BOURDON Magdalhéna

VALET Clémence

PRT 258 Psychologue de l’éducation nationale

M.Chartier
Master 2 Psychologie de l’orientation et du conseil

2022/2023
 Sommaire
I. Les objectifs généraux et opérationnels .......................................................................... 3

II. Descriptif de l’action ....................................................................................................... 4

1. Réunion d’information .................................................................................................... 4

2. L’atelier .......................................................................................................................... 5

III. Comment évaluer l’action ............................................................................................... 7

IV. Ressources mobilisées en interne .................................................................................... 8

V. Conclusion ....................................................................................................................... 9

VI. Bibliographie ................................................................................................................. 10

VII. Annexes ......................................................................................................................... 11

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 I. Introduction

La différenciation du genre se manifeste dès le plus jeune âge et le système scolaire est un lieu
où cette différenciation se manifeste. Depoilly en 2008, note que les comportements genrés
découlent d’apprentissages et que les expériences scolaires vécues par les filles et les garçons
en sont donc différentes.
Dans ce texte, Depoilly cite les écrits de Bourdieu en 1990 et Lahire en 2001, ils précisent qu’il
est difficile pour les garçons de s’affranchir de leurs comportements appris puisqu’ils sont le
reflet d’un élément socialement ancré qui est la masculinité. Les filles pourraient s’en affranchir
plus facilement que les garçons, puisqu’il est culturellement et socialement mal vu d’avoir des
attributs dits « féminins » lorsque l’on est né biologiquement homme. Il serait donc difficile
pour les garçons de préférer des activités dites « féminines » et in extenso, de choisir des
professions ancrées fémininement.
Nous pouvons noter que la question des études, des activités et des professions genrées
concernent les deux genres biologiques même si les enjeux et les causes sont différents. Ces
éducations genrées ont un impact important sur la manière dont l’école est vécue.
C’est pourquoi il serait important et intéressant de modifier les perceptions des garçons et des
filles sur leur genre, pas qu’auprès des filles mais également des garçons afin que la conception
sociétale de la virilité n'ait pas un impact trop fort sur leur développement et leur vie scolaire et
universitaire.
De nos jours, l’égalité des genres s’avère être le fruit d’un long processus encore inachevé : lors
de la dernière convention interministérielle (2019-2024), l’égalité entre les filles et les garçons,
les femmes et les hommes dans le système éducatif s’articule autour de deux préoccupations
notamment acquérir et transmettre une culture de l’égalité entre les sexes. La deuxième
préoccupation est de renforcer l’éducation au respect mutuel et à l’égalité entre les filles et les
garçons. Pour cela, la convention préconise des actions pérennes notamment faire évoluer les
méthodes et les outils pédagogiques (comme par exemple les livres) vers davantage de mixité
et d’égalité. En effet, la catégorisation de sexe contribue aux performances aux performances
et aux stratégies des élèves filles et garçons. Ce type de comportement est bien présent et va
jusqu’à affecter les performances des élèves. Avoir conscience des conséquences peut impacter
la construction identitaire qui se fait tout le long de la vie des enfants, mais également changer
l’appartenance à une catégorie de sexe, une catégorie asymétrique du point de vue social et
cognitif.

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La question de l’égalité fille/garçon à l’école est un sujet encore récent. La question s’est posée
de savoir s’il était pertinent d’enseigner aux enfants d’école primaire ce que c’était que
l’éducation « genrée ». Ou en d’autres termes, est-ce qu’enseigner que les enfants devraient
choisir leurs loisirs, activités et travails en fonction de leurs envies et de leurs aptitudes et non
pas en fonction de ce que la société et l’éducation leur demande de choisir traditionnellement,
aurait un impact sur les choix de filières futures et sur les choix d’orientation à long terme.
Bien que la majorité des écoles soient mixtes, selon plusieurs professionnels cette mixité est
plus expliqué par une volonté de faire des économies que pour faire grandir les garçons et les
filles ensemble (Salle, 2016).
Nous pouvons constater, cependant, une évolution du ministère sur le sujet de l’éducation aux
questions liées aux genres. Un arrêté du 12 juillet 1982 fait déjà référence à la nécessité d’une
« Action éducative contre les préjugés sexistes ». Nous pouvons donc noter, que la question de
l’éducation dite « genrée » est une problématique longtemps posée.
Cependant, encore à notre époque nous interrogeons plus le fait que les filles ne choisissent pas
des filières scientifiques plutôt que pourquoi les garçons ne se dirigent pas vers des filières
littéraires ? Ces deux versants devraient être questionnés. C’est pourquoi, dans notre atelier
nous n’allons pas faire de différence entre les filles et les garçons pour le choix des activités.

