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Il est une revue des écrits sur un sujet et consiste à explorer des
sources documentaires dans le but d’approfondir des connaissances. Il
est structuré de manière à faire ressortir différents aspects du
phénomène étudié ainsi que la littérature y afférente, à analyser les
effets de ce dernier puis proposer des pistes de solutions.
Introduction
Conclusion
Bibliographie / webographie
Chaque rapport de fin de cycle de licence sera structuré en trois (03) chapitres et
chaque chapitre comprendra chacun deux (02) sections. Le contenu sera le
suivant :
SOMMAIRE
Dédicace
Remerciements
Liste des sigles et abréviations
Liste des figures
Liste des graphiques
Liste des tableaux
Liste des annexes
INTRODUCTION GENERALE
« La libre circulation des personnes et des biens est la clé de l’intégration. Pour
réussir l’intégration, il va falloir que les gens se sentent libres de circuler. Vu les
pratiques sur disait Monsieur Soumaïla CISSE, Président de la Commission de
l’UEMOA.
L’atteinte des objectifs définis par le Traité de l’UEMOA est donc à hisser au
rang des priorités par les Etats Membres et partant, par les administrations qui
sont les composantes et les moyens d’action de ces Etats.
Pour manifester leur volonté de coopération monétaire avec la France et au sein de la zone franc, cinq (5) pays
de l’ancienne Afrique Occidentale Française (AOF), après leur indépendance, ont décidé, le 12 mai 1962, de
créer l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA).
Ces pays étaient : le Dahomey (Bénin), la Haute Volta (Burkina Faso), la Côte d’Ivoire, le Niger et le Sénégal :
Présentement Constituée de huit (8) Etats, dont cinq (5) Etats côtiers et trois (3) Etats sahéliens liés par
l’usage d’une monnaie commune, le FCFA, l’UEMOA est un espace culturel où s’expriment des
traditions communes à ses Etats membres que sont : le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la
Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo.
L’Union s’étend sur une superficie de 3 506 126 km2 et sa population était d’environ 137 315 802 millions
d’habitants en 2021.
Aux termes de Aux termes de l’article 16 du Traité, les organes de l’Union sont :
1 Les organes de direction
AUTRES INSTITUTIONS
La Commission bancaire : elle a été créée dans le but de « contribuer à assurer une
surveillance uniforme et plus efficace de l’activité bancaire et une intégration de l’espace bancaire dans
l’UMOA ». La Commission bancaire exerce les pouvoirs suivants : - Délivrance et retrait d’agrément des
établissements de crédit ;
- Contrôle des établissements de crédit et des systèmes financiers décentralisés ;
- Prise de mesures administratives et sanctions disciplinaires à l’encontre des établissements
assujettis ou des dirigeants responsables ;
- Nomination d’administrateurs provisoires ou de liquidateurs d’établissements de crédit.
- Habilite les structures centrales du marché et les intermédiaires commerciaux agréés (SGI,
Organismes de Placements Collectifs, Conseils en investissements boursiers) et contrôle leurs
activités ;
L’Agence UMOA-Titres (AUT) : créée par la BCEAO le 15 mars 2013, l’AUT a pour objectif d’assister les Etats
membres de l’UMOA dans l’émission et la gestion des titres de dette publique et d’œuvrer pour le développement
du marché régional des titres publics. Les principales missions de l’AUT sont les suivantes :
- Assister les Trésors nationaux dans l’élaboration et la mise en œuvre de leurs stratégies d’émission sur le
marché et coordonner les programmes d’émission des Etats membres de l’UMOA ;
- Structurer des émissions communes à plusieurs Etats membres pour le financement de projets
communautaires ;
- Assurer la gestion opérationnelle des émissions sur le marché régional et leur organisation matérielle ; -
Assister les Trésors nationaux dans leurs interventions sur le marché international, par l’organisation à leur
demande des émissions de titres (obligations en devises) pour leur compte et le suivi des échéances y relatives ;
- Promouvoir les titres de la dette publique auprès des investisseurs ;
- Prendre en concertation avec les institutions concernées de l’Union (BCEAO, CREPMF) toutes les mesures
pour un meilleur fonctionnement et un approfondissement du marché financier régional ; - Assister les Trésors
nationaux dans l’élaboration d’un cadre de gestion des risques inhérents à la gestion des titres de la dette
publique ; - Offrir aux Trésors nationaux un service de placement de leurs excédents de trésorerie.
- Dynamiser le marché secondaire des titres publics à travers la mise en place des infrastructures de
marché nécessaires (système d’information et de transaction, courbe de taux, notation financière des Etats
émetteurs, etc.) et l’élargissement de la base des investisseurs
LA CESAG
Le Centre Africain d’Etudes Supérieures en Gestion (CESAG) a été créé en 1978 dans le cadre de la
Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEAO) en application d’une décision prise par les Chefs
d’Etat à la Conférence de Bamako.
Après la dissolution de la CEAO, le Centre a été repris en 1995 par la Banque Centrale des Etats
de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), pour le compte des pays membres de l’Union Economique et
Monétaire Ouest-africaine (UEMOA). Depuis lors, le CESAG est “un établissement public
international, spécialisé en matière de formation, de recherche et de consultation, doté de la
personnalité morale, de l’autonomie financière et administrative, et ayant son siège à Dakar”, dirigé
par un Conseil d’Administration présidé par le Gouverneur de la BCEAO. Cette reprise traduit la
volonté politique de doter les pays de l’Union d’une institution de formation, de consultance et de
l’UEMOA, relatif au renforcement des capacités managériales des cadres.
