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CM

NEUROSCIENCES
20/09/2021 REGARDER MOODLE (cours + fiches révision)

Aussi dit « neurophysiologie ».


Freud lui-même était médecin neurologue avant d’être psychanalyste.
Il y a un rôle physiologique dans la psychologie : exemple du stress.

Cortisone Adrénaline STRESS

Cortisone : Ce qui nous « bloque » et nous empêche d’agir dans une situation stressante.
Adrénaline : Ce qui nous pousse à avancer, à agir dans une situation stressante.

27/09/2021

ANATOMIE DU CERVEAU = voir powerpoint sur moodle.

Le cerveau est un objet de recherches depuis de nombreuses années et les études sur le cerveau
sont très compliquées car on peut le voir sous plusieurs formes : générale. On peut associer des
traits de comportement à des zones du cerveau. Fin XIXe/Début XXe, Penfield met au point des
procédures pour cartographier l’électrostimulation chez les patients : le cerveau fonctionne par
électricité. Les tissus ont une durée de vie : ils peuvent mourir. La stimulation de certaines zones
de l’acéphale peut provoquer des fourmillements par exemple. Les traumas ont une trace dans le
cerveau  la trace reste dans le cerveau. Les propos traumatisants entendus par le thérapeute
peuvent laisser une trace dans son propre cerveau.
Lobe frontal : zone des peurs/inhibitions… Peur n’est pas innée ; elle apparaît. C’est une zone qui
se développe et qui continue d’évoluer au cours du développement du sujet.
Élasticité du cerveau : chez l’enfant, plus le cerveau est stimulé, plus il va créer des connexions
inter neuronales. Pas de régressions : une fois qu’une capacité (ex : la parole) est acquise, elle ne
disparaît pas.

Définitions et chiffres

Le cerveau est composé : -de 100 milliards qui communiquent entre eux par des messagers
chimiques, aussi appelés médiateurs ; -des centaines de milliards de cellules gliales qui jouent un
rôle crucial dans la connectique du cerveau ; -dix à cent mille milliards de connexions
synaptiques.
Les neurones :

Pré requis
Le tissu nerveux est constitué de milliards de cellules classées en 2 grands types :
- Les neurones

Les neurones ont des caractéristiques fonctionnelles.


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- Fonction de générer les PA = Cellules excitables


- Longévité extrême (toute la vie de l’humain)
- Le neurone a perdu son aptitude de mitose qui sont en GO elles ont = il est incapable
de se diviser et ne peut être reconstruit. (sujet de recherche en médecine).
- Métabolisme très élevé du neurone (besoin d’apport continu en O 2 et glucose)

LES 3 STRUCTURES DU NEURONE

1/ RECEPTRICE : reçoit l’info


2/ CONDUCTRICE : engendre et transmet les PA (=potentiel d’action).
3/ SECRETRICE : libère les neurotransmetteurs.

Axone = prolongement issu du code axonique = structure conductrice conduisant le PA jusqu’à


la terminaison de l’axone
Dentrites = prolongements courts nombreux non myélinisé formant la structure réceptrice du
neurone. Ils transmettent des PG = potentiels gradués (signaux de courte durée vers le soma).

Cellules gliales : Gaine de myéline. Enveloppe blanchâtre riche en lipides segmenté par les
nœuds de Ranvier. Recouvre les axes. Les C gliales ont 3 rôles : protéger des axones, isoler
électriquement le cerveau (pb de l’épilepsie) et accroître la vitesse de transmission de PA.

Il y a différents types de neurones :


3 types morphologiques :
 Multipolaires : ex le motoneurone. Ce sont les plus abondants, ils ont de
nombreuses dendrites et un axone émergeant du soma particulièrement
nombreux dans le SNC.
 Bipolaires : ex neurone de la rétine. Une dendrite et un axone émergent
du soma.
 Unipolaires : ex neurones sensitifs. Un seul prolongement qui émerge du
soma et se divise en forme de T.
3 types fonctionnels :
 Les neurones sensitifs ou afférents : conduisent les messages nerveux
centripètes des récepteurs sensoriels vers le SNC. La quasi-totalité de ces
neurones sont des neurones unipolaires avec leurs sommes localisées
dans des ganglions rachidiens/
 Les motoneurones ou efférents = ils conduisent les messages nerveux
centrifuges du SNC vers les organes effecteurs (muscles/glandes…). Ils
sont multipolaires avec de nombreuses dendrites, et leur corps cellulaire
se trouve majoritairement dans le SNC et forment des synapses avec les
cellules effectives.
 Les interneurones ou neurones d’association : situés entre les neurones
sensoriels et les motoneurones, ils sont le plus souvent multipolaires.
Localisés dans le SNC et représentent 99% des neurones de l’organisme.