II. Les objectifs généraux et opérationnels

Pour notre action nous avons fixé plusieurs objectifs. D’une part des objectifs généraux
tel que faire comprendre aux élèves qu’on peut choisir son métier indépendamment de sa
connotation féminine ou masculine. C’est-à-dire d’amener les élèves à considérer que les filles
et les garçons ont les mêmes droits quant aux choix de leur orientation, mais également leur
choix de métier. De la même façon que leur choix doit dépendre de leurs champs d’intérêt et de
leurs aptitudes plutôt que des stéréotypes de genre.

De plus, l’objectif de notre action est également de favoriser l’égalité fille et garçon. Nous
essayerons de faciliter et de faire en sorte que chaque élève puisse vivre ensemble et s’épanouir
ensemble sans qu’il y ait la barrière de la différence de genre. Ainsi, que de développer le
respect de l’autre à l’école pour une égalité authentique et concrète entre les genres. Cet objectif
va permettre d’amener les élèves à prendre conscience du caractère stéréotypé des choix
professionnels pouvant être véhiculés dans la littérature jeunesse, tout en leur proposant un
atelier adapté à leur âge.

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Mais également, nous avons pour objectif de faire réfléchir les élèves sur les inégalités filles-
garçons, mais également hommes-femmes dans la société française. En effet, nous supposons
que si les élèves définissent les compétences qui sont nécessaires pour exercer tel métier va
permettre de démontrer que tous types d’emplois peut être exercé peu importe le genre.

Un autre objectif qui nous semble important c’est de démasquer les fausses représentations des
rôles qui véhiculent des images erronées du masculin et du féminin.
Enfin, nous souhaitons questionner les élèves sur : Est-ce qu’il est dans la nature des choses
que certains métiers ou activités soient exercés par des femmes et que d’autres le soient par des
hommes ? Tout en adaptant ce discours à la tranche d’âge choisie.

III. Descriptif de l’action

Avant de commencer l’atelier, nous ferons un travail de préparation avec le ou la professeur

des écoles, et le ou la psychologue scolaire si il ou elle exprime l’envie de participer. La
préparation consistera à expliquer l’action en détails, échanger sur le groupe classe et donc
opérer quelques modifications si nécessaire. Nous informerons également le ou la professeur
des écoles de la préparation qui sera nécessaire avec sa classe : faire lire un livre aux élèves,
qu’ils préparent chacun une fiche de lecture. Mais également sur les modalités de la réunion
d’information auprès des parents, sur l’existence d’une médiathèque proche de l’école ou non.
Cette phase de préparation est essentielle afin d’avoir un premier contact avec le ou la
professeur des écoles et de pouvoir opérer les modifications nécessaires en fonction de la classe
où l’intervention se déroulera.

De plus, cette intervention concernera les élèves à partir du CE2. Le cycle d’apprentissage de
la lecture étant désormais du CP au CE1, il nous a paru donc important de respecter ce cycle et
de ne pas mettre les élèves en difficultés.

