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empire état du maroc

états unis pour l'amérique


gouvernement fédéral de la république nationale maure
societas republicae ca al maurikanos
mouvement divin et national des maure de la terre
amexem nord ouest +afrique nord ouest +amérique du nord + la porte nord
toutes les îles adjacentes
temple de la lune et du soleil
les peuples naturels véritables et de jure + héritiers de la terre
i. s. l.a.m.
je. suis. moi même.la.loi.et maître
__________________________________________________________________________________
universel souverain original indigène naturel divin
empire état du maroc
patricia geraldine carvon el
Affidavit : Requérir un Logement, Information et Notification de la Juridiction et Statut
des Territoires qui étaient sous OCCUPATION COLONIALE FRANCAISE

Cronos avril 13, 2024

À Serge Smock Gardien à la ville de Matoury


Hôtel de Ville de Matoury
N°1 rue victor ceide
[97351] Cayenne

Je vous prie de bien vouloir prendre connaissance par les déclarations internationales ci-joint de
la réalité du Territoire de la Guyane et les Îles Avoisinantes (Pacifiques) qui étaient sous
OCCUPATION COLONIALE jusque au 30 juillet 2019 date de la Déclaration l’ Indépendance, l’
Autonomie, et l’ Auto-Gouvernement de ses Territoires et les Peuples vivants sur ses Territoires,
leur Juridiction, et Statut Réel véritable depuis cette date.
Veillez Trouver Ci-Joint les Déclarations Et Documents Suivants: Une Copie de la Proclamation et Notification d’
Indépendance Adresser à Emmanuel Macron Depuis le 30 Juillet 2019 et qu’ Il A Accepter sans Réfutation à ce jour;
une copie du ‘’Traité de Paix Et D’ Amitié’’ de 1786+87 et une copie de la ‘’Constitution
Américaine’’ pour les [ETATS-UNIS LA COMPAGNIE COMMERCIALE FRANCAISE] qui est la Loi
Suprême de la Terre auquel fait référence Article XXIV. Traités, accords et autres arrangements constructifs
de la Déclaration Américaine sur les Droits Des Peuples Autochtones Des Amériques. Dont/Que je suis une.

Nota Bene: Il vous sera préférable de prendre connaissance de toutes la Déclarations dans leur Intégralités

Fiduciaire Patricia Geraldine Carvon El

amen, amen dico vobis, quæcumque alligaveritis super terram erunt ligata et ego in caelo et quaecumque solveritis super terram erunt soluta et in caelo

amen, amen dico vobis, quæcumque alligaveritis super terram erunt ligata et ego in caelo et quaecumque solveritis super terram erunt soluta et in caelo

amen, amen dico vobis, quæcumque alligaveritis super terram erunt ligata et ego in caelo et quaecumque solveritis super terram erunt soluta et in caelo

Pieces Jointe:
*Proclamation, Déclaration et Notification De L’ Indépendance Des Territoires qui étaient Sous
Occupation Coloniale Française

*Déclaration Des Nation-Unis Sur les Droits Des Peuples Indigènes 13 septembre 2007 :
https://www.un.org/esa/socdev/unpfii/documents/DRIPS_fr.pdf

*Déclaration Américaine Sur Les Droits Des Peuples Autochtones 15 Juin 2016 :
https://www.un.org/esa/socdev/unpfii/documents/DRIPS_fr.pdf

*Le Traité de Paix et D’ Amitié 1786+87 :


http://www.rvbeypublications.com/sitebuildercontent/sitebuilderfiles/
treatyofpeacefriendship.pdf

*La Constitution Américaine Pour Les ETATS-UNIS de 1797 :


https://www.loc.gov/static/classroom-materials/constitution/documents/constitution.pdf

*Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays et aux peuples coloniaux, A.


