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Intro:

On leur fait écouter Mariage d amour pour provoquer l’apaisement


Puis Prologue de Woodkid: super punchy (moment clé à déterminer)

Ressenti? Énergisés?...

Plan

Cerveau (chemin du son IRIS

Musique corps (frisson, accélération du rythme cardiaque, effet sur le corps LUDI

Culture musique(musique différentes selon la culture SACHA

Pouvoirs thérapeutiques OMBELINE

Le « cerveau musical »

Le cortex auditif primaire décode chacune des notes de votre morceau de musique favori.
La fonction qui identifie la hauteur et la fréquence de chaque note de musique semble plus
prédominante du côté droit du cerveau. La mélodie, une suite de plusieurs notes, donc une
succession de hauteurs, est perçue dans ce que l’on appelle le cortex auditif secondaire ou
associatif, situé juste à côté du cortex auditif primaire. Non seulement cette région décode la
mélodie, mais elle détecte aussi les fausses notes dans une mélodie. Cette activité est bien
plus complexe que la simple perception de sons, elle nécessite généralement un certain
apprentissage. Le rythme est, quant à lui, perçu par le cortex auditif secondaire du côté droit
du cerveau. D’après Michel Rochon, Le Cerveau et la Musique : une odyssée fantastique
d’art et de science, éditions MultiMondes, Montréal (Québec, Canada), 2018.

Perception musicale et circuit de la récompense

Les neuropsychologues Ann Blood et Robert Zatorre, de l’Institut de neurologie de Montréal,


venaient tout juste d’achever une expérience dans laquelle les participants avaient écouté
des musiques émouvantes à l’intérieur d’un tomographe à émission de positons. La
sensation que leur procurait la musique était si forte qu’elle augmentait leur rythme
cardiaque, leur respiration et leur sudation. Les chercheurs ont en même temps remarqué
que des régions bien spécifiques du cerveau étaient sollicitées, dont l’amygdale et les
noyaux accumbens, car ces réactions mettaient en cause le système limbique, associé à la
motivation et à la récompense, à l’éveil et aux émotions. Ils ont pu voir sur les images
obtenues grâce au tomographe que les régions responsables de ces effets sont reliées à un
neurotransmetteur et une neurohormone bien connue : la dopamine. Cette substance
génère la sensation de plaisir.

La musique et la dopamine sont étroitement liées car l'écoute d'une musique appréciée
peut permettre de libérer la dopamine. D'après une étude de neuroscientifiques de
l’université de Bourgogne Franche-Comté, certains passages peuvent même arriver à nous
faire frissonner. Il s'agit alors d'un shot de dopamine envoyé dans la région du cerveau qui
intervient dans le traitement des récompenses.

En plus de la dopamine, la musique permet également de libérer de l'ocytocine, l'hormone


de l'amour, de la sérotonine aux vertus antidépressives et des endorphines qui permettent
d'apaiser les douleurs.

C'est pourquoi, nous pouvons affirmer que la musique est comme une drogue, à
consommer sans modération !

professeur en neuropsychologie à l’université de Genève, a défini neuf dimensions


émotionnelles générées par la musique : la nostalgie, l’émerveillement, la transcendance, la
tendresse, la puissance, la tranquillité, la tension, la tristesse et… la joie dansante. Cette
dernière fait référence au pouvoir d’entraînement de certains airs, qui activent des régions
motrices dans le cerveau des personnes les écoutant, même si elles ne bougent pas. La
musique peut donc mettre notre esprit en mouvement, et avec bonheur, puisqu’elle active
aussi les circuits neuronaux de la récompense, source de plaisir et de motivation. En outre,
plusieurs études montrent que la musicothérapie diminue les réactions de stress et
l’anxiété : elle abaisse la sensation subjective de stress, la concentration sanguine de
cortisol (une hormone du stress) et le rythme cardiaque. Enfin, selon une revue de neuf
études (2017), elle diminue davantage les symptômes et l’anxiété de personnes souffrant de
dépression quand elle est effectuée en complément d’un traitement médicamenteux.

Mais la musique agit aussi sur les zones cérébrales qui maîtrisent les émotions primaires —
comme la peur, la joie, ou la tristesse. L’IRM a par exemple permis de montrer que
l’amygdale cérébrale, qui contrôle le sentiment de peur, est activée lors de l’écoute d’une
musique angoissante. Conséquences : la musique transmet efficacement les sentiments et
déclenche les mêmes émotions chez des personnes de culture différente.

Des expériences ont montré que des extraits de musique classique joyeux, tristes, ou
effrayants ont été identifiés comme tels par des Africains n’ayant jamais entendu de
musique occidentale. Par ailleurs, des psychologues ont fait appel à la musique pour
développer l’empathie chez les enfants autistes. Leur permettant ainsi de mieux comprendre
les émotions des autres.

LOBE TEMPORALE POUR LA MUSIQUE ET LA PAROLE


HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL POUR LES ÉMOTIONS
Sources:
NRJ
Camintéresse.fr

Ludivine:
On va voir les effets certains effets sur le corps
Dans le corps :

La musique diminue le stress: écouter de la musique diminue le niveau de cortisol,


l’hormone du stress.
La musique améliore le sommeil:Elle contribue à réduire le temps d’endormissement tout en
apportant un sommeil de meilleure qualité. Une étude à montrer que les jeunes étudiants qui
écoutaient de la musique classique relaxante pendant 45 min avant de se coucher dormait
beaucoup mieux que ceux qui écoutaient un livre ou audio ou qui ne faisait rien de spécial.
La musique renforce la mémoire: exemple: comptine dont on se souvient, alphabet chanté
en anglais …
La musique aide à gérer la douleur: elle réduit l’intensité à laquelle nous percevons la
douleur.
La musique améliore les performances sportives:
La musique accélère le rythme cardiaque: la musique influence notre rythme cardiaque et
notre respiration. Plus le tempo est rapide, plus le rythme s’accélère.
La musique peut procurer des frissons : la musoque libère de la dopamine qui peut creeer
des frissons chez certaines personnes

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