04/10/21
CM

LE SYSTEME NERVEUX CENTRAL ET PERIPHERIQUE

Moelle épinière : zone très chargée en matière blanche et matière grise qui se situe de la colonne
vertébrale au cerveau.

Système nerveux périphérique (SNP) :


 3 composantes :
- Système nerveux autonome (ganglions autonomes)
- Nerfs crâniens (12 paires) : 3 paires  messages sensoriels ; 5 paires  influx
moteurs ; 4 paires  mixtes (sensitifs et moteurs)
- Nerfs rachidiens (31 paires) : Disposition régulière sur le versant latéral de la moelle
épinière ; accrochés par 2 racines qui ont deux fonctions : sensitives et motrices.
Tous le long de la ME (moelle épinière)

Système nerveux central (SNC) :

Liquide céphalorachidien fait office de « air bag » pour les parois du cerveau.

Cerveau en deux hémisphères parmis lesquels diff lobes :


- Gauche : logique  aux commandes du côté droit du corps
- Droit : créatif  aux commandes du côté gauche du corps
 reliés par le corps calleux : possible de vivre avec des disfonctionnement du corps
calleux mais risque de mort précoce ou handicap très fort.

1. Lobe frontal : Fonctions exécutives supérieures  résolution de pb, raisonnement,


régulation émotionnelle, planification. Centre de contrôle des fonctions les plus
complexes. Motricité, compréhension des comportements sociaux. Il nous distingue des
animaux. Aire du langage et de la compréhension de la coordination musculaire du bas
du visage. Raisonnement par analogie, là où se trouvent les deux centres de la mémoire.
Continue de se dvper au long de notre vie ; le plus important.
2. Lobe pariétal : prend en charge l’assimilation… . Pertes de sensations dans certaines
parties du corps qd lésions dans ce lobe (ex : sclérose en plaques). Reconnaissance des
formes.
3. Lobe temporal : informations auditives visuelles dans le traitement et l’interprétation 
lié aux souvenirs. Zone très activée pdnt le rêve. Trouble dans zones temporales peut
provoquer la perte de la capacité auditive.
4. Cervelet : 2 hémisphères aussi avec un pont comme le corps calleux appelé le vermix.
Zone très imp car coordination du mvt.
CM

11/10/21

Le traitement sensoriel : le toucher et la douleur


La plasticité cérébrale : Synapse = connexions de neurones
Élagage synaptique

Traitement de l’info sensorielle :


 Processus de neurophysiologie qui implique : -SNP -SNC
 Réception  modulation  intégration  organisation
L’appareil sensoriel :
 Le ttt de l’info dans les syst sensoriels passent par : récepteurs, voies nerveuses, centre
nerveux
Les récepteurs sensoriels :

Micro-récepteurs

Chimio- récepteurs

Étapes de traitement :
 Transduction
 Encodage : codage
 Codage : type de stimulus, son intensité, sa position/provenancce
Douleurs chroniques : comme si il y avait des messages qui continuaient à s’activer (aussi le cas
des membres fantômes).

Aires somesthésiques :
Thalamus  régulation sensorielle
Neuromatrice : matrice de la douleur ; constitue l’ensemble des zones capables de coder la
douleur.

Perception de la douleur :
 Effet placebo
 Effet de stress
 Douleur projetée
 Membres fantômes
CM

18/10/21

Les grands cas cliniques des neurosciences

 CAS PHINÉAS GAGE (1848)  Le cerveau devient le siège de l’âme.


