Depuis l'accession à l'indépendance des états d'Afrique centrale, il y'a eu malheureusement de

nombreux conflits internes et inter tactique. Il est crucial de mettre donc en place des
mécanismes de prévention efficace pour éviter ces situations néfastes. Quels sont donc ces
différents mécanismes ?

Depuis l'indépendance des États d'Afrique centrale, plusieurs guerres ont eu des
conséquences néfastes, aggravées par la fin de la guerre froide et d'autres facteurs. Le désintérêt
de la communauté internationale a laissé les Africains résoudre leurs problèmes par le biais
d'autres organismes. Une réunion à Yaoundé en février 1999 a examiné la question de la sécurité
en Afrique centrale, mais le comité sous-régional mis en place n'a qu'un seul mode d'action
politique qui semble insuffisant pour résoudre les conflits récurrents dans la région. Ces conflits
pourraient avoir des répercussions dévastatrices sur l'ensemble de l'Afrique, nécessitant une
réponse de la communauté internationale.

La sécurité collective, telle que définie par le chef d’état-major de l’armée camerounaise,
repose sur la collaboration entre des pays indépendants pour étudier et résoudre ensemble les
problèmes de sécurité qui les concernent. Ce concept est ancré dans la charte des Nations Unies
et vise à assurer la sécurité pour tous sur la base de l’égalité en termes de sécurité. La diplomatie
préventive, qui consiste à prévenir les conflits avant qu'ils ne surgissent, a également été promue
comme moyen de maintenir la paix. Cependant, malgré les efforts déployés, la mise en œuvre de
ces initiatives n'a pas toujours été couronnée de succès, ce qui a poussé la communauté
internationale à se tourner vers des structures régionales de maintien de la paix.

Malgré les efforts du comité consultatif permanent des Nations Unies, les défis liés aux
conflits frontaliers, à la criminalité et au trafic d'armes persistent en Afrique centrale. Une
redéfinition des conditions pour une diplomatie préventive plus efficace est suggérée, ainsi que la
création d'un institut sous-régional de prévention des conflits. Il est crucial d'explorer des
approches novatrices pour promouvoir la paix et la sécurité dans la région.

Pour la prévention des conflits en Afrique, l'importance de la compréhension des causes des
conflits et de l'action préventive est nécessaire. Des initiatives telles que l'implication de la
société civile, les opérateurs ONOSOM en Somalie, et la création de comités consultatifs et

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forces interafricaines de maintien de la paix sont inclus. Il est clair que la coopération
internationale et régionale est essentielle pour promouvoir la paix et la sécurité en Afrique.

Bref la France a joué un rôle capital étant en collaboration avec d'autres puissances
occidentales à travers les volontés politique forte par des ressources humaines matérielles et
financier.

En fin je dirais qu'il est indéniable que la situation en Afrique concernant les efforts de
maintien de la paix suscite des critiques et des débats. Le continent africain abrite une grande
proportion des missions de maintien de la paix des Nations Unies, avec plus de 80% des forces
de maintien de la paix présentes. Cependant, des voix s'élèvent pour remettre en question
l'efficacité de ces missions et mettre en lumière les défis auxquels elles sont confrontées.

Je parlerais donc des certaines missions de maintien de la paix en Afrique peuvent être
embourbées dans des situations complexes et difficiles à résoudre. De plus, la participation des
forces armées africaines aux opérations de maintien de la paix est un sujet délicat en raison des
implications politiques et économiques que cela peut entraîner. Il convient également de noter
que les forces régionales peuvent parfois aggraver la situation dans certaines régions. Des
exemples récents tels que l'Éthiopie, l'Angola et le Rwanda illustrent clairement ce point.

En résumé, bien que des efforts soient déployés pour assurer le maintien de la paix en Afrique,
il reste des défis à relever et des critiques à prendre en compte. Il est essentiel d'améliorer
l'efficacité et l'orientation des missions de maintien de la paix pour répondre aux besoins
spécifiques de chaque situation.