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Les infarctus et les AVC sont généralement dus à la présence de plusieurs facteurs de
risque associés (OMS, 2012).
l'infarctus du myocarde est la destruction d'une zone plus ou moins étendue du muscle
cardiaque, irréversible en l'absence d'un traitement urgent. Il est la conséquence de
l'obstruction d'une artère coronaire. S'il est impossible d'agir sur certains facteurs de
risque, d'autres peuvent être réduits (OMS, 2012).
Le Service de Cardiologie B 2013 ont annoncés que la fréquence retrouvé dans leur
travail et de 14,3% la moyenne d’âge Des patients est de 60 ans et la tronche d’âge
prédominante est entre 61 et 70 ans (Le Service de Cardiologie B, 2013).
Chez l’homme la douleur enserre poitrine, irradie vers le bras parfois cette douleurs
peut s’accompagner d’autres facteurs.
Chez la femme l’infarctus peut se révéler par une fatigue, une sensation de mort
imminente, des palpitations et des nausées.
L’infarctus de myocarde en outre entrainé une insuffisance cardiaque et des troubles
du rythme cardiaque qui font courir un risque de mort subite (Fatima-Zahra El
Hattab ,2019).
Notre objectif dans cette recherche est de sauver de nombreuses vies le plus
rapidement possible car cette maladie est considérée comme une urgence vitale de
premier degré, parce qu’elle survient de manière soudaine et inattendue, c’est pour ça
il faut rétablir rapidement la circulation sanguine dans l'artère coronaire bloquée.
La Récession des écrits
selon l'oms Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès dans le
monde et font environ 17,9 millions de morts chaque année. Elles regroupent un
ensemble d’affections du cœur et des vaisseaux sanguins, notamment les maladies
coronariennes, les maladies cérébrovasculaires et les cardiopathies rhumatismales
La prise en charge chez Antoine Culioli est sans doute le pionnier de la notion.
Examinons en détail quelle conception il s’en est faite, de ses premiers textes
jusqu’aux plus récents
la Prise en charge est une démarche qui doit permettre de garantir à chaque patient
l’assortiment d’actes diagnostiques et thérapeutiques qui lui assurent le meilleur
résultat en terme de santé, conformément à l’état actuel de la science médicale au
meilleur coût pour un même résultat, au moindre risque iatrogène et pour sa plus
grande satisfaction, en terme de procédures, de résultats, et de contacts humains à
l’intérieur du système des soins(oms ,2006)
Défibrillateur (toujours prêt pour CEE+++, attention aux batteries épuisées par une
séance de chocs = les remplacer)
En USIC
Surveillance clinique
Surveillance ECG
Un ECG complet est réalisé plusieurs fois le premier jour puis surveillance
biquotidienne à la recherche de troubles de conduction. Le sus décalage du segment
ST disparaît parfois rapidement, ou s’atténue progressivement tandis que l’onde Q se
creuse. La surveillance recherche des troubles du rythme ventriculaires (TV,FV) ou
auriculaires.
Surveillance biologique
Les dosages enzymatiques répétés permettent de préciser l’horaire du pic de CPK par
rapport aux symptômes.
Echographie cardiaque
Phase post-hospitalière
Afin de faciliter un retour rapide à la vie professionnelle un séjour en centre de
réadaptation cardiovasculaire peut être proposé au patient. La convalescence reste
nécessaire pour les personnes âgées. Son inconvénient est de contribuer à instaurer
une « invalidité » psychologique. Son avantage est de permettre une réadaptation
personnalisée et médicalisée à l’effort ainsi qu’une prévention secondaire motivée.
La reprise du travail intervient généralement au début du 3 ème mois.
Une échographie doit être effectuée aux 5-6 ème semaines.