LA BRVM https://ci.linkedin.com/company/bourse-r
%C3%A9gionale-des-valeurs-mobili%C3%A8res-brvm---uemoa. UEMOATITRES.ORG
La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) est une Institution Financière Spécialisée communautaire.
La BRVM est une bourse entièrement électronique commune aux huit (8) Etats de l’Union Economique et
Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), à savoir : le Bénin, le Burkina Faso, La Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le
Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo. Elle a démarré ses activités en septembre 1998. Elle accomplit les missions
suivantes :
L’organisation du marché ;
Les objectifs de l’Union sont définis à l’article 4 du Traité qui dispose que « sans
préjudice des objectifs définis dans le Traité de l’UMOA, l’Union poursuit dans
les conditions établies par le présent Traité, la réalisation des objectifs ci-après :
Ainsi, l’un des objectifs de l’UEMOA tels que définis par le Traité à l’article 4-
c’est la réalisation du marché commun à travers la libre circulation des
biens, des personnes, des capitaux, des services et le droit
d’établissement des personnes exerçant une activité indépendante ou
salariée ainsi que sur un tarif extérieur commun et une politique
commerciale commune.
L’adjectif libre est susceptible de donner lieu à confusion car parler de libre circulation des marchandises,
des personnes, des services, des capitaux ne doit pas conduire à penser qu’il s’agit de libérer les
activités de toutes contraintes légales qui les organisent.
<<< Libre circulation de personnes » signifie le droit de tout citoyen d'un État membre d'entrer,
de circuler librement et de résider dans un autre État membre conformément aux lois du pays membre
hôte et de quitter cet Etat en conformité avec les lois et procédures relatives à la sortie de ce dernier.
Cela se traduit également par le droit de résidence, le droit d’établissement et la libre prestation de services.
1. Le droit de résidence
L’article 91 du Traité indique qu’un ressortissant d’un Etat Membre bénéficie sur l’ensemble du territoire de
l’Union, de la liberté de circulation et de résidence ; ce qui implique :
- l’abolition entre les ressortissants des Etats Membres de toutes discriminations fondées sur la
nationalité en ce qui concerne la recherche et l’exercice d’un emploi sauf les emplois à la
fonction publique ;
- le droit de continuer à résider dans un Etat Membre après y avoir exercé un emploi.
2. Le droit d’établissement
L’Article 92 du Traité dispose que les ressortissants d’un Etat Membre bénéficient du droit d’établissement
dans l’ensemble du territoire de l’Union.
Cela implique l’accès aux activités non salariées et leur exercice ainsi que la constitution et la gestion
d’entreprises dans les conditions définies par la législation du pays d’établissement.
L’article 93 du Traité précise que les ressortissants de chaque Etat Membre peuvent fournir des prestations
de services dans un autre Etat Membre et ce, dans les mêmes conditions que celles que cet Etat Membre
impose à ses propres ressortissants.
Voilà ce qu’on entend par la libre circulation des personnes et son fondement juridique. Qu’en est-il de la libre
circulation des biens ?
Le principe de la libre circulation des biens est l’un des piliers de la réalisation du marché commun. Il concerne
aussi bien les marchandises que les capitaux.
C’est le Paragraphe 2 de la section III du Traité, consacré au marché commun qui traite de la libre circulation
des marchandises.
Le principe de la libre circulation des marchandises signifie que les commerçants peuvent importer dans leur
pays tout produit provenant d’un autre pays de l’Union à condition qu’il y ait été légalement produit et
commercialisé et qu’aucune raison impérieuse tirée par exemple de la protection de la santé ou de
l’environnement ne s’oppose à son importation dans le pays de consommation.
L’article 96 du Traité dispose que « les restrictions aux mouvements, à l’intérieur de l’Union, des capitaux
appartenant à des personnes résidant dans les Etats Membres, sont interdites ».
Cela signifie qu’en principe l’argent doit circuler librement au sein de l’espace UEMOA.
La libre circulation des capitaux a des liens étroits avec le droit d’établissement et la libre prestation de
services car, l’un est souvent le préalable de l’autre.
Toutefois, il faut noter que le Traité ne définit pas la notion de ‘’capital’’. Le Dictionnaire Larousse le définit
comme étant « un ensemble de moyens financiers et techniques dont dispose une entreprise industrielle et
commerciale et qui peuvent générer d’autres richesses ».
Mais c’est surtout la jurisprudence, notamment celle de la Cour de Justice des Communautés Européennes
(CJCE) à travers un arrêt en date du 31 janvier 1984 – affaire Luisi et Carbonne- qui précise la notion de
capitaux au sens du droit communautaire. Selon cette décision de la Cour Européenne, les capitaux sont définis
comme étant « des opérations financières tendant au placement ou à l’investissement du montant en cause et
non la rémunération d’un service ».
A - Caractère de la rédaction
B - L'expression
La rédaction doit avant tout être correcte,
La rédaction doit être claire, naturelle, vivante et sans technicité excessive,
Il faudra adopter un style sobre
Exposez vos raisonnements et nuancez vos affirmations
Il conviendra de veiller à ne pas construire de phrases trop longues.
C - La ponctuation
D - Défauts à éviter
V. FORMAT DU TEXTE
4) Les titres doivent être mis en valeur de façon identique tout au long du
rapport et sans fantaisie et en gardant la même police (taille 16 par
exemple). On peut faire le choix de caractères gras, d’une taille de police
plus grande et de souligner. Par convention, les titres sont précédés de
chiffres romains.
THEME
Mois et Année
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT REPUBLIQUE TOGOLAISE
(MESR)
THEME
Mois et Année