contrôle automatique
(B.A.A.S. Sa Vigie), type flash intégré de couleur rouge et avec message pré-enregistré.
La couverture sonore est fonction du bruit ambiant : Dans tous les cas, le niveau sonore de l'avertisseur doit
être supérieur de 10 dB au niveau sonore ambiant et devra être audible en tout point de la salle.
Ces boîtiers sont en matière thermoplastique de couleur rouge et porteront en partie interne, en lettres noires
sur fond blanc, l'inscription « Alarme Incendie ».
2.5.6.6. Asservissements
Il sera à prévoir la commande des portes de compartimentage. Pour cela, la ligne de commande des D.A.S.
est prévu au niveau d’une boite de dérivation existante situé au plafond sortie caniveau de la demi-pension
(au sous-sol).
2.5.6.7. Reports/répétiteurs
Ils se présenteront sous forme d’un boîtier mural équipé d’un buzzer, d’un afficheur LCD (2x16 caractères) et
des signalisations visuelles suivantes :
- signalisations générales de la centrale ;
- signalisations liées aux zones de détection concernées et de diffusion d’alarme.
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L'ensemble du câblage sera réalisé conformément aux spécifications de la règle NF C 15-100, de la norme
NF S 61- 932, des articles EL3, EL 7 §b, EC 15 § 1 & 2 de l'arrêté du 25 juin 1980, et CO3 de l'arrêté du 2
février 1993, concernant le marquage « NF réaction au feu M1 » des conduits et renforcements PVC
éventuels.
Il est interdit d'utiliser un conducteur commun à plusieurs circuits d'alarme ou d'asservissements. Tous les
raccordements sur les centrales d'alarmes sont faits sur bornes sectionnables avec raccordements vissés.
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Le procès-verbal de mise en service comprendra les résultats des essais réalisés par les installateurs ou les
constructeurs de chacun des sous-systèmes du SSI, ainsi que le résultat de l'analyse du dossier d'identité.
Ils seront réalisés à l’aide des moyens définis par le constructeur du matériel.
Cette formation fera l’objet d’un compte rendu accompagné d'une feuille d’émargement des personnes
présentes. Ces informations devront être jointes au registre de sécurité.
A ce titre, les types, caractéristiques, fonctions, quantitatifs et implantations des divers constituants de
l'installation donnés dans le descriptif et ses annexes éventuelles n'ont qu'une valeur indicative. Le titulaire du
marché reste entièrement responsable du résultat qui sera sanctionné lors de la visite de réception, en
conformité par rapport aux règlements et normes en vigueur, aux fonctionnalités décrites dans le présent
CCTP et en performances par rapport aux différents essais de l'installation.
L’installateur devra être titulaire d’une police d’assurance couvrant sa responsabilité biennale et décennale
concernant ce type de travaux.
Les matériels du SSI devront être admis à la marque NF et être estampillés comme tels, ou faire l’objet de
toute autre certification de qualité en vigueur dans un Etat-membre de la Communauté économique
européenne.
Les matériels couverts ou non couverts par les normes, devront toujours faire l’objet d’une associativité
précisée dans le certificat du matériel avec lequel il est utilisé.
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2.6.1. Principe
L’installation de distribution de l’heure, de sonorisation et système d’alerte PPMS s’articulera autour d’un
système hybride IP/ligne 100V. Pour la partie en IP, elle s’articulera autour du réseau Sûreté du bâtiment.
Ainsi, il sera possible de faire de l’appel micro sur une ou plusieurs zones et déclencher des messages, des
alertes, des sonneries ou des évènements depuis des commandes manuelles. Le paramétrage est effectué
par un logiciel sur PC.
Il sera défini pour chaque nature de risque un type de sonnerie et de message d’alerte (ex : confinement
groupé, confinement par salle, évacuation, …) :
- « Confine-toi »
- « Cache-toi en silence »
- « Sauve-toi »
- Micro
La diffusion de musique d’ambiance sur des zones définies, depuis un ordinateur du réseau : CD, clef USB,
radio internet, streaming.
La distribution de l’heure est effectuée soit en mode NTP sur le réseau Ethernet, ou en sans-fil (mode DHF).