La prévention secondaire : trop rarement mise en œuvre et pourtant très efficace, elle
consiste en une correction des facteurs de risques et arrêt du tabac
Un ß bloquant
L'âge et le sexe
Les antécédents familiaux
Les facteurs de risque cardiovasculaire sur lesquels on peut agir
Le tabagisme
Le tabagisme passif
Le diabète
L'hypertension artérielle
Un taux élevé de cholestérol
Le surpoids et l'obésité
L’alcool
Les personnes qui sont victimes d'un infarctus du myocarde (IDM ou « crise
cardiaque ») nécessitent des soins en urgence. Une fois l'accident cardiaque traité, les
patients vont recevoir des soins de longue durée destinés à éviter un nouvel infarctus,
mais également à éviter les complications cardiovasculaires qui peuvent survenir
après une crise cardiaque. Ces soins post-infarctus s'appuient sur plusieurs modalités
thérapeutiques : médicaments, réadaptation cardiovasculaire, mesures d'hygiène de
vie et, parfois, chirurgie.
les symptômes de l’infarctus du myocarde
Les symptômes de l’infarctus sont une douleur de la poitrine qui dure plus de 20 à 30
minutes. Elle irradie derrière le sternum, dans le dos, les épaules, la mâchoire, ainsi
que dans le bras gauche. D'autres symptômes sont possibles : anxiété, sueurs, vertiges,
essoufflement, par exemple. Chez les femmes, ces douleurs peuvent être localisées au
niveau de l’estomac ou du ventre, ce qui est plus rare chez les hommes. Elles peuvent
s’accompagner de nausées, de vomissements, ou de grande fatigue soudaine.
Les conséquences d’un infarctus du myocarde sont plus ou moins importantes selon
l’étendue de la zone du muscle cardiaque affectée et selon la rapidité de mise en
œuvre d’un traitement d’urgence. La gravité de l’atteinte du muscle cardiaque est
évaluée grâce à divers examens médicaux :
électrocardiogramme, échographie cardiaque, coronographie, scintigraphie, par
exemple (voir encadré ci-dessous). De plus, il est possible de doser dans le sang
certaines enzymes cardiaques qui ont été libérées lors de la destruction des cellules.
L’obstruction de l’artère coronaire est causée par une plaque d’athérome, c’est-à-dire
un petit amas de cholestérol qui s’est accumulé et agglutiné sur les parois des artères,
et qui s’est détaché. Cela provoque un caillot qui est transporté par les vaisseaux
sanguins jusqu’au cœur – ce qui entraîne l’infarctus du myocarde. Cette plaque
d’athérome peut aussi se déplacer jusqu’au cerveau (provoquant un accident
vasculaire cérébral ischémique), jusqu’aux poumons (donnant lieu à une embolie
pulmonaire) ou jusqu’à un membre (ce qui cause une artérite).
En cas de prise en charge médicale moins de 90 à 120 minutes après l’apparition des
symptômes de la crise cardiaque, les médecins procèdent à une angioplastie
coronarienne. Cette intervention chirurgicale permet de dilater les parois de l’artère
coronaire obstruée en introduisant un petit ballon gonflable via un cathéter, ce qui
permet le rétablissement du flux sanguin. Puis un stent (un petit tube en mailles
métalliques) est placé dans l’artère pour la maintenir ouverte.
Si le patient est pris en charge plus de 90 à 120 minutes après la survenue de la crise
cardiaque, les médecins optent pour la thrombolyse, qui consiste à administrer un
traitement médicamenteux permettant d’éliminer le caillot sanguin obstruant l’artère
coronaire. Ce traitement peut entraîner des hémorragies cérébrales dans 1 % des cas et
ne peut être mis en œuvre que si la personne n’est pas sous traitement de fond
anticoagulant, si elle n’a pas été opérée récemment ou si elle n’a pas d’antécédents
d'AVC hémorragique.
Une fois l’alerte passée, le médecin peut prescrire un traitement à base
d’antiagrégants plaquettaires pour éviter le risque de nouvel infarctus.
Arrêter de fumer.
Faire du sport ou une activité physique régulière, de type endurance, pour éviter
l’accumulation de graisses dans l’organisme et pour s’oxygéner.
Anatomie du cœur