- Contremaître dans la construction ferroviaire
- Barre métallique traverse sa tête  de la base de l’œil gauche au sommet du crâne
- Il ressort vivant mais perd son œil gauche et post-opération  pas de séquelles
somatiques apparentes
- Retourne au travail : bizarreries de comportement
 il était doux et organisé  il devient impulsif/vulgaire/désorganisé/agressif +
insupportable socialement : n’a plus de filtre (finit par se faire virer).
1860  développe une épilepsie et meurt en 1872 d’une crise d’épilepsie sévère.
Le médecin qui l’avait opéré demain une autopsie mais rien de concluant néanmoins un moulage
du crâne.
 A l’époque : lobe frontal = « siège de l’âme ». la lésion entraine un chgt de personnalité
 Ajd : scanner 3D = interruption de certaines connexions activées dans le cadre
d’émotions ou de prises de décisions
 Instabilité pro jusqu’à la mort de Phinéas
 Études de Damasio sur le syndrome frontal en 1994
Région ventromédiane des lobes frontaux
Ratiu et Talos (2004)
Lobe frontal gauche
McMilliam & co
 Amélioration certaine du syndrome frontal

 CAS DU PATIENT HM (HENRI MOLAISON)  Vivre au jour le jour


 Opéré de son épilepsie à 27 ans (1953) par Dr W. Scoville  retire 2/3 de l’hippocampe
+ une partie de l’amygdale.
 Au réveil :
- HM parle, lit compte… Pas de pb cognitif.
- Amnésie antérograde
- Toujours épileptique
 Médicalisé toute sa vie
 Meurt en 2008 : autopsie du cerveau = « cortex entorhinal » le plus touché  affectée
dans les phases initiales d’Alzheimer.
 Cortex entorhinal
Région du lobe temporal médian
 Zone d’interface entre néocortex et hippocampe
 Connexion constante avec l’hippocampe
 Intégration des évènements qui co

 LA CAS TAN-TAN (Louis le borgne)  Perte de la parole


 Épileptique :
CM

- Perte de la capacité langagière après une crise sévère


- 1 seule syllabe qu’il peut prononcer : « tan »
- Bonnes capacités cognitives
- Très bonne compréhension du langage (langage réceptif)
- Quand il prononce « tan » il ne perçoit pas que les autres ne le comprennent pas, il a
l’impression de parler normalement et de ne pas dire « tan ».
 Hospitalisé toute sa vie
 Commence à se taire petit à petit
 Aire de Broca :
 A l’arrière du lobe frontal
 A côté de la zone qui commande les mvts de la langue et de la mâchoire et qui est en
charge de la production et de l’articulation des mots
 Aphasie motrice ou expressive (trouble du langage productif)
 Aire de Broca et aire de Wernicke
 Broca : cortex frontal inférieur gauche
 Wernicke : partie postérieure du lobe temporal gauche : possibilité de parler mais
discours incohérent et insensé = aphasie réceptives

 CAS KIM PEEK LE SYNDROME SAVANT  l’homme qui en savait trop


 Macrocéphalie sans corps calleux + cervelet endommagé, sans commissure antérieure =
syndrome du cerveau scindé (split brain) = pas de lien entre deux hémisphère.
 Capacité mnésique hyper développée = méga savant  retient tout
 Retard des acquisitions motrices (marche à l’âge de 4 ans) vs précocité dans les
acquisitions cognitives (retient tout depuis l’âge de 16 mois)
 Travail dans un CATTP.
- Peut lire un livre par heure en retenant près 98% des infos (8 secondes par page et
peut lire 2 pages en même temps avec une page par œil)
- Mémorise quantité d’info impressionnante
- Calcul mental
- Musique piano
- Difficulté dans les activités motrices quotidiennes
- QI < moyenne

08/11/21

Perception = activité cognitive par laquelle l’homme prend conscience de son environnement.
Perception auditive : audition cruciale pour la survie de nombreuses espèces.
 Chez les humains : son de la parole = éléments de base du langage  relations sociales
Hélène Keller  écrivaine américaine qui devient sourde et aveugle à l’âge de 2 ans (tumeur au
cerveau) et développe un syndrome quasi-autistique.

Anatomie de l’oreille :
Oreille externe : capte concentre et filtre les sons
Oreille moyenne : concentre énergies acoustiques
 Chaîne des osselets : Marteau / enclume / étrier
CM

Cochlée : convertit l’énergie vibratoire en ondes hydrauliques


Cellules ciliées : réalisent la transduction des vibrations de la membrane basilaire

Schémas :

Circuit du système auditif :


Du tronc cérébral au cortex

Rôle de l’expérience auditive précoce :


Enfant qui écoute une note de musique chaque jour durant l’enfance aura une meilleure
perception musicale qu’un enfant qui écoute de la musique « normalement ».
Amusie  pas de mélodie, perception de bruit.
Expérience auditive beggs et forman A980