Note : Une attention particulière sera portée sur la qualité du niveau sonore et l’intelligibilité de la parole. De
plus, le système devra faire l’objet d’une maintenance planifiée et faire l’objet d’essais et de vérifications au
moins deux fois par an.
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Les sorties de l'horloge mère sont protégées contre les surtensions, les surcharges et les courts circuits. Elle
effectue automatiquement les changements d'heure été/hiver et reconnaît les jours fériés.
L'horloge mère est équipée d'un programmateur avec 3 circuits permettant de programmer indépendamment
sonneries, éclairage, ventilation ....
L’accès à la programmation est protégé par un code et peut être réalisée directement sur l’horloge mère ou à
l’aide d’un logiciel sur PC et une clef USB fournie.
Elle sera implantée dans la baie Sûreté située dans le local VDI du bâtiment.
Selon leurs dispositions, ils devront avoir soit 12, 24 ou 48 ports RJ45.
La fonction de restitution du message d’alerte permettra donc de mettre en place le Plan Particulier de Mise
en Sureté (PPMS).
Le boitier doit être facilement paramétrable. Il doit être alimenté par le réseau IP PoE, consommation 2W.
- Bureau RPT ;
- Bureau de direction ;
2.6.9. Amplificateurs
Pour la diffusion du signal sonore dans le bâtiment et les espaces extérieurs, il sera à prévoir un amplificateur
ligne 100V de marque MERLAUD ou équivalent, amplificateurs placés dans les différentes gaines techniques
CFA de l’établissement. Les différents amplificateurs alimenteront en ligne 100V les différents hauts parleurs
et projecteurs de son de l’établissement par zone.
Chaque amplificateur sera à associer à un boitier Harmonys Line, conformément au schéma ci-dessus, de
marque BODET ou équivalent afin de l’intégrer dans le réseau sûreté du bâtiment.
2.6.13. Câblage
Le câblage des projecteurs de son, hauts parleurs, de l’horloge mère et des horloges extérieures sera réalisé
en câble U1000R2V distribué depuis le réseau de chemins de câbles Courants Forts pour les alimentations
et la ligne 100V.
Pour la partie commande, le câblage se fera depuis le réseau VDI IP de l’établissement, voir chapitre 4.1.2.
du présent document. La distance maximale entre les différents éléments et le ou les switches ne doivent pas
excéder les 90m.
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2.7.2. Câblage
Raccordements en câble multipaires SYT1, 8/10ème des différents synthèses de défauts sur chaque bornier
prévu à cet usage.
2.8. Sûreté
2.8.1.1. Généralités
L’installation aura pour but de signaler toutes tentatives d'intrusions dans les locaux sensibles, ainsi la
détection d'un intrus devra déclencher l’alarme dans le bâtiment.
Le système alarme intrusion sera de marque VANDERBILT ou équivalent et sera constituée des matériels
suivants :
- d'une centrale NF A2P à bus à microprocesseur compatible avec le protocole de télésurveillance ;
- de claviers de commande ;
- de contacts d’ouverture de porte ;
- de détecteurs de présence double technologie :
o standards dans les locaux à équipements de valeurs et ceux de la direction,
o de type longue portée dans les circulations,
- des sirènes intérieures ;
- de tout le câblage nécessaire.
L’entreprise devra être agrée APSAD.
Cette centrale sera implantée dans le bureau RPT à une hauteur comprise entre 0,90 et 1,30 mètres du sol
fini.
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La centrale sera raccordé au réseau VDI Sûreté du bâtiment via son port Ethernet RJ45 afin de s’interfacer
avec le système d’exploitation GENETEC et être commandable à distance depuis le CSU de la ville de
Clamart.
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La centrale devra également être associé à une horloge programmable avec la possibilité d’être
activée/désactivée à distance.
Ces locaux seront ainsi protégés par des détecteurs volumétriques doubles technologies PIR de type PDM-
I12 / PDM-I18, de marque VANDERBILT ou équivalent.
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2.8.2.1. Centrale
La centrale de contrôle d’accès est la passerelle de communication IP GENETEC Synergis Cloud Link. Cette
passerelle sera raccordée au réseau VDI Sûreté du bâtiment afin d’être utilisé par le système d’exploitation
GENETEC.
Ce dispositif économique et à hautes performances est facile à installer et fournit toutes les E/S nécessaires
pour contrôler deux portes avec un contrôle et une surveillance des points auxiliaires.
