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I Objet D’étude
Il y’a de cela 41 ans jour pour jour nait une organisation communautaire en Afrique Centrale
appelée « La Communauté Économique des États de l’Afrique Centrale » CEEAC en sigle.
Cette organisation est née le 18 octobre 1983 à Libreville au Gabon, la dite organisation
comporte un but précis selon les enjeux économiques et politiques des États de l’Afrique en
général et les États de l’Afrique Centrale à particulier
Cette organisation a pour résolution particulière pour épanouissement et sa mis en œuvre
l’affranchissement d’une nouvelle étape dans le processus d’intégration africaine engagé par
la création des communautés Économiques Régionales. Ayant l’esprit de la Charte des
Nations Unies, signée à San Francisco, le 26 juin 1945 et ses différents engagements et
amendements. le Plan d’action et l’Acte Final de Lagos, l’l’Acte Constitutif de l’Union
Africaine, le Traité D’Abuja instituant la Communauté Économique Africaine ( CEA ) et de le
Traité instituant CEEAC, rappelant le drame historique de la division du content africain et
la nécessité des bases solides pour union de la reconstruction de l’Afrique, confirmant
l’attachement le CEEAC aux principes de la liberté, de la démocratie, de respect des droits de
l’homme et des libertés fondamentales et l’État de droit.
Désirant à approfondir la solidarité communautaire entre les États de la Région dans le respect
de leur histoire, de leur culture, de leurs traditions, engagé à renforcer le caractère
démocratique et l’efficacité du fonctionnement des institutions communautaires, afin de leur
permettre de mieux remplir dans un cadre institutionnel adapté, les missions qui leur sont
confiées, déterminé à mettre en œuvre une politique étrangère, la paix et la sécurité commune,
y compris la définition progressive d’une politique de défense commune, qui pourra conduire
à une défense commune conformément à l’Acte Constitutif de l’Union Africaine, du protocole
instituant le Conseil de paix et de Sécurité (CPS) de l’Union Africaine et des autres textes et
dispositifs permanents adoptés au niveau continental africain et Régional de l’Afrique
Centrale. Déterminé à faciliter la libre circulation et le droit des établissements des personnes,
tout en assurant la sûreté et la protection de leurs populations, en établissant un espace de
liberté ainsi que de sécurité respectueuse des droits humains.
Conscient, du fait que le fléau des conflits intra et inter-étatique constitue un obstacle majeur
au développement socio-économiques en Afrique Centrale, et de la nécessité de promouvoir la
paix, la sécurité et la stabilité, comme solution préalable du1 développement et d’intégration,
dans but d’attachement à la vison commune d’une l’Afrique Centrale Unies et forte fondée
sur le stricte respect des principes de la coexistence pacifique, de non agression, de
l’assistance mutuelle et de non ingérence dans les affaires internes des États, du respect de la
1
Traite révise du 18 octobre 1983 créant CEEAC
souveraineté de chaque État, l’indépendance, l’unité et de l’intégrité territoriale de chaque
État, sachant que la bonne gestion des affaires publiques, respect de l’Etat de droit, et le
développement durable sont indispensables pour la paix et la de la prévention des conflits.
Convaincu que la criminalité transfrontalière, le terrorisme, la transhumance armée, la
prolifération des armes légères et de petits calibres, de munitions connexes et de toute forme
de trafic illicite contribuent au développement de l’insécurité et l’instabilité compromettent de
développement socio-économique de la Région.
Consolider nos acquis dans le domaine de règlement pacifique des conflits à travers ne
Conseil de la Paix et Sécurité de l’Afrique Centrale ( COPAX ), devant l’évidence sue la
défense nationale incombe à chaque État, mais qu’elle ne peut être plus efficace que la par
coordination et la mise en commun des moyens d’assistance mutuelle des États de la Région,
souhaitant la mise en place d’une structure opérationnelle pour la mise en œuvre efficace des
décisions prises dans les domaines de la paix et de la sécurité.