3 catégories de surdité :
- Surdité de conduction : pas de désolidarisation des 3 osselets
- Surdité neurosensorielle : prise de drogue, grands traumatismes  définitif/expression
d’un stress très intense
CM

- Surdité centrale : lésion cérébrale (cas d’AVC ou d’épilepsie) : cerveau s’abîme, certains
patients supportent plus le bruit
Trauma  excès de cortisone

Troubles neurologiques du son


 Agnosie auditive :
 Agnosie des sons
 Surdité verbale pure
 Phonagnosie : incapacité à reconnaître les voix des gens que l’on connaît.
 Amusie
 Aphasie de Wernicke

Chez autistes et schizophrènes  hallucinations et hypo/hyper accousie  difficulté à se


concentrer sur un seul sens

05/11

Goût et odorat :

Les sens chimiques  Détecter des substances chimiques / Rôle dans la conduite des
comportements (balance énergétique)
Bagage internalisé  ne pas aller vers des baies qui semblent toxiques
5 goûts primaires : Sucré, acide, salé, amer, umani.

 Les cellules réceptrices spécialisées dans la langue = les papilles gustatives


 Papilles gustatives : 1 ou plusieurs bourgeons gustatifs  regroupent entre 50 et 150
cellules.
  processus cellulaires
 Hypothalamus apporte la sensation satiété  problème à ce niveau chez les obèses.
 Syndrome prader-willy : impulsion alimentaire dès le plus jeune âge, ne peut pas
s’empêcher de manger. Ont une capacité de stockahe très élevé ce qui peut mener à
l’obésité.

22/11/21
CM

Le sommeil et les rêves : aspect neuroscientifique

L’horloge biologique ou rythme circadien


 Réglé sur 24h, alternance veille/sommeil
 Sécrétion hormonale
 Régulation des températures corporelles
 Rythme cardiaque et tension artérielle
 Fonction sexuelle (désir/libido)
 Fonctions respiratoires
Change au cours de la vie ( à 18 et à 70 ans)
Synchronisation parfaite  8h de sommeil, sport, bonne alimentation  désynchronisation 
horaires décalés, mauvaise alimentation…
Exemple : Jet lag  faim au mauvais moment qui ne correspond pas à l’heure du repas du pays
initial.
Mélatonine : hormone du corps issue des cellules ganglionnaires de la rétine qui se diffuse vers
21h30/22h  au moment où on a besoin de s’endormir et après on arrive plus à dormir.
Manque de lumière du jour augmente la fatigue.
Si on est gros ou petit dormeur se définit en fonction d’un gène.

1 cycle = 90 mns
Endormissement : sommeil lent (1-2) : phase légère / phase profonde (impossible lors d’une
sieste, ou assis)  sommeil profond (3-4)  sommeil paradoxal (5) : très court (peut durer
moins de 10 mns) ; découvert par Michel Jouvet (français) en étudiant les chats (qui ne font que
des sommeils paradoxaux) aussi appelé REM ; dormeur inerte, aucune conscience de l’extérieur :
privation de sommeil paradoxal résulte en troubles de mémoire, perte de conscience de
l’espace/temps : très important chez l’enfant ; dans le tronc cérébral inférieur zone loceus en
dessus du thalamus, aucun tonus.  sommeil long (reste de la nuit)
Population moyenne dort 7-8h. étudiants : 6h
Troubles du sommeil :
 Insomnies : 10% de la population française. 20% de patients qui consomment des
somnifères ou des anxiolytiques (grand chiffre). Moins qu’aux USA. Trouble qui fait
l’objet de bcp de consultations. Facteurs génétiques disposants à l’insomnie. Syndrome
post traumatique également.
 Hypersomnie : Dérégulation des capacités de sommeil : 1 décès sur 3 en 2017 au volant
du à l’hypersomnie. Associé à la dépression, csq du traitement psychotrope, troubles de
la personnalité…
 Apnée du sommeil : touche plus les hommes : corps ne prend pas le relai de la
respiration. Causes cernes. Du à mauvaise hygiène alimentaire, prédisposition génétique,
végétation orl impressionnantes.
 Syndrome des jambes sans repos : aussi appelé les impatiences. Jambes ont une activité
électrique seule. Symptôme qui peut rapporter à l’hyperactivité / troubles de l’attention.
Dimension héréditaire.
 Somnambulisme : touche les enfants en majorité. Phases de mvt avec sortie du lit pdnt le
sommeil paradoxal souvent mais aussi parfois pdnt le sommeil long  Somniloquie
 Somniloquie : discussion pendant le sommeil.
CM