Chaque unité peut connecter deux lecteurs de carte, huit points de surveillance d'entrée à usage général et
six relais de contrôle aux contrôleurs intelligents de la série Mercury EP.
Les badges et lecteurs de badges fonctionneront bien entendu sur une fréquence commune, afin d’assurer
une compatibilité parfaite entre les deux éléments.
Il sera possible de réaliser ultérieurement des paiements sans contacts et rechargement sur terminal adapté
avec les badges passifs.
Une quantité de 100 badges sera à la charge de l’entreprise, à confirmer par le Maître d’Ouvrage.
Chaque bouton-poussoir devra être à plus de 40 cm d’un angle rentrant de parois ou d’un obstacle au fauteuil.
Il sera à prévoir également les éventuels potelets.
L’entreprise doit toutes les liaisons pour les alimentations, alarmes, asservissements divers etc. y compris les
raccordements.
L'alimentation des serrures et portails électriques s'effectuera dans une boite scellée à proximité des portails
ou portillons.
Un renvoi de « défaut portails », « défauts portillons », « défaut porte » sera transmis à l’alarme technique en
cas de portillons, portails, portes non fermées.
2.8.3.1. Généralités
Pour le système de vidéophonie et d’interphonie, il sera prévu une solution sur IP/SIP raccordé sur le réseau
VDI Sûreté du bâtiment.
Les platine vidéophones seront conformes à la loi accessibilités et seront placés aux différents accès aux
bâtiments tels que :
- Accès école : la platine comportera 2 boutons d’appel (Office de réchauffage et école maternelle)
- Accès livraison : la platine comportera 2 boutons d’appel (Office de réchauffage et école maternelle)
Il sera également prévu des moniteurs vidéophones permettant également de faire de l’interphonie interne
placés :
- Bureau RPT
- Bureau de direction
- Salle des maîtres (réunion et tisanerie)
- Salle des ATSEM
- Salle de réunion / salle des animateurs
- Zone de décontamination
- Salle à manger
Il sera également à prévoir un dispositif de renvoi d’appel automatique en cas d’absence d’un moniteur suivant
un ordre prédéfinie suivants, à confirmer par le Maître d’Ouvrage :
- Platine côté accès école :
o Bouton Poussoir 1 (Ecole maternelle) :
• 1 – Bureau RPT
• 2 – Bureau direction
• 3 – Salle des maîtres
• 4 – Salle des ATSEM
• 5 – Salle de réunion
• 4 – Bureau direction
• 5 – Salle des maîtres
Chaque platine vidéophone sera encastré à une hauteur comprise entre 0,90 m et 1,30 mètres maximum. Un
emplacement de 1,30 x 0,80 mètres au sol devra libre de tous obstacles en face de la platine de rue
conformément à la loi.
De plus, chaque platine vidéophone être à plus de 40 cm d’un angle rentrant de parois ou d’un obstacle au
fauteuil. La durée de temporisation « Porte ouverte » seront adaptées selon la disposition et l’accessibilité des
équipements.
Ils seront soit posés en applique au mur à une hauteur comprise entre 0,90 et 1,30 m ou posés sur les bureaux
dans le bureau de direction et bureau RPT.
Selon leurs dispositions, ils devront avoir soit 12, 24 ou 48 ports RJ45.
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2.8.3.7. Formation
Il sera prévu une formation des utilisateurs (10 utilisateurs / 1 journée).
2.8.4. Vidéosurveillance
Pour la vidéosurveillance, il sera à prévoir uniquement les prises RJ45 à implanter conformément aux
différents plans techniques joints au dossier. Les caractéristiques du câblage des prises RJ45 devront être
conforme au chapitre 2.3. du présent document.
2.9.1. Principe
Au niveau de chaque refuge faisant office d’Espace d’Attente Sécurisé (E.A.S.) pour personnes à mobilité
réduite, il sera à prévoir un interphone de sécurité conforme à la réglementation aux personnes handicapées.
Chaque interphone de sécurité sera en liaison via un concentrateur avec un poste maitre d’interphonie. Ce
poste maître sera installé dans le bureau RPT.
L’ensemble concentrateur + poste maître sera équipé d’une alimentation secourue par batterie garantissant
ainsi une continuité de fonctionnement en cas de coupure de courant.