1. Réunion d’information

Nous souhaitons créer un atelier sur le genre auprès d’élèves de classe primaire.
Dans un premier temps, nous allons faire une présentation aux parents de l’atelier et des sujets
qui y seront abordés. Cette réunion permettra d’une part aux parents d’avoir les informations
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sur l’atelier et ses objectifs et d’autre part d’avoir des clés pour questionner et/ou répondre aux
questions que les enfants pourraient avoir à l'issue de l’atelier.
Cette information collective est importante. En effet, à cet âge il est nécessaire que les notions
soient reprises et renforcées par les parents, mais surtout qu’ils soient accompagnés dans leur
questionnement et cheminement. Et pour cela, il nous paraît important que les parents aient des
clés et des pistes de réponses pour guider au mieux les enfants et qu’il n’y ait pas de frustration
d’un côté comme de l’autre.
De plus, cet entretien permettra d’échanger sur les sujets qui seront abordés et de peut-être
rassurer les parents sur les mots utilisés, les activités… Cette réunion permettra également
d’éviter les malentendus. Elle se déroulera en compagnie des animatrices et/ou de la
psychologue scolaire et du ou de la professeur des écoles.

2. L’atelier

Pour réaliser cet atelier, nous aurons besoin d’être dans une bibliothèque ou une médiathèque.
Si l’école ou le village n’en n’ont pas, une petite bibliothèque de livres devrait suffire. Nous
aurons également besoin de place afin d’isoler les groupes, de tables et de chaises.
L’atelier se décomposera en trois temps : un temps individuel, un temps en petit groupe et un
temps en groupe classe. La salle sera découpé en différents îlots de quatre tables, espacés les
uns des autres afin que les enfants puissent s’exprimer sans être dérangés par les voisins.
Nous allons demander au préalable aux enfants de lire un livre, de leur choix, et de remplir une
fiche de lecture sur l’histoire et les personnages. Cette fiche lecture sera crée en amont, et les
élèves pourront reprendre une fiche lecture déjà réalisée en classe avec leur professeur.

a. Temps individuel

Pendant ce temps, en individuel, nous demanderons aux élèves de relire leur fiche de lecture et
de remplir un tableau (annexe 1) sur les activités, les métiers et les personnages. Si certains
enfants terminent plus tôt, ils peuvent reprendre un livre et refaire ce même travail. Les
intervenants circuleront dans la classe, avec l’aide du ou de la professeur des écoles, s’ils le
souhaitent.
Cette étape est importante, il permet d’inclure tous les élèves dans l’atelier et leur permet de
découvrir de nouveaux livres.

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Une pré-selection de livres de leur âge, avec des descriptions en début de livre (exemple :
Cabane Magique) pourra être proposée afin que l’atelier soit fluide et que les élèves ne soient
pas mis en difficultés.

b. Temps en groupe

Ensuite nous allons mettre les enfants en groupe de quatre afin qu’ils puissent expliquer le ou
les métiers et les activités qu’ils ont découvert et qui sont les personnages de leur histoire. Dans
chaque groupe, il y aura un.e “président.e” qui donnera la parole, un.e “secrétaire” qui remplira
le document en écrivant ce que chacun dit, un. rapporteur qui aura pour rôle de prendre la parole
devant la classe sur ce qui a été dit et le dernier élève qui sera responsable matériel, il sera
chargé de récupérer les documents et les crayons.
Lors de ce moment de groupe, chaque élève pourra s’exprimer sur ce qui a été vu
individuellement : les métiers, les activités de chaque personnage. Mais également les qualités
de chaque personnage.
Ensuite, ils devront, par métier et activité évoqué, donner une liste de qualités/forces pour
l’effectuer. Pour cela, nous leur donneront plusieurs cartes avec une qualité écrite dessus, ils
pourront donc placer ces cartes en face de chaque métier et les reporter sur les feuilles.
Nous leur demanderont ensuite de noter si ces métiers ou activités étaient occupés par des filles
ou des garçons et pourquoi selon eux ils ne sont pas occupés par le sexe opposé.
Lorsque tous ces éléments seront notés sur la fiche, nous passerons à l’étape suivante.

c. En groupe classe

Chaque rapporteur exprimera à l’ensemble de la classe ce qui a été fait en groupe. Ensuite, un
temps d’échanges sera organisé par les animateurs. Les enfants pourront exprimer ce qu’ils ont
ressenti et exprimer leurs avis et les animateurs leurs poseront des questions sur les différents
métiers et activités qui ont été présentés.
Mais également, des questions comme « est-ce que vous saviez que les filles ou les garçons
peuvent également faire ce métier ? » ou « Quels métiers ou activités pensez-vous ne pas
pouvoir exercer si vous êtes une fille ou un garçon ? ».
L’objectif de cette partie est de faire réfléchir les enfants sur les métiers et les possibilités qui
s’offriront à eux, tout en posant des question qui respectent leur classe d’âge. L’objectif est

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donc de les faire progresser ensemble sans les perturber avec des sujets et un vocabulaire qui
ne seraient pas adaptés.