Le préambule du Traité révisé de 1983 créant la Communauté Économique des États de
l’Afrique Centrale, met évidence les priorités communes de cette organisation communautaire
dans le but de poursuivre les missions lui confiées par les États membres notamment ,
promouvoir de la paix, la sécurité, la bonne gouvernance au sein des États membres de
l’organisation, la mission cette organisation est immense voir complexe car au-delà de
résoudre les problèmes régionaux qui échappent aux États de la Région, la CEEAC est
confrontée à certains principes de du Droit International Public dans le domaine de respect de
la souveraineté des États, ou encore le principe de la non ingérence aux affaires internes des
États membres, cela permet de savoir les limites des pouvoirs de cette organisation et des
compétences avant de mettre à vigueur des règles adaptées pour résoudre les problèmes
sociaux économiques de la Région de l’Afrique Centrale.
L’Afrique en général et l’Afrique Centrale à particulier connaît d’énorme défis dans plusieurs
domaines notamment dans le domaine économique qui est but principal de la CEEAC, ainsi
donc la CEEAC se présente comme le maître nager qui venait il de cela plus 20 ans sauver
l’Afrique Centrale du noyade économique et sociale, laquelle les États de l’Afrique Centrale
faisaient face à proposant des solutions issues des réflexions et idées communes des États
membres…
Comme vous veniez de nous lire, dans le cadre de note travail nous en train de parler la
Communauté Économique des États de l’Afrique Centrale, précisément dans « l’analyse et
critique de l’intégration et de l’application des règles dans arsenal juridique de chaque État
membre » d’où comme chaque travail scientifique nous avons une obligation de devoir
donner les raisons du choix et les intérêts qui présentent notre choix du sujet, sans beaucoup
tarder nous passons au niveau du choix du sujet.
Le choix du sujet : il est parfois difficile d’arriver à faire des cherches sur un sujet scientifique
donné sans que nous ne sayons particulièrement motivé, motivé par une raison précise, par
une événement ou encore par une situation alarmante, étant donné le caractère scientifique de
notre travail , il sied de de donner et expliquer nos motivations qui nous ont amenées à choisir
notre sujet.
Dans le cadre de notre travail nous avons opéré et opté pour ce sujet relatif aux analyses et
critiques de la CEEAC dans son intégration et application des règles au sein des États, c’est
parce que nous avons constaté. Le premier lieu la CEEAC que nous l’avons énoncé tout haut
rencontre des problèmes multiples dans sa mission de stabilité , en effet depuis à la mise en
place de cette organisation les problèmes et les conflits régionaux restent sans solution ni
processus de stabilité de la Région conformément à sa mission coutumière lui confiée par les
États membres, ainsi nous essayons de décrypter les raisons qui expliquent inapplicabilité des
règles de la CEEAC tel quel prévu par le Traité révise de 1993. Au deuxième lieu il s’agit des
défis économiques qui devrait relever la CEEAC dans la Région, les défis économiques
demeurent sans issu permettant le développement de la sous région alors que au départ
l’organisation devrait travailler constamment pour le développement économique des États
membres par ma mis application des règles économiques efficaces et des contrôles financiers
civiques, tout cela constitue un échec évident et irréfutable dans sa mission, de l’obligation
qui incombe à un chercheur scientifique d’établir des raisons probantes de ces difficultés nous
essayons de savoir plus…
Notre travail présente un certain nombre d’intérêts dans sa rédaction qui motive d’avantage
notre détermination d’arriver à notre les vrais problèmes qui rencontre la CEEAC, ainsi nous
parlerons de l’intérêt personnel, l’intérêt pratique et social et la fin l’intérêt scientifique.
L’intérêt personnel : ce sujet présente pour nous un intérêt particulier dans la mesure où
l’Afrique Centrale est une région de l’Afrique parmi les plus pauvres qui a besoin d’un
développement socio-économique par la mise à place des règles économiques régionales
importantes et efficaces pour le développement de la Région dans laquelle notre pays la
République Démocratique du Congo fait partie, donc pour nous trouver la clé du
développement et de l’insécurité en Afrique Centrale c’est trouver la solution aux problèmes
qui rongent notre pays depuis le jour de son indépendance, nous en serons 2 ravi d’y arriver,
car sans des mesures économiques efficaces il y’a pas de développement pour notre Région.
L’intérêt pratique et social : nous étudiant en droit avions opté pour ce sujet averti de
l’importance sociale que ce sujet présente pour la vie quotidienne des États membres de
l’organisation, en effet arriver à mettre en place un cadre juridique, économique, sécurité
apaisé et respecté par les États membres permet à la société de chaque État de retrouver une
stabilité financière, une économie du marché abordable par tous, en fin face l’insécurité et
conflits qui touchent la Région, la nécessité de promouvoir la paix par la CEEAC est atout
important pour la tranquillité dans la sous région, cela présente une importance régionale et
nationale pour les États membres.