2.9.3. Concentrateur
Le concentrateur permet le raccordement d’un poste maître et des interphones, d’une capacité pouvant aller
de 4 à 48 interphones.
2.9.6. Câblage
Les différentes liaisons électriques sont :
- En câble U1000 R2V : alimentation de l’alimentation secourue ;
- En câble CR1 : alimentation du concentrateur depuis l’alimentation secourue et liaisons électriques
entre le concentrateur et chaque interphone et poste maitre.
2.10.1. Présentation
L’établissement sera équipé d’une Gestion Technique du Bâtiment (G.T.B.) permettant la visualisation et la
supervision des installations suivantes :
- État de fonctionnement mais également les alarmes techniques des installations techniques telles que
la CVC (chauffage, ventilation, …), les appareils élévateurs, les installations électriques (armoires
électriques, éclairage, …), les installations de sécurité (SSI), les installations de sûreté, …
- Gestion de l’énergie et des fluides via les remontées d’information des différents compteurs
(électricité, gaz, eau, …) ;
- Commande centralisée des éclairages et des occultations.
Ce système de gestion rassemblera toutes les informations techniques des ouvrages. Ce système a pour but
de contrôler les installations techniques et d'en mesurer les principaux paramètres en temps réel en vue d'en
faciliter et d'en rationaliser l'exploitation.
Afin d'assurer la pérennité des communications entre les différents équipements composant l’installation,
supervision comprise, toutes les informations seront transmises sur réseau Ethernet en utilisant un protocole
de communication dit « ouvert ».
Le protocole adopté pour le projet sera exclusivement le protocole BACnet/IP. Ainsi, le système empruntera
l’architecture du réseau informatique du site.
À noter également que des dispositions devront être également prévues pour permettre l’évolution des
bâtiments sur leur cycle de vie avec notamment :
- Le système GTB sera en protocole ouvert
- Des réserves de puissances sur les câbles de distribution et des réserves de capacité dès le départ
sur les tableaux et les réseaux
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Projet : DEMOLITION PARTIELLE / RECONSTRUCTION DE L’ECOLE MATERNELLE DU JARDIN PARISIEN- CLAMART (92) Date : 10/08/2023
Doc : CCTP COURANTS FAIBLES Rev. : PRO-0
Réf. : I23003_PRO_0.0_CFA_CT_016_CFA_CCTP COURANTS FAIBLES_0 Auteur : INCET / AJ
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Réf. : I23003_PRO_0.0_CFA_CT_016_CFA_CCTP COURANTS FAIBLES_0 Auteur : INCET / AJ
- L’assistance technique aux autres corps d’état pour la définition des types d’équipements terminaux
qu’ils doivent mettre en œuvre : types de capteurs, d’actionneurs, de compteurs, de sondes, etc.,
- L’assistance technique aux autres corps d’état pour la définition des types d’équipements
communicants qu’ils doivent mettre en œuvre : UGL, automates, modules d’acquisitions, équipements
communicants (hors corps d’état CVC / Plomberie),
- L’assistance technique aux autres corps d’état pour le contrôle des câblages des équipements de
terminaux sur leurs équipements communicants (UGL),
- La programmation des équipements communicants de l’ensemble des lots hors CVC / Plomberie
(UGL, automates, etc.) à partir de la liste de points détaillée et des paramètres de fonctionnement de
chaque équipement validé, la programmation étant réalisée avec la collaboration de chaque lot
concerné,
- La définition, la mise en œuvre et la programmation des équipements communicants nécessaires à la
remontée des informations, des télécommandes et comptages du présent corps d’état Électricité
courants et faibles,
- Le câblage de la totalité des équipements communicants de tous les corps d’état,
- La mise en œuvre et en service du réseau Ethernet reliant l’ensemble des équipements
communicants, entre eux et avec le serveur Web principal, équipements de réseau nécessaires inclus
(switches, etc.),
- La mise en œuvre et en service de l’outil de supervision sur le réseau Ethernet,
- La programmation de l’outil de supervision, programmation incluant l’intégration des vues graphiques,
le paramétrage des droits d’accès, et d’une manière générale toutes les fonctionnalités de GTB
décrites dans le présent document,
- Les autocontrôles spécifiques tels que mentionnés au chapitre « Autocontrôles » du présent
document,
- Les essais coordonnés tels que mentionnés au chapitre « Essais » du présent document.