IV. Comment évaluer l’action

Pour évaluer l’action nous reprendrons les différents objectifs avec les adultes participants pour
vérifier s’ils étaient atteints.

Objectifs Comment Atteint Commentaire(s)

l’évaluer du ou de la
professeur des
écoles

Faire prendre Avec les jeux ou Les élèves choisissent de plus

conscience aux les activités en en plus des jeux et des
élèves que le choix classe choisis activités peu importe le genre
du métier ou de librement par les octroyé à ces derniers. Par
l’activité ne doit enfants exemple : les garçons jouent à
pas se faire de des jeux ou choisissent des
manière genrée métiers préférés dites
“féminins” et inversement
pour les filles

Le choix doit Pendant les Les élèves expriment leurs

déprendre du échanges entre envies et leurs choix sans
champ d’intérêt de pairs ou avec les exprimer une appréhension de
chacun et des adultes référents jugement de la part des pairs
aptitudes

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 Faire en sorte que Pendant les Les élèves se mélangent plus
chaque élève activités choisies pendant les activités libres ou
puisse vivre librement ou pour le choix des équipes sans
ensemble lorsque les intervention d’un adulte. Les
enfants doivent élèves ne refusent pas une
composer des activité à un enfant en raison
équipes de son genre

V. Ressources mobilisées en interne

Pour mettre en place notre atelier, nous avons recensé plusieurs moyens nécessaires.
Nous avons les moyens humains comme le ou la psychologue de l'Éducation Nationale, le ou
la professeur des écoles, l’ATSEM (Agent territorial spécialisé des écoles maternelles) si
nécessaire, mais également l’AESH (Accompagnant d'Elèves en Situation de Handicap) qui va
permettre éventuellement d’étayer les consignes ou d’aider l'élève à la lecture si ce dernier est
en difficulté.
De plus, nous aurons également plusieurs moyens matériels pour réaliser notre action
notamment les matériaux essentiels comme les livres nous avons choisi d’avoir entre 8 et 30
livres en réserve au cas où. Nous avons fixé ces chiffres car à la fois ça permettra d’avoir une
bonne base pour pouvoir mettre en place l’action, et 30 livres car cela permet de laisser du choix
pour les élèves. Si nous avons fait le choix d’avoir des livres en réserve, c’est pour parer à toute
éventualité : s’il n’y a finalement pas accès à la bibliothèque, si la bibliothèque de classe n’est
pas assez fournie… Nous avons besoin également soit d’un tableau blanc ou d’une grande
feuille qui sera lisible pour les élèves. Un tableau sera dessiné au préalable sur le support
(Annexe 1). De ce fait, il faudrait des post-it pour pouvoir classer avec les élèves les métiers
selon leur représentation. Nous aurons également besoin de plusieurs tableurs en plus petits
format pour le travail en ilot, et des petites cartes plastifiées avec les qualités.
Enfin, nous avons décidé de réaliser cet atelier au sein d’une bibliothèque soit qui est présente
dans la ville et/ou village, ou soit que l’école dispose d’un coin disposant de suffisamment de
livres.