G. res. 1514 (XV), 15 U.N. GAOR Supp.(No. 16) à 66, U.N. Doc. A/4684 (1961). :
http://cpgesciences.p.c.f.unblog.fr/files/2016/09/droitsdecolonisation.pdf

Les Affidavits de:


*Changement et Proclamation de Nationalité et Appellation souverain Aborigène

*Trust Internationale de La Nouvelle Fiduciaire D’ ADIL (CEO)

*Quo Warranto Mandamus Restitutio

*Résiliation de Tous Contrats CORPORATIFS


*Affidavit Obérer d’ ADIL

*Permis et Pièce D’ Identité Maure Américain Maure Légitime

Je Requiers un logement pavillon de trois (3) pièces sur les communes suivantes par ordre prioritaire
suivantes: Montjoly, Matoury, ou Cayenne qui est un DROIT et non un Privilège que l’ état décide si oui
ou non un DROIT doit être attribuer.

amen, amen dico vobis, quæcumque alligaveritis super terram erunt ligata et ego in caelo et quaecumque solveritis super terram erunt soluta et in caelo

amen, amen dico vobis, quæcumque alligaveritis super terram erunt ligata et ego in caelo et quaecumque solveritis super terram erunt soluta et in caelo

amen, amen dico vobis, quæcumque alligaveritis super terram erunt ligata et ego in caelo et quaecumque solveritis super terram erunt soluta et in caelo
LA RÉPUBLIQUE NATIONALE MAURE
LE MOUVEMENT DIVIN ET NATIONAL MAURE DU MONDE
Peuples naturels aborigène/Indigène, et autochtones du nord-ouest de l'Amexem Amérique du Nord
Amérique Continental

Quelques Articles De La Déclaration Américaine Sur Les Droits Des Peuples Autochtones

PREMIÈRE SECTION
Peuples autochtones. Champ d’application et portée

Article Premier.
La Déclaration américaine sur les droits des peuples autochtones s’applique aux peuples autochtones des
Amériques.
L’auto-identification comme peuples autochtones constitue un critère fondamental pour déterminer les
personnes auxquelles s’applique la présente Déclaration. Les États respectent le droit à cette auto-identification en tant
qu’autochtone de manière individuelle ou collective, conformément aux pratiques et aux institutions propres à chaque
peuple autochtone.
Je me suis Auto-Identifiée en Proclamant Ma Nationalité et Appellation De Jure Et Légitime.

Article II.
Les États reconnaissent et respectent le caractère pluriculturel et multilingue des peuples autochtones, qui font partie
intégrante de leur société.

Article III.
Les peuples autochtones ont droit à l’ auto-détermination. En vertu de ce droit, ils déterminent librement leur statut
politique et poursuivent librement leur développement économique, social et culturel.
Ceci Veut Dire Que Ce N’ Est Pas La FRANCE qui Décide De Notre STATUT POLITIQUE sur notre
SOL/TERRE/TERRITOIRE.

DEUXIÈME SECTION
Droits de la personne et droits collectifs

Article V. Pleine application des droits de la personne


Les peuples et les populations autochtones ont le droit de jouir pleinement de tous les droits de la personne et libertés
fondamentales reconnus par la Charte des Nations Unies, la Charte de l’Organisation des États Américains et le droit
international des droits de la personne.
Article premier de la Déclaration Universelle Des Droits Des Hommes
Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de
raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.
Et

Article 15 de la Déclaration Universelle Des Droits Des Hommes


1. Tout individu a droit à une nationalité.
2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa nationalité, ni du droit de changer de nationalité.

Article VI. Droits collectifs


Les peuples autochtones ont des droits collectifs qui sont indispensables à leur existence, à leur bien-être et à leur
développement intégral en tant que peuples. À cet effet, les États reconnaissent et respectent le droit des peuples
autochtones à agir collectivement, à disposer de leurs systèmes ou institutions juridiques, sociaux, politiques et
économiques et de leurs propres cultures, à professer et pratiquer leurs croyances spirituelles, à employer leurs propres
langues et dialectes et à disposer de leurs terres, territoires et ressources. Les États encouragent, avec la participation
pleine et effective des peuples autochtones, la coexistence harmonieuse des droits et systèmes des groupes de
population et des cultures.