Les UGL intégreront des ports Ethernet mais également des switchs. Elles devront également être associés
à une alimentation secourue garantissant une autonomie minimale de 10 min.
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La GTB sera associée à un webserveur embarqué afin d’être consulté soit en local ou à distance via une page
web mais également pour les envois d’alerte par mail. Il sera ainsi à prévoir une ligne « internet ».
Les unités de gestion ainsi que les modules d’entrées/sorties comporteront des diodes électroluminescentes
de visualisation de l’état de fonctionnement. L’installation pourra être étendue en ajoutant simplement des
modules d’entrées/sorties supplémentaires. Des relais ou interrupteurs de forçage permettront de réaliser des
commandes manuelles sur les sorties numériques.
Les informations de mesures et les alarmes seront horodatées par les unités de gestion. Ils auront une
capacité de stockage suffisante pour archiver au minimum 1 mois d’informations et alarmes.
Les paramètres de régulation seront réglables dans une large plage afin de satisfaire aux différentes
installations. L’ensemble des fonctions de régulation, d’optimisation, d’économie d’énergie et d’automatisme
sera prêt à l’emploi et ne nécessitera pas de travaux de programmation spécifiques.
Note : Les régulateurs communicants des équipements de CVC seront fournis par le lot CVC.
Tous les points raccordés aux unités de gestions et modules d’entrées/sorties seront visualisables en temps
réel sur les pages animées ou bien dans des listes modifiables, regroupant le bâtiment ou les équipements
(par exemple, liste des températures d’un bâtiment, ou des défauts de toutes les VMC d’un site).
Les mesures physiques (températures, hygrométries …) et les valeurs des compteurs (eau, électricité, calories
…) seront disponibles sous forme de graphiques personnalisables et de tableaux. Pour les compteurs, les
données seront de type cumul et delta (V-V-1) permettant une lecture rapide des consommations.
Les utilisateurs pourront se raccorder aux unités de gestion en mode local via un port Ethernet (à l’aide d’un
ordinateur portable ou de l’afficheur intégré sur les UGL) pour des interventions ponctuelles de modification
ou de maintenance, sans devoir utiliser un quelconque logiciel payant. Ils pourront également accéder
directement aux automates via le réseau informatique.
NOTA : Afin d’assurer une parfaitement homogénéité de l’installation et une parfaite interopérabilité entre les
divers composants de l’installation, il ne sera admis aucune dérogation aux prescriptions techniques du
présent document auxquelles tous les corps d’état concernés par la GTB doivent se conformer.
Ils comportent des dérogations au fonctionnement hebdomadaire normal pour permettre l'intégration de
périodes spéciales (vacances, jours fériés, périodes d'activité accrue).
L'horloge temps réel qui pilotant ces programmes permet de gérer automatiquement le passage heure d'été /
heure d'hiver.
Il sera également prévu dans les pièces des commandes manuelles locales.
Pour les éclairages extérieurs au niveau des abords de bâtiment, ils seront également gérés par horloge
programmable associée à un détecteur crépusculaire. Cette horloge, par simplification, pourra également être
issue de la GTB.
Réaction aux événements : sur apparition d'une alarme, changement d'état d'une entrée tout ou rien,
dépassement d'une valeur limite, le système est capable d'émettre une commande d'arrêt, de marche, de
correction de réglages, etc.
Le titulaire devra raccorder les défauts techniques des installations en utilisant les reports disponibles. Le cas
échéant, le titulaire devra installer un équipement permettant le report de l’alarme (relais, pressostat, carte
additionnelle …).
Dès l’apparition d’une alarme, l’information sera archivée dans les UGL. Une signalisation visuelle apparaitra
sur les pages animées. Les utilisateurs pourront temporiser aisément l’apparition d’une alarme.
Des dépassements de seuils de températures ou d’hygrométrie devront générer les mêmes alarmes
techniques, à savoir :
- Alarme horodatée et archivée,
- Visualisation sur les pages animées,
- Message au mainteneur.
Les seuils haut et bas ainsi que les temporisations avant activation de l’alarme devront être facilement
modifiables.