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 VI. Conclusion

Ainsi, est-il nécessaire de continuer la politique d’égalité des genres au sein de l’éducation
nationale. C’est pourquoi, il nous parait important de proposer des ateliers sur cette thématique
en classe de primaire tout en respectant l’âge du public. Il est également important d’inclure les
parents dans cette démarche.
Nous pouvons également noter que cette démarche comporte plusieurs limites. D’une part, les
parents pourraient ne pas cautionner cet atelier et penser leurs enfants trop jeunes, ou alors ne
pas adhérer à cette manière de penser. Il faut accompagner les parents et non pas les stigmatiser.
Il serait donc intéressant de faire un débat sur ces sujets avec les parents, s’ils le souhaitent. De
plus, les parents pourraient ne pas poursuivre ces questionnements à la maison avec leurs
enfants, ce qui seraient dommages et ne provoqueraient pas l’échange.
Nous pouvons également noter que nos objectifs sont difficiles à mesurer. En effet, nous nous
reposons beaucoup sur le ou la professeur des écoles, hors nous savons qu’ils ont beaucoup de
travail. Cependant, il nous a paru essentiel d’inclure le ou la professeur des écoles dans le
processus, car ils connaissent très bien les enfants.
Les perspectives pour ce sujet sur l’égalité sont nombreuses. Nous pouvons noter une évolution
des consciences sur l’égalité et pourquoi il est important de choisir son orientation en fonction
de ses préférences. Nous pouvons également espérer que le clivage fille/garçon s’arrête afin de
ne plus comparer ces deux catégories sans raisons (si nous prenons l’exemple d’une société
avec uniquement deux genres, ce qui n’est plus le cas dans notre société actuelle). Il y a
plusieurs autres exemples et interventions qui seraient intéressant d’aborder ou de créer. Ce
sujet est un sujet actuel et d’avenir, aussi bien pour la différence entre les deux sexes biologiques
de naissance, qu’actuellement pour l’acceptation des autres genres.

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 VII. Bibliographie

“Egalité entre les filles et les garçons”. Ministère de l’Education Nationale et de la Jeunesse,
https://www.education.gouv.fr/egalite-entre-les-filles-et-les-garcons-9047. Consulté le 19 mars
2023

Depoilly, S. (2008). Genre, parcours scolaires et rapports aux savoirs en lycée professionnel.
Le français aujourd'hui, 163, 65-72. https://doi.org/10.3917/lfa.163.0065

Salle, M. (2016). À l’école de la République, de « l’égalité filles / garçons » à la « culture de

l’égalité ». Tréma, 46, pp. 5-13. 10.4000/trema.3570

Vouillot, F. (2007). L'orientation aux prises avec le genre. Travail, genre et sociétés, 18, 87-
108. https://doi-org.proxybib-pp.cnam.fr/10.3917/tgs.018.0087

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 VIII. Annexes

Annexe 1 : Le tableau

Personnages Activités Métiers

Annexe 2 : Liste des livres

- Le petit prince d’Antoine de Saint-Exupéry

- Cabane magique de Mary Pope Osborne
- Ratus de Jeanine et Jean Guion
- Vendredi ou la vie sauvage de Michel Tourmier
- Matilda de Roald Dahl
- Charlie et la Chocolaterie de Roald Dahl
- Les contes de Perrault de Charles Perrault
- Mortelle Adèle de Mr Tan (Antoine Dole) et la dessinatrice Diane Le Feyer
- Cabot Caboche de Daniel Pennac
- Sacré sorcière de Roald Dahl
- Mon amie la licorne de Briony May Smith et Catherine Gibert
- La valise rose de Susie Morgenstern
- Dinette dans le tractopelle de Christos, Mélanie Grandgirard
- Princesse Kevin de Michaël Escoffier
- Le petit garçon qui aimait le rose de Jeanne Taboni Misérazzi et Raphaëlle Laborde
- Un jour mon prince viendra d’Agnès Laroche et Fabienne Brunner
- La déclaration des droits des filles d’Estelle Billon Spagnol et Élisabeth Brami
- La pire des princesses d’Anna Kemp

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- Marre du rose de Nathalie Hense
- Le prince aux petits pois de Sylvie Chausse
- La princesse et le poney de Kate Beaton
- Nils, Barbie et le problème du pistolet de Kari Tinnen
- Boucle d’ours de Stephane Servant
- Lou de Julien Neel
- Tintin de Hergé
- Astérix et Obélix d’Uderzo et Goscinny
- Garfield de Jim Davis
- Naruto de Masashi Kishimoto
- Dragon Ball Z d’Akira Toriyama
- Les fées de l’arc-en-ciel de Daisy Meadows

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