La coexistence doit être mesurer par-apport et en accord avec la LOI SUPRÊME de la terre Qui est le Traité de Paix et
D’ Amitié, La Constitution Américaine pour les ETATS-UNIS, et Accords Et autres Arrangements Constructifs qui sont la
Loi Suprême de la Terre. Ici Ce N’ Est Pas La FRANCE Ni L’ Europe, MAIS Les AMERIQUES le Continent Américain et
Le Territoire de la Guyane Se trouve Sur La Partie SUD + Amérique du Sud.; pas en Europe Ni En France qui se trouve
Se Le Continent Européen selon les Cartes Géographiques à ce jour.

Article IX. Personnalité juridique


Les États reconnaissent pleinement la personnalité juridique des peuples autochtones en respectant les formes
d’organisation autochtones et en promouvant le plein exercice des droits reconnus par la présente Déclaration.

Article X. Rejet de l’assimilation


Les peuples autochtones ont le droit de préserver, d’exprimer et de développer librement leur identité
culturelle sous toutes ses formes, à l’abri de toute tentative extérieure d’assimilation.
1. Les États ne doivent élaborer, adopter, appuyer ou favoriser aucune politique d’assimilation des peuples
autochtones et de destruction de leurs cultures.
2.

TROISIÈME SECTION
Identité culturelle

Article XIII. Droit à l’identité et à l’intégrité culturelle


Les peuples autochtones ont droit à leur propre identité et intégrité culturelle et à leur patrimoine culturel, qu’il
soit tangible ou intangible, notamment le patrimoine historique et ancestral, ainsi qu’à la protection, la préservation, le
maintien et le développement dudit patrimoine culturel afin de le transmettre aux générations futures et d’assurer leur
continuité collective et celle de leurs membres.
Les États doivent accorder réparation par le biais de mécanismes efficaces, qui peuvent comprendre la
restitution, conjointement avec les peuples autochtones, en ce qui concerne les biens culturels, intellectuels, religieux et
spirituels qui leur ont été pris sans leur consentement préalable, donné librement et en connaissance de cause, ou en
violation de leurs lois, traditions et coutumes.

Article XXI. Droit à l’autonomie et à l’auto-gouvernement


Les peuples autochtones, dans l’exercice de leur droit à l’autodétermination, ont le droit d’être autonomes et
de s’administrer eux-mêmes pour tout ce qui touche à leurs affaires intérieures et locales, ainsi que de disposer des
moyens de financer leurs activités autonomes.
Les peuples autochtones ont le droit de maintenir et de développer leurs propres institutions décisionnelles.
Ils ont également le droit de participer aux prises de décisions concernant les questions susceptibles de porter atteinte à
leurs droits. Ils peuvent exercer ce droit directement ou par l’intermédiaire de leurs de représentants qu’ils auront élus
conformément à leurs propres institutions, aux prises de décisions concernant les questions susceptibles de porter
atteinte à leurs droits et se rapportant à l’élaboration et l’exécution des lois, politiques publiques, programmes, plans et
actions liés aux questions autochtones.

 Les peuples autochtones ont droit à la reconnaissance et au respect de leurs modes de vie, leur vision cosmique,
leur spiritualité, leurs usages et coutumes, leurs règles et traditions, leurs formes d’organisation sociale,
économique et politique, leurs formes de transmission des connaissances, leurs institutions, leurs pratiques, leurs
croyances, leurs valeurs, leurs vêtements et leurs langues, ainsi que de leurs interrelations, tel qu’établi dans la
présente Déclaration.

représentants, conformément à leurs propres règles, procédures et traditions. Ils jouissent également du droit à
bénéficier de l’égalité des chances d’accès et de participation pleine et effective, en tant que peuples, à toutes les
institutions et à tous les forums nationaux, notamment les organes décisionnels.

▼Article XXII. Droit et juridiction autochtone

1. Les peuples autochtones ont le droit de promouvoir, développer et conserver leurs structures institutionnelles ainsi
que leurs propres coutumes, spiritualité, traditions, procédures, pratiques et, lorsqu’ils existent, leurs propres usages et
systèmes juridiques, conformément aux normes internationales relatives aux droits de la personne.