Toute défaillance du système (manque tension sur un automate, défaut de bus de communication, perte de
liaison IP …) sera également transmise au mainteneur.
Les temps de fonctionnement mémorisés peuvent être visualisés par l'opérateur à tout moment.
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2.10.7. Supervision
2.10.7.1. Généralités
Le système de G.T.B. sera pourvu d'une IGHM (Interface Graphique Homme Machine) accessible aux
utilisateurs autorisés via une page web. Le nombre d’utilisateurs sera à définir par le Maître d’Ouvrage.
L’IHGM sera intégrée dans les différentes UGL où seront stockées les différentes données.
Un niveau d’accès spécifique autorisera les opérations de paramétrage et de commande des installations
depuis l’IGHM aux seuls personnels dédiés à la maintenance des installations. La visualisation des états et
des alarmes sera possible depuis n’importe quel endroit à l’aide d’un navigateur internet.
Aucun applicatif spécifique du système de GTB ne devra préalablement être installé sur les postes utilisateurs
et aucune licence d'utilisation ne devra être nécessaire pour accéder à l'IGHM.
Indépendamment du niveau d'utilisation, l'accès aux différentes informations et commandes de l'IGHM seront
les plus intuitives possibles afin que la prise en main soit facilitée.
Une attention particulière devra être portée sur ce point (exemple : simplicité de modification d'une consigne
de température ou d'un programme horaire, affichage graphique du local, symboles d'états en couleur, etc.).
Le système de G.T.B. devra permettre la notification d'alarmes ou de défaillances, la gestion de calendriers et
programmes horaires, la visualisation de courbes et de diagrammes de fonctionnement, l'historisation des
événements et la possibilité de les exporter vers une plateforme bureautique classique.
L'historisation des données sera effectuée localement et une sauvegarde sera possible au travers du réseau
de communication (Ethernet).
Pour renforcer la souplesse d'utilisation, l'accès complet à l'IGHM (selon droits utilisateur) devra pouvoir
s'effectuer depuis n'importe quel point du réseau de communication Ethernet.
Le système de supervision devra être accessible depuis Internet, en HTML5 (pas de java), sur un site web
adaptatif (responsive web design).
2.10.7.2. Principe
Un serveur « Web principal », communicant nativement en BACnet/IP et pouvant fédérer jusqu'à 50 U.G.L ou
automates certifiés BTL sera mis en place. Il sera implanté dans le local Sûreté.
L’accès aux automates sera entièrement « WEB » et sera accessible au niveau paramétrage comme au
niveau exploitation via un simple navigateur, depuis n’importe quel ordinateur du Maître d’Ouvrage et depuis
l’extérieur du site.
Droits d’accès :
Les accès au webserveur se feront à l’aide d’un identifiant et d’un mot de passe, définissant le niveau
hiérarchique des utilisateurs et les actions possibles associées. 4 niveaux seront disponibles et accessibles
au maître d’ouvrage :
- Accès en lecture seule des données
- Exploitation, avec la possibilité de modifier les paramètres réglables (plannings, consignes, loi d’eau
…)
- Modification de 1er niveau permettant la modification des temporisations, l’étalonnage des sondes et
des compteurs, le changement du libellé d’un point, la planification de l’astreinte …
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- Administration complète du système (archivage / purge des données, modification des utilisateurs,
sauvegardes / restauration des paramètres …)
Pages animées :
Le titulaire fournira des exemples, sur des projets ayant une architecture équivalente.
Depuis ces pages, les utilisateurs pourront renseigner les plannings d’occupation ou modifier les consignes.
Un bandeau permanent facilitera la navigation. Il comprendra les liens vers les différentes pages et menus
(journaux, graphiques, suivis énergétiques …) et indiquera clairement l’apparition d’un défaut quelconque.
De la même manière, une icône reflétant l’état général de l’installation de GTB indiquera toute défaillance du
système (manque tension sur un automate, défaut de bus de communication, perte de liaison IP, …). Un
acquittement sera nécessaire pour permettre la visualisation d’un nouveau défaut. L’identifiant de l’utilisateur
ayant acquitté sera enregistré.
Le maître d’ouvrage fournira les plans de l’immeuble pour la réalisation des fonds des pages animées.
