La technologie comme nous le savons tous, le secteur pilier et le plus
important dans chaque nation. Grace à lui, le monde puisse rester connecter, accompagner et améliorer le changement réaliser dans les secteurs périphériques. Sans oublier qu’il permet de contribuer à une large mesure de développement économique et social au sein du territoire nationale. Performance : La performance est une composante macroéconomique importante dans chaque secteur. Ceci nous a amène à l’introduire dans le secteur de Dit autrement, la technologie a connu un intérêt remarquable auprès les entreprises puisqu’ils ont utilisé les logiciels de façon significative. Selon, Le rapport montre qu'en 2019, les taux d'accès des petites et moyennes entreprises ont atteint plus de 95 % et ceux des grandes entreprises 99,5 %. Encore, le Maroc a exprimé son attachement à ce secteur par plusieurs initiatives de telles sortes que : Créer une plateforme numérique vise de relier l’ensemble des institutions et entreprises en espérant d’avoir un échange et un contact fluide entre celles-ci. Dans les années précédentes, le gouvernement marocain fait référence ses attachements par rapport à ce secteur, lorsque a lancé trois grands projets de numérisation. Parmi eux, un qui est appelé Digital Morocco 2020. Selon l'UNESCO, visait à réaliser « 50% des procédures administratives en ligne, réduire de 50% le fossé d'accès au numérique, former plus de 15 000 informaticiens au Maroc et 20% des PME équipées et connectées à Internet ». L'université polytechnique Mohammed VI a créé en 2021 l'African Super Computing Center « ASCC », un centre de données doté du superordinateur le plus rapide et le plus puissant d'Afrique. Dans le but d’atteindre des améliorations et intégrer des options plus avancées. On peut mesurer l’importance de ce secteur internationale encore par les dons et les subventions obtenus par la banque mondiale au profit du Maroc par un montant s’élève à 500 millions de dollars. Cette opération stimulante qui permette de continuer à travailler sur le développement technologique. Toujours, dans le cadre d’encouragement le domaine de TIC par l’Etat marocaine, a montré ses énormes sacrifices pour rendre ce secteur promoteur à travers la conclusion d’un emprunt de 611 millions d’euros auprès la banque mondiale. Par ailleurs, on peut juger un tel secteur que soit performant lorsqu’il montre sa résilience pendant une période critique. L’exemple le plus significatif celui de covid19 : Dans cette époque, la plupart des sociétés, des institutions et les collectivités ont opté pour le télétravail comme solution efficace pour continuer leurs activités et générer assez de profitabilité. Cet objectif qui apparait difficile voire très éloigner grâce à les plateformes numériques et les logicielles qui ont mis en place dans le bon moment, chacun a pu d’atteindre son but. Dans cet égard, les étudiants, les élèves et leurs professeurs ont pu rester connecter et accéder leurs cours, examens, présentations et l’échange durable à travers le biais des supports numériques et des internes fiables et rapides. Croissance : Le Maroc vise à se positionner comme une plaque tournante stratégique au Moyen-Orient et en Afrique du Nord en devenant l'un des pays les plus performants de la région en termes d'infrastructure Datacom et d'environnement des affaires informatiques. Le plan de réforme des investissements présenté en juillet 2016 par Moulay Hafid Elalamy, a marqué une étape stratégique dans la réalisation de nouvelles réformes pour construire un modèle économique compétitif et performant. Le secteur des TIC génère entre 5% et 6% du PIB, dont les entreprises de télécommunications représentent environ la moitié. Cependant, les développements technologiques associés à une forte volonté politique et aux impératifs économiques poussent la croissance du secteur des TIC au Maroc au-delà du sous-secteur des télécommunications. L'intégration de solutions numériques dans les opérations commerciales n'est pas une option, c'est une nécessité pour maintenir les entreprises marocaines à la pointe des normes régionales et internationales. Suivant des tendances internationales plus larges, l'expansion des solutions numériques a reçu le soutien des autorités à différents niveaux. Alors que les améliorations des infrastructures ont été menées par des lois mises à jour, l'adoption a été largement soutenue par Digital Morocco 2020 (Maroc Digital 2020), un plan de développement national adopté en 2016 pour compléter les réalisations de Numeric Morocco 2013 (Maroc Numéric 2013), adopté en 2008 En 2017, le plan directeur a créé l'Agence du développement du numérique (ADD) pour superviser les progrès et réglementer les projets et réformes liés aux TIC. Les missions de l'agence comprennent la réduction de la fracture numérique urbaine-rurale, la transition de l'administration électronique à l'administration numérique et la promotion de la numérisation des processus commerciaux. Le secteur des TIC est régulé par le Ministère de l'Industrie, du Commerce, et de l'Economie Verte et Numérique, MCINET, chargé de promouvoir une économie dynamique axée sur les TIC. L'Agence Nationale de Régulation des Télécommunications (ANRT), l'organisme de surveillance du sous-secteur, a joué un rôle clé dans la libéralisation des télécommunications et le développement technologique dans tout le royaume, tel qu'établi par la loi n° 24-96 de 1997 et ses modifications ultérieures. Parmi les autres acteurs majeurs du secteur figurent l'ADD nouvellement créée et la Fédération des technologies de l'information, des télécommunications et de l'offshoring (APEBI), une organisation axée sur le secteur privé qui s'emploie à promouvoir l'avancement technologique et soutient la croissance mondiale des entreprises informatiques locales.