2. Le droit et les systèmes juridiques autochtones doivent être reconnus et respectés par l’ordre juridique national,
régional et international.

3. Dans la juridiction de chaque État, les affaires concernant les personnes autochtones ou leurs droits ou intérêts sont
conduites de manière à donner le droit aux autochtones d’être pleinement représentés, dans la dignité et à égalité
devant la loi. Ils ont donc le droit, sans discrimination, à une protection égale et au bénéfice de la loi, notamment le
recours à des interprètes linguistiques et culturels.
4. Les États prennent des mesures efficaces, de concert avec les peuples autochtones, pour assurer l’application du
présent article.
La France N’ A Pas De JURIDICTION Sur Le CONTINENT AMERICAIN ni sur les Peuples et les territoires qui ETAIENT
sous OCCUPATION FRANCAISE Jusqu’en 2019. Cet Article Le Dit CLAIREMENT. Ici Ce N’ Est Pas la France qui
COMMANDE MAIS Les PEUPLES AUTOCHTONES.
La Déclaration De L’ Octroi De L’ Indépendance aux Pays Et Peuples Coloniaux et La Proclamation D’ Indépendance
Adresser Au Président Français Emmanuel MACRON, Donnent et A transférer la Juridiction Aux Peuples Des
Amériques Définitivement depuis cette date.
▼Article XXIII. Participation des peuples autochtones et contributions des systèmes juridiques et organisationnels
autochtones
1. Les peuples autochtones ont le droit de participer pleinement et effectivement, par l’intermédiaire de représentants
qu’ils auront élus conformément à leurs propres institutions, aux prises de décisions concernant les questions
susceptibles de porter atteinte à leurs droits et se rapportant à l’élaboration et l’exécution des lois, politiques publiques,
programmes, plans et actions liés aux questions autochtones.

Les États consultent les peuples autochtones concernés et coopèrent avec eux de bonne foi, par
l’intermédiaire de leurs institutions représentatives, avant d’adopter et d’appliquer les mesures législatives ou
administratives qui les touchent, afin d’obtenir leur consentement libre, préalable et éclairé3

Article XXIV. Traités, accords et autres arrangements constructifs


Les peuples autochtones ont droit à la reconnaissance, au respect et à l’application des traités, accords et
autres arrangements constructifs conclus avec les États ou leurs successeurs, conformément à leur esprit et à leur
intention, et de bonne foi, et à faire en sorte que les États honorent et respectent ces instruments. Les États prennent
dûment en considération l’interprétation donnée par les peuples autochtones aux traités, accords et autres
arrangements constructifs.
• Les différends qui ne peuvent être résolus entre les parties aux traités, accords et autres arrangements constructifs
doivent être soumis aux organes compétents, notamment les organes régionaux et internationaux, par les États ou les
peuples autochtones concernés.
1. Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée de manière à diminuer ou abroger les droits
des peuples autochtones qui sont énoncés dans des traités, accords et autres arrangements constructifs.

***Les Traités, Accords Et Autres Arrangement Sont: Le Traité De Paix Et D’ Amitié De 1986/1787 entre Les Peuples
Maures Des États Unis Continental Et [Les ETATS-UNIS LA COMPAGNIE COMMERCIALE FRANCAISE], Qui n’ est
pas un PAYS mais [LA CORPORATION DES NATIONS G7] ou [ETATS-UNIS] qui n’ est pas un pays mais une
CORPORATION et [COMPAGNIE COMMERCIALE FRANCAISE] et La Constitution Américaine De 1791 Pour [LES
ETATS-UNIS LA COMPAGNIE COMMERCIALE FRANCAISE/LA CORPORATION].
amen, amen dico vobis, quæcumque alligaveritis super terram erunt ligata et ego in caelo et quaecumque solveritis super terram erunt soluta et in caelo

amen, amen dico vobis, quæcumque alligaveritis super terram erunt ligata et ego in caelo et quaecumque solveritis super terram erunt soluta et in caelo

amen, amen dico vobis, quæcumque alligaveritis super terram erunt ligata et ego in caelo et quaecumque solveritis super terram erunt soluta et in caelo

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