Journaux de bord :
Un journal de bord affichera au fil de l’eau les défauts techniques et les dépassements de seuils des mesures
physiques. Les incidents comporteront un numéro unique, la date et l’heure de l’alarme, le nom du bâtiment,
le libellé précis du point et l’état au moment de l’incident. Ils présenteront des couleurs différentes selon
l’importance ou l’origine du défaut.
Un jeu d’icônes ou de couleurs différenciera les alarmes prises en compte par les utilisateurs (alarmes
acquittées). Ceux-ci pourront ajouter des commentaires aux incidents (procédures engagées, numéros
d’interventions …).
Des tris seront possibles permettant la sélection d’un bâtiment, d’une catégorie de défaut, d’une période
calendaire … Il sera possible d’éditer une liste des alarmes encore présentes sur les sites.
Les journaux seront éditables au format texte (.txt) après sélection de certaines alarmes.
L’administrateur pourra archiver et purger tout ou partie des journaux manuellement. Un archivage
automatique devra être réalisé.
États instantanés :
Tous les points raccordés sur les automates pourront être consultés dans une liste éditable selon des critères
de sélection (bâtiment, catégorie de point …). Les utilisateurs pourront ainsi visualiser les états des points qui
ne seront représentés que sous forme de synthèse sur les pages animées (disjoncteurs …).
Une zone de commentaire sera affectée à chaque point, permettant de décrire la procédure en cas de défaut,
la situation géographique de l’équipement, les moyens d’accès, … Ces informations seront complétées au fur
et à mesure par le maître d’ouvrage.
Les états seront éditables au format texte (.txt) après sélection de certains points.
Graphiques :
Les mesures physiques seront affichées sous formes de courbes sur des graphiques. Plusieurs
enregistrements pourront apparaitre sur la même page. Les utilisateurs pourront définir les échelles, les
couleurs des courbes et de la page. Ils pourront également afficher le détail d’un point (valeur et horodatage),
zoomer sur une période et comparer la même mesure sur 2 périodes différentes (comparaison des
consommations sur 2 années).
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Les graphiques seront imprimables en pleine page. Les enregistrements seront éditables sous forme de
tableau (valeur et horodatage) au format texte (.txt) après sélection d’une plage calendaire.
Le titulaire paramètrera une vingtaine graphique non encore définis.
Par exemple :
- La page d'accueil du site sera composée de plusieurs zones d'affichage permettant d'accéder
facilement à l'ensemble des installations : Electricité, CVC, Plomberie, …
- La zone gauche de la page d'accueil présentera une arborescence hiérarchisée autorisant le
déploiement de tous les ensembles et sous-ensembles visualisables.
- La zone centrale permettra l'affichage des différents sous-ensembles en mode textuel ou graphique
selon les options définies dans le projet. La sélection du mode d'affichage sera effectuée par simple
clic sur l'onglet correspondant.
L’adjudicataire du lot aura à sa charge la fourniture et la pose du câble, des switches multi ports éventuels et
de tous les accessoires nécessaires. Ce câble sera posé sur chemin de câble selon les limites de prestations
fixées dans le cahier des clauses techniques.
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Le protocole choisi est standard et ouvert, les points de données transitant par le bus seront orientés "objets"
avec gestion maître à maître. L’échange de données entre les appareils sera orienté "événement" (message
spontané) et "Peer to Peer" (communication multidirectionnelle entre les UGL, sans accessoire).
Les paramètres du dispositif de renvoi d’alarmes seront accessibles par le personnel par code d’accès.
Plusieurs niveaux d’accès pourront être paramétrés.
En cas d’alarme, par exemple, le webserveur enverra le message adéquat au transmetteur téléphonique. Le
transmetteur acheminant ensuite le message vers le destinataire déclaré comme étant d’astreinte.
Le dispositif devra également gérer la cascade d’appels en cas de non-réponse par paramétrage.
À chaque type d’alarme correspondra un message, exemple : alarme CVC, alarme incendie, etc., le logiciel
pouvant générer en base 25 messages types.
Les sigles utilisés sur la liste des informations sont les suivants :
- TA - Téléalarme
o Il s'agit d'un défaut ou d'un état de fonctionnement anormal d'un équipement ou d'un appareil
délivré à partir d'un contact sec "tout ou rien".