L’intérêt scientifique : le choix du sujet par nous dans cette étude avancée, après la récolte des
éléments susceptibles de freiner la mis en pratique des règles de la CEEAC, dans tous les cas
permettra aux chercheurs en droit, de s’imprégner rapidement sur les aspects juridiques et
2
Marc Louis Robivia ( géographique de l'Afrique Centrale, la CEEAC entre centralisé introuvable et le déficit
chronique d’intégration)
Béatrice Giblin ( Géopolitique d'une Afrique médiane
techniques de l’organisation dans sa mission de maintenir stabilité économique, sécurité et
financière, avec les documents et outils scientifiques que seront exposés et cités dans le cadre
de ce travail
Notre souci aussi c’est de rendre la tâche plus pratique en fin de permettre aux chercheurs
régionaux que nationaux d’avoir plus des connaissances efficaces sur la raison d’être de la
CEEAC ainsi que de ces problèmes régionaux. Les connaissances et capacités qui acquerront
les autres chercheurs lui permettront de prendre en considération les autres aspects nouveaux
que notre étude n’aura peut être pas analyser ou développer.
II État de la question
Dans cette paragraphe nous essayons de donner des différentes réflexions des différentes
scientifiques et auteurs de l’Afrique Centrale sur la CEEAC cela nous permettra de nous
orienter dans nos recherches avec plus efficacité pour arriver à résoudre notre problématique.
Pour Jack Louis Robivia, de toutes les économiques régionales (CER) conçues pour réaliser
l’intégration économique du content, actuellement préfigurée par la mise en place en avril
2009 de ma Zone de Libre Échange Continentale (ZLEC) , la Communauté Économique des
États de L’Afrique Centrale (CEEAC) apparaît d’emblée comme l’une de celles qui
enregistrent un grand défi d’intégration.
D’après Marc Louis Robivia la Communauté Économique des États de l’Afrique Centrale
(CEEAC ) un élément clé sur la mise application de la Zone Libre Échange pour l’intégration
régionale, cela confirme encore notre intuition sur ka motivation de parler de cette
organisation car elle est d’une importance capitale pour l’intégration régionale dans les
différents comme l’économie, et la sécurité.
Par Timothée Mbombo Kasankidi de l’université de Kinshasa, l’objectif de la CEEAC est de
promouvoir et renforcer une coopération harmonieuse et un développement équilibré et un
auto-entrenu dans tous les domaines des activité économiques sociales en particulier, dans le
domaine industriel, de transport et des activités de communication, d’énergies, agricole, des
ressources naturelles…
La Communauté Économique des États de l’Afrique Centrale se lance un défi énorme dans
son intégration régionale son objectif est si gigantesque que important car sans ces aspects
économiques la région de l’Afrique Centrale ne pourra pas réussir son intégration régionale.
Pour la Commission des Forêts d’Afrique Centrale, la Communauté Économique de
L’Afrique Centrale a pour mission de de favoriser le dialogue politique dans la région, de
créer de marché commun régionale, d’établir des politiques sectorielles communes et de
promouvoir et de renforcer une coopération harmonieuse et un développement équilibré.3
Désiré Avon estime que d’après ses observations des statistiques du commerce extérieur des
pays membres de la CEEAC constate que la CEEAC enregistre des performances faibles
3
Petit dictionnaire Robert
comparativement aux autres organisations communautaires du contient sur le fait que sa
structure productive est un peu diversifiée au sein des pays membres.
Alors que pour Dieudonné Mignamisi la situation économique des États membres de la
CEEAC reste relativement tendue, pour raison sécuritaires des États membres notamment la
guerre de l’Est de la République Démocratique du Congo qui bloquerait le développement de
l’Afrique Centrale.
Nous pensons que la problématique du non respect des règles de la Communauté par États
membres soit dû à l’inefficacité de ces règle, cette hypothèse pourrait d’être à l’origine de non
respect
Dans chaque société donnée ou communauté, pour la bonne marche il requiert l’établissement
de certaines règles ayant un caractère de régir la société, ses règles sont généralement
accompagnées des sanctions sérieuses en cas de violation par les membres de la communauté,
autrement l’inexistence des sanctions fermes au sein la CEEAC pourrait expliquer la raison du
respect de ses règles