 Terreurs nocturnes :  cauchemars. Touche les enfants. Généralement 3h après


l’endormissement. Commence vers 18 mois et se tasse vers 3 / 4 ans  arrive après une
journée où tout n’a pas été assimilé ou où des émotions fortes ont été ressenties. 
Paralysie du sommeil
 Paralysie du sommeil : dans le sommeil paradoxal : moment où notre cerveau est éveillé
mais pas notre corps. Corrélé avec la prise de médicaments.

29/11/21

Le rêve vu par les neurosciences  de la théorie psychanalytique.


Le rêve = scénario, perception, pensée et émotion ressentis pendant le sommeil.
 Triangulation = recueil plus riche pour « une chose impalpable »
Des chercheurs ont créé la dreambank, qui est une base de données des contenus de rêves : pdnt
le confinement, études sur rêves des étudiants.

 Dreambank : environ 10000 rêves.


- Etude : grd nombres
- Sujet ne doit pas connaître le but de la recherche
 Ce que l’on sait : 635 récits
- Rêves typiques : sortir nu, tomber dans le vide…
- Vision = sens dominant du rêves (40%) sauf pour aveugles de naissance
- H rêvent plus d’H ; F autant d’H que de F
- Emotions négatives prédominante par rap aux positives (80% H / 77% F) 
Inconscient retranscrit ce qu’on a intériorisé ; cohérence dans la prédominance
des émotions négatives
- 45% des rêves = interactions sociales
- F rêvent plus de persos familiers + décors + lieux familiers alors qu’H + de
conflits et d’agressions physiques  études datant et peu accurate ajd
- 10% des rêves sont loufoques, pas reliés à la réalité (ceux que l’on retranscrit)
tandis que 90% des rêves relatent d’évènements de la vie de tous les jours (ceux
que l’on retranscrit moins)

Rêves  selon les différentes phases de sommeil.


Incorporation d’une partie du rêve dans la réalité (première étude du rêve dans la
neuroscience).  diapo
¼ des stimuli sont incorporés.
Sommeil léger : dû au système anxieux mais aussi ce à quoi le cerveau est habitué (si
environnement bruyant, cerveau à internalisé le bruit et ne se réveille pas au moindre bruit).

Années 70  recherches peu déontologiques

Quand on joue à un jeu de ski avant de dormir par ex, plus le sommeil avance, plus le cerveau se
dédouane de l’image exacte et va recréer des émotions etc…

Forte activation des amygdales en lien avec émotions fortes  présentes lors du sommeil
paradoxal ; par ex, activées lors de la crise d’angoisse  rôle d’alerte
CM

En sommeil lent, aires visuelles


Lobe frontal arrivé en REM  pas de pensées critique

3 fonctions du rêves :
 Facilitation des apprentissages : Wansley et Curr (2010).
+20% d’apprentissage d’un texte entre coucher et réveil
Etudes des rêves avant PACES : avant concours : bcp de rêves : essentiellement rêves
d’échecs  déterminant : le fait de rêver  ½ pt de plus au concours
Lien significatif rêve/réussite
 Troubles comportementaux du sommeil paradoxal
 Rêve : réactivation des systèmes archaïques
 Isomorphisme : gestes identiques

 Personnes revivent les choses comme leur cerveau le leur dicte : se battent avec les oreillers,
fument dans son sommeil (même geste)

Sommeil en consultation = un des sujets les plus fréquemment amenés. Entendre l’inconfort :
angoissant de savoir de passer une mauvaise nuit ou de ne pas dormir assez ; ce que ça engendre
dans la qualité de vie
 à questionner chez les patients  si le sommeil est qualitatif et comment se passe le réveil.
Techniques de sophrologie pour aider les patients etc… + Connaître sa métacognition : besoin
de sommeil, façon de dormir etc…  qqch qu’on peut faire en accompagnement.

13/12/21

Neurosciences et révisions : Concentration / petites étapes et objectifs / Métacognition


(connaître sa façon d’apprendre) / s’isoler / Rituel de mise en route : plus on se met en route
plus on fait ça naturellement) / Émotions (mettre en jeu afin de mémoriser plus facilement) /
Faire du sport

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