- TS - Télésignalisation
o Il s'agit d'une information d'état de fonctionnement (marche ou arrêt) ou de position (ouvert ou
fermé) délivrée à partir d'un contact sec "tout ou rien" comme pour la TA.
- TC - Télécommande
o Il s'agit d'un ordre émis par GTB à travers une sortie "tout ou rien" à contact sec et destiné à
commander la marche ou l'arrêt d'un équipement.
- TR - Téléréglage
o Il s'agit d'un ordre émis par GTB à travers une sortie analogique 4 - 20 mA ou 0 - 10 volts, ou
une sortie numérique permettant de modifier les paramètres de fonctionnement d’un
équipement ou d’une installation.
- TM - Télémesure
o Il s'agit d'une information de mesure acquise par la GTB sous forme d'un signal analogique 4
- 20 mA ou 0 - 10 volts.
- TCP - Télécomptage
o Cette information de comptage est obtenue soit par une intégration de la valeur analogique
de télémesure, soit par un comptage impulsionnel ou numérique.
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VENTILATION
CHAUFFAGE / CLIMATISATION
Armoire en LT sous-station
Présence Tension X
Défaut Général X
Thermostat, température trop haute X
Pressostat manque d'eau X
Compteurs de calories X
Production calorifique
Sonde de température départ X
Sonde de température retour X
Contrôleur de débit d'eau X
Comptage consommation électrique X
Désembuage - synthèse défauts X
CO2
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Consigne CO2 X
Mesure CO2 X
Défaut synthèse X
Compteur de calories X
PLOMBERIE
TGBT
Position interrupteur général X
Position de l’arrêt d’urgence X
Présence tension X
Défaut synthèse déclenchement disjoncteurs X
Eclairage extérieur X X
PC X
Forces diverses X
Courants faibles
Baies informatiques X
Alarme anti intrusion X
Contrôle d’accès & portiers vidéophones X
SSI - dérangement & alarme feu X
Vidéosurveillance X
Divers Courants faibles X
ASCENSEURS
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OCCULTATIONS
Commande générale X X
Défaut de synthèse X
OFFICE DE RECHAUFFAGE
Chambre froide X X
Réfrigérateur X X
2.10.11. Méthodologie
Le titulaire détaillera sa démarche de mise en œuvre : contenu de chaque phase, charges et délais, attentes
vis-à-vis du maître d’ouvrage …
Spécification
Cette phase permet la rédaction par le titulaire du dossier « Analyse fonctionnelle ».
Remarque :
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Le maître d’ouvrage portera une attention toute particulière à la méthodologie des tests proposés par le
titulaire. Les tests doivent couvrir la réalisation de plans de tests en phase de spécification, la réalisation des
tests point par point, des tests des fonctionnalités …
Le titulaire précisera l’organisation et les moyens mis en œuvre pour répondre aux exigences du
maître d’ouvrage en termes de délai. Le titulaire fournira un planning détaillé pour chaque site.
Deux semaines avant la réception avec l’occupant, l’intégrateur devra transmettre les protocoles VSR
complétés.
Lors de la réception, il sera fait des tests de la GTB avec notamment des claquages de points.
L’intégrateur devra également remettre la liste des différents équipements installés (UGL, régulateurs, sondes,
…) en indiquant notamment l’emplacement des équipements.
2.10.14. Garantie
Après réception, le titulaire est tenu à :
- La garantie de parfait achèvement de ses travaux, pendant un délai d’un an,
- La garantie de bon fonctionnement des équipements, pendant un délai de deux ans minimums,
- Les responsabilités décennales sur les éléments incorporés à la structure, aux ouvrages de clos,
couverts, etc... Ou pouvant être cause d'inaptitude à la fonction du bâtiment.
Le titulaire précisera la durée de garantie des équipements (qui est au minimum de deux ans) et les conditions
d’intervention (délai d’intervention…) en cas de défaillance des équipements pendant la période de garantie.
2.10.15. Formation
Le titulaire assurera une formation d’une journée par site.
Une notice explicative détaillée sera fournie aux utilisateurs. La documentation utilisateurs sera accessible en
ligne et fournie au format CD Rom (2 CD) et papier (2 exemplaires).
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Le maître d’ouvrage devra être capable de réaliser des modifications de programmation dans les automates
sans faire appel à une société tiers.
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